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Un amendement à l'article 11 du projet de loi de financement de la Sécurité sociale impose la publication du prix réel des médicaments payés par l'Assurance maladie. Une mesure saluée au nom de la transparence, mais qui fait craindre des hausses de prix et des pénuries.
Dans cet épisode du podcast Retour sur l'investissement, Nikolaï Ray reçoit Jean-François Caron, cofondateur d'Immo Finance, pour une discussion approfondie sur la transparence, la confiance et la rigueur dans le monde du financement immobilier.Jean-François partage son parcours et sa vision du métier de prêteur alternatif, où la conformité, la communication et l'intégrité sont au cœur de la relation avec les investisseurs et les emprunteurs. Il explique comment la discipline et la bonne structure légale permettent non seulement de sécuriser les projets, mais aussi d'élever les standards de toute l'industrie.Un échange franc et éclairant sur la mentalité du prêteur moderne, la gestion du risque et le leadership éthique nécessaire pour bâtir des relations solides et durables dans un marché en pleine évolution.
C dans l'air spécial du 9 novembre 2025 - Dette : un scandale français ?Interview de Philippe Aghion, extraite du documentaire réalisé par réalisé Alain Pirot et Gaëlle Schwaller diffusé le dimanche 9 novembre 2025 sur France 5.Philippe Aghion, économiste, prix Nobel de l'économie 2025. Il a été conseillé économique auprès de françois Hollande et d'Emmanuel Macron.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Disponible en vidéo : https://youtu.be/PI-3IbO55tASourcesPost X : https://x.com/Planetes360/status/1984957248443920407 [1] Les revêtements alimentaires Apeel pour les fruits et ... https://lessurligneurs.eu/les-revetements-alimentaires-apeel-pour-les-fruits-et-legumes-sont-ils-dangereux-pour-la-sante/[2] aPEEL Technology, Inc. - Gates Foundation https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants/2015/08/opp1130141[3] Cette start-up crée une « seconde peau » comestible pour ... https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/agriculture-cette-start-up-cree-seconde-peau-comestible-conserver-fruits-legumes-frais-plus-longtemps-62719/[4] Les produits « Apeel » autorisés dans l'UE sont sans danger https://europeannewsroom.com/fr/les-produits-apeel-autorises-dans-lue-sont-sans-danger/[5] Apeel Sciences issues response to new Federal Labelling Bill | News https://www.fruitnet.com/eurofruit/apeel-sciences-issues-response-to-new-federal-labelling-bill/268166.article[6] Agency Response Letter GRAS Notice No. GRN 000648 https://www.fda.gov/food/gras-notice-inventory/agency-response-letter-gras-notice-no-grn-000648[7] Answering your questions about Apeel https://www.pccmarkets.com/sound-consumer/2025-03/questions-about-apeel/[8] Apeel : Innovation ou Inquiétude? Quand la Transparence ... https://www.facebook.com/andrelafrancepagepublique/posts/apeel-innovation-ou-inqui%C3%A9tude-quand-la-transparence-alimentaire-devient-un-enje/722517210401733/Terrana Biosciencehttps://www.terranabio.com/news/flagship-pioneering-unveils-terrana-biosciences-to-deliver-adaptive-targeted-agricultural-solutions-through-a-novel-rna-technology-platform ---------------------------------------Mes affiliations :- Ebook recettes de saison : https://alimentationjoyeuse.thrivecart.com/partenaire-21-jours-de-menus-ebook/?affiliate=albe87Marque de compléments favorites à prix réduits : https://www.alainbero.be/mes-liens-affilies-des-complementsMes réseaux :Site web & RDV : https://www.alainbero.be/Facebook : https://www.facebook.com/alainberocoachennutritionInstagram : https://www.linkedin.com/in/alainbero/recent-activity/all/Telegram : https://t.me/joinchat/SHisqLRDxDmjCwm4X : https://x.com/BeroAlainYoutube : https://www.youtube.com/channel/UCBBPhQ_0Rng_EzSKYxsSR4gSpotify : https://podcasters.spotify.com/pod/show/alainbero
Dans cette 74ème édition du podcast "Impôt et Justice sociale", produite par Tax Justice Network, l'invité Aissami Tchiroma Mahamadou (Malam Tchiroma) évoque la 3e session du Comité de négociation intergouvernementale (INC) sur la mise en place d'un cadre de coopération fiscale internationale qui se déroule à Nairobi au Kenya. Il y expose les attentes de la société civile africaine : taxation du numérique, transparence sur la propriété effective, imposition des plus riches et un cadre équitable de règlement des conflits fiscaux. L'objectif : faire de la future convention des Nations Unies un levier de justice fiscale et de souveraineté économique pour les pays du Sud. Intervient dans ce Podcast : Aissami Tchiroma Mahamadou: Expert en Fiscalité du Développement, Membre du groupe de travail de la société civile africaine dans le cadre du projet de cadre de collaboration fiscale internationale sous l'égide des Nations Unies
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse à l'autorisation du découvert bancaire. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les jeunes veulent-ils tout tout de suite ? Que vous soyez RH, recruteur, manager ou entrepreneur, je décrypte le sujet pour vous.Dans cette capsule RH de 5 minutes, je vous partage mes 3 apprentissages suite à mon échange passionnant avec Juliette Laborie, Directrice Générale de JobTeaser.
Dans cet épisode de Yes We Care, Faustine a le plaisir de recevoir Laurent, cofondateur de Smappen, une startup française qui aide les entreprises à mieux comprendre leur territoire grâce à la cartographie. Smappen, c'est une success story à la française : une entreprise rentable, 100 % bootstrappée, passée de 0 à plus de 1 200 clients sans levée de fonds — mais avec une culture unique. Chez Smappen, les salaires sont transparents, les décisions se co-construisent, et la performance rime avec responsabilité, confiance et clarté. Avec Laurent, on parle de :
Partagez votre opinion avec la rédactionAlors que la question de l'avenir de nos écoles françaises à l'étranger se pose, nous donnons, sur Lesfrancais.press, la parole aux parents d'élèves. Brice Bultot, président de la FAPEE, la Fédération des associations de parents d'élèves des établissements français à l'étranger, est notre invité. Dans un contexte de réforme de l'AEFE et d'inquiétudes croissantes dans le réseau, il a adressé, le 29 octobre 2025, une lettre au Président de la République. Il nous parle de cette action et de la position de sa fédération, notamment en termes de visibilité et de transparence dans les établissements, tout en « gardant espoir ». Support the show
Emmanuel Macron plaide pour un encadrement plus strict des plateformes, mais jusqu'où faut-il aller sans basculer dans la censure ?Extrait de L'Hebdo du 1er novembre 2025Un discours présidentiel sans détourLors du Forum de la Paix à Paris, Emmanuel Macron a livré une violente charge contre les réseaux sociaux. Il a dénoncé un modèle économique fondé sur la manipulation de l'attention, accusant les plateformes américaines – et en particulier X – de favoriser les contenus les plus extrêmes. Selon lui, cette dérive menace directement nos démocraties, car l'émotion y supplante la vérité et l'argumentation.Vers une nouvelle ère de régulation ?Le chef de l'État appelle à “reprendre le contrôle” de notre vie démocratique et informationnelle. Transparence des algorithmes, suppression des faux comptes, fin de l'anonymat total… autant de pistes qui s'inscrivent dans un mouvement européen plus large, initié avec le Digital Services Act.Mais ce discours de fermeté révèle aussi un paradoxe : comment encadrer les géants du numérique sans freiner l'innovation ? Et surtout, comment réguler des entreprises souvent hors de portée du droit européen ?Le risque d'un glissement autoritaireImposer l'identité réelle sur les réseaux pose une question fondamentale : faut-il renoncer à l'anonymat pour plus de sécurité ? Ce serait oublier que le pseudonymat protège aussi la liberté d'expression, notamment celle des lanceurs d'alerte ou des citoyens ordinaires. Lutter contre les dérives en ligne ne peut se faire au prix d'une surveillance généralisée.Les réseaux sociaux, toujours sources d'informationEmmanuel Macron affirme que “les réseaux sociaux ne sont plus des lieux où l'on peut s'informer”. Je ne partage pas ce constat. Entre les médias traditionnels, les médias alternatifs et les témoignages directs, ces plateformes restent des espaces d'expression essentiels. Le vrai enjeu, c'est l'éducation au discernement : apprendre à reconnaître la désinformation, à vérifier les sources, à penser contre soi-même.Réguler, oui — mais sans oublier de former les citoyens à exercer leur esprit critique.-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
Pour la première fois, le Rassemblement National sera également représenté à Sélestat lors de ces élections municipales avec la candidature de Thomas Estève. Âgé de 24 ans, cet agent administratif effectue ici sa quatrième campagne politique. « On a bien prouvé qu'aujourd'hui le Rassemblement National avait sa place dans les différentes élections, au niveau local », souligne Thomas Estève. Souhaitant incarner « la relève sélestadienne », 80 propositions seront présentées par le candidat. L'écoute, la transparence, la proximité, mais encore la sécurité et le cadre de vie seront particulièrement mis en avant. Dans cette nouvelle campagne, Thomas Estève dit s'engager « à côté d'hommes et de femmes de tous horizons, de toutes catégories socio-professionnelles ». Son objectif « n'est pas d'être un candidat supplémentaire, mais d'être le candidat qu'il faut pour la relève ».Le lien vers l'article complet : https://www.azur-fm.com/news/municipales-2026-a-selestat-le-paysage-electoral-se-dessine-2537Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) ont annoncé « la prise de la ville d'El-Fasher », cette « victoire militaire pour le général Hemedti » serait en réalité « une défaite politique », affirme notre invité, le professeur soudanais Suliman Baldo. Il est également directeur exécutif de l'Observatoire de la Transparence et des Politiques au Soudan. Y a-t-il un risque de génocide au Darfour ? Va-t-on vers une partition est/ouest du Soudan ? En ligne de Nairobi, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Suliman Baldo, comment expliquez-vous la victoire militaire des FSR du général Hemedti à el-Fasher, six mois seulement après leur défaite à Khartoum ? Suliman Baldo : Bien sûr, les Forces de soutien rapide avaient mis un siège très strict autour d'el-Fasher pour plus de 18 mois, c'est-à-dire en interdisant même l'arrivée de denrées alimentaires ou bien les livraisons médicales pour les hôpitaux locaux. Et ils avaient bombardé la ville durant toute cette période. Et ils ont aussi utilisé des drones contre el-Fasher. Et à quoi ont servi ces drones très sophistiqués et de fabrication chinoise ? Il y a plusieurs mois que les Forces de soutien rapide ont acquis bien sûr des drones sophistiqués d'origine chinoise, mais aussi des moyens de défense aérienne qui ont empêché l'armée de l'air soudanaise de ravitailler sa garnison à el-Fasher. Est-ce que les Émirats arabes unis et le Tchad ont joué un rôle dans cette victoire militaire des FSR ? Les Émirats sont, disons, les fournisseurs du matériel de guerre de toutes sortes pour les Forces de soutien rapide. Et donc, ils ont joué un rôle principal et de taille. Le Tchad est seulement un instrument, disons, dans les mains des Émirats arabes unis, comme c'est le cas de la Libye de Haftar, en particulier pour les Forces de soutien rapide. Depuis une semaine, de multiples témoignages décrivent les atrocités commises par les FSR contre les civils appartenant à des communautés non-arabes, notamment la communauté Zaghawa. Est-ce qu'on est en train d'assister à la réplique d'el-Geneina, où 15 000 Masalits avaient été massacrés par les FSR, en juin 2023 ? Je ne crois pas que les victimes qui ont été liquidées par les Forces de soutien rapide à el-Fasher étaient toutes des Zaghawas. Le comportement des Forces de soutien rapide est totalement hors contrôle de leurs commandants. Et donc, lorsque les FSR ont pris la ville, l'armée et les forces conjointes alliées à l'armée avaient déjà pu se retirer de la ville, laissant la population civile derrière elles. Une population civile qui compte un quart de million de personnes. Et donc il y a eu un ciblage des Zaghawas, mais c'était aussi sans discrimination. Parfois, c'étaient des membres de différents groupes ethniques. C'était surtout une revanche sur les populations d'el-Fasher, qui avaient résisté à l'invasion de la ville pendant le siège de la ville. Certains observateurs se demandent si la situation n'est pas comparable aux premières heures du génocide au Rwanda, en 1994 ? Ce qui s'est passé est horrible et c'est une forme de crime commis d'une manière systématique. Mais je ne crois pas qu'il y ait eu l'intention d'éliminer une composante de la population sur des bases ethniques ou autres. Le général Hemedti affirme avoir fait arrêter plusieurs de ses combattants soupçonnés d'exactions et avoir ouvert une commission d'enquête. Est-ce qu'il cherche à échapper éventuellement à ses responsabilités ? Je crois que c'est une réaction à la condamnation globale, partout dans le monde, mais aussi une réaction, au sein de la population locale, face aux tueries qui ont eu lieu à el-Fasher. Je ne pense pas que les Forces de soutien rapide s'attendaient à cette réaction collective de l'opinion mondiale et locale. Et l'annonce de ces enquêtes est une façon d'essayer de contenir les dégâts que, disons, les réactions à ces tueries ont créés. Bien sûr, la prise d'el-Fasher est certainement une victoire militaire, mais ce qui s'est passé après représente une défaite politique totale et une défaite morale pour les Forces de soutien rapide. C'est à cause de ces atrocités, dont les Forces de soutien rapide sont devenues très spécialisées dans la commission de ces crimes de guerre et crimes contre l'humanité. Est-ce qu'après la partition du Soudan du Sud en 2011, il ne va pas y avoir une seconde partition, du Soudan de l'Ouest cette fois-ci ? Il y aura une partition de fait, dans la mesure où il y aura deux gouvernements rivaux qui contrôlent chacun une moitié du pays. Mais je ne pense pas qu'il y aura sécession du Darfour ou bien de l'ouest du Soudan avec le reste du pays. Ça va être, disons, une situation comme en Libye, où il y a deux administrations qui contrôlent deux portions de territoire, mais il n'y aura pas une partition du pays. À lire aussiSoudan: craintes de la poursuite des exactions à El-Fasher, après la prise de la ville par les FSR À lire aussiSoudan: après les exactions à El-Fasher, les FSR arrêtent un seul de leurs membres
durée : 01:24:25 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Qui était Georges Schehadé, cette plume célèbre et méconnue à la fois ? Poète et dramaturge libanais de langue française, auteur notamment de "La Soirée des proverbes", "Histoire de Vasco" et "Monsieur Bob'le", l'écrivain est à l'honneur dans ce numéro d'"Une vie, une œuvre" diffusé en 1995. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Robert Abirached; Albert Dichy Directeur littéraire à l'Institut Mémoires de l'Edition Contemporaine (IMEC); Jean Lacouture Journaliste et historien français
Le ministre du Travail, Jean Boulet, a déposé hier sa fameuse loi visant à rendre plus transparentes les organisations syndicales. Entrevue avec Jean Boulet, ministre du Travail. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Écoutez le meilleur de l'émission La commission du 31 octobre 2025: Montréal sera privée de transport en commun samedi: Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM, fait le point sur la grève; Le Collège des médecins exige la suspension de la Loi 2: Gaétan Barrette commente; Airbus 220: «Le problème, c'est la rentabilité»: l'expert en aviation John Gradek explique; Transparence syndicale: la FTQ-Construction serre la vis sur les dépenses, Alexandre Ricard, président de la FTQ-Construction, donne les détails. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Enquête sur Menlo Park Ltd : les états financiers de la société et de sa filiale transmis au CCID pour plus de transparence by TOPFM MAURITIUS
Dépôt du projet de loi sur la transparence syndicale. Bientôt la grève à la STM. Legault remet Ford à sa place. Décès de Lise Bacon. Halloween annulée au N-B. Un autre match incroyable des Jays. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Directive européenne sur la transparence salariale : êtes-vous prêts ?En juin 2026, une directive va changer en profondeur la gestion RH dans les entreprises.Objectif ?
Bonjour à tous et bienvenue dans ce 37ème épisode de "Potentiel 2 Manager". Mylène Cosenza, experte en management et ressources humaines, s'attaque à un défi majeur pour tous les leaders : comment manager en période d'incertitude. Que votre entreprise traverse une fusion, un changement de direction, une crise ou simplement une vague de rumeurs, Mylène partage des conseils concrets pour devenir un véritable repère humain pour vos équipes. Dans cet épisode, elle souligne l'importance de la transparence, de la communication authentique et du soutien émotionnel, tout en rappelant que le rôle du manager n'est pas d'avoir toutes les réponses, mais de rester présent et soudé avec ses collaborateurs. Prêt à découvrir comment instaurer un climat de confiance même quand tout semble flou ? Installez-vous, l'épisode commence !
Depuis le 1er octobre 2025, les marques de textiles peuvent décider d'apposer l'affichage environnemental sur leurs produits. Cela permet de montrer l'impact du vêtement en fonction de plusieurs critères comme la composition, le lieu de fabrication, la réparabilité, le transport… De quoi motiver les entreprises du secteur à devenir plus vertueuses. ----------------------------------------------------------------------- SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsable SMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Sondage sur les syndicats: plus de transparence ! Bilan du conseil général du PLQ ce week-end. L’ouragan Melissa prend de l’ampleur. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Transparence salariale : le vrai / faux d'une révolution annoncée. Que vous soyez RH, recruteur, manager ou CEO, je décrypte le sujet pour vous.Dans cette capsule RH de 5 minutes, je vous partage mes 3 apprentissages suite à mon échange passionnant avec Loubna Tigroussine, juriste RH et formatrice en droit du travail.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la directive européenne pour la transparence des rémunérations, la lettre rectificative qui prévoit la suspension de la réforme des retraites et le détail de l'utime bouton. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la directive européenne pour la transparence des rémunérations, la lettre rectificative qui prévoit la suspension de la réforme des retraites et le détail de l'utime bouton. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À la Une de la presse, ce jeudi 23 octobre : les limites de l'accord franco-britannique sur l'immigration, une directive de l'Union européenne transposée en France et qui devrait rendre les salaires transparents dans les entreprises, les traditions vinicoles de la Géorgie, et la défaite de l'OM en Ligue des champions face au Sporting.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 22 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 22 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Radio KPMG diffuse régulièrement des chroniques consacrées à l'intelligence artificielle, pour en expliquer les caractéristiques techniques mais surtout pour éclairer les entreprises sur les enjeux opérationnels, stratégiques et règlementaires liés à ces technologies.En matière d'intelligence artificielle, la qualité des données est un sujet central. Toutefois, si par qualité, on pense souvent au triptyque « pertinence, exactitude et exhaustivité », les juristes ajoutent une 4ème exigence : celle de la licéité de ces données, et en particulier les données à caractère personnel.Il s'agit ici d'un pan très important du droit de l'IA, qu'explore Julie Bellesort de KPMG Avocats au fil de cette nouvelle chronique.
Rejoignez la communauté iWeek et soutenez-nous sur patreon.com/iweek!Voici l'épisode 251 d'iWeek (la semaine Apple).Vision Pro, iPad Pro, MacBook Pro : la déferlante M5 a démarré.Enregistré en streaming, mardi 21 octobre 2025 à 17h30 sur X, Twitch, LinkedIn et YouTube.Présentation : Benjamin Vincent, journaliste, producteur et présentateur de Les Voix de la Tech avec la participation de Fabrice Neuman, consultant auprès des PME et contributeur à "Comment ça marche", et Gilles Dounès, ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de “iPod Backstage“ (Dunod)..Au sommaire de cet épisode 251 : le M5 et les trois premiers produits à l'embarquer sortent demain, 22 octobre 2025 après leur annonce la semaine dernière. Retour sur le Vision Pro M5, l'iPad Pro M5 et le MacBook Pro M5 14“ alors que Samsung et Google s'apprêtent à dévoiler la date de lancement de leur masque connu sous le nom de "projet Moohan" et qui s'appellerait Galaxy XR, ainsi que son prix qui risque d'être nettement moins élevé que le Vision Pro.Autre sujet : les nouvelles beta des OS en version 26.1 qui offrent la possibilité de gommer une partie de la transparence qui est pourtant dans l'ADN du design Liqui Glass. Quand Apple mange son chapeau...Et puis, dans le JT de la semaine, Apple contre-attaque auprès de la commission européenne au sujet du DMA ; les ennuis judiciaires de Jon Prosser aux Etats-Unis face à Apple ; OpenAI sur le point d'annoncer son navigateur avec chatGPT intégré.Pas bonus hebdo exclusif. Retrouvez-le dès la semaine prochaine si vous faites partie de nos soutiens Patreon sur Patreon.com/iweek : rejoignez la communauté ! Aidez-nous à développer iWeek en cette 6è saison. Merci d'avance.Rendez-vous mardi 28 octobre 2025 à partir de 18h30 (nouvel horaire) en direct sur X, YouTube, Twitch et LinkedIn pour l'épisode 252 !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans les couloirs de l'Assemblée nationale, certains regrettent déjà l'abandon du 49.3. Ruth Elkrief estime que, notamment à gauche, les Socialistes s'inquiètent de voir leur victoire sur la suspension de la loi sur la réforme des retraites comme celle en trompe-l'œil. Sous la pression répétée de la gauche, le gouvernement a renoncé à l'utilisation de cet instrument d'efficacité assez emblématique de la Ve République. L'argent reste un sujet tabou en France, surtout quand il s'agit de dire combien on gagne. La directive européenne sur la transparence des salaires promet de bousculer les open spaces. Selon François Lenglet, c'est une révolution qui attend les entreprises françaises au plus tard le 7 mai 2025, date à laquelle cette recommandation devrait être transposée dans le droit français. Mais il souligne que le fond du problème c'est que le marché du travail n'est pas du tout transparent car selon lui, il subsiste des inégalités qui sont tout à fait incompréhensibles. À 64 ans, Sanae Takaichi est devenue ce mardi 21 octobre 2025 la première femme à prendre la tête du gouvernement au Japon. C'est historique et inédit dans un pays où seulement 15 % des Parlementaires de la Chambre basse sont des femmes. Abnousse Shalmani, tout en dressant le portrait de cette dame de fer japonaise, pense que c'est vraiment une victoire. Elle est surprenante, controversée, paradoxale et fascinante. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas, remplacée ce mardi soir par Marie-Aline Meliyi, apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La fabrication d'un ordinateur portable de 2 kg mobilise 600 kg de matières premières, 200 kg d'énergie fossile et 1,5 tonnes d'eau. Ces chiffres illustrent l'ampleur des enjeux environnementaux du numérique, de la conception jusqu'à la fin de vie des équipements. Pour comprendre comment les DSI peuvent piloter la réduction de ces impacts, nous accueillons Matthieu Poulard, co-fondateur d'Aguaro, plateforme SaaS qui accompagne les organisations dans la mesure et la réduction de leur empreinte.Notre invité démontre que performance et responsabilité ne s'opposent pas, mais convergent vers l'efficience et l'innovation sous contrainte. Il partage les expériences de grandes organisations comme dans la rationalisation du portefeuille applicatif, où l'angle environnemental permet de valoriser à la fois des gains écologiques et des économies substantielles. De la gestion de projets IA aux bonnes pratiques de cybersécurité durable, il présente les méthodologies concrètes pour faire de chaque collaborateur un éco-comptable et transformer le numérique responsable en atout stratégique.
Transparence salariale : révolution RH ou simple vitrine ?"Rémunération selon profil", "grille confidentielle", "on verra en entretien"...➡️ Ces phrases vont bientôt disparaître.Et c'est tant mieux.Dans cet épisode percutant, je reçois Loubna Tigroussine, juriste RH et formatrice en droit du travail. Ensemble, on décrypte la directive européenne sur la transparence salariale, ses impacts concrets pour les entreprises, et les pièges à éviter si vous êtes RH, recruteur ou manager.
Poulet polonais noté E ? Le distributeur qui affiche le pire score de bien-être animal sur ses MDD est-il un visionnaire ou un kamikaze ? C'est une réalité qui bouscule tout : quand certains masquent un mauvais Nutriscore, des distributeurs étudient l'affichage de la note E sur 100 % de leurs MDD. Parce qu'un produit noté E met en lumière tout ce que les autres font mieux. Parce qu'en affichant la pire note, on rend les A, B et C encore plus lisibles, encore plus désirables. Et surtout : parce que le client voit la différence. - Le produit français, noté A ou B. - Le produit importé, noté E. C'est pourtant le même rayon, le même produit...Mais pas le même message. C'est un choix de transparence totale. Dans un monde où certaines marques retirent un pack pour éviter un Nutriscore D, certains distributeurs assument leur offre et éduquent leur client. Résultat : plus de clarté. Plus de confiance. Et un levier d'achat supplémentaire sur les références mieux notées. On ne parle plus de marketing. On parle de responsabilité. Et si, en 2025, la vraie rupture se faisait là ? Dans le courage d'afficher aussi ce qui ne fait pas rêver. __ Episode en collaboration avec l'Association Etiquette Bien Etre AnimaleVous souhaitez me retrouver ailleurs qu'en podcast?Vous avez l'embarras du choix!
Lutte contre la pauvreté : les ONG appellent à plus de transparence et d'humanité dans l'accompagnement social by TOPFM MAURITIUS
Comment structurer un programme d'affiliation pilotable, rentable… et humain - avec AffilaeDans cet épisode enregistré au One to One Expérience Client à Biarritz, je reçois Alexandre Dos Santos, le patron d'Affilae, la plateforme française d'affiliation qui casse les codes des grands réseaux.L'enjeu : redonner aux marques le contrôle de leur programme d'affiliation, sans passer par un intermédiaire opaque ou un réseau fermé. Affilae permet de créer son propre écosystème d'éditeurs (influenceurs, presse, cashback, comparateurs…) en toute transparence.
Alors que le Sénégal cherche à affirmer sa position comme porte d'entrée stratégique de l'Afrique de l'Ouest, le deuxième forum Invest in Sénégal a réuni des centaines de décideurs économiques et politiques du monde entier. Inauguré par le président Bassirou Faye, élu en mars 2024, cet événement marque une nouvelle étape dans l'ambition sénégalaise d'attirer des investissements tout en préservant sa souveraineté économique et en revisitant certains contrats. Nos invités ➤ Abdourahmane Sarr, ministre de l'Economie, du Plan et de la Coopération du Sénégal. Découvrez l'entretien intégral en vidéo ici ➤ Alassane Diop , directeur Général de DP World pour l'Afrique de l'Ouest DP World : géant des infrastructures portuaires basé aux Émirats arabes unis, présent au Sénégal depuis 2008. Il investit 1,2 milliard de dollars dans le port en eaux profondes de Ndayane, le plus important investissement privé du pays depuis les indépendances. ➤ Mohamed Aït Hassou, directeur Général de CME Africa (filiale de Vinci Concessions) pour le Sénégal Spécialisé dans les énergies renouvelables, CME Africa développe des projets éoliens et solaires au Sénégal et au Maroc depuis 2019. ➤ Olivier Buyoya, directeur Régional de l'IFC (Société Financière Internationale) pour l'Afrique de l'Ouest L'IFC, branche privée de la Banque mondiale, finance le développement du secteur privé avec une centaine de collaborateurs à Dakar. ➤ Djiby Ndiaye, directeur développement et stratégie de Geomat ingéniérie Geomat ingéniérie est un bureau d'études sénégalais spécialisé en géotechnique, topographie et ingénierie des sols, fournissant des services techniques pour des projets de construction et d'infrastructures avec une expertise locale. Les atouts du Sénégal Stabilité politique et démocratique : dans une région en turbulences, une transition politique par la voie des élections. Position géographique stratégique : porte d'entrée naturelle vers l'Afrique de l'Ouest et les pays enclavés du Sahel (Mali, Burkina Faso). Cadre juridique : un nouveau code des investissements destiné à rassurer les investisseurs incluant une clause de stabilité juridique. Intégration régionale : membre de l'UEMOA (8 pays partageant une monnaie commune) et de la CEDEAO (15 pays), facilitant les échanges commerciaux. La Vision 2050 Le gouvernement sénégalais a lancé une plan à long terme pour transformer le pays en hub régional en s'appuyant sur des partenariats public-privé. Révision des Contrats Le ministre de l'Économie Abdourahmane Sarr précise l'approche gouvernementale : il ne s'agit pas de "renégociation" mais d'un audit de conformité. Les contrats respectant les lois sont maintenus, ceux qui ne les respectent pas doivent être mis en conformité. Les Secteurs Prioritaires 1. Infrastructures Le port de Dakar est crucial pour l'économie sénégalaise et celle des pays voisins enclavés. Le nouveau port de Ndayane, en construction, doit renforcer cette position stratégique. 2. Énergies Renouvelables L'électricité étant très chère au Sénégal, les investissements en énergies renouvelables se veulent plus rentables. CME Africa développe des projets éoliens intégrés avec composantes solaires et batteries. 3. Transport et logistique La réhabilitation du chemin de fer Dakar-Bamako est prioritaire. Le transport ferroviaire doit réduire drastiquement les coûts et améliorer la compétitivité des économies de l'hinterland. 4. Contenu local et transferts de Compétences Les grands projets intègrent des PME locales et des programmes de formation. Des entreprises sénégalaises comme Geomat Ingénierie participent désormais à de grands projets structurants. L'Interconnexion régionale Réseau électrique Le Sénégal fait partie du West African Power Pool, un réseau électrique commun reliant 14 des 15 pays de la CEDEAO. Cette interconnexion doit permettre d'exporter l'électricité produite au Sénégal vers des pays moins stables. Corridor Commercial Le Sénégal sert de corridor pour les pays enclavés. 65% des conteneurs maliens passent par Dakar, faisant du port une question de sécurité nationale pour ces pays. Partenariats Public-Privé Les investisseurs soulignent l'importance de partenariats équilibrés et transparents. L'IFC accompagne le gouvernement pour créer un cadre sécurisant attirant des "investisseurs de qualité" engagés sur le long terme. Critères de réussite Transparence totale : travail à "cahier ouvert" Engagement sur 25-30 ans (durée moyenne des concessions) Transfert de compétences et formation du personnel local Respect du cadre juridique et des normes environnementales Impact mesurable sur le développement durable Les défis à surmonter Malgré les atouts, plusieurs défis persistent : Contexte budgétaire contraint nécessitant l'optimisation des ressources Nécessité de renforcer le secteur privé local Coût élevé de l'énergie pénalisant la compétitivité Infrastructures à moderniser (routes, chemins de fer) Formation de la main-d'œuvre pour répondre aux besoins des investisseurs Cette émission présentée par Bruno Faure a été réalisée par l'équipe technique de RFI Dakar : Ibrahima Ba, Malang Sonko, Mbaye Niang, Alassane Bireba ainsi que Guillaume Munier.
Alors que le Sénégal cherche à affirmer sa position comme porte d'entrée stratégique de l'Afrique de l'Ouest, le deuxième forum Invest in Sénégal a réuni des centaines de décideurs économiques et politiques du monde entier. Inauguré par le président Bassirou Faye, élu en mars 2024, cet événement marque une nouvelle étape dans l'ambition sénégalaise d'attirer des investissements tout en préservant sa souveraineté économique et en revisitant certains contrats. Nos invités ➤ Abdourahmane Sarr, ministre de l'Économie, du Plan et de la Coopération du Sénégal Découvrez l'entretien intégral en vidéo ici. ➤ Alassane Diop, directeur général de DP World pour l'Afrique de l'Ouest. DP World : géant des infrastructures portuaires basé aux Émirats arabes unis, présent au Sénégal depuis 2008. Il investit 1,2 milliard de dollars dans le port en eaux profondes de Ndayane, le plus important investissement privé du pays depuis les indépendances. ➤ Mohamed Ait Hassou, directeur général de CME Africa (filiale de Vinci Concessions) pour le Sénégal Spécialisé dans les énergies renouvelables, CME Africa développe des projets éoliens et solaires au Sénégal et au Maroc depuis 2019. ➤ Olivier Buyoya, directeur régional de l'IFC (Société Financière Internationale) pour l'Afrique de l'Ouest L'IFC, branche privée de la Banque mondiale, finance le développement du secteur privé avec une centaine de collaborateurs à Dakar. ➤ Djiby Ndiaye, directeur Développement et Stratégie de Geomat ingéniérie. Geomat ingéniérie est un bureau d'études sénégalais spécialisé en géotechnique, topographie et ingénierie des sols, fournissant des services techniques pour des projets de construction et d'infrastructures avec une expertise locale. Les atouts du Sénégal Stabilité politique et démocratique : dans une région en turbulences, une transition politique par la voie des élections. Position géographique stratégique : porte d'entrée naturelle vers l'Afrique de l'Ouest et les pays enclavés du Sahel (Mali, Burkina Faso). Cadre juridique : un nouveau code des investissements destiné à rassurer les investisseurs incluant une clause de stabilité juridique. Intégration régionale : membre de l'UEMOA (8 pays partageant une monnaie commune) et de la CEDEAO (15 pays), facilitant les échanges commerciaux. La Vision 2050 Le gouvernement sénégalais a lancé un plan à long terme pour transformer le pays en hub régional en s'appuyant sur des partenariats public-privé. Révision des contrats Le ministre de l'Économie Abdourahmane Sarr précise l'approche gouvernementale : il ne s'agit pas de «renégociation», mais d'un audit de conformité. Les contrats respectant les lois sont maintenus, ceux qui ne les respectent pas doivent être mis en conformité. Les secteurs prioritaires 1. Infrastructures Le port de Dakar est crucial pour l'économie sénégalaise et celle des pays voisins enclavés. Le nouveau port de Ndayane, en construction, doit renforcer cette position stratégique. 2. Énergies renouvelables L'électricité étant très chère au Sénégal, les investissements en énergies renouvelables se veulent plus rentables. CME Africa développe des projets éoliens intégrés avec composantes solaires et batteries. 3. Transport et logistique La réhabilitation du chemin de fer Dakar-Bamako est prioritaire. Le transport ferroviaire doit réduire drastiquement les coûts et améliorer la compétitivité des économies de l'hinterland. 4. Contenu local et transferts de compétences Les grands projets intègrent des PME locales et des programmes de formation. Des entreprises sénégalaises comme Geomat Ingénierie participent désormais à de grands projets structurants. L'Interconnexion régionale Réseau électrique Le Sénégal fait partie du West African Power Pool, un réseau électrique commun reliant 14 des 15 pays de la CEDEAO. Cette interconnexion doit permettre d'exporter l'électricité produite au Sénégal vers des pays moins stables. Corridor commercial Le Sénégal sert de corridor pour les pays enclavés. 65% des conteneurs maliens passent par Dakar, faisant du port une question de sécurité nationale pour ces pays. Partenariats Public-Privé Les investisseurs soulignent l'importance de partenariats équilibrés et transparents. L'IFC accompagne le gouvernement pour créer un cadre sécurisant attirant des «investisseurs de qualité» engagés sur le long terme. Critères de réussite Transparence totale : travail à «cahier ouvert» Engagement sur 25-30 ans (durée moyenne des concessions) Transfert de compétences et formation du personnel local Respect du cadre juridique et des normes environnementales Impact mesurable sur le développement durable. Les défis à surmonter Malgré les atouts, plusieurs défis persistent : Contexte budgétaire contraint nécessitant l'optimisation des ressources Nécessité de renforcer le secteur privé local Coût élevé de l'énergie pénalisant la compétitivité Infrastructures à moderniser (routes, chemins de fer) Formation de la main-d'œuvre pour répondre aux besoins des investisseurs. Cette émission présentée par Bruno Faure a été réalisée par l'équipe technique de RFI Dakar : Ibrahima Ba, Malang Sonko, Mbaye Niang, Alassane Bireba ainsi que Guillaume Munier.
Au Cameroun, le ministre d'État Bello Bouba Maïgari a fait sensation le 28 juin 2025, quand il a démissionné du gouvernement et annoncé sa candidature contre Paul Biya à la présidentielle du 12 octobre. En effet, son parti, l'Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP), est un poids lourd dans le pays. Mais quelles sont ses chances de gagner si l'opposition reste divisée ? Aujourd'hui, le candidat Bello Bouba annonce qu'il « peut arriver à une entente » avec le candidat Tchiroma Bakary. En ligne de Yaoundé, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Si vous êtes élu, quelles seront vos deux priorités ? Bello Bouba Maïgari : Mes priorités, si je suis élu, ce sera d'abord pour la formation d'un gouvernement de large union. Parce qu'il faudra que nous nous attaquions aux problèmes essentiels de notre pays, à savoir la protection de l'unité nationale, son renforcement notamment dans les régions anglophones, mais également les problèmes de sécurité dans d'autres régions du Cameroun, notamment l'Extrême Nord. Alors, vous parlez de la très grave crise anglophone au Nord-Ouest et au Sud-Ouest. Beaucoup de Camerounais, y compris des candidats, prônent le retour au fédéralisme. Qu'en pensez-vous ? Aucun sujet ne sera tabou. D'abord, pour qu'il y ait une vraie inclusivité au Dialogue national inclusif que nous allons convoquer dans les six premiers mois de notre mandat, nous parlerons même aux leaders politiques des régions aujourd'hui troublées par cette crise anglophone, et nous envisageons de libérer ceux d'entre eux qui veulent travailler avec nous pour aboutir à un large consensus. Votre fief, c'est le nord du pays, mais comme vous le savez, il ne suffit pas de gagner au nord. Est-ce que vous avez la stature nationale pour être élu président ? Qui peut dénier à l'UNDP une implantation nationale ? Quel autre parti au Cameroun peut nous dénier cette bonne implantation que nous avons à travers l'ensemble des dix régions ? Oui, mais tout de même, Monsieur le Premier Ministre, votre parti UNDP est pour l'instant très loin derrière le parti au pouvoir RDPC. Qu'est-ce que vous comptez faire d'ici au 12 octobre pour combler ce retard ? D'abord, ce que vous appelez « très loin derrière le parti » au pouvoir, nous pensons que c'est parce que les conditions de transparence, de liberté et d'organisation des élections dans notre pays ne sont pas remplies. Nous travaillons pour cela et, d'ici à la fin du premier trimestre de 2026, vous verrez un renforcement de la représentation de l'UNDP dans toutes les assemblées de notre pays. Mais pourquoi la fraude s'arrêterait-elle au Cameroun ? Parce que d'abord, nous pensons, dans nos contacts avec les candidats et les anciens candidats, renforcer la collaboration entre nous pour assurer la vérité des urnes par une présence massive et digne des partis de l'opposition dans tous les bureaux de vote, dans toutes les commissions départementales où se passera le décompte des voix. Tout récemment, il y a quelques jours, l'opposant Maurice Kamto, qui n'a pas le droit de se présenter et qui n'a pas encore donné de consigne de vote, vous a invité, Issa Tchiroma et vous-même qui êtes tous deux originaires du nord du pays, à vous entendre pour fusionner vos deux candidatures, qu'est-ce que vous en pensez ? C'est pour cela que, après avoir écouté non seulement l'appel du professeur Kamto, mais aussi d'autres responsables de partis, nous avons relancé cette demande de rencontre entre nous pour que nous puissions nous entendre. Une rencontre entre Tchiroma et vous ? Une rencontre entre, oui, Monsieur Tchiroma, mais également avec d'autres candidats aussi. Les choses sont en train d'être explorées et nous n'avons pas perdu l'espoir qu'elles aboutiront à un consensus acceptable, non pas entre nous seuls, mais également à qui répondra à l'attente de beaucoup de Camerounais. Et vous pourriez arriver à fusionner vos deux candidatures ? Nous pourrons arriver, je l'espère, à trouver la solution que beaucoup attendent. C'est-à-dire une entente entre nous. C'est ma détermination pour laquelle je veux travailler. Et que répondez-vous à ceux qui disent, comme le candidat Cabral Libii, qu'il faut renouveler la classe politique camerounaise et que les nonagénaires, comme Paul Biya, et les septuagénaires, comme Issa Tchiroma et vous-même, devraient peut-être laisser la place aux jeunes ? C'est son opinion, mais la loi permet encore qu'un candidat de cet âge-là puisse se présenter. Je n'ai aucun commentaire à ce sujet.
À partir du 7 juin 2026, les entreprises françaises devront se plier à une nouvelle règle : la transparence salariale. Cette obligation découle d'une directive européenne, qui sera transposée en droit français d'ici cette date. L'idée est claire : réduire les inégalités de rémunération au sein des entreprises, un sujet longtemps considéré comme sensible, voire tabou, en France.Concrètement, les salariés pourront demander à connaître le niveau de rémunération associé à leur poste, les critères retenus pour fixer les augmentations ou les promotions, ainsi que la moyenne des salaires de leurs collègues exerçant la même fonction. Un outil qui devrait permettre à ceux qui se sentent sous-payés d'obtenir des explications, voire de revendiquer un ajustement. La règle va encore plus loin : si un écart supérieur à 5 % est constaté entre deux salariés occupant un poste équivalent et qu'aucune justification objective n'est apportée, l'entreprise aura l'obligation de le corriger.Cette directive introduit aussi des obligations différenciées selon la taille des structures. Les sociétés de plus de 250 salariés devront publier chaque année un rapport détaillant les écarts de rémunération, de l'échelon le plus bas jusqu'aux postes de direction. Pour les entreprises comprises entre 100 et 250 salariés, ce rapport sera exigé tous les trois ans. En dessous de 100 salariés, en revanche, aucune obligation de publication n'est prévue.Autre changement majeur : la transparence ne s'arrête pas aux salaires existants, elle touche aussi le recrutement. Les offres d'emploi devront indiquer clairement la rémunération proposée. Les mentions vagues comme « salaire selon profil » ou « selon expérience » disparaîtront. Par ailleurs, il sera interdit de demander à un candidat son salaire antérieur : la rémunération devra correspondre au poste, et non à l'historique du candidat.Bien sûr, cette transparence peut avoir des effets ambivalents. D'un côté, elle pourrait nourrir des tensions internes, alimenter des comparaisons permanentes entre collègues et fragiliser la cohésion des équipes. De l'autre, elle représente un levier puissant pour instaurer plus d'égalité, lutter contre les discriminations de genre, d'origine ou d'âge, et accroître la motivation des salariés en leur donnant la certitude que leurs efforts sont justement valorisés.Reste une limite de taille : même si les écarts devront être corrigés, les perspectives d'augmentation globale restent faibles. Comme le rappellent les experts, en 2026, les hausses de salaire ne devraient pas dépasser les 2 %. La transparence viendra donc surtout rééquilibrer les rapports de force… sans pour autant bouleverser les enveloppes globales. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 28 août dernier, son parti, Les Républicains, a annoncé son investiture officielle pour les municipales 2026. Rachida Dati veut briguer la mairie de Paris. Mais la ministre démissionnaire doit toujours être jugée dans l'affaire Carlos Ghosn, notamment pour corruption.Et ce n'est pas la seule affaire qui pourrait entraver ses projets municipaux. Le mardi 16 septembre, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour “non-déclaration” d'une partie de son patrimoine à la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique. Rachida Dati est tout de même déterminée à mener cette campagne, avec le soutien de son parti.Code Source revient sur ces affaires avec deux journalistes du Parisien, Quentin Laurent, en charge du suivi du parti Les Républicains et Timothée Boutry, du service police-justice.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Pénélope Gualchierotti et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LCI, RTL, BFMTV, C à vous. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Être manager, c'est parfois se retrouver face à des choix difficiles. Comment décider entre deux collaborateurs qui veulent prendre des vacances en même temps ? Comment répartir une enveloppe d'augmentation de salaire de manière juste ?
durée : 00:09:06 - L'Invité(e) des Matins - par : Julie Gacon, Sarah Masson - À l'occasion de l'ouverture du Palais des Enfants et de l'exposition "Transparence", le livre "Transparences surprenantes" entraîne petits et grands dans un voyage mêlant sciences, arts et société, pour explorer la lumière, la matière et notre rapport à la transparence. - réalisation : Sam Baquiast, Vivian Lecuivre - invités : Jean-Baptiste de Panafieu Ecrivain scientifique et biologiste
Pour la première fois, un président français reconnaît la guerre au Cameroun pendant la décolonisation. Emmanuel Macron a donc brisé le silence officiel sur cette page d'histoire Franco-Camerounaise. Un tabou de 65 ans est enfin levé. Transparence historique ou calcul politique ? Que pensez-vous de cette reconnaissance tardive ? Courage historique ou manœuvre diplomatique ?
Le sujet :Les produits structurés sont-ils une simple tendance passagère ? Ou assiste-t-on à une transformation durable du paysage financier, à l'image de ce qu'ont apporté les ETF ? Coûts, rendements, transparence : nous avons interrogé un spécialiste pour démêler le vrai du faux.L'invité du jour :Nicolas Marque est Head of Global Equities chez BNP Paribas CIB. Au micro de Matthieu Stefani, il répond à toutes nos interrogations sur les produits structurés.Découvrez :Ce qu'est un produit structuréPlusieurs exemples de produits structurésComment acheter des produits structurésQuelle est la transparence de ces produitsQuelles sont leurs performancesQuels sont les fraisIls citent les références suivantes :Le plan de relance allemandLe livre AntifragileLe livre Gagner la guerreLe livre La Horde du ContreventAinsi que d'anciens épisodes de La Martingale :#249 - Comprendre les produits structurés en toute simplicité#262 - Investir comme chez Goldman Sachs - JokarizOn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Sapians de soutenir le podcast.Réalisez votre bilan patrimonial et recentrez vos possibilités d'investissement avec Sapians en suivant ce lien.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.