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C dans l'air
Michaël Zemmour - Retraites: prêts pour la capitalisation?

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 12:12


C dans l'air l'invité du 30 juin 2025 avec Michaël Zemmour, enseignant-chercheur à l'université Lumière Lyon-II et économiste au laboratoire d'évaluation des politiques publiques de Sciences-Po.Jeudi, le Premier ministre François Bayrou a énuméré devant la presse les "avancées" permises par les négociations sur les retraites qui pourraient être reprises dans un budget à l'automne. Les syndicats et le patronat réunis en "conclave" n'ont pas trouvé d'accord global sur les retraites, mais ils ont dégagé des compromis sur plusieurs points. Et, vendredi, la CFDT a refusé, à l'instar de la CFTC et de la CFE-CGC, de jouer les prolongations, comme l'avait proposé le Premier ministre la veille.Aujourd'hui dans les Echos, l'ancien Premier ministre Gabriel Attal a dit vouloir en finir avec l'âge de départ unique, une norme devenue inutile selon lui. Le départ à la retraite ne se fixerait que sur la base de la durée de cotisation. Un système financé par une dose de capitalisation : chacun met de côté pour sa future retraite plutôt que de financer celle des retraités actuels. Édouard Philippe lui aussi a vanté les mérites de la capitalisation il y a quelques semaines, et dévoilait aussi les contours de sa réforme des retraites qu'il proposera pour 2027. Alors comment financer durablement notre système de retraites, dont le déficit devrait atteindre près de 15 milliards d'euros en 2035 selon la Cour des comptes ? Michaël Zemmour, enseignant-chercheur à l'université Lumière Lyon-II et économiste au laboratoire d'évaluation des politiques publiques de Sciences-Po, est notre invité.

Le Nouvel Esprit Public
Le conclave sur les retraites / La guerre USA-Iran

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jun 29, 2025 64:31


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 27 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LE CONCLAVE SUR LES RETRAITES Le « conclave » sur les retraites, voulu par le Premier ministre pour désamorcer les tensions autour de la réforme de 2023, s'est soldé par un « échec » a annoncé lundi la CFDT, marquant la fin de quatre mois de discussions infructueuses entre partenaires sociaux. Les discussions au sein de ce conclave, qui réunissait le Medef, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises), la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC, visaient à adoucir l'impopularité de la réforme Borne de 2023, qui a relevé l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans. Au-delà des considérations sociales, l'objectif était également d'assurer la pérennité financière d'un système qui anticipe un déficit de 6,6 milliards d'euros en 2030. Pour les organisations patronales, toute concession sur la pénibilité devait s'inscrire dans un cadre garantissant cet équilibre, tandis que les syndicats insistaient sur la nécessité de compenser les carrières hachées et les impacts physiques des métiers les plus exigeants. Sur la question de l'âge, sujet sensible de la réforme Borne, l'hypothèse d'un retour de l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans avait pourtant été enterrée par les syndicats. Dans le texte rédigé par l'animateur des débats, les représentants de salariés avaient obtenu le recul de l'âge de la décote (celui à partir duquel les assurés ont droit à une pension à taux plein, même s'ils n'ont pas le nombre de trimestres requis pour y être éligibles) à 66 ans et demi (contre 67 ans aujourd'hui).Selon l'étude Elabe réalisée pour l'Association française de la gestion financière (AFG) dévoilée mardi, les ménages semblent prêts à une vraie évolution du système : 47 % des Français se déclarent en faveur de la généralisation de plans d'épargne retraite par capitalisation en complément du système de retraite par répartition. Les « cadres » sont favorables à cette idée à 65 %, tout comme les ménages avec « une forte capacité d'épargne » à 64 % et les « investisseurs » à 56 %. Seules 18 % des personnes interrogées se montrent réfractaires à l'idée. L'enjeu financier des retraites est considérable : les pensions représentent près de 14% du PIB, 40% de la dépense sociale et un quart de la dépense publique. Le Conseil d'orientation des retraites indique, dans son rapport de juin, que l'évolution des dépenses de retraites « explique à elle seule une grande partie de la progression des dépenses publiques depuis 2002 ». Si le pays peine à financer ses services publics, c'est parce qu'il a préféré ses retraites alors que les évolutions démographiques ont bouleversé l'équilibre : il n'y a plus que 1,7 actif pour 1 retraité, tandis que le ratio était de 4 pour 1 en 1950. Le COR en tire la conclusion qu'il faudra reculer encore l'âge de la retraite.Mercredi, François Bayrou a affirmé que le conclave n'était « pas un échec » et présenté jeudi le résultat des discussions après avoir « tranché » sur« les désaccords ».LA GUERRE USA-IRAN L'attaque américaine, menée dans la nuit de samedi à dimanche derniers sur l'Iran, a été « intentionnellement limitée » à des cibles nucléaires et ne visait pas un changement de régime, a déclaré dimanche le Pentagone. Avec l'opération Midnight Hammer (Marteau de minuit), Donald Trump a exploité une fenêtre d'opportunité après qu'Israël a presque réduit à néant les alliés régionaux de l'Iran (Hamas, Hezbollah) puis les défenses iraniennes. S'il proclame toujours vouloir la paix, Donald Trump n'hésite pas dégainer. Il l'avait fait à trois reprises au cours de son premier mandat : contre la Syrie, après des attaques chimiques, en avril 2017 puis en avril 2018, enfin en ordonnant un assassinat ciblé à Bagdad contre le général iranien Soleimani, chef des forces spéciales des Gardiens de la Révolution, en janvier 2020. Toutefois, jusqu'à dimanche, il s'agissait d'opérations limitées.Dimanche, le président américain a annoncé que les trois sites de Natanz, Fordo et Ispahan avaient été « totalement anéantis ». Une affirmation difficile à confirmer, les cibles étant souterraines. Le général Dan Caine, chef d'état-major des armées américaines s'est montré plus prudent, comme le vice-président JD Vance. Selon les « premières évaluations du champ de bataille », a dit le soldat, les sites visés ont subi « de sévères dommages et destructions ». Un document classé confidentiel du renseignement américain, relayé par CNN et le New York Times, suggère que les frappes américaines sur l'Iran auraient retardé son programme nucléaire de seulement quelques mois, sans le détruire complètement. Jeudi, l'ayatollah Khamenei a affirmé que Donald Trump a « exagéré » l'impact des frappes américaines sur le territoire iranien.En représailles, lundi, l'Iran a attaqué la base aérienne américaine d'Al-Udeid, au Qatar. Treize missiles ont été interceptés sans difficulté selon l'armée, tandis qu'un autre s'écrasait sans dégâts. La base, qui en temps normal accueille près de 10 000 soldats, était très largement dépeuplée. Pour Téhéran, « la priorité était de retrouver les voies de la négociation afin de sauver le régime », estime le chercheur Bernard Hourcade, spécialiste de la République islamique. Selon lui, « les dirigeants iraniens ne voulaient pas couper les ponts avec Donald Trump, car ils savent que c'est lui qui peut arrêter la guerre avec Israël ». Via le Qatar et probablement Oman, Téhéran avait averti les États-Unis de ses tirs de missiles contre la base aérienne américaine, afin qu'il n'y ait pas de victimes. Ce fut le cas.Mardi, Israël et l'Iran ont déclaré accepter l'initiative américaine de cessez-le-feu.Tandis que les membres de l'administration Trump revendiquent une réussite totale, les questions s'accumulent sur le sort des quelque 400 kg d'uranium hautement enrichi dont disposait l'Iran. Cette question sera au centre des négociations qui devraient s'ouvrir prochainement entre l'Iran et les Occidentaux, via l'Agence internationale à l'énergie atomique (l'AIEA), dans l'espoir de tourner durablement la page de la guerre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
RETRAITES - Éric Chevée, vice-président de la CPME, est l'invité de Yves Calvi

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 8:08


Le Premier ministre François Bayrou vient de livrer ses conclusions sur le conclave des retraites, à la suite de l'ultime échange avec les partenaires sociaux mardi. Éric Chevée, vice-président de la CPME, était présent à Matignon avec ses camarades de la CFTC et de la CFE-CGC. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
RETRAITES - Éric Chevée, vice-président de la CPME, est l'invité de Yves Calvi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 8:08


Le Premier ministre François Bayrou vient de livrer ses conclusions sur le conclave des retraites, à la suite de l'ultime échange avec les partenaires sociaux mardi. Éric Chevée, vice-président de la CPME, était présent à Matignon avec ses camarades de la CFTC et de la CFE-CGC. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ecorama
François Hommeril : "La faute de l'échec du conclave sur les retraites revient au patronat !"

Ecorama

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 26:07


Alors que le conclave sur les retraites n'a pas débouché sur un accord malgré quatre mois de négociations, le premier ministre a reçu ce mardi les partenaires sociaux pour tenter de trouver une voie de passage. Comment expliquer cet échec ? François Hommeril, président de la CFE-CGC était l'invité de l'émission Ecorama du 25 juin 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

L'invité de RTL
RETRAITES - Pascale Coton, vice-présidente de la CFTC, est l'invitée de Yves Calvi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 7:15


Alors que le conclave des retraites s'est soldé par un échec, le Premier ministre s'est exprimé depuis Matignon pour annoncer qu'il allait recevoir les partenaires sociaux, pour tenter de trouver "une voie de passage". La CFDT, la CFTC et la CFE-CGC ont été reçues ce midi, puis ce sera au tour du patronat. Le PS, lui, a annoncé qu'il déposera une motion de censure contre François Bayrou. On en parle avec Pascale Coton, vice-présidente de la CFTC et négociatrice dans le conclave. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 24 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

INFORMATION LOCALE
13 MAI 2025

INFORMATION LOCALE

Play Episode Listen Later May 13, 2025 4:04


Sujets traités : Journée de mobilisation pour les personnels de la fonction publique, fonctionnaires et contractuels. A l'appel de la CGT, l'UNSA, Solidaires et la CFE-CGC, une nouvelle manifestation est organisée aujourd'hui avec des revendications similaires aux derniers rassemblements l'augmentation du point d'indice, la suppression de tout jour de carence, la suppression de la baisse de 10 % de l'indemnité du congé maladie ordinaire intervenue le 1er  mars, le rétablissement de la garantie individuelle de pouvoir d'achat, la création d'emplois et un plan massif de titularisation. Après le dernier rassemblement peu suivi du 4 avril dernier, le rendez-vous est cette fois-ci donné place Brogli à Strasbourg à 10h et devant la sous-préfecture de Mulhouse à 17h30. Des perturbations sont notamment à prévoir dans les écoles, les cantines scolaires, les accueils périscolaires et les transports publics.Dépôt sauvage de pneus aux environs de Sundhouse. C'est la découverte de ce weekend, une soixantaine de pneus ont été découverts en deux lieux. Premier dépôts d'une trentaine de pneumatiques au lieu-dit Lanzematt découvert par le président de l'association de pêche, le second a été découvert par son homologue de la société de chasse près de la digue Tulla. Marqué de peinture bleue et jaune, le Maire du village, Matthieu Klotz, soupçonne les circuits de moto-cross à proximité de s'être débarrassé de ces pneus qui devaient servir de barrière de sécurité avant leur interdiction récente. Une plainte au nom de la commune a été déposée.Une nouvelle carte touristique pour la région de Colmar. L'office de tourisme l'a annoncé, elle est à présent disponible, la nouvelle carte pensée pour tous les publics, visiteurs de passage ou habitants curieux, cette dernière met en lumière les lieux emblématiques et/ou insolites des communes de l'agglomération autour de thématiques telles que : A l'assaut des châteaux ; Chemins spirituels ; Des lieux pour se souvenir ; Pédales et sac à dos ; Terres de Grands Crus ; Paniers et traditions. Cette nouvelle carte est disponible directement à l'office de tourisme ou sur le site tourisme-colmar.com dans la rubrique “visiter - découvrir la région de Colmar”. A Colmar accident insolite hier après-midi. Alors que les travaux de l'ancien cinéma Colisée, un morceau de la grue en cours de déchargement pour être installée a chuté. D'un poids de 13 tonnes, le segment métallique a atterri sur une voiture en circulation dans la rue, endommageant l'arrière du véhicule. Bien que spectaculaire, l'accident n'a pas fait de victime. Le chemin de fer touristique du Rhin a repris du service. L'association qui depuis 1982 sauvegarde, restaure, entretient et fait circuler des trains à vapeur, en plein cœur du Ried Alsacien, a débuté sa nouvelle saison embarquez chaque week-end à bord d'un train à vapeur offrant un véritable voyage dans le temps au départ de l'ancienne gare de Volgelsheim. Pour retrouver toutes les informations et réserver, direction le site internet ried-express-cftr.frUn mot de sport également dans ce journal avec une nouvelle édition des courses du Taennchel du côté de Ribeauvillé. Hormis les distances habituelles de 11, 22 ou 33 kilomètres, de nouvelles épreuves voient le jour avec des parcours modifiés. Hubert Hirn, président de l'association sportive Ribeauvillé Athlétisme Route en dit plus. Les courses auront lieu le 1er juin. Pour prendre vos dossards, direction le site le-sportif.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 01/05 : Comment l'IA va bouleverser le monde du travail !

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later May 5, 2025 68:19


Retrouvez Clémence Houdiakova pour la matinale de Tocsin du 1er mai 2025, au sommaire aujourd'hui :2:30 Comment l'IA va bouleverser le monde du travail !

Ecorama
François Hommeril (CFE-CGC) : "Le système des retraites par répartition n'est pas foutu !"

Ecorama

Play Episode Listen Later Feb 19, 2025 18:48


Le conclave sur les retraites a-t-il une chance d'aboutir ? Que sont prêts à céder les syndicats ? Le point de vue de François Hommeril, président de la CFE-CGC, invité de l'émission Ecorama du 19 février 2025, présentée par Aude Kersulec sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Les interviews d'Inter
François Hommeril : "Si vous comptez gérer le pays en disant que vous n'avez pas le choix, faites autre chose"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Dec 24, 2024 7:56


durée : 00:07:56 - L'invité de 6h20 - Le président de la CFE-CGC est notre invité à 6h20. Il réagit notamment à la nomination du nouveau gouvernement mené par François Bayrou, dans un contexte d'instabilité économique et politique.

Lenglet-Co
TOUT SAVOIR SUR - Les chiffres du chômage risquent-ils de s'envoler ?

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Nov 24, 2024 26:25


Martial You, journaliste à RTL, se penche sur la question du chômage, dont les chiffres repartent à la hausse. Pourquoi maintenant ? Pourquoi toutes ces annonces de restructurations ? Faut-il avoir peur pour notre avenir industriel et pour nos emplois ? - François Hommeril, numéro de la CFE-CGC, - Denis Le Bosse, patron du cabinet ARC. - Benoit Serre, vice-président de l'association nationale des DRH. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

RTL Matin
TOUT SAVOIR SUR - Les chiffres du chômage risquent-ils de s'envoler ?

RTL Matin

Play Episode Listen Later Nov 24, 2024 26:25


Martial You, journaliste à RTL, se penche sur la question du chômage, dont les chiffres repartent à la hausse. Pourquoi maintenant ? Pourquoi toutes ces annonces de restructurations ? Faut-il avoir peur pour notre avenir industriel et pour nos emplois ? - François Hommeril, numéro de la CFE-CGC, - Denis Le Bosse, patron du cabinet ARC. - Benoit Serre, vice-président de l'association nationale des DRH. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

Ecorama
François Hommeril (CFE-CGC) : "L'année 2025 risque d'être terrible en matière de plans sociaux !"

Ecorama

Play Episode Listen Later Nov 19, 2024 22:03


François Hommeril, président de la CFE-CGC, était l'invité de l'émission Ecorama du 19 novembre 2024, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : les plans de licenciement, les destructions de postes et le retournement du marché de l'emploi. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

RTL Matin
TOUT SAVOIR SUR - Les chiffres du chômage risquent-ils de s'envoler ?

RTL Matin

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 26:25


Martial You, journaliste à RTL, se penche sur la question du chômage, dont les chiffres repartent à la hausse. Pourquoi maintenant ? Pourquoi toutes ces annonces de restructurations ? Faut-il avoir peur pour notre avenir industriel et pour nos emplois ? - François Hommeril, numéro de la CFE-CGC, - Denis Le Bosse, patron du cabinet ARC. - Benoit Serre, vice-président de l'association nationale des DRH. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

Le journal RTL
TOUT SAVOIR SUR - Les chiffres du chômage risquent-ils de s'envoler ?

Le journal RTL

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 26:25


Martial You, journaliste à RTL, se penche sur la question du chômage, dont les chiffres repartent à la hausse. Pourquoi maintenant ? Pourquoi toutes ces annonces de restructurations ? Faut-il avoir peur pour notre avenir industriel et pour nos emplois ? - François Hommeril, numéro de la CFE-CGC, - Denis Le Bosse, patron du cabinet ARC. - Benoit Serre, vice-président de l'association nationale des DRH. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

Focus
ÉCONOMIE - Les chiffres du chômage risquent-ils de s'envoler ?

Focus

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 26:25


Martial You, journaliste à RTL, se penche sur la question du chômage, dont les chiffres repartent à la hausse. Pourquoi maintenant ? Pourquoi toutes ces annonces de restructurations ? Faut-il avoir peur pour notre avenir industriel et pour nos emplois ? - François Hommeril, numéro de la CFE-CGC, - Denis Le Bosse, patron du cabinet ARC. - Benoit Serre, vice-président de l'association nationale des DRH. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

RTL Soir
TOUT SAVOIR SUR - Les chiffres du chômage risquent-ils de s'envoler ?

RTL Soir

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 26:25


Martial You, journaliste à RTL, se penche sur la question du chômage, dont les chiffres repartent à la hausse. Pourquoi maintenant ? Pourquoi toutes ces annonces de restructurations ? Faut-il avoir peur pour notre avenir industriel et pour nos emplois ? - François Hommeril, numéro de la CFE-CGC, - Denis Le Bosse, patron du cabinet ARC. - Benoit Serre, vice-président de l'association nationale des DRH. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

RTL Midi
TOUT SAVOIR SUR - Les chiffres du chômage risquent-ils de s'envoler ?

RTL Midi

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 26:25


Martial You, journaliste à RTL, se penche sur la question du chômage, dont les chiffres repartent à la hausse. Pourquoi maintenant ? Pourquoi toutes ces annonces de restructurations ? Faut-il avoir peur pour notre avenir industriel et pour nos emplois ? - François Hommeril, numéro de la CFE-CGC, - Denis Le Bosse, patron du cabinet ARC. - Benoit Serre, vice-président de l'association nationale des DRH. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.

Le Journal de 8h de France Bleu Occitanie
Thierry Prefol, de la CFE-CGC chez Airbus Defence and Space : "on a pris des risques, qui se sont réalisés"

Le Journal de 8h de France Bleu Occitanie

Play Episode Listen Later Oct 17, 2024 3:19


durée : 00:03:19 - Thierry Prefol, CFE-CGC Airbus Defence and Space - Le domaine du spatial va mal en ce moment, on le sait avec le plan chez Thales Alenia Space. Là, c'est son concurrent direct, Airbus Defence and Space qui annonce 2500 suppressions de postes, sur 35.000 salariés au total en Allemagne, Espagne, Royaume-Uni et la France, avec deux sites à Toulouse.

Apolline Matin
Le parti-pris : Faut-il abroger la réforme des retraites ? - 04/09

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Sep 4, 2024 6:38


Avec : François Hommeril, président de la CFE-CGC. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.

Ecorama
François Hommeril (CFE-CGC) : "Il va falloir trouver une réponse à la baisse du pouvoir d'achat !"

Ecorama

Play Episode Listen Later Jun 19, 2024 18:35


François Hommeril, président de la CFE-CGC, était l'invité de l'émission Ecorama du 19 juin 2024, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Il a notamment donné son point de vue sur la prise de position de la CGT en faveur du Nouveau Front populaire, l'instabilité politique, l'augmentation du Smic et l'abrogation de la réforme des retraites.

La matinale week-end
Le témoin RMC : François Hommeril - 26/05

La matinale week-end

Play Episode Listen Later May 26, 2024 6:13


Avec : François Hommeril, président confédéral de la CFE-CGC. - Matthieu Rouault reçoit un invité au plus proche de l'actualité et donne la parole aux auditeurs.

Histoires économiques
Pourquoi le syndicat des cadres CFE-CGC perce dans les bastions historiques de la CGT ?

Histoires économiques

Play Episode Listen Later Jan 25, 2024 2:42


durée : 00:02:42 - Histoires économiques - Le syndicat des cadres n'arrête pas de tailler des croupières à la CGT. Au point de lui passer devant dans certaines entreprises.

Ecorama
François Hommeril (CFE-CGC) : "C'est dangereux de transformer le ticket-restaurant en prime !"

Ecorama

Play Episode Listen Later Nov 16, 2023 22:45


François Hommeril, président de la CFE-CGC, était l'invité de l'émission Ecorama du 16 novembre 2023, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : la transformation des titres-restaurant en titres-repas, la hausse du chômage, la création de France Travail et les nouvelles règles d'indemnisation des chômeurs.

C dans l'air
Elisabeth Borne reconduite...faute de mieux ? - 18/07/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 18, 2023 57:41


C dans l'air du 18 juillet : Elisabeth Borne reconduite...faute de mieux ? LES EXPERTS : - HERVE GATTEGNO - Directeur de l'information – Radio classique - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef du service politique - Marianne - Corinne LHAIK - Journaliste politique – L'opinion - JEFF WITTENBERG - Journaliste politique – France télévisions Élisabeth Borne maintenue à Matignon. Emmanuel Macron a finalement décidé de conserver l'actuelle Première ministre à son poste. L'Elysée a officialisé cette décision hier soir au nom de la "stabilité". Dans la foulée, l'ancienne ministre du Travail a promis "des ajustements" au sein du gouvernement. Depuis plusieurs semaines les rumeurs concernant un remaniement bruissent dans les couloirs du pouvoir. Finalement après le dossier des retraites, l'usage du 49.3 et les "100 jours", la cheffe du gouvernement reste en place. Mais des changements vont bien être annoncés dans les prochains jours. Lesquels ? Emmanuel Macron et Élisabeth Borne peineraient à trouver un terrain d'entente. Le président de la République semble vouloir vite tourner la page et remplacer une poignée de ministres, jugés décevants. La cheffe du gouvernement plaiderait, elle, pour des changements plus vastes et pour imposer davantage sa marque. Alors que va décider l'exécutif ? Qui sont les ministres sur la sellette ? Le président de la République doit recevoir les ministres et les secrétaires d'État à l'occasion d'un dîner ce mardi soir, et s'exprimer avant son départ dimanche pour la Nouvelle-Calédonie. D'ici là, les spéculations vont bon train alors qu'une première nomination vient d'être annoncée, celle du nouveau directeur de cabinet de la Première ministre Jean-Denis Combrexelle. Ce spécialiste du Code du travail remplace depuis lundi Aurélien Rousseau, directeur de cabinet de la Première ministre qui devait quitter cette fonction au début du mois. Sa désignation quelques jours après une reprise du dialogue entre Elisabeth Borne et les syndicats pour lancer un nouvel agenda social et, selon les mots de la Première ministre, "bâtir ensemble un nouveau pacte de la vie au travail", a été accueillie plutôt favorablement du côté des partenaires sociaux. "On va voir à l'œuvre ! Au moins, il connaît les questions du travail et les organisations syndicales. A suivre donc", a commenté Denis Gravouil (CGT), tandis qu'Hubert Mongon (Medef) l'a qualifié d'"excellent connaisseur de la matière sociale, et très reconnu ». Le maintien d'Elisabeth Borne à Matignon a également été salué par le syndicat CFE-CGC : "la continuité cela a du bon" a réagi son président François Hommeril. Du côté de la classe politique, en revanche, si la majorité se félicite de voir Élisabeth Borne rester à Matignon, les formations d'opposition déplorent la poursuite de la politique menée par Emmanuel Macron jusque-là. "Emmanuel Macron n'est pas à la hauteur des enjeux. C'est une prime à l'échec", a dénoncé Laurent Jacobelli, porte-parole du RN et député de Moselle sur franceinfo. "La capacité à agir de ce gouvernement est extrêmement faible" et "je trouve le Parlement depuis le 49-3 sur les retraites plongé dans une léthargie très inquiétante" a réagi de son côté Fabien Di Filippo, député LR de Moselle. A gauche, ce maintien est jugé "logique". "Emmanuel Macron maintient Emmanuel Macron", a ironisé le député LFI de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière, pour qui "c'est la même politique qui va continuer." Mais au sein de la Nupes, ce sont surtout les dernières déclarations de Jean-Luc Mélenchon qui suscitent des remous. L'ancien candidat à l'élection présidentielle a assimilé le CRIF- Conseil représentatif des institutions juives de France - à l'extrême droite dans un tweet publié ce dimanche. "Le président du #CRIF utilise la cérémonie à la mémoire des victimes de la rafle des juifs par la police française pour me prendre à partie. Abject. L'extrême droite n'a plus de limite." Une réponse au discours de Yonathan Arfi dans lequel ce dernier l'a accusé dimanche de se "compromettre loin du pacte républicain". Alors quels changements au sein du gouvernement ? Pourquoi les personnalités issues de la société civile ont bien souvent du mal à rester longtemps au sein de l'exécutif ? Enfin quel est l'avenir de la Nupes ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le journal de 22h00
Mediator : le parquet veut confisquer l'argent gagné par les laboratoires Servier

Le journal de 22h00

Play Episode Listen Later May 31, 2023 15:03


durée : 00:15:03 - Journal de 22h - Surprise au procès en appel du scandale du Mediator : l'accusation a requis la "confiscation du bénéfice" engrangé par les laboratoires Servier avec leur médicament. Le Mediator, dont l'usage a été détourné, a provoqué la mort de centaines de personnes. - invités : François Hommeril Président de la CFE-CGC

Les journaux de France Culture
Mediator : le parquet veut confisquer l'argent gagné par les laboratoires Servier

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later May 31, 2023 15:03


durée : 00:15:03 - Journal de 22h - Surprise au procès en appel du scandale du Mediator : l'accusation a requis la "confiscation du bénéfice" engrangé par les laboratoires Servier avec leur médicament. Le Mediator, dont l'usage a été détourné, a provoqué la mort de centaines de personnes. - invités : François Hommeril Président de la CFE-CGC

Ecorama
François Hommeril (Président de la CFE-CGC) : "Emmanuel Macron n'est pas très fort pour apaiser !"

Ecorama

Play Episode Listen Later Apr 18, 2023 19:17


Au lendemain de l'allocution du Président de la République, François Hommeril, président de la CFE-CGC, était l'invité de l'émission Ecorama du 18 avril 2023, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Il a donné son point de vue sur la réforme des retraites et sa promulgation, les futures négociations sur le pacte de la vie au travail voulu par Emmanuel Macron, l'unité syndicale et la journée de mobilisation du 1er mai.

Liaisons Sociales
Réforme des retraites adoptée et contestée, accord de GEPP chez Solocal, barème Macron, François Hommeril … 3 minutes de social

Liaisons Sociales

Play Episode Listen Later Mar 24, 2023 3:45


Une nouvelle fois à la "Une" de notre podcast, la réforme des retraites est de plus en plus contestée dans la rue avec une nouvelle journée d'action de l'intersyndicale prévue le 28 mars. L'exécutif maintient lui le cap de sa réforme après le rejet des motions de censure. On évoque aussi dans ce podcast l'accord triennal sur la gestion des emplois et des parcours professionnels (GEPP) et la formation signé chez Solocal (ex-Pages Jaunes). On reparle du barème Macron avec un focus sur une décision de la Cour d'appel de Grenoble, qui, dans une décision du 16 mars, a refusé de s'y conformer. Enfin, nous revenons en chiffre sur l'élection de François Hommeril, reconduit le 22 mars pour un troisième mandat de trois ans à la présidence de la CFE-CGC.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ecorama
François Hommeril (Président de la CFE-CGC) : "Oui, on doit interdire les rachats d'actions !"

Ecorama

Play Episode Listen Later Feb 27, 2023 17:46


Réforme des retraites, impact sur les cadres, journée d'action du 7 mars : François Hommeril, président de la CFE-CGC, principal syndicat des cadres, était l'invité de l'émission Ecorama du 27 février 2023, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com

En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
François Hommeril, président confédéral de la CFE-CGC – Le Barbier du matin

En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier

Play Episode Listen Later Feb 9, 2023 11:51


Christophe Barbier reçoit François Hommeril, président confédéral de la CFE-CGC

Le Nouvel Esprit Public
Retraites : une réforme mal accueillie / La relation franco-allemande

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jan 22, 2023 60:01


N°281 / 22 janvier 2023Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 janvier 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.RETRAITES : UNE RÉFORME MAL ACCUEILLIELe 10 janvier, la Première ministre a présenté les différentes mesures de sa refonte controversée du régime de retraites. Le recul de l'âge légal de départ de 62 ans actuellement, à 64 ans d'ici à 2030 sera couplé à un allongement de la durée de cotisation, qui interviendra plus rapidement que prévu : il faudra avoir cotisé quarante-trois ans dès 2027 au lieu de 2035 pour obtenir une pension de retraite à taux plein. Ce nouveau système actera par ailleurs « l'extinction des principaux régimes spéciaux ». Le minimum de pension sera relevé à 85 % du smic net, « soit près de 1 200 euros par mois dès cette année », pour les futurs retraités ayant une carrière complète, mais aussi pour ceux d'aujourd'hui. Un dispositif « carrières longues » sera préservé. Afin de favoriser le maintien au travail des seniors, le gouvernement veut créer un « index seniors ». Concernant le facteur pénibilité, les trois critères abandonnés en 2017 (port de charges lourdes, postures pénibles et vibrations mécaniques) devraient être réintégrés, sous réserve d'un examen médical. Les périodes de congés parentaux seraient désormais prises en compte. Selon le ministre de l'Économie, la réforme des retraites pourrait rapporter 17,7 milliards d'euros aux caisses des retraites d'ici à 2030 et pourrait créer 100.000 emplois d'ici à 2025. Selon ces calculs, l'exécutif disposera d'une cagnotte de 4,2 milliards d'euros pour financer des mesures d'accompagnement, dont quelque 3,1 milliards d'euros serviront à financer les départs en retraite anticipés pour inaptitude ou invalidité.Plus de deux tiers des Français (68 %) sont défavorables au report de l'âge légal, même à 64 ans, selon un sondage IFOP pour Fiducial. Dès l'annonce du plan, les dirigeants des huit grands syndicats (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, Solidaires et FSU) ont appelé avec succès à une première journée de grève et de manifestation le 19 janvier. Les organisations syndicales sont opposées à tout relèvement de l'âge légal, estimant qu'il affecterait surtout les plus modestes, qui ont commencé à travailler tôt et ont déjà leurs trimestres à 62 ans. La droite, qui avait affirmé être prête « à soutenir une réforme » des retraites, à « quelques conditions », s'est dite « satisfaite d'avoir été entendue » par le gouvernement, notamment quant à la chronologie du report de l'âge de départ à la retraite et à la revalorisation des petites pensions. Le syndicat patronal Medef a salué « les décisions pragmatiques et responsables » tout en se disant « opposé au principe d'un index seniors ». Pour le leader de La France insoumise « la réforme Macron-Borne, c'est une grave régression sociale », tandis que le premier secrétaire du Parti communiste français a dénoncé un « projet brutal de recul de l'âge de départ en retraite ». La présidente du Rassemblement national a fait part de sa « détermination pour faire barrage » à la réforme « injuste » des retraites présentée par la Première ministre.***LA RELATION FRANCO-ALLEMANDE Ce dimanche à Paris, on célèbre le 60e anniversaire du Traité de l'Elysée, colonne vertébrale de la relation franco-allemande, signé le 22 janvier 1963 par le Général de Gaulle et le Chancelier Konrad Adenauer pour sceller officiellement la réconciliation entre les deux pays. Cérémonie à la Sorbonne ce matin, suivie d'un Conseil des ministres franco-allemand à l'Élysée. Celui-là même qui avait été reporté fin octobre sur fond de dissensions bilatérales, et de glissement du cœur de l'Europe vers l'Est avec la guerre en Ukraine qui bouleverse l'équilibre du moteur franco-allemand.Les motifs d'incompréhension, voire de discorde, sont apparus depuis qu'Olaf Scholz a succédé à Angela Merkel en décembre 2021, notamment sur le prix du gaz, le nucléaire, le Système de combat aérien futur ou la défense antimissile européenne - pour laquelle Berlin prône une solution concurrente de celle de Paris. Emmanuel Macron n'a pas apprécié d'avoir été écarté de la visite du chancelier allemand à Pékin, le 4 novembre. Il n'a pas non plus été informé à l'avance de la mise en place d'un plan d'aide allemand de 200 milliards d'euros pour compenser la crise énergétique. Olaf Scholz reproche au président français d'avoir tué dans l'œuf le projet de gazoduc MidCat (Midi-Catalogne), soutenu par Berlin. En matière d'énergie, l'Allemagne a choisi une politique de transition vers le tout renouvelable, couplée au gaz, tandis que la stratégie française repose sur le nucléaire qu'Emmanuel Macron veut renforcer avec de nouveaux EPR. En août, à Prague, le chancelier a dessiné sa vision de l'Europe, comprenant de nombreux points de convergence avec celle d'Emmanuel Macron, mais sans mentionner une seule fois l'axe franco-allemand. Derniers incidents en date : Emmanuel Macron a annoncé la livraison de chars de combat légers à l'Ukraine le 4 janvier, sans crier gare, conduisant Berlin et Washington à sortir du bois avec la même annonce le lendemain, puis le 17 janvier, à Davos, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a détaillé la réponse de la Commission européenne à l'Inflation Reduction Act (IRA) américain, avec notamment la création d'un fonds commun pour soutenir les industries vertes et un assouplissement temporaire du cadre des aides d'Etat. Une solution défendue par Paris, mais critiquée par Berlin.Afin de rapprocher les points de vue, après Olaf Scholz, les partenaires de la coalition allemande ont été conviés pour la première fois à l'Élysée et Élisabeth Borne a pris le chemin de Berlin le 25 novembre. Un groupe de quelques Françaises et Français, dont le diplomate Maurice Gourdault-Montagne, et notre ami Matthias Fekl, a pris l'initiative de créer une Académie franco-allemande de Paris, comme il existe une Académie de Berlin depuis 2006.Il se murmure que le travail entamé à Paris en janvier pourrait aboutir à une visite d'État du président français en Allemagne l'été prochain.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

L'oeil de...
Grève : "Macron prend l'avion, un double bras d'honneur aux manifestants et aux écolos"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Jan 19, 2023 6:21


Philippe Caverivière était ce matin face à François Hommeril, Président de la CFE-CGC et a évoqué la réforme des retraites.

L'invité de RTL
Réforme des retraites : François Hommeril, président de la CFE-CGC, et Pierre Cazeneuve, député Renaissance, sont les invités de RTL

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jan 12, 2023 8:07


Quel impact la réforme des retraites portée par le gouvernement aura-t-elle sur l'emploi des seniors ? François Hommeril, président du syndicat de l'encadrement CFE-CGC et Pierre Cazeneuve, député Renaissance des Hauts-de-Seine, en débattent sur RTL. Ecoutez Le débat avec Yves Calvi et Amandine Bégot du 12 janvier 2023

Le journal de 22h00
Le gouvernement annonce la retraite à 64 ans, les syndicats se mobilisent

Le journal de 22h00

Play Episode Listen Later Jan 10, 2023 15:13


durée : 00:15:13 - Journal de 22h - A partir de 2030, l'âge légal de départ à la retraite passera à 64 ans. Et dès 2027, il faudra avoir cotisé 43 ans pour partir avec le taux plein. Les syndicats unanimes rejettent le texte. Ils appellent à une première journée d'action le 19 janvier avec le soutien de toute la gauche. - invités : François Hommeril Président de la CFE-CGC

Le journal de 22h00
Les syndicats réformistes prêts à se mobiliser contre la réforme des retraites

Le journal de 22h00

Play Episode Listen Later Jan 3, 2023 15:02


durée : 00:15:02 - Journal de 22h - Laurent Berger, le patron de la CFDT, et François Hommeril, son homologue de la CFE-CGC, sont ressortis déçus de leur rencontre avec Elisabeth Borne. La Première ministre reste déterminée à repousser l'âge de départ à 64 ou 65 ans. Les deux leaders syndicaux refusent toute mesure d'âge. - invités : Niagalé Bagayoko Docteure en science politique, diplômée de l'Institut d'Études Politiques (IEP) de Paris et spécialiste des politiques internationales de sécurité et de la réforme des systèmes de sécurité en Afrique de l'Ouest

Les journaux de France Culture
Les syndicats réformistes prêts à se mobiliser contre la réforme des retraites

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jan 3, 2023 15:02


durée : 00:15:02 - Journal de 22h - Laurent Berger, le patron de la CFDT, et François Hommeril, son homologue de la CFE-CGC, sont ressortis déçus de leur rencontre avec Elisabeth Borne. La Première ministre reste déterminée à repousser l'âge de départ à 64 ou 65 ans. Les deux leaders syndicaux refusent toute mesure d'âge. - invités : Niagalé Bagayoko Docteure en science politique, diplômée de l'Institut d'Études Politiques (IEP) de Paris et spécialiste des politiques internationales de sécurité et de la réforme des systèmes de sécurité en Afrique de l'Ouest

Le sept neuf
Projet de décret de l'assurance chômage : "Je n'en pense pas beaucoup de bien", dit François Hommeril

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Dec 26, 2022 24:44


durée : 00:24:44 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - François Hommeril, président de CFE-CGC et Catherine Guerniou, dirigeante de La Fenetrière, membre du CESE et de la direction de la CPME, réagissent nouveau décret de la réforme de l'assurance chômage qui prévoit de durcir les règles.

Les interviews d'Inter
Projet de décret de l'assurance chômage : "Je n'en pense pas beaucoup de bien", dit François Hommeril

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Dec 26, 2022 24:44


durée : 00:24:44 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - François Hommeril, président de CFE-CGC et Catherine Guerniou, dirigeante de La Fenetrière, membre du CESE et de la direction de la CPME, réagissent nouveau décret de la réforme de l'assurance chômage qui prévoit de durcir les règles.

C dans l'air
RETRAITES, GRÈVES, INFLATION : UN NOËL SOUS TENSION ! – 09/12/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 9, 2022 63:16


EXPERTS THOMAS PORCHER Économiste Auteur de « Mon dictionnaire d'économie » FANNY GUINOCHET Éditorialiste – « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste – « l'Opinion » Spécialiste des questions économiques EMMANUEL DUTEIL Directeur de la rédaction – « L'Usine Nouvelle » Le détail de la réforme des retraites qui sera présentée le 15 décembre prochain se précise. Après une longue interview d'Élisabeth Borne la semaine dernière dans le Parisien, Emmanuel Macron a réuni les poids lourds de la majorité mercredi soir à l'Elysée et confirmé le report de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 65 ans. Le chef de l'état a également évoqué la possibilité de faire passer la réforme des retraites par un projet de loi de finances de la Sécurité sociale rectificative (PLFSSR) et non par un projet de loi ad hoc. Si le véhicule législatif pour faire voter ce texte semble très technique, il a toute son importance. Le temps de débat pour un PLFSSR est très encadré, ce qui permettrait à l'exécutif d'éviter de voir s'enliser le texte et de donner longtemps du carburant à d'éventuelles manifestations. D'autre part le gouvernement peut recourir à nouveau à un 49.3 sur ce texte financier, et faire l'économie de son unique cartouche du 49.3 disponible sur les autres textes de loi de la session parlementaire. Mais cette méthode risque de tendre encore plus les oppositions qui souhaitent un long débat sur le sujet. D'ailleurs, dès le lendemain, les échanges entre la Première ministre et les leaders syndicaux ont été qualifiés de « tendus ». Tous ont réaffirmé leur opposition au relèvement de l'âge légal de départ en retraite et rappelé qu'ils étaient prêts à mobiliser dans la rue dès janvier. « Ils sont obstinés, je pèse mes mots, à dire qu'il faut travailler jusqu'à 65 ans », a dénoncé Philippe Martinez à la sortie de son entretien. « Tout report de l'âge légal de départ en retraite fera que la CFDT sera en intersyndicale pour se mobiliser », a répété Laurent Berger. « La messe est dite, Emmanuel Macron veut aller à l'affrontement », a déclaré de son côté François Hommeril, le président de la CFE-CGC. Lancée début octobre, la concertation entre l'exécutif et les partenaires sociaux sur la réforme touche à sa fin. La Première ministre doit présenter la semaine prochaine le texte qui sera, ensuite, soumis au Conseil d'État, puis présenté en Conseil des ministres début 2023, avant des débats à l'Assemblée nationale et au Sénat dans la foulée. Et les discussions au Palais-Bourbon promettent d'être orageuses. Le RN et la Nupes préparent déjà leurs munitions s'appuyant sur les sondages qui montrent que huit Français sur dix sont opposés à cette réforme des retraites. Alors que dans la majorité, la colère gronde. De nombreux députés du camp présidentiel réclament voix au chapitre et s'inquiètent d'un passage en force. D'autant que le climat économique et social, marqué par l'inflation, la crise de l'énergie, les éventuelles coupures d'électricité et l'augmentation des faillites des entreprises, est déjà tendu. Contenu, méthode, calendrier…que sait-on de la réforme des retraites ? Que préparent les syndicats ? Et pourquoi les faillites des entreprises sont-elles en hausse ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
CDLA L'INVITÉ – DAVID LISNARD – 18/10/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 18, 2022 11:47


INFLATION, SÉCURITÉ : LES MAIRES EN 1re LIGNE – 18/10/22 DAVID LISNARD Maire LR de Cannes Président de l'Association des maires de France David Lisnard, maire de Cannes et président de l'AMF, vient d'entamer un tour de France qui s'apparente à une prise de température. Chaque semaine, il se rendra dans deux départements français et rencontrera tous les maires. L'objectif de ces visites est de répertorier les problèmes encourus par les départements, mais aussi et surtout de parler du problème des finances locales ainsi que la crise de la sobriété énergétique qui se répercute inévitablement sur tous les ménages français. Pour David Lisnard, interrogé par Nice Matin le 13 octobre, “La seule solution pérenne, c'est de rendre des marges de manœuvre aux communes” (...) “Les maires sont excédés par le décalage constant entre les discours et les actes. Nos administrations ont été dévitalisées” Dans le même temps, les contestations sociales se multiplient. Le bras de fer entre la TotalEnergies et la CGT se poursuit. Alors qu'un accord a été trouvé par la direction du groupe pétrolier avec la CFE-CGC et la CFDT, la CGT, en désaccord, a appelé à une journée de mobilisation interprofessionnelle ce mardi 18 octobre. Près de 200 rassemblements sont prévus aujourd'hui dans toute la France pour défendre le droit de grève, bafoué selon les syndicats par les réquisitions de personnels dans les raffineries et obtenir des hausses de salaires dans de nombreux secteurs. Le gouvernement craint donc que cette journée soit le point de départ d'une contestation plus importante encore, avec en toile de fond le souvenir des Gilets jaunes. Pour Gabriel Attal, le ministre des Comptes publics, les syndicats et partis d'opposition cherchent avant tout à bloquer le pays. "Il y a une politisation et un souhait d'instrumentalisation de la part de formations politiques qui, elles, souhaiteraient que le pays soit bloqué. Il y a une 'CGTisation' du débat politique avec des formations politiques, notamment la France Insoumise, qui voudraient que le pays soit bloqué", a insisté le ministre dans le Grand Rendez-vous codiffusé sur Europe 1 dimanche. David Lisnard reviendra avec Caroline Roux sur le tour du France qu'il a entamé et sur le climat social du moment.

C dans l'air
CDLA L'INVITÉ – JEAN-LOUIS SCHILANSKY - 14/10/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 14, 2022 10:30


JEAN-LOUIS SCHILANSKY Ancien président de l'Union Française des Industries Pétrolières Depuis trois semaines, les salariés des raffineries de Total et d'Esso sont en grève pour réclamer de meilleurs salaires, entraînant des pénuries de carburants dans tout le pays. Un tiers des stations-service sont affectées par ce mouvement. Les représentants de la CFDT et de la CFE-CGC sont sortis du siège de TotalEnergies cette nuit et ont annoncé qu'ils étaient favorables à la dernière proposition de la direction : 7 % d'augmentation de salaire et 3 000 à 6 000 euros de prime. Les négociateurs de la CGT, eux, avaient refusé l'offre et étaient partis plus tôt. Jean-Louis Schilansky, ancien président de l'Union Française des Industries Pétrolières, a affirmé n'avoir « jamais vu une situation aussi tendue ». Selon lui, l'aide de l'État de 30 centimes par litre de carburant, accompagnée par une ristourne de 20 centimes dans les stations TotalEnergies a été « l'étincelle », puisque les automobilistes se sont jetés sur ces stations En déplacement à Agen, la Première ministre Elisabeth Borne note des « signes d'amélioration sur certains sites où l'expédition des carburants vers les stations-service a repris ». A ce jour, 4 raffineries sur 7 sont à l'arrêt. Jean-Louis Schilansky reviendra sur ces 4 sites pétroliers qui paralysent le pays et interrogent sur sa vulnérabilité.

C dans l'air
PÉNURIE, BLOCAGES… ET GRÈVE GÉNÉRALE ? – 14/10/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 14, 2022 63:22


EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste - « l'Opinion » Spécialiste des questions économiques ERWAN BENEZET Journaliste en charge de l'énergie « Le Parisien - Aujourd'hui en France » La CFE-CGC et la CFDT disent oui, la CGT répond non. A l'issue d'une nuit de négociations un accord a été signé par les deux syndicats majoritaires de TotalEnergies mais pas par les grévistes. Le compromis trouvé prévoit d'après le groupe pétrolier une augmentation des salaires de 7 % et une prime allant de 3 000 à 6 000 euros. « Mascarade » rétorque la CGT qui a quitté les discussions à 2 heures du matin. Les propositions sur la table, 5 % de hausse des salaires fixes plus les traditionnelles mesures annuelles liées aux performances, « sont largement insuffisantes ». « C'est en dessous de l'inflation c'est-à-dire que Total Energies refuse à minima de couvrir l'inflation » a déclaré Alexis Antonioli, secrétaire général CGT de la plateforme TotalEnergies Normandie. « Nous, on demande 10 % », une hausse correspondant à « l'inflation plus le partage des richesses, puisque Total se porte bien et que les actionnaires ont été servis depuis longtemps », a souligné le leader cégétiste, Philippe Martinez, ce vendredi sur France Info. « Pour le moment, 5 % c'est loin de 10 % (…) Les salariés n'acceptent pas la proposition de la direction, il faut renégocier », a-t-il ajouté. « On a un patronat qui a décidé de garder tous les bénéfices pour lui. Si Total ne partage pas, personne ne partagera », a estimé de son côté le secrétaire CGT du comité européen TotalEnergies avant d'appeler à « une réaction globale. (...) il faut maintenant appeler à l'indexation des salaires sur l'inflation » en France. Le syndicat FO souhaite lui aussi que la hausse des salaires compense au moins l'inflation actuelle qui est à 6,8 %. En attendant, si dans les deux raffineries Exxon-Mobil les grévistes ont voté la reprise du travail, sur les sites Total Energies il n'est pour l'instant pas question d'arrêter le mouvement. Désormais la CGT a la grève interprofessionnelle de mardi prochain en ligne de mire et appelle à élargir partout le mouvement. Dans plusieurs secteurs, SNCF, RATP, fonction publique, les appels à la grève sont lancés quand chez EDF le mouvement débuté depuis plusieurs jours se prolonge et paralyse les travaux de maintenance dans huit réacteurs nucléaires. Un nouveau risque pour EDF qui manque cruellement de marges de manœuvre pour répondre à la demande d'électricité cet hiver. Alors que prévoit l'accord signé par la CFE-CGC et la CFDT ? Que se passe-t-il dans les centrales nucléaires d'EDF ? Se dirige-t-on vers une grève générale ? Comment sortir de la crise ? Faut-il une indexation des salaires sur l'inflation ? Pouyanné ? Pourquoi six ONG ont assigné le groupe pétrolier en justice pour son projet d'oléoduc en Tanzanie et en Ouganda ? Enfin Berlin vient de confirmer que l'Allemagne va entrer en récession en 2023. Quelle est la situation dans le pays ? Quelles conséquences en Europe ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le journal RTL
RTL EVENEMENT - SNCF, RATP... Va-t-on vers une grève générale ?

Le journal RTL

Play Episode Listen Later Oct 14, 2022 2:51


À l'appel du premier syndicat à la SNCF, la CGT cheminots, et de SUD-Rail, une grève aura lieu mardi 18 octobre sur les rails. La mobilisation est reconductible, les salariés grévistes décideront ainsi chaque jour de la poursuivre ou non lors d'une assemblée générale. Après les grèves annoncées dans les raffineries et à la SNCF, d'autres branches rejoignent le mouvement. La CGT RATP a aussi appelé à cesser le travail mardi, ce qui pourrait fortement perturber les transports en commun parisiens selon l'intensité du mouvement. La CGT commerce et services, qui rassemble les hôtesses de caisse, les agents de sécurité ou encore le personnel de la petite enfance, a quant à elle appelé à une mobilisation dès ce vendredi 14 octobre. Force ouvrière, Solidaires et FSU ont indiqué jeudi soir qu'ils allaient se joindre à la journée de mobilisation interprofessionnelle mardi, aux côtés de la CGT. La CFDT et la CFE-CGC n'ont quant à elles pas appelé à la grève.

C dans l'air
CARBURANT : ÉLISABETH BORNE ORDONNE LA RÉQUISITION ! – 11/10/22

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 11, 2022 64:44


EXPERTS DOMINIQUE SEUX Directeur délégué de la rédaction - « Les Echos » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales MATHIEU PLANE Économiste - OFCE Observatoire Français des Conjonctures Économiques La pénurie de carburants se poursuit. La CGT et la direction de TotalEnergies n'ont toujours pas ouvert de négociations sur une hausse des salaires, après près de deux semaines de grève qui provoquent des difficultés d'approvisionnement dans presque un tiers des stations-service de France. Une situation tendue qui affecte l'ensemble du territoire à l'exception de la Bretagne et de l'Aquitaine et pousse l'exécutif à durcir le ton. En déplacement en Mayenne, Emmanuel Macron a appelé lundi les directions des groupes pétroliers et les syndicats à « la responsabilité », en soulignant que « le blocage » des dépôts de carburant n'était « pas une façon de négocier ». Le ministre de l'Economie et des Finances a lui demandé ce mardi à un déblocage rapide des raffineries et dépôts de carburants. « Le timing se chiffre plutôt en termes d'heures, à la limite de jours, que de semaines parce que ça n'a que trop duré ». Mais dans le cas contraire, il est possible de « débloquer, d'ouvrir l'accès aux centres de dépôt et raffineries et de réquisitionner le personnel adéquat », a prévenu le porte-parole du gouvernement Olivier Véran. Toutefois, le gouvernement veut d'abord miser sur de fructueuses négociations. Chez ExxonMobil-Esso, les syndicats CFDT et la CFE/CGC ont décidé hier soir de signer l'accord mis sur la table par la direction. Mais la grève a été reconduite ce mardi à l'appel de la CGT et de FO, selon qui la proposition formulée par la direction consiste essentiellement en une prime, et non une hausse des salaires. Du côté de TotalEnergies, la direction a proposé dimanche d'avancer les négociations salariales prévues en novembre au mois d'octobre (sans date précise), à condition que les raffineries et dépôts actuellement bloqués reprennent le travail. Un « chantage » a répondu le syndicat lundi, avant d'annoncer la reconduction du mouvement jusqu'à mardi. Mais cette situation de blocage inquiète désormais jusqu'au sommet de l'État. D'autant que ce mouvement social intervient alors qu'à l'Assemblée nationale débute ce lundi l'examen du projet de budget 2023 dont le premier volet, consacré aux recettes, donne lieu depuis des semaines à de vifs échanges autour notamment de l'instauration d'une taxe sur les « superprofits ». Le bras de fer s'engage et le gouvernement se prépare à faire adopter ce texte sans vote en cas de « blocage » via le 49.3. Un « passage en force » dénoncé d'avance par les oppositions. « Le débat doit avoir lieu », a ainsi martelé le président de la commission des Finances, l'insoumis Eric Coquerel, en dénonçant « la plus grande austérité de la Ve République ». Et la bataille pourrait se poursuivre ce week-end dans la rue : la coalition de gauche appelle à une « marche contre la vie chère et l'inaction climatique » ce dimanche 16 octobre à Paris. Alors l'Etat doit-il intervenir pour remédier à la pénurie de carburant ? Comment ? Que prévoit le budget 2023 examiné actuellement à l'Assemblée ? Les grands groupes français contribuent-ils assez à la solidarité nationale ? Quelles aides pour les ménages et notamment pour les jeunes particulièrement impactés par l'inflation ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le Nouvel Esprit Public
Refondation nécessaire ? Concertation possible ? / Tensions à Taïwan / n°262 / 11 septembre 2022

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Sep 11, 2022 61:28


Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 9 septembre 2022.Avec cette semaine :Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. REFONDATION NÉCESSAIRE ? CONCERTATION POSSIBLE ?Le président de la République a lancé jeudi, à Marcoussis dans l'Essonne, le Conseil national de la refondation (CNR), symbole de sa « nouvelle méthode » : le dialogue. Selon l'Élysée, « il s'agit de revivifier notre démocratie et faire face à d'immenses défis », de « recréer la confiance ». Le Haut-Commissaire au Plan et principal allié de LREM François Bayrou (MoDem) en est le secrétaire général. Parmi les thèmes abordés figurent le plein emploi, l'école, la santé, le bien-vieillir et la transition écologique. Destiné à réunir acteurs politiques, syndicats, associations et citoyens pour réfléchir aux grands sujets du moment, le CNR est qualifié de « bidule macroniste » par Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat, d'« objet politique non identifié », par le sénateur socialiste Patrick Kanner ou de « saison 2 du bla-bla » par le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon. De LR au Rassemblement national en passant par les Verts, les « insoumis », les socialistes et les communistes, tous ont fait savoir qu'ils boycotteraient les discussions. Même l'ancien Premier ministre, Edouard Philippe sera absent. Le président (LR) du Sénat, Gérard Larcher redoute que le CNR ne vise à contourner le Parlement. D'autres soulignent une instance à faible valeur ajoutée au regard du Conseil économique, social et environnemental (CESE). Même si l'Élysée martèle qu'« il s'agit d'une méthode de concertation, et non d'une nouvelle structure ou institution ». En revanche, les principales associations d'élus ont finalement accepté de participer à son lancement après avoir obtenu des réunions régulières avec Emmanuel Macron. Le Medef, La CFDT, la CFE-CGC et la CFTC ont également répondu à l'invitation.L'idée, de ce CNR avait été lancée par Emmanuel Macron juste avant les élections législatives de juin dernier. Le « clin d'œil » au Conseil national de la résistance est assumé. Fondé par Jean Moulin en 1943, il avait adopté en 1944 un programme pour relever la France anéantie par l'occupation nazie. Un programme qui dessinait notamment les contours de l'État-providence. Regroupant tous les mouvements politiques de la Résistance intérieure, ce fut un moment rare d'union nationale avant que la politique et ses divisions ne reprenne ses droits en 1947. « Nous vivons un temps comparable, a assuré Emmanuel Macron. Nous sommes dans une ère historique qui impose de changer profondément de modèle et puis la guerre est là ».La journée de jeudi a démarré par un état de la situation du pays : une présentation des finances publiques par Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, de l'économie par François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, et des enjeux climatiques par Corinne Le Quéré, présidente du Haut Conseil pour le climat. Pour François Bayrou « ce qui est en jeu, c'est notre vie pour les années qui viennent et nos raisons de vivre pour les années qui viennent ».***TENSIONS À TAÏWANLa tension est montée d'un cran début août, après à la visite à Taïwan de la présidente américaine de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi. En représailles, l'armée chinoise a lancé d'importantes manœuvres militaires, allant jusqu'à simuler un blocus de Taïwan. Le Parti communiste chinois s'insurge contre toute action diplomatique susceptible de conférer une légitimité à Taïwan et réagit avec une agressivité croissante aux visites de responsables occidentaux.L'élection à Taïwan, en 2016, de la démocrate Tsai Ing-wen plus souverainiste que son prédécesseur du Kouomintang traditionnellement ouvert à la Chine, a grandement mécontenté le président chinois Xi Jing Ping. Selon le dernier sondage d'opinion réalisé en juin 2022, seul 2% de la population taïwanaise est favorable à une réunification de l'île et du continent. Xi Jing Ping doit soigner sa stature d'homme fort avant le 20ème Congrès du PCC à l'automne et une session plénière de l'Assemblée nationale populaire en 2023 où il devrait briguer un troisième mandat présidentiel de cinq ans. Selon lui, l'« unification » avec Taïwan est une priorité qui « ne peut être laissée aux générations futures ». Le 10 août, Pékin a publié un Livre blanc consacré à Taïwan, le premier depuis 2000, et « le plus ferme jamais écrit » contre l'indépendance de l'île, d'après le journal nationaliste pékinois Huanqiu Shibao. Le spectre d'un conflit armé opposant Pékin et Taipei plane sur le détroit de Formose depuis 70 ans, lorsque les troupes nationalistes du Kuomintang se sont installées sur l'île, fuyant l'avancée des communistes de Mao.En 2022, Taïwan a porté son budget militaire à un niveau record, près de 15 milliards de dollars, mais selon le think-tank américain Council on Foreign Relations, « les dépenses de la Chine seraient environ vingt-deux fois supérieures à celles de Taïwan ». L'armée chinoise, l'Armée populaire de libération compte plus de deux millions d'hommes et de femmes d'active, dont près d'un million rattachés à l'armée de terre, à quoi s'ajoutent 500.000 paramilitaires mobilisables et 500.000 réservistes. En comparaison, l'armée taïwanaise aligne 169.000 militaires d'active, mais peut compter sur près de 1,66 million de réservistes, selon le rapport 2022 de l'International Institute for Strategic Studies. Début septembre, la Chine a demandé aux Etats-Unis de renoncer « immédiatement » à la vente, pour 1,1 milliard de dollars d'armes à Taïwan menaçant dans le cas contraire de prendre des « contre-mesures ».Traditionnellement, les Etats-Unis avaient adopté une position d'« ambiguïté stratégique » consistant à ne pas dire clairement s'ils défendraient Taïwan en cas d'attaque chinoise. Mais depuis deux ans le président Joe Biden a affirmé à plusieurs reprises que son pays défendrait l'île si la Chine l'attaquait.Le piège de Thucydide, qui veut qu'une puissance dominante soit souvent poussée à entrer en guerre avec une puissance émergente, va-t-il se refermer sur les Etats-Unis et la Chine ?Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

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CDLA L'INVITÉ - BRUNO RETAILLEAU - 08/09/22

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Play Episode Listen Later Sep 8, 2022 10:37


CNR : LA DROITE REFUSE DE DÉBATTRE ? - 08/09/22 BRUNO RETAILLEAU Président du groupe LR au Sénat « Les absents ont toujours tort », a déclaré le chef de l'Etat en ouvrant le Conseil national de la refondation ce jeudi matin. Symbole d'une « nouvelle méthode », le CNR, supervisé par la Première ministre, doit se décliner en chantiers thématiques et territoriaux pour évoquer la santé, l'éducation, le travail, le climat ou encore l'autonomie. Mais l'initiative est critiquée par certains de ceux qui y étaient conviés et qui craignent que le CNR ne contourne le Parlement. Si la CFDT a bien accepté de s'y rendre, la CGT et le CFE-CGC ont refusé. Et du côté des partis d'opposition, c'est un non net et massif. Caroline Roux reviendra avec Bruno Retailleau sur le CNR, qu'il estime être « un bidule macronien » et sur sa candiature à la présidence du parti Les Républicains.

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CRISE DES HÔPITAUX : NOTRE SANTÉ EN DANGER ? – 07/06/22

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Play Episode Listen Later Jun 7, 2022 64:40


CRISE DES HÔPITAUX : NOTRE SANTÉ EN DANGER ? – 07/06/22 Invités NICOLAS BOUZOU Économiste – Directeur du cabinet de conseil Asterès SOPHIE FAY Journaliste au service Économie - « L'Obs » Chroniqueuse - « France Inter » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » FRANÇOIS ECALLE Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes Président de « Fipeco.fr » Des milliers de postes sont à pouvoir aujourd'hui dans les hôpitaux. Infirmières, aides-soignantes, médecins et cadres, les forces vives de la santé le sont de moins en moins. Essorés par le Covid-19, déçus par le «Ségur», inquiets pour l'été, neuf syndicats (dont CGT, SUD et CFE-CGC) et collectifs (dont Inter-Hôpitaux et Inter-Urgences) ont appelé les blouses blanches à manifester ce mardi, avant de devoir, selon eux, « compter les morts » faute de moyens pour soigner les malades. Les personnels de santé sont donc dans la rue aujourd'hui pour réclamer des hausses de salaires et d'effectifs sans attendre les conclusions d'ici fin juin de la mission commandée par Emmanuel Macron pour soutenir les urgences cet été. Un délai justifié afin de « regarder service d'urgence par service d'urgence et Samu par Samu, territoire par territoire où il y a des besoins », a expliqué le chef de l'Etat dans un entretien à la presse régionale vendredi, promettant de « prendre des décisions d'urgence dès juillet ». Mais pour l'urgentiste Christophe Prudhomme, de la CGT-Santé, ce calendrier revient à « repousser les décisions après les législatives » des 12 et 19 juin, alors que le système de santé est déjà « en situation de catastrophe ». Faute de soignants, au moins 120 services d'urgences hospitalières ont été contraints de ralentir leur activité ou de fermer au cours des dernières semaines. La situation est critique et pourrait encore s'aggraver en raison des vacances estivales. Alors comment répondre à l'urgence des urgences ? Quelles solutions pour résoudre la crise de l'hôpital ? Et que se passe-t-il à l'école ? Si l'hôpital est en souffrance face au manque de personnel, un autre service public inquiète : l'éducation nationale. Les syndicats alertent sur « une crise inédite du recrutement » des enseignants, et dans certaines académies, comme à Versailles où 1 430 postes sont à pourvoir, le rectorat a décidé de recruter ses futurs professeurs contractuels grâce à un « job dating ». Une première dans l'Education nationale qui suscite de nombreux remous. Pour le président du SNALC (Syndicat national des lycées et collèges) « c'est le signe d'une dévalorisation générale de certaines fonctions pourtant essentielles à la société : la fonction d'éducation, la fonction de soin ». Alors faut-il craindre une pénurie de professeurs à la rentrée prochaine ? Comment les fermetures de classes sont-elles décidées ? Pourquoi la fonction publique a-t-elle du mal à recruter ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Good Morning Business
François Hommeril, président de la CFE-CGC - 26/04

Good Morning Business

Play Episode Listen Later Apr 26, 2022 10:25


François Hommeril, président de la CFE-CGC, était l'invité de Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mardi 26 avril. Il s'est penché sur ce qu'il attend d'Emmanuel Macron durant ce nouveau quinquennat, notamment sur le plan social, ainsi que sur la conférence sociale avec le président à la rentrée, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Good Morning Business
L'intégrale de Good Morning Business du mardi 26 avril

Good Morning Business

Play Episode Listen Later Apr 26, 2022 148:33


Ce mardi 26 avril, Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn ont reçu Thierry Demonfort, président et fondateur de Demonfort Airborne Engineering, Raphaël Bloch, cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, Philippe Eyraud, PDG de Mixel, et François Hommeril, président de la CFE-CGC, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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