Podcasts about ironie

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Chronique des Matières Premières
Le pétrole canadien, toujours sale, mais à nouveau tendance

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 2:05


Oublié par les investisseurs pendant un temps, le pétrole extrait des sables bitumineux canadiens redevient attractif. Ottawa entend en profiter pour augmenter ses exportations vers l'Asie.    Aux États-Unis, l'incertitude gagne l'industrie du pétrole de schiste. Pompés sans relâche depuis les années 2010, les champs américains ont besoin de nouveaux investissements pour maintenir leur production. Et avec un baril de brut, tournant autour de 60 dollars, les marges des compagnies sont sous pression. Ironie de l'histoire, c'est vers le Canada, à qui Donald Trump a déclaré une guerre commerciale, que les investisseurs américains se tournent pour faire des affaires.    Un engouement que traduisent les cours de bourse des principaux producteurs canadiens (Imperial Oil, Suncor Energy, Cenovus Energy et MEG Energy), qui durant les douze derniers mois ont progressé bien plus que l'indice S&P utilisé pour mesurer la performance boursière du secteur pétrolier au niveau mondial. C'est un retournement de tendance parce que pendant presque dix ans le pétrole canadien n'avait plus la cote. « Les experts avaient enterré les schistes bitumineux, anticipant une baisse de la demande liée notamment à la montée en puissance des énergies renouvelables », explique Charles Thiémélé, l'un des dirigeants de la société de trading pétrolier et gazier BGN SA. Aujourd'hui, l'intérêt qu'ils suscitent est la confirmation que l'industrie pétrolière reste très attractive pour les acteurs de la finance, analyse-t-il.   Trois fois plus de gaz à effet de serre   Pourtant, il s'agit d'un des bruts les plus sales qui existent. Comme le dit un expert concernant ce pétrole, personne n'aime regarder dans l'arrière-cuisine.      Produit principalement dans l'État de l'Alberta, l'extraction de ce brut génère trois fois plus de gaz à effet de serre que celle d'un pétrole classique. Il faut d'abord séparer le bitume – un mélange solide ou visqueux d'hydrocarbures - du sable, puis en extraire le pétrole.  Cela consomme d'énormes quantités d'énergie, d'eau et comporte d'importants risques de pollutions liées aux rejets de résidus et d'eaux usées.      Deux choses expliquent ce retour en grâce des schistes bitumineux. D'abord, « les champs canadiens n'ont pas besoin de nouveaux investissements, en tout cas pas autant qu'aux États-Unis. Ils sont dans une phase où les quantités extraites augmentent. Donc mécaniquement, les coûts de production diminuent », explique Charles Thiémélé.     Des exportations en hausse vers la Chine  Et puis en 2024, le Canada a inauguré l'agrandissement de l'oléoduc Trans Mountain qui relie l'Alberta à la côte ouest du pays. Grâce à lui, les exportations sont faciles et donc moins chères. Résultat, les ventes vers la Chine et l'Asie en général ont explosées en 2025, même si la majorité du pétrole est toujours exporté vers les États-Unis.     Ottawa espère maintenant amplifier le phénomène pour gagner en autonomie vis-à-vis de son puissant voisin. Le Premier ministre canadien, Mark Carney, et la Première ministre de l'Alberta, Danielle Smith, viennent tous deux de signer un accord en faveur de la construction d'un autre pipeline, toujours depuis l'Alberta vers la côte ouest, mais plus au nord. C'est un changement de pied pour l'État fédéral qui, sous Justin Trudeau, ne voulait pas en entendre parler, au grand dam de l'Alberta, qui se sentait bridé dans son développement. Mais pour sécuriser ce projet et donc exporter plus, il faudra à nouveau permettre aux gros tankers d'accoster sur toute une partie de la côte de l'état de la Colombie britannique. Ce qui est interdit depuis 2019.  Ce projet de pipeline est donc loin d'être encore sur les rails. D'autant que les communautés autochtones y sont opposées, tout comme le Premier ministre de Colombie-Britannique, David Eby.   À lire aussiAu Canada, la bombe climatique des puits pétroliers et gaziers abandonnés

Ungeschnitten - Der Satire Podcast mit Stefan Gerdes und Martin Scholz

Weihnachten steht vor der Tür und wir haben den Sack voll mit Köstlichkeiten. Auch in diesem Jahr warten wir gerade zur dunklen Jahreszeit mit dunklen Fantasien und schlüpfrigen Geschichten auf. Martin war "mal kurz" wieder auf Malle in seinem Luxusdomizil und berichtet von "seiner" Insel. Stefan hat den Schritt gewagt und ist nun endlich Contenct Creator bei Only Fans, dabei auf der Suche nach einer Partnerin, die mit ihm gemeinsam Content betreibt, wie z.B Nacktbacken, Nacktstaubsaugen, Nackteinkaufen, etc. Wer Lust hat oder uns durch irgendwas unterstützen möchte ( wir nehmen mittlerweile auch Naturalien oder Dienstleistungen an, weil das ja mit dem monetarisieren so gar nicht klappt) gerne eine Mail an stefangerdes@gmx.de Hey, wir hören uns :-)

Kalenderblatt - Deutschlandfunk
Bruce Lee - Der Martial-Arts-Star, der an einer Schmerztablette starb

Kalenderblatt - Deutschlandfunk

Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 4:55


Seine Faust war die schnellste. Sein Tritt der härteste. Sein Blick der Furchterregendste. Ohne Bruce Lee hätte es die Kung-Fu-Welle im Kino der 1970er-Jahre nicht gegeben. Ironie des Schicksals: Er selbst hat sie nicht mehr miterlebt. Krinner, Martin www.deutschlandfunk.de, Kalenderblatt

Wie tickt die Kunstszene? Der Kunst-Podcast.
Hoden, Sushi & Gesellschaftskritik – Maris Rauch im Tiefen-Talk

Wie tickt die Kunstszene? Der Kunst-Podcast.

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 62:55


Zu Gast ist diesmal Maris Rauch – Künstlerin, Illustratorin und Entwicklerin des „Volanismus“. Schon bevor die Aufnahme überhaupt startet, verbinden uns Technikhürden und eröffnen ein erstaunlich ehrliches Gespräch. Maris erzählt, warum sie Kitsch und Kunst nicht trennt und weshalb in ihrem Leben alles untrennbar mit ihrer Malerei verwoben ist. Eine Hausparty, eine Kündigung und ein radikaler Neubeginn führen sie endgültig zur Kunst – autodidaktisch statt klassisch, denn eine Kunsthochschule kam für sie nie infrage.Wir sprechen darüber, was Volanismus eigentlich bedeutet und warum ChatGPT es überraschend treffend beschrieben hat. Es geht um Zigaretten auf Sushi, Tampons wie Blumen und Hoden an Wasserhähnen – Bilder, in denen Absurdität, Ekel, Schönheit und Ernst zu einer kraftvollen künstlerischen Sprache verschmelzen. Maris zeigt, wie Social Media für sie Werkzeug, Bühne und Kampfzone zugleich ist: Reaktionsvideos, Misogynie und digitale Machtstrukturen prägen ihren Alltag, ebenso wie Bedrohungen, Anzeigen und fehlender Polizeischutz – der Preis der Sichtbarkeit.Trotzdem bleibt ihre Kunst tief emotional und ambivalent: Ironie und Ernst existieren für sie nebeneinander, weil es beides braucht. Und sie erklärt, warum gute Kunst Schmutz braucht, welche Momente ein Bild wirklich stark machen und weshalb Arbeit, Mut und Urvertrauen oft weit wichtiger sind als Talent.

La Story Nostalgie
Les années MTV (Episode 3)

La Story Nostalgie

Play Episode Listen Later Nov 24, 2025 6:40


En 2001, on n'a pas eu droit à une odyssée de l'espace mais à la mue de MTV. En effet, le Musical de MTV est de moins en moins visible face à la montée de la télé-réalité sur son antenne. Mais bon, il reste encore de la zikmu comme dans la très populaire émission Total Request Live qui réunit l'après-midi deux millions de téléspectateurs pour regarder les clips les plus demandés par téléphone, et déjà, par internet.Mais ce 2 avril 2001, son animateur Carson Daly, va vivre quelques moments de solitude. En effet vers 15h27, au lieu d'un bon clip pop, l'écran vire au noir, et boom, apparaît Johnny Knoxville, l'un des piliers de Jackass, l'émission de cascades absurdes lancée quelques mois plus tôt. Et que voit-on, cette bourrique de Knoxville se faire électrocuter avec un Taser de 50.000 volts. Il tombe dans les pommes durant quelques secondes interminables, sans avertissement préalable, rien. Le clip enchaîne sur Steve-O, un autre sociétaire de l'émission qui avale un poisson rouge vivant, avant de le recracher. Le poisson vit toujours, ok, mais qu'est-ce que c'est que ce truc de dingues ? Et ben, les créateurs de Jackass ont glissé ces extraits dans la rotation de TRL pour booster l'audience de leur émission en soirée, sans prévenir la régie MTV, pensant que ça passerait dans le flux. Panique immédiate à la maison-mère de MTV, les plaintes affluent, 400 appels en deux minutes au standard, dont beaucoup de parents furieux. Le CSA américain, reçoit, lui, douze signalements en cinq minutes, un record pour un après-midi. Carson Daly, rouge vif, apparaît à l'antenne : "Euh… c'était Jackass. On revient après la pub." Une pub pour des céréales pour les mômes, la totale. Pendant ce temps, le big boss de MTV Networks reçoit un coup de fil de celui de Nickelodeon qui partage son signal sur le câble : "Vos tarés polluent mon réseau familial !" Le VJ et la régie improvisent : ils ajoutent un bandeau géant disant "Ne faites pas ça chez vous", mais c'est trop tard pour les scènes déjà passées comme celle du gars se faisant mordre par un alligator ou celui poursuivi par un taureau en string. L'audience explose à 4,2 millions de téléspectateurs, un record pour TRL, mais de très gros annonceurs retirent leurs campagnes, et un sénateur menace d'une enquête fédérale.En réunion d'urgence, MTV hésite à tout stopper. Knoxville et l'équipe menacent de claquer la porte si on censure. Jackass survit, mais avec des avertissements obligatoires. Ironie du sort, cette diffusion sauvage booste l'émission (+40 % d'audience les jours suivants), il y aura même un film au cinéma, puis d'autres. Cette journée marque le pic du "chaos créatif" de MTV : un pari risqué où on a frôlé la catastrophe mais qui a immortalisé Jackass comme un phénomène de la contre-culture, aujourd'hui bien dépassé par toutes les gamelles qu'on regarde sur Youtube. Pendant ce temps, cette année-là, y avait la chanson de la B.O. de Moulin Rouge qui passait sur MTV.

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi Mussolini a-t-il voulu redresser la tour de Pise ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Nov 23, 2025 2:18


L'idée peut sembler absurde aujourd'hui : dans les années 1930, Benito Mussolini ordonne de redresser la tour de Pise. Oui, cette tour mondialement célèbre justement parce qu'elle penche depuis le Moyen Âge. Pourtant, pour le dictateur fasciste, ce geste n'avait rien d'anecdotique : il relevait de sa vision politique, idéologique et propagandiste de l'Italie.Pour comprendre cette décision, il faut d'abord se rappeler que Mussolini voulait bâtir une image d'une Italie forte, moderne et disciplinée, coupée des faiblesses supposées du passé. Dans cette logique, tout ce qui semblait imparfait, fragile ou « dégénéré » devait être corrigé ou éliminé. Pour lui, la tour de Pise, monument mondialement connu, représentait une gêne : sa position inclinée passait pour un symbole de déséquilibre, presque de décadence. Il fallait donc, selon Mussolini, la remettre dans l'axe… pour remettre l'Italie dans l'axe.À cette motivation idéologique s'ajoute la propagande. Le régime fasciste utilisait les grands chantiers comme manifestations spectaculaires de sa puissance. Redresser la tour de Pise aurait constitué un exploit technique, une preuve que l'Italie fasciste pouvait accomplir ce que personne n'avait osé tenter depuis sept siècles. Mussolini espérait ainsi offrir au monde une démonstration éclatante de la supériorité de son régime, à une époque où les dictatures rivalisaient de symboles.En 1934, les travaux commencent. Le plan est simple en théorie : injecter du ciment sous la base de la tour pour stabiliser le sol. Résultat ? Une catastrophe. L'opération aggrave l'inclinaison au lieu de la réduire, fragilisant dangereusement la structure. Les ingénieurs prennent peur : la tour risque littéralement de s'effondrer. On arrête tout, et l'affaire est discrètement mise sous silence.Cet épisode révèle un aspect essentiel du fascisme : la volonté constante de remodeler le réel pour qu'il corresponde à un récit idéologique, quitte à maltraiter l'histoire, la science ou le patrimoine. La tour de Pise, chef-d'œuvre médiéval, n'était pas pour Mussolini un héritage à préserver, mais un instrument de communication. Sa singularité millénaire importait moins que son potentiel propagandiste.Ironie de l'histoire, ce que Mussolini percevait comme un défaut – l'inclinaison – est aujourd'hui la raison même pour laquelle la tour est connue dans le monde entier. Le « problème » que le dictateur voulait effacer est devenu l'un des symboles les plus aimés de l'Italie… un monument qui a survécu, là où son régime, lui, s'est effondré. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

BRITPOD - England at its Best
Comedy-Star Monika Gruber exklusiv: „England ist für mich wie ein zweites Zuhause - gleich nach Bayern.“

BRITPOD - England at its Best

Play Episode Listen Later Nov 23, 2025 38:35 Transcription Available


Unter grauem Münchner Himmel, im Victorian House am Viktualienmarkt, fällt ein Satz, der das ganze Gespräch trägt: „My sense of humor is not offensive. You feel offended – and that's the difference.“ Ein britischer Gedanke – ausgesprochen von einer Frau, die ihren Witz fest in Bayern verankert hat: Monika Gruber. In dieser Folge BRITPOD sitzen Alexander-Klaus Stecher und Claus Beling mit der gefeierten Kabarettistin, Schauspielerin und Autorin an einem Ort, der mehr an London als an München erinnert. Zwischen Teekannen, Silberlöffeln und warmen Scones erzählt Monika Gruber von ihren ersten Berührungen mit England: den Jahren in einem internationalen Büro, in dem ausschließlich Englisch gesprochen wurde, den ersten Reisen nach London und Richmond und einer unvergesslichen Nacht im Black Cab, in der ein Taxifahrer sie einfach nur als Gentleman durch die Stadt chauffierte. Von dort führt die Reise weiter an die Küsten Britanniens: in die Cotswolds, nach St Ives und Cornwall - dorthin, wo Dünen, Klippen und alte Herrenhäuser ihre bis heute schönste Form von Sehnsucht auslösen. Mit einer Reisegruppe aus acht „Weibern“, wie sie selbst sagt, erlebt Monika die Region zwischen Rosamunde-Pilcher-Romantik, Instagram-Kulissen und ganz realen, zugigen Ferienhäusern. Und immer wieder: britische Höflichkeit, britischer Humor, britische Gelassenheit. Zwischendurch öffnet sich der Blick auf ihre Karriere - von der Schauspielschule über ihre Anfänge im Bayerischen Fernsehen bis zu ausverkauften Abenden im Zirkus Krone. Dabei zeigt sich: Vieles in ihrem Leben trägt ein bisschen London in sich. Und England taucht auch in ihrem neuen Bühnenprogramm auf, mit dem sie ab März wieder auf Tour geht. Warum fühlt sich England für Monika Gruber wie ein zweites Zuhause an? Was verbindet bayerischen Mutterwitz mit britischer Ironie? Und welche Orte sollten Alexander und Claus mit ihr als Nächstes erkunden? BRITPOD - England at it's best. WhatsApp: Du kannst Alexander und Claus direkt auf ihre Handys Nachrichten schicken! Welche Ecke Englands sollten die beiden mal besuchen? Zu welchen Themen wünschst Du Dir mehr Folgen? Warst Du schon mal in Great Britain und magst ein paar Fotos mit Claus und Alexander teilen? Probiere es gleich aus: +49 8152 989770 - einfach diese Nummer einspeichern und schon kannst Du BRITPOD per WhatsApp erreichen. Ein ALL EARS ON YOU Original Podcast.

Verprügelt mit Punchlines
VMP#418 - "Hund erklärt Gott"

Verprügelt mit Punchlines

Play Episode Listen Later Nov 22, 2025 70:28


In ihrer neuesten Podcast-Episode stürzen sich die selbsternannten Kulturgut-Kuratoren Jonas und Falk mit der ihnen eigenen Mischung aus Halbwissen und Großspurigkeit in ein Panorama existenzieller und profaner Themen. Sie beginnen mit einer tiefgründigen Erörterung von Gott, wobei man gespannt sein darf, ob es am Ende mehr um biblische Texte oder um ihre Lieblingssorte Craft Beer geht. Danach widmen sie sich der mit Spannung erwarteten Witcher Staffel 4 – vermutlich mit mehr Nörgelei über die Besetzung als echter Analyse der Handlung.Der Blick geht weiter zum deutschen Fernsehen, wo sie mit gewohnter Verachtung die Abgründe der Mattscheibe beleuchten, bevor sie sich dem komplexen Thema Inklusion widmen. Man darf gespannt sein, welche unerwarteten "Einsichten" sie dabei zutage fördern. Natürlich darf auch der moderne Arbeitsalltag nicht fehlen, mit philosophischen Betrachtungen über Meetings in der Bahn – eine Ode an die digitale Nomadentum, die wahrscheinlich in Beschwerden über schlechtes WLAN mündet. Das Thema Älterwerden im Showbiz wird zweifellos eine melancholische Note anschlagen, bevor sie sich dem ultimativen Phänomen der deutschen Fernsehlandschaft zuwenden: Jan Böhmermann. Eine Diskussion, die sicher in einer Mischung aus Bewunderung, Neid und der ewigen Frage gipfelt, warum sie nicht die sind, die das Neo Magazin Royale moderieren. Kurzum: Eine Episode voller gewohntem Geplapper, unerwarteten Sprüngen und der perfekten Menge an Ironie für alle, die das prätentiöse Chaos der Comedians lieben und sich dabei königlich amüsieren wollen.Patreon: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.patreon.com/verpruegeltmitx⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Merch: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://vmx-shop.myspreadshop.de/⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Jonas Links: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.linktr.ee/JonasImamComedy⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Ivans Links: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.linktr.ee/ivan.thieme⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Falks Links: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.linktr.ee/falk.pyrczek⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Wir sind auf Twitch: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.twitch.tv/vmxstudios⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Auf Instagram: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.instagram.com/vmp.podcast/⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠

Revue de presse internationale
À la Une : Marseille gangréné par le narcotrafic

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Nov 20, 2025 4:12


« Peur sur la ville ! », s'exclame Le Parisien. « La probable “exécution à message“, jeudi dernier, de Medhi Kessaci, le jeune frère du militant écologiste et associatif Amine Kessaci, connu pour son engagement contre le narcotrafic, cette exécution signe une escalade inédite dans la violence mafieuse à Marseille. Voire une bascule dans quelque chose d'inconnu, une première dans une ville pourtant malheureusement habituée aux règlements de comptes sur fond de guerre entre gangs de narcotrafiquants. C'est ici, dans la cité phocéenne, relève encore Le Parisien, qu'a été forgé le néologisme de “narcomicide“ : les morts se comptent désormais par centaines, y compris des “victimes collatérales“, innocentes, frappées par les balles criminelles. Si cette nouvelle dérive se confirme, personne ne serait plus épargné, ni les opposants au trafic, ni même leurs proches. » Pour autant, Amine Kessaci reste déterminé… C'est ce que constate notamment Le Monde. « “Levez-vous, battons-nous“ : c'est le message qu'a voulu adresser Amine Kessaci, hier, au lendemain des obsèques de son petit frère Mehdi, pointe le quotidien du soir. “Il faut aujourd'hui que plus de 100.000 personnes se mobilisent“, a déclaré ce militant écologiste de 22 ans qui lutte depuis plusieurs années contre le narcobanditisme et qui vit sous protection policière. “Ce samedi, poursuit-il, il y aura une marche blanche sur le rond-point où a été assassiné mon frère, à 15 heures. Il va falloir qu'on soit des milliers à se lever. » « C'est la République qu'on attaque » Amine Kessaci longuement interrogé ce matin dans Libération, aux côtés de Roberto Saviano, l'écrivain italien antimafia. « Deux hommes sous protection policière qui devaient se rencontrer : une évidence », lance Libération. « Roberto Saviano et Amine Kessaci ne se connaissaient pas, mais ils se sont parlé, se sont pris dans les bras. Dans un échange chargé d'émotion, ils racontent la solitude, la perte des proches, l'aveuglement de la classe politique, la corruption et la réalité de l'emprise de la mafia de la drogue en France, “plaque tournante du trafic en Europe“. » En effet, affirme Amine Kessaci, « à travers le meurtre de Mehdi, victime innocente, c'est la France qu'on veut tester. C'est la République qu'on attaque. C'est l'Etat de droit qu'on veut déconstruire. C'est tout ça qui est un jeu. (…) Il faut ouvrir les yeux, poursuit-il : la société est sous came, en état de dépendance. La souffrance mentale de millions de personnes offre un marché incroyable aux narcotrafiquants et la misère sociale leur fournit des petits soldats dociles, corvéables à merci. Les drogues sont partout, et partout le narcotrafic s'infiltre. On ne s'en sortira donc pas sans un vrai engagement de l'Etat. » « La France est en train de vivre l'une des pires périodes criminelles de son histoire, affirme de son côté Roberto Saviano, toujours dans les colonnes de Libération. Et cela a l'air de ne toucher qu'à peine le débat politique. Il est facile de dire qu'on est en faveur de la liberté d'expression. En revanche, payer un prix et que sa propre famille paye un prix, c'est ça qui est terrible. La mort du frère d'Amine nous fait dire que la lutte contre le pouvoir criminel en France est aujourd'hui plus difficile que jamais parce qu'on est seuls. » Le commanditaire : un patron de la DZ mafia ? On revient au Parisien qui révèle que « l'enquête sur l'exécution du frère d'Amine Kessaci à Marseille s'oriente vers un contrat commandité par un détenu extrêmement dangereux : Amine O., surnommé “Mamine“ considéré comme le vrai patron de la DZ Mafia, l'un des plus importants gangs marseillais de narcotrafiquants. » Cet homme de 31 ans, précise Le Parisien, « a été discrètement transféré avant-hier de la maison d'arrêt de Bourg-en-Bresse au nouveau quartier de lutte contre la criminalité organisée de Condé-sur-Sarthe, la deuxième prison ultra-sécurisée imaginée par Gérald Darmanin, le garde des Sceaux. Ironie de la situation, soupire Le Parisien : jusqu'à ses derniers jours de détention dans un établissement “classique“, et malgré ses nombreux transferts et placements à l'isolement strict ces dernières années, Amine O. est donc soupçonné d'avoir commandité plusieurs assassinats (…). Dont celui peut-être de Mehdi Kessaci… Enfin, ce commentaire du Monde : « “Une lutte à mort est engagée“, alerte Amine Kessaci. L'avertissement doit être entendu. Outre celles et ceux qui tombent sous les balles, l'Etat de droit, la paix civile et la démocratie sont dans le viseur des “narcos“. La mobilisation doit être à la hauteur de leur folle entreprise. »

Gastro Survival Passionistas
Baumann + Scheffler: ...nicht wie die anderen Kinder auf dem Spielplatz!

Gastro Survival Passionistas

Play Episode Listen Later Nov 20, 2025 93:00


Diese Episode ist keine Wohlfühlrunde für Feinschmecker, sondern ein frontaler Blick auf ein Restaurant, das konsequent gegen den Strich kocht. NeoBiota in Köln zeigt, wie moderne Gastronomie klingen kann, wenn Mut, Technik und Haltung wichtiger sind als Prestigeprodukte und goldene Teller.Sonja Baumann und Erik Scheffler sprechen unverblümt über eine Küche, die auf pflanzenbasierte Grundlagen setzt, auf Fermentation baut und mit über Wochen gereiften Aromen arbeitet. Der Koji-Pilz bekommt mehr Aufmerksamkeit als die Jakobsmuschel, und ein kultivierter Scoby erzählt mehr über Handwerk als jedes Luxusfilet. Diese Küche will nichts imitieren – sie definiert neu.Natürlich kommt auch die harte Realität zur Sprache: der verlorene Michelin-Stern nach dem Umzug, die fragwürdigen Mechanismen der Bewertungen, der Kampf mit Kölner Immobilien, der Personalmangel und der ständige Versuch, eine Vision gegen ein System zu behaupten, das lieber den Mainstream belohnt als den Fortschritt. Trotzdem bleibt spürbar: Die beiden brennen für die Sache. Und das überträgt sich in jedem Satz.Zwischen Tiefgang und Ironie entstehen starke Momente: von Pressechaos über Küchenanekdoten bis zu Lieblingsgerichten, musikalischen Vorlieben und dem alltäglichen Wahnsinn, der entsteht, wenn Perfektion und Realität in einer Profiküche frontal kollidieren.Am Ende steht ein Restaurant, das sich nicht anbiedert. NeoBiota ist ein Ort, der Energie über Etikette stellt, Handwerk über Hype und Substanz über Sternelogik. Köln hat ein kulinarisches Labor bekommen, das sich nicht versteckt – und genau deshalb relevant ist.Diese Folge zeigt, wie weit Gastronomie kommen kann, wenn sie den Mut hat, nicht wie die anderen Kinder auf dem Spielplatz zu sein. WOW!#neobiota #sonjabaumann #erilscheffler #SOULFOOD # SOULFOODPASSIONISTAS # CARSTENHENN #GASTROSURIVIAL #BUDDYZIPPER #GASTROPODCAST #KULINARIK #STERNEKUECHE #KOCHGOTT #gastrosurivial #sterneküche #foodporn #foodlover #instafood #gastronomie #podcast @buddyzipper @carstenhenn @soulfoodpassionistas

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour Jean-Loup Bonnamy : "Alain Souchon est payé par le RN pour dire ça. Bardella a sûrement remis une valise de francs suisses à Souchon pour faire une déclaration qui va faire monter le RN." - 17/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 0:59


Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

RT DEUTSCH – Erfahre Mehr
Trump schwingt die "Benzinpeitsche" über Europa

RT DEUTSCH – Erfahre Mehr

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 10:28


In Russland werden die Versprechen des US-Präsidenten Donald Trump, den Konflikt in der Ukraine zu beenden, nicht ohne Ironie diskutiert. Aber mal im Ernst – warum sollte er das tun? Solange der Krieg andauert sowie bestehende Sanktionen in Kraft bleiben und neue verhängt werden, verdient er daran. Von Dmitri Rodionow  

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Jean-Loup Bonnamy : "Vu les conneries qu'ils font quand ils travaillent, il vaut mieux qu'ils s'arrêtent. J'ai peur qu'ils votent la retraite à 43 ans et 200 milliards € en plus pour les retraités

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 1:31


Aujourd'hui, Flora Ghebali, Jean-Loup Bonnamy et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Verprügelt mit Punchlines
VMP#417 - "Ausser Rand und Trump"

Verprügelt mit Punchlines

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 84:02


In ihrer neuesten Podcast-Episode stürzen sich die selbsternannten Polit- und Popkultur-Experten Jonas und Ivan mit der ihnen eigenen Mischung aus Halbwissen und Großspurigkeit in ein Feuerwerk der Themen, das so wild ist wie eine Trump-Rallye nach Mitternacht. Sie beginnen mit einer tiefgründigen Analyse von Trump, wobei man gespannt sein darf, ob es mehr um seine Frisur oder seine Twitter-Strategie geht. Danach widmen sie sich dem Feuilleton und der New York Times – wahrscheinlich, um sich selbst als intellektuell darzustellen, bevor sie sich genüsslich über die "Qualität" der Berichterstattung auslassen.Natürlich darf auch die deutsche Medienlandschaft nicht fehlen, mit einer obligatorischen Erwähnung von Matze Hielscher (vermutlich, um zu zeigen, dass sie auch andere Podcasts hören, oder um heimlich Ideen zu klauen). Der Blick geht weiter zu Youtubern, wo sie sicher darüber sinnieren, wie viel einfacher es wäre, Influencer zu sein, wenn man nur nicht so... alt wäre. Das Thema China wird zweifellos für ein paar wohlfeile Klischees herhalten, bevor sie sich dem ultimativen Stressthema widmen: gestresste Väter. Eine Debatte, die sicher in einem kollektiven Seufzer endet, während sie ihre eigenen (unfreiwilligen) Beiträge zum Thema liefern. Kurzum: Eine Episode voller gewohntem Geplapper, unerwarteten Sprüngen und der perfekten Menge an Ironie für alle, die das prätentiöse Chaos der Comedians lieben und sich dabei königlich amüsieren wollen.Patreon: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.patreon.com/verpruegeltmitx⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Merch: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://vmx-shop.myspreadshop.de/⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Jonas Links: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.linktr.ee/JonasImamComedy⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Ivans Links: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.linktr.ee/ivan.thieme⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Falks Links: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.linktr.ee/falk.pyrczek⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Wir sind auf Twitch: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.twitch.tv/vmxstudios⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Auf Instagram: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.instagram.com/vmp.podcast/⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi la France a-t-elle perdu le Canada ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 2:15


La perte du Canada par la France, entérinée en 1763 par le traité de Paris, marque l'un des tournants majeurs de l'histoire coloniale mondiale. Cet événement, souvent résumé comme la conséquence d'une défaite militaire, s'explique en réalité par un ensemble de causes stratégiques, économiques et politiques.Au XVIIIᵉ siècle, la France et l'Angleterre s'affrontent pour le contrôle de l'Amérique du Nord. La Nouvelle-France — qui s'étend alors du Canada jusqu'à la Louisiane — compte environ 70 000 habitants, contre près d'un million dans les Treize Colonies britanniques. Cet écart démographique colossal pèse lourdement : la France peine à peupler et à défendre son immense territoire, alors que les Anglais disposent d'une puissance humaine et logistique bien supérieure.La guerre de Sept Ans (1756–1763) fut l'aboutissement de cette rivalité impériale. En Europe, elle opposait déjà les grandes puissances ; en Amérique, elle prit la forme d'une véritable guerre coloniale, appelée “French and Indian War” par les Britanniques. Les troupes françaises, alliées à plusieurs nations autochtones, remportèrent d'abord plusieurs succès, notamment sous Montcalm. Mais la supériorité navale britannique et la puissance financière de Londres finirent par renverser la situation. En 1759, la bataille décisive des Plaines d'Abraham, près de Québec, scella le sort de la colonie : les généraux Montcalm et Wolfe y trouvèrent la mort, et Québec tomba entre les mains britanniques.Mais la défaite militaire ne suffit pas à expliquer la perte du Canada. À Versailles, le roi Louis XV et ses ministres considéraient la colonie comme secondaire par rapport aux Antilles, sources de sucre, d'or blanc et de richesses. Lors des négociations du traité de Paris, la France préféra conserver la Guadeloupe et la Martinique, plus rentables économiquement, en abandonnant le Canada, jugé “un pays de quelques arpents de neige”, selon la formule célèbre du philosophe Voltaire.La perte du Canada illustre donc un choix stratégique autant qu'une défaite. Elle marque la fin de la présence française en Amérique du Nord continentale, mais pas de l'influence française, qui subsista par la langue, la religion et la culture. Ironie de l'histoire : quelques années plus tard, la France soutiendra les colons américains dans leur lutte contre l'Angleterre — une revanche symbolique sur la défaite du Canada. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

SWR2 Kultur Info
„Der Affenkönig“ von Milo Manara – Der etwas andere Superheld

SWR2 Kultur Info

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 6:03


Der längst vergriffene 70er-Jahre-Comic „Der Affenkönig“ von Milo Manara wird neu aufgelegt. Eine gute Gelegenheit, zu fragen, warum die Superhelden der Gegenwart keine Ironie kennen.

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Barbara Lefebvre : "Il a quand même eu le temps d'écrire 6 bouquins en 7 ans de gouvernement. La macronie a laissé une grande trace dans la littérature, c'est important" - 10/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 2:16


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Choses à Savoir
Pourquoi Mussolini a-t-il tenté de faire interdire les pâtes en Italie ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Nov 9, 2025 2:26


Oui, c'est vrai : Benito Mussolini, le dictateur fasciste italien, a bien tenté — sans succès — de faire disparaître les pâtes de la table italienne. Derrière cette idée apparemment absurde se cachait un projet politique, idéologique et économique profondément révélateur de son époque.Dans les années 1920 et 1930, Mussolini voulait faire de l'Italie une puissance autosuffisante, libérée de toute dépendance étrangère. Il lance alors ce qu'il appelle la battaglia del grano, la “bataille du blé”. L'objectif : produire suffisamment de céréales sur le sol italien pour nourrir toute la population et ne plus importer de grains, notamment des États-Unis ou de l'Europe de l'Est. Cette campagne nationaliste devient un pilier de la propagande fasciste.Mais un problème se pose rapidement : la production de blé italien, même augmentée, ne suffit pas à couvrir les besoins d'un pays où les pâtes sont un aliment de base. Et la culture du blé, plus exigeante en eau et en terres, concurrence celle des légumes et de l'huile d'olive. Résultat : les ressources s'épuisent, et les prix flambent. Pour résoudre ce paradoxe, le régime décide alors de… dissuader les Italiens de manger des pâtes.Dans les années 1930, certains intellectuels proches du régime, comme le poète Filippo Tommaso Marinetti, chef du mouvement futuriste, publient des textes provocateurs vantant la “cuisine de l'avenir” et dénonçant les pâtes comme un symbole de mollesse et de passéisme. Marinetti écrivait que “le peuple qui mange trop de pâtes devient lent, pessimiste et nostalgique”. Mussolini, séduit par cette rhétorique de virilité et de modernité, soutient l'idée d'un remplacement des pâtes par des plats à base de riz ou de céréales locales, plus conformes à son idéal d'autarcie.Des campagnes officielles encouragent alors les Italiens à consommer du riz de la plaine du Pô, des légumes, ou même du pain. Certains restaurants fascistes retirent temporairement les pâtes de leur menu. Mais la résistance populaire est immédiate. Les Italiens refusent d'abandonner ce plat millénaire, symbole de leur identité et de leur culture. Même les hiérarques du régime continuent d'en manger en privé.Devant cet échec culinaire et politique, Mussolini finit par abandonner la croisade. Les pâtes survivent à la dictature, triomphent de la propagande, et deviennent après-guerre un symbole d'unité nationale. Ironie de l'histoire : l'homme qui voulait forger un “Italien nouveau” s'est heurté à ce qui, encore aujourd'hui, reste l'un des piliers les plus solides de la culture italienne — un bon plat de spaghetti. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Mourad Boudjellal : "C'est le moment pour les dealers de faire des affaires. Envoyez vos colis avec écrit 'Amazon' dessus, ils seront trop occupés avec les colis Shein" - 07/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 0:58


Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Barbara Lefebvre : "Absolument pas. Les nazebroques, ils disparaissent d'eux-mêmes. Il est où Monsieur Delogu ? Et Monsieur Boyard à part nous parler de ses montres ?" - 04/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 2:21


Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Choses à Savoir
Pourquoi des pigeons ont failli changer le cours de la Seconde Guerre mondiale ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 2:55


Le « Projet Pigeon ». C'est l'une des idées les plus insolites de la Seconde Guerre mondiale — une à mi-chemin entre le génie et la folie. Il s'agit d'un programme américain secret lancé en 1940 par le célèbre psychologue comportementaliste B. F. Skinner, qui visait à utiliser des pigeons pour guider des bombes. Oui, littéralement.À l'époque, les systèmes de guidage électronique étaient encore rudimentaires. Skinner, spécialiste du conditionnement opérant, pensait qu'un animal entraîné pouvait accomplir des tâches de précision mieux que les machines disponibles. Son idée : dresser des pigeons à reconnaître visuellement une cible (comme un navire ennemi) et à corriger la trajectoire d'une bombe en vol.Le fonctionnement était ingénieux. Dans le nez de la bombe, Skinner installa un petit compartiment équipé d'un système optique projetant l'image de la cible sur un écran. Le pigeon, placé à l'intérieur, était entraîné à picorer l'image du bateau au centre de l'écran. Si la bombe déviait, l'image se déplaçait ; le pigeon, en corrigeant sa position de piquage, envoyait des signaux électriques qui ajustaient les ailerons de direction. En théorie, l'oiseau guidait la bombe jusqu'à la cible.Skinner dressa plusieurs pigeons avec succès, à l'aide de récompenses alimentaires. Les tests en laboratoire furent étonnamment concluants : les oiseaux parvenaient à maintenir la cible dans le viseur avec une grande précision, même face à des images changeantes. Le projet fut financé par le National Defense Research Committee, et baptisé officiellement Project Pigeon.Mais le Pentagone n'y crut jamais vraiment. Malgré les bons résultats expérimentaux, les militaires jugèrent le concept trop farfelu et imprévisible pour une guerre moderne. En 1944, le projet fut abandonné, remplacé par des programmes électroniques plus prometteurs. Skinner, frustré, déclara plus tard : « Les militaires ne prenaient pas les pigeons au sérieux. Ils avaient tort. »Ironie du sort, l'idée ne mourut pas complètement. En 1948, la Navy relança brièvement le concept sous le nom de Project ORCON (Organic Control), avant de l'abandonner définitivement en 1953.Aujourd'hui, le Project Pigeon reste un épisode fascinant de l'histoire des sciences : une tentative sincère d'appliquer la psychologie animale à la technologie militaire. Et une preuve que, dans la guerre comme dans la recherche, l'imagination humaine n'a parfois aucune limite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Choses à Savoir
Pourquoi la lettre "J" désigne-t-elle le valet dans un jeu de cartes ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 2:07


Si l'on regarde un jeu de cartes, tout semble logique : le « K » pour le roi, le « Q » pour la reine… mais pourquoi donc un « J » pour le valet ? La réponse se trouve dans l'histoire du jeu de cartes, et surtout dans la façon dont il a voyagé d'Europe en Europe, changeant de langue et de symboles au fil des siècles.À l'origine, les jeux de cartes médiévaux venus d'Orient au XIVᵉ siècle ne comportaient pas de lettres du tout. Les figures étaient simplement illustrées : un roi, un chevalier et un valet (ou « serviteur »), souvent représenté à pied, tenant l'épée ou le blason de son maître. En France, cette figure s'appelait naturellement le valet, mot issu du vieux français vaslet, signifiant « jeune homme au service d'un seigneur ». Lorsque les cartes furent imprimées en série à partir du XVe siècle, le valet devint l'une des trois têtes – avec la dame et le roi – mais sans symbole écrit.Ce n'est qu'au XIXᵉ siècle, avec la diffusion mondiale du jeu de cartes anglo-saxon, que la lettre « J » fit son apparition. En Angleterre, les imprimeurs, notamment la firme Goodall and Son à Londres, adoptèrent des lettres pour simplifier la lecture : « K » pour King, « Q » pour Queen, et… « Kn » pour Knight, le chevalier, qui remplaçait le valet français. Mais cette abréviation « Kn » prêtait souvent à confusion avec le « K » du roi. Pour éviter les erreurs, les fabricants décidèrent de substituer au chevalier un personnage plus simple, le “Jack”, terme populaire désignant un jeune homme ou un domestique — exactement le rôle du valet français.Le mot Jack n'avait rien de noble : c'était même une appellation familière, parfois péjorative, pour un homme du peuple. Mais le succès du jeu anglo-américain, notamment au poker et au bridge, imposa cette notation. Dès la fin du XIXᵉ siècle, le « J » de Jack s'était définitivement installé dans les cartes anglaises, puis dans le monde entier.Ironie de l'histoire : dans le vocabulaire français, le valet a conservé son nom d'origine, mais a hérité d'une lettre étrangère. Le « J » n'a donc rien de “jacobin” : il est le vestige linguistique d'un compromis typographique entre le King et la Queen, né dans les imprimeries anglaises. Aujourd'hui encore, chaque fois qu'on pose un « J » sur le tapis, on tient entre ses doigts un petit morceau d'histoire de la langue et de l'imprimerie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

NDR Kultur - Neue Bücher
Neue Bücher: "Die Unbußfertigen" von Elina Penner

NDR Kultur - Neue Bücher

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 4:58


Mit viel Ironie und feinem Humor porträtiert Elina Penner eine überforderte, egozentrische und verlogene Gesellschaft.

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - "Je suis pour une liberté dans les stades, on ne doit pas tous nous transformer en Suédois végans. Mais peut-être que Daesh va déposer une plainte en diffamation homophobe" - 20/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 2:09


Aujourd'hui, Didier Giraud, Charles Consigny et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

WDR ZeitZeichen
Widerstand im Ring: Sinto-Boxer Rukelie Trollmann

WDR ZeitZeichen

Play Episode Listen Later Oct 18, 2025 14:51


Am 18.10.29 boxt der Sinto seinen ersten Profikampf. Kurz darauf ist er Deutscher Meister - für drei Tage. Er trotzt den Nazis mit Ironie. Und bezahlt mit seinem Leben. Von Gianna Scholten.

HSS Podcast - Satzzeichen
Folge 288: Umwege erhöhen die Ortskenntnisse – Ulrike Gastmann und ihre „Lessons for Life“

HSS Podcast - Satzzeichen

Play Episode Listen Later Oct 17, 2025 32:38


„Umwege erhöhen die Ortskenntnisse.“ sagt Ulrike Gastmann, Autorin, Kolumnistin und Lehrerin. In dieser Episode von Satzzeichen spricht sie mit Gastgeber Christian Jakubetz über die vielen Umwege, die sie zum Buch Lessons for Life geführt haben. Gastmann erläutert, warum Ironie für sie ein zentrales Stilmittel ist, was „am Ball bleiben“ im Alltag bedeutet und wie intensive Auseinandersetzung mit Menschen, Sympathie erzeugt. Außerdem diskutieren sie Social Media und worin sich ihr Buch deutlich von üblicher Ratgeberliteratur unterscheidet.

apolut: Tagesdosis
Die neue Staatsräson: Angst | Von Sabiene Jahn

apolut: Tagesdosis

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 12:04


Der Streit um das neue Pentagon-Statut für Journalisten zeigt, wie eng Sicherheitspolitik und Informationskontrolle inzwischen verflochten sind. Die USA zügeln jetzt ihre Medien, Deutschland seine Zweifel – beides folgt derselben Logik der Angst.Ein Kommentar von Sabiene Jahn.Führende Nachrichtenorganisationen in den Vereinigten Staaten – darunter The New York Times, Washington Post, CNN, Reuters, The Atlantic und sogar Fox News – verweigerten am Dienstag die Unterzeichnung der neuen Pressezugangsrichtlinien des Pentagons (1). Diese Regeln untersagen Journalisten, Informationen zu beschaffen oder zu veröffentlichen, die nicht ausdrücklich vom Verteidigungsministerium genehmigt wurden – auch wenn sie nicht geheim sind (2). Die Bewegungsfreiheit innerhalb des Pentagons wird eingeschränkt, und wer die Vereinbarung nicht unterschreibt, verliert seine Akkreditierung. Verteidigungsminister Pete Hegseth, früher Fox-Moderator, verteidigte die Maßnahme als „common sense“ und begründete sie mit der Notwendigkeit, „die nationale Sicherheit zu respektieren“ (3). Auf Kritik reagierte er mit Ironie: einem winkenden Emoji auf X und einer Liste namens „Press Accreditation for Beginners“, in der er erklärte, die Presse habe „kein Recht, zu kriminellen Handlungen aufzufordern“ (4). Pentagon-Sprecher Sean Parnell wies gegenüber Newsweek die Kritik unterschiedlicher Medienhäuser als hysterisch zurück (5).Von ihnen kam eine geballte Gegenreaktion. Washington Post-Chefredakteur Matt Murray sprach von einem„Angriff auf die Pressefreiheit und den Ersten Verfassungszusatz“.The Atlantic-Chef Jeffrey Goldberg nannte die Maßnahme „verfassungswidrig“ (6). Später stellte sich Präsident Donald Trump demonstrativ hinter Hegseth.„Die Presse ist sehr unehrlich.“ (7)Trump rechtfertigte die Beschränkungen als Disziplin, um „Soldaten und Generäle vor den Fake News“ zu schützen. Kommentatoren wie The Hill und New Republic sprachen von einem gefährlichen Präzedenzfall – einer„Institutionalisierung der Informationskontrolle“ (8).Die Episode zeigt, wie die vermeintliche Frontlinie zwischen „Sicherheit“ und „Freiheit“ in Wahrheit ein Machtkampf um Deutungshoheit ist. Jahrzehntelang hatten dieselben Pressehäuser Kriege gerechtfertigt; nun trifft sie die Zensur, die sie selbst kultiviert haben. Wenn die sogenannte Partei des Krieges – jene Allianz aus Politik und Publizistik, die militärische Stärke als moralische Tugend verkauft – plötzlich „Blut spuckt“, weil ihr der Zugang zur Macht verwehrt wird, dann zeigt sich: Nicht Wahrheitssuche war ihr Anliegen, sondern die Kontrolle über das Narrativ. In den Vereinigten Staaten ist dieses Misstrauen Ergebnis einer langen Entwicklung: Nach Jahrzehnten der globalen Interventionen, der Sicherheitsdoktrin nach 9/11 und des medialen Daueralarms um Russland oder China hat sich eine politische Kultur etabliert, die Öffentlichkeit als Risiko betrachtet. In den USA überbieten sich Fernsehsender seit Jahren mit Szenarien über den nahenden Krieg, den „russischen Cyberangriff“ oder die „chinesische Invasion“. Reale Gefahren treten zurück hinter die Simulation von Bedrohung – sie erzeugt Quoten, Klicks, politische Aufmerksamkeit. In dieser Logik sind Medien nicht mehr Beobachter, sondern Marktteilnehmer einer Angstökonomie.Hegseth, der aus dieser Welt stammt, will die Kontrolle zurückgewinnen. Die großen Medienhäuser – vielfach finanziell verflochten mit Stiftungen, Tech-Konzernen oder sicherheitspolitischen Thinktanks – lieferten in den letzten Jahren keine Korrektur mehr, sondern Verstärkung. ...https://apolut.net/die-neue-staatsrason-angst-von-sabiene-jahn/ Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Oscars & Himbeeren - der ntv Filmpodcast
"Play Dirty": Ein Film ohne Puls

Oscars & Himbeeren - der ntv Filmpodcast

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 34:49


“Play Dirty” ist einer dieser Filme, die von Anfang an wirken, als wüssten sie nicht, weshalb sie existieren. Man sieht Geld, Aufwand und ein paar große Namen, aber nichts davon führt irgendwohin. Alles wirkt routiniert, glatt und gleichzeitig leer. Shane Black, der früher das Talent hatte, Action und Ironie zu verbinden, scheint hier vor allem sich selbst zu imitieren. Die Szenen folgen einander, ohne dass man das Gefühl hat, irgendetwas würde auf dem Spiel stehen.Mark Wahlberg spielt die Hauptfigur Parker mit der Energie eines Mannes, der schon weiß, dass das alles keine Bedeutung hat. Er ist da, spricht, läuft und kämpft, aber es bleibt nichts. Die Coolness wirkt aufgesetzt, die Härte wirkt müde, und selbst in den Momenten, die spannend sein sollen, bleibt der Film seltsam leblos.Die Geschichte will ein Heist-Thriller sein, irgendwo zwischen moralischem Dilemma und Hochglanz-Action, aber sie hat keine Richtung. Man merkt die Bemühung, clever zu sein, doch es fehlt der Kern. Alles wirkt wie zusammengestückelt, als hätte man Szenen aus besseren Filmen genommen und lose verbunden. Visuell ist “Play Dirty” perfekt ausgeleuchtet und makellos gefilmt, aber genau darin liegt das Problem. Nichts hat Kante. Nach Mut sucht man vergebens.Dieser Amazon-Film ist kein Desaster, er ist schlimmer. Ein Film, der völlig gleichgültig wirkt. Man schaut ihn, vergisst ihn und fragt sich, ob er überhaupt jemals wirklich stattgefunden hat. Get full access to Ronny Rüsch - Filmkritiker at hausmeisterronny.substack.com/subscribe

Stripjournaal
Boerke en Hoerke

Stripjournaal

Play Episode Listen Later Oct 9, 2025 55:13


Stripjournaal duikt in deze aflevering in de tekstloze wereld van Boerke, de stripheld van Pieter De Poortere. In de bibliotheek van Hasselt loopt immers nog tot en met 26 januari 2026 de expo Pieter De Poortere – Inkt & Ironie.

To the Top
Die, in der die Wagner-Festspiele wieder beginnen

To the Top

Play Episode Listen Later Oct 5, 2025 96:06


Heute sprechen wir über Augsburgs Reaktion auf unsere Folge, Wagners Geste in unsere Richtung und den Gebrauch von Ironie. Wir sprechen über das schwache Auftreten der Fortuna, den Anteil des Trainers und mögliche Zukunftsszenarien mit und ohne Daniel Thioune. Und wir sprechen über ein intensives FC-Spiel, die Leitung des Schiedsrichters und El Malas Solo zum Siegtor.

Kernsanierung - ein Podcast zu Paarung und Nestbau
Flugbesamung und die große Witwenrente

Kernsanierung - ein Podcast zu Paarung und Nestbau

Play Episode Listen Later Oct 4, 2025 63:24 Transcription Available


Warum männliche Bienen nur einen Auftrag haben, IKEA-Besuche zur Kostenfalle werden und Antje ab sofort Anspruch auf die große Witwenrente erhebt. Eine Folge über Flugbahnen, Finanzpläne, Filmideen – und das Warten auf Genehmigungen aller Art. Diese Folge beginnt nicht mit einem Baufortschritt. Sondern – wie so oft – mit einer Erkenntnis: Dass selbst beim Warten Leben passiert. Und dass sich zwischen Drohnenflug, Dokumentarfilm und Dokumentenchaos ganze Weltanschauungen verhandeln lassen. Über den Wolken: Die Flugbesamung der Drohnen. Antje & Jens tauchen ab in die Welt der Bienen – und finden darin mehr Erotik, als man erwarten würde. Warum männliche Drohnen nur im Flug zum Einsatz kommen, was sie von Podcast-Hosts unterscheidet (oder auch nicht), und warum selbst im Schwärmen Platz für Ironie bleibt. Warten – die Doku des Lebens. Während die Baugenehmigung weiter auf sich warten lässt, wartet Jens beruflich gleich mit: Er spricht über seinen neuen ARD-Dokumentarfilm „Die Einheit ist eine Baustelle“ – eine 13-jährige Reise durch das Werden (und Nicht-Werden) des Einheits- und Freiheitsdenkmals in Berlin. Gedreht, geplant, gehofft – und doch nie ganz fertiggestellt. Vielleicht das perfekte Sinnbild für eine Zeit, in der Baustellen allgegenwärtig sind. Vom Warten zum Wirtschaften. Antje sinniert über Sparmaßnahmen und die Kunst der Haushaltsführung. Von Ernährungsumstellung über spontane IKEA-Investitionen (65 € – für's Klo!) bis zur Frage: Wie viel Minimalismus ist eigentlich realistisch, wenn das Leben maximal viel will? KI trifft Kaffeeklatsch. Zwischen Chatbots und Checklisten bleibt die Erkenntnis: So klug die Maschinen auch sind – echte Begegnung bleibt unersetzlich. Und schließlich: Die große Witwenrente. Mit 47 Jahren erhebt Antje feierlich Anspruch – auf Erfahrung, auf Humor, auf die große Witwenrente. Jens prostet mit Sekt, Antje meckert professionell (für die Quote), und am Ende sind sich beide einig: Baustellen kommen und gehen. Liebe bleibt. Kurz gesagt: Eine Folge zwischen Bienen & Bürokratie, Sekt & Systemkritik, Warten & Wundern. Philosophisch, politisch, persönlich – mit einer Prise Poesie. ⸻ Was ihr noch wissen solltet: Markennennung ohne Kohle Wir erwähnen Menschen, Marken und Orte – ohne Sponsoring, einfach weil wir Lust dazu haben. In dieser Folge dabei: • ARD-Dokumentarfilm – „Die Einheit ist eine Baustelle“ von Jens Becker & Dietmar Ratsch – über das Einheits- und Freiheitsdenkmal Berlin. → ARD Mediathek ansehen • Bienen & Drohnenwissen – Landesimkerverband MV (für alle, die mehr über Flugbesamung wissen wollen) → Landesimkerverband MV • KEA – das teuerste Klo der Stadt. (65 €, ehrlich verdient.) → Ikea • Mr. Wash (wo Antjes Auto alle hundert Jahre mal porentief rein gemacht wird.) → Mr. Wash ⸻ Folgt uns auf: • Instagram → @kernsanierung-podcast • Facebook → Kernsanierung Podcast • Podigee → Episoden-Webseite ⸻ Zum Schluss: Danke, dass ihr zuhört. Mit uns denkt. Mit uns zweifelt. Und mit uns baut – an diesem Haus, an diesem Leben, an einer gemeinsamen Geschichte. Jetzt: Zurücklehnen. Herz öffnen. Folge starten.

Stalingrad Podcast
Folge 283: „Es gibt keine Unschuldigen, nur Überlebende“ - Kurt Vonnegut und die Bombardierung Dresdens

Stalingrad Podcast

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 27:26


In dieser Folge geht es um Kurt Vonnegut – einen Schriftsteller, der das Unsagbare zu fassen versuchte. Als junger US-Soldat geriet er in deutsche Kriegsgefangenschaft und überlebte im Februar 1945 die Bombardierung Dresdens – eingeschlossen in einem Schlachthof. Jahrzehnte später machte er dieses traumatische Erlebnis zum Zentrum seines berühmtesten Romans Slaughterhouse-Five. Vonnegut schrieb gegen das Vergessen – mit schwarzem Humor, bitterer Ironie und der Überzeugung, dass Krieg keine Helden kennt. Wir fragen: Wie erzählt man vom Grauen, ohne daran zu zerbrechen? Und warum bleibt Slaughterhouse-Five bis heute so erschütternd aktuell?

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Joëlle Dago-Serry : "Oh oui, ça fait du bien. Lecornu c'est le Premier ministre dont je ne savais pas que j'avais besoin. Il ne nous embête pas. Je me sens revigorée. Je le remercie de se taire" - 30/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 2:32


Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

SWR2 Kultur Info
Orlando neu gezeichnet: Virginia Woolfs Klassiker als Graphic Novel

SWR2 Kultur Info

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 7:01


Vor 100 Jahren veröffentlichte Virginia Woolf ihren Roman „Orlando“. Die Geschichte eines Menschen, der als Mann geboren wird und als Frau weiterlebt. Heute gilt das Buch als Meilenstein in feministischer und LGBTQ+-Literatur. Illustratorin Susanne Kuhlendahl hat daraus eine Graphic Novel gemacht: „Das ist so eine leichte Geschichte, die doch ernste Themen wie Rollenklischees und Frauenrechte behandelt. Das hat mich sofort fasziniert.“ Ein queerer Klassiker, jetzt in Bildern Orlando, zugleich Mann und Frau, reist durch Jahrhunderte und Identitäten, ein Stoff, der sich in Zeiten von Genderdebatten besonders aktuell liest. „Virginia Woolf erklärt das gar nicht groß. Es passiert einfach und es ist in Ordnung so“, sagt Kuhlendahl. Für sie lag die Herausforderung darin, Orlando nicht in Stereotype zu pressen. Inspiration bot das markante Gesicht von Woolfs Geliebter Vita Sackville-West, das sie auch ihrer Figur gab. Humor statt Schwere Woolfs Texte gelten oft als komplex, doch Kuhlendahl betont den leichten Ton: „Es ist die feine Ironie, die begeistert, auch wenn es um Vorurteile geht.“ Ihre Graphic Novel macht diesen Humor sichtbar und sie versucht damit, neue Zugänge zu schaffen.

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Charles Consigny : "Ce qui m'interpelle, c'est de voir des avocats marqués à gauche qui se félicitent de la condamnation de Sarko" - 26/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 2:29


Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Estragon
Opa, lass uns Hunde erschießen!

Estragon

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 17:19


Wie privat ist deine Schusswaffe? Man kann doch nicht alle Menschen, die sich privat eine Schusswaffe kaufen, unter Generalverdacht stellen? Doch.Der Nationalrat möge beschließen: Jede Person, die eine behördliche Genehmigung zum privaten Besitz einer Schusswaffe beantragt, hat im Zuge der Antragstellung eidesstattlich zu erklären, dass es sie nicht sonderlich stört, wenn sie selbst erschossen wird.Foto Sujet Podcast: Christof WagnerLizenzfreie Musik:Big Band Opener (Adobe Stock 459184449, SmarTune/MusicRevolution)https://steady.page/de/franzalander/about

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Jean-Loup Bonnamy : "La raison pour laquelle il voit, je pense, un psy 3 fois par semaine, c'est qu'il ne peut pas faire de 3e mandat. Il ne renoncera jamais à une seule journée, une seule seconde." - 22/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 22, 2025 1:19


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Emmanuel de Villiers : "Un socialiste, c'est quelqu'un qui veut faire du bien avec l'argent des autres, sans oublier de se servir au passage." - 19/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 1:03


Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Jérôme Marty et Zohra Bitan, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Bruno Poncet : "Il est grand temps de faire un tunnel entre la France et la Corse. Nous, les trains roulent et il n'y a pas de souci." - 17/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 17, 2025 0:09


Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Radio Wave
On Air: Ironie osudu i útok srovnatelný s jedenáctým září, shrnuje Matěj Schneider reakce na Kirkovu vraždu

Radio Wave

Play Episode Listen Later Sep 12, 2025 7:09


„Charlie Kirk byl klíčovou postavou, která umožňovala Donaldu Trumpovi kontakt s mladými voliči. Za nálepkou influencera se skrýval mocný člověk,“ říká novinář Matěj Schneider o konzervativním aktivistovi, kterého ve středu na mítinku zabil zatím neznámý střelec.

Radio Wave
On Air: Ironie osudu i útok srovnatelný s jedenáctým zářím, shrnuje Matěj Schneider reakce na Kirkovu vraždu

Radio Wave

Play Episode Listen Later Sep 12, 2025 7:09


„Charlie Kirk byl klíčovou postavou, která umožňovala Donaldu Trumpovi kontakt s mladými voliči. Za nálepkou influencera se skrýval mocný člověk,“ říká novinář Matěj Schneider o konzervativním aktivistovi, kterého ve středu na mítinku zabil zatím neznámý střelec.

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi la ville de Paris était-elle polluée bien avant les voitures ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Sep 2, 2025 2:17


Quand on évoque la pollution urbaine, on pense aussitôt aux voitures, aux gaz d'échappement et aux embouteillages. Mais bien avant l'arrivée du moteur à explosion, Paris suffoquait déjà… à cause de ses chevaux. Vers 1900, la capitale comptait environ 80 000 chevaux, utilisés pour le transport des marchandises, des personnes, ou les services publics. Et loin de l'image romantique de la calèche dans les rues pavées, cette omniprésence équine posait un véritable problème sanitaire, environnemental et logistique.À cette époque, les chevaux étaient les piliers du système urbain. On les trouvait chez les boulangers, les pompiers, les services postaux, mais aussi dans les fiacres, ancêtres du taxi. Chaque cheval produisait en moyenne 7 à 10 kilos de fumier par jour, soit plus de 600 000 kilos (600 tonnes) de déjections quotidiennes pour l'ensemble de la ville. À cela s'ajoutaient plusieurs litres d'urine par animal, répandus directement sur les pavés.Le résultat ? Des rues glissantes, nauséabondes, saturées de mouches. L'air de Paris était chargé d'ammoniac et de bactéries, favorisant la prolifération de maladies respiratoires et intestinales. Des épidémies de typhoïde et de dysenterie étaient régulièrement attribuées à l'insalubrité des rues. Le fumier séché, soulevé par le vent, devenait poussière fine, inhalée par les Parisiens, bien avant le problème des particules fines automobiles.Cette situation préoccupait sérieusement les autorités. À la fin du XIXe siècle, Paris engageait plus de 1 500 éboueurs uniquement pour le ramassage du fumier, qui était ensuite vendu aux agriculteurs de la région. Mais la croissance de la ville rendait le système ingérable. Des rapports alarmistes circulaient dans toute l'Europe. À New York, en 1894, on estimait que, si la tendance continuait, la ville serait recouverte de trois mètres de crottin d'ici quelques décennies…Ironie de l'histoire : c'est l'automobile, en partie introduite pour résoudre le problème du cheval, qui devint ensuite la nouvelle source majeure de pollution.Le passage à la motorisation fut donc, à ses débuts, perçu comme une solution écologique et sanitaire. Les voitures ne laissaient pas de déjections sur la chaussée, ne dégageaient pas d'odeurs pestilentielles, et réduisaient le risque de maladies liées à l'insalubrité urbaine. Ce n'est que plus tard qu'on en comprit les conséquences environnementales à long terme.Ainsi, bien avant les pots d'échappement, le crottin de cheval fut le premier grand polluant urbain de l'ère moderne. Une page oubliée de l'histoire de la ville, qui rappelle que la transition écologique n'est jamais simple… ni sans paradoxes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

She's talking
#113 das geht an die hater

She's talking

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 59:38


Mit dem Code "talking" bekommt ihr bei Saily 15% Rabatt auf euer erstes Datenpaket ⭐️ Hier kommt ihr zu Saily: https://saily.com/talking (Anzeige) Huhu & welcome zur Folge 113 (13= Taylor Swift´s lucky number hihi) Wir melden uns heute wieder aus unserem Studio in Berlin. Wir stehen zum Zeitpunkt der Aufnahme kurz vor der unserer letzten Show in Berlin und damit dem Ende des #shestalkingsummer ! Was eine Era oder? Wenn ihr diese Folge hört, ist Soso bereits eine Woche in Kopenhagen. Ein neues Kapitel beginnt, für ein Jahr in einer fremden Stadt im Ausland leben. Hat Soso Angst? Wie fühlt sich das an kurz vor einer neuen Era zu stehen? Gab es Zweifel oder überwiegt die Vorfreude? Außerdem hat uns ein Kommentar angeregt über die vergangenen zwei Jahre Podcast zu reflektieren. War nicht von Anfang an klar, dass wir ein Laberpodcast sind? Ein kleiner Realitätscheck- Social Media als Job, was steckt dahinter? Folgt uns gerne auf @shesstalking auf Tik Tok und Instagram für mehr Austausch und behind the scences! Wir haben euch soooo lieb & freuen uns auf das nächste Jahr, auch wenn sich einiges ändern wird, versuchen wir alles für euch möglich zu machen! Bis nächste Woche

SWR2 Kultur Info
„Cassidy Toner. Besides the Point“ im Kunstmuseum Basel

SWR2 Kultur Info

Play Episode Listen Later Aug 22, 2025 3:52


Der Manor Kunstpreis geht an Cassidy Toner. Die in Basel lebende US-Künstlerin überzeugt mit Humor und Ironie – das Kunstmuseum widmet ihr eine Schau.

SWR2 Kultur Info
Rie Qudan – Tokio Sympathy Tower

SWR2 Kultur Info

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 4:09


In Tokyo wird ein neues Gebäude für Straftäter errichtet – der „Tokyo Sympathy Tower“. In diesem dürfen Leicht- wie Schwerverbrecher ein recht beschauliches Leben führen. Das Gebäude plant die ehrgeizige Architektin Sara Makina. Doch mit den Moralvorstellungen im heutigen Japan, dem steten Einfluss des Englischen und mit ChatGPT hat die Architektin einige Probleme. Mit „Tokyo Sympathy Tower“ – ein Roman voll Witz, Ironie und Tiefsinn – gewann die Autorin Rie Qudan den renommierten Akutagawa-Preis – vergleichbar mit unserem Büchner-Preis. Rezension von Andreas Puff-Trojan

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Barbara Lefebvre : "Les journalistes de Libération j'imagine qu'ils travaillent à l'éventail du coup ? J'espère que le directeur a fait arrêter la clim, ce crime majeur. Désolée, dans un hôpital, c&

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 1:31


Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Emmanuel de Villier débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Antoine Diers : "C'est le chef de gouvernement le plus impopulaire de la Ve République, mais il réussit à se maintenir. Cette cascade est réalisée par un professionnel, c'est fabuleux" - 27/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 0:30


Aujourd'hui, Bruno Poncet, Joëlle Dago-Serry et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
L'ironie du jour - Charles Consigny : "La mairie de Paris a d'autres priorités. Elle fait des concerts inclusifs, des potagers. Elle rémunère Madame Pulvar, qui s'occupe des champs de colza de Paris..." - 26/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 0:34


Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi Burke et Hare furent-ils des serial killers originaux ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 2:25


Au cœur de l'Édimbourg du début du XIXe siècle, l'université de médecine connaît un essor fulgurant. Les étudiants affluent pour suivre les cours des plus grands anatomistes. Mais il y a un problème : la loi écossaise autorise seulement l'utilisation des cadavres de condamnés à mort pour les dissections. Bien trop peu pour répondre à la demande grandissante des écoles de médecine. C'est dans ce contexte que s'installe un marché noir macabre : le trafic de cadavres.C'est là qu'entrent en scène William Burke et William Hare. Les deux hommes se rencontrent en 1827 à Édimbourg. Hare tient une modeste pension de famille. Un jour, un de ses pensionnaires meurt brutalement, laissant une dette impayée. Plutôt que d'alerter les autorités, Burke et Hare décident de vendre le corps à un certain docteur Robert Knox, éminent professeur d'anatomie. Knox leur offre une belle somme pour ce cadavre tout frais. L'idée fait son chemin : pourquoi attendre les morts naturelles quand on peut... provoquer la mort ?Le duo sombre alors dans une spirale criminelle. Leur méthode est simple et redoutablement efficace : attirer des victimes isolées, souvent des mendiants ou des prostituées, dans la pension, les enivrer, puis les étouffer — une technique baptisée plus tard le "Burking", qui ne laisse pas de traces visibles. Ensuite, les corps sont vendus à Knox, qui ferme volontairement les yeux sur l'origine douteuse de ses précieuses fournitures.En moins d'un an, Burke et Hare assassinent au moins 16 personnes. Mais leur série macabre finit par éveiller les soupçons. En novembre 1828, le corps d'une de leurs victimes, Margaret Docherty, est découvert dissimulé dans la pension. La police intervient.Lors du procès retentissant, Hare passe un accord : il témoigne contre son complice en échange de l'immunité. Burke, lui, est condamné à mort. Il est pendu en janvier 1829 devant une foule immense. Ironie du sort : son propre corps est ensuite... disséqué publiquement par les médecins d'Édimbourg.Quant au docteur Knox, bien qu'il ne soit jamais poursuivi, sa réputation est irrémédiablement ternie. L'affaire provoque un tollé en Écosse et en Grande-Bretagne. En 1832, une nouvelle loi sur l'anatomie est votée : désormais, les hôpitaux peuvent utiliser les corps non réclamés des pauvres, mettant fin au sinistre commerce des "résurrectionnistes".Ainsi se clôt l'histoire glaçante de Burke et Hare — deux hommes ordinaires devenus serial killers par appât du gain, dans une ville fascinée... par la science du corps humain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.