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Buenos días desde La Habana, soy Yoani Sánchez y en la ‘Ventana 14’ del jueves 8 de julio de 2021 comentaré estos temas: - Cuba, a la cabeza de los contagios de covid en el Caribe - La Seguridad del Estado impide una protesta en favor de Hamlet Lavastida - Desaparecidos 9 balseros cubanos tras naufragar cerca de Cayo Hueso - Presentación de la novela 'Al pie de las montañas' Gracias por compartir este “cafecito informativo” y te espero temprano para el programa de mañana. Puedes conocer más detalles de estas noticias en el diario https://www.14ymedio.com Enlaces recomendados: - Presentación de la novela 'Al pie de las montañas' https://www.14ymedio.com/eventos_culturales/libros/Presentacion-novela-al-pie-montanas_13_3126417328.html - Cuba, a la cabeza de los contagios de covid en el Caribe https://www.14ymedio.com/cuba/coronavirus-covid-19-Cuba-Caribe-Organizacion_Panamericana_de_la_Salud_0_3126887287.html - Desaparecidos 9 balseros cubanos tras naufragar cerca de Cayo Hueso https://www.14ymedio.com/internacional/rescatados-naufragar-Cayo-Hueso-Florida_0_3126287345.html - Cuba vive una crisis total y echa mano de la Brigada Henry Reeve en Matanzas https://www.14ymedio.com/cuba/coronavirus-covid-19-Matanzas-Guantanamo-Brigada_Medica_Henry_Reeve_0_3126287344.html
A cikin shirin 'Al'adunmu na Gado', Mohammane salissou Hamissou ya kawo mana yadda wasu masu kishin harshenn Hausa suka shirya bikin gasar rubuta gajeren labari a cikin harshen Hausa, inda wadanda suka yi nasara suka lashe kyautuka.
El gran público conoció a Pablo Perea como cantante de La Trampa en 1989 y a finales de 2018 celebraba un concierto por su 30 aniversario en la música en el Auditorio Sanchinarro de Madrid. Allí estuvo junto a músicos y artistas muy importantes durante toda su carrera profesional. TMDHTM20210608_0011 Ahora vuelve en Arganda del Rey con la continuación de ese concierto pero en esta ocasión en formato eléctrico y con banda. El evento será el próximo sábado en el teatro Casablanca de Arganda con este nuevo concierto llamado '30 y tantos al lado de ti 2': "Voy a tocar una serie de canciones que no suelo poner y que el público siempre me demanda", cuenta el cantante en Onda Madrid. Pablo Perea, 'Si te he dado la vida' El artista hará el próximo sábado en Arganda un recorrido por grandes temas de sus más 30 años de carrera musical, desde La Trampa hasta el nuevo discorememorará títulos de éxito como 'Acércate y bésame', 'Volver a casa', 'Te echo de menos', o 'Al lado de ti', reconoce los nervios antes de subirse a escena: 'Cuando se está tanto tiempo sin subirse a un escenario sin enfrentarte al público y con un repertorio propio, da un poco de vértigo".
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste1. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud2, un riche négociant en soie ardéchois3,4. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional En 1860, il est engagé comme secrétaire du duc de Morny (1811-1865), demi-frère de Napoléon III et président du Corps Législatif. Ce travail de secrétaire lui laisse beaucoup de temps libre qu'il occupe à écrire des contes et des chroniques. Mais les premiers symptômes de la syphilis apparaissent9 et son médecin lui conseille de partir pour un climat plus clément. Il voyage ainsi en Algérie, en Corse, et en Provence Puis le duc meurt subitement en 1865. Cela provoque le tournant décisif de la carrière d'Alphonse qui décide de se consacrer entièrement à l'écriture, comme chroniqueur au journal Le Figaro et comme écrivain.
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional. En 1860, il est engagé comme secrétaire du duc de Morny (1811-1865), demi-frère de Napoléon III et président du Corps Législatif. Ce travail de secrétaire lui laisse beaucoup de temps libre qu'il occupe à écrire des contes et des chroniques. Mais les premiers symptômes de la syphilis apparaissent9 et son médecin lui conseille de partir pour un climat plus clément. Il voyage ainsi en Algérie, en Corse, et en Provence. Puis le duc meurt subitement en 1865. Cela provoque le tournant décisif de la carrière d'Alphonse qui décide de se consacrer entièrement à l'écriture, comme chroniqueur au journal Le Figaro et comme écrivain. Il connaît son premier succès en 1862-1865 avec la Dernière Idole, pièce montée à l'Odéon et écrite en collaboration avec Ernest Manuel (pseudonyme d'Ernest Lépine). Alphonse Daudet dans son cabinet de travail avec Julia Allard, son épouse (détail) — Louis Montegut (c. 1880), musée Carnavalet. Après avoir voyagé en Provence, Daudet débute avec Paul Arène (considéré comme son nègre) l'écriture des premiers textes des Lettres de mon moulin. Le journal L'Événement les publiera comme feuilleton pendant tout l'été de l'année 1866, sous le titre de Chroniques provençales. Certains des récits des Lettres de mon moulin sont restés parmi les histoires les plus populaires de la littérature française, comme La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses ou L'Élixir du Révérend Père Gaucher. Le premier vrai roman d'Alphonse Daudet, Le petit Chose. Histoire d'un enfant., que l'auteur lui-même qualifie de « sorte d'autobiographie » est écrit en 1868. En 1874 Alphonse décide d'écrire des romans de mœurs comme Fromont jeune et Risler aîné, Jack (1876), Le Nabab (1877) — dont François Bravay est le « modèle » —, Les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881), L'Immortel (1888), etc. Consacrant l'essentiel de son œuvre au roman et au théâtre (il est l'auteur de dix-sept pièces), il ne délaisse pas pour autant son travail de conteur. En 1872, il publie Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon, dont le personnage est devenu mythique. Contes du lundi (1873), un recueil de contes sur la guerre franco-allemande de 1870, témoigne aussi de son goût pour ce genre et pour les récits merveilleux. Puis Daudet subit les premières atteintes d'une maladie incurable de la moelle épinière, le tabes dorsalis, une complication neurologique de la syphilis. Il continue de publier jusqu'en 1895 et meurt finalement le 16 décembre 1897, au 41 rue de l'Université à Paris, à l'âge de 57 ans. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (26e division) à Paris.
DJ Nano nos presenta en 'Por fin no es lunes' 'Al otro lado de la cabina', el libro que revela todo sus secretos y anécdotas.
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional. En 1860, il est engagé comme secrétaire du duc de Morny (1811-1865), demi-frère de Napoléon III et président du Corps Législatif. Ce travail de secrétaire lui laisse beaucoup de temps libre qu'il occupe à écrire des contes et des chroniques. Mais les premiers symptômes de la syphilis apparaissent9 et son médecin lui conseille de partir pour un climat plus clément. Il voyage ainsi en Algérie, en Corse, et en Provence10. Puis le duc meurt subitement en 1865. Cela provoque le tournant décisif de la carrière d'Alphonse qui décide de se consacrer entièrement à l'écriture, comme chroniqueur au journal Le Figaro et comme écrivain. Il connaît son premier succès en 1862-1865 avec la Dernière Idole, pièce montée à l'Odéon et écrite en collaboration avec Ernest Manuel (pseudonyme d'Ernest Lépine). Alphonse Daudet dans son cabinet de travail avec Julia Allard, son épouse (détail) — Louis Montegut (c. 1880), musée Carnavalet. Après avoir voyagé en Provence, Daudet débute avec Paul Arène (considéré comme son nègre) l'écriture des premiers textes des Lettres de mon moulin. Le journal L'Événement les publiera comme feuilleton pendant tout l'été de l'année 1866, sous le titre de Chroniques provençales. Certains des récits des Lettres de mon moulin sont restés parmi les histoires les plus populaires de la littérature française, comme La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses ou L'Élixir du Révérend Père Gaucher. Le premier vrai roman d'Alphonse Daudet, Le petit Chose. Histoire d'un enfant., que l'auteur lui-même qualifie de « sorte d'autobiographie »12 est écrit en 1868. En 1874 Alphonse décide d'écrire des romans de mœurs comme Fromont jeune et Risler aîné (prix de Jouy de l'Académie française), Jack (1876), Le Nabab (1877) — dont François Bravay est le « modèle » —, Les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881), L'Immortel (1888), etc. Consacrant l'essentiel de son œuvre au roman et au théâtre (il est l'auteur de dix-sept pièces), il ne délaisse pas pour autant son travail de conteur. En 1872, il publie Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon, dont le personnage est devenu mythique. Contes du lundi (1873), un recueil de contes sur la guerre franco-allemande de 1870, témoigne aussi de son goût pour ce genre et pour les récits merveilleux. Puis Daudet subit les premières atteintes d'une maladie incurable de la moelle épinière, le tabes dorsalis, une complication neurologique de la syphilis. Il continue de publier jusqu'en 1895 et meurt finalement le 16 décembre 1897, au 41 rue de l'Université à Paris, à l'âge de 57 ans. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (26e division) à Paris.
A cikin shirin 'Al'adunmu Na Gado' na wannan makon Mohammane Salissou Hamissou dora a kan waiwaye a kan rayuwar Bob Marley, wanda ya cika shekaru 40 da mutuwa.
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste1. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud2, un riche négociant en soie ardéchois3,4. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Lettres de mon moulin est un recueil de nouvelles d'Alphonse Daudet. Le titre fait référence au moulin Saint-Pierre, situé à Fontvieille (Bouches-du-Rhône) Après avoir voyagé en Provence, Daudet débute avec Paul Arène, l'écriture des premiers textes des Lettres de mon moulin. Le journal L'Événement les publiera comme feuilleton pendant tout l'été de l'année 1866, sous le titre de Chroniques provençales. Certains des récits des Lettres de mon moulin sont restés parmi les histoires les plus populaires de la littérature française, comme La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses ou L'Élixir du Révérend Père Gaucher. Le premier vrai roman d'Alphonse Daudet, Le petit Chose. Histoire d'un enfant., que l'auteur lui-même qualifie de « sorte d'autobiographie »12 est écrit en 1868. En 1874 Alphonse décide d'écrire des romans de mœurs comme Fromont jeune et Risler aîné, Jack (1876), Le Nabab (1877) — dont François Bravay est le « modèle » —, Les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881), L'Immortel (1888), etc. Consacrant l'essentiel de son œuvre au roman et au théâtre (il est l'auteur de dix-sept pièces), il ne délaisse pas pour autant son travail de conteur. En 1872, il publie Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon, dont le personnage est devenu mythique. Contes du lundi (1873), un recueil de contes sur la guerre franco-allemande de 1870, témoigne aussi de son goût pour ce genre et pour les récits merveilleux. Puis Daudet subit les premières atteintes d'une maladie incurable de la moelle épinière, le tabes dorsalis, une complication neurologique de la syphilis. Il continue de publier jusqu'en 1895 et meurt finalement le 16 décembre 1897, au 41 rue de l'Université à Paris, à l'âge de 57 ans. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (26e division) à Paris.
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridionaEn Camargue, d'abord publié dans Le Bien public des 24 juin et 8 juillet 1873, puis dans Robert Helmont en 1874 Le Départ ; La Cabane ; À l'espére ! (À l'affût !) ; Le Rouge et le Blanc ; Le Vaccarès ;
El 'Cinema a la Xarxa' d'aquesta setmana homenatja la figura i carrera del director franc
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles6. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional En 1860, il est engagé comme secrétaire du duc de Morny (1811-1865), demi-frère de Napoléon III et président du Corps Législatif. Ce travail de secrétaire lui laisse beaucoup de temps libre qu'il occupe à écrire des contes et des chroniques. Mais les premiers symptômes de la syphilis apparaissent et son médecin lui conseille de partir pour un climat plus clément. Il voyage ainsi en Algérie, en Corse, et en Provence. Puis le duc meurt subitement en 1865. Cela provoque le tournant décisif de la carrière d'Alphonse qui décide de se consacrer entièrement à l'écriture, comme chroniqueur au journal Le Figaro et comme écrivain. Il connaît son premier succès en 1862-1865 avec la Dernière Idole, pièce montée à l'Odéon et écrite en collaboration avec Ernest Manuel (pseudonyme d'Ernest Lépine). Alphonse Daudet dans son cabinet de travail avec Julia Allard, son épouse (détail) — Louis Montegut (c. 1880), musée Carnavalet. Après avoir voyagé en Provence, Daudet débute avec Paul Arène (considéré comme son nègre11) l'écriture des premiers textes des Lettres de mon moulin. Le journal L'Événement les publiera comme feuilleton pendant tout l'été de l'année 1866, sous le titre de Chroniques provençales. Certains des récits des Lettres de mon moulin sont restés parmi les histoires les plus populaires de la littérature française, comme La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses ou L'Élixir du Révérend Père Gaucher. Le premier vrai roman d'Alphonse Daudet, Le petit Chose. Histoire d'un enfant., que l'auteur lui-même qualifie de « sorte d'autobiographie »12 est écrit en 1868. En 1874 Alphonse décide d'écrire des romans de mœurs comme Fromont jeune et Risler aîné, Jack (1876), Le Nabab (1877) — dont François Bravay est le « modèle » —, Les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881), L'Immortel (1888), etc. Consacrant l'essentiel de son œuvre au roman et au théâtre (il est l'auteur de dix-sept pièces), il ne délaisse pas pour autant son travail de conteur. En 1872, il publie Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon, dont le personnage est devenu mythique. Contes du lundi (1873), un recueil de contes sur la guerre franco-allemande de 1870, témoigne aussi de son goût pour ce genre et pour les récits merveilleux. Puis Daudet subit les premières atteintes d'une maladie incurable de la moelle épinière, le tabes dorsalis, une complication neurologique de la syphilis. Il continue de publier jusqu'en 1895 et meurt finalement le 16 décembre 1897, au 41 rue de l'Université à Paris, à l'âge de 57 ans. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (26e division) à Paris.
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles6. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional En 1860, il est engagé comme secrétaire du duc de Morny (1811-1865), demi-frère de Napoléon III et président du Corps Législatif. Ce travail de secrétaire lui laisse beaucoup de temps libre qu'il occupe à écrire des contes et des chroniques. Mais les premiers symptômes de la syphilis apparaissent et son médecin lui conseille de partir pour un climat plus clément. Il voyage ainsi en Algérie, en Corse, et en Provence. Puis le duc meurt subitement en 1865. Cela provoque le tournant décisif de la carrière d'Alphonse qui décide de se consacrer entièrement à l'écriture, comme chroniqueur au journal Le Figaro et comme écrivain. Il connaît son premier succès en 1862-1865 avec la Dernière Idole, pièce de théâtre montée à l'Odéon et écrite en collaboration avec Ernest Manuel (pseudonyme d'Ernest Lépine). Alphonse Daudet dans son cabinet de travail avec Julia Allard, son épouse (détail) — Louis Montegut (c. 1880), musée Carnavalet. Après avoir voyagé en Provence, Daudet débute avec Paul Arène (considéré comme son nègre) l'écriture des premiers textes des Lettres de mon moulin. Le journal L'Événement les publiera comme feuilleton pendant tout l'été de l'année 1866, sous le titre de Chroniques provençales. Certains des récits des Lettres de mon moulin sont restés parmi les histoires les plus populaires de la littérature française, comme La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses ou L'Élixir du révérend père Gaucher. Le premier vrai roman d'Alphonse Daudet, Le petit Chose. Histoire d'un enfant., que l'auteur lui-même qualifie de « sorte d'autobiographie » est écrit en 1868. En 1874 Alphonse décide d'écrire des romans de mœurs comme Fromont jeune et Risler aîné (prix de Jouy de l'Académie française), Jack (1876), Le Nabab (1877) — dont François Bravay est le « modèle » —, Les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881), L'Immortel (1888), etc. Consacrant l'essentiel de son œuvre au roman et au théâtre (il est l'auteur de dix-sept pièces), il ne délaisse pas pour autant son travail de conteur. En 1872, il publie Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon, dont le personnage est devenu mythique. Contes du lundi (1873), un recueil de contes souvent poignants sur la guerre franco-allemande de 1870, témoigne aussi de son goût pour ce genre et pour les récits merveilleux. Puis Daudet subit les premières atteintes d'une maladie incurable de la moelle épinière, le tabes dorsalis, une complication neurologique de la syphilis. Il continue de publier jusqu'en 1895 et meurt finalement le 16 décembre 1897, au 41 rue de l'Université à Paris, à l'âge de 57 ans. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (26e division) à Paris.
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional Lettres de mon moulin est un recueil de nouvelles d'Alphonse Daudet. Le titre fait référence au moulin Saint-Pierre, situé à Fontvieille (Bouches-du-Rhône
Alphonse Daudet, né le 13 mai 1840 à Nîmes et mort le 16 décembre 1897 à Paris, est un écrivain et auteur dramatique français. Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois3,4. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles5. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional LA MULE DU PAPE PREMIÈRE PUBLICATION Nouvelle parue dans Le Figaro le 30 octobre 1868. Reprise dans le recueil des Lettres de mon moulin (1869).RÉSUMÉ Le jeune Tistet Védène, fils du sculpteur d'or, entre dans la maîtrise du pape. Il est notamment chargé de s'occuper de la mule de ce dernier mais il la maltraite. L'animal lui en veut et rumine sa vengeance. Tistet est ensuite envoyé auprès de la reine Jeanne à Naples en tant que diplomate. La mule doit donc remettre à plus tard son châtiment. Après sept ans, Tistet revient pour être moutardier du pape. Lors de la cérémonie, la mule trouve enfin le moment pour exercer sa vengeance en décochant à son ancien bourreau un coup de sabot mortel. EXTRAIT De tous les jolis dictons, proverbes ou adages, dont nos paysans de Provence passementent leurs discours, je n'en sais pas un plus pittoresque ni plus singulier que celui-ci. À quinze lieues autour de mon moulin, quand on parle d'un homme rancunier, vindicatif, on dit : « Cet homme-là ! méfiez-vous !… il est comme la mule du pape, qui garde sept ans son coup de pied. »
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional Lettres de mon moulin est un recueil de nouvelles d'Alphonse Daudet. Le titre fait référence au moulin Saint-Pierre, situé à Fontvieille (Bouches-du-Rhône
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste1. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles5. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles6. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridiona En Camargue, d'abord publié dans Le Bien public des 24 juin et 8 juillet 1873, puis dans Robert Helmont en 1874 Le Départ ; La Cabane ; À l'espére ! (À l'affût !) ; Le Rouge et le Blanc ; Le Vaccarès ;
Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois3,4. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles5. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles6. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional. En 1860, il est engagé comme secrétaire du duc de Morny (1811-1865), demi-frère de Napoléon III et président du Corps Législatif. Ce travail de secrétaire lui laisse beaucoup de temps libre qu'il occupe à écrire des contes et des chroniques. Mais les premiers symptômes de la syphilis apparaissent et son médecin lui conseille de partir pour un climat plus clément. Il voyage ainsi en Algérie, en Corse, et en Provence. Puis le duc meurt subitement en 1865. Cela provoque le tournant décisif de la carrière d'Alphonse qui décide de se consacrer entièrement à l'écriture, comme chroniqueur au journal Le Figaro et comme écrivain. Il connaît son premier succès en 1862-1865 avec la Dernière Idole, pièce montée à l'Odéon et écrite en collaboration avec Ernest Manuel (pseudonyme d'Ernest Lépine). Alphonse Daudet dans son cabinet de travail avec Julia Allard, son épouse (détail) — Louis Montegut (c. 1880), musée Carnavalet. Après avoir voyagé en Provence, Daudet débute avec Paul Arène (considéré comme son nègre11) l'écriture des premiers textes des Lettres de mon moulin. Le journal L'Événement les publiera comme feuilleton pendant tout l'été de l'année 1866, sous le titre de Chroniques provençales. Certains des récits des Lettres de mon moulin sont restés parmi les histoires les plus populaires de la littérature française, comme La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses ou L'Élixir du Révérend Père Gaucher Le premier vrai roman d'Alphonse Daudet, Le petit Chose. Histoire d'un enfant., que l'auteur lui-même qualifie de « sorte d'autobiographie » est écrit en 1868. En 1874 Alphonse décide d'écrire des romans de mœurs comme Fromont jeune et Risler aîné, Jack (1876), Le Nabab (1877) — dont François Bravay est le « modèle » —, Les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881), L'Immortel (1888), etc. Consacrant l'essentiel de son œuvre au roman et au théâtre (il est l'auteur de dix-sept pièces), il ne délaisse pas pour autant son travail de conteur. En 1872, il publie Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon, dont le personnage est devenu mythique. Contes du lundi (1873), un recueil de contes sur la guerre franco-allemande de 1870, témoigne aussi de son goût pour ce genre et pour les récits merveilleux. Puis Daudet subit les premières atteintes d'une maladie incurable de la moelle épinière, le tabes dorsalis, une complication neurologique de la syphilis. Il continue de publier jusqu'en 1895 et meurt finalement le 16 décembre 1897, au 41 rue de l'Université à Paris, à l'âge de 57 ans. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (26e division) à Paris.
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Alphonse Daudet naît à Nîmes le 13 mai 1840, dans une famille catholique et légitimiste. Son père Vincent Daudet, dont les ancêtres sont cévenols, est tisserand et négociant en soieries. Sa mère Adeline est la fille d'Antoine Reynaud, un riche négociant en soie ardéchois. Il passe la majeure partie de sa petite enfance à quelques kilomètres de Nîmes, dans le village de Bezouce. Puis il suit les cours de l'institution Canivet à Nîmes. Son père ferme sa fabrique, la famille déménage à Lyon en 1849, et Alphonse entre en sixième au lycée Ampère de la ville. La ruine complète de son père en 1855 l'oblige à renoncer à passer son baccalauréat. Il devient alors maître d'étude au collège d'Alès. Cette expérience pénible lui inspirera son premier roman, Le Petit Chose (1868), dans lequel il mêle des faits réels et d'autres inventés, comme la mort de son frère. Désirant faire une carrière littéraire, il rejoint son frère Ernest à Paris en novembre 1857. Désargenté, il mène cependant une joyeuse vie de bohème. Mais la fréquentation d'une des dames de l'entourage de l'impératrice Eugénie lui vaut de contracter une affection syphilitique extrêmement grave, avec des complications dont il souffrira toute sa vie, en particulier une ataxie locomotrice qui l'oblige à marcher avec des béquilles5. Collaborant dans différents journaux (notamment Paris-Journal, L'Universel et Le Figaro), il publie en 1858 un recueil de vers, Les Amoureuses, et entame la même année une liaison avec Marie Rieu, une jeune modèle aux mœurs faciles6. Elle devient sa maîtresse officielle et elle lui inspire le personnage du roman Sapho. Il rencontre l'année suivante l'écrivain Frédéric Mistral et ce sera le début d'une grande amitié. La correspondance nourrie qu'entretiendront les deux hommes pendant près de 40 ans ne sera ternie que lorsque Daudet publiera L'Arlésienne (1869) et le roman Numa Roumestan (1881), caricatures du tempérament méridional Lettres de mon moulin est un recueil de nouvelles d'Alphonse Daudet. Le titre fait référence au moulin Saint-Pierre, situé à Fontvieille (Bouches-du-Rhône
Alphonse Daudet, né le 13 mai 1840 à Nîmes dans le département du Gard et mort le 16 décembre 1897 (à 57 ans) à Paris, est un écrivain et auteur dramatique français. Certains des récits des Lettres de mon moulin sont restés parmi les histoires les plus populaires de notre littérature, comme La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses ou L'Élixir du Révérend Père Gaucher. Le premier vrai roman d'Alphonse Daudet, Le Petit Chose, est écrit en 1868. Il s'agit du roman autobiographique d'Alphonse dans la mesure où il évoque son passé de maître d'étude au collège d'Alès (dans le Gard, au nord de Nîmes). C'est en 1874 qu'Alphonse décide d'écrire des romans de mœurs comme : Fromont jeune et Risler aîné mais aussi Jack (1876), Le Nabab (1877) — dont François Bravay est le « modèle » —, Les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881) ou L'Immortel (1888). Consacrant l'essentiel de son œuvre au roman et au théâtre (il est l'auteur de dix-sept pièces), il ne délaisse pas pour autant son travail de conteur : en 1872, il publie Aventures prodigieuses de Tartarin de Tarascon, dont le personnage est devenu mythique. Contes du lundi (1873), un recueil de contes sur la guerre franco-allemande de 1870, témoignent aussi de son goût pour ce genre et pour les récits merveilleux. mot regionnaux: Un geindre : Le geindre est un vieux métier de bouche. Il s'agit de l'assistant du boulanger
Sesli Köşe-Yılmaz Özdil-'Al sana soykırım!'
Hoy toca 'Al otro lado del micrófono KIDS' con mi hija Nerea y nos trae uno de sus últimos podcast favoritos: 'Las cosas de Emma'. Tenéis todos los métodos de suscripción en el post de hoy ¡y recordad pegar vuestras propias recomendaciones!https://jorgemarinnieto.com/2021/04/25/las-cosas-de-emma-diferente-lunespodcastero/Recuerda que puedes apoyar a este podcast a través de mi perfil en Ko-Fi invitándome a un café entrando en: https://jorgemarinnieto.com/cafe o si lo prefieres comprando la taza oficial del podcast en https://ko-fi.com/s/52bd09c749?published=true#shareNewShopItemModal. Si no quieres que te cueste nada, puedes hacerlo realizando tus compras en Amazon a través de mi enlace de afiliados: https://jorgemarinnieto.com/amazonRevisa la pestaña de Commissions si quieres que tu proyecto se convierta en el patrocinador de este podcast. Puedes escoger entre un episodio dedicado, un patrocinio semanal, quincenal o mensual.Si no quieres perderte ninguna de las recomendaciones, noticias, herramientas, eventos o curiosidades relacionadas con el podcasting te recomiendo unirte al canal de Telegram del podcast a través de: https://t.me/alotroladodelmicrofono o bien, siguiendo mi cuenta de Twitter: @Eove
durée : 00:06:26 - Le 7H50 l'invité de la rédaction - Gilles Roumieux, professeur d'histoire-géographie au collège Jean Racine d'Alés invité du 7H50 de France Bleu Gard Lozère
Hoy se ha pasado 'Al otro lado del micrófono' Gonzalo Cuélliga de Podhanger, para hablarnos de una noticia que hará las delicias de todos los usuarios de Alsa durante sus viajes en autobús.https://www.nexotrans.com/noticia/100636/nexobus/alsa-mejora-el-entretenimiento-a-bordo-de-la-mano-de-audible.htmlRecuerda que puedes apoyar a este podcast a través de mi perfil en Ko-Fi invitándome a un café entrando en: http://jorgemarinnieto.com/cafe o si lo prefieres comprando la taza oficial del podcast en https://ko-fi.com/s/52bd09c749?published=true#shareNewShopItemModal. Si no quieres que te cueste nada, puedes hacerlo realizando tus compras en Amazon a través de mi enlace de afiliados: http://jorgemarinnieto.com/amazonRevisa la pestaña de Commissions si quieres que tu proyecto se convierta en el patrocinador de este podcast. Puedes escoger entre un episodio dedicado, un patrocinio semanal, quincenal o mensual.Si no quieres perderte ninguna de las recomendaciones, noticias, herramientas, eventos o curiosidades relacionadas con el podcasting te recomiendo unirte al canal de Telegram del podcast a través de: http://t.me/alotroladodelmicrofono o bien, siguiendo mi cuenta de Twitter: @Eove
Koeman sabe que necesita 'Al mejor Messi' y Zidane espera que el título se defina hasta el final.
durée : 00:06:31 - Le 7H50 l'invité de la rédaction - Comme tous les hôpitaux, celui d'Alès enregistre une hausse des malades atteints du Covid-19. Ce samedi, il a même fallu en transférer deux à Cahors et à Tarbes. Moyenne d'âge : 60 ans. Jean-François Lauze, président de la Commission médicale d'établissement était l'invité du 7h50 ce lundi.
Este é o podcast do PublisNews - Há 20 anos é aqui que você se informa sobre o mercado editorial Nos últimos anos, o número de brasileiros que vivem no exterior tem aumentado. Portugal, por exemplo, contava com mais de 150 mil imigrantes brasileiros em 2019, um aumento de 43% com relação ao ano anterior, segundo dados do Serviço de Estrangeiros e Fronteiras. No último ano, também cresceu o número de editoras brasileiras que começaram a levar seus livros para a terra mãe. Simone Paulino, fundadora da Editora Nós, descobriu quase que por acaso que tinha leitores portugueses fiéis e decidiu encarar este desafio transoceânico de levar as obras da editora para o mercado luso. O projeto foi assegurado por uma parceria com a Motor Editorial, iniciativa dos editores Julio Silveira, da Imã, e Jorge Sallum, da Hedra, para imprimir e distribuir livros brasileiros em Portugal. Outro exemplo é o de Jaime Mendes. Além de colunista do PN+ nas suas "Notícias d'Além Mar", ele fundou no ano passado – no meio da pandemia – a Saudade, uma distribuidora de livros que leva livros do Brasil para Portugal. Isso depois de conseguir experimentar o mercado editorial de lá e ver que os livros brasileiros não eram exportados para aquele país há mais de vinte anos. No episódio de hoje nossa equipe recebeu os dois, Simone e Jaime, para dar um panorama sobre o mercado português de livros, o desafio de levar livros brasileiros para Portugal, como conquistar o público luso, as estratégias adotadas e os planos para o futuro. Este podcast é um oferecimento da MVB Brasil, empresa que traz soluções em tecnologia para o mercado do livro. Além da Metabooks, reconhecida plataforma de metadados, a MVB oferece para o mercado brasileiro o único serviço de EDI exclusivo para o negócio do livro. Com a Pubnet, o seu processo de pedidos ganha mais eficiência. Já ouviu falar em POD, impressão sob demanda? Nossos parceiros da UmLivro são referência dessa tecnologia no Brasil, que permite vender primeiro e imprimir depois; reduzindo custos com estoque, armazenamento e distribuição. Com o POD da UmLivro, você disponibiliza 100% do seu catálogo sem perder nenhuma venda. Este é o programa número 159 do dia 5 de abril de 2021 gravado no dia 25 de março. Eu sou Fabio Uehara, com Maju Alves, Talita Fachinni e Leonardo Neto e vamos ouvir a nossa conversa com a Simone e o Jaime Younger https://www.primevideo.com/detail/0PDQTW56RQ4KWXVLISJ5DZCR22/ref=atv_dp_share_cu_r Coluna do Jaime Mendes - https://pnmais.com https://pnmais.com/tag/noticias-dalem-mar/ O Aparecimento do Livro de Lucien Febvre e Henri-Jean Martin - https://www.edusp.com.br/livros/aparecimento-do-livro/ Livraria Mandarina https://livrariamandarina.com.br/ Eugenia Cafe https://www.facebook.com/eugeniacafebar/ Os setes de Chicago - https://www.netflix.com/title/81043755 Voz suprema do blues - https://www.netflix.com/title/81100780 Doceria Isabela Akkari - https://isabelaakkari.com.br/home Ford vs Ferrari - https://www.telecineplay.com.br/filme/Ford_Vs_Ferrari_19141 Podcast Uma estrangeira - https://anchor.fm/uma-estrangeira --- Send in a voice message: https://anchor.fm/podcast-do-publishnews/message
La Tina Ruiz parla de la invisibilitat de la dona en un entorn 'previsiblement tant progressista' com és l'art i la cultura. I ho fa parlant amb l'Alícia Martel, creadora del projecte 'Dona Cançó'
Gio went on to Stugotz's podcast recently and they played a little game of 'Al, Eddie or Jerry', so Gregg wanted to play with Boomer, (4:46) Dan in Carteret felt like calling the show and he did, (13:37) Jerry Recco's update included some audio of John Sterling hosting a call-in radio show 49 years ago and things got heated, (27:06) Tuesday's highly anticipated 'Moment of the Day' was a humbling one for Gio and (30:27) Maggie Gray, cohost of WFAN's midday show, called in to tell Gio to keep his head-up and wondered why he didn't call her prior to trying to eat 22 boneless wings in 90 seconds. See omnystudio.com/listener for privacy information.
A cikin shirin 'Al'adunmu Na Gado' na wannan mako, Mohammane Salissou Hamissou ya yi nazari a kan masarautu ko daulolin mata da suka yi fice a kasar Hausa. A cikin shirin, akwai ganawa da manyan malaman tarihi da suka lakanci tarihin kasar Hausa.
A cikin shirin 'Al'adunmu Na gado' na wannan mako, Mohammane Salissou Hamissou ya yi nazari a kan al'adar yi wa juna takwara a tsakanin al'ummar Kanuri, mahimmancinta da kuma yadda ta ke karfafa dankon zumunci, da ma yadda al'adar ke kaucewa daga alkiblarta.
Samedi 6 mars , Frédéric Simottel a reçu Vincent Champain, Chief Digital Officer de Framatome, Olivier Mathiot, président de The Camp, Didier Zeitoun, PDG de Magellan Partners, Benjamin Benharrosh, cofondateur de Delair, Emmanuel Guyonnet, directeur des programmes Drones de Thales et Hugues d'Alès, directeur général adjoint d'Azur Drones, dans l'émission 01 Business Forum sur BFM Business. Retrouvez l'émission le samedi et réécoutez la en podcast.
各位链团财经的读者朋友们,大家早上好,欢迎收听链团财经早资讯。今天是2021年2月20日,农历正月初九,首先让我们聚焦热点新闻:李东荣:推动监管科技在我国数字金融领域的相关探索与应用“滴滴青桔”即将完成6亿美元B轮融资佳格天地推出“地芯''Al地物识别算法研究称未来将用静脉身份识别,比指纹更安全接下来让我们走进区块链领域:世界经济论坛发布2021年区块链的4个预测Visa已支持全球35家合规的数字货币服务商河北省政府工作报告:2021年将建设中国雄安数字交易中心证券时报头版评论:主流分析认为比特币此轮上涨由机构驱动,央行退出宽松或引发抛售中币(ZB)市场研究报告:比特币有望突破六万美元新高,但反之将下跌报告:41%的英国人认为投资加密货币的风险与股市一样高葡萄牙一能源贸易公司将接受比特币支付电费吉利控股与区块链技术公司Concordium设立合资公司摩根大通:比特币是一种针对股价下跌的糟糕对冲,或削弱其上升势头马斯克:比特币“几乎”和法定货币一样是胡扯美国财长:BTC是高度投机资产 监管其交易机构保护投资者很重要据CNBC 2月19日消息,美国财长耶伦表示,比特币是高度投机的资产。她指出,近年来比特币的波动性很高。当被问及是否认为需要监管时,耶伦说,任何行动都必须与保护投资者有关。她称,我认为重要的是确保不要将其用作引发交易的手段,并确保投资者受到保护。因此,监管比特币交易机构,确保它们遵守自己的监管责任,我认为当然很重要。
Iratxe Ansa, Premio Nacional de Danza 2020 en la categoría de Interpretación, presenta este jueves en el Teatro Arriaga de Bilbao una de sus últimas creaciones: 'Al Desnudo', una pieza nacida en confinamiento y en la que comparte escenario con el bailarín y coreógrafo italiano Igor Bacovich. 'Al desnudo' surge como respuesta a muchas preguntas que normalmente escapan a la percepción del espectador. En palabras de Ansa y Bacovich, “nos interesaba investigar cómo se puede percibir un espectáculo desde otro punto de vista”. "El nuestro es un lenguaje físico bastante explícito. Al desnudo muestra a dos bailarines que también son coreógrafos dando todo en el escenario. Para nosotros, la búsqueda de la excelencia es algo que nunca termina. Continuar investigando es lo que nos divierte. Nuestra pasión nos lleva a querer siempre mejorar y exigirnos más. No sabemos trabajar de otra manera".
Chantal Pattyn praat met Peter Terrin over zijn nieuwe roman 'Al het blauw'. Architecte en Horta-experte Barbara Van der Wee meet de schade op aan het Paleis voor Schone Kunsten na de brand, en vertelt over de andere Horta-realisaties waarmee ze momenteel in de weer is.
durée : 00:06:26 - Le 7H50 l'invité de la rédaction - Christophe Rivenq, président "Les Républicains" d'Alés Agglomération invité du 7H50 de France Bleu Gard Lozère
These excerpts from the book - "Know Yourself: An Explanation of the Oneness of Being" (translated by Cecilia Twinch) have been formatted for guided meditation purposes. Please note, the languaging for the description of the Absolute Reality has been rendered gender neutral. 'Abū 'Abdullāh Muḥammad ibn 'Alī ibn Muḥammad ibn `Arabī al-Ḥātimī aṭ-Ṭāʾī was a Sufi mystic, poet, and philosopher born in Murcia, Spain on the 17th of Ramaḍān (26 July 1165 AD). He was one of the great mystics of all time. Through the richness of his personal experience and the constructive power of his intellect, he made a unique contribution to Shi'ite Sufism. He was considered a Saint. After his death, Ibn Arabi's teachings quickly spread throughout the Islamic world. His writings were not limited to the Muslim elites, but made their way into other ranks of society through the widespread reach of the Sufi orders. Arabi's work also popularly spread through works in Persian, Turkish, and Urdu. Music: Kyotaku Meditation- Track can be downloaded for free here: http://www.magicmusic-online.com/Kyot...Meditation - Deep Silence - Music - Awakening
We heard all about Al Dukes latest venture, as the esteemed Executive Producer of The Morning Show has teamed-up with the Bradley Beach Brewery to create, 'Al's Boring Beer' (all proceeds will got to The Boomer Esiason Foundation), turns out Gio had a similar idea for the Bellport Brewery, stay-tuned. (11:03) We learned a little about Boomer's organ donation box and Al's desire to get in there, (13:41) The Knicks are sure giving off some good vibrations, (20:59) who's trippin'??? What's trippin'??? See omnystudio.com/listener for privacy information.
Mateo 25,31-46. Jesús dijo a sus discípulos: "Cuando el Hijo del hombre venga en su gloria rodeado de todos los ángeles, se sentará en su trono glorioso. Todas las naciones serán reunidas en su presencia, y él separará a unos de otros, como el pastor separa las ovejas de los cabritos, y pondrá a aquellas a su derecha y a estos a su izquierda. Entonces el Rey dirá a los que tenga a su derecha: 'Vengan, benditos de mi Padre, y reciban en herencia el Reino que les fue preparado desde el comienzo del mundo, porque tuve hambre, y ustedes me dieron de comer; tuve sed, y me dieron de beber; estaba de paso, y me alojaron; desnudo, y me vistieron; enfermo, y me visitaron; preso, y me vinieron a ver'. Los justos le responderán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento, y te dimos de comer; sediento, y te dimos de beber? ¿Cuándo te vimos de paso, y te alojamos; desnudo, y te vestimos? ¿Cuándo te vimos enfermo o preso, y fuimos a verte?'. Y el Rey les responderá: 'Les aseguro que cada vez que lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, lo hicieron conmigo'. Luego dirá a los de su izquierda: 'Aléjense de mí, malditos; vayan al fuego eterno que fue preparado para el demonio y sus ángeles, porque tuve hambre, y ustedes no me dieron de comer; tuve sed, y no me dieron de beber; estaba de paso, y no me alojaron; desnudo, y no me vistieron; enfermo y preso, y no me visitaron'. Estos, a su vez, le preguntarán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento o sediento, de paso o desnudo, enfermo o preso, y no te hemos socorrido?'. Y él les responderá: 'Les aseguro que cada vez que no lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, tampoco lo hicieron conmigo'. Estos irán al castigo eterno, y los justos a la Vida eterna". Voz y Meditación Fr Pedro Brassesco. www.rosariodelaaurora.org
Vengan, benditos de mi Padre, y reciban en herencia el Reino Hola, soy Alekz ¡Vamos a viralizar el Evangelio! Evangelio de hoy en audio, ¡suscríbete para escuchar siempre el evangelio del día! 22 de noviembre de 2020 Cristo Rey del Universo Evangelio según San Mateo 25,31-46. Jesús dijo a sus discípulos: "Cuando el Hijo del hombre venga en su gloria rodeado de todos los ángeles, se sentará en su trono glorioso. Todas las naciones serán reunidas en su presencia, y él separará a unos de otros, como el pastor separa las ovejas de los cabritos, y pondrá a aquellas a su derecha y a estos a su izquierda. Entonces el Rey dirá a los que tenga a su derecha: 'Vengan, benditos de mi Padre, y reciban en herencia el Reino que les fue preparado desde el comienzo del mundo, porque tuve hambre, y ustedes me dieron de comer; tuve sed, y me dieron de beber; estaba de paso, y me alojaron; desnudo, y me vistieron; enfermo, y me visitaron; preso, y me vinieron a ver'. Los justos le responderán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento, y te dimos de comer; sediento, y te dimos de beber? ¿Cuándo te vimos de paso, y te alojamos; desnudo, y te vestimos? ¿Cuándo te vimos enfermo o preso, y fuimos a verte?'. Y el Rey les responderá: 'Les aseguro que cada vez que lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, lo hicieron conmigo'. Luego dirá a los de su izquierda: 'Aléjense de mí, malditos; vayan al fuego eterno que fue preparado para el demonio y sus ángeles, porque tuve hambre, y ustedes no me dieron de comer; tuve sed, y no me dieron de beber; estaba de paso, y no me alojaron; desnudo, y no me vistieron; enfermo y preso, y no me visitaron'. Estos, a su vez, le preguntarán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento o sediento, de paso o desnudo, enfermo o preso, y no te hemos socorrido?'. Y él les responderá: 'Les aseguro que cada vez que no lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, tampoco lo hicieron conmigo'. Estos irán al castigo eterno, y los justos a la Vida eterna". Web: https://evangelio.mx Spotify: https://bit.ly/evangeliospotify Apple Podcasts: http://bit.ly/evangelioitunes Twitter: https://twitter.com/ViralEvangelio Facebook: https://www.facebook.com/ViralizandoElEvangelio Instagram: https://instagram.com/viralizandoelevangelio Youtube: https://bit.ly/ViralizandoElEvangelioYouTube
TESTO DELL'ARTICOLO ➜http://www.bastabugie.it/it/articoli.php?id=6357COME FUNZIONA LA PROPAGANDA SUL CORONAVIRUSLa favola di Esopo dove il pastorello grida ''Al lupo, al lupo'' se raccontata con toni diversi produrrà effetti opposti (come accade oggi con il governo che genera il panico... poi con il vaccino tutti saranno tranquillizzati, ma si inizierà con un nuovo panico)di Tommaso ScandroglioC'era una volta un pastorello che di notte doveva sorvegliare le pecore affidate a lui dal padre. Ma il pastorello si annoiava a morte durante quelle lunghe veglie. Allora si inventò uno scherzo. Nel cuore della notte si mise a gridare: «Al lupo! Al lupo!». Tutti gli abitanti del villaggio si svegliarono al suono di quelle grida e accorsero in suo aiuto. Il pastorello al vederli sopraggiungere si mise a ridere a crepapelle. Gli abitanti del villaggio, accortisi che era tutto uno scherzo, se ne tornarono contrariati alle loro case. Lo scherzo era riuscito così bene, a parere del pastorello, che costui lo ripetette la notte seguente. Il copione fu il medesimo: alle grida di aiuto provenienti dal pascolo tutti accorsero trafelati. Nuovamente la burla provocarono accessi di risa nel pastorello e nuovamente gli abitanti del villaggio, compreso che era un tranello inventato per prendersi gioco di loro, fecero ritorno alle loro abitazioni molto arrabbiati. Anche nelle notti seguenti il pastorello gridò «Al lupo! Al lupo!» e, ogni volta, i poveri abitanti del villaggio accorsero da lui per aiutarlo, ma invano. Finché una notte il lupo venne per davvero, il pastorello si sgolò gridando «Al lupo! Al lupo!», ma nessuno venne, credendo che fosse l'ennesimo scherzo del pastorello, il quale, ahilui, fu mangiato dal lupo. Fine.Raccontiamo questa versione stringata della celebre favola di Esopo in un altro modo.SECONDA VERSIONEC'era una volta un pastorello che di notte doveva sorvegliare le pecore affidate a lui dal padre, uomo burbero e duro di cuore. Il pastorello era un ragazzo dall'intelligenza vivace ed acuta, sprecato per quel lavoro che lo vedeva impegnato nelle ore notturne tra l'olezzo delle pecore. La sua mente brillante partorì una simpatica burla, tanto per vincere la noia di quelle ore notturne. Una notte si mise a gridare: «Al lupo! Al lupo!». Tutti gli abitanti del villaggio si svegliarono al suono di quelle grida e accorsero in suo aiuto. Il pastorello al vederli sopraggiungere si mise a ridere a crepapelle. Gli abitanti del villaggio accortisi che era tutto uno scherzo, se ne ritornarono contrariati alle loro case, troppo rozzi e ignoranti per apprezzare l'originalità e l'humor della burla inventata dal geniale pastorello. Questi, anche per punire giustamente tanta insensibilità, ripetette lo scherzo nelle notti seguenti ottenendo lo stesso risultato: gli abitanti del villaggio accorrevano e se ne andavano a casa sempre più arrabbiati, prova inconfutabile della loro invincibile ottusità. Una notte però il lupo venne per davvero, il pastorello si sgolò gridando «Al lupo! Al lupo!», ma nessuno venne credendo che fosse l'ennesimo scherzo del pastorello, il quale, ahilui, fu mangiato dal lupo. Accortisi la mattina seguente della tragedia, gli abitanti del villaggio insieme al padre di lui si dolsero immensamente della grave perdita e maledissero la loro diffidenza che aveva causato la morte del povero e geniale pastorello. Fine.IMPERCETTIBILI DIFFERENZECome il lettore avrà notato il fatto narrato dalle due versioni è il medesimo: un pastorello finge che ci sia un lupo che vuole mangiare le pecore del suo gregge, gli abitanti del villaggio accorrono in suo aiuto eccetto proprio in quella occasione in cui il lupo sopraggiunge veramente e mangia il giovane. Cosa c'è di diverso tra le due versioni? Alcuni particolari che ritraggono il pastorello e gli abitanti del villaggio in modo differente. Nella prima versione, il pastorello paga giustamente per il suo scherzo stupido, facendo comprendere al lettore che, chi mente sempre, poi, allorché dirà la verità, non verrà creduto. Nella seconda versione il pastorello risulta essere vittima della stupidità e diffidenza della sua gente. Il pastorello in breve da colpevole diventa vittima, da stupido diventa acuto e, al contrario, gli abitanti del villaggio da vittime diventano colpevoli e da persone per bene diventano stupidi ed indifferenti. È sufficiente raccontare lo stesso fatto in modo diverso.Dunque rilevante è la narrativa.VENIAMO AI NOSTRI GIORNIQual è la narrativa dominante oggi sul Covid? Una narrativa terrorizzante e ansiogena, costruita dal governo e dai media in modo incredibilmente omogeneo: i numeri dei positivi salgono quotidianamente, così come i decessi, gli ospedali sono sotto pressione e le terapie intensive si stanno saturando. Il popolino assorbe acriticamente questa narrativa e la replica intatta e spesso senza colpa: il sig. Rossi, infatti, non è tenuto ogni giorno a spulciarsi tutti i dati scientifici, a verificare percentuali e curve. Insomma il sig. Rossi fa il lattoniere mica l'epidemiologo. Un aneddoto: una signora, borse della spesa in mano, viene intervistata per strada da una giornalista di un Tg di una rete pubblica. La signora si lamenta che sono tutti in giro. E lei? Esempio perfetto della inculturazione massificante sul Covid provocata dai media e che ha prodotto qualche milione di obbedienti replicanti che, lo ripetiamo, spesso lo sono loro malgrado. Tanto perfettamente replicanti che imputano agli altri colpe che loro stessi stanno compiendo.Torniamo al potere della narrazione. Oggi il registro è stabile sul tono «drammatico». Basterebbe cambiare narrativa mettendo l'accento su altri fatti (la percentuale degli asintomatici e pauci sintomatici, quella riferita ai decessi e ricoverati, la curabilità di questo virus, etc.) e lo stato d'animo collettivo si rasserenerebbe. Ma così non è: i toni della narrazione sono foschi e spietati. Invece domani, perché così si è già deciso, la narrativa virerà sul tono «fiducioso». Infatti il vaccino ci salverà tutti. Poco importa se non sarà efficace, se forse arrecherà più danni che benefici, se non basterà per tutti, se ci vorranno mesi per avere una copertura vaccinale estesa. Si è già stabilito che il vaccino è il salvatore e così dovrà essere. Sarà sufficiente mettere l'accento sugli aspetti positivi e occultare quelli negativi, così come si sta facendo oggi ma alla rovescia.Ecco quindi le due narrative antitetiche: oggi tutti noi possiamo morire, domani tutti noi possiamo salvarci. Questa narrativa ovviamente influenzerà il percepito collettivo sul fenomeno Covid, ossia l'approccio psicologico della gente alla pandemia. Attualmente, come già accennato, lo stato d'animo generale è di grande apprensione; verso dicembre-gennaio alla notizia delle prime vaccinazioni (ne basterà una, a dire la verità, anche fatta a Timbuctu) la narrativa di regime, informata da toni positivi, inizierà a rasserenare gli animi, ma elementi di preoccupazione rimarranno ugualmente; verso marzo-aprile si innescherà un climax, un crescendo vertiginoso verso la luce che parrà avere il suo culmine in estate, ma così non sarà perché l'apogeo della felicità sarà raggiunto verso l'autunno inoltrato, quando, se così accadrà, la copertura vaccinale sarà assai estesa (ma, parallelamente, durante questi mesi si svilupperà una narrativa sempre più preoccupata per la crisi economica).Qual è dunque - è proprio il caso di dirlo - la morale della favola? Poco importano i fatti, importa come li racconti. Titolo originale: Al lupo! Al lupo!: il governo ci plagia con la sua narrativaFonte: La Nuova Bussola Quotidiana, 14-11-2020Pubblicato su BastaBugie n. 691
Mateo 25,31-46. Jesús dijo a sus discípulos: "Cuando el Hijo del hombre venga en su gloria rodeado de todos los ángeles, se sentará en su trono glorioso. Todas las naciones serán reunidas en su presencia, y él separará a unos de otros, como el pastor separa las ovejas de los cabritos, y pondrá a aquellas a su derecha y a estos a su izquierda. Entonces el Rey dirá a los que tenga a su derecha: 'Vengan, benditos de mi Padre, y reciban en herencia el Reino que les fue preparado desde el comienzo del mundo, porque tuve hambre, y ustedes me dieron de comer; tuve sed, y me dieron de beber; estaba de paso, y me alojaron; desnudo, y me vistieron; enfermo, y me visitaron; preso, y me vinieron a ver'. Los justos le responderán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento, y te dimos de comer; sediento, y te dimos de beber? ¿Cuándo te vimos de paso, y te alojamos; desnudo, y te vestimos? ¿Cuándo te vimos enfermo o preso, y fuimos a verte?'. Y el Rey les responderá: 'Les aseguro que cada vez que lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, lo hicieron conmigo'. Luego dirá a los de su izquierda: 'Aléjense de mí, malditos; vayan al fuego eterno que fue preparado para el demonio y sus ángeles, porque tuve hambre, y ustedes no me dieron de comer; tuve sed, y no me dieron de beber; estaba de paso, y no me alojaron; desnudo, y no me vistieron; enfermo y preso, y no me visitaron'. Estos, a su vez, le preguntarán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento o sediento, de paso o desnudo, enfermo o preso, y no te hemos socorrido?'. Y él les responderá: 'Les aseguro que cada vez que no lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, tampoco lo hicieron conmigo'. Estos irán al castigo eterno, y los justos a la Vida eterna". Voz y Meditación Fr Pedro Brassesco. www.rosariodelaaurora.org
Cuando el Hijo del hombre venga en su gloria rodeado de todos los ángeles, se sentará en su trono glorioso Hola, soy Alekz ¡Vamos a viralizar el Evangelio! Evangelio de hoy en audio, ¡suscríbete para escuchar siempre el evangelio del día! 2 de noviembre de 2020 Los Fieles Difuntos Evangelio según San Mateo 25,31-46. Jesús dijo a sus discípulos: "Cuando el Hijo del hombre venga en su gloria rodeado de todos los ángeles, se sentará en su trono glorioso. Todas las naciones serán reunidas en su presencia, y él separará a unos de otros, como el pastor separa las ovejas de los cabritos, y pondrá a aquellas a su derecha y a estos a su izquierda. Entonces el Rey dirá a los que tenga a su derecha: 'Vengan, benditos de mi Padre, y reciban en herencia el Reino que les fue preparado desde el comienzo del mundo, porque tuve hambre, y ustedes me dieron de comer; tuve sed, y me dieron de beber; estaba de paso, y me alojaron; desnudo, y me vistieron; enfermo, y me visitaron; preso, y me vinieron a ver'. Los justos le responderán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento, y te dimos de comer; sediento, y te dimos de beber? ¿Cuándo te vimos de paso, y te alojamos; desnudo, y te vestimos? ¿Cuándo te vimos enfermo o preso, y fuimos a verte?'. Y el Rey les responderá: 'Les aseguro que cada vez que lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, lo hicieron conmigo'. Luego dirá a los de su izquierda: 'Aléjense de mí, malditos; vayan al fuego eterno que fue preparado para el demonio y sus ángeles, porque tuve hambre, y ustedes no me dieron de comer; tuve sed, y no me dieron de beber; estaba de paso, y no me alojaron; desnudo, y no me vistieron; enfermo y preso, y no me visitaron'. Estos, a su vez, le preguntarán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento o sediento, de paso o desnudo, enfermo o preso, y no te hemos socorrido?'. Y él les responderá: 'Les aseguro que cada vez que no lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, tampoco lo hicieron conmigo'. Estos irán al castigo eterno, y los justos a la Vida eterna". Web: https://evangelio.mx Spotify: https://bit.ly/evangeliospotify Apple Podcasts: http://bit.ly/evangelioitunes Twitter: https://twitter.com/ViralEvangelio Facebook: https://www.facebook.com/ViralizandoElEvangelio Instagram: https://instagram.com/viralizandoelevangelio Youtube: https://bit.ly/ViralizandoElEvangelioYouTube
durée : 00:05:49 - Le Journal de la culture - par : Jean-Christophe Brianchon - Ce matin Jean-Christophe Brianchon discute avec Sylviane Manuel, directrice de La Verrerie d'Alès, Pôle National du Cirque. - réalisation : Alexandra Longuet
For this weeks episode, Gareth and Andy are looking at the cartoonish 1992 Christmas released film starring beloved improv actor Robin Williams and featuring a character called 'Al'. That's right, we're reviewing... TOYS? *checks notes* Yes, TOYS! But is Barry Levinson's much-maligned passion project worth another play? Listen on to find out...
Les aseguro que cada vez que lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, lo hicieron conmigo Hola, soy Alekz ¡Vamos a viralizar el Evangelio! Evangelio de hoy en audio, ¡suscríbete para escuchar siempre el evangelio del día! 2 de marzo de 2020 Lunes de la primera semana de Cuaresma Evangelio según San Mateo 25,31-46. Jesús dijo a sus discípulos: "Cuando el Hijo del hombre venga en su gloria rodeado de todos los ángeles, se sentará en su trono glorioso. Todas las naciones serán reunidas en su presencia, y él separará a unos de otros, como el pastor separa las ovejas de los cabritos, y pondrá a aquellas a su derecha y a estos a su izquierda. Entonces el Rey dirá a los que tenga a su derecha: 'Vengan, benditos de mi Padre, y reciban en herencia el Reino que les fue preparado desde el comienzo del mundo, porque tuve hambre, y ustedes me dieron de comer; tuve sed, y me dieron de beber; estaba de paso, y me alojaron; desnudo, y me vistieron; enfermo, y me visitaron; preso, y me vinieron a ver'. Los justos le responderán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento, y te dimos de comer; sediento, y te dimos de beber? ¿Cuándo te vimos de paso, y te alojamos; desnudo, y te vestimos? ¿Cuándo te vimos enfermo o preso, y fuimos a verte?'. Y el Rey les responderá: 'Les aseguro que cada vez que lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, lo hicieron conmigo'. Luego dirá a los de su izquierda: 'Aléjense de mí, malditos; vayan al fuego eterno que fue preparado para el demonio y sus ángeles, porque tuve hambre, y ustedes no me dieron de comer; tuve sed, y no me dieron de beber; estaba de paso, y no me alojaron; desnudo, y no me vistieron; enfermo y preso, y no me visitaron'. Estos, a su vez, le preguntarán: 'Señor, ¿cuándo te vimos hambriento o sediento, de paso o desnudo, enfermo o preso, y no te hemos socorrido?'. Y él les responderá: 'Les aseguro que cada vez que no lo hicieron con el más pequeño de mis hermanos, tampoco lo hicieron conmigo'. Estos irán al castigo eterno, y los justos a la Vida eterna". Web: https://evangelio.mx Spotify: https://bit.ly/evangeliospotify Apple Podcasts: http://bit.ly/evangelioitunes Twitter: https://twitter.com/VElEvangelio Facebook: https://www.facebook.com/ViralizandoElEvangelio Instagram: https://instagram.com/viralizandoelevangelio Youtube: https://bit.ly/ViralizandoElEvangelioYouTube
De Vuelta van 2019 was nog geen 9 minuten onderweg of hij leek alweer voorbij. Neilson Powless, Primoz Roglic en Steven Kruijswijk gleden onderuit - net als de man bij wie we vandaag op visite zijn in Veenendaal. Wat volgde was een eerste week met een kapotte heup, een lijf vol pijnstillers en een hoofd vol twijfels en bijgestelde ambities. Van 'Ik wil deze Vuelta absoluut uitrijden' naar 'Al kan ik maar één keer bidonnen halen, dat is al meer dan niks.' - en 'Het zou zomaar kunnen dat ik nog moet afstappen ja.' Maar een mens weet ook: wielrennen is een katholieke sport - en daarbij hoort nou eenmaal een wederopstanding zo nu en dan. Rokkie de Sloveen had binnen een paar dagen zijn achterstand alweer weggepoetst, de ploeg groeide in de Ronde en hun 24-jarige Ersatzpanzerwagen liet zich steeds vaker en langer op kop van het peloton zien. 'Dat rijdt maar en dat rijdt maar,' aldus José. Maar bij ons zat ie even stil. Speciale gast in De Rode Lantaarn: Lennard Hofstede.Deze Rode Lantaarn wordt gepresenteerd door Tim de Gier en Willem Dudok - zonder Oliver Naesen en Jonne Seriese - en wordt mede mogelijk gemaakt door Hetiskoers.nl en Dag en Nacht Media. De titelmuziek is van de Swing Ninja’s. Abonneren op de Rode Lantaarn kan bijvoorbeeld via iTunes – waar je ook een recensie kunt achterlaten.Reageren op deze podcast?Je vindt ons op Twitter: @timdegier & @willemdudok & @t0ngarcon. Lennard Hofstede verwelkomt je liever op z'n Instagram.Én we hebben een mailadres: groetjes@derodelantaarnpodcast.nl.
In this era, many people will go up into the Heavens to participate in the Above! This is the Age of Ascension. This is a meaty teaching time with Justin Paul, with many insights, profound stories and wisdom on the wonderful truth. Learn about the function and experience of the word 'Al-ah עָלָה' which means GO UP. Recorded in Winnipeg Canada. Part of the Beyond Human School in 2018. Thanks to our wonderful Partners and Patreon friends who make this Podcast possible. Our hidden heroes! Cheers COBH