Podcasts about Evo Morales

Former Bolivian President and politician

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Evo Morales

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Mochileros Radio
462 Mochileros 24 de Octubre de 2025

Mochileros Radio

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 110:55


🎙️ Esta semana en el programa… “Si alguien me dice que no le gustan los Beatles, ya no confío tanto en él.” Con esa frase de Charly García arrancamos un viaje entre historia, política y música. 🕰️ En La Noticia de Siempre, recordamos desde la fundación de Chivilcoy y Paraná hasta la Revolución Rusa, el Jueves Negro, el nacimiento de Lula, Evo Morales y el recuerdo de Néstor Kirchner. 🎼 Primer alto: Chopin – Gran Vals Brillante, un clásico que también tocó Charly. 🌎 En América Escondida, miramos a Bolivia y sus elecciones. 💬 En Debajo del Puente, una reflexión sobre el linchamiento de Muamar Gadafi y las lecciones no aprendidas del poder y la violencia global. 🎧 Segundo alto: Donald Fagen, inspiración del sonido de In The City. 🎵 En la segunda hora: “La grasa de las capitales”, versiones únicas de Charly, y un homenaje a Santiago Maldonado a 8 años de su aparición. 🎤 Cierre con León Gieco recordándonos lo obvio: 👉 Todos somos Salieris de Charly.

Journal d'Haïti et des Amériques
Bolivie : Rodrigo Paz défend son projet de «capitalisme pour tous»

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 30:00


Dans une interview avec France 24 et RFI, le président élu bolivien défend son discours de rupture après 20 ans de gouvernement de gauche. Il se dit favorable à une économie tournée vers l'initiative privée. Une interview réalisée par les envoyées spéciales de deux chaînes à La Paz, Ángela Gómez Galeano pour France24 et Paola Ariza pour RFI. Rodrigo Paz dresse un constat sévère de la situation économique bolivienne : «Pour un pays qui se disait socialiste du XXIè siècle, adopter un discours de capitalisme pour tous est une rupture». Selon lui, l'État est devenu un frein à la croissance : «L'économie répond aux besoins de l'État et non à ceux des Boliviens». Avec une économie à 85% informelle, il accuse vingt années de mauvaise gestion du secteur gazier : «Les 60 milliards de dollars de revenus issus du gaz ont été perdus sans créer de modèle alternatif de développement». Evo Morales, dit-il, «a reçu 60 milliards» mais aujourd'hui «les gazoducs sont vides» et «nous avons perdu les marchés argentin et brésilien». Face à l'effondrement du gaz, Paz critique aussi l'échec de l'exploitation du lithium et plaide pour une économie tournée vers l'initiative privée. Il appelle à «donner aux Boliviens les outils» pour produire : crédits bon marché, baisse des impôts et des droits de douane. Paz promet enfin de «briser l'isolement» du pays en obtenant des accords avec les voisins pour garantir le carburant et restaurer la crédibilité internationale de la Bolivie.  L'interview de Rodrigo Paz. À lire aussiRodrigo Paz, nouveau président de la Bolivie : «Parler de capitalisme pour tous est une rupture»   Haïti : l'agriculture dans l'Artibonite menacée par les gangs Avec Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, nous évoquant la production agricole, notamment la riziculture, dans l'Artibonite qui est menacée par les gangs. Le journal rapporte que le 18 octobre 2025, une vidéo publiée par Infos Partage montre des individus qui se déplacent dans les rizières de l'Artibonite. Le média parle d'une destruction méthodique des plantations de riz par des groupes armés. Le Nouvelliste cite aussi un nouveau rapport de l'ONU selon lequel les violences meurtrières dans les départements de l'Artibonite et du Centre sont en hausse, alors qu'on enregistre un léger recul des homicides au niveau national. Fin de la campagne pour les législatives en Argentine Le président Javier Milei tiendra son dernier rassemblement à Rosario, dans la province de Santa Fe, selon le journal Clarín, qui, comme les autres quotidiens, titre sur la double démission du ministre des Affaires étrangères, Gerardo Werthein, et du ministre de la Justice, Mariano Cúneo Libarona. Selon La Nación, ces départs, à quelques jours des élections législatives, ont plongé le gouvernement de Javier Milei dans une crise interne majeure. Ces démissions traduisent «le chaos au sein de l'exécutif et la difficulté du président à gérer les mécanismes traditionnels du pouvoir». À cela s'ajoute, en toile de fond, une économie qui reste instable avec un dollar qui s'envole. Ces élections de mi-mandat ne détermineront pas à elles seules la survie du projet libertarien de Javier Milei, écrit La Nación. Tout dépendra de la capacité du président à relancer son gouvernement, à apaiser la crise interne et à recréer une dynamique d'espoir. Un scrutin suivi de près par Washington Le président américain a conditionné le maintien de son aide financière à la victoire de Javier Milei. Une aide qui suscite des interrogations du New York Times. L'éditorialiste rappelle que le plan de sauvetage accordé à l'Argentine équivaut au budget annuel de l'agence de développement USAID — une agence que Donald Trump avait largement démantelée. Le journaliste décrit des villages africains où des enfants meurent, faute de moustiquaires à deux dollars. Comment expliquer, alors, que la Maison Blanche soutienne massivement l'Argentine, sans justification stratégique pour les États-Unis ? D'après le New York Times, ce geste viserait surtout à sauver le président argentin Javier Milei, un allié populiste idéologiquement proche, aujourd'hui en difficulté. L'article souligne aussi que cette aide pourrait profiter à de riches investisseurs américains — amis du secrétaire au Trésor, Scott Bessent — qui ont beaucoup misé sur l'économie argentine. Journal de la 1re En Martinique, les autorités sensibilisent la population face à l'activité sismique de la Montagne Pelée.

Noticentro
¿Sin chamba? Ve a la Feria de Empleo para Grupos Vulnerables

Noticentro

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 1:38 Transcription Available


¡Cutzamala se recupera! está por encima del 96%Activan alerta atmosférica en Tijuana Acusan al expresidente de Bolivia, Evo Morales de trata de personas 

Brasil Paralelo | Podcast
LULA INDICA BOULOS COMO MINISTRO E ENDURECE DISCURSO | Cartas Na Mesa - 20/10/25

Brasil Paralelo | Podcast

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 138:07


Nosso programa de análise política, para começar a semana bem informado. As principais notícias do Brasil, comentadas por Luiz Philippe de Orleans e Bragança, Adriano Gianturco, Christian Lohbauer e Renato Dias. Esse é o Cartas Na Mesa. Ao vivo, todas as segundas, às 20h. Nesta edição: America Latina é a bola da vez para Trump? A mesa discute as transformações na América Latina: da surpreendente vitória de Rodrigo Paz na Bolívia — que encerra 20 anos de domínio da esquerda de Evo Morales — às declarações contundentes de Donald Trump sobre Gustavo Petro, presidente da Colômbia, e o posicionamento de Lula na diplomacia regional.

El Debate
Bolivia gira a la derecha con Rodrigo Paz: ¿qué viene para el país andino?

El Debate

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 36:28


Rodrigo Paz ganó las elecciones bolivianas en segunda vuelta y, a partir del 8 de noviembre de 2025, será el presidente de la nación. Su victoria con el Partido Demócrata Cristiano representa una derrota histórica para el MAS –de los expresidentes Evo Morales y Luis Arce– que retuvo el poder durante casi 20 años. ¿Por qué el país decidió girar de la izquierda a la derecha? ¿Qué viene ahora para Bolivia? Lo analizamos en El Debate.

Notícia no Seu Tempo
Petrobras obtém aval do Ibama e operará na Foz do Amazonas

Notícia no Seu Tempo

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 9:23


No podcast ‘Notícia No Seu Tempo’, confira em áudio as principais notícias da edição impressa do jornal ‘O Estado de S.Paulo’ desta terça-feira (21/10/2025): A Petrobras recebeu do Ibama licença para perfurar um poço em águas profundas no Amapá, a 175 km da costa e a 500 km da Foz do Rio Amazonas, na Margem Equatorial brasileira. Segundo a estatal, já há uma sonda no local e a perfuração será iniciada imediatamente. Nessa fase, a Petrobras pretende avaliar se será possível explorar petróleo e gás na área em escala econômica. O esforço é para repetir o sucesso obtido pela americana ExxonMobil na Margem Equatorial da Guiana, onde já opera mais de 30 jazidas de petróleo desde 2015. O anúncio da Petrobras vem após quase cinco anos de intensos embates no governo e a três semanas do início da COP-30, em Belém (PA). Ambientalistas criticam investimentos na exploração de combustíveis fósseis. O plano 2025-2029 da Petrobras prevê o gasto de cerca de US$ 3 bilhões na Margem Equatorial. E mais: Economia: Serviço de internet da Amazon tem pane e gera apagão global em sites Política: Com foco em 2026, Lula nomeia Boulos para a relação com movimentos sociais Internacional: Presidente eleito da Bolívia afirma que retomará relações com EUA Metrópole: Após protestos, governo de SP decide reduzir número de pedágios free flowSee omnystudio.com/listener for privacy information.

Noticias de América
Cierran las campañas electorales en Bolivia con anhelo de cambio

Noticias de América

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 2:44


Este 16 de octubre inicia el silencio electoral en Bolivia, país que se prepara para un balotaje histórico entre Rodrigo Paz y Jorge “Tuto” Quiroga. Los candidatos, que simbolizan el fin de 20 años de hegemonía del MAS, cerraron sus respectivas campañas prometiendo reformar la economía y ser el cambio. Por nuestra enviada especial a Bolivia, Paola Ariza Baile, música y hasta juegos pirotécnicos protagonizaron los cierres de campaña de Rodrigo Paz, senador centrista, y Jorge “Tuto” Quiroga, el expresidente conservador. “Esta es la única opción” Quiroga eligió La Paz como su último escenario y prometió convertir a Bolivia en potencia exportadora: “Bolivia va a ser conocida por exportar litio, baterías, zinc, estaño, plomo, plata, soya, quinua, aceite de soya, vino, tarijeño. Vamos a ser un gran país. Dignos, todos juntos para cambiar para siempre”, declaró. Un discurso de libertad de mercados que parece convencer a su electorado: “Como muchos bolivianos, ya estamos cansados de vivir bajo un régimen, bajo el abuso, bajo la tiranía, bajo el empobrecimiento que nos ha llevado todos estos 20 años el Movimiento Al Socialismo. Y coincidimos muchas personas, las que estamos acá, que esta es la única opción”, expresaba una de sus partidarias. Otra subrayaba: “Yo vengo del Alto y veo las necesidades graves y la corrupción en su punto. Pobre mi patria, ojalá que toque este candidato, pero que sea para bien”. “¡Bolivia no se vende!” Rodrigo Paz, que a veces se autodenomina de centro derecha, eligió la capital económica Santa Cruz de la Sierra como una de sus últimas grandes citas. Allí hizo un llamado a la unidad y criticó las propuestas de su opositor. “Yo no quiero que Bolivia sea esclavo de ningún banco internacional. ¡Ya basta de vender a la patria! ¡Ya basta de vender a la patria! ¡Bolivia no se vende, Bolivia no se vende!”, enfatizó Paz en su discurso. Entre sus seguidores también explota el hambre de cambio, incluso entre aquellos que han defendido el MAS. “Porque Tuto no nos representa, Tuto representa a los oligarcas, corbata blanca. Es un empleado más de Donald Trump. El país colapsó con el presidente éste que tenemos ahorita, que debería estar preso ya, el Arce. Él ahora le pesa al compañero Evo porque se confundió y se equivocó y le entregó el poder al lobo que se comió las ovejas”, analizaba una mujer. “Es más del pueblo, más de nosotros, digamos que de nuestro nivel social”, estimaba otra sobre Paz, mientras que un simpatizante afirmaba que “ahorita nos está afectando la crisis a nivel nacional, hay escasez de combustible, tenemos una esperanza de que ellos lo vayan a solucionar”. Pese a las diferencias, todo parece indicar que el país andino grita por un cambio radical. Los resultados de este domingo dirán qué color tendrá ese cambio.

Noticias de América
Cierran las campañas electorales en Bolivia con anhelo de cambio

Noticias de América

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 2:44


Este 16 de octubre inicia el silencio electoral en Bolivia, país que se prepara para un balotaje histórico entre Rodrigo Paz y Jorge “Tuto” Quiroga. Los candidatos, que simbolizan el fin de 20 años de hegemonía del MAS, cerraron sus respectivas campañas prometiendo reformar la economía y ser el cambio. Por nuestra enviada especial a Bolivia, Paola Ariza Baile, música y hasta juegos pirotécnicos protagonizaron los cierres de campaña de Rodrigo Paz, senador centrista, y Jorge “Tuto” Quiroga, el expresidente conservador. “Esta es la única opción” Quiroga eligió La Paz como su último escenario y prometió convertir a Bolivia en potencia exportadora: “Bolivia va a ser conocida por exportar litio, baterías, zinc, estaño, plomo, plata, soya, quinua, aceite de soya, vino, tarijeño. Vamos a ser un gran país. Dignos, todos juntos para cambiar para siempre”, declaró. Un discurso de libertad de mercados que parece convencer a su electorado: “Como muchos bolivianos, ya estamos cansados de vivir bajo un régimen, bajo el abuso, bajo la tiranía, bajo el empobrecimiento que nos ha llevado todos estos 20 años el Movimiento Al Socialismo. Y coincidimos muchas personas, las que estamos acá, que esta es la única opción”, expresaba una de sus partidarias. Otra subrayaba: “Yo vengo del Alto y veo las necesidades graves y la corrupción en su punto. Pobre mi patria, ojalá que toque este candidato, pero que sea para bien”. “¡Bolivia no se vende!” Rodrigo Paz, que a veces se autodenomina de centro derecha, eligió la capital económica Santa Cruz de la Sierra como una de sus últimas grandes citas. Allí hizo un llamado a la unidad y criticó las propuestas de su opositor. “Yo no quiero que Bolivia sea esclavo de ningún banco internacional. ¡Ya basta de vender a la patria! ¡Ya basta de vender a la patria! ¡Bolivia no se vende, Bolivia no se vende!”, enfatizó Paz en su discurso. Entre sus seguidores también explota el hambre de cambio, incluso entre aquellos que han defendido el MAS. “Porque Tuto no nos representa, Tuto representa a los oligarcas, corbata blanca. Es un empleado más de Donald Trump. El país colapsó con el presidente éste que tenemos ahorita, que debería estar preso ya, el Arce. Él ahora le pesa al compañero Evo porque se confundió y se equivocó y le entregó el poder al lobo que se comió las ovejas”, analizaba una mujer. “Es más del pueblo, más de nosotros, digamos que de nuestro nivel social”, estimaba otra sobre Paz, mientras que un simpatizante afirmaba que “ahorita nos está afectando la crisis a nivel nacional, hay escasez de combustible, tenemos una esperanza de que ellos lo vayan a solucionar”. Pese a las diferencias, todo parece indicar que el país andino grita por un cambio radical. Los resultados de este domingo dirán qué color tendrá ese cambio.

Noticias de América
Santa Cruz y el balotaje: entre esperanza de cambio y temor al continuismo

Noticias de América

Play Episode Listen Later Oct 14, 2025 2:37


Recta final para el balotaje el domingo en Bolivia, una elección histórica entre dos candidatos de derecha que marcará el fin de 20 años de mandato del partido de izquierda MAS, históricamente vinculado a Evo Morales. Nuestra enviada especial, Paola Ariza, recogió testimonios en Santa Cruz de la Sierra, bastión de la oposición al MAS.    ¿Por qué en Santa Cruz, capital económica de Bolivia, algunos electores esperan con ansias la salida del MAS del poder? "Porque el MAS nos trajo pobreza. Es por ellos que tenemos todas estas carencias. En 20 años no mejoró nada. Estamos sumamente dolidos con el MAS. Han manejado al país a su antojo", dice Justina, comerciante del barrio financiero de Santa Cruz. Además de la crisis económica, principal tema de campaña, a electores como ella también les preocupan la educación y la salud. "Nadie sabe cómo llenar la olla. Y comer es la prioridad. Pero la educación también es pésima, entre otros, las estructuras de los colegios. En cuanto a la salud, ni se diga, vamos de paro en paro. Cuando pedimos una cita médica nos dicen que nos tienen que programar para dentro de un mes o dos. La salud va de mal en peor”. Justina cuenta que a veces debe saltarse una comida para pagar los servicios públicos. Esto también lo vive Fernanda Rivera, empleada en un café y estudiante de psicología. Rodrigo Paz, ¿continuismo del MAS? "Lo que vos comprabas antes con 200 bolivianos, que te duraba aproximadamente cuatro días, ahora te dura dos. Yo, por ejemplo, vivo sola y me sustento sola. Para mí es demasiado complicado. Hay días en que solo como una vez al día o dos veces, y ya. También hay personas que están todo el tiempo buscando cómo emprender para ganar más dinero, porque con el salario que se tiene y los precios que suben todos los días, no se puede", agrega Rivera, quien no se hace ilusiones con la segunda vuelta. Para ella, el candidato Rodrigo Paz, que se autodenomina de centroderecha, representa en realidad el continuismo del MAS. "En la primera vuelta pensábamos que íbamos a sacar al MAS, que íbamos a sacar a este parásito que nos viene siguiendo en este país desde hace 20 años. Pero para la segunda vuelta la estoy viendo un poco verde. Esto me pone muy triste porque no hay duda de que todas las personas que siguen a Evo Morales van a votar por Rodrigo Paz". El ingeniero industrial Samir Maldonado es más optimista. Aunque también votará por el candidato conservador Tuto Quiroga, confía en que cualquiera de los dos aportará un cambio al país. "En estas elecciones esperamos un cambio. Esperamos un candidato que vea lo difícil que está el país, que vea lo poco que queda de economía. Que vea cuál es la parte quebrada que tenemos en la economía y busque la manera de arreglarla. Pero no a largo plazo ni a mediano, sino buscar un parche rápido y tratar de mejorar luego a largo plazo". A comienzos de la semana, la empresa Ipsos Ciesmori difundió encuestas que ubican a Quiroga con el 44,9% de intención de voto, frente a Paz con 36,5%. La misma empresa, hace dos semanas, le otorgaba al expresidente 47% y al senador 39,3%.

Noticias de América
Santa Cruz y el balotaje: entre esperanza de cambio y temor al continuismo

Noticias de América

Play Episode Listen Later Oct 14, 2025 2:37


Recta final para el balotaje el domingo en Bolivia, una elección histórica entre dos candidatos de derecha que marcará el fin de 20 años de mandato del partido de izquierda MAS, históricamente vinculado a Evo Morales. Nuestra enviada especial, Paola Ariza, recogió testimonios en Santa Cruz de la Sierra, bastión de la oposición al MAS.    ¿Por qué en Santa Cruz, capital económica de Bolivia, algunos electores esperan con ansias la salida del MAS del poder? "Porque el MAS nos trajo pobreza. Es por ellos que tenemos todas estas carencias. En 20 años no mejoró nada. Estamos sumamente dolidos con el MAS. Han manejado al país a su antojo", dice Justina, comerciante del barrio financiero de Santa Cruz. Además de la crisis económica, principal tema de campaña, a electores como ella también les preocupan la educación y la salud. "Nadie sabe cómo llenar la olla. Y comer es la prioridad. Pero la educación también es pésima, entre otros, las estructuras de los colegios. En cuanto a la salud, ni se diga, vamos de paro en paro. Cuando pedimos una cita médica nos dicen que nos tienen que programar para dentro de un mes o dos. La salud va de mal en peor”. Justina cuenta que a veces debe saltarse una comida para pagar los servicios públicos. Esto también lo vive Fernanda Rivera, empleada en un café y estudiante de psicología. Rodrigo Paz, ¿continuismo del MAS? "Lo que vos comprabas antes con 200 bolivianos, que te duraba aproximadamente cuatro días, ahora te dura dos. Yo, por ejemplo, vivo sola y me sustento sola. Para mí es demasiado complicado. Hay días en que solo como una vez al día o dos veces, y ya. También hay personas que están todo el tiempo buscando cómo emprender para ganar más dinero, porque con el salario que se tiene y los precios que suben todos los días, no se puede", agrega Rivera, quien no se hace ilusiones con la segunda vuelta. Para ella, el candidato Rodrigo Paz, que se autodenomina de centroderecha, representa en realidad el continuismo del MAS. "En la primera vuelta pensábamos que íbamos a sacar al MAS, que íbamos a sacar a este parásito que nos viene siguiendo en este país desde hace 20 años. Pero para la segunda vuelta la estoy viendo un poco verde. Esto me pone muy triste porque no hay duda de que todas las personas que siguen a Evo Morales van a votar por Rodrigo Paz". El ingeniero industrial Samir Maldonado es más optimista. Aunque también votará por el candidato conservador Tuto Quiroga, confía en que cualquiera de los dos aportará un cambio al país. "En estas elecciones esperamos un cambio. Esperamos un candidato que vea lo difícil que está el país, que vea lo poco que queda de economía. Que vea cuál es la parte quebrada que tenemos en la economía y busque la manera de arreglarla. Pero no a largo plazo ni a mediano, sino buscar un parche rápido y tratar de mejorar luego a largo plazo". A comienzos de la semana, la empresa Ipsos Ciesmori difundió encuestas que ubican a Quiroga con el 44,9% de intención de voto, frente a Paz con 36,5%. La misma empresa, hace dos semanas, le otorgaba al expresidente 47% y al senador 39,3%.

En Primera Plana
Bolivia pone punto final a 20 años de izquierda

En Primera Plana

Play Episode Listen Later Oct 13, 2025 27:00


Bolivia pondrá fin el próximo domingo 19 de octubre a 20 años de gobiernos de izquierdas iniciados por Evo Morales. El actual gobierno de Luis Arce casi ha agotado sus divisas para mantener una política de subsidios a los combustibles que drena gravemente sus reservas líquidas. Los dos candidatos de la derecha clasificados para el balotaje prometen resolver la situación crítica que vive el país con una inflación interanual del 24%.

SBS Spanish - SBS en español
Programa | SBS Spanish | 10 octubre 2025

SBS Spanish - SBS en español

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 52:39


Quiroga lidera frente a Paz rumbo al balotaje en Bolivia, dejando fuera al partido de Evo Morales. Hablamos sobre medicina indígena australiana, alegaciones de contrabando de diésel por Gobierno de Ecuador y lo más destacado del deporte.

En Primera Plana
Bolivia pone punto final a 20 años de izquierda

En Primera Plana

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 27:00


Bolivia pondrá fin el próximo domingo 19 de octubre a 20 años de gobiernos de izquierdas iniciados por Evo Morales. El actual gobierno de Luis Arce casi ha agotado sus divisas para mantener una política de subsidios a los combustibles que drena gravemente sus reservas líquidas. Los dos candidatos de la derecha clasificados para el balotaje prometen resolver la situación crítica que vive el país con una inflación interanual del 24%. El exmandatario Jorge Quiroga parte con ventaja sobre Rodrigo Paz según los últimos sondeos hechos en Bolivia. La propuesta de Quiroga de recortes públicos y privatizaciones para enderezar la economía del país es más radical que la de Paz. ¿Qué receta escogerán los bolivianos el próximo día 19 de octubre en la segunda vuelta de las elecciones? Muchos se preguntan cómo la izquierda ha dinamitado los inmensos recursos de un país tan rico en materias como gas o litio.   Nos acompañan en esta edición: -Diego Velázquez Luna, investigador en ciencias sociales vinculado a la Escuela de altos estudios en Ciencias Sociales -María Elvira Álvarez, doctora en Historia, profesora en la Universidad de Cergy en historia latinoamericana -Pablo Barnier-Khawam, doctor en ciencia política de Sciences Po Paris e investigador asociado al Centro de Investigación y Documentación sobre las Américas.      Coordinación editorial:  Florencia Valdés  Realización: Souheil Khedir, Yann Bourdelas, Stéphane Défossez Presenta: Carlos Herranz. 

En Primera Plana
Bolivia pone punto final a 20 años de izquierda

En Primera Plana

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 27:00


Bolivia pondrá fin el próximo domingo 19 de octubre a 20 años de gobiernos de izquierdas iniciados por Evo Morales. El actual gobierno de Luis Arce casi ha agotado sus divisas para mantener una política de subsidios a los combustibles que drena gravemente sus reservas líquidas. Los dos candidatos de la derecha clasificados para el balotaje prometen resolver la situación crítica que vive el país con una inflación interanual del 24%. El exmandatario Jorge Quiroga parte con ventaja sobre Rodrigo Paz según los últimos sondeos hechos en Bolivia. La propuesta de Quiroga de recortes públicos y privatizaciones para enderezar la economía del país es más radical que la de Paz. ¿Qué receta escogerán los bolivianos el próximo día 19 de octubre en la segunda vuelta de las elecciones? Muchos se preguntan cómo la izquierda ha dinamitado los inmensos recursos de un país tan rico en materias como gas o litio.   Nos acompañan en esta edición: -Diego Velázquez Luna, investigador en ciencias sociales vinculado a la Escuela de altos estudios en Ciencias Sociales -María Elvira Álvarez, doctora en Historia, profesora en la Universidad de Cergy en historia latinoamericana -Pablo Barnier-Khawam, doctor en ciencia política de Sciences Po Paris e investigador asociado al Centro de Investigación y Documentación sobre las Américas.      Coordinación editorial:  Florencia Valdés  Realización: Souheil Khedir, Yann Bourdelas, Stéphane Défossez Presenta: Carlos Herranz. 

Educación Radiofónica de Bolivia
Guido Nayar: En 20 años, Evo hizo que los bolivianos sean esclavos de los recursos del narcotráfico

Educación Radiofónica de Bolivia

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 33:28


El exministro de Gobierno, Guido Nayar, afirmó que en los 20 años de gobierno del MAS y la gestión de Evo Morales se desnaturalizó la lucha contra el narcotráfico y se volvió a los bolivianos más dependientes de los recursos que genera esta actividad ilícita. “Una forma de esclavos de esta actividad ilegal”, sentenció en el programa Hagamos Democracia de la red Erbol.

The LatinNews Podcast
An Uncertain Second Round of Elections in Bolivia Ahead

The LatinNews Podcast

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 47:08


Following the historic defeat of the MAS in the first round of presidential elections in August 2025, Bolivians are left with two options to vote for, both to the right of centre. Former president Jorge Quiroga will face Senator Rodrigo Paz Pereira in a run-off set to take place on 19 October 2025. On The LatinNews Podcast this week, we take a look at the results of the first round and explore some of the reason for the total collapse of the MAS party, we discuss the legacy of former president Evo Morales, who ruled Bolivia from 2006-2019, and his current predicament in Chapare. And what of the potential winner? Whoever wins in October will be faced with Bolivia's precarious economic situation, legal and political disorders and the always unpredictable subnational elections in 2026. Our guest this week is Dr Angus McNelly, lecturer in International Development at Kings College London and author of: " Now We Are in Power: The Politics of Passive Revolution in 21st Century Bolivia." Follow LatinNews for analysis on economic, political, and security developments in Latin America & the Caribbean. Twitter: @latinnewslondon LinkedIn: Latin American Newsletters Facebook: @latinnews1967 For more insightful, expert-led analysis on Latin America's political and economic landscape, read our reports for free with a 14-day trial. Get full access to our entire portfolio.

Hablando Claro con Vilma Ibarra
26-8: Después de 20 años en el poder el MAS sufre su más duro golpe en Bolivia.

Hablando Claro con Vilma Ibarra

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 53:44


Por dos décadas el MAS (Movimiento al Socialismo) de Evo Morales, reinó en la política boliviana. Pero el declive se fue amasando a fuerza de desvíos, excesos y fracturas internas. Tal parece que la izquierda se devoró a sí misma. Resultado: quedó fuera de la contienda del pasado 17 de agosto y no hará parte de la segunda ronda electoral que habrá de dirimir este nuevo ciclo electoral. De hecho, perdió también la hegemonía en el Congreso. Lo demás, interesantísimo. Un candidato en el quinto lugar de preferencias en las encuestas previas a la jornada electoral: el senador Rodrigo Paz se alzó sorpresivamente con el primer lugar (32.2%), mientras que como se adelantaba en los sondeos, el expresidente Jorge Tuto Quiroga si logró situarse en el balotaje (26.8%) que se realizará el 19 de octubre. Pero lo anterior no indica, sin embargo, la salida de Morales de la escena política. Se niega a asistir a su final y seguirá gravitando tanto como pueda. De hecho, asegura que el 19% de los votos nulos de la elección, son el producto de su llamado a boicotear el proceso, para hundir a sus propios otrora compañeros de partido y, claro, en rechazo al hecho de estar inhabilitado para seguir siendo candidato presidencial sempiterno. ¿Cuáles son las variables que explican esta variación significativa del ciclo político boliviano? Para profundizar en ello conversamos mañana con José Rafael Vilar, profesor universitario y analista político.

La ContraCrónica
Bolivia despide al MAS

La ContraCrónica

Play Episode Listen Later Aug 24, 2025 51:15


En las elecciones generales de Bolivia del pasado día 17, el Movimiento al Socialismo, el partido de Evo Morales, sufrió el mayor revés de su historia al quedar fuera de la segunda vuelta presidencial programada para el próximo 19 de octubre. El candidato del MAS, Eduardo del Castillo, obtuvo solo el 3% de los votos y quedó en sexto lugar. Los contendientes por la presidencia serán Rodrigo Paz Pereira, un senador centrista que sorprendió con el 32% de los votos, y Jorge Quiroga, expresidente conservador con el 27%. El MAS ha dominado la política boliviana desde 2006, cuando Evo Morales asumió la presidencia con el 53% de los votos. La revalidó en 2009 y 2014 con resultados electorales aún mejores. Inspirado por el chavismo venezolano, Morales quiso emular a su maestro y alineó a Bolivia con regímenes antioccidentales como Venezuela, Nicaragua, Irán y China. Pero la Constitución de 2009, promovida por el propio Morales, limitaba los mandatos presidenciales a dos. Emulando a Hugo Chávez trató de eliminar este límite mediante un referéndum en 2016 que perdió. Aun así, el Tribunal Constitucional, controlado por él, le permitió presentarse en 2019. Las elecciones de ese año estuvieron marcadas por el fraude, que confirmó una auditoría de la OEA. Las protestas obligaron a Morales a marcharse en noviembre de 2019. Tras ello huyó del país y se estableció en Argentina apadrinado por Alberto Fernández. Entretanto, Jeanine Áñez asumió la presidencia interina. Su gestión, en principio de transición, se prolongó debido a la irrupción de la pandemia. Áñez terminó encarcelada por corrupción poco después de las elecciones de 2020 en las que el MAS regresó al poder con Luis Arce, ex ministro de Morales, que obtuvo el 55% de los votos. Pero la relación entre Arce y Morales se deterioró rápidamente, lo que resultó en una fractura interna dentro del MAS. En 2023, el Tribunal Constitucional anuló la reelección indefinida, inhabilitando de paso a Morales, que desde su escondite en la provincia de Chapare, donde está refugiado tras ser acusado de un delito sexual, pidió el voto nulo. Pero en el vuelco electoral ha tenido más que ver con la crisis económica que con la implosión de la izquierda boliviana. El país, que en los primeros años de Morales se benefició de los altos precios del gas natural, atraviesa desde hace años una crisis económica que no ha hecho más que empeorar. La producción de gas se ha reducido a la mitad por simple descuido y falta de inversiones. Del resto se han encargado los controles económicos, la corrupción y la falta de seguridad jurídica que se tradujo en el pasado en expropiaciones a empresas extranjeras, algunas españolas como Abertis o Iberdrola, cuyos activos fueron expropiados entre 2012 y 2013. Eso ha ahuyentado la inversión ahondando los problemas económicos. El resultado es una escasez crónica de divisas. Las reservas del banco central están en mínimos, la inflación ronda el 25%, el déficit público supera el 10% y los bonos son de alto riesgo. Los bolivianos se las ven y se las desean para llenar la cesta de la compra cuyo precio crece sin parar desde hace años. Los candidatos que se disputan la segunda vuelta tendrán que implementar reformas drásticas. Rodrigo Paz promete “capitalismo para todos”, mientras Quiroga aboga por cambiar “absolutamente todo” tras veinte años perdidos. Ambos capitalizan el deseo de cambio de la mayor parte de los bolivianos. La izquierda, entretanto, se enfrenta a una crisis duradera a la que no se le ve final. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:20 Bolivia despide al MAS 32:32 Elecciones en Bolivia 41:55 Principio de precaución 48:34 Field Target · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #Bolivia #MAS Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Mali: Choguel Maïga sous pression judiciaire

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les tensions entre le Burkina Faso et l'ONU, la nomination d'un consul général kényan à Goma et les résultats surprenants du premier tour de la présidentielle en Bolivie. Mali : Choguel Maïga sous pression judiciaire  Au Mali, l'ancien Premier ministre a été inculpé pour « atteinte aux biens de l'État ». Que lui reprochent les autorités maliennes ? S'il est reconnu coupable, quelle peine risque-t-il ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. Burkina Faso : la coordinatrice de l'ONU déclarée « persona non grata »  Les autorités burkinabè ont déclaré « persona non grata » la coordonnatrice résidente du Système des Nations unies au Burkina Faso, Carol Flore-Smereczniak. Comment expliquer cette décision ? Est-ce le signe d'une rupture définitive entre les Nations unies et Ouagadougou ? Avec Welly Diallo, journaliste au service Afrique de RFI.    Est-RDC : Nairobi défie Kinshasa ?  La nomination d'un consul général kényan à Goma a suscité l'indignation de Kinshasa. Pourquoi Nairobi n'a-t-il pas consulté au préalable les autorités congolaises ? Goma, étant une ville sous contrôle de l'AFC/M23, cette nomination peut-elle être interprétée comme un signe de soutien ?   Avec Adolphe Agenonga Chober, spécialiste des mouvements armés dans l'Est de la RDC, professeur à l'université de Kisangani. Bolivie : fin de règne pour la gauche ?  En Bolivie, le candidat du Parti démocrate-chrétien, Rodrigo Paz Pereira, a créé la surprise en arrivant en tête avec 32% des voix au premier tour de l'élection présidentielle. Comment expliquer ces résultats ? Quel avenir pour le parti de gauche de l'ex-président Evo Morales ? Avec Christine Delfour, professeure des universités en civilisation latino-américaine contemporaine, spécialiste de la Bolivie.

Cinco continentes
Cinco continentes - Jorge "Tuto" Quiroga en RNE: "La ley conmigo se cumple, no hay excepciones ni impunidad"

Cinco continentes

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 29:03


Jorge Quiroga Ramírez es uno de los dos candidatos presidenciales que ha pasado a la segunda vuelta junto a Rodrigo Paz. Todos en Bolivia lo conocen como "Tuto" y ya fue presidente entre 2001 y 2002. Habla con el enviado especial de RNE a La Paz, Santiago Barnuevo, sobre economía, política exterior y sobre la posibilidad de detener a Evo Morales si llega a la presidencia: "La ley conmigo se cumple en cada metro cuadrado de Bolivia, no hay excepciones, no hay impunidad".Escuchar audio

O Antagonista
Cortes do Papo - Os novos “isentões” e o voto nulo

O Antagonista

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 13:36


Foragido da Justiça, Evo Morales, ex-presidente da Bolívia, pregou o voto nulo nas eleições de seu país, que alcançou 19% nas eleições.Quem adotou postura semelhante foi Eduardo Bolsonaro. Com 2026 no radar, o deputado federal licenciado do PL publicou em suas redes sociais um banner que diz: “Eu só voto no Bolsonaro”. O ex-presidente está inelegível e em prisão domiciliar.Felipe Moura Brasil, Duda Teixeira e Ricardo Kertzman comentam:Papo Antagonista é o programa que explica e debate os principais acontecimentos do   dia com análises críticas e aprofundadas sobre a política brasileira e seus bastidores.     Apresentado por Felipe Moura Brasil, o programa traz contexto e opinião sobre os temas mais quentes da atualidade.     Com foco em jornalismo, eleições e debate, é um espaço essencial para quem busca informação de qualidade.     Ao vivo de segunda a sexta-feira às 18h.    Apoie o jornalismo Vigilante: 10% de desconto para audiência do Papo Antagonista  https://bit.ly/papoantagonista  Siga O Antagonista no X:  https://x.com/o_antagonista   Acompanhe O Antagonista no canal do WhatsApp. Boletins diários, conteúdos exclusivos em vídeo e muito mais.  https://whatsapp.com/channel/0029Va2SurQHLHQbI5yJN344  Leia mais em www.oantagonista.com.br | www.crusoe.com.br 

The Wright Report
19 AUG 2025: The War in Ukraine: What Did Trump Promise? // China Says No Invasion of Taiwan for Three Years // Israel Heads Towards Big Gaza Battle // Bolivia Rejects the Left

The Wright Report

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 24:38


Donate (no account necessary) | Subscribe (account required) Join Bryan Dean Wright, former CIA Operations Officer, as he dives into today's top stories shaping America and the world. In this episode of The Wright Report, we cover Trump's security promises to Ukraine, Xi's pledge on Taiwan, Israel's expanding Gaza campaign, and Bolivia's rejection of socialism. From tense diplomacy in Washington to regime collapse in Latin America, today's brief connects the global headlines shaping America's future. Trump and European Leaders Debate Ukraine Security Guarantees: At the White House, Trump and European leaders pressed Zelenskyy to accept ceding Crimea and other land to Russia, while pledging U.S. and European backing for Ukraine's defense. Zelenskyy continues to demand binding security guarantees, but questions remain over whether that means U.S. boots on the ground. Bryan explores if America is edging toward a dangerous commitment. The Economics of a Ukraine Deal — Weapons and Minerals: Reports suggest a peace deal could include massive U.S. arms sales funded by Europe, alongside possible access to Ukraine's rare earth deposits. Bryan analyzes why Ukraine's mining industry faces seven major roadblocks, from corruption and infrastructure damage to Russian control of key deposits. History Check: The Budapest Memorandum Was Not a Guarantee: Listener Michelle raises whether America already owes Ukraine a security guarantee dating back to the 1990s. Bryan revisits the Budapest Memorandum, showing it offered only “assurances” — not guarantees — and why Ukraine knowingly traded its nuclear arsenal for cash, energy, and weaker promises. Xi Tells Trump No War with Taiwan — For Now: China's president reportedly told Trump he will not invade Taiwan while Trump is in office. Bryan considers whether this is respect for Trump, fear of U.S. drone defenses, or simply a pause due to China's economic crash, property collapse, and Xi's growing paranoia at home. Israel Prepares for Expanded Gaza War: The Israeli Defense Forces announce plans for a decisive campaign into Gaza City and central refugee camps. Netanyahu pushes to relocate Palestinians abroad while hostage negotiations stall. Israeli protests grow louder, but leadership insists Hamas must be destroyed to secure peace. Bolivia Rejects Socialism After 20 Years of Collapse: Voters oust their Marxist government after two decades of economic ruin, high inflation, shortages, and long fuel lines. The runoff pits a centrist senator and a conservative ex-president, both favoring closer U.S. ties. Bryan warns that Evo Morales, still backed by allies in Havana, Caracas, and Beijing, could yet destabilize Bolivia's democratic turn.   "And you shall know the truth, and the truth shall make you free." - John 8:32   Keywords: Trump Ukraine peace deal, Zelenskyy Crimea concessions, Ukraine security guarantees, U.S. weapons sales Europe, Ukraine rare earth minerals, Budapest Memorandum assurances, Xi Trump Taiwan pledge, China economic slowdown property crisis, Israel Gaza expanded war, Netanyahu relocate Palestinians, Bolivia socialism collapse, Evo Morales comeback threat

Noticias de América
Bolivia: "El MAS fracasó, pero puede seguir poniendo problemas", dice investigador

Noticias de América

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 2:40


Pese a la debacle de su partido, el MAS, en la primera vuelta presidencial, el expresidente boliviano Evo Morales celebró el histórico 19,2% alcanzado por el voto nulo que promovió. El análisis de Héctor Arce, diputado del MAS y cercano a la organización Evo Pueblo, y de Roberto Laserna, investigador social en Democracia y Desarrollo. Una de las lecturas más destacadas que deja la primera vuelta presidencial en Bolivia es la hecatombe del MAS, partido cuyo líder histórico ha sido Evo Morales. Atrás quedan casi 20 años de poder que desembocaron en la fractura de la izquierda bolivariana, entre otras razones, por los enfrentamientos entre Evo Morales y el presidente saliente, Luis Arce, así como la disidencia de Andrónico Rodríguez, presidente del Senado, y la escasa popularidad de Eduardo del Castillo, candidato del Movimiento al Socialismo en las elecciones del fin de semana. Ese partido, según Héctor Arce, diputado del MAS y simpatizante de la organización política en proceso de construcción Evo Pueblo, ha sucumbido. “El MAS está muerto, está desmantelado, ha quedado desorientado porque no hay un liderazgo que pueda buscar la unificación. De hecho, muchos de sus responsables ya están hablando incluso de apoyar a Lara. Imagínese. Son una especie de prostitutos políticos que se adueñaron de la manera más irregular de la sigla (MAS). Hoy todos ellos han quedado huérfanos, descabezados, sin propuestas, sin discurso. ¿Qué van a poder decir de estos cinco años? Nada. Por eso, Eduardo del Castillo hablaba de los logros obtenidos durante los 14 años en que Evo Morales estuvo al frente del movimiento. En cambio, no se mencionaban los logros de Lucho Arce. Entonces, los del MAS han quedado pulverizados en este proceso electoral”, sostiene Héctor Arce. Evo Morales resiste  A pesar de que el MAS esté a punto de extinguirse, Evo Morales resiste en un segundo plano tras conservar un fuerte apoyo en algunos bastiones rurales e indígenas. El primer jefe de Estado de origen indígena en Bolivia hizo campaña instruyendo a sus bases a votar nulo para generar un boicot que se reflejó en casi 1,2 millones de votos nulos, un resultado histórico con un pico del 19,2%. Este es un hecho político que hay que tener en cuenta, comenta el investigador social en Democracia y Desarrollo, Roberto Laserna. “Fracciones del MAS han participado y han recibido directamente el repudio de la ciudadanía. Pero hay que reconocer que Evo mantiene hasta casi el 15% de su base electoral. Esto representa un riesgo para el sistema político, teniendo en cuenta que ese bloque está por fuera de las instituciones. Pueden movilizarse en las calles y, como tienen poco que perder, generar mucho conflicto y convulsión social. Se puede decir que el MAS, políticamente, ha fracasado y ha demostrado una absoluta incapacidad para aprovechar las mejores oportunidades que tuvo el país, pero al mismo tiempo no está del todo muerto y seguramente va a seguir causando problemas”. Andrónico Rodríguez y Eduardo del Castillo no lograron convencer, con un 8,2% y un 3,2% de los votos, respectivamente, mientras Evo Morales celebraba el triunfo del voto nulo, que superó el 19%.

Union Radio
Partido de Evo Morales sale del poder luego de 20 años

Union Radio

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 7:30


El Debate
Histórica derrota de la izquierda en Bolivia: ¿a qué se debe el giro político?

El Debate

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 36:06


Los conservadores Rodrigo Paz y el expresidente Jorge 'Tuto' Quiroga disputarán la Presidencia de Bolivia en el balotaje del 19 de octubre. Los resultados de la primera vuelta suponen una sonora derrota para la izquierda y su salida del poder tras casi dos décadas de los gobiernos de Evo Morales y Luis Arce. ¿Cómo explicar este viraje? Es el tema de El Debate.

Noticias de América
Bolivia: "El MAS fracasó, pero puede seguir poniendo problemas", dice investigador

Noticias de América

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 2:40


Pese a la debacle de su partido, el MAS, en la primera vuelta presidencial, el expresidente boliviano Evo Morales celebró el histórico 19,2% alcanzado por el voto nulo que promovió. El análisis de Héctor Arce, diputado del MAS y cercano a la organización Evo Pueblo, y de Roberto Laserna, investigador social en Democracia y Desarrollo. Una de las lecturas más destacadas que deja la primera vuelta presidencial en Bolivia es la hecatombe del MAS, partido cuyo líder histórico ha sido Evo Morales. Atrás quedan casi 20 años de poder que desembocaron en la fractura de la izquierda bolivariana, entre otras razones, por los enfrentamientos entre Evo Morales y el presidente saliente, Luis Arce, así como la disidencia de Andrónico Rodríguez, presidente del Senado, y la escasa popularidad de Eduardo del Castillo, candidato del Movimiento al Socialismo en las elecciones del fin de semana. Ese partido, según Héctor Arce, diputado del MAS y simpatizante de la organización política en proceso de construcción Evo Pueblo, ha sucumbido. “El MAS está muerto, está desmantelado, ha quedado desorientado porque no hay un liderazgo que pueda buscar la unificación. De hecho, muchos de sus responsables ya están hablando incluso de apoyar a Lara. Imagínese. Son una especie de prostitutos políticos que se adueñaron de la manera más irregular de la sigla (MAS). Hoy todos ellos han quedado huérfanos, descabezados, sin propuestas, sin discurso. ¿Qué van a poder decir de estos cinco años? Nada. Por eso, Eduardo del Castillo hablaba de los logros obtenidos durante los 14 años en que Evo Morales estuvo al frente del movimiento. En cambio, no se mencionaban los logros de Lucho Arce. Entonces, los del MAS han quedado pulverizados en este proceso electoral”, sostiene Héctor Arce. Evo Morales resiste  A pesar de que el MAS esté a punto de extinguirse, Evo Morales resiste en un segundo plano tras conservar un fuerte apoyo en algunos bastiones rurales e indígenas. El primer jefe de Estado de origen indígena en Bolivia hizo campaña instruyendo a sus bases a votar nulo para generar un boicot que se reflejó en casi 1,2 millones de votos nulos, un resultado histórico con un pico del 19,2%. Este es un hecho político que hay que tener en cuenta, comenta el investigador social en Democracia y Desarrollo, Roberto Laserna. “Fracciones del MAS han participado y han recibido directamente el repudio de la ciudadanía. Pero hay que reconocer que Evo mantiene hasta casi el 15% de su base electoral. Esto representa un riesgo para el sistema político, teniendo en cuenta que ese bloque está por fuera de las instituciones. Pueden movilizarse en las calles y, como tienen poco que perder, generar mucho conflicto y convulsión social. Se puede decir que el MAS, políticamente, ha fracasado y ha demostrado una absoluta incapacidad para aprovechar las mejores oportunidades que tuvo el país, pero al mismo tiempo no está del todo muerto y seguramente va a seguir causando problemas”. Andrónico Rodríguez y Eduardo del Castillo no lograron convencer, con un 8,2% y un 3,2% de los votos, respectivamente, mientras Evo Morales celebraba el triunfo del voto nulo, que superó el 19%.

Noticias de América
Bolivia: "Rodrigo Paz supo conectarse con la gente", dice politólogo

Noticias de América

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 2:32


La doble sorpresa de las presidenciales en Bolivia celebradas el domingo es la ausencia de un candidato del bloque de izquierda en la segunda vuelta en octubre próximo, así como la llegada en primer lugar del candidato demócrata crisitiano Rodrigo Paz. Análisis con el politólogo Marcelo Arequipa. Rodrigo Paz pateó el tablero electoral. Ninguna encuesta anticipaba su paso a la segunda vuelta, pero el senador del Partido Demócrata Cristiano, de 57 años, no solo disputará el balotaje el 19 de octubre, sino que parte en primera posición. Obtuvo la mayor votación (32,1%), por delante del expresidente Jorge Quiroga (26,8%). Dentro del deseo generalizado de cambio, su propuesta de centroderecha es vista como la más moderada. Lejos de ser un outsider, Paz tiene un amplio recorrido como político, ya que fue edil, alcalde y senador de Tarija. "Rodrigo Paz no es un político nuevo, pero sí alguien que ha sabido moverse y conectar con la gente, haciendo algo que Jorge Quiroga no ha hecho: trabajo territorial constante", explicó a RFI el politólogo Marcelo Arequipa. Si una mayoría de bolivianos ha decidido otorgarle la delantera en la primera vuelta, es, según Arequipa, porque "tiene un perfil más de político que de empresario". Rechazo al perfil empresarial de Doria   Su rival, Jorge Quiroga, por su parte, es un "político tradicional, pero no ha estado todos estos años recorriendo Bolivia de manera constante, como sí lo ha hecho Paz. Quiroga siempre ha tenido una agenda internacional, en contra de las izquierdas o del denominado Socialismo del siglo XXI. Se le puede considerar, en cierta medida, un político tecnocrático, si bien conserva un cariz de corte político. Samuel Doria Medina, en cambio, quiso mostrarse más como un presidente-empresario que como un auténtico político", sostiene Marcelo Arequipa. "Paz y Quiroga se diferencian en la forma, pero comparten propuestas de fondo como la eliminación de los subsidios a los combustibles y reducciones de impuestos. Ambos anuncian una ruptura con el sistema de corte estatal que impuso el MAS bajo la guía de Evo Morales. Cualquiera que gane la presidencia tendrá el reto de cumplir los recortes de gastos prometidos a una población que se ha favorecido durante dos décadas de subsidios, bonos y programas sociales. La tarea no se anuncia fácil", agrega el analista.  La propuesta de Rodrigo Paz de un "capitalismo para todos" caló hondo entre el electorado desencantado de la izquierda. Pero, ¿qué explica justamente el desencanto por el Movimiento al Socialsimo (MAS)? "La disputa interna entre los políticos del bloque de la izquierda —Luis Arce, Evo Morales y Andrónico Rodríguez— terminó por cansar a la gente. No tanto por ser una pelea entre políticos, sino porque la ciudadanía empezó a sentir que esa disputa afectaba su bolsillo. La economía de las familias, la subsistencia diaria, comenzó a resentirse. La conexión entre política y economía se convirtió en un cóctel complicado y volátil para ese sector de la izquierda. Esto explica, en parte, el golpe que hoy recibe el bloque de izquierda en las urnas", explica Arequipa. Paz: "Cambiar el modelo económico que trabaja para el Estado y no para los bolivianos"    El principal reto del próximo presidente será cumplir los recortes de gastos que ofreció, pues la población ya está habituada a recibir subsidios, bonos y programas sociales.   "Esta elección está demostrando que el electorado boliviano no está dispuesto a darle el poder a un candidato que represente un extremo, algo así como una vertiente pro-Milei, por decirlo de alguna manera. La gente se inclina más por un discurso de centro, más conciliador", subraya Marcelo Arequipa. De hecho, "tanto Rodrigo Paz como Jorge Quiroga no han propuesto medidas radicales para la economía, es decir, medidas de shock, sino que han propuesto aquello que se conoce como el gradualismo, hacer las cosas de manera gradual. Y creo que eso es relevante en la medida en la que se traduce en la idea de que el pueblo de Bolivia no está dispuesto a escuchar medidas de shock, porque esos ajustes siempre van hacia abajo. En un Estado no van hacia arriba. Ése es un apunte importante para quien vaya a ganar realmente la segunda vuelta y cómo traduzca sus medidas económicas", concluye Arequipa. 

Tu dosis diaria de noticias
18 de agosto - ¿Cómo estuvo la reunión entre Putin y Trump?

Tu dosis diaria de noticias

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 11:30


Tras la reunión entre Donald Trump y Vladimir Putin el viernes, Putin dijo que habían alcanzado un "entendimiento" sobre Ucrania, mientras que Trump resumió el resultado con un “no hay acuerdo hasta que haya un acuerdo". Ahora el presidente de los Estados Unidos se verá con Volodymyr Zelensky y otros líderes europeos con miras a fijar un acuerdo de paz.Este domingo los bolivianos salieron a elegir a su próximo presidente, con ocho candidatos en las boletas que buscaban tomar el lugar de Luis Arce, en medio de las tensiones del propio oficialismo. Mientras Arce respaldaba al exministro Eduardo del Castillo, candidato oficial del gobernante Movimiento al Socialismo, el expresidente Evo Morales llamó a anular el voto.Además… “Lord Pádel” y su familia fueron ingresados al penal de Barrientos, en Tlalnepantla; El creador de contenido conocido como “El Alucín” fue asesinado a balazos en Morelos; Estados Unidos desplegará fuerzas armadas rodeando Latam y el Caribe como parte de su iniciativa para a combatir a los cárteles; El Ejército israelí dijo que desplazará a un millón de personas de la Ciudad de Gaza; El huracán Erin alcanzó categoría 5 antes de bajar a 3, mientras continúa su camino por el Atlántico; Y falleció el icónico actor birtánico Terence Stamp.Y para #ElVasoMedioLleno… La bahía de Jiquilisco es uno de los hogares preferidos de la tortuga carey, que se ha visto arropada por esta comunidad salvadoreña. Para enterarte de más noticias como estas, síguenos en redes sociales. Estamos en todas las plataformas como @telokwento. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Journal d'Haïti et des Amériques
Bolivie : la gauche chassée du pouvoir après 20 ans de règne

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 30:00


La gauche a essuyé ce dimanche (17 août 2025) une lourde défaite, au premier tour de l'élection présidentielle. Deux candidats de droite s'affronteront au second tour, prévu le 19 octobre 2025 : Rodrigo Paz Pereira (32%) et Jorge Tuto Quiroga (26,8%). Tristan Waag, doctorant au CREDA (Centre de recherche et de documentation sur les Amériques) analyse la défaite de la gauche et ses répercussions, depuis Santa Cruz de la Sierra, où des célébrations se sont déroulées toute la nuit de dimanche 17 à lundi 18 août 2025 pour fêter l'arrivée prochaine de la droite au pouvoir. Cette élection fait la Une de la presse bolivienne et de tout le continent. Quasiment toute la presse sud-américaine fait sa Une sur les élections et cette défaite «historique» de la gauche, comme le titre par exemple La Hora, le journal équatorien. Ce «virage à droite est une grosse surprise», reconnaît le quotidien argentin Clarin. Pour El Deber, journal de la capitale économique bolivienne, Santa Cruz de la Sierra, «l'ascension de (Rodrigo Paz Pereira) reflète un vote citoyen qui a sanctionné la polarisation et récompensé une alternative différente», soulignant au passage sa «campagne austère, marquée par des dépenses limitées sur les réseaux sociaux», à l'inverse de ses rivaux. Toujours en Bolivie, selon le media La Razon, Paz «a gagné dans des régions considérées comme favorables au MAS», le Mouvement vers le socialisme fondé par Evo Morales. C'est donc «la fin du cycle du MAS avec une migration de ses électeurs vers de nouvelles tendances».   En Haïti, dans certaines régions du pays, l'accès à internet reste un véritable calvaire pour les habitants, depuis plusieurs semaines. C'est le cas dans la commune de Carrefour, à l'entrée sud de la capitale, et puis dans le Grand Sud, notamment à la ville des Cayes. Les habitants font face à d'énormes difficultés en raison de la mauvaise qualité du service offert par les deux principales compagnies de téléphonie mobile, notamment la Digicel. L'entreprise, de son côté, explique que c'est la coupure des fibres optiques dans des zones contrôlées par les gangs et l'accès difficile à ces zones qui sont les principales causes de cette situation. Reportage du correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama. On reste à Haïti où près de 1,3 million de personnes sont aujourd'hui déplacées à l'intérieur de leur propre pays, selon l'OIM (l'Organisation internationale pour les migrations), des déplacements dus aux violences qui rongent le pays. Le média Enquetaction a filmé les conditions précaires dans lesquelles vivent les habitants de l'un de ces camps de déplacés. Effectivement, les journalistes d'Enquetaction se sont rendus dans le camp Argentine Bellegarde, à Port-au-Prince, où «la saleté, les microbes et les maladies se propagent», à cause de la surpopulation et de conditions d'hygiène déplorables, comme le montre en images le média d'investigation. Les habitants et habitantes souffrent de diverses infections : notamment de sévères démangeaisons cutanées, des champignons et des diarrhées, sans doute dues à l'eau contaminée qu'ils boivent. Les déchets s'accumulent, les latrines débordent, les cliniques mobiles qui passent régulièrement sont dépassées, bref, la situation sanitaire est désastreuse.   Nous partons maintenant au Canada. Depuis samedi (16 août 2025), le pays est paralysé par une grève des agents d'Air Canada, qui refusent de reprendre le travail… La reprise des vols annoncée hier (17 août) n'a pas eu lieu. Les grévistes tiennent tête au Ministère canadien du travail qui leur avait ordonné de reprendre leurs postes dimanche à 14 h. Le syndicat a qualifié cette mesure d'inconstitutionnelle et a déclaré qu'ils resteraient en grève. Le Toronto Star raconte que cette paralysie touche entre 100 000 et 130 000 passagers par jour… provoquant chaos, retards massifs et annulations de presque 1000 vols. Ce qui crée « un bordel indescriptible », selon le journal La Presse ! Le face à face s'annonce tendu entre la compagnie aérienne et ses employés… Air Canada espère reprendre les vols dès ce lundi soir, (18 août 2025) mais « les agents de bord ne reprendront pas le collier », comme le dit joliment La Presse, sauf si Air Canada revient à la table des négociations. Les stewards et hôtesses réclament une meilleure rémunération.   En Argentine, les rangs des masculinistes semblent grossir depuis que le président libertarien Javier Milei est arrivé au pouvoir. L'Observatoire de l'Université de Buenos Aires a consacré une étude entière à ce sujet. Elle s'intitule « La droite sort du placard. Attaques contre le féminisme et l'idéologie du genre comme une « bataille culturelle » L'étude vient d'être publiée et le journal argentin de gauche Pagina 12 s'en fait l'écho. Ces travaux donnent selon lui «un aperçu du monde des hommes de droite à l'ère des vagues néoconservatrices (...) Ils analysent comment la nouvelle droite, et en particulier le gouvernement argentin dirigé par Javier Milei, ont construit leur récit autour d'une supposée « masculinité menacée ». Ce «discours résonne profondément dans de larges secteurs de la société»... Oui, notamment chez «les jeunes hommes de la classe ouvrière». Ils sont «encouragés à reconquérir un honneur imaginaire perdu», relate Pagina 12. Dans ce discours, les rôles de genre traditionnels sont vantés et être son propre patron, célébré, encore mieux si l'on est un «criptobro», comprenez un adepte des cryptomonnaies. Le journal et l'étude citent aussi ces nouveaux influenceurs libertaires «qui agissent comme les gardiens de l'ordre patriarcal sur les réseaux sociaux».      Journal de la 1re En Guyane, le village amérindien d'Antécume-Pata, dans le Haut-Maroni, tente de briser son isolement numérique. Ils n'ont ni internet ni téléphone. Une cagnotte participative a été lancée avec succès.

Noticias de América
Bolivia: "Rodrigo Paz supo conectarse con la gente", dice politólogo

Noticias de América

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 2:32


La doble sorpresa de las presidenciales en Bolivia celebradas el domingo es la ausencia de un candidato del bloque de izquierda en la segunda vuelta en octubre próximo, así como la llegada en primer lugar del candidato demócrata crisitiano Rodrigo Paz. Análisis con el politólogo Marcelo Arequipa. Rodrigo Paz pateó el tablero electoral. Ninguna encuesta anticipaba su paso a la segunda vuelta, pero el senador del Partido Demócrata Cristiano, de 57 años, no solo disputará el balotaje el 19 de octubre, sino que parte en primera posición. Obtuvo la mayor votación (32,1%), por delante del expresidente Jorge Quiroga (26,8%). Dentro del deseo generalizado de cambio, su propuesta de centroderecha es vista como la más moderada. Lejos de ser un outsider, Paz tiene un amplio recorrido como político, ya que fue edil, alcalde y senador de Tarija. "Rodrigo Paz no es un político nuevo, pero sí alguien que ha sabido moverse y conectar con la gente, haciendo algo que Jorge Quiroga no ha hecho: trabajo territorial constante", explicó a RFI el politólogo Marcelo Arequipa. Si una mayoría de bolivianos ha decidido otorgarle la delantera en la primera vuelta, es, según Arequipa, porque "tiene un perfil más de político que de empresario". Rechazo al perfil empresarial de Doria   Su rival, Jorge Quiroga, por su parte, es un "político tradicional, pero no ha estado todos estos años recorriendo Bolivia de manera constante, como sí lo ha hecho Paz. Quiroga siempre ha tenido una agenda internacional, en contra de las izquierdas o del denominado Socialismo del siglo XXI. Se le puede considerar, en cierta medida, un político tecnocrático, si bien conserva un cariz de corte político. Samuel Doria Medina, en cambio, quiso mostrarse más como un presidente-empresario que como un auténtico político", sostiene Marcelo Arequipa. "Paz y Quiroga se diferencian en la forma, pero comparten propuestas de fondo como la eliminación de los subsidios a los combustibles y reducciones de impuestos. Ambos anuncian una ruptura con el sistema de corte estatal que impuso el MAS bajo la guía de Evo Morales. Cualquiera que gane la presidencia tendrá el reto de cumplir los recortes de gastos prometidos a una población que se ha favorecido durante dos décadas de subsidios, bonos y programas sociales. La tarea no se anuncia fácil", agrega el analista.  La propuesta de Rodrigo Paz de un "capitalismo para todos" caló hondo entre el electorado desencantado de la izquierda. Pero, ¿qué explica justamente el desencanto por el Movimiento al Socialsimo (MAS)? "La disputa interna entre los políticos del bloque de la izquierda —Luis Arce, Evo Morales y Andrónico Rodríguez— terminó por cansar a la gente. No tanto por ser una pelea entre políticos, sino porque la ciudadanía empezó a sentir que esa disputa afectaba su bolsillo. La economía de las familias, la subsistencia diaria, comenzó a resentirse. La conexión entre política y economía se convirtió en un cóctel complicado y volátil para ese sector de la izquierda. Esto explica, en parte, el golpe que hoy recibe el bloque de izquierda en las urnas", explica Arequipa. Paz: "Cambiar el modelo económico que trabaja para el Estado y no para los bolivianos"    El principal reto del próximo presidente será cumplir los recortes de gastos que ofreció, pues la población ya está habituada a recibir subsidios, bonos y programas sociales.   "Esta elección está demostrando que el electorado boliviano no está dispuesto a darle el poder a un candidato que represente un extremo, algo así como una vertiente pro-Milei, por decirlo de alguna manera. La gente se inclina más por un discurso de centro, más conciliador", subraya Marcelo Arequipa. De hecho, "tanto Rodrigo Paz como Jorge Quiroga no han propuesto medidas radicales para la economía, es decir, medidas de shock, sino que han propuesto aquello que se conoce como el gradualismo, hacer las cosas de manera gradual. Y creo que eso es relevante en la medida en la que se traduce en la idea de que el pueblo de Bolivia no está dispuesto a escuchar medidas de shock, porque esos ajustes siempre van hacia abajo. En un Estado no van hacia arriba. Ése es un apunte importante para quien vaya a ganar realmente la segunda vuelta y cómo traduzca sus medidas económicas", concluye Arequipa. 

Weltzeit - Deutschlandfunk Kultur
Krise in Bolivien - Morales, Machtkampf und der Mangel

Weltzeit - Deutschlandfunk Kultur

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 23:39


Boliviens Rohstoff-Reserven sind quasi erschöpft, die Inflation ist hoch, die Wirtschaft auf Talfahrt. Nun könnte das linke Lager nach 20 Jahren abgewählt werden. Ex-Präsident Evo Morales ist nicht zur Wahl zugelassen und mobilisiert seine Anhänger. Anne Herrberg, Diego Gonzalez, Katrin Materna www.deutschlandfunkkultur.de, Weltzeit

B5 Reportage
Boliviens Wahl - Krise, Chaos und Dschungelfestung

B5 Reportage

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 28:43


Inmitten der tropischen Chapare-Region im Herzen Boliviens, dort wo der Koka-Anbau blüht, hat sich ein Mann verschanzt, der das südamerikanische Land so lang regierte wie kein Präsident vor ihm - heute aber mit Haftbefehl gesucht wird: Evo Morales, Boliviens erster indigener Präsident. Umgeben von mit Holzspeeren bewaffneten Koka-Bauern, hinter Straßenblockaden, in einer Art Dschungelfestung, lebt er nun - fordert, trotz allem bei den Präsidentschaftswahlen am 17. August erneut antreten zu dürfen, was ihm das Gericht untersagt. Deswegen ruft er seine Anhänger zum Protest auf. Überall wurden Straßenblockaden errichtet, Bauern marschieren in die Metropole La Paz. Und das in einem Land, das ohnehin im Chaos steckt: Die Staatskasse ist leer, Benzin und Gas werden knapp, an Tankstellen bilden sich stundenlange Warteschlangen und die Lebensmittel werden immer teurer. Uns gelang es exklusiv, ex-Präsident Morales in seiner Dschungelfestung zu besuchen. Eindrücke aus einem Land im Chaos.

Noticias de América
Elecciones en Bolivia: los indecisos definirán al próximo presidente

Noticias de América

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 2:31


Recta final en las elecciones presidenciales de Bolivia con un cerrado porcentaje en las intenciones de votos. Las encuestas apuntan a un 2% entre los candidatos de derecha, Samuel Doria Medina y Jorge Quiroga. No obstante, algunos analistas estiman que los pronósticos podrían cambiar vertiginosamente porque no se sabe hacia dónde van a dirigir sus votos los simpatizantes de izquierda: un voto nulo o un voto a favor del candidato Andrónico Rodríguez que lo lanzaría al segundo o primer lugar. Queda una semana para las elecciones generales en Bolivia y comienzan los cierres de campaña de los aspirantes a la Presidencia. Samuel Doria Medina (Unidad, centroderecha liberal) y Jorge Quiroga (Libre, de derecha liberal conservadora) lideran las encuestas, pero no seguro que sean ellos los que vayan a segunda vuelta ya que el resultado dependerá en gran parte, vaticinan analistas, de los indecisos, que tradicionalmente han votado por los candidatos de la izquierda, especialmente del Movimiento al Socialismo (MAS) que ha dirigido ese país suramericano en los últimos 20 años. Según las diferentes encuestas de intención de voto, no hay una orientación clara para saber si el nuevo presidente de Bolivia será de derecha, de centro o de izquierda. “Ahorita la moneda está en el aire”, así lo resume la politóloga Ana Lucía Velasco, experta en psicología electoral. “El candidato de izquierda, Andrónico Rodríguez (Alianza Popular), está el tercer o cuarto lugar según las encuestas. [Rodríguez] comenzó con un 12%. Ha ido bajando. Ahorita está en un 8%. Mucho de ese porcentaje es de las personas que votan por la izquierda y que ahora están entre los indecisos”, explicó Velasco. “Vamos a descubrir el día de la elección si esas personas se van a decidir por votar por este candidato, que lo haría subir al primero o segundo lugar, o si van a decidir votar nulo, como un voto protesta, que es a lo que ha estado llamando el ex presidente Evo Morales a sus bases, a sus seguidores: no avalar esta elección en la que él no ha podido participar". Derechas La analista estima que si Andrónico Rodríguez no queda en el primer o segundo lugar, el balotaje del 19 de octubre se daría entre los candidatos de derecha, lo que significa que habría un cambio en la dirección del gobierno que ha sido dirigido por el MAS durante casi dos décadas. Velasco detalló que el candidato Doria Medina es el actual el vicepresidente del Comité de la Internacional Socialista para América Latina y el Caribe (CISALC) y que su tendencia política “está más en el centro derecha”.  “Es un conocido empresario boliviano que ha trabajado en hotelería, en la construcción, también en la comida rápida”. “Jorge Quiroga está más a la derecha. El ha sido el vicepresidente de Hugo Banzer Suárez, un antiguo dictador militar, que se volvió a postular cuando ya había elecciones y que ganó una elección”, explicó la analista y recordó que Quiroga fue presidente durante un año cuando Banzer Suárez dejó el cargo por cuestiones de salud. De acuerdo con la especialista, estos dos candidatos los separa un mínimo porcentaje de 2% y no se sabe quién lidera las encuestas. “Todo es posible en verdad que sea Samuel el que esté en primero o Jorge “Tuto” Quiroga en primero. La diferencia entre ambos es tan pequeña que tengan que ir a segunda vuelta”. "Pero también está el escenario de que el antiguo votante de izquierda decida votar por Andrónico Rodríguez, y la segunda vuelta sea entre uno de estos dos: entre Andrónico- Samuel, o entre Andrónico- “Tuto” Quiroga”. En Bolivia el voto es obligatorio por lo que se espera que casi 8 millones de personas salgan a las urnas el domingo 17 de agosto para elegir al presidente, al vicepresidente y a diputados y senadores.

Noticias de América
Elecciones en Bolivia: los indecisos definirán al próximo presidente

Noticias de América

Play Episode Listen Later Aug 10, 2025 2:31


Recta final en las elecciones presidenciales de Bolivia con un cerrado porcentaje en las intenciones de votos. Las encuestas apuntan a un 2% entre los candidatos de derecha, Samuel Doria Medina y Jorge Quiroga. No obstante, algunos analistas estiman que los pronósticos podrían cambiar vertiginosamente porque no se sabe hacia dónde van a dirigir sus votos los simpatizantes de izquierda: un voto nulo o un voto a favor del candidato Andrónico Rodríguez que lo lanzaría al segundo o primer lugar. Queda una semana para las elecciones generales en Bolivia y comienzan los cierres de campaña de los aspirantes a la Presidencia. Samuel Doria Medina (Unidad, centroderecha liberal) y Jorge Quiroga (Libre, de derecha liberal conservadora) lideran las encuestas, pero no seguro que sean ellos los que vayan a segunda vuelta ya que el resultado dependerá en gran parte, vaticinan analistas, de los indecisos, que tradicionalmente han votado por los candidatos de la izquierda, especialmente del Movimiento al Socialismo (MAS) que ha dirigido ese país suramericano en los últimos 20 años. Según las diferentes encuestas de intención de voto, no hay una orientación clara para saber si el nuevo presidente de Bolivia será de derecha, de centro o de izquierda. “Ahorita la moneda está en el aire”, así lo resume la politóloga Ana Lucía Velasco, experta en psicología electoral. “El candidato de izquierda, Andrónico Rodríguez (Alianza Popular), está el tercer o cuarto lugar según las encuestas. [Rodríguez] comenzó con un 12%. Ha ido bajando. Ahorita está en un 8%. Mucho de ese porcentaje es de las personas que votan por la izquierda y que ahora están entre los indecisos”, explicó Velasco. “Vamos a descubrir el día de la elección si esas personas se van a decidir por votar por este candidato, que lo haría subir al primero o segundo lugar, o si van a decidir votar nulo, como un voto protesta, que es a lo que ha estado llamando el ex presidente Evo Morales a sus bases, a sus seguidores: no avalar esta elección en la que él no ha podido participar". Derechas La analista estima que si Andrónico Rodríguez no queda en el primer o segundo lugar, el balotaje del 19 de octubre se daría entre los candidatos de derecha, lo que significa que habría un cambio en la dirección del gobierno que ha sido dirigido por el MAS durante casi dos décadas. Velasco detalló que el candidato Doria Medina es el actual el vicepresidente del Comité de la Internacional Socialista para América Latina y el Caribe (CISALC) y que su tendencia política “está más en el centro derecha”.  “Es un conocido empresario boliviano que ha trabajado en hotelería, en la construcción, también en la comida rápida”. “Jorge Quiroga está más a la derecha. El ha sido el vicepresidente de Hugo Banzer Suárez, un antiguo dictador militar, que se volvió a postular cuando ya había elecciones y que ganó una elección”, explicó la analista y recordó que Quiroga fue presidente durante un año cuando Banzer Suárez dejó el cargo por cuestiones de salud. De acuerdo con la especialista, estos dos candidatos los separa un mínimo porcentaje de 2% y no se sabe quién lidera las encuestas. “Todo es posible en verdad que sea Samuel el que esté en primero o Jorge “Tuto” Quiroga en primero. La diferencia entre ambos es tan pequeña que tengan que ir a segunda vuelta”. "Pero también está el escenario de que el antiguo votante de izquierda decida votar por Andrónico Rodríguez, y la segunda vuelta sea entre uno de estos dos: entre Andrónico- Samuel, o entre Andrónico- “Tuto” Quiroga”. En Bolivia el voto es obligatorio por lo que se espera que casi 8 millones de personas salgan a las urnas el domingo 17 de agosto para elegir al presidente, al vicepresidente y a diputados y senadores.

Enfoque internacional
Ganaderos en Bolivia exigen apoyo a la agroindustria del próximo presidente

Enfoque internacional

Play Episode Listen Later Aug 5, 2025 2:32


Se acerca en Bolivia la elección presidencial, que será el domingo 17 de agosto, y entre los temas que están proponiendo los candidatos para salir de la crisis económica crónica del país se repite desarrollar la ganadería y la agricultura a gran escala. Es un proyecto que entusiasma a los lideres del agronegocio pero que preocupa a las comunidades autóctonas quienes ven que la deforestación no deja de crecer. RFI viajó a la región oriental de Santa Cruz para hablar con unos y otros.  Con nuestro corresponsal en Bolivia, Nils Sabin La agricultura a gran escala es un proyecto que entusiasma a los lideres del agronegocio pero que preocupa a las comunidades autóctonas quienes ven que la deforestación no deja de crecer. En San Javier, la campaña para la elección presidencial del 17 de agosto es seguida con mucha atención. Esta pequeña ciudad de 15.000 habitantes es la cuenca lechera más importante del departamento de Santa Cruz y los ganaderos locales tienen esperanza de ver su sector apoyado por el próximo presidente, como cuenta María Gloria Paz Tambare, presidenta de la asociación de ganaderos de San Javier : “Ojala, y dios quiera, que haya un cambio y que el nuevo gobierno que venga mire que la producción y el adelanto y el progreso están en el campo.” A pesar de las leyes ambientales muy permisivas y de los préstamos a tasas bajas, el agronegocio tiene la sensación de haber sido tratado muy mal por los gobiernos de izquierdas de los últimos 20 años. Para la ganadera, es urgente que un presidente aún más favorable a este sector llegue al poder. “Nosotros la tenemos muy clara la figura de que si no hay exportación, si no hay liberación de aranceles, si no hay apoyo, con seguridad que este país se va a ir al bombón” Es también el punto de vista de Mauricio Tambare, un ganadero encontrado en su estancia, a unos kilómetros de San Javier. Para el, los candidatos tienen que inspirarse de otros presidentes de derecha del continente : “Nos gusta lo que hace Milei, nos gusta lo que ha hecho Bukele y nosotros aspiramos a que, no digo que sea lo mismo pero que sea muy parecido a lo que hace Milei” Pero dentro la Central indígena Païkoneka, que agrupa alrededor de 60 comunidades autóctonas en San Javier,  hay preocupación por estas propuestas, ya que no son cuestionadas por los candidatos de izquierdas, indica Brian Baca Talamas, “le hemos analizado todas las propuestas de todos los candidatos y en ni una favorece de ninguna forma a los pueblos indígenas o al medio ambiente”. De hecho, reforzar el peso del agronegocio en la economía boliviana significa ampliar la frontera agrícola, lo que favorecerá la deforestación y los incendios. Para oponerse a eso, la Central indígena païkoneka ya está pensando en movilizaciones para después de la elección contó a RFI Maria Suarez Macoño, una de los dirigentes de la organización: “Estamos unidos, todos los pueblos de las tierras bajas, que cuando pase este 17 de agosto y quien salga presidente, hacer una marcha para decir que se respeten nuestro territorio y que se respeten nuestros derechos.” En 2024, Bolivia fue el segundo país con más pérdidas de bosque primario a nivel mundial, después de Brasil, y por el momento, parece que ningún candidato está dispuesto a cambiar este rumbo.

Audio Mises Wire
Bolivia Held Hostage: The Tyrant's Return

Audio Mises Wire

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025


When socialist Evo Morales was elected president of Bolivia, he received favorable press from the western media. Like most socialists, however, his government turned tyrannical. Disqualified from office, he and his followers now seek to stage a coup to return him to power.Original article: https://mises.org/mises-wire/bolivia-held-hostage-tyrants-return

Max Blumenthal
Evo Morales to The Grayzone: "We are fighting the second coup d'etat"

Max Blumenthal

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 28:45


In an exclusive interview with The Grayzone's Oscar Leon, former Bolivian President Evo Morales details a trove of leaked chats and documents which show how an electoral council member took money in exchange for disqualifying him from running for president again.As his country's first indigenous president and the leader of powerful social movements, Evo remains popular among his base. He addresses the attacks he has weathered from the current Bolivian president, Luis Arce, who relied on him to get elected, but who now seeks to end his political career.Evo warns that the campaign to ban him will lead to a resurgence of right-wing forces which aim to sell his country's vast mineral wealth off to US oligarchs.This interview is part of The Grayzone's ongoing series exposing lawfare against popular movements in Latin America.

Mises Media
Bolivia Held Hostage: The Tyrant's Return

Mises Media

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025


When socialist Evo Morales was elected president of Bolivia, he received favorable press from the western media. Like most socialists, however, his government turned tyrannical. Disqualified from office, he and his followers now seek to stage a coup to return him to power.Original article: https://mises.org/mises-wire/bolivia-held-hostage-tyrants-return

Noticias de América
Se agudiza la crisis económica en Bolivia

Noticias de América

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 2:25


La crisis económica en Bolivia no para de aumentar. En la Paz, la población hace largas esperas desde la madrugada para obtener, con suerte, algunos de los alimentos de la canasta básica. En 2015, Bolivia empezó a sufrir un déficit causado por la escasez de dólares y la caída de exportaciones de gas, y el exceso de gasto público acabó con las reservas del Banco Central de Bolivia en 2023, lo que ha derivado en la situación actual. “El Banco Central se quedó sin reservas y se mantuvo financiando el déficit del gobierno. Pero ya no tenía suficientes reservas para recoger el exceso de liquidez. Hay un crecimiento de la emisión muy grande y eso está generando presiones inflacionarias. Pero por otro lado, al terminarse las reservas del Banco Central, el gobierno no pudo financiar las importaciones de hidrocarburos”, explicó a RFI Luis Carlos Jemio, exministro de Hacienda de Bolivia. En medio de este caos, los seguidores del expresidente Evo Morales han generado bloqueos en las carreteras, y reclaman la renuncia del presidente Luis Arce. Algo que ha agravado la escasez de alimentos y medicamentos. “Tienen la posibilidad de bloquear una parte céntrica del país y con eso impedir el paso de productos. Los camiones cargados de alimentos que se producen en el oriente del país no llegan a los mercados del occidente”, agregó Jemio. Actualmente, la inflación alcanza el 18,4 % interanual, la cifra más alta en los últimos 17 años. Una situación que para el experto en economía, requiere medidas drásticas. “Hay que reducir el déficit fiscal.Lo que más está contribuyendo a ese déficit es el subsidio a los carburantes. Hay que quitar ese subsidio, pero eso tiene un costo social muy fuerte. Ese tipo de políticas crea mucho rechazo”, agregó el experto. Esta no es la primera vez que Bolivia hace frente a una crisis de esta magnitud. En los años 80, el país andino sufrió un colapso cambiario que desembocó en altas tasas de desempleo y una caída del 6,6 % del PIB. Una crisis que pasó a la historia como el primer caso de hiperinflación de América Latina.

SBS Spanish - SBS en español
Cinco muertos en Bolivia en choques entre policías y partidarios de Evo Morales quien busca reelección

SBS Spanish - SBS en español

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 13:05


Cinco muertos, cuatro policías y un campesino, es el saldo de los enfrentamientos registrados el miércoles en Bolivia, en intentos por desbloquear las carreteras tomadas por los partidarios de Evo Morales.

SBS Spanish - SBS en español
Programa | SBS Spanish | 13 junio 2025

SBS Spanish - SBS en español

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 52:22


Hablamos de los enfrentamientos en Bolivia entre policías y partidarios de Evo Morales que han dejado cinco muertos. Recordamos la incorporación en la colección "Sonidos de Australia" del Archivo Nacional de Cine y Sonido una de las primeras emisiones del programa SBS en español en 1975. Te contamos sobre las redadas y protestas migratorias en Estados Unidos y te actualizamos en materia deportiva.

'Y esto no es todo'
Las protestas en Los Ángeles. El atentado contra un candidato en Colombia. Evo Morales y los bloqueos

'Y esto no es todo'

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 18:15


Hablamos en Washington D.C. con José López Zamorano de La Red Hispana y en Los Ángeles con Javier Ansorena del "ABC" de Madrid; en Bogotá con Andrés Mejía Vergnaud, y en La Paz con Raúl Peñaranda, director de "Brújula Digital"

American Prestige
News - Ukraine Talks Collapse, India Threatens Pakistan's Water Supply, IDF Operation Gideon's Chariots

American Prestige

Play Episode Listen Later May 23, 2025 51:03


Subscribe now for an ad-free experience and much more content! This week in the news roundup: the Ukraine peace talks collapse (3:30) as Trump stuns European allies with his sudden pivot back to positions beneficial to Russia (7:21); in EU elections, a Romanian centrist wins the presidency (11:06), a Polish centrist wins the first round of the presidential election (13:27), and the Portuguese center-right wins that country's parliamentary election (14:46); India continues to threaten Pakistani water levels (17:05); South African president Ramaphosa's visit to the White House goes awry (20:04); in Israel-Palestine, the IDF begins Operation Gideon's Chariots (23:58), the Israelis allow “minimal” aid into Gaza without distribution (27:13), and a European backlash follows the IDF's operation and a West Bank shooting incident involving diplomats (31:18); Israel again appears to be preparing to strike Iran (35:17); Evo Morales is excluded from the presidential ballot in Bolivia (38:16); a New Cold War update featuring China pledging additional money to the WHO after a pandemic agreement (40:51); and Trump announces the Golden Dome project (43:44). Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Start Making Sense
Ukraine Talks Collapse, India Threatens Pakistan's Water Supply, IDF Operation Gideon's Chariots | American Prestige

Start Making Sense

Play Episode Listen Later May 23, 2025 47:33


This week in the American Prestige news roundup: the Ukraine peace talks collapse (3:30) as Trump stuns European allies with his sudden pivot back to positions beneficial to Russia (7:21); in EU elections, a Romanian centrist wins the presidency (11:06), a Polish centrist wins the first round of the presidential election leading to a runoff (13:27), and the Portuguese center-right wins that country's parliamentary election (14:46); India continues to threaten Pakistani water levels (17:05); South African president Ramaphosa's visit to the White House goes awry (20:04); in Israel-Palestine, the IDF begins Operation Gideon's Chariots (23:58), the Israelis allow “minimal” aid into Gaza, but no distribution (27:13), and a European backlash follows the IDF's operation and a West Bank shooting incident involving diplomats (31:18); Israel again appears to be preparing to strike Iran (35:17); Evo Morales is excluded from the presidential ballot in Bolivia (38:23); a New Cold War update featuring China pledging additional money to the WHO after a pandemic agreement (40:57); and Trump announces the Golden Dome project (43:47).Advertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy

Al Jazeera - Your World
Russia-Ukraine peace talks, Evo Morales election eligibility

Al Jazeera - Your World

Play Episode Listen Later May 17, 2025 2:27


Your daily news in under three minutes. At Al Jazeera Podcasts, we want to hear from you, our listeners. So, please head to https://www.aljazeera.com/survey and tell us your thoughts about this show and other Al Jazeera podcasts. It only takes a few minutes! Connect with us: @AJEPodcasts on Twitter, Instagram, Facebook, Threads and YouTube.

Today in Focus
From president to fugitive: in the jungle hideout of Evo Morales

Today in Focus

Play Episode Listen Later May 15, 2025 29:36


The socialist icon wants to defy the Bolivian constitution by running for a fourth term. But is he trying to save the country or himself? Tiago Rogero reports. Help support our independent journalism at theguardian.com/infocus

The Red Nation Podcast
Evo Morales and the fracturing of Bolivia's left w/ Camila Escalante

The Red Nation Podcast

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 92:31


TRN Podcast host Nick Estes is joined by journalist Camila Escalante on the rift within Bolivia's socialist movement and the potential return of Evo Morales. Camila Escalante is the Editor at Kawsachun News and Latin American correspondent for Press TV. Keep up with their reporting at https://kawsachun.com/ and empower their work on Patreon: https://www.patreon.com/KawsachunNews Watch the video edition on The Red Nation Podcast YouTube channel The Red Nation Podcast is a collaboration between The Red Nation and Red Media. Empower our work: GoFundMe: https://www.gofundme.com/f/empower-red-medias-indigenous-content  Subscribe to The Red Nation Newsletter: https://www.therednation.org/ Patreon  https://www.patreon.com/redmediapr