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Invités : - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD - Antoine Fenech, journaliste et chroniqueur Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Mireille Weinberg, rédactrice en chef adjointe au magazine Capital. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Véronique Jacquier, journaliste politique à CNEWS. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Véronique Jacquier, journaliste politique à CNEWS. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Catherine Nay, grande voix d'Europe 1 et éditorialiste politique. - Antonin André, chef du service politique du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Alexandre Mendel, journaliste au JDD, spécialiste des États-Unis et auteur de "Chez Trump" aux éditions de L'artilleur Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Frédéric Dabi, directeur Général Opinion Groupe IFOP. - Pierre Gentillet, avocat et enseignant. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles. - Ophélie Roque, professeure et journaliste. - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Frédéric Dabi, Directeur Général Opinion Groupe IFO. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jean-Philippe Cartier, entrepreneur. - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Éric Weil, auteur de «Retraites, un blocage français» aux Éditions Plon. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Philippe Brun, député PS de l'Eure. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Stanislas Billot de Lochner, co-fondateur de la nuit du bien commun. - Ophélie Roques, professeure et journaliste. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Théo Am'Saadi, président Les Jeunes Républicains. - Ophélie Roques, professeure et journaliste. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'avocat de l'abolition de la peine de mort va entrer au Panthéon. « Le dernier "saint de la République" », titre Le Nouvel Obs. Ministre de la Justice, président du Conseil constitutionnel, sénateur : le magazine explore ce qui fait de lui une « figure morale incontestable » en rappelant, au-delà de son combat contre la peine de mort, son « rôle décisif dans la dépénalisation de l'homosexualité » et son « souci constant des détenus dont il rappelait qu'ils demeuraient avant tout des citoyens ». « Robert Badinter n'est pas un personnage fade et consensuel, sans angles ni aspérités, qui ne suscitait aucun conflit », ajoute auprès du Nouvel Obs l'ancienne Garde des Sceaux, Christiane Taubira, figure de la gauche, tout comme l'était Robert Badinter, même si ses valeurs d'universalisme et d'humanisme sont parfois appréhendées, souligne le magazine, de différentes façons au sein de son propre camp. « Chacun projette en Badinter sa propre vision de la République », résume Le Nouvel Obs, qui est donc persuadé que « cette panthéonisation, l'une des dernières de la présidence Macron, ne divisera pas ». « Très rares sont ceux qui, en 2025, contestent » l'héritage de Robert Badinter. 5 objets symboliques au Panthéon Un an et demi après sa disparition, à 95 ans, cet avocat « nourri de l'esprit des Lumières et de Condorcet », rappelle Le Nouvel Obs, va donc rejoindre le Panthéon, jeudi 9 octobre. Plus précisément, indique L'Express, ce sont 5 objets symboliques qui seront déposés dans un cénotaphe, un tombeau élevé à la mémoire d'un mort, mais qui ne contient pas son corps. Une robe d'avocat, une copie du discours de Robert Badinter devant l'Assemblée nationale, le 17 septembre 1981, au moment de l'abolition de la peine de mort, et trois livres dont un de Victor Hugo, les Choses vues, dans lequel est écrite cette résonnante phrase : « Heureux si l'on peut un jour dire de lui : En s'en allant, il emporta la peine de mort ». Cette panthéonisation est « une récompense magnifique », se réjouit sa femme, Elisabeth Badinter, dans les colonnes du Point. « Celle de la France à l'égard de ce petit Juif issu d'une famille très modeste. » Robert Badinter dont le père, Simon, a été arrêté à Lyon en 1943 par Klaus Barbie, pour être déporté puis gazé au camp de Sobibor, en Pologne. La résurgence de l'antisémitisme depuis l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023, ce fut donc « un choc » pour lui, témoigne sa femme dans Le Point, qui publie justement un extrait d'un livre de Robert Badinter qui vient de paraître, Sur l'épreuve de l'antisémitisme. Une société israélienne « traumatisée » Ces mots résonnent particulièrement à l'approche du 7 octobre, et des deux ans de guerre entre Israël et le Hamas. Dans le même magazine (imprimé avant la réponse du Hamas au plan de paix proposé par Donald Trump) : cet article d'une correspondante à Tel-Aviv qui écrit qu'une « grande partie de la société israélienne redoute qu'une nouvelle déception ne vienne à nouveau doucher ce début d'espoir ». « Une société traumatisée », rapporte Le Point, qui a rencontré plusieurs psychologues israéliens dont les cabinets ne désemplissent pas depuis l'attaque du Hamas, le 7 octobre 2023. « Plusieurs études estiment à environ 3 millions le nombre d'Israéliens souffrant de troubles plus ou moins importants. » « Le Centre israélien sur la toxicomanie et la santé mentale évoque une hausse de 25 % de la consommation de drogue. » Malaise perceptible, aussi, dans les pays étrangers, de la France aux États-Unis. Le Point cite d'abord cette Parisienne de 56 ans qui « demande à son gendre d'ôter sa kippa quand il sort », et qui ressent « une haine, une défiance s'installer » à son travail. Elle envisage de rejoindre Israël avec sa fille d'ici l'été. Plus de 2 000 Français sont partis en 2024, soit le double de l'année précédente. À New York, aussi, « la sérénité a disparu », témoigne un autre Français installé dans cette ville pourtant vue, depuis plus d'un siècle, rappelle Le Point, « comme un refuge pour la population juive persécutée ». La probable arrivée de Zohran Mamdani à la mairie de New York inquiète une partie de la communauté, braquée par certaines déclarations du candidat démocrate et musulman. Visite dans un mémorial du 7-Octobre Une société israélienne « qui se radicalise », aussi, observe Le Nouvel Obs, « et qui ne cesse de revivre l'attaque la plus meurtrière de son histoire ». En témoigne ce reportage à Réïm, à la frontière avec Gaza, sur le site de la fête techno Nova, où le Hamas a assassiné des centaines de jeunes, le 7 octobre 2023. Un mémorial a été installé, accueillant, chaque jour, « de nombreux cars » et « des groupes de visiteurs ». Ils se recueillent devant les photos des victimes, mais aussi face au « cimetière de voitures calcinées avec, à chaque véhicule, un QR code qui envoie sur le téléphone l'histoire tragique de ses occupants ». Non loin, dans le kibboutz Nahal Oz, une partie de la population revient. « Il y a des tractopelles un peu partout, décrit Le Nouvel Obs, ça construit, ça rénove. Les jardins sont luxuriants ; des familles avec des poussettes se promènent, imperturbables quand retentit le son des explosions. » « Les gens comprennent, dit une habitante, que c'est important que nous, Juifs, habitions cet endroit, près de la frontière. Pour la sécurité de notre pays. » « Évidemment, il y a d'abord eu le choc et le deuil après le 7-Octobre, se souvient la rabbin Delphine Horvilleur auprès du Nouvel Obs. Et puis, très vite, la sidération face au manque d'empathie pour les victimes israéliennes. Mais j'ai également senti ce moment où certains des miens ont aussi vrillé, où la radicalité à l'intérieur de ma communauté est allée croissant. La difficulté pour la rabbin que je suis, dit-elle, est que je dois accompagner mon peuple dans la consolation et la quête de sécurité auxquelles il a pleinement droit et, simultanément, que je dois l'accompagner dans son questionnement sur lui-même, dans sa possibilité de critiquer le gouvernement du seul Etat-refuge dont il dispose. Et par moments, je ne sais plus si je dois tendre un miroir ou tendre les bras aux miens. » Sébastien Lecornu coincé entre les socialistes et la droite À la Une, également : la fin du compte à rebours pour la composition du nouveau gouvernement français. Ce sera aujourd'hui, 5 octobre, selon La Tribune Dimanche ; dans les 48h, d'après le JDD. Le Journal du dimanche anticipe « 24 ministres grand max » et révèle déjà son casting : la présence de la droite « devrait être renforcée » autour de Bruno Retailleau, maintenu ministre de l'Intérieur, tout comme Gérald Darmanin à la Justice. Sur le flanc gauche, en revanche, « seul Manuel Valls conserverait les Outre-mer ». Il faut dire qu'avec les socialistes, le chef du gouvernement « semble toujours dans une situation très précaire », observe La Tribune Dimanche, qui se demande si le PS décidera, ou non, immédiatement de censurer Sébastien Lecornu à l'issue de sa déclaration de politique générale, mardi 7 octobre. Le Premier ministre a pourtant accédé à une revendication des socialistes en renonçant au 49.3, mais ils « insistent sur la suspension de la réforme des retraites », chose dont la droite « ne veut pas entendre parler »... Les Républicains qui, eux, avancent, d'après La Tribune Dimanche, « sans enthousiasme vers une participation gouvernementale ». Tout cela, résume le journal, permet à Sébastien Lecornu « d'appréhender un peu plus les limites du défi auquel il est confronté à une époque où seule la radicalité paie et le compromis est vu comme une faiblesse ».
C dans l'air du 29 septembre 2025 - La contre-attaque de Nicolas Sarkozy« Toutes les limites de l'État de droit ont été violées ». Pour sa première interview depuis l'annonce de sa peine, Nicolas Sarkozy se montre offensif dans les colonnes du JDD. L'ancien chef de l'État ne veut pas d'une « grâce » présidentielle mais que son « honnêteté » soit reconnue. Dans cet entretien fleuve, il évoque un « complot », et rappelle que le document publié par Mediapart en 2012, celui à l'origine de la procédure, semble faux aux yeux de la justice. «S'il y a eu des faussaires, il y a eu complot. Dans un monde normal, c'est l'ensemble de l'accusation qui aurait dû s'écrouler. »De leur côté, les syndicats de magistrats dénoncent les menaces de mort à l'encontre de la juge qui a condamné Sarkozy, ainsi que les attaques contre l'institution judiciaire. Depuis jeudi dernier, celle-ci est visée par la droite et l'extrême-droite. Emmanuel Macron a lui pris sa défense : « Que l'on s'interroge sur la décision est une chose, que l'on remette en cause l'indépendance de la justice me paraît inacceptable ».Si Sarkozy sera le premier président de la cinquième République à dormir en prison, plusieurs politiques sont déjà passé par la case prison, comme Patrick Balkany, Bernard Tapie ou Claude Guéant. Les incarcérations des personnalités politiques se déroulent en QPV (quartier des personnes vulnérables). Aucun traitement de faveur n'a cependant lieu, les cellules sont les mêmes que les autres. Si l'endroit où Sarkozy va être incarcéré n'est pas encore connu, il pourra toutefois demander la libération conditionnelle, étant âgé de 70 ans.Pendant ce temps, à Matignon, Sébastien Lecornu planche sur son gouvernement. Celui-ci devrait être annoncé cette semaine. Le Premier ministre devra ensuite rendre sa copie sur le budget 2026. Lecornu a expliqué ce week-end au Parisien qu'il ne mettra pas en place la taxe Zucman demandée par la gauche. Pour autant, il dit ne pas renoncer à la justice fiscale : « Je ferai une proposition de budget dans laquelle certains impôts augmenteront, et d'autres diminueront ».Alors, les reproches faits à la justice dans l'affaire Sarkozy sont-ils justifiés ? Comment se déroule l'incarcération d'une personnalité politique ? Quel budget Lecornu prépare-t-il ?LES EXPERTS :- Alain DUHAMEL - Editorialiste politique- Audrey GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- Evelyne SIRE-MARIN - Magistrate honoraire, vice-présidente de la Ligue des Droits de l'Homme- Benjamin MOREL - Constitutionnaliste, maître de conférences à l'université Panthéon Assas
Une photo qui circule ce matin sur de nombreux sites d'information, particulièrement celui du Parisien-Dimanche. Photo de Nicolas Sarkozy samedi soir, au Parc des Princes, dont l'ancien président est un habitué, et où le Paris-Saint-Germain (PSG) recevait Auxerre. « Derniers instants de liberté », commente le journal, alors qu'un peu plus tôt, l'ancien président s'est confié au JDD, l'ultra-conservateur Journal du Dimanche. Une interview-fleuve, dans laquelle l'ancien président revient sur sa condamnation à cinq ans de prison, dans l'affaire libyenne. Dans cette interview, Nicolas Sarkozy dénonce une décision qui selon lui « viole l'État de droit », « je m'attendais à tout, mais pas à cela », assure-t-il, précisant aussi qu'il ne s'avoue pas vaincu : « Je suis persuadé que je finirai par gagner, je ne plierai pas face au mensonge, au complot et à l'insulte. » À la question : « Espérez-vous une grâce du président Macron ? » Il répond : « En aucun cas. Pour être gracié, il faut accepter sa peine et donc reconnaître sa culpabilité. Jamais je ne reconnaîtrai ma culpabilité pour quelque chose que je n'ai pas fait ». Sévérité rare La Tribune-Dimanche revient, elle aussi, sur la condamnation de Nicolas Sarkozy à de la prison ferme. Dans son éditorial, le directeur délégué du journal Bruno Jeudy parle d'un « coup de tonnerre judiciaire ». Il s'exclame : « La France, sidérée, regarde l'un de ses anciens chefs d'État faire face à l'incarcération pour association de malfaiteurs dans l'affaire libyenne, une peine lourde. Inédite. Sans précédent dans l'histoire contemporaine de notre démocratie ». Bruno Jeudy se défend de « vouloir contester la décision de justice dans son principe » : « Une décision qui soulève malgré tout de nombreuses interrogations : aucun flux financier n'a été établi, trois des quatre chefs d'accusation sont tombés, mais la condamnation est ferme, immédiate, sans appel ou presque. Une sévérité rare, presque brutale, qui jette le trouble, sinon sur la justice, du moins sur sa lisibilité », estime Bruno Jeudy. En page intérieure, la Tribune-Dimanche, précise qu'après l'énoncé du jugement, Nicolas Sarkozy a reçu de nombreuses marques de sympathie. Y compris de la part du premier ministre Sébastien Lecornu, qui « l'a appelé pour prendre de ses nouvelles ainsi que de celles de sa famille ». L'échange entre les jeunes israélienne Michelle et palestinienne Tala La presse hebdomadaire se penche également sur la reconnaissance de la Palestine par la France. « Palestine, la reconnaissance et après ? » interroge, en Une, le Nouvel Obs. « Le geste est symbolique, il n'en est pas moins historique », remarque l'hebdomadaire, qui craint toutefois « que cette décision ne change pas grand-chose sur le terrain ». Le Nouvel Obs qui a par ailleurs interrogé Michelle et Tala, une jeune israélienne et une jeune palestinienne de Gaza qui dialoguent régulièrement par correspondance, lettres publiées par l'hebdomadaire. Chacune d'entre elles tente de comprendre l'autre. Et à les lire, on voit que l'exercice n'a rien d'évident. Michelle explique ainsi « qu'elle n'avait jamais parlé et écrit à quelqu'un de Gaza, même si elle vit tout près de ce territoire ». Tala, elle, raconte : « J'avais peur de trahir les miens, mais j'ai décidé de le faire pour documenter ce qui se passait à Gaza, raconter notre vie, les enfants que je voyais, et leur donner une voix. » À la question : « Que souhaiteriez-vous qu'on retienne de votre correspondance ? » la Palestinienne Tala répond : « Qu'on ne peut rester figées d'un seul côté, sans prendre le temps d'écouter l'autre ». L'israélienne Michelle, elle, aimerait « que ceux qui se considèrent comme les amis d'Israël dans le monde, arrêtent de penser que parler avec des Palestiniens ou chercher à les comprendre, c'est antisémite ou anti-Israël ». Taxe Zucman Enfin, le Point affiche en Une cette question : « Pourquoi la haine des riches ? » Le magazine nous promet de nous révéler « les origines historiques d'une passion triste », dans un long dossier de quatorze pages. Où il est une nouvelle fois question de la fameuse taxe Zucman, du nom de cet économiste français qui propose de « créer un impôt plancher de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d'euros ». « Une incroyable opération qui méritera de figurer dans tous les manuels d'enfumage politique », fulmine Etienne Gernelle, le directeur de l'hebdomadaire. Nicolas Baverez assure que « cette taxe porterait le coup de grâce à notre pays exsangue ». L'essayiste ajoute même : « cette taxe est l'expression la plus aboutie de la préférence pour l'impôt, de l'ignorance de l'entreprise et de la haine des riches. » Et ce n'est pas tout : les Français n'y comprendrait tout simplement pas grand chose, car selon le Point, « ils restent parmi les plus incultes d'Europe en économie ». Un peu plus loin, l'hebdomadaire parle même de « nullité crasse ». Ce n'est peut-être pas la meilleure manière de lutter contre « la haine des riches ».
Invités : - Pierre-Olivier Sur, ancien bâtonnier de Paris et avocat pénaliste. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Pierre-Olivier Sur, ancien bâtonnier de Paris et avocat pénaliste. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Catherine Rambert, journaliste et auteur. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Caroline Yadan, Députée EPR des Français établis hors de France. - Catherine Rambert, journaliste et auteur. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Caroline Yadan, Députée EPR des Français établis hors de France. - Catherine Rambert, journaliste et auteur. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Hervé Morin, président de la Région Normandie. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sylvain Maillard, député EPR de Paris. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, éditorialiste et chef de service au JDD. - Gilles Boutin, journaliste au Figaro. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Frédéric Dabi, directeur général de l'IFOP, auteur de «Parlons-nous tous la même langue ?» (Editions L'aube). - Jules Torres, éditorialiste et chef de service au JDD. - Gilles Boutin, journaliste au Figaro. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, éditorialiste et chef de service au JDD. - Gilles Boutin, journaliste au Figaro. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Marc Touati, économiste. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Benjamin Morel, politologue et maître de conférences à l'université Paris. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Vincent Roy, journaliste et essayiste. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Vincent Roy, journaliste et essayiste. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Matthieu Valet, eurodéputé et porte-parole du Rassemblement national. - Ophélie Roque, professeure de français et journaliste. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Matthieu Valet, eurodéputé et porte-parole du Rassemblement national. - Ophélie Roque, professeure de français et journaliste. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - François Pierrard, fondateur et directeur de l'observatoire Hexagone. - Eliott Mamane, journaliste. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Ophélie Roque, professeure de français et journaliste. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.