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C dans l'air du 29 septembre 2025 - La contre-attaque de Nicolas Sarkozy« Toutes les limites de l'État de droit ont été violées ». Pour sa première interview depuis l'annonce de sa peine, Nicolas Sarkozy se montre offensif dans les colonnes du JDD. L'ancien chef de l'État ne veut pas d'une « grâce » présidentielle mais que son « honnêteté » soit reconnue. Dans cet entretien fleuve, il évoque un « complot », et rappelle que le document publié par Mediapart en 2012, celui à l'origine de la procédure, semble faux aux yeux de la justice. «S'il y a eu des faussaires, il y a eu complot. Dans un monde normal, c'est l'ensemble de l'accusation qui aurait dû s'écrouler. »De leur côté, les syndicats de magistrats dénoncent les menaces de mort à l'encontre de la juge qui a condamné Sarkozy, ainsi que les attaques contre l'institution judiciaire. Depuis jeudi dernier, celle-ci est visée par la droite et l'extrême-droite. Emmanuel Macron a lui pris sa défense : « Que l'on s'interroge sur la décision est une chose, que l'on remette en cause l'indépendance de la justice me paraît inacceptable ».Si Sarkozy sera le premier président de la cinquième République à dormir en prison, plusieurs politiques sont déjà passé par la case prison, comme Patrick Balkany, Bernard Tapie ou Claude Guéant. Les incarcérations des personnalités politiques se déroulent en QPV (quartier des personnes vulnérables). Aucun traitement de faveur n'a cependant lieu, les cellules sont les mêmes que les autres. Si l'endroit où Sarkozy va être incarcéré n'est pas encore connu, il pourra toutefois demander la libération conditionnelle, étant âgé de 70 ans.Pendant ce temps, à Matignon, Sébastien Lecornu planche sur son gouvernement. Celui-ci devrait être annoncé cette semaine. Le Premier ministre devra ensuite rendre sa copie sur le budget 2026. Lecornu a expliqué ce week-end au Parisien qu'il ne mettra pas en place la taxe Zucman demandée par la gauche. Pour autant, il dit ne pas renoncer à la justice fiscale : « Je ferai une proposition de budget dans laquelle certains impôts augmenteront, et d'autres diminueront ».Alors, les reproches faits à la justice dans l'affaire Sarkozy sont-ils justifiés ? Comment se déroule l'incarcération d'une personnalité politique ? Quel budget Lecornu prépare-t-il ?LES EXPERTS :- Alain DUHAMEL - Editorialiste politique- Audrey GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- Evelyne SIRE-MARIN - Magistrate honoraire, vice-présidente de la Ligue des Droits de l'Homme- Benjamin MOREL - Constitutionnaliste, maître de conférences à l'université Panthéon Assas
Une photo qui circule ce matin sur de nombreux sites d'information, particulièrement celui du Parisien-Dimanche. Photo de Nicolas Sarkozy samedi soir, au Parc des Princes, dont l'ancien président est un habitué, et où le Paris-Saint-Germain (PSG) recevait Auxerre. « Derniers instants de liberté », commente le journal, alors qu'un peu plus tôt, l'ancien président s'est confié au JDD, l'ultra-conservateur Journal du Dimanche. Une interview-fleuve, dans laquelle l'ancien président revient sur sa condamnation à cinq ans de prison, dans l'affaire libyenne. Dans cette interview, Nicolas Sarkozy dénonce une décision qui selon lui « viole l'État de droit », « je m'attendais à tout, mais pas à cela », assure-t-il, précisant aussi qu'il ne s'avoue pas vaincu : « Je suis persuadé que je finirai par gagner, je ne plierai pas face au mensonge, au complot et à l'insulte. » À la question : « Espérez-vous une grâce du président Macron ? » Il répond : « En aucun cas. Pour être gracié, il faut accepter sa peine et donc reconnaître sa culpabilité. Jamais je ne reconnaîtrai ma culpabilité pour quelque chose que je n'ai pas fait ». Sévérité rare La Tribune-Dimanche revient, elle aussi, sur la condamnation de Nicolas Sarkozy à de la prison ferme. Dans son éditorial, le directeur délégué du journal Bruno Jeudy parle d'un « coup de tonnerre judiciaire ». Il s'exclame : « La France, sidérée, regarde l'un de ses anciens chefs d'État faire face à l'incarcération pour association de malfaiteurs dans l'affaire libyenne, une peine lourde. Inédite. Sans précédent dans l'histoire contemporaine de notre démocratie ». Bruno Jeudy se défend de « vouloir contester la décision de justice dans son principe » : « Une décision qui soulève malgré tout de nombreuses interrogations : aucun flux financier n'a été établi, trois des quatre chefs d'accusation sont tombés, mais la condamnation est ferme, immédiate, sans appel ou presque. Une sévérité rare, presque brutale, qui jette le trouble, sinon sur la justice, du moins sur sa lisibilité », estime Bruno Jeudy. En page intérieure, la Tribune-Dimanche, précise qu'après l'énoncé du jugement, Nicolas Sarkozy a reçu de nombreuses marques de sympathie. Y compris de la part du premier ministre Sébastien Lecornu, qui « l'a appelé pour prendre de ses nouvelles ainsi que de celles de sa famille ». L'échange entre les jeunes israélienne Michelle et palestinienne Tala La presse hebdomadaire se penche également sur la reconnaissance de la Palestine par la France. « Palestine, la reconnaissance et après ? » interroge, en Une, le Nouvel Obs. « Le geste est symbolique, il n'en est pas moins historique », remarque l'hebdomadaire, qui craint toutefois « que cette décision ne change pas grand-chose sur le terrain ». Le Nouvel Obs qui a par ailleurs interrogé Michelle et Tala, une jeune israélienne et une jeune palestinienne de Gaza qui dialoguent régulièrement par correspondance, lettres publiées par l'hebdomadaire. Chacune d'entre elles tente de comprendre l'autre. Et à les lire, on voit que l'exercice n'a rien d'évident. Michelle explique ainsi « qu'elle n'avait jamais parlé et écrit à quelqu'un de Gaza, même si elle vit tout près de ce territoire ». Tala, elle, raconte : « J'avais peur de trahir les miens, mais j'ai décidé de le faire pour documenter ce qui se passait à Gaza, raconter notre vie, les enfants que je voyais, et leur donner une voix. » À la question : « Que souhaiteriez-vous qu'on retienne de votre correspondance ? » la Palestinienne Tala répond : « Qu'on ne peut rester figées d'un seul côté, sans prendre le temps d'écouter l'autre ». L'israélienne Michelle, elle, aimerait « que ceux qui se considèrent comme les amis d'Israël dans le monde, arrêtent de penser que parler avec des Palestiniens ou chercher à les comprendre, c'est antisémite ou anti-Israël ». Taxe Zucman Enfin, le Point affiche en Une cette question : « Pourquoi la haine des riches ? » Le magazine nous promet de nous révéler « les origines historiques d'une passion triste », dans un long dossier de quatorze pages. Où il est une nouvelle fois question de la fameuse taxe Zucman, du nom de cet économiste français qui propose de « créer un impôt plancher de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d'euros ». « Une incroyable opération qui méritera de figurer dans tous les manuels d'enfumage politique », fulmine Etienne Gernelle, le directeur de l'hebdomadaire. Nicolas Baverez assure que « cette taxe porterait le coup de grâce à notre pays exsangue ». L'essayiste ajoute même : « cette taxe est l'expression la plus aboutie de la préférence pour l'impôt, de l'ignorance de l'entreprise et de la haine des riches. » Et ce n'est pas tout : les Français n'y comprendrait tout simplement pas grand chose, car selon le Point, « ils restent parmi les plus incultes d'Europe en économie ». Un peu plus loin, l'hebdomadaire parle même de « nullité crasse ». Ce n'est peut-être pas la meilleure manière de lutter contre « la haine des riches ».
Invités : - Pierre-Olivier Sur, ancien bâtonnier de Paris et avocat pénaliste. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Caroline Yadan, Députée EPR des Français établis hors de France. - Catherine Rambert, journaliste et auteur. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Caroline Yadan, Députée EPR des Français établis hors de France. - Catherine Rambert, journaliste et auteur. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Catherine Rambert, journaliste et auteur. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Hervé Morin, président de la Région Normandie. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sylvain Maillard, député EPR de Paris. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. - Ophélie Roque, enseignante et chroniqueuse. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Frédéric Dabi, directeur général de l'IFOP, auteur de «Parlons-nous tous la même langue ?» (Editions L'aube). - Jules Torres, éditorialiste et chef de service au JDD. - Gilles Boutin, journaliste au Figaro. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Marc Touati, économiste. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Benjamin Morel, politologue et maître de conférences à l'université Paris. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Vincent Roy, journaliste et essayiste. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Jules Torres, journaliste au service politique du JDD - Arnaud Benedetti, rédacteur-en-chef de la Revue politique et parlementaire, éditorialiste et fondateur du comité de soutien de Boualem Sansal Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - François Pierrard, fondateur et directeur de l'observatoire Hexagone. - Eliott Mamane, journaliste. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Matthieu Valet, eurodéputé et porte-parole du Rassemblement national. - Ophélie Roque, professeure de français et journaliste. - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - David Amiel, député Ensemble pour la République de Paris. - Gilles Boutin, journaliste au Figaro Economie. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gilles Boutin, journaliste au Figaro Economie. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : Florian Anselme du JDD et Jeremy Parayre, directeur des rédactions de Télé 7 Jours, pour parler des nouveautés télé de l'année Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Objectif Mars », « Mars, la nouvelle frontière de la conquête spatiale », titre le Nouvel Obs, avec en Une, une splendide photo, celle d'une planète où se mêlent harmonieusement l'orange et le rouge. Un peu comme dans un rêve, mais ne rêvons pas trop longtemps, car la réalité se mesure en termes de puissance et d'argent. « La planète Mars est aujourd'hui le Graal intersidéral, nous dit le Nouvel Obs, le terrain des grandes puissances, avec la Chine comme nouvel acteur. L'Amérique de Trump en a fait son nouveau fétiche, promettant les premiers pas de l'homme sur Mars d'ici à 2029, avant la fin du mandat du président. » Qu'importe si tous les scientifiques s'accordent à dire que c'est parfaitement impossible. Donald Trump y croit-il lui-même ? En tout cas, il mène le jeu comme n'importe quelle autre affaire commerciale. « Trump et ses amis de la tech mettent en danger les programmes de la Nasa basés sur la coopération internationale, pour privilégier les progrès strictement nationaux, nous explique le Nouvel Obs. « Derrière les accents triomphants annonçant la colonisation de Mars pour les prochaines années (…) se cache la captation des crédits publics par quelques "entreprises amies", celles des barons de la tech qui ont soutenu la campagne de Trump, avec en tête Elon Musk avec Space X et Jeff Bezos avec Blue Origin. ».Les passionnés, qui regardent la planète rouge avec des yeux d'enfant, en seront pour leurs frais. À lire aussiIl y a 60 ans, la sonde Mariner 4 révélait à l'humanité le vrai visage de Mars La fin de la guerre ? Après l'annonce d'une rencontre entre Trump et Poutine le 15 août en Alaska, le Journal du Dimanche (JDD) pose la question : « Et si la guerre se terminait la semaine prochaine ? », question faussement innocente, car l'analyse qui suit tend plutôt à démontrer le contraire. « Personne ne peut croire que la paix soit l'issue de ce tête-à-tête », estime le JDD. La Tribune Dimanche, de son côté, met l'accent sur ce qu'elle estime être l'ambition première de Donald Trump : « le président américain se rêve en prix Nobel de la paix, et multiplie les initiatives pour y parvenir. Le sommet du 15 août avec Vladimir Poutine est un pas de plus sur le chemin de son ambition ». À la question « le sommet du 15 août pourrait-il accoucher du plus grand succès diplomatique de la seconde présidence Trump ? David Salvo, analyste au German Marshall Fund, interrogé par la Tribune dimanche, répond : « Washington sous-estime à quel point le Kremlin veut continuer à mener cette guerre, la légitimité et le sort du régime poutinien ne dépendent pas seulement de la fin de ce conflit aux conditions dictées par la Russie, mais à sa prolongation jusqu'à nouvel ordre, avec une économie entièrement consacrée à cette guerre ». Bref, personne ne croit vraiment à un miracle pour le 15 août. À lire aussiUkraine: «Il n'y a qu'au prix de conditions favorables à la Russie que Poutine pourrait mettre fin au conflit» L'appétit du géant russe La guerre en Ukraine que les pays baltes suivent avec une attention particulière. L'Express s'est rendu en Estonie, le plus petit des trois pays baltes qui comptent aussi la Lettonie et la Lituanie. L'Estonie (avec moins d'1,35 million d'habitants) qui partage « 300 kilomètres de ligne de démarcation avec la Russie », « une frontière de tous les dangers, explique le Nouvel Obs, face à ce grand voisin avide de conquêtes. » « L'Otan pourrait être testée sur sa capacité à réagir "d'ici à cinq ans", répète son secrétaire général Mark Rutte », nous rappelle l'Express, qui a aussi consulté une récente étude de la Revue nationale stratégique française, « jugeant plausible une guerre majeure de haute intensité en Europe ». Cette étude souligne aussi « que le renforcement de l'armée russe se poursuit de façon accélérée pour recompléter de nombreux matériels détruits en Ukraine, mais également pour développer de nouvelles capacités et renforcer son arsenal d'ici à 2030 ». L'Estonie, elle, ne peut guère compter que sur ses 4 000 militaires de métier et ses appelés. Et puis bien sûr, il y a l'Otan. Un officier américain, dont le régiment s'entraîne en Estonie, témoigne : « Nous sommes ici pour changer les calculs de l'adversaire, le dissuader d'une agression et respecter notre engagement de l'article 5 de l'Otan. » Article qui stipule « qu'une attaque contre un État appartenant à l'Alliance atlantique est une attaque contre tous. Et qu'elle ne restera pas sans réponse. » Mais cette perspective arrêtera-t-elle Vladimir Poutine ? Rien n'est moins sûr. « À quelle échéance les Russes pourraient-ils passer à l'action ? », interroge l'Express, qui cite une source sécuritaire, selon laquelle « les Russes n'ont pas besoin d'arrêter la guerre en Ukraine, il leur suffit d'amasser des unités à la frontière, puis de prendre une décision politique ». Une perspective effrayante pour l'Estonie, mais aussi la Lettonie et la Lituanie. À lire aussiUkraine: «Il n'y a qu'au prix de conditions favorables à la Russie que Poutine pourrait mettre fin au conflit»
Invités : - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Vincent Roy, essayiste et journaliste. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Nicolas Metzdorf, député Ensemble pour la République de Nouvelle Calédonie. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Vincent Roy, essayiste et journaliste. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Nicolas Metzdorf, député Ensemble pour la République de Nouvelle Calédonie. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Vincent Roy, essayiste et journaliste. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jean-Louis Thiériot, député LR de Seine-et-Marne, membre de la Commission défense et ancien ministre délégué auprès du ministre des Armées et des Anciens combattants. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Vincent Roy, essayiste et journaliste. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). - Jules Torres, journaliste politique au JDD. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Noëlle Lenoir, présidente du Comité de soutien à Boualem Sansal, membre honoraire du Conseil constitutionnel et ancienne ministre - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Nathan Devers, écrivain et philosophe. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Bernard Carayon, élu du Tarn et maire de Lavaur (UDR). - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 19 mai 2025 avec Béatrice Brugère, magistrate, secrétaire générale du syndicat Unité Magistrats FO, auteure de "Justice : la colère qui monte" (éditions de l'Observatoire).Après Vendin-le-Vieil et Condé-sur-Sarthe, un troisième quartier de haute sécurité sera construit d'ici 2028 dans la prison qui doit sortir de terre à l'entrée de la ville de Saint-Laurent-du-Maroni, en Guyane, territoire gangréné par le narcotrafic et où règne une forte surpopulation carcérale. En déplacement en Guyane, le garde des Sceaux Gérald Darmanin a annoncé samedi la création de ce quartier au sein de la prison de 500 places attendue dans la deuxième ville la plus peuplée de la collectivité territoriale ultramarine. "J'ai décidé d'implanter en Guyane la troisième prison de haute sécurité de France. Soixante places, un régime carcéral extrêmement strict, et un objectif : mettre hors d'état de nuire les profils les plus dangereux du narcotrafic", a déclaré le ministre au JDD. "Quinze places" seront également "dédiées aux islamistes/radicalisés" condamnés pour terrorisme jihadiste, a confirmé son cabinet à l'AFP.L'annonce de ce projet, en Guyane, a fait réagir les élus, en particulier locaux, en raison du choix du lieu. Interrogée sur BFMTV, Marine Tondelier, secrétaire nationale des Ecologistes, s'est montrée critique : "Oui il faut des services publics en Guyane mais je ne pense pas que la priorité était ce projet de prison". "La symbolique qui consiste à installer en Guyane une prison pour des non-Guyanais et - les plus dangereux - est extrêmement problématique parce qu'on voit bien la référence historique au bagne de Cayenne", a-t-elle déploré.Béatrice Brugère, magistrate, nous donnera son sentiment sur la création de cette nouvelle rpuson de ahute sécurité. Elle partagera aussi avec nous ses solutions pour lutter contre la surpopulation carcérale.