Podcasts about port au prince

Capital of Haiti

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port au prince

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The People's Countryside Environmental Debate Podcast
Superpower Redefined: Busyness and Beyond

The People's Countryside Environmental Debate Podcast

Play Episode Listen Later Apr 6, 2025 20:00


This podcast is  not really a debate. It's more of a conversation. Listeners send in questions for discussion and we've got up to 50 questions still to get through. Some aren't about the countryside or the environment, but co-hosts Stuart and William try and bring them beck to the environment in some way, with the actions they come up with. Ched, sets the first question from Port-Au-Prince, Haiti - “Who or what is the world's super power?”William initially suggests the USA as an answer to Ched's question but quickly shifts to a broader perspective. He identifies the real superpower as the ability to create an inclusive and effective community—a dynamic where people from diverse backgrounds connect, exchange ideas, and spark transformative progress. Stuart views Earth's superpower as its innate ability to foster and sustain life, a universal and extraordinary quality beyond the confines of planet Earth.William quotes physicist Brian Cox, emphasizing humanity's unique capacity to marvel at the universe and suggesting that losing this trait would be a profound loss. Their discussion diverges into intriguing tangents: William explores the concept of large numbers by converting them into relatable measures like time, while Stuart delves into the mysteries of black holes, pondering what happens to the matter within if a black hole ceases to exist.Fendy, from Dajabon, Haiti offers up the next question - “Is it good to be busy?”William begins by asserting that busyness for its own sake is counterproductive, though it may serve as a useful distraction in difficult times. He cites gardening and housework as examples of purposeful activity. Drawing on his business experience, Stuart observes that many people appear busy while accomplishing little, which he describes as a form of self-sabotage. They further note that some individuals maintain an image of busyness without engaging in substantively meaningful work. Stuart then shifts the focus to consider how one might achieve effectiveness without unnecessary preoccupation, prompting William to recall a U.S. podcast on activism that stressed the importance of balancing dedicated efforts with periods of disengagement to avoid missing critical opportunities.What do you make of this discussion? Do you have a question that you'd like us to discuss? Let us know by sending an email to ⁠thepeoplescountryside@gmail.comWe like to give you an ad free experience. We also like our audience to be relatively small and engaged, we're not after numbers.This podcast's overall themes are nature, philosophy, climate, the human condition, sustainability, and social justice. Help us to spread the impact of the podcast by sharing this link with 5 friends podfollow.com/ThePeoplesCountrysideEnvironmentalDebatePodcast , support our work through Patreon patreon.com/thepeoplescountryside⁠. Find out all about the podcast via this one simple link: linktr.ee/thepeoplescountrysideSign the Petition - Improve The Oxfordshire Countryside Accessibility For All Disabilities And Abilities: change.org/ImproveTheOxfordshireCountrysideAccessibilityForAllDisabilitiesAndAbilitiesFundraiser For An Extreme 8 All-terrain Wheelchair: justgiving.com/wildmanonwheels

Un jour dans le monde
Haïti : des milliers de manifestants dans les rues de Port-au-Prince contre l'insécurité et la violence des gangs

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 3:14


durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Nous avons besoin de liberté et de sécurité", ont scandé les manifestants qui pour certains ont bloqué les artères principales de la capitale. La manifestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.

InterNational
Haïti : des milliers de manifestants dans les rues de Port-au-Prince contre l'insécurité et la violence des gangs

InterNational

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 3:14


durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Nous avons besoin de liberté et de sécurité", ont scandé les manifestants qui pour certains ont bloqué les artères principales de la capitale. La manifestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.

Sous les radars
Haïti : des milliers de manifestants dans les rues de Port-au-Prince contre l'insécurité et la violence des gangs

Sous les radars

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 3:14


durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Nous avons besoin de liberté et de sécurité", ont scandé les manifestants qui pour certains ont bloqué les artères principales de la capitale. La manifestation a été dispersée par la police à coups de gaz lacrymogènes.

Journal en français facile
Port-au-Prince sur le point de tomber / Israël continue de bombarder Gaza / Le maire d'Istambul arrêté...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 10:00


Le Journal en français facile du mercredi 19 mars 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BVh6.A

Journal d'Haïti et des Amériques
Port-au-Prince sur le point de tomber aux mains des gangs

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 30:00


L'agence en ligne Alterpresse estime qu'il ne suffirait que de quelques heures avant que les gangs armés ne s'emparent totalement de Port-au-Prince. 85% de la capitale haïtienne est aux mains des gangs, et seuls quelques quartiers sont encore épargnés. « Nous sommes livrés à nous-mêmes », peut-on lire dans l'article du Miami Herald. Notre consœur Jacqueline Charles a recueilli des témoignages édifiants qui décrivent une situation « insupportable depuis ces deux dernières semaines ».  Selon Pierre Esperance, un défenseur des droits humains à Port-au-Prince, « la ville peut tomber à tout moment ».(AlterPresse | Port-au-Prince en flammes, le pouvoir en fête en Haïti. Où est le président du Cpt ?)La journaliste décrit une situation terrible, « une ville prise entre les hurlements et les tirs d'armes, les gangs armés et l'exode massif de la population, entre l'anxiété et le silence ». Les quartiers sont vidés un par an, les maisons brûlées, les commerces pillés, et 60 000 personnes ont fui en 1 mois, selon l'Organisation Internationale pour la Migration. Des habitants qui ne savent pas où aller et sont livrés à eux-mêmes.Dans le Nouvelliste, le rédacteur en chef Frantz Duval s'interroge : « que faire quand on ne peut rien faire ? ». Et il poursuit : « Chaque Port-au-Princien, ceux qui vivent dans les derniers quartiers non encore attaqués par les gangs, se pose cette question en échafaudant des plans, en se demandant combien de temps il leur reste avant de connaître le même sort que les autres ». « Ailleurs, pas un mot, pas un sit-in, pas une manifestation », constate-t-il. Les figures de la diaspora haïtienne sont aux abonnés absents, même chose pour l'opposition, silencieuse elle aussi, tout comme la communauté internationale. Aujourd'hui, « même l'ingérence est en vacances », selon Frantz Duval, alors que faire ? « Rien et attendre ». « Ce n'est pas du défaitisme » précise-t-il, « mais une façon de cultiver l'espoir et l'espérance ».Sur le terrain, un policier kenyan, membre de la Mission multinationale de sécurité a été blessé à Kenscoff lors d'un échange de tirs. La situation sécuritaire dans ce quartier de le capitale haïtienne « demeure préoccupante », peut-on lire dans Gazette Haïti. Le journal rappelle qu'il y a quelques semaines, un militaire haïtien avait déjà perdu la vie à Kenscoff. Et l'espoir d'un « retour à l'ordre s'amenuise au sein de la population de jour en jour ».Dans ce contexte, les autorités sont accusés de regarder ailleurs et l'agence en ligne Alterpresse (AlterPresse | Port-au-Prince en flammes, le pouvoir en fête en Haïti. Où est le président du Cpt ?) se pose la question, où est le président du Conseil présidentiel de transition ? Celui-ci est accusé de laisser le chaos s'installer, « alors que Port-au-Prince agonise sous l'emprise des gangs, que Delmas 32 lutte pour sa survie et que les quartiers tombent comme des dominos », souligne l'éditorialiste Pierre Legros. « Fritz Alphonse Jean, le président du CPT, préfère s'envoler en hélicoptère pour participer aux festivités de la Saint-Joseph à Fort-Liberté. »Au milieu de ce chaos, la culture résiste encore. Le festival international de jazz de Port-au-Prince, le PAPJAZZ, fait son retour. La 18è édition doit débuter ce jeudi (20 mars 2025), jusqu'à samedi. Initialement prévu en janvier, le festival a dû être reporté en raison du climat sécuritaire. Mais malgré les défis, la Fondation Haïti Jazz reste fidèle à son engagement : montrer une autre image d'Haïti, accompagner les artistes, faire rayonner la culture et prouver que, même dans les conditions actuelles, la musique et l'art peuvent encore rassembler. Milena Sandler, la directrice générale de la Fondation Haïti Jazz s'est confiée au correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama.►L'entretien est à retrouver dans son intégralité dans la version audio de ce podcast. Aux États-Unis, l'administration Trump accusée de briser des familles de migrantsAlors que le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, a menacé le Venezuela de nouvelles « sanctions sévères » s'il ne reprenait pas ses ressortissants expulsés des États-Unis, les familles de migrants expulsés témoignent.Dans le Boston Globe, on peut lire l'histoire d'un jeune migrant, Jose âgé de 17 ans, sans papier, arrêté alors qu'il se rendait à son travail sur un chantier dans la ville de Lewiston, dans le Maine. Sa mère a reçu un appel d'un agent de l'immigration lui expliquant que son fils allait être expulsé au Salvador. « Si vous voulez, vous pouvez vous aussi vous rendre et être envoyé là-bas, mais il sera expulsé de toutes façons », a poursuivi l'officier de police, alors que sa mère dans un sanglot explique que l'administration Trump veut détruire les familles de migrants. Depuis son arrestation, la famille de Joe n'ose plus sortir de chez elle de peur d'être elle aussi expulsée.Ses parents sont aux États-Unis depuis une dizaine d'années et les deux plus jeunes de la famille des citoyens américains. Jose est en transit dans un centre de rétention pour mineurs à New York, à près de 500 kilomètres de sa famille, « c'est effrayant, je n'ai jamais vu ça », témoigne son avocat. Mexico : les règles changent pour les corridasMexico vient de changer les règles concernant les corridas : il sera désormais interdit de blesser ou de tuer le taureau. Cette mesure a été approuvée hier, par la quasi-totalité des législateurs du gouvernement de la ville. Elle devrait entrer en vigueur d'ici quelques mois. Depuis des années, la ville de Mexico tergiverse sur ce sujet. Les corridas avaient été interdites une première fois en 2022 puis la décision avait été révoquée par la Cour suprême, un an plus tard.Depuis, la tauromachie a continué légalement dans la capitale mexicaine, au sein de la monumentale place des taureaux, la plus grande arène de corrida du monde qui peut accueillir 50 000 places.Cette-fois ci, il s'agit donc d'une sorte de compromis, mais qui ne plaît pas aux pro-corridas. Ils ont manifesté et bloqué le centre de la capitale. Gwendolina Duval était sur place pour RFI. L'actualité des OutremerDeux radars et un scanner doivent arriver prochainement en Martinique. Avec Tessa Grauman de la 1ère .

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : l'étau des gangs se resserre sur Port-au-Prince

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 30:00


Gotson Pierre, directeur d'Alterpresse, évoque la mort d'un jeune homme tué par une balle perdue ce lundi (17 mars 2025) dans les environs de Delmas 75. Son identité demeure inconnue. Cela s'est produit durant l'inhumation de deux frères, membres des Forces armées d'Haïti (Fad'h) assassinés à leur domicile à Delmas 30, le 25 février 2025, lors d'un assaut des membres de la coalition Viv Ansanm. Gotson Pierre rappelle que les victimes de balles perdues augmentent, elles constituent 40% des victimes dans ce contexte sécuritaire de plus en plus pesant. (AlterPresse | Haïti-Criminalité : Un jeune homme tué d'une balle perdue, en marge des obsèques de deux frères militaires assassinés à Delmas 30).Les médias sont également de nouveau visés par les gangs armés, Les locaux de Télé Pluriel ont été pillés et incendiés, dans la nuit du vendredi 14 au samedi 15 mars 2025, à Delmas 19, peut-on lire dans Alterpresse (AlterPresse | Haïti-Criminalité : Télé Pluriel, un autre média saccagé par les bandits armés à Port-au-Prince).Dans ce contexte, MSF annonce suspendre ses activités au Centre d'urgence de Turgeau après une attaque armée contre un convoi évacuant son personnel. L'accès aux soins est rendu de plus en plus difficile au sein de la capitale Port-au-Prince, où la plupart des hôpitaux ont été vandalisés par les gangs.  Pour le diplomate Pierre Richard Cajuste qui s'exprime dans le journal (AlterPresse | On peut sortir de la crise en Haïti si on y met de la bonne volonté !), la politique haïtienne doit être repensée et pratiquée autrement en formulant « un pacte de gouvernabilité entre les forces sociales ».Cette démarche devrait constituer « la pierre angulaire de toute transition réussie ». Trump défit la justice en expulsant 200 migrants vénézuéliensAux États-Unis, l'expulsion de 200 migrants vénézuéliens accusés d'être membres du gang Tren de Aragua met le feu aux poudres. Ils ont atterri à bord de 3 avions, ce lundi (17 mars 2025), au Salvador où ils ont été incarcérés dans une prison de haute sécurité. Pour le président vénézuélien « c'est la plus grande agression subie par un pays d'Amérique latine et des Caraïbes ». « Nos migrants ne sont pas des terroristes, ce ne sont pas des criminels, ce ne sont pas des assassins », a-t-il ajouté.Le président américain a ignoré une décision d'un juge fédéral, peut-on lire dans le New York Times.Ce dernier a ordonné une suspension de 14 jours de toute expulsion et a demandé aux avions qui transportaient les Vénézuéliens de faire demi-tour. Les vidéos des autorités salvadoriennes montrent ces 200 migrants descendre de l'avion, enchaînés et être conduits dans le centre de détention pour terroristes de Tecoluca.Le ton est monté quand les avocats du gouvernement américain ont appelé au renvoi de ce juge et ont refusé de répondre à ses questions, révèle le Washington Post.Donald Trump a  invoqué une loi sur les étrangers et la sédition datant de 1798, elle permet au président américain d'arrêter ou d'expulser des citoyens d'une nation ennemie en temps de guerre, et elle n'avait été utilisée jusqu'à présent qu'à trois reprises, notamment pendant les deux guerres mondiales.Après cet ultime épisode de tensions entre le chef de la Maison Blanche et le département de la justice, les États-Unis sont au bord d'une crise constitutionnelle, estime le New York Times ; et certains experts pensent que cette hostilité de la part de l'administration américaine envers les juges et leurs décisions marque une rupture dans le fragile équilibre des pouvoirs aux États- Unis.  Pérou : de nouvelles violences malgré l'état d'urgenceAu Pérou, l'état d'urgence est décrété à partir de ce mardi (18 mars 2025) pour 30 jours, dans la capitale Lima et dans la province voisine de Callao, après l'assassinat par balle d'un chanteur populaire par une bande criminelle. Le gouvernement a annoncé déployer les forces armées en soutien à la police. La Republica fait état de 2 nouveaux meurtres la nuit dernière, celui d'une chauffeuse de bus abattue par deux hommes à moto la nuit dernière et d'un homme ramassant des déchets sur le bord de la route.Depuis janvier 2025, plus de 400 meurtres liés à la violence urbaine ont été recensés à travers le pays. Pour la presse locale, il s'agit du chiffre le plus élevé des vingt dernières années.Le journal La Razon explique que des voix s'élèvent au Congrès pour dénoncer cette escalade de la violence et pour demander la démission du ministre de l'Intérieur, Juan José Santiváñez, sans quoi une motion de censure sera présentée dans les prochaines heures.Dans son reportage, à Lima, Martin Chabal a recueilli pour RFI les réactions des Péruviens à l'instauration de l'Etat d'urgence dans le pays.   En Argentine, la confiance rompue avec la population à la veille d'une nouvelle manifestation Une nouvelle manifestation aura lieu ce mercredi (19 mars 2025) en Argentine dans les universités, dans un contexte de défiance envers le président Mileï. Clarin revient sur les violences lors d'une manifestation à Buenos Aires en soutien aux retraités mercredi dernier. La société argentine a toutes les raisons d'être en colère, souligne le journal qui égrène une longue liste de dysfonctionnements : «une insécurité déchaînée et croissante, une justice bridée, une dégradation de l'éducation, un manque de respect des règles, une société fragmentée et de plus en plus inégalitaire, et une méfiance généralisée dans les institutions». Cette confiance est pourtant la clé de la cohésion sociale.La Nacion parle d'un moment crucial pour Mileï et pour le pays, avec des élections régionales qui se profilent dans les semaines à venir. Pour le quotidien, le problème numéro un de l'Argentine reste l'inflation qui est toujours à 67% sur ces 12 derniers mois. Beaucoup de personnes sont exclues du marché du travail et l'économie informelle se développe, c'est là que l'inflation devient particulièrement nocive, poursuit la Nacion, pour des personnes qui n'ont aucune possibilité de recourir à un syndicat pour demander une hausse de salaire. La pauvreté elle atteint 35% de la population, sa réduction est pourtant liée directement à la lutte contre l'inflation. Bolivie : des enregistrements audios de communautés autochtones dévoilées En Bolivie, les archives nationales ont récupéré plus de 150 enregistrements audios de communautés autochtones, datant du siècle précédent. Ces prises de sons, réalisées par des chercheurs en mission en Bolivie, étaient jusqu'à présent conservées en France par le Centre de recherche en ethno-musicologie. Des ambiances, des chants, des compositions musicales... c'est un vrai trésor mémoriel puisque ce sont les vestiges de traditions orales, de cérémonies musicales qui ont parfois disparu. Nils Sabin s'est rendu aux archives boliviennes pour RFI à La Paz.  L'actualité des OutremerTessa Grauman évoque la visite en Martinique du ministre des Outre-Mer, Manuel Valls.

Mission Network News - 4.5 minutes
Mission Network News (Mon, 17 Mar 2025 - 4.5 min)

Mission Network News - 4.5 minutes

Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 4:30


Today's HeadlinesGang violence creeping closer to ministry base in Port-au-PrinceTrial update: Six imprisoned Christians in Libya face another setbackBible translation breakthrough! 25 new languages may hear of Jesus' love

Koze Kilti
Le PAPJAZZ de retour pour une édition spéciale à Port-au-Prince

Koze Kilti

Play Episode Listen Later Mar 15, 2025 30:00


Le Festival International de Jazz de Port-au-Prince (PAPJAZZ) revient pour sa 18è édition les 20, 21 et 22 mars 2025. Cette année, compte tenu de la conjoncture, la Fondation Haïti Jazz, organisatrice du festival, a rebaptisé l'événement « PAPJAZZ it up ». Pour cette édition spéciale, il s'agit de mettre en scène des artistes locaux de différents univers musicaux qui s'ouvriront au jazz. Invitée : Milena Sandler, directrice de la Fondation Haïti Jazz.Programmation musicale :- Richard Bona – Bilongo- Toto Bisainthe – Ayiti m pa renmen w ankò.

The Take
Lost childhood: Haiti's kids in the grip of gangs

The Take

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 23:27


More than a million children in Haiti are caught in a nightmare, trapped in gang-controlled areas, recruited as soldiers and spies, and subjected to unthinkable abuse. With no president, no parliament, and no protection, their futures hang in the balance. So, who will step up and fight for Haiti’s children? In this episode: Rawya Rageh (@RawyaRageh), Researcher with Amnesty International Episode credits: This episode was produced by Marcos Bartolomé and Chloe K. Li with Sarí el-Khalili, Melanie Marich and Hanah Shokeir, and our guest host, Natasha del Toro. It was edited by Kylene Kiang. Our sound designer is Alex Roldan. Our video editors are Hisham Abu Salah and Mohannad Al-Melhem. Alexandra Locke is the Take’s executive producer. Ney Alvarez is Al Jazeera’s head of audio. Connect with us: @AJEPodcasts on Instagram, X, Facebook, Threads and YouTube

Mission Network News - 4.5 minutes
Mission Network News (Mon, 10 Feb 2025 - 4.5 min)

Mission Network News - 4.5 minutes

Play Episode Listen Later Feb 10, 2025 4:30


Today's HeadlinesPoliticians exploit food crisis while Heart for Lebanon offers hopeOver one million Haitians now displaced; ministries offer reliefHope for the praying Christian parent

Koze Kilti
Une antenne d'Eloquentia à Port-au-Prince

Koze Kilti

Play Episode Listen Later Jan 25, 2025 30:00


Le concours francophone de prise de parole en public, Eloquentia, dispose désormais d'une antenne à Port-au-Prince. Porté par les structures Golden Team Haïti et MEnpakte, ce concours propose un vaste programme de formation sur les différentes formes de prise de parole en public. Invités : Nerla et Levelt Conserve, respectivement responsable de Communication et des masterclass, et responsable de Communication audiovisuelle d'Eloquentia, Port-au-Prince.

Journal d'Haïti et des Amériques
Port-au-Prince en pleine crise du logement

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jan 6, 2025 30:00


Dans la capitale haïtienne, l'insécurité force des milliers de familles à fuir leur quartier, mais la tension immobilière empêche la majorité des déplacés de se reloger et les pratiques frauduleuses explosent. « C'est un problème sérieux, relate un jeune homme croisé à Pétion-Ville par notre correspondant en Haïti, Peterson Luxama. La question du logement est devenue presque insoluble, extrêmement difficile. Une chambre que l'on pouvait louer autrefois pour 50 000 gourdes (environ 400 dollars américains), peut maintenant être proposée à 125 000 ou même 150 000 gourdes (entre 1 000 et 1 200 dollars). Et malgré ces prix exorbitants, il est souvent impossible d'en trouver une. »Certains habitants de Port-au-Prince sont à la recherche d'une maison depuis plusieurs semaines, impossible à trouver en raison de la forte demande qui provoque une flambée des loyers.« Nombreux sont ceux qui quittent une zone pour s'installer dans une autre, raconte un passant. Cela provoque une concentration dans les quartiers où ils arrivent, qui n'étaient pas aménagés pour accueillir autant de personnes. Les propriétaires en profitent pour doubler, voire tripler, les prix des maisons. »L'argent, un casse-tête aussi pour Jeantel Lainé et sa famille, qui habitaient Nazon, un quartier pris d'assaut par les bandits armés. Aujourd'hui séparés, ils souhaitent se réinstaller, mais la hausse des prix du logement les freine.« À dire vrai, je n'ai même pas cherché de logement, car nous n'avons pas suffisamment de fonds. Ces logements coûtent 2 000, voire 3 000 dollars américains. C'est impossible si vous n'avez pas quelqu'un pour vous aider. Avant, ma famille et moi vivions ensemble, mais maintenant, chacun est obligé de se débrouiller de son côté. »Trouver un logement à Port-au-Prince est devenu un véritable parcours du combattant, en raison de la montée en puissance des gangs armés. Des communes comme Pétion-Ville et Delmas servent de refuge pour certains déplacés internes. Mais même ceux qui réunissent la somme demandée par les propriétaires se heurtent parfois à des refus. Les propriétaires hésitent à louer à des personnes venant de quartiers jugés dangereux, comme le souligne Wedson : « Parfois, le propriétaire hésite à louer sa maison, car il ne sait pas à qui il a affaire. Si vous êtes un jeune homme, c'est encore pire. Si vous êtes une jeune femme avec des tatouages, ils hésitent encore plus à louer. Et même si vous arrivez à louer la maison, cela reste dangereux, car vous pourriez être victime de violences à tout moment. On vous surveille constamment pour savoir de quelle zone vous venez, ou si vous êtes en fuite. »Mais la crise du logement ne se limite pas seulement aux réticences des propriétaires à louer à des personnes inconnues. Carlin, journaliste photographe, décrit un autre phénomène inquiétant : « Il y a beaucoup de gens qui se font passer pour des courtiers et recherchent des maisons à louer sans que les propriétaires soient au courant. Ces courtiers identifient des maisons à louer et les publient sur internet. Par exemple, un propriétaire peut décider de louer sa maison à 2 000 dollars, mais le courtier, lui, en demande 2 500. Ensuite, pour qu'il vous fasse visiter la maison, vous devez payer des frais supplémentaires. À cela s'ajoute un pourcentage que le courtier exige si vous réussissez à louer la maison. »Une situation qui reflète l'ampleur de la crise humanitaire à Port-au-Prince. Et pour beaucoup, la question n'est plus seulement de trouver un toit, mais de savoir s'ils pourront un jour retrouver une vie normale.Du renfort pour la MMASLa Mission multinationale d'assistance à la sécurité, censée soutenir la police haïtienne dans sa lutte contre les groupes armés, accueille 77 officiers guatémaltèques, qui sont arrivés il y a deux jours à Port-au-Prince à bord d'un avion américain, relate Le Nouvelliste. Ils viennent s'ajouter aux 75 soldats du Guatemala qui avaient atterri la veille en Haïti en compagnie de huit militaires du Salvador. La MMAS totalise à ce jour environ 700 personnes, un contingent encore loin des 2 500 membres qui devaient la composer à l'origine.Un exemple parmi tant d'autres de l'insécurité qui demeure : la mort hier d'un jeune entrepreneur de 37 ans, Robenson Rendel, tué dans la cour de l'église Notre-Dame du Perpétuel Secours, dans le quartier de Delmas 75 à Port-au-Prince. Il a été abattu, rapporte Gazette Haïti, par des hommes à moto, un assassinat condamné par l'archevêque de Port-au-Prince qui fustige « un acte barbare qui ne témoigne d'aucun respect pour la vie humaine ni pour les lieux sacrés ».À lire aussiUn nouveau contingent de 83 soldats étrangers vient renforcer la mission internationale d'appui à HaïtiQuatre ans après l'attaque du CapitoleIl y a quatre ans jour pour jour, le 6 janvier 2021, le Congrès américain était pris d'assaut par les partisans de Donald Trump, lors d'une journée particulièrement violente, qui restera dans l'histoire politique américaine. Quatre ans plus tard, en ce 6 janvier 2025 qui verra l'élection de Donald Trump certifiée sans incident, Joe Biden en personne a tenu à y revenir dans une tribune publiée par le Washington Post. « Après ce que nous avons vécu ce jour-là, en 2021, on sait qu'il ne faut plus rien prendre pour acquis, écrit le président sortant. Nous devons être fiers de notre démocratie qui a survécu à cet assaut, mais nous ne devons pas l'oublier, malgré le mouvement permanent qui cherche à réécrire, voire à effacer, l'histoire de cette journée. » Joe Biden rappelle à ses lecteurs que des milliers d'insurgés ont grimpé les murs du Capitole, brisé les fenêtres et abattu les portes. Il évoque aussi les policiers frappés, traînés au sol, assommés ou piétinés. « Il faut, conclut l'encore locataire de la Maison Blanche, s'engager à se rappeler du 6 janvier 2021. Se rappeler d'un jour où notre démocratie a été mise à l'épreuve. Et se rappeler que cette démocratie, même en Amérique, n'est pas garantie. »À découvrir sur le site de POLITICO, l'histoire d'Howie Liebengood, un agent de police qui s'est suicidé après l'assaut du Capitole. En tout, quatre membres des forces de l'ordre qui ont fait face à la foule du 6 janvier se sont ôtés la vie dans les jours, les semaines ou les mois qui ont suivi. POLITICO nous raconte à quel point l'attaque du Capitole a servi de détonateur, révélé l'ampleur de la détresse psychique des forces de sécurité, leur niveau de stress post-traumatique 25 fois plus élevé que la normale et débouché sur un texte de loi sur-mesure. Ces dispositions ont permis de requalifier le suicide d'Howie Liebengood et de ses collègues policiers qui sont considérés depuis 2022 comme morts en service. Et leurs familles habilitées à recevoir les garanties financières et juridiques prévues par l'État américain dans ce genre de circonstances.À lire aussiÉtats-Unis: quatre ans après l'assaut du Capitole, des plaies toujours béantesL'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreÀ un peu plus de deux semaines du procès de son leader Rodrigue Petitot, le RPPRAC (Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens) reste mobilisé contre la vie chère en Martinique.

Medicare For The Lazy Man Podcast
Ep.+747 - Voodoo meets Blackjack: can there be a Medicare connection?

Medicare For The Lazy Man Podcast

Play Episode Listen Later Dec 25, 2024 33:27


In the "Medicare Advantage Minute" segment, we hear that the government plans to establish new guardrails on MA prior authorizations and marketing. New government best selling thriller: Your Medicare Benefits! In other health news, 200 Voodoo practitioners were slaughtered in Port-Au-Prince by a gang whose leader assumed they caused his son's illness. Rick, husband of a blackjack dealer, has worked out a complex health insurance plan for the first year of retirement. Fingers are crossed that neither of us overlooked any important details. Finally, client Paul is very pleased with the coverages selected for him but let an important deadline slip past. He mistook AEP rules with a Pearl Harbor Day deadline for ACA rules that have a December 15th deadline. Contact me at: DBJ@MLMMailbag.com (Most severe critic: A++)                   Visit us on: BabyBoomer.ORG Inspired by: "MEDICARE FOR THE LAZY MAN 2024; Simplest & Easiest Guide Ever!" on Amazon.com. Return to leave a short customer review & help future readers. Official website: https://www.MedicareForTheLazyMan.com.

Koze Kilti
«Madan Kolo», pour qu'on n'oublie pas les délices de Port-au-Prince

Koze Kilti

Play Episode Listen Later Dec 21, 2024 30:00


Le spectacle Madan Kolo, nommé d'après la célèbre statue du Bel'Air, a été créé par la compagnie artistique Palto Vanyan pour célébrer les 275 ans de la ville de Port-au-Prince. Ce spectacle riche revisite l'histoire de la capitale, un patrimoine en déclin selon Fritz Evens Moïse, responsable de Palto Vanyan. Programmation musicale : BIC – Pòtoprens tèt fè mal

Mission Network News - 4.5 minutes
Mission Network News (Fri, 13 Dec 2024 - 4.5 min)

Mission Network News - 4.5 minutes

Play Episode Listen Later Dec 13, 2024 4:30


Today's HeadlinesRussia, Ukraine, and the dynamics that led to Syria's downfallVoodoo massacre in Haiti points to profound spiritual darknessCombating despair after heavy rains lead to disaster in Haiti

SBS French - SBS en français
Le journal 10/12/2024: Au moins 184 morts à Port-au-Prince lors de violences orchestrées

SBS French - SBS en français

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 12:03


En Haiti, au moins 184 personnes sont mortes à Port-au-Prince le week-end dernier lors de violences orchestrées par un chef de gang, a indiqué l'ONU.

The Top Story
Violence escalates in Haiti: over 100 massacred in Port-au-Prince

The Top Story

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 16:31


Syrian rebel leader Ahmad al-Sharaa starts discussions on transferring power after unseating President Bashar al-Assad. Violence escalates in Haiti, with over 100 people killed in a massacre in the largest slum in Port-au-Prince. A man suspected of killing the CEO of one of the largest insurers in the U.S. is in police custody following a five-day manhunt.

Reportages par SBS French - Reportages par SBS French
Le journal 10/12/2024: Au moins 184 morts à Port-au-Prince lors de violences orchestrées

Reportages par SBS French - Reportages par SBS French

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 12:03


En Haiti, au moins 184 personnes sont mortes à Port-au-Prince le week-end dernier lors de violences orchestrées par un chef de gang, a indiqué l'ONU.

Koze Kilti
Deuxième édition du Salon du Livre de Port-au-Prince

Koze Kilti

Play Episode Listen Later Dec 7, 2024 30:00


Initiative d'un groupe d'étudiants, le Salon du Livre de Port-au-Prince vise, entre autres, à promouvoir la culture et l'art, ainsi qu'à encourager les rencontres littéraires en Haïti. La deuxième édition, prévue pour le vendredi 13 décembre 2024 à l'Institut français en Haïti, se déroulera autour du thème « Politique, dictature et littérature en Haïti. » Invité : Lucner Michel, étudiant en Anthropo-sociologie et secrétaire général du Salon.Programmation musicale :Klass & Rutshelle Guillaume – Valè w.

Today in Focus
Inside Port-au-Prince, Haiti: the capital where gangs have taken over

Today in Focus

Play Episode Listen Later Nov 19, 2024 30:01


Latin America correspondent Tom Phillips reports from Haiti on the struggles of the government to reassert its authority over the capital, Port-au-Prince, and on the ordinary Haitians caught up in the violence. Help support our independent journalism at theguardian.com/infocus

Journal d'Haïti et des Amériques
Les Haïtiens de nouveau contraints de fuir les gangs à Port-au-Prince

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 30:00


À Port-au-Prince, la violence des gangs plonge les quartiers de Solino, Nazon et Christ-Roi dans le chaos. Des milliers de familles fuient, abandonnant tout. Face à l'impuissance de l'État, les citoyens, accablés, réclament une intervention internationale urgente. Depuis plusieurs jours, les quartiers de Solino, Nazon et Christ-Roi à Port-au-Prince sont livrés à la terreur des gangs armés, notamment ceux de la coalition «VIV ANSANM». Les habitants fuient par milliers, emportant le strict minimum dans une atmosphère de panique générale. Témoignages après témoignages, des familles décrivent au micro de notre correspondant Peterson Luxama leur désespoir et leur sentiment d'abandon. «Je ne sais pas pour combien de temps la police va continuer à nous pousser à partir», s'indigne une mère de famille, dénonçant l'inaction des autorités face aux pillages et aux meurtres.Pour les jeunes comme Jeantel Lainé, étudiant en droit, cette réalité dépasse l'imaginable. «Jamais je n'aurais pensé vivre une telle situation», confie-t-il. Comme lui, Émilie, étudiante à l'Université d'État d'Haïti, dénonce l'impact de cette crise sur les institutions : «Les écoles, universités et hôpitaux sont paralysés. Le pays est aux mains des bandits.» L'absence de réponse étatique laisse les citoyens dans une profonde désillusion, tandis que les prix des produits de première nécessité s'envolent, aggravant une crise déjà insoutenable.Des organisations de défense des droits humains, à l'instar de Défenseur Plus, tirent la sonnette d'alarme. «Les droits fondamentaux, dont celui à la vie et à la libre circulation, sont bafoués quotidiennement», déclare Antonald Mortimé, appelant la communauté internationale à intervenir avec une force onusienne pour soutenir la police haïtienne. La montée des violences, couplée à un État défaillant, pousse Port-au-Prince dans une spirale de désespoir et d'instabilité. Début du G20 à Rio de Janeiro : un sommet sous tensions internationalesLe G20 s'est ouvert aujourd'hui (18 novembre 2024) à Rio de Janeiro, au Brésil, dans un climat marqué par des tensions géopolitiques et des désaccords profonds. Pour le président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva, ce sommet constitue une opportunité de projeter le leadership de son pays sur la scène internationale.Selon Hervé Théry, géographe spécialiste du Brésil à l'Université de São Paulo, Lula avait prévu d'utiliser cette réunion pour mettre en avant des initiatives ambitieuses, notamment la lutte contre la faim et la pauvreté. Mais ces objectifs sont fragilisés par plusieurs obstacles majeurs : « l'élection de Donald Trump, celle de Javier Milei en Argentine, et les divisions persistantes sur les guerres en Ukraine et au Moyen-Orient », souligne le quotidien O Estado de S. Paulo.Les négociations pour une déclaration finale s'avèrent ardues. D'après O Globo, les discussions se sont poursuivies jusque tard dans la nuit, sans parvenir à un consensus. Pour l'heure, aucun mot sur Israël, la Russie ou même le terme « guerre » ne figure dans les documents provisoires.Le Brésil propose néanmoins une mesure forte : taxer les grandes fortunes à hauteur de 2% au niveau mondial pour financer la lutte contre la pauvreté. Une initiative que l'Argentine rejette catégoriquement. Par ailleurs, certains diplomates redoutent que le président argentin, Javier Milei, perçu comme un allié du président américain élu, Donald Trump, ne complique encore davantage la situation. Trump et ses nominations controversées : une administration sous les projecteursAlors que Donald Trump prépare son retour à la Maison Blanche, les nominations pour son administration suscitent déjà la polémique. Selon The New Yorker, les choix du président élu reflètent avant tout sa propre personnalité et ses combats politiques.Matt Gaetz, choisi pour diriger le ministère de la Justice, est accusé d'actes controversés, notamment de relations avec une mineure et de consommation de drogues. Trump y voit, selon l'article, « un homme injustement jugé, à son image ».Robert F. Kennedy Jr., connu pour ses positions antivax, sera nommé ministre de la Santé. Sa nomination semble conforter les doutes de Trump envers la science, notamment pendant la pandémie de Covid-19.Pete Hegseth, pressenti pour prendre la tête du Pentagone, est un critique des généraux « woke » et un défenseur des criminels de guerre. Il incarne, selon Trump, une revanche contre l'establishment militaire qui avait remis en cause ses capacités présidentielles.Ruben Gallego : premier sénateur latino élu de l'ArizonaRuben Gallego, démocrate, est devenu le premier sénateur latino élu de l'Arizona, un État qui avait pourtant soutenu Donald Trump lors de l'élection présidentielle du 5 novembre.Comment a-t-il réussi cet exploit ? En ciblant les hommes latinos, un groupe qui avait largement délaissé Kamala Harris. Dans une interview au Washington Post, Ruben Gallego explique : « Les Latinos partagent les mêmes préoccupations que les autres électeurs : l'économie et l'immigration. Mais les démocrates n'ont pas compris les priorités des hommes latinos. Personne ne mesurera jamais le stress émotionnel d'un homme latino incapable de joindre les deux bouts. Cela touche à son identité. » En se connectant à ces réalités, Gallego a su rallier une base souvent négligée, ce qui lui a permis de se faire élire. Journal de la 1re : le protocole sur la baisse des prix sous le feu des critiquesLe protocole sur la baisse des prix, signé le 16 octobre 2024 entre l'État, la collectivité territoriale de la Martinique et les grossistes, est désormais au centre de vives contestations. Alors qu'il avait pour ambition de répondre à la crise du pouvoir d'achat, il est aujourd'hui attaqué de toutes parts.

Frequent Traveller Circle - Essentials - DEUTSCH
✈️ Neue American Airlines Regeln: Keine Passagierentfernung mehr wegen Geruch, Kleidung, Verhalten

Frequent Traveller Circle - Essentials - DEUTSCH

Play Episode Listen Later Nov 13, 2024 16:16


Send us a textAmerican Airlines schränkt die Befugnisse von Flugbegleitern ein, um Diskriminierungsvorwürfen entgegenzuwirken. Künftig dürfen Passagiere nur noch bei sicherheitsrelevanten Vorfällen aus dem Flugzeug entfernt werden. Beschwerden über Kleidung, Verhalten oder Geruch müssen erst gemeldet und von mehreren Mitarbeitern bestätigt werden. Diese Änderungen sollen für Fairness und einheitliche Entscheidungen sorgen.#AmericanAirlines #Diskriminierung #Flugregeln #FairTravel #AirlineNewsFrage des Tages: Habt ihr an den Lufthansa - ITA Deal noch geglaubt? Ist es richtig, dass Flugbegleiter nicht mehr alleine über einen Rausschmiss entscheiden können? Lohnt es sich in der europäischen Business Class zu fliegen, oder reicht Economy Class in der Exit Row?00:00 Willkommen zu Frequent Traveller TV01:58 American Airlines Flugzeuge wurden auch in Port-Au-Prince beschossen03:42 Lufthansa-Einstieg bei ITA ist jetzt auch in Italien beschlossen05:48 Neue American Airlines Regeln: Keine Passagierentfernung mehr wegen Geruch, Kleidung, Verhalten09:48 Ist Economy Class in der Exit Row besser als ein Business Class Flug auf Kont-Flügen?12:04 Priotity Pass Cyper Sale13:30 Frage des TagesTake-OFF 13.11.2024 – Folge 253-2024Stammtisch Termine: https://FQTWorld.as.me/meetupKanalmitglied werden und exklusive Vorteile erhalten:https://www.youtube.com/channel/UCQyWcZxP3MpuQ54foJ_IsgQ/joinHier geht es zu eurem kostenlosen Consulting Link - https://FTCircle.as.me/Damit Du von unserem Wissen profitieren kannst, kannst du ein mindestens 60 minütiges und vor allem auf dich zugeschnittenes Punkte, Meilen, Status Coaching buchen. Nach dem Call bekommst du ein Jahr Zugang zu dieser Gruppe und zahlst so nur 10 Euro pro Monat und kannst sofort profitieren. Hier ist nun der Link zu deinem neuen Punkte, Meilen und Status Deals.MY SOCIALSWhatsApp - https://wa.me/message/54V7X7VO3WOVF1FACEBOOK | Lars F Corsten - https://www.facebook.com/LFCorsten/FACEBOOK | FQT.TV - https://www.facebook.com/FQTTVFACEBOOK | FTCircle - https://www.facebook.com/FTCircleTWITTER | Lars F Corsten - https://twitter.com/LFCorstenINSTAGRAM | Lars F Corsten - https://www.instagram.com/lfcorsten/LINKEDIN - https://www.linkedin.com/in/lfcorsten/Clubhouse - @LFCorsten

Journal d'Haïti et des Amériques
« Seul Dieu peut nous aider » : à Port-au-Prince, les habitants de Solino fuient les gangs

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Oct 23, 2024 30:00


Depuis plusieurs jours, le quartier de Solino, en plein centre de Port-au-Prince est plongé dans la tourmente. Des groupes armés y sèment la terreur en faisant chanter la poudre, forçant ainsi les habitants à abandonner leur domicile. Reportage de notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxama. « Les bandits nous ont chassés de la zone, nous avons dû partir. Nous dormons chez des gens », raconte au micro de RFI Délise Fimante, une mère de deux enfants, dont la famille est désormais obligée de s'entasser chez son frère. « Seul Dieu peut nous aider à s'en sortir », souffle cette femme. « Cela fait longtemps qu'ils nous attaquent à Solino, l'État n'a jamais réagi, maintenant la situation devient plus grave », explique un autre habitant, pointant l'inaction de l'État. « La situation en Haïti s'est aggravée de façon regrettable. Il y a plus de 700 000 personnes déplacées à l'intérieur du pays, soit une hausse de 22% au cours des trois derniers mois », regrette au micro de RFI Maria Isabel Salvador, la cheffe de la mission de l'ONU en Haïti. Selon un bilan partagé par la Protection civile, ces 5 derniers jours, les attaques de la coalition « Viv ansanm » ont fait plus de 5 000 déplacés. Une « politique discriminatoire » contre les Haïtiens en République dominicaineCeux qui arrivent à atteindre le sol dominicain pour fuir les violences font face à une politique « discriminatoire » et contraire aux normes internationales, estime la ministre haïtienne des Affaires étrangères. Le président dominicain Luis Abinader a décidé d'intensifier les renvois d'Haïtiens installés dans son pays. Une « situation qui met les Haïtiens qui sont là-bas depuis longtemps dans une situation déshumanisante. La façon dont on transporte les gens, c'est comme des sardines ou des marchandises », dénonce le père Germain Clerveau, directeur national du Service jésuite aux migrants, au micro de Mikaël Ponge.À lire aussiCes Haïtiens qui quittent la République dominicaine, excédés par la politique anti-migrants L'économie, thème central du scrutin américainÀ deux semaines du scrutin présidentiel américain, RFI décrypte les programmes des deux candidats. Avec Anne Verdaguer, focus aujourd'hui sur l'économie, un thème qui préoccupe beaucoup les Américains, très partagés sur ce sujet crucial. Une campagne électorale violente au BrésilAu Brésil, on se prépare au second tour des élections municipales ce dimanche 27 octobre 2024. Il s'agit de l'élection la plus violente de ces cinq dernières années, selon une étude de l'ONG Justice Globale. Depuis le début de la campagne, à la mi-août, 373 cas de violence contre des candidats et leur famille ont été recensés, dix personnes ont été assassinées. Reportage de notre correspondante Sarah Cozzolino.À lire aussiBrésil: le camp de Jair Bolsonaro en tête au premier tour des municipales Journal de la 1re En Martinique, la situation reste toujours assez confuse, entre ceux qui soutiennent l'accord signé la semaine dernière sur les prix de l'alimentaire et ceux qui ne veulent pas en entendre parler.À lire aussiMartinique: malgré un accord pour la baisse de 6 000 prix, les appels aux blocages continuent

Journal d'Haïti et des Amériques
Dégradation de la situation à Port-au-Prince

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Oct 22, 2024 30:00


En Haïti, la situation sécuritaire s'est fortement dégradée, ces derniers jours, dans plusieurs secteurs de la zone métropolitaine. Gotson Pierre, directeur de l'agence Alter Presse, revient sur la dégradation de la situation depuis deux jours à Port-au-Prince et ses environs. Des tirs nourris ont résonné ce lundi (21 octobre 2024) dans plusieurs endroits, avec des barrages et des barricades enflammées. Un des points les plus chauds : Solino, au centre de la capitale, qui subit les attaques répétées de la coalition des gangs armés Viv Ansanm. Depuis les attaques du 17 octobre à Port-au-Prince, 4 200 personnes ont été déplacées.La situation est aussi très tendue en province, notamment dans le département de l'Artibonite, dans le nord du pays, avec notamment l'attaque d'une école – un parent d'élève a été tué et plusieurs élèves blessés.Face à cela, le gouvernement a décidé de redéployer des unités d'élite, là où les combats les plus rudes avec les gangs ont lieu – ces centaines de policiers et soldats sont actuellement affectés à la protection de personnalités importantes.La « désarticulation de la transition »Les deux chefs de l'exécutif ont visité le quartier général des Forces armées d'Haïti mais séparément à 24 heures d'intervalle : « Le Conseil présidentiel de transition et le Premier ministre font un grand concours de visites et de réunions pour la galerie », titre le Nouvelliste : ils « affichent au grand jour la désarticulation de la transition », juge le quotidien, alors que « parallèlement à ces visites (…) les groupes criminels continuent de sanctionner la population ». « Ce n'est pas le moment des querelles politiques », a insisté Brian A. Nichols, l'assistant-secrétaire d'État américain pour les Affaires de l'hémisphère occidental. D'autant que, souligne Frantz Duval dans son éditorial, « si, en février, le Premier ministre Ariel Henry était en vadrouille quand les gangs ont déferlé sur Port-au-Prince, cette fois les chefs sont au pays, il s'entredéchirent et font enfler leurs albums photos ».  États-Unis : journal de campagneComme chaque mardi, l'envoyé spécial permanent de RFI, à Washington, Guillaume Naudin fait le point sur la campagne. Il revient sur la loterie organisée par Elon Musk. Le milliardaire a créé un comité d'action politique pour soutenir Donald Trump, et ce comité a lancé une pétition en faveur, officiellement, de la défense de la Constitution et du droit à détenir et porter des armes – mais uniquement dans les sept États-clé. Chaque électeur inscrit comme électeur et qui signe la pétition reçoit 100 dollars, plus 47 dollars par autre électeur inscrit qu'il convainc de signer la pétition. Chaque jour jusqu'à l'élection, un des signataires de sa pétition recevra par tirage au sort un million de dollars. Or, explique Guillaume Naudin, cela ressemble à de l'achat de votes, ce que la loi interdit. Les experts légaux sont divisés...À noter également que, selon la commission électorale fédérale, au mois de septembre, la campagne Harris a levé trois fois plus d'argent que la campagne Trump. Sur les trois derniers mois, le total pour les démocrates s'élève à un milliard de dollars. De l'argent qui part notamment en publicité dans les États-clé. « Populisme, agression et grossièreté »Donald Trump est en tête du vote masculin, et il « insiste avec une posture de macho », titre USA Today qui, comme beaucoup d'autres quotidiens, revient sur les propos qu'a tenus le candidat ce week-end : « douze minutes de remarques décousues sur le golfeur décédé Arnold Palmer, un monologue qu'il a conclu par une réflexion sur la taille du pénis de Monsieur Palmer », raconte l'éditorialiste du New York Times. Pendant ce meeting, l'ancien président a aussi traité Kamala Harris de « vice-présidente de merde ». « Cela ne va certainement attirer les électeurs qu'il faut encore persuader », explique dans The Hill une conseillère républicaine :« Mais nous sommes aujourd'hui à un moment où les deux camps veulent surtout mobiliser leurs bases. » Le fait est que, « à de nombreuses reprises », écrit un reporter de Politico, « les électeurs nous ont dit que c'est ce qu'ils aimaient à propos de Trump : il dit ce qu'il pense (…) Ce genre de discours est largement accepté maintenant, et particulièrement pour Trump, à en croire ses électeurs ». Présidentielle américaine : environnement, climat et candidatsSimon Rozé, le chef du service environnement / climat de RFI, détaille les positions des deux candidats à la présidentielle sur les sujets environnementaux.Donald Trumpnie le changement climatique, en relativise ses conséquences, et veut détricoter les politiques et réglementations existantes. Et aujourd'hui, ses soutiens et lui apparaissent bien plus préparés que lors de sa présidence pour mener à bien ce travail de sape.  Le candidat républicain appuie aussi de manière marquée le secteur des hydrocarbures. Lorsqu'il a reçu des patrons du secteur, Donald Trump leur a fait une offre : un milliard de dollars pour financer sa campagne, contre un engagement à suspendre toutes les mesures prises par l'administration Biden restreignant leurs activités.De son côté, Kamala Harris reste peu prolixe sur le sujet, très clivant aux États-Unis. Certes, lorsqu'on la questionne sur le sujet, elle est claire : le réchauffement climatique existe, il est d'origine humaine, c'est le défi de ce siècle... mais elle ne s'étend pas. Et tout en entendant poursuivre le plan de Joe Biden d'investissement massif dans la transition énergétique, elle n'est plus opposée au gaz de schiste, grâce auquel les États-Unis sont redevenus le premier pays producteur mondial de pétrole. Au Pérou, l'ancien président Alejandro Toledo condamné à vingt ans et six mois de prisonAlejandro Toledo, 78 ans, président de 2001 à 2006, a été condamné pour collusion et blanchiment d'argent, liés au pot-de-vin reçu de l'entreprise brésilienne de BTP Odebrecht, rapporte El Peruano. Un pot-de-vin de 34 millions de dollars reçu pour la construction d'une autoroute. C'est le premier président de la région, note le quotidien, à être condamné dans cette affaire. El Comercio rappelle ses premiers jours de présidence : « il était arrivé au Palais porté par l'espoir de millions de Péruviens, comme l'alternative démocratique à l'autoritarisme et la corruption de Fujimori. Mais une fois installé, il a abandonné les vraies tâches du gouvernement pour se consacrer à la corruption et à la mise en place de pots-de-vin pour se remplir les poches. » Le journal de la PremièreEn Martinique, la nuit a été plutôt calme mais le mouvement contre la vie chère se poursuit.

Journal d'Haïti et des Amériques
Haiti: la sécurité se dégrade dans la baie de Port-au-Prince

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Sep 20, 2024 30:00


C'est l'un des sujets abordés avec Franz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste ce jeudi. Les gangs sont de plus en plus présents dans la baie de Port-au-Prince ce qui fait que les navires commencent à déserter le port. D'après le Nouvelliste, « des compagnies maritimes n'ont pas envoyé de navires au port de Port-au-Prince depuis quelques jours et menaceraient d'arrêter leurs opérations, en réaction à la dégradation de la sécurité dans la baie ». Le gouvernement haïtien a décidé de réagir et va déployer trois navires pour sécuriser le trafic maritime dans la baie. Selon Frantz Duval, si les gangs sont de moins en moins présents dans les rues de la capitale, ils ont augmenté leur contrôle sur la baie de Port-au-Prince et son port. Frantz Duval évoque également la mise en place du nouveau Conseil électoral provisoire, chargé d'organiser les élections de 2026. Avec le rédacteur en chef du Nouvelliste, on revient aussi sur l'effort du gouvernement pour rouvrir les écoles qui servent d'abris pour les personnes qui ont fui les violences des gangs.Un chef de gang haïtien reçoit des cadeaux de la presse C'est à lire dans AyiboPost. Deux journalistes de l'agence de presse Reuters, Adrees Latif et Sarah Kinosian, se trouvent « sous le feu des critiques » après la publication d'une vidéo montrant des cadeaux que les deux reporters ont offerts à Jimmy Chérizier, alias Barbecue, l'un des plus puissants chefs de gang haïtien. Jimmy Chérizier lui-même a publié la vidéo le week-end dernier, parmi les cadeaux il y a « des cagoules, des bouteilles d'alcool et plusieurs paquets de cigarettes ».Des plusieurs sources contactées par AyiboPost, ces cadeaux ont été effectivement rapportés par les deux journalistes qui ont précipitamment quitté Haïti après la publication de la vidéo, craignant pour leur sécurité, selon le site d'information. Contactée par AyiboPost, l'agence Reuters a expliqué que tous leurs journalistes étaient soumis à un « code de conduite strict », qu'il s'agissait d'une erreur de jugement et qu'une enquête était en cours. AyiboPost rappelle que Jimmy Cherizier « fait l'objet de sanctions internationales, notamment de la part des Nations unies, qui l'accusent de violer les droits humains et de contribuer à la déstabilisation du pays ».Springfield veut tourner la page des rumeurs concernant les migrants haïtiensLa ville de l'Ohio est depuis plusieurs jours sous les projecteurs de la presse nationale et internationale après les rumeurs totalement infondées véhiculées par le ticket républicain Donald Trump et JD Vance, selon lesquelles les Haïtiens voleraient et mangeraient des animaux domestiques. Le quotidien dans cette ville de 60 000 habitants se trouve bouleversé par l'impact de ses rumeurs, écrit le journal Columbus Dispatch. Des patrouilles de la police, des fermetures d'écoles et d'églises suite à des menaces à la bombe. Les habitants et les autorités locales aimeraient « tourner la page de cet épisode » et revenir à la normalité.Et la normalité, c'est aussi beaucoup de défis à surmonter à cause d'une immigration qui s'est intensifiée ces dernières années. La venue d'Haïtiens a augmenté la population de Springfield de 25%. La ville fait aujourd'hui face à une crise de logement et le système de santé est au bord de l'explosion. Le maire a mis une garde contre une utilisation de cette situation à des fins de campagnes politiques. Visiblement, ses mots n'ont pas eu d'impacts, car Donald Trump a annoncé hier vouloir se rendre à Springfield dans les deux prochaines semaines.Au Brésil, des jeunes filles meurent suite à des complications liées leur grossesseLes chiffres sont alarmants : chaque semaine, une jeune Brésilienne âgée entre 10 et 19 ans meurt de complications liées à la grossesse. Celles qui avaient moins de 14 ans auraient dû avoir accès à un avortement légal, étant donné le risque qu'une grossesse présente pour la jeune fille enceinte, précise le site d'information Intercept qui publie un reportage sur le sujet. Le problème, c'est que les musicalités notamment dans les régions les plus pauvres du pays, manquent de structures médicales pour réaliser des avortements.Selon le calcul d'Intercept, presque la moitié des femmes qui avaient droit à un avortement légal n'ont pas été prises en charge. Le journal en ligne constate que ce problème n'est pas du tout abordé par les candidats aux élections municipales. Le débat autour de l'avortement légal est dominé par des considérations morales, utilisé par l'extrême droite pour contrôler le corps des femmes.Les statues des îles de Pâques menacées par le dérèglement climatiquePerdue au milieu du Pacifique, l'île de Pâques, où vivent environ 8 000 habitants, accueille chaque année des dizaines de milliers de touristes. Ils viennent tous voir les Moai, ces grandes statues ancestrales, au visage allongé, et construites il y a plusieurs centaines d'années. Mais face au dérèglement climatique, ces grands monolithes se détériorent, alors même que c'est toute l'économie du territoire qui en dépend, comme l'explique Naïla Derroisné dans son reportage.Le journal de la 1èreMalgré le couvre-feu effectif depuis hier soir sur une partie de l'agglomération de Fort-de-France, la nuit a encore été « mouvementée » dans certains quartiers du chef-lieu de la Martinique.

Stories to Create Podcast
"Building Bridges: From Haiti to Success in America with Wes Moussignac"

Stories to Create Podcast

Play Episode Play 60 sec Highlight Listen Later Sep 7, 2024 47:03


On this episode of the Stories to Create podcast, Cornell Bunting sits down with businessman and entrepreneur Wes Moussignac to discuss his journey and work in Southwest Florida. Born in Port-au-Prince, Haiti, Wes shares how he grew up in what he described as the slums and left Haiti at around eight years old due to the violence caused by rebels in his community. He then moved to the South Bronx, New York, where he pursued multiple trades and acquired licenses in various fields. He later transitioned into helping people improve their credit and earned a life insurance license.The conversation touches on Wes's connection to his Haitian roots, including stories of his ancestors and how they influenced his ability to navigate life in New York. He also talks about his decision to move from the snowy winters of New York to the sunny climate of Florida, bringing four families along with him. Upon arriving in Florida, he set out with a mission to shake 1,000 hands, join multiple Chambers of Commerce, and attend numerous networking events to build connections.Wes shares his motivation behind starting his own newspaper company, The Kingdom Press, and his vision of creating hubs for business owners while adding value to the community. The episode also explores his Bejuli product line and how he balances family, business, and community involvement. Tune in to hear his inspiring story and insights. Support the showThank you for tuning in with EHAS CLUB - Stories to Create Podcast

Journal d'Haïti et des Amériques
Antony Blinken à Port-au-Prince

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Sep 6, 2024 30:00


Un invité de marque ce jeudi à Port-au-Prince : Antony Blinken, le patron de la diplomatie américaine. Au menu de ce déplacement d'une journée : politique et sécurité, mais pas d'annonce concrète. Vincent Souriau revient sur cette visite d'Antony Blinken en Haïti. Le chef de la diplomatie américaine s'est entretenu avec le Premier ministre, Garry Conille ; également avec le patron du Conseil présidentiel de transition, Edgard Leblanc Fils, avec qui il a parlé des élections : dans quelles conditions les organiser, comment respecter le calendrier. Antony Blinken a aussi reçu à l'ambassade des États-Unis neuf responsables d'organisations politiques, manière, écrit Le Nouvelliste, « de se faire lui-même une idée du processus de transition ».Antony Blinken est aussi venu dire à Port-au-Prince que les États-Unis ne pouvaient plus porter seuls la MMAS, la Mission multinationale d'assistance à la sécurité : « Il nous faut plus de financement, il nous faut plus de personnel pour maintenir et réaliser les objectifs que nous avons fixés à cette mission. L'Assemblée générale des Nations unies va se tenir dans quelques semaines et j'ai l'intention d'y organiser une réunion ministérielle pour encourager les contributions. » Pour autant, il n'a pas parlé de transformer la MMAS en mission officielle des Nations unies, même si l'idée fait son chemin. D'après le chercheur Diego Da Rin, de l'International Crisis Group, l'idée ne serait pas tellement de lancer tout de suite un changement de statut, mais de faire comprendre aux partenaires des États-Unis que Washington ne va pas éternellement rester aux avant-postes de la lutte contre les gangs.135 prisonniers politiques libérés au NicaraguaSitôt sortis de leurs geôles, les 135 prisonniers politiques sont partis pour le Guatemala voisin. La Prensa parle d'« un jour de grande joie pour le Nicaragua démocratique et pour l'opposition en général », mais note quand même que les prisonniers « n'ont pas été complètement libérés, car ils ont été bannis, et le bannissement reste une prison, si ce n'est physique émotionnelle ». L'opération a été négociée – et annoncée – par les États-Unis. Confidencial remarque d'ailleurs que pour ce qui est du gouvernement du Nicaragua, il « reste silencieux sur le nouveau bannissement » et empêche l'accès au nom des prisonniers libérés – alors que lors des libérations précédentes, il avait publié la liste des noms, rappelle 100% Noticias. Qui, comme La Prensa, a fait son enquête : ces deux quotidiens donnent des noms, en plus de ceux des 13 membres d'une organisation missionnaire chrétienne du Texas. Il y a des journalistes – par exemple Fabiola Tercero Castro, qui avait disparu le 12 juillet dernier, alors que, précise La Prensa, « sept agents de police prenaient d'assaut son domicile » ; des enseignants ; deux personnes qui ont peint une fresque en l'honneur de la Nicaraguayenne devenue Miss Univers – mais qui avait participé aux manifestations de 2018… Au Guatemala, La Hora revient sur le choix de son gouvernement d'accueillir les anciens prisonniers, et remarque que cette décision « contraste avec celle de ses prédécesseurs, qui maintenaient une relation étroite avec la dictature du Nicaragua, et estimait que le pays pouvait servir à blanchir de l'argent grâce à ces solides liens d'amitié ».Aux États-Unis, inculpation du père d'un adolescent qui a tué quatre personnesLe père d'un adolescent qui a tué quatre personnes dans un lycée de Georgie en début de semaine a été arrêté et inculpé, entre autres de meurtre au second degré – ce qui, note le​​​​​​​ Washington Post, en fait les charges les plus sévères jamais enregistrées contre les parents de l'auteur d'une fusillade dans une école. Le père « lui a permis d'avoir une arme en toute connaissance de cause. Les charges qui le visent sont directement liées aux actions de son fils », a expliqué ce jeudi le directeur du bureau d'enquête de Georgie. Le Post a fait le calcul : depuis 1999, des enfants ont commis des fusillades dans au moins 195 écoles. Et lorsque la provenance de l'arme a été identifiée par la police, dans 80% des cas, elles provenaient de la maison où habitait l'enfant, ou de celle de connaissances ou d'amis. Mais dans seulement onze cas, l'adulte qui n'avait pas sécurisé l'arme a été inculpé. Le quotidien note que le comté dans lequel le drame a eu lieu est très conservateur, « ce qui rend la gravité des charges et la rapidité avec laquelle elles ont été enregistrées particulièrement notables ».Le colistier de Donald Trump s'est exprimé sur le sujet : JD Vance a qualité les tueries dans les écoles de « sinistres faits de la vie » : les démocrates ont immédiatement rebondi en disant que qu'il « s'était résigné devant la réalité des tueries dans les écoles », relève le New York Times.Donald Trump et Elon Musk, la lune de mielDonald Trump a annoncé ce jeudi que s'il était élu, il chargerait Elon Musk d'un audit complet de l'État américain en matière de performances et de finances. Et de fait, écrit ​​​​​​​Politico, « ​​​​​​​Elon Musk est impatient de s'attaquer aux régulations fédérales, à coups de haches ». « Trump veut qu'Elon Musk fasse au gouvernement ce qu'il a fait à Twitter », estime le ​​​​​​​Washington Post. Or, rappelle The New Republic, « les précédentes tentatives de Musk de réduire les coûts dans ses entreprises n'augure rien de bon pour le gouvernement s'il devait prendre ce rôle ». Le journal rappelle que pour ce qui est de Twitter, « Elon Musk l'a dévasté au nom de la réduction des coûts », en limogeant 75% de ses effectifs, à la grande fureur des investisseurs, ce qui a réduit sa valeur de 90%. Mais « Trump renforce son alliance avec Musk », écrit le New York Times, et selon le quotidien, si le milliardaire est élu, le patron de Tesla serait probablement « au centre de l'élaboration des politiques du pays ».Fin de grève en ColombieLa grève aura duré quatre jours, mais les camionneurs colombiens ont en partie obtenu gain de cause, après quatre jours de blocage de grands axes du pays et de la capitale : le gallon de carburant n'augmentera pas de 1 900 pesos comme le voulait le gouvernement, mais de 800 pesos d'ici le mois de décembre. En Uruguay, départ de Luis Suarez de l'équipe nationaleCe vendredi, la star du football Luis Suarez fait ses adieux à la sélection. Il joue un dernier match éliminatoire de la coupe du monde contre le Paraguay. Le joueur de 37 ans prend sa retraite. Christophe Jousset fait le portrait de cet attaquant de classe mondiale - le meilleur buteur de l'histoire de l'équipe d'Uruguay, avec 69 buts en 142 sélections. Mais sa carrière a aussi été marquée par des comportements agressifs : morsures, insulte raciste…À lire aussiLuis Suarez, icône guerrière et ingérable du football uruguayenLe Journal de la PremièreEn Martinique, et malgré le départ très rapide des membres du rassemblement à l'origine du mouvement « contre la vie chère », la table ronde qui s'est tenue jeudi en préfecture a donné un premier résultat.

Beyond The Horizon
ICYMI: Haiti And It's Descent Into madness

Beyond The Horizon

Play Episode Listen Later Aug 14, 2024 16:19


As Haiti continues to rip apart at the seams, the chaos and fighting in the streets is only increasing.   Yesterday we were talking about the Vigilante groups that were rising up and fighting back against the gangs and warlords and in todays episode, we stay on the same path as we hear from citizens of Port-Au-Prince who are telling harrowing tales of mruder and mayhem and of the growing famine that is spreading throughout the nation.   (commercial at 9:52)to contact me:bobbycapucci@protonmail.comsource:Haiti: Carnage on the streets of Port-au-Prince as world stalls on a promised intervention | CNN

Journal d'Haïti et des Amériques
Port-au-Prince a 275 ans

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jun 14, 2024 30:00


C'est l'anniversaire de la capitale haïtienne, fondée en 1749. Le Nouvelliste en fait sa Une, avec un constat accablant : assaillie par les gangs, Port-au-Prince a vu ses lieux de pouvoir se vider, ses commerçants partir… Ses rues sont désertes.  ► Le Nouvelliste.Le Nouvelliste propose ce vendredi (14 juin 2024) toute une série d'articles sur la capitale haïtienne.À « Port-au-Prince, l'une des villes francophones les plus peuplées de l'Amérique », note le quotidien, « l'État à travers ses institutions, tous comme les riverains et les entreprises, ont fui ou ont été contraints de fuir la ville. Pour laisser la place aux gangs criminels qui imposent leur loi ». Le Nouvelliste égrène tous les lieux de pouvoir désertés : depuis la Primature, siège du Premier ministre, et première institution à fuir le centre-ville, en 2019 – jusqu'au Champ de Mars, siège du pouvoir politique et judiciaire devenu un no-man's land en 2024 – et le théâtre d'affrontements entre policiers et bandits armés.Pour ce qui est du nord de la capitale, il est totalement tombé sous le contrôle des gangs et offre, écrit Le Nouvelliste, l'image d'une région totalement livrée à elle-même, comme « fraîchement frappée par un séisme de grande magnitude ».Port-au-Prince est donc une « capitale à reconquérir » - titre de l'éditorial de Frantz Duval. Une capitale à reconquérir, déjà parce qu'elle a grandi au fil des siècles comme bon lui semble : « la capitale n'était plus aménagée, elle défiait les règles de l'urbanisme » ; et aujourd'hui « la guerre des gangs contre la ville lui a donné le coup de grâce ». L'éditorialiste décrit « des rues vides de piétons » qui succèdent « à des avenues occupées par des immondices », des arbustes qui « percent le béton bitumeux de la chaussée ». Frantz Duval conclut : « Bonne fête Port-au-Prince ! Ton passé te fuit, ton avenir t'attend ».La vie reprend à Pétion-VillePar contre à Pétion-Ville, en banlieue de Port-au-Prince, la vie reprend. C'est ce qu'a pu constater la correspondante de RFI Marie-André Bélange, qui a pu se rendre dans cette commune très éprouvée par la violence des gangs au début de l'année 2024.Elle a ainsi assisté à un match de foot du lycée national de la commune, pendant lequel un élève lui a dit sa joie d'avoir pu reprendre les cours, « les examens officiels approchent et on va donner le meilleur de nous-même pour réussir ».Pour les y aider, le Lycée national de Pétion-Ville s'organise. Il s'agit de leur faire rattraper les heures de cours ratées, explique le directeur Jean Marc Charles, qui confirme : « tous nos enfants sont retournés à l'école ». Il ajoute que des enfants d'autres lycées confrontés à des problèmes de sécurité, et qui sont venus habiter à Pétion-Ville, sont eux aussi accueillis pour préparer leur Bac.Notre correspondante a également croisé un homme qui a pu quitter son domicile de Fontamara, quartier situé au sud de la capitale, pour se rendre à Livres Solidaires, une libraire installée au cœur de Pétion-Ville : « Lors des dernières vagues de violences à Pétion-Ville, on rapportait des tirs, des cadavres laissés dans les rues. J'ai donc dû attendre que tout se calme et que les routes soient débloquées pour pouvoir venir. On m'avait dit que Livres Solidaires avait fermé ses portes aussi. Mais maintenant que cela a rouvert, je suis venu. » Paul explique « se sentir bien entouré de livres ». Aux États-Unis, le plein accès à la pilule abortive est maintenuAux États-Unis, la décision de la Cour suprême – prise à l'unanimité - de maintenir le plein accès à la pilule abortive fait la Une du New York Times et du Washington Post. Rappel des faits : des associations de praticiens hostiles à l'IVG voulaient sévèrement restreindre l'accès à la Mifepristone. Et, raconte USA Today, pour forcer la Cour suprême à statuer sur la légalité de la pilule abortive, ils ont affirmé qu'en la rendant largement disponible, l'Agence américaine des médicaments a augmenté le risque de complications - et donc la probabilité qu'un médecin conservateur doive pratiquer un avortement d'urgence.Le quotidien note qu'ils ne sont jamais parvenus à fournir un seul exemple d'une situation de ce genre. Et ce jeudi, la Cour suprême s'est donc « débarrassée de la patate chaude », analyse USA Today, c'est-à-dire d'un dossier politiquement explosif, en jugeant que, puisque les plaignants ne prescrivent pas, ne vendent pas et ne fabriquent pas le médicament, l'assouplissement des règles permettant d'obtenir le médicament ne leur a fait subir aucun préjudice financier direct. Ils n'ont donc pas à porter le dossier devant la justice.Les organisations des professions médicales se sont réjouies de cette décision de la Cour, mais Politico note que le texte de l'arrêt comprend « des indications potentiellement utiles pour les opposants à l'avortement, car il ouvre la voie à d'autres contestations du médicament, et à la limitation de l'accès à l'avortement par d'autres moyens. » En tous cas, à court terme, « le futur de la pilule abortive est entre les mains de Joe Biden ou Donald Trump », note le Washington Post : « une éventuelle administration Trump pourrait choisir unilatéralement de restreindre l'accès à la Mifepristone, ou même de la retirer complètement du marché ».Brésil : manifestations contre une proposition de loi criminalisant l'avortementAu Brésil, des milliers de personnes ont manifesté ce jeudi (13 juin 2024) contre un texte examiné au Congrès qui prévoit de criminaliser l'avortement.Dans le pays, l'avortement n'est déjà autorisé que dans des cas bien précis : viol, risque pour la mère ou problème avec le fœtus. Mais si le projet de loi est adopté, écrit Folha de Sao Paulo, « les victimes de viol qui avortent après 22 semaines pourraient être condamnées à 20 ans de prison pour meurtre. Les peines pour ces femmes seraient plus lourdes que pour les violeurs ».Hier (13 juin 2024), rapporte Estadao, des manifestations ont eu lieu dans 13 villes du pays, dont Sao Paulo, Rio de Janeiro et Brasilia, sous le slogan « les enfants ne sont pas des mères ». O Globo rappelle en effet que « le Brésil est un territoire brutal pour les filles et les femmes » : les derniers chiffres datent de 2022, une année record pour les viols : près de 75 000, 8% de plus que l'année précédente. Et six victimes sur 10 avaient moins de treize ans.Le quotidien parle d'un texte «sordide, qui dévalorise la politique». Et dénonce ces « parlementaires qui évoquent la bible comme supérieure à la Constitution » : « c'est la théocratie qui frappe à la porte ».Selon Folha, le gouvernement Lula est en train d'évaluer le risque qu'il court s'il prend position contre le projet de loi – sachant que « l'approbation du texte est considérée comme presque certaine », et que le gouvernement a déjà essuyé une séries de revers ces dernières semaines lors des votes au Congrès.Les poissons victimes de la sécheresse au MexiqueUn des effets les plus spectaculaires de l'exceptionnelle sécheresse que connaît le Mexique : dans l'État du Chihuahua, dans le nord, des milliers de poissons morts s'entassent sur les bords d'un lac, qui n'est plus qu'à la moitié de sa capacité en eau. Pedro Ortiz, le président du Conseil du bassin du lac de Bustillos, décrit à Stefanie Schüler la gravité de la situation : 9 mois sans une goutte de pluie. Pour éviter la propagation des maladies, les localités des alentours ont commencé à jeter de la chaux sur les milliers de poissons en état de décomposition qui bordent ce lac d'une surface de 3 mille 300 kilomètres carrés. Pedro Ortiz explique que la sécheresse dégrade aussi la qualité de l'eau : « Ce lac a été pollué tout au long de ces dernières années. Les poissons s'étaient adaptés. Mais maintenant que le niveau du lac a baissé, il y a une concentration plus élevée des polluants dans l'eau ». L'élection américaine en musique : la LouisianeComme chaque vendredi jusqu'à l'élection présidentielle du 5 novembre, RFI propose un voyage en musique dans les États-clé, avec l'un des auteurs du livre Rock n' Road Trip. Julien Grossot nous emmène cette semaine en Louisiane.Et commence par la capitale de l'État, Baton Rouge – chantée Guy Clark, figure légendaire de la Country. Baton rouge, un nom hérité de la présence française, quand la Louisiane – ainsi nommée en hommage à Louis XIV – s'étendait du Golfe du Mexique aux Montagnes Rocheuses. En 1803, Napoléon la vend aux États-Unis, mais l'empreinte culturelle française reste indélébile, comme celle des Cajuns – dérivé du terme « Acadiens », d'autres francophones venus du Canada.Coton Fields, la chanson de Creedance Clearwater Revival, est l'occasion d'évoquer les champs de coton qui bordent le Mississipi. Le morceau est une reprise du bluesman Leadbelly, né à la fin du XIXème siècle en Louisiane dans une plantation de coton. Ces champs de coton qui restent indissociables de l'esclavage, dont l'État a été une des plaques tournantes pendant un siècle et demi.La Louisiane est donc un creuset culturel où se mélangent les influences africaines, cajuns, françaises, amérindiennes et caribéennes – un creuset culturel mais aussi culinaire, l'occasion d'écouter le Jambalaya (On the Bayou) des Meters. Le Jambalaya est un plat mêlant riz épicé, crustacés, poulet, jambon et saucisses…Pour ce qui est de la prochaine présidentielle, explique Julien Grossot, la Louisiane offre invariablement depuis l'an 2000 ses huit grands électeurs au candidat républicain.Le Journal de la 1èreCrise en cours dans le secteur du BTP en Martinique.

The NeoLiberal Round
Lakou Kajou, The Interview with Suzanne, Bessy, and Jovanie on Cutting Edge Digital Learning in Haiti

The NeoLiberal Round

Play Episode Listen Later May 22, 2024 63:11


What's learning and education like in Haiti, given the socio-political upheavals in Haiti over the years and especially over the last few months when Haiti had declared a state of emergency? The NeoLiberal Round Host and Creator, Prof. Renaldo McKenzie, sat down for a live interview with the team at Lakou Kajou and Blue Butterfly (bbutterfly.org) to talk about their project/program to create and provide digital learning by Haitians for Haitians. The Interview features: Suzanne Cole, Co-Chief Executive Officer/Dir of Operations at https://bbutterfly.org, (in Philadelphia USA) Bessy Pade, Educational Consultant at Lakou Kajou (who was joining from France), and Jovanie Marie-Aure Judilius, Lakou Kajou Coordinator in Haiti (who was joining from Port Au Prince, Haiti). The production team was in Jamaica where the interview was streamed. The team provided a powerful analysis and commentary on learning in Haiti and what they are doing to advance learning and to ensure that Haiti is not left behind in the world while Haitians navigate this difficult chapter in their history. The interview was 60 minutes long and included videos, images, stories, and some of their digital content in Haitian Creole interspersed with background music. The show was done in English, but another take will be done in Haitian Creole for our Haitian audience. Visit them at https://bbutterfly.org. This was a production of The NeoLiberal Corporation for programming on The NeoLiberal Round Podcast and YouTube Channel. Subscribe for free https://anchor.fm/theneoliberal. Support us at https://anchor.fm/theneoliberal/support. Visit us at https://theneoliberal.com. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/theneoliberal/message Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/theneoliberal/support

AP Audio Stories
Haitians scramble to survive, seeking food, water and safety as gang violence chokes the capital

AP Audio Stories

Play Episode Listen Later Apr 21, 2024 0:46


AP correspondent Karen Chammas reports on the deteriorating situation in Haiti's capital Port-Au-Prince.

CANADALAND
(Détours) Haïti, vue de Port-au-Prince

CANADALAND

Play Episode Listen Later Apr 13, 2024 42:50


Etienne Côté-Paluck, rédacteur en chef d'HAÏTI MAGAZINE et HAITI WEEKLY, des publications du collectif haïtien DÈYÈ MÒN ENFO, rejoint Emilie pour une discussion sur l'actualité de la crise qui se passe dans la ville et dans le pays.Etienne Côté-Paluck, editor-in-chief of HAÏTI MAGAZINE and HAITI WEEKLY, publications of the Haitian collective DÈYÈ MÒN ENFO, joins Emilie for a discussion about what's actually going on in the country.Animation : Emilie NicolasGénérique : Tristan Capacchione (Production), André Proulx (Coordonnateur à la production), Karyn Pugliese (Rédactrice en chef) Coanimation : Etienne Côté-PaluckPour en savoir plus :Haïti MagazineHaiti WeeklySi vous appréciez ce podcast, soutenez-nous ! Vous obtiendrez un accès en prime à toutes nos émissions gratuitement, y compris les premières diffusions et le contenu bonus. Vous recevrez également notre lettre d'information exclusive, des rabais sur les produits dans notre boutique, des billets pour nos événements en direct et virtuels, et surtout, vous ferez partie de la solution à la crise du journalisme au Canada. Vous ferez en sorte que notre travail reste gratuit et accessible à tout le monde. Vous pouvez écouter sans publicité sur Amazon Music, inclus avec Prime.If you enjoy this podcast, please support us! You'll get bonus access to all of our shows for free, including early releases and bonus content. You'll also receive our exclusive newsletter, discounts on merch in our store, tickets to our live and virtual events, and most importantly, you'll be part of the solution to the journalism crisis in Canada. You'll help keep our work free and accessible to everyone. You can listen ad-free on Amazon Music, included with Prime. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Native Land Pod
The Trump Reckoning That Wasn't

Native Land Pod

Play Episode Listen Later Mar 28, 2024 69:17 Transcription Available


Welcome home!  Hosts Andrew Gillum, Tiffany Cross, and Angela Rye kick off this week's episode with a look at Trump's many many many federal and state charges (88 to be exact). You might've heard that Trump got out of paying a whole bunch of money to New York state this week— nearly half a billion dollars— the penalty for committing fraud by over-valuing his properties. He will still have to pay a $175 million bond, and New York State's Attorney General Letitia James may seize his properties if he doesn't cough it up.  From New York, the hosts take us across the country to cover the Republican anti-DEI offensive. More than half of states have introduced bills to limit diversity, equity, and inclusion initiatives. The hosts take a look at these bills and the arguments folks are making for and against them. Why do some Black folks side with Republicans on this issue? What does it mean to be “equitable” and “inclusive,” anyway?  Finally, it's time to talk about Haiti. The situation there continues to escalate; the UN says that gangs have taken control of most of the capital city, Port-Au-Prince. The situation is complex and impossible to understand without knowing some of Haiti's rich history of emancipation and struggle.  Finally, don't forget to check out the biopic about Shirley Chisholm, the first Black woman to run for president, out now on Netflix. You'll hear about it in this week's call to action!  —--------- We want to hear from you! Send us a video @nativelandpod and we may feature you on the podcast.  Instagram  X/Twitter Facebook Watch full episodes of Native Land Pod here on Youtube. Thank you to the Native Land Pod team:  Angela Rye as host, executive producer and cofounder of Reasoned Choice Media; Tiffany Cross as host and producer, Andrew Gillum as host and producer, and Gabrielle Collins as executive producer; Loren Mychael is our research producer, and Nikolas Harter is our editor and producer. A special thanks as well to Chris Morrow and Lenard McKelvey, co-founders of Reasoned Choice Media.See omnystudio.com/listener for privacy information.

theAnalysis.news
Corporations and Haiti's Ruling Families Profit From Young Labour and Warring Gangs – Jafrikayiti (pt 2/2)

theAnalysis.news

Play Episode Listen Later Mar 28, 2024


Western interventionist policies in Haiti go beyond installing unelected government administrations: embezzling public funds earmarked for infrastructure and health purposes and providing illegal arms to gangs it claims to oppose. In Part 2, Jafrikayiti, an activist for Solidarité Québec-Haiti, discusses the various gangs operating on the streets of Port-Au-Prince, the differences between them, and their connections with Haiti's notoriously decadent elite.

Beyond The Horizon
As The Carnage Continues To Grow In Haiti, So Does The Despair (3/22/24)

Beyond The Horizon

Play Episode Listen Later Mar 22, 2024 16:19


As Haiti continues to rip apart at the seams, the chaos and fighting in the streets is only increasing.   Yesterday we were talking about the Vigilante groups that were rising up and fighting back against the gangs and warlords and in todays episode, we stay on the same path as we hear from citizens of Port-Au-Prince who are telling harrowing tales of mruder and mayhem and of the growing famine that is spreading throughout the nation.   (commercial at 9:52)to contact me:bobbycapucci@protonmail.comsource:Haiti: Carnage on the streets of Port-au-Prince as world stalls on a promised intervention | CNN

The Epstein Chronicles
As The Carnage Continues To Grow In Haiti, So Does The Despair (3/22/24)

The Epstein Chronicles

Play Episode Listen Later Mar 22, 2024 16:19


As Haiti continues to rip apart at the seams, the chaos and fighting in the streets is only increasing.   Yesterday we were talking about the Vigilante groups that were rising up and fighting back against the gangs and warlords and in todays episode, we stay on the same path as we hear from citizens of Port-Au-Prince who are telling harrowing tales of mruder and mayhem and of the growing famine that is spreading throughout the nation.   (commercial at 9:52)to contact me:bobbycapucci@protonmail.comsource:Haiti: Carnage on the streets of Port-au-Prince as world stalls on a promised intervention | CNNBecome a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/the-epstein-chronicles--5003294/support.

The John Batchelor Show
#HAITI: Gang Leaders with Agency in charge of Port -Au-Prince & What is to be done? Allison Fedirka, Geopolitical Futures @GPFutures

The John Batchelor Show

Play Episode Listen Later Mar 20, 2024 14:00


#HAITI: Gang Leaders with Agency in charge of Port -Au-Prince & What is to be done? Allison Fedirka, Geopolitical Futures @GPFutures https://geopoliticalfutures.com/no-one-wants-responsibility-for-haiti/ 1900 Haiti German Legation

Amanpour
Inside one of the last trauma centers in Haiti's capital

Amanpour

Play Episode Listen Later Mar 19, 2024 58:59


On today's program, we examine wars the international community is failing to contain, and the man-made famines they are creating. First to Haiti, where gangs rule, and national security forces are low on ammunition and leadership. Correspondent David Culver reports from inside a Port-Au-Prince hospital.  Also on today's show: Roberto Álvarez, Dominican Republic Foreign Minister; Raghad Jaraisy & Ofer Dagan, Co-Chief Executives, Sikkuy-Aufoq; Leslie Kaufman. Reporter, Bloomberg  Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices

Les matins
Haïti : l'odeur de la mort à Port-au-Prince et le viol utilisé par les gangs comme arme de guerre

Les matins

Play Episode Listen Later Mar 19, 2024 7:02


durée : 00:07:02 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Au moins 15 corps sans vie ont été retrouvés, lundi, dans une banlieue aisée de Port-au-Prince où des membres de gangs ont mené des attaques dès l'aube, rapporte la presse haïtienne. Le viol des femmes est aussi utilisé comme une arme, dans cette guerre qui ne dit pas son nom.

First Move with Julia Chatterley
Inside Haiti as militias, gangs and the police battle for control of Port-au-Prince

First Move with Julia Chatterley

Play Episode Listen Later Mar 19, 2024 49:23


David Culver joins the show from Haiti's capital to report on the chaos. Israel launches a major military operation at Gaza's largest hospital. Donald Trump's lawyers say they can't find an insurance company to underwrite his $464 million bond. The WTO Director-General Ngozi Okonjo-Iweala joins Julia to talk about trade tribulations and helping poorer nations. And, not Chinese enough? The bottled water empire of China's richest man is facing a nationalist boycott. All that and more. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices

Mean and Sober
10 - Port-au-Prince Machavelli

Mean and Sober

Play Episode Listen Later Mar 15, 2024 91:35


Fine young cannibals              

Radio Boston
Boston's Haitian-American community grapples with home country's turmoil

Radio Boston

Play Episode Listen Later Mar 14, 2024 17:49


Radio Boston looks at the chaos happening Haiti's capital of Port-Au-Prince through the eyes of our local Haitian-American community.

The Real Story
Can Haiti break free from its history?

The Real Story

Play Episode Listen Later Mar 8, 2024 49:05


The Haitian government declared a 72-hour state of emergency on Sunday. It follows the storming at the weekend by gangs of two prisons, with some 3,700 inmates escaping. The gang leaders want the resignation of Prime Minister Ariel Henry, with one of them (Jimmy Cherizier, aka Barbecue) saying there will be civil war if Mr Henry does not go. Mr Henry had travelled to Kenya to discuss the deployment of a UN-backed security mission in Haiti, but is now in Puerto Rico after his plane was denied permission to land in Haiti. Gangs are now estimated to control most of the capital, Port-au-Prince. Haiti is the poorest country in the Americas with a history of political instability, dictatorships and natural disasters. It became the world's first black-led republic and the first independent Caribbean state when it threw off French colonial control and slavery in the early 19th Century. But it was forced to pay crippling reparations to France, which demanded compensation for former slave owners. That "independence debt" was not paid off until 1947 with many Haitians saying that it has prevented the country from developing and moving forwards. So, how has Haiti's history shaped its present? And can it break free from its past and, if so, how can it do so? Celia Hatton is joined by a panel of experts:Monique Clesca - A Haitian journalist, writer and advocate in Port Au Prince. Professor Marlene Daut - A Haitian American Professor of French and African American Studies at Yale University. Alex Dupuy - A Haitian born academic who has retired after a long career as Professor of Sociology at Wesleyan University in Middletown, CT. He's authored many books on Haiti's history and development.Image: People run down a street in Port-au-Prince, Haiti escaping from gang violence. Credit: Johnson Sabin/EPA-EFE/REX/Shutterstock

PRI's The World
Haiti gangs wreak havoc in Port-au-Prince

PRI's The World

Play Episode Listen Later Mar 5, 2024 48:52


Gangs are taking over Haiti's capital, Port-au-Prince. Police and the military have been ineffective in stopping the gangs from attacking the country's main airport last night and breaking out of thousands of inmates from prison over the weekend. And, a UN report finds credible the allegations of sexual assault by Hamas militants on Oct. 7, and against hostages held in Gaza. UN Special Representative for Sexual Violence in Conflict Pramila Patten went to Israel and the West Bank with a team to examine and gather information about allegations of sexual violence. Also, AidChild is an organization founded by American missionary Nathaniel Dunigan in 2000 to support children with HIV. The World's Halima Gikandi conducted a yearlong investigation on children's orphanages in Uganda and found several allegations of abuse and neglect at the organization, going back a decade. Plus, a satellite to help fight climate change by detecting methane.

The WorldView in 5 Minutes
Supreme Court: States cannot take Trump off ballot, Franklin Graham's 10-city evangelistic outreach on southern border, Ghana and Uganda passed anti-homosexual laws

The WorldView in 5 Minutes

Play Episode Listen Later Mar 5, 2024


It's Tuesday, March 5th, AD 2024. This is The Worldview heard at www.TheWorldview.com.  I'm Adam McManus.  (Adam@TheWorldview.com) By Kevin Swanson Senatorial resolution calls for worldwide religious liberty United States Senators Chris Coons, D-Del., James Lankford, R-Okla., Tim Kaine, D-Va., and Thom Tillis, R-N.C. have introduced a resolution calling for religious freedom around the world. The resolution specifically calls on the Senate to recognize religious freedom as a fundamental right, to condemn the criminalization of religious exercise, and to promote religious freedom as a priority in US foreign policy. Violators called out in the resolution include Myanmar, formerly known as Burma, China, Afghanistan, India, Iran, Nicaragua, Pakistan, Nigeria, North Korea, and Russia among others. Christian Solidarity International reports freeing 1,500 slaves from Islamic bond slavery last year in Sudan. Joel Veldkamp told CBN of a young man who was forced into the Islamic religion while a slave, but, upon his release from slavery, learned about Jesus and became a Christian. Listen to this. VELDCAMP: “I'm thinking of one young man I met named Garong, who was just old enough when he was enslaved to know that he didn't come from a Muslim background, but not old enough to really know anything about Christianity at all. “So, he grew up in slavery and he grew up being forced to learn the Quran and go to Islamic school at night and work during the day. Always being told he was a Muslim, always being forced to pray like a Muslim, but he always resisted and he never accepted that this was his identity. “And then when he came back to South Sudan, he had the chance for the first time to learn what it meant to be a Christian. And he learned the Jesus story and he told me, ‘The Jesus story is way better. Jesus came and He gave Himself for the world. He doesn't force anyone to follow Him. He doesn't force anyone to worship Him. He just loves us.'” Ghana and Uganda passed anti-homosexual laws While most countries in the world are liberalizing laws on homosexuality, a few African nations are doing just the opposite.   Ghana's parliament approved a law last week which would impose a five-year jail sentence for forming or funding groups advocating homosexuality, and a 10-year jail sentence if one is guilty of encouraging children towards homosexuality. Uganda passed a similar bill in 2023. And the Kenyan government is considering a Family Protection Bill as well. 2 Peter 2:6-7 reminds us that God “condemned the cities of Sodom and Gomorrah by burning them to ashes, and made them an example of what is going to happen to the ungodly.  He rescued Lot, a righteous man, who was oppressed by the filthy conduct of the wicked.” Violent anarchy in Haiti Anarchy rules on the streets of Port Au Prince, Haiti.   Armed groups have torched police stations, and thousands of prisoners have been released from prisons.  CNN reports that 80% of the capital city is now controlled by gangs. Thousands of persons have been kidnapped, and over 300,000 are homeless because of recent unrest.  The U.S. State Department recommends no travel to Haiti due to “kidnapping, crime, civil unrest, and poor health care infrastructure.” Even American missionaries have largely pulled out. Mission Aviation Fellowship halted flights into Haiti last November. Pray for Haiti. Supreme Court unanimously rules states cannot take Trump off ballot Here in America, the U.S. Supreme Court set the Colorado Supreme Court on its heels Monday, ruling unanimously that Donald Trump should, in fact, remain on the ballot for the 2024 presidential elections, reports NBC News. The Colorado court had invoked the 14th Amendment, Section 3 to the U.S. Constitution, ruling that President Donald Trump had engaged in “insurrection or rebellion” against the U.S. Based on this ruling, should Donald Trump gain the Republican nomination, he will appear on ballots in all 50 states this November. Franklin Graham's 10-city evangelistic outreach on southern border Franklin Graham's “Frontera, God Loves You Tour” — has kicked off — as the Christian preacher holds evangelistic meetings in 10 cities along the southern U.S. border. Graham explains the purpose of the tour. GRAHAM: “I'm on the border of Mexico. Millions of people have crossed this border into our country, people from all over the world are looking for a new opportunity at life. We're not coming here for election purposes. We're coming here to present the Gospel. “We started in Brownsville, and we're going to go all the way to Chula Vista, California. People down here are discouraged. I'm talking about the local people, the Texans that live here. It's tough. The Border Patrols are having a tough time. The State of Texas law enforcement are having a tough time and then the people that just live here are overwhelmed. “I believe this is one of the best opportunities for us to be able to present the Gospel of Jesus Christ to these people here on the border.” Remarkably, 7,000 gathered Saturday night at the Don Haskins Center in El Paso, Texas to hear the Gospel message. And 1,200 gathered in the smaller town of Presidio, Texas last Friday night. This is the Gospel message that transforms nations, friends.  The Apostle Paul wrote, “For I delivered to you, as of first importance, what I also received: that Christ died for our sins in accordance with the Scriptures,  that He was buried, that He was raised on the third day in accordance with the Scriptures.” (1 Corinthians 15:3-4) Gold and Bitcoin have reached new records In economic news, gold has reached new records — scraping $2,120 per ounce on Monday, reports Reuters. Bitcoin also has hit an all-time high of $67,400. Within two years, the unstable crypto currency lost 75% of its value, and then regained the 75%. As well, in 2018, Bitcoin lost 84% of its value, and then gained it back. Americans more concerned with inflation than abortion Super Tuesday is today, reports U.S. News & World Report.  Voters in 15 states are set to cast their ballots in Alabama, Alaska, Arkansas, California, Colorado, Iowa, Maine, Massachusetts, Minnesota, North Carolina, Oklahoma, Tennessee, Texas, Utah, Vermont, and Virginia.  They'll select the best presidential candidate in their party all the way down to the best state representative. Approaching the United States election, a recent Economist and You Gov poll found that the least important issues for Americans coming to the polls are abortion and the environment. The most important issues are taxes, government spending, inflation, and crime. 7 feet of California snow stopped semi-trucks And finally, over the weekend into Monday, abandoned semi-trucks covered in snow, were lined up on the I-80 freeway in northern California crossing over into Nevada, reports the Daily Caller. The three-day “Snowmageddon” around Lake Tahoe has brought 5-7 feet of snow. Some areas in the highest elevations could receive 10-12 feet by the time the storm is over. Close And that's The Worldview on this Tuesday, March 5th in the year of our Lord 2024. Subscribe by iTunes or email to our unique Christian newscast at www.TheWorldview.com. Or get the Generations app through Google Play or The App Store. I'm Adam McManus (Adam@TheWorldview.com). Seize the day for Jesus Christ.

Les matins
Etat d'urgence en Haïti : Port-au-Prince, "capitale assiégée" après l'évasion de plus de 5 000 criminels

Les matins

Play Episode Listen Later Mar 4, 2024 6:02


durée : 00:06:02 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le gouvernement haïtien a décrété l'état d'urgence et un couvre-feu pour reprendre le contrôle de la capitale Port-au-Prince, après l'évasion de plusieurs milliers de détenus. Des gangs armés ont violemment attaqué les deux plus grandes prisons d'Haïti, tuant au moins une dizaine de personnes.

Newshour
India's PM Narendra Modi inaugurates controversial Hindu temple

Newshour

Play Episode Listen Later Jan 22, 2024 48:28


India's Prime Minister Narendra Modi has opened a Hindu temple on the site of a razed mosque in the northern town of Ayodhya. Modi said the temple marked a 'new era' for the country, three decades after a Hindu mob tore down the Babri mosque which many Hindus believe was built on the birthplace of the Hindu god Rama. Also in the programme: Cameroon became the first country to roll-out a mass vaccine program against Malaria in a move projected to save thousands of lives; and we speak to a Haitian bishop about the kidnapping of six nuns by a criminal gang in Port-Au-Prince on Friday.(Photo: Indian Prime Minister Modi presides over inaugural ceremony at Ram Mandir temple, Ayodhya, India, 22 Jan 2024 Credit: India Press Information Bureau/EPA)

Trumpcast
What Next: Haiti's Kidnapping Crisis

Trumpcast

Play Episode Listen Later Aug 9, 2023 21:00


What's behind a recent uptick in kidnappings and gang violence in Port-Au-Prince, Haiti, and how did Kenya end up being the country stepping up to help? Guest: Jacqueline Charles, Caribbean correspondent at The Miami Herald. If you enjoy this show, please consider signing up for Slate Plus. Slate Plus members get benefits like zero ads on any Slate podcast, bonus episodes of shows like Slow Burn and Dear Prudence—and you'll be supporting the work we do here on What Next. Sign up now at slate.com/whatnextplus to help support our work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

What Next | Daily News and Analysis
Haiti's Kidnapping Crisis

What Next | Daily News and Analysis

Play Episode Listen Later Aug 9, 2023 21:00


What's behind a recent uptick in kidnappings and gang violence in Port-Au-Prince, Haiti, and how did Kenya end up being the country stepping up to help? Guest: Jacqueline Charles, Caribbean correspondent at The Miami Herald. If you enjoy this show, please consider signing up for Slate Plus. Slate Plus members get benefits like zero ads on any Slate podcast, bonus episodes of shows like Slow Burn and Dear Prudence—and you'll be supporting the work we do here on What Next. Sign up now at slate.com/whatnextplus to help support our work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices