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Lionel Dupont est installé à Gaël en Ille-et-Vilaine depuis 2008. Dans le but de progresser sur la partie culture, il rejoint un groupe animé par le Ceta 35 en 2015. Celui-ci évolue vers un groupe Ecophyto où les différents membres travaillent sur des leviers pour réduire l'utilisation de chimie. Lionel a par exemple largement réduit ses fongicides, utilise des mélanges variétaux en blé et a testé le colza associé. Prochainement, le travail sera axé sur le désherbage. Dans cet épisode, il raconte son expérience au sein de ce groupe.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Loguivy-Plougras, Julien et Françoise Pichouron sont installés depuis 10 ans sur une ferme laitière. Au moment de leur installation, l'exploitation était représentative du modèle breton : cultures de vente, maïs, intrants et une petite part de pâturage. Au bout de 4 ans, pour des raisons humaines et économiques, le couple décide de changer intégralement son système. En l'espace de 3 ans, toutes les cultures ont été remplacées par de l'herbe, les vêlages groupés au printemps et les vaches traites une fois par jour toute l'année. Les agriculteurs font également partie de plusieurs groupes animés par le Cedapa, dont un groupe Ecophyto 30 000 depuis 2020. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:58 - Camille passe au vert - par : Camille Crosnier - Le gouvernement a présenté début mai le nouveau plan Ecophyto qui vise à réduire de 50% d'ici 2030 l'utilisation des pesticides en France. Plus de 400 chercheurs ont signé une tribune pour dénoncer « une politique d'immobilisme vieille de 20 ans ». Qu'en pensent les députés à l'Assemblée ?
L'émission 28 Minutes du 15/05/2024 La révolution annoncée des médicaments anti-obésité ? “On ne se réveille jamais un matin en se disant : aujourd'hui, je vais rajouter 50 à 70 kg à mon corps. Non, l'obésité n'est pas un choix, un mode de vie qu'on décide d'essayer.” L'obésité, maladie reconnue par l'OMS, touche aujourd'hui un milliard de personnes dans le monde. En augmentation continue depuis quarante ans. Elle touche notamment la France, où 17 % de la population est en situation d'obésité, avec une croissance particulièrement marquée chez les 18-24 ans sur les dix dernières années. L'arrivée de nouveaux traitements pourrait cependant changer la donne. Autorisé par l'Agence européenne du médicament depuis 2022, le Wegowy débarquera dans les pharmacies françaises avant la fin de l'année. Ce médicament est très similaire à l'Ozempic, utilisé aux États-Unis depuis plusieurs mois et qui fait les gros titres quant à ses “performances” remarquables : jusqu'à 25 % de perte de masse corporelle pour les patients qui l'ont utilisé. Pour Anne-Sophie Joly, présidente et fondatrice du Collectif National des Associations d'Obèses, le traitement thérapeutique est absolument indispensable si l'on veut lutter contre cette maladie. Elle est notre invitée. La loi agricole arrive à l'Assemblée : la victoire du modèle industriel ? Trois mois après la crise et les manifestations d'agriculteurs, le projet de loi “d'orientation pour la souveraineté agricole et le renouvellement des générations” arrive à l'Assemblée. Censé répondre à la détresse du monde paysan, le texte inscrit dans la loi l'impératif de souveraineté alimentaire et érige l'agriculture au rang “d'intérêt général majeur”. Allègement de la réglementation sur les haies, accélération des procédures de contentieux sur les projets de stockages d'eau ou de construction de bâtiments d'élevages… Sous la pression de la FNSEA, le gouvernement y fait figurer de nombreuses mesures visant à simplifier certaines normes environnementales. Mais certains sujets sont repoussés à plus tard : le plan Ecophyto qui fixe un objectif de baisse des pesticides de 50 % en 2030 fera l'objet d'un texte de loi séparé à l'été. Les mesures financières ou fiscales sont quant à elles renvoyées à l'examen du budget à l'automne. Les écologistes et les associations environnementales dénoncent un texte “indigent”, jugé contraire à l'urgence écologique. Grégoire de Fournas du Rassemblement National regrette lui un texte “décevant au regard des attentes des agriculteurs : rien sur la rémunération, rien sur la concurrence déloyale… Ce n'est pas à la hauteur”. Cette loi apporte-t-elle les bonnes réponses à la crise agricole ? On en débat. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Marie Bonnisseau ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 15 mai 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 15/05/2024 La loi agricole arrive à l'Assemblée : la victoire du modèle industriel ? Trois mois après la crise et les manifestations d'agriculteurs, le projet de loi “d'orientation pour la souveraineté agricole et le renouvellement des générations” arrive à l'Assemblée. Censé répondre à la détresse du monde paysan, le texte inscrit dans la loi l'impératif de souveraineté alimentaire et érige l'agriculture au rang “d'intérêt général majeur”. Allègement de la réglementation sur les haies, accélération des procédures de contentieux sur les projets de stockages d'eau ou de construction de bâtiments d'élevages… Sous la pression de la FNSEA, le gouvernement y fait figurer de nombreuses mesures visant à simplifier certaines normes environnementales. Mais certains sujets sont repoussés à plus tard : le plan Ecophyto qui fixe un objectif de baisse des pesticides de 50 % en 2030 fera l'objet d'un texte de loi séparé à l'été. Les mesures financières ou fiscales sont quant à elles renvoyées à l'examen du budget à l'automne. Les écologistes et les associations environnementales dénoncent un texte “indigent”, jugé contraire à l'urgence écologique. Grégoire de Fournas du Rassemblement National regrette lui un texte “décevant au regard des attentes des agriculteurs : rien sur la rémunération, rien sur la concurrence déloyale… Ce n'est pas à la hauteur”. Cette loi apporte-t-elle les bonnes réponses à la crise agricole ? On en débat. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 15 mai 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
durée : 00:37:37 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Récemment, le gouvernement a dévoilé son plan Ecophyto 2030 et le projet de loi d'orientation agricole. Mais ces politiques sont contestées par des scientifiques qui soulignent le manque d'actions fortes pour la transition écologique. La science a-t-elle une place dans l'élaboration des lois ? - invités : Anne-Cécile Suzanne Agricultrice en polyculture-élevage à Mauves-sur-Huisne (61); Robert Barouki Directeur de l'Institut de santé publique de l'Inserm, médecin et professeur en toxicologie à l'Université Paris Cité; Marion Guillou Présidente de l'Académie d'Agriculture de France
durée : 00:37:37 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Récemment, le gouvernement a dévoilé son plan Ecophyto 2030 et le projet de loi d'orientation agricole. Mais ces politiques sont contestées par des scientifiques qui soulignent le manque d'actions fortes pour la transition écologique. La science a-t-elle une place dans l'élaboration des lois ? - invités : Anne-Cécile Suzanne Agricultrice en polyculture-élevage à Mauves-sur-Huisne (61); Robert Barouki Directeur de l'Institut de santé publique de l'Inserm, médecin et professeur en toxicologie à l'Université Paris Cité; Marion Guillou Présidente de l'Académie d'Agriculture de France
durée : 00:03:27 - Planète verte - par : Célia Quilleret - Cette fois, c'est trop pour les scientifiques et les soignants. Ils sont plus de 600 à signer une nouvelle tribune dans le journal "Le Monde" pour dénoncer l'inaction du gouvernement contre les pesticides. Le nouveau plan "Ecophyto" présenté lundi n'est pour eux pas du tout à la hauteur des enjeux.
durée : 00:04:14 - Le Reportage de la Rédaction - Les 3000 exploitations agricoles du réseau Dephy montrent que même en agriculture conventionnelle, il est de possible de réduire beaucoup le recours aux pesticides. Lancé en 2008 dans le cadre du plan Ecophyto, ce réseau réunit et accompagne les agriculteurs engagés dans une démarche volontaire.
durée : 00:04:14 - Le Reportage de la Rédaction - Les 3 000 exploitations agricoles du réseau Dephy montrent que même en agriculture conventionnelle, il est de possible de réduire beaucoup le recours aux pesticides. Lancé en 2008 dans le cadre du plan Ecophyto, ce réseau réunit et accompagne les agriculteurs engagés dans une démarche volontaire.
« La politique que je mènerai sera écologique ou ne sera pas », avançait Emmanuel Macron le 16 avril 2022, lors de l'entre deux-tours de l'élection présidentielle. Presque deux années plus tard, le président de la République, confronté à une crise du monde agricole qui s'enlise, a reculé sur ses ambitions écologiques.Entre la volonté affichée de réduire les normes environnementales ou la suspension du plan Ecophyto, l'écologie semble être la grande perdante de cette séquence. Mais le gouvernement a également imposé au Ministère de l'écologie une réduction de son budget dans le cadre de son plan de 10 milliards d'euros d'économies.Quelles sont les conséquences concrètes de ces reculs sur la politique environnementale de la France ? Ces dernières prises de parole entrent-elles en contradiction avec les engagements pris précedemment par Emmanuel Macron ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Matthieu Goar, journaliste au service « Planète » du Monde, nous explique.Un épisode de Marion Bothorel. Réalisation : Thomas Zeng. Musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.
durée : 00:04:10 - Le Reportage de la Rédaction - Les 3000 exploitations agricoles du réseau Dephy montrent que même en agriculture conventionnelle, il est de possible de réduire beaucoup le recours aux pesticides. Lancé en 2008 dans le cadre du plan Ecophyto, ce réseau réunit et accompagne les agriculteurs engagés dans une démarche volontaire.
durée : 00:04:10 - Le Reportage de la Rédaction - Les 3000 exploitations agricoles du réseau Dephy montrent que même en agriculture conventionnelle, il est de possible de réduire beaucoup le recours aux pesticides. Lancé en 2008 dans le cadre du plan Ecophyto, ce réseau réunit et accompagne les agriculteurs engagés dans une démarche volontaire.
La Matinale de ce jour est animée par Emilie Finck ! Dans une première interview, Myrtille Mayaud-Decquero accueille (à distance) Nadine Lauverjat, déléguée Générale de Générations Futures. Ensemble, elles reviennent sur l'actualité de la suspension du plan Ecophyto ! Ensuite, dans l'interview Zoom, Justine Vunda reçoit deux membres du groupe Later., pour leur concert à La Cigale, le 27 février ! Ils nous font même le plaisir de chanter en live !! Une heure d'émission agrémentée d'une chronique humoristique signée Pascadog ! Animation : Emilie Finck / Interview : Myrtille Mayaud-Decquero / Zoom : Justine Vunda / Chronique : Pascadog / Réalisation : Jeanne Thevenot et Clément / Coordination : Héloïse Robert
durée : 00:16:48 - C'est bientôt demain - par : Antoine CHAO - Les temps sont durs pour les abeilles et pour les apiculteurs, l'annonce par le gouvernement de l'abandon du plan Ecophyto, suite aux blocages et brasiers polluants de vieux pneus sur les ronds-points, ne va pas arranger les choses. En même temps, le Salon de l'Agriculture est en ébullition
La Matinale de ce jour est animée par Emilie Finck ! Dans une première interview, Myrtille Mayaud-Decquero accueille (à distance) Nadine Lauverjat, déléguée Générale de Générations Futures. Ensemble, elles reviennent sur l'actualité de la suspension du plan Ecophyto ! Ensuite, dans l'interview Zoom, Justine Vunda reçoit deux membres du groupe Later., pour leur concert à La Cigale, le 27 février ! Ils nous font même le plaisir de chanter en live !! Une heure d'émission agrémentée d'une chronique humoristique signée Pascadog ! Animation : Emilie Finck / Interview : Myrtille Mayaud-Decquero / Zoom : Justine Vunda / Chronique : Pascadog / Réalisation : Jeanne Thevenot et Clément / Coordination : Héloïse Robert
Les annonces de Gabriel Attal aux agriculteurs en colère n'ont pas fait que des heureux : les apiculteurs dénoncent la pause dans la limitation de l'usage de pesticides dans les cultures. Reportage à Mesland, Chez Eric et Christophe Souvent.
No continente europeu, os agricultores de vários países como a França, a Bélgica, a Alemanha, a Itália e Portugal, iniciaram um movimento de contestação, insurgindo-se nomeadamente contra o peso das regras ecológicas e exigindo maior protecção contra o que consideram ser concorrência desleal de produtos de fora da UE. Será necessário flexibilizar as regras ambientais para responder ao descontentamento dos agricultores, como o fez a Comissão Europeia, desregulamentando a utilização dos "novos" Organismos Genéticamente Modificados (OGM), altamente reprovado pelas associações ambientais, ou como a recente decisão do Governo francês, com a suspensão do plano Ecophyto, que previa a redução do uso dos pesticidas? A agricultura é uma das actividades que mais produz e emite gazes com efeito de estufa em França, o maior produtor agrícola da União Europeia. A nível mundial, a agricultura é responsável por 20% das emissões de gazes com efeito de estufa, segundo o Centro Nacional de Investigação Científica (CNRS). Por onde é que passa a adaptação de um modelo agrícola às necessidades da segurança alimentar, sem causar danos à biodiversidade, ao clima e ao planeta?Ouça a entrevista com Carmen Bessa Gomes, especialista em Ecologia na AgroParisTech:
durée : 00:02:19 - Le billet sciences - Alors que le plan Ecophyto est mis en pause, les syndicats d'agriculteurs, les associations environnementales et les ministères respectifs se retrouvent lundi pour tenter de se mettre d'accord sur les quantités de pesticides pulvérisés dans les champs.
durée : 00:05:41 - Dominique Potier, député PS de Meurthe-et-Moselle - Quelques jours après l'annonce de la mise sur pause du plan Ecophyto par l'exécutif le député PS du Toulois Dominique Potier ne décolère pas. Le rapporteur de la commission d'enquête sur les pesticides rencontre ce matin à Laxou dans le Grand Nancy des représentants de la FNSEA et des JA.
durée : 00:02:17 - Le vrai ou faux - Alors que le plan Ecophyto, destiné à réduire les pesticides, est actuellement sur pause, la cheffe de file des Ecologistes à l'Assemblée nationale affirme qu'une expérimentation a prouvé son efficacité : réduire les pesticides ne ferait pas baisser les rendements agricoles et améliorerait même les marges des agriculteurs. C'est plutôt vrai.
En Francia, tras dos semanas de bloqueos de carreteras por parte de los agricultores, el gobierno desbloqueó millones de euros en subsidios. También retrocedió en sus ambiciones ambientales y suspendió un plan para reducir el uso de los pesticidas. La crisis reveló la dependencia del agro francés a los pesticidas químicas. Reportaje. La lluvia cae en los fardos de paja que un grupo de agricultores franceses instaló en medio de una autopista al este de París en el marco de una protesta nacional. Caída de ingresos, acumulación de normas administrativas, competencia internacional y precios bajos en supermercados son algunas de las situaciones que denuncian los agricultores franceses. A esta lista se añaden las reglas medioambientales de la Unión Europea, cada vez más estrictas y que se convirtieron en una manzana de la discordia entre ecologistas y representantes de los lobbies agroindustriales.Los millones de toneladas de trigo y de litro de vino producidos cada año han permitido a Francia convertirse en el sexto mayor exportador mundial de productos agrícolas. Los altos rendimientos, la tecnología, los subsidios y los acuerdos comerciales son algunos de los factores que hicieron de Francia una potencia agrícola. Sin olvidar el uso masivo de agroquímicos: pesticidas, fungicidas e insecticidas, cuestionados por su peligrosidad para la salud humana, la biodiversidad y la contaminación del agua que ocasionan.Peligrosos para algunos, pero indispensables para Olivier, quien, desde hace 25 años produce trigo, cebada y colza en sus 165 hectáreas de tierras no lejos de París: "Cuando hacemos agricultura de conservación, hacemos una rotación de cultivos. Y entre dos cultivos, destruimos lo que queda del cultivo anterior para volver a sembrar. Si nos prohíbe esta sustancia, ya no podremos hacer estas rotaciones de cultivos”, dicea RFI el agricultor.A pesar de que la Organización mundial de la salud clasificó el glifosato como 'probablemente cancerígeno" para los humanos, Olivier relativiza su peligrosidad y critica las directrices europeas y franceses para reducir el uso de pesticidas.“Yo por ejemplo producía habas forrajeras que exportábamos a Egipto donde sirven para producir tortitas. Nos exigían productos libres de insectos entonces usábamos un insecticida que Francia prohibió. En el extranjero se sigue usando, entonces aquí dejamos de producir estas habas, mientras que en Reino Unido sí continúan. ¡Es una lástima! deberíamos producir localmente y con métodos limpios”, explica a RFI.El productor de cereales pide como muchos, una reciprocidad de las normas medioambientales para los productos importados que a veces no cumplen con las normas europeas. “Nos llegan productos del extranjero con otros estándares mientras que en Francia se nos prohíbe productos fitosanitarios indispensables para la producción. Entonces hay ciertas especies que dejamos de cultivar porque no tenemos alternativas”, lamenta.En 2022 la Unión Europea decretó un plan vinculante para reducir un 50% el uso de productos fitosanitarios en la agricultura europea de aquí a 2050. Anteriormente, en 2018, Bruselas prohibió los neonicotinoides, estos insecticidas que diezman la población de polinizadores, pero que los agricultores europeos usaban masivamente. La suspensión de su uso es motivo de descontento también para Guillaume Gandon, vice presidente del gremio de productores de remolachas azucareras de Francia CGB: "Usamos productos neonicotinoides, para envolver las cáscaras de las semillas. Entonces cuando los pulgones aparecen en mayo, muerden la cáscara de las semillas, absorbe un poco de insecticida y muere. Y así evitamos los efectos nefastos de estos pulgones. En 2020, se prohibió el uso de estos neonicotinoides y este año precisamente tuvimos un año catastrófico a causa de estos pulgones que son vectores de una enfermedad llamada ictericia. El gobierno francés reautorizó el producto, pero la corte de justicia europea lo volvió a prohibir 2 años después. Hoy en Francia carecemos de solución mientras que otros países como Bélgica y Alemania autoriza las fumigaciones de este producto”, cuenta a RFI.El productor de remolachas pide “que las reglas sean las mismas en toda la Unión Europea, y que las reglas sean las mismas para la azúcar importada. ¡Los ucranianos utilizan 79 sustancias agrícolas que aquí están prohibidas!”Tras dos semanas de movilización en enero, los agricultores franceses que defienden el uso de pesticidas han ganado una batalla: el gobierno francés aplazó el plan nacional Ecophyto, que fija objetivos ambiciosos para reducir el uso de pesticidas. También se aplazó a nivel europeo una normativa para dejar en barbecho el 4% de los grandes cultivos con el fin de incentivar la biodiversidad. La líder del partido ecologista francés lamentó una decisión tomada en detrimento de la salud de los franceses. La agricultura orgánica a pequeña escala: un modelo frágilY mientras un sector de la agroindustria francesa insiste para mantener el uso de los agroquímicos hasta que se encuentren alternativas, otros campesinos defienden una agricultura libre de pesticidas.RFI visitó una granja del este de la región parisina donde la agricultora Sophie Van de Velde cultiva desde 2017 verduras orgánicas, a pequeña escala.Van de Velde instaló sus cultivos en las tierras de su familia campesina desde hace más de 4 generaciones. Pero ella no usa cosechadoras ni tractores, y no vende sus productos en los mercados internacionales, sino que tiene clientes directos, mediante una suscripción anual, sin pasar por intermediarios. Un sistema aún bastante frágil. Cada jueves, un grupo de vecinos vienen a recoger un saco de verduras por el precio de 25 euros."La ventaja es que puedo fijar mis propios precios, y no dependo de los precios de mercado. En el resto de la industria aplican a veces un margen de ganancia. Yo simplemente divido el costo de producción por el número de clientes. Es el precio real, e incluyo mis deudas y mi remuneración”, detalla la horticultora.Sin embargo, el sistema solo le permite ganar a penas un sueldo mínimo de 1400 euros netos (en Francia).A eso se suma el reto de la agricultura orgánica, sin productos químicos. “No uso fertilizantes artificiales, ni productos químicos. Hacemos muchas tareas con métodos mecánicos o manuales, para desmalezar, por ejemplo. Tengo una empleada, pero a veces a mis clientes me tienen que ayudar. Por eso tenemos menos rendimiento: usamos estiércol orgánico, pero es menos eficaz que el nitrógeno. Las verduras crecen más lentamente, pero tratamos crear un sistema más natural para tener mejores productos."Y para evitar las plagas, la horticultora organiza rotaciones muy espaciadas de sus cultivos. “Siembre papas en una parcela y luego espero varios años para que las plagas no se instalen. Y para proteger los cultivos de los insectos de las zanahorias por ejemplos, usamos grandes tejidos para cubrir las siembras. Es mucho más difícil que fumigar con un tractor. Tenemos que desplegar estos tejidos y ser atentos”, dice a RFI.En el marco de su Pacto verde por el clima, firmado en 2021, la Unión Europea quiere que el 25% de la superficie agrícola del continente sea orgánica de aquí a 2030. En Francia, por ejemplo, para incentivar la demanda de productos orgánicos, el gobierno impuso una cuota de 20% de alimentos orgánicos en los comedores colectivos, empresas, hospitales y empresas.Pero la falta de incentivos económicos para los agricultores orgánicos y la inflación impide de momento cumplir con estos objetivos. Y el consumo de productos fitosanitarios se mantiene en niveles altos. La transición ecológica de la agricultura francesa, aún no ha empezado.Entrevistas: >Laurence Marandola, portavoz de La Confederation paysanne, sindicato de campesinos franceses.>Sophie Van de Velde, agricultora francesa, productora de verduras en Seine et Marne.>Guillaume Gandon, vice presidente del gremio de productores de remolachas azucareras de Francia CGB>Olivier, productores de cereales de la cuenca parisina.
durée : 00:05:36 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Depuis 2 ans, l'agriculture bio est en crise : inflation, diminution des aides et concurrence de nouveaux labels. Les dernières annonces du gouvernement pour calmer la colère des agriculteurs et notamment la mise en pause du plan Ecophyto suscite l'indignation des agriculteurs bio. Décryptage - invités : Philippe Camburet Président de la Fédération nationale d'agriculture biologique (Fnab)
durée : 00:02:11 - Le vrai ou faux - Après l'annonce de la mise en pause du plan Ecophyto, la tête de liste des écologistes aux élections européennes, Marie Toussaint, a appelé à changer de modèle. Elle affirme que les agriculteurs ont 50% de risque en plus d'avoir un lymphome ou un cancer de la lèvre, à cause des pesticides. C'est plutôt vrai mais c'est très variable en fonction des cancers.
durée : 00:23:07 - 8h30 franceinfo - Le sénateur écologiste de Paris était l'invité du 8h30 franceinfo du lundi 5 février 2024.
L'émission 28 Minutes du 05/02/2024 La crise agricole a-t-elle enterré et sacrifié notre ambition écologique ? « Contre-révolution écologique », « recul historique », « écologie en jachère »… Les réactions ne manquent pas pour qualifier les annonces de Gabriel Attal jeudi sur la crise agricole. En cause : la suspension du plan « Ecophyto 2030 » visant à réduire de 50 % l'usage des pesticides, qui s'ajoute au renoncement de la hausse des taxes sur le gazole non routier (GNR) annoncé en début de semaine. Si ces décisions ont contenté la FNSEA — et permis la levée des blocages — les ONG environnementales contestent et dénoncent « une régression vertigineuse ». Pour le gouvernement, il s'agit de « sortir de l'écologie punitive » pour privilégier une « écologie des solutions », plus en phase avec les besoins des agriculteurs. Ce dernier a-t-il enterré son « écologie à la française » ? Agriculture et ambition écologique sont-elles fondamentalement inconciliables ? Nos invités en débattent. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 5 février 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 05/02/2024 « Capital et race » de l'historienne Sylvie Laurent : le capitalisme est-il forcément raciste ? « Sans en être directement le produit à la manière de la classe, la race s'est manifestée dans l'histoire comme l'une des infrastructures essentielles du capitalisme ». Historienne et américaniste, Sylvie Laurent commence sa carrière dans un lycée technologique de l'Oise, avant de reprendre des études de littérature française. Les attentats du 11 septembre 2001 sont un tournant : elle s'oriente alors vers le cycle d'études américaines de Sciences Po et fait sa thèse sur le « white trash » (le « pauvre blanc ») au département d'études afro-américaines d'Harvard. Elle publie « Capital et race. Histoire d'une hydre moderne » aux éditions du Seuil, qui retrace l'histoire du « capitalisme racial » et articule la pensée de Karl Marx à celle de Martin Luther King. Un essai à la jonction de l'histoire, de la philosophie, de la sociologie et de la littérature. La crise agricole a-t-elle enterré et sacrifié notre ambition écologique ? « Contre-révolution écologique », « recul historique », « écologie en jachère »… Les réactions ne manquent pas pour qualifier les annonces de Gabriel Attal jeudi sur la crise agricole. En cause : la suspension du plan « Ecophyto 2030 » visant à réduire de 50 % l'usage des pesticides, qui s'ajoute au renoncement de la hausse des taxes sur le gazole non routier (GNR) annoncé en début de semaine. Si ces décisions ont contenté la FNSEA — et permis la levée des blocages — les ONG environnementales contestent et dénoncent « une régression vertigineuse ». Pour le gouvernement, il s'agit de « sortir de l'écologie punitive » pour privilégier une « écologie des solutions », plus en phase avec les besoins des agriculteurs. Ce dernier a-t-il enterré son « écologie à la française » ? Agriculture et ambition écologique sont-elles fondamentalement inconciliables ? Nos invités en débattent. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Marie Bonnisseau ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 5 février 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
durée : 00:05:32 - Le journal des bonnes nouvelles - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Valérie Pécresse a fait voter une subvention de 900 000 euros en faveur du Lycée Stanislas, pourtant au cœur de plusieurs polémiques, tandis que le gouvernement va stopper le plan Ecophyto, qui limite l'utilisation des pesticides, et que le parti LR déménage dans un bâtiment... 5 fois plus petit.
durée : 00:05:32 - Le journal des bonnes nouvelles - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Valérie Pécresse a fait voter une subvention de 900 000 euros en faveur du Lycée Stanislas, pourtant au cœur de plusieurs polémiques, tandis que le gouvernement va stopper le plan Ecophyto, qui limite l'utilisation des pesticides, et que le parti LR déménage dans un bâtiment... 5 fois plus petit.
durée : 00:05:32 - Le journal des bonnes nouvelles - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Valérie Pécresse a fait voter une subvention de 900 000 euros en faveur du Lycée Stanislas, pourtant au cœur de plusieurs polémiques, tandis que le gouvernement va stopper le plan Ecophyto, qui limite l'utilisation des pesticides, et que le parti LR déménage dans un bâtiment... 5 fois plus petit.
C dans l'air du 3 février : Normes, bureaucratie... le coup de balai ? « La folie des normes ». Depuis le début de leur mouvement, les agriculteurs dénoncent les normes qui les accablent et les contrôles à répétition qu'ils subissent sur leurs exploitations. Un ras-le-bol qui semble avoir été entendu par le gouvernement. Le Premier ministre, Gabriel Attal, a assuré hier mettre fin à la surtransposition des normes européennes, tandis que son ministre de l'Agriculture, Marc Fesneau, a annoncé la mise sur « pause» du plan Ecophyto. Le plan Ecophyto, qui vise depuis 2008 à réduire de 50% l'utilisation des produits phytopharmaceutiques en 10 ans, s'est déjà vu plusieurs fois modifié, faute d'objectifs atteignables. Avec sa mise en pause, certains élus de gauche craignent la possibilité d'un bond en arrière. « Le mouvement des agriculteurs revendiquait des revenus décents, le gouvernement répond par un droit à polluer », s'indigne, sur X, le socialiste Olivier Faure. « On est dans un moment d'anéantissement de la biodiversité et le gouvernement présente les normes environnementales comme de la tracasserie administrative ! », déplore de son côté députée écologiste, Sandrine Rousseau. Autre point de mécontentement agricole : la filière bio qui, depuis 2 ans, traverse de nombreuses turbulences, entre la baisse de la consommation bio, la baisse des prix, les aléas climatiques, et la concurrence de nouveaux labels. Si certains restent optimistes, d'autres abandonnent pour revenir aux produits phytosanitaires. Pour répondre à cette difficulté, le Premier Ministre Gabriel Attal a prévu une aide d'urgence de 50 millions d'euros pour l'agriculture biologique. Une enveloppe jugée insuffisante par beaucoup. Il y aurait-il un deux poids, deux mesures concernant les normes ? C'est que qu'insinue une enquête récente du Monde et de Radio France concernant certains industriels d'eau en bouteille. Au moins un tiers des marques françaises utiliseraient en effet des traitements interdits par la réglementation. Des pratiques que le gouvernement aurait tenté de gérer « avec la plus grande discrétion » au lieu d'en informer la Commission européenne. Alors, Gabriel Attal a-il cédé sur l'environnement pour éteindre la colère agricole ? Comment le gouvernement peut-il sauver la filière bio ? Les normes sont-elle réellement respectées par les industriels ? LES EXPERTS : - Frédéric Denhez - Journaliste Spécialiste des questions environnementales, chroniqueur à Marianne - Audrey Goutard - Grand reporter, spécialiste des faits de société à France Télévisions - Emilie Torgemen - Journaliste chargée des questions d'environnement au Parisien-Aujourd'hui en France - Nicolas Bouzou - Economiste, directeur et fondateur du cabinet de conseil Asterès
durée : 00:55:49 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Jean-François Achilli et Bérengère Bonte, les informés débattent de l'actualité du vendredi 2 février 2024.
durée : 00:14:09 - Journal de 7 h - Retour dans cette édition sur les annonces de Gabriel Attal ce jeudi qui semblent avoir calmé l'essentiel des agriculteurs mobilisés sur les barrages. Principale victimes de mesures annoncées : l'écologie, avec l'abandon du plan Ecophyto.
durée : 00:14:09 - Journal de 7 h - Retour dans cette édition sur les annonces de Gabriel Attal ce jeudi qui semblent avoir calmé l'essentiel des agriculteurs mobilisés sur les barrages. Principale victimes de mesures annoncées : l'écologie, avec l'abandon du plan Ecophyto.
durée : 00:07:44 - 18h20 franceinfo - Julien Bayou regrette notamment la décision du gouvernement de mettre le plan Ecophyto en pause.
Gabriel Attal a annoncé mettre à l'arrêt le plan Ecophyto, censé réduire l'usage de pesticides. Une bonne nouvelle pour les agriculteurs mais une mauvaise pour les écologistes. Pourquoi faire une pause sur ce plan? On pose la question à François Pitrel, journaliste environnement et climat à BFMTV.
C dans l'air du 1er février : Crise agricole : c'est fini ? Après des mois de négociation, les Vingt-Sept réunis ce jeudi à Bruxelles sont finalement parvenus à un accord pour une aide militaire de 50 milliards à l'Ukraine. Demandée avec insistance par Volodymyr Zelensky, dont le pays continue d'être bombardé par l'armée de Vladimir Poutine, ce soutien était conditionné à la levée du veto du Premier ministre hongrois Viktor Orban. Le leader populiste, seul parmi les Vingt-Sept à avoir maintenu des liens étroits avec Moscou après le lancement de l'invasion de l'Ukraine il y a près de deux ans, avait suscité la colère et l'exaspération de ses homologues en décembre dernier, lorsqu'il s'était opposé à cette aide cruciale pour l'Ukraine. Incluse dans une rallonge au budget de l'UE jusqu'en 2027, cette aide permettra de maintenir à flot l'économie du pays, au moment où le soutien financier à Kiev est toujours l'objet d'un bras de fer au Congrès américain. Mais si cette question est désormais résolue en Europe, une autre crise s'est invitée à Bruxelles ce jeudi, celle du monde agricole. Les aides dégagées mercredi par le gouvernement français comme les concessions de la Commission européenne – flexibilité sur la question des jachères et rétablissement des droits de douane sur les produits agricoles ukrainiens s'il s'avère qu'ils bousculent trop nos marchés - n'ont pas semblé trouver grâce aux yeux de la profession, toujours mobilisée en France, Italie, Espagne et Allemagne. Des centaines de tracteurs ont convergé ce jeudi dans la capitale belge pour se faire entendre. Depuis le début du mouvement des agriculteurs, certains dénoncent une "concurrence déloyale" des pays étrangers, notamment des produits ukrainiens. La levée des droits de douanes par Bruxelles au début de la guerre contre la Russie en 2022 pour soutenir le régime ukrainien sont pointés du doigts par les acteurs du secteur, et depuis plusieurs semaines la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie, la Bulgarie ou la Roumanie, en premières lignes du fait de leur proximité avec l'Ukraine, font pression sur la Commission pour mettre en œuvre des mesures de protection. Parallèlement, en France les blocages continuent et le Premier ministre a fait de nouvelles annonces. Gabriel Attal a notamment promis une aide de 150 millions d'euros pour les éleveurs dès cet été. Le plan "Ecophyto", visant à réduire l'usage des pesticides, est également mis en pause. Bruno Le Maire a de son côté annoncé que les seuils d'exonération seront relevés sur les transmissions des biens agricoles. La FNSEA et les Jeunes agricoles ont appelé à suspendre les blocages. Se dirige-t-on vers la fin des blocages ? L'Ukraine inonde-t-elle vraiment l'Europe de ses produits ? Représente-t-elle une menace pour les agriculteurs français ? Comment l'UE a-t-elle convaincu Viktor Orban de retirer son véto sur l'aide à l'Ukraine ? LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Économiste, directeur de l'Institut de Haute Finance - SYLVIE MATELLY - Économiste, directrice de l'Institut Jacques Delors - MARION VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express - CYRIL GRAZIANI - Chef du service politique – France télévisions
durée : 00:20:16 - Journal de 18h - Les principaux syndicats agricoles appellent à la levée des blocages après les annonces de Gabriel Attal, des mesures économiques au détriment parfois de l'écologie. Le Premier ministre a notamment décidé de mettre en pause le plan "Ecophyto" visant à réduire l'usage des pesticides.
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