POPULARITY
Categories
À l'occasion de la "semaine Green" sur toutes les antennes du Groupe M6, découvrez une compilation des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Yannick Jadot, Sandrine Rousseau ou encore Jean-Marc Jancovici...
À l'occasion de la "semaine Green" sur toutes les antennes du Groupe M6, découvrez une compilation des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Yannick Jadot, Sandrine Rousseau ou encore Jean-Marc Jancovici...
À l'occasion de la "semaine Green" sur toutes les antennes du Groupe M6, découvrez une compilation des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Yannick Jadot, Sandrine Rousseau ou encore Jean-Marc Jancovici...
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Yannick Jadot, Jean-Marc Jancovici ou encore Sandrine Rousseau !
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Yannick Jadot, Jean-Marc Jancovici ou encore Sandrine Rousseau !
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Yannick Jadot, Jean-Marc Jancovici ou encore Sandrine Rousseau !
Nouvel épisode des Indiscrets, votre rendez-vous hebdomadaire sur Le Média, animé par Nils Wilcke. Chaque semaine, il décrypte pour vous les coulisses de la politique française, explorant comment les intrigues du quotidien révèlent les grandes dynamiques du pouvoir. Au sommaire : Entre Emmanuel Macron et son milliardaire français préféré, Bernard Arnault, il y a de l'eau dans le gaz… Il semble loin le temps où Macron faisait l'unanimité parmi les grands patrons. Souvenez vous de Bernard Arnault qui tressait des lauriers au président… À l'occasion de la présentation des résultats de LVMH, cette fois, Bernard Arnault n'a pas retenu ses coups contre la politique économique actuelle. Et le voici qui loue le “vent d'optimisme” venu des États-Unis… alors que Trump est en train d'instaurer un Etat néo-fasciste en menant une chasse aux sorcières contre tous ceux qui ont tenté de s'opposer à lui ou de brider ses ambitions… Le numéro un américain va-t-il voler à Emmanuel Macron ses amis milliardaires. Car en dehors de Bernard Arnault, Xavier Niel ou encore Rodolphe Saadé ont fait le voyage de Washington pour son investiture… Tout est-il fini entre Emmanuel Macron et Gabriel Attal, son ex-Premier ministre ? Les oreilles du président ont dû siffler après l'émission l'Evènement sur France 2, qui a eu lieu mercredi. Attal s'est livré à une démolition en règle de son “grand frère”. Sortez les pop-corns ! Nouvelle guerre des chefs chez les Écologistes. On parle toujours des divisions chez LFI, mais c'est aussi une grande spécialité des écolos, les divisions internes. La preuve avec le psychodrame autour des municipales à Paris. Le principe d'une primaire était accepté par tous pour départager le meilleur candidat mais ça c'était avant. La direction des Écologistes a appelé cette semaine, dans un courrier interne, les militants parisiens à se rassembler derrière la candidature du sénateur et ex-candidat à la présidentielle Yannick Jadot. Et ça ne plaît pas aux autres candidats déclarés. Ambiance ! ▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:24:46 - 8h30 franceinfo - Yannick Jadot, candidat à la Mairie de Paris, était l'invité du “8h30 franceinfo”, vendredi 31 janvier 2025
durée : 00:02:17 - Le brief politique - Le sénateur refuse de se soumettre au processus de désignation interne et demande aux candidats de se ranger derrière sa candidature, la seule à même, selon lui, de rivaliser avec celle de Rachida Dati à droite.
À un peu plus d'un an des élections municipales en France, les appétits s'aiguisent autour de la succession d'Anne Hidalgo à Paris. Si la ministre de la Culture, Rachida Dati, parait en mesure de rassembler la droite et le centre dans la capitale, à gauche, tout est flou. En cause, les rivalités entre les représentants du Nouveau Front Populaire, mais aussi de la concurrence interne chez les écologistes et les socialistes. La mairie de Paris a un nouveau prétendant de poids depuis cette semaine : Yannick Jadot. L'ancien candidat écologiste à l'élection présidentielle a annoncé dans les colonnes du quotidien Le Parisien briguer ce mandat qu'il juge « extraordinaire ». Mais attention, encore faut-il passer l'obstacle de la désignation interne à son parti. Or, quatre autres candidates et candidats se sont déjà déclarés dont deux adjoints à la mairie et la patronne du groupe écologiste au Conseil de Paris. Des personnalités qui ont « des bilans à défendre », juge un haut dirigeant écologiste, contrairement à Yannick Jadot. Celui-ci défend toutefois son initiative en mettant en avant son expérience au sein du Parlement européen ou du Sénat ainsi que ses quarante années de résidence à Paris. « Pas sûr que cela suffise », juge un cadre écologiste parisien, « même avec sa notoriété, le courant que représente Yannick Jadot au sein du parti étant très minoritaire chez les militants » de la capitale.Quels soutiens pour Yannick Jadot ?Mais Yannick Jadot ne s'est sans doute pas lancé dans la bataille sans avoir mesuré l'obstacle. C'est notamment l'analyse qui domine au sein l'équipe d'Emmanuel Grégoire, l'un des deux candidats à l'investiture du parti socialiste. « Il a forcément obtenu des garanties », estime une conseillère, qui hésite toutefois sur la provenance de ce soutien. Yannick Jadot a apposé sa signature parmi la première liste de soutiens à Marine Tondelier qui veut se faire réélire à la tête des écologistes, sans doute un indice. Mais des rumeurs persistantes font état de contacts avancés avec Anne Hidalgo.Une candidature pour l'union de la gauche dès le 1er tourLa maire de Paris a pourtant désigné son dauphin, le sénateur Rémi Féraud. Mais la greffe a du mal à prendre et son rival Emmanuel Grégoire, désormais honni par Anne Hidalgo, s'attend à remporter facilement la primaire interne. Yannick Jadot pourrait donc devenir un recours, avec l'avantage de pouvoir rassembler écologistes et socialistes dès le 1ᵉʳ tour de l'élection. Ce qui éviterait à la gauche de devoir combler au second tour un écart trop important avec la liste d'union de la droite et du centre que devrait mener Rachida Dati. Reste, désormais, à convaincre les écologistes parisiens et tordre le bras aux socialistes pro-Grégoire. Sans compter le fait qu'il faudra aussi surveiller les Insoumis, très ambitieux. Or Yannick Jadot n'a jamais caché son hostilité à tout rapprochement avec le mouvement de la gauche radicale.
Dans cette émission : retour sur la semaine un peu crazy de Donald Trump... Le nouveau locataire de la Maison Blanche a prêté serment lundi, s'en est suivi un déluge de décrets et de réglementations ou de deréglementations.Également dans cette émission, la mairie de Paris : y a-t-il déjà plus de candidats que d'arrondissements dans la capitale ? L'écologiste Yannick Jadot est a son tour sorti du bois cette semaine... On se demande pourquoi Francois Hollande et Jean-Luc Melenchon se detestent autant, si les retraités sont des privilégiés et s'il faut quitter X, le réseau social contrôlé par le milliardaire Elon Musk ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La plateforme HelloQuitteX se présente comme un mouvement « transpartisan et apolitique » visant à offrir aux citoyens des alternatives numériques compatibles avec des démocraties fonctionnelles. Développée en partenariat avec le CNRS, elle facilite la migration des utilisateurs de X.com (anciennement Twitter) vers des réseaux sociaux tels que Bluesky et Mastodon.Depuis plusieurs mois, X.com fait face à un exode progressif. Des personnalités politiques, médias, associations et marques quittent la plateforme, dénonçant sa transformation sous la direction d'Elon Musk. Dernièrement, des figures françaises comme Marine Tondelier ont appelé au départ collectif : « Ce réseau devrait être interdit en Europe. » Roland Lescure, vice-président de l'Assemblée nationale, a également quitté X.com, critiquant un « outil de propagande au service d'une idéologie réactionnaire ». Ce mouvement prend une tournure symbolique ce lundi 20 janvier, date choisie par Yannick Jadot pour fermer son compte, en écho à l'investiture de Donald Trump, allié de Musk. Mediapart, l'université La Sorbonne et Sandrine Rousseau figurent aussi parmi les détracteurs récents de la plateforme.HelloQuitteX propose une solution pratique pour ceux qui se sentent « captifs » de leur audience sur X.com. Son outil de migration numérique permet de transférer automatiquement communautés et followers vers les réseaux alternatifs, à condition que ces derniers aient également migré. Depuis son rachat de Twitter en 2022, Elon Musk a suscité de vives critiques pour sa gestion de la modération des contenus et sa vision controversée de la liberté d'expression. Une tendance qui semble inspirer d'autres géants, comme Mark Zuckerberg avec Meta. Mais pour HelloQuitteX, l'enjeu est clair : permettre à chacun de retrouver des espaces numériques plus éthiques, sans sacrifier son audience. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On reçoit un ancien candidat à l'élection présidentielle qui rêve désormais de succéder à Anne Hidalgo à Paris : Yannick Jadot l'a annoncé lundi. Le sénateur écologiste est notre invité. L'occasion de réagir à la décision de Donald Trump de quitter sur un claquement de doigt les accords de Paris….Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Nos invités du mercredi 22 janvier 2025 : Yannick Jadot, sénateur Écologiste de Paris, candidat à la mairie de Paris, est l'invité de C à Vous. L'épidémie de grippe s'étend en France. On en parle avec le Pr Anne-Claude Crémieux, professeure de maladies infectieuses, présidente de la Commission technique des vaccinations à la Haute Autorité de Santé (HAS).Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, La story de Mohamed Bouhafsi, Le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Les prochaines municipales auront lieu en 2026 et elles se préparent déjà activement. Les choses s'accélèrent à Paris, où Yannick Jadot vient de se déclarer candidat et où il ambitionne une candidature d'union dès le premier tour. Rachida Dati, de son côté, est en passe de réussir à réunir une droite parisienne souvent divisée. Et elle ambitionne d'avoir le soutien des macronistes. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Marie-Bénédicte Allaire du 21 janvier 2025.
Les prochaines municipales auront lieu en 2026 et elles se préparent déjà activement. Les choses s'accélèrent à Paris, où Yannick Jadot vient de se déclarer candidat et où il ambitionne une candidature d'union dès le premier tour. Rachida Dati, de son côté, est en passe de réussir à réunir une droite parisienne souvent divisée. Et elle ambitionne d'avoir le soutien des macronistes. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Marie-Bénédicte Allaire du 21 janvier 2025.
Les prochaines municipales auront lieu en 2026 et elles se préparent déjà activement. Les choses s'accélèrent à Paris, où Yannick Jadot vient de se déclarer candidat et où il ambitionne une candidature d'union dès le premier tour. Rachida Dati, de son côté, est en passe de réussir à réunir une droite parisienne souvent divisée. Et elle ambitionne d'avoir le soutien des macronistes. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Marie-Bénédicte Allaire du 21 janvier 2025.
Les prochaines municipales auront lieu en 2026 et elles se préparent déjà activement. Les choses s'accélèrent à Paris, où Yannick Jadot vient de se déclarer candidat et où il ambitionne une candidature d'union dès le premier tour. Rachida Dati, de son côté, est en passe de réussir à réunir une droite parisienne souvent divisée. Et elle ambitionne d'avoir le soutien des macronistes. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Marie-Bénédicte Allaire du 21 janvier 2025.
Depuis qu'Anne Hidalgo a annoncé qu'elle ne briguerait pas un troisième mandat, chaque composante de la gauche s'est engagée dans une procédure interne pour désigner son propre champion. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les prochaines municipales auront lieu en 2026 et elles se préparent déjà activement. Les choses s'accélèrent à Paris, où Yannick Jadot vient de se déclarer candidat et où il ambitionne une candidature d'union dès le premier tour. Rachida Dati, de son côté, est en passe de réussir à réunir une droite parisienne souvent divisée. Et elle ambitionne d'avoir le soutien des macronistes. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Marie-Bénédicte Allaire du 21 janvier 2025.
Les prochaines municipales auront lieu en 2026 et elles se préparent déjà activement. Les choses s'accélèrent à Paris, où Yannick Jadot vient de se déclarer candidat et où il ambitionne une candidature d'union dès le premier tour. Rachida Dati, de son côté, est en passe de réussir à réunir une droite parisienne souvent divisée. Et elle ambitionne d'avoir le soutien des macronistes. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Marie-Bénédicte Allaire du 21 janvier 2025.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Maire de Paris, Yannick Jadot sera candidat en 2026 Législatives partielles en Isère, le NFP perd un siège Édouard Philippe dit revenir "d'entre les chauves"
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 20/01/2025, il revient sur les nombreuses personnalités qui ont l'intention de quitter le réseau social X (ex-Twitter) détenu par le milliardaire Elon Musk, allié du président élu Donald Trump. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
durée : 00:24:15 - 8h30 franceinfo - Le sénateur EELV de Paris était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 12 décembre.
Le gouvernement de Michel Barnier est tombé mercredi 5 décembre après que la motion de censure du NFP a été adoptée par les députés de la gauche et du RN. Pour en parler, Yannick Jadot, sénateur EELV de Paris. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 05 décembre 2024.
La guerre en Ukraine s'enlise dans une crise plus profonde depuis la déclaration de guerre prononcée le 24 février 2022 par le président russe. En effet, Vladimir Poutine a annoncé ce jeudi 21 novembre 2024 avoir réalisé un nouveau tir de missile en direction de l'Ukraine en réponse aux frappes réalisées avec des missiles occidentaux. Une déclaration qui a également sous-entendu l'élargissement possible de l'emploi de l'arme nucléaire. Doit-on s'inquiéter de cette menace d'utilisation du nucléaire au sein de ce conflit ? Pour Yannick Jadot, sénateur EELV de Paris, invité des 4 vérités ce vendredi 22 novembre 2024 « c'est de la surenchère, Vladimir Poutine a mentionné plus de 100 fois la menace nucléaire », « il n'y a pas véritablement de changement mais il y a une surenchère au moment où on considère qu'il pourrait y avoir des pourparlers, des négociations de paix ». Selon lui, « là où l'Europe ne doit pas faillir c'est dans son soutien à l'Ukraine » alors que Vladimir Poutine « internationalise » le conflit avec les « soldats nord-coréens ». Le dirigeant Russe a pour volonté de poursuivre l'offensive sur le peuple ukrainien, l'Europe doit continuer de « soutenir », « armer » et « sanctionner le régime de Vladimir Poutine ». Il dénonce l'importation de gaz liquéfié par la France et déclare qu'il faudrait se passer du gaz russe afin d'aller au bout des sanctions contre le régime. La gauche française est loin d'être unie sur cette question, en témoignent les propos de Jean-Luc Mélenchon qui a qualifié de « stratégie absurde et criminelle » l'autorisation d'envoi de missile par Joe Biden. Pour le sénateur, « Jean-Luc Mélenchon, sur ce dossier là, s'aligne sur Donald Trump plutôt que sur celles et ceux qui défendent la démocratie en Ukraine et en Europe ». On ne peut pas accuser les Américains de « tous les malheurs du monde » et « faiblir face à l'agression russe c'est remettre en cause la démocratie et l'intégrité de l'Europe ». COP 29, Mercosur, l'écologie défiée Le Mercosur alimente la colère des agriculteurs qui n'a pas faibli cette semaine en témoignent les nombreux barrages dans le sud-ouest. Cet accord de libre-échange entre l'Europe et les pays d'Amérique du sud pourrait-il ne pas aboutir à une signature ? Selon Yannick Jadot, il faut faire preuve de « rationalité politique », un accord qui a été pensé « il y a plus de 20 ans, avant le dérèglement climatique et ses conséquences les plus dramatiques, avant la disparition des paysans » n'a aucun sens. « Les opinions publiques en Europe ne soutiennent pas cet accord », l'élu déclare que l'avenir de l'Europe c'est « nous protéger, avoir une agriculture qui respecte l'environnement, les paysans, qui leur donne un revenu. Protéger l'Amazonie au moment où on voit les terribles conséquences du dérèglement climatique ». L'autre point qui suscite la colère des agriculteurs c'est l'impossibilité d'utiliser des pesticides. Que pense notre invité de ceux qui veulent y recourir ? Yannick Jadot rappelle que les pesticides « c'est un enjeu de santé avec une explosion des cancers », « c'est l'effondrement de la biodiversité ». Il faut arrêter de construire une agriculture qui « produit de la disparition de paysans » et va « contre la nature ». Le sénateur souhaite que le gouvernement cesse d'utiliser l'écologie comme « bouc émissaire » des problèmes agricoles.
durée : 00:10:59 - L'INVITE franceinfo soir - Le sénateur écologiste de Paris, invité de franceinfo soir mercredi, réagit au mouvement des agriculteurs.
Colère des agriculteurs, Mercosur, budget, match France-Israël, gouvernement Michel Barnier... Ecoutez l'interview de Yannick Jadot, sénateur de Paris. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 15 novembre 2024.
Colère des agriculteurs, Mercosur, budget, match France-Israël, gouvernement Michel Barnier... Ecoutez l'interview de Yannick Jadot, sénateur de Paris. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 15 novembre 2024.
durée : 00:16:33 - 8h30 franceinfo - Le sénateur EELV était l'invitée du "8h30 franceinfo", le samedi 9 novembre 2024.
L'émission 28 Minutes du 08/07/2024 La nouvelle Assemblée permet-elle la "clarification" politique espérée ? “Cette Assemblée ne possède aucune majorité constructive possible, c'est la première fois sous la Ve République et [ses] 17 élections législatives que ça se produit. (…) Si le Nouveau front populaire ne fait pas l'effort de réviser son programme, ou de modifier son système d'alliances en son sein, on va se trouver assez vite probablement dans une impasse.” Hier, le second tour des législatives a fait du NFP le premier bloc à l'Assemblée nationale en nombre de députés élus, mais sans majorité absolue. Ensemble et les macronistes arrivent en seconde position, devant le Rassemblement national. Pour Jérôme Jaffré, chercheur associé au Centre de recherches politiques de Sciences Po, ces résultats inédits font peser le risque de l'ingouvernabilité. Le politologue considère qu'il y a désormais une majorité absolue négative, qui peut bloquer la France : “Le Nouveau front populaire plus le Rassemblement national ont une majorité absolue de députés ensemble, qui ne peut pas gouverner la France mais qui peut bloquer toute politique, et si ensemble ils exigent la démission du Président de la République dans les prochaines semaines et dans les prochains mois, la crise politique que nous vivons depuis quelques semaines va continuer.” Jérôme Jaffré est notre invité. Et maintenant, quelle coalition et quel gouvernement pour la France ? Contre toute attente, le “front républicain” a fonctionné dans l'entre-deux tours des législatives, et le RN termine loin de la majorité absolue qu'il rêvait au soir du premier tour. Jordan Bardella ne deviendra pas Premier ministre. Et maintenant ? Aucun des trois grands blocs politiques ne peut prétendre à la majorité absolue. Les macronistes peuvent-ils construire une grande coalition avec une partie du NFP, alors que la France insoumise a perdu sa mainmise sur la gauche selon les résultats d'hier ? Raphaël Glucksmann, eurodéputé Place publique, se dit prêt “à discuter, à dialoguer”, quand Yannick Jadot évoque, lui, des “majorités de projets”. Au contraire, faut-il craindre la "paralysie des institutions” comme l'annonce d'ores et déjà Jordan Bardella ? Emmanuel Macron a fait savoir hier soir qu'il attendra la “structuration” de la nouvelle Assemblée pour “prendre les décisions nécessaires”. Enfin, faut-il se réjouir que l'Assemblée nationale devienne “le cœur battant du pouvoir politique”, comme s'en réjouissent certains à gauche ? On en débat sur le plateau de 28 Minutes. Enfin, retrouvez également les chroniques de Marjorie Adelson et Justin Morin ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 08 juillet 2024 - Présentation : Jean-Mathieu Pernin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 08/07/2024 Et maintenant, quelle coalition et quel gouvernement pour la France ? Contre toute attente, le “front républicain” a fonctionné dans l'entre-deux tours des législatives, et le RN termine loin de la majorité absolue qu'il rêvait au soir du premier tour. Jordan Bardella ne deviendra pas Premier ministre. Et maintenant ? Aucun des trois grands blocs politiques ne peut prétendre à la majorité absolue. Les macronistes peuvent-ils construire une grande coalition avec une partie du NFP, alors que la France insoumise a perdu sa mainmise sur la gauche selon les résultats d'hier ? Raphaël Glucksmann, eurodéputé Place publique, se dit prêt “à discuter, à dialoguer”, quand Yannick Jadot évoque, lui, des “majorités de projets”. Au contraire, faut-il craindre la "paralysie des institutions” comme l'annonce d'ores et déjà Jordan Bardella ? Emmanuel Macron a fait savoir hier soir qu'il attendra la “structuration” de la nouvelle Assemblée pour “prendre les décisions nécessaires”. Enfin, faut-il se réjouir que l'Assemblée nationale devienne “le cœur battant du pouvoir politique”, comme s'en réjouissent certains à gauche ? On en débat sur le plateau de 28 Minutes. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 08 juillet 2024 - Présentation : Jean-Mathieu Pernin - Production : KM, ARTE Radio
Il a fait partie des négociateurs qui ont œuvré à la création du Nouveau Front Populaire : à 10 jours du 1er tour des élections législatives anticipées, Yannick Jadot, sénateur écologiste de Paris, répondait aux questions de Julien Sellier, Isabelle Choquet et Cyprien Cini. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 20 juin 2024.
Au programme : La France va-t-elle sombrer dans le chaos avant les élections ? / Rapprochement Poutine/Kim Jong Un : quels risques pour l'Occident ? / Yannick Jadot se lâche sur Franceinfo. / Des militants pour le climat aspergent le site historique de Stonehenge de peinture orange. / Michel Houellebecq jugé trop offensant par l'intelligence artificielle selon Meta. / Entretien avec le philosophe Michel Onfray !
Il a fait partie des négociateurs qui ont œuvré à la création du Nouveau Front Populaire : à 10 jours du 1er tour des élections législatives anticipées, Yannick Jadot, sénateur écologiste de Paris, répondait aux questions de Julien Sellier, Isabelle Choquet et Cyprien Cini. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 20 juin 2024.
durée : 00:09:45 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - À 7h50, Yannick Jadot, sénateur écologiste de Paris, est l'invité de Sonia Devillers. Il revient sur la volonté de la gauche de constituer un "nouveau front populaire" lors des élections législatives anticipées. - invités : Yannick JADOT - Yannick Jadot : Homme politique, député européen
durée : 02:59:24 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Les invités de la Matinale de France Inter ce mardi 11 juin 2024 sont : Yannick Jadot / Jean-Louis Bourlanges / Jérôme Jaffré x Marc Lazar / Jean Paul Gaultier / Jessica Palud
durée : 00:09:45 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - À 7h50, Yannick Jadot, sénateur écologiste de Paris, est l'invité de Sonia Devillers. Il revient sur la volonté de la gauche de constituer un "nouveau front populaire" lors des élections législatives anticipées. - invités : Yannick JADOT - Yannick Jadot : Homme politique, député européen
Antispécisme et écologisme sont perçus comme des mouvements très proches, qui parlent en partie des mêmes sujets, mais en fait pas toujours de la même manière ni avec les mêmes prismes d'analyse. Je suis convaincu que les deux ont beaucoup à s'apporter, et c'est un sujet qui me tient vraiment à coeur, mais ça demande parfois d'avoir des discussions honnêtes et un peu critiques. C'est le cas de cet épisode, qui vous allez l'entendre n'est pas toujours tendre avec la sphère écolo ; mais c'est fait avec amour, et c'est important de soulever ces critiques, d'autant qu'avec mon invité on a tous les deux la volonté d'ouvrir plus d'espaces de dialogue fructueux et bienveilants sur les rapports entre les deux mouvements. Et cet invité n'est autre que Jean-Marc Gancille, que je reçois à l'occasion de la sortie de son dernier livre *Comment l'humanité se viande. Le véritable impact de l'alimentation carnée* aux éditions Rue de l'Échiquier. Bonne écoute ! ________________________________ Références et sources citées dans l'entretien : - Jean-Marc Gancille - Comment l'humanité se viande. Le véritable impact de l'alimentation carnée - Rapport de la FAO sur la part que représentent l'élevage dans les émissions de gaz à effet de serre - Accord de Paris, et son objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degrés - George Monbiot - Nourrir le monde sans dévorer la planète ? - L'idée de Nature, dont on parle notamment dans cet épisode avec Antoine Dubiau - Confédération paysanne, syndicat agricole important dans les luttes écologistes - Charles Braine, pêcheur militant - Rapport de Sentient Media x Faunalytics sur la (trop faible) part de l'élevage dans le traitement médiatique de la crise climatique - Étude sur l'influence des lobbies de la viande dans les universités états-uniennes - Allan Savory sur l'agriculture régénératrice - Discours de Jean-Luc Mélenchon sur le spécisme - Motion d'EELV pour reconnaître la sentience animale - Marine Tondelier, Benoît Bitaud, Yannick Jadot, membres du parti EELV - Article de Basta sur les méga-bassines, alimentant en grande partie le maïs qui sert à l'élevage - "Manger moins mais mieux de viande", mot d'ordre utilisé aussi bien par les lobbies de la viande (Interbev) que par certaines associations écologistes (Greenpeace et le Réseau Action Climat notamment) - Émission de la Terre au carré avec Jean-Marc Gancille et le Réseau Action Climat sur France Inter - Yves Bonnardel sur l'écologie sentientiste - Hugo Clément qui soutient un petit élevage - Reporterre, le quotidien de l'écologie, dont la ligne éditoriale est désormais plurielle sur la question de l'élevage - Figures de l'écologie qui parlent de spécisme : Fatima Ouassak, Malcom Ferdinand, Antoine Dubiau - Travaux de Romain Espinosa et Nicolas Treich en économie - Avis de tempête, à la fois collectif écologiste et podcast qui parle de spécisme - Révolution écologique pour le Vivant (REV), parti d'écologie radicale et antispéciste - Penseureuses du vivant : Baptiste Morizot, Vinciane Despret, Philippe Descola - Conférence dans laquelle je dénonce le spécisme des penseureuses du vivant - Zoopolis Recommandations de Jean-Marc Gancille : - Bernard Lahire - Les structures fondamentales des sociétés humaines - Laurent Testot - Cataclysmes - Valérie Chansigaud - Histoire de la domestication animale ________________________________ SOUTENIR Comme un poisson dans l'eau est un podcast indépendant et sans publicité : votre soutien est indispensable pour qu'il puisse continuer à exister. Merci d'avance ! Les comptes Instagram, Twitter, Facebook et Mastodon du podcast sont également à retrouver dans le link tree ! ________________________________ CRÉDITS Comme un poisson dans l'eau est un podcast indépendant créé et animé par Victor Duran-Le Peuch. Charte graphique : Ivan Ocaña Générique : Synthwave Vibe par Meydän Musique : Die Historic by Three Chain Links
durée : 02:58:11 - Le 7/10 - Dans le 7/10 du jour : Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos. Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités. Un débat sur l'Ukraine avec Anne Genetet, Laurent Jacobelli et Yannick Jadot. La styliste de mode Marine Serre et Anetha, DJ et productrice de musique.
C dans l'air du 26 février - RN-Macron : la bataille dans les allées du Salon de l'agriculture C'est l'image du week-end. Des agriculteurs chargés par les CRS au milieu des vaches du Salon de l'agriculture. Le passage d'Emmanuel Macron samedi a déclenché leur colère. Face à la cohue, le Président a dû se limiter à un coin du salon et n'a pu débattre qu'avec quelques agriculteurs à qui il a assuré avancer "à fond la caisse" sur la simplification, notamment sur les normes, la grande demande de ces derniers mois. Profitant de cette visite chaotique, le président du Rassemblement national Jordan Bardella n'a pas hésité le lendemain à souffler sur les braises de la colère, à moins de quatre mois des élections européennes. Il estime le chef de l'État atteint d'"une dérive schizophrénique assez inquiétante et dangereuse au regard de sa fonction". Quelques heures plus tôt, Emmanuel Macron a désigné le parti d'extrême droite comme responsable des échauffourées. Le Premier ministre Gabriel Attal a même été envoyé en catastrophe dimanche soir pour reconquérir le terrain et rencontrer des responsables de filières auprès de qui il a défendu le marché unique européen et la Politique agricole commune (PAC). C'est dans cet échange d'attaques ciblées qu'Emmanuel Macron a remis sur la table une proposition émise de longue date par la gauche : celle des prix planchers. Une mesure obligeant les grands groupes agro-alimentaires à prendre en compte les coûts de production inhérents à chaque filière pour leur permettre de ne pas vendre à perte. Les prix planchers "permettront de protéger le revenu agricole et de ne pas céder à toutes les pratiques les plus prédatrices qui aujourd'hui sacrifient nos agriculteurs et leurs revenus", a justifié Emmanuel Macron, samedi au Salon de l'agriculture. Cette mesure devrait s'inscrire dans le futur projet de loi sur le revenu des agriculteurs que le Premier ministre Gabriel Attal s'est engagé à présenter d'ici l'été. Elle n'est pourtant pas nouvelle. En novembre dernier, une proposition de loi déposée par les députés LFI avait été rejetée de justesse, en raison notamment de l'opposition de la majorité présidentielle. "Depuis six ans, nous le réclamons à l'Assemblée nationale (…) C'est le grand choix aujourd'hui", s'est empressé de tweeter sur X, François Ruffin, le député LFI de la Somme. De son côté, la droite dénonce une "très mauvaise idée : il s'agira d'un revenu minimum universel agricole, idée socialiste, et le prix plancher deviendra un prix de marché dans Egalim. Dans la diversité des régions et des exploitations, les écarts vont s'agrandir", a commenté sur le même réseau social Bruno Retailleau, le président du groupe Les Républicains au Sénat. Du côté des syndicats, la question est loin de faire l'unanimité. La FNSEA craint que le prix minimum devienne “un prix plafond pour le revenu des agriculteurs”. Un parti n'a pour l'instant pas réussi à se faire une place dans ce débat. Les Verts, et leur tête de liste pour les européennes, Marie Toussaint, peinent à se faire entendre entre le camp présidentiel et le Rassemblement national. Interrogée sur l'arrivée compliquée d'Emmanuel Macron au Salon de l'agriculture, l'écologiste a estimé qu'il "n'a eu de cesse de marcher sur les parties prenantes, sur le dialogue social, sur les conventions citoyennes qu'il a lui-même mises en place". Marie Toussaint, militante de longue date, députée européenne depuis 2019, encore peu connue du grand . Dans les derniers sondages, les Verts restent au coude à coude avec le Parti socialiste et La France Insoumise entre 7 et 10% des intentions de vote. Le parti espère atteindre le score de 13,5% de Yannick Jadot aux élections européennes de 2019. Mais encore faudra-t-il réussir à apaiser les doutes qui, déjà, s'élèvent en interne. Le gouvernement va-t-il réussir à amadouer les agriculteurs ? Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il cédé sur l'idée des prix planchers ? A 4 mois du scrutin, la campagne des européennes est-elle lancée entre la majorité présidentielle et le Rassemblement national ? LES EXPERTS : - Louis HAUSALTER - Journaliste politique - Le Figaro - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société - Éric FOTTORINO - Écrivain, cofondateur de Zadig et Le 1 Hebdo - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué de l'institut de sondages Ipsos DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:23:07 - 8h30 franceinfo - Le sénateur écologiste de Paris était l'invité du 8h30 franceinfo du lundi 5 février 2024.
C dans l'air du 29 janvier : Agriculteurs : peuvent-ils assiéger Paris ? Un lundi de blocage. Les Jeunes agriculteurs d'Île-de-France et la section locale de la FNSEA ont appelé "au siège de Paris" à partir de ce lundi 29 février, près de deux semaines après le début de la mobilisation du monde agricole. La colère ne retombe pas et les manifestants jugent très insuffisantes les dix mesures annoncées par Gabriel Attal vendredi dernier. Plusieurs centaines de tracteurs ont commencé à converger vers la capitale. Des agriculteurs en route des quatre coins du pays pour rejoindre les huit points de blocage prévus sur les autoroutes qui mènent à Paris. Un siège parti pour tenir alors que les actions se poursuivent également en province autour des grandes surfaces mais aussi sur les routes et autoroutes. L'objectif est clair pour les agriculteurs : se faire entendre et maintenir la pression sur l'exécutif. Le gouvernement de Gabriel Attal, de son côté, promet l'annonce de nouvelles mesures dès ce mardi. En attendant, 15 000 policiers et gendarmes ont été mobilisés ainsi que des blindés positionnés autour de Rungis. Des consignes de "grande modération" ont néanmoins été données aux forces de l'ordre a répété dimanche soir le ministre de l'Intérieur. La consigne globale est de «ne pas intervenir mais accompagner" les mobilisations a précisé Gérald Darmanin qui a fixé une ligne rouge : l'entrée dans "Paris et dans les grandes villes". Une stratégie du maintien de l'ordre qui suscite depuis plusieurs jours de nombreuses réactions alors que le mouvement gagne en importance et que les actions coups de poing se multiplient : incendies devant les préfectures, intrusions dans les hypermarchés et dans des centrales logistiques, un bâtiment en travaux appartenant au ministère de la Transition écologique soufflé par une explosion à Carcassonne, un autre de la Mutualité sociale agricole incendié à Narbonne.... "La stratégie du maintien de l'ordre n'est pas la même quand il s'agit des agriculteurs que lorsqu'il s'agit des ouvriers, des employés, des jeunes et des gilets jaunes". "Il faut arrêter ce deux poids deux mesures", a déclaré la CGT. Une opinion partagée par les autres organisations syndicales mais aussi par des militants et des écologistes qui rappellent que même pour les actions symboliques la sanction est sévère. Le 6 novembre dernier, sept activistes de Greenpeace ont été interpellés, placés en garde à vue durant quarante-huit heures après avoir accroché une banderole sur la façade du ministère de l'Écologie pour dénoncer la "trahison écologique" du gouvernement. Et ce week-end, deux jeunes femmes de "Riposte alimentaire" ont été interpellées et placées en garde à vue après avoir jeté de la soupe sur la vitre blindée protégeant la Joconde au Louvre pour faire entendre leur revendication : "la mise en place d'une sécurité sociale de l'alimentation durable". "C'est quand même étonnant de voir que, dans notre pays, quand on défend l'intérêt général, on est immédiatement sanctionné et quand on défend des intérêts corporatistes – qui sont légitimes aujourd'hui – on n'a pas les mêmes réponses que la FNSEA", a estimé la semaine dernière Yannick Jadot, sénateur écologiste. "On aimerait bénéficier de la même indulgence et pouvoir exprimer notre colère sans se prendre des coups de matraque, sans être gazés et sans finir en procès", a dit, de son côté, le porte-parole d'Attac. Alors pourquoi l'exécutif laisse-t-il faire les agriculteurs ? Quelles sont les revendications du monde agricole ? Se dirige-t-on vers une paralysie de Paris ? Le mouvement peut-il s'étendre à d'autres professions et/ou pays ? A l'heure où le mouvement des agriculteurs se durcit, la mobilisation gagne également nos voisins européens. En Belgique, des premiers blocages ont lieu à la frontière avec la France. Parallèlement, des opérations escargot des taxis ont été menées dans plusieurs grandes villes ce lundi. LES EXPERTS : - DOMINIQUE SEUX - Directeur délégué de la rédaction - Les Echos - EMMANUELLE SOUFFI - Grand reporter au service France - L'Obs - NATHALIE SEGAUNES - Journaliste politique - Le Monde - JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP
Un mandataire neutre et impartial a été désigné pour ce qui concerne le suivi médical d'Alain Delon. Ce sera ce dernier qui sera consulté pour les soins médicaux. S'il estime que les décisions d'Alain Delon ne sont pas bonnes pour lui, qu'elles vont à l'encontre de son intérêt, ce mandataire saisit un juge de la protection qui, lui, va trancher. Si l'on se pose la question de son patrimoine, de son argent, de la vente de ses biens, à ce stade, celui-ci ne change rien. L'idée, c'est de se concentrer sur la santé. Ça commence à être la foire aux idées pour les agriculteurs et c'est un peu comme les magasins dans lesquels on trouve de tout. Éric Ciotti, dit qu'aucun agriculteur ne doit gagner moins de 1 500 euros par mois. Bardella veut prioriser les productions françaises dans les cantines des écoles, collèges et lycées. Yannick Jadot propose d'augmenter l'aide aux petites fermes, de mieux répartir les aides entre les agriculteurs. Marc Fesneau annonce qu'il va appeler à la francisation du produit agricole. Ruth Elkrief attend de voir ce nouveau concept. Un rapport d'Alain Lambert avait évalué le nombre de normes françaises à 400 000. L'Assemblée nationale produit 70 nouvelles lois et des centaines de décrets et d'ordonnances. Pour nous, l'État est au fond le seul dépositaire et garant de l'intérêt général. Du coup, on le sollicite sur tous les sujets pour faire l'arbitre et pour définir la règle. François Lenglet croit que la progression des dépenses publiques dans l'économie concourt aussi à la folie normative, parce qu'on ne peut pas distribuer de l'argent sans contrôler où il va. Greg Abbott, le gouverneur du Texas, aurait installé dans un fleuve des barils entourés de barbelés à des endroits où l'eau est haute et la visibilité basse. Ce qui a poussé des immigrants à se noyer. Des plaintes ont été déposées et c'est à suivre. Pour le Texas, l'idée, c'est d'empêcher les migrants d'arriver, mais là, ils sont hors-la-loi, parce que la loi fédérale autorise les personnes, même entrées illégalement, à déposer une demande d'asile. Le gouvernement américain pourrait fédérer la Garde nationale de l'État. Les Républicains, eux, menacent de guerre civile dans le cas où cela se concrétiserait. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
durée : 00:02:09 - Le vrai ou faux - En plein mouvement de contestation des agriculteurs en France, le sénateur écologiste Yannick Jadot a affirmé sur franceinfo que "un tiers des agriculteurs vivent sous le seuil de pauvreté" et que "deux agriculteurs se suicident par jour". C'est plutôt vrai.
durée : 00:17:54 - 8h30 franceinfo - Le sénateur Europe Ecologie-Les Verts de Paris était l'invité du "8h30 franceinfo" samedi 20 janvier.
durée : 00:05:23 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Europe écologie-les verts ont fait un meeting et en ont profité pour twerker, même Yannick Jadot ! Pour Tanguy, c'est l'annonce de la mort d'un mouvement politique…
C dans l'air du 11 novembre 2023 - Antisémitisme : la marche qui divise 3000 policiers mobilisés. C'est le dispositif de sécurité prévu demain à Paris pour la marche contre l'antisémitisme. Celle-ci s'élancera à 15h aux Invalides pour rejoindre la place Edmond Rostand, près du Sénat. Cette mobilisation a été impulsée par la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et par celui du Sénat, Gérard Larcher. À leurs côtés, seront présentes de nombreuses personnalités politiques, comme Nicolas Sarkozy et François Hollande, ou bien la Première ministre, Élisabeth Borne. Mais ce qui devait être un événement rassembleur ne fait que diviser depuis une semaine. En cause : la participation du Rassemblement national et d'Éric Zemmour. La France insoumise refuse de marcher auprès de l'extrême-droite et participera alors à une autre marche un peu plus tôt à Paris « contre l'antisémitisme, les racismes, l'extrême-droite ». Au-dessus de la mêlée, Emmanuel Macron a lui indiqué ne pas participer à cette marche. Il y sera toutefois « par le cœur et la pensée ». Le chef de l'Etat a par ailleurs clairement appelé Israël a un cessez-le-feu. Pendant ce temps, rien ne va plus à la Nupes. Si Fabien Roussel ou Yannick Jadot ont déjà acté la fin de cette union de la gauche, l'alliance n'est pas encore officiellement morte. Mais La France insoumise, pilier central du mouvement, vacille aussi avec de fortes divisions internes entre la garde rapprochée de Jean-Luc Mélenchon et les « frondeurs » comme Clémentine Autain, François Ruffin ou encore Raquel Garrido. Cette dernière s'est d'ailleurs vu sanctionnée de quatre mois de mise en retrait pour ses divergences avec Jean-Luc Mélenchon. Enfin, C dans l'air s'est rendu dans la ville de Jaffa, en Israël, une ville prospère où Arabes et juifs israéliens tentent de faire régner le vivre ensemble malgré la guerre. Alors, quelle sera l'ampleur de la marche contre l'antisémitisme ? Comment La France insoumise va-t-elle gérer les contestations internes ? La guerre à Gaza remet-il en cause le vivre ensemble à Jaffa ? LES EXPERTS : - Gilles BORNSTEIN - Editorialiste politique – France Televisions - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra - ÈVE ROGER - Journaliste, spécialiste des questions de société - CHLOÉ MORIN - Politologue, auteure de « On a les politiques qu'on mérite »
C dans l'air du 14 août - Darmanin, Le Maire, Philippe... Qui pour succéder à Macron ? LES EXPERTS : - YVES THRÉARD - Éditorialiste - Directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » - RACHEL GARRAT-VALCARCEL - Journaliste politique à 20 Minutes - JEAN-JÉRÔME BERTOLUS - Chef du service politique de France Info - JEAN GARRIGUES - Historien - Président du Comité d'histoire parlementaire et politique "Ce qui m'inquiète maintenant, c'est ce qui se passera en 2027". La phrase est signée Gérald Darmanin. Le ministre de l'intérieur se confie aujourd'hui dans les colonnes au Figaro. Si le locataire de la place Beauvau ne faisait pas grand mystère de ses ambitions, elles sont désormais clairement affirmées. Après l'échec de son opération pour prendre Matignon lors du dernier remaniement, il se tourne vers l'avenir. Il fera sa rentrée politique à l'occasion d'une réunion organisée dans son fief de Tourcoing le 27 août. Mais Gérald Darmanin n'est pas le seul à prétendre à l'Elysée au sein de la macronie. Plus discret, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, avance, lui aussi, ses pions. Il fera lui sa rentrée dans une entreprise de Haute-Savoie, trois jours avant le grand raout de son collègue du gouvernement. Depuis Brégançon, où il prend ses vacances, Emmanuel Macron observe ce bal des prétendants. Le président de la République a évoqué fin juillet la possibilité que son ancien Premier ministre Édouard Philippe puisse "prendre le relais" à l'Élysée en 2027. Interviewée sur BFMTV quelques jours plus tard, Élisabeth Borne avait quant à elle loué les "grandes qualités d'homme d'État" du maire du Havre. Mais Edouard Philippe a-t-il été adoubé ou piégé ? Cette petite phrase le présentant comme un héritier pourrait finalement avoir gêné le maire du Havre, qui cherche au contraire à se distinguer d'Emmanuel Macron. Parmi les possibles successeurs, Jean Castex, l'ancien premier ministre, aujourd'hui à la tête de la RATP, apparaît aux yeux d'Emmanuel Macron et de plusieurs ministres comme un recours possible. Ce dernier assure de son côté ne pas se préparer pour concourir au prochain scrutin. A gauche de l'échiquier politique, EELV savoure sa victoire face au ministre de l'Intérieur. Vendredi le Conseil d'État a en effet infligé un camouflet à Gérald Darmanin en suspendant la dissolution du mouvement écologiste les "Soulèvements de la Terre". Le collectif écologiste avait été dissous le 21 juin. Cette suspension n'est que temporaire, le Conseil d'Etat doit encore se prononcer sur le fond du dossier. Marine Tondelier, la patronne des écologistes, insiste sur le fait que le locataire de la place Beauvau "avait tort". Elle fustige un ministre qui "mélange ses outils juridiques - le droit qu'il doit faire valoir dans ce pays - et ses opinions politiques". Son parti affronte une importante polémique depuis l'invitation du rappeur Médine à ses journées d'été. Ce dernier est en effet régulièrement accusé d'antisémitisme et d'homophobie. Face aux critiques, Marine Tondelier persiste et signe. Elle souligne le parcours d'une personnalité qui a "ouvert les yeux sur ses erreurs" au fil des années et assure avoir des "échanges assez francs" avec le rappeur. La secrétaire nationale d'EELV se serait sans doute passée de cette séquence. Elle doit en effet relever un lourd pari : faire mieux que la liste emmenée par Yannick Jadot au élections européennes de 2019, qui était arrivée en troisième position avec 13,5 % des suffrages. Les militants du parti ont plébiscité le principe d'une liste autonome pour le scrutin, qui aura lieu e 2024. Après les communistes, les écologistes ont donc désigné leur cheffe de file. La perspective d'une liste commune de la gauche, souhaitée par La France insoumise, s'éloigne encore un peu plus. Le parti fondé par Jean-Luc Mélenchon est le seul à poursuivre la tradition des caravanes populaires estivales. Ses militants vont de ville en ville, de plage en plage, à la rencontre des électeurs. Le principal adversaire est désigné : l'abstension. Ils disent lutter contre la résignation et vont chercher des gens qui votent peu pour essayer de les convaincre de rallier leur cause. Une campagne permanente. Un véritable travail de fourmi. A Carpentras, dans le Vaucluse, où une équipe de C dans l'air les a recontrés, l'objectif est de reconquérir un électorat populaire, parti chez le RN. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Maya Lauqué - Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 29 juin : Emeutes : le spectre de 2005 LES EXPERTS : - DAMIEN DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice Le Parisien - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique – France Télévisions - VANESSA SCHNEIDER - Grand reporter – Le Monde - FABIEN JOBARD - Sociologue spécialisé sur les questions de police et de justice – CNRS, auteur de "Politiques du désordre" - FLORIAN BERCAULT (en duplex) - Maire de Laval Des tensions ont éclaté en marge de la marche blanche organisée cet après-midi à Nanterre à l'appel de la mère de Nahel, le jeune garçon de 17 ans, tué par le tir d'un policier, au volant d'une voiture avant-hier dans la ville. Une vidéo de la scène, dans laquelle on voit le brigadier tirer sur l'adolescent, a suscité beaucoup de colère. Lors des deux nuits qui ont suivi, et en particulier la nuit dernière, des émeutes ont éclaté dans plusieurs villes de France. Incendies, tirs de mortier, affrontements avec la police… Sur les réseaux sociaux, une surenchère de scènes filmées aux quatre coins de France. La violence est montée d'un cran en banlieue parisienne et bien au-delà. Des bus, tramways et véhicules ont brûlé, des commissariats et des mairies ont été ciblés, des bâtiments ont été incendiés, des commerces pillés, et la prison de Fresnes attaquée. Une cellule interministérielle de crise a été convoquée ce matin place Beauvau par Emmanuel Macron qui a dénoncé "des scènes de violences" contre "les institutions et la République" "injustifiables". La Première ministre qui a annulé un déplacement en Vendée a également insisté sur le fait que "rien ne justifie les violences qui se sont produites cette nuit". "Ce sont des réactions qui attaquent la République. Mais ce n'est pas la République qui est en garde à vue, ce n'est pas la République qui a tué ce jeune homme. C'est un homme qui doit être jugé si la justice l'estime nécessaire" a également déclaré ce matin le porte-parole du gouvernement. Peu après le procureur de la République de Nanterre a annoncé avoir requis le placement en détention provisoire du policier auteur du tir qui a causé la mort de l'adolescent. "En l'état des investigations, le parquet considère que les conditions légales d'usage de l'arme ne sont pas réunies", a précisé Pascal Prache lors d'une conférence de presse. Le fonctionnaire a été déféré devant deux magistrats à l'issue de sa garde à vue ce jeudi. Gérald Darmanin a de son côté demandé "au préfet de police de suspendre administrativement le policier". Parallèlement les réactions politiques se multiplient. "La Justice avance. L'assassin reste sous son contrôle. La politique doit suivre. La loi "permis de tuer" de l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve doit être abrogée" a écrit Jean-Luc Mélenchon. La France Insoumise a indiqué avoir déposé dans ce sens une proposition de loi à l'Assemblée nationale afin de faire abroger la loi de 2017 encadrant l'utilisation des armes à feu par les policiers. Selon Mathilde Panot, "Depuis 2017, les tirs mortels sur des véhicules en mouvement ont été multipliés par 5. Ces meurtres doivent cesser", écrit-elle. Chez EELV, après la secrétaire nationale Marine Tondelier, Yannick Jadot a dénoncé lui aussi une "américanisation" de la police "au sens où les policiers peuvent se faire justice eux-mêmes". Evoquant une IGPN aujourd'hui "pas indépendante", Il a dit souhaiter "qu'elle ne relève plus du ministère de l'Intérieur". De l'autre côté de l'échiquier politique, la nuit dernière émaillée de nombreux incidents contre des infrastructures publiques, inquiète la droite et l'extrême droite au point de réclamer l'état d'urgence. "Mairies et commissariats attaqués, destruction du mobilier urbain, vol de matériel aux forces de l'ordre, tramway incendié… C'est le bilan d'une nuit d'émeutes et de saccages qui coûteront des millions d'euros", a déploré dans un communiqué le président du parti Les Républicains, Eric Ciotti."Je demande le déclenchement sans délai de l'état d'urgence partout où des incendies ont éclaté", a-t-il ajouté. Eric Zemmour, à l'unisson, a également réclamé "la mise en place de l'état d'urgence dès ce soir", dans un tweet publié ce jeudi matin. L'état d'urgence est un régime d'exception controversé qui doit être déclaré par décret pris en Conseil des ministres. Il résulte d'une loi votée en 1955, au commencement de la guerre d'Algérie. Il possède une durée initiale de douze jours, mais peut être prolongé par une loi votée au Parlement. L'objectif étant de renforcer les pouvoirs des autorités civiles tout en restreignant certaines libertés publiques ou individuelles. Du fait de la nature exceptionnelle de l'état d'urgence, il n'a été déclaré que peu de fois depuis 1955 : trois fois pendant la guerre d'Algérie, une fois en 1984 lors des événements en Nouvelle-Calédonie, lors des révoltes de 2005 après la mort de Zyed et Bouna, et en 2015, après les attentats terroristes à Paris et Saint-Denis. La dernière fois que l'état d'urgence a été déclaré, il était sanitaire, lors de la pandémie de Covid-19. Pour le moment le gouvernement a décidé de ne pas déclencher l'état d'urgence mais il mobilise 40.000 membres des forces de l'ordre cette nuit. Elisabeth Borne a également appelé à "éviter toute escalade" dans les violences. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/