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durée : 00:24:53 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Yannick Jadot, eurodéputé EELV, était l'invité du Grand entretien de France Inter ce mardi. Il dénonce le "mépris" d'Emmanuel Macron sur la réforme des retraites et parle de "dérive illibérale". L'eurodéputé reproche aussi à l'exécutif "un déni de l'urgence environnementale". - invités : Frédéric GROS - Frédéric Gros : Philosophe, essayiste, professeur de pensée politique à Sciences-po Paris
durée : 02:29:06 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Stephanie BOUTONNAT - Sylvie Testud, réalisatrice, du téléfilm Maman, ne me laisse pas m'endormir, Juliette Boudre, auteure de Maman, ne me laisse pas m'endormir (L'Observatoire), Yannick Jadot, eurodéputé EELV, et Elisa Rojas, avocate en droit du travail, sont les invités de la matinale.
CLIMAT : L'ALERTE DU DERNIER RAPORT DU GIEC ! YANNICK JADOT Député européen EELV C'est la fin d'un cycle lancé en 2015. Aujourd'hui, la publication d'une synthèse sur le changement climatique va conclure le 6e cycle de travail des experts du Giec. Pour le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, "les dirigeants ont besoin d'une orientation scientifique solide, franche et détaillée pour prendre les bonnes décisions et accélérer la sortie des énergies fossiles et la réduction des émissions". Au cours des 8 dernières années, les experts du Giec ont planché sur trois rapports spéciaux, consacrés à des thématiques précises : l'impact d'un réchauffement mondial de 1,5 °C, sur les océans et le monde des glaces et sur les sols de la planète. Ainsi que sur un rapport d'évaluation sur l'évolution du changement climatique, sur ses conséquences et sur les solutions. Dans leur synthèse, les experts du Giec rappellent qu'il existe de "multiples options réalisables et efficaces" pour réduire notamment les émissions de gaz à effet de serre et celles-ci "sont disponibles maintenant". Selon eux, "cinq ans plus tard, ce défi est devenu encore plus grand en raison d'une augmentation continue des émissions de gaz à effet de serre". Pour Hoesung Lee, le président du Giec, "ce rapport de synthèse souligne l'urgence de prendre des mesures plus ambitieuses". Les émissions diffèrent fortement selon les revenus : 10 % des ménages les plus riches sont responsables de 40 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Mais “toutes les régions du monde” sont déjà affectées par des dérèglements rapides, “sans précédent” et grandissants. En 2022, les émissions de CO2 des énergies ont crû de 0,9 %, pour atteindre un record de plus de 36,8 milliards de tonnes. Mais selon l'AIE, 550 millions de tonnes de CO2 ont aussi été évitées par les infrastructures nouvelles d'énergies bas carbone. Mais l'Asie, quant à elle, a vu ses émissions croître de 4,2 %, tirées par sa croissance économique. Alors que les signataires de l'accord de Paris se sont engagés à contenir le réchauffement bien en dessous de 2°C et, si possible, à 1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle, cet objectif semble s'éloigner. En l'état des engagements climatiques pris par les Etats, nous nous dirigeons actuellement plutôt vers un monde à +3 degrés d'ici à la fin du siècle… Yannick Jadot reviendra sur le rapport de synthèse du Giec, initié en 2015.
durée : 00:03:48 - Le journal de presque 17h17 - Hier les députés ont voté contre le repas à 1 euro pour les étudiants, les Députés socialistes ont fait adopter un texte sur la nationalisation d'EDF sans démantèlement, contre l'avis du Gouvernement, et Yannick Jadot sera candidat aux sénatoriales à Paris en septembre 2023, c'est l'actu du jour !
Le "plan chasse" a été dévoilé par le gouvernement ce lundi 9 janvier à la mi-journée. Au menu : interdiction de la pratique sous emprise de l'alcool, formation aux armes obligatoire d'ici à 2029 et une plateforme de localisation des chasseurs. Pour Yannick Jadot, c'est insuffisant.
durée : 00:02:13 - Le vrai du faux - L'eurodéputé écologiste Yannick Jadot a plaidé sur franceinfo "pour la réintégration de ces critères", supprimés, dit-il, par le chef de l'Etat.
durée : 00:25:33 - 8h30 franceinfo - Le député européen EELV était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 5 janvier 2023.
EXPERTS CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » GEORGE MALBRUNOT Grand reporter spécialiste du Moyen-Orient – « Le Figaro » Auteur de « Qatar Papers » VANESSA RATIGNIER Journaliste – « Marianne » Auteure de « Une France sous influence » JEAN-DOMINIQUE GIULIANI Président de la Fondation Robert Schuman Auteur de « Européen sans complexe » ISABELLE ORY – En direct de Bruxelles Correspondante à Bruxelles « L'Express » et « Radio Télévision Suisse » Scandale au Parlement européen. Depuis vendredi, une affaire de corruption présumée ébranle le coeur de la démocratie européenne, après des perquisitions menées aux domiciles de parlementaires et quatre arrestations dont un ancien élu italien et l'une des 14 vice-présidentes du Parlement, la socialiste grecque Eva Kaili, déchue depuis de ses fonctions pour « faute grave ». Ces derniers sont soupçonnés par la police belge d'avoir favorisé le Qatar dans les décisions de l'UE, en échange de gros versements financiers. Les sommes saisies au cours des perquisitions réalisées sont spectaculaires : « 600.000 euros au domicile de l'un des suspects, plusieurs centaines de milliers d'euros dans une valise dans une chambre d'un hôtel bruxellois et 150.000 euros environ dans un appartement appartenant à un député européen », selon le décompte du parquet fédéral. « La démocratie européenne est attaquée » a lancé lundi la présidente du Parlement européen avant de promettre de réformer l'institution. Il s'agit de « voir qui a accès à nos locaux, comment ces organisations, ONG et personnes sont financées, quels liens ils entretiennent avec des pays tiers. Nous demanderons plus de transparence sur les réunions avec des acteurs étrangers » a-t-elle expliqué. « Ces allégations sont extrêmement préoccupantes. C'est une question de confiance dans les personnes au coeur de nos institutions », a réagi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, rappelant avoir proposé la création d'une « autorité indépendante » sur les questions d'éthique. De son côté, le Qatar a démenti être impliqué dans des tentatives de corruption. « Toute allégation de mauvaise conduite de la part de l'Etat du Qatar relève d'informations gravement erronées », a affirmé samedi un responsable du gouvernement qatari. Hasard ou pas du calendrier, le Parlement européen devait se pencher sur la facilitation des visas pour le Koweït et le Qatar. Le sujet a été retiré de l'ordre du jour. Et le débat prévu mercredi sur « la défense des démocraties contre l'ingérence étrangère » promet d'être agité. Alors le Qatar a-t-il payé des membres du Parlement européen pour obtenir des faveurs ? L'accusation est grave. Elle tombe en pleine Coupe du monde de football et elle relance les critiques de l'opposition dans l'hexagone sur la présence d'Emmanuel Macron dans le pays mercredi soir. Le chef de l'Etat entend se rendre dans l'émirat pour assister à la demi-finale et « soutenir les Bleus » face au Maroc. Manuel Bompard de LFI et l'écologiste Yannick Jadot lui ont de nouveau demandé de ne pas aller au Qatar « apporter sa caution politique ». « Il s'agit de soutenir les Bleus dans ce qui sera un moment important du sport français et de l'amitié franco-marocaine » a fait savoir l'Elysée. Dès avant le début du Mondial, le chef de l'Etat avait annoncé sa présence pour la demi-finale ou la finale en cas de qualification des Bleus. Un engagement qui depuis le début fait polémique en raison des conditions de vie terribles des travailleurs migrants, l'impact sur l'environnement de ce Mondial et la place des femmes et minorités au Qatar. Il avait alors déjà appelé à ne « pas politiser » le sport, ajoutant que ces « questions-là, il faut se les poser quand on attribue l'événement ». Une attribution depuis 2010 sous le feu des critiques mais aussi au coeur de plusieurs affaires judiciaires. Documentés par une enquête interne de la Fifa, les soupçons d'achats de voix lors du vote du 2 décembre 2010 ont justifié une plainte fin 2014 auprès de la justice suisse, qui enquête depuis mai 2015 pour « blanchiment d'argent et gestion déloyale ». Parallèlement, en France une information judiciaire a été ouverte par le parquet national financier (PNF) en 2019 notamment pour « corruption active et passive ». La justice française s'intéresse en particulier à une réunion tenue le 23 novembre 2010 à l'Elysée entre Nicolas Sarkozy, alors président de la République, deux hauts dirigeants qatariens et Michel Platini, à l'époque patron de l'UEFA. À ce sujet, Sepp Blatter, l'ancien président de la FIFA, a été entendu comme « témoin » par les enquêteurs français en novembre 2021. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Marion Calais et Julien Sellier du 12 décembre 2022
Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Marion Calais et Julien Sellier du 12 décembre 2022
Lors du congrès d'EELV samedi, les adhérents ont élu Marine Tondelier comme nouvelle cheffe du parti. Pour Alba Ventura, c'est un échec pour Yannick Jadot et Sandrine Rousseau.
durée : 00:02:44 - Le brief politique - Nous sommes à quatre ans des prochaines municipales. Mais si 2026, c'est loin, à Paris, certains s'imaginent déjà à l'Hôtel de Ville... Le brief politique de Jean-Rémi Baudot.
Et s'il y avait plusieurs écoféminismes? Mouvement en vogue, porté notamment par des figures politiques et médiatiques, l'écoféminisme suscite curiosités et interrogations, tant ses représentations peuvent prendre des formes diverses, incarnées par des idéologies différentes. C'est le constat de Myriam Bahaffou, écoféministe, chercheuse en philosophie féministe et autrice des paillettes sur le compost, écoféminismes au quotidien, invitée par Le Média. L'écoféminisme est revenu sur le devant de la scène et intrigue. Mouvement pluriel, à l'intersection entre écologie et féminisme, qui affirme un lien étroit entre ces mondes, est même devenu un objet de campagne électorale. Lors des élections de 2022, et avant lors des primaires écologistes, l'écoféminisme était porté en étendard par plusieurs candidates, revendiquée aujourd'hui par des députées à l'Assemblée Nationale. La médiatisation de Sandrine Rousseau et de Delphine Batho, deux députées qui ont talonnées Yannick Jadot lors de la primaire des écologistes en 2021, ont remis au goût du jour l'écoféminisme. Mais ce n'est certainement pas du goût de toutes les écoféministes, notamment de Myriam Bahaffou. Cette dernière est chercheuse en philosophie féministe et a publiée en octobre 2022 Des paillettes sur le compost, écoféminismes au quotidien, aux éditions le passager clandestin. Son livre aborde une écologie et un féminisme aux intersections du véganisme, des luttes décoloniales, queers et anti-validismes, mais aussi loin des jeux de pouvoir institutionnel. ▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:25:36 - 8h30 franceinfo - Le député européen écologiste Yannick Jadot était l'invité du 8.30 franceinfo le lundi 7 novembre 2022.
EXPERTS CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » CHLOÉ MORIN Politologue Auteure de « On a les politiques qu'on mérite » CAROLINE MICHEL-AGUIRRE Grand reporter au service politique - « L'Obs » MARC LOMAZZI Journaliste Auteur de « Ultra Ecologicus » Au moins 4 000 manifestants se sont rassemblés à Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres, le week-end dernier pour s'opposer à la construction d'une mégabassine. L'événement a été marqué par de violents heurts, blessant une soixantaine de gendarmes et une trentaine de manifestants ainsi que par des interpellations. Le projet continue de faire débat. Au sein de l'exécutif, le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin a annoncé que 1 000 gendarmes allaient rester sur place afin « qu'aucune Zad ne s'installe » sur les lieux. Il a également créé une polémique en parlant de « l'écoterrorisme » dont ont d'après lui fait preuve une partie des manifestants : « une quarantaine de fichés S, de l'ultra gauche radicalisée (…) qui veulent le désordre et le chaos ». Mais pour les militants, ces réservoirs agricoles sont de véritables aberrations écologiques et représentent un "accaparement de l'eau" par l'agro-industrie. Ces immenses bassines de rétention doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. Problème selon les activistes, elles sont remplies en pompant les nappes phréatiques et entrainent une grande déperdition de la ressource. L'été, les agriculteurs ne peuvent en effet pas récupérer toute l'eau stockée car 20 à 50 % du volume s'évapore sous l'effet de la chaleur. En dépit des revendications des écologistes et de certains agriculteurs, ces bassines se multiplient. Dans les Deux-Sèvres, seize sont actuellement en construction, notamment pour faire face, selon leurs défenseurs, au besoin grandissant d'irrigation en période de canicule. Très opposée à ces infrastructures, la députée EELV-NUPES Sandrine Rousseau, s'est à nouveau trouvée au coeur d'une polémique ces derniers jours. À l'origine : le mot "crevure" tagué sur la voiture de Yannick Jadot, venu soutenir les manifestants. Dans un premier temps, Sandrine Rousseau n'a semblé condamner ce tague : "La manière dont il présente l'écologie interroge des manifestants qui eux s'engagent pleinement dans ces luttes". Plusieurs membres du parti ont évoqué leur malaise face aux propos de la députée. Pour certains, elle a symboliquement passé une ligne jaune en justifiant une forme de violence. "L'écologie est non-violente", rappelle EELV dans un communiqué. CDLA – L'INTÉGRALE Celle qui a fait de la radicalité son marqueur politique est actuellement l'une des personnalités les plus clivantes de l'arène politique. Les conséquences environnementales du réchauffement climatique se retrouvent de plus en plus régulièrement au coeur de l'actualité. Car les événements climatiques se multiplient. En témoignent les températures record pour un mois d'octobre enregistrées la semaine passée. Avec la sécheresse, de nombreux propriétaires ont ainsi eu la mauvaise surprise de constater des fissures dans les murs de leur maison. En cause : le terrain argileux sur lequel sont édifiés de nombreux logements. Lors de sécheresses, ce type de sol se tasse. Et quand il pleut, la terre gonfle, provoquant des mouvements de terrain, déstabilisant la structure et créant des fissures. On estime qu'en France, une maison individuelle sur deux se situe sur des sols susceptibles de se rétracter. Le coût explose au niveau des assurances dont les primes ne font qu'augmenter. Chaque année, les remboursements sont en effet de plus en plus coûteux. Dix millions de logements présenteraient des fissures en France. Faut-il poursuivre la construction des mégabassines ? La radicalité en politique est-elle efficace pour convaincre ? Comment faire face à la multiplication des sinistres dus aux événements climatiques ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Avec : Charles Consigny, avocat. Didier Giraud, éleveur de bovins. Et Kaouther Ben Mohamed, présidente de l'association "Marseille en colère". - Olivier Truchot présente un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
durée : 02:30:10 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Stephanie BOUTONNAT - Yannick Jadot, député européen écologiste EELV est l'invité de 7h50. Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur et des Outre-mer est l'invité du Grand entretien de 8h20.
Confusion au Burkina Faso après le putsch d'avant-hier, « alors que l'état-major général des armées a déclaré ne pas reconnaître Ibrahim Traoré comme nouveau chef de la junte », pointe le site du Journal du Dimanche. Dans son édition en kiosques, cet hebdomadaire se demande « qui est à la barre du Burkina Faso ? ». Comme le souligne Le JDD, les mutins ont accusé le lieutenant-colonel Damiba « de lancer une contre-offensive depuis le camp de Kamboinsin des forces spéciales françaises (…) Plusieurs dizaines de manifestants, soutiens affichés des putschistes, se sont rassemblés autour de l'ambassade de France à Ouagadougou, la capitale, lançant des pierres sur la façade, tentant d'allumer un feu (…) L'Institut de Bobo-Dioulasso (…) a aussi été visé par un incendie, complète Le Journal du Dimanche. Le Quai d'Orsay a condamné ces violences et démenti la présence de Damiba dans le camp militaire des forces françaises ou à l'ambassade ». Les putschistes ayant, dans une déclaration signée de la main du capitaine Ibrahim Traoré, exprimé « leur ferme volonté d'aller vers d'autres partenaires prêts à aider dans la lutte contre le terrorisme », Le JDD assure qu'il s'agit « bel et bien de la Russie, déjà présente au Mali par l'entremise du groupe de mercenaires Wagner et dont l'influence ne cesse de croître dans la sous-région ». Sandrine Rousseau, la Savonarole verte La pasionaria de l'écoféminisme, qui sème la zizanie au sein de la gauche, se retrouve à la Une de deux hebdomadaires, L'Obs et Valeurs actuelles. Et dans un troisième, Marianne, elle trône en majesté dans les pages intérieures d'un dossier sur l'état de la gauche, en France. Selon L'Obs, Sandrine Rousseau pratique « le coup d'éclat permanent » ; selon Valeurs actuelles, elle est « l'épuratrice ». L'enjeu ? Rien moins, en effet, que l'état de la Nupes, l'alliance qui a si bien réussi à la gauche lors des dernières élections législatives, mais qui se retrouve aujourd'hui dans la tourmente pour cause d'affaires privées. « #Metoo fracasse la gauche », lance en Une Marianne. « Que les choses soient claires : la lutte contre les violences que subissent certaines femmes ou contre le sexisme plus ou moins larvé auquel elles se heurtent n'est absolument pas en cause, insiste ce magazine. Ce combat-là, nécessaire, attendu par beaucoup, n'est que le prétexte dont se saisissent celles qui, aujourd'hui, ont lancé une OPA sur la gauche. Clémentine Autain chez les Insoumis, Sandrine Rousseau chez les Verts, ont un agenda : dégager la place. Nettoyer à tout prix la concurrence, avec les armes dont elles disposent, estime Marianne. Où l'on s'aperçoit que les femmes aussi peuvent être dévorées d'ambition et prêtes à tout pour éliminer un rival. Même et surtout à abuser d'une noble cause », énonce encore cet hebdomadaire. La pasionaria de l'écoféminisme, on s'en doute, déchaîne les passions à droite. Valeurs actuelles voit en Sandrine Rousseau « l'épuratrice ». Selon cet hebdomadaire, « elle assassine, le sourire aux coins des lèvres. Froide et méthodique. Avec l'air satisfait de qui est persuadé d'avoir rendu service à la société tout entière ». Valeurs actuelles rappelle qu'elle a été la porte-parole de Yannick Jadot avant d'être débarquée pendant la campagne présidentielle : « Son égologie plutôt que son écologie a fini par lasser son camp. (…) Sandrine Rousseau se veut l'implacable procureur de l'homme blanc. Elle instruit toujours à charge ». L'Obs souligne de son côté que « chacune de ses interventions, sur le féminisme, le barbecue ou dans l'affaire Bayou, déclenche les passions ». Qu'on le veuille ou non, cet hebdomadaire trouve que « Sandrine Rousseau, il faut faire avec (…) Depuis la rentrée, les médias s'arrachent cette tête à clics et bonne cliente (…) Sur les réseaux sociaux, où elle se dit cyberharcelée, elle est une tête de Turc, un objet de railleries quotidiennes, moqué par un compte parodique, la très suivie Sardine Ruisseau », signale L'Obs. Le Point, 50 ans de droite étude L'hebdomadaire Le Point a 50 ans. Numéro spécial de ce magazine, à l'occasion de son demi-siècle, dont le premier numéro date du 25 septembre 1972. Claude Imbert, son patron historique, entendait regrouper « une équipe de pensée qui a choisi de ne désespérer de rien ». Cinquante ans après, Le Point se réclame toujours de cette « ascèse quotidienne. Presque un acte de résistance. L'intelligence collective, le doute méthodique et le gai savoir se défendent pied à pied dans ce monde sentencieux, prêt à souscrire à toutes les fariboles ». Une soixantaine de personnalités commentent la devise de cet hebdomadaire, « choisir de ne désespérer de rien ». Bon anniversaire, Le Point.
Avec : Yannick Jadot, ancien candidat EELV à l'élection présidentielle - Chaque matin, Apolline de Malherbe reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour de la journaliste. Ce face-à-face est devenu le premier rendez-vous politique radio/TV de France.En simultané sur BFMTV.
Chaque jour à 7h25 sur RMC, Romain Cluzel décrypte les indiscrets politiques du jour aux côtés d'Apolline Malherbe. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions.
Avec : Kaouther Ben Mohamed, présidente de l'association "Marseille en colère". Bruno Poncet, cheminot. Et Mourad Boudjellal, éditeur de BD. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
Yannick Jadot, député européen Europe Écologie-Les Verts, est l'invité du Grand Jury de 12h à 13h Ecoutez Le Grand Jury avec Olivier Bost et Marie-Pierre Haddad du 25 septembre 2022
Yannick Jadot, député européen Europe Écologie Les Verts, est l'invité du Grand Jury de 12h à 13h Ecoutez Le Grand Jury avec Olivier Bost et Marie-Pierre Haddad du 25 septembre 2022
ONU : LE CARNAGE CLIMATIQUE YANNICK JADOT Ancien candidat d'Europe Écologie Les Verts à la présidentielle L'Assemblée générale des Nations unies, qui réunit ses 193 Etats membres, se déroule cette semaine à New York. Elle va devoir convaincre qu'elle peut encore être un lieu de construction de la paix et de la prospérité, et être à la hauteur des enjeux climatiques qui nous attendent. L'invasion de l'Ukraine par la Russie pèse sur la grand-messe annuelle. L'impératif d'une « coopération » plus forte avec les pays fragilisés par les crises climatiques et la sécurité alimentaire sera au cœur des discussions. Dans le même temps, le bras de fer entre Yannick Jadot et TotalEnergies se poursuit. Sur son compte twitter le 15 septembre dernier, l'ancien candidat à la présidentielle d'EELV a affirmé que Total est « complice de crimes de guerre en Ukraine, de violations des droits humains en Ouganda et en Tanzanie, et coupable de crimes contre l'environnement. » Il demande à ce que le Parlement européen exige « que la France cesse d'aider diplomatiquement, politiquement et militairement TotalEnergies ». Caroline Roux reviendra avec Yannick Jadot sur les défis qu'attendent l'ONU lors de cette Assemblée générale.
Yannick Jadot, Ecologiste, Député européen, ancien candidat à l'élection présidentielle Ecoutez L'invité de RTL avec Amandine Bégot du 07 septembre 2022
Yannick Jadot, Ecologiste, Député européen, ancien candidat à l'élection présidentielle Ecoutez L'invité de RTL avec Amandine Bégot du 07 septembre 2022
durée : 00:02:25 - Le vrai du faux - Le député européen écologiste a assuré qu'aucun réacteur EPR "ne tourne" sur la planète.
durée : 00:26:40 - 8h30 franceinfo - Le député européen EELV était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 31 août 2022.
SUPERPROFITS, ENTREPRISES... L'AVERTISSEMENT DE BORNE – 29/08/22 Invités - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance - BRUNO JEUDY - Éditorialiste politique et essayiste - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » - BERNARD SANANÈS - Politologue – Président de l'Institut de sondages Elabe Taxer les « super profits » des entreprises ? Elisabeth Borne a affirmé ne pas « fermer la porte », dans une interview donnée samedi au quotidien Le Parisien. La Première ministre a toutefois indiqué préférer que l'entreprise qui le peut « baisse les prix pour le consommateur et donne du pouvoir d'achat à ses salariés ». À gauche, cette imposition exceptionnelle est réclamée depuis de nombreuses semaines. Elle a d'ailleurs été plusieurs fois évoquée lors des universités d'été des différents partis de la NUPES, France insoumise en tête. Le Rassemblement National a également prononcé en faveur de cette taxation. L'idée est de redistribuer l'argent des bénéfices record de certaines entreprises à qui l'inflation a profité. Les grands groupes énergétiques, comme Total ou Engie, seraient notamment visés par cette taxe. Face à une demande d'équité qui se fait entendre, la majorité envisage donc désormais des mesures en ce sens. « Personne ne comprendrait que des entreprises dégagent des profits exceptionnels alors même que les Français peuvent être inquiets pour leur pouvoir d'achat », affirmait samedi Elisabeth Borne. Mais cette porte ouverte, le président du Médef Geoffroy Roux de Bézieux, a vite tenté de la refermer. Invité ce matin sur France Inter, il s'est dit opposé à ce que ces bénéfices soient taxés comme le réclame la gauche. Le chef du principal mouvement patronal a pointé un autre « profiteur ». C'est l'État qui a, selon lui, engrangé le plus de superprofits cette année : « Qui est le plus grand super profiteur, si j'ose, qui fait les plus grands superprofits : c'est l'État », a-t-il déclaré. « On a une situation économique qui est moins mauvaise qu'ailleurs, n'augmentons pas les impôts », a-t-il encore plaidé. À l'étranger justement, plusieurs gouvernements envisagent également une taxation exceptionnelle des super profits, quand ils ne l'ont pas déjà mis en œuvre. Le Royaume-Uni a ainsi instauré une taxe exceptionnelle de 25 % sur les bénéfices des producteurs de gaz et de pétrole. L'Italie et la Hongrie ont pris des mesures comparables. Mais Elisabeth Borne franchira-t-elle le pas ? Face aux risques de coupure ou de rationnement de l'énergie cet hiver, la Première ministre, a en tout cas appellé chaque entreprise « à établir, en septembre, son propre plan de sobriété ». « Chaque entreprise doit se mobiliser et agir », a-t-elle affirmé dans son discours en ouverture de la Rencontre des entrepreneurs de France du Medef. La Première ministre leur a donné « rendez-vous début octobre » pour tirer un « premier bilan » de ces plans d'économies d'énergie. Elle expliquait samedi qu'il y aurait « des contraintes de bon sens » pour les entreprises. Le Conseil d'État examine d'ailleurs deux décrets sur l'extinction des publicités lumineuses la nuit et la fermeture des portes pour les commerces climatisés. Le Medef veut se montrer réceptif. « Les entreprises, madame la Première ministre, feront leur part pour atteindre la sobriété énergétique », a promis Geoffroy Roux de Bézieux en ouverture de cette Rencontre des entrepreneurs de France. Mais pour certains secteurs d'activité, une moindre consommation d'hydrocarbures correspond directement à une perte de productivité. L'énergie étant nécessaire pour produire, l'industrie se trouve face à un dilemme. « Évitons les mesures symboliques, médiatiques, dont l'impact carbone est nul ou en tout cas très faible, et qui pointe les uns et les autres », a par ailleurs demandé le président du Medef, évoquant les golfs ou les jets privés. Ces actes symboliques en faveur de la sobriété ont été au cœur des discussions de l'été. Les membres d'EELV, leur président Julien Bayou en tête, ont en effet mis ces sujets sur la table, alors que le pays était confronté à une exceptionnelle sécheresse. Lors des universités d'été du parti, certains, comme Sandrine Rousseau, ont réaffirmé avec force ces postions. D'autres, comme Yannick Jadot, ont appelé à se garder de trop de radicalité. Une confirmation des deux lignes qui composent le parti. Le gouvernement va-t-il s'écarter de sa ligne libérale pour taxer les super profits des grandes entreprises ? Comment adapter l'économie, et notamment l'industrie, à la sobriété énergétique ? Centrisme ou radicalité, quelle stratégie pour les écologistes ? Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Le 6 avril, le candidat écologiste à la présidentielle était l'invité de RTL. Et il est resté en studio pour la chronique de Philippe Caverivière...
Le 6 avril, le candidat écologiste à la présidentielle était l'invité de RTL. Et il est resté en studio pour la chronique de Philippe Caverivière...
Yannick Jadot, député européen, estime qu'il "y a une option qui est une impasse, c'est celle des débauchages".
Yannick Jadot, député européen, estime qu'il "y a une option qui est une impasse, c'est celle des débauchages".
durée : 00:23:37 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Léa Salamé, Nicolas Demorand, Stephanie BOUTONNAT - Yannick Jadot, député européen EELV, est l'invité du Grand entretien. - invités : Yannick JADOT - Yannick Jadot : Homme politique, député européen - réalisé par : Juliette Hackius
durée : 01:59:56 - Le 7/9 - Yannick Jadot, député européen EELV, est l'invité du 7/9 de France Inter.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 15 avril 2022.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des affaires étrangères de l'Assemblée Nationale.David Djaïz, essayiste et enseignant à Sciences Po.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LE PREMIER TOUR DE LA PRÉSIDENTIELLE : UN FAUX DÉJÀ-VUAu premier tour de l'élection présidentielle, les deux finalistes Emmanuel Macron, et Marine Le Pen ainsi que le troisième Jean-Luc Mélenchon, ont réuni les trois quarts des suffrages, balayant les forces républicaines traditionnelles de la Ve République. Lors du second tour le 24 avril, dans une redite du match de 2017, la candidate du Rassemblement national avec 23,41 % des suffrages, affrontera Emmanuel Macron qui a recueilli 27,6% des voix. Le chef de l'État a progressé de 3,6 points en un quinquennat, tandis que Marine Le Pen a gagné 2,1 points. Les Républicains et le Parti Socialiste qui ont structuré la Ve République cumulent 7 % des voix, contre 56 % il y a dix ans. Yannick Jadot pour Europe Écologie-les Verts et Valérie Pécresse sont au même étiage (4,58 et 4,79 %). Anne Hidalgo n'a obtenu que 1,74 % des suffrages et se place derrière l'inclassable Jean Lassalle (3,1%),et le communiste Fabien Roussel (2,31 %). Le politologue, directeur du Centre d'études et de connaissances sur l'opinion publique (Cecop), Jérôme Jaffré observe que « le vote en faveur de candidats qu'on peut qualifier de « radicaux » au sens extrémistes, à droite comme à gauche (Le Pen, Zemmour, Dupont-Aignan, Mélenchon et les candidats trotskistes) totalise près de 56 % des suffrages exprimés. On n'avait jamais vu cela de toute l'histoire électorale française. » L'abstention a atteint 26,3 % : le deuxième taux le plus élevé des onze présidentielles organisées depuis 1965, après les 28,4 % de 2002.Quatre candidats, Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Valérie Pécresse et Fabien Roussel, ont appelé clairement à voter pour le chef de l'État. Jean-Luc Mélenchon, a demandé de ne « pas donner une seule voix à madame Le Pen. ». Valérie Pécresse a déclaré qu'elle voterait pour Emmanuel Macron. Éric Zemmour, 7,05 % des suffrages, a appelé à voter en faveur de Marine Le Pen, malgré leurs « désaccords ». Comme en 2017, Nicolas Dupont-Aignan (2,07 %) a appelé à voter en faveur de Marine Le Pen. Quant à Jean Lassalle (3,16 %), il laisse ses électeurs libres de leur choix. Selon un sondage Ifop-Fiducial pour LCI et TF1, publié le 10 avril, 44% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon voteront blanc, nul ou l'abstention, 33% envisagent de voter pour Emmanuel Macron et ils seraient 23 % à choisir Marine Le Pen. Selon un baromètre Ipsos pour France Info, ce sont 27% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon qui voteraient pour Marine Le Pen au second tour, et ce chiffre atteint même 34 % selon un sondage Elabe pour BFMTV. L'Ifop souligne que seuls 35% des électeurs de Valérie Pécresse feraient le même choix que leur candidate, 35% opteraient pour Marine Le Pen, et 30% refuseraient de voter pour l'un ou l'autre des finalistes. Si 76% des électeurs d'Éric Zemmour comptent déposer dans l'urne un bulletin RN, 20% préféreraient l'abstention et 4% pourraient même voter pour Emmanuel Macron.Selon le baromètre Ipsos du 13 avril, Macron l'emporterait avec 55% des voix au second tour devant Marine Le Pen (45%).See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
MACRON/ LE PEN : C'EST PAS LA MÊME HISTOIRE... – 11/04/22 Invités DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol Fondation pour l'innovation politique NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » NEILA LATROUS Journaliste politique - « France Info » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Ce sera donc un duel Macron-Le Pen au second tour de la présidentielle, comme il y a cinq ans. Tous les deux ont terminé en tête des suffrages avec de meilleurs scores qu'en 2017, Emmanuel Macron recueillant 27,8 % des voix, Marine Le Pen 23,1 %, selon les résultats définitifs. Derrière Jean-Luc Mélenchon (22 %) manque de peu la qualification au deuxième tour. Troisième homme de scrutin, le candidat de l'Union populaire a acté hier soir sa défaite et immédiatement appelé à « ne pas donner une seule voix à Mme Le Pen ». La majorité des autres candidats malheureux ont également dit souhaiter faire barrage à l'extrême droite. Yannick Jadot (4,6 %), Valérie Pécresse (4,8 %), Anne Hidalgo (1,8 %) et Jean-Luc Mélenchon façon donc front républicain, alors qu'en face Éric Zemmour (7,1 %) et Nicolas Dupont-Aignan (2,1 %) ont, eux, appelé à voter pour Marine Le Pen. Mais les électeurs suivront-ils les consignes de vote ? Si l'affiche du deuxième tour est identique à celle de 2017, cette fois, l'issue du scrutin s'annonce beaucoup plus incertaine. Selon une étude d'opinion Ifop/Fiducial pour TF1 et LCI réalisée dimanche 10 avril, le soir du premier tour, Emmanuel Macron l'emporterait au second tour d'une courte tête : 51 % contre 49 % pour Marine Le Pen. Un écart de seulement deux points et dans la marge d'erreur, qui laisse planer une grande incertitude quant à l'issue du scrutin. Les deux finalistes en sont conscients, l'une des clés du deuxième tour est entre les mains des électeurs de Jean-Luc Mélenchon. Que feront-ils ? Resteront-ils à la maison ? Dès dimanche soir, Marine Le Pen a appelé « ceux qui n'ont pas voté » Macron à la « rejoindre » et a insisté sur son souhait de redonner de la place «aux personnes face au pouvoir de l'argent », en mettant l'accent sur « la solidarité envers les plus vulnérables » et l'accession « à la retraite en bonne santé. » Le président-candidat en déplacement ce lundi dans le Nord a lui affirmé que son « projet doit être enrichi (…) Il faut pouvoir, sur des sujets comme l'écologie, le travail, entendre des voix qui ont été portées avec beaucoup de clarté », a-t-il admis, avant de faire étape demain à Strasbourg où Jean-Luc Mélenchon a fait 35 %. Autres électeurs courtisés dans cet entre-deux-tours : ceux de LR et du PS qui ont connu hier dans les urnes une déroute. Ni Anne Hidalgo, ni Valérie Pécresse n'atteignent les 5 % des voix. Un échec cuisant pour le parti Les Républicains qui menace désormais d'imploser et enchaîne ce lundi les réunions de crise. Alors quelles leçons tirer de ce premier tour ? Qui sont les électeurs de Jean-Luc Mélenchon ? Quel avenir pour LR après la présidentielle ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:06:55 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Apéroussels, crédibilité ouvrière d'Hidalgo, remix de Khaled Freak, Yannick Jadot, Philippe Poutou et compensation de temps de parole... un journal sponsorisé par l'ARCOM!
Philippe Caverivière face à Yannick Jadot, candidat du pôle écologiste à l'élection présidentielle. Ecoutez L'oeil de... avec Philippe Caverivière du 06 avril 2022
durée : 00:05:33 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger des militants et élus, soutiens de Yannick Jadot et Fabien Roussel.
durée : 00:05:33 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger des militants et élus, soutiens de Yannick Jadot et Fabien Roussel.
1er TOUR : TOUT EST ENCORE POSSIBLE ? - 28/03/22 Invités ROLAND CAYROL Politologue – Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN) CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique - « Les Echos » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondages Elabe La campagne présidentielle entre dans la dernière ligne droite. Pour les candidats, c'est la dernière chance de convaincre les citoyens de se rendre aux urnes et d'essayer de contrer l'abstention. Vrai danger de l'élection, elle atteint, dans les derniers sondages, le niveau record de 30 %. Alors à moins de quinze jours du premier tour, les prétendants à l'Elysée tentent de réveiller leur base et jettent leurs dernières forces dans l'arène, à la fois tribuns de meetings, candidats de terrain ou dans les médias. Ainsi ce week-end était très politique avec quatre meetings - Jean-Luc Mélenchon à Marseille, Fabien Roussel à Toulouse, Yannick Jadot au Zénith de Paris et Eric Zemmour au Trocadéro. Un dernier grand raout pour le candidat d'extrême droite marqué une nouvelle fois par la polémique. Après le salut hitlérien d'un participant de son meeting à Toulon et des violences dans la foule à Villepinte, ce sont cette fois des « Macron assassin » qui ont retenti dans la foule et que le leader du parti Reconquête ! n'a pas désavoué. « Il n'a pas entendu ces propos » affirme-t-il mais l'affaire suscite un tollé dans la classe politique. Depuis la Guadeloupe, Marine Le Pen avait, elle, choisi de s'exprimer dans les médias. Mais le déplacement aux Antilles de la candidate d'extrême droite ne s'est pas déroulée comme prévu. Des manifestants ont perturbé samedi soir aux cris de « Le Pen dehors ! » ou « Le Pen raciste ! » la visite, contraignant l'ex-présidente du RN à interrompre l'enregistrement d'une interview et à être exfiltrée. Invité de Dimanche en politique France 3, le président de la République s'est dit « choqué » et a déploré une scène « inacceptable ». Emmanuel Macron est également revenu sur la polémique autour des contrats passés avec des cabinets externes et l'affaire dite McKinsey, du nom de ce cabinet de conseil dont les services ont été particulièrement utilisés par ses ministères. « On a l'impression qu'il y a des combines, c'est faux ». « Aucun contrat n'est passé dans la République sans qu'il respecte la règle des marchés publics. Que quiconque a la preuve qu'il y a manipulation mette le contrat en cause au pénal » a lancé le chef de l'Etat. Le Sénat a révélé le 17 mars que les contrats de l'Etat avec ces cabinets avaient « plus que doublé » entre 2018 et 2021, atteignant un record de plus d'un milliard d'euros en 2021. Les sénateurs ont par ailleurs saisi vendredi la justice pour « suspicion de faux témoignage » contre un dirigeant de McKinsey qui a affirmé lors d'une audition que son cabinet payait bien l'impôt sur les sociétés en France. Le sujet est politiquement sensible pour l'exécutif, accusé depuis l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron de multiplier les contrats avec ces groupes privés de conseil qui sont intervenus « sur la plupart des grandes réformes du quinquennat » d'après les sénateurs. McKinsey est ainsi intervenu pour « éclairer les évolutions du métier d'enseignant » et réaliser une étude sur leur rémunération au mérite (pour un montant total de 496.800 euros), sur la réforme du mode de calcul des aides personnalisées au logement (3,88 millions d'euros) ou encore dans le cadre de la campagne vaccinale contre le Covid-19 (12,33 millions). Toujours en tête des intentions de vote (28 %) devant Marine Le Pen (17,5 %), Emmanuel Macron enregistre cependant une baisse notable (-2,5 points en 3 semaines) et dans les rangs d'En Marche la sérénité d'il y a quinze jours est passée. D'autant que les instituts rappellent que l'abstention, qui s'annonce élevée, peut faire mentir tous les sondages d'aujourd'hui. Alors chez les militants LREM des voix s'élèvent contre le risque de démobilisation et poussent le chef de l'Etat à faire campagne sur le terrain. En déplacement aujourd'hui à Dijon, Emmanuel macron s'est lui dit « ouvert au combat » avec ses concurrents. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Les candidats à la présidentielle ont été invités par les chasseurs en début de semaine, pour exposer leurs programmes respectifs. Etonnamment, les deux seuls qu'étaient pas invités c'étaient Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon, qui sont pas les meilleurs potes des chasseurs. Heureusement, il y a aussi le candidat Martin. Lui, il est pour la chasse. Mais pour la chasse sans arme. ça tombe bien, il appelle un magasin de chasse...
Le dimanche 23 avril 2017, à 20 heures, les premières estimations du résultat du premier tour de l'élection présidentielle tombent. Jean-Luc Mélenchon est sous le choc. Il rate la marche du second tour pour 600 000 voix seulement. La défaite est amère pour l'insoumis. Mais, trois ans plus tard, il veut continuer d'y croire. Le dimanche 8 novembre 2020, il se déclare candidat dans le journal de TF1. Après ses campagnes infructueuses de 2012 et 2017, le député des Bouches du Rhône, âgé de 70 ans, veut en mener « une dernière ». Ces derniers mois, Jean-Luc Mélenchon multiplie les débats télévisés, remplit les salles un peu partout en France et engrange des soutiens. Dans les sondages, il éclipse ses concurrents comme la socialiste Anne Hidalgo ou le vert Yannick Jadot. Au point d'incarner le « vote utile » à gauche. Pour Code source, Jannick Alimi et Julien Duffé, journalistes au service politique du Parisien, racontent comment Jean-Luc Mélenchon, en « tortue électorale », rêve d'un « trou de souris » pour accéder, enfin, au second tour de l'élection présidentielle. Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Sarah Hamny, Thibault Lambert et Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : LCI, BFMTV, Public Sénat, Quotidien, TF1, Union Populaire. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Les candidats à la présidentielle ont été invités par les chasseurs en début de semaine, pour exposer leurs programmes respectifs. Etonnamment, les deux seuls qu'étaient pas invités c'étaient Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon, qui sont pas les meilleurs potes des chasseurs. Heureusement, il y a aussi le candidat Martin. Lui, il est pour la chasse. Mais pour la chasse sans arme. ça tombe bien, il appelle un magasin de chasse...
Le Pen, Mélenchon : ils s'y voient déjà ! LES INVITÉ.ES : - Roland CAYROL - Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyses (Cetan) - Neïla LATROUS - Journaliste politique – « France info » - Nathalie MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Dans trois semaines, les Français seront appelés à voter pour le premier tour de l'élection présidentielle 2022. D'après un dernier sondage Ifop Emmanuel Macron reste le grand favori avec 29,5 % des intentions de vote soit presque 5 points de plus qu'avant le déclenchement de l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février dernier. Le président-candidat bénéficie dans l'enquête d'une avance de 11 points sur Marine Le Pen (18,5 %). La candidate d'extrême droite, mise en difficulté par la percée d'Éric Zemmour à l'automne puis à l'hiver dernier, conserve dans cette dernière ligne droite une assise solide dans les sondages, notamment grâce au soutien des catégories populaires (28 %). Et elle joue déjà le second tour. L'ancienne présidente du Rassemblement national refuse désormais les débats télévisés auxquels Emmanuel Macron ne participe pas et entend concurrencer Jean-Luc Mélenchon sur les thématiques sociales et la question du pouvoir d'achat dont elle a fait une priorité depuis son entrée en campagne. Mais derrière le candidat de l'Union populaire enregistre une progression. Certains sondages créditent Jean-Luc Mélenchon de 13-14 % des suffrages et la plupart des études font désormais de lui le troisième homme du scrutin. L'intéressé qui organisait dimanche sa « marche pour la VIe République » à Paris, affirme qu'il est « dans la marge d'erreur », et tente d'imposer le vote Mélenchon comme une nécessité à gauche. Pour cela, le tribun et ses soutiens s'adressent aux électeurs tentés par Fabien Roussel, Yannick Jadot ou Anne Hidalgo mais aussi aux abstentionnistes qui s'annoncent très nombreux lors de ce scrutin. En effet selon le dernier baromètre Ipsos - Sopra Steria, la part d'électeurs décidés à aller voter, 68%, reste très faible pour une élection présidentielle. Autrement dit, si le premier tour avait lieu dimanche, près d'un électeur sur trois (32 %) bouderait les urnes. Alors dans cette dernière ligne droite, le risque d'abstention record inquiète les candidats. Ainsi Marine Le Pen se dit plus « inquiète » face au risque d'abstention que face au refus de débattre d'Emmanuel Macron. De son côté, le candidat communiste Fabien Roussel a mis en garde vendredi Emmanuel Macron contre le risque qu'une campagne a minima n'aboutisse à une forte abstention au premier tour et une faible légitimité en cas de réélection au second. Raillé par ses concurrents pour son refus de venir boxer dans l'arène électorale et se confronter à eux lors d'échanges télévisés, le président-candidat poursuit lui sa stratégie : pas de débats avec ses concurrents, mais des échanges avec des Français dans un format qui rappelle le grand débat lancé pendant la crise des gilets jaunes. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 18 mars 2022.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des affaires étrangères de l'Assemblée Nationale.Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Le Temps. UNE PRÉSIDENTIELLE PAS COMME LES AUTRESEn janvier Omicron parasitait la campagne présidentielle, en février, l'offensive russe la dynamitait. La crise préempte l'espace politique et médiatique au détriment du débat électoral ordinaire : déplacements annulés, interventions télévisées repoussées...Le 3 mars, c'est par une « lettre aux Français » diffusée en ligne et le lendemain dans la presse quotidienne régionale, qu'Emmanuel Macron a officialisé sa candidature à l'élection présidentielle. Alors que 65 % des Français n'hésitent pas à dire que la guerre contre l'Ukraine influencera leur choix, les intentions de vote en faveur du président sortant ont progressé de deux ou trois points pour atteindre, selon les sondages, entre 26 % et 28 %. Ces taux le placent loin devant ses principaux concurrents. Le président de la Fondation Jean-Jaurès, le politologue Gilles Finchelstein explique que la population se « resserre autour du drapeau ». Le président-candidat n'en distille pas moins des éléments de programme et annonce un texte plus complet pour la semaine prochaine. Selon une enquête Ipsos-Sopra Steria pour Le Monde, publiée le 5 mars, les électeurs d'Emmanuel Macron sont 55 % à mettre en avant la dimension personnelle du candidat, contre 31 % seulement ses idées. A l'inverse, un vote idéologique prédomine chez les partisans de Yannick Jadot (83 %) et de Jean-Luc Mélenchon (70 %).Les adversaires d'Emmanuel Macron agitent le spectre d'une élection aux airs de reconduction administrative et estiment qu'en refusant de débattre avec eux avant le premier tour, il « se dérobe ». Avant lui, cependant, aucun président sortant ne s'était risqué à cet exercice du débat avant le premier tour. Mais des parlementaires LR se disent convaincus que, sans cette confrontation, la légitimité des réformes à venir sera rapidement contestée si Emmanuel Macron devait être réélu. Le 15 mars, dans un entretien au Figaro, le président Les Républicains du Sénat, Gérard Larcher avertissait : « Être en tête dans les sondages n'est pas une raison suffisante pour enjamber l'élection et considérer que ce scrutin n'est qu'une formalité, ne serait-ce que par respect de la démocratie. […] S'il n'y a pas de campagne, la question de la légitimité du gagnant se posera ».Si des campagnes présidentielles ont déjà été perturbées par des événement tragiques, il s'agissait d'évènements nationaux comme l'assaut par l'armée de la grotte d'Ouvéa en 1988, la tuerie perpétrée lors d'un conseil municipal à Nanterre en 2002, le massacre commis par le djihadiste Mohammed Merah à Montauban et devant l'école Ozar Hatorah à Toulouse en 2012, l'attaque terroriste sur les Champs-Elysées tuant un policier en 2017.***APRÈS VERSAILLES, LES LIMITES DU RÉVEIL EUROPÉEN L'invasion russe de l'Ukraine a conduit les dirigeants européens réunis à Versailles à chercher pour limiter l'impact du conflit sur leurs économies, des parades qu'ils puissent adopter à l'unanimité. Ainsi, les 27 n'ont pas décidé d'embargo sur le gaz et le pétrole russe, dont ils dépendent à hauteur de 40 %. L'Allemagne n'est pas en position d'affronter un tel choc énergétique, tout comme l'Italie et l'Autriche, tandis que la Hongrie a dit clairement qu'elle ne voterait pas de telles sanctions. Fin mai, l'Union présentera une proposition visant à mettre fin à sa dépendance au pétrole, charbon et gaz russes d'ici… 2027. Pour assurer l'approvisionnement des Européens en gaz, l'Union continuera de verser chaque jour au régime russe quelque 700 millions de dollars (640 millions d'euros).Les dirigeants européens n'ont pas non plus décidé d'admettre en urgence l'Ukraine dans le giron de l'Union européenne, comme l'avait demandé le président ukrainien le 28 février. La Pologne, la Slovaquie, la Bulgarie, l'Estonie, la République tchèque ont plaidé, dans une déclaration commune, pour « accorder immédiatement à l'Ukraine le statut de candidat à l'UE et d'entamer le processus de négociation ». Mais les membres fondateurs - France, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Italie - n'ont pas voulu brûler les étapes, provoquant la déception de Volodymyr Zelensky.Cependant, pour répondre à l'urgence, quelques mesures de court terme ont été décidées : l'aide militaire à l'Ukraine a été doublée, faisant passer de 500 millions à 1 milliard d'euros la contribution de l'Union au financement des armements livrés aux combattants ukrainiens. Un quatrième paquet de sanctions pour affaiblir la Russie a été annoncé. Lundi, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a indiqué que des dizaines de noms de proches de Poutine vont rejoindre la liste noire de l'Union Européenne.Revenant au menu originel du sommet, qui devait consacrer un « nouveau modèle économique européen » et des investissements massifs pour assurer la « souveraineté stratégique » de l'Europe, les 27 ont réaffirmé leur volonté d'augmenter leur effort de défense commune, revenue au centre des priorités et de se coordonner pour renforcer leur industrie de défense. Le débat sur un éventuel financement européen de ces investissements reste entier. Aucune référence n'y est faite dans les conclusions du sommet même si le sujet a été débattu : en coulisses, les Européens ont discuté d'une éventuelle mutualisation des coûts du conflit dans les domaines militaires ou énergétiques, dont les pays dits « frugaux » ne veulent pas.Le sommet informel de Versailles n'était pas destiné à trancher. Il a préparé les décisions qui seront prises, au sommet de Bruxelles, les 24 et 25 mars.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:03:16 - Le journal de presque 17h17 - Guerre en Ukraine, TikTok suspendu en Russie, Sandrine Rousseau écartée de la campagne de Yannick Jadot, proposition de Trump de bombarder la Russie déguisé en avion chinois, et Transformer électrique, c'est l'actu du jour!
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible. SOURCES : GUERRE DE L'INFORMATION : TV5 Monde, Le Parisien, La Voix du Nord, Le Huffington Post, L'Express, France Info, France InfoUKRAINE : BFM TV, Le ParisienPOINT PRESIDENTIELLE : France Info, 20 minutes, LibérationListe des candidats (par ordre alphabétique) : Nathalie Arthaud, Nicolas Dupont-Aignan, Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Jean Lassalle, Marine Le Pen, Emmanuel Macron, Jean-Luc Mélenchon, Valérie Pécresse, Philippe Poutou, Fabien Roussel, Eric ZemmourÉcriture : Blanche Vathonne - Manon de Cabarrus - Paul Bonnaud - Hugo Travers Montage : Clément Lutrand Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Macron : faire campagne... En temps de guerre LES INVITÉ.ES : - Roland CAYROL – Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN) - Bruno JEUDY - Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match » - Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique – « Les Echos » - Nathalie MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » C'est la fin d'un faux suspens. Emmanuel Macron s'est déclaré candidat à sa réélection jeudi soir, avec une lettre adressée au Français dans la presse quotidienne régionale. "Je sollicite votre confiance pour un nouveau mandat", pouvait-on lire. Le lendemain, dans un clip de campagne façon série Netflix, le président-candidat a évoqué la crise sanitaire et la crise ukrainienne, et a assuré que rien n'est joué pour lui. Les sondages pourtant, le placent désormais à près de 30% d'intentions de vote au premier tour. "Cela fait des mois que le président Macron est au service du candidat Macron", a fustigé Anne Hidalgo, première candidate à réagir à la lettre du président de la République. "Emmanuel Macron doit rendre des comptes", a affirmé de son côté Valérie Pécresse, qui souhaite un débat avec tous les candidats, y compris le chef de l'Etat. Enfin, Marine Le Pen voit dans cette lettre un candidat qui "entend rester en retrait de cette campagne". Il est surtout urgent pour elle comme pour ses concurrents que cette campagne démarre véritablement car, selon les sondages, les Français s'intéressent moins à cette présidentielle qu'aux précédentes. Et la guerre en Ukraine n'arrange rien, avec une campagne qui semble être mise sous cloche depuis dix jours. Interlocuteur de Vladimir Poutine comme de Volodymyr Zelensky, la guerre renforce inévitablement Emmanuel Macron dans son rôle de chef des armées et de protecteur de la nation. Alors qu'il est aussi le président du Conseil de l'Union européen, il a gagné jusqu'à trois points dans certains sondages depuis le début du conflit. Du côté de Marine Le Pen, Eric Zemmour ou Jean-Luc Mélenchon, dont les discours passés ont parfois paru complaisants envers le chef du Kremlin, la situation actuelle est au contraire compliqué pour eux, car elle les oblige à clarifier leurs positions, voire à les modifier. Enfin, passée presque inaperçue cette semaine au vue de l'actualité internationale, la candidature de Christiane Taubira a définitivement fait « pschitt ». Avec seulement 181 parrainages recueillis, la candidate désignée par la primaire populaire a reconnu son impossibilité de se présenter à l'élection suprême, sans rallier quiconque pour le moment. Yannick Jadot lui a alors tendu les bras, lui qui plafonne autour des 5% dans les sondages et qui subit quelques remous dans sa campagne, avec l'éviction notamment de Sandrine Rousseau de son équipe. De son côté, Jean-Luc Mélenchon continue sa lente progression dans les sondages, talonnant maintenant de près Valérie Pécresse et Eric Zemmour, et se posant de plus en plus comme le vote utile à gauche. Alors, l'officialisation de la candidature d'Emmanuel Macron va-t-elle bousculer la campagne présidentielle ? La guerre en Ukraine assure-t-elle sa réélection ? La gauche peut-elle encore se faire une place au second tour ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/