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Invités :François Walraet, secrétaire général de la Coordination ruraleYohann Barbe, porte-parole FNSEA, éleveur de vaches laitières dans les Vosges et président de la Fédération nationale des producteurs de laitChroniqueurs :Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du FigaroGeorges Fenech, ancien magistrat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:24 - Journal de 8 h - L'accord commercial avec les pays du Mercosur ne sera finalement pas signé ces jours-ci. La signature est reportée au mois de janvier. Fort d'un bref répit, Emmanuel Macron reste prudent pour la suite.
durée : 00:15:24 - Journal de 8 h - L'accord commercial avec les pays du Mercosur ne sera finalement pas signé ces jours-ci. La signature est reportée au mois de janvier. Fort d'un bref répit, Emmanuel Macron reste prudent pour la suite.
durée : 00:15:24 - Journal de 8 h - L'accord commercial avec les pays du Mercosur ne sera finalement pas signé ces jours-ci. La signature est reportée au mois de janvier. Fort d'un bref répit, Emmanuel Macron reste prudent pour la suite.
Dans cette édition :Le président français Emmanuel Macron remporte une victoire à Bruxelles en obtenant le report à janvier de la signature de l'accord entre l'Union Européenne et le Mercosur, aidé par l'Italie et les manifestations d'agriculteurs devant la Commission Européenne.Les syndicats agricoles, dont la FNSEA, s'étonnent du revirement de la Commission Européenne et jugent le report insuffisant, alors que le Premier ministre tente d'apaiser la colère des éleveurs bloquant les autoroutes du sud-ouest.Les auditions de Thomas Legrand et Patrick Cohen devant la commission d'enquête sur l'audiovisuel public soulèvent des questions sur l'impartialité du service public, avec des accusations de connivence avec le Parti Socialiste.Une policière de 25 ans a été interpellée en région parisienne pour avoir revendu des fichiers confidentiels de la police à des délinquants, une activité criminelle lui ayant rapporté plus de 12 000 euros.La justice se prononce sur la suspension pour trois mois du géant chinois Chine en France, après la mise en vente de poupées sexuelles d'apparence enfantine et d'armes sur sa plateforme, en pleine période de Noël.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:22:35 - 8h30 franceinfo - Le président de la FNSEA était l'invité du 8.30 franceinfo du vendredi 19 décembre 2025 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition :Le président français Emmanuel Macron remporte une victoire à Bruxelles en obtenant le report à janvier de la signature de l'accord entre l'Union Européenne et le Mercosur, aidé par l'Italie et les manifestations d'agriculteurs devant la Commission Européenne.Les syndicats agricoles, dont la FNSEA, s'étonnent du revirement de la Commission Européenne et jugent le report insuffisant, alors que le Premier ministre tente d'apaiser la colère des éleveurs bloquant les autoroutes du sud-ouest.Les auditions de Thomas Legrand et Patrick Cohen devant la commission d'enquête sur l'audiovisuel public soulèvent des questions sur l'impartialité du service public, avec des accusations de connivence avec le Parti Socialiste.Une policière de 25 ans a été interpellée en région parisienne pour avoir revendu des fichiers confidentiels de la police à des délinquants, une activité criminelle lui ayant rapporté plus de 12 000 euros.La justice se prononce sur la suspension pour trois mois du géant chinois Chine en France, après la mise en vente de poupées sexuelles d'apparence enfantine et d'armes sur sa plateforme, en pleine période de Noël.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:31 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - Arnaud Rousseau, président de la FNSEA, est notre invité pour évoquer la crise qui frappe toujours de plein fouet les agriculteurs, alors que l'épidémie de dermatose se poursuit et que le traité européen avec le Mercosur est en passe d'être signé. - invités : Arnaud Rousseau - Arnaud Rousseau : Chef d'entreprise, président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 03:58:27 - La Grande matinale - par : Sonia Devillers, Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos, Anne-Laure Sugier - Ce matin sur France Inter, à 7h50, Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale. À 8h20, Arnaud Rousseau, président de la FNSEA. Et à 9h20, Olivier Minne, animateur télé, présentateur de “Pandore” le lundi 22 décembre à 21h10 sur M6. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:25:31 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - Arnaud Rousseau, président de la FNSEA, est notre invité pour évoquer la crise qui frappe toujours de plein fouet les agriculteurs, alors que l'épidémie de dermatose se poursuit et que le traité européen avec le Mercosur est en passe d'être signé. - invités : Arnaud Rousseau - Arnaud Rousseau : Chef d'entreprise, président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est le retour en force d'un malaise et d'une colère qui ne s'étaient jamais vraiment dissipées… Celles du monde paysan, percuté par des crises et des défis qui poussent depuis plusieurs jours des centaines d'agriculteurs à bloquer des routes, à installer des barrages, à s'opposer parfois aux forces de l'ordre… C'est l'épidémie de dermatose bovine et la stratégie du gouvernement d'abattage de l'ensemble des troupeaux concernés pour éviter la propagation du virus qui a mis le feu aux poudres… Tout ça dans un contexte international déjà extrêmement tendu puisque nous sommes au début d'une semaine qui pourrait se terminer avec l'adoption par Bruxelles de l'accord de libre échange avec le Mercosur décrié par les agriculteurs ; et alors que leur ministre appelle "à agir" face à "la guerre agricole" qui "se prépare… Nous allons en débattre ce lundi 15 décembre 2025 avec nos invités : - Vincent LOUAULT Agriculteur, sénateur d'Indre et Loire (Horizons), Secrétaire National Agriculture du parti Horizons- Isabelle SAPORTA Editorialiste politique à RTL- Marine COLLI Consultante sur les questions de politique agricole et de commerce international, fondatrice de l'association « Les Voix Agricoles », autrice du livre Notre assiette mondialisée. Débats sur le libre-echange au menu (Revoir Éditions, octobre 2025)- Yohann BARBE Agriculteur dans les Vosges, président de la Fédération nationale des producteurs de lait, porte-parole de la FNSEA- Amélie REBIERE Agricultrice en Corrèze, conseillère agricole au Parlement européen, vice-présidente nationale du syndicat agricole de la Coordination rurale
C dans l'air du 15 décembre 2025 - Ces épidémies qui inquiètent les agriculteurs... et l'OMSL'épidémie de dermatose nodulaire continue de se propager sur le territoire, et les agriculteurs se font entendre. Plusieurs actions de blocage se déroulent ce lundi 15 décembre dans le sud de la France, en réaction à l'abattage de plus de 200 bovins en Ariège la semaine dernière. Routes coupées et mobilisation témoignent d'un mécontentement croissant dans la profession, alors que la ministre de l'Agriculture est attendue ce lundi après-midi à Toulouse pour aborder la crise et lancer symboliquement une grande campagne sanitaire : la vaccination d'un million de bovins en France.« Bien sûr qu'il y a de l'angoisse, parce que chacun s'imagine que le virus est à la porte de son bâtiment d'élevage. Mais la situation est sous contrôle », a tenté de rassurer Annie Genevard ce matin sur France 2, ajoutant que la « discussion sur la suspension des abattages est ouverte ». « Les éleveurs font des propositions sérieuses et réfléchies. Nous allons écouter, regarder, concerter », a promis la ministre.Après être apparue cet été en Savoie, la dermatose nodulaire touche désormais l'Aude, où un premier cas a été détecté ce lundi, après avoir affecté la Haute-Garonne, la Savoie, l'Ain, le Jura, les Pyrénées et l'Ariège. Une maladie qui inquiète et divise le monde agricole. Car si la FNSEA appelle au calme et défend la stratégie gouvernementale, des éleveurs s'opposent à l'abattage systématique des troupeaux touchés et dénoncent le lancement bien trop tardif d'une campagne de vaccination. D'autres pointent l'inaction de l'État face à cette maladie et appellent à un contrôle accru des mouvements d'animaux.La ministre défend de son côté sa stratégie, affirmant s'appuyer sur « ce que la science nous dit, ce que les vétérinaires nous disent, ce que les pays étrangers ont appliqué ». « Il y a trois piliers : le dépeuplement (c'est-à-dire l'abattage, ndlr), la vaccination et la restriction des mouvements », a-t-elle énuméré, ajoutant que « cette stratégie a fonctionné en Savoie, en Haute-Savoie, dans le Jura, en Italie, en Espagne ». « Il faut que chacun ait conscience que l'ennemi, c'est le virus. D'abord, il faut respecter les consignes. Il faut limiter les mouvements, sinon tout va s'étendre et on ne maîtrisera plus rien », a insisté Annie Genevard ce lundi matin.Depuis vendredi dernier, les blocages se multiplient aux quatre coins de la France pour dénoncer la politique sanitaire du gouvernement. Et c'est loin d'être fini. Après d'importantes mobilisations menées tout le week-end, les syndicats ont déjà appelé à d'autres actions toute la semaine. Car d'autres dossiers brûlants alimentent aussi la colère des agriculteurs, comme la baisse annoncée du budget de la Politique agricole commune (PAC) européenne, l'accord de libre-échange prévu entre l'UE et les États du Mercosur, mais aussi la résurgence de la grippe aviaire.Le virus H5N1 atteint un niveau inédit et la France se retrouve parmi les pays les plus frappés par une grippe aviaire en pleine accélération. Entre foyers qui se multiplient, propagation fulgurante en Europe du Nord et risque de mutation, l'hiver s'annonce sous haute surveillance. La circulation très active du virus fait en effet craindre le passage de ce virus à l'humain.Alors, qu'est-ce que la dermatose nodulaire ? Derrière l'épidémie, quelles sont les raisons de la colère des éleveurs ? Enfin, pourquoi la grippe aviaire inquiète-t-elle particulièrement les autorités sanitaires cette année ?Nos experts :- Frédéric DENHEZ - Journaliste, spécialiste des questions environnementales - Marianne - Nicolas BERROD - Journaliste, chef adjoint du service santé sciences au Parisien - Aujourd'hui en France - Olivia DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro, en charge du suivi de l'agriculture - Gaelle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges
Agriculteurs : la colère se propage en France. On en parle avec ChristianeLambert, ancienne présidente de la FNSEA et Etienne Fourmont, éleveur de vacheslaitières dans la Sarthe et youtubeur.Tous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5,Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui fontl'actualité du jour.
Invité : Yohann Barbe, porte-parole de la FNSEA et agriculteur dans les VosgesChroniqueurs :Jules Torres, journaliste politique au JDDVictor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La colère monte dans les campagnes, l'État campe sur une stratégie jugée "incompréhensible" par une partie des éleveurs : l'abattage systématique de toutes les bêtes d'un foyer de dermatose nodulaire contagieuse (DNC), maladie virale se transmettant aux vaches principalement par des piqûres de mouches ou de taon. En Ariège, plus de 200 bovins ont déjà été abattus, déclenchant des manifestations d'envergure. Un choix radical que les vétérinaires estiment indispensable pour enrayer une épidémie fulgurante. Arnaud Rousseau, Président de la FNSEA est l'invité de RTL Soir. Ecoutez RTL Soir avec Vincent Parizot du 12 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:40 - L'invité d'ICI Matin, ICI Drôme Ardèche - Le ministère de l'Agriculture a annoncé un plan national de sortie de crise pour la viticulture, avec une enveloppe de 130 millions d'euros pour l'arrachage de vignes. On en parle sur ICI Drôme Ardèche avec le viticulteur ardéchois Jérôme Volle, vice-président de la FNSEA en charge de la filière. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air l'invitée du 12 novembre 2025 avec Olivia Détroyat, journaliste spécialiste des questions économiques et agricoles au Figaro.Environ 250 agriculteurs sont venus aujourd'hui avec une cinquantaine d'engins agricoles, et se sont rassemblés à Toulouse pour demander des clarifications à Emmanuel Macron sur le traité de libre-échange avec le Mercosur. À l'appel de la FNSEA et des Jeunes agriculteurs notamment, les manifestants, principalement venus de Haute-Garonne et du Tarn-et-Garonne, se sont réunis dans le but de rencontrer le président de la République, en déplacement dans la ville rose."Sur le Mercosur, on attend une réponse claire, c'est un oui, c'est un non, il faut qu'il clarifie sa position", a déclaré Jean-Marie Dirat, président de la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles (FRSEA). Selon M. Dirat, le président s'était engagé "droit dans les yeux", il y a deux mois lors d'une visite en Aveyron à tout faire pour que ce traité ne se mette pas en place alors que désormais, déplore-t-il, "il nous dit qu'il est plutôt positif (à l'idée) de signer: en agriculture, quand on se tape dans la main, on n'a qu'une parole, aujourd'hui que vaut la parole présidentielle?"La phrase qui a mis le feu aux poudres a été prononcée par le président de la République le 6 novembre dernier. Sur l'accord de libre échange entre l'UE et le Mercosur, il s'est en effet montré "plutôt positif" sur une possible adoption du traité. Une déclaration qui a provoqué la colère des syndicats agricoles, dont certains ont parlé de "trahison".Olivia Détroyat, journaliste, spécialiste des questions économiques et agricoles au Figaro, est notre invitée. Elle nous expliquera les raisons de la colère du monde agricole concernant l'accord entre l'UE et le Mercosur, ainsi que les garanties envisagées pour protéger l'agriculture européenne. Elle reviendra aussi avec nous sur les relations entre Emmanuel Macron et les agriculteurs, et sur sa capacité à faire peser les intérêts français au niveau européen, alors-même que cet accord ouvrirait un marché de 260 millions de consommateurs aux entreprises européennes.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs À contre-courant de l'exécutif, l'Assemblée nationale a voté la reconduction des avantages pour les producteurs de B100 et d'E85. C'est une victoire pour la FNSEA et les poids lourds de ces filières, dont les arguments ont été repris lundi soir dans l'hémicycle. Un article d'Amélie Poinssot publié mardi 4 novembre 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des ballons gonflés à l'hélium qui perturbent le trafic aérien en Lituanie, des drones qui imposent la fermeture des aéroports en Allemagne, au Danemark, ou en Norvège. Les attaques hybrides se multiplient sur le continent... et avec elles, la nécessité de se préparer au pire. La ville de Chelm, dans l'est de la Pologne frontalière avec l'Ukraine en sait quelque chose. En septembre 2025, des drones puis une alerte aérienne ont semé la panique parmi les habitants. Depuis, on recense tous les abris souterrains et on forme les citoyens à la sécurité et la gestion de crise. C'est le reportage d'Adrien Sarlat. Les questions migratoires dans la campagne législative néerlandaise Les Néerlandais sont appelés aux urnes demain (29 octobre 2025) pour élire leur Parlement... des élections qui sont suivies de près en Europe car elles pourraient voir une victoire encore plus importante du parti d'extrême droite PVV, de Geert Wilders. Il avait pourtant claqué la porte de la coalition en juin dernier... Mais si le leader a peu de chance de nouer un accord avec d'autres partis, ses idées anti-migrants se sont imposé dans la campagne... À Bruxelles, Jean-Jacques Hery. Le succès d'un biopic sur Berlinguer C'est un phénomène cinématographique et politique que personne n'avait vu arriver. Le film «La grande ambition», du réalisateur italien Andrea Segre a déjà attiré 700 000 spectateurs dans les salles. Le film qui raconte cinq années de la vie d'Ernesto Berlinguer à la tête du parti communiste italien, résonne pour une partie de la jeunesse. C'est la chronique de Cécile Debarge. Les Canaries plutôt favorables au traité avec le Mercosur Un nouveau traité de libre échange entre l'Europe et quatre États d'Amérique latine. L'accord avec le Mercosur suscite beaucoup de débats et de la colère, surtout en France, de nombreux agriculteurs craignent une concurrence déloyale pour la viande, le soja ou le sucre. Mais ailleurs, en Europe, on se réjouit plutôt de nouveaux débouchés. C'est le cas dans l'archipel espagnol des Canaries. C'est le reportage de Nicolas Kirilowits. Les coulisses de Bruxelles avec le média Contexte Et au niveau de la politique européenne, il faudra attendre 2026 pour savoir si cet accord pourra passer. En France, le syndicat agricole le plus puissant, la FNSEA, pousse le président Emmanuel Macron à utiliser son droit de veto. Arthur Bamas suit de près les négociations autour de cet accord pour le média Contexte, il nous explique pourquoi le président français n'a plus le pouvoir de bloquer ce texte.
Des ballons gonflés à l'hélium qui perturbent le trafic aérien en Lituanie, des drones qui imposent la fermeture des aéroports en Allemagne, au Danemark, ou en Norvège. Les attaques hybrides se multiplient sur le continent... et avec elles, la nécessité de se préparer au pire. La ville de Chelm, dans l'est de la Pologne frontalière avec l'Ukraine en sait quelque chose. En septembre 2025, des drones puis une alerte aérienne ont semé la panique parmi les habitants. Depuis, on recense tous les abris souterrains et on forme les citoyens à la sécurité et la gestion de crise. C'est le reportage d'Adrien Sarlat. Les questions migratoires dans la campagne législative néerlandaise Les Néerlandais sont appelés aux urnes demain (29 octobre 2025) pour élire leur Parlement... des élections qui sont suivies de près en Europe car elles pourraient voir une victoire encore plus importante du parti d'extrême droite PVV, de Geert Wilders. Il avait pourtant claqué la porte de la coalition en juin dernier... Mais si le leader a peu de chance de nouer un accord avec d'autres partis, ses idées anti-migrants se sont imposé dans la campagne... À Bruxelles, Jean-Jacques Hery. Le succès d'un biopic sur Berlinguer C'est un phénomène cinématographique et politique que personne n'avait vu arriver. Le film «La grande ambition», du réalisateur italien Andrea Segre a déjà attiré 700 000 spectateurs dans les salles. Le film qui raconte cinq années de la vie d'Ernesto Berlinguer à la tête du parti communiste italien, résonne pour une partie de la jeunesse. C'est la chronique de Cécile Debarge. Les Canaries plutôt favorables au traité avec le Mercosur Un nouveau traité de libre échange entre l'Europe et quatre États d'Amérique latine. L'accord avec le Mercosur suscite beaucoup de débats et de la colère, surtout en France, de nombreux agriculteurs craignent une concurrence déloyale pour la viande, le soja ou le sucre. Mais ailleurs, en Europe, on se réjouit plutôt de nouveaux débouchés. C'est le cas dans l'archipel espagnol des Canaries. C'est le reportage de Nicolas Kirilowits. Les coulisses de Bruxelles avec le média Contexte Et au niveau de la politique européenne, il faudra attendre 2026 pour savoir si cet accord pourra passer. En France, le syndicat agricole le plus puissant, la FNSEA, pousse le président Emmanuel Macron à utiliser son droit de veto. Arthur Bamas suit de près les négociations autour de cet accord pour le média Contexte, il nous explique pourquoi le président français n'a plus le pouvoir de bloquer ce texte.
– On a qu’à laisser faire la nature et donner nos enfants à manger aux loups aussi ! – Qui […]
C dans l'air du 27 septembre 2025 - Retraites, Sarkozy, impôts : Lecornu se livreIl s'exprime enfin. Nommé Premier ministre le 9 septembre dernier, Sébastien Lecornu s'était fait quasi mutique pendant dix-huit jours. Il a rompu le silence hier dans un entretien accordé au journal Le Parisien-Aujourd'hui en France. Le locataire de Matignon a donné les premières orientations de la politique qu'il compte mener et a annoncé que son gouvernement serait nommé « avant le début des travaux parlementaires », prévus ce mercredi 1er octobre. Il a affirmé que les ministres qui veulent rentrer au gouvernement devront « endosser » le budget et « partager les grandes orientations du socle commun ».Le chef du gouvernement semble ainsi exclure le « débauchage » de personnalités issues du Parti socialiste. Car si Sébastien Lecornu a annoncé repartir « d'une feuille blanche » pour construire le budget, il s'est tout de même d'emblée prononcé contre la suspension de la réforme des retraites, et a dit ne pas croire que la taxe Zucman soit « la bonne réponse ». De quoi provoquer la colère de la gauche. « Manifestement, il a décidé de ne pas rester Premier ministre très longtemps », a ironisé le sénateur communiste Ian Brossat, qui a jugé les annonces de Sébastien Lecornu « honteuses ». Le Premier ministre « prend ce soir le risque de plonger notre pays dans le chaos politique et institutionnel », a réagi le Parti socialiste dans un communiqué. « Lecornu fait du Macron. Ni plus ni moins. Au moins c'est franc. Il est temps pour la gauche de l'hémicycle de rallier la censure insoumise », a pour sa part réagi hier soir sur le réseau social X le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon.Le RN n'est pas en reste. “Aujourd'hui, on est avec un Premier ministre qui fonce droit dans le mur”, a ainsi affirmé ce matin Thomas Ménagé, le porte-parole de son groupe à l'Assemblée. Comme LFI et le PS, le RN agite la menace d'une motion de censure. Après la condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison, le chef du gouvernement a par ailleurs tenu à exprimer son « amitié pour l'homme et sa famille ». Il était membre de la famille politique de l'ancien président avant de rejoindre Emmanuel Macron en 2017.Alors que le locataire de Matignon continue de consulter pour former son équipe, la colère sociale gronde et les agriculteurs espèrent peser sur les choix du prochain gouvernement. Il étaient à la manœuvre hier, à l'initiative de la FNSEA, syndicat majoritaire, et des Jeunes Agriculteurs. Une grande journée d'action était organisée à travers le pays. Ces syndicats n'avaient pas voulu participer au mouvement "Bloquons tout" du 10 septembre pour éviter toute récupération politique. Ils y ont préféré une mobilisation sur leurs propres revendications. Ces rassemblements avaient d'abord pour but de s'opposer à l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les pays latino-américains du Mercosur, approuvé, début septembre par la commission européenne.À l'Assemblée, face à la forte instabilité gouvernementale et à la perception négative de leur travail dans l'opinion, certains parlementaires, dépités, pensent à quitter leur mandat. C'est le cas d'Harold Huwart, député LIOT de la 3e circonscription d'Eure-et-Loir. Il raconte la crise vécue par de nombreux parlementaires, confrontés à l'incapacité d'obtenir des compromis, aux espoirs de changements déçus et épris d'un profond sentiment d'impuissance.Sébastien Lecornu peut-il éviter la censure ? Les agriculteurs peuvent-ils peser sur le gouvernement en cours de formation ? Quel rôle peuvent encore jouer les parlementaires dans cette situation de blocage politique ?LES EXPERTS :- Marcelo WESFREID - Rédacteur en chef adjoint du service politique - Le Parisien-Aujourd'hui en France- Agathe LAMBRET - Présentatrice du 8h30 - France Info- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point- Jean GARRIGUES - Historien, ^résident la commission internationale d'histoire des assemblées
Dans cette édition :L'ancien président Nicolas Sarkozy est condamné à 5 ans de prison ferme pour association de malfaiteurs, une décision qui choque de nombreux Français.Les agriculteurs se mobilisent à l'appel de la FNSEA pour dénoncer l'accord avec les pays du Mercosur, craignant pour leurs trésoreries.Un homme accusé de viols comparaît devant la Cour criminelle de Paris, face à ses victimes qui témoignent de leur traumatisme.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :L'ancien président Nicolas Sarkozy est condamné à 5 ans de prison ferme pour association de malfaiteurs, une décision qui choque de nombreux Français.Les agriculteurs se mobilisent à l'appel de la FNSEA pour dénoncer l'accord avec les pays du Mercosur, craignant pour leurs trésoreries.Un homme accusé de viols comparaît devant la Cour criminelle de Paris, face à ses victimes qui témoignent de leur traumatisme.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:36 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - La FNSEA a conclu un partenariat avec le jeu "Farming Simulator" et organise pour la deuxième année de suite une compétition, non sans arrière-pensées. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Malgré 2 millions de signatures contre la loi Duplomb (censurée partiellement depuis), le gouvernement nomme Xavier Jamet, ex-lobbyiste de la FNSEA, directeur de cabinet de la porte-parole Sophie Primas.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
La “loi Duplomb”, censée “lever les contraintes à l'exercice du métier d'agriculteur”, fortement décriée, a été partiellement retoquée par le Conseil constitutionnel.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Avec : Franck Sander, vice-président de la FNSEA. - Chaque matin, Sébastien Krebs reçoit un invité au cœur de l'actualité.
C dans l'air du 21 juillet 2025 - Loi Duplomb : l'incroyable succès d'une pétitionC'est un rejet massif. La pétition contre la loi Duplomb, adoptée le 8 juillet, a déjà récolté plus d'1,3 million de signatures sur le site de l'Assemblée nationale. La mobilisation contre cette loi, qui permet notamment un retour encadré à certains pesticides dangereux et facilite les ouvrages de stockage d'eau comme les mégabassines, dépasse largement les cercles militants traditionnels. Pour preuve, c'est une jeune étudiante non affiliée à un parti politique qui a lancé la pétition en ligne. Fin juin, un collectif de médecins avait également alerté dans une tribune dans Le Monde que l'adoption de cette loi "représenterait un recul majeur pour la santé publique". Ce matin, le sénateur LR Laurent Duplomb, à l'origine du texte, a dénoncé sur RMC une pétition "instrumentalisée par l'extrême gauche" et un système "fait pour mettre de la pression au Conseil constitutionnel et espérer qu'il ne valide pas la loi". La loi avait été imaginée comme un train de simplifications pour les agriculteurs, après leur mouvement de contestation lancé fin 2023. Face au succès de la pétition, la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet s'est dite favorable à la tenue d'un débat à l'Assemblée nationale lors de la rentrée parlementaire, même si ce dernier ne permettra pas de revenir sur le fond du texte.Depuis qu'il a déposé la proposition de loi au Sénat en novembre 2024, le sénateur LR de Haute-Loire, Laurent Duplomb s'est fait un nom. Éleveur laitier de profession, encarté à la FNSEA et défenseur d'une agriculture productiviste, il est aussi un proche du président de la région Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez. En 2021, il a notamment soutenu un amendement visant à "renforcer les sanctions encourues en cas d'intrusion illégale dans une exploitation agricole" et défendu celui envisageant la suppression de l'Agence bio, qui promeut la filière biologique. Ses adversaires de gauche le dépeignent comme un agriculteur "utilisé par les lobbys de la FNSEA" qui mène une "bataille idéologique" contre l'écologie.Dans les Ardennes et la Meuse, c'est un autre sujet écologique qui fait rage. Depuis le 10 juillet, les habitants de 16 communes étalées entre ces deux départements n'ont plus le droit de boire de l'eau du robinet à cause d'une contamination des cours d'eau aux PFAS, ces polluants éternels notamment responsables de troubles de la fertilité, de cancers ou encore de cholestérol. À l'origine de cette contamination, les autorités suspectent une ancienne usine de papeterie laissée à l'abandon, et dont les boues auraient contaminé les terres agricoles environnantes. Face à la colère des habitants et des élus qui découvrent l'ampleur du scandale, le député UDI des Ardennes Jean-Luc Warsmann a saisi le procureur de la République pour qu'il ouvre une enquête.Comment expliquer la mobilisation inédite contre la loi Duplomb ? Qui est le sénateur LR à l'origine de ce texte controversé ? Et pourquoi les PFAS sont au cœur d'un nouveau scandale sanitaire dans l'est de la France ?LES EXPERTS : - François GEMENNE - Professeur à HEC, président du conseil scientifique - Fondation pour la nature et l'homme- Rachel GARRAT-VALCARCEL - Journaliste politique- Lorene LAVOCAT - Journaliste - Reporterre- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de Métamorphoses françaisesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM :https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:14:36 - Journal de 7 h - Retour dans ce journal sur la loi agricole Duplomb qui n'aura finalement pas été débattue à l'Assemblée, mais directement renvoyée en commission mixte paritaire. C'est ce que souhaitait notamment la FNSEA.
durée : 00:14:36 - Journal de 7 h - Retour dans ce journal sur la loi agricole Duplomb qui n'aura finalement pas été débattue à l'Assemblée, mais directement renvoyée en commission mixte paritaire. C'est ce que souhaitait notamment la FNSEA.
durée : 00:04:46 - Le Reportage de la rédaction - C'est le texte qui cristallise les tensions entre les agriculteurs de la FNSEA et les députés écologistes : la proposition de loi Duplomb, aussi appelée "loi entraves", arrive ce lundi 26 mai à l'Assemblée. Censée répondre aux attentes des agriculteurs, elle a été largement modifiée en commission.
durée : 00:14:28 - Journal de 7 h - Elle cristallise les tensions entre les agriculteurs de la FNSEA dont le texte liste les demandes et les opposants, élus , associations, scientifiques et d'autres agriculteurs également.
durée : 00:24:27 - 8h30 franceinfo - Le président de la FNSEA était l'invité du "8h30 franceinfo", lundi 26 mai 2025.
durée : 00:14:28 - Journal de 7 h - Elle cristallise les tensions entre les agriculteurs de la FNSEA dont le texte liste les demandes et les opposants, élus , associations, scientifiques et d'autres agriculteurs également.
L'émission 28 minutes du 26/05/2025 Il défend les gorilles et les macaques, des singes si proches de nousCédric Sueur est éthologue et primatologue. Ce spécialiste du comportement des primates publie "Le dernier gorille" (aux éditions Tana), un ouvrage dystopique qui mélange connaissances scientifiques et fiction. Son livre s'inspire du roman “Je suis une légende” de Richard Matheson, publié en 1954. Cédric Sueur imagine l'histoire du dernier gorille sur Terre, traqué sans relâche par les humains. L'auteur choisit de plonger "le lecteur dans une expérience unique : adopter la perspective d'un gorille", en mettant à disposition son savoir sur ces animaux : leur rapport aux autres espèces, leur manière de porter le deuil, ou encore leur communication gestuelle. Pesticides, méga-bassines : faut-il "lever les contraintes" qui pèsent sur l'agriculture ?Lundi 26 mai, les agriculteurs français manifestent à l'appel de la FNSEA, rejointe par les Jeunes Agriculteurs. En tracteur devant l'Assemblée nationale, les agriculteurs rappellent aux députés leur attachement à la loi Duplomb, examinée en deuxième lecture. Ce texte de loi "visant à lever les contraintes à l'exercice du métier d'agriculteur" contient des propositions qui divisent les députés et le monde agricole, telles que l'autorisation d'un néonicotinoïde pourtant interdit depuis 2018 ou l'assouplissement des règles du prélèvement et du stockage de l'eau. Pour la FNSEA, la loi Duplomb "corrige ce qui grippe la machine agricole française". A contrario, la Confédération paysanne dénonce un texte "au service d'un système agro-industriel", une position tenue de concert avec des députés de gauche et écologistes, inquiets des reculs environnementaux qui pourraient être entérinés. Le débat se structure une fois de plus entre défense de l'environnement et du modèle agricole français. Si ce dernier veut rester compétitif, doit-il continuer à tendre vers l'agro-industrie ?Enfin, Xavier Mauduit nous parle de l'histoire du cinéma iranien, après l'attribution de la Palme d'or 2025 à Jafar Panahi. Marie Bonnisseau nous emmène en Grèce, où la citoyenneté sera enfin accordée aux enfants nés dans le pays avant 1976 mais adoptés à l'étranger. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 26/05/2025 Pesticides, méga-bassines : faut-il "lever les contraintes" qui pèsent sur l'agriculture ?Lundi 26 mai, les agriculteurs français manifestent à l'appel de la FNSEA, rejointe par les Jeunes Agriculteurs. En tracteur devant l'Assemblée nationale, les agriculteurs rappellent aux députés leur attachement à la loi Duplomb, examinée en deuxième lecture. Ce texte de loi "visant à lever les contraintes à l'exercice du métier d'agriculteur" contient des propositions qui divisent les députés et le monde agricole, telles que l'autorisation d'un néonicotinoïde pourtant interdit depuis 2018 ou l'assouplissement des règles du prélèvement et du stockage de l'eau. Pour la FNSEA, la loi Duplomb "corrige ce qui grippe la machine agricole française". A contrario, la Confédération paysanne dénonce un texte "au service d'un système agro-industriel", une position tenue de concert avec des députés de gauche et écologistes, inquiets des reculs environnementaux qui pourraient être entérinés. Le débat se structure une fois de plus entre défense de l'environnement et du modèle agricole français. Si ce dernier veut rester compétitif, doit-il continuer à tendre vers l'agro-industrie ?On en débat avec Aurélie Catallo, directrice du programme Agriculture France à l'IDDRI, Damien Greffin, agriculteur céréalier à Étampes, vice-président de la FNSEA et Laure Ducos, ingénieure AgroParisTech, coordinatrice générale de l'ONG Bloom.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 26 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:51 - Le Billet de François Morel - par : François MOREL - Bonjour, je suis responsable syndical à la FNSEA, et ce matin je suis Ici à Caen. Parce que c'est fini France Bleu maintenant, c'est Ici. Où ça ? Toujours pareil mais à Caen ?
Avec : Arnaud Rousseau, président de la FNSEA. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Apolline de Malherbe et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
durée : 00:28:41 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Pauline Maucort - Depuis toujours, il travaille à la ferme. Mais les conditions de travail sont de plus en plus rudes, et les finances alarmantes. Il y a un an, il décide d'aller manifester pour la première fois. Depuis, déçu par la FNSEA, il a pris sa carte à la Coordination Rurale, mais les ennuis s'accumulent. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
durée : 00:28:41 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Pauline Maucort - Depuis toujours, il travaille à la ferme. Mais les conditions de travail sont de plus en plus rudes, et les finances alarmantes. Il y a un an, il décide d'aller manifester pour la première fois. Depuis, déçu par la FNSEA, il a pris sa carte à la Coordination Rurale, mais les ennuis s'accumulent. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
durée : 00:33:06 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Comment expliquer que la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles soit toujours aussi dominante dans le monde agricole français ? Éléments de réponse avec Alexandre Hobeika, chercheur en sciences politiques. .... - réalisé par : Jérôme BOULET
durée : 00:14:33 - Journal de 8 h - La FNSEA donne rendez-vous à Grenoble à partir de ce mardi pour son Congrès annuel.
durée : 00:14:33 - Journal de 8 h - La FNSEA donne rendez-vous à Grenoble à partir de ce mardi pour son Congrès annuel.
durée : 00:14:33 - Journal de 8 h - La FNSEA donne rendez-vous à Grenoble à partir de ce mardi pour son Congrès annuel.
Las sedes de la policía ambiental francesa han sido blanco de decenas de ataques desde 2023. Sindicatos agrícolas, quienes también piden derogar algunas leyes sobre uso de pesticidas y protección del agua, denuncian controles excesivos de parte de los agentes de esta entidad. En los últimos meses, la oficina francesa de biodiversidad, OFB -o policía ambiental- encargada de hacer cumplir las normas ambientales -como las restricciones sobre los usos de pesticidas- enfrenta una ola de críticas y ataques de los principales sindicatos agrícolas. "En cerca de 20 departamentos hubo vertidos de estiércol y de basura en nuestras oficinas", cuenta un agente de este cuerpo policial.Al considerar las normas ecológicas excesivas, agricultores de varias regiones arremetieron con intimidaciones a los agentes, grafitis, incendios y saqueos contra sedes de esta agencia estatal. Esta ola de ataques inició en 2023 y se intensificaron con la ola de protestas del mundo agrícola francés en 2024 observa Amélie C., agente de OFB, que pidió permanecer en el anonimato. La agencia France Presse ha contabilizado 90 ataques contra sedes locales de la OFB en todo el territorio francés desde 2023.Dicha agencia estatal se ha convertido en un símbolo del supuesto exceso de normas ambientales denunciadas por varios sindicatos agrícolas franceses.“Algunos de estos agentes de la oficina actúan en función de sus convicciones ecologistas personales y quieren quebrantar el sistema agrícola actual. La Agencia Francesa de Biodiversidad (OFB) debería acompañar a los agricultores”, explica a RFI Quentin Le Gouillous, productor francés de cereales, entrevistado durante el Salón de la Agricultura de París.Le Guillous, quién también funge como secretario general del sindicato agrícola conservador Jóvenes Agricultores (JA), mayoritario en el país -junto con el sindicato FNSEA- reconoce que la OFB “tiene que aplicar las leyes y eventualmente imponer sanciones”.“Pero hay casos en los que vecinos llaman sistemáticamente a esta policía ambiental cuando ven que un agricultor rocía sus cultivos con pesticidas. Los agentes de la OFB deberían explicar a esos ciudadanos que los agricultores solo están haciendo su trabajo. Hoy sistemáticamente estas llamadas acaban en denuncias y controles. Llamamos a que haya más sensatez en todo esto", insiste.En el mismo tenor, Laurent Wauquiez, jefe de la bancada de la derecha en la asamblea nacional propuso retirar los financiamientos la policía ambiental y disolverla. Otros políticos piden que los agentes de OFB no puedan portar armas durante el ejercicio de sus tareas de control en las fincas.La arremetida del sector agrícola y de varios políticos de derecha contra el trabajo de la policía ambiental llevó a los agentes de la OFB a cesar el trabajo el 31 de enero.En entrevista con RFI, Amélie C., quien también es representante sindical en OFB, recuerda que sus misiones son esenciales para proteger la biodiversidad y la salud humana. Consisten por ejemplos en patrullajes para el buen cumplimiento de las restricciones de uso del agua en periodos de sequía, investigar delitos como contaminación del agua, vertidos ilegales de combustibles, tala ilegal de vegetación o caza de especies protegidas.“Estamos cansados de repetir que nuestra tarea consiste en revisar no solo a los agricultores sino también las políticas locales, los particulares, las empresas industriales, los cazadores, es decir todas las actividades que impactan la naturaleza”, apunta Amélie C. agente en el terreno y responsable sindical en la policía ambiental francesa.Los cuestionamientos contra la policía ecológica francesa se enmarcan en una ofensiva de los lobbies agroindustriales, apoyados por la derecha francesa, para debilitar las normas ambientales.Sindicatos como la FNSEA piden por ejemplo derogar normas que limitan la tala de bosques o el uso de pesticidas controvertidos como el glifosato o los neonicotinoides, muy peligrosos para los polinizadores.Las recientes declaraciones del primer ministro francés quién indicó que los controles de los agentes de la policía ambiental “humillan” a los agricultores agravaron aún más el malestar de los equipos de la agencia. El próximo 25 de marzo, los agentes de esta policía ambiental francesa realizarán otro paro de actividades para protestar contra la falta de apoyo del gobierno francés.
C dans l'air du 22 février 2025 - Agriculture : la colère couve encoreRien n'était laissé au hasard. Emmanuel Macron a inauguré ce matin le 61e Salon international de l'agriculture au parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. Objectif pour le président de la République : faire oublier le souvenir désastreux de son passage l'année dernière. Le chef de l'Etat avait été très chahuté et sa venue avait été synonyme d'un chaos sans précédent. L'ouverture des grilles avait été retardée et le pavillon 1 avait été fermé au public jusqu'à 15h. Cette fois-ci, l'atmosphère est plus détendue. Emmanuel Macron l'explique par "des textes qui sont passés" et "le travail qui est fait par le gouvernement". La loi de programmation agricole votée tout juste avant le début de l'événement a en effet sans doute favorisé l'accueil du locataire de l'Elysée. Le texte a été salué par la FNSEA, le principal syndicat d'exploitants agricoles. Ces derniers sont notamment satisfaits que les produits phytosanitaires ne puissent plus être interdits sans qu'une solution de remplacement n'ait au préalable été trouvée. Suffisant pour apaiser la colère du monde agricole ? Rien n'est moins sûr. Les agriculteurs se plaignent de leurs revenus insuffisants et attendent du concret. Ils sont vent debout contre le Mercosur, ce traité de libre-échange entre l'Union Européenne et les pays d'Amérique du Sud. Car en décembre dernier, la présidente de la Commission Européenne a en effet finalisé les termes de ce traité qui devra être soumis aux Etats membres et aux eurodéputés. Ursula Von der Leyen a décidé de passer en force, malgré l'opposition de la France et de la Pologne. Emmanuel Macron a donc tenté de rassurer les agriculteurs. Il affirme que la France cherchera, avec les autres pays opposés, une minorité de blocage pour que le traité ne soit pas adopté. Dans les allées du salon, le chef de l'Etat a tenu à délivrer un message : "Le cap est clair : on défend la souveraineté agricole et la production. On ne veut pas de décroissance agricole, ni en France ni en Europe".Ce salon s'ouvre dans un contexte post-électoral dans les chambres d'agriculture. Le dernier scrutin a vu la majorité syndicale de la coalition FNSEA-Jeunes agriculteurs grignotée par la bouillonnante Coordination rurale. Ce syndicat, adepte des coups d'éclat médiatiques, l'a emporté dans 14 départements, contre trois auparavant. Une percée importante pour une organisation qui partage souvent le vocabulaire, la colère et les solutions du Rassemblement national. Dans plusieurs départements, comme le Lot-et-Garonne ou encore l'Aude, les liens sont palpables. Le député RN Christophe Barthès est par exemple un ancien cadre du syndicat. Alors, la Coordination rurale roule-t-elle pour le RN ? C dans l'air est allé poser la question au probable futur président de la chambre d'agriculture du Gers. Au-delà du seul RN, de nombreux agriculteurs aux bonnets jaunes se sont récemment affichés aux côtés de membres de l'extrême droite, comme Jordan Bardella, Eric Zemmour ou encore Sarah Knafo.Loin des manœuvres politiques, l'intelligence artificielle s'invite dans les fermes. En Ille-et-Vilaine, une exploitation de vaches laitières a adopté depuis deux ans des capteurs placés sur leurs animaux. Grâce à eux, les agriculteurs récoltent des données et ont de meilleures prédictions pour déterminer, par exemple, la période de fécondité des vaches. Ils gagnent en productivité et se libèrent du temps. Cette technologie, vécue comme un progrès dans l'exploitation, est à l'essai dans une vingtaine d'autres fermes.Quelle est la situation du secteur agricole français, alors que s'ouvre le 61e Salon de l'agriculture ?La Coordination rurale roule-t-elle pour le RN ?Comment la technologie va-t-elle venir en aide aux exploitants agricoles ?Les experts :- Frédéric DENHEZ - Journaliste - Spécialiste des questions environnementales - Marianne- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges »- Olivia DETROYAT - journaliste économie-Le Figaro- Lou FRITEL - journaliste politique - Paris Match
Nos reporters sont partis dans le Tarn-et-Garonne, dans le Sud de la France, à la rencontre des agriculteurs en colère, qui se battent pour préserver un modèle bouleversé.
C dans l'air du 11 décembre - Le nom du nouveau Premier ministre connu aujourd'hui ou demain. C'est la promesse faite par Emmanuel Macron au cours de la réunion des forces politiques représentées à l'Assemblée nationale, hors RN et LFI, hier. Reçus à l'Elysée, l'ensemble des dirigeants politiques se sont dit prêts à des compromis, tout en fixant des conditions : un chef de gouvernement de gauche pour les uns, pas de programme de gauche pour les autres. Alors une semaine après le vote de la motion de censure contre le gouvernement Barnier, qui pour lui succéder à Matignon ? Ce mercredi, les discussions se poursuivent. Mais "il n'y a actuellement pas de socle plus large que celui qui est en place aujourd'hui", a déclaré la porte-parole du gouvernement démissionnaire, Maud Bregeon ajoutant "qu'il restait donc désormais à savoir si certains étaient prêts à élargir ce socle ou à s'accorder sur un principe de non-censure". En attendant, le projet de loi spéciale sur le budget, pour assurer "la continuité de l'Etat" , a été présenté lors du Conseil des ministres. Ce texte a pour but "d'éviter un shutdown", selon les mots du ministre démissionnaire du Budget et des Comptes publics. Cette mesure, permise par l'article 45 de la loi organique relative aux lois de finances, avait été annoncée jeudi 5 décembre par Emmanuel Macron dans son allocution télévisée. La censure du gouvernement Barnier a en effet laissé en suspens l'examen au Parlement du projet de budget pour 2025, dont notamment les promesses faites par l'exécutif aux agriculteurs mobilisés depuis plusieurs semaines et qui ont décidé pour certains de diriger leur colère contre les parlementaires. En une semaine, plus de trente députés ont vu leur permanence en régions dégradée. Ces actions, le plus souvent revendiquées par la FNSEA, ont surtout visé des députés du Nouveau Front populaire et du Rassemblement national. Des agriculteurs ont notamment emmuré le siège drômois du RN, à Valence, et ont tagué sur les parpaings un message : "La censure nous met dans le mur".Une situation politique qui inquiète également le monde économique. Le président du Medef Patrick Martin vient d'écrire au futur Premier ministre. Dans ce courrier diffusé sur les réseaux sociaux, il évoque l'impact de "l'instabilité politique" sur "l'économie réelle" et l'urgence d'obtenir de la visibilité sur le nouveau budget pour la France. "Je pense qu'au moment où je vous parle, nous sommes déjà rentrés en légère récession. Toutes les dernières estimations publiques ou d'organismes économiques, à demi-mot, le disent", affirme Patrick Martin. Selon lui, "certains indicateurs sont particulièrement inquiétants : la moitié des investisseurs étrangers qui disaient vouloir investir en France ont suspendu voire annulé leur projet. Autre signal d'alerte, nous comptabilisons 66.000 dépôts de bilan cette année. Un record historique."Alors comment sortir de la crise ?Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Lou FRITEL - Journaliste – Paris Match - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche- Anne-Charlène BEZZINA - Politologue et constitutionnaliste