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Pas de poignée de main, hier, jeudi 4 décembre, à Washington entre Paul Kagame et Félix Tshisekedi, malgré la signature d'un accord de paix entre le Rwanda et la République démocratique du Congo. Les deux chefs d'État ont remercié leur homologue américain Donald Trump pour ses efforts en faveur de la paix, mais ont tenu des discours d'une grande prudence sur les chances de succès de cet accord. Zobel Behalal est expert senior à la Global Initiative Against Transnational Organised Crime (GI-TOC), c'est-à-dire l'Initiative mondiale contre le crime organisé transnational. Il livre son analyse au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Qu'est-ce que vous avez pensé de cette cérémonie hier soir à Washington ? Zobel Behalal : Écoutez, le président Trump a réussi un grand coup diplomatique. Il a réussi à amener à Washington deux chefs d'État qui ne se sont pas rencontrés depuis longtemps. Mais on se rend aussi compte qu'il était le seul à être content dans cette salle, parce que les présidents congolais et rwandais, à travers leur langage corporel, ont montré qu'ils n'étaient pas très engagés pour cette signature. Apparemment, en tout cas, il n'y a pas eu de poignée de main entre les deux chefs d'Etat du Congo et du Rwanda ? Ça illustre le très peu d'engagement de ces deux chefs d'État, le très peu d'entrain à venir signer ces accords. On sait, à partir des sources dans les différents pays, que le président Tshisekedi et le président rwandais n'ont pas pu résister à la pression exercée depuis plusieurs mois par l'administration Trump. Et voilà le résultat que ça a donné, ce sentiment de défiance dans la salle, l'absence de poignée de main qui fait douter de la portée de cet événement du 4 décembre. Et visiblement, les deux chefs d'État s'évitaient du regard pendant toute la cérémonie. Alors, pendant son discours, le Rwandais Paul Kagame a dit : « Il y aura des hauts et des bas ». Est-ce à dire qu'il ne suffit pas de signer un accord pour que la paix revienne ? Absolument. J'ai envie de dire qu'il y aura un peu plus de bas que de hauts d'ailleurs. Lorsqu'on regarde le terrain aujourd'hui, avec la poursuite des affrontements entre le M23 et l'armée congolaise, on a de grosses inquiétudes. Et malheureusement, les populations à l'est de la RDC ne vont pas se réveiller demain, la semaine prochaine, avec un horizon un peu plus apaisé. Le Congolais Félix Tshisekedi, dans son discours, a eu ce mot : « Nous espérons que le Rwanda fera preuve du même sérieux que nous »... C'est la raison pour laquelle, même si on peut se réjouir du fait que, et ça, c'est à mettre au crédit de l'administration Trump, que l'économie soit revenue au centre du jeu… On est aussi forcé à la prudence sur l'avenir de cet accord qui a été signé hier. Oui, parce que ce que sous-entendait le président congolais, c'était l'espoir que les Rwandais retirent leurs troupes du Congo ? Le président congolais ne cesse de le dire. Il a encore répété devant la diaspora congolaise lors d'une visite à Belgrade « Rien ne se fera tant que le Rwanda ne sera pas parti du Congo ». Et les Rwandais disent à leur tour que rien ne se fera tant que les Congolais n'auront pas combattu les FDLR. Et l'un des documents de cet accord dit clairement que le Cadre régional d'intégration économique ne sera pas mis en œuvre tant que ces mesures-là ne seront pas achevées. Donc, on est ici dans la satisfaction d'avoir eu les deux chefs d'État qui viennent à Washington pour le bonheur du président Trump, mais on est face aussi à l'inquiétude pour le quotidien des populations congolaises. Et quand le président burundais Evariste Ndayishimiye a déclaré « s'engager, c'est une chose, mettre en œuvre est une autre chose », est-ce qu'il n'a pas résumé l'opinion générale ? Absolument. On parle ici d'un président qui connaît bien la région, qui connaît bien les différents protagonistes, qui est d'ailleurs en froid, le Burundi est d'ailleurs en froid avec le Rwanda. Donc, ils sont tous conscients des difficultés énormes, de l'Himalaya vers lequel on s'engage aujourd'hui en signant cet accord. Mais prenons l'exemple de la mine de Rubaya, qui produirait 15 % du coltan mondial et qui se trouve actuellement sous le contrôle du M23. Est-ce qu'avec les accords signés hier, on va pouvoir tracer le coltan qui part de cette mine de l'est du Congo vers le Rwanda et ensuite vers le marché occidental ? La mine de Rubaya, depuis plusieurs années, est une source du financement du conflit. Les minerais qui sont exploités à Rubaya, déjà, avant la présence du M23 qui l'occupe aujourd'hui, étaient blanchis et continuaient à être blanchis au Rwanda. Les processus de traçabilité existaient déjà, mais les acteurs sur le terrain avaient réussi à les contourner. C'est vrai que, dans les accords qui ont été signés à Washington, il y a une dimension de traçabilité de ces minerais. Mais, je pense que si cette traçabilité n'a pas été efficace à 100 % avant, il n'y a pas de raison qu'elle le soit demain sans un changement radical. Le point sur lequel on veut insister, c'est la présence des réseaux du crime transnational organisé, qui ont intérêt à ce que ce désordre continue, parce que, grâce à ce désordre, ils peuvent s'enrichir. Donc, tant qu'on n'aura pas adopté des mesures tangibles pour lutter contre ces réseaux du crime transnational organisé, toutes les autres mesures seront inefficaces. Et quand je regarde les accords qui ont été signés, je n'ai pas l'impression qu'on se soit engagé vers cette logique-là. À lire aussiRDC-Rwanda: sous l'égide de Trump, Tshisekedi et Kagame signent un accord de paix
Fouad Berlin et Hugo AH lancent le nouveau format tant attendu : les Analyses Patrimoniales d'Auditeurs ! Dans ce premier épisode explosif, ils décortiquent trois profils très différents (Paul, Morgan et Fred) qui, malgré des patrimoines bruts respectables, sont confrontés à des blocages majeurs dus à de mauvaises décisions stratégiques.
Cette semaine, des centaines de scientifiques du monde entier ont rendez-vous à Paris. Ils ont été choisis par l'IPBES, la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques que l'on appelle aussi le « GIEC de la biodiversité ». Ces scientifiques ont pour lourde tâche de synthétiser, en trois ans, l'ensemble des connaissances et données aujourd'hui disponibles pour rédiger le deuxième bilan mondial sur la biodiversité et les écosystèmes qui sera publié en 2028. Entretien exclusif accordé à RFI avec le Kényan David Obura, président de l'IPBES et scientifique de renommée mondiale reconnu pour ses travaux sur les écosystèmes marins et les récifs coralliens. RFI : Qu'est-ce qu'un rapport mondial sur la biodiversité et à quoi sert-il ? David Obura : Notre rapport d'évaluation mondial porte sur la biodiversité et les services écosystémiques. Nous évaluons donc l'état de la nature qui nous entoure, mais aussi la manière dont nous l'utilisons et les services qu'elle nous rend. Nous faisons cela afin d'informer les gouvernements et la communauté internationale, mais aussi tous les acteurs sur le terrain, de ce qu'il se passe autour d'eux et de ce qu'ils peuvent faire pour améliorer la nature qui les entoure et les avantages qu'ils en tirent. Quelles sont les principales avancées depuis le premier rapport mondial sur la biodiversité publié en 2019 ? La prise de conscience collective suscitée par le premier rapport en 2019 a été incroyablement puissante. Ses conclusions scientifiques ont largement inspiré le Cadre mondial de Kunming-Montréal. C'est un accord international adopté en 2022 pour freiner ce déclin de la biodiversité et pour restaurer nos écosystèmes. Mais depuis, les pressions sur la nature se sont intensifiées et la nature continue de décliner. C'est parce que nous consommons toujours davantage. Et ce faisant, nous consommons différentes parties de la nature. Et comme nous ne changeons pas suffisamment nos comportements, l'équilibre entre les populations et la nature reste perturbé. Notre nouveau rapport montrera en détail comment cela se produit, et puis il tentera d'identifier les solutions possibles. Quels sont les éléments essentiels ou les germes de bonnes pratiques que nous pouvons mettre en place pour inverser ces tendances afin d'améliorer et la biodiversité et la vie des gens. Quelles nouvelles thématiques ou angles seront abordés dans ce deuxième rapport d'évaluation mondial ? Alors parmi les nouveaux thèmes, il y en a un qui est très important. On va davantage inclure dans nos travaux les connaissances autochtones et locales des communautés du monde entier et des différentes cultures. Aujourd'hui il est crucial d'ouvrir notre cadre scientifique aux connaissances plurielles. Dans ce rapport, nous allons consacrer un chapitre entier aux représentants des communautés autochtones, qui présenteront leur vision du monde. Un deuxième thème très important est bien sûr l'océan. En 2019, il n'a pas été suffisamment abordé dans le premier bilan mondial. Mais aujourd'hui, nous disposons de beaucoup plus de données scientifiques et de connaissances sur la durabilité des océans, et nous allons donc les intégrer dans notre rapport. Justement : est-ce que l'accès aux données scientifiques sur la biodiversité a-t-il changé ? La disponibilité des données sur la biodiversité s'est améliorée. Il y a beaucoup plus de données disponibles, environ le double de ce qu'il y avait il y a cinq ans. Nous disposons d'instruments bien meilleurs, de systèmes à distance comme les drones, les satellites et les capteurs. Nous disposons donc de plus d'informations. Mais nous devons maintenant être capables de les traiter et de les comprendre. Bien évidemment, il y a toujours des lacunes. Dans certaines régions du monde, les données restent rares, comme dans les pays à faibles revenus ou sur les océans. Pour combler ces lacunes, nous allons devoir investir dans des solutions qui permettent d'accéder à ces connaissances. L'intelligence artificielle est bien sûr très prometteuse. Même si elle suscite beaucoup de préoccupations dont nous devons tenir compte. Quelles seront les priorités dans ce nouveau bilan mondial sur la biodiversité afin de soutenir les politiques publiques efficaces ? Je ne peux pas préjuger de ce que les auteurs de l'évaluation trouveront en termes de hiérarchisation des priorités. Mais le timing est intéressant. Ce nouveau bilan mondial sur la biodiversité sera publié en 2028, deux ans donc avant l'atteinte des objectifs de développement durable fixés par les Nations unies. Bien sûr, c'est trop tard pour améliorer les mesures déjà prises en faveur de ces objectifs de 2030. En revanche, notre rapport pourra vraiment nous aider à mieux comprendre ce qui a fonctionné, ce qui n'a pas fonctionné et pourquoi. Et nous saurons ensuite, quelles priorités il faudra mettre sur l'agenda post-2030. Comment pourrons-nous mieux mettre en œuvre des pratiques de durabilité ? Je suis donc certain que le rapport donnera la priorité à des questions de ce type. C'est l'un des mandats qui nous a été confié par les gouvernements. Des scientifiques américains participeront-ils à la rédaction de cette nouvelle évaluation mondiale sur la biodiversité ? Des scientifiques du monde entier participent à la rédaction du rapport, qui couvre les cinq régions du globe. Les États-Unis font partie de la région Amériques et, bien sûr, nous bénéficions d'une forte participation de leur part. L'Afrique, l'Europe, l'Asie, toutes nos régions sont représentées. Notre base scientifique est mondiale et elle tient toujours compte des contextes locaux. Vous avez dit dans votre discours d'ouverture que vous étiez arrivé sur cette plateforme scientifique de l'IPBES parce que vous êtes scientifique vous-même et que vous ne vouliez plus seulement faire de la science, mais faire en sorte que la science infuse dans les décisions politiques. Est-ce qu'il y a des moments où vous vous sentez désespéré ? Bien sûr, je suis extrêmement préoccupé par la méfiance à l'égard de la science qui existe dans le public et chez certains décideurs. Mais plus encore que la méfiance, ce qui me préoccupe, c'est le doute qui est semé par certaines personnes ou certains secteurs. Le travail que nous devons accomplir en tant que plateforme scientifique consiste donc simplement à mettre en avant une science de qualité et à être très crédibles quant aux connaissances que nous présentons. Nous devons aussi être clairs sur les incertitudes, car nous ne pouvons jamais tout savoir. Mais les gens sont confrontés au changement climatique et à la perte de biodiversité dans leur vie quotidienne. Le travail de l'IPBES sur la biodiversité et les services écosystémiques concerne la manière très concrète dont la nature soutient les populations. Et je pense que c'est très facile à comprendre pour tout le monde si nous le traduisons correctement. C'est l'une des choses les plus importantes que nous devons faire maintenant. Nous n'avons qu'une seule planète. Nous devons vraiment comprendre l'essence de la durabilité et comment chaque personne, chaque entreprise, chaque pays peut contribuer à la préserver. Il est du devoir de chaque habitant de la planète d'utiliser la nature de manière durable et de partager équitablement les avantages que nous procure cette merveilleuse Terre.
durée : 00:38:22 - Aviron Bayonnais, Biarritz Olympique :retour sur les matchs du week-end - Cadre de la sélection de Belgique et pilier droit d'Emak Hor, Maxime Jadot incarne l'essor discret mais ambitieux du rugby belge. Il revient sur l'échec frustrant des Diables Noirs au tournoi de repêchage de Dubaï, et partage sa double vie entre Fédérale 2 au Pays Basque et aventure internationale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cet épisode de Cadre bâti a été réalisé en collaboration avec Culture Montréal à la suite de son forum Soin, culture et territoire, tenu le 5 juin 2025 (pour en savoir plus).Il y a des conversations qui ne se livrent pas d'un coup. Elles se dévoilent comme une ville qu'on arpente à pied : un coin de rue, une vibration, un détail révélateur. Cet épisode en fait partie.Pour cette exploration, Emile et Guillaume reçoivent Pascal Le Brun-Cordier. Professeur associé à la Sorbonne, directeur de Villes In Vivo, responsable d'un master consacré aux projets culturels dans l'espace public, mais surtout, pour qui sait écouter, Pascal est un praticien de la ville sensible. Son récent ouvrage, La Ville relationnelle, coécrit avec Sonia Lavadinho et Yves Winkin, ne se contente pas de proposer une autre lecture de l'urbanisme ; il invite à reconnaître que les liens — humains, sonores, émotionnels — sont le véritable tissu de nos milieux de vie.Avec Pascal, la discussion glisse naturellement des principes aux sensations. On parle d'espaces publics, de scénarios urbains et de politiques culturelles, mais aussi de bruits de fond, de musiques qui accompagnent une marche, de rencontres essentielles pour comprendre ce qui fait communauté. On s'aventure sur le terrain de l'intime, là où se forge cette capacité à capter ce que la ville dit quand elle semble silencieuse.Ce qui se dessine peu à peu, c'est une vision profondément incarnée de l'urbanisme culturel : une ville qui n'est pas seulement aménagée, mais interprétée ; une ville qui se fabrique dans l'écoute autant que dans la planification. À travers ses exemples, Pascal montre comment l'espace public peut devenir un atelier ouvert, où se croisent création, participation et désir de collectif.Si cette conversation touche autant, c'est peut-être parce qu'il rappelle que transformer la ville ne commence pas par de grands gestes, mais par une attention renouvelée au quotidien. Par la reconnaissance que chaque rencontre, chaque ambiance, chaque trace sonore peut devenir le point de départ d'un imaginaire urbain plus fertile — et, surtout, plus humain.
Samedi dernier, c'était France-Australie. Et ça m'a fait quelque chose car mon premier match au Stade de France, le 27 novembre 2010, était justement un France –Australie. Et nous avions perdu : 16 à 59. Et pourtant j'étais content, là haut proche du périphérique, avec le club de Senlis et mon jambon beurre préparé avec amour par ma maman.Depuis 2010 donc, 2 choses ont changé : ce n'est plus mon sandwich qui est complètement beurré mais mon copain Hélios, et la France assure sans trop de problème une victoire contre une nation majeure du rugby : l'Australie.Pour gagner il faut des joueurs, et c'est d'eux dont nous allons parler aujourd'hui. Qui sont les hommes qui ont marqué ce match et marqué cette série de novembre? (6) Qui sont ceux qui marquent ? Ceux qui se démarquent ? Ceux que l'on ne remarque plus ? C'est qui Marc ? Au programme: Le conseil de classe de la tournée de novembre00:00 - Intro02:14 - Les coachs08:36 - Les avants21:59 - Les arrières37:02 - La question de la semaine: Est-on mal barrés pour le VI Nations?Pour plus de Rugby Chaud au quotidien, viens faire un tour sur nos réseaux :Insta - https://www.instagram.com/lerugbychaud/Tiktok - https://www.tiktok.com/@lerugbychaudLe Podcast audio dispo sur toutes les plateformes (Deezer, Spotify, Apple Podcasts...)Le Rugby Chaud, c'est chaud gros!
Caritas Alsace alerte sur une précarité qui s'enracine. La précarité ne frappe plus seulement, elle s'installe durablement. C'est l'alerte lancée en Alsace par Caritas, à l'occasion de la publication du 30ème rapport annuel du Secours Catholique. Lors d'une conférence de presse ce vendredi, le directeur, Louis-Marie Perrin, a rappelé une réalité préoccupante : les demandes d'aide explosent, touchant particulièrement les femmes et les enfants. Selon l'OCDE, il faudrait désormais six générations pour sortir de la pauvreté. En 2024, Caritas Alsace a accompagné plus de 20 000 foyers, contre un peu plus de 13 000 l'an dernier. Les femmes représentent 58% des personnes accueillies et près de 20 000 enfants ont bénéficié d'un soutien direct ou indirect. A quelques mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars prochain, une nouvelle dynamique se dessine à Ribeauvillé. Valérie Coutret et son collectif “Ribeauvillé 2026” se lancent dans la course en souhaitant offrir une alternative aux habitants de la commune, dirigée par Jean-Louis Christ depuis 2001. Cadre en ressources humaines, elle se dit “facilitatrice du changement”. On l'écoute. La liste du collectif rassemble des profils variés: retraités ayant une expérience dans l'industrie, chefs d'entreprise, jeunes de moins de 30 ans, cadres du secteur social... De nouveaux colistiers sont toujours les bienvenus, particulièrement les femmes. D'après Valérie Coutret, un certain nombre de femmes s'inquiètent de leurs compétences et elle les invite, je cite, à "passer au-dessus de ça". Retrouvez l'entretien complet sur notre site internet, azur-fm.com. Alors que les températures continuent de baisser ces derniers jours, la Ville de Colmar rappelle que le déneigement relève de la responsabilité des habitants. Comme chaque année, de fin novembre à mi-mars, la Ville active son plan de viabilité hivernale pour assurer le déneigement et le salage des 250 km de voirie. Conformément au droit local en Alsace-Moselle, chaque résident doit déblayer et saler le trottoir situé devant son domicile, sur une largeur d'environ 1m50. S'il n'y a pas de trottoir, la même largeur doit être dégagée. Colmar propose également une aide au déneigement pour les habitants dans l'incapacité d'assurer cette tâche. La Ville peut prendre en charge partiellement ou totalement cette prestation pour les personnes âgées de plus de 70 ans, les personnes handicapées avec une invalidité supérieure à 80% ou celles en incapacité temporaire.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alan Styles- 35 years of combination experience. Fire Chief of Dalton Township Fire Department in Michigan. Cadre member with Build Your Culture LLC. When I asked Alan to come on and talk shop he was hesitant at first. He didn't understand why I asked him. When you hear Alan talk the mindset he has towards the fire service is what most Firefighters want to hear coming from their respective Chief's. As Alan states he is definitely a “Unorthodox” Fire Chief but isn't bothered by the opinions of others. Alan's message revolves around accountability, EGO, family, Brotherhood & servant leadership. What I would like for the listeners to understand is at the end of the day YOU have to be able to look yourself in the mirror and ask yourself with what you accomplished are you ok with every decision that was made? If not what are you going to do to better yourself and those around you? Alan didn't hold anything back. It was raw & honest and frankly we need more of this within the fire service. IG: papachief1
Cadre en ressources humaines dans la fonction publique, Valérie Coutret se définit comme "facilitatrice du changement" et son équipe prône une approche résolument participative qu'elle résume avec une phrase : "Prendre le pouvoir pour le partager", reprenant le principe des listes citoyennes soutenues par Action Commune et Fréquence Commune. La liste du collectif rassemble des profils variés : retraités ayant une expérience dans l'industrie, chefs d'entreprise, jeunes de moins de 30 ans, cadres du secteur social... De nouveaux collistiers sont toujours les bienvenus, particulièrement les femmes. "Un certain nombre de femmes s'inquiètent de leurs compétences, les mêmes qui se débrouillent dans la vie tous les jours et qui prennent dix décisions à la minute", regrette la candidate, qui les invite à "passer au-dessus de ça". Lien vers l'article complet : https://www.azur-fm.com/news/municipales-2026-a-ribeauville-pour-la-premiere-fois-depuis-24-ans-deux-listes-s-affrontent-2580 Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, j'ai voulu aborder la nuance entre ce qui appartient à du cadre VS ce qui appartient à du contrôle, dans l'alimentation. Parce que oui, la barrière est fine entre les deux, mais il est important, à mes yeux, que tu comprennes la nuance.Beaucoup de personnes alternent entre deux extrêmes : l'hypercontrôle (peser, calculer, surveiller…) et la perte de contrôle. Et lorsque l'on sort du contrôle, on a parfois l'impression de “se laisser aller”, de perdre ses repères… d'où l'importance de garder un cadre sécurisant et flexible.Dans cet épisode de podcast, je t'explique : la différence profonde entre ce qui soutient (le cadre) et ce qui enferme (le contrôle), comment reconnaître ce qui appartient à l'un ou à l'autre, comment reconstruire un cadre nourrissant, sécurisant et flexible mais aussi pourquoi le vrai lâcher-prise n'est pas d'abandonner toute structure. L'objectif étant de t'aider à sortir de la rigidité, sans tomber dans le chaos, en retrouvant un espace où l'alimentation redevient vivante, ajustable, et alignée avec ton corps.____Pour me soutenir et si vous avez apprécié l'épisode, n'hésitez pas à noter le podcast et même le partager autour de vous
En RDC, voilà bientôt 10 mois que, face à la guerre à l'Est, l'Église catholique et les églises protestantes réclament un dialogue national inclusif. Mais le président Tshisekedi fait la sourde oreille. Est-ce à dire que le projet tombe à l'eau ? Pour les catholiques, Mgr Donatien Nsholé est le secrétaire général de la Cenco, la Conférence épiscopale nationale du Congo. Et pour les protestants, le Révérend Eric Nsenga est le secrétaire général de l'ECC, l'Église du Christ au Congo. De passage à Paris, tous deux répondent aux questions de Patient Ligodi et de Christophe Boisbouvier. À lire aussiConflit dans l'est de la RDC: où en est le dialogue national porté par les confessions religieuses? À lire aussiCrise dans l'est de la RDC: pour l'opposant Martin Fayulu, le dialogue entre Congolais reste déterminant
Plusieurs rassemblements ont eu lieu ce samedi 22 novembre en hommage à Mehdi Kessaci, assassiné par deux hommes à moto le 13 novembre dernier à Marseille. L'enquête sur sa mort se poursuit. Mais l'hypothèse envisagée est celle d'un "crime d'avertissement" adressé à son frère Amine, militant écologiste contre le narcotrafic. Amine O., décrit comme un cadre de l'organisation criminelle marseillaise DZ Mafia, a-t-il joué un rôle depuis sa cellule de prison? On pose la question à Boris Kharlamoff, journaliste au service police-justice de BFMTV.
Veillée en direct de l'Eglise Saint Supplice , sur le thème de " Dieu agit" dans le cadre du Congrés Mission
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
durée : 00:08:08 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Christel Heydemann, directrice générale d'Orange, est notre invitée à 7h50. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:08:08 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Christel Heydemann, directrice générale d'Orange, est notre invitée à 7h50. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Sites internet : https://www.actionlogement.fr/ https://chanteloup-les-vignes.fr/ https://groupe.actionlogement.fr/comites-regionaux-et-territoriaux
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Aaron recently retired as a 25-year veteran of Seattle Fire and assumed the role of Assistant Chief of Training and Operations with Camano Island Fire and Rescue in August of 2025. Acknowledged by his peers at Seattle FD as Firefighter of the Year in 2011, awarded the Fire Engineering/International Society of Fire Service Instructors George D. Post Instructor of the Year award in 2017, and creator of the Nozzle Forward Program, Aaron has been described as articulate, dynamic and magnetic. He identifies most as a 'Sharer of ideas'. He and his Cadre have taught over 70,000 members of the fire service across North America since the program's inception. He has delivered a keynote at FDIC and contributed to the work of the FSRI as a member of their Fire Attack Technical Panel. He is married with two children. Sponsorship: @southwest_fire_academy Editing: @bradshea Marketing: @m.pletz Administration: @haileygreenfitness Partnership: @firefighternationhq Mid-roll Sponsor: @rescue_squad_ironworks Photo Credit: @justinidephotography
Un accord-cadre a été signé à Doha entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23, sous médiation qatarienne. Ce texte, centré sur le cessez-le-feu et l'échange de prisonniers, marque une étape vers une paix attendue depuis plus de trois ans. Mais sur le terrain, la tension reste vive. Les négociations doivent se poursuivre sur des points cruciaux, dont la restauration de l'autorité de l'Etat dans les zones passées sous contrôle rebelle et des déplacés.
Send us a textPeaches and Trent are back in the team room—no script, no filter, and somehow their best Operator Training Summit yet. Coming straight off the Nashville event, they pull the curtain back on what really happens when 40 candidates, a handful of coaches, and a mountain of gear collide in one turf-covered facility.Peaches dishes on how sleeping indoors, training for 11 hours in the pool, and running the dreaded 10-ups turned chaos into confidence. Trent talks logistics, lessons learned, and how every OTS somehow tops the last. Together they lay out what's coming next—Vegas, Europe, and maybe a few surprises along the way.Then the gloves come off as they shift from pool decks to policy: leadership gone soft, PME that teaches nothing, and a culture allergic to accountability. Peaches and Trent don't rant—they coach the Air Force on how to get its edge back. This one's equal parts after-action report and open challenge to anyone who's lost their fire.⏱️ Timestamps: 00:00 – Intro: Still No Plan – Peaches and Trent wing it… and it works. 02:00 – Nashville OTS Recap – The best one yet, turf sleeping bags included. 05:00 – The Cadre's Eye View – Behind the curtain of what it takes to run elite training. 07:30 – Ten-Ups and Truth Bombs – Why candidates ask for pain and get better for it.10:00 – Lessons from the Pool – Cramps, chaos, and why nutrition matters more than pride.17:00 – Vegas on Deck – Red Rock camping, deep water, cold nights, and full send.23:00 – Europe Calling – OTS may be headed overseas—Peaches wants to hear from you.27:00 – Ship Dates & Strategy – The smarter way to prep before you ship out.32:00 – New Boss, Same Problems – Air Force leadership talk, from fat generals to name-tag nonsense.43:00 – Chief Wolf Incoming – Peaches' wish list for the next Chief: fire people, fix PME, kill the buzzwords.46:00 – Managers, Not Messiahs – Stop worshiping “leadership” and start managing your craft.56:00 – Accountability Over Everything – Changing the culture one call-out at a time.59:00 – OTS, Merch, and Movement – Join the next event, grab your shirt, and get in the fight.
Depuis la loi du 26 juillet 2019 pour une école de la confiance, tout jeune de 16 à 18 ans a l'obligation de se trouver dans une situation de formation, d'emploi ou d'accompagnement vers l'insertion. Cette mesure vise à prévenir le décrochage scolaire et à garantir que chaque adolescent puisse construire un projet professionnel, quel que soit son parcours antérieur.Concrètement, cette obligation ne se limite pas à une scolarisation classique. Elle englobe plusieurs possibilités : poursuivre des études dans un lycée ou un CFA, suivre une formation professionnelle, occuper un emploi ou un service civique, ou encore bénéficier d'un accompagnement personnalisé pour élaborer un projet d'avenir. L'objectif est clair : éviter que des jeunes sortent du système éducatif sans diplôme ni perspective.Le rôle clé des Missions localesLes Missions locales jouent un rôle central dans la mise en œuvre de cette obligation. Présentes sur tout le territoire, elles accueillent les jeunes sortis du système scolaire sans solution et les accompagnent vers une insertion sociale et professionnelle durable. Après un entretien personnalisé, un conseiller aide le jeune à définir un projet adapté à ses envies, ses compétences et ses besoins. Cela peut passer par une reprise de formation, un contrat d'apprentissage, un emploi aidé ou encore des actions de remobilisation.Les Missions locales travaillent en lien étroit avec les établissements scolaires, les CFA, Pôle emploi et les collectivités locales. Elles assurent ainsi un véritable filet de sécurité pour éviter que les jeunes de 16 à 18 ans ne se retrouvent isolés ou sans accompagnement.Un enjeu de sociétéL'obligation de formation n'est pas une sanction, mais un droit à l'accompagnement. Elle traduit la volonté de l'État d'assurer à chaque jeune la possibilité de construire son avenir, même après un parcours difficile. Les familles ont également un rôle à jouer : en restant attentives, elles peuvent orienter leur enfant vers une Mission locale ou un établissement d'accueil pour qu'il bénéficie de cet accompagnement gratuit et personnalisé.Merci Olivier Gaillet pour vos explicationsℹ️ SUIVEZ L'ACTUALITÉ DE L'ORIENTATIONInscrivez-vous à la newsletter Les Clés de l'orientation : https://azimut-orientation.com/abonnez-vous-a-la-newsletter/ (vous recevrez en cadeau un guide téléchargeable)
« samedi 22 et dimanche 23 novembre, vivez la nouvelle édition du salon des artisans d'art dans le cadre prestigieux du château de la Mercerie ! […]
durée : 00:00:36 - Un poste est proposé pour un cadre socio-éducatif à Boulazac-Isle-Manoire en Dordogne - Le Centre Ailhaud Castelet de Boulazac Isle Manoire est actuellement à la recherche de son nouveau Cadre Socio-Éducatif. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:00:33 - En Dordogne, une boulangerie à reprendre à Saint-Estèphe - C'est le mois de la transmission en Nouvelle-Aquitaine avec la Chambre des Métiers et de l'Artisanat en Dordogne qui vous propose de reprendre une boulangerie au cœur du village de Saint-Estèphe près de Nontron...... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
16 years of combination experience. Firefighter 2 on Tower 18 with Charlotte Fire Department. Cadre member with Truck Company Ops. Chad was always aware of the fire service but it wasn't exactly what he wanted to be. Like many young adults his career aspirations wasn't narrowed down to one field. It wasn't until he was in college that the notion started to come alive of the fire service and with that he packed up his things moved back home and enrolled in classes that pertained to fire. Eventually getting on a volunteer organization and after a few years began applying to career Departments. Chad is all in when it comes to the job and anything related to Truck work. I want the listeners to tune in when Chad talks about his experience, the mentors he surrounds himself with along with his fire service journey and where he is today. IG: chad_zerfoss
Concerned about the ROTC scholarship process with this year's government shutdown? Here's the truth. ROTC programs are strained but operational. Cadre are backfilling furloughed civilian roles, Army slid its October board about two weeks, Navy is pushing candidates to later boards, and Air Force is largely on schedule with fewer boards. If you're applying, you need facts, not panic. What you'll learn • How the shutdown is actually impacting day-to-day ROTC units • Why Army's October board moved and what that means for January • How Navy handles monthly boards and why you might hear later • Why Air Force timelines look steadier and where the risks still are • Practical steps to protect your Early Action and Early Decision plans
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Join Dr. Jay and Brad as they interview Derek Coburn. Derek Coburn began his career as a financial advisor in 1998 and built a successful wealth management practice, mainly through cold calling in the early years and networking later on. He joined high-level networking groups and professional organizations and met some great people. Unfortunately, he also met a lot of professionals who were only interested in themselves and what they could gain from their interaction. Through trial and error, Derek began to find his people, which led to co-founding CADRE in 2011 with his wife, Melanie. He shares how he did this in his #1 Amazon Bestseller; Networking Is Not Working. He sold his wealth management practice in 2019, although he still maintains a working relationship with a limited number of clients.Connect with Derek at www.derekcoburn.com or www.cadredc.com.
Jeanne a témoigné de la mauvaise gestion managériale dans son hôpital, où elle a subi un management brutal et un manque de soutien de sa hiérarchie, menant à un épuisement professionnel. Elle a pris un mi-temps thérapeutique pour chercher un nouvel emploi et a finalement trouvé un poste. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !DÉCOUVREZ MON NOUVEAU PODCAST, HAPPY MOI LE PODCAST QUI TE PARLE DE TOI : lnk.to/sT70cYSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
What if the greatest investment you could ever make isn't in your retirement account, but in the people you love most, right now? In this episode of The Greatness Machine, Darius sits down with Derek Coburn, financial advisor, author of “Let's Retire Retirement: How to Enjoy Life to the Fullest―Now and Later,” and USA Today bestselling author, to challenge the conventional idea of “saving life for later.” Together, they explore why waiting until 65 to finally live is a flawed plan, and how small, everyday choices like family dinners, workouts with your kids, or even junk time on the couch can become priceless $50,000 moments you'll wish you could buy back one day. In this episode, Darius and Derek will discuss: (00:00) Introduction and Clubhouse Connections (02:24) Derek's Book Journey and Success (05:31) The Art of Asking for Support (09:23) Writing Process and Midlife Reflections (15:05) The Concept of Retirement Revisited (18:10) The Tale of Two Tonys (23:31) Challenging Traditional Retirement Norms (26:22) The Importance of Social Networks in Work Life (27:43) Engagement and Longevity: The Case for Never Retiring (29:30) Purpose vs. Happiness: The Science Behind Meaningful Living (32:12) Serving Others: A Path to Fulfillment (36:19) Finding Balance: Work, Purpose, and Personal Satisfaction (38:31) The Financial Equation: Extending Your Runway (40:36) The Entrepreneurial Perspective on Retirement (43:40) Regret Minimization: Making the Most of Time (48:10) Creating Meaningful Moments with Family (54:54) Final Thoughts: Embracing Life Now and Later Derek Coburn is an entrepreneur, financial advisor, and USA Today bestselling author of “Let's Retire Retirement: How to Live Your Life to the Fullest—Now and Later.” With over 27 years of experience, he challenges the traditional retirement model and offers a new vision for building a life so fulfilling you'll never want to retire. He is also the co-founder of CADRE, an exclusive community for CEOs and entrepreneurs, and the author of the #1 Amazon bestseller “Networking Is Not Working.” Featured in Forbes, Derek is a passionate advocate for investing in experiences and relationships over material success. He lives in Virginia with his wife Melanie and their two sons. Sponsored by: Brevo: Head over to brevo.com/greatness and use the code greatness to get 50% off Starter and Business Plans for the first 3 months of an annual subscription. Indeed: Get a $75 sponsored job credit to boost your job's visibility at Indeed.com/darius. Shopify: Start your $1/month trial at Shopify.com/greatness. Connect with Derek: Website: https://www.derekcoburn.com/ LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/derekcoburn/ Instagram: https://www.instagram.com/cadredc/ Book: https://www.amazon.com/Lets-Retire-Retirement-Enjoy-Fullest_Now/dp/1774585065 Connect with Darius: Website: https://therealdarius.com/ Linkedin: https://www.linkedin.com/in/dariusmirshahzadeh/ Instagram: https://www.instagram.com/imthedarius/ YouTube: https://www.youtube.com/@Thegreatnessmachine Book: The Core Value Equation https://www.amazon.com/Core-Value-Equation-Framework-Limitless/dp/1544506708 Write a review for The Greatness Machine using this link: https://ratethispodcast.com/spreadinggreatness. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
The Cadre calls a summit between them and Sir Eli's cadre, made up of Brightmoon, The White Wolf, and Quellyn, the taleweaver. Brightmoon and the others insist their mission is honorable, and a tense truce is called. That night, they listen to Quellyn's tale of what happened at Greyfort and debate whether it's the truth or a lie. One thing is for certain: they plan to poke around the mountain until they find themselves a fight! CAST Amanda as Sir Rose Zimwalt the Errant (she/her) Zakiya as Cloudburst the Shadowjack (he/him) Sergio as Ashwyn the Mystic (he/him) Caleb as Cecil Odera the Taleweaver (he/him) Lev as The Radiant Godsmen (she/her) Eli as The Oracle (any/all) --
Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Summary:In this episode, Derek Coburn shares his extensive experience in the financial advisory industry, discussing the evolution of retirement and the importance of prioritizing relationships and experiences over mere financial accumulation. He introduces the concept of 'un-networking' as a more effective way to build connections and emphasizes the need for financial advisors to adapt to changing client needs and societal expectations. Derek's insights encourage listeners to rethink their approach to life, work, and financial planning, aiming for a more fulfilling existence both now and in the future.Chapters:00:00 Introduction to Derek Coburn01:54 Derek's Journey in Financial Advisory04:27 Evolution of the Financial Industry07:00 Redefining Retirement10:14 Living Life to the Fullest14:47 Balancing Work and Family16:47 Evolving Financial Strategies20:02 Investing in Yourself24:25 The Concept of Un-Networking28:51 Future of Financial AdvisoryListeners who want to connect with Derek, read his books, or learn more about his work can do so through the following:
Send us a textTrent flies solo and absolutely lights the mic on fire in this unfiltered reality check for every would-be warfighter wondering if they're cut out for the pipeline. Spoiler alert: you're probably not. From “weak genetics” and mommy issues to delusional love stories about the girl back home, Trent serves up a hot plate of hard truths with his signature sarcasm, hotel water, and allergic sneezing fits. If you've ever asked, “Do I have what it takes?”—this is the slap in the face you needed.He hits everything: • Civilian comfort addiction
Alors que le Sénégal cherche à affirmer sa position comme porte d'entrée stratégique de l'Afrique de l'Ouest, le deuxième forum Invest in Sénégal a réuni des centaines de décideurs économiques et politiques du monde entier. Inauguré par le président Bassirou Faye, élu en mars 2024, cet événement marque une nouvelle étape dans l'ambition sénégalaise d'attirer des investissements tout en préservant sa souveraineté économique et en revisitant certains contrats. Nos invités ➤ Abdourahmane Sarr, ministre de l'Economie, du Plan et de la Coopération du Sénégal. Découvrez l'entretien intégral en vidéo ici ➤ Alassane Diop , directeur Général de DP World pour l'Afrique de l'Ouest DP World : géant des infrastructures portuaires basé aux Émirats arabes unis, présent au Sénégal depuis 2008. Il investit 1,2 milliard de dollars dans le port en eaux profondes de Ndayane, le plus important investissement privé du pays depuis les indépendances. ➤ Mohamed Aït Hassou, directeur Général de CME Africa (filiale de Vinci Concessions) pour le Sénégal Spécialisé dans les énergies renouvelables, CME Africa développe des projets éoliens et solaires au Sénégal et au Maroc depuis 2019. ➤ Olivier Buyoya, directeur Régional de l'IFC (Société Financière Internationale) pour l'Afrique de l'Ouest L'IFC, branche privée de la Banque mondiale, finance le développement du secteur privé avec une centaine de collaborateurs à Dakar. ➤ Djiby Ndiaye, directeur développement et stratégie de Geomat ingéniérie Geomat ingéniérie est un bureau d'études sénégalais spécialisé en géotechnique, topographie et ingénierie des sols, fournissant des services techniques pour des projets de construction et d'infrastructures avec une expertise locale. Les atouts du Sénégal Stabilité politique et démocratique : dans une région en turbulences, une transition politique par la voie des élections. Position géographique stratégique : porte d'entrée naturelle vers l'Afrique de l'Ouest et les pays enclavés du Sahel (Mali, Burkina Faso). Cadre juridique : un nouveau code des investissements destiné à rassurer les investisseurs incluant une clause de stabilité juridique. Intégration régionale : membre de l'UEMOA (8 pays partageant une monnaie commune) et de la CEDEAO (15 pays), facilitant les échanges commerciaux. La Vision 2050 Le gouvernement sénégalais a lancé une plan à long terme pour transformer le pays en hub régional en s'appuyant sur des partenariats public-privé. Révision des Contrats Le ministre de l'Économie Abdourahmane Sarr précise l'approche gouvernementale : il ne s'agit pas de "renégociation" mais d'un audit de conformité. Les contrats respectant les lois sont maintenus, ceux qui ne les respectent pas doivent être mis en conformité. Les Secteurs Prioritaires 1. Infrastructures Le port de Dakar est crucial pour l'économie sénégalaise et celle des pays voisins enclavés. Le nouveau port de Ndayane, en construction, doit renforcer cette position stratégique. 2. Énergies Renouvelables L'électricité étant très chère au Sénégal, les investissements en énergies renouvelables se veulent plus rentables. CME Africa développe des projets éoliens intégrés avec composantes solaires et batteries. 3. Transport et logistique La réhabilitation du chemin de fer Dakar-Bamako est prioritaire. Le transport ferroviaire doit réduire drastiquement les coûts et améliorer la compétitivité des économies de l'hinterland. 4. Contenu local et transferts de Compétences Les grands projets intègrent des PME locales et des programmes de formation. Des entreprises sénégalaises comme Geomat Ingénierie participent désormais à de grands projets structurants. L'Interconnexion régionale Réseau électrique Le Sénégal fait partie du West African Power Pool, un réseau électrique commun reliant 14 des 15 pays de la CEDEAO. Cette interconnexion doit permettre d'exporter l'électricité produite au Sénégal vers des pays moins stables. Corridor Commercial Le Sénégal sert de corridor pour les pays enclavés. 65% des conteneurs maliens passent par Dakar, faisant du port une question de sécurité nationale pour ces pays. Partenariats Public-Privé Les investisseurs soulignent l'importance de partenariats équilibrés et transparents. L'IFC accompagne le gouvernement pour créer un cadre sécurisant attirant des "investisseurs de qualité" engagés sur le long terme. Critères de réussite Transparence totale : travail à "cahier ouvert" Engagement sur 25-30 ans (durée moyenne des concessions) Transfert de compétences et formation du personnel local Respect du cadre juridique et des normes environnementales Impact mesurable sur le développement durable Les défis à surmonter Malgré les atouts, plusieurs défis persistent : Contexte budgétaire contraint nécessitant l'optimisation des ressources Nécessité de renforcer le secteur privé local Coût élevé de l'énergie pénalisant la compétitivité Infrastructures à moderniser (routes, chemins de fer) Formation de la main-d'œuvre pour répondre aux besoins des investisseurs Cette émission présentée par Bruno Faure a été réalisée par l'équipe technique de RFI Dakar : Ibrahima Ba, Malang Sonko, Mbaye Niang, Alassane Bireba ainsi que Guillaume Munier.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Bridget, Caitlin, and Hilda FINALLY wrap up "Kingdom of Ash," the seventh and final book in Sarah J. Maas' Throne of Glass series. And there are tears, and rants, and laughs but mostly tears because this is the EPIC conclusion to a much-beloved series. Join our Patreon for exclusive behind-the-scenes content and let's be friends!Instagram > @Booktokmademe_podTikTok > @BooktokMadeMe
Le terrible two ça vous parle ? Mais est-ce que vous connaissez le wonderful two ?Je suis sûre que vous avez entendu parler du premier mais moins du deuxième.Normal. Cette période intense dans le développement de l'enfant fait souvent peur aux parents qui découvrent pour la première fois le caractère de leur enfant.Mais si on changeait de perspective et on décidait que cette période est merveilleuse ?C'est ce qu'a décidé de faire Déborah Tenoudji Cohen, enseignante et autrice du livre “Le wonderful two”Dans cet épisode, on décortique cette phase charnière dans la vie de nos enfants. Et on se met à leur hauteur.Ici vous comprendrez comment les touts petits fonctionnent, ce qu'ils recherchent en disant non, comment les accompagner au mieux, que faire pour les stimuler, pourquoi l'humour est la meilleure arme et surtout comment kiffer. LIENS UTILES :J'ai 2 ans ! Déborah Cohen-TenoudjiNos Enfants Ont Du Génie ! Développer l'intelligence des enfants de 3 à 10 ans, Déborah Cohen-Tenoudji
Bridget, Caitlin, and Hilda are back with part 3 of "Kingdom of Ash," book 7 in Sarah J. Maas' Throne of Glass series. And there's no other way to say it -- the shit is hitting the fan, and it's hard to read and talk about it. But they're moving forward for you, powered by Aedion hate. Listen now! Join our Patreon for exclusive behind-the-scenes content and let's be friends!Instagram > @Booktokmademe_podTikTok > @BooktokMadeMe
Join us for BookThinkers LIVE 2025! Happening November 9, 2025!https://www.bookthinkers.com/book-thinkers-live-2025In today's episode, we have the pleasure to interview Derek Coburn, author of Let's Retire Retirement: How to Enjoy Life to the Fullest — Now and Later.Derek is a USA Today bestselling author, entrepreneur, and financial advisor with over twenty-five years of experience helping clients design lives so fulfilling they'll never want to retire from them. He's the cofounder of CADRE, a professional community for CEOs and entrepreneurs, and the author of the acclaimed Networking Is Not Working.In this episode, you'll learn why you should question everything you've been told about the traditional path to retirement, how to balance ambition and presence so you don't miss life's most important moments, and why flexibility—not flashy possessions—might just be the ultimate status symbol.We hope you enjoy this incredible conversation with Derek Coburn.To Learn More about Derek and buy his book visit: The Book: https://a.co/d/7PodfIuWebsite/Socials: https://www.derekcoburn.com/https://www.cadredc.com/https://www.linkedin.com/in/derekcoburn/Chapters: 1:27 Derek's father blueprint on Derek's life & work4:06 Regret reduction & navigating through stages of life9:13 Building memories & relationships you'll keep for the rest of your life13:21 Flexibility is the ultimate flex18:01 You gotta have meaning & purpose in your life21:14 Extending your working-life is a financial & health hack26:16 The concept of retirement is barely 100 years old29:50 The future of retirement31:53 The positive effects of AI on work & introspection opportunities36:24 Where to connect with Derek36:48 Don't rely on assumptions to plan your life, enjoy it now________________________________________________Join the world's largest non-fiction Book community!https://www.instagram.com/bookthinkers/The purpose of this podcast is to connect you, the listener, with new books, new mentors, and new resources that will help you achieve more and live better. Each and every episode will feature one of the world's top authors so that you know each and every time you tune-in, there is something valuable to learn. If you have any recommendations for guests, please DM them to us on Instagram. (www.instagram.com/bookthinkers)If you enjoyed this show, please consider leaving a review. It takes less than 60-seconds of your time, and really makes a difference when I am trying to land new guests. For more BookThinkers content, check out our Instagram or our website. Thank you for your time!