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durée : 00:00:50 - France Travail relaie deux offres à saisir à Thenon et Castels et Bezenac - Deux missions en Dordogne et en CDD sont proposées à Thenon et à Sarlat et alentours, via France Travail
Le 31 mai 2025, le Journal officiel a publié le décret n° 2025-478, instaurant un nouveau régime de sanctions pour les demandeurs d'emploi, y compris les bénéficiaires du Revenu de solidarité active (RSA). Un dispositif de "suspension-remobilisation"Ce décret introduit le principe de "suspension-remobilisation". En cas de manquement aux obligations du "contrat d'engagement", tel qu'un défaut d'assiduité ou l'absence d'actes positifs répétés en vue de trouver un emploi, une suspension d'au moins 30 % des allocations est prévue pour une durée d'un à deux mois. En cas de récidive, la suspension ou la suppression partielle ou totale de l'allocation peut être étendue jusqu'à quatre mois. Si le demandeur d'emploi se conforme à ses obligations, la suspension prend fin.Une approche graduelle et individualiséeLe ministère du Travail souligne que ce dispositif vise à favoriser une remobilisation pour un retour rapide à l'emploi, plutôt qu'une suppression pure et simple des allocations. Les sanctions sont désormais proportionnées, graduelles, non automatiques et réversibles. La situation des bénéficiaires du RSA ayant à leur charge une famille reste prise en compte, avec un plafonnement à 50 % de la part de leur revenu pouvant être suspendue ou supprimée.Réactions et préoccupationsDes associations et syndicats ont exprimé des inquiétudes concernant ce décret. Le Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (CNLE) a critiqué le projet, estimant qu'il pourrait impacter durement les parcours des allocataires du RSA et accentuer les inégalités de traitement.France Travail a indiqué que la nouvelle procédure de contrôle, expérimentée depuis juillet dans huit régions, n'entraîne pas de hausse du taux de sanction. Le système se concentre sur la recherche effective d'emploi plutôt que sur des absences à des rendez-vous, évitant ainsi des sanctions mécaniques.Mise en œuvre et perspectivesCe nouveau régime de sanctions est entré en vigueur le 1er juin 2025. Il s'inscrit dans le cadre de la loi plein emploi de 2023 et vise à renforcer l'accompagnement des demandeurs d'emploi tout en assurant le respect de leurs engagements.Pour consulter le texte complet du décret, vous pouvez visiter le site Légifrance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis le 1er juin, France Travail a mis en place un nouveau système de contrôle et de sanction pour les chômeurs. L'objectif : individualiser les contrôles, tout en les renforçant. L'an dernier, 610 000 contrôles ont été réalisés par l'organisme. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Mathilde Piqué du 03 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis le 1er juin, France Travail a mis en place un nouveau système de contrôle et de sanction pour les chômeurs. L'objectif : individualiser les contrôles, tout en les renforçant. L'an dernier, 610 000 contrôles ont été réalisés par l'organisme. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Mathilde Piqué du 03 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis le 1er juin, France Travail a mis en place un nouveau système de contrôle et de sanction pour les chômeurs. L'objectif : individualiser les contrôles, tout en les renforçant. L'an dernier, 610 000 contrôles ont été réalisés par l'organisme. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Mathilde Piqué du 03 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis le 1er juin, France Travail a mis en place un nouveau système de contrôle et de sanction pour les chômeurs. L'objectif : individualiser les contrôles, tout en les renforçant. L'an dernier, 610 000 contrôles ont été réalisés par l'organisme. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Mathilde Piqué du 03 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors, ce matin, on va enregistrer un nouvel épisode. Cette fois-ci, on ne va pas chez quelqu'un. On va dans un ministère. Eh oui ! Quand on va à la rencontre d'une personnalité politique, il y a toujours un mélange d'excitation et de méfiance. Excitation parce qu'on va parler à quelqu'un qui détient une part du pouvoir, dont les mots et les décisions peuvent changer des choses. Méfiance parce que la parole politique est toujours à prendre un peu avec des pincettes. Aurore Bergé est ministre chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations. C'est elle qui a demandé à nous rencontrer. Un rapport sur la ménopause rédigé par la députée Stéphanie Rist, très engagée sur le sujet, vient tout juste d'être publié. Et Aurores Berger veut en parler à notre micro. Alors bien sûr, je ne suis pas là pour faire de la complaisance, mais si la parole politique s'empare enfin de ce sujet invisible, il faut l'entendre. Et après, chacun se fera son avis, moi la première.Bon épisode !La ménopause en France : 25 propositions pour enfin trouver le chemin de l'actionINFORMATION SUR LA MÉNOPAUSEMieux informer les femmes sur les symptômes de la ménopause en mobilisant les moyens publics disponibles.Promouvoir une vision positive et non anxiogène de la ménopause, en luttant contre les stéréotypes.Intégrer l'information sur les phases hormonales dès le collège, y compris le vieillissement.Commander à Santé Publique France une campagne d'information grand public sur la ménopause.Utiliser les réseaux sociaux et le numérique pour diffuser une information fiable sur la ménopause.Définir un cadre de financement pérenne pour l'information/prévention via les ARS.Proposer au Planning Familial d'étendre ses compétences à l'accompagnement de la ménopause.PRISE EN CHARGE SANITAIREActualiser les recommandations HAS sur la ménopause d'ici fin 2025 avec une approche globale.Renforcer la formation initiale et continue des professionnels de santé sur la ménopause.Compléter le questionnaire "Mon bilan prévention 45-50 ans" pour détecter les symptômes.Inscrire dans la convention médicale une consultation longue de début de ménopause.Créer un parcours individualisé et pluridisciplinaire de la ménopause (PIM) pour chaque femme.Intégrer la ménopause dans la démarche Handigynéco pour une meilleure accessibilité aux soins.Organiser des Assises de la Ménopause pour construire une Stratégie Nationale.Soutenir la recherche fondamentale et innovante sur la ménopause.CONDITIONS DE TRAVAILSensibiliser les entreprises au coût économique de la ménopause en France.Intégrer la ménopause dans le Plan Santé au Travail n°5 (PST 5).Produire des statistiques santé/travail selon le sexe et la tranche d'âge. Créer un guide « Ménopause au travail » à destination des managers et salarié·e·s.Intégrer la ménopause dans les politiques RH et managériales des grandes structures.Sensibiliser les agents de France Travail aux risques de désinsertion professionnelle.Adapter les équipements de bureau selon les recommandations du GEMVI contre la sédentarité.Encourager chaque entreprise à établir un diagnostic et un plan d'adaptation des postes.Intégrer la ménopause dans la visite médicale de mi-carrière à 45 ans.Créer un cadre juridique pour expérimenter un congé ménopause dans les collectivités publiques.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:00:54 - Un préparateur en pharmacie et un conducteur livreur recherchés pour la Dordogne - Deux offres d'emploi proposées par France Travail, pour la Dordogne. L'une pour un(e) préparateur(trice) pour une pharmacie à Villefranche du Périgord et l'autre pour un(e) conducteur(trice) livreur(euse) de marchandises.
Depuis le début de l'année, une petite révolution silencieuse se joue dans les bureaux de France Travail, l'ex-Pôle Emploi. L'intelligence artificielle y a fait son entrée, non pas pour remplacer les conseillers, mais pour les épauler… ou, selon certains, pour surveiller davantage les demandeurs d'emploi.D'un côté, l'organisme public expérimente un chatbot qui assiste les conseillers lors des rendez-vous, afin d'identifier plus rapidement les offres correspondant au profil du chômeur. Une aide à l'accompagnement, donc. Mais de l'autre côté, la face cachée de l'automatisation suscite de vives inquiétudes. L'association La Quadrature du Net révèle que France Travail utilise désormais des algorithmes de contrôle automatisé dans le cadre du programme baptisé « Contrôle de la Recherche d'Emploi rénové ». En clair : des robots classent les chômeurs selon un degré de suspicion, à partir de leurs données personnelles.Trois catégories sont définies :– "Clôture", pour ceux jugés actifs,– "Clôture potentielle", quand le doute s'installe,– "Contrôle potentiel", pour les profils considérés à risque.Les contrôleurs peuvent alors cibler leurs efforts sur les dossiers signalés. Résultat espéré : 1,5 million de contrôles en 2027, contre 600 000 en 2024.Mais sur quels critères repose ce tri ? L'absence de candidatures envoyées, de formation récente, de connexion aux outils numériques ou de contact avec son conseiller peut suffire à déclencher une alerte. La non-réalisation des 15 heures d'activité hebdomadaire – exigence de la loi "Plein emploi" entrée en vigueur en janvier – est aussi un élément déterminant. Pour La Quadrature du Net, c'est une dérive technocratique et répressive. L'ONG dénonce une logique de profilage policier, couplée à une opacité totale : France Travail refuse de communiquer les détails techniques du système. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:00:52 - Trois offres H/F dans la restauration et un Jobdating proposés en Dordogne - En Dordogne, France Travail propose trois offres H/F dans la restauration et un Jobdating
durée : 00:01:10 - PLusieurs offres H/F à pourvoir en Dordogne - En Dordogne, des offres H/F sont à pourvoir avec le soutien de France Travail pour un-e employé-e de ménage et des conducteurs ou conductrices de machines.
Selon une étude pour France Travail et Diversidays, seuls 10 % des Français estiment avoir accès à l'égalité des chances. Un constat sévère, surtout pour les femmes, les jeunes et les classes populaires. À l'occasion du festival Uniques, cette étude met en lumière l'urgence d'une action collective pour concrétiser cet idéal.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Une étape importante a été franchie dans la transposition des trois accords nationaux interprofessionnels du 14 novembre 2024 sur l'emploi des seniors, le dialogue social et l'assurance chômage, avec la présentation d'un projet de loi dédié en Conseil des ministres du 7 mai dernier. Dans l'actualité, la publication le 13 mai des résultats du baromètre « Opinions et attentes des techniciens et professions intermédiaires », réalisé par ViaVoice pour le compte du cabinet Secafi et de l'Ugict-CGT, révèle que ces professionnels souffrent d'un manque de reconnaissance. De son côté, le think tank Terra Nova estime que pour financer son modèle social français, la France aura besoin d'accueillir entre 250 000 et 310 000 travailleurs immigrés chaque année jusqu'en 2040-2050, selon une étude publiée le 12 mai. Autre sondage intéressant, celui réalisé par Occurence pour France Travail et l'association Diversidays sur l'égalité des chances.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:13 - De nouvelles opportunités professionnelles en Dordogne avec France Travail - Que vous soyez en début de carrière, en reconversion professionnelle ou à la recherche d'une nouvelle opportunité, découvrez les offres d'emplois de France Travail à Nontron, Tocane St-Apre et Belvès.
Faisons le point sur les actualités RH de ce début 2025 !
durée : 00:00:58 - Le Club Hôtelier de Sarlat recrute en Dordogne - En Dordogne, le Club Hôtelier de Sarlat recrute avec l'aide de France Travail lors d'une séance de recrutement par simulation le 7 mai prochain ! Trente postes saisonniers sont à pourvoir, sans CV, ni expérience dans le secteur de l'hôtellerie/restauration.
durée : 00:01:18 - France Travail propose des offres en Dordogne, dont un dans le tourisme - France Travail propose des offres en Dordogne, dont une à l'office du tourisme de Bergerac qui recherche son conseiller en séjour touristique
Ce mardi 29 avril, le chômage qui est en hausse et le bond de plus de 8,7% de la catégorie A de France Travail au premier trimestre ont été abordés par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 29 avril, le chômage qui est en hausse et le bond de plus de 8,7% de la catégorie A de France Travail au premier trimestre ont été abordés par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:00:58 - Trois offres d'emploi vous sont proposées par France Travail à Limeyrat - A Limeyrat en Dordogne, trois offres d'emploi dans le bâtiment vous sont proposées par France Travail
durée : 00:01:07 - Quatre nouvelles offres proposées par France Travail à pourvoir en Dordogne - Le marché de l'emploi local en Dordogne continue de proposer de belles opportunités dans des secteurs variés.
durée : 00:00:56 - Trois nouvelles opportunités professionnelles en Dodogne - Que vous soyez en début de carrière, en reconversion professionnelle ou à la recherche d'une nouvelle opportunité, découvrez les offres proposées par France Travail en Dordogne
Tony Soprano chez Pizza HutMagali chez France Travail
durée : 00:00:58 - L'agence France Travail relaie cinq offres à pourvoir en Dordogne - France TRAVAIL propose deux offres pour la saison estivale en Dordogne, dont une de la Mairie de Mauzac-et-Grand-Castang qui recherche un pilote de bateau et l'autre du Château de Castelnaud qui recherche des agents d'accueil polyvalents.
La France fait face à une pénurie de main d'œuvre dans un certain nombre de secteurs. Selon France Travail, l'établissement public en charge des questions de l'emploi dans le pays, les secteurs les plus en tension sont la restauration, l'agriculture, ainsi que ceux de la propreté et du soin à la personne. En 2024, six entreprises sur dix déclaraient anticiper des problèmes au recrutement. En France, 600 000 étrangers ont le statut de réfugiés et sont en droit de travailler légalement. Pourtant, ce public peine à trouver des emplois. Mado, de République démocratique du Congo (RDC), a obtenu son statut de réfugié il y a trois ans. Elle a fait une formation de commis de cuisine, secteur en tension. Pourtant, elle dit peiner à trouver un emploi. « C'est difficile. J'ai postulé en ligne, mais il n'y a pas de réponse », affirme Mado, qui explique avoir envoyé plusieurs dizaines de CV. « S'il y a une réponse, on me dit ''il n'y a pas de place Madame''. Je ne sais pas si c'est parce que suis Congolaise qu'ils ne veulent pas me donner de travail », désespère la quadragénaire, qui n'hésite pas à égrainer ses qualités : « Je suis motivée, je suis dynamique. Je respecte les temps. Je sais faire le travail de cuisine, préparation, je sais travailler à l'accueil… »À l'occasion d'un salon dédié à la recherche d'emploi pour les réfugiés, Mariam, jeune femme venue de Côte d'Ivoire, maman d'un enfant de cinq ans, sillonne les stands des hôteliers. « Jusqu'à présent, je n'ai pas encore eu de premier emploi, et là, je ne sais pas comment faire pour trouver », se désole-t-elle. À l'image de Mado, elle se questionne sur la raison de ces difficultés : « Je vais dans les ateliers, je vais dans les événements, toujours pas. Je ne sais pas si c'est parce que j'ai un enfant qu'on ne me prend pas. Je ne sais pas. »Malgré un profil qui semble intéresser les employeurs, la question de l'expérience bloque le processus. « J'ai travaillé quand j'étais dans mon pays. Mais ici, je n'ai jamais travaillé, donc on me demande mon expérience. Je ne sais pas, je dis ce que j'ai fait dans mon pays et que je n'ai pas d'expérience en France, détaille Mariam. S'ils me demandent une expérience que je n'ai pas... Il faut me donner un boulot, comme ça, j'aurais de l'expérience ! »Lourdeurs administratives, et filtres discriminants ?Comme beaucoup, elle fait également face aux lourdeurs administratives. Elle a obtenu son statut de réfugié et dispose d'un récépissé faisant foi. Mais pas encore le document définitif, ce qui rend réticents certains employeurs. « C'est très long et France Travail n'arrête pas de me mettre la pression. Quand j'explique, eux, ils ne comprennent rien, mais ils veulent me mettre la pression », témoigne-t-elle.Des difficultés à trouver un emploi pour les personnes peu qualifiées, mais aussi chez celles ayant des diplômes supérieurs. Les équivalences de diplômes ne sont pas toujours reconnues. Mamadou est de Guinée, diplômé dans le milieu bancaire. « On peut postuler, mais souvent, il n'y a pas d'entretien derrière », fait-il savoir. Car en plus des problématiques de diplômes, celle de l'automatisation des processus de sélection pose également problème.« Le plus compliqué, c'est comment trouver un entretien, comment passer les filtres. Aujourd'hui, comme beaucoup de recrutements sont automatisés, si on n'envoie pas le bon format de CV, le système informatique refuse automatiquement, alors qu'on a tout à fait les qualifications », regrette-t-il. Une situation qui pousse un grand nombre de réfugiés à accepter un emploi sous leur niveau de qualification. Une étude de l'Institut français des relations internationales estime qu'il leur faut en moyenne dix ans pour retrouver un travail à la hauteur de leur diplôme. À lire aussiFrance: un salon de l'emploi pour les réfugiés
RTV FM a eu le plaisir de recevoir dans ses studios le club TH (Travailleur handicapé) de France Travail Carpentras. Au programme travailler la confiance en soi, valoriser ses compétences, son savoir faire, faciliter la prise de parole en public, gérer son stress et améliorer son élocution.
durée : 00:01:07 - Des offres France Travail dans différents secteurs pour la Dordogne - Voici, pour la Dordogne, différentes offres proposées par France Travail dans les secteurs de l'alimentation, la restauration et la santé.
Sujets traités : Le courlis cendré, emblématique du Ried alsacien, est en voie de disparition. Seuls quatre couples sont encore comptés, contre plus de 300 il y a un demi-siècle. Cette espèce, d'une cinquantaine de centimètres, se remarque notamment grâce à son long bec recourbé. Une journée de sensibilisation sera organisée ce samedi à Herbsheim par la LPO, en collaboration avec la municipalité.La mission locale s'implante. En ce début de semaine, le conseil communautaire Alsace Rhin Brisach s'est réuni, l'occasion d'annoncer l'implantation pérenne de la Mission Locale sur le territoire avec l'ouverture d'une nouvelle agence. Une bonne nouvelle pour le Président de la collectivité Gérard Hug. L'antenne est ouverte depuis hier, du mardi au vendredi dès 8h30. Gérard Hug précise également que cette agence permet d'accroître l'attractivité du territoire en permettant le suivi des jeunes générations.Le SMICTOM d'Alsace Central peut voir l'avenir sereinement, d'autant plus que l'année 2025 s'annonce riche. Le changement de statut, transformant le syndicat en établissement public industriel et commercial représente un gros chantier.. Grâce à la fermeture du site d'enfouissement de Châtenois, 4 hectares seront dédiés aux panneaux photovoltaïques pour un montant de 4 millions d'euros. Retrouvez un article dédié sur notre site azur-fm.com. L'emploi mis à l'honneur dans la vallée de Munster. Jusqu'à demain la Communauté de Communes de la Vallée de Munster, en partenariat avec Manne Emploi, France Travail et le Club des Entrepreneurs de la Vallée propose différents temps forts et ateliers. Plusieurs visites d'entreprises sont au programme des prochains jours, sans oublier le forum de l'emploi organisé demain de 9h à 12h à la Maison des Services de Munster. Vous pouvez retrouver toutes les informations sur le site cc-vallee-munster.frDans le but de protester contre le gaspillage de matériel médical, les infirmiers protestent. Le gaspillage de matériel représente pas moins de 123 millions d'euros par mois, soit 1 milliard 476 millions par an. A Strasbourg le rassemblement se tiendra de 14h à 16h30.De la prison pour un récidiviste. Présenté en début de semaine devant le tribunal de Colmar pour des faits d'outrages et de menaces de mort à l'encontre de plusieurs personnes, dont des membres des forces de police. Connu des services de police, le colmarien âgé de 62 ans a déjà été condamné 29 fois pour des faits similaires. Pour sa 30ème condamnation, le prévenu écope de 26 mois d'emprisonnement. Un quadragénaire habitant de St Croix en Plaine a menacé de mort son ancien employeur. Déjà soumis à une interdiction de contact avec ce dernier depuis deux ans, le prévenu avait téléphoné à la victime en fin de semaine. L'accusé a écopé de 8 mois de prison ferme.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'intelligence artificielle n'est plus une promesse d'avenir, elle est désormais omniprésente dans nos vies professionnelles. Pourtant, beaucoup se demandent si cette avancée technologique est véritablement un allié lorsqu'il s'agit de l'appliquer au management. Alors que l'étude du World Economic Forum “Future of Jobs Report 2025” prévoit que 22 % des emplois seront modifiés d'ici cinq ans sous l'influence de l'IA, comment les entreprises doivent-elles s'adapter à cette évolution ? L'IA va-t-elle transformer le management et renforcer les compétences humaines ? Cet épisode "d'Écoutons le Futur" examine l'impact de l'intelligence artificielle sur les pratiques managériales et l'évolution des métiers. Nos invités échangent l'importance de trouver un équilibre entre la rapidité permises par l'IA, et les compétences humaines (leadership, créativité, intelligence émotionnelle) pour garantir une adoption de l'IA efficace et responsable.Pour cet épisode, nous recevons :Marc Grosser, Senior Partner au sein du cabinet topicsIlhem Alleaume, membre du comité scientifique de France Stratégie, Présidente du Réseau Emploi CompétencesAurélien Fenard, directeur de la Transformation Digitale et des données RH chez France TravailStéphanie Bertrand, Directrice "Reinventing workforce" et autrice d'un rapport “travail du futur” chez Capgemini InventUne émission animée par Valère Corréard
Depuis le 1er janvier 2025, la réforme du Revenu de solidarité active (RSA) est généralisée à toute la France. Cette réforme, issue de la loi pour le plein emploi votée en décembre 2023, impose à tous les bénéficiaires du RSA – soit environ 1,8 million de personnes – de réaliser un minimum de 15 heures d'activité hebdomadaire. Ces heures peuvent consister en des formations, des stages, des entretiens professionnels ou des ateliers d'aide à la recherche d'emploi. L'objectif affiché : favoriser le retour à l'emploi. Mais cette mesure fait débat, notamment à cause du régime de sanctions prévu pour les allocataires qui ne respecteraient pas ces nouvelles obligations.Pour l'instant, les sanctions ne sont pas encore appliquées, car le décret d'application officiel n'a pas été publié. Cependant, un projet de barème transmis récemment aux conseils départementaux en précise les grandes lignes. En cas de non-respect des obligations, les bénéficiaires pourraient voir leur allocation suspendue de 30 % à 100 %, pour une durée allant de un à deux mois. Le mécanisme dit de « suspension-mobilisation » prévoit toutefois que si la personne reprend ses engagements durant cette période, elle pourra récupérer rétroactivement les sommes perdues.Si les manquements se répètent, la sanction pourra aller plus loin : suspension de l'allocation pendant jusqu'à quatre mois. Et dans les cas les plus graves (refus répétés, abandon total du parcours d'insertion), l'allocataire pourra même être radié de France Travail, perdant ainsi son RSA.Toutefois, le gouvernement affirme vouloir éviter une logique punitive systématique. Le cabinet de la ministre Astrid Panosyan-Bouvet insiste sur l'approche « individualisée et bienveillante » du dispositif. Des garde-fous sont prévus : pour les foyers comprenant au moins deux personnes, la sanction ne pourra pas excéder 50 % de l'allocation. De plus, un simple oubli de rendez-vous ne sera pas automatiquement sanctionné : il faudra un faisceau d'indices concordants prouvant un désengagement.Enfin, les conseils départementaux, qui auront la charge d'appliquer les sanctions, sont encore en phase de concertation avec l'État. Le décret final est attendu pour le printemps, avec une entrée en vigueur des sanctions espérée d'ici l'été 2025. Cette réforme, à la fois ambitieuse et controversée, soulève déjà de vifs débats sociaux et politiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans un contexte de hausse du nombre d'inscrits à France Travail, l'ex-Pôle Emploi innove pour accompagner ses bénéficiaires vers un retour à l'emploi. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Clara Grouzis est allé en reportage à Grenoble où le dispositif « L'art d'accéder à l'emploi » fait danser les demandeurs d'emploi.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Clara Grouzis. Cet épisode a été enregistré en mars 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Lucie Deniau et Isabelle Senet, Jacques-Alex Dorliat, (directeur adjoint régional de France Travail Auvergne-Rhônes-Alpes), Isabelle Raymond (directrice d'agence O2). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Ludovic MARIN/AFP. Sons : TF1, Tchaikovsky. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:00:58 - France Travail relaie ces trois offres à pourvoir - France Travail, acteur clé dans le paysage de l'emploi en France, propose aujourd'hui trois offres d'emploi à pourvoir dans différents secteurs d'activité en Dordogne
durée : 00:04:59 - Anne-Marie Barbeau la directrice territoriale de France Travail en Sarthe - 800 postes sont à pourvoir jusqu'au 4 avril dans le secteur de la santé en Sarthe. Il s'agit "des semaines des métiers de l'accompagnement et du soin". L'opération a débuté ce lundi.
durée : 00:01:03 - Des offres pour la Dordogne dans la vente, les transports, le nettoyage et l'entretien - Vendeur en bricolage, employé de ménage et chauffeur-livreur, voici trois offres France Travail proposées pour la Dordogne.
Ce matin, j'ai eu le plaisir d'échanger avec Stéphane Crusoé, directeur territorial délégué de France Travail pour le département 93. Nous avons abordé le rôle de France Travail dans l'insertion professionnelle des personnes en situation de handicap et les actions innovantes mises en place pour favoriser leur recrutement. Parmi elles, une approche originale : l'organisation d'activités sportives où recruteurs et candidats se retrouvent dans un cadre plus informel. Loin des entretiens classiques, ces rencontres permettent de tisser des liens autrement, en dépassant les biais inconscients du recrutement traditionnel. Une initiative qui ouvre la voie à une relation plus naturelle entre employeurs et talents, avec pour objectif final une inclusion professionnelle plus fluide et équitable.
Mardi 11 février, François Sorel a reçu Maya Noël, directrice générale de France Digitale ; Julie Huguet, directrice générale de la Mission French Tech ; Jean-Baptiste Kempf, fondateur de VLC ; Patrick Pérez, directeur général de Kyutai ; Christian Allouche, cofondateur de Gleamer ; Sylvain Poirier, directeur associé programme Data IA de France Travail ; Thierry De Vulpillières, cofondateur et CEO d'EvidenceB, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Sylvain Poirier, directeur associé programme Data IA de France Travail, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce mardi 11 février. Il s'est penché sur l'arrivée de Mistral AI à France Travail, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Chaque vendredi, zoom sur un sujet qui fait l'actualité. Aujourd'hui, Baptiste Morin fait le point sur l'efficacité et le coût de France Travail.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, fonctionnaire, Charles Consigny, avocat, et Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et prof d'aïkido, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce mardi 28 janvier, la forte hausse du nombre d'inscrits en catégorie A de France Travail, avec une augmentation de 3,9% au quatrième trimestre 2024, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Selon une étude menée par l'association Connexio avec DiversiDays et France Travail, plus de 3 demandeurs d'emploi sur 4 ont déjà utilisé l'intelligence artificielle dans leur recherche. À quoi cela sert-il exactement ? Écoutez 2 minutes pour comprendre avec Mathilde Piqué du 27 janvier 2025.
Alors que le débat sur la réforme des retraites fait rage, la ministre Catherine Vautrin s'explique et rejette toute idée d'"annulation" ou de "suspension". Elle insiste sur l'ouverture des discussions avec tous les groupes politiques pour trouver un consensus.Elle aborde également les défis démographiques qui rendent nécessaire une réforme et souligne l'importance de la stabilité budgétaire, dans un contexte marqué par la censure du budget. Sur l'emploi, elle défend France Travail pour accompagner les reconversions, tout en notant des difficultés dans certains secteurs comme l'automobile.En santé, elle appelle à la vaccination contre la grippe et condamne les agressions envers le personnel soignant. Sur l'immigration et la sécurité, elle soutient les forces de l'ordre et plaide pour un débat respectueux, loin des discours haineux.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:05:49 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Avec la transformation de Pôle emploi en France Travail, nos dirigeants comptent accélérer plus encore l'externalisation de certains accompagnements de demandeurs d'emploi. Pourtant, les évaluations depuis deux décennies montrent que cette sous-traitance au privé est plus coûteuse et moins efficace. - invités : Luc Behaghel professeur associé à l'École d'économie de Paris (Inra), spécialiste du marché du travail
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Alors que France Travail doit absorber de nouvelles missions depuis le 1er janvier, une expertise indépendante sur les risques psychosociaux, réalisée en Occitanie après le suicide d'un agent en 2024, livre des conclusions inquiétantes. Un article de Cécile Hautefeuille publié mercredi 8 janvier 2025, lu par Christine Pâris.
Avec : Thibault Guilluy, directeur général de France Travail. - Un invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Charles Magnien et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
L'invité de RTL Matin Week-end avec Antoine Cavaillé-Roux du 28 décembre 2024.
L'invité de RTL Matin Week-end avec Antoine Cavaillé-Roux du 28 décembre 2024.
Les Français dépensent, en moyenne, près de 500 euros à l'occasion de Noël. Pour ne pas laisser à l'écart de cette fête les personnes les plus modestes, la CAF, la Mutualité sociale agricole (MSA), ou France Travail, qui a succédé à Pôle Emploi, leur versent, depuis 1998, une prime spéciale. Les bénéficiaires de cette prime ne changent pas en 2024. En effet, elle est toujours attribuée aux personnes percevant certains minima sociaux. Elle l'est alors de manière automatique, sans qu'il soit nécessaire de calculer les revenus de ces personnes. Ont ainsi droit à la prime de Noël les titulaires du Revenu de solidarité active (RSA), versé par les Caisses d'allocations familiales. Pour rappel, il s'élève à 565 euros pour une personne seule. Les bénéficiaires de l'Allocation de solidarité spécifique (ASS) toucheront aussi la prime. Réservée aux chômeurs en fin de droits, cette prestation est versée par France Travail. Enfin, les bénéficiaires de l'Allocation équivalent retraite (AER) sont également concernés. Cette aide, proposée aux demandeurs d'emploi n'ayant pas atteint l'âge légal de la retraite, ne concerne que les personnes dont les droits ont été ouverts avant le 1er janvier 2011. Un montant variable La prime de Noël est ainsi versée à 2,3 millions de personnes. Son montant dépend de la composition du foyer. Ainsi, une personne seule touchera une aide de 152,45 euros. Une famille comptant trois personnes recevra 274,41 euros. Il peut s'agir aussi bien d'un couple avec un enfant que d'un parent isolé avec deux enfants. Pour une famille de cinq personnes, composée d'un couple et de trois enfants, la prime sera de 381,12 euros. Mais un parent isolé avec quatre enfants aura droit à un chèque de 396,37 euros. Quant au parent isolé ayant cinq enfants à charge, il percevra 457,35 euros. Au-delà de ce nombre, la CAF versera 60,98 euros pour chaque personne supplémentaire. Cette année, la prime de Noël devrait apparaître sur le compte bancaire des bénéficiaires dès le 13 décembre. Ils n'ont pas de démarches à effectuer, car son versement est automatique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Agnès Verdier-Molinié examine en détail les implications de la réforme du RSA qui entrera en vigueur au 1er janvier 2025.Avec cette loi, tous les bénéficiaires du RSA devront désormais s'inscrire auprès de France Travail, l'agence qui a remplacé Pôle Emploi. Une mesure qui pourrait faire bondir le nombre de demandeurs d'emploi inscrits, faisant passer le taux de chômage officiel au-delà des 8 %.Cependant, le gouvernement semble vouloir éviter cette hausse statistique en créant deux nouvelles catégories de chômeurs - la catégorie F pour les allocataires orientés vers un parcours social, et la catégorie G pour ceux en attente d'orientation. Ces personnes seraient alors exemptées de l'obligation de recherche d'emploi et ne seraient donc pas comptabilisées dans les statistiques du chômage.L'experte décrypte les enjeux de cette réforme et s'interroge sur la sincérité des chiffres du chômage qui en résulteront. Elle analyse également les différences avec les pratiques des pays du Nord de l'Europe, où le lien entre perception d'aides et recherche active d'emploi est plus étroit.Cet épisode offre un éclairage essentiel sur les coulisses de la mesure phare de la loi Pleine Emploi, et invite à s'interroger sur la volonté réelle de refléter fidèlement la situation de l'emploi en France.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.