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Y a-t-il un malaise à la tête du Sénégal ? Cette question est posée par plusieurs journaux sénégalais, et notamment par Dakar Actu, qui précise : « Sonko hausse le ton sur Diomaye ». « Lors d'une réunion du Pastef, hier, le Premier ministre Ousmane Sonko a publiquement exprimé son profond désaccord avec le président Bassirou Diomaye Faye, évoquant une situation de plus en plus tendue dans les hautes sphères du pouvoir », poursuit Dakar Actu. « Alors que ses détracteurs demandent sa démission du gouvernement, le Premier ministre a profité de l'installation du conseil national du parti Pastef, pour mettre les choses au clair » annonce de son côté Le Soleil. « À travers une déclaration ferme et sans équivoque, il a réaffirmé sa légitimité à la tête du gouvernement et son engagement dans l'exercice du pouvoir », déclarant notamment : « je ne démissionnerai pas, je n'irai nulle part ». Sénégo, de son côté, précise que « le Premier ministre a profité de l'installation officielle du Conseil national du parti Pastef, pour critiquer la tolérance du président Bassirou Diomaye Faye, face à certains comportements. Il estime que le pays souffre d'un problème d'autorité ». Médias et démocratie Le Sénégal, où un chroniqueur de télévision, Badara Gadiaga, a été placé en garde à vue, accusé de « discours contraire aux bonnes mœurs ». Et l'on va reparler d'Ousmane Sonko. La garde à vue de Badara Gadiaga n'est pas passée inaperçue, aux yeux d'Afrique.com qui fustige « la dérive répressive d'un pouvoir qui s'annonçait révolutionnaire ». « Le journalisme d'enquête et les médias indépendants, autrefois considérés comme un pilier de la démocratie sénégalaise, subissent de plein fouet cette régression », accuse Afrik.com qui énumère : « des arrestations arbitraires, des interrogatoires à répétition, des menaces à peine voilées contre des organes de presse ou des journalistes connus pour leur indépendance : tout semble indiquer une volonté de verrouiller l'espace médiatique ». Et ce n'est pas tout, poursuit Afrik.com. « Ousmane Sonko qui fut un tribun de la liberté, n'hésite plus à dénoncer publiquement ceux qui s'opposent à lui comme étant des « saboteurs », « des ennemis de la nation » voire « des reliquats de l'ancien régime ». Afrik.com signe un éditorial sans concession, et questionne encore « ce revirement soulève une question fondamentale : Ousmane Sonko croyait-il réellement aux principes démocratiques qu'il proclamait, ou les utilisait-il uniquement comme des leviers pour accéder au pouvoir ? » Répression et interrogations au Togo… C'est à la Une d'Afrique XXI, qui titre : « Derrière la répression, un clan de plus en plus divisé » . « Depuis début juin » rappelle le site d'information, « des manifestations spontanées ont éclaté pour demander la libération du rappeur Aamron, dénoncer la gouvernance du pays et obtenir le départ de Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005 ». Faure Gnassingbé qui le 3 mai dernier est devenu officiellement le président du Conseil, « sans limite de mandat ». « Le verre était plein », commente Kodjo, conducteur de taxi-moto interrogé par Afrique XXI. Et le journal en ligne précise que, « même au sein du parti présidentiel, l'Union pour la République, certains aspects du changement de régime ont eu du mal à passer ». « La tension a surtout pris de l'ampleur après la sortie de Marguerite Gnakadè, l'ex ministre de la Défense, qui a publié en mai dernier, une tribune feutrée mais avec un ton offensif », explique Afrique XXI. Dans cette tribune, elle estimait notamment que « trop souvent, le peuple togolais est réduit au silence et qu'il était temps que sa volonté soit respectée ». Mais pour l'heure, Faure Gnassingbé résiste. Afrique XXI le compare « à un sphinx qui a toujours su renaître de ses cendres après chaque poussée de fièvre politique, soutenu par les forces de l'ordre qui lui ont de nouveau fait allégeance le 3 mai » s'appuyant aussi sur « les divisions entre opposants ou membres de la société civile. Tandis qu'il reste bien souvent épargné par les condamnations à l'international, en premier lieu de la France, qui a toujours soutenu la famille Gnassingbé », conclut Afrique XXI.
Y a-t-il un malaise à la tête du Sénégal ? Cette question est posée par plusieurs journaux sénégalais, et notamment par Dakar Actu, qui précise : « Sonko hausse le ton sur Diomaye ». « Lors d'une réunion du Pastef, hier, le Premier ministre Ousmane Sonko a publiquement exprimé son profond désaccord avec le président Bassirou Diomaye Faye, évoquant une situation de plus en plus tendue dans les hautes sphères du pouvoir », poursuit Dakar Actu. « Alors que ses détracteurs demandent sa démission du gouvernement, le Premier ministre a profité de l'installation du conseil national du parti Pastef, pour mettre les choses au clair » annonce de son côté Le Soleil. « À travers une déclaration ferme et sans équivoque, il a réaffirmé sa légitimité à la tête du gouvernement et son engagement dans l'exercice du pouvoir », déclarant notamment : « je ne démissionnerai pas, je n'irai nulle part ». Sénégo, de son côté, précise que « le Premier ministre a profité de l'installation officielle du Conseil national du parti Pastef, pour critiquer la tolérance du président Bassirou Diomaye Faye, face à certains comportements. Il estime que le pays souffre d'un problème d'autorité ». Médias et démocratie Le Sénégal, où un chroniqueur de télévision, Badara Gadiaga, a été placé en garde à vue, accusé de « discours contraire aux bonnes mœurs ». Et l'on va reparler d'Ousmane Sonko. La garde à vue de Badara Gadiaga n'est pas passée inaperçue, aux yeux d'Afrique.com qui fustige « la dérive répressive d'un pouvoir qui s'annonçait révolutionnaire ». « Le journalisme d'enquête et les médias indépendants, autrefois considérés comme un pilier de la démocratie sénégalaise, subissent de plein fouet cette régression », accuse Afrik.com qui énumère : « des arrestations arbitraires, des interrogatoires à répétition, des menaces à peine voilées contre des organes de presse ou des journalistes connus pour leur indépendance : tout semble indiquer une volonté de verrouiller l'espace médiatique ». Et ce n'est pas tout, poursuit Afrik.com. « Ousmane Sonko qui fut un tribun de la liberté, n'hésite plus à dénoncer publiquement ceux qui s'opposent à lui comme étant des « saboteurs », « des ennemis de la nation » voire « des reliquats de l'ancien régime ». Afrik.com signe un éditorial sans concession, et questionne encore « ce revirement soulève une question fondamentale : Ousmane Sonko croyait-il réellement aux principes démocratiques qu'il proclamait, ou les utilisait-il uniquement comme des leviers pour accéder au pouvoir ? » Répression et interrogations au Togo… C'est à la Une d'Afrique XXI, qui titre : « Derrière la répression, un clan de plus en plus divisé » . « Depuis début juin » rappelle le site d'information, « des manifestations spontanées ont éclaté pour demander la libération du rappeur Aamron, dénoncer la gouvernance du pays et obtenir le départ de Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005 ». Faure Gnassingbé qui le 3 mai dernier est devenu officiellement le président du Conseil, « sans limite de mandat ». « Le verre était plein », commente Kodjo, conducteur de taxi-moto interrogé par Afrique XXI. Et le journal en ligne précise que, « même au sein du parti présidentiel, l'Union pour la République, certains aspects du changement de régime ont eu du mal à passer ». « La tension a surtout pris de l'ampleur après la sortie de Marguerite Gnakadè, l'ex ministre de la Défense, qui a publié en mai dernier, une tribune feutrée mais avec un ton offensif », explique Afrique XXI. Dans cette tribune, elle estimait notamment que « trop souvent, le peuple togolais est réduit au silence et qu'il était temps que sa volonté soit respectée ». Mais pour l'heure, Faure Gnassingbé résiste. Afrique XXI le compare « à un sphinx qui a toujours su renaître de ses cendres après chaque poussée de fièvre politique, soutenu par les forces de l'ordre qui lui ont de nouveau fait allégeance le 3 mai » s'appuyant aussi sur « les divisions entre opposants ou membres de la société civile. Tandis qu'il reste bien souvent épargné par les condamnations à l'international, en premier lieu de la France, qui a toujours soutenu la famille Gnassingbé », conclut Afrique XXI.
durée : 00:46:12 - Interception - par : Antoine Giniaux - Ce dimanche, reportage-enquête au soleil, avec chapeau et crème solaire indice 50, évidemment. Les dangers des rayons ultra-violets sont encore largement sous-estimés. Le nombre de cancers de la peau a triplé en trente ans. De plus en plus de jeunes sont touchés. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Né en 1973, Arnaud Cathrine publie en 1998 son premier roman, Les Yeux secs, aux Éditions Verticales. Depuis, il a fait paraître une trentaine de livres dont Pas exactement l'amour (2015, Prix de la nouvelle de l'Académie française) et Début de siècles (2022) ainsi que les séries À la place du cœur et Romance (Robert Laffont). Plusieurs de ses romans ont été adaptés au cinéma, à la télévision et au théâtre, et il a coécrit l'adaptation de l'un d'eux avec Eric Caravaca (Le passager/La route de Midland, 2006). Il est également conseiller littéraire pour la Maison de la poésie et les Correspondances de Manosque. « Une séparation, ce n'est rien. Et c'est toute une vie. » Ces mots, Raphaël les a accueillis comme une consolation. Sans doute aussi comme l'impulsion qu'il lui fallait pour arrêter de croire qu'il était irrémédiablement brisé. Certes, il n'a pas vécu une tragédie mais quand même : Anna l'a quitté après vingt ans passés ensemble. Une épreuve à fragmentations qui l'a laissé longtemps à terre. Mais après ? Raphaël prend la mesure de tout ce qu'il va falloir réinventer, sans elle. D'abord, où habiter, à présent qu'Anna conserve l'appartement familial et que leur fille part étudier à Toulouse ? Tout est possible. Et comme rien ne s'impose ni ne presse, il décide de s'exiler en faisant le tour des littoraux français, avec l'intuition que la fréquentation quotidienne des rivages, leur beauté puissante pourraient réveiller la vie en lui. Ce sera La Grande-Motte, Arcachon, Bénerville-sur-mer et Préfailles. Avec, comme imprévues au voyage, des rencontres qu'il n'aurait jamais faites du temps d'Anna. Roman de plages est le récit d'une traversée intime et existentielle, celle d'un homme qui saisit ce moment où, après l'effondrement, s'esquisse enfin un retour au monde, le beau monde du vivant et des vivants. (Présentation des éditions Flammarion) À LIRE ÉGALEMENT SUR LE MÊME SUJET Une anthologie insolite des écrits balnéaires « Il faudrait que je meure ou que j'aille à la plage », écrivait Michel Houellebecq. Si l'on penche pour la seconde solution, autant prévoir de la lecture (moins utile pour le premier choix, on en conviendra…). Dans ce cas, ce Grand Livre de la littérature de plage constitue la meilleure des options. Il rassemble, sous la forme d'une anthologie désordonnée et originale, des pages émouvantes, mordantes, troublantes ou amusantes sur les plaisirs balnéaires. Dans cette étonnante pléiade des bords de mer, Flaubert lance le frisbee vers François Truffaut, C. Jérôme étend sa serviette près de Françoise Sagan, Alain Robbe-Grillet fait une place sous son parasol à Nadine de Rothschild et les Mémoires d'outre-tombe marchent main dans la main, sur fond de soleil couchant, avec L'Année des méduses. La meilleure des lectures estivales puisqu'elle les contient toutes. Les « lectures de plage » sont forcément anecdotiques et légères ? Ce recueil démontrera au contraire combien la littérature sous toutes ses formes se ravive sur le sable et combien le soleil lui profite. (Présentation des éditions Séguier) Sélectionné pour le Prix du livre de plage 2025. Jean-Christophe Napias est éditeur et préside aux destinées de sa maison indépendante, l'éditeur singulier. Il est également l'auteur du Monde selon Karl (Flammarion) et de plusieurs livres sur Paris, dont Où trouver le calme à Paris (Parigramme).
Dans Pop culture, Mathieu Alterman raconte chaque week-end l'actualité qui fait du bien aux yeux, au cœur et aux oreilles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans Pop culture, Mathieu Alterman raconte chaque week-end l'actualité qui fait du bien aux yeux, au cœur et aux oreilles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:47 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Valentine se demande comment le tournesol parvient-il à suivre la course du soleil dans le ciel ? François Parcy, généticien, directeur de recherche CNRS au laboratoire de physiologie cellulaire et végétale à Grenoble, lui répond. - invités : Francois Parcy - François Parcy : Généticien, directeur de recherche CNRS au Laboratoire de Physiologie cellulaire et végétale à Grenoble - réalisé par : Stéphanie TEXIER
« Informer à l'heure de la post-vérité » était le sujet d'une table ronde du 3e Festival international du journalisme de Carleton-sur-mer, au Québec, mi-mai 2025. L'atelier des médias propose un compte rendu des échanges qui réunissaient une universitaire et trois directeurs de médias francophones canadiens. Il a été question d'intelligence artificielle, de régulation des plateformes ou encore de la notion de confiance. Marie-Ève Carignan est professeure titulaire au Département de communication de l'Université de Sherbrooke et cotitulaire de la chaire Unesco en prévention de la radicalisation et de l'extrémisme violents. Elle a aussi aussi été responsable des communications et analyste au Conseil de presse du Québec. Marc Gendron est éditeur chez Le Soleil et directeur principal croissance numérique des Coops de l'information Luce Julien est directrice générale de l'information à Radio-Canada depuis 2018. Brian Myles est le directeur du quotidien Le Devoir depuis 2016 mais il y travaille depuis trois décennies. Il a enseigné le journalisme à l'UQAM, de 2000 à 2016. Il a aussi été président de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) de 2009 à 2013. Marie-Ève Carignan commence par rappeler que la post-vérité est un concept qui, bien qu'il ait été le mot de l'année du dictionnaire Oxford en 2016, ne fait pas l'unanimité parmi les chercheurs. Ce terme est apparu pour décrire une ère où l'on accorde moins d'importance aux faits et à l'information factuelle, et davantage aux émotions et aux croyances personnelles. Une époque du « tout se vaut ». Les évolutions technologiques, notamment la démocratisation d'Internet, l'explosion des réseaux sociaux et l'intelligence artificielle (IA), ont eu un impact sur le secteur des médias, ces derniers ayant perdu leur « centralité » dans la diffusion de l'information. Aujourd'hui, « n'importe qui peut devenir un créateur et surtout un diffuseur de contenu », et sur l'espace numérique, « on est presque tous à armes égales », explique Marc Gendron, du quotidien Le Soleil. Les théories du complot, auparavant confinées à des cercles restreints, peuvent désormais être diffusées à grande échelle et atteindre des personnes sensibles à ce type de propos. L'IA a encore amplifié ce phénomène, permettant l'existence de « fermes à fausses nouvelles ». Cependant, Brian Myles, directeur du quotidien Le Devoir, rappelle que « le premier facteur de désinformation, c'est un être humain », soulignant que la désinformation précède largement la révolution numérique. Pour lui, l'enjeu de notre époque est le passage de l'insulte « fake news » appliquée aux médias traditionnels à « un empire de fausses nouvelles » qui a engendré une « communauté qui est dans la croyance pour ne pas dire dans la crédulité », menant à une ère où « ce n'est plus je pense donc je suis, c'est je le pense donc c'est vrai ». Il précise que des études montrent qu'une personne sur quatre s'informe désormais sur les réseaux sociaux, et la moitié des personnes interrogées dans ces études considèrent Facebook comme « très crédible », alors que la plateforme a été un puissant véhicule de désinformation. Le blocage des contenus d'actualité sur Facebook et Instagram au Canada depuis le 1er août 2023, riposte de Meta à une loi canadienne obligeant le géant américain à payer les médias pour reprendre leur contenus, a eu des impacts mitigés. Un tiers des Canadiens ne sauraient même pas que les contenus d'actualités sont bloqués sur ces plateformes, rappelle Marie-Ève Carignan. À l'inverse, Brian Myles qualifie ce blocage de « bénédiction », car cela a poussé les utilisateurs à chercher directement l'information, apportant plus de trafic direct et d'abonnements numériques pour son média. À écouter aussi«L'ère de la post-vérité»: le regard d'un économiste sur les effets du capitalisme numérique Face à ces défis, plusieurs pistes de solutions ont été proposées pour continuer d'informer à l'ère de la post-vérité : Rétablir la confiance : Brian Myles insiste sur le fait que la confiance est le bien le plus précieux des journalistes. La transparence est essentielle : sur les méthodes, la structure de propriété, la séparation entre faits et opinions, l'admission et la correction des erreurs. Il faut également des journalistes de terrain qui reflètent la réalité des gens, des médias capables de connecter avec leur public et des espaces de rétroaction intégrants le lecteur. Développer les communautés et la proximité : Marc Gendron souligne l'importance de réinvestir dans des espaces de commentaires modérés sur les environnements propres (sites et applications) des médias pour créer un engagement et une communauté autour des contenus. Il faut que les médias de proximité aillent sur le terrain, fassent écho aux préoccupations des gens pour rétablir un lien de confiance fondamental. Le dialogue social : Marie-Ève Carignan mentionne des projets mettant en relation des personnes aux croyances radicalement opposées (par exemple, sur l'immigration ou le changement climatique) pour encourager l'écoute et l'ouverture aux différentes opinions. Des méthodes comme l'« entretien motivationnel » ont montré leur efficacité pour amener les gens à réfléchir à leurs valeurs et potentiellement modifier leurs croyances, notamment en santé publique. L'éducation aux médias : Marie-Ève Carignan et Luce Julien insistent sur le potentiel de l'éducation aux médias (EMI). Des projets pilotes ont montré que les participants comprennent mieux le fonctionnement des médias et sont plus ouverts aux sources d'information, mais ces initiatives manquent de financement et de structuration uniforme. La régulation des plateformes numériques : Le problème de l'économie des médias en crise est que la création de contenu dédié à chaque réseau social n'est pas rentable, car les médias sont « écartés de la chaîne de valeur » et ne tirent pas de revenus de ces plateformes. Brian Myles insiste sur l'absence d'un cadre réglementaire juste pour les plateformes numériques. Il affirme que les plateformes ne sont ni de simples compagnies de technologies ni des médias traditionnels, mais un « entre-deux ». Il suggère que des actions judiciaires antitrust aux États-Unis, visant à démanteler des géants comme Google et Facebook, pourraient potentiellement « régler l'enjeu pour nous tous ». Le rôle des gouvernements : Marie-Ève Carignan considère l'information comme un « bien public » qui coûte cher à produire et devrait être financé par le gouvernement par le biais des taxes, et non pas seulement par l'abonnement. Brian Myles s'inquiète de la « montée des gouvernements populistes qui arrivent avec un agenda de remise en question des institutions médiatiques » et qui « vont laisser le mensonge investir l'espace d'élaboration des politiques publiques », ce qui est « profondément dangereux dans une démocratie ». Malgré ces défis, Luce Julien offre une note d'espoir, affirmant que « l'industrie va mal » financièrement, mais que « on fait du meilleur journalisme qu'on en faisait il y a plusieurs années », avec par exemple de nombreux médias réalisant du journalisme d'enquête de qualité. Elle encourage les citoyens à « poser des questions aux médias » s'ils doutent d'un reportage, soulignant l'importance du lien direct avec le public.
Nous parlons des rayons UV du soleil, des 6 différents types de peau, du photovieillissement, des cancers de peau, et de la crème solaire. En particulier, nous discuterons des différences entre les écrans chimiques et les minéraux et de comment faire l'auto-surveillance des lésions de sa propre peau. Notre tout nouveau programme de perte de poids appelé Transforma est entièrement en ligne et vise à vous aider à optimiser votre santé métabolique tout en retrouvant votre poids santé. Rendez-vous sur www.transforma.fit pour le webinaire gratuit qui explique le programme de manière plus complète et sans engagement. Rayons UV (ultra-violets) sur la peauVitamine D, le magnésium et les rayons UV 6 types de peau selon l'échelle Fitzpatrick et pourquoi connaître son type Photovieillissement 3 des types de cancers de la peau Salons de bronzage Les tatouages Dépistage et auto-surveillanceTotal Body Photography: DermaSensor L'ABCDE Écrans solaires : chimiques et minéraux L'indice de protection solaire ou SPF et l'UPFL'indice UV L'astuce de la semaine : l faut écouter l'épisode pour la connaître! Les messages clés de l'épisode sont : 1. Les rayons UV augmentent les risques de développer des carcinomes de la peau, mais le lien entre le soleil et le mélanome est moins clair.2. Le soleil fait bronzer, ce qui est bien pour la production de vitamine D, mais fait aussi vieillir notre peau plus rapidement. On ne veut pas éviter le soleil, mais on veut un équilibre et utiliser des vêtements et des écrans solaires pour diminuer les risques. 3. Il est important de bien connaître son type de peau et de tenir compte des autres facteurs comme l'altitude, la latitude, et l'indice UV du jour pour choisir un écran solaire adéquat. 4. Il existe des écrans solaires chimiques, pouvant potentiellement contenir des perturbateurs endocriniens, et des écrans minéraux, qui sont considérés comme sécuritaires et efficaces. 5. Le plus important est d'utiliser un écran solaire que l'on aime et que l'on va accepter de porter. En terminant ce 93e épisode de Santé-vous mieux!, nous aimerions vous aviser que, contrairement à l'été dernier, nous allons faire relâche cet été et repartir avec une 3e saison dès septembre 2025. Ça vous donne tout l'été pour écouter les épisodes que vous avez ratés ou réécouter vos préférés. Ça vous donne aussi le temps de vous ennuyer de nous, et de revenir fidèle au poste dès la rentrée. Nous vous donnons rendez-vous en septembre 2025 pour une 3e saison de Santé-vous mieux! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:24:23 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Ce volet de "La Science et les hommes ", consacré aux taches solaires de Galilée à aujourd'hui, retrace la découverte par Galilée des taches solaires au début du 17e siècle, et montre en quoi l'analyse qu'il en a tirée a fait voler en éclats le modèle de l'Univers admis jusqu'alors. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:48:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Ce numéro de "De la nuit", intitulé "Nous survivre", fut diffusé pour la première fois le 27 mai 1975. L'émission entremêle, sur un fond musical rock, entretiens et lectures de textes évoquant le soleil, son symbolisme, son importance dans les mythes et les religions. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:46:38 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - De l'adoration antique aux usages modernes, le soleil continue de fasciner. Entre folklore, art, science et spiritualité, notre lien à cet astre se réinvente à mesure que la recherche nous éclaire sur son origine et son fonctionnement, passant d'une célébration festive à un émerveillement renouvelé. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Claude Gaignebet
durée : 01:24:52 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Le soleil inspirait aux peuples précolombiens une forme de terreur sacrée au point d'organiser des rituels de sacrifices humains pour apaiser les dieux. Plusieurs spécialistes du Mexique ancien nous livrent la vision du monde des Aztèques et en particulier leur mysticisme inquiet et violent. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Alain Musset Géographe à l'Institut universitaire de France; Serge Gruzinski Directeur d'études à l'Ehess.
durée : 00:29:50 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Notre Soleil, cette étoile familière, est facilement observable du fait de sa proximité avec la Terre. Comment produit-il sa lumière ? D'où vient son énergie ? Réponses très pédagogiques dans cette émission de l'Université de tous les savoirs, dédiée à la question : Qu'est-ce qu'une étoile ? - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Sylvie Vauclair Astrophysicienne
durée : 00:04:57 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Des mythes anciens aux découvertes scientifiques, le soleil illumine notre imaginaire. Cette série d'archives offre sept heures de récits, créations et savoirs autour de l'astre du jour, entre art, croyances et astrophysique. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 01:16:56 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - À midi, le temps semble s'arrêter. Dans ce premier épisode d'une série de "Nuits magnétiques", des écrivains, artistes, mais aussi habitants du Midi racontent comment ils ressentent cette heure suspendue, sa lumière, sa couleur, les activités qu'elle engendre, comment elle structure leur journée. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Jacques Lacarrière Écrivain français; Knud Viktor
durée : 00:30:23 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Connaître notre système solaire, c'est connaître le passé de notre monde et imaginer son futur. Dans cette première émission d'une série de cinq, l'astrophysicien André Brahic revient sur la découverte des planètes, de leurs particularités, et de ce qu'il nous reste à trouver dans l'espace. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : André Brahic Astrophysicien. Professeur à l'université Paris VII et directeur du groupe de recherche Gamma-Gravitation au CEA.
Malgré les mesures de relance économique mises en place par le gouvernement, une profonde déception règne parmi les marchands du Victoria Urban Terminal, ceux des foires, les travailleurs indépendants et les petits commerces. Ces acteurs économiques, déjà fragilisés, estiment avoir été ignorés par le gouvernement, surtout à la lumière du relèvement prochain de l'âge d'éligibilité à la pension de vieillesse à 65 ans. Hydar Ryman, porte-parole de ces travailleurs indépendants, ne cache pas son amertume. « Après près de 40 ans de dur labeur sous le soleil et la pluie, sans aucun boni de fin d'année, ces hommes et femmes ont peiné pour nourrir leur famille. Et aujourd'hui, on leur demande d'attendre encore plus longtemps pour percevoir leur pension. C'est choquant et profondément injuste », déplore-t-il. Hydar Ryman souligne que les marchands, en particulier ceux âgés de 55 à 60 ans, s'accrochaient à l'espoir de bénéficier de la pension dans les prochaines années. « Ils supportaient leurs douleurs physiques, leurs dépenses en médicaments et leurs conditions précaires avec la patience de ceux qui entrevoient une lumière au bout du tunnel. Aujourd'hui, cette lumière s'éteint brutalement. C'est une déception totale », souligne-t-il.
Aujourd'hui dans le podcast, l'équipe reçoit Jérôme Blanchet-Gravel, rédacteur en chef de Libre Média, pour une discussion approfondie sur divers sujets d'actualité, tant nationaux qu'internationaux, avec un accent particulier sur le monde latin. Cette semaine, on discute avec lui d'une série d'articles sur la Reconquista de la Californie par les populations de culture latino-américaine mexicaines. Tout cela en lien avec la déchéance de la Californie comme état américain progressiste ainsi que les violentes émeutes des derniers jours. On discute également avec Jérôme de la situation à l'académie Saint-Louis à Québec où des résidents vivant à proximité du terrain de football de l'établissement souhaitent que les jeunes fassent moins de bruit lors de leurs activités sportives en soirée.DANS LA PARTIE PATREON, on commence en commentant le bon article du journal Le Soleil sur le dévoilement de la plateforme du parti municipal de Québec Respect Citoyens de Stéphane Lachance. Suivi d'un article de Radio-Canada sur les problèmes du parti de l'Union Nationale avec Élections Québec. Ensuite, Frank nous lit un article du Wall Street Journal sur l'inflation et la Génération Z qui semble simplifier beaucoup trop la chose. On termine en écoutant une vidéo du secrétaire au Trésor Howard Lutnick lors d'un hearing sur la politique des tarifs au Congrès américain.0:00 Intro0:28 La Reconquista de la Californie8:30 Une information de faible qualité16:25 Une guerre idéologique21:27 États rouges versus les États bleus29:08 Sport en silence à l'académie Saint-Louis36:47 Le Québec = un sous-sol d'église ?44:31 Le grand paradoxe des souverainistes46:16 Les nouvelles de Libre Média47:44 Conclusion
durée : 00:03:53 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question posée par Charlotte, quatre ans et demi, qui habite à Brest. Marie Dumont, docteur en sciences de l'environnement, qui s'y connait en arc-en-ciel, qui lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
durée : 00:59:20 - Banzzaï du jeudi 05 juin 2025 : Vers le soleil - rediffusion - par : Nathalie Piolé - Qu'il soit dans le ciel ou dans nos coeurs, ce soir, on vise le soleil.
Le changement de réglementation de la NCAA permettant aux joueurs de la Ligue canadienne de hockey (LCH) de poursuivre leur parcours dans les rangs universitaires américains suscite beaucoup d'inquiétude. Des montants d'argent seraient même offerts aux joueurs de la LHJMQ pour aller jouer dans la NCAA. Comment les équipes d'ici feront-elles pour rivaliser? Écoutez Mario Cecchini, commissaire de la LHJMQ, faire le point sur ce dossier au micro de Jean-François Baril. Le journaliste au journal Le Soleil, Mikaël Lalancette, affirme quant à lui qu’il y a un nuage très sombre au-dessus de la tête de la LHJMQ. Selon lui, les offres des formations américaines auront des conséquences désastreuses pour les organisations d’ici. «Nos étudiants athlètes ne peuvent pas être payés, ne peuvent pas être rémunérés, mais ils peuvent signer des contrats de commandite. Alors, si c'est ça la planche de salut, ils vont devoir trouver une solution pour essayer de faire avec la main gauche ce que la main droite ne peut pas faire parce qu'il y a des règles.» Le journaliste est aussi d'avis que le nombre de Québécois sélectionnés au repêchage de la LHJMQ va chuter drastiquement! Quel est l'ingrédient secret pour vaincre les Panthers? Dany Dubé se questionne à ce sujet dans ce balado! Selon lui, les Oilers devront jouer du hockey inspiré sans les services de Zach Hyman. L’analyste est clair : «Mon indicateur numéro un pour les succès d'une équipe, c'est la production à cinq contre cinq! Au cours des trois dernières années, l'équipe qui gagne la Coupe Stanley a au moins six attaquants qui finissent avec 0,5 points par match à cinq contre cinq!». Les préparations en vue du repêchage de la LNH battent leur plein, alors que les examens médicaux se déroulent à l'aréna des Sabres de Buffalo au fameux Combine. Le journaliste à La Presse, Guillaume Lefrançois, est sur place et partage les secrets de coulisses de cet événement annuel! Il a également rencontré plusieurs espoirs et il se questionne : Caleb Desnoyers des Wildcats de Moncton est-il réellement4 un choix top cinq? Le journaliste confirme également que Justin Carbonneau a rencontré les Canadiens de Montréal. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
SAAQclic: la commission se poursuit. Le procès de Gilbert Rozon continuera aujourd’hui. Les premiers ministres se sont rencontrés à Saskatoon. Rencontre Ukraine-Russie: on surveille les réactions. Tour de table entre Isabelle Perron, Audrey Gagnon et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
« Cap sur un nouveau pacte démocratique », s'exclame Le Soleil en première page. « Le dialogue national lancé hier par le président Bassirou Diomaye Faye marque une rupture salutaire dans la tradition politique sénégalaise. Longtemps perçus comme des exercices de rattrapage organisés sous pression, les dialogues politiques au Sénégal survenaient généralement lorsque le pouvoir était acculé, à la recherche d'une porte de sortie. Cette fois, il n'en est rien, affirme Le Soleil. L'initiative émane d'un pouvoir légitimé par les urnes, dans un climat apaisé, avec une volonté manifeste de refondation. Cela mérite d'être salué. »Pour le site d'information Senego, « l'heure du changement a sonné ». Il s'agit d'une « concertation historique qui vise à repenser en profondeur l'architecture politique et électorale du Sénégal dans un esprit d'inclusion et de cohésion nationale. Dans son discours d'ouverture, le président a insisté sur l'importance de mettre en place un système politique inclusif où tous les acteurs auront la possibilité de participer pleinement aux processus décisionnels. Cela implique des mesures visant à assurer une représentation équitable de tous les groupes, à faciliter leur accès à l'information et à promouvoir le dialogue et la collaboration. »Trois axes majeursConcrètement, précise Dakar Matin, « les travaux seront organisés autour de trois axes majeurs. Le premier point, “démocratie, libertés et droits humains“, sera abordé avec des sous-thèmes portant sur la rationalisation des partis politiques et du calendrier républicain, le financement des partis, le statut de l'opposition, la protection et renforcement des libertés publiques, la révision de certaines dispositions juridiques. Le deuxième point de discussion sera axé sur le processus électoral : révision et modernisation du système de parrainage, mise en œuvre effective du bulletin unique et vote électronique, audit et la sécurisation du fichier électoral, et inscription automatique et permanente des électeurs (…). »Enfin, précise encore Dakar Matin, « le troisième axe portera sur les réformes institutionnelles : transformation du Conseil constitutionnel en Cour constitutionnelle, création d'un organe indépendant de gestion des élections et discussion sur les attributions de l'organe de régulation des médias. »Un climat politique agitéVoilà pour le programme… Reste, pointe Le Monde Afrique, que « cette concertation nationale a été boycottée par quelques partis de l'opposition, dont celui de l'ex-président Macky Sall, qui accuse le pouvoir de s'en prendre à ses responsables. De nombreuses poursuites judiciaires ont (en effet) été lancées contre des dignitaires de l'ancien régime. Cinq ex-ministres ont récemment été inculpés par la Haute Cour de justice, pour des malversations présumées. Néanmoins, la majorité de l'opposition a pris part, hier, à la cérémonie d'ouverture de la concertation. »Jeune Afrique pour sa part rappelle que le Sénégal a déjà connu trois dialogues nationaux. « Deux des trois précédentes éditions de l'exercice se sont ouvertes dans des moments de fortes crispations : l'une, le 31 mai 2023, à la veille de la condamnation d'Ousmane Sonko à deux ans d'emprisonnement, épisode qui allait embraser le pays ; la seconde, le 26 février 2024, au climax d'une crise préélectorale provoquée par le forcing inattendu de l'ex-président Macky Sall visant à tenter de reporter la présidentielle. La session qui s'ouvre ce jeudi ne fait pas exception à la règle. Elle intervient dans un contexte de tensions entre le duo Diomaye-Sonko et le camp de Macky Sall. »« Parlons-nous ! »Alors, « de grâce, ne sortez pas les revolvers ! Parlons-nous ! », s'exclame le poète Amadou Lamine Sall dans une tribune publiée par Walf Quotidien. « Notre pays est certes debout, mais encore fragile, poursuit-il, inachevé, errant, corrompu par des contestations récurrentes devant des juridictions à qui le Droit et ses libertés d'interprétations donnent le tournis. On devrait pouvoir mettre fin à de telles impasses qui ouvrent sur des accusations fondées ou infondées. Les conclusions du Dialogue national doivent nous conduire à une vie politique régulée, implore encore Amadou Lamine Sall, décente, responsable, éthique, sécuritaire, désormais solidement gouvernée par des organes juridiques et institutionnels garantissant sans détours les libertés individuelles et celles de la justice, sans ôter à l'État son autorité et son pouvoir de veille publique. »
« Cap sur un nouveau pacte démocratique », s'exclame Le Soleil en première page. « Le dialogue national lancé hier par le président Bassirou Diomaye Faye marque une rupture salutaire dans la tradition politique sénégalaise. Longtemps perçus comme des exercices de rattrapage organisés sous pression, les dialogues politiques au Sénégal survenaient généralement lorsque le pouvoir était acculé, à la recherche d'une porte de sortie. Cette fois, il n'en est rien, affirme Le Soleil. L'initiative émane d'un pouvoir légitimé par les urnes, dans un climat apaisé, avec une volonté manifeste de refondation. Cela mérite d'être salué. »Pour le site d'information Senego, « l'heure du changement a sonné ». Il s'agit d'une « concertation historique qui vise à repenser en profondeur l'architecture politique et électorale du Sénégal dans un esprit d'inclusion et de cohésion nationale. Dans son discours d'ouverture, le président a insisté sur l'importance de mettre en place un système politique inclusif où tous les acteurs auront la possibilité de participer pleinement aux processus décisionnels. Cela implique des mesures visant à assurer une représentation équitable de tous les groupes, à faciliter leur accès à l'information et à promouvoir le dialogue et la collaboration. »Trois axes majeursConcrètement, précise Dakar Matin, « les travaux seront organisés autour de trois axes majeurs. Le premier point, “démocratie, libertés et droits humains“, sera abordé avec des sous-thèmes portant sur la rationalisation des partis politiques et du calendrier républicain, le financement des partis, le statut de l'opposition, la protection et renforcement des libertés publiques, la révision de certaines dispositions juridiques. Le deuxième point de discussion sera axé sur le processus électoral : révision et modernisation du système de parrainage, mise en œuvre effective du bulletin unique et vote électronique, audit et la sécurisation du fichier électoral, et inscription automatique et permanente des électeurs (…). »Enfin, précise encore Dakar Matin, « le troisième axe portera sur les réformes institutionnelles : transformation du Conseil constitutionnel en Cour constitutionnelle, création d'un organe indépendant de gestion des élections et discussion sur les attributions de l'organe de régulation des médias. »Un climat politique agitéVoilà pour le programme… Reste, pointe Le Monde Afrique, que « cette concertation nationale a été boycottée par quelques partis de l'opposition, dont celui de l'ex-président Macky Sall, qui accuse le pouvoir de s'en prendre à ses responsables. De nombreuses poursuites judiciaires ont (en effet) été lancées contre des dignitaires de l'ancien régime. Cinq ex-ministres ont récemment été inculpés par la Haute Cour de justice, pour des malversations présumées. Néanmoins, la majorité de l'opposition a pris part, hier, à la cérémonie d'ouverture de la concertation. »Jeune Afrique pour sa part rappelle que le Sénégal a déjà connu trois dialogues nationaux. « Deux des trois précédentes éditions de l'exercice se sont ouvertes dans des moments de fortes crispations : l'une, le 31 mai 2023, à la veille de la condamnation d'Ousmane Sonko à deux ans d'emprisonnement, épisode qui allait embraser le pays ; la seconde, le 26 février 2024, au climax d'une crise préélectorale provoquée par le forcing inattendu de l'ex-président Macky Sall visant à tenter de reporter la présidentielle. La session qui s'ouvre ce jeudi ne fait pas exception à la règle. Elle intervient dans un contexte de tensions entre le duo Diomaye-Sonko et le camp de Macky Sall. »« Parlons-nous ! »Alors, « de grâce, ne sortez pas les revolvers ! Parlons-nous ! », s'exclame le poète Amadou Lamine Sall dans une tribune publiée par Walf Quotidien. « Notre pays est certes debout, mais encore fragile, poursuit-il, inachevé, errant, corrompu par des contestations récurrentes devant des juridictions à qui le Droit et ses libertés d'interprétations donnent le tournis. On devrait pouvoir mettre fin à de telles impasses qui ouvrent sur des accusations fondées ou infondées. Les conclusions du Dialogue national doivent nous conduire à une vie politique régulée, implore encore Amadou Lamine Sall, décente, responsable, éthique, sécuritaire, désormais solidement gouvernée par des organes juridiques et institutionnels garantissant sans détours les libertés individuelles et celles de la justice, sans ôter à l'État son autorité et son pouvoir de veille publique. »
Solar, deuxième édition pour cette biennale dont le soleil devient un point de départ pour repenser notre relation au vivant et aux technologies face aux enjeux contemporains sʹinstalle cette année au Mudac. Les deux curateurs, Scott Longfellow et Rafaël Santianez sont au micro de Florence Grivel. Solar, Biennale, Mudac, Lausanne, jusquʹau 21 septembre.
L'arrivée du soleil et de la chaleur s'accompagne d'un beau potager et jardin. Pour cela, il faut entretenir et bien arroser ses plantations. Voici 10 conseils de Pascal Aspe, ancien formateur à Terre Vivante pendant 15 ans, expert en jardinage, pour s'occuper de son jardin. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pierre-François parle des examens de fin d’année Patrice nous invite à décrocher de nos écrans pour 24h Et Marie-Josée nous propose des produits dérivés de vedettes
Le Festival de Cannes ouvre ses portes ce mardi 13 mai, et si les projecteurs sont braqués sur les stars et les projections, c'est aussi en coulisses que le cinéma se joue. Chaque année, la Croisette accueille en parallèle le plus grand rendez-vous professionnel du secteur : le Marché du film. Décryptage. Oubliez le tapis rouge, les photographes et les petits fours et parlons affaires. Pendant dix jours, Cannes devient la capitale mondiale de l'économie du cinéma. 15 000 professionnels accrédités, 4000 films et projets représentés : le Marché du film est le lieu où se négocient les droits de distribution des films que vous verrez dans les mois à venir. C'est aussi là que se montent les coproductions internationales, que se repèrent les tendances de demain. Producteurs, distributeurs et acheteurs arpentent les stands et les salons pour décider quels films feront l'actualité des écrans de l'année à venir. À lire aussiSourires aux Golden Globes, grimaces en coulisses: Hollywood face à la criseUne année 2024 dynamique, mais sans boom pour le box-office Cet événement est aussi l'occasion de faire le point sur l'état du marché. RFI a pu consulter en avant-première le rapport annuel de l'Observatoire européen de l'audiovisuel. Ce que l'on peut affirmer, c'est que même si 2024 a été exceptionnelle en termes de production, l'année n'a pas été celle du rebond espéré. Le box-office mondial atteint 28,1 milliards d'euros, mais cela reste en baisse de 9 % par rapport à 2023. Deux géants connaissent une baisse significative. La Chine, avec -24 %, et les États-Unis, à -4 %, touchés par les récentes grèves à Hollywood, qui ont gelé la production et retardé la sortie des blockbusters. Côté gagnants, on retiendra l'Inde, le Royaume-Uni et la France, qui restent des places solides. Le streaming bouleverse l'équilibre des salles Mais le cinéma aujourd'hui, ce n'est plus seulement des projections en salles. Et les professionnels l'ont bien intégré. Toujours selon l'Observatoire européen de l'audiovisuel, un tiers des films disponibles en VOD sont européens. Les plateformes de streaming sont donc devenues essentielles à la diffusion des longs-métrages, qu'ils soient exclusivement destinés à ces canaux ou qu'ils aient eu une vie en salle auparavant. Pour les exploitants – c'est-à-dire les cinémas eux-mêmes – les conséquences sont bien réelles. Le temps passé devant un écran chez soi est aussi du temps en moins en salle. C'est l'un des défis majeurs du secteur. Autre tendance forte : le renforcement des partenariats public-privés pour financer les projets, ainsi que la promotion de la coproduction internationale pour mutualiser les coûts et s'ouvrir à de nouveaux marchés. Car, on l'a dit, le cinéma reste un marché. Un marché avec des acteurs importants, en concurrence, et où le premier rôle est très convoité.
No mês das mães, a Onda apresenta uma série especial em dois episódios sobre um tema profundo e íntimo: a volta ao trabalho depois da maternidade.Pela primeira vez, deixo o meu lugar de entrevistadora e entrego o microfone para duas mães viverem uma conversa entre elas.Nesta série, queremos escutar uma mãe e a sua filha. Escutar o que fica de fora das narrativas prontas. Escutar o que acontece no tempo da volta — aquele tempo invisível, mas que muda tudo por dentro.Queremos também refletir: o que se perde, o que se ganha, o que se transforma nesse caminho? E como o mundo do trabalho lida — ou deveria lidar — com essa travessia? E sobretudo: o que eu ainda não disse para a minha mãe? O que eu ainda não ouvi da minha filha?Dois episódios, duas perspectivas.Hoje recebo Roberta e Flora, mãe e filha, sócias da marca Le Soleil d'Été.Com a chegada dos filhos, surgem perguntas pragmáticas: Posso continuar vivendo como antes? Como vou ganhar dinheiro?Flora, com formação artística, decidiu abrir mão de um trabalho puramente autoral para encontrar caminhos que garantissem, junto com a sua felicidade, mais sustento. Roberta, que foi mãe muito jovem — aos 24 anos já tinha três filhos —, reinventou sua trajetória mais de uma vez, equilibrando a vida familiar com o trabalho.Esse episódio é sobre os caminhos que a maternidade vem desenhando — sobre criação, renúncia e os modelos que passamos, ou escolhemos abandonar.
Ecoutez La Vizo Conférence avec Clément Charton du 12 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Cela concerne une personne sur quatre ce phénomène qu'on appellel'éternuement héliotropique ...
durée : 00:02:31 - Le soleil brille
Pourquoi le ciel est rose quand le Soleil se couche ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:56:27 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Ce soir, Michka Assayas propose un voyage dans le temps pour nous raconter une histoire musicalement merveilleuse et pourtant humainement tragique. - réalisé par : Stéphane Ronxin
Pourquoi est-ce que dans les enceintes sportives on entend cette chanson-là ? Cette chanson-là elle est sortie le 16 septembre 1969 et elle est l'œuvre du musicien Neil Diamond. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Neil Diamond reveals secret of Sweet Caroline, Dan Glaister, Wed 21 Nov 2007 https://www.theguardian.com/world/2007/nov/21/usa.musicnews Comment « Sweet Caroline » est devenu le nouvel hymne à la gloire des Trois Lions, Pierre-Étienne Minonzio, le 3 juillet 2021 https://www.lequipe.fr/Football/Article/Comment-sweet-caroline-est-devenu-le-nouvel-hymne-a-la-gloire-des-trois-lions/1267788 L'improbable hymne de Neil Diamond, Ian Bussières, Le Soleil, 10 juin 2022 https://www.lesoleil.com/2022/06/11/limprobable-hymne-de-neil-diamond-aee8c677da9ef4fb5134863c4553ea6e/ Why Do English Soccer Fans Sing ‘Sweet Caroline'? July 11, 2021 https://www.nytimes.com/2021/07/11/sports/soccer/why-england-sweet-caroline-euro-2020.html La chanson que vous n'êtes plus capable d'entendre : vos réponses, 19 nov. 2023 https://www.lapresse.ca/sports/2023-11-19/mauvaise-conduite/la-chanson-que-vous-n-etes-plus-capable-d-entendre-vos-reponses.php The origin of Sweet Caroline in sport and why it sounds so good, Pa Sport Staff, 02 August 2022 https://www.independent.co.uk/sport/football/sweet-caroline-england-song-lyrics-why-b2136241.html Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #neildiamond #sweetcaroline #sports
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[MÉTAMORPHOSE PODCAST] Anne Ghesquière reçoit Patrice van Eersel, journaliste et grand reporter. Ensemble, ils explorent le sujet de la conscience. La conscience habite-elle l'univers tout entier ? La réalité de la matière présente-t-elle des similarités avec la conscience ? Où la conscience est-elle logée ? Que nous enseignent les sagesses et les EMI ? La nature est-elle consciente ? Et les animaux ? Faut-il renouer avec une vision animiste du monde ? Le Soleil est-il conscient ? Patrice Van Eersel nous expose les résultats de sa longue enquête avec humour et légèreté. Son dernier livre est paru aux éditions Guy Trédaniel : Le Soleil est-il conscient ? Et les dauphins, et les baobabs, et le cristal, et l'IA, et nous-mêmes ? En voilà des questions étranges. Allons-nous pouvoir y répondre ? Épisode #580À réécouter :#278 Patrice Van Eersel : NoosphèreQuelques citations du podcast avec Patrice van Eersel :"Nous sommes en wifi les uns avec les autres en permanence.""Les humains ont commencé à exister quand ils ont pris conscience qu'ils allaient mourir.""Plus la plante est ancienne dans l'évolution, plus elle a un spectre de musique."Thèmes abordés lors du podcast avec Patrice van Eersel :00:00 Introduction03:43 La question essentielle de la conscience.10:47 Qu'est-ce que la conscience ? 14:52 L'enquête de Patrice Van Eersel sur les EMI.19:23 Elisabeth Kübler-Ross ou l'art d'accompagner la douleur.30:49 Le tournant de Source noire.34:22 Vers une définition restreinte de la conscience dans l'Histoire.39:23 La double révolution de la mécanique quantique et de la phénoménologie.44:41 Que nous enseignent les Indiens Kogis.51:28 La conscience animale.54:20 : La Terre a-t-elle une conscience ?01:01:16 La musique des plantes01:13:42 Le fonctionnement quantique.01:20:44 Lien entre conscience et physique quantique.01:23:06 Le soleil est-il conscient ?Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:29:06 - Une histoire particulière - par : Lou Quevauvillers - Du globe terrestre gigantesque devant l'école aux huit petits pavillons aux murs amovibles que forment les classes, tout est pensé pour que les élèves étudient tout en étant au maximum exposés au soleil ! - réalisation : Rafik Zénine
durée : 00:29:06 - Une histoire particulière - par : Lou Quevauvillers - Du globe terrestre gigantesque devant l'école aux huit petits pavillons aux murs amovibles que forment les classes, tout est pensé pour que les élèves étudient tout en étant au maximum exposés au soleil ! - réalisation : Rafik Zénine
Nouvelle semaine, nouveau sketch. Il dit le mot soleil 2157637614563589 dans ce podcast. Faites du bruit pour Adel Fugazi !Et pour ne pas manquer les prochains épisodes de Montreux Comedy Edition Audio, abonnez-vous sur vos plateformes de podcasts préférées !Envie d'assister au Montreux Comedy Festival 2025 ?
Troisième section du Yoga Vasistha traitant de la création. Nous poursuivons ici la discussion entre le Créateur et le Soleil qui avait débutée au chapitre précédent. Le Soleil nous raconte l'histoire des dix fils d'Indu, un saint, descendant de Kasyapa. Bibliographie: Le Yoga Vasistha par Swami Venkatesananda, traduction de Patrice Repusseau, éditions Inner Quest (https://www.babelio.com/livres/Venkat...) Musique: The Lovely Moon (https://thelovelymoon.bandcamp.com/album/meditations) Narration et réalisation: Bruno Léger Production: Les mécènes du Vieux Sage Que règnent la paix et l'amour parmi tous les êtres de l'univers. OM Shanti, Shanti, Shanti.
Depuis qu'il y a des bébés, il y a des nourrices! Pour plein de raisons, des mères ne peuvent pas allaiter depuis toujours. Pour les remplacer, il y a d'autres femmes qui allaitent à leur place, par solidarité, contre un salaire ou parce qu'elles y sont contraintes. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Texte: Geneviève C. Bergeron Montage: Martin Bérubé de @proposmontreal sur YouTube Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Fildes, Valeria A. Breasts, bottles and babies: an history on infant feeding. Edinburg, University Press, 1986. Fildes, Valeria A. Wet nursing from antiquity to the present. Oxford, Basil Blackweil, 1988. Rollet, Catherine. Des gutti aux biberons contemporains, dans Premiers cris, premières nourritures. Version Web. https://books.openedition.org/pup/34728 Rollet, Catherine. La politique à l'égard de la petite enfance sous la IIIe République. Paris, Institut national d'études démographiques, PUF, 1990. Knibiehler, Yvonne. L'allaitement et la société. Recherches féministes, volume 16, numéro 2, 2003. Knibiehler, Yvonne. Histoire des mères et de la maternité en Occident. Paris, PUF, « Que sais-je? », no 3539, 2017. Lett, Didier et Marie-France Morel. Une histoire de l'allaitement. Paris, Éditions de la Martinière, 2006. Romanet, Emmanuelle. « La mise en nourrice, une pratique répandue en France au XIXe siècle », Transtext(e)s Transcultures, 8, 2013. Fay-Sallois, Fanny. Les nourrices à Paris au XIXe siècle. Paris, Payot, 1980. Yalom, Marilyn. Le sein. Une histoire. Paris, Galaade Editions, 2010. Morel, Marie-France. Théories et pratiques de l'allaitement en France au XVIIIe siècle. Annales de démographie historique, 1976. Morel, Marie-France. « À quoi servent les enfants trouvés? Les médecins et le problème de l'abandon dans la France du XVIIIe siècle », dans Enfance abandonnée et société en Europe, XIVe-XXe siècle. Actes du colloque international de Rome (30 et 31 janvier 1987), Rome, École Française de Rome, 1991. Lemieux, Denise. Les petits innocents : l'enfance en Nouvelle-France, Québec : Institut québécois de recherche sur la culture, 1985. Collectif Clio. Histoire des femmes au Québec depuis quatre siècles. Idéelles, Montréal, Le Jour, 1992. Gauvreau, Danielle. À propos de la mise en nourrice à Québec pendant le Régime français. Revue d'histoire de l'Amérique française, volume 41, numéro 1, 1987. Gauvreau, Danielle. Destins de femmes, destins de mères : images et réalités historiques de la maternité au Québec. Recherches sociographiques, volume 32, numéro 3, 1991. Lactarium https://fr.wikipedia.org/wiki/Lactarium Banque de lait maternel, Héma-Québec https://www.hema-quebec.qc.ca/lait-maternel/donneuses-lait/banque-publique-lait-maternel.fr.html Malboeuf, « Héma-Québec pourrait ouvrir une banque de lait maternel », Le Soleil, 18 octobre 2010. Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #lait #nourrice #nursery #nanny #nurse
Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko prononcera ce vendredi 27 décembre 2024 devant les députés son discours de politique générale (DPG), qui fixera le cap pour les mois, les années à venir. « Une DPG sans risque pour Ousmane Sonko », titre Le Soleil, puisqu'il n'est pas tenu de demander ensuite la confiance des députés. Le Soleil détaille une première annonce, faite lors de ce discours à venir : le Premier ministre « va proposer un vote sans débat » pour faire adopter le LFI, « le projet de loi de finances initiale ». Sans débat, pour permettre une adoption rapide. Le vote aura lieu samedi 28 décembre 2024. « En parallèle » de ce vote, rappelle Senego, « les députés installeront officiellement la Haute Cour de justice, une juridiction d'exception destinée à juger les plus hautes autorités de l'État », dont le président, le Premier ministre et les ministres. « Les huit juges titulaires et huit suppléants, élus par l'Assemblée, prêteront serment avant de prendre leurs fonctions », détaille Senego.La polémique enfle toujours sur les tirailleurs de ThiaroyeLe conseiller ministre Cheikh Oumar Diagne est sous le feu des critiques après avoir traité les tirailleurs de Thiaroye de « traîtres, qui se sont battus contre leurs frères, dans leur pays, pour de l'argent ». Ces affirmations sont « une offense à la mémoire de ces tirailleurs », écrit Seneplus dans un édito « mais aussi à toutes les générations d'Africains qui se sont engagés dans la lutte contre l'oubli du massacre de Thiaroye ».Le Soleil reprend les propos du porte-parole du gouvernement, Moutsapha Ndiekk Sarré, qui « considère que monsieur Diagne s'est lourdement trompé » et qu'il s'agit d'une « sortie malheureuse ». Dakar Actu partage l'indignation du musée d'Histoire du Djolof, qui condamne aussi les propos de Cheikh Oumar Diagne. « Les tirailleurs sénégalais sont un patrimoine commun, représentant un symbole de résistance, de loyauté et de sacrifice non seulement pour le Sénégal, mais également pour l'Afrique entière », s'émeut ce musée d'Histoire. La presse burkinabé s'en mêle aussi : « Un ministre ne devrait pas dire ça ! », titre Aujourd8 au Burkina Faso. Le journal, dans un édito, estime qu'il « contredit l'acte majeur et mémoriel posé par son patron, [le président Diomaye Faye, et] souille la mémoire de ceux qui ont versé leur sang, le sang africain ». La Fédération des descendants de tirailleurs a décidé de déposer plainte contre Cheikh Oumar Diagne. Tchad : l'armée française se retire de la base de Faya-Largeau« L'armée française cède sa base à l'armée tchadienne », titre Tachad qui rappelle que ce transfert « s'inscrit dans un contexte de tensions diplomatiques, après la suspension inattendue, il y a moins d'un mois, de l'accord militaire qui liait Paris à Ndjamena ». « La machine est lancée », écrit de son côté le burkinabè Le Pays. « Avec le départ de ses troupes du Tchad, poursuit l'édito, la France aura perdu totalement le contrôle du Sahel, où jadis, elle faisait la pluie et le beau temps ». Ce retrait dans le nord s'effectue juste avant les élections législatives, provinciales et communales au Tchad. Elles auront lieu le dimanche 29 décembre 2024. Tchadinfos précise d'ailleurs que la CNDH, « la Commission nationale des droits de l'homme, déploie ses observateurs dans 10 provinces ». « Le manque de moyens matériels et financiers a empêché la couverture des 23 provinces », pointe le média en ligne.Au Kenya, une vague d'enlèvements sans précédentUn groupe de défense des droits de l'Homme déplore au Kenya 82 disparitions forcées depuis le mois de juin 2024. Ce même groupe affirme qu'elles seraient perpétrées par des membres des forces de l'ordre. Des « enlèvements de jeunes par des hommes masqués, généralement à bord de véhicules banalisés, détaille Nation. La pression s'accentue sur le président William Ruto », poursuit le journal kényan. « Les personnes ciblées, explique The Standard, sont très actives sur les réseaux sociaux et critiquent le gouvernement kényan ». Le média donne l'exemple de Kavuli, « étudiant en journalisme », « arrêté dimanche soir dans une station-service par quatre hommes armés qui l'ont poussé dans un véhicule et pris la fuite ». Kavuli avait critiqué le pouvoir dans des commentaires postés sur X.L'IPOA, la police des polices, dans un communiqué publié cette semaine, a lancé une investigation, tandis que la police continue de nier toute implication.
Le soleil levant nous visitera (Lc 1, 67-79)Méditation par Soeur Catherine de CosterChant Final : "Cantique de Zacharie - NT2 ' Acclame le Seigneur, ô mon...' de la Communauté du Chemin Neuf
Le Soleil, comme toute étoile, traverse plusieurs phases de vie marquées par des changements dans son noyau et son enveloppe, dictés par les processus de fusion nucléaire. Ces étapes sont déterminées par la masse de l'étoile, qui contrôle les types de réactions nucléaires possibles et la durée de chaque phase. 1. Formation (Nébuleuse et Protoétoile) La vie du Soleil commence dans une nébuleuse, un immense nuage de gaz et de poussières. Sous l'effet de la gravité, ce nuage se contracte, et des régions denses se forment, conduisant à la création d'une protoétoile. Dans cette phase, le noyau du Soleil se réchauffe progressivement en raison de l'effondrement gravitationnel, jusqu'à atteindre une température suffisante pour déclencher la fusion de l'hydrogène en hélium. 2. Séquence principale Une fois la fusion de l'hydrogène enclenchée, le Soleil entre dans la séquence principale, une phase stable où il reste la majorité de sa vie, environ 10 milliards d'années. Dans cette étape, le noyau du Soleil maintient un équilibre entre la pression de radiation, produite par la fusion nucléaire, et la gravité qui tend à comprimer l'étoile. La fusion de l'hydrogène produit de l'énergie sous forme de lumière et de chaleur, qui irradie dans l'espace, et l'étoile reste stable. 3. Géante rouge Lorsque le carburant en hydrogène dans le noyau commence à s'épuiser, cet équilibre est rompu. Le noyau se contracte et se réchauffe tandis que les couches externes s'étendent, transformant le Soleil en une géante rouge. Dans cette phase, des réactions de fusion de l'hydrogène continuent dans une coquille autour du noyau, tandis que le noyau contracté devient suffisamment chaud pour initier la fusion de l'hélium en carbone et oxygène. 4. Nébuleuse planétaire et naine blanche Après la phase de géante rouge, le Soleil commence à perdre ses couches externes, éjectant un flux de gaz et de poussières qui forment une nébuleuse planétaire. Ce processus laisse derrière lui un noyau dense et chaud : une naine blanche. La naine blanche est composée principalement de carbone et d'oxygène et ne subit plus de réactions nucléaires. Elle brille faiblement en raison de la chaleur résiduelle et refroidit progressivement. 5. Naine noire Enfin, après des milliards d'années, la naine blanche se refroidira et s'éteindra complètement, devenant une "naine noire". Elle ne rayonnera plus d'énergie, marquant la fin de la vie de notre Soleil. Cependant, ce stade est purement théorique, car l'univers n'est pas encore assez vieux pour que des naines noires se soient formées. Ainsi, le cycle de vie du Soleil, long de milliards d'années, est caractérisé par des transformations structurelles et énergétiques qui finiront par en faire une étoile éteinte et dense. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le phénomène par lequel la croûte terrestre se déforme sous l'influence de la Lune et du Soleil est appelé "marée terrestre". Comme les océans, la croûte terrestre est soumise à une force d'attraction gravitationnelle exercée par ces deux astres. Lorsque la Lune et le Soleil exercent leur influence gravitationnelle, ils provoquent une déformation de la surface terrestre, créant des "vagues" qui s'étendent dans la croûte solide. La Lune, étant plus proche de la Terre, exerce une influence particulièrement importante. En effet, la force gravitationnelle attire légèrement la croûte terrestre vers elle, ce qui cause une "bosse" sur la surface terrestre sous son influence directe, tandis que la partie opposée de la Terre subit une déformation similaire due aux forces d'inertie. Le Soleil, bien qu'à une plus grande distance, participe également à cet effet en agissant de manière combinée avec la Lune pour augmenter ou diminuer cette élévation. Ce soulèvement n'est pas aussi visible que dans les océans, mais il est mesurable grâce aux outils de géodésie et de satellites, et il peut atteindre environ 40 centimètres dans des zones continentales comme Paris. Ce mouvement de montée et de descente est donc un "soulèvement maréique terrestre", semblable à la marée océanique, mais appliqué à la matière solide de la croûte terrestre. En conséquence, des villes et des terrains s'élèvent et redescendent légèrement au fil de la journée en suivant le cycle de la marée terrestre, lié à la position de la Lune et du Soleil. Ce phénomène a également des implications sur la tectonique des plaques et sur certains mouvements sismiques, en exerçant une pression variable sur les failles géologiques. Pour conclure, saviez-vous que la taille de la Tour Eiffel varie avec la température en raisoncette fois de la dilatation thermique, un phénomène physique qui affecte tous les matériaux, y compris le métal dont est faite la tour. La dilatation thermique se produit lorsque les atomes d'un matériau s'agitent davantage en raison de la chaleur, augmentant ainsi la distance entre eux et provoquant une expansion de la structure. En été, sous l'effet de la chaleur, le métal (en l'occurrence, le fer de la Tour Eiffel) se dilate, ce qui peut augmenter la hauteur de la tour de quelques centimètres. En hiver, lorsque les températures baissent, le métal se contracte et la tour rétrécit légèrement. Cette variation est minime mais mesurable, atteignant généralement jusqu'à 15 centimètres de différence entre les jours les plus chauds et les plus froids. Ce phénomène est amplifié par la grande taille de la Tour Eiffel (330 mètres) et les propriétés de dilatation du fer, un matériau sensible aux variations de température. C'est un exemple spectaculaire de la manière dont les structures métalliques sont affectées par les conditions climatiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.