Podcasts about radovan karad

Weiter geht es mit unserer Doppelfolge zu Nikola Tesla, dem vielleicht bekanntesten national-fluiden Wissenschaftler aller Zeiten. Nachdem Krsto und Danijel in der ersten Folge sein Genie und seinen kometenhaften Aufstieg abgefeiert haben, geht es hier nun um die zweite Hälfte seines Lebens. Und weil es auf dem Ballaballa-Balkan nunmal keine Ikonen ohne dunkle Seiten gibt, bietet die alles, was man sich wünschen kann: Unbeglichene Rechnungen, Größenwahnsinn, Außerirdische und Verschwörungstheorien. Und natürlich wird endlich die Frage geklärt, ob Tesla nun Serbe, Kroate oder Albaner war. Nebenbei erfahrt Ihr, warum es Danijel freut, wenn andere Menschen weinen, warum Krsto nach seinem Skoplje-Aufenthalt die Schreibhand schmerzt und was Kinder in der Republika Srpska demnächst alles über Radovan Karadžić und Ratko Mladić erfahren....und was nicht.

Heute vor 5 Jahren wurde der bosnisch-serbische Kriegsverbrecher Radovan Karadžić vom UN-Tribunal in Den Haag in letzter Instanz zu lebenslanger Haft veurteilt.

Jessica Stern is a renowned expert on terrorism from Boston University. During her career, she has interviewed dozens of perpetrators including Radovan Karadžić. She wrote a book about the interviews with him, which received a lot of criticism. Most strikingly, she has received allegations of genocide denial. In this episode, Jessica explains she does not deny the genocide but wishes she had done some things differently in her book. She also talks about the insights she gained from other interviews with terrorists.

Marzio G. Mian, Francesco Battistini"Maledetta Sarajevo"Viaggio nella guerra dei trent'anni. Il Vietnam d'Europa.Neri Pozzahttps://neripozza.it/Fu la prima guerra in Europa dal 1945. Il più lungo assedio dell'età moderna. Genocidi e pogrom come non se ne vedevano dai tempi di Hitler e Stalin. A Srebrenica, l'uomo diede il peggio di sé. I lager, gli stupri etnici, i profughi. L'evoluta Europa si ritrovò faccia a faccia con un odio tribale che pareva uscito dal Medioevo.Accadeva solo trent'anni fa, al di là dell'Adriatico, e già non ce lo ricordiamo più. Eppure la guerra in Bosnia rappresentò un prima e un dopo per tutti noi, la madre di tante crisi successive: lo scontro con l'Islam, l'odio razziale, i nazionalismi, le grandi migrazioni. Francesco Battistini e Marzio G. Mian, che raccontarono la guerra da dentro, tornano ad ascoltare i protagonisti di quella tragedia. Vittime e carnefici. Testimoni e mediatori internazionali, come Carl Bildt, Lord Owen, Carla Del Ponte. Incontrano il generale francese che comandava i Caschi Blu dell'Onu e scappò da Srebrenica. Intervistano nel supercarcere dell'Isola di Wight il primo responsabile di tutto: Radovan Karadžic´, condannato all'ergastolo per genocidio, che rivela episodi, retroscena, segreti di quegli anni di follia e della sua lunga latitanza. «A un certo punto – dice – ci accorgemmo che nemmeno i gatti dei musulmani andavano d'accordo con i gatti dei serbi».Un viaggio inchiesta in un dopoguerra non ancora finito. Un'indagine sulle responsabilità d'allora e sui fallimenti del dopo. La pavida Europa, ostaggio dell'arroganza tedesca e incapace di gestire le emergenze in casa sua. Le ambigue manovre del Vaticano. I misteri del primo bombardamento nella storia della Nato. Le spie americane che al Tribunale dell'Aia ostacolavano la nuova Norimberga. I nuovi tamburi di guerra in una Bosnia ancora più radicalizzata.Passati trent'anni, questo libro racconta anche di noi. Di come siamo cambiati: facevamo a gara per accogliere i profughi, affondavamo nel fango per portare gli aiuti, gli intellettuali si sporcavano la camicia sotto le bombe. E l'ultimo giornalismo eroico, senza internet e social, andava sul campo a smuovere le coscienze e a smascherare il potere. Non siamo mai guariti dalla Sindrome di Sarajevo, la maledizione di un luogo che ha incendiato il Novecento con la Prima guerra mondiale e ha tenuto a battesimo il Nuovo Millennio. Senza saperlo, la generazione cresciuta dopo il 1992 si porta ancora addosso la polvere di quelle macerie.Francesco Battistini è inviato speciale al Corriere della Sera, dopo aver lavorato al Giornale di Indro Montanelli e alla Voce. Ha seguito i Balcani dalla Bosnia in poi. Già corrispondente da Gerusalemme, si occupa prevalentemente di Europa dell'Est, Medio Oriente e Nord Africa. Ha coperto una dozzina di conflitti dall'Afghanistan all'Iraq. Coautore di Che cosa è l'Isis (Fondazione Corriere della Sera).Marzio G. Mian è stato vicedirettore di Io Donna del Corriere della Sera, collabora con Sky, Rai, Internazionale, L'Espresso, GQ, il Giornale, Reportagen. Ha realizzato reportage in 56 Paesi. Autore di Karadžic´ - Carnefice psichiatra poeta (Mursia, prefazione di Indro Montanelli), Artico, La battaglia per il Grande Nord (Neri Pozza) tradotto in Spagna e Germania e Tevere controcorrente (Neri Pozza).IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/

In questa seconda puntata, Francesco Battistini e Marzio G. Mian ci portano faccia a faccia con Radovan Karadžić, personaggio cruciale della tragedia bosniaca. A Sarajevo era uno psichiatra poco considerato e un poeta tenuto ai margini nei circoli letterari. Ma a un certo punto esce dall'anonimato e dà fuoco alle polveri: diventa il regista della pulizia etnica, dei campi di concentramento e dell'assedio di Sarajevo. Gli autori hanno ottenuto da Karadžić una lunga intervista esclusiva dal carcere di massima sicurezza inglese dell'Isola di Wight dove sconta l'ergastolo, condannato per genocidio.

Ce dimanche 9 janvier marque le trentième anniversaire de la Republika Srpska. Un anniversaire célébré avec faste par les autorités de l'entité serbe en Bosnie-Herzégovine, alors qu'un processus sécessionniste vient d'y être lancé. En coulisses : Milorad Dodik, le dirigeant nationaliste et sécessionniste qui vient tout juste d'être sanctionné par les États-Unis.  C'est le 10 décembre dernier, au parlement de la Republika Srpska (RS), que le processus de sécession a été officiellement lancé. À la manœuvre : Milorad Dodik, 62 ans, le dirigeant des Serbes de Bosnie qui a adopté depuis une quinzaine d'années une posture nationaliste, hostile à l'État fédéral de Bosnie-Herzégovine. Un positionnement radical qui tranche avec ses débuts en politique, beaucoup plus modérés. « Il a commencé sa carrière politique pendant la guerre, dans les années 1990, et à l'époque, il était dans l'opposition à Radovan Karadžić », explique Loïc Trégourès, enseignant en sciences politiques à l'Institut catholique de Paris. « À l'époque, il était vu par les Occidentaux comme quelqu'un sur qui on pouvait compter pour écarter les nationalistes serbes du pouvoir en Bosnie. Dans un premier temps, c'est ce qu'il a fait : dans les interviews de 1996-1997, par exemple, il disait que Karadžić devait être envoyé à La Haye…  Et dans ces années-là, il n'avait pas de problème à reconnaître que ce qui s'était produit à Srebrenica était un génocide. » Projet de sécession Au mitan des années 2000, changement de cap : Milorad Dodik dénonce les accords de Dayton, et critique, au fil de déclarations incendiaires, le fonctionnement de l'État centralisé. Aujourd'hui, Milorad Dodik n'hésite pas à glorifier des auteurs de crimes de guerre condamnés par la justice internationale – à commencer par Ratko Mladić – et le dirigeant des Serbes de Bosnie fait tout pour faire avancer la cause sécessionniste. « Ça fait quinze ans qu'il parle de faire sécession donc, évidemment, les gens ont certainement du mal à le prendre au sérieux. Mais là, il a annoncé son plan, et il le suit, s'inquiète Aline Cateux, doctorante en anthropologie, que RFI a jointe à Saravejo. On est dans un processus de sécession qui a été lancé : ce n'est plus une hypothèse de travail, c'est en train de devenir une réalité. » « Stratégies de protection » Un scénario cauchemar pour les habitants de Bosnie-Herzégovine qui gardent en mémoire les horreurs de la guerre : le siège de Sarajevo, le massacre de Srebrenica et les 100 000 tués du conflit le plus meurtrier qu'ait connu l'Europe depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.  « La population civile est encore aujourd'hui totalement traumatisée, poursuit Aline Cateux. Face à la menace des armes ou de la violence, les gens réagissent très vite et très fort en mettant en place des stratégies de protection. En novembre dernier, par exemple, tout le monde a vérifié la validité de son passeport et il y a eu des files d'attente devant les banques, parce que les gens étaient persuadés que la banque centrale allait fermer et qu'ils allaient perdre tout leur argent. » Pas de soutien populaire Le processus de sécession lancé par Milorad Dodik ravive des souvenirs douloureux – chez les musulmans et les Croates, mais également parmi les habitants de l'entité serbe de Bosnie. Paradoxalement, même au sein de la RS, le projet de sécession porté par Milorad Dodik ne recueille que très peu de soutien. « Aujourd'hui, il n'y a pas de mouvement populaire derrière cette idée en Republika Srpska, décrypte Loïc Tregoures, de l'Institut catholique de Paris. Même l'opposition à Milorad Dodik, qui est pourtant l'ancien parti de Karadžić, ne le suit pas. Non pas qu'ils sont opposés en soi au projet de sécession, mais parce qu'ils pensent que cela mènerait à la guerre, et que les gens n'en veulent pas. Ce qui se passe avec Milorad Dodik, c'est qu'il se sent en danger sur la scène politique et qu'à l'approche des élections générales prévues à l'automne 2022, il joue son va-tout. Mais il n'y a pas de mouvement populaire derrière et vous n'avez pas, dans les rues, des gens qui descendent en scandant des slogans favorables à la sécession. » Sur la scène internationale, Milorad Dodik peut compter sur le soutien de la Serbie et de la Russie. Et sur la faiblesse des réactions dans le camp occidental. Si les États-Unis ont décidé cette semaine de sanctionner le dirigeant des Serbes de Bosnie, l'Europe reste pour l'heure quasi muette sur un sujet pourtant explosif – comme l'a montré à maintes reprises l'histoire du XXe siècle.

How in 1964 Sudanese civilian protesters first brought down a military regime, plus the hunt for former Serbian leader Radovan Karadžić later convicted of genocide and war crimes. Also in the programme, Russia's public outcry at the killing of human rights pioneer and leading female politician Galina Starovoitova in the 1990s, the birth of Cognitive Behavioural Therapy for anxiety and depression, and getting shot in the arm for the sake of 'art' in the USA. Photo: People celebrate the fall of the military regime in Khartoum, November 1964 (Keystone-France/Gamma-Keystone via Getty Images)

Al desintegrarse Yugoslavia en 1991, con la independencia de Croacia y Eslovenia, los líderes nacionalistas serbobosnios como Radovan Karadžić y serbios como Slobodan Milošević se marcan como objetivo principal que todos los serbios diseminados por las distintas repúblicas que componían Yugoslavia vivan en un mismo país. En febrero de 1992, el pueblo de Bosnia-Herzegovina decide en referéndum su independencia y estalla la guerra contra Serbia y el ejército popular yugoslavo. En los momentos más cruciales y violentos del sitio en Sarajevo, en 1994, miles de personas fueron asesinadas, entre morteros, cohetes, granadas y enfrentamientos entre las fuerzas de defensa de Bosnia Herzegovina y las de Serbia. En poco tiempo Sarajevo estaba sitiada y rodeada de francotiradores. La gente deseaba vivir con todas sus fuerzas como nunca antes lo había hecho ante el horror de pensar que quizás mañana la muerte podía sorprenderle a la vuelta de la esquina. La guerra acabó con las esperanzas de muchas personas que se vieron envueltas en uno de los conflictos de guerra más recientes y tristes de los que se recuerdan en Europa. En medio de este conflicto cuando nadie creía posible un evento musical en medio de un asedio interminable, dos miembros de la ONU, un militar y un bombero británico, tuvieron una extraña idea que podría unir a las personas de la ciudad de Sarajevo y darles un momento de paz. Su plan consistía en llamar a Bruce Dickinson, líder de la banda de rock Iron Maiden, e invitar al grupo a ofrecer un concierto en la ciudad. Dickinson, que no conocía todos los detalles de la guerra, aceptó la propuesta sin dudarlo. Sin embargo, llevar a cabo dicha presentación sería una ardua tarea, no sólo por la organización, sino por el peligro que representaba para la banda, el staff y el público. Un concierto que nadie creía que sucedería se convirtió en realidad entre bombas, ataques y balas, convirtiéndose en uno de los espectáculos más legendarios en la historia del rock. Si quieres conocer más acerca de este breve pero intenso concierto quédate con nosotros y viajaremos a Bosnia de la mano de Xavi en este nuevo y apasionante episodio de Buenos, feos y malos. Como siempre, esperamos que os guste tanto como a nosotros y si os apetece dejad vuestros comentarios en nuestras redes.

Dr. Serge Brammertz, der Chefankläger des Internationalen Strafgerichtshofes für das ehemalige Jugoslawien (ICTY) ist davon überzeugt: Niemand auf dieser Erde kann sicher sein, ungestraft davon zu kommen, wenn er oder sie für Völkermord, Verbrechen gegen die Menschlichkeit, Verbrechen der Aggression oder den Tatbestand von Kriegsverbrechen innerhalb von Kriegen verantwortlich ist. Ebenso wahr ist aber, dass die politischen Realitäten die Anwendung des Internationalen Strafrechts allzu oft verunmöglichen und selbst schlimmste Kriegsverbrechen und Genozide nicht verhindern. Der vom belgischen König zum Baron geadelte Jurist Brammertz geht im Atlantik Talk mit Moderator Oliver Weilandt auf die Gründe dafür ein und erläutert Chancen und Grenzen der heutigen internationalen Strafverfolgung. So ist das Jugoslawien-Tribunal 1993 zum Beispiel als Ad-Hoc-Strafgericht im Auftrag des UN-Sicherheitsrates eingesetzt worden. Der Internationale Strafgerichtshof in Den Haag (ICC) hingegen besteht erst seit 2002 und ist eine Einrichtung von derzeit 123 Vertragsstaaten, die sich diesem Gericht in einem multilateralen Vertrag, dem »Römischen Statut«, unterstellt haben. Durch seine akribische Arbeit, tausende Gespräche, mehrere Millionen Dokumente und nicht zuletzt durch die Verurteilung von Radovan Karadžić und Ratko Mladić zu lebenslanger Haft hat Serge Brammertz die Hoffnung auf Gerechtigkeit auch für die ungezählten Opfer in anderen Konflikten zu einer politischen Option und einem Teil des öffentlichen Weltwissens werden lassen. Die Bedeutung dieser Tatsache ist wohl kaum zu überschätzen. Am 8. Juni wird das Urteil im Berufungsverfahren des wegen Völkermordes zu lebenslanger Haft verurteilten ehemaligen Generals Ratko Mladić erwartet, während Serge Brammertz von seinem derzeitigen Dienstsitz im tansanischen Arusha aus Kriegsverbrecher im Verfahren des Internationalen Strafgerichtshofes für Ruanda verfolgt. Sollten Sie sich weiter mit dem Thema auseinandersetzen wollen, weisen wir gerne auf die aktuelle ARD/ ARTE Dokumentation »Krieg vor Gericht« von Lucio Mollica hin, die einen umfassenden Blick auf den Internationalen Strafgerichtshof für das ehemalige Jugoslawien richtet und in der Dr. Brammertz auch zu Wort kommt.

Radovan Karadžić ist verständnisvoller Psychiater und Therapeut. Dann wird er ein Kriegsherr und lässt Tausende blutig niedermetzeln. Wie geht das zusammen? Vor dem Bosnienkrieg Anfang der 1990er war der Serbe Radovan Karadžić ein einfühlsamer Therapeut, der auch viele Ehepaare beriet. Dann griff er nach der Macht und befahl, alle Muslime in seiner Region zu ermorden. Ist eine solche Verwandlung zu begreifen? Die neue Ausgabe des Kriminalmagazins ZEIT Verbrechen liegt am Kiosk und ist hier online bestellbar. In Folge 48 reden Sabine Rückert und Andreas Sentker mit dem Chefreporter Stefan Willeke über einen Menschenschlächter, der in Teilen seiner Heimat wie ein Heiliger verehrt wird.

Novo Zelandijo je minuli teden pretresel prvi teroristični napad v njeni zgodovini. Predsednica tamkajšnje vlade Jacinda Ardern poudarja, da ne bo nikoli izgovorila imena terorista, ki je moril v dveh mošejah v Christchurchu. Čeprav bo Radovan Karadžić preostanek življenja prebil v eni od zaporniških celic blizu Severnega morja, se njegove ideje še naprej prosto širijo. Tudi britansko izstopanje iz Evropske unije, ki bi se moralo zaključiti čez teden dni, je v tem tednu našlo nov ovinek. Theresa May predlaga podaljšanje agonije do konca junija, evropskih poslancev pa naj britanski volivci vseeno ne bi volili. Predsednica britanske vlade za zastoj krivi poslance, ti in večina drugih nespretno vodenje brexita pripisujejo predsednici vlade. Avtor: Matjaž trošt

Are we witnessing a new era of cosmopolitan justice or are the old principles of victors' justice still in play? Economic and political theorist Daniele Archibugi discusses his new book, "Crime and Global Justice," which examines the history of global criminal justice and presents five case studies: Augusto Pinochet, Slobodan Milošević, Radovan Karadžić, Saddam Hussein, and Omar al-Basheer.

Are we witnessing a new era of cosmopolitan justice or are the old principles of victors' justice still in play? Economic and political theorist Daniele Archibugi discusses his new book, "Crime and Global Justice," which examines the history of global criminal justice and presents five case studies: Augusto Pinochet, Slobodan Milošević, Radovan Karadžić, Saddam Hussein, and Omar al-Basheer.

Glyn Morgan was responsible for all analytical support to the prosecution case of the former Bosnian Serb Leader, Radovan Karadžic, who has been jailed for the worst war crime in Europe since World War Two. Glyn provides consultancy related to crimes that are a violation of international armed war and cross border organised crime.

David Harsent is one of the UK's leading poets, as his recent T.S. Eliot Prize-win for his collection Fire Songs (Faber) re-affirmed. In August 2014, while up in Edinburgh for Book Festival, Harsent took some time to speak to the SPL. In a wide-ranging conversation, Harsent spoke about harrier hens, the heat death of the universe and the time he met Serbian war criminal Radovan Karadžić. Image: David Harsent by Writers Centre Norwich, under a Creative Commons licence.

Suzette Grillot and Rebecca Cruise discuss the so-called "Umbrella Revolution" protests in Hong Kong , and the closing arguments in the Bosnian war crimes trial of Radovan Karadžić in The Hague. Later, a conversation with University of Waterloo political scientist Mariam Mufti. She studies electoral and party politics in South Asia, as well as democratization and regime change.

31. Juli 2008

Vrijdag aanstaande is het dertien jaar geleden dat de moslimenclave Srebrenica in Oost-Bosnie werd ingenomen door Bosnisch-Servische troepen onder leiding van generaal Mladic. De aanwezigheid van het Nederlandse VN-bataljon Dutchbat kon niet verhinderen dat meer 7000 moslims werden vermoord. Servie heeft sinds gisteren een nieuwe pro-Westerse regering. Pro-Westers of niet, zal deze regering Mladic en Karadzic, de verantwoordelijken zijn voor de massamoord in Srebrenica, uitleveren aan het Joegoslavie-Tribunaal in Den Haag? Want ook vorige Servische regeringen hebben dat al zo vaak beloofd. Maar ligt het wel alleen aan de Servische regering, dat dertien jaar na dato de twee oorlogsmisdadigers nog steeds op vrije voeten zijn? In Argos vandaag opnieuw: de jacht op Mladic en Karadzic.

De grote mogendheden willen niet dat Karadzic en Mladic worden gearresteerd. Dat is de opzienbarende conclusie van de Française Hartmann, tussen 2000 en 2006 woordvoerder en adviseur van de hoofdaanklager hoofdaanklager van het Joegoslavië Tribunaal in Den Haag.

Ratko Mladic is nog steeds niet uitgeleverd aan het Joegoslavië Tribunaal. De Europese Unie had Servië een ultimatum gesteld voor 31 maart, maar heeft Belgrado nu weer een maand uitstel verleend.