POPULARITY
➡️ Tu veux investir dans l'immobilier en Suisse ? Clique ici : https://www.inved.ch/fixer-un-rendez-vousHey, c'est Édouard, bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast, dédié à l'immobilier et au business en Suisse romande.Aujourd'hui, je reçois Diane Barbier-Mueller, députée PLR au Grand Conseil genevois, présidente de la Chambre immobilière et administratrice de la régie Pilet-Renaud.Avec son regard politique et son expérience de terrain, elle nous aide à comprendre un paradoxe Genevois :
Notre invisible du jour est paysan-boucher aux Tavernes, dans le canton de Vaud. Eric Sonnay dispose en effet dʹun petit abattoir sur son exploitation, permettant le maintien dʹune agriculture de proximité ; une agriculture quʹÉric Sonnay a défendue pendant 13 ans au Grand Conseil vaudois. Sarah Dirren lʹa rencontré : ce jour-là, Alysse, une brebis, rejoignait lʹabattoir pour sa dernière étape.
'Alors, poussés par la jalousie, le grand-prêtre et tout son entourage, c'est-à-dire ceux qui appartenaient au parti des sadducéens, décidèrent d'intervenir. Ils firent arrêter les apôtres et les firent incarcérer dans la prison publique. Mais, pendant la nuit, un ange du Seigneur vint ouvrir les portes de la prison et, après avoir fait sortir les apôtres, il leur dit : Allez au Temple et là, proclamez au peuple tout le message de la vie nouvelle. Les apôtres obéirent : dès l'aube, ils se rendirent dans la cour du Temple et se mirent à enseigner. De son côté, le grand-prêtre arriva avec son entourage, et ils convoquèrent le Grand-Conseil et toute l'assemblée des responsables du peuple d'Israël. Ils ordonnèrent d'aller chercher les apôtres à la prison et de les amener. Les gardes s'y rendirent, mais ils ne les trouvèrent pas dans le cachot. A leur retour, ils firent leur rapport : Nous avons trouvé la prison soigneusement fermée, les sentinelles étaient à leur poste devant les portes, mais quand nous avons ouvert le cachot, nous n'y avons trouvé personne. Cette nouvelle plongea le chef de la police du Temple et les chefs des prêtres dans une grande perplexité : ils se demandaient ce qui avait bien pu se passer. Là-dessus, quelqu'un vint leur annoncer : Les hommes que vous avez fait mettre en prison se tiennent dans la cour du Temple et ils enseignent le peuple . Aussitôt, le chef de la police du Temple s'y rendit avec un détachement de gardes et ils ramenèrent les apôtres, mais avec ménagements, car ils avaient peur de se faire lapider par le peuple. Après les avoir ramenés, ils les introduisirent dans la salle du Grand-Conseil. Le grand-prêtre leur dit : Nous vous avions formellement interdit d'enseigner au nom de cet homme. Et voilà que vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement, et vous voulez nous rendre responsables de la mort de cet homme. Mais Pierre et les apôtres répondirent : Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes. Le Dieu de nos ancêtres a ressuscité ce Jésus que vous avez mis à mort en le clouant sur le bois. Et c'est lui que Dieu a élevé pour siéger à sa droite , comme Chef suprême et Sauveur, pour accorder à Israël la grâce de changer et de recevoir le pardon de ses péchés. Et nous, nous sommes les témoins de ces événements, avec le Saint-Esprit que Dieu a donné à ceux qui lui obéissent. Ces paroles ne firent qu'exaspérer les membres du Grand-Conseil et ils voulaient faire mourir les apôtres. Mais l'un d'entre eux, un pharisien nommé Gamaliel , se leva pour donner son avis. C'était un éminent enseignant de la Loi, estimé de tout le peuple. Il demanda que l'on fasse sortir un instant les apôtres, puis il dit : Israélites, faites bien attention à ce que vous allez faire avec ces hommes. Rappelez-vous : il y a quelque temps, on a vu paraître un certain Theudas qui se donnait pour un personnage important. Il a entraîné quelque quatre cents hommes à sa suite. Or, il a été tué, et tous ceux qui s'étaient ralliés à lui furent dispersés et l'on n'en entendit plus parler. Après lui, à l'époque du recensement, Judas de Galilée a fait son apparition. Lui aussi a attiré à lui bien des gens. Il a péri à son tour et tous ses partisans furent mis en déroute. A présent donc, voici mon avis : Ne vous occupez plus de ces hommes et laissez-les partir. De deux choses l'une : ou bien leur projet et leur œuvre viennent des hommes et, dans ce cas, leur mouvement disparaîtra. Ou bien, il vient de Dieu, et alors, vous ne pourrez pas le détruire. Ne prenez pas le risque de lutter contre Dieu. Le Conseil se rangea à son avis : ils rappelèrent les apôtres, les firent battre, et leur défendirent de parler au nom de Jésus. Après quoi, ils les relâchèrent. Les apôtres quittèrent la salle du Conseil tout joyeux de ce que Dieu les ait jugés dignes de souffrir l'humiliation pour Jésus. Et chaque jour, dans la cour du Temple ou dans les maisons particulières, ils continuaient à enseigner et à annoncer le Messie Jésus.' Actes 5:17-42
La question des coûts des assurances maladie en Suisse est devenue un enjeu majeur pour de nombreux citoyens-nes et acteurs du système de santé. Alors que les primes continuent d'augmenter, les familles, les retraité-es et les travailleurs-euses se retrouvent confrontés à une pression financière toujours plus forte. Mais quelles sont les causes réelles de cette hausse et quels leviers peuvent être actionnés pour en limiter l'impact sur les assurés ? Eclairage et analyses de l'expert Pierre-Yves Maillard. _ Après des études à l'université de Lausanne qu'il a terminées avec une licence, Pierre-Yves Maillard a enseigné le français, l'histoire et la géographie. De 2000 à 2004, il a été secrétaire régional de la FTMH (désormais Unia) pour les cantons de Vaud et de Fribourg. Pierre-Yves Maillard a par ailleurs été député socialiste au Grand Conseil vaudois de 1998 à 2000. Depuis les élections de 1999 et jusqu'au 29 novembre 2004, il a été conseiller national. Le 1er décembre 2004, il a été élu au Conseil d'État du canton de Vaud et a pris les rênes du Département de la santé et de l'action sociale. Il préside l'Union syndicale suisse depuis mai 2019. Réélu en 2019 au Conseil national, il a été brillamment élu au Conseil des États lors des dernières élections en 2023. Il est marié et père de deux enfants. Enregistré au Club 44 le 27 mai 2025
La motion pour une estimation plus fiable des recettes de l'Etat est étudiée, ce jeudi soir, par le Grand Conseil. Une motion alors que les comptes devraient une nouvelle fois excédentaire pour 2024. Le député Vert, Julien Nicolet-dit-Felix, auteur de la motion, était invité de Béatrice Rul, à 7h30.Vous avez déposé cette motion pour une estimation plus fiable des recettes de l'Etat. Elle est étudiée au Grand Conseil, ce jeudi soir. Car depuis quelques années, il y a une grande différence entre le budget prévu et les comptes qui sont bien meilleurs. Un point positif, il vaut mieux que ce soit dans ce sens là… "Oui, on peut se réjouir effectivement, qu'on anticipe recevoir moins que ce qu'on reçoit, on peut être heureux. Simplement, cet écart va croissant, il est énorme. Le budget de l'Etat c'est de l'ordre de 10 milliards de francs, les deux dernières années, on avait 2 milliards d'erreurs sur cette prévision de recettes. Et simplement, lorsqu'on établit le budget à l'automne et qu'on a des chiffres qui sont sous-estimés d'une ampleur pareille, de 2 milliards, il manque 2 milliards. Ces 2 milliards, on ne peut pas les transformer en prestations, en services que la population a besoin, que la population désire, ce qui fait qu'on a une politique qui est beaucoup trop modeste par rapport à ce que l'Etat devrait offrir à la population. On se retrouve une année et demie avec des comptes mirifiques, mais on a de l'argent qui n'aura servi à rien".La difficulté pour Genève c'est aussi que l'économie est portée par la finance, le trading des matières premières. Des secteurs qui ont été bouleversés par des événements imprévisibles comme la guerre en Ukraine…"Oui, tout à fait, il n'est pas du tout question d'incriminer les fonctionnaires, il est question d'incriminer la méthode employée par le département des finances, c'est l'objet de la motion, c'est-à-dire qu'il faut réfléchir aux méthodes qu'on emploie, se demander pourquoi elles dysfonctionnent, regarder pourquoi dans les autres cantons ça fonctionne bien mieux, et adopter des meilleures pratiques pour avoir des valeurs qui soient un tout petit peu plus crédibles. Tout ça, à nouveau, pour pouvoir servir la population.Vous proposez que le budget soit établi sur les recettes effectives de l'année précédente, sauf exception. Si on se base ainsi, on risque de mauvaises surprises… "Ça peut être problématique si effectivement il y a une dépression soudaine qui arrive, mais qui serait absolument majeure. Ce n'est jamais arrivé au cours des 20 dernières années. Cette méthode aurait même fonctionné à l'époque Covid, pour dire à quel point on a de la marge. Par ailleurs, on a un outil qu'on appelle la réserve conjoncturelle, qui permet d'accumuler de l'argent en quatre coups durs, cette réserve, elle est pleine à ras bord, on n'arrive plus à la remplir, il y en a un milliard".
Le CERN doit publier ce mois-ci une étude de faisabilité du FCC, le futur collisionneur circulaire du CERN de 91 kms de diamètre entre Genève et la France. L'association écologique Noé21 publie une étude de non faisabilité, basée sur l'avis d'experts suisse. Philippe de Rougemont, le président de Noé21, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Au regard de votre étude de non faisabilité, il est clair qu'il faut renoncer au FCC..."Oui c'est assez clair: on ne peut pas se permettre cet accélérateur. On ne peut pas se le permettre parce qu'il n'y a pas seulement une comptabilité qui est celle du prestige ou qui est celle de, on peut se le permettre en termes d'argent, il y a aussi d'autres comptabilités qui sont celles des émissions de gaz à effet de serre. Il y a quelques années, à la quasi unanimité, le Grand Conseil a voté l'urgence climatique. C'est-à-dire que l'on se rend compte de l'ampleur des dégâts du changement climatique et ceux à venir qui sont prévus et qui sont annoncés par la science. On décide, également, de mettre en œuvre les accords de Paris signés par la Confédération. Sur ça vient ce projet du FCC qui a été imaginé en 2014, donc avant l'urgence climatique. On a cette sorte de collision entre un giga projet qui émettrait énormément de gaz à effet de serre, qui capterait énormément d'électricité dont on a besoin pour décarboner les chauffages et les voitures et les autres transports routiers, donc c'est une véritable collision, on ne peut pas se permettre cet objet, en tout cas pas pour les prochaines années à venir, on a d'autres priorités".Un projet qui constitue “une menace pour la transition énergétique, un encombrement aggravé du territoire en déblais de chantier et est l'objet d'une confiscation des droits démocratiques des personnes du territoire impacté". C'est ce que vous listez dans votre étude... " Quand vous donnez la liste comme ça, ça donne le vertige, on n'invente rien. Mais je reste effrayé comme la première fois il y a trois ans que j'ai entendu parler de ce projet. Le CERN est d'une telle transparence que c'est uniquement avec les chiffres fournis par le CERN, par les études du CERN sur ce projet, qu'on a basé notre étude d'une quarantaine de pages. On sait que le CERN fait des efforts, tous les secteurs en font, simplement quand vous voulez faire un effort d'écologie sur un projet qui à la base est d'une telle amplitude, qui consommerait autant qu'une ville de 700 000 habitants, et bien rendre ça plus écologique, c'est vraiment travailler à la marge, c'est vraiment une mission impossible. Il aurait fallu penser dès 2014 à créer un outil pour les chercheurs et les chercheuses en physique de demain qui respectent les limites planétaires, c'est ça qui n'a pas été fait, c'est ça qu'on reproche, et on pense qu'il est encore temps de renoncer! On aimerait que le CERN renonce à ce projet et travaille sur un outil qui respecte les limites planétaires"100 millions ont déjà été investis, quelle collectivité, quel organisme peut s'asseoir sur 100 millions d'investissements ?"Oui, mais faisons une petite comparaison: le budget annuel de la ville de Genève c'est 1,3 milliard, c'est la même chose que le CERN. 100 millions c'est ce que le conseil du CERN a autorisé, le CERN a dépensé pour les études de faisabilité qui aboutissent en 2025 cette année, donc oui ça voudrait dire renoncer à ces 100 millions, mais si on attend encore quelques années ça va être renoncé en termes de milliards, et donc ce qui est juste aujourd'hui ne va pas devenir faute demain, le projet là est encore une fois d'une telle ampleur qu'on ne peut pas juste désinventer qu'il va consommer 4 térawattheures par an, on ne peut pas le désinventer"
Alfonso Gomez compte bien rempiler pour un second mandat en Ville de Genève. Parmi les priorités du conseiller administratif sortant: la végétalisation. Alfonso Gomez qui met aussi. en avant, son bilan aux finances. Il était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.La stratégie climat du conseil administratif a pour objectif de dégrapper 10'000 m2 de bitume par an. Vous en êtes à 13'000 depuis 2020. Le compte n'y est pas. On va donc vous voir marteau piqueur à la main, Alfonso Gomez… " Vous savez, ça prend du temps, c'est comme un paquebot, il faut d'abord regarder aussi ce qu'il y a en dessous, il faut trouver des endroits. Donc tout ça prend un certain nombre de temps, nous sommes dans une des villes les plus denses de Suisse. Il y a beaucoup de tuyaux en dessous, vous ne pouvez pas évidemment planter ou dégrapper n'importe où, vous devez à chaque fois analyser, et c'est ce qui a été fait. Il faut évidemment rendre la ville moins minérale à cause des pics de chaleur, et évidemment il faut rendre cette ville plus éponge, plus apte à accueillir l'eau et à qu'elle soit rafraîchie"Votre programme et votre bilan se résume aussi en un mot: VEGETALISATION. Une végétalisation qui a été menée en Ville, mais qui tarde aux Pâquis qui est un des quartiers où il fait le plus chaud, en été, Et tiens, hier, vous annoncez la plantation de 75 arbres, hier, aux Pâquis. Et ça juste avant les élections, c'est fou quand même les coïncidences… "Le hasard fait bien les choses parfois, c'est un projet qui date d'il y a deux ans, et comme je vous ai dit, il y a deux quartiers qui sont fortement minéralisés, qui sont fortement densifiés, la Jonction et les Pâquis. On a procédé à une analyse pour savoir où l'on pouvait dégrapper. Cette analyse a pris une année et demie, ensuite il a fallu obtenir les autorisations. Il y a des quartiers où c'est plus difficile. A la Jonction par exemple, c'est plus compliqué car il y a beaucoup de tuyaux dans le sous-sol. Moi j'aurais aimé que ça soit avant, mais voilà".Vous parlez beaucoup de thématiques typiquement des Verts mais vous êtes quand même le grand argentier de la Ville. Le dernier budget est déficitaire de près de 71 millions et vous devrez présenter au Conseil d'Etat un plan de retour à l'équilibre, dès le printemps prochain. La dette va donc se creuser. La Ville avait pourtant eu des rentrées fiscales exceptionnelles, les deux dernières années. N'avez vous pas été plus cigales que fourmi et garder davantage d'argent pour les temps les plus durs qui s'annoncent…"Notre dette a diminué de plus de 200 millions sur ces quatre dernières années, dû, entre autres, à ces recettes fiscales extraordinaires. Et elle a diminué de 12,5%. Et puis, ensuite, il y a eu cette baisse fiscale qui a été votée par le peuple. Il y a eu la première baisse fiscale RFFA, qui a supposé également un retour à l'équilibre. Nous avions entamé ce retour budgétaire à l'équilibre, mais ce qui compte, ce sont les comptes, et dans les comptes, nous avons toujours été excédentaires. Donc, pendant quatre ans, nous avons présenté des budgets déficitaires, mais des comptes in fine, qui étaient excédentaires. Ensuite, il y a eu cette baisse fiscale additionnelle qui a été proposée par le Conseil d'État, par la droite du Grand Conseil également, qui suppose, pour l'ensemble des communes, une situation plus compliquée. Et cela nous oblige, à nouveau, à représenter des budgets déficitaires avec un retour à l'équilibre".C'est la faute de la droite, c'est le budget déficitaire ?"Bien sûr que c'est la faute de la droite, parce que nous avions entamé ce retour à l'équilibre Mais RFFA voté a supposé des recettes fiscales en moins. On s'est dit on va prendre jusqu'à 2028, et ensuite, on regardera la situation des communes et du canton. Et puis, avant 2028, il y a une deuxième baisse fiscale qui a été présentée, votée par le peuple. Il y a toute une série, quand
Il y a urgence pour la Genève internationale. Le Grand Conseil étudie, ce soir (jeudi 13/02), en urgence un projet de loi du Conseil d'Etat pour un plan d'action extraordinaire. 10 millions de francs sur trois mois pour ces ONG, impactées par la suspension des aides américaines. La conseillère d'Etat chargée de l'économie et de l'emploi, Delphine Bachmann, était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Le Conseil d'Etat présente ce soir, en urgence, au Grand Conseil, un projet de loi pour un plan d'action extraordinaire pour soutenir la Genève internationale. Il y a donc le feu dans la maison Genève internationale..."La situation est dramatique. Il y a vraiment des coupes de financement très imprévisibles qui touchent massivement les organisations internationales, mais nous on s'intéresse plus particulièrement aux tissus des ONG. Elles sont plus de 450 à Genève, dont 250 un peu plus, emploient du personnel à Genève. Les employés de ces ONG payent des cotisations sociales, payent des impôts, ce sont vraiment des emplois genevois. 3500 emplois dans ces ONG. On estime que plusieurs centaines pourraient être directement touchées par les coupes budgétaires imprévisibles qui arrivent. Ces ONG, de par leur statut, ne peuvent pas bénéficier de mesures de chômage partiel auxquelles peuvent accéder des entreprises. L'idée c'est de venir pallier durant une période de 90 jours ce déficit de droits au RHT pour que leurs employés ne soient pas licenciés. On avait et on a déjà des annonces de licenciement collectif à hauteur de plusieurs dizaines de personnes. C'est donc extrêmement préoccupant. On espère qu'on aura le soutien du Parlement. L'objectif est double: préserver des emplois genevois et donner un peu de temps aux ONG pour se retourner, en espérant évidemment que les financements reviennent, mais aussi pour se tourner vers des financements alternatifs privés"Karin Keller-Sutter a expliqué que le rôle de la Suisse n'était pas de combler les lacunes créées ou pouvant être créées par les Etats-Unis. Il n'y a pas d'aide de la Confédération, à attendre..."On partage le fait qu'on ne doit pas se substituer de manière pérenne. On n'en aurait d'ailleurs pas les moyens. Par contre, cette mesure, c'est une mesure concrète, immédiate, d'urgence, parce qu'il y a un plan d'action qui va être construit ces prochains mois, avec un projet, par exemple, de financement d'un fonds public, privé, qui pourrait être récipiendaire. On pourrait tout imaginer, même si le Parlement a coupé 110 millions dans la Genève internationale encore récemment. Je pense que cette mesure concrète et l'ambition de ce plan d'action, c'est aussi de dire que nous, on se met autour de la table. C'est un appel aux autres à prendre également leurs responsabilités à leur niveau. Et nous, on part du principe qu'aujourd'hui, qu'on ne peut pas laisser cette situation se dégrader sans rien faire. Donc oui, un projet de fonds public, privé, qui pourra accompagner cette fois-ci les organisations internationales à se transformer"
Les enfants du futur centre fédéral d'asile du Grand Saconnex ne seront pas scolarisés dans les écoles genevoises mais au sein du centre, selon la RTS. Une mesure qui fait réagir la conseillère nationale, membre de la commission des institutions politiques Delphine Klopfenstein Broggini. Le DIP justifie cette décision par le manque de places dans les écoles environnantes, mais aussi le côté fluctuant de la population du centre:"Je ne peux pas entendre de tel propos. Que les enfants viennent de loin ou viennent d'ici, les enfants ont droit à la scolarisation. Aujourd'hui on sait, le canton de Genève, les cantons qui hébergent ces fameux CFA ces centres fédéraux d'asile, ont une marge de manœuvre, notamment celle-ci: de pouvoir scolariser des enfants en dehors de ces centres. Les enfants ont droit d'aller à l'école, ont devoir d'aller à l'école également. Il n'y a aucune raison de faire une école à plusieurs vitesses, avec d'un côté des requérants d'asile dans des CFA qui seraient contraints de suivre des cours à l'intérieur du centre. Il faut peut-être le rappeler, ces centres sont des espaces semi carcéraux, il y a des horaires pour y entrer, il y a en principe des fils de barbelés autour de ces centres, et puis ce sont des espaces qui sont en partie fermés. Le centre fédéral d'asile de Genève est placé près de l'aéroport. C'est donc un cadre de vie qui n'est pas bon pour des enfants ni pour des adultes, d'ailleurs on s'est suffisamment battus pour que ce centre ne s'installer pas à cet endroit là. Non seulement ces enfants vont vivre dans cet espace-là, ils peuvent vivre jusqu'à 140 jours, c'est ça qui est inscrit dans la loi, mais ils vont avoir l'école en dehors d'une scolarisation et d'une socialisation aussi".Mais alors ça veut dire quoi quand le DIP dit qu'il n'y a pas assez de places ? C'est faux ? Comment on fait ?"On se débrouille, on s'organise, on prend notre responsabilité. Je pense que ça aussi c'est un devoir, c'est un devoir du canton. On s'organise avec les communes et avec les communes avoisinantes, avec des bus qui peuvent amener des enfants un peu plus loin, si le Grand Saconnex ne peut pas héberger tout de suite des enfants. On peut reconnaître la fluctuation, mais on peut aussi reconnaître notre responsabilité, c'est-à-dire de se débrouiller, de trouver des solutions pour que ces enfants puissent aller à l'école. Ca a été aussi un engagement, il y a de nombreuses années, au Grand Conseil: on avait déjà discuté de ce centre avant même qu'il voit le jour, en disant, le canton a une marge de manœuvre, cette marge de manœuvre il va devoir l'utiliser: notamment d'avoir un personnel bien formé, d'assurer la scolarisation en dehors du centre des enfants, c'est le minimum qu'on peut apporter pour des parcours de vie qui sont difficiles".Avec IA
Les syndicats et les partis de Gauche lancent un référendum contre les lois corsets. Geneviève Preti, présidente du Cartel intersyndical, était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Vous lancez un référendum, vous syndicats mais aussi Parti de gauche, qu'elle est de nouveau le problème?"Il y a un large front référendaire contre ces lois qui corsettent, qui veulent corseter les prestations publiques et essouffler tout le monde. Le problème c'est que ce sont des lois qui veulent brider les moyens de la fonction publique en fonction de la démographie. C'est un très mauvais indicateur"La dernière loi dans votre viseur, c'est celle qui prévoit qu'en cas de budget déficitaire, aucun poste permanent supplémentaire ne puisse être créé à l'État. Est-ce que ce n'est pas tout simplement ce qu'on appelle du bon sens ? On a un déficit, on ne peut pas engager davantage, ça semble assez logique."Mais si les besoins sont là, il faut les moyens! Je vous rappelle juste que c'est cette droite qui a fait passer ces lois, il n'y a pas si longtemps a fait baisser les impôts en disant que ça ne posait aucun problème. Nous avons la preuve aujourd'hui que c'est un mensonge, ça pose un problème puisqu'ils veulent réduire les moyens de l'État".Vous avez l'impression quand même que vous partez du principe que le Grand Conseil veut à tout prix s'en prendre à la fonction publique ?"Mais oui, la majorité de droite veut s'en prendre aux prestations publiques. Je vous prends le cas de l'enseignement, ils ont dû corriger leur loi, elle était très mauvaise de ce point de vue-là. Ils l'ont corrigée parce que c'est une évidence qu'on doit corréler le nombre d'enseignants par rapport au nombre d'élèves, donc ils ont modifié leur loi dans ce sens-là mais ils ont complètement oublié de modifier aussi pour l'ensemble du personnel autour de l'enseignement parce que cette loi ne va pas augmenter en proportion des élèves, l'éducation sexuelle à l'école, les infirmières scolaires, les secrétaires, je veux dire les parents et les élèves vont bientôt trouver des secrétariats fermés parce qu'il n'y aura plus les moyens de leur répondre de ce point de vue-là".
Il n'est pas le plus connu mais compte se faire un nom. William Makosso se présente comme candidat au Conseil administratif de la Ville de Genève, pour le Mouvement Eco radical. Il était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Vous avez été membre des Verts, notamment candidat pour le conseil municipal de la Ville et au Grand Conseil. Pourquoi les avoir quittés et vous lancer seul dans cette dure bataille?"Fort heureusement c'est un apprentissage. Je ne suis malheureusement pas la seule personne à changer de parti, c'était par conviction personnelle, raison pour laquelle j'ai quitté le Vert pour de nouvelles aventures".Parmi vos propositions, un soutien plein et entier aux restaurateurs: réduction de 10% des taxes sur les terrasses, la prolongation des horaires d'ouverture jusqu'à 1h du matin en semaine et 2h du matin le week-end. Vous allez peut-être avoir le soutien des restaurateurs mais vous mettre à dos les habitants des quartiers… "Ce que nous proposons c'est que Genève vive! Aujourd'hui si on pose la question aux gens, les habitants savent bien que la fête c'est pas à l'extérieur, la fête c'est à l'intérieur, et avoir une terrasse c'est une manière de continuer la convivialité. Pendant l'été les terrasses permettent aux gens de se rencontrer, et puis quand on parle de l'ouverture jusqu'à 1h du matin, il faut voir un peu ce qui se passe au niveau de la gestion des restaurateurs. J'ai l'habitude d'aller au restaurant et de passer du temps à la terrasse, discuter avec certaines personnes parce que c'est comme ça que la vie se passe, on est toujours avec les autres. Mais si vous proposez de fermer les restaurants à minuit, ça veut dire que le service doit s'arrêter à 22h15 ou à 22h45, et le dernier service est à 22h45, c'est un manque à gagner pour les restaurateurs qui eux ils ont déjà subi avec le Covid, et aujourd'hui ils arrivent pour certains à rembourser, beaucoup de difficultés pour rembourser les crédits Covid"Pour les chômeurs, vous proposez une intégration des plus de 50 ans dans les services publics. Ca fait beaucoup de monde quand même, et pourquoi intégrer plus des seniors que les jeunes…"Il faut voir le cas par cas, s'il y a des places qui sont disponibles dans les services publics. Continuer l'activité professionnelle si on est au chômage, c'est essentiel. On ne peut pas laisser une personne sur le carreau à la maison à réfléchir, regarder la télé ou de faire autre chose. C'est aussi un exemple pour des parents qui ont des enfants à la maison. Il faut trouver des possibilités à l'État, il y a plusieurs postes aussi, il y a des gens qui partent à la retraite, il y a des possibilités d'inclure. A l'époque on appelait ça des mesures cantonaux".Pour les fans de foot, une subvention de 300 millions de francs à l'Académie de Servette, 300 millions!"L'Académie de Servette a besoin de moyens. Le Servette fait un travail colossal pour l'éducation, la pédagogie et l'inclusion sociale pour les jeunes. Ce n'est pas que les jeunes qui sont là pour devenir un jour footballeurs, mais ce sont aussi les futurs directeurs d'entreprises, les futurs collaborateurs. Donc un jeune qui est formé, qui est assisté, qui est accompagné, c'est du pain béni pour la société. Ça permet d'éviter qu'un jeune puisse tomber dans une substance psychotrope, et ça coûtera plus cher à la société que de mettre un investissement sur la jeunesse"
Le rapport de la commission des visiteurs officiels est étudié, ce jeudi soir, par le Grand Conseil. La présidente de cette commission, Masha Alimi était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Votre rapport pointe, sans grande surprise, Champ Dollon. Une prison surpeuplée et pourtant des amendes sont converties en peine privatives de liberté…"Oui, mais c'est une loi fédérale. Une amende ne va pas forcément vous amener en prison. Il y a quand même un suivi si l'amende n'est pas payée, c'est la poursuite civile qui est privilégiée et la poursuite pénale n'est privilégiée que s'il y a un cumul d'amendes ou d'actes de défaut de biens qui font qu'à un moment donné, on se dirige vers la procédure pénale et la conversion en peines privatives de liberté de substitution. Nous avons recommandé, néanmoins, que ces personnes ne se retrouvent pas à Champ Dollon. Il faut un lieu plus adéquat pour ce genre de personnes qui n'ont finalement pas commis de délit. Il y a aussi un problème social. Très souvent, cette catégorie de personnes a des problèmes psychologiques dont il conviendrait de se préoccuper avant même de l'interner en prison"La mort de deux personnes dans le Vieil Hôtel de police a beaucoup interrogé:"On a émis l'idée déjà de mettre des caméras dans les violons, avec justement un contrôle visuel plus exacerbé. Le policier devrait avoir une vision régulière toute la nuit, si c'est tel est le cas, pour éviter ce genre de problème, bien que le risque zéro n'existe pas. Il y a, actuellement, des rondes, mais toutes les 20 minutes, demi-heure, suivant les cas. Les policiers sont formés à gérer ce genre d'urgence, mais je pense qu'il y a aussi l'expérience et il y a aussi le médecin. Parce que là, dans le cas d'espèce, le médecin était venu à donner le traitement"
Un tram sur le pont du Mont-Blanc. C'est l'idée du Parti socialiste qui a déposé deux motions, une au Grand Conseil et une autre au Conseil municipal de la Ville, en ce sens. Le conseiller municipal socialiste, Florian Schweri, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Sur le pont du Mont-Blanc, nous avons des piétons, des vélos, des voitures. Et maintenant vous voulez rajouter un tram. Ca fait beaucoup!"La question aujourd'hui c'est le report modal qu'on veut effectuer. Il y a des quartiers qui souffrent effectivement du trafic de transit, notamment les Pâquis ou les Eaux-Vives qui sont riverains de ce pont. Aujourd'hui si on veut avoir un report modal qui permette de pacifier ces quartiers aussi, on doit avoir une offre de transport public efficace et financièrement abordable pour la population".Le pont il n'est pas extensible, qu'est-ce qui va se passer ?"Je pense qu'aujourd'hui on a 5 voies de voiture sur 6 sur le pont du Mont-Blanc. Il y a une voie de bus mais qui va que dans un sens, qui n'est même pas sur toute la longueur du pont. Je ne vous parle même pas des trottoirs et des pistes cyclables où tout le monde se rentre dedans parce qu'on a un espace où on a péniblement tracé une ligne pour essayer de séparer les vélos et les piétons. Effectivement, aujourd'hui on doit redéfinir la part modale des différents modes de transport sur ce pont pour permettre un report modal. La motion porte effectivement sur la stabilisation du pont lui-même. Il y a de l'érosion dans le fond du fleuve qui aujourd'hui va nécessiter de toute façon des travaux. La question aujourd'hui qu'on doit se poser c'est: est-ce qu'on veut rationaliser ces travaux et faire en même temps ceux qui permettraient de sécuriser le pont pour le tram".Supprimer des voies pour les voitures va vous attirer des critiques;"La question au-delà de ça c'est pas où est-ce qu'on met les voitures, c'est quelle solution est-ce qu'on propose aux personnes qui aujourd'hui faute d'alternatives se trouvent dans les voitures. Si on développe une offre de transport public qui soit efficace, qui soit rapide, qui soit financièrement abordable pour aller dans tous les points du canton, en réalité les personnes qui aujourd'hui se trouvent sur le pont du Mont-Blanc dans leur voiture, demain elles seront dans le tram sur ce même pont du Mont-Blanc, donc la question se résout. Et en fait ça permet même de libérer de l'espace pour les personnes qui n'ont pas le choix d'utiliser un véhicule. Je pense notamment aux personnes à mobilité réduite mais aussi aux artisans, aux entrepreneurs qui doivent transporter du matériel ou des personnes. Et ça permet de nouveau de pacifier les quartiers adjacents qui eux souffrent du trafic de transit notamment induit vers ce pont"Cette proposition de tram sur le pont du Mont-Blanc vient aussi du refus de la passerelle du Mont-Blanc. Comment vous achevez le U-lacustre?"Il n'y a aujourd'hui pas de ligne continue qui fasse le U-lacustre avec les transports publics. On a aujourd'hui besoin de créer cette ligne avec un tram avec également des bus, il faut améliorer la desserte à ce niveau là parce qu'aujourd'hui c'est une incitation finalement à prendre la voiture. Alors effectivement la passerelle elle a été refusée aussi parce que la population ne voulait pas créer une nouvelle infrastructure, elle voulait faire avec l'existant".
Communiqué du Grand Conseil de la Nuit: des lieux culturels menacés dans la zone du PAV. The post Quel avenir pour la nuit genevoise? first appeared on Radio Vostok.
Communiqué du Grand Conseil de la Nuit: des lieux culturels menacés dans la zone du PAV. The post Quel avenir pour la nuit genevoise? first appeared on Radio Vostok.
Les Vert'libéraux font alliance avec le Centre, à Genève, pour les élections municipales. Boris Calame, leur candidat au Conseil administratif, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Vous faites ticket commun avec la candidate du Centre, la sortante, Marie Barbey Chappuis pour cette élection. Un choix où “la raison l'emporte sur le dogme, où les besoins de la population l'emportent sur les postures idéologiques”. C'est tellement bien dit, qu'on a presque envie d'y croire…"Je pense que c'est intéressant d'être entier dans les positions que l'on défend. On voit des positions très tranchées selon les majorités, que ce soit au Grand Conseil ou au Conseil municipal en ville de Genève. Le Centre et les Vert' libéraux, ensemble, on aimerait devenir un peu les arbitres de ces tendances tellement marquées qui, à notre sens, ne respectent pas ou n'accompagnent pas la majorité de la population. Une élection, c'est relativement peu de monde qui participe à l'élection. Et là, une chose extraordinaire, c'est qu'on a les étrangers qui peuvent participer, donc à peu près 40% de la population qui peut participer à cette élection. On aimerait bien que les choses soient un peu plus harmonieuses pour le plus grand nombre".10 domaines clés ont été retenus: dont la politique familiale avec cette volonté d'alléger le budget des familles. Vous nous promettez donc une baisse d'impôts?"La baisse d'impôts, on l'a eue. Elle a été votée au niveau cantonal. On va voir comment ça se passe. On va voir aussi comment vit le budget de la ville de Genève. Par contre, en ville de Genève, il y a certainement des économies qu'on pourrait faire. Et quand on aura fait ce bilan des économies à réaliser, et non pas des dépenses inconsidérées, des postes à fusion, etc., voire des subventions pour tout le monde, on pourra faire un bilan et voir où c'est qu'on se situe".La famille, la parentalité est votre priorité personnelle numéro un. Vous souhaitez que tout parent trouve “une solution d'accueil flexible et de qualité”. Cela veut donc dire davantage de places de crèches, en Ville de Genève. Des crèches privées, publiques, quel financement?"On a une initiative cantonale qui est en cours de lancement pour gérer cette problématique entre le canton et les communes. Ce qu'il y a aujourd'hui, c'est qu'on a une inégalité de traitement entre les parents, qui est quelque chose d'effarant. C'est-à-dire que certains parents peuvent, pour leur progéniture, mettre leurs enfants à plein temps, et d'autres ne peuvent même pas avoir un 20%. Et on voit dans la tendance, c'est qu'un parent qui travaille à plein temps, il aura la priorité sur un parent qui ne travaille pas, alors que ce même parent qui ne travaille pas cherche à travailler, mais il ne peut pas à cause de ses enfants. Je pense que l'équité, l'égalité de traitement vers tous les administrés est indispensable dans une municipalité".Vous faites aussi la promotion de l'écologie de l'envie. Comprenons le contraire de l'écologie punitive des Verts?"C'est une volonté d'écologie. Et on ne va pas faire contre la population. On n'y arrivera jamais. On doit faire avec la population. Il faut avoir une majorité pour faire passer un projet. Et si on prend des exemples récents, où peut-être l'accompagnement n'a pas été bon, alors est-ce que le projet était bon ou pas ? Je pense à la passerelle du Mont-Blanc, par exemple. On ne peut pas arriver avec un projet comme ça sans l'avoir préparé en présentation à la population, accompagner ce projet, l'expliciter, qu'il soit bien ou mauvais. Le résultat est dans les urnes, quel qu'il soit".
Débat entre Sabine Glauser Krug, membre d'Instruire en Liberté Vaud (IEL) et députée Verte au Grand conseil vaudois, et Sophie Moura, élue PLR au Grand Conseil fribourgeois et directrice d'une école primaire.
À l'adolescence, le sommeil est chamboulé par des modifications naturelles du cerveau et des pressions externes. Clarence Chollet, députée au Grand Conseil neuchâtelois et Vincent Bonvin du Grand Conseil vaudois militent tous deux pour des horaires scolaires adaptés aux besoins de sommeil des jeunes. Au collège de la Fontenelle à Cernier dans le Val-de-Ruz (NE), les cours commencent à 8h15 depuis dix ans. Si les élèves sont content.es, la décision ne fait pas l'unanimité dans le corps enseignant. Reportages : Arditë Shabani Réalisation : Didier Rossat Production : Laurence Difélix
Débat entre Raphaël Mahaim, conseiller national (Vert-e-s/VD) et avocat, Diane Barbier-Mueller, députée PLR au Grand Conseil genevois et administratrice de la régie genevoise Pilet et Renaud, et Marianne Lipari, présidente de l'Association pour la sauvegarde des Grands-Prés, qui s'est opposée récemment à la construction d'un écoquartier aux abords de Montreux.
Débat entre Sarah Pearson Perret, directrice romande de Pro Natura et députée vert'libérale au Grand Conseil neuchâtelois, et Jacqueline de Quattro, conseillère nationale PLR vaudoise.
Débat entre Pierre Aubert, procureur général du canton de Neuchâtel, Frédéric Favre, conseiller d'Etat (PLR/VS), Julie De Dardel, géographe et spécialiste des prisons, et Thanh-My Tran-Nhu, avocate et députée socialiste au Grand Conseil vaudois.
Débat entre Margherita Maria De Lorenzi coordinatrice romande de l'initiative pour la démocratie, Sidney Kamerzin, conseiller national (Centre/VS), Romain Schaer, député UDC au Grand Conseil jurassien et maire de la Baroche et Pascale Steiner, collaboratrice scientifique à la Commission fédérale des migrations.
Débat entre Carlo Sommaruga, conseiller aux Etats (PS/GE), Joëlle Fiss, députée au Grand Conseil genevois (PLR), et Benjamin Luis, journaliste à la RTS.
Débat entre Bryan Lo Giudice, vice-président du PLR Ville de Genève, Matthieu Jotterand, député au Grand Conseil de Genève, et Sébastien Chauvin, sociologue et co-directeur du Centre en Études Genre de l'Université de Lausanne.
Débat entre Florence Bettschart-Narbel, présidente du PLR Vaud, députée au Grand Conseil, Pauline Nerfin co-présidente de la section genevoise de Patrimoine suisse, et Bruno Marchand, architecte, urbaniste, professeur émérite à l'EPFL.
Débat entre Céline Misiego, membre du Grand Conseil vaudois (POP), Olivier Agassis, membre du Grand Conseil vaudois (UDC), et Caroline Jacot-Descombes, directrice adjointe et cheffe de projet Education sexuelle à Santé Sexuelle Suisse.
Fin novembre, dans le canton de Vaud, un postulat des Verts visant à introduire l'enseignement du suisse allemand à l'école a été adopté par le Grand Conseil. À droite, des questions ont été soulevées quant à la nécessité de cet enseignement, ainsi que sur la difficulté de choisir quel dialecte enseigner. Pourtant, à Genève ou à Neuchâtel, les élèves peuvent déjà s'initier au suisse allemand. Dans cet épisode, en nouvelle diffusion, nous examinons la manière dont on peut apprendre cette langue avec Bernarda Frank, enseignante au centre de langues de l'Université de Lausanne et de l'EPFL. Julie Kummer Réalisation: Kyanu Kombot-Naguemon Nous écrire ou nous proposer des questions: pointj@rts.ch ou +41 79 134 34 70 Pour aller plus loin: les morceaux utilisés dans cet épisode sont ceux de Chlyklass, Steff La Cheffe, Mani Matter, Stereo Luchs, Lo & Leduc, Nemo et Manillio.
Débat entre Raphaël Mahaim, conseiller national (Vert.e.s/VD), Manfred Bühler, conseiller national (UDC/BE) et Patricia Meylan, docteure en droit et députée suppléante du Centre au Grand Conseil valaisan.
Selon les cantons et les régions, les délais d'attente peuvent atteindre plusieurs années dans les structures d'accueil de la petite enfance. Alors qu'un projet de loi proposé par l'UDC et soutenu par le PLR, qui vise à pallier la pénurie de places en réduisant le personnel dans les crèches est à l'étude en commission du Grand Conseil genevois, le Point J se demande d'où vient cette pénurie. Journaliste: Julie Kummer Réalisateur: Sylvain Michel Nous contacter: +41 79 134 34 70 (WhatsApp) A consulter: la nouvelle plateforme qui regroupe toutes les crèches romandes https://creche-et-trouve.ch
Débat entre Alexandre de Senarclens, député PLR au Grand Conseil genevois et président du Salon international de l'automobilisme de Genève, Caroline Marti, cheffe du groupe socialiste au Grand Conseil genevois et présidente de la section genevoise de l'Association Transport et Environnement, Mathieu Flonneau, historien spécialiste des mobilités urbaines et de l'automobilisme, et Tiphaine Robert, historienne en sociologie des mobilités urbaines.
Avec Baptiste Durieux, Carine Galli et Xavier Domergue, grand debrief de l'Europa League au programme et grand conseil de l'Europe avec nos spécialistes des championnats anglais, espagnol, allemand et italien. Dans cette émission également : le déplacement de Lyon à Metz avec l'avant et l'après-match et la rencontre en intégralité avec Yannick Olland à Saint-Symphorien. Ecoutez RTL Foot du 23 février 2024 avec Baptiste Durieux.
Débat entre Jean-Marc Chappuis, sous-directeur de l'Office fédéral de l'agriculture, Jérémie Forney, anthropologue, professeur à l'Institut d'ethnologie de l'Université de Neuchâtel et co-directeur du centre de compétence sur l'agriculture, l'environnement et le climat dans l'Arc jurassien, Patricia Bidaux, présidente de la chambre d'agriculture genevoise AgriGenève et députée centriste au Grand Conseil genevois, et Linda Bourget, journaliste à la RTS.
Au micro de ce troisième épisode hors-série de CON-FESSIONS consacré aux "Voix de la révolte" : Élodie Lopez, députée au Grand Conseil vaudois et conseillère communale. Dans cet épisode, on parle de transition écologique, de "qualité de vie", de la criminalisation de la mendicité, de ce qu'implique le fait d'être une femme avec des mandats d'élue, mais aussi de sexisme systémique et d'Alain Damasio. Voici un nouveau portrait passionnant d'une femme à la fois brillante, audacieuse et sur le devant de la scène politique. Je rappelle qu'Élodie est membre d'un groupe qui s'appelle : "Décroissance alternatives" et de la coalition "Ensemble à Gauche". L'association à laquelle il est fait référence dans l'épisode et qui est à l'origine de l'organisation des marchés gratuits est : "Viv(r)e la gratuité". Petite rectification : la loi sur l'interdiction de la mendicité est une mesure cantonale et non fédérale. Crédits photos pour la vignette : Sandrine Lagnaz et Sebastien Agnetti. Enfin, pour soutenir la création de ce podcast, il n'y a rien de plus simple : abonne-toi sur ta plateforme d'écoute préférée, laisse un commentaire qui déchire sur l'application Podcast d'Apple et partage en masse cet épisode sur tes réseaux sociaux ! Pour ne rater aucune actualité du podcast, tu peux aussi me suivre sur Instagram, à l'adresse suivante : @confessions_le_podcast. Tu veux donner un coup de pouce au podcast ? Alors, rendez-vous sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/con-fessions-le-podcast Crédits musique : Epidemic Sound --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/con-fessions/message
Débat entre Alain Bittar, patron de la librairie arabe laïque "L'Olivier" à Genève, Joëlle Fiss, députée PLR au Grand Conseil genevois et experte en droits humains, et Jean-Marc Rickli, directeur des risques globaux et de la résilience au Centre de Politique de Sécurité (CGSP) de Genève.
Débat entre Niels Rosselet-Christ, président de l'UDC neuchâteloise, Mathilde Marendaz, députée EàG au Grand Conseil vaudois, Alain Gallusser, criminaliste, spécialiste des armes à feu, et Panteleimon Giannakopoulos, psychiatre, médecin chef du service des mesures institutionnelles aux HUG.
Fin novembre, dans le canton de Vaud, un postulat des Verts pour enseigner le suisse allemand à l'école a été accepté par le Grand Conseil. A droite, des interrogations sur la nécessité de cet enseignement ainsi que le fait qu'il serait difficile de choisir quel dialecte enseigner ont été soulevés. Pourtant, à Genève ou à Neuchâtel, les élèves peuvent déjà s'initier au suisse allemand. Dans cet épisode, on s'intéresse à comment on peut apprendre cette langue avec Bernarda Frank, enseignante au centre de langues de l'Université de Lausanne et de l'EPFL. Julie Kummer Réalisation: Kyanu Kombot-Naguemon Nous écrire ou nous proposer des questions: pointj@rts.ch ou +41 79 134 34 70 Pour aller plus loin: les morceaux utilisés dans cet épisode sont ceux de Chlyklass, Steff La Cheffe, Mani Matter, Stereo Luchs, Lo & Leduc, Nemo et Manillio.
Débat entre David Raedler, député écologiste au Grand Conseil vaudois, Peter Rothenbühler, ex-rédacteur en chef du journal Le Matin et journaliste bilingue, et Béatrice Brauchli, chargée d'enseignement à l'Université de Genève, spécialiste de didactique de l'allemand et du plurilinguisme.
Débat entre Anna Zangger, membre de la direction de la Fondation Franz Weber et co-directrice d'Helvetia Nostra, Marc-Olivier Buffat, député au Grand Conseil vaudois (PLR), et Ernst Zürcher, ingénieur forestier et professeur émérite en sciences du bois à l'EPFL et l'EPFZ.
Le débat entre les députés genevois Caroline Marti (PS), cheffe du groupe socialiste au Grand Conseil genevois et Vincent Subilia (PLR), directeur de la Chambre de commerce et d'industrie genevoise.
Débat entre Hadrien Buclin, membre d'Ensemble à gauche ainsi que du Grand Conseil vaudois, Pierre Esseiva, professeur associé à l'Institut de police scientifique, Valentin Christe, UDC vaudois, et Justine Leblond, correspondante RTS au Canada.
En 2018 la Cour européenne des droits de l‘homme condamnait Genève et sa loi sur la mendicité jugeant qu' « interdire la mendicité revient à punir la misère ». Pourtant, le Grand Conseil a durci cette loi l'été dernier. Désormais on peut accumuler 59'000 francs d'amende pour avoir fait la manche. Et dans leur quotidien, les sans-abris font face à la surveillance régulière et pas toujours cordiale de la police et des agents de sécurité. Reportages d'Antoine Harari Réalisation : Yves Roulin Production : Laurence Difélix
Débat entre Isabelle Moret, conseillère d'État en charge de l'asile dans le canton de Vaud, Carine Carvalho, députée socialiste au Grand Conseil vaudois, et Philippe Bauer, conseiller aux Etats (PLR/NE) et membre de la Commission des institutions politiques qui traite de l'asile à Berne.
Débat entre Oriane Sarrasin, députée socialiste au Grand Conseil vaudois et conseillère communale à Crissier, Chantal Weidmann Yenny, présidente de l'Union des communes vaudoises, députée PLR au Grand Conseil et Syndic de la commune de Savigny et Francisco Klauser, professeur de géographie politique à l'Université de Neuchâtel.
Débat entre Céline Misiego, députée popiste au Grand Conseil vaudois, Patrick Tundo, patron d'une PME, et Stéphanie Ruegsegger, directrice de la politique à la Fédération des entreprises romandes.
Débat entre Eric Kaltenrieder, procureur général du canton de Vaud, Dilara Bayrak, députée verte au Grand Conseil genevois et avocate stagiaire à Genève, et André Kuhn, professeur de criminologie à l'Université de Neuchâtel.
Débat entre Carlo Sommaruga, conseiller aux Etats genevois (PS) et président de l'ASLOCA, et Thomas Birbaum, député au Grand Conseil valaisan (PLR) et secrétaire général de l'Union des Indépendants en Valais.
Débat entre les avocats Loïc Parein et Lorella Bertani, Jacques Aubert, médecin et ancien chargé de cours à l'Université de Lausanne, et la députée Ensemble à gauche au Grand Conseil vaudois Mathilde Marendaz.