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La motion pour une estimation plus fiable des recettes de l'Etat est étudiée, ce jeudi soir, par le Grand Conseil. Une motion alors que les comptes devraient une nouvelle fois excédentaire pour 2024. Le député Vert, Julien Nicolet-dit-Felix, auteur de la motion, était invité de Béatrice Rul, à 7h30.Vous avez déposé cette motion pour une estimation plus fiable des recettes de l'Etat. Elle est étudiée au Grand Conseil, ce jeudi soir. Car depuis quelques années, il y a une grande différence entre le budget prévu et les comptes qui sont bien meilleurs. Un point positif, il vaut mieux que ce soit dans ce sens là… "Oui, on peut se réjouir effectivement, qu'on anticipe recevoir moins que ce qu'on reçoit, on peut être heureux. Simplement, cet écart va croissant, il est énorme. Le budget de l'Etat c'est de l'ordre de 10 milliards de francs, les deux dernières années, on avait 2 milliards d'erreurs sur cette prévision de recettes. Et simplement, lorsqu'on établit le budget à l'automne et qu'on a des chiffres qui sont sous-estimés d'une ampleur pareille, de 2 milliards, il manque 2 milliards. Ces 2 milliards, on ne peut pas les transformer en prestations, en services que la population a besoin, que la population désire, ce qui fait qu'on a une politique qui est beaucoup trop modeste par rapport à ce que l'Etat devrait offrir à la population. On se retrouve une année et demie avec des comptes mirifiques, mais on a de l'argent qui n'aura servi à rien".La difficulté pour Genève c'est aussi que l'économie est portée par la finance, le trading des matières premières. Des secteurs qui ont été bouleversés par des événements imprévisibles comme la guerre en Ukraine…"Oui, tout à fait, il n'est pas du tout question d'incriminer les fonctionnaires, il est question d'incriminer la méthode employée par le département des finances, c'est l'objet de la motion, c'est-à-dire qu'il faut réfléchir aux méthodes qu'on emploie, se demander pourquoi elles dysfonctionnent, regarder pourquoi dans les autres cantons ça fonctionne bien mieux, et adopter des meilleures pratiques pour avoir des valeurs qui soient un tout petit peu plus crédibles. Tout ça, à nouveau, pour pouvoir servir la population.Vous proposez que le budget soit établi sur les recettes effectives de l'année précédente, sauf exception. Si on se base ainsi, on risque de mauvaises surprises… "Ça peut être problématique si effectivement il y a une dépression soudaine qui arrive, mais qui serait absolument majeure. Ce n'est jamais arrivé au cours des 20 dernières années. Cette méthode aurait même fonctionné à l'époque Covid, pour dire à quel point on a de la marge. Par ailleurs, on a un outil qu'on appelle la réserve conjoncturelle, qui permet d'accumuler de l'argent en quatre coups durs, cette réserve, elle est pleine à ras bord, on n'arrive plus à la remplir, il y en a un milliard".
Le CERN doit publier ce mois-ci une étude de faisabilité du FCC, le futur collisionneur circulaire du CERN de 91 kms de diamètre entre Genève et la France. L'association écologique Noé21 publie une étude de non faisabilité, basée sur l'avis d'experts suisse. Philippe de Rougemont, le président de Noé21, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Au regard de votre étude de non faisabilité, il est clair qu'il faut renoncer au FCC..."Oui c'est assez clair: on ne peut pas se permettre cet accélérateur. On ne peut pas se le permettre parce qu'il n'y a pas seulement une comptabilité qui est celle du prestige ou qui est celle de, on peut se le permettre en termes d'argent, il y a aussi d'autres comptabilités qui sont celles des émissions de gaz à effet de serre. Il y a quelques années, à la quasi unanimité, le Grand Conseil a voté l'urgence climatique. C'est-à-dire que l'on se rend compte de l'ampleur des dégâts du changement climatique et ceux à venir qui sont prévus et qui sont annoncés par la science. On décide, également, de mettre en œuvre les accords de Paris signés par la Confédération. Sur ça vient ce projet du FCC qui a été imaginé en 2014, donc avant l'urgence climatique. On a cette sorte de collision entre un giga projet qui émettrait énormément de gaz à effet de serre, qui capterait énormément d'électricité dont on a besoin pour décarboner les chauffages et les voitures et les autres transports routiers, donc c'est une véritable collision, on ne peut pas se permettre cet objet, en tout cas pas pour les prochaines années à venir, on a d'autres priorités".Un projet qui constitue “une menace pour la transition énergétique, un encombrement aggravé du territoire en déblais de chantier et est l'objet d'une confiscation des droits démocratiques des personnes du territoire impacté". C'est ce que vous listez dans votre étude... " Quand vous donnez la liste comme ça, ça donne le vertige, on n'invente rien. Mais je reste effrayé comme la première fois il y a trois ans que j'ai entendu parler de ce projet. Le CERN est d'une telle transparence que c'est uniquement avec les chiffres fournis par le CERN, par les études du CERN sur ce projet, qu'on a basé notre étude d'une quarantaine de pages. On sait que le CERN fait des efforts, tous les secteurs en font, simplement quand vous voulez faire un effort d'écologie sur un projet qui à la base est d'une telle amplitude, qui consommerait autant qu'une ville de 700 000 habitants, et bien rendre ça plus écologique, c'est vraiment travailler à la marge, c'est vraiment une mission impossible. Il aurait fallu penser dès 2014 à créer un outil pour les chercheurs et les chercheuses en physique de demain qui respectent les limites planétaires, c'est ça qui n'a pas été fait, c'est ça qu'on reproche, et on pense qu'il est encore temps de renoncer! On aimerait que le CERN renonce à ce projet et travaille sur un outil qui respecte les limites planétaires"100 millions ont déjà été investis, quelle collectivité, quel organisme peut s'asseoir sur 100 millions d'investissements ?"Oui, mais faisons une petite comparaison: le budget annuel de la ville de Genève c'est 1,3 milliard, c'est la même chose que le CERN. 100 millions c'est ce que le conseil du CERN a autorisé, le CERN a dépensé pour les études de faisabilité qui aboutissent en 2025 cette année, donc oui ça voudrait dire renoncer à ces 100 millions, mais si on attend encore quelques années ça va être renoncé en termes de milliards, et donc ce qui est juste aujourd'hui ne va pas devenir faute demain, le projet là est encore une fois d'une telle ampleur qu'on ne peut pas juste désinventer qu'il va consommer 4 térawattheures par an, on ne peut pas le désinventer"
Alfonso Gomez compte bien rempiler pour un second mandat en Ville de Genève. Parmi les priorités du conseiller administratif sortant: la végétalisation. Alfonso Gomez qui met aussi. en avant, son bilan aux finances. Il était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.La stratégie climat du conseil administratif a pour objectif de dégrapper 10'000 m2 de bitume par an. Vous en êtes à 13'000 depuis 2020. Le compte n'y est pas. On va donc vous voir marteau piqueur à la main, Alfonso Gomez… " Vous savez, ça prend du temps, c'est comme un paquebot, il faut d'abord regarder aussi ce qu'il y a en dessous, il faut trouver des endroits. Donc tout ça prend un certain nombre de temps, nous sommes dans une des villes les plus denses de Suisse. Il y a beaucoup de tuyaux en dessous, vous ne pouvez pas évidemment planter ou dégrapper n'importe où, vous devez à chaque fois analyser, et c'est ce qui a été fait. Il faut évidemment rendre la ville moins minérale à cause des pics de chaleur, et évidemment il faut rendre cette ville plus éponge, plus apte à accueillir l'eau et à qu'elle soit rafraîchie"Votre programme et votre bilan se résume aussi en un mot: VEGETALISATION. Une végétalisation qui a été menée en Ville, mais qui tarde aux Pâquis qui est un des quartiers où il fait le plus chaud, en été, Et tiens, hier, vous annoncez la plantation de 75 arbres, hier, aux Pâquis. Et ça juste avant les élections, c'est fou quand même les coïncidences… "Le hasard fait bien les choses parfois, c'est un projet qui date d'il y a deux ans, et comme je vous ai dit, il y a deux quartiers qui sont fortement minéralisés, qui sont fortement densifiés, la Jonction et les Pâquis. On a procédé à une analyse pour savoir où l'on pouvait dégrapper. Cette analyse a pris une année et demie, ensuite il a fallu obtenir les autorisations. Il y a des quartiers où c'est plus difficile. A la Jonction par exemple, c'est plus compliqué car il y a beaucoup de tuyaux dans le sous-sol. Moi j'aurais aimé que ça soit avant, mais voilà".Vous parlez beaucoup de thématiques typiquement des Verts mais vous êtes quand même le grand argentier de la Ville. Le dernier budget est déficitaire de près de 71 millions et vous devrez présenter au Conseil d'Etat un plan de retour à l'équilibre, dès le printemps prochain. La dette va donc se creuser. La Ville avait pourtant eu des rentrées fiscales exceptionnelles, les deux dernières années. N'avez vous pas été plus cigales que fourmi et garder davantage d'argent pour les temps les plus durs qui s'annoncent…"Notre dette a diminué de plus de 200 millions sur ces quatre dernières années, dû, entre autres, à ces recettes fiscales extraordinaires. Et elle a diminué de 12,5%. Et puis, ensuite, il y a eu cette baisse fiscale qui a été votée par le peuple. Il y a eu la première baisse fiscale RFFA, qui a supposé également un retour à l'équilibre. Nous avions entamé ce retour budgétaire à l'équilibre, mais ce qui compte, ce sont les comptes, et dans les comptes, nous avons toujours été excédentaires. Donc, pendant quatre ans, nous avons présenté des budgets déficitaires, mais des comptes in fine, qui étaient excédentaires. Ensuite, il y a eu cette baisse fiscale additionnelle qui a été proposée par le Conseil d'État, par la droite du Grand Conseil également, qui suppose, pour l'ensemble des communes, une situation plus compliquée. Et cela nous oblige, à nouveau, à représenter des budgets déficitaires avec un retour à l'équilibre".C'est la faute de la droite, c'est le budget déficitaire ?"Bien sûr que c'est la faute de la droite, parce que nous avions entamé ce retour à l'équilibre Mais RFFA voté a supposé des recettes fiscales en moins. On s'est dit on va prendre jusqu'à 2028, et ensuite, on regardera la situation des communes et du canton. Et puis, avant 2028, il y a une deuxième baisse fiscale qui a été présentée, votée par le peuple. Il y a toute une série, quand
Il y a urgence pour la Genève internationale. Le Grand Conseil étudie, ce soir (jeudi 13/02), en urgence un projet de loi du Conseil d'Etat pour un plan d'action extraordinaire. 10 millions de francs sur trois mois pour ces ONG, impactées par la suspension des aides américaines. La conseillère d'Etat chargée de l'économie et de l'emploi, Delphine Bachmann, était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Le Conseil d'Etat présente ce soir, en urgence, au Grand Conseil, un projet de loi pour un plan d'action extraordinaire pour soutenir la Genève internationale. Il y a donc le feu dans la maison Genève internationale..."La situation est dramatique. Il y a vraiment des coupes de financement très imprévisibles qui touchent massivement les organisations internationales, mais nous on s'intéresse plus particulièrement aux tissus des ONG. Elles sont plus de 450 à Genève, dont 250 un peu plus, emploient du personnel à Genève. Les employés de ces ONG payent des cotisations sociales, payent des impôts, ce sont vraiment des emplois genevois. 3500 emplois dans ces ONG. On estime que plusieurs centaines pourraient être directement touchées par les coupes budgétaires imprévisibles qui arrivent. Ces ONG, de par leur statut, ne peuvent pas bénéficier de mesures de chômage partiel auxquelles peuvent accéder des entreprises. L'idée c'est de venir pallier durant une période de 90 jours ce déficit de droits au RHT pour que leurs employés ne soient pas licenciés. On avait et on a déjà des annonces de licenciement collectif à hauteur de plusieurs dizaines de personnes. C'est donc extrêmement préoccupant. On espère qu'on aura le soutien du Parlement. L'objectif est double: préserver des emplois genevois et donner un peu de temps aux ONG pour se retourner, en espérant évidemment que les financements reviennent, mais aussi pour se tourner vers des financements alternatifs privés"Karin Keller-Sutter a expliqué que le rôle de la Suisse n'était pas de combler les lacunes créées ou pouvant être créées par les Etats-Unis. Il n'y a pas d'aide de la Confédération, à attendre..."On partage le fait qu'on ne doit pas se substituer de manière pérenne. On n'en aurait d'ailleurs pas les moyens. Par contre, cette mesure, c'est une mesure concrète, immédiate, d'urgence, parce qu'il y a un plan d'action qui va être construit ces prochains mois, avec un projet, par exemple, de financement d'un fonds public, privé, qui pourrait être récipiendaire. On pourrait tout imaginer, même si le Parlement a coupé 110 millions dans la Genève internationale encore récemment. Je pense que cette mesure concrète et l'ambition de ce plan d'action, c'est aussi de dire que nous, on se met autour de la table. C'est un appel aux autres à prendre également leurs responsabilités à leur niveau. Et nous, on part du principe qu'aujourd'hui, qu'on ne peut pas laisser cette situation se dégrader sans rien faire. Donc oui, un projet de fonds public, privé, qui pourra accompagner cette fois-ci les organisations internationales à se transformer"
Les enfants du futur centre fédéral d'asile du Grand Saconnex ne seront pas scolarisés dans les écoles genevoises mais au sein du centre, selon la RTS. Une mesure qui fait réagir la conseillère nationale, membre de la commission des institutions politiques Delphine Klopfenstein Broggini. Le DIP justifie cette décision par le manque de places dans les écoles environnantes, mais aussi le côté fluctuant de la population du centre:"Je ne peux pas entendre de tel propos. Que les enfants viennent de loin ou viennent d'ici, les enfants ont droit à la scolarisation. Aujourd'hui on sait, le canton de Genève, les cantons qui hébergent ces fameux CFA ces centres fédéraux d'asile, ont une marge de manœuvre, notamment celle-ci: de pouvoir scolariser des enfants en dehors de ces centres. Les enfants ont droit d'aller à l'école, ont devoir d'aller à l'école également. Il n'y a aucune raison de faire une école à plusieurs vitesses, avec d'un côté des requérants d'asile dans des CFA qui seraient contraints de suivre des cours à l'intérieur du centre. Il faut peut-être le rappeler, ces centres sont des espaces semi carcéraux, il y a des horaires pour y entrer, il y a en principe des fils de barbelés autour de ces centres, et puis ce sont des espaces qui sont en partie fermés. Le centre fédéral d'asile de Genève est placé près de l'aéroport. C'est donc un cadre de vie qui n'est pas bon pour des enfants ni pour des adultes, d'ailleurs on s'est suffisamment battus pour que ce centre ne s'installer pas à cet endroit là. Non seulement ces enfants vont vivre dans cet espace-là, ils peuvent vivre jusqu'à 140 jours, c'est ça qui est inscrit dans la loi, mais ils vont avoir l'école en dehors d'une scolarisation et d'une socialisation aussi".Mais alors ça veut dire quoi quand le DIP dit qu'il n'y a pas assez de places ? C'est faux ? Comment on fait ?"On se débrouille, on s'organise, on prend notre responsabilité. Je pense que ça aussi c'est un devoir, c'est un devoir du canton. On s'organise avec les communes et avec les communes avoisinantes, avec des bus qui peuvent amener des enfants un peu plus loin, si le Grand Saconnex ne peut pas héberger tout de suite des enfants. On peut reconnaître la fluctuation, mais on peut aussi reconnaître notre responsabilité, c'est-à-dire de se débrouiller, de trouver des solutions pour que ces enfants puissent aller à l'école. Ca a été aussi un engagement, il y a de nombreuses années, au Grand Conseil: on avait déjà discuté de ce centre avant même qu'il voit le jour, en disant, le canton a une marge de manœuvre, cette marge de manœuvre il va devoir l'utiliser: notamment d'avoir un personnel bien formé, d'assurer la scolarisation en dehors du centre des enfants, c'est le minimum qu'on peut apporter pour des parcours de vie qui sont difficiles".Avec IA
Les syndicats et les partis de Gauche lancent un référendum contre les lois corsets. Geneviève Preti, présidente du Cartel intersyndical, était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Vous lancez un référendum, vous syndicats mais aussi Parti de gauche, qu'elle est de nouveau le problème?"Il y a un large front référendaire contre ces lois qui corsettent, qui veulent corseter les prestations publiques et essouffler tout le monde. Le problème c'est que ce sont des lois qui veulent brider les moyens de la fonction publique en fonction de la démographie. C'est un très mauvais indicateur"La dernière loi dans votre viseur, c'est celle qui prévoit qu'en cas de budget déficitaire, aucun poste permanent supplémentaire ne puisse être créé à l'État. Est-ce que ce n'est pas tout simplement ce qu'on appelle du bon sens ? On a un déficit, on ne peut pas engager davantage, ça semble assez logique."Mais si les besoins sont là, il faut les moyens! Je vous rappelle juste que c'est cette droite qui a fait passer ces lois, il n'y a pas si longtemps a fait baisser les impôts en disant que ça ne posait aucun problème. Nous avons la preuve aujourd'hui que c'est un mensonge, ça pose un problème puisqu'ils veulent réduire les moyens de l'État".Vous avez l'impression quand même que vous partez du principe que le Grand Conseil veut à tout prix s'en prendre à la fonction publique ?"Mais oui, la majorité de droite veut s'en prendre aux prestations publiques. Je vous prends le cas de l'enseignement, ils ont dû corriger leur loi, elle était très mauvaise de ce point de vue-là. Ils l'ont corrigée parce que c'est une évidence qu'on doit corréler le nombre d'enseignants par rapport au nombre d'élèves, donc ils ont modifié leur loi dans ce sens-là mais ils ont complètement oublié de modifier aussi pour l'ensemble du personnel autour de l'enseignement parce que cette loi ne va pas augmenter en proportion des élèves, l'éducation sexuelle à l'école, les infirmières scolaires, les secrétaires, je veux dire les parents et les élèves vont bientôt trouver des secrétariats fermés parce qu'il n'y aura plus les moyens de leur répondre de ce point de vue-là".
Il n'est pas le plus connu mais compte se faire un nom. William Makosso se présente comme candidat au Conseil administratif de la Ville de Genève, pour le Mouvement Eco radical. Il était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Vous avez été membre des Verts, notamment candidat pour le conseil municipal de la Ville et au Grand Conseil. Pourquoi les avoir quittés et vous lancer seul dans cette dure bataille?"Fort heureusement c'est un apprentissage. Je ne suis malheureusement pas la seule personne à changer de parti, c'était par conviction personnelle, raison pour laquelle j'ai quitté le Vert pour de nouvelles aventures".Parmi vos propositions, un soutien plein et entier aux restaurateurs: réduction de 10% des taxes sur les terrasses, la prolongation des horaires d'ouverture jusqu'à 1h du matin en semaine et 2h du matin le week-end. Vous allez peut-être avoir le soutien des restaurateurs mais vous mettre à dos les habitants des quartiers… "Ce que nous proposons c'est que Genève vive! Aujourd'hui si on pose la question aux gens, les habitants savent bien que la fête c'est pas à l'extérieur, la fête c'est à l'intérieur, et avoir une terrasse c'est une manière de continuer la convivialité. Pendant l'été les terrasses permettent aux gens de se rencontrer, et puis quand on parle de l'ouverture jusqu'à 1h du matin, il faut voir un peu ce qui se passe au niveau de la gestion des restaurateurs. J'ai l'habitude d'aller au restaurant et de passer du temps à la terrasse, discuter avec certaines personnes parce que c'est comme ça que la vie se passe, on est toujours avec les autres. Mais si vous proposez de fermer les restaurants à minuit, ça veut dire que le service doit s'arrêter à 22h15 ou à 22h45, et le dernier service est à 22h45, c'est un manque à gagner pour les restaurateurs qui eux ils ont déjà subi avec le Covid, et aujourd'hui ils arrivent pour certains à rembourser, beaucoup de difficultés pour rembourser les crédits Covid"Pour les chômeurs, vous proposez une intégration des plus de 50 ans dans les services publics. Ca fait beaucoup de monde quand même, et pourquoi intégrer plus des seniors que les jeunes…"Il faut voir le cas par cas, s'il y a des places qui sont disponibles dans les services publics. Continuer l'activité professionnelle si on est au chômage, c'est essentiel. On ne peut pas laisser une personne sur le carreau à la maison à réfléchir, regarder la télé ou de faire autre chose. C'est aussi un exemple pour des parents qui ont des enfants à la maison. Il faut trouver des possibilités à l'État, il y a plusieurs postes aussi, il y a des gens qui partent à la retraite, il y a des possibilités d'inclure. A l'époque on appelait ça des mesures cantonaux".Pour les fans de foot, une subvention de 300 millions de francs à l'Académie de Servette, 300 millions!"L'Académie de Servette a besoin de moyens. Le Servette fait un travail colossal pour l'éducation, la pédagogie et l'inclusion sociale pour les jeunes. Ce n'est pas que les jeunes qui sont là pour devenir un jour footballeurs, mais ce sont aussi les futurs directeurs d'entreprises, les futurs collaborateurs. Donc un jeune qui est formé, qui est assisté, qui est accompagné, c'est du pain béni pour la société. Ça permet d'éviter qu'un jeune puisse tomber dans une substance psychotrope, et ça coûtera plus cher à la société que de mettre un investissement sur la jeunesse"
Le rapport de la commission des visiteurs officiels est étudié, ce jeudi soir, par le Grand Conseil. La présidente de cette commission, Masha Alimi était invitée de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Votre rapport pointe, sans grande surprise, Champ Dollon. Une prison surpeuplée et pourtant des amendes sont converties en peine privatives de liberté…"Oui, mais c'est une loi fédérale. Une amende ne va pas forcément vous amener en prison. Il y a quand même un suivi si l'amende n'est pas payée, c'est la poursuite civile qui est privilégiée et la poursuite pénale n'est privilégiée que s'il y a un cumul d'amendes ou d'actes de défaut de biens qui font qu'à un moment donné, on se dirige vers la procédure pénale et la conversion en peines privatives de liberté de substitution. Nous avons recommandé, néanmoins, que ces personnes ne se retrouvent pas à Champ Dollon. Il faut un lieu plus adéquat pour ce genre de personnes qui n'ont finalement pas commis de délit. Il y a aussi un problème social. Très souvent, cette catégorie de personnes a des problèmes psychologiques dont il conviendrait de se préoccuper avant même de l'interner en prison"La mort de deux personnes dans le Vieil Hôtel de police a beaucoup interrogé:"On a émis l'idée déjà de mettre des caméras dans les violons, avec justement un contrôle visuel plus exacerbé. Le policier devrait avoir une vision régulière toute la nuit, si c'est tel est le cas, pour éviter ce genre de problème, bien que le risque zéro n'existe pas. Il y a, actuellement, des rondes, mais toutes les 20 minutes, demi-heure, suivant les cas. Les policiers sont formés à gérer ce genre d'urgence, mais je pense qu'il y a aussi l'expérience et il y a aussi le médecin. Parce que là, dans le cas d'espèce, le médecin était venu à donner le traitement"
Un tram sur le pont du Mont-Blanc. C'est l'idée du Parti socialiste qui a déposé deux motions, une au Grand Conseil et une autre au Conseil municipal de la Ville, en ce sens. Le conseiller municipal socialiste, Florian Schweri, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Sur le pont du Mont-Blanc, nous avons des piétons, des vélos, des voitures. Et maintenant vous voulez rajouter un tram. Ca fait beaucoup!"La question aujourd'hui c'est le report modal qu'on veut effectuer. Il y a des quartiers qui souffrent effectivement du trafic de transit, notamment les Pâquis ou les Eaux-Vives qui sont riverains de ce pont. Aujourd'hui si on veut avoir un report modal qui permette de pacifier ces quartiers aussi, on doit avoir une offre de transport public efficace et financièrement abordable pour la population".Le pont il n'est pas extensible, qu'est-ce qui va se passer ?"Je pense qu'aujourd'hui on a 5 voies de voiture sur 6 sur le pont du Mont-Blanc. Il y a une voie de bus mais qui va que dans un sens, qui n'est même pas sur toute la longueur du pont. Je ne vous parle même pas des trottoirs et des pistes cyclables où tout le monde se rentre dedans parce qu'on a un espace où on a péniblement tracé une ligne pour essayer de séparer les vélos et les piétons. Effectivement, aujourd'hui on doit redéfinir la part modale des différents modes de transport sur ce pont pour permettre un report modal. La motion porte effectivement sur la stabilisation du pont lui-même. Il y a de l'érosion dans le fond du fleuve qui aujourd'hui va nécessiter de toute façon des travaux. La question aujourd'hui qu'on doit se poser c'est: est-ce qu'on veut rationaliser ces travaux et faire en même temps ceux qui permettraient de sécuriser le pont pour le tram".Supprimer des voies pour les voitures va vous attirer des critiques;"La question au-delà de ça c'est pas où est-ce qu'on met les voitures, c'est quelle solution est-ce qu'on propose aux personnes qui aujourd'hui faute d'alternatives se trouvent dans les voitures. Si on développe une offre de transport public qui soit efficace, qui soit rapide, qui soit financièrement abordable pour aller dans tous les points du canton, en réalité les personnes qui aujourd'hui se trouvent sur le pont du Mont-Blanc dans leur voiture, demain elles seront dans le tram sur ce même pont du Mont-Blanc, donc la question se résout. Et en fait ça permet même de libérer de l'espace pour les personnes qui n'ont pas le choix d'utiliser un véhicule. Je pense notamment aux personnes à mobilité réduite mais aussi aux artisans, aux entrepreneurs qui doivent transporter du matériel ou des personnes. Et ça permet de nouveau de pacifier les quartiers adjacents qui eux souffrent du trafic de transit notamment induit vers ce pont"Cette proposition de tram sur le pont du Mont-Blanc vient aussi du refus de la passerelle du Mont-Blanc. Comment vous achevez le U-lacustre?"Il n'y a aujourd'hui pas de ligne continue qui fasse le U-lacustre avec les transports publics. On a aujourd'hui besoin de créer cette ligne avec un tram avec également des bus, il faut améliorer la desserte à ce niveau là parce qu'aujourd'hui c'est une incitation finalement à prendre la voiture. Alors effectivement la passerelle elle a été refusée aussi parce que la population ne voulait pas créer une nouvelle infrastructure, elle voulait faire avec l'existant".
Communiqué du Grand Conseil de la Nuit: des lieux culturels menacés dans la zone du PAV. The post Quel avenir pour la nuit genevoise? first appeared on Radio Vostok.
Communiqué du Grand Conseil de la Nuit: des lieux culturels menacés dans la zone du PAV. The post Quel avenir pour la nuit genevoise? first appeared on Radio Vostok.
Les Vert'libéraux font alliance avec le Centre, à Genève, pour les élections municipales. Boris Calame, leur candidat au Conseil administratif, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Vous faites ticket commun avec la candidate du Centre, la sortante, Marie Barbey Chappuis pour cette élection. Un choix où “la raison l'emporte sur le dogme, où les besoins de la population l'emportent sur les postures idéologiques”. C'est tellement bien dit, qu'on a presque envie d'y croire…"Je pense que c'est intéressant d'être entier dans les positions que l'on défend. On voit des positions très tranchées selon les majorités, que ce soit au Grand Conseil ou au Conseil municipal en ville de Genève. Le Centre et les Vert' libéraux, ensemble, on aimerait devenir un peu les arbitres de ces tendances tellement marquées qui, à notre sens, ne respectent pas ou n'accompagnent pas la majorité de la population. Une élection, c'est relativement peu de monde qui participe à l'élection. Et là, une chose extraordinaire, c'est qu'on a les étrangers qui peuvent participer, donc à peu près 40% de la population qui peut participer à cette élection. On aimerait bien que les choses soient un peu plus harmonieuses pour le plus grand nombre".10 domaines clés ont été retenus: dont la politique familiale avec cette volonté d'alléger le budget des familles. Vous nous promettez donc une baisse d'impôts?"La baisse d'impôts, on l'a eue. Elle a été votée au niveau cantonal. On va voir comment ça se passe. On va voir aussi comment vit le budget de la ville de Genève. Par contre, en ville de Genève, il y a certainement des économies qu'on pourrait faire. Et quand on aura fait ce bilan des économies à réaliser, et non pas des dépenses inconsidérées, des postes à fusion, etc., voire des subventions pour tout le monde, on pourra faire un bilan et voir où c'est qu'on se situe".La famille, la parentalité est votre priorité personnelle numéro un. Vous souhaitez que tout parent trouve “une solution d'accueil flexible et de qualité”. Cela veut donc dire davantage de places de crèches, en Ville de Genève. Des crèches privées, publiques, quel financement?"On a une initiative cantonale qui est en cours de lancement pour gérer cette problématique entre le canton et les communes. Ce qu'il y a aujourd'hui, c'est qu'on a une inégalité de traitement entre les parents, qui est quelque chose d'effarant. C'est-à-dire que certains parents peuvent, pour leur progéniture, mettre leurs enfants à plein temps, et d'autres ne peuvent même pas avoir un 20%. Et on voit dans la tendance, c'est qu'un parent qui travaille à plein temps, il aura la priorité sur un parent qui ne travaille pas, alors que ce même parent qui ne travaille pas cherche à travailler, mais il ne peut pas à cause de ses enfants. Je pense que l'équité, l'égalité de traitement vers tous les administrés est indispensable dans une municipalité".Vous faites aussi la promotion de l'écologie de l'envie. Comprenons le contraire de l'écologie punitive des Verts?"C'est une volonté d'écologie. Et on ne va pas faire contre la population. On n'y arrivera jamais. On doit faire avec la population. Il faut avoir une majorité pour faire passer un projet. Et si on prend des exemples récents, où peut-être l'accompagnement n'a pas été bon, alors est-ce que le projet était bon ou pas ? Je pense à la passerelle du Mont-Blanc, par exemple. On ne peut pas arriver avec un projet comme ça sans l'avoir préparé en présentation à la population, accompagner ce projet, l'expliciter, qu'il soit bien ou mauvais. Le résultat est dans les urnes, quel qu'il soit".
Le torchon brûle entre la Cour des Comptes et le Conseil d'Etat. En cause, l'audit remis, lundi, par l'organe indépendant sur les mandats externes attribués au sein de l'administration cantonale. Avec des incohérences, des irrégularités ou encore un manque de contrôle pointés du doigt. Rapport biaisé, au vocabulaire tendancieux, répond le Conseil d'Etat qui a refusé sept des dix recommandations formulées par la Cour. Le commissaire aux finances, François Baertschi, était invité de Béatrice Rul, à 7h30,sur Radio Lac.C'est votre commission qui a demandé la Cour des Comptes, un audit sur l'attribution des mandats externes, par le Conseil d'Etat. Un rapport sévère, que n'a pas apprécié le Conseil d'Etat. Votre avis sur ce rapport?"Nous sommes ravis de cette étude sans concession de la Cour des Comptes. C'est vrai qu'elle a déplu à certaines personnes, en particulier au Conseil d'État et ça démontre sans doute qu'ils ont fait du bon travail. Je pense que c'est une remise en question qui est tout à fait excellente parce qu'il y a malgré tout des problèmes systémiques dans les attributions de mandats, ce sont des montants conséquents, on doit le faire avec beaucoup plus de précision et j'ose espérer, malgré le coup de colère du Conseil d'État, que le Conseil d'État se ressaisira et reprendra l'affaire en main"La Cour des Comptes explique dans son rapport: qu'il "n'est pas toujours possible de comprendre a posteriori les raisons qui poussent l'Etat à faire recours à un tiers et en quoi la dépense sert à atteindre des objectifs de politiques publiques". Ca veut dire que c'est au petit bonheur la chance?"C'est quelque chose qui date d'ailleurs de plusieurs décennies: il y a un peu une gestion aléatoire de l'État, c'est vrai qu'on fait de manière un peu imprécise, on se dit tiens on a besoin de faire telle tâche, tel travail, allez on va demander à tel prestataire externe de nous le fournir et il y a un manque un peu de précision, c'est un manque de culture politique je pense. On doit véritablement être de plus en plus sérieux dans l'attribution des mandats externes et non pas le faire un peu à la "one again", ce qui se fait malheureusement parfois".Il faut donc des règles plus claires pour éviter, toute dérive. Que va faire le Grand Conseil?"Il y a la commission de contrôle de gestion qui devrait reprendre la question. Il peut y avoir des demandes qui soient faites au Conseil d'État, le Conseil d'État va peut-être faire des propositions. Les responsables de la Cour des comptes qui ont fait l'audit étaient un peu désabusés. Ils disaient: nous nous retrouvons un peu comme un chevalier sans épée. Ils demandent au Grand Conseil d'intervenir, la balle est dans le camp des députés maintenant. Nous pouvons intervenir et je pense que le signal est très clair"
Le Musée international de la Croix Rouge et du Croissant Rouge est au menu du Grand Conseil, ce jeudi soir. Les députés doivent se prononcer sur la subvention cantonale qui doit passer à près de 970'000 francs. Soit une hausse de 100'000 francs, pour financer la prochaine exposition permanente, en 2028. Une enveloppe sans lien avec la baisse annoncée de la subvention fédérale pour le Musée de la Croix Rouge, qui met en péril l'établissement. Pascal Hufschmid, le directeur général du Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge était invité de Béatrice Rul, à 7h30.Le Conseil fédéral ne souhaite plus vous verser les plus d'un million de subvention, pour 2027. Vous vous proposez de nationaliser le Musée. Quel écho avez-vous eu à cette proposition?" J'arrive toujours avec des idées et des solutions même si je ne suis ni politicien ni juriste. La perspective d'une fermeture de ce musée me semble tellement incompréhensible que je propose des idées. L'une d'entre elles c'était en effet de nationaliser le musée parce que notre collection est d'importance nationale. Ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est la protection des biens culturels! Par ailleurs nous accueillons près de 120 000 personnes par année dont 25 000 jeunes de toute la Suisse, de toutes les régions linguistiques à qui nous parlons des dilemmes et des principes humanitaires de ce que ça veut dire de faire de l'action humanitaire à Genève ou partout dans le monde. En ce sens on est parfaitement en phase avec l'engagement du Conseil fédéral pour une diffusion du droit international humanitaire en Suisse. Mon travail c'est d'essayer de sauver ce musée auquel je crois, auquel Genève croit et auquel la Suisse croit".
Le nouvel impôt sur les autos fait grincer des dents! Certains Genevois ont vu leur facture grimpée de 500%! Pour atténuer cette mesure, les partis politiques multiplient les annonces. LJS a déposé une motion pour l'introduction d'un plafond fiscal sur l'impôt des véhicules motorisés. Le député Laurent Seydoux, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Cette nouvelle imposition sur les autos a été voté au Grand Conseil et approuvé par le peuple. Vous dormiez quand le contre-projet a été étudié au Grand Conseil?"On est relativement à l'aise avec Liberté et Justice Sociale, puisque nous n'étions pas encore au Parlement lorsque tout ceci a été discuté, mais on l'a voté. On a vu les différents éléments et on était favorables pour avoir une fiscalité, avec de nouveaux critères qui encourage d'avoir des véhicules moins polluants sur nos routes. Évidemment, quand on change des critères, certains vont payer plus d'autres, moins. C'est là où on aurait pu, nous, comme nouveau parti, dire « écoutez, on change des critères, on ne connaît pas toutes les conséquences, donc il serait peut-être souhaitable qu'on mette un plafond ou un seuil de façon à ce que, notamment dans le cas de la fiscalité, des gens ne se retrouvent pas avec l'obligation de payer deux, trois, quatre ou cinq fois plus que ce qu'ils payaient l'année dernière. C'est une question de progressivité par rapport à l'impôt, mais cela peut poser un problème pour certains qui doivent payer dans les 30 jours une somme qui peut être de plusieurs milliers de francs".
Débat entre Sabine Glauser Krug, membre d'Instruire en Liberté Vaud (IEL) et députée Verte au Grand conseil vaudois, et Sophie Moura, élue PLR au Grand Conseil fribourgeois et directrice d'une école primaire.
Actes 7.54-60A ces mots, ceux qui siégeaient au Grand-Conseil devinrent fous de rage : ils grinçaient des dents contre Etienne.Mais lui, rempli du Saint-Esprit, leva les yeux au ciel et vit la gloire de Dieu, et Jésus debout à la droite de Dieu. Alors, il s'écria : Ecoutez : je vois le ciel ouvert et le Fils de l'homme debout à la droite de Dieu.A ces mots, ils se mirent à vociférer et à se boucher les oreilles. D'un même élan, ils se ruèrent sur lui, 58 le traînèrent hors de la ville et le tuèrent à coups de pierres. Les témoins avaient déposé leurs vêtements aux pieds d'un jeune homme nommé Saul.Pendant qu'ils jetaient des pierres sur lui, Etienne priait ainsi : - Seigneur Jésus, reçois mon esprit !Puis il tomba à genoux et, de toutes ses forces, lança un dernier cri : - Seigneur, ne leur demande pas compte de ce péché ! Après avoir dit ces mots, il expira.
Les Genevois se prononceront, le 24 novembre sur la tarification des TPG. Pour les référendaires, il faut que celle-ci continue d'être décidée par le Grand Conseil. Le député socialiste, Matthieu Jotterand, était invité de Béatrice Rul, à 7h30.Que la tarification des CFF soient décidée par les CFF, eux-même, ça ne vous dérange. Par contre, pour les TPG, oui?"Parce que simplement c'est largement subventionné, c'est aussi un service public et donc ça doit être décidé potentiellement avec un droit de regard par le peuple. Le but ce n'est pas qu'on puisse choisir au jour le jour le tarif des transports publics, c'est simplement que s'il y a des hausses inconsidérées, le peuple puisse s'exprimer. Et on voit bien la grogne que provoque chaque année la hausse des tarifs CFF, et bien justement ces tarifs à Genève sont contrôlés à la grande satisfaction de la population. Et c'est ce mécanisme là qu'il convient de garder".Le chef du groupe LJS au Grand Conseil, Jacques Jeannerat, expliquait à votre place que le Grand Conseil avait beaucoup de pouvoir dans la gouvernance des TPG et que c'était à l'exécutif de trancher pour les hausses ou baisses des tarifs:"Oui sauf que la grande différence de ce projet de loi, c'est qu'en fait le Grand Conseil continuera à s'exprimer, mais par voie de résolution et pas par projet de loi. Donc en fait, qui ne pourra plus s'exprimer? C'est la population! C'est la population qui ne pourra plus faire un référendum. Le Grand Conseil a surtout un problème de méthode, un problème lors du travail préparatoire. Fondamentalement, il n'y a pas de surcharge de travail pour le Grand Conseil. à continuer à fixer un tarif. D'autant plus que si on garde un tarif abordable de 3 francs par heure et de 500 francs par année, le Grand Conseil n'a simplement pas de travail à faire".
La tarification des tpg sera au cœur, des votations du 24 novembre. Avec un référendum sur la loi qui prévoit que ceux-ci soient désormais fixés par le Conseil d'Etat et la direction des tpg. Jacques Jeannerat, chef du groupe LJS, au Grand Conseil était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Pouvez-vous nous garantir que nous paierons toujours trois francs, dans les prochains mois, si cette loi sur la tarification des TPG est approuvée, alors qu'elle prévoit de laisser le Conseil d'Etat et la direction des TPG décider seuls de ces tarifs?"Bien sûr, mais le prix pourrait baisser aussi. Le Grand Conseil a, par exemple, décidé de donner la gratuité aux jeunes jusqu'à 25 ans . Dans ce cas, le Conseil d'État a fait cette proposition, le Parlement l'a suivi, et on a baissé les tarifs".La crainte des opposants, c'est que la baisse des tarifs pour les jeunes soit compensée par une hausse générale pour tous les autres…"C'est parfaitement faux. Ce ne sont pas les autres usagers qui vont payer plus. C'est l'État en général, la collectivité. La subvention va être augmentée de l'ordre de 35 millions par rapport à ça. C'est un objectif stratégique de faire en sorte que les jeunes prennent les transports publics. D'abord, c'est utile pour les familles qui ont peu de revenus. Il y a des familles nombreuses, où il faut se déplacer pour aller à l'école, etc. Et donc, c'est un soulagement qu'on donne aux gens qui ont peut-être la peine à joindre les deux bouts".
À l'adolescence, le sommeil est chamboulé par des modifications naturelles du cerveau et des pressions externes. Clarence Chollet, députée au Grand Conseil neuchâtelois et Vincent Bonvin du Grand Conseil vaudois militent tous deux pour des horaires scolaires adaptés aux besoins de sommeil des jeunes. Au collège de la Fontenelle à Cernier dans le Val-de-Ruz (NE), les cours commencent à 8h15 depuis dix ans. Si les élèves sont content.es, la décision ne fait pas l'unanimité dans le corps enseignant. Reportages : Arditë Shabani Réalisation : Didier Rossat Production : Laurence Difélix
Les Genevois vont-ils approuver la baisse d'impôts portée par le Conseil d'Etat? Une folie, pour le député socialiste, Sylvain Thévoz, vice-président de la commission fiscale du Grand Conseil. Il était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Nous nous prononçons sur une baisse d'impôts de 8,7% en moyenne, le 24 novembre. Le canton a enregistré un bénéfice de 1,4 milliards de francs, l'année dernière. Si on ne baisse pas les impôts maintenant, on ne les baissera jamais…"Ce n'est en effet pas le moment de baisser les impôts. Il y a des secteurs qui ont performé, on le sait, le trading, l'horlogerie, l'année passée. On sait aussi que les prévisions fiscales, elles étaient sous-évaluées, donc on faisait des budgets au minimum en rognant sur l'État pour avoir après des bénéfices. Cette année, les prévisions fiscales sont finalement moins bonnes. On met en péril le budget de l'État. Les derniers échos qu'on a des entreprises, c'est que la situation n'est pas rose du tout: on va vers des centaines peut-être de millions de pertes fiscales et donc on devra couper dans des postes:: ce sont les crèches, ce sont les hôpitaux... Souvenez-vous du Covid! Tout d'un coup il se passe une catastrophe, on est là à applaudir aux fenêtres, on se dit heureusement qu'il y a des gens qui font tourner la baraque! On est dans un monde inquiétant avec des gros défis, vous le voyez à Gaza, en Ukraine, aux frontières, et là on ne peut pas se permettre de biffer 434 millions de francs d'un trait pour des cadeaux fiscaux qui bénéficieront aux plus hauts revenus".
Aussi proche des citoyens que de son jardin chaque fois que possible, Jean-Pierre Tombola cultive la relation humaine dans toute sa diversité. C'est un moment privilégié que je suis heureux de pouvoir partager, certes dans un lieu un peu bruyant, mais quand on a peu de temps ... En effet, c'est une personne bien occupée par ses activités de Député du Grand Conseil de Genève et bien sûr ce n'est pas tout, écoutons donc !
Ac 6.8–7.60. 8 Etienne était rempli de la grâce et de la puissance divines et accomplissait de grands prodiges et des signes miraculeux au milieu du peuple. 9 Alors des membres de la synagogue dite des Affranchis, composée de Juifs de Cyrène, d'Alexandrie, de Cilicie et de la province d'Asie, se mirent à discuter avec lui, 10 mais ils se montraient incapables de résister à la sagesse de ses paroles, que lui donnait l'Esprit.11 Là-dessus, ils payèrent des gens pour dire : Nous l'avons entendu prononcer des paroles blasphématoires contre Moïse et contre Dieu.12 Ils ameutèrent ainsi le peuple, les responsables du peuple et les spécialistes de la Loi. Survenant à l'improviste, ils s'emparèrent d'Etienne et l'amenèrent au Grand-Conseil. 13 Là, ils firent comparaître de faux témoins qui déposèrent contre lui :Cet homme que voici, dirent-ils, ne cesse de discourir contre ce lieu saint et contre la Loi de Moïse. 14 En effet, nous l'avons entendu dire que ce Jésus de Nazareth détruirait ce lieu et changerait les coutumes que Moïse nous a transmises.15 Tous ceux qui siégeaient au Grand-Conseil avaient les yeux fixés sur Etienne et son visage leur apparut comme celui d'un ange.7 1 Le grand-prêtre lui demanda : Reconnais-tu les faits qui te sont reprochés ?2 Etienne dit alors :Chers frères et pères de notre peuple, écoutez-moi : le Dieu glorieux apparut jadis à notre ancêtre Abraham, quand il vivait encore en Mésopotamie, avant de s'établir à Harân, 3 et il lui dit : Quitte ton pays et ta parenté, et va dans le pays que je t'indiquerai. 4 C'est ainsi qu'Abraham quitta la Chaldée et vint se fixer à Harân. De là, après la mort de son père, Dieu le fit venir dans le pays où vous habitez actuellement. 5 Pourtant, il ne lui donna ici aucune propriété, pas même un mètre carré de terre. Mais il lui promit de lui donner le pays tout entier, à lui et à ses descendants après lui, alors qu'à cette époque il n'avait pas encore d'enfant.6 Et Dieu lui parla ainsi : Tes descendants séjourneront dans une terre étrangère, ils y seront réduits en esclavage et on les maltraitera pendant quatre cents ans. 7 Mais, ajouta Dieu, j'exécuterai mon jugement contre la nation qui en aura fait ses esclaves. Après cela, ils quitteront le pays étranger et viendront ici même, dans ce pays, pour me rendre un culte.8 Puis Dieu conclut son alliance avec Abraham et lui en donna pour signe la circoncision. Ainsi il eut pour fils Isaac et le circoncit huit jours après sa naissance. Isaac fit de même pour son fils Jacob, et celui-ci, à son tour, pour ses fils, les douze ancêtres de nos tribus.9 Or, les fils de Jacob, poussés par la jalousie, vendirent leur frère Joseph, pour qu'il fût emmené comme esclave en Egypte. Mais Dieu était avec lui. 10 Il le délivra de toutes ses épreuves et, dans sa grâce, il lui donna la sagesse nécessaire devant le pharaon, roi d'Egypte, si bien qu'il fut nommé gouverneur du pays et de toute la maison royale. 11 Alors survint une grande famine dans toute l'Egypte et en Canaan. Ce fut un temps de grande misère. Nos ancêtres ne trouvaient plus de quoi manger.12 Quand Jacob apprit qu'il y avait du blé en Egypte, il y envoya une première fois ses fils, nos ancêtres. 13 Lors de leur second voyage en Egypte, Joseph se fit reconnaître par ses frères, et le pharaon apprit quelle était l'origine de Joseph. 14 Puis Joseph envoya chercher son père Jacob et toute sa parenté qui comprenait soixante-quinze personnes. 15 Jacob descendit en Egypte ; il y finit ses jours, de même que nos ancêtres. 16 Leurs corps furent ramenés à Sichem, et déposés dans le tombeau qu'Abraham avait acheté pour une certaine somme d'argent aux fils d'Hamor à Sichem. 17 Le moment approchait où Dieu allait accomplir la promesse qu'il avait faite à Abraham : notre peuple s'était multiplié et les Israélites étaient devenus de plus en plus nombreux en Egypte. 18 C'est alors qu'un nouveau roi, qui n'avait pas connu Joseph, monta sur le trône d'Egypte. 19 Il exploita notre peuple de manière perfide et opprima nos ancêtres, jusqu'à les obliger à abandonner leurs nouveau-nés pour qu'ils ne survivent pas.20 A cette époque naquit Moïse, qui avait la faveur de Dieu. Pendant trois mois, il fut élevé dans la maison de son père. 21 Lorsque finalement ses parents durent l'abandonner, il fut recueilli par la fille du pharaon qui l'éleva comme son propre fils. 22 C'est ainsi que Moïse fut instruit dans toute la science des Egyptiens et qu'il devint un homme dont la parole et les actions avaient des effets remarquables.23 A l'âge de quarante ans, il voulut venir en aide à ses frères, les Israélites. 24 Voyant que l'on maltraitait l'un d'eux, il prit sa défense, et, pour le venger, tua l'Egyptien qui le maltraitait. 25 Il pensait que ses frères comprendraient que Dieu voulait se servir de lui pour les libérer. Mais ils ne le comprirent pas.26 Le lendemain, il vit deux d'entre eux se battre. Il s'interposa et essaya de réconcilier les adversaires.– Mes amis, leur dit-il, vous êtes des frères ! Pourquoi, alors, vous faites-vous du mal ?27 Mais celui qui maltraitait son compagnon le repoussa en disant : Qui t'a établi chef et juge sur nous ? 28 Voudrais-tu par hasard aussi me tuer, comme tu as tué hier l'Egyptien ?29 Quand Moïse entendit cela, il prit la fuite et alla vivre dans le pays de Madian où il eut deux fils.30 Quarante années plus tard, un ange lui apparut dans le désert du mont Sinaï, au milieu de la flamme d'un buisson en feu. 31 Saisi d'étonnement à cette vision, Moïse s'approchait pour le considérer de plus près, quand la voix du Seigneur se fit entendre : 32 Je suis le Dieu de tes ancêtres, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob.Tout tremblant, Moïse n'osait pas lever les yeux. 33 Le Seigneur lui dit : Ote tes sandales, car le lieu où tu te tiens est un lieu saint . 34 J'ai vu la souffrance de mon peuple en Egypte. J'ai entendu ses gémissements et je suis descendu pour le délivrer. Et maintenant, viens : je t'envoie en Egypte.35 Ainsi ce Moïse que ses frères avaient repoussé en lui disant : Qui t'a établi chef et juge sur nous ?, c'est lui que Dieu a envoyé comme chef et libérateur du peuple avec l'aide de l'ange qui lui était apparu dans le buisson. 36 C'est lui qui les fit sortir d'Egypte en accomplissant des prodiges et des signes miraculeux dans ce pays, puis lors de la traversée de la mer Rouge et, pendant quarante ans, dans le désert.37 Ce fut encore lui qui dit aux Israélites : Dieu suscitera pour vous, du milieu de vos compatriotes, un prophète qui sera comme moi.38 Lorsque le peuple était rassemblé au désert, c'est encore lui qui servit d'intermédiaire entre l'ange qui lui parlait sur le mont Sinaï et nos ancêtres. Il reçut de Dieu des paroles de vie pour nous les transmettre.39 Nos ancêtres refusèrent de lui obéir. Bien plus : ils le repoussèrent et se laissèrent gagner par le désir de retourner en Egypte. 40 Ils vinrent demander à Aaron : Fais-nous des dieux qui marchent à notre tête, car ce Moïse qui nous a fait sortir d'Egypte, nous ne savons pas ce qui lui est arrivé.41 Ils façonnèrent alors un veau, ils offrirent un sacrifice à cette idole, et ils célébrèrent de joyeuses fêtes en l'honneur de ce qu'ils avaient fabriqué de leurs mains.42 Dieu se détourna d'eux et les abandonna à l'idolâtrie et au culte des astres du ciel. C'est bien ce qui est écrit dans le livre des prophètes : Est-ce à moi que vous avez présenté | des sacrifices et des offrandes, pendant les quarante ans | de votre séjour au désert, | vous, peuple d'Israël ? 43 Non, vous avez porté | la tente de Molok et l'astre de votre dieu Rompha, idoles que vous avez fabriquées | pour vous prosterner devant elles. C'est pourquoi je vous déporterai | au-delà de Babylone.44 Au désert, nos ancêtres avaient avec eux la tente qui contenait le traité de l'alliance et que Dieu avait ordonné à Moïse de construire d'après le modèle qu'il lui avait montré. 45 Cette tente a été confiée à la génération suivante de nos ancêtres. Ils l'emmenèrent avec eux quand ils conquirent, sous la conduite de Josué, le pays où se trouvaient les peuplades que Dieu chassa devant eux. Elle y demeura jusqu'au temps de David.46 Celui-ci obtint la faveur de Dieu et demanda de pouvoir donner une demeure au Dieu de Jacob. 47 Mais ce fut Salomon qui bâtit le Temple. 48 Cependant, le Dieu très-haut n'habite pas dans des édifices construits par des mains humaines. C'est ce que dit le prophète : 49 Mon trône, c'est le ciel, et mon marchepied, c'est la terre. Quelle est donc la maison | que vous me bâtirez, | dit le Seigneur, quelle demeure | pour mon lieu de repos ? 50 Toutes ces choses, | n'est-ce pas moi qui les ai faites ?51 O vous hommes obstinés qui, comme de véritables incirconcis, gardez votre cœur et vos oreilles fermés, vous résistez toujours à l'Esprit Saint ! 52 Vous ressemblez bien à vos ancêtres ! Y a-t-il un seul prophète que vos ancêtres n'aient pas persécuté ? Ils ont tué ceux qui annonçaient la venue du seul Juste. Et vous, maintenant, vous l'avez trahi et assassiné ! 53 Oui, vous avez bien reçu la Loi de Dieu par l'intermédiaire des anges, mais vous ne l'avez jamais observée…54 A ces mots, ceux qui siégeaient au Grand-Conseil devinrent fous de rage : ils grinçaient des dents contre Etienne. 55 Mais lui, rempli du Saint-Esprit, leva les yeux au ciel et vit la gloire de Dieu, et Jésus debout à la droite de Dieu. Alors, il s'écria : 56 Ecoutez : je vois le ciel ouvert et le Fils de l'homme debout à la droite de Dieu.57 A ces mots, ils se mirent à vociférer et à se boucher les oreilles. D'un même élan, ils se ruèrent sur lui, 58 le traînèrent hors de la ville et le lapidèrent. Les témoins avaient déposé leurs vêtements aux pieds d'un jeune homme nommé Saul.59 Pendant qu'ils jetaient des pierres sur lui, Etienne priait ainsi : Seigneur Jésus, reçois mon esprit !60 Puis il tomba à genoux et, de toutes ses forces, lança un dernier cri : Seigneur, ne leur demande pas compte de ce péché !Après avoir dit ces mots, il expira.
Genève aura-t-elle sa nouvelle passerelle du Mont-Blanc? Les habitants vont se prononcer sur un référendum, le 24 novembre prochain. Le MCG a même déposé un recours contre les affiches explicatives, apposées en amont du pont du Mont-Blanc. Le conseiller municipal MCG en Ville de Genève, Daniel Sormanni, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Vous opposez donc à la construction de cette passerelle du Mont-Blanc, qui offrirait pourtant une infrastructure dédiée aux piétons, permettant d'offrir une piste cyclable bidirectionnelle au vélo et une voie supplémentaire à la voiture sur le pont du Mont-Blanc. Quel est le problème alors avec cette passerelle ?"Le problème c'est qu'on ne résout pas grand-chose avec cette passerelle et surtout on ne boucle pas le U-cyclable auquel, sur le principe, on est favorable. La création de la passerelle na permet pas de terminer, le U-cyclable parce que le problème du Jardin Anglais n'est pas résolu. Il y a, également, le coût de cette passerelle, c'est juste pharaonique. Une passerelle piéton à 55 millions, même s'il y a des sponsors!"54 millions de francs, c'est cher, mais c'est moins qu'une année de financement du Grand Théâtre, pour une infrastructure pérenne qui va servir à tous… "On ne peut pas comparer un budget de fonctionnement du Grand Théâtre avec un investissement. Plus on va en avant, à Genève, et plus les choses coûtent cher. Ça fait dix ans qu'on parle de cette passerelle. Le premier projet était irréalisable"Dans votre viseur, aussi, les affiches explicatives apposées par la Ville. Vous avez déposé un recours car ces affiches violeraient la garantie des droits politiques d'après vous. Vous demandez l'annulation et le report de la votation. Pas la première fois qu'il y a des affiches lors d'une votation, c'était le cas pour Clé de Rives ou le PLQ Bourgogne. Vous n'avez pas pour autant porté plainte… "Ca posait aussi un problème pour Bourgogne, ça posait aussi un problème pour les Clé de Rive! L'Exécutif ne doit pas faire campagne pour son projet, ou bien s'il fait de l'information, il doit la faire d'une manière équilibrée, or elle n'est pas équilibrée! On mets en avant tous les points d'un projet, fors ou faibles! Il ne faudrait pas que les autorités fassent pas campagne finalement, ce n'est pas leur rôle, parce qu'en plus il y a un coût, tout ça"Cette passerelle, elle fait partie du premier projet d'agglomération. Nous nous sommes engagés auprès de Berne pour sa construction avec en retour les subsides fédérales. Vous êtes un élu fédéral, si on ne le fait pas ce pont, Genève, vous, allez passer pour un guignol!"Je crois qu'en matière de guignols, Genève est déjà bien cotée à Berne! On voit la manière dont sont accueillies toutes les initiatives parlementaires de Genève, même si certaines auraient un véritable intérêt, donc de toute manière, on est mal accueillis. C'est pas ça qui va changer quoi que ce soit par rapport à notre popularité à Berne. Nous sommes déjà très en retard pour les plans d'agglomération, qui sont votés régulièrement par le Grand Conseil. Berne nous tire les oreilles de tous les côtés, Berne qui nous même menacé de couper les crédits"Généré avec l'IA.
Actes 5.17-42 17 Alors, poussés par la jalousie, le grand-prêtre et tout son entourage, c'est-à-dire ceux qui appartenaient au parti des sadducéens, décidèrent d'intervenir. 18 Ils firent arrêter les apôtres et les firent incarcérer dans la prison publique.19 Mais, pendant la nuit, un ange du Seigneur vint ouvrir les portes de la prison et, après avoir fait sortir les apôtres, il leur dit : 20 Allez au Temple et là, proclamez au peuple tout le message de la vie nouvelle.21 Les apôtres obéirent : dès l'aube, ils se rendirent dans la cour du Temple et se mirent à enseigner. De son côté, le grand-prêtre arriva avec son entourage, et ils convoquèrent le Grand-Conseil et toute l'assemblée des responsables du peuple d'Israël. Ils ordonnèrent d'aller chercher les apôtres à la prison et de les amener.22 Les gardes s'y rendirent, mais ils ne les trouvèrent pas dans le cachot. A leur retour, ils firent leur rapport : 23 Nous avons trouvé la prison soigneusement fermée, les sentinelles étaient à leur poste devant les portes, mais quand nous avons ouvert le cachot, nous n'y avons trouvé personne.24 Cette nouvelle plongea le chef de la police du Temple et les chefs des prêtres dans une grande perplexité : ils se demandaient ce qui avait bien pu se passer.25 Là-dessus, quelqu'un vint leur annoncer : Les hommes que vous avez fait mettre en prison se tiennent dans la cour du Temple et ils enseignent le peuple.26 Aussitôt, le chef de la police du Temple s'y rendit avec un détachement de gardes et ils ramenèrent les apôtres, mais avec ménagements, car ils avaient peur de se faire lapider par le peuple.27 Après les avoir ramenés, ils les introduisirent dans la salle du Grand-Conseil.Le grand-prêtre leur dit : 28 Nous vous avions formellement interdit d'enseigner au nom de cet homme. Et voilà que vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement, et vous voulez nous rendre responsables de la mort de cet homme.29 Mais Pierre et les apôtres répondirent : Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes. 30 Le Dieu de nos ancêtres a ressuscité ce Jésus que vous avez mis à mort en le clouant sur le bois. 31 Et c'est lui que Dieu a élevé pour siéger à sa droite, comme Chef suprême et Sauveur, pour accorder à Israël la grâce de changer et de recevoir le pardon de ses péchés. 32 Et nous, nous sommes les témoins de ces événements, avec le Saint-Esprit que Dieu a donné à ceux qui lui obéissent.33 Ces paroles ne firent qu'exaspérer les membres du Grand-Conseil et ils voulaient faire mourir les apôtres.34 Mais l'un d'entre eux, un pharisien nommé Gamaliel, se leva pour donner son avis. C'était un éminent enseignant de la Loi, estimé de tout le peuple. Il demanda que l'on fasse sortir un instant les apôtres, 35 puis il dit : Israélites, faites bien attention à ce que vous allez faire avec ces hommes. 36 Rappelez-vous : il y a quelque temps, on a vu paraître un certain Theudas qui se donnait pour un personnage important. Il a entraîné quelque quatre cents hommes à sa suite. Or, il a été tué, et tous ceux qui s'étaient ralliés à lui furent dispersés et l'on n'en entendit plus parler. 37 Après lui, à l'époque du recensement, Judas de Galilée a fait son apparition. Lui aussi a attiré à lui bien des gens. Il a péri à son tour et tous ses partisans furent mis en déroute.38 A présent donc, voici mon avis : Ne vous occupez plus de ces hommes et laissez-les partir. De deux choses l'une : ou bien leur projet et leur œuvre viennent des hommes et, dans ce cas, leur mouvement disparaîtra. 39 Ou bien, il vient de Dieu, et alors, vous ne pourrez pas le détruire. Ne prenez pas le risque de lutter contre Dieu.Le Conseil se rangea à son avis : 40 ils rappelèrent les apôtres, les firent battre, et leur défendirent de parler au nom de Jésus. Après quoi, ils les relâchèrent.41 Les apôtres quittèrent la salle du Conseil tout joyeux de ce que Dieu les ait jugés dignes de souffrir l'humiliation pour Jésus. 42 Et chaque jour, dans la cour du Temple ou dans les maisons particulières, ils continuaient à enseigner et à annoncer le Messie Jésus.
Zahi Haddad, d'origine libano-suisse, fait partie du Forum des 100, ces personnalités qui façonnent la Suisse romande. Écrivain prolifique, il a publié plusieurs ouvrages tels que « Le bonheur de Yaya » ou « 126 battements de cœur pour la Genève internationale ». Son dernier livre, coécrit avec Céline Van Till, une autre personnalité extraordinaire et actuellement athlète de para-cyclisme aux Jeux Paralympiques de Paris, est une véritable inspiration. Céline, députée au Grand Conseil de Genève, a fondé l'association « Tout est possible », qui soutient les sportifs en situation de handicap. Son message est clair : « Considérer les plus grandes difficultés comme des opportunités pour se réinventer. » Leur ouvrage commun, intitulé « Handicap, une vie de tous les jours : regards croisés de 20 personnalités romandes », publié aux Éditions Slatkine, se veut une ouverture sur la différence, perçue ici comme une richesse, et appelle à viser un idéal plus grand que celui que nos sociétés nous imposent. Plutôt que de parler de « situation de handicap », Zahi Haddad et Céline Van Till ont préféré évoquer ces « moments de vie » auxquels nous sommes tous confrontés face à nos propres limites et échecs. Les 20 personnes mises en lumière dans cet ouvrage, qui auraient pu être brisées par les épreuves, sont devenues des entrepreneurs inspirants. Ce livre est un véritable appel au courage. Lisez-le, il vous en apportera beaucoup.
La formation des maîtres, pourrait passer de quatre à trois, à Genève. Une mesure au conditionnel, les syndicats ayant fait aboutir un référendum. Thierry Oppikofer, membre de la commission de l'enseignement du Grand Conseil et favorable à cette réforme, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Vous êtes donc favorable à la réforme de la formation des maîtres qui prévoit de la faire passer à trois ans, au lieu de quatre actuellement. On imagine bien que les futurs enseignants apprenaient des choses pendant cette année. Ils seront donc, moins bien formés?"C'est une question, non pas de quantité, mais de qualité. Une bonne partie des enseignants est formée dans d'autres cantons: sept fois plus en dix ans, dans le canton de Vaud. Cette formation n'est pas moins bonne. Il faut donc repenser la formation, augmenter la qualité et la formation continue".Les syndicats et les étudiants mettent en avant l'importance d'une formation Master pour avoir une formation généraliste, contrairement aux HEP qui sont en trois ans, et ainsi d'enseigner dans les deux degrés de l'école primaire, les 4 à 8 ans et les 8 à 12 ans. Ca ce serait fini avec votre réforme!"Ce serait toujours possible. Des diplômes des HEP permettent toujours d'enseigner dans tous les degrés. Si vous vous formez spécifiquement pour le premier cycle, il va falloir compléter vos connaissances. Dans les transferts, il n'y a eu que sept personnes qui sont passées d'un cycle à un autre".
Débat entre Raphaël Mahaim, conseiller national (Vert-e-s/VD) et avocat, Diane Barbier-Mueller, députée PLR au Grand Conseil genevois et administratrice de la régie genevoise Pilet et Renaud, et Marianne Lipari, présidente de l'Association pour la sauvegarde des Grands-Prés, qui s'est opposée récemment à la construction d'un écoquartier aux abords de Montreux.
Débat entre Sarah Pearson Perret, directrice romande de Pro Natura et députée vert'libérale au Grand Conseil neuchâtelois, et Jacqueline de Quattro, conseillère nationale PLR vaudoise.
Débat entre Pierre Aubert, procureur général du canton de Neuchâtel, Frédéric Favre, conseiller d'Etat (PLR/VS), Julie De Dardel, géographe et spécialiste des prisons, et Thanh-My Tran-Nhu, avocate et députée socialiste au Grand Conseil vaudois.
Débat entre Margherita Maria De Lorenzi coordinatrice romande de l'initiative pour la démocratie, Sidney Kamerzin, conseiller national (Centre/VS), Romain Schaer, député UDC au Grand Conseil jurassien et maire de la Baroche et Pascale Steiner, collaboratrice scientifique à la Commission fédérale des migrations.
Débat entre Carlo Sommaruga, conseiller aux Etats (PS/GE), Joëlle Fiss, députée au Grand Conseil genevois (PLR), et Benjamin Luis, journaliste à la RTS.
Débat entre Bryan Lo Giudice, vice-président du PLR Ville de Genève, Matthieu Jotterand, député au Grand Conseil de Genève, et Sébastien Chauvin, sociologue et co-directeur du Centre en Études Genre de l'Université de Lausanne.
Débat entre Florence Bettschart-Narbel, présidente du PLR Vaud, députée au Grand Conseil, Pauline Nerfin co-présidente de la section genevoise de Patrimoine suisse, et Bruno Marchand, architecte, urbaniste, professeur émérite à l'EPFL.
Débat entre Céline Misiego, membre du Grand Conseil vaudois (POP), Olivier Agassis, membre du Grand Conseil vaudois (UDC), et Caroline Jacot-Descombes, directrice adjointe et cheffe de projet Education sexuelle à Santé Sexuelle Suisse.
Fin novembre, dans le canton de Vaud, un postulat des Verts visant à introduire l'enseignement du suisse allemand à l'école a été adopté par le Grand Conseil. À droite, des questions ont été soulevées quant à la nécessité de cet enseignement, ainsi que sur la difficulté de choisir quel dialecte enseigner. Pourtant, à Genève ou à Neuchâtel, les élèves peuvent déjà s'initier au suisse allemand. Dans cet épisode, en nouvelle diffusion, nous examinons la manière dont on peut apprendre cette langue avec Bernarda Frank, enseignante au centre de langues de l'Université de Lausanne et de l'EPFL. Julie Kummer Réalisation: Kyanu Kombot-Naguemon Nous écrire ou nous proposer des questions: pointj@rts.ch ou +41 79 134 34 70 Pour aller plus loin: les morceaux utilisés dans cet épisode sont ceux de Chlyklass, Steff La Cheffe, Mani Matter, Stereo Luchs, Lo & Leduc, Nemo et Manillio.
Débat entre Raphaël Mahaim, conseiller national (Vert.e.s/VD), Manfred Bühler, conseiller national (UDC/BE) et Patricia Meylan, docteure en droit et députée suppléante du Centre au Grand Conseil valaisan.
Selon les cantons et les régions, les délais d'attente peuvent atteindre plusieurs années dans les structures d'accueil de la petite enfance. Alors qu'un projet de loi proposé par l'UDC et soutenu par le PLR, qui vise à pallier la pénurie de places en réduisant le personnel dans les crèches est à l'étude en commission du Grand Conseil genevois, le Point J se demande d'où vient cette pénurie. Journaliste: Julie Kummer Réalisateur: Sylvain Michel Nous contacter: +41 79 134 34 70 (WhatsApp) A consulter: la nouvelle plateforme qui regroupe toutes les crèches romandes https://creche-et-trouve.ch
Débat entre Alexandre de Senarclens, député PLR au Grand Conseil genevois et président du Salon international de l'automobilisme de Genève, Caroline Marti, cheffe du groupe socialiste au Grand Conseil genevois et présidente de la section genevoise de l'Association Transport et Environnement, Mathieu Flonneau, historien spécialiste des mobilités urbaines et de l'automobilisme, et Tiphaine Robert, historienne en sociologie des mobilités urbaines.
Avec Baptiste Durieux, Carine Galli et Xavier Domergue, grand debrief de l'Europa League au programme et grand conseil de l'Europe avec nos spécialistes des championnats anglais, espagnol, allemand et italien. Dans cette émission également : le déplacement de Lyon à Metz avec l'avant et l'après-match et la rencontre en intégralité avec Yannick Olland à Saint-Symphorien. Ecoutez RTL Foot du 23 février 2024 avec Baptiste Durieux.
Débat entre Jean-Marc Chappuis, sous-directeur de l'Office fédéral de l'agriculture, Jérémie Forney, anthropologue, professeur à l'Institut d'ethnologie de l'Université de Neuchâtel et co-directeur du centre de compétence sur l'agriculture, l'environnement et le climat dans l'Arc jurassien, Patricia Bidaux, présidente de la chambre d'agriculture genevoise AgriGenève et députée centriste au Grand Conseil genevois, et Linda Bourget, journaliste à la RTS.
Au micro de ce troisième épisode hors-série de CON-FESSIONS consacré aux "Voix de la révolte" : Élodie Lopez, députée au Grand Conseil vaudois et conseillère communale. Dans cet épisode, on parle de transition écologique, de "qualité de vie", de la criminalisation de la mendicité, de ce qu'implique le fait d'être une femme avec des mandats d'élue, mais aussi de sexisme systémique et d'Alain Damasio. Voici un nouveau portrait passionnant d'une femme à la fois brillante, audacieuse et sur le devant de la scène politique. Je rappelle qu'Élodie est membre d'un groupe qui s'appelle : "Décroissance alternatives" et de la coalition "Ensemble à Gauche". L'association à laquelle il est fait référence dans l'épisode et qui est à l'origine de l'organisation des marchés gratuits est : "Viv(r)e la gratuité". Petite rectification : la loi sur l'interdiction de la mendicité est une mesure cantonale et non fédérale. Crédits photos pour la vignette : Sandrine Lagnaz et Sebastien Agnetti. Enfin, pour soutenir la création de ce podcast, il n'y a rien de plus simple : abonne-toi sur ta plateforme d'écoute préférée, laisse un commentaire qui déchire sur l'application Podcast d'Apple et partage en masse cet épisode sur tes réseaux sociaux ! Pour ne rater aucune actualité du podcast, tu peux aussi me suivre sur Instagram, à l'adresse suivante : @confessions_le_podcast. Tu veux donner un coup de pouce au podcast ? Alors, rendez-vous sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/con-fessions-le-podcast Crédits musique : Epidemic Sound --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/con-fessions/message
Débat entre Alain Bittar, patron de la librairie arabe laïque "L'Olivier" à Genève, Joëlle Fiss, députée PLR au Grand Conseil genevois et experte en droits humains, et Jean-Marc Rickli, directeur des risques globaux et de la résilience au Centre de Politique de Sécurité (CGSP) de Genève.
Débat entre Niels Rosselet-Christ, président de l'UDC neuchâteloise, Mathilde Marendaz, députée EàG au Grand Conseil vaudois, Alain Gallusser, criminaliste, spécialiste des armes à feu, et Panteleimon Giannakopoulos, psychiatre, médecin chef du service des mesures institutionnelles aux HUG.
Fin novembre, dans le canton de Vaud, un postulat des Verts pour enseigner le suisse allemand à l'école a été accepté par le Grand Conseil. A droite, des interrogations sur la nécessité de cet enseignement ainsi que le fait qu'il serait difficile de choisir quel dialecte enseigner ont été soulevés. Pourtant, à Genève ou à Neuchâtel, les élèves peuvent déjà s'initier au suisse allemand. Dans cet épisode, on s'intéresse à comment on peut apprendre cette langue avec Bernarda Frank, enseignante au centre de langues de l'Université de Lausanne et de l'EPFL. Julie Kummer Réalisation: Kyanu Kombot-Naguemon Nous écrire ou nous proposer des questions: pointj@rts.ch ou +41 79 134 34 70 Pour aller plus loin: les morceaux utilisés dans cet épisode sont ceux de Chlyklass, Steff La Cheffe, Mani Matter, Stereo Luchs, Lo & Leduc, Nemo et Manillio.
Débat entre David Raedler, député écologiste au Grand Conseil vaudois, Peter Rothenbühler, ex-rédacteur en chef du journal Le Matin et journaliste bilingue, et Béatrice Brauchli, chargée d'enseignement à l'Université de Genève, spécialiste de didactique de l'allemand et du plurilinguisme.
Débat entre Anna Zangger, membre de la direction de la Fondation Franz Weber et co-directrice d'Helvetia Nostra, Marc-Olivier Buffat, député au Grand Conseil vaudois (PLR), et Ernst Zürcher, ingénieur forestier et professeur émérite en sciences du bois à l'EPFL et l'EPFZ.
Le débat entre les députés genevois Caroline Marti (PS), cheffe du groupe socialiste au Grand Conseil genevois et Vincent Subilia (PLR), directeur de la Chambre de commerce et d'industrie genevoise.
Débat entre Hadrien Buclin, membre d'Ensemble à gauche ainsi que du Grand Conseil vaudois, Pierre Esseiva, professeur associé à l'Institut de police scientifique, Valentin Christe, UDC vaudois, et Justine Leblond, correspondante RTS au Canada.
En 2018 la Cour européenne des droits de l‘homme condamnait Genève et sa loi sur la mendicité jugeant qu' « interdire la mendicité revient à punir la misère ». Pourtant, le Grand Conseil a durci cette loi l'été dernier. Désormais on peut accumuler 59'000 francs d'amende pour avoir fait la manche. Et dans leur quotidien, les sans-abris font face à la surveillance régulière et pas toujours cordiale de la police et des agents de sécurité. Reportages d'Antoine Harari Réalisation : Yves Roulin Production : Laurence Difélix