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Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Fatima Aït Bounoua, professeur de français, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand aborde les négociations entre les fédérations de médecins et le gouvernement du Québec qui sont maintenant sur la glace. Il explique que le ministre Christian Dubé est prêt à imposer sa réforme malgré l'échec du processus de négociation. «De toute façon, il va imposer sa loi. Que ce soit un vote régulier, un bâillon, ou encore une loi spéciale, il y tient, il va attacher, 15%, dit-on, de la rémunération des "docs" à des cibles qu'il aura lui-même déterminées.» Il rappelle que le ministre Dubé est encore le ministre le plus populaire de ce gouvernement en fin de vie et qu'il demeure le ministre le plus puissant du gouvernement, lui qui a le soutien de François Legault dans son désir de réforme. Autres sujets traités: Fini l’époque Trudeau: les libéraux seront plus durs avec les criminels; Après Gaza, Donald est-il capable de mettre fin à la guerre en Ukraine?; Sondage: un sentiment anti-immigrant s’installe au Canada; Cole Caufield donne la victoire aux Canadiens contre les Predators de Nashville. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
« Oui mais… tu imposes ton choix à ton enfant ! »C'est une phrase qu'on entend souvent quand on parle d'éducation végane.Et la réponse d'Émilie remet les choses en perspective.Extrait tiré de notre échange autour de la parentalité végane : comment assumer ses convictions, malgré la pression sociale ?L'interview complète d'Émilie est DÉJÀ DISPONIBLE sur Le Club VG, à l'épisode 47 !
Quel a été le rôle de l'État français dans le déclin des langues locales en France ? Rozenn Milin a mené un travail d'enquête de près de dix ans. Rozenn Milin a travaillé pendant sept ans sur le déclin des langues minoritaires en France et ailleurs dans le monde. L'autrice, née en Bretagne, a été marquée par son histoire familiale. Petite, elle a vu les adultes autour d'elles d'exprimer en breton, sauf lorsque ces derniers s'adressaient aux enfants. Elle s'est alors demandée pourquoi cette langue était-elle « interdite » aux enfants ? À ce moment-là, il y avait plus d'un million de locuteurs du breton. Aujourd'hui, il ne reste que 107 000 locuteurs, selon la dernière étude menée en 2024. Elle a découvert que toute une génération avait été interdite de parler le breton à l'époque. L'école a joué un rôle prépondérant : les enfants devaient parler le français et étaient sévèrement punis lorsqu'ils parlaient une autre langue que le français : ils étaient alors humiliés et devaient porter le « symbole » un objet lourd, type un sabot de bois, autour du cou. Cette méthode a également été utilisée dans d'autres régions de France et même à l'étranger. À lire aussiEn France, les jeunes peuvent-ils sauver le breton ? L'objectif en France était de faire disparaître les langues locales : « anéantir les patois » pour créer une nation de langue unique. À l'origine, il y avait la peur que les langues soient utilisées pour véhiculer des idées contre-révolutionnaires. En Afrique, il s'agissait de former une élite intellectuelle. C'est donc toute une génération traumatisée qui a interdit à ses enfants d'apprendre ou de parler la langue bretonne, ce qui a donné lieu à ce que des chercheurs ont appelé « suicide linguistique », un phénomène qui se produit partout dans le monde, lorsque des langues dites « minoritaires » sont confrontées à des langues dites « dominantes ». Rozenn Milin a entamé un travail de recherches auprès de témoins et a enquêté en Bretagne, mais aussi en Afrique (Côte d'Ivoire, Sénégal, Gabon...), où les méthodes d'imposition de la langue française à l'école ont perduré jusque très récemment. Invitée : Rozenn Milin, historienne de formation, sociologue, autrice et journaliste. Rozenn Milin est titulaire d'un doctorat en sociologie. Son ouvrage La honte et le châtiment. Imposer le français : Bretagne, France, Afrique et autres territoires est publié aux éditions Champ Vallon. Et comme chaque semaine, la chronique de Lucie Bouteloup décrypte les expressions de la langue française ! Cette semaine, « on décroche la timbale » avec Benjamin Roussel. Une chronique en partenariat avec les éditions Le Robert, avec la complicité des enfants de la classe de CM2 de l'École élémentaire Vulpian à Paris ! Programmation musicale : - Le chanteur Denez Prigent avec le titre Gwerz Penmarch' - Le groupe Malaka avec le titre Blaky Blood.
Quel a été le rôle de l'État français dans le déclin des langues locales en France ? Rozenn Milin a mené un travail d'enquête de près de dix ans. Rozenn Milin a travaillé pendant sept ans sur le déclin des langues minoritaires en France et ailleurs dans le monde. L'autrice, née en Bretagne, a été marquée par son histoire familiale. Petite, elle a vu les adultes autour d'elles d'exprimer en breton, sauf lorsque ces derniers s'adressaient aux enfants. Elle s'est alors demandée pourquoi cette langue était-elle « interdite » aux enfants ? À ce moment-là, il y avait plus d'un million de locuteurs du breton. Aujourd'hui, il ne reste que 107 000 locuteurs, selon la dernière étude menée en 2024. Elle a découvert que toute une génération avait été interdite de parler le breton à l'époque. L'école a joué un rôle prépondérant : les enfants devaient parler le français et étaient sévèrement punis lorsqu'ils parlaient une autre langue que le français : ils étaient alors humiliés et devaient porter le « symbole » un objet lourd, type un sabot de bois, autour du cou. Cette méthode a également été utilisée dans d'autres régions de France et même à l'étranger. À lire aussiEn France, les jeunes peuvent-ils sauver le breton ? L'objectif en France était de faire disparaître les langues locales : « anéantir les patois » pour créer une nation de langue unique. À l'origine, il y avait la peur que les langues soient utilisées pour véhiculer des idées contre-révolutionnaires. En Afrique, il s'agissait de former une élite intellectuelle. C'est donc toute une génération traumatisée qui a interdit à ses enfants d'apprendre ou de parler la langue bretonne, ce qui a donné lieu à ce que des chercheurs ont appelé « suicide linguistique », un phénomène qui se produit partout dans le monde, lorsque des langues dites « minoritaires » sont confrontées à des langues dites « dominantes ». Rozenn Milin a entamé un travail de recherches auprès de témoins et a enquêté en Bretagne, mais aussi en Afrique (Côte d'Ivoire, Sénégal, Gabon...), où les méthodes d'imposition de la langue française à l'école ont perduré jusque très récemment. Invitée : Rozenn Milin, historienne de formation, sociologue, autrice et journaliste. Rozenn Milin est titulaire d'un doctorat en sociologie. Son ouvrage La honte et le châtiment. Imposer le français : Bretagne, France, Afrique et autres territoires est publié aux éditions Champ Vallon. Et comme chaque semaine, la chronique de Lucie Bouteloup décrypte les expressions de la langue française ! Cette semaine, « on décroche la timbale » avec Benjamin Roussel. Une chronique en partenariat avec les éditions Le Robert, avec la complicité des enfants de la classe de CM2 de l'École élémentaire Vulpian à Paris ! Programmation musicale : - Le chanteur Denez Prigent avec le titre Gwerz Penmarch' - Le groupe Malaka avec le titre Blaky Blood.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Jacques Legros, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:10:12 - Le Point culture - par : Marie Sorbier - Si le mouvement de restitution est à l'œuvre depuis plusieurs années, se pose la question des conditions que l'on impose encore aux pays d'origine pour récupérer ces objets. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Saskia Cousin Anthropologue, sociologue et professeure à l'Université Paris Nanterre
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Jacques Legros, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Jacques Legros, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Chroniqueurs : -Olivier Vial, directeur du CERU (Centre d'Etude et de Recherche Universitaire) et responsable du programme sur les nouvelles radicalités -Jules Torres, journaliste au service politique du JDD -Sébastien Lignier, chef du service politique à Valeurs actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a des silences qui en disent long. Tu sens que ton amie, ton frère, ou même ton collègue traverse quelque chose de lourd. Tu le vois dans son regard, dans ses absences, dans ses gestes. Et pourtant, il ne dit rien, ne demande rien.Alors, que faire ?Faut-il attendre ? Insister ? Respecter son silence ?Dans cet épisode, je t'emmène au cœur de ce dilemme. Avec des exemples concrets et des clés pratiques, tu découvriras comment être une présence douce, respectueuse et encourageante pour celui ou celle qui souffre, même sans mots.Parce que parfois, aimer, c'est être là sans imposer.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le verdict est tombé à Washington : Google conservera son intégrité. Le juge fédéral Amit Mehta, chargé du procès antitrust historique engagé contre la firme en 2020, a décidé de ne pas imposer le démantèlement du géant technologique. Chrome, Android et le reste de l'écosystème restent entre les mains de la maison mère. Une décision qui soulève autant de soulagement chez les investisseurs que d'interrogations sur la capacité des autorités à réguler les GAFAM.Tout en reconnaissant que Google est en situation de monopole et qu'il a abusé de cette position, le juge a choisi une approche pragmatique. Imposer la cession de produits stratégiques aurait, selon lui, désorganisé profondément le marché numérique, affaibli la qualité des services et créé un risque de chaos technologique. En toile de fond, c'est tout un écosystème — incluant Apple, Samsung ou encore Mozilla — qui dépend des accords commerciaux noués avec Google, notamment pour l'installation par défaut de son moteur de recherche.Mais cette décision n'est pas sans conséquences. Google devra désormais partager certaines données, notamment sur les requêtes de recherche, avec des concurrents comme Bing ou DuckDuckGo. Il lui sera également interdit de signer des contrats d'exclusivité empêchant l'installation d'autres moteurs de recherche sur les appareils et navigateurs.-----------♥️ Vous aimez ce podcast ? Soutenez-le !https://donorbox.org/monde-numerique
Chaque matin à 8h35 on revient sur tout ce qui cartonne sur les réseaux sociaux !
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La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSTRUMP MUSÉES : Nouvel Obs, Le Monde, Le ParisienKICK : Le Huffpost, Le ParisienEUROVISION : Ouest-France, France infoGAMESCOM : Ouest-France, Les EchosSLAM : 20 Minutes, PureMédiasFIDJI SIMO : Le Huffpost, Le FigaroÉcriture : Julie BaheuxIncarnation : Julie Baheux Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une actu sportive, un débat, et deux camps : c'est le bras de fer des GG ! Nos "Grands Gueules du Sport" s'affrontent à coup d'arguments... Mais à la fin, c'est vous les auditeurs, qui choisissez l'équipe victorieuse !
Merci à nos commanditairesJean Sébastien Lebrun, Avocat / Lawyer, Associé / Partner T: 514-866-9842Antoine Bernier, pour son livre : disponible iciAujourd'hui dans le podcast, on parle du Great Stink de Londres et de son impact surprenant sur la consommation d'huîtres entre 1800 et 1900. Quand le système d'égouts fraîchement construit se met à rejeter ses déchets dans la Tamise, les Londoniens commencent à tomber malades, victimes de la fièvre typhoïde. Comment vont-ils se sortir de cette crise sanitaire et urbaine ? C'est ce qu'on explore dans cet épisode — une illustration parfaite du fameux Geloso Tree.DANS LA PARTIE PATREON, on inaugure un nouveau concept : La Taverne !On y parle du Michelinas intellectuel, d'Ayn Rand, et du débat sur les subventions en culture, en lien avec un post lunaire de Pierre-Luc Brillant.Frank partage un commentaire reçu... et avoue être sérieusement tenté de s'acheter un douze à pompe et d'aller vivre dans le bois !0:00 Intro qui dérape2:28 Le Geloso Tree8:34 Le Great Stink de Londres15:00 Parenthèse sur l'histoire des sciences19:50 Construction massive22:08 Carte de Londres et maladie25:04 Anguilles, huîtres et moules29:40 Les chariots de bouffe de rue34:10 Médiatisation du danger39:43 Une solution émerge du privé50:15 En quelques mois, le problème se règle52:08 Imposer son monopole de pensée57:10 Deux visions de la régulation environnementale1:00:10 Vers Patreon
Invité : Sébastien Chenu, député RN du Nord Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Frank Tapiro, conseiller en communication et fondateur de Diaspora Defense Forces - Emilie Zapalski, communicante et fondatrice de l'agence « Emilie Conseil » Chroniqueurs : - Ophélie Roque, professeure de français et journaliste - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD - Gilles Boutin, journaliste en politique économique au Figaro - Michel Taube, éditorialiste politique et directeur de la publication d'Opinion Internationale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez les journaux de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Georges Fenech, ancien magistrat et député honoraire du Rhône - Vincent Roy, journaliste et écrivain Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
⚖️ Raphaëlle Petitperrin et Samuela Berdah - Juristes au CN D – Centre national de la danse.Toutes deux accompagnent au quotidien les danseureuses, chorégraphes, administrateurices, professeur.es et directeursrices d'école dans leurs questionnements juridiques et administratifs : contrat de travail, statut social, droit d'auteur, gestion de structure, conventions collectives. Rien ne leur échappe !Raphaëlle Petitperrin a d'abord exercé comme avocate en droit social avant de rejoindre le CN D, il y a plus de dix ans. Spectatrice de danse avant tout, sa première révélation artistique a eu lieu à l'adolescence avec "Fase" d'Anne Teresa De Keersmaeker. Depuis, elle met son expertise juridique au service du secteur chorégraphique, à travers des formations, des fiches pratiques et des accompagnements sur mesure.Samuela Berdah, quant à elle, a pratiqué la danse en amateur pendant vingt ans. Juriste au CN D, depuis 2003, elle a fait de la passerelle entre le droit et la danse sa mission de tous les jours. Son approche rigoureuse et ancrée dans le réel des professionnels en fait une ressource précieuse pour les artistes comme pour les structures de production et de diffusion.Un échange riche, concret et accessible pour mieux comprendre les enjeux légaux qui traversent la vie des danseureuses et des acteurices du secteur culturel.Que vous soyez artiste, porteureuse de projet ou simplement curieux.se des réalités qui structurent le monde de la danse, et que vous souhaitez comprendre le droit dans ces secteurs, cet épisode est fait pour vous !
Tous les jours retrouvez le débrief de l'étape du jour de ce Tour de France 2025. Entouré de Jérôme Coppel, Jérôme Pineau et Pierre-Yves Leroux, Christophe Cessieux revient sur les moments forts de la journée. Les chutes, les attaques, les ascensions, les coups de bordure... Tout est décortiqué ! Sans oublier évidemment, le classement des favoris, des Bleus, et bien sûr, le profil de l'étape à venir !
A 10h, ce vendredi 11 juillet 2025, les GG : Fatima Aït Bounoua, professeure de français, Charles Consigny, avocat, et Antoine Diers, consultant, débattent de : "Incendies : faut-il imposer un extincteur en voiture ?".
Avec : Daniel Riolo, journaliste RMC. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagné de Martin Bourdin et sa bande, Rémy Barret s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins à 7h50, Matthieu Belliard prend le temps d'expliquer simplement un phénomène d'actualité complexe. Un rendez-vous pédagogique indispensable pour trouver les réponses aux questions soulevées par l'actualité du jour.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Charles Consigny et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 25 avril 2025 : Imposer 2 jours dans les déserts médicaux, bonne idée ? Avec Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Fatima Aït-Bounoua, professeur de français, et Dr Jérôme Marty, médecin généraliste.
Après le lundi de Pâques, de nombreux jours fériés arrivent ces prochaines semaines : le 1er mai, le 8 mai, l'Ascension... Autant de ponts potentiels ! Mais attention vous n'êtes pas le seul à décider de vos dates de congés, votre employeur a aussi son mot à dire et peut vous imposer de prendre vos congés à une certaine période. Ecoutez Le conseil conso avec Hortense Crépin du 22 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après le lundi de Pâques, de nombreux jours fériés arrivent ces prochaines semaines : le 1er mai, le 8 mai, l'Ascension... Autant de ponts potentiels ! Mais attention vous n'êtes pas le seul à décider de vos dates de congés, votre employeur a aussi son mot à dire et peut vous imposer de prendre vos congés à une certaine période. Ecoutez Le conseil conso avec Hortense Crépin du 22 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce vendredi 18 avril, la tentative des Européens de reprendre la main et de se faire entendre face à Washington, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
A 10h45, ce mardi 8 avril 2025, les GG : Barbara Lefebvre, enseignante d'histoire-géographie et essayiste, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de : Municipales, imposer la parité dans les petites villes ?
La volonté du président Trump d'imposer dès la semaine prochaine des taxes punitives sur les voitures importées aux États-Unis suscite la stupeur de ses partenaires commerciaux et percute les perspectives de tout le secteur. Le New York Times rappelle que près de la moitié des voitures vendues aux États-Unis sont importées tout comme environ 60% des pièces détachées, ce qui veut dire mathématiquement que les prix vont augmenter de manière significative alors que l'inflation a déjà renchéri le prix des voitures et des camions pour le consommateur américain. Le Washington Post avance un chiffre : le prix moyen d'une voiture aux États-Unis est de 50 000 dollars et ces nouveaux droits de douane pourraient ajouter 10 000 dollars à l'addition. Ce qui prouve, poursuit le journal, que le président américain, pourtant élu par nombre de ses partisans pour lutter contre l'inflation, est prêt à se mettre dans une position plus à risque vis-à-vis de son électorat que lors de son premier mandat. Le journal parle aussi d'un coup de tonnerre pour l'industrie automobile qui emploie plus de 3 millions d'Américains dans ses usines, magasins et entrepôts à travers le pays. Cela ajoute de l'incertitude dans un marché qui n'en avait pas besoin, estime de son côté le NY Times. « Signalgate » : Qui est Jeffrey Goldberg, le rédacteur en chef de The AtlanticLe «Signalgate», c'est le scandale autour de la messagerie non sécurisée qui continue d'agiter l'administration Trump. Le président américain a dénoncé une chasse aux sorcières tout en niant la gravité de faille de sécurité qui a permis à un journaliste américain d'assister, sur la messagerie Signal, à la planification d'une opération militaire contre les Houthis au Yémen. Et ce journaliste n'est pas n'importe qui : il s'agit du rédacteur en chef du prestigieux magazine The Atlantis, devenu depuis quelques jours la cible d'attaque de Donald Trump et de ses proches. Achim Lippold nous dresse son portrait. Haïti : Le secrétaire d'État américain, Marc Rubio, rencontre le président du CPT en JamaïqueFrantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste nous parle de la visite de Marc Rubio, le secrétaire d'État américain en Jamaïque. Il s'est entretenu avec le président du Conseil présidentiel de transition Fritz Alphonse Jean sur un appui à la mission multinationale de sécurité dirigée par le Kenya. Marc Rubio a conscience que la force n'est pas suffisamment importante pour affronter les gangs lourdement armés, et tente de mobiliser un soutien régional pour obtenir des financements qui permettraient d'élargir la mission. Kristi Noem, la secrétaire américaine à la Sécurité intérieure se met en scène dans une prison au SalvadorLa visite au Salvador de la secrétaire américaine à la Sécurité intérieure n'est pas passée inaperçue. Kristi Noem s'est mise en scène dans une vidéo sinistre filmée à la prison de haute sécurité du CECOT où sont incarcérés plus de 200 Vénézuéliens expulsés des États-Unis et soupçonnés d'appartenir à un gang. La secrétaire américaine à la Sécurité intérieure pose devant des grilles où sont enfermés des prisonniers alignés, têtes rasées et tatouages apparents, qui sont utilisés comme décor. Elle dit vouloir remercier le président du Salvador pour sa coopération et veut avertir les personnes qui souhaiteraient venir de manière illégale aux États-Unis pour commettre des crimes envers les Américains : «Vous serez poursuivis et cet endroit fait partie des outils à notre disposition », prévient-elle.Le CECOT, cette prison haute sécurité située au Salvador, dont elle a visité les installations, a été construite par le gouvernement de Nayib Bukele pour détenir les membres de gangs peu de temps après l'instauration de l'état d'urgence, rappelle le journalEl salvador. Les 238 Vénézuéliens expulsés des États-Unis sont soupçonnés d'être liés au gang Tren de Aragua, mais nombre d'entre eux disent n'avoir rien à voir avec cette organisation criminelle classée parmi les groupes terroristes par Washington.Le quotidien rappelle aussi l'accord conclu entre les États-Unis et le Salvador, Washington a versé un coût approximatif de 20 000 dollars par prisonnier pendant un an, soit 6 millions de dollars par an au gouvernement de Bukele qui, en échange, est d'accord pour partager les informations recueillies sur les détenus. Argentine : les inondations de Bahia Blanca, signes du changement climatiques C'était, il y a trois semaines, en Argentine : la ville portuaire de Bahia Blanca, située à près de 600 kilomètres au sud de Buenos Aires, subissait de plein fouet d'importantes inondations.En quelques heures, près d'une année de pluie est tombée. Des inondations dévastatrices qui ont touché plus de 300.000 personnes, et fait au moins 16 morts.Le World Weather Attribution (WWA), un réseau de scientifiques international, publie aujourd'hui une étude sur cet évènement climatique extrême. Et l'organisation établit un lien probable avec le réchauffement climatique. Juliette Pietraszewski nous en dit plus et Théo Conscience interroge les Argentins à Buenos Aires sur ce qu'ils pensent de la politique climatique de leur dirigeant, Javier Mileï. Bolivie : l'état d'urgence déclaré après des inondations qui ont touché près de 200 municipalitésL'ensemble des 9 départements du pays a été frappé par ces intempéries, que les experts attribuent au changement climatique. Des villages entiers ont été engloutis, La Razon cite un rapport qui parle de près de 380 000 familles touchées, le bilan humain est lui monté à 51 morts. Des précipitations intenses que le pays n'avait pas connues depuis 40 ans alors que la Bolivie se trouve dans un moment compliqué, poursuit le journal.Dans le Correo del Sur, la photo à la Une montre des champs engloutis par les eaux et des hommes en train de construire des digues, bottes au pied.Le président Luis Arce a récemment débloqué la somme de 75 millions de dollars pour faire face à ce type de catastrophes naturelles. Les autorités boliviennes assurent qu'elles n'abandonneront pas les familles qui se trouvent confrontées à cette situation dramatique. L'actualité des Outre-MerEmma Jaconelli de la 1ère évoque la revalorisation aux Antilles des sargasses, les algues polluantes.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 25/03/2025, il échange avec l'ex-champion de boxe, Mahyar Monshipour, sur le port du voile dans le sport. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De retour de sa visite d'une semaine en Haïti, l'expert du Haut-Commissaire aux droits de l'homme de l'ONU sur la situation en Haïti, décrit la terreur qui règne à Port-au-Prince, sous l'emprise des gangs.« L'ambiance est vraiment terrible. Les gens ont peur. Il y a une atmosphère vraiment stressante. Les gangs entourent maintenant toute la capitale. La capitale est vraiment une île, isolée du reste du pays, par air, par terre, par la mer… Donc on vit comme ça, sans savoir quand un gang va venir », explique William O'Neill dans les studios d'ONU Info.Une situation d'autant plus navrante que l'expert estime que mettre un terme à la crise haïtienne est « faisable ».Comment ?Il appelle à doter la Mission multinationale d'appui à la sécurité (MMAS) de l'équipement de tous ses effectifs et du matériel adéquat ; à lever des sanctions contre « les hommes en cravate et les femmes en col blanc », les oligarques derrière les gangs ; et à mettre en œuvre l'embargo sur les armes.« Si les gangs n'ont pas l'appui de la population, pas de munitions, pas d'armes : ils vont perdre leur pouvoir très vite », explique M. O'Neill. « Donc si l'on fait ces trois choses avec beaucoup de rigueur et d'envergure – mission multinationale, sanctions, embargo – à mon avis ça peut être réglé en quelques mois ».(Interview : William O'Neill, Expert du Haut-Commissaire aux droits de l'homme sur la situation en Haïti ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
Pour débuter l'émission de ce jeudi 6 mars 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Frédéric Farah, économiste, débattent du sujet du jour : Faut-il imposer un examen médical aux conducteurs seniors ?
On pourrait penser que l'anglais est la langue officielle des États-Unis, étant donné qu'elle est parlée par la grande majorité de la population et utilisée dans toutes les institutions. Pourtant, il n'en est rien : les États-Unis n'ont pas de langue officielle au niveau fédéral. Comment expliquer cette situation surprenante ?D'abord, il faut revenir aux origines du pays. À la fondation des États-Unis en 1776, le pays est déjà un mélange de cultures et de langues. Outre l'anglais, on y parle couramment l'allemand, le néerlandais, le français et même des langues autochtones. Lors de la rédaction de la Constitution en 1787, les Pères fondateurs choisissent de ne pas établir de langue officielle, préférant une approche inclusive qui reflète la diversité du jeune pays.Un mythe persistant raconte que l'anglais a failli perdre face à l'allemand lors d'un vote officiel, mais cette anecdote est fausse. En réalité, une pétition pour publier des lois en allemand a été rejetée en 1795, mais il ne s'agissait pas de choisir une langue nationale.Ensuite, un autre facteur important entre en jeu : la philosophie américaine sur la liberté individuelle. Imposer une langue officielle aurait pu être perçu comme une atteinte aux libertés des citoyens et aux droits des États fédérés. D'ailleurs, certains États ont adopté l'anglais comme langue officielle, mais au niveau fédéral, aucun texte de loi ne l'impose.Cependant, cette absence de statut officiel n'empêche pas l'anglais de dominer largement. Toutes les lois, les décisions judiciaires et les procédures administratives sont en anglais. De plus, l'anglais est requis pour obtenir la citoyenneté américaine.Enfin, l'immigration a joué un rôle clé dans le maintien de cette situation. Les États-Unis ont accueilli des vagues successives d'immigrants parlant espagnol, chinois, italien, ou encore polonais. Adopter une langue officielle aurait pu être perçu comme un rejet de cette diversité linguistique.En somme, l'anglais est de facto la langue dominante aux États-Unis, mais son absence de statut officiel est le résultat d'une histoire marquée par la diversité culturelle et une forte volonté de préserver les libertés individuelles. Une situation qui illustre bien l'identité unique du pays. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Le beau fait du bien”Sarah Poniatowski ne sait pas dessiner pourtant elle a créé l'une des maisons de design les plus réputées en France.Ses créations n'ont pas de frontières : des couleurs, des vêtements, des meubles, des halls, des espaces de vie, des ambiances, des univers à part entière... Autant de créations qui reflètent sa créativité sans limites et celle de ses équipes.En 10 ans, le petit bureau d'architectes s'impose et devient une référence du design à la française.Dirigée d'une main de maitre par Sarah et son associé, Edouard Renevier, la maison réunit aujourd'hui 120 collaborateurs, 20 boutiques, 150 points de vente dans le monde et une quinzaine d'architectes d'intérieur.Dans cet épisode, Sarah nous embarque dans son univers, où chaque projet raconte une histoire, du mini studio parisien aux 45 000m2 de bureaux du groupe L'Oréal.Une conversation captivante avec une femme franche qui nous invite comme dans son dernier livre à rêver, oser, créer … et recommencer !Sarah revient sur 20 ans de création en abordant :Apprendre le métier d'archi d'intérieur en autodidacte de A à ZIncarner sa marque : défis et avantagesSa vision du design et sa méthode pour créer en permanenceComment on transforme un lieu pour lui donner vieSon obsession de transmettre, par tous les moyensAvions, trains, voitures : ses collaborations rêvéesJe vous ai négocié une offre exclusive: utiliser le code “DOIT” lors de votre achat sur le site Maison Sarah Lavoine ou en boutique pour bénéficier de -15% de réduction sur votre premier achat (code valable pendant une semaine après la diffusion de l'épisode) !TIMELINE:00:00:00 : Comment devenir architecte d'intérieur00:21:00 : Incarner une marque qui garde le nom de son ex-mari00:33:53 : Est-ce que les boutiques physiques vont disparaître ?00:40:12 : Imposer une marque avec des designs intemporels00:47:29 : L'argent n'est pas le problème : le beau accessible00:58:36 : Les collaborations réalisées et rêvées01:10:19 : Faire rayonner sa marque01:18:11 : Les plus beaux hôtels parisiens01:23:02 : Comment créer du beau et "lancer des couleurs”01:35:25 : Le pouvoir de la visualisation01:44:43 : Figurer 4 fois sur la Une du ElleLes anciens épisodes de GDIY mentionnés :#441 - Arthur Benzaquen - Masada, réalisateur - Qui a dit que le business n'était pas artistique ?#175 - Marc Lévy - Écrivain - Galérer avec le sourire#49 Joël Dicker - La vérité derrière l'affaire Harry Quebert - vendre 5 millions de livres avant 30 ans#435 - Constance Jablonski - French Bloom - La top model qui bouscule le monde du vin#374 - Laurent de Gourcuff - Confessions et secrets du roi de la nuit#434 - Frédéric Raillard - Fred & Farid - IA : la publicité sous stéroïdes#52 Stéphanie Gicquel - Visualiser pour ne jamais abandonnerNous avons parlé de :Maison Sarah LavoineAutoCADÉcole PenninghenLa Martingale avec Thierry VignalLe Village des Rosiers (avec la BNP)Collection SiciliaDéfinition “Flagship” : magasin phareCollaboration MSL x ERESPhilippe StarckAménagement de l'Île SeguinPinterestDocumentaire du GR20Les recommandations de lecture : Rêvez, osez, créez … et recommencez !Ainsi soit stylePortrait d'un homme heureuxL'art de la victoireJust KidsVous pouvez contacter Sarah sur Linkedin ou sur Instagram.La musique du générique vous plaît ? C'est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur : https://studio-module.com. Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.
Et nous partons ce matin aux Etats-Unis. Après une semaine où il a momentanément reculé, Donald Trump amplifie donc les pressions commerciales avec une nouvelle annonce choc, droit de douane. Le président américain a déclaré soir qu'il allait imposer des taxes de 25% en plus sur toutes les importations d'acier et d'aluminium aux Etats-Unis. Le président américain a promis de donner plus de détails. Il revient en fait à une mesure qu'il avait déjà mise en place lors de son premier mandat.
Le 27 janvier 2012, François Bayrou donnait une interview au journal Les Échos. Il se confiait sur la politique et semblait très optimiste ! Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.