POPULARITY
Categories
Saint-Félix-de-Pallières et ses environs, dans le sud de la France, vivaient depuis plus de cinquante ans au milieu de tonnes de déchets miniers hautement toxiques. Après une décision du Conseil d'État en avril 2024, de délicats travaux de dépollution ont enfin été lancés à l'automne. De notre envoyé spécial, de retour de Saint-Félix-de-Pallières et ChangéPour accéder au chantier depuis la route qui vient d'Anduze, André Charrière a pris à droite juste avant la maison des Leclercq. Il a traversé le petit pont qui enjambe le Paleyrolles pour s'engager sur un chemin forestier cabossé et finalement s'arrêter quelques centaines de mètres plus loin, bloqué par deux pelleteuses en plein travail. Alors il est descendu de sa voiture et le voici qui contemple la scène, placide, un classeur sous le bras. À vrai dire, il n'y a plus grand-chose à regarder. Simplement une étendue de terre fraîche clôturée par un grillage et, là-bas, émergeant d'un tas de branchages, un panneau qu'on déchiffre en plissant les yeux : « Attention danger ». Il paraît neuf mais c'est déjà un vestige. Celui d'une époque pas si lointaine où s'arrêter ici pour pique-niquer était vivement déconseillé. Et pour cause : le sol était gorgé de métaux lourds à des niveaux explosant les records. André Charrière a tout répertorié dans son classeur. « La dernière analyse menée cet été avant le lancement des travaux a relevé à certains endroits des teneurs en plomb de l'ordre de 100 000 à 600 000 mg par kilo de matière sèche. C'est deux mille fois le seuil de toxicité ! », s'émeut-il. Il n'en revient toujours pas.Exploitation et désinvoltureAndré Charrière était autrefois géologue. Il est aujourd'hui l'un des piliers de l'Association pour la dépollution des anciennes mines de la Vieille Montagne (ADAMVM), qui s'est montée après qu'un rapport faisant état de zones fortement contaminées par les métaux lourds dans la commune a été exhumé d'un tiroir de la mairie. C'était il y a quinze ans. Depuis, quand un journaliste se rend à Saint-Félix-de-Pallières pour un reportage sur le sujet, c'est souvent lui qui se charge de le guider sur ces terres empoisonnées par plus d'un siècle d'exploitation minière et de désinvolture.À lire aussiEaux métalliques: dans les Cévennes, un «paradis empoisonné» [1/2]Dans les années 1950, le secteur de la Croix-de-Pallières était le troisième plus grand site minier de zinc et de plomb de France. À sa fermeture en 1971, des tonnes de résidus ont été abandonnés là, en pleine nature. Outre le zinc et le plomb, on y trouve des particules de manganèse, d'arsenic, de cadmium, d'antimoine… que les grosses pluies automnales charrient jusqu'aux cours d'eau et que les vents éparpillent dans la vallée. L'organisme public Geoderis a cartographié 43 hectares de dépôts, l'équivalent de 61 terrains de football, dont le Conseil d'État a fini par exiger la dépollution en avril 2024. En tant que dernier exploitant des mines, et bien qu'il ne soit plus propriétaire des terrains, le géant belge Umicore a dû s'exécuter. Les travaux ont commencé ici, au cercle de l'Issart, juste en contrebas du chemin où André Charrière a laissé sa voiture. Ce premier chantier, lancé en novembre, aura duré trois mois. Quelques jours plus tôt, le retraité avait pu observer le ballet des engins déblayer la terre contaminée, aussitôt analysée puis transportée par camions dans des sites d'enfouissement spécialisés, avant que le sol ne soit recouvert d'une première couche de galets et de tout-venant, et d'une seconde de terre végétale. Quelque 4 000 tonnes de terre ont ainsi été extraites, soit plus du double qu'initialement prévu. En raison de sa forte toxicité, la quasi-totalité a été emportée à 800 kilomètres de là, au centre de stockage de déchets dangereux de Changé, dans le département de la Mayenne. L'un des treize du genre que compte l'Hexagone.Un long processusLe visiteur qui s'attendait en arrivant sur place à pénétrer sur un site ultra-protégé, avec barrières métalliques et agents de sécurité, en sera pour ses frais. Avec ses bâtiments en vieilles pierres blottis dans un écrin de verdure, l'endroit fait davantage penser à un hôtel thalasso qu'à un site classé Seveso seuil haut. « Ici, c'est juste la partie administrative », précise Alain Rospars, directeur environnement chez Séché Eco-Industries, propriétaire du lieu. C'est lui qui assure la visite, chaperonnée par la responsable communication du groupe venue tout spécialement de Paris.Elle démarre quelques dizaines de mètres plus loin, au niveau de l'entrée des camions. Le processus de traitement des déchets, lui, commence bien en amont, avec l'examen d'un échantillon par lixiviation. L'opération menée en laboratoire consiste à déterminer la capacité du matériau à retenir ses éléments polluants en le mélangeant dans de l'eau qui est ensuite filtrée puis analysée. Si le résultat n'est pas satisfaisant, d'autres essais sont effectués avec l'ajout de ciments. Jusqu'à trouver la bonne formule. « Cette étape peut prendre jusqu'à deux mois, selon la complexité du traitement, pointe Alain Rospars. De toute façon, on ne peut pas émettre de certificat d'acceptation tant qu'on n'obtient pas un résultat conforme à la réglementation. »À l'arrivée des camions, nouveau test, cette fois pour vérifier que la cargaison correspond bien à l'échantillon envoyé. Place ensuite à la stabilisation : les déchets sont déversés dans un malaxeur, où ils subissent le même traitement que celui réalisé en laboratoire. Ils sont enfin transportés dans des « alvéoles », aussi appelées « casiers », en fait d'immenses fosses tapissées de plusieurs couches d'argile et de membranes synthétiques censées empêcher toute contamination des sols, et parcourues par un système de drainage. « Cette argile à un coefficient d'imperméabilité d'un nanomètre par seconde. Cela veut dire qu'il va falloir à la goutte d'eau un siècle et demi pour traverser les cinq mètres d'argile », fait valoir Alain Rospars. Une fois l'alvéole pleine, elle est recouverte du même millefeuille, de façon à former une capsule hermétique finalement enveloppée d'une couche végétale. À raison de 60 à 120 camions réceptionnés par jour, entre 350 000 et 380 000 tonnes de déchets dangereux sont ainsi traités et stockés chaque année à Changé. Le site devrait arriver à saturation peu après 2040.« Comment va-t-on faire pour dégager tout ça ? »Dans le Gard, les pelleteuses doivent revenir cet été pour attaquer le deuxième chantier. Cette fois, c'est un ancien carreau de mine qui doit être dépollué. Sylvie Dupard guette le retour des engins avec une pointe d'appréhension. L'association qu'elle copréside accueille depuis 25 ans des « roulards », des semi-nomades qui vivent de petits boulots et logent dans leurs camions, sur ce terrain où les teneurs en métaux lourds affolent les compteurs. Mais ce n'est pas ça qui inquiète Sylvie Dupard. « On ne suce pas les cailloux et on ne boit pas l'eau des flaques », lance-t-elle, gouailleuse. Non, ce qui la tracasse, c'est surtout l'ampleur du travail qui l'attend : avec le temps, l'endroit s'est transformé en une espèce de casse auto qu'il va falloir débarrasser avant l'arrivée des ouvriers. « Comment va-t-on faire pour dégager tout ça ? », s'interroge-t-elle tout haut.En ce qui concerne les travaux de dépollution, c'est déjà un peu plus clair, du moins dans son esprit : le dépôt minier devrait être confiné sous une immense bâche imperméable recouverte de « bonne terre », à la manière de ce qui a été fait juste en face pour la « digue Umicore », une dune de 3,5 hectares renfermant une tonne et demie de résidus miniers. « Ils vont installer des drains tout autour du carreau et dans les pentes, et puis là-bas, tout au fond, ils vont faire un grand bassin de rétention pour collecter les eaux de pluie », décrit Sylvie Dupard avec force geste. Sylvie Dupard se prend déjà à rêver de lendemains bucoliques. Ici, on planterait des fleurs pour égayer un terrain jusqu'alors désespérément sec. Là, on mettrait des petites barrières, pourquoi pas en bois. Michel Sala, le maire de Saint-Félix-de-Pallières, verrait bien quant à lui un champ photovoltaïque à l'endroit où le premier chantier vient de se terminer. Cela permettrait de produire de l'énergie et puis cela empêcherait les quads et les motocross de labourer des terres longtemps contaminées.Des questions en suspensCinquante ans après la fermeture de la mine, une page s'est enfin tournée dans ce coin des Cévennes. Mais l'histoire n'est pas terminée pour autant. L'avenir de la mine Joseph, le troisième site qu'Umicore doit traiter, reste en suspens. Le géant belge n'a pas répondu à nos demandes sur le sujet. Des tonnes de résidus miniers y sont stockées à flanc de colline, juste au-dessus du Paleyrolles, dont l'eau est teintée d'une inquiétante couleur ocre. « On ne lâchera rien », promet Michel Sala.Se pose aussi la question de l'indemnisation. Celle de Michel Bourgeat, que la justice lui refuse alors que la maison qu'il a construite de ses mains ne vaut aujourd'hui plus rien. Et celle de tous ceux qui ne peuvent plus jardiner et qu'on pourrait peut-être aider à installer des potagers hors-sol. « Ça ne coûterait pas grand-chose », tente de plaider l'édile. Il y a enfin l'aspect sanitaire. En 2016, l'Agence régionale de santé avait publié les résultats d'une vaste campagne d'analyse sanguine menée auprès des riverains. Elle avait révélé que près d'un quart d'entre eux présentaient des taux d'arsenic supérieurs à la normale. Il n'y a eu depuis aucun suivi. Michel Sala en est dépité : « On s'est arrêté au milieu du gué ».
Aujourd'hui, nous explorons l'ascension spectaculaire de ChatGPT Search en Europe et les défis réglementaires qui l'accompagnent.D'abord, il faut noter une croissance fulgurante pour ChatGPT Search, qui est l'outil de recherche en ligne du chatbot d'IA générative d'OpenAI, le très célèbre ChatGPT.L'engouement des EuropéensJugez plutôt : en l'espace de six mois, ChatGPT Search a quadruplé son nombre d'utilisateurs actifs mensuels dans l'Union européenne. Ces utilisateurs sont passés d'un peu plus de 11 millions à un peu plus de 41 millions en à peine deux trimestres.Cette progression rapide reflète l'engouement des Européens pour une recherche en ligne plus naturelle et conversationnelle, contrastant avec les méthodes traditionnelles surchargées de publicités et sont les résultats sont souvent illisibles.Mais cette appétence des européens pour ce nouvel outil de recherche intéresse désormais les régulateurs européens qui encadrent les activités numériques en Europe dans le cadre du Digital Services Act.ChatGPT Search s'approche du seuil des 45 millions d'utilisateurs mensuelsCar avec l'explosion de l'usage de cet outil de recherche en France et en Europe, ChatGPT Search s'approche du seuil des 45 millions d'utilisateurs mensuels. Et au-delà de ce seuil, ce service numérique serait classé en Europe comme une "très grande plateforme en ligne".Cette catégorie définie par le Digital Services Act de l'UE implique des obligations, comme des audits externes, de la transparence algorithmique, ou encore le partage de données avec les chercheurs.Et en cas de non-conformité, OpenAI pourrait faire face à des amendes allant jusqu'à 6 % de son chiffre d'affaires mondial.La fiabilité des résultats reste un défi majeurEnfin, il faut noter que la fiabilité des résultats reste un défi majeur pour l'outil de recherche en ligne d'OpenAI.Oui, malgré sa popularité, ChatGPT Search présente des lacunes en matière de précision. Une étude récente montre que 67 % des résultats de recherche sont incorrects ou mal attribués.Cette tendance à fournir des réponses erronées, souvent avec assurance, soulève des préoccupations quant à la fiabilité de l'outil, en particulier dans un contexte où la désinformation prospère.Malgré cela, ChatGPT Search grignote des parts de marché. En septembre 2024, 8 % des internautes préféreraient utiliser ChatGPT plutôt que Google comme moteur de recherche principal. Mais pour le moment, Google reste le roi incontesté de la recherche en ligne. Simplement, on peut se demander maintenant jusque à quand.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ah, les jaunes d'œufs japonais, si intensément orange qu'on dirait presque qu'ils ont passé un mois à bronzer sous une lampe à UV ! Ce phénomène intrigue souvent les voyageurs occidentaux qui, habitués à des jaunes plus pâles, se demandent s'il s'agit d'une manipulation, d'un effet Photoshop, ou d'un régime alimentaire digne d'un top chef pour poules. Et justement, c'est un peu ça : tout est une question de nourriture.Une histoire de pigmentsLa couleur du jaune d'œuf dépend directement de ce que la poule mange. Ce n'est pas une blague : pas de génétique miracle, pas de laser, pas de manga magique. Simplement, les pigments contenus dans l'alimentation de la poule vont se retrouver dans le jaune. Plus précisément, ce sont les caroténoïdes, des pigments naturels présents dans de nombreux végétaux, qui colorent le jaune.Parmi ces caroténoïdes, on retrouve :la lutéine (présente dans le chou, les épinards, le maïs),la zéaxanthine,et bien sûr, le bêta-carotène, le même qui donne sa couleur aux carottes.Les éleveurs japonais utilisent souvent des mélanges alimentaires enrichis en ces pigments. Résultat : les jaunes deviennent orange vif, voire presque rougeâtres dans certains cas !Une question de culture (et de gastronomie)Mais pourquoi les Japonais tiennent-ils tant à cette couleur intense ? Eh bien, parce que pour eux, cela signifie qualité. Un jaune bien orange évoque un œuf plus riche, plus savoureux, plus nutritif. C'est aussi une question d'esthétique. Dans la cuisine japonaise, la couleur et la présentation comptent presque autant que le goût. Un œuf coulant orange sur un bol de riz fumant (le fameux tamago kake gohan), c'est bien plus appétissant qu'un jaune pâlot, non ?De plus, les œufs sont souvent consommés crus ou à peine cuits au Japon. La couleur devient alors un critère visuel fort : plus c'est orange, plus ça semble « premium ». Certains producteurs vont même jusqu'à indiquer sur l'emballage le type d'alimentation donnée aux poules pour obtenir cette teinte !Que mangent ces poules, du coup ?Voici quelques ingrédients typiques que l'on retrouve dans l'alimentation des poules japonaises pour booster la couleur des jaunes :du maïs rouge,des piments doux (eh oui, sans le piquant !),de la luzerne,de la marigold (souci), une fleur riche en lutéine,et parfois même du poisson, pour la richesse en oméga-3.En résumé, les jaunes d'œufs japonais sont orange non pas par magie, mais par design. C'est le résultat d'un choix culturel, d'une préférence esthétique et d'une alimentation soigneusement étudiée. Bref, ces œufs-là ont le luxe dans la coquille. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Eliot Deval et ses invités débattent de la vision et des objectifs que le pape François avait pour l'église.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Choisir une école d'art c'est avant tout bien cerner la différence entre arts appliqués et beaux-arts. Pourquoi ? Simplement parce que les formations et leur finalité n'ont rien à voir d'une part, et d'autres part les attentes des jurys ne sont pas similaires !Alors Arts appliqués et Beaux-Arts quelle différence ?• Les arts appliqués c'est mettre sa créativité au service d'une contrainte donnée qui peut être de différents ordres : matériau -forme – fonction -contexte. Aussi seront regroupés sous la désignation d'arts appliqués ce qui touche au produit, à l'espace, au numérique, au graphisme, à la mode…• Les beaux-arts – en vision très simplifiée- est une démarche artistique plastique totalement libre, avant tout conceptuelle puisqu'il s'agit de traduire via un médium sa visio du « beau » - ou dit autrement exprimer plastique une « problématique » - « un concept ».• Le DNMADE, diplôme d'état niveau licence- est une formation en 3 ans qui vous permettra d'acquérir une expertise technique dans un domaine des arts appliqués. Pour comprendre la finalité pédagogique du DNMADE, sachez qu'il a pour objectif pédagogique l'équivalent du BTS « formation courte, professionnalisante pour se donner le choix de rentrer dans la vie active ou une poursuite d'étude ».• Nous pouvons évoquer une dernière voie à savoir les arts plastiques. Cette licence permettra avant tout d'acquérir des connaissances solide en histoire de l'arts, philosophie, esthétique et de vous sensibiliser aux différents mode d'expression plastique (photos videos, modelage, peinture, sculpture..)afin de vous permettre de mener une réflexion sur la pratiqueAussi pour faire son choix d'école sera-t-il essentiel d'identifier son processus de création et de cerner si votre enfant se sent plus à l'aise dans un processus créatif « fermé » pour répondre à un besoin, une approche théorique de la création plastique ou un processus créatif libre cherchant à exprimer sa vision du beaux.A noter que de plus en plus d'écoles de beaux-arts proposeront en cours de parcours des spécialisations relevant des arts appliqués. Un site vous permettra de vous y retrouver https://andea.fr/Public ou privé les critères d'admission?Les écoles de beaux-arts sont en France toutes des formations publiques. Pour y postuler vous devrez passer par Parcoursup, envoyer un portfolio et ensuite selon les écoles, vous aurez une épreuve plastique et une épreuve culturelle. Vous trouverez également quelques écoles d'arts appliqués (telles que l'Ensad, St étienne, la hear .., ) – né du Bahaus- publiques.Les critères d'admission pour ces formations seront avant tout basés sur la culture générale, l'intérêt pour la création contemporaine et le potentiel de créativité du candidat. Les écoles ne recherchent pas des « artistes » mais des jeunes qui montreront au travers de leur portfolio, une forte capacité à « soulever une problématique » en appui de leur connaissance, et à l'exprimer plastiquement de façon « singulière ». Le portfolio limité à 10 pages maximum en moyenne, privilégiera alors, peu de projets mais un ensemble de propositions plastiques autour d'une même idée nourries de références. A titre d'exemple le sujet de l'an passé (2022) à l'ensad « UBIQUITÉ »Les écoles privées sont de plus en plus sur Parcoursup , néanmoins quelques écoles restent hors Parcoursup. Parmi les écoles privées vous pourrez identifier :• Des écoles post bacs généralistes dans un premier temps avec une spécialisation au fur à mesure des années.• Des écoles spécialisées dès la première année dans un ou deux domaines. Généralement les écoles d'animation- jeux vidéos et les doubles diplômes « design-Espace »• Des écoles avec des partenariats avec d'autres formations en commerce- ingénierie..• Des écoles qui ont privilégié une ouverture à l'international ou bilinguePour intégrer une école privée- parcoursup ou non- le candidat sera amené à présenter à minima un portfolio avec pour certaines écoles des exigences particulières (8 à 15 pages max) une lettre de « projet motivé » et passera un entretien. Pour certaines écoles les jeunes auront un sujet d'épreuve plastique à traiter dans un temps donné (chez soi ou en présentiel selon les écoles)Vous l'aurez compris candidater dans une école d'art ne s'improvise pas. Nous avons la chance en France, d'avoir un très grand choix entre public et privé et de très grande qualité.Faites vos choix en privilégiant les essentiels :• Votre projet à l'issue de votre formation• Votre potentiel de créativité• La structure pédagogique de la formation
Dans cet épisode, je reçois Auriane de Terline, une formatrice passionnée de la catéchèse du Bon Pasteur. Ensemble, nous explorons cette approche profondément respectueuse de l'enfant, ancrée dans la tradition catholique et nourrie par la pédagogie Montessori. Nous abordons les fondements théologiques de cette catéchèse, son lien avec la pédagogie Montessori, sa mise en œuvre, en paroisse ou à la maison et les fruits que nous en retirons tous, adultes comme enfants.Simplement intriguée, curieuse d'en savoir plus ou à la recherche de conseils concrets pour démarrer votre atrium (un groupe de catéchèse du Bon Pasteur), cet épisode est pour vous ! Liens évoqués dans l'épisode :- Formation Bâtir son école sur le roc- Formation Saint Ferdinand des Ternes - Formation Catéchèse du Bon BergerQuelques livres :- La messe expliquée aux enfants (il s'agit de la messe selon la forme extraordinaire ou rite tridentin), de Maria Montessori- Le potentiel religieux de l'enfant (plusieurs tomes) de Sofia Cavalletti---Le site des MontessouricettesLien pour me laisser un petit message audio avec votre question ou votre suggestion de thème (j'inclurai votre message dans un prochain épisode !)Notre communauté gratuiteFormation Aménager sa maison MontessoriCatalogue des formations des MontessouricettesAccompagnement à la Parentalité et à l'IEF MontessoriVous pouvez nous envoyer vos retours, suggestions et commentaires ici :
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après avoir lu un article sur la mort et la vie, l'auteur de la question abordée dans cet épisode s'interroge sur sa propre définition de la mort. Peut-elle être simplement sujette à interprétation ? Il va plus loin encore et se demande, en ce qui concerne la mort du Christ, s'il ne serait pas possible d'émettre l'hypothèse que Jésus ait pu survivre à la mort de la croix. Loin d'être une question anodine, vous découvrirez dans cette vidéo la réponse apportée par Florent.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pas facile d'accompagner une amie, cousine, ou femme de son entourage qui vient de donner la vie.Si on est très proche, on va pouvoir être capable de lire les signaux ou en tout cas d'être à l'écoute, si c'est une amie d'un cercle plus lointain on peut se sentir perdue et ne pas savoir quoi faire pour aider.Pas de panique, je vous emmène dans ce beau monde du postpartum.Pourquoi est-ce que c'est important d'être présente en postpartum pour une amie ? Simplement parce que cette période charnière est empreinte de grande vulnérabilité. Peu importe que ces quelques semaines après la naissance se passent bien ou mal, toutes les femmes vivent une période d'ajustements. Nous vivons dans une société qui attend beaucoup des femmes, donc lui montrer dans cette période intense qu'elle n'est pas seule est primordiale. Cet épisode s'adresse autant aux hommes qu'aux femmes. D'ailleurs si vous préparez votre postpartum, nous avons un super guide que vous pouvez télécharger, juste ici LIENS UTILES : LansinohJollyMaMa, code promo AF_MATRESCENCE : -15% sur votre commandeÉpisodes à écouter : Episode 35 : Le Mois d'OrÉpisode 161 – 4 points indispensables pour préparer son post-partumGuide Postpartum
Jeanne Cherhal a fait une pause discographique jusqu'à ce que son ami Benjamin Biolay ne la pousse à repartir en studio. Ca donne une nouvelle collaboration 15 ans après leur inoubliable duo "Brandt rhapsodie" en 2009. Ce nouvel album intitulé simplement “Jeanne” est disponible depuis le 4 avril. Jeanne Cherhal sera en concert à Paris au théâtre des abbesses les 27 & 28 mai (complet), à l'Olympia le 2 décembre et le 12 avril elle chantera chez elle, à Nantes (il reste quelques places), avant Bourges, La Rochelle, Lyon, Paris, etc. Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Aquesta setmana al Males Vibracions fa olor a vaca! Rubén, Òscar i Andreu, (el Bo, el LLeig i el Dolent) s'enfronten als Fucking Cowboys més temuts del rock! Però no patiu que la cosa no acaba a tirs. Simplement no ens venem com diu el tito Rosendo. El "Rodeo" comença amb novetats, tenim una Agenda Vibradora en parades a Castelló i València i acabem pasturant vaques en forma de cançó, per cert alguna molt vella. Iiiiiiha! Llistat: Leño - No se vende el Rock&Roll; Bar-B-Q Killers - Chester Drawers; The Capellas - Zig Zag Wanderer; The Hives - Enough is enough; Ander Troys - Por ti; Teo Wise - Colpo in Cana; The Kenneth Brian Band - Rimrock; Toni Porcar - El Single del millón; Soul Bandidos - Chuck Berry; Los Monstruos de Frankenstein - Tu novia es un alien; Los H.H. - Escucha Cowboys; Adriano Celentano - Napoleone il Cowboy e lo Zar; Ratones Paranoicos - Cowboy; The Neatbeats: Cowboy on mars; Roy Rogers - Hi.yo Silver; LeadBelly - Westernplan (When I was a Cowboy); Thin Lizzy - Cowboy song.
Entre 2017 et fin 2023, Clémence vit une histoire d'amour sérieuse. Au cours de la relation, elle dépense 12.400€ pour sa compagne, avec l'achat d'une voiture et le remboursement d'un prêt. Malheureusement, cette dernière décide de quitter Clémence en décembre 2023. Une reconnaissance de dette est alors signée. L'ex-conjointe rembourse 6.400€, mais ne souhaite pas payer les 6.000€ restants correspondant à l'achat du véhicule. Pourtant, c'est elle qui est partie avec cette fameuse voiture... Thomas Renard, journaliste pour l'émission, éclaircit quelques aspects du dossier ! Au micro de Chloé Lacrampe, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:21 - Est-ce que tous les hortensias se taillent au même moment ? Qu'en est-il pour les "vanille-fraise" ? - Jean-Paul, notre jardinier d'ici Orléans, conseille Alexandra sur la taille de ses hortensias vanille-fraises. Il lui explique que le meilleur moment pour tailler ces hortensias est maintenant, en coupant les branches à environ 20 cm du sol. Les conseils de Jean-Paul pour une taille réussie !
Un aîné de 71 ans subit son procès pour importation d'héroïne. Une policière portée disparue et potentiellement en danger. Un coup de pied en pleine face pour dénouer une enquête! Faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l'agence QMI.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
In episode 234 of our SAP on Azure video podcast we continue our coverage of SAP and Microsoft Fabric integration. We really see a huge interest from customers on how to integrate SAP data with Fabric. Luckily the open mirroring platform functionalities make the integration quite easy. In the past few episodes we already had partners like dab and Simplement who offer out of the box solutions for this kind of integration, but also Interdobs and Powerdobs who showed how to integrate via SAP Datasphere. This time we start with the partner asapio followed by Theobald who also have worked on an out of the box integration of SAP data into Microsoft Fabric. AsapioMicrosoft Fabcris Connector - ASAPIO: https://asapio.com/fabric-connector/TheobaldTheobald Xtract Universal - https://theobald-software.com/en/microsoft-fabric/Find all the links mentioned here: https://www.saponazurepodcast.de/episode234Reach out to us for any feedback / questions:* Robert Boban: https://www.linkedin.com/in/rboban/* Goran Condric: https://www.linkedin.com/in/gorancondric/* Holger Bruchelt: https://www.linkedin.com/in/holger-bruchelt/ #Microsoft #SAP #Azure #SAPonAzure #Fabric #OpenMirror #Data #BW
La motion pour une estimation plus fiable des recettes de l'Etat est étudiée, ce jeudi soir, par le Grand Conseil. Une motion alors que les comptes devraient une nouvelle fois excédentaire pour 2024. Le député Vert, Julien Nicolet-dit-Felix, auteur de la motion, était invité de Béatrice Rul, à 7h30.Vous avez déposé cette motion pour une estimation plus fiable des recettes de l'Etat. Elle est étudiée au Grand Conseil, ce jeudi soir. Car depuis quelques années, il y a une grande différence entre le budget prévu et les comptes qui sont bien meilleurs. Un point positif, il vaut mieux que ce soit dans ce sens là… "Oui, on peut se réjouir effectivement, qu'on anticipe recevoir moins que ce qu'on reçoit, on peut être heureux. Simplement, cet écart va croissant, il est énorme. Le budget de l'Etat c'est de l'ordre de 10 milliards de francs, les deux dernières années, on avait 2 milliards d'erreurs sur cette prévision de recettes. Et simplement, lorsqu'on établit le budget à l'automne et qu'on a des chiffres qui sont sous-estimés d'une ampleur pareille, de 2 milliards, il manque 2 milliards. Ces 2 milliards, on ne peut pas les transformer en prestations, en services que la population a besoin, que la population désire, ce qui fait qu'on a une politique qui est beaucoup trop modeste par rapport à ce que l'Etat devrait offrir à la population. On se retrouve une année et demie avec des comptes mirifiques, mais on a de l'argent qui n'aura servi à rien".La difficulté pour Genève c'est aussi que l'économie est portée par la finance, le trading des matières premières. Des secteurs qui ont été bouleversés par des événements imprévisibles comme la guerre en Ukraine…"Oui, tout à fait, il n'est pas du tout question d'incriminer les fonctionnaires, il est question d'incriminer la méthode employée par le département des finances, c'est l'objet de la motion, c'est-à-dire qu'il faut réfléchir aux méthodes qu'on emploie, se demander pourquoi elles dysfonctionnent, regarder pourquoi dans les autres cantons ça fonctionne bien mieux, et adopter des meilleures pratiques pour avoir des valeurs qui soient un tout petit peu plus crédibles. Tout ça, à nouveau, pour pouvoir servir la population.Vous proposez que le budget soit établi sur les recettes effectives de l'année précédente, sauf exception. Si on se base ainsi, on risque de mauvaises surprises… "Ça peut être problématique si effectivement il y a une dépression soudaine qui arrive, mais qui serait absolument majeure. Ce n'est jamais arrivé au cours des 20 dernières années. Cette méthode aurait même fonctionné à l'époque Covid, pour dire à quel point on a de la marge. Par ailleurs, on a un outil qu'on appelle la réserve conjoncturelle, qui permet d'accumuler de l'argent en quatre coups durs, cette réserve, elle est pleine à ras bord, on n'arrive plus à la remplir, il y en a un milliard".
Aujourd'hui, nous nous intéressons à la monnaie libre June G1 avec Alexis Gora, utilisateur et facilitateur du réseau. Comment fonctionne cette crypto unique ? Pourquoi est-elle différente du Bitcoin ? Peut-elle vraiment changer notre manière d'échanger et de créer de la valeur ?Dans cet épisode, on explore :✅ La philosophie de la June et son modèle économique✅ Les différences fondamentales avec le Bitcoin✅ Le fonctionnement de sa blockchain et son passage à Polkadot✅ La toile de confiance : une identité numérique décentralisée✅ L'avenir de la monnaie libre et son adoption mondiale
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !Si vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrière Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In episode 232 of our SAP on Azure video podcast we talk about Microsoft Fabric and SAP. Some episodes back we started to talk about SAP and the integration in Fabric using Open Mirroring. One of the key highlights there was the platform aspect. Fabric allows partners to plug into the Open Mirroring concept and bring their solutions. In following episodes we had already partners like dab and Simplement joining us, talking about their solution. Today we want to continue to look at partners who extend the integration of SAP solutions into Fabric. Interdobs and powerdobs are interesting partners in this regards, because they designed a Datasphere-based open mirroring service offering. To tell us more about their solutions, I am happy to have Ronald, Ernst, Tim and Martijn from Interdobs with us today. Find all the links mentioned here: https://www.saponazurepodcast.de/episode232Reach out to us for any feedback / questions:* Robert Boban: https://www.linkedin.com/in/rboban/* Goran Condric: https://www.linkedin.com/in/gorancondric/* Holger Bruchelt: https://www.linkedin.com/in/holger-bruchelt/ #Microsoft #SAP #Azure #SAPonAzure #Data #Datasphere #MSFabric
L'année 2024 a été marquée par l'essor très rapide de l'intelligence artificielle avec l'envolée du cours de certaines valeurs tech avec Nvidia en tête de file. Cette dynamique peut-elle se poursuivre en 2025 ? Comment va se poursuivre la révolution IA dans l'économie et comment en tirer parti en tant qu'investisseur particulier.Sur le plateau de 100% ETF, Hadrien Houalla vendeur Wealth, chez BlackRock répond à toutes ces questions. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Le député RN Jean-Philippe Tanguy critique sévèrement les relations franco-algériennes. Il dénonce le régime d'Alger pour non-respect du droit international et propagande anti-française. Il attaque la députée LFI Rima Hasnaoui, l'accusant de proximité avec les Frères musulmans, et critique le ministre Bruno Le Roux pour avoir permis l'entrée de récitateurs coraniques algériens. Tanguy défend le retour à la retraite à 62 ans et condamne la fermeture de C8 par l'ARCOM, qu'il qualifie de décision politique du "régime macroniste".Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:25:07 - Bernard de Bosson, pianiste de jazz, ancien directeur de Warner Music et président des victoires de la musique (5/5) - par : Jérôme Badini - Bernard de Bosson aime les gens et cela s'entend. En particulier les artistes qui le lui rendent bien, appréciant ce personnage de roman, tout en superlatif. Il est la mémoire vivante de la musique enregistrée des soixante dernières années et il en demeure l'un des producteurs les plus respectés. - réalisé par : Béatrice Trichet
Practice, Progress, and Learn French Through Culture! Join 50k+ intermediate learners receiving my FREE weekly newsletter. Every Sunday, get personal stories from my life and travels in France to immerse yourself, practice your skills, and make real progress.
durée : 00:03:52 - 100% PSG - Le billet - Nasser Al-Khelaïfi a été mis en examen cette semaine dans l'affaire Lagardère. Depuis le Qatar ferait fuiter une envie de retrait de ses investissements en France. Romain Beddouk ne croit pas à cette menace.
Les News du rugby (U20, REC 2025, Pro D2, Groupe France) - L'AVION du 6 Nations (Retour sur ITAvGAL et ECOvIRL) - Retour sur ANGLETERRE 26-25 FRANCEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entretien mené Marie-Madeleine Rigopoulos Dans un futur proche, la Joconde disparaît. Elle n'est pas volée. Elle n'est pas détruite par un attentat quelconque. Simplement, elle tombe en poussière. D'autres œuvres suivent. C'est en soi un fait grave, mais les conséquences sur l'existence même de l'humanité vont se révéler immenses. L'avenir raconte la vie de certains amoureux fervents de cette peinture : Li Fang, visiteur chinois de la Joconde ; Saverio Besagiratu, conservateur au Louvre ; Ismaël Ackerman, historien de l'art juif et allemand, spécialiste des œuvres d'art disparues, qui part à la recherche des dernières caches nazies. Il est aussi et peut-être surtout question de Prudence, une jeune orpheline haïtienne douée d'un pouvoir d'empathie étrange, et qui ne connaît rien de tout cela lorsque cette histoire commence. Il suffirait que deux êtres trouvent à s'aimer pour qu'ils échappent au futur désastreux de la Terre et lui donnent un avenir. Il s'agit, en somme, de refaire l'amour et le monde, entièrement, comme toujours. À lire – Stéphane Audeguy, L'avenir, coll. « Fiction & Cie », Seuil, 2025
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 22/01/2025, il est question du financement de la protection sociale et de la ministre du Travail qui veut taxer les retraités qui "peuvent se le permettre". Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Suite à l'invalidation par la Cour constitutionnelle du second tour de la présidentielle en Roumanie, l'extrême droite manifeste. Elle estime que le candidat Calin Georgescu, arrivé en tête, a été injustement écarté. Pour motiver l'annulation du scrutin, des soupçons de financement illégaux, ainsi que des ingérences sur le réseau social TikTok, sans doute par la Russie, ont été évoquées. Mais l'enquête n'a pas encore rendu ses conclusions, ni publié les preuves. Les manifestants étaient près d'un millier, samedi 18 janvier, rassemblés dans une rue étroite du centre-ville de Bucarest, la capitale de la Roumanie. Entre le tintamarre des vuvuzelas et des sifflets, les protestataires ont demandé la reprise du second tour de la présidentielle. Au milieu de la foule, Antonia, 19 ans, enlace son compagnon, Matteï, 22 ans. Les deux étudiants sont venus protester contre l'invalidation du premier tour par la Cour constitutionnelle, le 6 décembre 2024.« La Cour constitutionnelle de Roumanie a annulé ces élections complètement, du jour au lendemain, quelques heures avant de pouvoir voter en Roumanie. À l'étranger, on votait déjà. Et puis, ils ont dit que non, on annule et c'est irrévocable. Et finalement, ils n'ont pas trouvé de preuves concrètes puisque Georgescu les a attaqués devant la justice et ils n'ont pas pu dire pourquoi. Simplement, ils ont dit que non, on annule cela, sans preuves qui soutiennent cette décision », croit savoir Antonia.La jeune femme parle français car elle a grandi au Québec et est revenue avec sa famille en Roumanie en 2022. Elle n'a manqué aucune des manifestations initiées par les partis souverainistes qui ont lieu chaque semaine depuis début janvier. Son compagnon, Matteï, en master d'économie internationale, dénonce lui aussi un manque de transparence : « Je voudrais que l'on organise un second tour, car je considère que c'était le choix du peuple. Nous n'avons pas reçu d'explications claires et je ne pense pas que des spéculations sont de bonnes raisons pour annuler cette élection. »Dans le hall d'un hôtel de la capitale, le politologue Sergiu Mişcoiu reconnaît que la situation soulève des questions et que le statu quo observé par les partis au pouvoir ne fera que renforcer les partis nationalistes. « On a vécu les dix dernières années dans une sorte de bulle en croyant que nous sommes très pro-européens, que la Roumanie est un pays rempart de la démocratie libérale. Et malheureusement, ce discours-là a permis aux partis, notamment aux libéraux et aux sociaux-démocrates, de s'isoler du reste de la population, d'avoir une sorte d'entre soi dans les décisions prises », déplore-t-il.La Cour constitutionnelle a invalidé le premier tour suite à la déclassification de documents des services de renseignement. Des documents qui mentionnent des manipulations graves sur TikTok et d'autres réseaux sociaux en faveur du candidat d'extrême-droite, Calin Georgescu, mais aussi des soupçons d'ingérences russes et des financements illicites pour sa campagne, alors qu'il n'a déclaré aucune dépense. Comme le revendiquent les protestataires, les preuves concrètes n'ont pas été présentées au public par les autorités.À lire aussiSoupçons d'ingérence russe en Roumanie: l'UE annonce une enquête contre TikTokUn reportage à retrouver en entier dans l'émission Accents d'Europe.
Firmám môže pomôcť znížiť náklady a zvýšiť tržby až o 30 percent. Pre malé a stredné podniky je však často bariérou nedostatok informácií „Digitalizácia nie je len pre veľké firmy. Je to cesta, ako zefektívniť procesy a ušetriť čas aj v malých podnikoch,“ hovorí Martin Karol, spolumajiteľ a CSO spoločnosti Simplement. Upozorňuje, že na úvod je dôležité urobiť si prvotný audit, čo jednotlivé oddelenia firmy potrebujú, a podľa toho mieru digitalizácie ďalej nastavovať. Kľúčovými faktormi úspešnej digitalizácie sú správne stanovenie cieľov a ich dôsledné dodržiavanie. „Problémy vznikajú, ak je cieľ zle definovaný alebo ak sa nastavené ciele nedodržiavajú. A zároveň treba pri tom uvažovať dlhodobo, nie krátkodobo.“ dodáva odborník na digitalizáciu. Zásadnou súčasťou procesu je zapojenie zamestnancov, ktorí majú možnosť ovplyvniť, ako bude digitalizácia vyzerať a čo im skutočne pomáha pri práci. To výrazne zvyšuje šancu, že digitalizácia prinesie očakávané výsledky. „Merateľné výsledky sú najčastejšie znížená administratívna činnosť, šetrenie času a zníženie nákladov. Pri používaní modulov ako napríklad CRM, firmy pozorujú až 20- až 30-percentný nárast tržieb, a to v horizonte jedného roka,“ uvádza odborník. Napriek týmto výhodám mnohé malé firmy stále váhajú. „Väčšinou sú bariéry v nedostatku informácií. Malé podniky si myslia, že digitalizácia je určená len pre veľké firmy,“ upozorňuje Martin Karol. Digitalizácia však nie je len nástrojom pre korporácie. Práve malé a stredné podniky majú potenciál rastu, ktorý môžu prostredníctvom nej naplno využiť. Navyše, digitalizácia zvyšuje konkurencieschopnosť, čo je v dnešnom rýchlo sa meniacom prostredí kľúčové. Celý videorozhovor si môžete pozrieť tu: https://www.trend.sk/trendy-v-biznise/martin-karol-simplement-digitalizacia-prinasa-rast-trzieb-setri-cas-firmam?itm_brand=trend&itm_template=listing&itm_modul=articles-rubric-list&itm_position=1
Joao Lourenço est en visite d'État à Paris, où il sera reçu ce jeudi matin par son homologue français Emmanuel Macron. Que vient faire le président angolais en France ? Il espère y trouver un soutien pour diversifier son économie, trop dépendante du pétrole. Mais il compte aussi renforcer son partenariat politique avec la France, au moment où sa médiation entre le Rwanda et le Congo-Kinshasa traverse un trou d'air. Explications de Didier Péclard, professeur de sciences politiques et d'études africaines à l'Université de Genève. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : L'enjeu de cette visite de Joao Lourenço, il est d'abord politique ou économique ? Didier Péclard : C'est un peu les deux, bien sûr, mais disons, sur le plan politique, ce qui est très important pourJoao Lourenço, c'est de continuer à se profiler comme un acteur important sur la scène africaine. L'Angola, depuis longtemps, cherche à être comme ça : cette puissance du milieu de l'Afrique avec le Nigeria au Nord et puis l'Afrique du Sud pour la partie australe. Et l'Angola, depuis la fin de la guerre civile en 2002, en fait, a fait beaucoup d'efforts pour se positionner comme un acteur important sur la scène africaine, ce qui sera encore renforcé cette année avec le fait que l'Angola prendra la présidence tournante de l'Union africaine. Alors justement, côté politique, Joao Lourenço a essuyé un échec le 15 décembre 2024 avec le refus du Rwandais Paul Kagame de se rendre à la conférence tripartite qui était prévue à Luanda avec le Congolais Félix Tshisekedi. Est-ce que Joao Lourenço ne va pas finir par se lasser d'essayer de faire la médiation entre le Congo et le Rwanda ? C'est possible effectivement, mais je crois qu'en même temps, c'est un enjeu très important pour l'Afrique. Et en tant que président de l'Union africaine, ce serait d'autant plus important d'arriver à obtenir un accord et, en même temps, je pense que d'obtenir un succès, ce serait vraiment quelque chose qui lui donnerait une stature internationale importante et qui lui permettrait aussi de s'extraire des difficultés politiques et économiques à l'intérieur du pays. Donc, je pense qu'il va continuer. C'est difficile, bien sûr, mais je pense plutôt qu'il continuera. Est-ce que Joao Lourenço a un intérêt politique ou économique interne pour l'Angola au fait qu'il y ait la paix entre le Congo et le Rwanda ? Pas directement, je pense, mais l'instabilité à l'est de la RDC peut avoir des effets négatifs sur un des projets phares actuels, qui est le fameux corridor de Lobito dont on a beaucoup entendu parler lors de la visite de Joe Biden récemment en Angola. Et là aussi, bien sûr, la stabilité est importante pour la poursuite de ce projet. Le corridor de Lobito est un enjeu économique très important pour le président angolais et Joe Biden, le président américain, l'a souligné lors de sa visite sur place le 2 décembre 2024. Est-ce à dire que l'Angola va s'éloigner de la Chine au profit d'une alliance avec les Occidentaux, comme les États-Unis et la France ? Bon, je crois que ça fait partie d'une stratégie de long terme, en fait, que des pays comme l'Angola poursuivent. Les régimes angolais sont passés maîtres dans l'art de jouer leurs alliances respectives, les unes contre les autres. Et je crois que le cas du corridor de Lobito s'inscrit tout à fait dans cette stratégie-là, c'est-à-dire que c'est d'abord un chemin de fer qui a été reconstruit grâce à des capitaux chinois et les entreprises chinoises dans les années 2000. Et, à la surprise de tout le monde, au moment où le gouvernement angolais a octroyé la concession pour l'exploitation de cette ligne pendant 30 ans, ce n'est pas un consortium chinois qui a remporté la mise, mais un consortium plutôt occidental. C'est un bon exemple, je crois, de la façon qu'a le régime angolais de s'allier alternativement ou de pencher alternativement, plutôt du côté occidental, plutôt du côté chinois, pour maintenir la pression sur ses différents alliés. Donc, si les États-Unis et l'Europe veulent faire de l'Angola un rempart contre l'influence de la Chine, ils se bercent d'illusion ? Oui, je crois. L'Angola reste le principal partenaire économique et financier de la Chine en Afrique subsaharienne. Il n'y a pas de raison de penser que ça va changer complètement. Simplement, cette idée qu'on a pu avoir que l'Angola ou le gouvernement angolais se livrait pieds et poings liés à la Chine est fausse. À l'heure où l'Afrique de l'Est est dominée par la présence chinoise, à l'heure où l'Afrique de l'Ouest est de plus en plus sous l'influence de la Russie, est-ce que l'Angola n'est pas l'une des dernières portes d'entrée en Afrique pour les Occidentaux ? C'est possible effectivement et je pense que Joao Lourenço a tout à fait saisi cela et va jouer cette carte. Mais tout en sachant bien que son propre intérêt ou l'intérêt du gouvernement angolais n'est pas de se mettre à dos ses partenaires chinois, bien au contraire. Il s'agit de continuer à avoir une bonne relation. D'ailleurs, la dette envers la Chine est colossale, donc ne serait-ce que pour cela, il est important aussi que les canaux de communication fonctionnent et que l'entente avec la Chine continue à être bonne. Lors de sa visite en Angola le mois dernier, le président américain Joe Biden a annoncé 600 millions de dollars supplémentaires pour construire le corridor de Lobito, est-ce que Donald Trump va poursuivre la même politique ? Il y a de fortes chances que ce soit le cas effectivement, parce que c'est un lieu important de la concurrence globale entre la Chine et les États-Unis. Donc, il y a fort à parier que cet investissement continuera effectivement et qu'en même temps la compétition continuera également. À lire aussiVisite de Joe Biden en Angola: le corridor de Lobito au centre des enjeuxÀ lire aussiEchec du sommet de Luanda: «On est une nouvelle fois dans l'impasse»
durée : 00:03:23 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - La metteuse en scène Julie Duclos donne une version concentrée de la pièce de Bertolt Brecht sur la montée du fascisme en Allemagne, dans un spectacle dont la sobriété sert la gravité.
Au téléphone, elle avait dit "je veux juste jouir, simplement, pas de sodomie". Il savait ce qu'elle désirait. Il était prêt. Depuis quelque temps déjà, ils avaient remarqué le petit jeu du voisin d'en face, celui qui semblait mater depuis son côté de la rue. Malgré le filtre anti-regard posé sur la vitre de leur maison. Texte original par Oglee Oglee (https://x.com/OgleeOglee44) Trame sonore par Samuel Mazzotti (https://linktr.ee/samazzotti) preneur de son, mixeur, podcasteur et créateur de sons. Voix Supernova (https://www.deferlante.be/) créatrice, plume et voix du podcast érotique Déferlante. Special Guests: Oglee Oglee and Samuel Mazzotti.
En Guinée Conakry, le référendum constitutionnel pourrait avoir lieu au mois de mai et les élections générales au mois d'octobre. C'est le calendrier que dévoile le porte-parole du gouvernement sur RFI. Ousmane Gaoual Diallo s'exprime aussi sur Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, six mois jour pour jour après la disparition forcée des deux leaders de la société civile. De passage à Paris, Ousmane Gaoual Diallo, à la fois ministre des Transports et porte-parole du gouvernement guinéen, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Voilà 6 mois, jour pour jour, que les 2 leaders du FNDC, Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah ont été enlevés à Conakry par des hommes en uniforme. Depuis le 9 juillet, on est sans nouvelles d'eux. Quelles sont vos informations à leur sujet ?Ousmane Gaoual Diallo : Écoutez, je pense que le ministre de la Justice ou le procureur général devrait faire un point de situation. Nous attendions ce point en fin d'année, au mois de décembre, puisque les enquêtes sont ouvertes de ce point de vue-là, et je pense que, très rapidement, ils devraient prendre la parole pour donner plus amples informations sur l'évolution de l'enquête.Est-ce que ça veut dire que on va avoir la confirmation qu'ils ont bien été enlevés par des forces qui dépendent des autorités guinéennes, sans doute des forces spéciales ?Ça, nous sommes catégoriques là-dessus : ils n'ont pas fait l'objet d'enlèvement par les autorités, par les institutions, par les forces spéciales ou des agents de police judiciaire. Simplement, les témoins de leur enlèvement sont formels : ils ont été kidnappés par des hommes en arme et en uniforme militaire. Donc, même s'ils n'ont pas été enlevés par des forces officielles, beaucoup pensent qu'ils ont tout simplement été kidnappés par un service secret qui n'obéit qu'aux militaires du CNRD.C'est difficile, parce que nous ne connaissons pas l'existence de services secrets qui n'obéissent qu'au CNRD. Donc, ça ne repose pas sur des faits vérifiables.Est-ce que Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah sont vivants ?J'espère qu'ils sont vivants. Je prie Dieu qu'ils soient vivants, moi, je ne peux pas nourrir l'idée qu'ils soient morts, parce que ce serait connu. Je pense que c'est peut-être plus facile que des gens restent vivants sans donner de nouvelles, mais les morts, elles parlent tout de suite. Je crois qu'ils sont vivants, j'espère qu'ils sont vivants et je pense que c'est l'attente de tout le monde, des autorités comme des citoyens de ce pays.Autre sujet très préoccupant pour l'opinion publique guinéenne et internationale, c'est la condamnation ce 7 janvier à 2 ans de prison de l'opposant Aliou Bah pour offense au chef de l'État. La Fondation de l'innovation pour la démocratie, par exemple, que dirige Achille Bembé, dénonce « la volonté du pouvoir guinéen de faire taire ou de pousser à l'exil toute voix dissidente ».Ça, c'est le discours qui est entretenu. Mais il faut faire la distinction entre la critique et la diffamation, parce que la diffamation est sanctionnée pénalement alors que la critique, elle est acceptée dans les démocraties en construction que nous essayons de faire dans nos pays. Donc, il ne faut pas considérer que ce soit une volonté des autorités de museler ou de pousser à l'exil. Aucun responsable politique n'est poussé à l'exil, à ce jour, pour des faits liés à la liberté d'expression ou à des critiques.Oui, mais franchement, deux ans de prison pour une prétendue offense au chef de l'État ? Je ne vais pas commenter cette action, d'autant mieux que c'est un processus judiciaire qui est en cours. J'ose espérer qu'ils seront plus cléments à l'étape suivante.Oui, parce que les avocats font appel ?Voilà, exactement. Donc, j'ose espérer qu'ils seront cléments et que cela va amener aussi à développer des discours plus apaisants, pour faire en sorte que le vivre-ensemble dans notre pays soit quelque chose d'important pour chaque acteur.Voilà 3 ans que les militaires du CNRD sont au pouvoir pour redresser la situation du pays. Et pourtant, la population continue de protester contre la vie chère. Qu'est-ce que vous répondez à ceux qui disent que vous n'avez pas un bon bilan ?Beaucoup de choses ont connu des améliorations substantielles, au niveau du pouvoir d'achat, de l'offre de la prise en charge sociale, parce que les salariés guinéens ont une prise en charge de plus de 70% des coûts des soins, et ça, c'est quelque chose de nouveau. Il y a une augmentation considérable des revenus. D'ailleurs, à l'occasion du discours de l'an, le chef de l'Étata annoncé une augmentation de 30% du traitement indiciaire des fonctionnaires. Il faut profiter des investissements importants qui arrivent dans le pays pour que les populations puissent bénéficier du développement économique et des investissements nouveaux qui arrivent.Le président de la transition, le général Mamadi Doumbouya, avait promis de quitter le pouvoir avant le 31 décembre 2024. Il ne l'a pas fait et à ses vœux du Nouvel An, il a déclaré que la date du référendum constitutionnel serait annoncée lors de ce premier trimestre. Est-ce que vous pouvez nous en dire plus ?En tous les cas, l'exigence du chef de l'État est de faire en sorte que le référendum ait lieu avant la fin du premier semestre. Donc, dans les prochains jours, je pense que le ministère de l'Administration du territoire devrait nous donner un calendrier plus précis. Donc il ne reste plus qu'à élaborer un fichier électoral et à aller à ce référendum qui est attendu pour le retour à l'ordre constitutionnel.Donc, un référendum avant le 30 juin ?Avant le 30 juin.Au mois de mai ? Probablement au mois de mai.Et les élections générales ?Les élections alors présidentielles qui devraient suivre, je pense, ou les élections législatives, ne pourraient peut-être intervenir qu'au début du 4e trimestre, au mois d'octobre. Parce que on a une longue période pluvieuse qui n'est pas propice à l'organisation des élections. Je pense qu'il faut compter à partir de septembre, octobre pour les élections suivantes.À lire aussiGuinée: six mois sans nouvelles des opposants Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah À lire aussiGuinée: Conakry paralysée par une manifestation contre la prolongation de la transition
REDIFF - En France, la tradition c'est de s'embrasser sous le gui à minuit. Pourquoi du gui ? Simplement parce qu'il était considéré comme porte-bonheur par les Celtes, comme ses feuilles restent vertes même en plein hiver, ils en ont fait un symbole d'immortalité et donc de bonne santé. Mais, en Espagne, là ce n'est pas le gui qui compte à minuit, mais le raisin. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.
Aujourd'hui, Frédéric Farah, Zohra Bitan et Emmanuel de Villiers, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Programa 5x67, amb Jordi Cubino. Ara s
Dans ce vingt-quatrième et dernier épisode de La Maison du Père-Nolille, rencontre Claire, fondatrice d'Escapades vers soi, une entreprise dédiée au bien-être, à la reconnexion et aux moments précieux que l'on s'accorde à soi-même.
Avec Cyril Béghin, Sandra Alvarez de Toledo & Anaïs Masson Un parcours dans l'œuvre de Chantal Akerman au travers d'un montage de lectures de ses textes, de projections d'images et de films, d'extraits radiophoniques. Une proposition de Cyril Béghin, Sandra Alvarez de Toledo et Anaïs Masson. « J'ai toujours eu le désir d'écrire. Des nouvelles, des romans ou des textes comme ça, sans qu'il y ait forcément une histoire. Du langage. Un mot après l'autre. Cela peut s'appeler récit, monologue. N'importe. Simplement, j'ai eu peur de ne faire que ça. La peur de rester chez soi et de se perdre. Je savais qu'en écrivant des films, je sortirais de ma chambre. » « Angles de vues », Entretien avec Chantal Boiron, Les Lettres françaises, n°19, avril 1992 À lire – Chantal Akerman, Œuvre écrite et parlée, édition établie par Cyril Béghin, L'Arachnéen, 2024
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des débats enflammés avec sa Dream Team composée de Christophe Dugarry, Emmanuel Petit, Jean-Michel Larqué, Eric di Meco, Pascal Olmeta, Jérémy Menez et deux recrues : Andy Delort et Steve Savidan. Julien Cazarre propose son journal du foot : Le Cazarre enchainé ainsi qu'un quizz Rothen contre le reste du monde.
durée : 00:28:51 - Le Feuilleton - " C'est le propre de l'être humain que de s'attacher à décrire les évidences lorsqu'il n'ose pas interroger sur l'essence, êtes-vous triste, les enfants sont-ils vivants, Ásta vous manque-t-elle affreusement ? "
durée : 00:28:51 - Le Feuilleton - " C'est le propre de l'être humain que de s'attacher à décrire les évidences lorsqu'il n'ose pas interroger sur l'essence, êtes-vous triste, les enfants sont-ils vivants, Ásta vous manque-t-elle affreusement ? "
Au Gabon, nous sommes à J-2 avant le référendum constitutionnel prévu samedi 16 novembre. Les partisans du « oui » et du « non » ont labouré le terrain depuis près de dix jours pour tenter de convaincre les électeurs de voter pour leur point de vue. Le Premier ministre et coordinateur national de la campagne pour le « oui » est le Grand invité Afrique de ce matin. Raymond Ndong Sima explique pourquoi les Gabonais devraient voter « oui » dans deux jours et tente de rassurer les tenants du « non ». Il répond aux questions de Esdras Ndikumana. RFI: Raymond Ndong Sima, pourquoi, selon vous, cette Constitution est-elle bonne pour le Gabon ?Raymond Ndong Sima : En premier lieu, nous sommes dans une situation transitoire depuis maintenant 14 mois et qu'il faut bien sortir de la transition pour aller vers une situation normale. Or, je rappelle que la Constitution qui est en vigueur, lorsque les militaires prennent le pouvoir le 30 août [2023, NDLR], est une Constitution de 2023 qui comportait un ensemble d'anomalies, pour ne pas dire d'infamies, comme on a pu le voir à l'occasion des élections où le président de la République était maintenant candidat en ticket avec chacun des députés. Donc, oui, c'est une Constitution qui est bonne, il faut bien en sortir.Quelles avancées portent-elles ?Les avancées, il y en a un certain nombre. Certaines concernent directement les précisions qui ont été apportées sur les conditions à remplir par les différents candidats. D'autres portent sur l'organisation du pouvoir lui-même en tant qu'architecture générale de l'État. Je pense qu'il y a un certain nombre de points que les spécialistes ont énumérés. Si on les prenait un à un, on verrait exactement à quoi ça correspond.L'une des dispositions les plus controversées de ce projet de Constitution est celle qui instaure un régime présidentiel jugé très fort. Les partisans du « non » parlent de l'intronisation d'un monarque au pouvoir. Quelle est votre réaction ?Je suis mal à l'aise sur ce point précis pour la raison très simple que je suis Premier ministre en fonction et que ce point-là, précisément, conduit à la suppression du poste de Premier ministre. Mais vous savez, on ne discute pas des affaires de l'État pour son compte personnel. On en discute dans le sens de l'intérêt général. Je rappelle que deux de mes anciens prédécesseurs à la fonction du Premier ministre ont indiqué que, pour eux, il fallait supprimer la fonction de Premier ministre parce que celui-ci avait des pouvoirs fictifs, donc il valait mieux établir une clarté dans la liaison entre les pouvoirs décrits et les pouvoirs exercés. Donc, dès lors que le plus gros des personnes qui sont concernées se prononcent en faveur de quelque chose, je ne vois pas pourquoi je m'y opposerai.Mais sur la question précise de l'intronisation d'un monarque au Gabon, qu'est-ce que vous répondez ?Je voudrais bien qu'on me montre ce qu'on appelle le monarque intronisé. Lorsque l'on prend les dispositions de la Constitution qui était jusque-là, nous avions un président de la République qui définissait la politique de la Nation et un Premier ministre qui conduisait cette politique. Mais, en pratique, nous avions un président de la République qui était président du Conseil supérieur de la magistrature – ce n'est pas une nouveauté –, nous avions un président de la République qui avait à son actif la possibilité de nommer un Premier ministre et de le révoquer – admettons –, ce n'est pas une nouveauté. Quelle est aujourd'hui la différence avec ce qui se passait ? Je vois qu'il n'y a pas de très grande différence. Je pense qu'on est en train de faire des jeux de mots, mais la réalité est que le président de la République disposait déjà de tous les pouvoirs qu'il a aujourd'hui et qu'on clarifie purement et simplement.Le président peut par exemple dissoudre l'Assemblée, mais le Parlement n'a que la haute trahison comme moyen de pression contre lui. Est-ce que ce déséquilibre des pouvoirs n'est pas dommageable ?Écoutez, tous les cas de figure sont dommageables. On peut imaginer que telles situations soient dommageables. Moi, j'ai indiqué - si vous m'avez écouté dans mes interventions dans la campagne - clairement que nous sommes dans un cas de figure où il faut prendre une décision à un moment donné. Nous verrons bien, dans la pratique, si ça pose des problèmes, comment on fait pour revenir dessus. En effet, on peut avoir le sentiment que le président disposant de la possibilité de dissoudre d'un côté et le Parlement n'ayant pas la possibilité de le destituer de l'autre, ça crée un déséquilibre, c'est une possibilité. Est-ce que pour autant on a un monarque ? Je ne sais pas.Alors, pour soutenir le choix pour le « non », les partisans du rejet regrettent la concentration des pouvoirs entre les mains du chef de l'État. La justice, par exemple, va rester sous son contrôle. Que leur répondez-vous ?Vous savez, le processus qui a été conduit pour arriver au point où nous sommes, on l'a lancé en octobre 2023 en demandant aux uns et aux autres d'apporter des contributions sur le diagnostic de la situation du pays et sur les solutions qu'ils proposaient pour corriger les déséquilibres qui apparaissaient. Je rappelle que ce processus, qui s'est déroulé pendant deux mois, a été suivi ensuite d'un dialogue national. Je pense que les arguments qu'ils invoquent maintenant, ils auraient dû les présenter au moment du dialogue national.Et contre le fait que c'est, au final, le président Brice Oligui Nguema qui a choisi les éléments qui devaient rentrer dans la Constitution.En fait, à qui faites-vous allusion quand vous dites les adversaires de cette...Ceux qui prônent le « non ».J'entends beaucoup de critiques et cetera, mais je rappelle qu'un débat a eu lieu pendant un mois à Angodjé, sur différents aspects, sur les questions constitutionnelles et cetera. Je n'ai pas entendu qu'ils ont déposé ces arguments à ce moment-là. Ensuite, lorsque le débat a eu lieu à l'Assemblée nationale, lorsque le texte a été transmis au Parlement en congrès, il y a eu beaucoup d'auditions là-bas. Est-ce qu'ils ont fait valoir les arguments à cet endroit ? Je ne sais pas très bien.Est-ce que finalement le Gabon ne court-il pas le risque de connaître les mêmes travers que sous le régime déchu, les mêmes causes produisant les mêmes conséquences ?Oui, c'est possible. C'est toujours possible, dans tous les cas de figure au monde, qu'on retrouve les mêmes travers. Mais est-ce que nous pouvions rester dans une position transitoire infinie ? La question, c'est : quelle est la contre-proposition qui a été faite ? Vous savez quel est le grand théorème de l'impossibilité d'agrégation ? Quand on a un texte qui fait 175 articles, est-ce que vous croyez qu'on peut tomber d'accord : la totalité des gens, les citoyens de ce pays, sur les 175 articles ? À un moment donné, il faut bien sortir de la transition. Et c'est vrai qu'il y a des points qui peuvent poser problèmes, mais dans la pratique, on verra comment ils vont se déployer, comment ils vont se dérouler. Autrement, on resterait sur place. Et moi, je considère que, à un moment donné, il faut sortir de la boucle dans laquelle on se trouve. On est dans la boucle transitoire, il y a des propositions qui sont faites, il y a beaucoup de choses qui ont été modifiées, assouplies. Je vous rappelle les questions sur la nationalité, je vous rappelle les questions sur les aspects fonciers. Je n'ai pas le texte en entier sous les yeux, donc je peux ne pas me rappeler tous les détails. Donc, je pense que dans une situation donnée, il faut accepter d'aller au débat et considérer, à un moment donné, qu'on ne peut pas avoir raison sur tous les points. Et il faut prendre date de bonne foi sur le fait qu'on arrive dans une position et on verra bien à la pratique comment ça évolue.L'ancien Premier ministre Alain-Claude Bilie-By-Nze qualifie cette Constitution de « texte d'exclusion ». Il cite notamment la question de la limitation d'âge de 35 à 70 ans pour être candidat à la présidentielle ou encore l'impossibilité pour les descendants d'un chef d'État d'être candidat. Votre réaction ?Bon, je pense d'abord que Bilie-By-Nze est, à mon avis, de tous les Gabonais, celui qui peut le moins s'exprimer sur ces questions tellement sensibles. Je rappelle que monsieur Bilie-By-Nze était, l'année dernière, Premier ministre. Quand on a été à ce point un fossoyeur de la République, en signant, en année électorale, à quelques semaines de l'élection, une loi portant modification des dispositions des conditions de l'élection, on se tait ! On ne parle pas ! C'est ça qu'il devrait faire. Monsieur Bilie-By-Nze est en liberté par la magnanimité de mon gouvernement qui devrait le poursuivre, mais qui a choisi l'apaisement parce qu'on aurait pu le poursuivre pour atteinte, pour forfaiture et violation des lois. Ils ont violé la loi. La loi disait qu'on ne peut pas modifier le Code électoral en année électorale et il a contresigné ça, ça porte sa signature ! Alors, il n'est pas bien placé pour venir nous donner des leçons. Je suis désolé.Est-ce que le camp du « oui » n'a pas bénéficié d'un certain avantage durant la campagne, au vu des tournées du président de transition, de ses ministres, avant son début ?Ça, c'est une question que je trouve à la fois, je dirais, logique. Nous sommes dans un gouvernement de transition qui s'est engagé à sortir de là par une restauration des institutions. La logique même veut que l'on propose un texte qui est, dans l'ordonnancement, un des éléments qui permet de revenir à l'ordre normal. Comment le gouvernement peut-il à la fois être en train de travailler pour revenir à l'ordre normal et ne pas porter ce texte là sur la place publique ? Si le président en exercice, qui est un président de la transition, ne porte pas lui-même, dès le départ, les textes qui lui permettent de justifier la parole qu'il a donnée de revenir à la normalité, qui peut le faire ? Et je suis en train de faire en sorte que nous ayons un corpus de texte qui nous permet de sortir de cette transition. Voilà ce qu'on fait. Il y a des malfaçons dedans, il y a des choses. Mais, au final, l'objectif, c'est d'être sorti de là dans un délai raisonnable.Vous avez évoqué le président de transition. Le général Oligui Nguema a dit ne pas vouloir de Constitution taillée sur mesure. Mais est-ce que ce n'est pas le cas ? C'est ce que certains disent.C'est un des traits particuliers de la démocratie : chacun a besoin de dire ce qu'il pense, et je crois que c'est une question d'appréciation personnelle. Oui, effectivement, les gens peuvent dire que c'est une Constitution qui est taillée sur mesure. Non, d'autres disent que ce n'est pas le cas. Nous verrons bien à la pratique. Mais je rappelle, tout à l'heure, quand vous évoquiez l'une des personnes qui est opposée, qui indique que le président, il y a discrimination par rapport aux fils de président, il ne faut pas vouloir une chose et son contraire. On ne peut pas vouloir à la fois éviter qu'un système monarchique ne s'installe et s'opposer à ce que les gens ne mettent pas une barrière à ce que les fils de président ne soient pas candidats, ou les filles de président et cetera. Il y a quand même une contradiction là-dedans.Vous venez de donner aux Gabonais deux jours, jeudi et vendredi, fériés, payés et récupérables. Est-ce à dire que vous craignez un faible taux de participation ?Oui, et il y a des raisons d'avoir un faible taux de participation, de façon mécanique. Je vais vous expliquer ça. Lorsque nous avons fait les élections présidentielles l'année dernière, les élections ont eu lieu au mois d'août, et les Gabonais et les Gabonais se sont enrôlés sur les listes électorales en prévision de ce que les élections se passeraient pendant qu'ils sont en vacances avec leur famille dans leur province d'origine. C'est ce que la plupart des gens font. Tout le monde sait qu'à partir de la fin du mois de juin, fin juin, les gens s'en vont dans leur province. Or, cette année, l'élection a lieu alors que l'année scolaire a démarré il y a deux mois et la saison des pluies commence à battre son plein et, par conséquent, il y a effectivement des problèmes de mobilité. Ce qui veut dire que les gens, pour aller chez eux, voter, ont besoin d'un peu de temps pour circuler. Donc oui, il peut y avoir une abstention qui serait tout à fait mécanique parce que les gens ne sont pas en vacances, ils sont à leur lieu de travail, que les enfants sont à l'école, et qu'il sera beaucoup plus difficile à tous les pères et mères de famille de se déplacer alors que ça aurait été différent si on avait fait l'élection pendant la période de vacances. Mais vous voyez bien aussi, que si on avait retardé pendant les mois de vacances, on aurait attendu le mois d'août prochain pour faire la partie concernant ce référendum, ça retarderait d'autant la période de retour potentielle à la normalité. Alors, il faut choisir, à un moment donné, l'un des handicaps.Quel est votre objectif en termes de participation qui serait un véritable indicateur de l'adhésion de la population au projet ?Mon objectif est que le « oui » l'emporte massivement.Est-ce qu'il y a un chiffre ?Aujourd'hui, la population de base, elle cherche qui sont les adversaires. Les gens sont habitués à s'engager à une élection parce qu'il y a deux protagonistes qui sont là. Là, on a un texte. Les populations de l'arrière-pays n'ont pas forcément une vision très claire de ça. Je pense qu'il pourrait y avoir, de ce fait-là, une partie de la population qui ne se mobilise pas nécessairement. Moi, je viens de vous donner la première raison qui est mécanique. Donc, si vous me demandez un taux, je ne suis pas capable de vous donner un taux. Certains s'aventurent dessus, moi, je ne m'aventure pas. Ce que je veux, c'est une victoire nette. Je conduis le camp du « oui », j'ai besoin de gagner nettement, voilà.Alors, vous étiez ces derniers jours en campagne à Port-Gentil, la deuxième ville du pays, et à Franceville. Quel accueil vous a été réservé dans ce fief des Bongo ?J'ai été très bien accueilli à Franceville. J'ai été très bien accueilli partout. Bon, je rappelle que, en premier lieu, nous avons eu des mobilisations limitées dans la mesure où il s'agissait pour moi d'aller rencontrer les coordinations de chacune des provinces, coordination de campagne dans chacune des provinces, pour les rebooster, pour les relancer, disons les pousser à se déployer sur le terrain, et leur demander de s'impliquer dans un travail de proximité, c'était ça.Si la Constitution est adoptée massivement, les élections de fin de transition, est-ce qu'elles doivent être avancées ou est-ce qu'elles doivent être maintenues à août prochain ?Personne n'a jamais dit que les élections auraient lieu au mois d'août. Je voudrais rappeler que c'est moi qui ai décliné au mois de septembre, à New York, que nous nous étions donnés une date moyenne de 24 mois, en partant d'août 2023, sans forcément nous amener à août 2025. On peut être légèrement avancé ou légèrement après. Si nous terminons de faire le référendum, on verra bien à quel moment nous réunissons les autres conditions pour faire les autres élections qui permettent de mettre en place les différentes institutions. Août 2025, ce n'est pas une date marquée dans le marbre pour moi, c'est un objectif de date. L'essentiel, c'est que, comme on le voit depuis un an et deux mois, nous sommes dans un calendrier, on tient le tempo. À écouter aussiNouvelle Constitution gabonaise: «Les autorités ont pris en compte un certain nombre de points clivants»
Notes del programa Tema del dia Rovellons, camagrocs, fredolics… Tots sabem que Catalunya és terra de bolets i boletaires, i per això, en aquest episodi, la Sílvia comparteix alguns consells útils per a tothom que vulgui sortir a buscar bolets al bosc. Som-hi! Fes 10 sessions de conversa aquest trimestre! (https://classes.easycatalan.org/) Bonus Parlem de bolets coneguts i estimats per veure com de bonics són els seus noms en català. Transcripció Andreu: [0:15] Hola hola! Bon dia! Sílvia: [0:16] Hola! Bon dia, Andreu! Com estàs? Andreu: [0:18] Molt bé! Avui tenim un dia una mica rúfol, aquí a Barcelona, està una mica ennuvolat, sembla que hagi de ploure. Sílvia: [0:25] Aquí ja plou. Andreu: [0:26] Ja plou? [Sí!] Això és bo, que plogui al Pirineu. Sílvia: [0:29] Oi tant! Sí, sí, sí. Que s'omplin els pantans i que es faiguin bolets. Andreu: [0:34] Molt bé, fantàstic! Bé, abans de passar al tema d'avui, deixa'm que faci un petit anunci i és que ara, des de la web classes.easycatalan.org, també hi ha l'opció de contractar deu classes de conversa dintre dels grups de conversa que estan funcionant actualment, és a dir, aquests grups de conversa trimestrals, que funcionaran fins a finals de desembre, doncs, si no vau tenir temps d'apuntar-vos-hi abans que es tanquessin les inscripcions, ara podeu contractar deu sessions i fer-les quan vosaltres vulgueu. O sigui, dintre del calendari del curs, podeu dir: "Mira, doncs aquest dia, aquest i aquell", no? [O sigui…] Deu classes en total. Sílvia: [1:18] Una persona que no s'havia apuntat a les classes en grup, ara pot contractar deu classes i fer-les. Andreu: [1:25] Exacte, i venir a aquestes sessions, però en lloc de fer les vint-i-quatre totals del trimestre, fer-ne només deu, triant les que ells o elles vulguin. Sílvia: [1:35] I llavòrens, quins horaris hi ha i quins nivells feu de classes en grup? Andreu: [1:40] Doncs ara mateix tenim un grup de nivell A2, que és dimarts i dijous de 7 a 8, hora catalana, que és la mateixa que la de Berlín i la de París. I tenim dos grups de nivell B1-B2. Per tant, de nivell intermedi, no? Un és dimarts-dijous de 6 a 7 i l'altre dilluns-dimecres de 7 a 8. Sílvia: [1:59] Ah, fantàstic! Molt bé! Andreu: [2:01] Sí? Sílvia: [2:02] Així que hi ha moltes possibilitats. Andreu: [2:03] Exacte. Simplement entreu a classes.easycatalan.org, allà trobareu aquesta informació que acabem de dir i també el preu, que són cent cinquanta euros. Si teniu qualsevol dubte, ens escriviu per xarxes o per correu electrònic, per qualsevol via, no?, de totes les que tenim. Sílvia: [2:20] Ai, doncs és una oportunitat fantàstica, perquè escolta, potser no pots venir cada dimarts i cada dijous, no?, però deu dies fins al desembre potser sí que els tens. Andreu: [2:29] Clar, i a més a més, cada classe o sessió, perquè no són classes, no?, són més aviat sessions de conversa, cada sessió és independent de les altres, perquè cada dia parlem d'un tema diferent. Per tant, no hi fa res si una setmana vens un dia, la setmana següent vens els dos dies i així, no? Sílvia: [2:45] Que guai! I aixís també arriba gent nova en el grup, que feu normalment, no?, que hi són sempre, i també és interessant. Molt bé! Andreu: [2:52] Clar, així hi ha més varietat, no?, coneixem altres cares… Doncs ja ho sabeu, classes.easycatalan.org. [...] Fes-te membre de la subscripció de pòdcast per accedir a les transcripcions completes, a la reproducció interactiva amb Transcript Player i a l'ajuda de vocabulari. (http://easycatalan.org/membership)
Retrouvez Matthieu Valet pour son interview frontale au sein de la matinale de Frontières du 2 octobre 2024. Soutenez-nous sur frontieresmedia.fr et frontieresmedia.fr !
NOUVEAU - Abonnez-vous à Minuit+ pour profiter de Crimes - Histoires Vraies et de milliers d'histoires vraies sans publicité, d'épisodes en avant-première et en intégralité. Vous aurez accès sans publicité à des dizaines de programmes passionnants comme Espions - Histoires Vraies, Paranormal - Histoires Vraies ou encore Catastrophes - Histoires Vraies.
NOUVEAU - Abonnez-vous à Minuit+ pour profiter de Crimes - Histoires Vraies et de milliers d'histoires vraies sans publicité, d'épisodes en avant-première et en intégralité. Vous aurez accès sans publicité à des dizaines de programmes passionnants comme Espions - Histoires Vraies, Paranormal - Histoires Vraies ou encore Catastrophes - Histoires Vraies.
NOUVEAU - Abonnez-vous à Minuit+ pour profiter de Crimes - Histoires Vraies et de milliers d'histoires vraies sans publicité, d'épisodes en avant-première et en intégralité. Vous aurez accès sans publicité à des dizaines de programmes passionnants comme Espions - Histoires Vraies, Paranormal - Histoires Vraies ou encore Catastrophes - Histoires Vraies.