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Chemini: Est-ce que D.ieu veut qu'on soit parfaits… ou juste vrais ? Peut-on croire sans tout faire bien ? Est-ce pire de faire des erreurs ou de faire semblant ? Et au fond, c'est grave d'être religieux à moitié ? Pour plus de 1600 cours du Rav Yossi AMAR, visitez https://www.etorah.frPour sponsoriser un cours, ou soutenir nos actions, cliquez ici : https://don-chabad77.org/Suivez le Rav Yossi AMAR : https://linktr.ee/habad77Toutes les actions de Habad 77 sur : https://www.chabad77.org Toutes les parutions de Habad 77 sur : https://www.editionshabad77.com/ LinksInstagram / habad_77 TikTok / ravyossiamar Youtube: / @ravyossiamar_etorah.fr_habad77 Facebook: / yossiamar770 Application Apple Etorah https://www.apps.apple.com/fr/app/eto...Application Android Etorah https://www.play.google.com/store/app...Liste de diffusion WhatsApp https://www.chabad77.org/etorah-cours...
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Madagascar, plus de 90% de la population utilise le charbon de bois comme principale source d'énergie domestique. Pour lutter contre la déforestation, une ONG suisse, ADES, a créé en 2010 un modèle de cuiseur, en métal et argile, plus économe en charbon. Aujourd'hui, ce foyer amélioré a fleuri partout sur le territoire. Mais d'autres produits innovants, comme les cuiseurs solaires, n'ont jamais conquis le cœur des Malgaches. De notre correspondante à Antananarivo,C'est un joyeux vacarme qui règne dans la salle de production des cuiseurs portatifs ADES. « Ça, c'est le seau métallique pour contenir l'argile des foyers améliorés, expliqueAlain Wasserfallen, le directeur d'ADES. Ces seaux sont produits de façon conique pour pouvoir les empiler, parce qu'il faut les transporter. »Ici, tout est fait à la main, de façon mécanique, pour parer aux délestages extrêmement fréquents. L'usine de Tuléar est l'un des trois sites de production du pays et alimente l'essentiel de l'île en « fatapera » amélioré – le nom malgache pour désigner le réchaud.Moitié moins de combustibleReconnaissables entre mille grâce à leur couleur verte, ils sont vendus partout, même dans les zones les plus reculées. Aussi loin qu'il s'en souvient, Bruel, chauffeur de taxi à Tuléar, a toujours vécu avec ce foyer amélioré chez lui. « Ça nous aide à moins gaspiller de charbon, explique-t-il. Avec le fatapera en fer, on ajoute du combustible à chaque fois qu'on veut cuire quelque chose. Mais avec le fatapera ADES, l'argile garde la chaleur, et donc, pas besoin de mettre de combustible à chaque cuisson. À l'achat, c'est trois ou quatre fois plus cher que le fatapera en fer, mais c'est rentable. »Le fatapera ADES est rentable sur la durée parce qu'il nécessite moitié moins de combustible pour fonctionner que le fatapera ordinaire. Et dans une île où les forêts ont diminué de 40% ces 20 dernières années, selon le Global Watch Forest, faire baisser la consommation de charbon est une vraie bataille.Réchaud solaire trop lourdMais tous les produits ADES, aussi efficaces soient-ils, n'ont pas obtenu le même succès. À commencer par les cuiseurs solaires, pourtant très adaptés au climat de Madagascar. « Le faible volume des ventes des cuiseurs solaires, par rapport au foyer amélioré à charbon de bois, nous montre que ça ne prendra pas sous la forme actuelle, reconnaît Alain Wasserfallen. Si les parents vont tous les deux travailler aux champs, ils ne vont pas emporter un four solaire ou une parabole solaire, avec eux : c'est lourd ! Donc, il faut se remettre en question. Faire de l'aide au développement, ça ne veut pas simplement dire prendre une idée géniale dans un pays développé et essayer de la faire accepter dans un pays en développement. Il faut pouvoir s'adapter aussi aux habitudes locales, au contexte culturel. »Le défi est encore énorme pour offrir une solution adoptable par tous et qui réduise drastiquement la coupe de bois sur le territoire. Aujourd'hui, on estime qu'un ménage malgache consomme 90 kilos de charbon par mois.
Le député PS du Calvados, Arthur Delaporte, se confronte aux annonces du Premier ministre François Bayrou concernant la nécessité de trouver 40 milliards d'euros d'économies supplémentaires dans le budget 2026. Alors que François Bayrou appelle les Français à une "prise de conscience" et à "l'effort", Arthur Delaporte dénonce avec véhémence une "instrumentalisation" du sujet de la dette publique, visant selon lui à "réduire le périmètre de l'État" et des services publics. Le député socialiste estime que ces économies devraient plutôt être réalisées en supprimant les "cadeaux fiscaux" accordés aux plus riches ces dernières années, comme la suppression de l'ISF ou de la taxe d'habitation.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:35 - C'est mon boulot - Qui connaît la formation professionnelle continue et qui en bénéficie ? 6 ans après la création du Compte personnel de formation, qui a beaucoup facilité l'accès à certaines formations, une partie des actifs restent toujours sur le bord du chemin, selon le 6e baromètre de Centre Inffo.
Quand Marcela Iacub fait ses courses, elle achète des demi-bananes, des demi-crevettes... Et invite à sa table un demi-Yoann Riou ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:17 - Le billet sciences - Près de 52% des sols français sont mal en point, notamment certaines zones viticoles de Bourgogne, selon un baromètre de la société Genesis.
En RDC, les transporteurs congolais ont désormais le droit de transporter 50 % des marchandises à l'importation et à l'exportation. La décision prise à la fin du mois de février par le ministère congolais des Transports pourrait avoir un impact positif, en particulier pour la région du Katanga où l'activité minière est intense. Pour les transporteurs congolais, le défi est grand : ils ne représentent aujourd'hui que 3 % de la flotte en activité dans le pays et font face à un coût de péage routier supérieur à celui de leurs collègues d'Afrique australe. En République démocratique du Congo, près de 300 véhicules par jour traversent la frontière avec la Zambie. Plus de 95 % de ce trafic est assuré par des sociétés étrangères. « L'une des raisons est le coût élevé pour les transporteurs routiers congolais, déplore un transporteur congolais, qui a requis l'anonymat. À titre d'exemple, au niveau de la Zambie, nous payons 1 000 dollars de coût supplémentaire que tous les autres transporteurs. Ce qui fait que nous ne sommes plus concurrentiels. »Les mines ont leur société de transport à l'étrangerEn effet, depuis 2021, la Zambie applique la réciprocité, car du côté congolais, les frais de péage routier sur le tronçon Kasumbalesa – Kolwezi sont de 900 dollars alors que dans les pays de la SADC, ils sont fixés à 10 dollars pour 100 km. « Sur le corridor sud qui part de Kolwezi jusqu'en Zambie, les transporteurs congolais ne représentent que 3 % parce que les entreprises minières installées au Congo ont leurs propres sociétés de transport en Zambie, en Namibie, en Afrique du Sud et en Tanzanie », souligne de son côté Philippe Seneve, le président du comité des transporteurs congolais au sein du patronat à Kolwezi.En vue de stimuler le secteur, les autorités ont récemment signé un arrêté accordant un droit préférentiel aux transporteurs locaux. « Cet arrêté accordant aux transporteurs locaux un droit de préférence à hauteur de 50 % des marchandises va sans nul doute accroître le nombre des transporteurs et travailleurs locaux et impacter positivement l'économie tant nationale que provinciale », espère Jean-Marie Abolia, secrétaire général au ministère des Transports de la République démocratique du Congo.Créer 4 000 emploisPour le patronat congolais, grâce à cette mesure, 4 000 emplois seront créés dans la région du Katanga, et un revenu mensuel évalué à 23 millions de dollars généré par ce secteur restera au pays. Mais les défis sont énormes vu le nombre réduit des transporteurs locaux. « Nous devons les accompagner afin d'atteindre une flotte d'au moins 3 500 camions avec un chargement journalier de 110 camions qui représentent effectivement les 50 % », estime Ritha Ilunga, la responsable du comité des transporteurs au sein du patronat à Lubumbashi, qui veut rester optimiste. Entre-temps, les transporteurs locaux attendent du gouvernement congolais une diminution du coût du péage routier ou tout simplement l'exonération de ces frais.À lire aussiRDC: dans le Sud-Kivu, l'avenir de la société aurifère DRC Gold Trading SA s'assombrit
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
Dans cet épisode, je te parle de cette croyance récurrente exclusivement associée aux flammes jumelles.J'y aborde mon point de vue, mais aussi des conséquences de cette croyance.
Les États-Unis pourraient réduire l'ampleur des tarifs douaniers dans certains cas, a souligné le premier ministre de l'Ontario, Doug Ford, à la suite d'un échange téléphonique avec Howard Lutnick, le secrétaire au Commerce américain.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Eleonore Lemaire, Emmanuel de Villiers et Mourad Boudjellal.
durée : 00:03:16 - L'éco d'ici en Franche-Comté
Basés en Provence, Sandra et Amaury sont ensemble depuis 19 ans. Sandra a 38 ans, elle travaille en conformité bancaire et Amaury a 39 ans, il est directeur informatique dans une société de jeux vidéo. Ils ont trois enfants, Eliott 11 ans, Ava 9 ans et Axel 3 ans et demi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 02:00:01 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Nina Hagen... rien qu'à ce nom, on entend sa voix inclassable et l'on imagine ses tenues exubérantes. Voici une émission pour mieux découvrir son univers, à travers les témoignages de proches et ses propres confidences entre discours punk et quête mystique, éclats de voix et réflexions hors normes. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Nina Hagen Chanteuse
durée : 00:03:21 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - C'est à la mode de vouloir un chien à la carte... en croisant deux races. Et pourquoi pas faire ça avec les politiques ?
durée : 00:03:21 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - C'est à la mode de vouloir un chien à la carte... en croisant deux races. Et pourquoi pas faire ça avec les politiques ?
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
durée : 00:02:07 - Le billet sciences - Cette étude publiée dans "The Lancet" montre que l'inaction des gouvernements a entraîné une augmentation alarmante du nombre d'adultes et d'enfants et adolescents en surpoids ou obèses. La France reste parmi les 50 pays du monde qui ont les pourcentages d'obésité les plus bas.
Après " Histoires sans gloire et pratiquement sans péril… "(2018) , " Objectif projet " (2021), le Collecif moitié moitié moitié revient avec " La Grosse Déprime ". Une pièce qui décortique ce que signifie lʹinjonction économique " Les caisses publiques sont vides ". Avec Cécile Goussard, Adrien Mani, Matteo Prandi et Marie Ripoll. A découvrir au Casino Théâtre de Rolle jusquʹau 2 mars. Puis, en tournée : Du 12 au 16 mars à lʹOriental à Vevey Du 20 au 22 mars au Spot à Sion Du 27 au 31 mars aux Clochards Célestes à Lyon Du 16 au 30 mai au Grütli à Genève Cécile Goussard et Marie Ripoll, au micro de Layla Shlonsky
SelectUSA Summit, 11-14 May 2024, Washington, DChttps://www.selectusasummit.us/--Jeevan Ramapriya, jeevan.ramapriya@mass.govhttps://www.mass.gov/orgs/massachusetts-office-of-international-trade-and-investment..Feel free to contact us with any questionsBill Kenney, bill@meetroi.comMEET, http://meetroi.com/
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.
Les marchés actions mondiaux ont poursuivi leur ascension en ignorant les petites contrariétés, pour se concentrer sur le positif : les Etats-Unis font pression pour arrêter le conflit russo-ukrainien, les droits de douanes additionnels promis par la Maison Blanche ne seront pas appliqués tout de suite et les statistiques d'inflation américaines laissent un peu d'espoir pour l'évolution des taux. A l'aube de la dernière séance de la semaine, plusieurs indices sont au zénith ou à proximité.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Pomart et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
A quelques jours de la fête des amoureux, on vous demande le cadeau que vous avez prévu d'offrir à votre moitié le 14 février.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Didier Giraud, et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:22:50 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - À 8h20, Nicolas Revel, directeur général de l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (@APHP) est l'invité du Grand Entretien. Il annonce que depuis 2023, 1150 infirmiers et infirmières ont été recrutés dans les hôpitaux de l'AP-HP. - invités : Nicolas Revel - Nicolas Revel : Directeur général de l'AP-HP
durée : 00:22:50 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - À 8h20, Nicolas Revel, directeur général de l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (@APHP) est l'invité du Grand Entretien. Il annonce que depuis 2023, 1150 infirmiers et infirmières ont été recrutés dans les hôpitaux de l'AP-HP. - invités : Nicolas Revel - Nicolas Revel : Directeur général de l'AP-HP
Vincent Hervouët analyse la complexité diplomatique au Moyen-Orient. La récente visite du ministre français des Affaires étrangères à Damas illustre la volonté franco-allemande de peser dans la région. Malgré un discours contre l'ingérence étrangère, la réalité montre une Syrie au cœur des luttes d'influence entre Turquie, Israël, États-Unis et État islamique. Cette situation révèle les défis de la diplomatie française et européenne, confrontée aux intérêts divergents des différentes puissances dans cette zone stratégique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Georgia se rend au manoir Legroin dans l'espoir d'en apprendre davantage sur la mort de son père. La Chute de Lapinville Lapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d’école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu’une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l’enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l’espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie. Enregistrements décembre 2023-2024 Scénario et dialogues Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci Direction artistique Benjamin Abitan Réalisation Jean-Yves Pouyat Assistante réalisation Anissa Zidna Illustration Roxane Lumeret Narratrice Caroline Piette (Georgia Blette) Comédiens Daniel Kenigsberg (Lucien), Bernard Gabay (Georges Legroin), Colette Marie (Nanou) Production ARTE Radio, ARTE Studio, Virginie Lacoste, Sahar Pirouz, Jacques Falgous Voix générique Olivier Broche, Claude-Barnard Perot Musiques Samuel Hirsch
Tous les matins, à 6H10 et 8H40, c'est les Sondages du matin.
Au cours de l'année 2023, « le nombre d'enfants recrutés par des groupes armés en Haïti a augmenté de 70% », indique l'agence onusienne. Les membres de gangs sont souvent très jeunes, confirme Gotson Pierre, le directeur de l'agence Alterpresse. « Ceux qui portent de lourdes armes sont dans la plupart des cas des adolescents. Ils servent souvent d'éclaireurs et d'informateurs ». Depuis dimanche (24 novembre 2024), des opérations de la Police nationale haïtienne (PNH) se concentrent dans les quartiers du bas de Delmas, là où se trouve le fief du chef de la coalition de gangs Viv Ansanm. D'autres quartiers du centre-ville sont aussi le théâtre d'intenses opérations de police. La mission multinationale dirigée par le Kenya indique que ces opérations visent à « maîtriser les chefs de gangs notoires ». Mais en parallèle, le chef de gang Jimmy Cherizier ne cesse d'invectiver les autorités et la police sur les réseaux sociaux.Ces dernières semaines, les activités des gangs ont provoqué la plus importante vague de déplacements, depuis janvier 2023, en Haïti. 41.000 personnes ont été forcées de fuir leur domicile en raison de l'escalade de la violence et de l'insécurité en seulement deux semaines, selon les agences de l'ONU. Donald Trump veut augmenter les tarifs douaniers de 25% sur les importations du Mexique et du CanadaCette annonce a évidemment provoqué de rapides et vives réactions côté canadien. Et pour cause : 75% des exportations du pays ont pour destination les États-Unis. Le dollar a perdu 1% de sa valeur sur place, explique Pascale Guéricolas. Le Mexique, quant à lui, est accusé d'être une porte d'entrée pour les marchandises chinoises sur le continent, sur fond de guerre commerciale entre Pékin et Washington. On en parle avec notre correspondante à Mexico, Pascale Guéricolas. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump annonce l'augmentation des droits de douane pour la Chine, le Canada et le Mexique En Patagonie, une émission de radio pour mieux communiquerEn Argentine, une émission de radio permet aux habitants des zones les plus reculées de Patagonie de communiquer entre eux. Dans certains petits villages de la région de Bariloche, dans l'ouest du pays, pas de réseau : les communications ne passent plus. Alors, depuis plus de 80 ans, la radio locale diffuse tous les jours, à heures régulières, un programme d'une vingtaine de minutes lors duquel le présentateur lit les messages qu'on lui envoie. Pour les gauchos, ces gardiens de troupeaux qui vivent dans les zones de la pampa argentine, ce programme est rapidement devenu indispensable. Un dossier signé Arnaud Fischer. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreAu sommaire ce mardi : la surpopulation carcérale en Guadeloupe.
Aujourd'hui, je vous invite à découvrir comment "Apprendre à regarder le verre à moitié plein" peut transformer votre quotidien professionnel. Dans cet épisode de Happy Work, je plonge dans l'art de cultiver une attitude positive au travail, loin de l'illusion naïve d'un monde en rose, mais en armant notre esprit contre la tendance naturelle à privilégier le négatif.
durée : 00:01:56 - Le vrai ou faux - Arnaud Rousseau, le président de la FNSEA, a affirmé sur franceinfo que la France "importe 55% des poulets qu'on consomme, 60% de nos fruits et 40% de nos légumes".
durée : 00:20:12 - Journal de 12h30 - L'annonce a été faite non pas par le gouvernement (qui avait même prévu l'exact contraire pour faire des économies), mais par le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée : Laurent Wauquiez.
durée : 00:20:12 - Journal de 12h30 - L'annonce a été faite non pas par le gouvernement (qui avait même prévu l'exact contraire pour faire des économies), mais par le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée : Laurent Wauquiez.
Le Colisée est l'un des monuments les plus emblématiques de Rome, mais aussi l'un des plus endommagés. Pourquoi ne reste-t-il que la moitié de ce majestueux amphithéâtre, autrefois symbole de la grandeur de l'Empire romain ? Pour le comprendre il faut remonter au IVe siècle de notre ère. À cette époque, l'Empire romain commence à décliner et, avec lui, les grandes manifestations de gladiateurs deviennent moins populaires. Le Colisée, qui avait accueilli des jeux et des spectacles pendant des siècles, voit donc son importance diminuer. Puis, en 404, les combats de gladiateurs sont officiellement interdits, marquant la fin d'une époque. Mais ce n'est pas seulement l'abandon qui explique l'état actuel du Colisée. En 217, un incendie causé par la foudre détruit la partie supérieure de la structure, et bien que des travaux de réparation soient entrepris, le monument ne retrouve jamais son éclat d'origine. Plus tard, au VIe siècle, un tremblement de terre endommage fortement l'édifice. Cependant, c'est au Moyen Âge que le Colisée subit le plus de dégâts. Après la chute de l'Empire romain d'Occident en 476, le Colisée est progressivement laissé à l'abandon. Au lieu de le préserver, les habitants de Rome commencent à utiliser le monument comme une carrière de pierres. Les marbres qui couvraient autrefois les gradins et les murs sont extraits et réutilisés pour construire des églises, des palais, et d'autres bâtiments dans toute la ville. Les colonnes et les décorations en métal sont également fondues pour récupérer les matériaux. En d'autres termes, le Colisée est recyclé. Les tremblements de terre successifs, notamment ceux de 847 et de 1349, causent d'autres dommages importants, en faisant s'effondrer une partie des murs extérieurs. Les blocs de travertin tombés sont récupérés et réutilisés ailleurs, accélérant ainsi le déclin de l'amphithéâtre. Il faudra attendre la Renaissance pour que le Colisée soit reconnu comme un monument historique à protéger. Certains papes entreprennent alors de le préserver, et il devient un symbole chrétien, en mémoire des martyrs qui y auraient été tués (bien que cela reste sujet à débat historique). Des efforts de restauration sont engagés au XIXe siècle et se poursuivent encore aujourd'hui. En résumé, si le Colisée est aujourd'hui à moitié ruiné, c'est à cause des catastrophes naturelles, des siècles de négligence et du recyclage de ses matériaux par les Romains eux-mêmes. Cependant, malgré ses blessures, il reste un symbole puissant du passé glorieux de Rome et attire chaque année des millions de visiteurs fascinés par son histoire et sa résilience. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Colisée est l'un des monuments les plus emblématiques de Rome, mais aussi l'un des plus endommagés. Pourquoi ne reste-t-il que la moitié de ce majestueux amphithéâtre, autrefois symbole de la grandeur de l'Empire romain ? Pour le comprendre il faut remonter au IVe siècle de notre ère. À cette époque, l'Empire romain commence à décliner et, avec lui, les grandes manifestations de gladiateurs deviennent moins populaires. Le Colisée, qui avait accueilli des jeux et des spectacles pendant des siècles, voit donc son importance diminuer. Puis, en 404, les combats de gladiateurs sont officiellement interdits, marquant la fin d'une époque. Mais ce n'est pas seulement l'abandon qui explique l'état actuel du Colisée. En 217, un incendie causé par la foudre détruit la partie supérieure de la structure, et bien que des travaux de réparation soient entrepris, le monument ne retrouve jamais son éclat d'origine. Plus tard, au VIe siècle, un tremblement de terre endommage fortement l'édifice. Cependant, c'est au Moyen Âge que le Colisée subit le plus de dégâts. Après la chute de l'Empire romain d'Occident en 476, le Colisée est progressivement laissé à l'abandon. Au lieu de le préserver, les habitants de Rome commencent à utiliser le monument comme une carrière de pierres. Les marbres qui couvraient autrefois les gradins et les murs sont extraits et réutilisés pour construire des églises, des palais, et d'autres bâtiments dans toute la ville. Les colonnes et les décorations en métal sont également fondues pour récupérer les matériaux. En d'autres termes, le Colisée est recyclé. Les tremblements de terre successifs, notamment ceux de 847 et de 1349, causent d'autres dommages importants, en faisant s'effondrer une partie des murs extérieurs. Les blocs de travertin tombés sont récupérés et réutilisés ailleurs, accélérant ainsi le déclin de l'amphithéâtre. Il faudra attendre la Renaissance pour que le Colisée soit reconnu comme un monument historique à protéger. Certains papes entreprennent alors de le préserver, et il devient un symbole chrétien, en mémoire des martyrs qui y auraient été tués (bien que cela reste sujet à débat historique). Des efforts de restauration sont engagés au XIXe siècle et se poursuivent encore aujourd'hui. En résumé, si le Colisée est aujourd'hui à moitié ruiné, c'est à cause des catastrophes naturelles, des siècles de négligence et du recyclage de ses matériaux par les Romains eux-mêmes. Cependant, malgré ses blessures, il reste un symbole puissant du passé glorieux de Rome et attire chaque année des millions de visiteurs fascinés par son histoire et sa résilience. Merci d'avoir écouté cet épisode, et n'oubliez pas de nous rejoindre la prochaine fois pour découvrir d'autres histoires fascinantes de notre patrimoine mondial. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:21:17 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Le journaliste, animateur et producteur de télévision Michel Denisot est ce lundi l'invité de Léa Salamé, à l'occasion des 40 ans de Canal+, des 20 ans du Grand Journal. Il publie un livre qui rassemble des témoignages de personnalités passées par Canal+, berceau de liberté et de créativité. - invités : Michel DENISOT - Michel Denisot : Journaliste, animateur
durée : 00:21:17 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Le journaliste, animateur et producteur de télévision Michel Denisot est ce lundi l'invité de Léa Salamé, à l'occasion des 40 ans de Canal+, des 20 ans du Grand Journal. Il publie un livre qui rassemble des témoignages de personnalités passées par Canal+, berceau de liberté et de créativité. - invités : Michel DENISOT - Michel Denisot : Journaliste, animateur
Dans les 15 jours à venir, les Américains choisiront leur prochain président. Mais au-delà du simple résultat, c'est l'avenir même de la démocratie américaine qui est en jeu. Avec la possible réélection de Donald Trump, c'est tout le système politique qui pourrait vaciller, alors que les divisions au sein de la société américaine semblent plus profondes que jamais.Que signifierait pour le reste du monde une nouvelle victoire de l'ancien président ? Quelle serait l'attitude de Trump vis-à-vis de ses alliés traditionnels comme la France et l'Europe ? Quelles conséquences aurait-elle sur les grands enjeux géopolitiques, de l'Ukraine à l'Iran en passant par la Chine ?Dans cet épisode, Vincent Hervouët décrypte les enjeux de cette élection cruciale, au-delà du simple affrontement entre républicains et démocrates. Il explore les différents scénarios possibles et leurs implications pour la politique étrangère américaine et l'équilibre géopolitique mondial.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Alors que le monde observe avec inquiétude la poursuite de la guerre en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine accueille cette semaine le sommet des BRICS dans la ville de Kazan. Cet événement diplomatique majeur réunit les dirigeants de Russie, Chine, Inde, Brésil et Afrique du Sud, soit près de la moitié de la population mondiale.Au-delà des enjeux économiques et commerciaux, ce sommet s'inscrit dans une volonté de ces pays émergents de s'affirmer face à l'hégémonie occidentale. Poutine espère en effet enrôler ses alliés dans sa « croisade » contre l'autorité de l'Occident, refusant les sanctions et revendiquant un monde multipolaire. Cependant, l'unité des BRICS n'est pas acquise. Certains membres, comme l'Inde ou la Chine, hésitent à trop provoquer la colère des États-Unis et redoutent les représailles économiques. L'arrivée de nouveaux membres, comme l'Égypte ou l'Arabie Saoudite, complique également la cohésion du groupe.Au-delà des déclarations, quelles initiatives concrètes les BRICS pourraient-ils lancer pour contourner le dollar et le système financier occidental ? Leurs ambitions de créer de nouvelles institutions financières parviendront-elles à se concrétiser ? Ou le sommet de Kazan ne sera-t-il qu'un feu de paille face à la puissance des pays occidentaux ?Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
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Pas de surprise, c'est à la quasi unanimité que les hebdomadaires font leur Une avec une photo du nouveau Premier ministre. Le Point le surnomme « le régent », et se demande « s'il peut nous sortir de là ». « Comment tenir trois ans ? » s'interroge de son côté l'Express, à côté d'une caricature de Michel Barnier portant Emmanuel Macron sur ses épaules. « La droite est de retour », claironne le Figaro Magazine, qui se demande tout de même si Michel Barnier « peut réussir ». Quant à l'hebdomadaire Marianne, il divise sa Une en deux. Moitié pour Michel Barnier, « en intérim » nous dit-on, moitié pour Emmanuel Macron, « en sursis ». « Pour nommer Michel Barnier », ajoute Marianne, « le chef de l'État a bien dû dealer avec Marine Le Pen. Le voilà pieds et poings liés, au Rassemblement National, premier en nombre de députés, mais aussi aux Républicains, qui représentent moins de 5% des électeurs et qui s'imaginent tous au gouvernement ».Cohabitation inéditePour mesurer la popularité de Michel Barnier, la Tribune Dimanche publie un sondage, selon lequel le nouveau Premier ministre entame sa mission avec « 34 % d'opinions favorables ». « Alors qu'Emmanuel Macron regagne deux points ». Que va donner cette cohabitation inédite ? Le Nouvel Obs est loin d'être enthousiaste : « les deux hommes pourront bien jouer la comédie de la vraie-fausse cohabitation, cela n'aura des incidences que sur la forme, pas sur le fond. Michel Barnier ne devrait proposer que la prolongation du jeu macronien, tout en étant sommé de donner des gages au Rassemblement National ». C'est aussi le sentiment du Point, selon lequel « la droite approuve et vante son sens du consensus ». « Malgré son penchant rigide, voire austère (...) cet ancien du Quai d'Orsay, ne serait pas du genre à aller au bras de fer ». C'est en tout cas ce que l'entourage du président aurait assuré à Emmanuel Macron. Enfin, Marianne, sans enthousiasme, trouve tout de même quelques qualités au nouveau Premier ministre : « il n'y a aucune raison de penser », nous dit l'hebdomadaire, « qu'il ne tentera pas sincèrement d'affronter une situation que beaucoup d'autres ont fuie, pour ne pas compromettre leurs chances à la présidentielle ». À lire aussiBarnier, et si ses jours n'étaient pas comptés? « Voitures de sang »À la Une également, le calvaire des Soudanais. De nouveau confrontés à la guerre depuis un an et demi. Confrontés à la guerre et à la famine... L'ONU et les organisations humanitaires ne cessent de tirer la sonnette d'alarme, mais rien ne semble pouvoir tirer les soudanais de ce cauchemar. Témoin cet article paru dans le XXI, intitulé « Voiture de sang du Soudan, symptôme d'une hécatombe ». De quoi s'agit-il ? Il s'agit de voitures venues du Soudan, « neuves et sans plaque d'immatriculation », « des voitures volées, qui apparaissent au Tchad, depuis un an et demi sur les marchés, au bord d'une route », « ou roulant à tombeau ouvert dans le désert », raconte l'envoyé spécial de XXI. « Elles disparaissent une fois qu'une nouvelle vie leur a été inventée, une plaque d'un pays tiers rivetée, une carte grise falsifiée, ou la vie de leurs anciens propriétaires effacée ». Certains de ces véhicules ont été « pillés à l'état soudanais », d'autres à des « particuliers », ou encore « rachetés à des réfugiés qui vendent tous leurs biens pour se payer à manger ». Pire encore... « des hommes d'affaires se bousculent pour acheter ces "voitures de sang" dont certains des propriétaires ont été tués ». Comme ce gros 4X4, dans lequel « on aurait retrouvé des passeports tachés de sang, de trois enfants et de leur mère ». Les FSR, les Forces de soutien rapide, des paramilitaires opposés à l'armée régulière, seraient particulièrement actives dans ce trafic, selon un témoin. Il dit les « voir passer chaque jour dans son village avec des dizaines de voitures, qui vont toutes au Tchad »... Le courage et l'exilEnfin M, le supplément du Monde, a rencontré trois jeunes iraniennes confrontées à l'exil. Trois jeunes actrices qui ont « secrètement joué » dans « Les graines du figuier sauvage », du réalisateur iranien Mohammad Rasoulof, qui a obtenu à Cannes le Prix Spécial du Jury. « Elles ont dû fuir précipitamment l'Iran, laissant leurs familles derrière elles. Elles vivent aujourd'hui à Berlin », précise M. Avant de jouer dans ce film, « elles ne s'étaient jamais rencontrées ». Mais après la mort de Mahsa Amini, il y a tout juste deux ans, « les trois actrices avaient décidé de ne plus accepter de compromis avec le pouvoir ». « Si j'avais accepté de porter le foulard sur scène ou devant la caméra », explique l'une d'entre elles, « cela serait revenu à normaliser ce qui, depuis des années, est l'outil de répression des femmes ». Leur courage leur a coûté cher, elles ont dû quitter l'Iran sans dire au revoir à personne, pour prendre la route de l'exil. Tout comme le réalisateur, Mohammad Rasoulov, dont le film « Les graines du figuier sauvage » sort mercredi en France.
L'actualité de ce 29 août : Le Premier Ministre Australien se fait surprendre sur camera en train de plaisanter avec un représentant américain à propos de la réduire de moitié le coût d'un accord de sécurité dans le Pacifique. En France, poursuite de consultations pour la nomination d'un premier ministre sur fond de l'affaire Pavel Durov, le patron de la messagerie Telegram, placé en liberté sous contrôle judiciaire. Et, de nombreux tués dans une « opération de contre-terrorisme » menée par Israël à en Cisjordanie...
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(00:00:43) L'Allemagne coupe son aide à l'Ukraine de moitié: "un coup de poignard dans le dos" (00:05:22) Après les pays arabes, l'Europe va-t-elle renouer avec le régime syrien ? (00:13:28) A Vilnius, les fouilles archéologiques ressuscitent une histoire juive perdue
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Stéphane Manigold et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
Aujourd'hui pour le coup de fil du jour, les Grosses Têtes appellent Philippe Maindron, organisateur d'épreuves de hobby-horse en France. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.