POPULARITY
Avec la Mutualité Française Sud délégation de Vaucluse Aujourd'hui, nouveau numéro des lives santé en partenariat avec la Mutualité Française Sud, délégation de Vaucluse. Cette année dans un contexte économique difficile pour tous les ménages, les cotisations des contrats mutualistes santé ont augmentées de 6% en moyenne selon l'enquête annuelle [...]
C dans l'air du 18 décembre - Mutuelles, consultations : la santé hors de prix ?Nouvelle augmentation des tarifs des complémentaires santé en vue, au 1er janvier 2025. C'est ce qu'a indiqué la Mutualité Française dans son enquête annuelle qui porte sur 41 complémentaires santé. En moyenne, ils augmenteront de 6 %, soit beaucoup plus que l'inflation. Dans le détail, les contrats individuels, souscrits notamment par les retraités, augmenteront en moyenne de 5,3 % et les contrats collectifs obligatoires couvrant les salariés par l'intermédiaire de leur entreprise de 7,3 %. Une mauvaise nouvelle difficile à entendre pour nombre d'assurés. D'autant que c'est la cinquième hausse consécutive après une augmentation record de 8,1 % en 2024, de 4,7 % en 2023, de 3,4 % en 2022 et de 2, 6 % en 2021. Sur les dix années antérieures, la hausse était de 2,6 % en moyenne chaque année. Alors pourquoi une telle hausse ? "L'augmentation des cotisations des mutuelles en 2025 est inévitable" en raison de plusieurs facteurs, dont la hausse "structurelle" des dépenses de santé en France, soit + 5,2 % en 2023, affirme la Mutualité Française. "Vieillissement de la population, accès à de nouveaux traitements et technologies médicales, et meilleure reconnaissance des métiers de santé expliquent ces évolutions tendancielles à la hausse", déclare-t-elle. Après de très longues négociations ces derniers mois, l'Assurance maladie et les médecins libéraux ont validé la hausse de la consultation médicale. Le tarif de la consultation chez le médecin généraliste va augmenter le 22 décembre prochain tout comme celles des spécialistes (pédiatres, gynécologues, psychiatres…). Les complémentaires santé ont anticipé cette revalorisation mais aussi d'éventuelles hausses de charges, longuement discutées à l'automne pour le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). En effet, il était convenu avant le vote de la motion de censure que l'Assurance maladie abaisse son seuil de remboursement de 5 % sur les consultations médicales et 5 % sur les médicaments. Les complémentaires ont alors estimé qu'elles devraient supporter autour de 900 millions d'euros supplémentaires sur l'année et ont anticipé ces charges. Pour l'heure, l'actuel Premier ministre François Bayrou ne s'est pas exprimé sur le sujet, vivement critiqué à gauche et à l'extrême droite.En parallèle, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) pointe des dépenses d'optique et dentaires qui ont augmenté respectivement de 6,2 % et 5,5 % en 2023. Ces dernières étant désormais majoritairement prises en charge par les complémentaires santé. Selon la Drees, le résultat en santé des mutuelles est déficitaire à 0,4 % en 2023, une première depuis 2011. En revanche, sur la totalité de leurs activités, les complémentaires santé "ont été financièrement solides : leurs montants de fonds propres ont été très supérieurs aux minima réglementaires", évalue la Drees.Face à l'accroissement des dépenses de santé qui s'annonce avec le vieillissement de la population française, les mutuelles préconisent de mieux lutter contre la sur-prescription et la redondance d'actes et examens médicaux ou encore contre la fraude sociale. Elles insistent également sur un investissement plus important dans la prévention.Mais avec la hausse de tarifs, une autre question refait surface : la gestion de ces complémentaires santé. Un rapport sénatorial remis en septembre dernier épinglait les hausses de tarifs pour 2024. Les sénateurs qui ont procédé à leur propre évaluation du niveau de hausse conforme à l'augmentation des dépenses de santé et des nouvelles dispositions à assumer ont abouti à une fourchette allant de 4,5 à 6,5 %. Un niveau d'augmentation "sans commune mesure avec celui annoncé avec les mutuelles", ont-ils écrit, précisant qu'il "conviendra de rester attentif aux bilans financiers des complémentaires santé sur les années à venir, afin de vérifier le caractère strictement proportionné des augmentations de cotisations aux hausses de prestations". Les sénateurs ont également émis la piste d'une "anticipation imparfaite" des nouvelles mesures et recommandé de laisser au moins six mois entre la publication et l'entrée en vigueur des textes susceptibles de modifier la répartition des niveaux de prise en charge entre l'Assurance maladie et les complémentaires.Autre sujet récurrent dans les critiques adressées aux complémentaires, les frais de gestion des organismes. Le rapport sénatorial souligne que ces derniers ont augmenté à un rythme deux fois supérieur à l'inflation entre 2011 et 2022 (+ 33 %) avec de fortes disparités selon les organismes. En janvier dernier, l'UFC-Que Choisir avait aussi alerté les consommateurs sur des frais de gestion trop mal maîtrisés, compris entre 10 % et 28 % selon les complémentaires.Alors pourquoi les tarifs des complémentaires santé augmentent-ils encore ? La fraude sociale représente-t-elle un réel levier pour remplir les caisses de l'Etat ? Que représente-t-elle en réalité ? Qui se cache derrière la fraude ? Enfin après un an de présidence Milei en Argentine, quel est le bilan de sa méthode choc ?Les experts : - Philippe DESSERTINE - Professeur à l'Université IAE Paris panthéon sorbonne, directeur de l'Institut de Haute Finance, ancien membre du haut conseil des finances publiques, auteur de Le grand basculement, publié chez Robert Laffont- Nicolas BERROD - Journaliste au Parisien-Aujourd'hui en France au service Futurs, santé-médecine et climat- Margaux FODÉRÉ - Journaliste économique à Europe 1 - Nathalie COUTINET - Economiste de la santé et enseignante chercheuse à l'université Sorbonne Paris Nord- Sonia DRIDI (en duplex de Washington) - Correspondante à Washington - France 24 et RTBFPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Les invités pour l'émission : Elisabeth Hansberger Présidente de la délégation territoriale Vaucluse pour la Mutualité Française Anne Victoria FARGEPALLET Naturopathe Docteur Gautier coordinateur du CRCDC (Centre Régional de Coordination du Dépistage des Cancers) de la région Paca Sud
Avec : Éric Chenut, président de la Fédération Nationale de la Mutualité Française. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Apolline de Malherbe et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
durée : 00:15:34 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Eric Chenut président de la Fédération Nationale de la Mutualité Française
durée : 00:58:30 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Le projet de loi de finances de la Sécurité Sociale arrive aujourd'hui à l'Assemblée et prévoit notamment que l'Assurance Maladie rembourse moins les consultations. Les mutuelles seront mises à contribution et vont par conséquent augmenter leurs tarifs. On en parle à 13h30 avec Eric Chenut.
Aujourd'hui, c'est un épisode inédit dédié au projet « FEES – Femmes Enceintes, Environnement et Santé » né en 2011 et initié par les Plans Santé Environnement national et régional, l'Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique (APPA) et la Mutualité Française.Christel, chargée de prévention à la Mutualité française des Hauts de France vient vous sensibiliser dans cet épisode à l'exposition des femmes enceintes aux différents agents polluants. Christel revient avec précision sur les différentes études et recherches scientifiques qui ont attrait à l'impact des polluants environnementaux (notamment les substances cancérigènes mutagènes reprotoxiques et les perturbateurs endocriniens) au cours de la période périnatale. Ces derniers pouvant agir directement sur le développement du fœtus et parfois impacter la santé des générations futures. Ces polluants, multiples, peuvent être véhiculés par l'air intérieur, l'alimentation ou encore les cosmétiques… Ce sont les trois thématiques que nous avons choisi d'aborder avec Christel dans cet épisode !Le projet FEES est également un projet de prévention en santé environnementale et périnatalité visant à former les professionnels de santé et sensibiliser les futurs et jeunes parents aux expositions domestiques aux polluants afin de créer un environnement favorable à la santé de la femme enceinte et du nourrisson.Vous pouvez retrouver toutes les informations relatives au projet FEES au lien suivant : Projet FEES – Femmes Enceintes Environnement et SantéComme le dit si bien Christel, pas à pas, il est possible de changer notre quotidien en revenant à des choses simples et en ayant conscience au plus tôt de l'impact de ces agents polluants sur notre santé et celle de nos enfants.Je vous souhaite une belle écoute les MaMaS et surtout faites voyager cet épisode au plus grand nombre de MaMaS !Pour suivre les FEES sur instagram : @fees_pourbebePour retrouver MAM'ELLES sur Instagram : @mamelles_lepodcastPour me suivre sur Instagram : @marion_tertereauMon site internet : mamelles.frMa boutique en ligne : Boutique - MAM'ELLES (mamelles.fr)Pour m'écrire : mamelles.lepodcast@gmail.comMAM'ELLES est un podcast réalisé par Marion TERTEREAU. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur votre plateforme d'écoute préférée. On se retrouve chaque vendredi pour un nouvel épisode.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Mutualité française vient de présenter ses propositions pour une protection sociale plus efficace. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sapiens Sapiens, c'est chaque mois une conversation en toute liberté avec une personnalité. Une rencontre entre êtres humains, tout simplement, pour mieux nous comprendre. Dans notre 33ème numéro, Olivier Babeau reçoit Patrick Brothier, Président AÉSIO mutuelle, Vice-Président Aéma Groupe et Vice-Président Mutualité Française, pour une discussion autour des enjeux d'avenir de notre système de santé. https://www.aesio.fr/
durée : 00:44:38 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid, Valentin Pérez - Ce samedi, focus sur le coût de notre bien-être, avec un reportage sur la santé mentale dans les entreprises et un entretien avec le patron de la Mutualité Française. Mais auparavant, on décrypte les premières propositions pour les élections législatives. Quels remèdes urgents pour notre économie ? - invités : Eric Chenut - Eric Chenut : Président de la Fédération Nationale de la Mutualité Française - réalisé par : Céline ILLA
Les invités de l'émission : Amandine POUDOU - Sage Femme coordinatrice au centre endométriose complexe d'Avignon Odile Gros - Mutualité Française Sud Manon BARBIN - Présidente et fondatrice de l'association MANOLETA
En avril dernier, le rapport de l'Igas sur la qualité dans les crèches, commandé par Jean-Christophe Combe après le décès d'une petite fille dans une micro-crèche à Lyon, a été rendu public. Un rapport choc dressant un constat alarmant de l'accueil des tout-petits dans les crèches, avec 39 recommandations pour améliorer la qualité d'accueil et prévenir les maltraitances. Il s'est ensuivi l'annonce d'un plan d'urgence qualité par le gouvernement. Alors aujourd'hui les choses ont-elles vraiment changé dans les crèches ? Pour échanger sur la question : Jean-Baptiste Frossard (IGAS) ; Sylviane Giampino, présidente du Conseil de l'enfance et de l'adolescence du HCFEA, Céline Marc, directrice du département enfance, jeunesse et parentalité de la Cnaf ; Anne Morvan-Paris, Sous directrice de l'enfance et de la famille à la DGCS ; Jérôme Obry, président de la FFEC ; Anaïs Perelman, responsable petite enfance et initiatives sociales à la Fédération de la Mutualité Française.
Les invités pour l'émission : Elisabeth Hansberger Présidente de la délégation territoriale Vaucluse pour la Mutualité Française Clémence Piraux sage-femme libérale Docteur Gautier coordinateur du CRCDC (Centre Régional de Coordination du Dépistage des Cancers) de la région Paca Sud
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Un Français sur deux considère que les employeurs ne sont pas assez mobilisés sur la prévention de l'usure professionnelle, c'est la conclusion d'une étude menée par la Mutualité Française. La France fait figure de mauvaise élève européenne en matière d'accident du travail, à l'heure où le débat sur l'allongement de la durée du travail fait rage. L'analyse de Marie Visot, rédactrice en chef au Figaro. Ecorama du 21 février 2023, présenté par Julien Gagliardi sur Boursorama.com
Le dossier de la protection sociale complémentaire (PSC) des fonctionnaires reste au coeur de l'actualité entre la proximité de la première vague de référencement concernant la fonction publique d'État et territoriale et le décalage de celle liée au secteur hospitalier. En parallèle l'autre sujet chaud de cette rentrée pour la MFP est la validation du projet d'intégration au sein de la FNMF. Suite aux validations de leurs AG respectives, le chantier est désormais pleinement lancé. Serge Brichet revient notamment sur les tenants d'une longue phase négociation pour le moins compliqué et dont certains pans posent encore question (prévoyance, dispositifs de prévention…) ainsi que sur les raisons derrière le rapprochement de la Mutualité Fonction Publique avec la Mutualité Française. Bonne écoute à tous !
durée : 00:03:42 - Emploi express FB Normandie (Caen)
Comment un mutualiste est à l'origine de la mutualité française, participe à la création de la H.A.S (Haute Autorité en Santé) et contribue à la prise en charge des drogués en fondant un centre Méthadone. Durant son parcours, il rencontre Jacques Chirac, François Mitterand et Nelson Mendela...
durée : 00:46:10 - On n'arrête pas l'éco - par : Fabien CAZEAUX - Ce samedi, quelles répercussions économiques de la guerre en Ukraine ? Matières premières, croissance et marchés financiers... On en débat. Puis zoom sur les enjeux de la santé dans la présidentielle : reportage et entretien avec Eric Chenut, le président de la Mutualité Française. - invités : Eric Chenut - Eric Chenut : Président de la Fédération nationale de la Mutualité Française
durée : 00:37:15 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Le Haut conseil pour l'avenir de l'assurance maladie a été mandaté par O. Véran pour réfléchir aux possibles réformes du système de santé. Celle de la "Grande Sécu" élargirait le champ d'intervention de la Sécurité sociale, au détriment des complémentaires. Une telle réforme est-elle souhaitable ? - invités : Eric Chenut Président de la Fédération Nationale de la Mutualité Française; Brigitte Dormont Professeure d'économie à l'université Paris Dauphine au sein du laboratoire LEDA-LEGOS, et directrice de la Chaire Santé Dauphine (Institut Louis Bachelier); Dominique Libault Directeur de l'École nationale supérieure de la Sécurité sociale (EN3S) et ancien directeur de la Sécurité sociale (2002-2012).
durée : 00:37:15 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Le Haut conseil pour l'avenir de l'assurance maladie a été mandaté par O. Véran pour réfléchir aux possibles réformes du système de santé. Celle de la "Grande Sécu" élargirait le champ d'intervention de la Sécurité sociale, au détriment des complémentaires. Une telle réforme est-elle souhaitable ? - invités : Eric Chenut Président de la Fédération Nationale de la Mutualité Française; Brigitte Dormont Professeure d'économie à l'université Paris Dauphine au sein du laboratoire LEDA-LEGOS, et directrice de la Chaire Santé Dauphine (Institut Louis Bachelier); Dominique Libault Directeur de l'École nationale supérieure de la Sécurité sociale (EN3S) et ancien directeur de la Sécurité sociale (2002-2012).
Bienvenue ans ce nouvel épisode d'Esperluette, le podcast à l'écoute des belles énergies de mon territoire, le Vaucluse. C'est un épisode d'Une tisane & au lit un peu particulier que je vous propose aujourd'hui car il a été enregistré à l'origine sur RTV FM (la radio du territoire ventoux) pour la Mutualité Française Sud. Pourquoi j'ai souhaité rediffuser cette émission sur mon podcast et bien parce que le sujet me touche personnellement, qu'il nécessite une mise en avant sans limite et que j'ai eu la chance d'interviewer des spécialistes brillants et bienveillants. Nous allons parlé des maladies cardiovasculaires chez les femmes. Saviez-vous que les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité des femmes en France ? Quand on parle d'Accident Vasculaire Cébéral, on pense souvent aux personnes âgées et pourtant j'en ai fait deux, un a 22 ans et un 10 ans plus tard dus à une malformation cardiaque. Quand on parle d'infarctus, on pense à une forte douleur dans la poitrine et pourtant chez la femme, les symptômes peuvent être complètement différents. Dans 8 cas sur 10, si elles sont dépistées, les maladies cardiovasculaires peuvent être évitées. Alerter, Anticiper et Agir, voici les missions du fond de dotation Agir pour le Coeur des Femmes il y a peu à Avignon faire des dépistages complets avec le Bus du Coeur. Pour échanger avec moi sur ce sujet, j'ai eu le plaisir de recevoir : Professeur Claire Mounier Vehier, Cardiologue, chef de service au CHU de Lille, cofondatrice d' Agir pour le Cœur des femmes Thierry Drilhon, Chef d'entreprise, Président de la Chambre de commerce franco-britannique et co-fondateur d'Agir pour le Cœur des femmes, Marc Devouge, Secrétaire Général Mutualité Française Sud Je vous laisse écouter l'émission et surtout la partager, car l'information est la première des préventions et peut sauver des vies. Bonne écoute ! ------------------------------ Pour plus d'informations sur le sujet vous pouvez également vous rendre sur le site agirpourlecoeurdesfemmes.com Pour les malentendants, l'épisode est entièrement retranscrit sur mon blog ou sous-titré sur ma chaîne Youtube. Merci à la Mutualité Française Sud et en particulier à Brigitte Liatti d'avoir organisé cette émission. Pour écouter RTV FM c'est ici : www.rtvfm.net Retrouvez toutes les interviews d'Esperluette sur : www.esperluette-podcast.fr - Instagram - Facebook et sur toutes les applis de podcast Pour ne pas manquer un épisode, pensez à vous abonner au podcast ou à vous inscrire à la newsletter (formulaire en bas de la page) Esperluette est un podcast natif produit par Marie-Cécile Drécourt
Catherine Bellocchi responsable de l'activité de prévention santé à la Mutualité Française Sud nous parle de la séance de ciné-débat du 16 septembre à 14h30 autour du film "Les petits ruisseaux". La Mutualité Française Sud organise cet événement en partenariat avec le cinéma le Rivoli de Carpentras.
Les invités de cette émission : Patricia ROY – Hypnothérapeute, Lucie HANSBERGER – Médecin Généraliste, Marc DEVOUGE – Secrétaire général de la Mutualité Française Sud. L'article Live Santé de la Mutualité Française Sud – La santé psychologique est apparu en premier sur RTV FM.
durée : 01:59:26 - Le 7/9 - Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue- obstétricienne, fondatrice de la Maison des femmes de Saint-Denis, Anne-Cécile Mailfert, Présidente de la Fondation des Femmes, et Dominique Joseph, secrétaire générale de la Mutualité Française. Conseillère au CESE, sont les invités du 7/9
durée : 00:56:44 - Les Experts de France Bleu Isère - Les résidents d'Ehpad vont bientôt se faire vacciner.
La crise sanitaire a engendré une importante crise économique. Le nombre de demandeurs d’emploi a augmenté de 23,2% au deuxième trimestre en France. Face à ces risques pour les emplois, le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger appelle à une réorientation. Il a publié différentes propositions dans son livre Sortir de la crise, agir vite, penser loin, paru aux éditions Calmann-Levy. Elle n’est pas terminée, mais "cette crise nous enseigne déjà beaucoup, qu’on a besoin de commun et qu’il soit porté par la puissance publique", affirme Laurent Berger, qui a constaté récemment une hausse du nombre d’adhésions à la CFDT. Le secrétaire général du syndicat regrette un manque de reconnaissance pour les salariés, particulièrement ceux qui sont été en première ligne de l’épidémie. Une reconnaissance qui doit passer selon lui par "une hausse des salaires et des accès simplifiés à la formation". "Cette crise devrait nous enseigner qu’on a fait preuve de solidarité pour sauver des vies et il faut qu’on revienne à cette solidarité", assure Laurent Berger. Un rapport au travail qui a changé Alors que beaucoup d’entreprises organisent un télétravail massif pour leurs salariés, "il faut garantir qu’on maintienne du lien social et de la coopération", prévient Laurent Berger pour qui "le travail est émancipateur". Toutefois, il ne faut pas être naïf : "il y a tous ceux qui ne peuvent pas télétravailler, il y a une différence entre les cols bleus et les cols blancs". Il faut donc être vigilant vis-à-vis des fractures que ce nouveau mode de travail peut engendrer. Mais ce que craint encore davantage le syndicaliste, ce sont "les inégalités et la pauvreté en train de s’accroître dans notre pays". Et face à cette situation "inacceptable", "la puissance publique doit retrouver de sa puissance. Il y a besoin d’un accompagnement des services publics". Pas de rupture mais une réorientation Avec d’autres organisations comme France Nature Environnement, le Secours catholique ou la Mutualité Française, la CFDT a signé le pacte du pouvoir de vivre, un ensemble de "66 propositions qui concilient l’enjeu social, l’enjeu écologique et l’enjeu démocratique". Dans son livre également, des propositions sont faites par Laurent Berger qui estime que l’on "ne peut pas repartir comme avant en considérant dans ce pays que le seul indicateur est le PIB". "Il faut réguler le modèle économique pour qu’il soit davantage au service du temps long, de ceux qui sont en grande difficulté", affirme-t-il.
Après l'assouplissement des règles de visite du 5 juin, l'interview du directeur médical des 18 établissements de la Mutualité Française Bourguignonne Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:41:45 - Matin Bonheur, La vie en Bleu - Les aidants ne sont pas des professionnels de l'assistance à la personne ou de la santé publique. Ce sont la plupart du temps des proches des personnes handicapées ou malades qui ont besoin d'assistance, au profit desquels ils s'oublient.
PLFSS 2020, installation de la Complémentaire Santé Solidaire, rapport avec les pouvoirs publics, Assemblée Générale 2019... les sujets de rentrée des acteurs mutualistes sont nombreux. La rédaction d’ESE est allée poser des questions sur ces thèmes d'actualité à Thierry Beaudet, président de la Mutualité Française
La fusion CMU-C et ACS inscrite dans le PLFSS 2019 rentrera en application le 1er novembre prochain. Les récentes positions de l'Unocam et de la Mutualité Française sur l'indemnisation des frais de gestion laissent à penser que la mise en place et le démarrage risquent d'être un peu difficiles… Bonne écoute !
“Le travail, c’est la santé” Retrouvez le deuxième épisode de notre série de reportages sur la Mission Locale et ses dispositifs. Entrez en immersion cette fois-ci dans l’Atelier Vitalité avec Valentin qui a réalisé ce reportage. Créé en 2015 à la demande de la Mutualité Française, l’Atelier Vitalité vise à cibler les problèmes de santé et de bien-être qui sont des questions essentielles dans la recherche d’emploi. Animé par deux conseillères sur Technowest, il est mis en place deux fois par an au minimum. YouTalk s’est rendu en novembre 2018 à l’Atelier Vitalité de Blanquefort pour y réaliser les interviews des jeunes qui y participaient. S’en est suivi l’interview dans notre studio au Haillan de Nathalie et Zulbiya, conseillères en insertion sociale et professionnelle pour mieux saisir les enjeux de la mise en place de cet atelier. Ecoutez leurs témoignages dans ce reportage de 20 minutes. YouTalk reportage ne s’arrête pas là. Dès mercredi prochain, 17h, retrouvez celui sur la garantie jeunes présenté par Camille. Ensuite, ce sera Loïc aux manettes. Il vous présentera la journée mobilité à laquelle nous avons assisté. Si vous souhaitez vous lancer dans une aventure à l’étranger, ne le manquez surtout pas! Pour nous suivre : Facebook → facebook.com/YouTalkMLT Instagram → instagram.com/youtalkmlt Twitter → twitter.com/YouTalkMLT Soundcloud → soundcloud.com/youtalkmlt Itunes → itunes.apple.com/fr/podcast/youtalk/id1446573183 Youtube → youtube.com/channel/UCWtYii3530Yl5IIXcgEeciA Mission locale Technowest → mltechnowest.com
Au programme de ce deuxième numéro (semaine du 25 au 29 septembre 2017) - Retour sur l'une des informations majeures du PLFSS 2018 : nouveau rôle de l'Acoss = nationalisation de l'Unedic ? - La semaine "dense" de la Mutualité Française - Retour sur le problème de gouvernance à la FHF
Les Fusions et acquisitions se justifient-elles dans l’economie sociale ou sont elles le privilege de l’economie capitaliste? Cet atelier est consacré aux rapprochements entre organisations à mission sociale et étudie differents cas de figure rencontrés dans ce domaine mettant en évidence le potentiel de la pratique des fusions et acquisitions dans l’economie sociale, son contexte, ses enjeux, et ses perspectives. Nicolas Mottis, Professeur a l’ESSEC, fournit une analyse comparative des fusions et acquisitions dans les contextes lucratif et non lucratif. Venus de differents secteurs de l’economie sociale, trois panelistes partagent leur experience en la matiere: Jean-Marc Borello parle en tant que fondateur du groupe SOS. Philippe Calmette est le Directeur Général de FEGAPEI, la fédération nationale des associations gestionnaires au service des personnes handicapees. Dominique Giry offre sa perspective depuis sa position de directeur général du groupe Résideo, un groupe immobilier à vocation sociale qui travaille notamment dans l’est parisien. Les intervenants explorent la pertinence de ces opérations de regroupement, de concentration, de mise en commun de moyens significatifs considerant notamment la taille et la maturité des différentes structures impliquées. Le panel évoque plusieurs circonstances dans lesquelles la mise en commun de moyens se justifie et présente de nombreux avantages comme, par exemple des synergies opérationnelles ou financières, des économies d’échelles, l’amélioration de la coordination entre différents acteurs, la rationalisation des modes de gestion, etc. La diversite des perspectives fournit une revue en profondeur du phenomene des fusions et acquisitions dans l’economie sociale. Jean-Marc Borello a créé le “Groupe SOS,” une coalition d’associations et d’entreprises qui fonctionne comme un laboratoire pour l’amélioration continue des services sociaux. SOS crée, teste, évalue, et systématise des programmes sociaux innovateurs susceptibles d’être adoptés et developés par le gouvernement français. Ayant mené son organisation à une taille critique, Jean-Marc Borello delivre des services de haute qualité couvrant tout le spectre des besoins sociaux, génère des liquidités permettant des investissements permanents, et explore de nouvelles possibilités par une gestion strategique de ’ l’innovation. SOS est souvent sollicité, notamment par le gouvernement, pour réaligner des organisations de services. En raison de la grande échelle de ses opérations, de la crédibilité et la reconnaissance dont il jouit dans le secteur social, et de la qualité des services SOS, Jean-Marc Borello a acquis un important pouvoir de négociation non seulement avec le gouvernement français mais aussi avec les entreprises et les marchés financiers, qui expriment un intérêt croissant de travailler en partenariat avec lui. Philippe Calmette est devenu le directeur général de FEGAPEI en 1998. Directeur d’hôpital de formation puis spécialiste des questions sanitaires, médico-sociales et de protection sociale, Philippe a notamment mené depuis 1988 dans le cadre de ses fonctions, quatre projets de redressement puis de développement d’entreprises en difficulté ou en fort besoin de réorganisation (3 Fédérations et 1 établissement de santé). Lors de ses dix années de Directeur Général de la Mutualité Française (Fédération Nationale de la Mutualité Française) et de la Mutualité de la Fonction Publique, il a appris les métiers et les services de l’assurance de personnes autour desquels il s’est efforcé de développer des projets novateurs et performants. Depuis 1998, en charge d’une Fédération professionnelle regroupant 500 associations et 4000 établissements pour Personnes Handicapées, Philippe s’est spécialisé sur les questions médico-sociales et les politiques en faveur des personnes handicapées mais également sur les enjeux du dialogue social et de la représentation de l’économie sociale. Il a présidé, de 2000 à 2003, la Branche Sanitaire, Sociale et Médico-Sociale à But Non Lucratif. Nicolas Mottis a rejoint l’ESSEC comme professeur assistant en 1995, après avoir travaillé dans différentes entreprises entre 1988 et 1995: chez Renault dans le Département Marketing Logistique à Zürich (1988-1989), puis à la Direction de la Recherche (1989-1990) comme chef de projet, à la BNP au sein de la Direction Informatique (1990-93), puis dans le groupe Bertelsmann (1993-95). Il a été promu Professeur en Septembre 2000. En 1995-97, il a été responsable du projet qui a conduit l’ESSEC à devenir la première institution accréditée AACSB hors Amérique du Nord. Il a été Membre du Comité d’Accréditation de l’AACSB de 2003 à 2006 et « Chair » de son « Accreditation Quality Committee », dont le rôle est de définir les standards d’accréditation au niveau international, de 2006 à 2009. Il est aussi co-fondateur et « Chair » de l’« AACSB European Affinity Group » et réalise de nombreuses missions d’évaluation d’universités et de business schools en Europe, Amérique du Nord et Asie. Nicolas Mottis a obtenu un Doctorat en Economie à l’Ecole Polytechnique en 1993 et une Habilitation à Diriger des Recherches à l’Université Paris Dauphine en 2000. Il a été chercheur visitant à Stanford (US), à l’Ecole Polytechnique, à la Harvard Business School (US) et à l’Australian Graduate School of Management (Sydney, Australie). Ses centres d’intérêt en recherche portent sur l’articulation entre stratégie et contrôle de gestion (création de valeur, systèmes d’incitation, mesure des performances, planification,…), la gestion des projets dans des environnements high tech et l’évolution de l’enseignement supérieur. Il est auteur de plusieurs ouvrages et de nombreuses publications académiques et professionnelles dans ces domaines (voir le site www.essec.fr pour la liste complète des publications). Dominique Giry est le directeur général du groupe Résideo, un groupe immobilier à vocation sociale qui travaille en particulier dans l’est parisien et comprend: -Resideocil (partenaire 1% logement des entreprises) -Resideo Habitat (construction et gestion de logements locatifs à vocation sociale) -Espacité (conseil et assistance à maîtrise d’ouvrage pour la rénovation urbaine et les politiques locales de l’habitat) -Résidétapes (développement et gestion d’habitat temporaire) Diplômé d’études supérieures en sciences économiques, il entre en 1974 à l’Office central interprofessionnel du logement. Les différentes responsabilités qui lui sont confiées lui permettent d’acquérir une vision globale des problèmes urbains et une expérience concrète de la conduite des opérations urbaines. En 1979, nommé secrétaire général de la Ville de Marly-le-Roi et directeur général de la SEMARO (société d’économie mixte d’aménagement et de construction), il mène à leur terme des projets importants dans le cadre d’une politique de développement de la ville. Le parcours et la carrière de Dominique Giry témoignent d’un engagement pour la Ville et l’aménagement du territoire qui repose sur des convictions acquises au cours de ses expériences professionnelles à la croisée de la sphère publique et du monde de l’entreprise. https://ssir.org/podcasts/entry/fusions_et_acquisitions_dans_leconomie_sociale