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durée : 00:09:28 - La Transition de la semaine - par : Nicolas Herbeaux - Ce jeudi 20 mars, le Sénat a adopté une loi de réhabilitation des femmes ayant été condamnées pour avoir avorté avant la loi Veil de 1975. Une loi symbolique nécessaire selon notre invitée Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Anne-Cécile Mailfert Fondatrice de la Fondation des femmes, ancienne Porte-parole d'Osez le féminisme.
durée : 02:58:52 - Le 7/10 - par : Léa Salamé, Sonia Devillers, Ali Baddou, Anne-Laure Sugier - Elie Barnavi et Olivier Jaoui, Patrick Martin, Maxime Sbahi et Anne-Cécile Mailfert, Marc Lavoine, Jeanne Rivière sont les invités de la matinale.
I casi di cronaca più oscuri con il criminologo Massimo Picozzi.
I casi di cronaca più oscuri con il criminologo Massimo Picozzi.
durée : 00:52:04 - Bienvenue chez vous - Nathalie milion
Bienvenue dans Raconte-moi une chanson, le podcast d'Elise Garcia, crée en partenariat avec la Fondation des Femmes, sur les inavouables secrets des chansons pour enfants.Éloignez les oreilles innocentes du poste. Nous levons le voile sur un monde trouble où la souris verte en bave, Pierrot refuse les avances d'Arlequin, les rossignols se font censeurs de jeunes vierges.Dans ce dernier épisode, Anne-Cécile Mailfert, la présidente de la Fondation des Femmes a choisi Il était une bergère, un air léger, une mélodie entêtante, en complet contraste avec ce qui s'y déroule.Dans cette chanson paillarde, la jeune bergère subit un viol suivi d'un avortement.Un épisode particulièrement essentiel, en cette année de tous les dangers pour les droits des femmes, marquée par une avancée importante : l'entrée de l'IVG dans notre Constitution. “Certaines chansons résonnent en moi de manière beaucoup plus forte aujourd'hui. J'adore leur rythme, la musique, les paroles me permettent de m'émanciper, de crier mon envie de liberté. Avec mes amies, on a envie de pleurer de joie quand on chante à l'unisson. Ces chansons-là disent ce qu'on a envie d'être, de devenir. Elle est là la puissance de l'art, beaucoup plus que dans des chansons objectivantes.”Anne-Cécile Mailfert a créé La Fondation des Femmes en 2014 pour lever des fonds en faveur des droits des femmes. Elle alerte sans relâche sur le manque de moyens pour venir en aide aux femmes victimes de violences sexistes et sexuelles.On connaît d'elle ses chroniques féministes sur France Inter et son engagement militant.On découvre ici qu'elle a passé tout un été aux côtés d'une bergère.Elle ne connaissait pas le destin de la bergère de la chanson, qu'elle a vécu comme une trahison, l'occasion de réhabiliter cette figure et de lui rendre toute sa dignité.Création et réalisation : Elise GarciaInterview : Florence TrédezRéinterprétation : Caro SallyPhotographe : Laurie Bisceglia Montage : Arthur DechetUn immense merci à toutes et tous d'avoir suivi ce podcast cet été.Vos messages nous ont beaucoup touchés et nous sommes heureuses d'avoir ouvert de nouvelles pistes pour réinterpréter les contenus à destinations de nos enfants. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 02:57:46 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Alexandre Léauté, Nicole Belloubet, Marie Dosé et Anne-Cécile Mailfert,Zar Amir, Anatole Edouard Nicolo sont les invités du 7/10 ce lundi 2 septembre
Bienvenue dans Raconte-moi une chanson, le podcast d'Elise Garcia, crée en partenariat avec la Fondation des Femmes, sur les inavouables secrets des chansons pour enfants.Éloignez les oreilles innocentes du poste. Nous levons le voile sur un monde trouble où la souris verte en bave, Pierrot refuse les avances d'Arlequin, les rossignols se font censeurs de jeunes vierges.Dans l'épisode d'aujourd'hui, Irma nous parle d'injonctions faites aux femmes et de l'importance de trouve sa voix au micro de Florence Trédez.A la claire fontaine est la chanson nostalgique par excellence, celle d'une rupture amoureuse.Dans la version actuelle, Pierre est parti pour un bouquet de roses que la jeune fille lui aurait refusé, raison un peu légère pour une rupture. Pour saisir la véritable raison de cet abandon, il nous faut revenir à une version plus ancienne, dans laquelle la jeune femme déplore :“J'ai perdu mon ami Pierre pour un bouton de rose que trop tôt j'ai donné.”On comprend alors pourquoi il l'a quittée ; le bouton de rose représente sa virginité.Donner sa virginité avant le mariage, c'était prendre le risque de se voir mise au ban.On ne parle plus de virginité mais de “body count”, à savoir avec combien d'hommes une femme a eu des relations sexuelles.Les femmes continuent d'être auscultées, jugées et contrôlées à l'aune de leurs relations aux hommes.Pour Irma, les injonctions faites aux femmes les entravent et leur font perdre du temps.Sa timidité et son syndrome de la bonne élève lui ont coûté dans une société où celui qui crie le plus fort l'emporte.Elle aura mis dix ans à trouver sa tonalité, celle dans laquelle s'exprimer et faire entendre sa voix, selon ses conditions.Cet épisode est enregistré au studio la Poudre de la Cité Audacieuse.Création et réalisation : Elise GarciaInterview : Florence TrédezRéinterprétation : Caro SallyPhotographe : Hélène In QuachMontage : Arthur Dechet Dans le prochain épisode, Anne-Cécile Mailfert, la présidente de la Fondation des Femmes nous parle d'avortement et d'agression sexuelle avec Il était une bergère. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:26:58 - A votre service par France Bleu Sud Lorraine
Avec : Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes. - L'invité qui fait l'actu. Le samedi et le dimanche à 7h40, Matthieu Rouault reçoit un acteur majeur de l'actualité et donne la parole aux auditeurs de RMC.
Cent personnalités qui ont dénoncé des violences sexuelles dans une photo-manifeste du mouvement #MeToo, ainsi qu'une tribune demandant une « loi intégrale » : c'est ce qu'ont pu découvrir les lecteurs du Monde dans leur journal daté du 14 mai alors qu'à Cannes était lancé le 77e festival de Cannes, placé sous le signe de la lutte contre ces violences, tant les révélations sur ce milieu se sont succédées.Une initiative de l'actrice Anna Mouglalis, qui s'est associée à Muriel Reus, vice-présidente de #MeTooMedias, et Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes. Toutes trois ont réunis d'anciennes victimes de violences sexuelles et lanceuses d'alerte qui ont contribué à la libération de la parole en France.Venant de tous les horizons et travaillant dans plusieurs secteurs de métiers, ces personnalités, connues et anonymes, incarnent aujourd'hui le mouvement #MeToo et réclament au gouvernement une « loi intégrale » pour lutter contre le phénomène.Jérôme Lefilliâtre est l'un des journalistes qui a participé à la mise en œuvre de cette opération éditoriale. Il nous la raconte dans cet épisode de « L'Heure du Monde ».Un épisode écrit et présenté par Cyrielle Bedu. Réalisation : Amandine Robillard. Suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait d'interviews du chef du service photo du Monde Nicolas Jimenez, de la photographe Sonia Sieff et de la journaliste Giulia Foïs.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr
durée : 02:58:27 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Les invités de la Matinale de France Inter ce mercredi 15 mai 2024 sont : Nicolas Metzdorf / Spécial Trafic de drogues / A-C Mailfert x L. Heinich / Jean Reno / Diego Murgia
Pourquoi la Journée internationale du droit des femmes est-elle encore nécéssaire en 2024?Dans cet épisode je reçois Anne-Cécile Mailfert, co-fondatrice et présidente de la Fondation des femmes pour faire un état des lieux de la situation actuelle: précarité, droits, violences sexistes et sexuelles... cet épisode bonus vous permettra d'avoir un panorama de certains des enjeux des luttes féministes actuelles.Retrouvez davantage d'informations sur la Fondation des Femmes ici : https://fondationdesfemmes.org/Et sur les réseaux sociaux : https://www.instagram.com/fondationdesfemmes/?hl=fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une sexagénaire poignardée, une octogénaire tuée avec un fusil à pompe ou, plus récemment, une femme abattue devant le tribunal de justice de Montpellier... Toutes ces femmes ont un point commun: leur assassin, qui est leur compagnon ou leur ex-compagnon. Selon des statistiques, les femmes âgées représentent la deuxième catégorie la plus touchée par des féminicides. Pourquoi ces hommes âgés passent-ils à l'acte? Ces féminicides ont-ils une spécificité particulière? Pourquoi sont-ils moins médiatisés? Dans cet épisode inédit d'Affaire Suivante, Ronald Guintrange reçoit Manon Aublanc, journaliste police-justice pour BFMTV.com et Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes.
O Instituto Nacional de Estatísticas e Estudos Econômicos da França (Insee) divulgou um balanço nesta semana que apontou para a maior queda de natalidade no país desde a Segunda Guerra Mundial. No mesmo dia, o presidente francês, Emmanuel Macron, anunciou medidas para o que chamou de “rearmamento demográfico”, suscitando uma forte polêmica. Daniella Franco, da RFI“A infertilidade aumenta. E eu falo aqui de uma espécie de tabu do século, mas as coisas estão mudando. Fazemos filhos cada vez mais tarde”, declarou o presidente durante seu discurso e coletiva de imprensa no qual apresentou o roteiro de seu novo governo na terça-feira (16).De fato, segundo o balanço demográfico anual do Insee, entre 2022 e 2023, a natalidade registrou uma queda de 6,6%. Além disso, pela primeira vez, a taxa de fecundidade baixou em todas as faixas etárias, inclusive entre os 30-34 anos, período em que as francesas mais têm filhos.Diante do balanço, Macron anunciou “um grande plano de luta contra esse problema”. O objetivo, segundo, ele é “permitir um rearmamento demográfico” da França.Em seguida, o presidente apresentou a proposta de substituir a licença parental, que atualmente pode ser estendida até os 3 anos de idade da criança, por uma “licença nascimento”. Segundo Macron, esse período terá uma duração máxima de até seis meses, mas contará com uma melhor remuneração do que a licença parental.O presidente disse acreditar que a mudança será “um elemento útil nessa estratégia” contra a queda de natalidade na França. Para ele, a licença permitirá às famílias a passarem mais tempo com os filhos e incentivará os casais a procriarem.“Rearmamento demográfico”O tom reacionário do discurso irritou parte da opinião pública, a oposição e foi tema de reportagens e editoriais nesta semana. A utilização do termo “rearmamento demográfico” chocou várias parlamentares francesas.Para a senadora ecologista Mélanie Vogel, a expressão remete ao lema “Trabalho, Família, Pátria” que a França usou durante o regime de Vichy, na Segunda Guerra Mundial, quando foi ocupada pela Alemanha Nazista. “Em um contexto geopolítico de multiplicação de guerras e nacionalismo, os seres humanos não podem ser vistos como armas”, disse a deputada socialista Laurence Rossignol.A Federação Nacional dos Centros de Informação sobre os Direitos das Mulheres e das Famílias denunciou uma política natalista contrária à autonomia das mulheres, “uma regressão política e social preocupante”. “Deixem nossos úteros em paz”, publicou no X (ex-Twitter) a presidente da Fundação das Mulheres, Anne-Cécile Mailfert.Já jornal Libération publicou na quinta-feira (19) uma edição especial de cinco páginas e um editorial enfurecido que enumerou o que desmotiva hoje a população francesa a procriar. “Salários baixos, a falta de moradia própria, a falta de assistência do Estado para as famílias, as longas jornadas de trabalho”, lista o texto. Libé cita também a escassez de perspectiva em um mundo em guerra e um planeta que está sendo destruído pelas mudanças climáticas, criticando a desconexão do Macron em relação aos cidadãos.Queda da natalidadePara especialistas em demografia, a queda na taxa de natalidade da França não é alarmante e deve ser mais encarada como um fenômeno do que como um problema. Em entrevista à France Bleu, o professor da Escola de Economia de Paris, Hippolyte d'Albis, acredita que o essencial é adaptar as políticas públicas “favorecendo o emprego de sêniors, mulheres ou recorrendo à imigração”.Já a União Nacional das Associações Familiares da França (Unaf) lembra que mesmo que a taxa de fecundidade das francesas seja de 1,68 por mulher, o desejo de procriar não desapareceu. Em 2020, um estudo da associação mostrou que a média do número ideal de filhos no país é de 2,39.O Alto Conselho da Família e da Infância da França é cético sobre o sucesso do plano apresentado por Macron para incentivar a natalidade. Para Hélène Périvier, presidente deste órgão independente, a principal estratégia deveria ser criar condições nas famílias que facilitem a criação e a educação dos filhos, e priorizam a qualidade de vida de mães e pais.“Há uma relação entre as políticas de articulação entre vida familiar e vida profissional e o nível da natalidade dos países”, diz, em entrevista à France Info. “Os países onde essas políticas permitem às mulheres trabalhar quando elas têm filhos são os países onde as mulheres mais têm filhos”, ressalta.
Le “réarmement démographique” annoncé cette semaine par Emmanuel MACRON. Alors que les Français n'ont jamais fait aussi peu d'enfants depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le chef de l'État veut relancer la natalité pour enrayer le déclin de la France… Alors comment comprendre cette volonté du chef de l'État ? La gauche et les féministes ont-ils raison de dénoncer une rhétorique guerrière empruntée à l'extrême droite ? Le “baby crash” est-il nécessairement synonyme de déclin ? Bref, faire des enfants, est-ce une affaire intime ou politique ? On en parle avec : François DUROVRAY, Président LR du département de l'Essonne Natacha POLONY, Directrice de la rédaction de Marianne Laurence ROSSIGNOL, Sénatrice PS du Val-de-Marne, vice-présidente du Sénat, membre de la commission des affaires sociales, vice-présidente de la délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes, ancienne ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes (2016-2017) Hervé LE BRAS, Démographe, historien, chercheur émérite à l'Institut national d'études démographiques (INED), directeur d'études à l'EHESS Anne-Cécile MAILFERT, Présidente de la Fondation des Femmes
Entrée en vigueur aujourd'hui d'un dispositif d'aide d'urgence pour les victimes de violences conjugales. Une aide financière pour les aider à quitter leur domicile, qui s'échelonnera d'un montant minimum de 240 euros jusqu'à 1 330 euros. Les avancées et les limites de ce nouvel outil de lutte contre ce fléau avec Anne Cécile Mailfert, présidente-fondatrice de la « Fondation des femmes » et auteure de Tu seras une femme ! Guide féministe pour ma nièce et ses ami.e.s, éditions Les Petits matins.
Alexandre Le Mer, Ombline Roche et la rédaction d'Europe 1 vous accompagnent chaque jour de la semaine dès les premières lueurs du soleil avec de l'information et de la convivialité. L'émission parfaite pour commencer la journée du bon pied, et s'informer.
Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes est l'invitée de Marie Eloy, fondatrice des réseaux féminins Femmes des territoires, Bouge ta boîte et Bouge ton groupe.Une femme sur deux a déjà subi une violence sexuelle en France. Plus de 200.000 femmes sont victimes de violences physiques et sexuelles de la part de son conjoint ou ex-conjoint, selon le rapport du ministère de l'Intérieur. Et seul 1 % des cas de viols finissent par une condamnation.La Fondation des Femmes est née de la « force de la volonté » d'Anne-Cécile Mailfert en 2016. Après 8 ans d'existence, la structure accompagne des associations et multiplie les actions pour promouvoir les droits des femmes. Elle a soutenu plus de 600 projets que ce soit des concours d'éloquence ou un train de l'égalité en 2022 qui sillonnait la France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Elsa Wolinski est la 1ere invitée de Genre de Fille qui revient pour la deuxième fois dans le podcast, un an et demi après son premier passage en octobre 2021 (spoiler : Elsa ne se souvient pas de son premier passage. Non je ne suis pas vexée, mon égo est toujours bien là). Depuis Elsa a perdu sa maman, écrit un livre, fait un jeune dans une clinique branchée en Allemagne et est toujours engagée avec Sisterhood by Wolinski, sa marque de vêtements. “Sisterhood est avant tout une aventure solidaire et engagée bien plus qu'une marque de mode. Porter Sisterhood, c'est une manière de s'engager, de faire un acte d'achat solidaire pour les femmes et les enfants qui luttent contre les violences conjugales.” Pour chaque achat, la marque reverse 4 euros à Cœurs de Guerrières et à la Fondation des Femmes. Elsa vient donc de sortir son livre 'A demain' aux Éditions Flammarion, et sa nouvelle collection Sisterhood Printemps Ete 2023. Elle est également chroniqueuse dans l'émission Bel et Bien diffusée sur France 2. Dans cet épisode, on parle de : de vulnérabilité et de renaissancede l'héritage léger qu'elle souhaite laisser à ses filles, et celui, plutôt lourd, qu'elle a reçu de ses parents, Georges et Maryse Wolinski (Georges Wolinski était un dessinateur emblématique de Charlie Hebdo, assassiné le 7 janvier 2015. Maryse, son épouse était autrice et est décédée d'un cancer en décembre 2021.)l'écriture de son livre et son éditeur de choc Garçon ModerneSon engagement pour les femmes et les enfantsson déclic et sa prise de conscience lorsqu'il y a trois ans, en répondant à l'appel de l'activiste Femen Sofia Antoine pour soutenir les femmes et les enfants, victimes de violences conjugales, et en particulier, en se rendant au procès de Laura Rapp, victime d'une tentative de meurtre par son ex-conjoint. Elsa raconte sa participation dans l'émission Bel et Bien, la bienveillance qu'elle vit à la télévision avec Agathe le Caron, sa passion chaste pour André Manoukian. Dans cet épisode, on fait aussi une éloge de la lenteur, on parle du travail de Anne Cécile Mailfert, Elsa raconte comment elle a réalisé que son père était un macho, comment ça a définit pendant longtemps sa vision de la virilité. Cet épisode a été enregistré dans le cadre du Podcasthon (avec un peu de retard !). Le Podcasthon est le premier événement caritatif qui mobilise la grande famille des podcasteurs & podcasteuses. Rendez-vous sur podcasthon.org pour en savoir plus sur cette superbe initiative.
Emmanuel Macron homenageou esta quarta-feira, 08 de Março de 2023, dia Internacional da Mulher, Gisèle Halimi. O chefe de Estado francês aproveitou o momento para abordar a constitucionalização da IVG, um dos combates da advogada feminista, falecida a 28 de Julho de 2020. Emmanuel Macron homenageou esta quarta-feira, 08 de Março de 2023, dia Internacional da Mulher, Gisèle Halimi. O presidente de França aproveitou o momento para abordar a constitucionalização da IVG, um dos combates da advogada feminista. Macron disse querer “gravar a liberdade das mulheres de recorrer à interrupção voluntária da gravidez” na Constituição. Para o efeito, anunciou um projecto de lei constitucional “para os próximos meses”.A homenagem nacional do presidente francês à advogada e activista feminista, falecida a 28 de Julho de 2020, aos 93 anos de idade, não é de todo consensual.De um lado, a República francesa, na figura do seu presidente a lembrar, no Palácio da Justiça, a mulher, o percurso, os combates e a dívida que a França tem para com Gisèle Halimi, nomeadamente no combate contra a colonização e a guerra da Argélia, no combate contra a pena de morte, na luta pela legalização da Interrupção Voluntária da Gravidez e no combate pela despenalização da homossexualidade. Do outro, um dos filhos da advogada, Serge Halimi, que recusou integrar este processo. Para o segundo filho da activista, “o país está mobilizado contra uma reforma das pensões extremamente injusta, cujas mulheres que ocupam os trabalhos mais difíceis são as primeiras vítimas.” Serge Halimi sublinha que, se fosse viva, a sua mãe estaria na linha da frente desta “causa e na manifestação ao lado” das mulheres. Posição idêntica tem a associação Choisir la cause des femmes, (Escolher a causa das mulheres), fundada em 1971 por Gisèle Halimi e Simone de Beauvoir. “Gisèle Halimi nunca aceitaria uma coisa destas", sublinhou em entrevista à France Info Violaine Lucas, a actual presidente da associação. “O presidente da República está a implementar uma reforma das pensões que vai prejudicar as mulheres, por isso mesmo não nos podemos associar a esta homenagem. É chocante”, acrescentou Violaine Lucas acusando o executivo de "instrumentalização política”.A lista de ausentes continua: Anne Tonglet, uma das duas mulheres defendidas por Gisèle Halimi, em 1978, no emblemático processo de Aix-en-provence, que abriu portas ao reconhecimento da violação como um crime em França, também não vai marcar presença. Nem a Fondation des femmes (Fundação das Mulheres), cuja presidente Anne-Cécile Mailfert, em entrevista à France Info, deixou bem claro que o seu “lugar é na rua. É assim que lhe será prestada a mais bonita das homenagens.” Para nos falar do legado de Gisèle Halimi e das lutas feministas actuais, a RFI ouviu a Luísa Semedo, doutora em filosofia em Paris, que defende que a homenagem a este nome cimeiro dos direitos humanos em França é mais do que justa, todavia sublinha que, se fosse viva, Gisele Halimi estaria na rua ao lado das mulheres. RFI: Como é que olha para esta homenagem do Eliseu? Trata-se de uma justa homenagem ou de aproveitamento político da figura de Gisèle Halimi? Luísa Semedo: “Uma homenagem a uma feminista é sempre de louvar, tendo em conta até o ambiente, hoje, de machismo e de ideologias masculinistas e outras que estão a fazer bastante pressão na sociedade. Portanto, é sempre de louvar. É melhor do que nada, como se diz. Mas ainda há um caminho a percorrer.Esperamos que Gisèle Halimi vá para o Panteão. Por enquanto, [Emmanuel] Macron ainda não tomou essa decisão, porque ele também tem medo destas franjas mais reaccionárias.Fico-me pela opinião da família, de pelo menos um dos filhos de Gisèle Halimi, que acha que é, de facto, um aproveitamento político e que a mãe estaria provavelmente hoje na rua a manifestar-se contra esta reforma das reformas.”A data escolhida para esta homenagem foi alvo de críticas. A conjuntura política actual debate a reforma do sistema nacional de pensões, que é bastante penalizadora para as mulheres. Se esta reforma não estivesse a ser debatida, esta homenagem era-lhe devida? Gisèle Halimi já faleceu há mais de dois anos.“Sim, a homenagem é-lhe devida, mas uma homenagem não pode ser só um discurso e um nome que aparece num momento. Também tem que se compreender qual era o estado de espírito e qual era a luta de Gisèle Halimi. A luta de Gisèle Halimi não era só aparecer. Ela tinha uma luta, desde muito cedo que era uma luta bastante interventiva. Portanto, a maior homenagem, de facto, que se podia fazer a Gisèle Halimi, muito mais do que o Panteão ou uma homenagem nacional, é que houvesse uma transformação: que houvesse, por exemplo, um maior financiamento para associações feministas; a criminalização da violação que não fosse só lei mas que fosse, também, facto; que a luta LGBT fosse mais levada a sério; o acesso à IVG e o seu reembolso também. Ou seja, que as suas lutas fossem uma realidade, acho que essa seria a melhor homenagem.”O que é que a França deve a Gisèle Halimi?“Para já, deve uma visão humanista. A França que diz sempre que é o país dos direitos humanos, a Gisèle Halimi é uma representante dessa ideia.A França pode ter orgulho em ter uma francesa, franco-tunisina, que lutou, que é uma figura dos direitos humanos e não somente na França, mas no mundo. Porque era uma militante anticolonialista e, portanto, temos uma dívida nesse sentido. Se fizermos um balanço do que é a França enquanto país dos direitos humanos, a figura de Gisèle Halimi aparece, sem dúvida, como um dos nomes sonantes desta representação."A questão da despenalização da Interrupção voluntária da gravidez é indissociável de Gisèle Halimi. Há sensivelmente um mês o Senado francês aprovou a inscrição da IVG na Constituição. Todavia, ainda há um longo caminho a ser percorrido para que a “liberdade da mulher” de interromper a gravidez seja letra constitucional. Qual é a necessidade de inscrever a IVG na constituição? “Eu penso que somos muitas e muitos a compreender que estamos numa fase da história em que o retrocesso está aqui. As forças reaccionárias e antifeministas contra a IVG estão a ter muita força, muita comunicação, estão a utilizar bastante as redes sociais e têm meios para o fazer. Portanto, inscrever na Constituição é dar um passo suplementar para que seja mais difícil poder voltar atrás, poder haver retrocesso. O retrocesso é sempre possível. É sempre esse um dos nossos medos. Não há nenhuma conquista das mulheres que esteja completamente escrita sobre pedra, como se diz. É mais um passo. Espero que sim. Espero que vá para a frente esta inscrição na Constituição.” O feminismo de hoje em dia é diferente do feminismo dos anos 70?"Sim, eu acho que é um bocadinho diferente porque, para já, somos herdeiras da luta anterior. Eram lutas incríveis. Lutar para se poder ter uma conta no banco, lutar para se poder viajar, lutar por coisas que nos parecem absolutamente evidentes hoje e nem conseguimos imaginar como é que seria antes. Lutar para se poder votar, por exemplo. Portanto, eram lutas absolutamente essenciais nessa altura. Nós já estamos numa outra fase. Na fase justamente de tentar não baixar os braços. Sim, já não é como antigamente mas, ainda, estamos muito longe da igualdade total daquilo que deve ser a justiça.A nossa luta de hoje é reforçar, fazer com que não haja retrocesso e continuar a fazer esta força de pressão para dizer que queremos igualdade, queremos liberdade.Depois há matérias que me parecem não mudar, como por exemplo os feminicídios. Continuamos a ter taxas de feminicídio absolutamente inacreditáveis, continuamos a ter taxas de violações inacreditáveis, continuamos a ter taxas de não criminalização, ou seja, a taxa de homens que são de facto condenados é ínfima em relação às violações. Portanto, ainda há aqui muito caminho.Acho outra coisa que talvez seja um pouco diferente - pode ser só uma visão minha de hoje - a interseccionalidade das lutas. Hoje o feminismo não vive numa bolha, o feminismo tem que ser anti-racista, tem que ser ecologista, tem que ser pró LGBT, ou seja, tem que incluir vários níveis de luta e não pode ficar fechado numa bolha.”Em 2023 as desigualdades de género continuam.Já este ano, o Alto Conselho para a Igualdade em França lançou um relatório sobre o sexismo no país e concluiu que apesar de haver uma maior sensibilidade para a discriminação da mulher após o movimento Metoo, "os clichés e estereótipos ligados ao género continuam". 23% das mulheres francesas declaram ter uma desigualdade de salário em relação aos seus colegas homens e, na esfera privada, 37% das mulheres dizem que já tiveram relações sexuais não consentidas. Em França, em 2022 morreram, pelo menos, 111 mulheres vítimas dos seus parceiros ou ex-parceiros. O relatório mostra que 23% dos homens, de 25 a 34 anos, considera que é preciso ser violento numa relação para ser respeitado. O relatório acaba por ser chocante.“É chocante porque é dito, porque é visível de forma muito explícita, mas não é surpreendente. É algo que vemos no dia-a-dia. Sabemos que é assim. É verdade que, por vezes, é escondido. Existem hoje ideologias que têm um grande poder de comunicação e que estão a assumir o lado machista, o lado masculinista e é um perigo. Este é um dos nossos novos desafios, é lutar contra isto que também tem a ver com esta novidade das redes sociais.Este relatório vem só mostrar que não podemos de todo baixar os braços, apesar dos progressos, ainda há um longo caminho [a percorrer]. É uma luta que tem que ser mesmo constante, porque há mulheres a morrer. O machismo mata todos os dias.”Esta luta também se faz no masculino, com a participação de mulheres, de homens e inclusive de crianças. A Luísa Semedo é mãe de dois rapazes. Como é que os sensibiliza para estas questões?"É importante falar, dialogar muito com os rapazes, não ter medo de falar destas questões.Converso muito com os meus filhos, mostro-lhes documentários. Por exemplo, ainda há pouco tempo fomos a uma exposição da Baya, que é uma uma pintora argelina. Ou seja, é preciso que eles também tenham uma cultura e uma visão das mulheres bastante diversificada e não só um certo tipo estereotipado do que são as mulheres ainda hoje. Portanto, isso é um trabalho sem fim e sobretudo parece-me essencial trabalhar contra tudo o que é a parte mais violenta que possa haver. Quando os meus filhos utilizam mais a força física, falo sempre com eles sobre isso, para eles terem cuidado com a maneira como eles utilizam a raiva, como eles gerem a frustração. Porque isso é, de facto, algo que pode vir mais tarde.Os feminicídios ou violência muitas vezes tem a ver, por exemplo, com as noções de propriedade, a maneira como se vê a mulher no casal, a maneira como se tem recurso à violência, a maneira como se gera frustração ou à raiva e, portanto, falo muito disso com eles.”
Le violent retour de bâton réactionnaire 5 ans après MeToo… C'est ce que semble indiquer un rapport sur le sexisme remis aujourd'hui au président de la république, un rapport qui montre une poussée misogyne voire masculiniste, notamment chez les plus jeunes… Alors comment comprendre cette aggravation des comportements sexistes ? Comment s'attaquer aux racines du mal ? On en débat avec : Laurent METTERIE, Réalisateur, « Les mâles du siècle » (2021), « Les petits mâles » (en cours de montage -2023) Lauren BASTIDE, Journaliste, créatrice du podcast La Poudre, autrice de « Futur·es » aux éditions Allary (02/10/22) Anne-Cécile MAILFERT, Présidente de la Fondation des femmes, militante féministe Olivia GAZALÉ, Philosophe, autrice de « Le Mythe de la virilité » aux éditions Robert Laffont (12/10/2017) Nathan DEVERS, Philosophe, romancier, auteur de « Les liens artificiels » aux éditions Albin Michel (17.08.22) Le choix de Camille : le film Close de Lukas Dhont, sorti en salles le 1er novembre 2022 et sortie prévue en DVD et VOD le 7 mars 2023
durée : 00:23:54 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Sylvie Pierre-Brossolette, présidente du Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes (HCE), et Anne-Cécile Mailfert, fondatrice de la Fondation des Femmes, présentent le rapport annuel 2023 sur l'état des lieux du sexisme en France. Un phénomène largement persistant.
Anne-Cécile Mailfert, Présidente de la Fondation des femmes, était l'invitée de RTL Petit Matin à l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes. Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin et Marina Giraudeau du 25 novembre 2022
Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité ce week-end. Aujourd'hui, Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes.
Il y a cinq ans, le mouvement #MeToo est apparu avec l'affaire Weinstein. En France, les violences sexuelles et sexistes sont au cœur du débat politique. Entretien avec Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes.
Aujourd'hui dans Le Vacher Time, Victor Quilichini nous parle de la place du climat dans le débat politique. Anne-Cécile Mailfert de la Fondation des Femmes nous explique la journée des droits des femmes. Anne-Sophie Novel nous présente son livre qui sort demain "L''enquête sauvage". Dans la 3e mi-temps de Guitoune, Guillaume Baron-Tissot, notre Community Manager vous fait un tour de l'actualité sportive ! Retrouvez Vacher, Niko, Anne-So et Lul en direct tous les jours de 9h à 11h et en podcast sur funradio.fr et l'application Fun Radio.
2022 n'a même pas encore une semaine, et déjà trois femmes ont été assassinées par leur conjoint ou leur ex-conjoint en France. Trois féminicides et le sentiment que rien ne peut entraver les violences faites aux femmes, des violences qui peuvent conduire jusqu'au meurtre. Qu'est-ce que ces violences et notre incapacité à les empêcher disent de notre société ? On en discute avec : Marlène Schiappa, Ministre déléguée chargée de la Citoyenneté Marc Crépon, Philosophe Florence Torrollion, Victime de violences conjugales Me Negar Haeri, Avocate Anne-Cécile Mailfert, Présidente de la Fondation des Femmes Maddy Scheurer, Porte-parole de la gendarmerie nationale
Ombline Roche et Julien Pearce vous accompagnent chaque jour de la semaine dès les premières lueurs du soleil avec de l'information et de la convivialité. L'émission parfaite pour commencer la journée du bon pied, et informer.
Si l'on pouvait décrire la drague comme une main tendue, le harcèlement tient plutôt de la main qui s'abat. Sifflements, regards insistants, insultes, interpellations … Le sentiment d'insécurité des femmes dans l'espace public est aujourd'hui une réalité à prendre au sérieux. La preuve tient d'ailleurs en un chiffre édifiant : 100% des utilisatrices des transports en commun disent avoir déjà été harcelées au moins une fois. Tout cela est bien évidemment répréhensible, illégal et largement condamné par l'opinion publique et la morale. Comment endiguer ces comportements ? Comment reconnaître une situation de harcèlement ? Comment réagir en tant que victime mais aussi en tant que témoin ? On en parle avec Anne-Cécile MAILFERT, Présidente de la Fondation des Femmes. ✅ Pensez à vous abonner à Question de confiance : Apple Podcasts, Deezer, Spotify, Google Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.
Au programme : Édito de Patrick : Zemmour, Ménard, Le Pen : manège à trois Invité : Sébastien Le Fol, directeur de la rédaction Le Point : Il publie “Reste à ta place…!” aux éditions Albin Michel E. Macron déjà en campagne à Marseille ? La droite en ordre dispersé pour 2022 L'ombre d'Éric Zemmour sur 2022 La France, un pays stratifié par le mépris ? La Story - Médocs en rupture de stock Invitée : Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes. Au Texas, la victoire des anti-IVG Violences conjugales : un Grenelle et après ? Le 5/5 : Amazon, l'entrepôt de la discorde Macron/Hulot : plus belle la vie Perdus dans Kaboul La déprime sexuelle des Françaises
durée : 00:25:38 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Élisabeth Moreno, ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances, Hillary Clinton, ancienne secrétaire d'État des États-Unis et Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes, sont les invitées du Grand entretien. - invités : Elisabeth Moreno, Anne-Cécile Mailfert - Élisabeth Moreno : ministre déléguée chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l'égalité des chances, Anne-Cécile Mailfert : Fondatrice de la Fondation des femmes, ancienne Porte-parole d'Osez le féminisme.
durée : 01:59:00 - Le 7/9 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, Hillary Clinton, ancienne secrétaire d'État des États-Unis, Élisabeth Moreno, ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, et Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes, sont les invités du 7/9. - invités : Jean François DELFRAISSY, Elisabeth Moreno, Anne-Cécile Mailfert - Jean-François Delfraissy : Président du Comité Consultatif National d'Ethique, Élisabeth Moreno : ministre déléguée chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l'égalité des chances, Anne-Cécile Mailfert : Fondatrice de la Fondation des femmes, ancienne Porte-parole d'Osez le féminisme.
Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes, est l'invitée de Frédéric Rivière à partir de 8h20 (heure de Paris).
En avril 2020, un article du magazine Forbes affirmait que les pays dirigés par des femmes ont mieux fait face à la première vague de la pandémie. Les compétences des femmes sont généralement plus grandes en matière de santé et d'affaires sociales, puisque ce sont les postes qui leurs sont habituellement fléchés depuis le début de leur carrière politique. Il est aussi logique que les femmes arrivées au sommet des instances de décision, soient particulièrement chevronnées, au bout d'années d'un parcours semé d'embuches dans le milieu politique, où elles ont dû faire deux fois plus leurs preuves et ne rien laisser au hasard. Cette année a été marquée par l'émergence de grandes figures politiques féminines, toutes nouvelles activistes comme Alexandria Ocasio Cortez, mais aussi des femmes nommées à la tête de grandes institutions et qui ont fait preuve d'une réactivité et d'un pragmatisme inédits, comme Christine Lagarde à la BCE, qui a mis en place un grand plan de soutien aux Etats, ou Ursula von der Leyen, à la Commission européenne, qui a suspendu les règles de discipline budgétaire de l'UE. Ce sont des signaux forts, de nécessaire ouverture du champ politique aux femmes, et à toutes les catégories sociales peu représentées dans l'espace du pouvoir. A ce titre, Lauren Lolo cumule les engagements politiques : journaliste, élue à Fosses, elle est aussi fondatrice de la Cité des chances, une association née pour promouvoir l'engagement citoyen des jeunes de banlieues. La crise du coronavirus n'a pas seulement été une crise sanitaire, écologique et économique. Elle cristallise des années de remise en cause de notre fonctionnement démocratique et de notre modèle politique. Elle éclaire, de façon brutale, l'incapacité de nos dirigeants à répondre aux injustices sociales révélées par la pandémie, précisément parce que la pandémie et ses injustices sont vécues comme le fruit d'une série de mauvaises décisions politiques antérieures. La crise nous invite donc à repenser le modèle néolibéral que la plupart de nos dirigeants continuent d'incarner : un modèle ultra-concurrentiel, qui organise les rapports de domination entre puissants et vulnérables, entre les êtres vivants, entre les hommes et les femmes. Et si l'accès réel des femmes au pouvoir était la promesse d'un changement radical de notre modèle politique ? Sandrine Rousseau économiste, universitaire et femme politique, est convaincue que la crise est un point de non-retour pour les femmes, et signe leur nécessaire prise de pouvoir. Sandrine Rousseau est candidate officielle à la primaire écologiste pour l'élection présidentielle de 2022. Crédits : Ecrit et conçu par Mahaut Chaudouët Delmas Interviews par Mahaut Chaudouet Delmas et Luna Gay Padoan Réalisation montage mixage musique par Thomas Loupias Action financée par la Région Ile-de-France Remerciements : C'était le dernier épisode du podcast Regarde moi bien, un podcast de la Fondation des femmes. Je tiens à remercier très fort toutes ces femmes qui nous ont prêté leur voix, nous ont offert leur témoignage, leur analyse, leur combat: Coline Charpentier, Céline Bessière, et Sibylle Gollac pour parler des femmes confinées, Magali Bragard, toutes les bénévoles de l'association Mamama, et Cécile Duflot pour parler des femmes appauvries, Brigitte Chabert et Zoé Royaux pour parler des femmes violentées Jackie Tadéoni et Maud Simonet pour parler des femmes exploitées, Lila Bouadma, Najat Vallaud Belkacem et Sandra Laugier pour parler des femmes soignantes Marine Périn et Lauren Bastide pour parler des femmes ignorées Laora Paoli Pandolfi et Anne-Cécile Mailfert pour parler des femmes militantes Déborah Loye et Marie-Pierre Rixain pour parler des femmes entrepreneuses Lauren Lolo et Sandrine Rousseau pour parler des femmes engagées Je voudrais aussi dire merci à la Fondation des femmes, en particulier à sa présidente Anne-Cécile Mailfert et son équipe : Christine Muller, Clémence Garnier Juste, Nina Meriguet, Jessica Ohayon, pour leur confiance et leur soutien. Je tiens également à remercier toutes les bénévoles de la Fondation des femmes pour les heures de scriptage qu'elles ont fourni : Carole Pirotais, Claire Bianzina, Laurene Henry, Katia Samrani, Gaelle Orefici, Emmanuelle Mayanda-Bomba, Marie-Enora Martin, Valentine Ulgu Servant, Isabelle Roth. Merci à Anton Strepourjinski, Virgile Tron, Chloé Sdez, Alix Delmas et Ruben Cohen pour leur précieuse écoute. Merci enfin à Thomas Loupias et Luna Gay Padoan, sans qui ce projet n'aurait pas vu le jour.
En vidant l'espace public, le premier confinement a réduit au silence les mouvements sociaux. Plus de gilets jaunes dans les rues, plus de manifestations à Hong-Kong, plus de chants de révolte à Beyrouth, plus de collages féminicides. La distanciation physique ne s'est pourtant pas accompagnée tout à fait d'une distanciation sociale : elle a renforcé le besoin de contacts et resserré les liens entre activistes, qui ont trouvé de nouvelles façon d'agir. Dans plusieurs villes de Pologne par exemple, des militantes féministes ont défilé avec des banderoles, à pied, à vélo ou en voiture, ont manifesté dans les files d'attentes de supermarché, pour défendre les droits des femmes. Des militantes de toute l'Europe les ont soutenues depuis leur domicile à travers le hashtag #ProtestAtHome. En France, en Corse plus précisément, Laura Paoli Pandolfi a fait partie de ces jeunes militantes féministes de l'ère MeToo, très active sur les réseaux sociaux. En juin 2020, Laura a fait fleurir le hashtag #iwas, sur le modèle de #metoo, en créant le compte #IWasCorsica, qui a commencé à relayer les témoignages d'agressions sexuelles sur les réseaux sociaux, des faits auxquels les femmes ont été confrontées, accompagnés de leur âge. > En savoir plus sur le mouvement #IWasCorsica et les victimes de violences sexuelles qui sortent du silence en Corse La crise a obligé le militantisme à se réinventer dans ses formes à travers les réseaux sociaux. Elle a aussi poussé le militantisme à se réinventer dans sa structure, puisqu'elle rendu possible l'engagement de femmes et d'hommes, en crise de sens, qui cherchent à s'impliquer davantage dans des causes en particulier féministes. Enfin, elle a favorisé le renouvellement des sujets des luttes elles-mêmes, la crise ayant mis en exergue les failles et les inégalités de notre système social. C'est le cas pour la Fondation des Femmes elle-même, qui a organisé toute sa campagne du 8 mars autour de la place des femmes pendant le covid, en première ligne dans la mobilisation contre la Covid-19, et contre les effets de la crise pour les associations de terrain qui ont redoublé d'efforts pour aider au mieux les femmes victimes de violences et leurs enfants, et les femmes précarisées. Située au coeur de Paris dans une ancienne école publique, la Fondation a ouvert un espace qui héberge une quinzaine d'associations féministes, qui se rassemblent en rez-de-chaussée, quand elles descendent de leurs bureaux, dans le grand café Mona, qui attend sa réouverture pour devenir le lieu où s'inventeront les futures actions militantes. Anne Cécile Mailfert, qui a créé la Fondation des Femmes en 2016, nous offre son témoignage sur la particularité de cette période pour le militantisme, pour sa Fondation, mais aussi sur ce que ça veut dire que s'engager, et d'où ça vient. > En savoir plus sur Regarde Moi Bien, l'action menée par la Fondation des Femmes à l'occasion du 8 mars 2021 Crédits : Écrit et conçu par Mahaut Chaudouët Delmas Interviews préparées et réalisées par Mahaut Chaudouët Delmas et Luna Gay-Padoan Réalisation montage mixage musique par Thomas Loupias Action financée par la Région Ile-de-FranceHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
France, États-Unis, Japon, Algérie... Partout dans le monde, les femmes paient les conséquences de la pandémie de Covid-19 au prix fort. Selon l’Organisation internationale du Travail (OIT), la perte d’emploi des femmes a atteint 5% en 2020 contre 3,9% chez les hommes. D’ici l’année prochaine, 47 millions de femmes et de filles supplémentaires devraient sombrer dans l’extrême pauvreté, d’après les projections des Nations unies. Dans tous les domaines, emplois, précarité, tâches domestiques... Force est de constater qu’il ne fait pas bon être une femme en cette période de crise. Alors que de nombreux pays prévoient des plans pour relancer leur économie, faut-il des mesures ciblées à destination des femmes ? Comment changer durablement la place des femmes dans la société ? Avec : Hélène Perivier, économiste à l’OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques), spécialiste des politiques sociales, familiales et des inégalités entre les sexes. Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes, fondation à l'origine du rapport L'impact du Covid-19 sur l'emploi des femmes à télécharger ici. Un décryptage du plan de relance du président Joe Biden avec Loubna Anaki, correspondante à New-York aux États-Unis pour RFI. Un reportage de Sarah Cozzolino, correspondante pour RFI au Brésil où les violences envers les femmes ont augmenté depuis le début de la pandémie de Covid-19. Notre correspondante a rencontré Viviane Azevedo, assistante sociale dans le quartier de Paciência, dans la zone ouest de Rio, qui vient en aide aux femmes victimes de violences. ►À écouter aussi: Violences faites aux femmes: à Rio, des cercles de parole pour briser la loi du silence ►À lire aussi: Violences conjugales: 60% de signalements en plus depuis le reconfinement en France. Programmation musicale ► Fatoumata Diawara - Nterini
durée : 01:59:26 - Le 7/9 - Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue- obstétricienne, fondatrice de la Maison des femmes de Saint-Denis, Anne-Cécile Mailfert, Présidente de la Fondation des Femmes, et Dominique Joseph, secrétaire générale de la Mutualité Française. Conseillère au CESE, sont les invités du 7/9
Un reportage d'Akli Aït Abdallah sur la guerre contre les variants à Rivière-du-Loup; le point avec Myriam Fimbry sur la pandémie en France; l'analyse de Karine Prémont de la présidence de Biden; le reportage de Catherine Paradis sur la culture du cannabis au Québec; une entrevue avec Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes à Paris, sur la façon dont le système espagnol s'est attaqué au phénomène des féminicides; le reportage de Marie-Christine Bouillon sur la «soloparentalité»; l'analyse de Jean-François Rancourt de la guerre civile au Myanmar; et une entrevue avec la réalisatrice Julie Corbeil sur le documentaire Derouin, métis des Amériques.
REGARDE-MOI BIEN Le premier podcast de la Fondation des Femmes Par Mahaut Chaudouët Delmas & Luna Gay-Padoan La crise du Covid-19 a révélé la vulnérabilité de la condition des femmes et de leurs droits. Alors qu'elles composent l'écrasante majorité des métiers qui assurent la survie quotidienne du pays depuis un an, leurs revendications ont été ignorées et leurs droits reculent. Les restrictions de mouvement liées à la crise sanitaire ont entraîné une hausse accablante des violences faites aux femmes. La précarité économique des femmes explose de façon invisible et silencieuse. En termes de visibilité publique et médiatique, leur parole semble avoir été plus que jamais confisquée. Les rapports internationaux s'en inquiètent : selon ONU Femmes, la pandémie pourrait anéantir 25 ans de progrès en matière d'égalité entre les femmes et les hommes. Ce podcast cherche à documenter en 9 épisodes ce qui se joue autour des femmes aujourd'hui. Il cherche à déplier et à bien regarder ce que le Covid révèle, cristallise, renforce, des rôles qu'on assigne de façon structurelle aux femmes, qui ont été à la fois les plus actives, les plus exposées, et les plus ignorées, depuis un an. Il cherche à tirer les leçons féministes de cette crise pour dessiner les contours d'un monde économiquement et socialement plus juste. CHAPITRE 1 : VICTIMES Episode 1- confinées, avec Coline Charpentier (Collectif T'as pensé à ?) et Sibylle Gollac et Céline Bessière (autrices du Genre du Capital) Episode 2- appauvries, avec Magali Bragard (Association MaMaMa) et Cécile Duflot (Directrice générale d'Oxfam) Épisode 3- violentées, avec Brigitte Chabert (Solidarité Femmes) et Zoë Royaux (avocate pénaliste & porte-parole de la Fondation des femmes) CHAPITRE 2 : HÉROÏNES Episode 4- exploitées, avec Jackie Tadéoni (porte-parole du collectif Bas les Masques) et Maud Simonet (sociologue du travail gratuit) Épisode 5- soignantes, avec Lila Bouadma (réanimatrice à l'hôpital Bichat à Paris, professeure de médecine) et Najat Vallaud-Belkacem et Sandra Laugier (autrices de la Société des vulnérables) Episode 6- ignorées, avec Marine Perin (porte-parole de Prenons la 1) et Lauren Bastide (autrice de Présentes) CHAPITRE 3 : COMBATTANTES Episode 7 - militantes, avec Laora Paoli-Pandolfi (porte-parole de #IWasCorsica) et Anne-Cécile Mailfert (présidente de la Fondation des femmes)Episode 8 - entrepreneuses, avec Déborah Loye (directrice générale de Sista) et Marie-Pierre Rixain (députée LREM) Episode 9 - engagées, avec Lauren Lolo (élue municipale à Fosses, co-fondatrice de la Cité des Chances) et Sandrine Rousseau (vice présidente de l'Université de Lille, candidate à la primaire d'EELV) Crédits : Écrit et conçu par Mahaut Chaudouët Delmas Interviews préparées et réalisées par Mahaut Chaudouët Delmas et Luna Gay-Padoan Réalisation montage mixage musique par Thomas Loupias Action financée par la Région Ile-de-FranceHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:07:22 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Patricia Martin - La conscience des inégalités de traitement entre les femmes et les hommes progresse, selon une étude publiée ce dimanche. Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes, est l'invitée de Patricia Martin.
durée : 03:00:00 - Le 6/9 - Le 6/9 du dimanche 28 février, avec Eric Delvaux et Patricia Martin.
durée : 03:00:00 - Le 6/9 - Le 6/9 du dimanche 28 février, avec Eric Delvaux et Patricia Martin.
durée : 00:53:34 - Pas son genre - Nous recevons Anne-Cécile Mailfert de la Fondation des Femmes pour savoir si les violences faites aux femmes, la charge mentale, les inégalités ont augmentés pendant le Covid. Nous nous interrogerons également avec la linguiste Maude Vadot pour savoir pourquoi Le Covid s'est transformée en La Covid en cours de route.
durée : 00:53:34 - Pas son genre - Nous recevons Anne-Cécile Mailfert de la Fondation des Femmes pour savoir si les violences faites aux femmes, la charge mentale, les inégalités ont augmentés pendant le Covid. Nous nous interrogerons également avec la linguiste Maude Vadot pour savoir pourquoi Le Covid s'est transformée en La Covid en cours de route.
durée : 04:58:37 - 8.30 franceinfo: - Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes, fait part sur franceinfo de ses inquiétudes sur l'attitude de la police lors de la manifestation féministe dite "des grandes gagnantes" qui a lieu ce dimanche après-midi entre la place d'Italie et République, à Paris.
Éric Pliez - tête de liste dans le 20ème arrondissement - se prête au jeu du portrait au micro de Anne-Cécile Mailfert, Présidente de la Fondation des Femmes. Louis Gallois, ses collaborateurs, ses amis, sa nièce témoignent dan ce podcast d'un homme généreux qui a construit sa vie au service des autres. Écoutez ce podcast sur votre plateforme préférée : Apple Podcasts, Deezer, Spotify, Google Podcasts, Podcast Addict, Majelan et YouTube. Suivez la campagne d'Éric Pliez, ici : https://annehidalgo2020.com/candidat/eric-pliez/
J'ai pas d'avis mais j'en veux un est une émission commentaire-critique et analyse de l'actualité, réalisée par Clémence Bodoc. Dans l'émission de cette semaine : Point de retraite ? — 102 Elle est à la Une de toute la presse, elle est sur les pancartes dans les rues : la réforme des retraites. Bonne ou mauvaise ?PS : Mes excuses pour ce montage taillé à la hache mal affûtée, priorité au direct, et promis, ça ira de mieux en mieux ! À LIRE*Le texte de Désobéissance Écolo Paris, paru sur Grozeile : Good Bye Retraites *L'avis d'Antoine Bozio interviewé par Libération : «On va garder globalement le même système pendant dix ans de plus»À VOIR*Antoine Bozio, « L'économiste qui a inspiré Macron », dans C À VOUS, mardi 10 décembre*Thomas Piketty, très critique de la réforme, pourtant co-auteur de Bozio, dans C À VOUS, mardi 3 décembre*C DANS L'AIR du mardi 10 décembre, pour comprendre le système de retraite par points.À ÉCOUTER*C DANS L'AIR, l'émission du mercredi 11 décembre qui analyse les annonces du Premier ministre !*Thomas Piketty sur France Inter, interviewé par Léa Salamé, lundi 2 décembreÀ NOTER*Le thread de Anne-Cécile Mailfert, sur les 5% «sauf choix contraire du couple»Autres sources : *Le discours du Premier ministre Édouard Philippe, mercredi 11 décembre : lien qui ouvre un PDF du discours !Les autres podcast Tuto Conquérir Le Monde : *Activistes ! —Une nouvelle approche de l'action politique, co-produit et co-présenté par Esther Meunier*Les Impertinentes — Interviews de femmes libres et indépendantesParticipez à la communauté Tuto Conquérir Le Monde :*Par email à tutoconquerirlemonde[at]gmail.com*Sur Instagram : @conquerir.le.monde*Sur Facebook : Tuto Conquérir Le Monde Tuto Conquérir Le Monde est produit et réalisé par Clémence Bodoc.*Me suivre
Les programmes scolaires sont-ils vraiment en phase avec la société ? Certain·e·s leur reprochent aujourd’hui d'être trop en retard par rapport aux évolutions sociétales, et de continuer à faire étudier aux jeunes élèves des textes racistes ou sexistes, et surtout de sembler totalement imperméables aux évolutions et aux questionnements de l'époque.Qui construit, concrètement, ces programmes ? De quelle manière sont intégrés, ou oubliés, ces changements sociaux ? Comment les profs, en première ligne, s'adaptent pour combler l'écart entre leurs élèves et les enseignements théorisés par le ministère ? Thomas Rozec interroge Anaïs Mailfert, professeure de lettres au lycée à Villeneuve la Garenne et Sylvie Plane, ancienne vice-présidente du Conseil Supérieur des Programmes.CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en octobre 2019 dans les studios de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production et d’édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Illustration : Giphy. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:44:18 - Du Grain à moudre d'été - par : Julie Gacon, Stéphanie Villeneuve - Depuis maintenant dix ans, 140 féminicides sont recensés en moyenne chaque année en France. Selon les dernières statistiques officielles, le nombre de victimes s’élève déjà à 93 cas depuis le début de l’année 2019. - réalisation : Milena Aellig - invités : Anne-Cécile Mailfert présidente de la Fondation des Femmes.; Catherine Le Magueresse juriste et ex-présidente de l’Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail.; Édouard Durand magistrat, membre du conseil scientifique de l’Observatoire national de l’enfance en danger et ancien membre du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes.
Soixante-dix. C’est le nombre de femmes qui ont été tuées par leur conjoint ou leur ex-conjoint depuis le mois de janvier 2019. Ces histoires, leurs histoires, on les lit sur les réseaux sociaux et dans les journaux. Et trop souvent, elles sont traitées comme des cas isolés. En réalité, une femme meurt sous les coups de son conjoint ou de son ex-conjoint tous les trois jours. C’était le cas de Gülcin Kaplan, assassinée à coups de couteaux par son ex-mari le 27 janvier dernier. Au cours des mois précédents, elle avait déposé cinq plaintes contre lui. Dans cet épisode de Code source, nous allons vous raconter son histoire et essayer de comprendre ce fléau, avec Nicolas Jacquart, Nelly Terrier et Louise Colcombet, journalistes au Parisien et Anne-Cécile Mailfert, présidente de l’association la fondation des femmes. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Conception et préparation : Jules Lavie et Isabelle Field - Reporter : Clawdia Prolongeau - Production : Jeanne Boezec - Réalisation et mixage : Benoît Laur - Musiques : François Clos pour Binge Audio - Identité graphique : Upian. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:09:44 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - À l'occasion d'un appel lancé aux pouvoirs publics pour lutter contre les violences faites aux femmes, Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes et Céline Lolivret, membre du collectif des proches et familles de féminicides sont les invitées de Léa Salamé à 7h50.