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Le festival d'Avignon vient de dévoiler sa programmation. Il se tiendra du 5 au 26 juillet dans l'ancienne cité des Papes. L'arabe est la langue invitée cette année après l'anglais et l'espagnol pour les éditions précédentes. Immersion dans la 79e édition du festival de théâtre, bercé par le chant des cigales. Un festival dans lequel les spectacles, sous le ciel étoilé ou en salles, s'ouvrent avec les traditionnelles trompettes, depuis sa fondation par Jean Vilar. La 79e édition du Festival d'Avignon se déroulera du 5 au 26 juillet 2025. À lire aussiTiago Rodrigues: «Le Festival d'Avignon est plus urgent que jamais»
Le festival d'Avignon vient de dévoiler sa programmation. Il se tiendra du 5 au 26 juillet dans l'ancienne cité des Papes. L'arabe est la langue invitée cette année après l'anglais et l'espagnol pour les éditions précédentes. Immersion dans la 79e édition du festival de théâtre, bercé par le chant des cigales. Un festival dans lequel les spectacles, sous le ciel étoilé ou en salles, s'ouvrent avec les traditionnelles trompettes, depuis sa fondation par Jean Vilar. La 79e édition du Festival d'Avignon se déroulera du 5 au 26 juillet 2025. À lire aussiTiago Rodrigues: «Le Festival d'Avignon est plus urgent que jamais»
durée : 00:06:41 - Les SuperPhoniques, 26 années d'initiation à la musique contemporaine - par : Sofia Anastasio - Anciennement Grand Prix Lycéen des Compositeurs, le dispositif SuperPhoniques permet à des collégiens et lycéens d'étudier puis de voter pour des œuvres de création. Pour les aider, des rencontres sont organisées avec les compositeurs et compositrices de la sélection. Reportage au lycée Jean Vilar.
Après plusieurs années de travaux de rénovation, le Théâtre Jean Vilar de Louvain-la-Neuve vient de rouvrir ses portes. Fabrice Kada a visité les lieux en compagnie de l'architecte Stephane Damsin (Ouest Architecture) et du directeur Emmanuel Dekoninck. On reste à Louvain-la- Neuve pour la deuxième partie de l'entretien de Fabrice Kada avec Pierre Laconte, qui a été membre de l'équipe de direction du Groupe Urbanisme Architecture, à l'origine du plan directeur pour Louvain-la-Neuve. Il évoque la construction et les débuts de la ville. Yves Robic a rencontré quant à lui Oliver Bastin de la coopérative d'architectes L'Escaut, à l'occasion du lancement de leur saison 2024 / 2025 qui croise art et architecture. Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Le Partage de midi est une série de rencontres à la Maison Jean Vilar avec des auteurs et des autrices joués sur les plateaux du Festival d'Avignon. Le 13 juillet 2023, rencontre avec Florence Naugrette, Violaine Vielmas et Olivier Letellier, autour de « Jean Vilar, une biographie épistolaire » de Jean Vilar, Actes Sud Rencontre animée par le journaliste Mathieu Mevel. CRÉDITS : Production : Association Jean Vilar Avec le soutien : Festival d'Avignon, SACD et Sofia. En partenariat avec la revue Théâtre(s) Photographie : Yoan Loudet - Maison Jean Vilar
Pour sa 5e édition, la Biennale d'Enghien invite 14 artistes à s'interroger sur ce qui est "précieux". Elle se visite gratuitement tous les jours de 14h à 18h jusqu'au 15 septembre. Les commissaires Myriam Louyest et Christophe Veys proposent un parcours dans le parc et la ville d'Enghien (l'église et la Maison Jonathas) entre art contemporain et patrimoine. Après plusieurs années de travaux de rénovation, le Théâtre Jean Vilar à Louvain-la-Neuve ouvre ses portes à partir du 14 septembre. Visite des lieux en compagnie de l'architecte Stephane Damsin (Ouest Architecture) et de son directeur Emmanuel Dekoninck. Avec la participation de Lauriane Belin, Stephane Damsin, Emmanuel Dekoninck, Simon Deppierraz, Laurence Dervaux, Camille Dufour, Isabel Fredeus, Myriam Louyest, Roman Moriceau, Jean-Baptiste Perret, Christophe Veys et Marie Zolamian. Réalisation : Fabrice Kada Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:20:06 - Le Feuilleton - Quelques mois avant sa mort, Jean Vilar propose à Lucien et Micheline Attoun de bivouaquer dans le Festival, d'y installer une sorte de campement ouvert, susceptible d'accueillir les vents nouveaux de la littérature dramatique.
durée : 00:20:03 - Le Feuilleton - Quoiqu'on puisse penser des diverses séquences qui ont suivi la mort de Jean Vilar, on doit dire fermement cette chose : le rêve de Vilar, à défaut de prendre corps tout entier, n'a jamais été lâché.
Des aventures du chevalier à la triste figure, roman emblématique de la littérature espagnole, le metteur en scène Gwenaël Morin en a tiré une adaptation loufoque au Festival d'Avignon où l'espagnol est la langue invitée cette année. « Quichotte », de Gwenaël Morin : adaptation loufoque du roman picaresque de Cervantès. À voir à la maison Jean Vilar jusqu'au 21 juillet 2024. Invitée : Jeanne Balibar, comédienne. Elle joue le personnage de Don Quichotte dans le spectacle «Quichotte» de Gwenaël Morin, d'après Miguel de Cervantès. Et le reportage de Paul Dubois sur le spectacle « Herculine Barbin » née femme et devenu homme au milieu du XIXè siècle. Un spectacle de Catherine Marnas avec Yuming Hey au Palace dans le off.
Des aventures du chevalier à la triste figure, roman emblématique de la littérature espagnole, le metteur en scène Gwenaël Morin en a tiré une adaptation loufoque au Festival d'Avignon où l'espagnol est la langue invitée cette année. « Quichotte », de Gwenaël Morin : adaptation loufoque du roman picaresque de Cervantès. À voir à la maison Jean Vilar jusqu'au 21 juillet 2024. Invitée : Jeanne Balibar, comédienne. Elle joue le personnage de Don Quichotte dans le spectacle «Quichotte» de Gwenaël Morin, d'après Miguel de Cervantès. Et le reportage de Paul Dubois sur le spectacle « Herculine Barbin » née femme et devenu homme au milieu du XIXè siècle. Un spectacle de Catherine Marnas avec Yuming Hey au Palace dans le off.
durée : 00:03:44 - Le Son d'Avignon - par : Marie Sorbier - Le festival d'Avignon fait la part belle aux créations contemporaines mais n'en oublie pas pour autant son histoire. Cette année, la Maison Jean Vilar expose les archives d'Alain Crombecque, ancien directeur du festival, souvenirs et émotions au programme. - invités : Antoine de Baecque Professeur d'histoire du cinéma à l'École normale supérieure
durée : 00:20:05 - Le Feuilleton - Il est un fait biographique qui éclaire singulièrement la figure artistique de Jean Vilar, mais qui s'est toujours trouvé tenu dans l'ombre : Vilar a commencé son chemin d'artiste en écrivant du théâtre.
Troisième émission de VMDN depuis le festival d'Avignon, avec au programme pour le festival IN : « Quichotte » de Gwenaël Morin d'après Cervantès avec Jeanne Balibar dans le rôle-titre. Et pour le festival OFF, Bertrand Sinapi présentera sa pièce « Après les ruines » est à l'affiche du 11-Avignon, « Convaincre, sans humilier l'œuvre choisie. L'éclairer et non l'endimancher. Évitant de l'encanailler, la rendre belle et accessible à tous ». Voilà ce que disait Jean Vilar, le fondateur du Festival d'Avignon.Dans le Jardin de la Rue de Mons, qui jouxte la Maison Jean Vilar, Gwenaël Morin met en scène « Quichotte » d'après Cervantès, avec Jeanne Balibar dans le rôle-titre. Un personnage qui, à travers sa folie, fait entrer la littérature dans le réel. Une adaptation à découvrir est jusqu'au 20 juillet –sauf les 9 et 14 juillet- dans le Jardin de la Rue de Mons, à la Maison Jean Vilar.Au 11-Avignon, Bertrand Sinapi, lui, mêle fiction, jeux d'ombres et réalité, et nous aide à nous y retrouver dans le défi de l'exil, de l'arrachement à une terre, de l'accueil de l'autre. Car ça aussi Jean Vilar le disait : « L'artiste de théâtre ne se perd pas dans la société, il s'y retrouve ». Sa pièce « Après les ruines » est à l'affiche du 11-Avignon, tous les jours sauf les lundis jusqu'au 21 juillet 2024.Vous l'avez compris, c'est à la frontière entre le réel et la fiction que nous vous emmenons aujourd'hui à explorer à travers le théâtre.Reportage : à la Scala Provence, dans le cadre du festival OFF d'Avignon, Baptiste Antoine est allé voir «Tant pis c'est moi », le seul en scène autobiographique du comédien Sam Karmann.
Troisième émission de VMDN depuis le festival d'Avignon, avec au programme pour le festival IN : « Quichotte » de Gwenaël Morin d'après Cervantès avec Jeanne Balibar dans le rôle-titre. « Convaincre, sans humilier l'œuvre choisie. L'éclairer et non l'endimancher. Évitant de l'encanailler, la rendre belle et accessible à tous ». Voilà ce que disait Jean Vilar, le fondateur du Festival d'Avignon.Dans le Jardin de la Rue de Mons, qui jouxte la Maison Jean Vilar, Gwenaël Morin met en scène « Quichotte » d'après Cervantès, avec Jeanne Balibar dans le rôle-titre. Un personnage qui, à travers sa folie, fait entrer la littérature dans le réel. Une adaptation à découvrir est jusqu'au 20 juillet –sauf les 9 et 14 juillet- dans le Jardin de la Rue de Mons, à la Maison Jean Vilar.Au 11-Avignon, Bertrand Sinapi, lui, mêle fiction, jeux d'ombres et réalité, et nous aide à nous y retrouver dans le défi de l'exil, de l'arrachement à une terre, de l'accueil de l'autre. Car ça aussi Jean Vilar le disait : « L'artiste de théâtre ne se perd pas dans la société, il s'y retrouve ». Sa pièce « Après les ruines » est à l'affiche du 11-Avignon, tous les jours sauf les lundis jusqu'au 21 juillet 2024.Vous l'avez compris, c'est à la frontière entre le réel et la fiction que nous vous emmenons aujourd'hui à explorer à travers le théâtre.Reportage : à la Scala Provence, dans le cadre du festival OFF d'Avignon, Baptiste Antoine est allé voir «Tant pis c'est moi », le seul en scène autobiographique du comédien Sam Karmann.
durée : 00:20:05 - Le Feuilleton - Il est un fait biographique qui éclaire singulièrement la figure artistique de Jean Vilar, mais qui s'est toujours trouvé tenu dans l'ombre : Vilar a commencé son chemin d'artiste en écrivant du théâtre.
durée : 00:20:03 - Le Feuilleton - Quoiqu'on puisse penser des diverses séquences qui ont suivi la mort de Jean Vilar, on doit dire fermement cette chose : le rêve de Vilar, à défaut de prendre corps tout entier, n'a jamais été lâché.
durée : 00:20:06 - Le Feuilleton - Quelques mois avant sa mort, Jean Vilar propose à Lucien et Micheline Attoun de bivouaquer dans le Festival, d'y installer une sorte de campement ouvert, susceptible d'accueillir les vents nouveaux de la littérature dramatique.
durée : 00:19:55 - Le feuilleton d'Avignon de Bruno Tackels 17/20 - Voilà soixante ans que la cour d'honneur du palais des Papes sacrifie à cet étrange rite d'un théâtre populaire, qu'elle a élévé au rang d'une éthique que ni les vents, ni les époques n'ont pu faire fléchir. C'est qu'à travers les ans qui passent, derrière la diversité des esthétiques et des directions successives (Jean Vilar, puis Paul Puaux, Bernard Faivre d'Arcier, Alain Crombecque, Vincent Baudriller et Hortense Archambault, Olivier Py et maintenant Tiago Rodrigues), on peut faire ce constat assez magique : Avignon reste un mythe de théâtre absolument présent, actif et plein de ressources. Un mythe qui n'a jamais été calme, mais plutôt bien intranquille, plein de doutes et de crises, de querelles et de tensions. Un mythe que nous allons parcourir, à travers les voix de ceux qui l'ont nourri, à commencer par celle de Jean Vilar, pionnier d'une époque, inventeur d'une esthétique, et acteur flamboyant. À travers des lectures aux multiples voix, archives d'époque et commandes contemporaines, les soixante premières années du Festival d'Avignon vont se décliner, durant quatre semaines, en un feuilleton épique, porteur de l'essentiel du théâtre européen du dernier demi-siècle, l'amour du théâtre, et sa force de rayonnement. " Ce théâtre que je fais, il cherche à s'inscrire dans l'histoire sociale, tout simplement. Et si sur cet immense terrain où se déroulent les querelles du monde ma place est misérable, c'est à cette place et à cette place seule que je tiens. " C'est avec ces mots que Jean Vilar définissait sa " place " dans le théâtre contemporain. Une place que ne cesse d'interroger ses héritiers.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Face au film "Les animaux fantastiques, les crimes de Grinderwald" sur TF1, à la série "Hudson et Rex" sur France 3 et au magazine économique "Au coeur du collège, un an à Jean Vilar" sur M6, c'est France 2 qui se hisse en tête des audiences de ce dimanche soir grâce à la comédie "Papy fait de la Résistance".
Face au film "Les animaux fantastiques, les crimes de Grinderwald" sur TF1, à la série "Hudson et Rex" sur France 3 et au magazine économique "Au coeur du collège, un an à Jean Vilar" sur M6, c'est France 2 qui se hisse en tête des audiences de ce dimanche soir grâce à la comédie "Papy fait de la Résistance".
- Au cinéma mercredi "Back to Black", le biopic consacré à Amy Whinehouse. Stéphane Boudsocq a rencontré Marisa Abela, qui incarne la star de la pop et du jazz décédée il y a 13 ans. - En tête-à-tête avec Bernard Lehut, Hervé Le Tellier. Le Prix Goncourt 2020, auteur de "L'Anomalie", revient 4 ans après avec "Le nom sur le mur". - M6 diffuse dimanche soir "Au cœur du collège, un an à Jean-Vilar", une immersion dans un établissement de Saône et Loire. Laurent Marsick a assisté à une partie de ce tournage hors norme. - L'édito télé d'Isabelle Morini Bosc : Médiamétrie intègre chaque jour tous les extraits d'émissions circulant sur les réseaux sociaux. Quel impact sur les mesures d'audience Ecoutez Laissez-vous tenter avec Le Service Culture du 21 avril 2024
Ecoutez Mon choix ce soir avec Isabelle Morini-Bosc du 19 avril 2024
Mûri depuis près d'un an sur la route, le concert "La Maladresse" de Leïla Huissoud, originaire de Charantonnay, connaîtra son épilogue le 3 mai sur ses terres iéroises, à Bourgoin-Jallieu et plus précisément au Théâtre Jean-Vilar. L'occasion d'évoquer avec elle sa jeune carrière d'auteur-compositeur-interprète et sa vision du métier qui demande d'avoir les reins solides.
durée : 00:59:08 - Maurice Jarre, du TNP à Hollywood (1/3) - par : Thierry Jousse - En attendant le concert qui lui sera dédié, à la Maison de la Radio, le vendredi 2 février, première plongée dans l'œuvre énorme de Maurice Jarre, avec un focus sur ses années françaises, autour du TNP de Jean Vilar et des premiers films de Georges Franju.
Aujourd'hui, je vous propose un format inédit - le plateau de Caro - pour mieux comprendre le fonctionnement et les rôles d'un théâtre. C'est au cœur du Théâtre de Suresnes - sur le grand plateau de la salle Jean Vilar - que nous avons posé les micros pour capturer les voix de : Carolyn Occelli, directrice du théâtre et programmatrice, Arnaud Prauly, directeur technique, Alexandre Minel, secrétaire général et chef d'orchestre de la communication Amalia Salle, chorégraphe et artiste associée et Maïa Koubi, une jeune spectatrice. 5 témoignages pour saisir ce qui se joue dans et par delà ces murs : soutenir collectivement les rêves, la liberté, et les partager avec le plus grand nombre. On les écoute avec joie.
Je devais rendre prochainement mon mémoire, mon mémoire d'histoire, consacré à Jean Vilar. Mais mon Jean Vilar n'était pas l'homme de théâtre. C'était un politicien de la Troisième République, un homme en noir et blanc habillé d'un chapeau façon Joseph Caillaux. Cet article Jean Vilar (un rêve) est apparu en premier sur Improvisations.
Une comédienne autrice originaire du Liban et un metteur en scène israélien, un duo qui semble improbable en ces temps de guerre israélo-palestinienne. Et pourtant, Lauren Houda Hussein et Ido Shaked ont fondé la compagnie Majâz et ne mâchent pas leurs mots sur scène. Leur pièce, Une histoire subjective du Proche-Orient mais néanmoins valide... je pense, en pleine tournée, se joue ce samedi 9 décembre au Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine, et la semaine prochaine au théâtre Joliette à Marseille.
Une comédienne autrice originaire du Liban et un metteur en scène israélien, un duo qui semble improbable en ces temps de guerre israélo-palestinienne. Et pourtant, Lauren Houda Hussein et Ido Shaked ont fondé la compagnie Majâz et ne mâchent pas leurs mots sur scène. Leur pièce, Une histoire subjective du Proche-Orient mais néanmoins valide... je pense, en pleine tournée, se joue ce samedi 9 décembre au Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine, et la semaine prochaine au théâtre Joliette à Marseille.
Aujourd'hui dans Mercredi ! Les libellules partent à la recherche de l'amour. D’où ça vient l’amour dans le corps ? Est-ce que ça t’est arrivé d’être amoureux ? Est-ce que dire je t’aime veut forcément dire être amoureux ? Puis après avoir trouvé quelques réponses ce sont autour du spectacle Le joueur de flûte de Hamelin de la Compagnie en attendant et du texte de Sandrine Roche, Ravie, que les enfants ont exprimé leurs pensées. Bonne écoute ! > Ces cartes ont été financées par Minute papillon, le Théâtre du Champ Exquis à Blainville sur Orne, Scènes et Territoires à Maxéville, le théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine et le théâtre Massalia de Marseille. > La Libébulle sur l’amour faite dans la classe de CE1/CE2 de Valérie Vendrin a été lauréate du « podcast des profs » de France culture et est diffusée sur le site de France culture. > Le montage de la discussion sur l’amour a été fait par Guisane Humeau. > Les musiques ont été composées par Vincent Burlot et Jerem. > L’animation des ateliers, les enregistrements, et les montages sont faits par Emmanuelle Soler pour Minute papillon !
durée : 00:05:17 - Le coup de coeur FB Orléans - Sophie Berquez, la coordinatrice artistique et productrice de la comédie musicale "Padam Padam" avec des références à la chanteuse Edith Piaf, jouée ce jeudi 16 novembre à 15h00 à l'espace Jean Vilar d'Amilly.
Cette semaine, Mercredi ! adopte un nouveau format original : Les Libébulles. Des discussions philosophiques entre enfants et adultes avec Minute Papillon ! un projet de radio mené par Emmanuelle Soler. De quoi faire entendre la poésie dans la spontanéité du langage des enfants Discussions menées avec Ismaïl, Noun Abdou, Ibrahim de Gennevilliers, ainsi que les élèves de de CM2 de la classe de Mylène Joanchicoy, à Arros de Nay, les élèves de la classe de CM1 d'Erwann Goardet de l'école Lestonan à Ergué-Gabéric, les élèves de la classe de CE2/CM1 d’Alice Soufflot de l’école Léon Goraguer à Quimper, les élèves de la classe de CM2 de Karine Engelmann de l'école Victor Hugo à Vitry-sur-Seine. Financement du podcast : Maison du Développement Culturel de Gennevilliers dans le cadre du projet « radio philo », agora de Billère, dans le cadre du projet Présence, Très Tôt Théâtre à Quimper pour les 20 ans de Très Tôt, théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine, dans le cadre de la résidence de la compagnie Un château en Espagne Animation des ateliers, enregistrements, montages : Emmanuelle Soler pour Minute papillon ! Musiques : Vincent Burlot et Jerem, avec les voix d’Oriane Lacaille et de Jerem Montage des cartes pour Très Tôt Théâtre : Guisane Humeau. minutepapillon.radio@laposte.net Les musiques de l’émission : Libébulles - Vincent Burlot Génie Glacé - Jerem Présence - Vincent Burlot Crédits extraits : 0. Bonus : les questions des tout petits - durée : 0’54 une discussion menée pour introduire le projet « radio philo » à Gennevilliers avec Ismaïl, Noun Abdou et Ibrahim animation de la discussion, enregistrement et montage : Emmanuelle Soler production : Minute papillon 1. Qu’est-ce qu’il y a à la fin de l’univers ? - durée : 10’19 une discussion faite à l'école d'Arros de Nay, en juin 2022, dans la classe de CM2 de Mylène Joanchicoy, après la lecture du texte "Kant" de Jon Fosse, publié aux éditions de l'Arche - une discussion faite dans le cadre du projet Présence de Minute papillon, organisé et financé par l'agora de Billère animation de la discussion, enregistrement et montage : Emmanuelle Soler production : Minute papillon 2. C’est quoi un rêve ? - durée : 2'20 discussions menées en janvier 2020 sur le rêve avec « les petits cueilleurs de rêves » de la classe de CM1 d'Erwann Goardet de l'école Lestonan à Ergué-Gabéric et de la classe de CE2/CM1 d’Alice Soufflot de l’école Léon Goraguer à Quimper - un projet réalisé dans le cadre des 20 ans de Très Tôt Théâtre à Quimper animation de la discussion, enregistrement : Emmanuelle Soler production : Minute papillon montage : Guisane Humeau 3. Qu’est-ce qui vous émerveille ? - durée : 9’12 une discussion sur l'émerveillement, en janvier 2023, dans la classe de CM2 de Karine Engelmann de l'école Victor Hugo de Vitry-sur-Seine, dans le cadre de la résidence de la compagnie Un château en Espagne, proposé, organisé et financé par le théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine animation de la discussion, enregistrement et montage : Emmanuelle Soler production : Minute papillon 4. A quoi rêvent les plus petits ? - durée : 2’39 en janvier 2020, les petits cueilleurs de rêves de la classe d'Erwann Goardet cueillent les rêves des enfants de CP de l'école Lestonan d'Ergué-Gabéric - un projet réalisé dans le cadre des 20 ans de Très Tôt Théâtre à Quimper rajouter un ou deux des rêves des enfants… animation de la discussion, enregistrement et montage : Emmanuelle Soler production : Minute papillon montage : Guisane Humeau
Comment les films qui dessinent le matrimoine arrivent dans les salles de cinéma ? Dans la série de podcasts que déploie Stéphanie JAUNAY, coordinatrice au cinéma du TNB, on déambule dans des endroits inédits de cette grande institution culturelle et on ouvre nos oreilles au cinéma de matrimoine. Depuis un lieu mystérieux du TNB appelé “le grill” situé cette fois tout au dessus de la scène de la grande salle Jean Vilar, Stéphanie s'entretient avec France Davoigneau, qui vient de rendre son mémoire de fin d'études à la Fémis, section Exploitation. Elle a orienté ses recherches sur le matrimoine soit la revalorisation de l'héritage culturel des femmes, que le terme de patrimoine a tendance à invisibiliser. France est actuellement assistante de coordination du cinéma du TNB. CRÉDITS Ce podcast est le cinquième et dernier épisode de la série audio co-produite par le Ciné-TNB et Narrason. Il est diffusé dans le flux de podcast CINÉMAS SUR ECOUTE sur toutes les plateformes de Podcasts sur Youtube ainsi que sur le site du TNB et celui de Narrason. Elle fait partie d'un vaste projet interrogeant les nouveaux modes d'exposition du sonore dans les salles de cinéma. Entretien, Host et prises de son : Stéphanie Jaunay Direction de production : Nolwenn Thivault Réalisation, design sonore et composition musicale : Gilles Mardirossian Identité graphique : Magali Brueder Développé sur la saison 2021-2022, CINÉMAS SUR ÉCOUTE est lauréat de l'appel à projets COLLABORATE TO INNOVATE 2021, mis en oeuvre par EUROPA CINEMAS et financé par Creative Europe/MEDIA (Union européenne). #EuropaCinemas #CollaborateToInnovate
Comme dans les autres sphères, le monde de la culture n'échappe pas aux inégalités et les femmes doivent aussi jouer des coudes pour atteindre les hauts postes de direction. Mais parfois, la magie de la vie apporte son lot de surprises et aussi de belles rencontres. Le terme de sororité est partout depuis quelques années, notamment depuis l'ère #metoo et on entend les clubs féminins et autres réseaux se multiplier pour que les femmes s'entraident. Enfin, les femmes sortent de ce rapport de rivales et c'est tant mieux. Aujourd'hui, cet épisode met en lumière la magie d'une belle rencontre, d'une histoire de mentoring, de mains tendues… mais avec un autre regard que la sororité. Carolyn Occeli est une Passionariart qui me donne envie de continuer encore et toujours ce podcast, parce qu'elle est une rencontre extraordinaire qui mérite d'être partagée. Son parcours est atypique. Elle a travaillé dans le cinéma puis dans la presse avant d'intégrer le Théâtre Suresnes Jean Vilar en tant que secrétaire générale. Son désir lui, a toujours été d'œuvrer à la rencontre entre des propositions artistiques et des publics. Elle a été nommée à la direction du théâtre pour succéder à Olivier Meyer qui en était le directeur depuis 1990. Dans cet épisode, elle raconte l'histoire qui l'a amenée à ce poste de directrice. Tous les détails, références et ressources des épisodes sont disponibles sur le site www.lespassionariarts.com
durée : 01:33:13 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Avignon est synonyme de théâtre depuis 1947 grâce au comédien et metteur en scène Jean Vilar. A l'occasion des 50 ans du Festival, ses débuts sont racontés par des critiques, écrivains et hommes de théâtre y ayant participé. - invités : Lucien Attoun Ancien producteur à France Culture et ancien directeur de Théâtre Ouvert; Paul-Louis Mignon Critique dramatique, écrivain, professeur, journaliste, producteur de télévision et historien du théâtre contemporain; Maurice Clavel Écrivain, journaliste et philosophe français (1920-1979); Alfred Simon; Robert Abirached
O Festival OFF Avignon, paralelo ao Festival de Avignon, apresenta, este ano, quase 1500 espectáculos. Avignon é em Julho uma cidade-teatro, com dezenas de salas abertas para o evento, milhares de pessoas que rumam aos teatros e centenas de profissionais a tentarem sobreviver. O encenador, actor e produtor Renato Ribeiro vai há cerca de 30 anos a Avignon e falou-nos sobre a sua luta. As ruas da cidade estão forradas de cartazes atados por cordéis a anunciarem todo o tipo de peças. De manhã à noite, são os mesmos que sobem ao palco que deambulam nas ruelas para convencerem os que por ali passam a irem vê-los. O ritual repete-se diariamente e é a parte visível dos bastidores deste evento que ocorre paralelamente ao IN, o Festival de Avignon fundado por Jean Vilar em 1947. O Festival OFF nasceu em 1966 e é um dos maiores festivais de teatro na Europa. Este ano, junta quase 1500 espectáculos, em 141 salas, entre 7 a 29 de Julho.O português Renato Ribeiro vai ao OFF há mais de 30 anos, como actor, encenador e/ou produtor. Para ele, Avignon é uma vitrina e também o espaço onde se assinam contratos para a próxima temporada. Um grande mercado do teatro, feito de muito investimento e que, segundo ele, só dá frutos quando se é presença habitual e se conhece toda a rede de programadores.“Avignon não é só um festival, também é um mercado, o maior na Europa, onde a gente consegue mostrar os nossos espectáculos para as salas a nível nacional e que são bastantes. Só cá em Avignon é que a gente consegue ter esta vitrina para mostrar os espectáculos para que os profissionais e os directores de salas possam ver, gostar e comprar”, conta Renato Ribeiro, no café do teatro Le Cabestan onde apresenta uma das suas peças. Este ano, Renato apresenta dois espectáculos que encenou: "Belles Amies" e "G.E.E.K.", a primeira é uma “comédia dramática” e a segunda “uma comédia para toda a família”. Apesar de ser um grande investimento, Renato diz que vale a pena. “Avignon custa muito caro. É um custo muito grande para a produção porque temos os custos de criação, os custos de arrendar uma casa, de alugar o teatro, as deslocações e as comidas. É, no mínimo, 30.000 ou 35.000 euros. As entradas não chegam para a gente ter esse dinheiro. O que é bom para nós é esta vitrina e quantos mais teatros comprarem o espectáculo”, acrescenta. Filho de um casal que emigrou para França em 1969, Renato Ribeiro chegou a Tours com quatro anos. A paixão pelo teatro nasceu poucos anos depois e, aos dez, teve uma professora na casa dos pais a tentar convencê-los a deixarem o filho entrar numa peça de teatro da sua companhia. “Foi o meu primeiro contrato de actor. Aos 10 anos. E fiquei nessa companhia até aos 18”, lembra.Depois, foi para outra trupe na Normandia e, depois, Béziers. Seguiu-se Paris, onde foi actor, encenador e, mais tarde, director do espaço “La Comédia”. Entretanto, criou a própria produtora que “produz em média de 45 espectáculos por ano” e, actualmente, vive entre Portugal e França. Lisboa foi a partir de 2012, quando quis conhecer suas raízes e acabou por lá ficar oito anos. Deu aulas de teatro, foi colaborador de uma editora e chegou a trabalhar com Tiago Rodrigues, o actual director do Festival de Avignon, na direcção de actores em língua francesa. Renato também produziu espectáculos e agora, está a tentar abrir caminhos para o cinema a partir de Portugal. Quanto a Avignon, vai continuar a ser a “utopia do teatro popular” e o epicentro do seu trabalho.
durée : 02:14:55 - "Le Prince de Hombourg" de Heinrich von Kleist, mise en scène de Jean Vilar au Festival d'Avignon en 1951 - Nous sommes en Avignon dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes le 23 juillet 1951, Jeanne Moreau, Gérard Philipe, Jean Vilar, et tous les autres comédiens du "Prince de Hombourg" s'apprêtent à monter sur scène. Il y a dans l'histoire du Festival d'Avignon des spectacles qui ont fait date, des mises en scène que l'on qualifie aujourd'hui de mythiques. La création en 1951 dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes du Prince de Hombourg, mis en scène par Jean Vilar, fut l'un de ces moments qui ont marqué les mémoires. Un spectacle qui était déjà un événement avant même la première de ses représentations, puisqu'avec lui se concrétisait l'arrivée dans la troupe du TNP de l'immense vedette de cinéma qu'était à cette époque Gérard Philipe. D'autant que durant ce même Festival 51, l'acteur était aussi Don Rodrigue dans Le Cid que Vilar mettait également en scène. Un moment important pour Avignon, pour le théâtre, et pour Jean Vilar, comme le rappelait en 2007 Agnès Varda, photographe du Festival d'Avignon et du TNP au début des années 50. "Pour moi Jean Vilar, ce n'était pas seulement un type remarquable, mais le meilleur acteur de sa troupe - disait-elle. Sa diction, sa précision, et l'intelligence de son jeu en font un très grand acteur, meilleur même que Gérard Philipe, qui, lui, était le diamant du TNP. Quand il est arrivé à Avignon en 1951, puis au TNP, vedette de cinéma acceptant les règles démocratiques de la troupe, il a donné une dimension supplémentaire, un éclat et une reconnaissance médiatique du travail de Vilar". Les archives radiophoniques ont ceci de bon : elles peuvent nous transporter en des temps et dans des lieux où nous ne pouvions pas être. Fermons les yeux. nous sommes en Avignon dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes le 23 juillet 1951. Jeanne Moreau, Gérard Philipe, Jean Vilar, et tous les autres comédiens du Prince de Hombourg s'apprêtent à monter sur scène. Les micros de la RTF enregistrent. "Le Prince de Hombourg" de Heinrich von Kleist, mise en scène de Jean Vilar au Festival d'Avignon en 1951 (1ère diffusion : 29/07/1951 Chaîne Nationale) Présentation Max Joly Traduction Jean Curtis Mise en scène Jean Vilar Musique de scène Maurice Jarre Interprètes : André Schlesser (serviteur de scène), Gérard Philipe (Prince Frédéric Arthur de Hombourg), Jean Negroni (comte de Hohenzollern), Jean Vilar (Frédéric Guillaume), Lucienne Le Marchand (princesse électrice), Jeanne Moreau (Nathalie), René Belloc (un heiduque), Pierre Asso (feld-maréchal Dörfling), Lucien Arnaud (Hennings), Pierre Lautrec (Guelder), Jean Bolo (Capitaine Von der Goltz), Jean-Paul Moulinot (colonel Kottwitz), Jean Martin (1er officier), Abel Jores (2e officier), Charles Denner (Siegfried von Mörner), Monique Chaumette (une dame de la Cour), René Dupuy (maréchal des logis), Jean Leuvrais (comte Reuss, comte Sparren), Maurice Coussonneau (Stranz) et Françoise Spira (2ème dame de la Cour) Archive Ina / Radio France
Figure emblématique du monde de la culture, Jean Vilar a entretenu une correspondance avec de nombreuses personnalités artistiques et intellectuelles. Dans « Jean Vilar, une biographie épistolaire », Violaine Vielmas dévoile et met en lumière le célèbre fondateur du festival d'Avignon au travers de deux cent soixante lettres. Une véritable immersion dans une société du spectacle de l'époque en plein changement. Invitée : Violaine Vielmas, doctorante au Centre d'études et de recherche éditer/interpréter (CéRédi). Elle publie « Jean Vilar, une biographie épistolaire », aux éditions Actes Sud.
Figure emblématique du monde de la culture, Jean Vilar a entretenu une correspondance avec de nombreuses personnalités artistiques et intellectuelles. Dans « Jean Vilar, une biographie épistolaire », Violaine Vielmas dévoile et met en lumière le célèbre fondateur du festival d'Avignon au travers de deux cent soixante lettres. Une véritable immersion dans une société du spectacle de l'époque en plein changement. Invitée : Violaine Vielmas, doctorante au Centre d'études et de recherche éditer/interpréter (CéRédi). Elle publie « Jean Vilar, une biographie épistolaire », aux éditions Actes Sud.
Las artes escénicas han tomado la ciudad de Aviñón, en el sur de Francia, en el marco del Festival internacional de teatro más gran e importante del mundo. La edición 77 cuenta con un nuevo director, el dramaturgo portugués Tiago Rodrigues, quien considera al festival como una manifestación de arte y resistencia. Nuestra enviada especial a Aviñón converso con él. Aviñón vive sus horas más sofocantes. Las calles arden bajo un sol que calienta hasta los 40 grados, pero el Festival internacional de teatro inflama las conciencias con obras sobre el fin del mundo, la violencia de género o la condición humana.Este año se presentan 44 espectáculos del mundo entero, seleccionados por el nuevo director del Festival de Aviñón, el dramaturgo portugués Tiago Rodrigues, quien nos explicó su visión del festival, como una fiesta y un combate.“Hacer un servicio público de cultura es hacer un poco de resistencia en nuestras sociedades y lo mismo aquí en Aviñón, en Francia. Es un combate por la libertad artística, un combate por la libertad de crear obras, seguir los deseos de los artistas. Para eso sirve el Festival de Aviñón. También es un combate por el acceso democrático a un público en gran cantidad, pero también en gran diversidad. Afortunadamente, hoy en día en 2023 podemos todavía convertir esos dos combates en fiesta”, explica a RFI.Por primera vez, el Festival de Aviñón pone de relieve no a un país sino un idioma. En 2023 ha sido la lengua de Shakespeare. Aviñón también ha sido una caja de resonancia de lo que pasa en Francia, con artistas que han denunciado el asesinato hace unos días del joven Nahel a manos de la policía francesa. Una posición del arte que reivindica Tiago Rodrigues.“El Festival de Aviñón siempre fue un foro en contacto con el mundo. Es un festival, es una fiesta, pero eso no significa que una fiesta sea ciega a las injusticias del mundo. Al contrario, el código genético de este festival desde Jean Vilar (fundador) es que es una fiesta que habla del mundo, pero también al mundo. El arte nos habla de nuestras vidas y es un placer. Hay que aceptar de una vez por todas que hay placer en combatir a través del arte”, reivindica el dramaturgo y director del Festival de Aviñón.En las calles, cada día su lote de artistas, desfiles y teatro de calles, un caldo festivo para combatir los efectos del calentamiento global.
Mercredi 5 juillet s'ouvre la 57e édition du festival d'Avignon, soit la plus grande manifestation de spectacle vivant au monde. L'occasion de se pencher sur Jean Vilar, l'immense homme de lettres et de théâtre qui le fonda au sortir de la Seconde guerre mondiale.
Sept ans après le vote en faveur du Brexit, Paris apparaît comme le grand gagnant de la recomposition bancaire européenne. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur une stratégie post-Brexit gagnante.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juin 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Ingrid Feuerstein (correspondante des Echos à Londres), Anne Drif et Romain Gueugneau (journalistes au service Finance des Echos). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Benjamin Girette/Bloomberg. Sons : «Antoine et Antoinette» de jacques Becker - 1947, Roset, Pierre CORNEILLE – Cinna Mise en scène Jean Vilar, «La vie est un long fleuve tranquille» Etienne Chatiliez 1988. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Gabriel Yared (37°2 le matin, Le talentueux Mr Ripley), Maurice Jarre (Lawrence d'Arabie, Docteur Jivago), Bruno Coulais (Microcosmos, Les Choristes), Alexandre Desplat (Harry Potter, The Grand Budapest Hotel) : par leur savoir et leur expérience, ces compositeurs partagent leur passion, tout en analysant leur profession. C'est en se replongeant dans des archives et en réunissant également les témoignages de cinéastes et de musiciens que ces entretiens inédits ont pu voir le jour. Ils nous permettent de revisiter le parcours singulier de ces compositeurs et de nous immerger dans leur univers artistique. Cette collection interroge les relations entre la musique et le cinéma, et permet de comprendre le processus de création. Pascale Cuenot échange avec Jean Rochefort au sujet de la personnalité de Maurice Jarre avec qui il a travaillé en 1961 pour la pièce Loin de Rueil (de Maurice Jarre et Roger Pillaudin d'après Raymond Queneau, mise en scène Maurice Jarre et Jean Vilar) au TNP Théâtre national de Chaillot.
Quelle place occupent les femmes dans la vaste histoire du western, aussi bien devant que derrière la caméra ? Dans la série de podcasts que déploie Stéphanie JAUNAY, coordinatrice au cinéma du TNB, on déambule dans des endroits inédits de cette grande institution culturelle et on ouvre nos oreilles au cinéma de matrimoine. Depuis un lieu mystérieux du TNB appelé “la forêt” et situé en-dessous de la scène de la grande salle Jean Vilar, Stéphanie s'entretient avec Eric Thouvenel, spécialiste du western contemporain. Eric est aussi professeur en études cinématographiques à l'université Paris X Nanterre. Ensemble, ils reviennent sur la place des femmes dans l'histoire du western. Ils nous donnent à entendre comment elles ont su bouger les lignes d'un genre pourtant extrêmement codifié. CRÉDITS Ce podcast est le quatrième épisode sur le MATRIMOINE de la série CINÉMAS SUR ECOUTE produite par le Ciné-TNB et Narrason. Elle fait partie d'un vaste projet interrogeant les nouveaux modes d'exposition du sonore dans les salles de cinéma. Entretien, Host : Stéphanie Jaunay Prises de son et direction de production : Nolwenn Thivault Assistant de production : Clément Coucoureux Réalisation, design sonore et composition musicale : Gilles Mardirossian Identité graphique : Magali Brueder Développé sur la saison 2021-2022, CINÉMAS SUR ÉCOUTE est lauréat de l'appel à projets COLLABORATE TO INNOVATE 2021, mis en oeuvre par EUROPA CINEMAS et financé par Creative Europe/MEDIA (Union européenne). #EuropaCinemas #CollaborateToInnovate
En lien avec le spectacle de Guignol Mama Swing, joué par la Cie M.A au Théâtre Jean-Vilar le 5 avril, Sabine Courbière et Alexandre Chetail, membres de cette compagnie, ont accompagné trois classes de CP de l'école Jean-Rostand de Champ-Fleuri dans la construction et la manipulation de marionnettes. Huit ateliers qui ont eu pour conclusion une représentation dans le castelet original de Guignol. Une expérience unique pour ces 37 élèves rendue possible grâce au Plan Local d'Éducation Artistique et culturelle (PLEAC), porté par les structures culturelles du territoire dont notamment le Théâtre Jean-Vilar.
durée : 02:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1970, Jean Vilar, l'homme de théâtre créateur du Festival d'Avignon reçoit France Culture chez lui, à Sète, pour une veillée entourée de ses amis. L'occasion de se remémorer ses débuts à Paris, la naissance de sa vocation avec Charles Dullin et l'évolution de son rapport à la scène. - invités : Jean Vilar comédien, auteur et metteur en scène (1912 - 1971)
durée : 00:25:59 - Les Nuits de France Culture - Entretiens avec Alain Cuny 4/5. Dans ce quatrième volet, le comédien revient sur le côté fortuit de sa carrière théâtrale, sur son activité de professeur et d'acteur au TNP, sur ses rapports avec Vilar et sa rencontre avec Camus, (1ère diffusion : 08/01/1976). "Un moindre mal. C'est tout ce que j'ai pu faire, ce n'est pas ce que j'aurais voulu faire", disait Alain Cuny du théâtre auquel il s'est pourtant consacré corps et âme, même si un don et un penchant naturel auraient pu le porter vers la peinture et l'architecture. * À quoi peut tenir le bonheur d'entendre aujourd'hui les cinq entretiens, dont nous allons écouter le quatrième, qu'accordait Alain Cuny à son amie Fernande Schulmann sur France Culture en 1975 ? Sans doute pour beaucoup au français qu'il parlait. Une langue qui coulait de source et pourtant toujours à la recherche du mot exact qui traduirait le plus fidèlement l'image, l'idée, l'émotion. Pour dire une vie d'homme tendue vers l'exorcisme du douloureux malheur de son enfance, il faut l'entendre parler de sa volonté de. "Renverser l'épouvantable vapeur délétère dans laquelle je suis venu au monde". Dans ce quatrième volet, Alain Cuny revient sur le côté fortuit de sa carrière théâtrale, sur son activité de professeur et d'acteur au TNP, sur ses rapports difficiles avec Jean Vilar et sa rencontre avec Albert Camus, il dit encore sa passion pour l'alexandrin : Je me suis attaché à ne rien éliminer de l'alexandrin. Ceux qui veulent le rendre anecdotique ce ne sont pas des Français, ce sont des traîtres à la langue. Alors qu'il est si simple de l'employer. Par Fernande Schulmann - Avec Alain Cuny Entretiens avec Alain Cuny 4/5 (1ère diffusion : 08/01/1976) Indexation web : Sandrine England, Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
Philippa Wehle joins Stephanie and Angela to talk about theater, language and community. Philippa is an author, academic and translator of multiple plays. She has been called the living memory of the Festival d'Avignon, founded by Jean Vilar the subject of her thesis and one of her books (now only available in French).Edited by: Drake GeorgeOriginal Music by: Yah Supreme (Yahya Jeffries-El)