POPULARITY
C'est une semaine spéciale festival printaniers qui s'ouvre sur Tsugi Radio puisque demain on évoquera, Panoramas, le festival de Morlaix, mercredi, Biches Festival… mais aujourd'hui, après vous avoir parlé depuis plusieurs mois des Inouïs, il est grand temps qu'on vous parle du Printemps de Bourges Crédit Mutuel, car comme chaque année nous avons rendez-vous au bord de l'Auron du 15 au 19 avril. Barbara Pravi, Clara Luciani, Lucky Love, Miki, Piche, Yoa, Fatboy Slim, Malik Djoudi, Sophye Soliveau, Last Train, Jeanne Cherhal… Le Printemps creuse comme chaque année sa singularité en étant à l'affût de toutes celles et ceux qui font vibrer la musique en France. Depuis plusieurs années, Bourges met l'accent sur les créations, des spectacles uniques qui mettent un lumière un répertoire, un ou une artiste, une scène. Entre Vers les lueurs, les concerts acoustiques du Palais Jacques Cœur avec Yaël Naïm, Rover ou Emily Loizeau, l'hommage au cultissime Köln Concert de Keith Jarret par Édouard Ferlet, ou Toute première fois, une création qui vient célébrer les 40 ans des Inouïs orchestrée par Terrenoire… Mais la création qui va nous intéresser aujourd'hui c'est l'hommage à l'Astre d'Orient, la diva égyptienne, Oum Kalthoum disparue en 1975. Difficile de se représenter l'aura de cette grande chanteuse née au tournant du 20ème siècle. Pour vous donner une idée, ils étaient plusieurs millions, entre 3 et 5 selon les sources, à suivre son cortège pour des obsèques forcément nationales, immortalisées par le grand cinéaste, Youssef Chahine. Tous les premiers jeudi du mois, ses nouveaux morceaux étaient jouées à la radio nationale, et la vie s'arrêtait en Égypte, car tout le monde était collé à son transistor. L'histoire d'Oum Kalthoum, c'est celle de la fille d'un imam modeste d'une petite ville du Delta du Nil qui est devenue aussi puissante qu'un chef d'état, dans une époque où l'Égypte était le phare culturel du Moyen-Orient. Les anecdotes qui viennent émailler la vie de cette star pas comme les autres sont toutes plus stupéfiantes les unes que les autres, nous allons tenter d'en raconter quelques-unes… Dans Place des Fêtes aujourd'hui, nous avons aussi rendez-vous dans l'espace littéraire avec notre libraire Nicolas Jalageas, mais d'abord, avec le musicien libanais Zeid Hamdan et la chanteuse, Natacha Atlas, on parle de La Voix des Femmes, la création hommage à Oum Kalthoum qui aura lieu le jeudi 17 avril à la maison de la culture de Bourges.
Parfois le verbe cogne, choque et parfois la musique vous enveloppe. Uzi Freyja est la nouvelle sensation du rap et de l'électro. Porté par la Camerounaise Kelly Rose avec son verbe cru et l'énergie à toute épreuve de ses 27 ans qui chante en anglais et en français. (Rediffusion du 31/01/25) Bhelize Don't Cry, c'est le titre de son premier album, une adresse à l'enfant qu'elle est restée. Uzi Freyja es l'invitée de Sur le pont des arts. Son album Bhelize Don't Cry est disponible sur le label Fougue.Au programme de l'émission :Chronique Histoire de rireDamien Roucou nous présente un jeune humoriste de Kinshasa. À tout juste 18 ans, Jordaniel fait déjà sensation à chaque soirée des Trônes du rire, le Comedy club de la capitale de la République démocratique du Congo.ReportageEdmond Sadaka s'est rendu à la Philharmonie de Paris où jusqu'à dimanche soir (2 février 2025) une série d'évènements sont à l'affiche en hommage à la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum pour commémorer l'anniversaire de sa disparition.
Parfois le verbe cogne, choque et parfois la musique vous enveloppe. Uzi Freyja est la nouvelle sensation du rap et de l'électro. Porté par la Camerounaise Kelly Rose avec son verbe cru et l'énergie à toute épreuve de ses 27 ans qui chante en anglais et en français. (Rediffusion du 31/01/25) Bhelize Don't Cry, c'est le titre de son premier album, une adresse à l'enfant qu'elle est restée. Uzi Freyja es l'invitée de Sur le pont des arts. Son album Bhelize Don't Cry est disponible sur le label Fougue.Au programme de l'émission :Chronique Histoire de rireDamien Roucou nous présente un jeune humoriste de Kinshasa. À tout juste 18 ans, Jordaniel fait déjà sensation à chaque soirée des Trônes du rire, le Comedy club de la capitale de la République démocratique du Congo.ReportageEdmond Sadaka s'est rendu à la Philharmonie de Paris où jusqu'à dimanche soir (2 février 2025) une série d'évènements sont à l'affiche en hommage à la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum pour commémorer l'anniversaire de sa disparition.
Electro taarab et cinéma égyptien des années 40/50/60 avec Love & Revenge, une Louuve Dj made in Maghribi et un songwriter anglais qui aime les chansons à boire. Oum Kalsoum est morte le 3 février 1975. La formation Love & Revenge (Liban/France) sort Agmal Layali pour lui rendre hommage. Electro-taarab et cinéma, expert dans l'art de revisiter la musique et le cinéma populaires du Moyen-Orient, le groupe Love and Revenge est de retour avec une création originale et ambitieuse. Agmal layali ou mes plus belles nuits est un vibrant hommage à l'immense Oum Kalthoum, célébrant la fusion du taarab emblématique de la diva égyptienne et les sonorités électroniques des sons d'aujourd'hui. Fidèle au concept de ses concerts visuels qui ont fait sa réputation, Love and Revenge fait dialoguer les images d'archives et la création musicale. Un hommage invitant les publics de toutes générations à découvrir ou redécouvrir la voix fascinante d'Oum Kalthoum et la magie intemporelle du taarab. Une expérience immersive qui transcende les époques, brouille les frontières, et continue de faire briller aujourd'hui « l'astre de l'Orient » qui nous a quittés il y a cinquante ans.Notre 1er invité est le musicien compositeur Wael Koudaih (Rayess Bek).Love & Revenge fait l'ouverture de la 15ème édition du festival Détours de Babel, le 21 mars 2025 à Grenoble.Site Love and Revenge.Puis nous recevons Dj La Louuve avant son DJ set au Babel Music XP ()Soundcloud - Instagram. Puis Matt Elliott s'attaque à la #SessionLive pour la sortie de Drinking Songs Live 20 Years OnIl y a vingt ans, Matt Elliott sortait Drinking Songs, premier élément d'une trilogie marquante, un magnifique album de sept titres dark folk qui reste encore à ce jour le plus écouté sur les plateformes, et plébiscité par les fans du natif de Bristol. Aujourd'hui, pour célébrer l'anniversaire de l'œuvre la plus emblématique de sa discographie, Matt Elliott nous offre Drinking Songs Live 20 Years On, une collection de versions alternatives enregistrées en trio live. Matt Elliott, qui s'était déjà fait un nom dans la scène indé électronique sous le pseudo The Third Eye Foundation, s'aventure au début des années 2000 en territoire folk. Né en 2004, Drinking Songs est le second album de l'Anglais sous son propre nom, faisant suite à The Mess We Made sorti en 2003 chez Domino. La particularité de Matt Elliott, est déjà sa capacité à fusionner différents styles, mêlant un folk de chambre à une musique de cabaret d'Europe de l'Est, tout en utilisant en parallèle sa culture de la musique électronique et en particulier sa maîtrise du sampling et des effets, au service de la chanson. Exploration profonde de la condition humaine, Drinking Songs est un voyage à travers les recoins les plus inaccessibles de l'âme. Chaque titre de cet album est une histoire en soi, une fenêtre ouverte sur des moments de douleur, de nostalgie et de réflexion.Titres interprétés dans le grand studio- What's Wrong Live RFI- What the Fuck Am I Doing on this Battlefield ? extrait CD- A Waste of Blood Live RFI. Line Up : Matt Elliott (voix, guitare, saxophone)Son : Benoit Letirant, Mathias Taylor.► Album Drinking Songs Live 20 Years On (Ici d'Ailleurs 2024)► Concert théâtre de l'Atelier 31 mars 2025Site Matt Elliott. Réalisation : Hadrien Touraud.
Electro taarab et cinéma égyptien des années 40/50/60 avec Love & Revenge, une Louuve Dj made in Maghribi et un songwriter anglais qui aime les chansons à boire. Oum Kalsoum est morte le 3 février 1975. La formation Love & Revenge (Liban/France) sort Agmal Layali pour lui rendre hommage. Electro-taarab et cinéma, expert dans l'art de revisiter la musique et le cinéma populaires du Moyen-Orient, le groupe Love and Revenge est de retour avec une création originale et ambitieuse. Agmal layali ou mes plus belles nuits est un vibrant hommage à l'immense Oum Kalthoum, célébrant la fusion du taarab emblématique de la diva égyptienne et les sonorités électroniques des sons d'aujourd'hui. Fidèle au concept de ses concerts visuels qui ont fait sa réputation, Love and Revenge fait dialoguer les images d'archives et la création musicale. Un hommage invitant les publics de toutes générations à découvrir ou redécouvrir la voix fascinante d'Oum Kalthoum et la magie intemporelle du taarab. Une expérience immersive qui transcende les époques, brouille les frontières, et continue de faire briller aujourd'hui « l'astre de l'Orient » qui nous a quittés il y a cinquante ans.Notre 1er invité est le musicien compositeur Wael Koudaih (Rayess Bek).Love & Revenge fait l'ouverture de la 15ème édition du festival Détours de Babel, le 21 mars 2025 à Grenoble.Site Love and Revenge.Puis nous recevons Dj La Louuve avant son DJ set au Babel Music XP ()Soundcloud - Instagram. Puis Matt Elliott s'attaque à la #SessionLive pour la sortie de Drinking Songs Live 20 Years OnIl y a vingt ans, Matt Elliott sortait Drinking Songs, premier élément d'une trilogie marquante, un magnifique album de sept titres dark folk qui reste encore à ce jour le plus écouté sur les plateformes, et plébiscité par les fans du natif de Bristol. Aujourd'hui, pour célébrer l'anniversaire de l'œuvre la plus emblématique de sa discographie, Matt Elliott nous offre Drinking Songs Live 20 Years On, une collection de versions alternatives enregistrées en trio live. Matt Elliott, qui s'était déjà fait un nom dans la scène indé électronique sous le pseudo The Third Eye Foundation, s'aventure au début des années 2000 en territoire folk. Né en 2004, Drinking Songs est le second album de l'Anglais sous son propre nom, faisant suite à The Mess We Made sorti en 2003 chez Domino. La particularité de Matt Elliott, est déjà sa capacité à fusionner différents styles, mêlant un folk de chambre à une musique de cabaret d'Europe de l'Est, tout en utilisant en parallèle sa culture de la musique électronique et en particulier sa maîtrise du sampling et des effets, au service de la chanson. Exploration profonde de la condition humaine, Drinking Songs est un voyage à travers les recoins les plus inaccessibles de l'âme. Chaque titre de cet album est une histoire en soi, une fenêtre ouverte sur des moments de douleur, de nostalgie et de réflexion.Titres interprétés dans le grand studio- What's Wrong Live RFI- What the Fuck Am I Doing on this Battlefield ? extrait CD- A Waste of Blood Live RFI. Line Up : Matt Elliott (voix, guitare, saxophone)Son : Benoit Letirant, Mathias Taylor.► Album Drinking Songs Live 20 Years On (Ici d'Ailleurs 2024)► Concert théâtre de l'Atelier 31 mars 2025Site Matt Elliott. Réalisation : Hadrien Touraud.
Aanstaande donderdag 20 maart gaat de fonkelnieuwe opera OUM in premiere bij de Nationale Opera in Amsterdam. In deze uitzending hoor je regisseur Kenza Koutchoukali aan het woord; ze legt de laatste hand aan haar regie en verteld over haar inspiratiebronnen en samenwerkingen. Wist je dat Maria Callas ook bewonderaar van de Egyptische zangeres Oum Kalthoum was? We horen natuurlijk ook muziek van de componist van deze nieuwe opera, Bushra El Turk en zelfs de Beatles komen even voorbij! OUM gaat op premiere op donderdag 20 maart: https://www.operaballet.nl/de-nationale-opera/2024-2025/oum Ook getipt in deze uitzending: Winton Marsalis' Democracy Suite in het Concertgebouw! https://www.concertgebouw.nl/concerten/5150092-jazz-at-lincoln-center-orchestra-with-wynton-marsalis
durée : 00:02:02 - Le grand format - Comment les jeunes ressentent les tensions internationales actuelles ? Scotchés aux réseaux sociaux, comment vivent-ils cette période anxiogène ? France Inter s'est rendue dans une classe de 3e du collège Oum-Kalthoum de Montreuil. L'étude de la Guerre froide prend une résonance particulière.
À l'occasion du 50ème anniversaire de la disparition de la diva de la musique arabe, "ici Paris" consacre une spéciale sur le parcours artistique de l'astreinte de l'orient Oum Kalthoum. Sa célébrité est comparable à celle d'Édith Piaf en France à Amalia Rodriguez au Portugal et Maria Callas en Grèce. Elle est connue par sa voix puissante et ses chansons écrites par les plumes des plus grands poètes et composées par des prestigieux musiciens du monde arabe.
Les ministres des pays de l'EAC et la SADC se sont rencontrés vendredi au sommet conjoint en Tanzanie. L'objectif? Tenter de "mettre fin à la spirale des affrontements" dans l'est de la RDC. Cela nécessite d'abord que l'EAC et la SADC accordent leurs violons, ce risque d'être compliqué.
durée : 01:31:10 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Nous remontons aux sources de la chanson populaire d'Égypte dans un documentaire qui évoque notamment la carrière des divas égyptiennes Oum Kalthoum et Leila Mourad. Une émission de "La matinée des autres" produite par Simone Douek, diffusée pour la première fois en octobre 2000. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Naim Kattan; Oum Kalthoum Chanteuse et musicienne égyptienne
Aujourd'hui dans Parlons-en, une reine, une diva, une idole : Oum Kalthoum, disparue il y a cinquante ans. Une légende venue d'Egypte, dont les chansons et surtout les combats continuent d'inspirer aujourd'hui, comme une Fayrouz au Liban. Ces artistes chantaient autant l'amour que la révolution.
La diva aux lunettes noires nous a quitté le 3 février 1975. Au micro de Thierry Sartoretti, lʹauteure Coline Houssais spécialiste des musiques arabes explique pourquoi la chanteuse de " Al Atlal " reste irremplaçable, y compris dans son rôle de symbole politique. Hommage
Parfois le verbe cogne, choque et parfois la musique vous enveloppe. Uzi Freyja est la nouvelle sensation du rap et de l'électro. Porté par la Camerounaise Kelly Rose avec son verbe cru et l'énergie à toute épreuve de ses 27 ans qui chante en anglais et en français. Bhelize Don't Cry, c'est le titre de son premier album, une adresse à l'enfant qu'elle est restée. Uzi Freyja es l'invitée de Sur le pont des arts. Son album Bhelize Don't Cry est disponible sur le label Fougue.Au programme de l'émission :Chronique Histoire de rireDamien Roucou nous présente un jeune humoriste de Kinshasa. À tout juste 18 ans, Jordaniel fait déjà sensation à chaque soirée des Trônes du rire, le Comedy club de la capitale de la République démocratique du Congo.ReportageEdmond Sadaka s'est rendu à la Philharmonie de Paris où jusqu'à dimanche soir (2 février 2025) une série d'évènements sont à l'affiche en hommage à la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum pour commémorer l'anniversaire de sa disparition.
Parfois le verbe cogne, choque et parfois la musique vous enveloppe. Uzi Freyja est la nouvelle sensation du rap et de l'électro. Porté par la Camerounaise Kelly Rose avec son verbe cru et l'énergie à toute épreuve de ses 27 ans qui chante en anglais et en français. Bhelize Don't Cry, c'est le titre de son premier album, une adresse à l'enfant qu'elle est restée. Uzi Freyja es l'invitée de Sur le pont des arts. Son album Bhelize Don't Cry est disponible sur le label Fougue.Au programme de l'émission :Chronique Histoire de rireDamien Roucou nous présente un jeune humoriste de Kinshasa. À tout juste 18 ans, Jordaniel fait déjà sensation à chaque soirée des Trônes du rire, le Comedy club de la capitale de la République démocratique du Congo.ReportageEdmond Sadaka s'est rendu à la Philharmonie de Paris où jusqu'à dimanche soir (2 février 2025) une série d'évènements sont à l'affiche en hommage à la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum pour commémorer l'anniversaire de sa disparition.
durée : 00:01:51 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Plongez dans la courte biographie de cette femme au destin fascinant qui mérite d'être mise entre toutes les jeunes mains pour nourrir les esprits curieux. Cette biographie est l'histoire d'un mythe, d'une femme immense disparue il y a 50 ans.
Il est né dans l'Égypte de Gamal Abdel Nasser, donc la dictature, ça le connaît. Il s'est opposé à l'autoritarisme d'Hosni Mobarak, est devenu une figure dérangeante et emblématique de la révolution égyptienne. Puis interdit de publication, en 2016, il claque la porte du pays pour se réfugier aux États-Unis. Né au Caire et dans les livres de papa, né pour raconter notre condition humaine, Alaa El Aswany (c'est bien lui) est traduit en 37 langues. Depuis J'ai couru vers le Nil, jusqu'au Soir d'Alexandrie qui vient de sortir en passant par L'immeuble Yacoubian, c'est un empêcheur d'oppresser en rond, que nous recevons. L'histoire d'un amoureux de la littérature, fâché avec la pensée unique, qui ne sort jamais sa plume sans se faire accompagner de deux divas, Oum Kalthoum sur le guéridon, Edith Piaf sur la véranda. Lui et sa double culture n'aiment rien tant que la liberté, bref, c'est un tendre, mais qui a la dent dure.
Il est né dans l'Égypte de Gamal Abdel Nasser, donc la dictature, ça le connaît. Il s'est opposé à l'autoritarisme d'Hosni Mobarak, est devenu une figure dérangeante et emblématique de la révolution égyptienne. Puis interdit de publication, en 2016, il claque la porte du pays pour se réfugier aux États-Unis. Né au Caire et dans les livres de papa, né pour raconter notre condition humaine, Alaa El Aswany (c'est bien lui) est traduit en 37 langues. Depuis J'ai couru vers le Nil, jusqu'au Soir d'Alexandrie qui vient de sortir en passant par L'immeuble Yacoubian, c'est un empêcheur d'oppresser en rond, que nous recevons. L'histoire d'un amoureux de la littérature, fâché avec la pensée unique, qui ne sort jamais sa plume sans se faire accompagner de deux divas, Oum Kalthoum sur le guéridon, Edith Piaf sur la véranda. Lui et sa double culture n'aiment rien tant que la liberté, bref, c'est un tendre, mais qui a la dent dure.
Biberonné à Warda, Fairouz et Oum Kalthoum, il mélange dans son premier album du groove, de l'électro et des sonorités orientales, le français et le darija marocain, sa langue maternelle : Yassine Stein trace sa route en ouvrant une brèche entre rap et chanson... Avec Yassine Stein, chanteur-rappeur et auteur-compositeur. Son premier album C'est Dieu qui dessine est disponible sur toutes les plateformes de streaming.Et la chronique Ailleurs rencontre aujourd'hui Fabienne Bidou, directeur déléguée de l'Institut français du Bénin, pour parler de la première édition du Panorama de la création béninoise. Entre théâtre, contes, danse, humour... Rendez-vous du 8 au 12 avril 2024 à Cotonou !
Biberonné à Warda, Fairouz et Oum Kalthoum, il mélange dans son premier album du groove, de l'électro et des sonorités orientales, le français et le darija marocain, sa langue maternelle : Yassine Stein trace sa route en ouvrant une brèche entre rap et chanson... Avec Yassine Stein, chanteur-rappeur et auteur-compositeur. Son premier album C'est Dieu qui dessine est disponible sur toutes les plateformes de streaming.Et la chronique Ailleurs rencontre aujourd'hui Fabienne Bidou, directeur déléguée de l'Institut français du Bénin, pour parler de la première édition du Panorama de la création béninoise. Entre théâtre, contes, danse, humour... Rendez-vous du 8 au 12 avril 2024 à Cotonou !
Raphael Cormack has a PhD in Islamic and Middle Eastern Studies with a focus on Egyptian theatre from the University of Edinburgh. He is currently Assistant Professor in Arabic Studies at Durham University. An award-winning editor and translator, Cormack is the editor of The Book of Cairo and the co-editor of The Book of Khartoum. His writing on Arab culture has appeared in the London Review of Books, Prospect and TLS, among others. Raphael Cormack is the author of Midnight in Cairo: The Female Stars of Egypt's Roaring '20s, an exploration of Cairo popular culture through personalities such as Rose Al-Youssef, Mounira al-Mahdiyya and Oum Kalthoum.In this episode you will learn about:- What's the importance of 1920s in the Egyptian culture and entertainment industry- How he chose which exact female stories to highlight, and why Samia Gamal wasn't featured in his book- His research methods- Comparing careers of Mounira al-Mahdiyya and Oum Kalthoum- What's Raphael's current focus on researchShow Notes to this episode:Find Raphael Cormack on Instagram, FB, and Twitter. Check your local bookstores for his book “Midnight in Cairo: The Female Stars of Egypt's Roaring '20s”.Details and training materials for the BDE castings are available at www.JoinBDE.comFollow Iana on Instagram, FB, and Youtube . Check out her online classes and intensives at the Iana Dance Club.Find information on how you can support Ukraine and Ukrainian belly dancers HERE.Podcast: www.ianadance.com/podcast
Pour la 1ère émission, Zine évoque Oum Kalthoum (1898-1975), chanteuse, musicienne et actrice égyptienne. Elle est considérée comme la plus grande chanteuse du monde arabe.
durée : 00:38:39 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Depuis le 26 février, une large mobilisation est née dans les établissements scolaires de Seine-Saint-Denis pour demander un plan d'urgence afin d'améliorer les conditions d'enseignement. Le 93 est-il lésé en matière d'éducation ? Est-il le miroir des difficultés de l'éducation nationale ? - invités : Aurélie Lejeune Parent d'un élève en CE2 à Paul Langevin et d'une élève en 6e au Collège Lavoisier de Pantin. ; Benjamin Marol Professeur d'histoire-géographie au collège Oum-Kalthoum à Montreuil ; Suzanne Cau Professeure de français au lycée Paul-Eluard de Saint-Denis, représentante du personnel dans son lycée ; Elodie Girardet Conseillère départementale déléguée au projet éducatif départemental de Seine-Saint-Denis.
durée : 00:38:39 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Depuis le 26 février, une large mobilisation est née dans les établissements scolaires de Seine-Saint-Denis pour demander un plan d'urgence afin d'améliorer les conditions d'enseignement. Le 93 est-il lésé en matière d'éducation ? Est-il le miroir des difficultés de l'éducation nationale ? - invités : Aurélie Lejeune Parent d'un élève en CE2 à Paul Langevin et d'une élève en 6e au Collège Lavoisier de Pantin. ; Benjamin Marol Professeur d'histoire-géographie au collège Oum-Kalthoum à Montreuil ; Suzanne Cau Professeure de français au lycée Paul-Eluard de Saint-Denis, représentante du personnel dans son lycée ; Elodie Girardet Conseillère départementale déléguée au projet éducatif départemental de Seine-Saint-Denis.
durée : 00:02:08 - Quatre nouveaux épisode à découvrir - Vincent Munier, le poète de la nature qui parcours le monde sur la trace des animaux sauvages. Oum Kalthoum, la diva du Moyen-Orient. Simon Gronowski, avocat et pianiste de jazz et Marie Marvingt, une pionnière de l'aviation, à découvrir le 14 février
durée : 01:00:09 - Mathias Enard, écrivain - par : Priscille Lafitte - Quelle boussole musicale l'écrivain et traducteur Mathias Enard tient-il entre les mains ? Vers où le dirige son érudition, cette curiosité insatiable ? Voyage dans des contrées musicales contrastées, de Madrid au Caire en passant par l'Écosse, aux côtés de Boccherini, Oum Kalthoum et Beethoven. - réalisé par : Claire Lagarde
L'enfance de la chanteuse Oum Kalthoum. Une émission de Bloom la radio des enfants et Ocarina Sound.
Cette semaine, le Club RFI, dans le cadre de son atelier littéraire interactif «L'écume des mots» Djaïli Amadou Amal, auteure du roman «Cœur du Sahel», paru aux éditions Collas Emmanuelle. Djaïli Amadou Amal, répond aux questions des élèves et membres du Club RFI Dakar. Ils ont travaillé sur le roman de l'écrivaine camerounaise. (Rediffusion) Djaïli Amadou Amal est lauréate du prix de la Meilleure auteure africaine (2019), du prix Orange du livre en Afrique (2019). Elle a remporté le prix Goncourt des lycéens pour Les Impatientes (2020).L'écrivaine a reçu, le 28 novembre 2022, le titre de docteur Honoris Causa, une distinction prestigieuse décernée par l'université Sorbonne Nouvelle – Paris.Avec la participation de : Ahmadou Ndiay (enseignant et coordonnateur de l'atelier littéraire à Dakar), Séynabou Amar, Fatimata Diagne, Marième Kébé, Mariama Sow, Ousseynou Diop et Mouahamed Ndiaga Diop.L'atelier littéraire des Clubs RFI «L'écume des mots» permet aux jeunes de dialoguer avec un écrivain autour de son œuvre et de partager ainsi le goût de la lecture et de l'écriture.« Écrire, c'est lire en soi pour écrire en l'autre », Robert Sabatier.Présentation : Myriam Guilhot et Éric Amiens.Musiques : «Amal Hayati», Oum Kalthoum et «Eva» Angelique Kidjo.Réalisation : Cécile Bonici.Écoutez la version longue :
En Égypte, on aime dire que deux choses sont éternelles : les pyramides et Oum Kalthoum. Celle qui a été et reste la voix, l'âme et le cœur du monde arabe est à l'honneur du roman graphique « Oum Kalthoum, naissance d'une diva », aux éditions J.-C. Lattès dessiné par Chadia Loueslati et écrit par Nadia Hathroubi-Safsaf. Nadia Hathroubi-Safsaf est rédactrice en chef du magazine Le Courrier de l'Atlas. Elle est l'auteure de trois essais et deux romans, dont Ce sont nos frères et leurs enfants sont nos enfants qui a reçu le prix des Voix de la paix en 2017.Avec Oum Kalthoum, naissance d'une diva, elle retrace avec Chadia Loueslati le parcours exceptionnel de la chanteuse égyptienne, symbole de l'émancipation des femmes."Charles de Gaulle la surnommait « la Dame » et Maria Callas, « la voix incomparable ». Mais comment cette jeune fille paysanne, empêchée d'aller à l'école faute de moyens, obligée de se grimer en garçon pour chanter, est devenue une immense diva et icône mondiale ?" (Présentation des éditions JC Lattès)
Vous avez aimé le premier épisode avec Salomon Hazot ? Vous devriez adorer la suite... Aucune langue de bois dans ce second épisode consacré à sa carrière, de la création de Nous Productions à tout ce qui s'en est suivi : Warner Music, Live Nation Entertainment, Olympia Production, AEG Presents et plein plein d'autres choses ! Un épisode où il sera question de Ed Sheeran, de Metallica, de Oum Kalthoum, mais aussi d'aventures humaines, de déceptions, de grands groupes, de projets foisonnants et… de carottes
Vi gästas av Musa Al-shadeedi, författare till "Oum Kalthoum's sexuality, Non normative sexuality in Arabic cinema, & Homosexuality in invading Iraq". https://www.instagram.com/musashadeedi/ Malmö Arab Film Festival äger rum 28 april - 4 maj, vi tipsar om några filmer. Trailer till filmen Alam: https://youtu.be/sfiv3-2u4_4 Musik under programmet: Jump in the Line - Harry Belafonte British Museum - Kid Pharaoh Muwashah Jadak Al-Ghaith - Halim Music Ensemble Good as Hell - Lizzo New York - Angel Haze
Que reste-t-il à un État si son armée s'effondre ? La détresse des soldats libanais est profonde. La crise économique frappe la population dans son ensemble, civils comme militaires. Serge Berberi, correspondant de France 24 à Beyrouth, a rencontré deux membres des Forces de Sécurité, des officiers qui ont accepté de témoigner anonymement. L'un a préféré déserter tandis que l'autre porte toujours l'uniforme mais doit aussi travailler en parallèle.
Il #blues d'apertura è targato Emanuel Casablanca. L'ospite della puntata è il cantautore romano, di stanza a Bruxelles, Giacomo Lariccia. Monica Paes di #AvenidaBrasil dialoga con Rohma Rohmanelli Rohmanelli, all'anagrafe Sergio Romanelli: multiartista e anche docente universitario, con cattedra a #florianopolis (Lettere italiane), salernitano che vive in Brasile da 25 anni. Per la storia di una canzone racconteremo perchè "Since I've Been Lovin You" dei Led Zeppelin testimonia l'amore di Jimmy Page per Oum Kalthoum. Come sempre la chiusura spetta a Basilio Santoro con la sua rubrica #vinile
Cette semaine, le Club RFI, dans le cadre de son atelier littéraire interactif «L'écume des mots» Djaïli Amadou Amal, auteure du roman «Cœur du Sahel», paru aux éditions Collas Emmanuelle. Djaïli Amadou Amal, répond aux questions des élèves et membres du Club RFI Dakar. Ils ont travaillé sur le roman de l'écrivaine camerounaise. Djaïli Amadou Amal est lauréate du prix de la Meilleure auteure africaine (2019), du prix Orange du livre en Afrique (2019). Elle a remporté le prix Goncourt des lycéens pour Les Impatientes (2020). L'écrivaine a reçu, le 28 novembre 2022, le titre de docteur Honoris Causa, une distinction prestigieuse décernée par l'université Sorbonne Nouvelle – Paris. Avec la participation de : Ahmadou Ndiay (enseignant et coordonnateur de l'atelier littéraire à Dakar), Séynabou Amar, Fatimata Diagne, Marième Kébé, Mariama Sow, Ousseynou Diop et Mouahamed Ndiaga Diop. L'atelier littéraire des Clubs RFI «L'écume des mots» permet aux jeunes de dialoguer avec un écrivain autour de son œuvre et de partager ainsi le goût de la lecture et de l'écriture. « Écrire, c'est lire en soi pour écrire en l'autre », Robert Sabatier. Présentation : Myriam Guilhot et Éric Amiens. Musiques : «Amal Hayati», Oum Kalthoum et «Eva» Angelique Kidjo. Réalisation : Cécile Bonici. Écoutez la version longue :
Amelle reçoit celui pour qui qu'importe l'endroit pourvu qu'il y ait un micro et un public. Reda Saoui. Ce premier contact avec l'humour à 9 ans grâce à une VHS qu'on n'oublie pas. Le Montréal doux et crémeux, le Paris vif où l'on se retrouve si bien humoristiquement parlant et où la connexion avec le public est immédiate. Ce plaisir d'écouter les bribes de phrases des gens qu'on croise en marchant dans la rue. Aimer être entouré de gens passionnés. Le métier, si dur et si beau à la fois. La famille et l'importance de ne pas tout sacrifier pour passer du temps avec ceux qu'on aime et voir les choses autrement. La vibe qu'il faut puiser dans la vérité du moment. La méditation, l'écriture, la validation, les rituels, les souvenirs… Mais aussi le Festival Juste pour rire, le Barbès Comedy Club, le Paname, l'Olympia, la Taverne de l'Olympia, l'Européen, La Scala, le Madame Sarfati, le Fridge, le Montreux Comedy Festival, la Place des Art et sa salle Wilfrid-Pelletier. On parle de Bun Hay Mean, Jason Brokerss, Jamel Debbouze, les Inconnus, Les Nuls, Alain Chabat, Fellag, Oum Kalthoum, Mustapha El Atrassi, Fary, Blanche Gardin, Baptiste Lecaplain, Rachid Badouri, Gad Elmaleh ou encore Léo Hardt. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Verdens musik flyder sammen i en helhed af muligheder. Alt det, mennesker ikke formår i vores kulturelle, politiske og religiøse uenigheder som musikken hæver sig op over med den største selvfølgelighed. Fikret Amirov, Cheb I Sabbah, Aynur, Bilal Irshed, Oum Kalthoum, Arvo Pärt, Anouar Brahem, Morales, Jacob Gurevitsch og Fairuz med flere lader verden mødes helt ubesværet. Vært: Minna Grooss. www.dr.dk/p2
durée : 01:27:00 - Les Nuits de France Culture - L'émission"Les Nuits magnétiques" proposait en 1984 un portrait de Warda Al-Jazairia, grande diva de la musique arabe. Un portrait intitulé "Un conte des mille et une nuits avec Warda l'Algérienne" (1ère diffusion : 20/11/1984). Morte au Caire en 2012, Warda l'Algérienne, "la rose algérienne" était née à Paris en 1939 d'une mère libanaise et d'un père algérien. * Elle restera comme l'une des grandes divas de la musique arabe, aux côtés de Oum Kalthoum et Fairuz. Immense star dans tout le monde arabe, vendant ses disques par dizaines de millions, tout au long d'une carrière qu'elle débuta alors qu'elle n'était qu'une enfant, elle chanta l'amour et incarna un rêve panarabiste qui ne l'aura jamais quittée. En 1984, dans les "Nuits Magnétiques_"_, Daniel Caux rencontrait Warda al-Jazairia et interrogeait ses admirateurs dans le quartier de Belleville. Quelques années plus tard, dans les années 90, après une éclipse comme elle en connut plusieurs dans sa carrière, elle devait faire un retour en force et renouer avec le grand succès, en multipliant les tubes aux arrangements plus modernes. Dans cette émission, illustrée par nombre de ses chansons, Warda se souvenait de son enfance à Paris, où sa famille tenait un cabaret oriental très en vue, dans le Quartier Latin, "Le Tam-Tam" : Je suis repassée devant mon école c'était rue Saint Jacques, là j'ai pleuré un peu tout de même, c'est là-bas où j'ai grandi. C'est très drôle car c'est à Paris que j'ai appris à aimer mon pays, qui est l'Algérie, et l'Egypte et la musique et le monde arabe. Mais les événements liés à la guerre d'Algérie viennent troubler la jeunesse de Warda. En effet, "Le Tam-Tam" est lié au siège du MTLD, le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques, le parti politique pour l'indépendance de l'Algérie. Le cabaret était mitoyen avec le siège du MTLD, il est sous la surveillance de la police. Warda qui est adolescente doit alors s'exiler au Liban avec une partie de sa famille. A dix-huit ans, c'est en Égypte sur les traces d'Oum Kalsoum que sa carrière commence réellement à décoller d'abord au cinéma puis sur scène. Cependant l'indépendance de l'Algérie lui fait quitter L'Égypte en 1962. Elle s'arrêtera de chanter durant neuf ans à la demande de son mari, puis reprendra sa carrière en Égypte après son divorce. Production : Daniel Caux Réalisation : Bruno Sourcis Nuits magnétiques - Un conte des mille et une nuits avec Warda l'Algérienne 1ère diffusion : 20/11/1984 Indexation web : Sandrine England, Documentation Sonore de Radio France
durée : 01:24:59 - Les Nuits de France Culture - "Les nuits magnétiques" rendaient hommage à "L'étoile de l'Orient : Oum Kalthoum", en 1985, dix ans après sa disparition. Un portrait rythmé par ses chansons et des extraits d'un entretien avec la chanteuse de 1967. En 1985, la chanteuse Oum Kalthoum, figure de légende, tout à la fois l'Edith Piaf et La Callas du monde arabe, était morte depuis dix ans. "Les nuits magnétiques" lui rendaient hommage avec un portrait rythmé par ses chansons, le témoignage de Maurice Hattab, de Mohamed Abdel Wahab, et des extraits d'un entretien avec la chanteuse à la radio du Caire en 1965 ainsi que de son concert à l'Olympia à Paris en 1967. * Des pays du Golfe au Maroc, Oum Kalthoum a été pour beaucoup d'arabes celle qui sut les réunir au-delà de leurs divisons. Son chant plongeait les foules en état de transe. Tous les premiers jeudis de chaque mois, elle donnait au théâtre du Caire un récital, qui était retransmit par toutes les radios arabes et elle pouvait chanter sur scène jusqu'à cinq ou six heures d'affilée avec seulement deux ou trois chansons à son répertoire. Des chansons d'amour avec de nombreuses reprises à la demande du public, avec sans cesse de nouvelles nuances, des interprétations dans lesquelles elle laissait libre cours à son inspiration. Sur son art elle disait : Si on choisit les paroles on peut avoir l'impression que ce qu'on chante on le vit, c'est le point le plus haut, se mettre dans la peau d'une personne heureuse, triste ou exaltée. [...] Pour convaincre par mes chansons il faut que je sois convaincue. [...] Il faut d'abord des paroles, des paroles qui ont un sens et un but précis. Production : Daniel Caux Réalisation : Marie-France Thivot Nuits magnétiques - L'étoile de l'Orient : Oum Kalthoum (1ère diffusion : 05/02/1985) Indexation web : Sandrine England, Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
Série sur la vie du Prophète Mohammad ﷺ (Nordine Abou Maryam) : 255. Othman se marie avec Oum Kalthoum et l'expédition de Bahran
En 2007, l'artiste Susan Hefuna part à la rencontre des mères, sœurs ou épouses des travailleurs de la galerie où elle expose, au Caire. Chacune lui offre un objet qui lui est cher, exposé dans des vitrines ambulantes, dans la rue. Dans ce podcast, l'artiste nous raconte son processus de création. En parallèle, la militante Fatima Ouassak parle de son expérience du collectif, de la nécessité, en tant que femme isolée, de s'organiser collectivement pour exister dans l'espace public.Crédits :Réalisation et production : Clara Gouraud Doublage : Astrid Adverbe Montage, mixage : Antoine Dahan Avec la participation de Susan Hefuna, Fatima Ouassak et Catherine LascaultHabillage musical de Nawel Ben Kraïem et Nassim Koussi Extraits musicaux : Oum Kalthoum, Enta Omri ; Achraf Kallel ft. Omnia Soliman, Enta Omri ; Fairouz, Aloula ; Youssra El Hawary, El Soor ; Leslie Gore, You don't own me ; Dalida, Helwa ya Baladi Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Avec ses lunettes noires, son chignon serré et son mouchoir blanc, Oum Kalthoum s'est forgé une légende. Debout sur scène pendant des heures, elle a chanté Dieu, le président Nasser, mais surtout l'amour. Dans son roman Mille secrets mille dangers, le professeur de littérature française Alain Farah, né à Montréal de parents libanais d'Égypte, consacre plusieurs pages à cette chanteuse.
The Bright Side 01:00 Oum Kalthoum & Fayruz & Hot Since 82- Enta Omri & Baadak Ala Bali & Make Up (JLAB Mashup) 04:05 Space Motion - Adelante 10:32 Shouse - Love Tonight (Asher Swissa & Marcus Remix) 15:09 Black Rythmo & Ian Kenzof ft. Ortal Malka - Earth Of Desert (Dub Mix) 20:36 Sagi Abitbul - Pagati The Dark Side 23:57 Marwan Khoury & Spada - Kel El Asayed & Terra Promessa (JLAB Mashup) 29:28 Ziad Bourji & Wadih El Safi & Andrewboy - Shu Helou & Lebnan Ya Ote3et Sama & Life (JLAB Mashup) 34:38 Q.U.A.K.E. - Ignition 40:50 The Black Eyed Peas & Matous - My Humps & Push Me Deep (JLAB Mashup) 45:50 Feri - Synchron 51:53 ARTBAT - Flame
Dans la liste des cadeaux de fin d'année de Mappemonde, on avait envie de revenir avec vous sur une émission de Mars 2021, on reprenait les directs et on partait dans un pays étonnamment jamais visité malgré la richesse de sa culture et de son influence musicale, à savoir l'Égypte et plus précisément le Caire. Les émissions ne sont pas toujours heureuses dans leur déroulé et leur playlist quand on se lance dans des destinations trop obscures où le manque d'information nous fait galérer pour trouver des choses à vous partager, mais ici c'est tout l'inverse. La profusion à la fois passée et présente de la scène du Caire nous donne une émission qui jongle assez habilement (big up à nous) entre passé et présent dans un mélange des genres qui on l'espère accrochera vos oreilles curieuses. Pour ces allers-retours dans la scène du Caire d'aujourd'hui et d'hier, on passe forcément par des grandes figures de la musique classique et populaire de la culture égyptienne et du monde arabe en général avec la grande Oum Kalthoum, mais aussi Abdel Halim Hafez ou encore Omar Khorshid. Autour de ces figures tutélaires et écrasantes on prend des chemins de traverses pour explorer les scènes actuelles de la ville, notamment dans les musiques électroniques, entre ambient, glitch, deconstructed club, ou glitch hop ; et on termine par un petit détour par des expérimentations free folk. La musique du Caire Oum Kalthoum - Inta Omri Kareem Lotfy - Fr3sh Omar Khorshid - Solenzara Insin - Joust Abadir - Liminal Abdel Halim Hafez - Taali Aoolek ZULI - Akhtuboot The Dwarfs of East Agouza - Clean Shanin Abonnez-vous dans nos réseaux Même après plus de 180 épisode, c'est toujours pareil : pour suivre Mappemonde, vous pouvez vous abonner à la page Facebook ainsi que le compte Instagram. Vous pouvez écouter l'intégrale des podcasts via iTunes et autres plateformes de podcast (cherchez : « mappemonde radio campus paris » et abonnez-vous aux updates). Une émission animée et réalisée par Léo Vesco, Maxime Valette, Antoine Carrière, et Maxime Kokocinzki. Mappemonde est une émission créée par Thomas Guillot pour Radio Campus Paris. Générique réalisé par Antonin Rey. Photo : Panorama du Caire, Égypte © Alberto-g-rovi.
Dans la liste des cadeaux de fin d'année de Mappemonde, on avait envie de revenir avec vous sur une émission de Mars 2021, on reprenait les directs et on partait dans un pays étonnamment jamais visité malgré la richesse de sa culture et de son influence musicale, à savoir l'Égypte et plus précisément le Caire. Les émissions ne sont pas toujours heureuses dans leur déroulé et leur playlist quand on se lance dans des destinations trop obscures où le manque d'information nous fait galérer pour trouver des choses à vous partager, mais ici c'est tout l'inverse. La profusion à la fois passée et présente de la scène du Caire nous donne une émission qui jongle assez habilement (big up à nous) entre passé et présent dans un mélange des genres qui on l'espère accrochera vos oreilles curieuses. Pour ces allers-retours dans la scène du Caire d'aujourd'hui et d'hier, on passe forcément par des grandes figures de la musique classique et populaire de la culture égyptienne et du monde arabe en général avec la grande Oum Kalthoum, mais aussi Abdel Halim Hafez ou encore Omar Khorshid. Autour de ces figures tutélaires et écrasantes on prend des chemins de traverses pour explorer les scènes actuelles de la ville, notamment dans les musiques électroniques, entre ambient, glitch, deconstructed club, ou glitch hop ; et on termine par un petit détour par des expérimentations free folk. La musique du Caire Abonnez-vous dans nos réseaux Même après plus de 180 épisode, c'est toujours pareil : pour suivre Mappemonde, vous pouvez vous abonner à la page Facebook ainsi que le compte Instagram. Vous pouvez écouter l'intégrale des podcasts via iTunes et autres plateformes de podcast (cherchez : « mappemonde radio campus paris » et abonnez-vous aux updates).
durée : 01:28:41 - Jérôme Bel, chorégraphe - par : Priscille Lafitte - Le chorégraphe Jérôme Bel tisse des liens entre John Cage et Oum Kalthoum, entre la danseuse de kathak Roshan Kumari et la pianiste Maria João Pires, entre les compositeurs Alban Berg et Eliane Radigue. Une curiosité tous azimuts ! - réalisé par : Catherine Prin-Le Gall
durée : 00:59:36 - Tous en scène - par : Aurélie Charon - Fouad Boussouf présente sa dernière création "OÜM", hommage à la diva Oum Kalthoum et au poète Omar Khayyam dont elle chantait les vers. Ido Shaked et Lauren Houda Hussein commence avec "Beyrouth ou bon réveil à vous!" leur trilogie subjective sur le Proche Orient. - invités : Fouad Boussouf chorégraphe; Ido Shaked Jeune metteur en scène israëlien; Lauren Houda Hussein Comédienne
One of the world's most multicultural cities, twentieth-century Cairo was a magnet for the ambitious and talented. During the 1920s and '30s, a vibrant music, theater, film, and cabaret scene flourished, defining what it meant to be a “modern” Egyptian. Women came to dominate the Egyptian entertainment industry—as stars of the stage and screen but also as impresarias, entrepreneurs, owners, and promoters of a new and strikingly modern entertainment industry. In Midnight in Cairo: The Divas of Egypt's Roaring '20s (W. W. Norton, 2021, in arrangement with Saqi Books), Raphael Cormack unveils the rich histories of independent, enterprising women like vaudeville star Rose al-Youssef (who launched one of Cairo's most important newspapers); nightclub singer Mounira al-Mahdiyya (the first woman to lead an Egyptian theater company) and her great rival, Oum Kalthoum (still venerated for her soulful lyrics); and other fabulous female stars of the interwar period, a time marked by excess and unheard-of freedom of expression. Buffeted by crosswinds of colonialism and nationalism, conservatism and liberalism, “religious” and “secular” values, patriarchy and feminism, this new generation of celebrities offered a new vision for women in Egypt and throughout the Middle East. Christopher S. Rose is a social historian of medicine focusing on Egypt and the Eastern Mediterranean in the 19th and 20th century. He currently teaches History at St. Edward's University in Austin, Texas and Our Lady of the Lake University in San Antonio, Texas. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
One of the world's most multicultural cities, twentieth-century Cairo was a magnet for the ambitious and talented. During the 1920s and '30s, a vibrant music, theater, film, and cabaret scene flourished, defining what it meant to be a “modern” Egyptian. Women came to dominate the Egyptian entertainment industry—as stars of the stage and screen but also as impresarias, entrepreneurs, owners, and promoters of a new and strikingly modern entertainment industry. In Midnight in Cairo: The Divas of Egypt's Roaring '20s (W. W. Norton, 2021, in arrangement with Saqi Books), Raphael Cormack unveils the rich histories of independent, enterprising women like vaudeville star Rose al-Youssef (who launched one of Cairo's most important newspapers); nightclub singer Mounira al-Mahdiyya (the first woman to lead an Egyptian theater company) and her great rival, Oum Kalthoum (still venerated for her soulful lyrics); and other fabulous female stars of the interwar period, a time marked by excess and unheard-of freedom of expression. Buffeted by crosswinds of colonialism and nationalism, conservatism and liberalism, “religious” and “secular” values, patriarchy and feminism, this new generation of celebrities offered a new vision for women in Egypt and throughout the Middle East. Christopher S. Rose is a social historian of medicine focusing on Egypt and the Eastern Mediterranean in the 19th and 20th century. He currently teaches History at St. Edward's University in Austin, Texas and Our Lady of the Lake University in San Antonio, Texas. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/music
One of the world's most multicultural cities, twentieth-century Cairo was a magnet for the ambitious and talented. During the 1920s and '30s, a vibrant music, theater, film, and cabaret scene flourished, defining what it meant to be a “modern” Egyptian. Women came to dominate the Egyptian entertainment industry—as stars of the stage and screen but also as impresarias, entrepreneurs, owners, and promoters of a new and strikingly modern entertainment industry. In Midnight in Cairo: The Divas of Egypt's Roaring '20s (W. W. Norton, 2021, in arrangement with Saqi Books), Raphael Cormack unveils the rich histories of independent, enterprising women like vaudeville star Rose al-Youssef (who launched one of Cairo's most important newspapers); nightclub singer Mounira al-Mahdiyya (the first woman to lead an Egyptian theater company) and her great rival, Oum Kalthoum (still venerated for her soulful lyrics); and other fabulous female stars of the interwar period, a time marked by excess and unheard-of freedom of expression. Buffeted by crosswinds of colonialism and nationalism, conservatism and liberalism, “religious” and “secular” values, patriarchy and feminism, this new generation of celebrities offered a new vision for women in Egypt and throughout the Middle East. Christopher S. Rose is a social historian of medicine focusing on Egypt and the Eastern Mediterranean in the 19th and 20th century. He currently teaches History at St. Edward's University in Austin, Texas and Our Lady of the Lake University in San Antonio, Texas. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/performing-arts
One of the world's most multicultural cities, twentieth-century Cairo was a magnet for the ambitious and talented. During the 1920s and '30s, a vibrant music, theater, film, and cabaret scene flourished, defining what it meant to be a “modern” Egyptian. Women came to dominate the Egyptian entertainment industry—as stars of the stage and screen but also as impresarias, entrepreneurs, owners, and promoters of a new and strikingly modern entertainment industry. In Midnight in Cairo: The Divas of Egypt's Roaring '20s (W. W. Norton, 2021, in arrangement with Saqi Books), Raphael Cormack unveils the rich histories of independent, enterprising women like vaudeville star Rose al-Youssef (who launched one of Cairo's most important newspapers); nightclub singer Mounira al-Mahdiyya (the first woman to lead an Egyptian theater company) and her great rival, Oum Kalthoum (still venerated for her soulful lyrics); and other fabulous female stars of the interwar period, a time marked by excess and unheard-of freedom of expression. Buffeted by crosswinds of colonialism and nationalism, conservatism and liberalism, “religious” and “secular” values, patriarchy and feminism, this new generation of celebrities offered a new vision for women in Egypt and throughout the Middle East. Christopher S. Rose is a social historian of medicine focusing on Egypt and the Eastern Mediterranean in the 19th and 20th century. He currently teaches History at St. Edward's University in Austin, Texas and Our Lady of the Lake University in San Antonio, Texas. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/middle-eastern-studies
One of the world's most multicultural cities, twentieth-century Cairo was a magnet for the ambitious and talented. During the 1920s and '30s, a vibrant music, theater, film, and cabaret scene flourished, defining what it meant to be a “modern” Egyptian. Women came to dominate the Egyptian entertainment industry—as stars of the stage and screen but also as impresarias, entrepreneurs, owners, and promoters of a new and strikingly modern entertainment industry. In Midnight in Cairo: The Divas of Egypt's Roaring '20s (W. W. Norton, 2021, in arrangement with Saqi Books), Raphael Cormack unveils the rich histories of independent, enterprising women like vaudeville star Rose al-Youssef (who launched one of Cairo's most important newspapers); nightclub singer Mounira al-Mahdiyya (the first woman to lead an Egyptian theater company) and her great rival, Oum Kalthoum (still venerated for her soulful lyrics); and other fabulous female stars of the interwar period, a time marked by excess and unheard-of freedom of expression. Buffeted by crosswinds of colonialism and nationalism, conservatism and liberalism, “religious” and “secular” values, patriarchy and feminism, this new generation of celebrities offered a new vision for women in Egypt and throughout the Middle East. Christopher S. Rose is a social historian of medicine focusing on Egypt and the Eastern Mediterranean in the 19th and 20th century. He currently teaches History at St. Edward's University in Austin, Texas and Our Lady of the Lake University in San Antonio, Texas. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/history
One of the world's most multicultural cities, twentieth-century Cairo was a magnet for the ambitious and talented. During the 1920s and '30s, a vibrant music, theater, film, and cabaret scene flourished, defining what it meant to be a “modern” Egyptian. Women came to dominate the Egyptian entertainment industry—as stars of the stage and screen but also as impresarias, entrepreneurs, owners, and promoters of a new and strikingly modern entertainment industry. In Midnight in Cairo: The Divas of Egypt's Roaring '20s (W. W. Norton, 2021, in arrangement with Saqi Books), Raphael Cormack unveils the rich histories of independent, enterprising women like vaudeville star Rose al-Youssef (who launched one of Cairo's most important newspapers); nightclub singer Mounira al-Mahdiyya (the first woman to lead an Egyptian theater company) and her great rival, Oum Kalthoum (still venerated for her soulful lyrics); and other fabulous female stars of the interwar period, a time marked by excess and unheard-of freedom of expression. Buffeted by crosswinds of colonialism and nationalism, conservatism and liberalism, “religious” and “secular” values, patriarchy and feminism, this new generation of celebrities offered a new vision for women in Egypt and throughout the Middle East. Christopher S. Rose is a social historian of medicine focusing on Egypt and the Eastern Mediterranean in the 19th and 20th century. He currently teaches History at St. Edward's University in Austin, Texas and Our Lady of the Lake University in San Antonio, Texas. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
In this afikra FWD, Hasheemah Afaneh talked about 'Midnight in Cairo: The Divas of Egypt's Roaring 20s' by Raphael Cormack. Cormack unveils the rich histories of independent, enterprising women like vaudeville star Rose al-Youssef (who launched one of Cairo's most important newspapers); nightclub singer Mounira al-Mahdiyya (the first woman to lead an Egyptian theater company) and her great rival, Oum Kalthoum (still venerated for her soulful lyrics); and other fabulous female stars of the interwar period, a time marked by excess and unheard-of freedom of expression. Buffeted by crosswinds of colonialism and nationalism, conservatism and liberalism, “religious” and “secular” values, patriarchy and feminism, this new generation of celebrities offered a new vision for women in Egypt and throughout the Middle East.Note: Hasheemah is not an expert on this subject but is sharing information in the hopes of spurring interest in the subject.Hosted by: Mikey Muhanna, afikra Edited by: Ramzi RammanTheme music by The Brooklyn Nomads https://www.instagram.com/thebrooklynnomads/About the afikra Community Presentations:A community member delivers an in-depth presentation on a topic related to the Arab world's history and culture during a one-hour online event. The presentation is the culmination of a month-long afikra coaching process to help identify a topic, find research, and develop the presentation. The goal is to showcase the presenter's curiosity, research, and share some knowledge. Each presentation is followed by a moderated Q&A with questions coming from the live virtual audience on Zoom. Join the live audience: https://www.afikra.com/rsvp Follow Youtube - Instagram (@afikra_) - Facebook - Twitter Supportwww.afikra.com/supportAbout afikra:afikra is a movement to convert passive interest in the Arab world to active intellectual curiosity. We aim to collectively reframe the dominant narrative of the region by exploring the histories and cultures of the region- past, present, and future - through conversations driven by curiosity.Read more about us on afikra.com
حلالاماما (HALALAMAMA) is the moniker of Iraqi artist Mariam Tawfik. Mariam is behind the club night HAFLEH, which is a party run by and for migrants in Aotearoa. Her sets centre heavy percussive sounds and vocals, and are influenced by long drawn-out orchestral ballads by artists such as Oum Kalthoum and Warda, and works by more contemporary middle eastern producers such as DJ Plead and Al Nather. Her mix for us tonight draws together tracks and samples from several different genres and eras, including the Iraqi classic Khala Ya Khala by Bassim Al-Ali, one of her mothers favourite tunes, works by the Wellington based producer Aspen, and bangers by Nancy Ajram. @halalamama Tropikal Camel - Deja Groove [Rebel Up] M4URI M4STA - PŪ0R0 PL4Y V0L. 001 [Self] DJ Plead - X5 [SUMAC] Flore - Evidence (Azu Tiwaline Remix) [Polaar] Muslimgauze - Mullah Said [Staalplaat] Interview with منتظر الزيدي (Muntadhar al-Zaidi) Julmud - Fel Bo2s [Ma3azef] Fawzi - Shader الشادر [BLTNM بلاتنم] aspen - Live v.1 [Self] Pletnev - Ninja Cuburru [KUMP] Basem Al Ali - Khala ya Khala [Takwene] Medusa - Neheb N3ch Hayati [Jakarta] DJ Stephan 20 Steph - Dabeekeh ft. DJ Boubker & Steff3Beatz [1Thousand&1Night] Logic1000 - Precision [SUMAC] SNØW - Move & Breathe ft. Serocee [More Time] Anunaku - Forgotten Tales [AD93] Monir – In Transit [Grief Into Rage] Moktar - Lemon [Steel City Dance Discs] Nancy Ajram - Ah W Noss [EMI]
La mysthique chanteuse égyptienne aux lunettes noires et foulard de soie a changé littéralement la face de la musique arabe. L'effet d'Oum Kalthoum se fait sentir au sujet de son amour à la poésie arabe. Elle a mis en chansons 70 poèmes qui sont les oeuvres de 30 poètes anciens et contemporains. Au programme de cet épisode : 1. Tour d'horizon de célébres chansons issues de la poésie arabe. 2. Comment ce répertoire incroyable a contribué à promouvoir l'arabe littéral ? 3. Quelles étaient les techniques de chant qu'Oum Kalthoum mettait en place pour avoir ce succès planètaire et durable ?
Depuis de nombreuses années, Donia Ismail voue une passion sans limite à Oum Kalthoum, Fairouz, Warda, Asmahan ou encore Sabah, celles qu'on appelle les Divas arabes. Ces dernières années, elle constate qu'elle n'est pas la seule à être fascinée par ces femmes. Autour d'elle, dans son entourage proche, sa famille ou encore à travers les réseaux sociaux, elle se rend compte que de nombreuses personnes de son âge, plutôt jeunes, qui n'ont jamais vu les Divas sur scène ou encore qui ne comprennent pas toujours ce qu'elles disent se réapproprient ces femmes d'exception. À travers cet épisode, Donia Ismail se pose la question : Pourquoi continuons-nous à aimer ces femmes ? Pour y répondre, elle part interviewer Hanna Boghanim, co-comissaire de l'exposition « Divas » à l'Institut du monde arabe présente jusqu'au 26 septembre 2021. [ 04min 34 à 09 min 13] Pour mieux savoir pourquoi ces femmes nous fascinent, Donia a essayé de comprendre le contexte dans lequel elles sont apparues et le rôle qu'elles ont joué avec la créatrice du podcast Vintage Arab et chercheuse indépendante, Hajer Ben Boubaker. [ 12 min44 à 31 min 22 ] Enfin, Donia rencontre la rédactrice en chef du Courrier de l'Atlas et autrice d'un futur roman graphique sur Oum Kalthoum, Nadia Hathroubi Saf-saf pour discuter de la diva mère : Oum Kalthoum. [ 33 min 55 à 54 min 50 ] Musiques : Générique : Mahmoud Darwich – Sajel ana arabi Mashrou'Leïla – Lil Watan Épisode :Love and Revenge x Sabah – Saat Saat [10 min 06 à 11 min 35] Fairouz – Li Beirut [20 min 43 à 22 min 30] Warda – Fi youm wa leïla [25 min 46 à 26 min 33] Nancy Ajram – Oult ana keda [31 min 53 à 32 min 58] Oum Kalthoum – Alf leïla wa leïla [38 min 31 à 39 min 31] Oum Kalthoum - Al atlal [47 min 42 à 51 min 04] Beyoncé – Diva [54 min 50 à 55 min 53] Love and Revenge x Asmahan – Emta [1h02] Archives : Gamal Abdel Nasser interviewer par la Radio Télévision Suisse en 1962. [17 min 03 à 17 min 20] Bruno Coquatrix à propos de l'Olympia d'Oum Kalthoum – INA Catalogue. [41 min 15 à 43 min 26] Remerciements :Nous remercions Hanna Boghanim, Hajer Ben Boubaker et Nadia Hathroubi Saf-saf d'avoir répondu à nos questions. Nous remercions Zakia pour ses confidences et sa musicalité. L'institut du monde arabe pour l'aide précieuse et Wael Koudiah de nous permettre d'utiliser sa musique tout au long de cet épisode. Soutenir Arabia Vox : Arabia Vox est un média indépendant. Soutenez-nous en partageant notre travail, en nous notant sur Apple Podcasts et en nous suivant sur nos réseaux sociaux : Instagram, Twitter, Facebook. CREDITS : Arabia Vox est un podcast original et indépendant. Journaliste et écriture : Donia Ismail. Réalisation et édition : Fatma Torkhani
Jusqu'au 26 septembre 2021, l'Institut du monde arabe à Paris met en scène une exposition passionnante rendant hommage aux Divas arabes, d'Oum Kalthoum à Dalida. Du Caire à Beyrouth, retrouvez ces icônes et artistes féministes du XXe siècle qui ont marqué l'âge d'or du cinéma, de la musique et de la danse du monde arabe. Clémentine Gallot et Kaoutar Harchi ont expérimenté ce voyage dans le temps et nous en parlent dans ce nouvel épisode. Les références entendues dans l'épisode : Warda (rose en arabe) est une chanteuse algérienne connue pour ses chansons dites sentimentales. Elle interprète également des chants patriotiques. Son répertoire compte plus de 300 chansons. Après avoir vendu des dizaines de millions d'albums, elle est considérée comme une diva de la chanson arabe.Oum Kalthoum, connue pour être la voix de l'Orient, est une chanteuse, musicienne et actrice égyptienne. Elle est considérée comme la plus grande chanteuse du monde arabe du XXème siècle. La nahda (ce qui signifie Renaissance en arabe) désigne un renouveau de la pensée, de la politique et des beaux-arts, qui a débuté au milieu du XIXe siècle au Moyen-Orient et s'est poursuivi jusqu'au milieu du XXe siècle.Nilwood, en référence à Hollywood égyptien, est l'âge d'or du cinéma égyptien du XXe siècle. Alice Guy est une réalisatrice, scénariste et productrice de cinéma française, ayant travaillé à la fois en France et aux États-Unis. Elle a réalisé plus de 600 films et a été également la première femme à la tête d'un studio américain à Fort Lee (New York), en 1912.Badia Masabni est une actrice, une danseuse orientale et une femme d'affaires libano-syro-égyptienne née d'un père libanais et d'une mère syrienne, connue pour l'ouverture d'une série de lieux de spectacle au Caire à partir des années 1920.Le sharqi est une danse orientale, originaire de l'Egypte, et non du Maghreb comme on peut souvent le penser (il s'agit là de danses spécifiques du Maghreb).Salma ya salama de Dalida (1977)Hoda Chaaraoui est une militante féministe égyptienne.Le Wafd est l'un des plus anciens partis politiques égyptiens. Wafd (qui signifie délégation) est le projet de délégation qui se transforme en parti sous l'impulsion de Saad Zaghloul.L'union féministe égyptienne était une organisation féministe égyptienne nationaliste et laïque fondée par Huda Sharawi, en 1923.Youssef Chahine est un réalisateur, scénariste et producteur égyptien. De réputation internationale, il a réalisé 40 films de fiction ou documentaires. Ses films les plus connus sont : Papa Amine (1950), Gare centrale (1958), La Mémoire (1982) et Le Sixième Jour (1986). Hind Rostom, nommée la Marilyn de l'Orient, est l'une des grandes icônes de l'âge d'or du cinéma égyptien. Flirt de jeunes filles d'Anwar Wagdi (1949)Quoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes. Rédaction en chef : Clémentine Gallot. Journaliste chroniqueuse : Kaoutar Harchi. Mixage par Laurie Galligani. Prise de son par Thibault Delage à l'Arrière Boutique. Générique réalisé par Aurore Meyer Mahieu. Réalisation, Montage et coordination par Ashley Tola.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Leur voix plongeaient le public en extase, elles étaient talentueuses, belles et portaient parfois un projet plus politique… Oum Kalthoum, Asmahan, Fayrouz ou Dalida… ces divas sont à lʹhonneur de lʹIMA à Paris. Une exposition quʹAriane Hasler a visité en compagnie de Lynn Adib, digne représentante de la nouvelle génération des chanteuses arabes. "Divas, dʹOum Kalthoum à Dalida", Institut du Monde Arabe jusquʹau 26 septembre 2021
Historiquement Vôtre réunit, à l'occasion de la Fête de la Musique, 3 artistes qui ont joué longtemps, très longtemps... Gustav Mahler qui a composé une “3e symphonie” qui dure plus d'une heure et demie - l'une des plus longues jamais créées, encore aujourd'hui, puis ""l'astre de l'Orient"" la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum, une diva qui électrisait les foules et dont une seule chanson, sur scène, pouvait aussi durer plus d'une heure ! Et un ""marathonien du son"" Chilly Gonzalès, un génie du piano qui détient le record du monde du plus long concert de tous les temps: 27 heures...
Stéphane Bern et Matthieu Noël, entourés de leurs chroniqueurs historiquement drôles et parfaitement informés, s'amusent avec l'Histoire – la grande, la petite, la moyenne… - et retracent les destins extraordinaires de personnalités qui n'auraient jamais pu se croiser, pour deux heures où le savoir et l'humour avancent main dans la main. Aujourd'hui, Oum Kalthoum.
On the Middle East with Andrew Parasiliti, an Al-Monitor Podcast
Raphael Cormack, visiting researcher at Columbia University, discusses his book, Midnight in Cairo; profiles the amazing women who shaped and dominated Egypt's music, theater, film, and cabaret scene in the early 20th century against the backdrop of dramatic political and social change; describes the rivalry between Mounira al-Mahdiyya and Oum Kalthoum, the two most popular entertainers of their times; and more.Privacy Policy and California Privacy Notice.
L'Institut du Monde Arabe à Paris rend hommage, jusqu'au 26 septembre 2021, aux plus grandes divas de la musique et du cinéma arabe du XXème siècle. Elles s'appellent Oum Kalthoum, Fayrouz, Warda, Hind Rostom, Asmahan ou Dalida. Leurs voix et leurs succès dans les cabarets, les music-halls et sur les écrans ont fait d'elles de véritables icônes. À travers des photos, des films, des enregistrements de disques et de concerts, d'émissions de télévision, mais aussi des costumes de scène et des effets personnels, l'Institut du Monde Arabe dévoile au grand public les parcours incroyables de ces femmes qui ont porté le message du féminisme, de la décolonisation, de la fierté nationale, parfois les trois en même temps du Caire à Paris, du Maghreb à Beyrouth. L'exposition « Divas, d'Oum Kalthoum à Dalida » est à visiter à l'Institut du Monde Arabe jusqu'au 26 septembre 2021. Reportage de Marjorie Bertin. Elle a rencontré Orlando, le frère de Dalida, qui fait vivre sa mémoire et sa musique depuis sa mort en 1987.
A new exhibition at the Arab World Institute in Paris is celebrating the divas of the region, from Oum Kalthoum to Dalida to Fairuz. These women were not just the greatest Arab artists of the 20th century – some of them were also pioneering feminists in deeply patriarchal societies. We give you a sneak peek of the exhibition, and delve into the ideas behind it, with co-curator Élodie Bouffard.
durée : 00:23:00 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Déambulation dans l'exposition " Divas, d’Oum Kalthoum à Dalida " à l'Institut du Monde Arabe, à Paris, en compagnie de la chanteuse, Natacha Atlas qui sort son nouvel album inspiré par une année de confinement, " The Inner & the Outer " - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Natacha Atlas chanteuse; Elodie Bouffard Commissaire d'exposition
durée : 00:23:00 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Déambulation dans l'exposition " Divas, d’Oum Kalthoum à Dalida " à l'Institut du Monde Arabe, à Paris, en compagnie de la chanteuse, Natacha Atlas qui sort son nouvel album inspiré par une année de confinement, " The Inner & the Outer " - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Natacha Atlas chanteuse; Elodie Bouffard Commissaire d'exposition
durée : 00:08:00 - Dans la playlist de France Inter - par : Jean-Baptiste AUDIBERT, Thierry Dupin, Muriel Perez, Julien Deflisque - Depuis le 19 mai et jusqu’au 26 septembre, une exposition à laquelle France Inter est associée se tient à l’Institut du monde arabe, à Paris, sous le titre "Divas : d’Oum Kalthoum à Dalida".
durée : 01:59:13 - Musique matin du lundi 17 mai 2021 - par : Jean-Baptiste Urbain - Du 19 mai au 26 septembre, l'Institut du Monde Arabe présente une exposition sur les chanteuses de "l'âge d'or" de la chanson arabe. Oum Kalthoum, Laila Mourad, mais aussi la jeune Dalida, l'exposition retrace la vie de ces icônes féministes, dans le contexte des sociétés arabes d'après-guerre. - réalisé par : Yassine Bouzar
Die Zeit zwischen 1920 und 1970 gilt als eine Glanzzeit der arabischen Welt. Die Ausstellung "Divas" in Paris zeigt, wie politisch die weiblichen Stars dieser Epoche waren und welchen Einfluss sie bis heute auf Kunst und Gesellschaft haben. Von Martina Zimmermann www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit Hören bis: 19.01.2038 04:14 Direkter Link zur Audiodatei
The final episode of a two-part series featuring the music of cities where Dylan did not record his studio albums. Part two emphasizes important recording centers throughout the globe, whereas part one last week focused on cities in the United States. Who could summarize the wonderful sounds we play in this show? You'll just have to listen to find out! In "20 Pounds of Headlines," we round up news from the world of Bob Dylan and in "Who Did It Better?" we ask you who did "Can't Escape From You" better: Bob Dylan as recorded in Dublin or the Peter Viskinde Band as recorded in Copenhagen? RIP Peter Viskinde.
Bonjour à tout.e.s, bienvenue dans ce nouvel épisode de GéogrAfrica !
La flûtiste et compositrice Naïssam Jalal invente une musique riche et inspirée qui reflète sa quête identitaire, ses recherches de sens et de sons et sa foi en l’amour. Le site de Naïssam Jalal Son identité française et arabe, sa sensibilité jazz, son éducation classique, ses passions hip hop et funk, ses désirs de liens et de silences, rien n’est vraiment le fruit du hasard, tout s’inscrit dans un élan global, ouvert sur le monde visible et les univers invisibles. Elle est une trajectoire solide et sincère qui, de la colère aux rêves, ne néglige aucune émotion. Naïssam Jalal est née en banlieue parisienne de parents artistes peintres. De ces formes et de ces lignes, il n’y a qu’un pas pour réveiller la musique. Ils chantent l’un et l’autre, et entraînent leur fille à l’unisson ou en canon, l’inscrivent au jardin musical puis au Conservatoire. Au premier son, au premier éclat lumineux sur l’instrument à la posture immémoriale, son choix se pose une fois pour toutes sur la flûte traversière. Dès l’enfance, elle étudie la musique classique, adolescente découvrant d’autres musiques, elle se tourne provisoirement vers la guitare. À l’époque, elle n’aime pas le jazz. La musique arabe et les chants d’Oum Kalthoum ou de Faïrouz qui, souvent, résonnent dans la voiture familiale l’horripilent. À ses oreilles formatées par le système tempéré occidental, les voix de ces monuments de la musique arabe contemporaine sonnent faux. À 17 ans, diplôme du Conservatoire en poche, elle est bien décidée à découvrir d’autres grammaires. Lors du vernissage d’une exposition paternelle, un mai lui lance le défi d’improviser. Elle essaye et le miracle opère. De vieilles émotions enfouies surgissent et un grisant sentiment de liberté se réveille. Elle se fait le serment de devenir musicienne professionnelle. Peu après, elle plonge dans l’aventure funk de la fanfare Tarace Boulba. À 18 ans, elle prend le large pour entamer sa quête identitaire et part pour la Syrie de ses ancêtres, étudier le nay au Grand Institut de musique arabe de Damas. Naïssam y découvre un autre monde musical, dans lequel on se délecte de quarts de tons. Plus la musique flotte dans ses oreilles et dérange les acquis de sa formation classique, plus elle en comprend l’âme magnifique. Puis elle s’envole vers l’Égypte. Rapidement, elle rencontre Abdo Dagher, immense violoniste de musique classique arabe et musicien d’Oum Kalthoum et d’Abdel Wahab. Il la prend sous son aile, lui enseigne son art, elle en acquiert les subtilités et découvre l’importance de silence qui, chez les chanteurs-récitants du Coran par exemple, approfondit le sens et sublime la note. Au bout de 3 ans, elle rentre en France, transformée. Elle entreprend des études de philosophie à l’Université Paris 8 et court les jams sessions. Son jeu de flûte séduit Hilaire Penda, Cheick Tidiane Seck, Mamani Keïta ou Moh Kouyaté. Elle fait alliance avec le rappeur libanais Rayess Bek, voyage et découvre le Liban où elle rencontre Osloob, un chanteur rappeur et beatboxeur palestinien ave lequel elle dessine un duo qui s’appellera plus tard Al Akhareen. En 2011, elle décide de monter son propre groupe Rhythms of Resistance, et Un Autre Monde est le 3ème et double album du quintet, enregistré pour moitié avec l’Orchestre National de Bretagne. Titres joués dans l’émission - Paysages de notre destin avec l’Orchestre national de Bretagne (album Un autre Monde 2021) - Un sourire au cœur avec l’Orchestre national de Bretagne voir le clip (album Un autre Monde 2021) - Buleria Sarkhat Al Art avec 5tet Rhythms of Resistance voir le clip (album Un autre Monde 2021) - Am Abdo Naïssam Jalal feat. Abdo Dagher (album Om Al Aagayeb 2019) - Samaaï Al Andalus avec 5tet Rhythms of Resistance (album Un autre Monde 2021). Playlist de Naïssam Jalal - Dawayer Osloob (album Dawayer 2020) voir le clip - Ashhad Ya 3alam Al Aasheqin - Oh lord Bring Apartheid crashing down Dimi Mint Abba - Baje Re Muraliya Baje Bhimsen Joshi et Lata Mangeskar.
Aujourd'hui dans JINS, vous avez le droit à 2 épisodes consécutifs. Pour cause, la richesse d’un sujet fabuleux et fantasmagorique, celui des musiques arabes ; et ce, sans perdre de vue la thématique principale de JINS, la sexualité des personnes Arabes et/ou musulmanes. Parce que, vous allez le découvrir, la chanson et l’art musical arabe est truffé de références à l’amour, à la sensualité, au genre et à la sexualité. L’érotisme chanté ou récité dans les styles musicaux arabes comme les gnaouas, le melhoune, la aïta, le raï algérien, le chaâbi marocain, mais aussi la taqtuqa égyptienne… On va parler du concept de tarab, des almées de l’époque pré-coloniale, des cheikhates marocaines, du visage imberbe des chanteurs moyen-orientaux, de la sexualité peu claire d’Oum Kalthoum, et des musiques arabes aujourd’hui écoutées en France… Pour commencer, j’ai eu la chance d’interroger un universitaire spécialiste de la question, Fréderic Lagrange. Il est professeur des universités, directeur de l’UFR d’Études Arabes et Hébraïques, Université Paris- Sorbonne (Paris IV). Il est notamment l’auteur de Islam d’interdits, Islam de jouissances, publié en 2008. Ses travaux portent sur trois domaines distincts — qui parfois se rencontrent : l’histoire des pratiques musicales et des textes chantés au Moyen-Orient et particulièrement en Égypte ; la représentation et la construction du genre et des transgressions dans la littérature arabe, médiévale comme moderne ; les représentations littéraires de l’oralité et les jeux diglossiques dans l’écrit contemporain. « L’érotisation du corps chantant émerge vraiment à partir des années 80. Le corps qui chante devient alors un corps désirable. » --- Frédéric Lagrange Si vous voulez bouquiner
Chanteuse, musicienne, actrice et bien plus encore… Elle est considérée comme l'une des plus grandes voix du monde arabe. Maria Callas disait d'elle qu'elle avait une voix incomparable. Après la guerre de 1967, une mini-tournée est organisée. Celle que certains surnommaient "la Cantatrice du Peuple" se produit à Paris, sur la mythique scène de l'Olympia. Et l'intégralité des bénéfices sont reversés au gouvernement égyptien. Oum Kalthoum meurt au Caire le 3 février 1975, accompagnée, une dernière fois, par des milliers de personnes dans les rues de la capitale égyptienne.
Plongez dans les anecdotes historiques et insolites de l'univers musical dans "Le Saviez-Vous?" avec Berthe D-wa Tanwo Njole dans Au Coeur de la Musique avec Jamal Fadil sur AraBel.fm.Des pays du Golfe au Maroc, Oum Kalthoum a été pour beaucoup d'arabes celle qui sut les réunir au-delà de leurs divisons.Son chant plongeait les foules en état de transe. Tous les premiers jeudis de chaque mois, elle donnait au théâtre du Caire un récital, qui était retransmit par toutes les radios arabes et elle pouvait chanter sur scène jusqu'à cinq ou six heures d'affilée avec seulement deux ou trois chansons à son répertoire. Des chansons d'amour avec de nombreuses reprises à la demande du public, avec sans cesse de nouvelles nuances, des interprétations dans lesquelles elle laissait libre cours à son inspiration.Le Saviez-Vous ?Sans Aucun Tabou Musical!www.aucoeurdelamusique.eu
La création du Wydad fut très difficile. En effet le contexte était marqué par le protectorat français du Maroc. L'origine de sa création est synonyme à celle du club omnisports, en effet car durant cette époque le port de Casablanca était entouré de plusieurs piscines et pour y accéder il fallait faire partie d'un club mais les clubs étaient tous dirigés par des colons. À partir de la saison 1935-1936, plusieurs Marocains musulmans purent y profiter des piscines de la ville en s'inscrivant bien sûr dans ses clubs. Mais le nombre de Marocains augmenta rapidement ce qui a inquiété les autorités françaises qui renvoyèrent les "indigènes" des clubs. C'est après cet événement qu'est venue l'idée de créer un club cent pour cent marocain. Mais ce ne fut pas très facile car après plusieurs demandes aux autorités françaises pour la création du club, demandes qui furent chaque fois sans réponse, les benjellouns les futurs présidents du Wydad décidèrent de contacter l'association franco-marocain et c'est là que le résident général Nogues intervint personnellement pour autoriser la création du Wydad. Ainsi fut créé le Wydad Athletic Club le 8 mai 1937. L'origine du nom Wydad est à ce jour inconnu, en effet plusieurs historiens apportent leurs explications mais celle de l'historien Ahmed Lahrizi, auteur du livre L'épopée du Wydad, est la plus connue est répandue selon celle-ci, lors de la toute première réunion du premier comités du Wydad, une personne manquait à l'appel, Mohamed Benjelloun qui est arrivé en retard car il regardait le dernier film de la grande cantatrice arabe, Oum Kalthoum intitulé : Wydad (Amour) et c'est ainsi que le premier club marocain de l'histoire fut appelé Wydad Athletic Club. La première section du Wydad de Casablanca fut celle de water-polo et après une proposition du tout premier président du Wydad, Mohamed Benjelloun, il fut décidé de créer plusieurs autres sections et c'est ainsi grâce à cette initiative que la section football du Wydad fut créé en 1937. Histoire du Wydad racontée par Aziz Mustaphi --- Send in a voice message: https://anchor.fm/aziz-mustaphi/message
Retour à l’âge d’or du monde arabe. Nous sommes au début des années 60 et le président égyptien, Gamal Abdel Nasser a un rêve celui de mener le monde arabe uni vers le modernisme et la prospérité. Le symbole musical de ce rêve est Oum Kalthoum, la diva qui fait délirer les foules arabes avec sa chanson «Enta Omri».
durée : 01:25:03 - Les Nuits de France Culture - Nuits magnétiques - L'étoile de l'Orient : Oum Kalthoum (1ère diffusion : 05/02/1985)
I literally had goosebumps several times during this conversation: from months at an ICU and wheelchair recovery, to an active dance career, marathon running, and becoming a crossfit athlete! Are you ready for an incredible story from a phenomenal woman? Please welcome Katerina Shereen, who performed at the most glamorous events with such guests as Elton John, Sharon Stone and royal families who came to London every summer. Katerina became the special dancer for the birthday of Her Majesty the Queen of Brunei. The biggest benefit though was to work with amazing Arabic musicians who worked with Oum Kalthoum and Abdal Halim Hafez or played for legends such as Fifi Abdo and Nagua Fouad.In this interview you will hear about:- The scene of belly dance education: festivals vs intensives, and what goals each type of event serves,- Tips on how to choose wisely which dance event to invest your money in- Katerina’s story of a leg injury due to a doctor’s mistake, and her recovery path- The importance and power of the mindset to never give up- What skills you are missing to get a successful, joyful and long-term dance careerShow Notes to this episode:Thank you for supporting the Belly Dance Life Podcast via our Patreon page!Follow Katerina Shereen on Instagram, FB, Youtube.Follow Iana on Instagram, FB, Youtube, website .Bellydance Evolution and information about their new program and casting: bellydanceevolution.comPodcast: www.ianadance.com/podcast
Es casi más una rock star que un jazzista y ha hecho popular la trompeta de cuartos de tono que inventara su padre. El pasado jueves 1 de marzo estrenó en Washington DC su "Levantine Symphony No.1". Conversación con el trompetista libanés Ibrahim Maalouf, músico polifacético que ha ido desarrollando una carrera de compositor de música de cine en paralelo a sus proyectos más jazzísticos y populares, como el que recientemente ha dedicado a la música de la cantante Dalida, con colaboraciones de Monica Bellucci, Rokia Traoré y Mika, entre otros. A lo largo de esta edición de 'Club de Jazz' del 6 de marzo de 2018 escuchamos música del disco dedicado a Oum Kalthoum, también del disco Red & Black Light, la banda sonora de Yves Saint Laurent o su colaboración con la big band de la radio de Frankfurt. Toda la información y derechos: http://www.elclubdejazz.com
Es casi más una rock star que un jazzista y ha hecho popular la trompeta de cuartos de tono que inventara su padre. El pasado jueves 1 de marzo estrenó en Washington DC su "Levantine Symphony No.1". Conversación con el trompetista libanés Ibrahim Maalouf, músico polifacético que ha ido desarrollando una carrera de compositor de música de cine en paralelo a sus proyectos más jazzísticos y populares, como el que recientemente ha dedicado a la música de la cantante Dalida, con colaboraciones de Monica Bellucci, Rokia Traoré y Mika, entre otros. A lo largo de esta edición de 'Club de Jazz' del 6 de marzo de 2018 escuchamos música del disco dedicado a Oum Kalthoum, también del disco Red & Black Light, la banda sonora de Yves Saint Laurent o su colaboración con la big band de la radio de Frankfurt. Toda la información y derechos: http://www.elclubdejazz.com
Una institución viva del jazz, el baterista Andrew Cyrille, reúne a Bill Frisell (guitarra), Ben Street (contrabajo) y Richard Teitelbaum (piano y sintetizadores) para ofrecer "The declaration of musical independence". En esta edición de 'Club de Jazz' del 14 de octubre de 2016, declaramos nuestra dependencia de la música escuchando buena música, como la de "Ida Lupino", trabajo que reúne a dos jóvenes maestros del jazz italiano, el pianista Giovanni Guidi y el trombonista Gianluca Petrella, con el veterano maestro francés Louis Sclavis (clarinete) y con el baterista USAmericano Gerald Cleaver. Además, "The inner spectrum of variables", ambicioso proyecto del baterista Tyshawn Sorey con técnicas de conducción; estreno del Elda Trio, con Emilia Martensson (voz), Janez Dovc (acordeón) y Adriano Adewale (percusión). Para abrir, la inspiración de la gran diva egipcia Oum Kalthoum en la música de la Piccola Orchestra Gagarin y en el proyecto "Kalthoum" del trompetista libanés Ibrahim Maalouf. Toda la información y derechos: http://www.elclubdejazz.com
Una institución viva del jazz, el baterista Andrew Cyrille, reúne a Bill Frisell (guitarra), Ben Street (contrabajo) y Richard Teitelbaum (piano y sintetizadores) para ofrecer "The declaration of musical independence". En esta edición de 'Club de Jazz' del 14 de octubre de 2016, declaramos nuestra dependencia de la música escuchando buena música, como la de "Ida Lupino", trabajo que reúne a dos jóvenes maestros del jazz italiano, el pianista Giovanni Guidi y el trombonista Gianluca Petrella, con el veterano maestro francés Louis Sclavis (clarinete) y con el baterista USAmericano Gerald Cleaver. Además, "The inner spectrum of variables", ambicioso proyecto del baterista Tyshawn Sorey con técnicas de conducción; estreno del Elda Trio, con Emilia Martensson (voz), Janez Dovc (acordeón) y Adriano Adewale (percusión). Para abrir, la inspiración de la gran diva egipcia Oum Kalthoum en la música de la Piccola Orchestra Gagarin y en el proyecto "Kalthoum" del trompetista libanés Ibrahim Maalouf. Toda la información y derechos: http://www.elclubdejazz.com
OUM KALTHOUM raccontata da Francesca Biancani
This episode is dedicated to the great Mr. Owain Phyfe, who has inspired me in so many ways since discovering his work now many, many moons ago. The picture below is exactly how I remember him; the day I first plowed dreamy-eyed but determinedly through the VA Renaissance fair, to find out where that -enchanting- music was coming from. And ever since, I have been positively captivated by his incredible voice, his passionate, unique creations, and his lyrical style. To my knowledge, Mr. Phyfe was a self-taught musician, ancient & medieval linguist and surely, a scholar, and for that, he blows me away even more.Sadly, he passed this year due to pancreatic cancer, but his memory, through his artistry and pure, captivating music, will live on. Thank you for your song, Mr. Phyfe. You were the first and only real bard I think I've ever met, and you inspire me to this day. ♥♥♥On a brighter note, I'd also like to give a shout-out to Madlenka, Bagoas, Mavi, Nina Amaya, and my other friends who're currently attending the Darbukastani Independence Days celebration this weekend. :D I wish I could be with you all, but my hips are shimmying in time with your music and my spirit is with y'all, wherever we each may be. :) ♥♥♥..Now, on to the music! If you cannot see the audio controls, your browser does not support the audio element Click here to play in a new tab, or right click "Save As" to download the full show- for free!Band Names = Links to each band's official web site, where available).Song Names = Links to where you can BUY each musician's work- LEGALLY. :DBackground Music: Jennifer Cutting's Ocean Orchestra - Curry the Haggis1. The New World Renaissance Band - A La Una (Yo Naci)2. E Muzeki - Jeru3. Corvus Corax - Filii Neidhardi4. Shira Kammen- Son Ar Sistr5. Oum Kalthoum - Ya Bahjat El Eid6. Maya Naim - Laylat Hob7. Googoosh - Pishkesh8. Setrak - Habbeyna Habbeyna9. Haifa Wehbe - Sanara10. Moshav - Abba Shimon11. Rasheem - Agmal Ma Shafet Aien12. Hengameh - Doaa ♥This episode baaaarely happened, so I'm SUPER stoked that it's finally HERE! XD (First I was having one HECK of a time w/choosing what songs should be played and where, and then we had three, count 'em, THREE power outages on the day the show was supposed to be done, so I was goin' NUTS! *lol*) But it's alll good now, and I hope you like the results. :) (Which are alll work and kid safe, btw. ^_^)For those of you who like the more traditional style of bellydance music, this show is for YOU. (Though there should be something for everyone here, thanks to the styles and artists featured. :D So even if you're a Tribal goddess or Fusion fanatic, or if ya just prefer your music to have a more modern twist, there's something in here for you, too. :))This episode has something of a time-traveling theme, as it takes you from medieval and renaissance-inspired music from around the world, to "classical" Middle Eastern music (created in the mid-to-late 20th century), all the way up to discoteque tunes you might hear in the Middle East today. :) We've got a little Corvus Corax, some of the great Oum Kalthoum, as well as a touch of the stars, courtesy of Googoosh, Hengameh & Haifa Wehbe. :) But no matter WHAT era the music is from, I hope it -all- inspires you, uplifts you, and makes you wanna dance (even if it's just in your mind, in your car, in your office, or in front of the stove while cookin' dinner ;)). ♥Yours Forever In Song,--DJ Selchie♥☼♥
This episode is dedicated to the great Mr. Owain Phyfe, who has inspired me in so many ways since discovering his work now many, many moons ago. The picture below is exactly how I remember him; the day I first plowed dreamy-eyed but determinedly through the VA Renaissance fair, to find out where that -enchanting- music was coming from. And ever since, I have been positively captivated by his incredible voice, his passionate, unique creations, and his lyrical style. To my knowledge, Mr. Phyfe was a self-taught musician, ancient & medieval linguist and surely, a scholar, and for that, he blows me away even more. Sadly, he passed this year due to pancreatic cancer, but his memory, through his artistry and pure, captivating music, will live on. Thank you for your song, Mr. Phyfe. You were the first and only real bard I think I've ever met, and you inspire me to this day. ♥♥♥On a brighter note, I'd also like to give a shout-out to Madlenka, Bagoas, Mavi, Nina Amaya, and my other friends who're currently attending the Darbukastani Independence Days celebration this weekend. :D I wish I could be with you all, but my hips are shimmying in time with your music and my spirit is with y'all, wherever we each may be. :) ♥♥♥..Now, on to the music! If you cannot see the audio controls, your browser does not support the audio element Click here to play in a new tab, or right click "Save As" to download the full show- for free!Band Names = Links to each band's official web site, where available).Song Names = Links to where you can BUY each musician's work- LEGALLY. :DBackground Music: Jennifer Cutting's Ocean Orchestra - Curry the Haggis1. The New World Renaissance Band - A La Una (Yo Naci)2. E Muzeki - Jeru3. Corvus Corax - Filii Neidhardi4. Shira Kammen- Son Ar Sistr5. Oum Kalthoum - Ya Bahjat El Eid6. Maya Naim - Laylat Hob7. Googoosh - Pishkesh8. Setrak - Habbeyna Habbeyna9. Haifa Wehbe - Sanara10. Moshav - Abba Shimon11. Rasheem - Agmal Ma Shafet Aien12. Hengameh - Doaa ♥This episode baaaarely happened, so I'm SUPER stoked that it's finally HERE! XD (First I was having one HECK of a time w/choosing what songs should be played and where, and then we had three, count 'em, THREE power outages on the day the show was supposed to be done, so I was goin' NUTS! *lol*) But it's alll good now, and I hope you like the results. :) (Which are alll work and kid safe, btw. ^_^)For those of you who like the more traditional style of bellydance music, this show is for YOU. (Though there should be something for everyone here, thanks to the styles and artists featured. :D So even if you're a Tribal goddess or Fusion fanatic, or if ya just prefer your music to have a more modern twist, there's something in here for you, too. :)) This episode has something of a time-traveling theme, as it takes you from medieval and renaissance-inspired music from around the world, to "classical" Middle Eastern music (created in the mid-to-late 20th century), all the way up to discoteque tunes you might hear in the Middle East today. :) We've got a little Corvus Corax, some of the great Oum Kalthoum, as well as a touch of the stars, courtesy of Googoosh, Hengameh & Haifa Wehbe. :) But no matter WHAT era the music is from, I hope it -all- inspires you, uplifts you, and makes you wanna dance (even if it's just in your mind, in your car, in your office, or in front of the stove while cookin' dinner ;)). ♥Yours Forever In Song,--DJ Selchie♥☼♥
- flamencogitarist Moraíto Chico - Zangeres Ghalia Benali zingt Oum Kalthoum - De televisiepremière: het Simons ensemble speelt Simons Moraíto Chico is de artiestennaam van Manuel Moreno Junquera en hij is zonder enige twijfel de belangrijkste en meest veelzijdige en veelgevraagde gitarist uit de flamencoschool van Jerez(Spanje). Hij opent het programma en geeft een kleine [...]