Podcasts about crainte

  • 283PODCASTS
  • 541EPISODES
  • 22mAVG DURATION
  • 5WEEKLY NEW EPISODES
  • May 19, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about crainte

Latest podcast episodes about crainte

Le journal de la nuit
Présidence LR / B.Retailleau : «Je ne suis pas sûr que par crainte d'une victoire potentielle de Mélenchon [en 2027] les électeurs du RN puissent se tourner vers Retailleau»

Le journal de la nuit

Play Episode Listen Later May 19, 2025 8:45


Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'entretien de Sonia Mabrouk
Narcotrafic : «La crainte, c'est que ces réseaux se retournent contre les Institutions», souligne Laurent Nunez

L'entretien de Sonia Mabrouk

Play Episode Listen Later May 15, 2025 17:11


Laurent Nunez, préfet de police de Paris, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet d'un youtubeur allemand qui propose une visite guidée des points de deals dans un quartier nîmois, de la gangrène du narcotrafic et du crime organisé, de la maîtrise de l'immigration, de la tentative de kidnapping dans le 11 ème arrondissement de Paris qui a visé cette femme et son enfant issue d'une famille dans les cryptomonnaies et de scènes de violence en marge de la victoire du PSG en demi-finale de Ligue des Champions. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le zoom de la rédaction
Après le meurtre d'Aboubakar Cissé, la crainte de voir l'islamophobie progresser

Le zoom de la rédaction

Play Episode Listen Later May 14, 2025 4:21


durée : 00:04:21 - Le Zoom de France Inter - Près de trois semaines après la mort d'Aboubakar Cissé, jeune Malien assassiné dans la mosquée du Gard qu'il fréquentait, le choc dans la communauté musulmane du pays reste vif, dans un climat que beaucoup décrivent comme délétère. Entre colère et surtout inquiétude. Reportage à Bordeaux.

Les matins
Crainte de pénurie de matcha : l'engouement pour cette poudre de thé vert interroge le modèle agricole japonais

Les matins

Play Episode Listen Later May 13, 2025 6:13


durée : 00:06:13 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Des Etats-Unis à l'Inde, en passant par l'Arabie Saoudite, l'engouement pour le matcha grandit à l'échelle mondiale, au point de faire craindre une pénurie cette poudre de thé vert vif. Ce phénomène interroge nos modes de consommation et le modèle agricole au Japon, principal producteur de matcha.

Invité Afrique
En RDC, «la situation se stabilise de plus en plus à Goma, mais la crainte est encore sur la table», dit Patrick Youssef du CICR Afrique

Invité Afrique

Play Episode Listen Later May 12, 2025 10:09


Quel est le vrai bilan de la bataille de Goma, en janvier dernier, dans l'est de la RDC ? Trois mois après la prise de cette ville par les rebelles du M23, où en est la situation humanitaire ? Patrick Youssef est le directeur régional pour l'Afrique du Comité International de la Croix Rouge (CICR). De retour d'une mission en RDC, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.  RFI : Quelque 100 jours après la prise de Goma par le M23, est-ce que la situation humanitaire est toujours aussi grave ou est-ce que les choses s'améliorent ? Patrick Youssef : la situation se stabilise de plus en plus. Évidemment, les bombardements et la conduite des hostilités ne sont plus à la même cadence à Goma et ailleurs. Mais la crainte, effectivement, que ça se dégrade encore est bien sûr sur la table.À la fin du mois de janvier, la ville de Goma est tombée après plusieurs jours de combats qui ont fait 3000 morts selon l'ONU et 600 morts selon les rebelles du M23. Quel est le vrai bilan d'après vous ? Ce que nous pouvons dire, c'est que nos équipes sur le terrain ont été témoin des conséquences humanitaires de ce conflit, que ce soient les morts, les blessés. Je pense que je n'ai jamais entendu un constat aussi dur de la part de nos collègues, ainsi que des volontaires de la Croix-Rouge de la RDC, qui nous ont raconté l'exploit et la difficulté de récolter les dépouilles mortelles et d'enterrer plus que 1000 corps. Donc, je ne connais pas les chiffres, mais les hôpitaux étaient déjà bien saturés et certainement les morgues ont suivi. Donc, je confirme que les chiffres sont très très difficiles à avoir à ce stade.Mais en tout cas, au moins 1000 corps ont été ramassés dans les rues de Goma ? Beaucoup plus, je pense. C'était juste cette action-là. Mais je n'ai pas les chiffres, bien sûr.Les personnes tuées à Goma sont des combattants, a affirmé le M23. Qu'en pensez-vous ? Évidemment, il y a des morts et des blessés dans les rangs des militaires, mais aussi des civils. Le nombre de blessés accueillis dans les établissements médicaux soutenus par le CICR a explosé sous ce flux massif. On entend de nos collègues que les bandages étaient coupés en trois. Les médicaments administrés dans le bloc opératoire étaient réduits. Le premier trimestre 2024 avait été marqué par d'intenses combats dans l'Est de la RDC. On avait 860 patients admis. Mais en 2025, ces chiffres ont explosé. Il y a eu trois fois plus d'admissions, autour de 2350 patients dans les quatre centres de soins de santé soutenus par le CICR.En mars dernier, à Goma, quelques 130 soldats congolais qui avaient été blessés dans les combats auraient été arrachés de leurs lits d'hôpital par le M23, disent les Nations unies. Est-ce que vous confirmez ? En fait, le rôle du CICR se limite vraiment à appuyer les structures qui offrent des soins nécessaires dont les blessés ont besoin. Bien sûr, cet événement est tragique. Le CICR n'a aucune manière de contrôler l'accès aux hôpitaux qu'il soutient avec des équipes chirurgicales. Nos équipes médicales sont là pour fournir simplement des soins aux patients, mais n'ont pas les moyens d'empêcher effectivement le transfert des blessés ou de leur garde-malade.Est-ce que vous avez des nouvelles de ces quelques 130 soldats congolais disparus ? C'est toujours un dialogue en cours effectivement avec les parties concernées. Comme vous le savez, c'est le cœur de notre travail. C'est le but d'engager un dialogue pour effectivement que ces violations ne se répètent pas.Depuis sa création, il y a bientôt 200 ans, en 1864, la Croix-Rouge s'occupe aussi des prisonniers de guerre. Est-ce que vous avez pu en visiter beaucoup depuis le début de l'année ? Oui, effectivement. Je confirme que cette action est très importante pour le CICR en termes d'accès et en termes de visites répétées par le CICR. C'est d'ailleurs un des sujets qui a été abordé par la présidente du Comité international de la Croix-Rouge lors de sa visite récente à Kinshasa, pour effectivement non seulement améliorer l'accès, mais effectivement travailler avec les autorités pour l'amélioration des conditions. Nous avons vraiment un espoir, s'il y a d'autres arrestations, que le CICR soit effectivement informé et que cette action puisse être accomplie.Depuis la prise de Goma au mois de janvier, des centaines de militaires congolais, mais aussi burundais, ont été capturés par les rebelles du M23, notamment à Goma et à Saké. Est-ce que vous avez de leurs nouvelles ? Ce n'est pas forcément opportun pour nous de parler de notre action publiquement. Ce qu'on peut dire, c'est que c'est une question extrêmement sensible. On y travaille. De manière générale, on a accès à plein de détenus. Dans ce cas, on y travaille encore. Donc, on a ce dialogue avec l'ensemble des parties et on espère effectivement que l'accès, qui n'est pas encore à un niveau satisfaisant, continue à s'améliorer, comme il y a déjà eu du progrès récemment.Et donc, vous avez pu rassurer des familles de prisonniers ? À chaque fois que nous rencontrons un prisonnier, que nous proposons les services de messages Croix-Rouge, effectivement, on avise effectivement les familles et, dans ce cas précis, on a eu énormément de contacts justement avec, que ça soit des détenus ou des membres de famille, selon les visites, bien sûr !Des familles congolaises ?Oui, bien sûr !Et des familles burundaises ?Je n'ai pas cette information.À lire aussiEst de la RDC: «Plus de 900 corps ont été enterrés par la Croix-Rouge et le CICR»

Grand angle
En Syrie, la crainte d'une radicalisation du pouvoir après des attaques visant le monde de la nuit

Grand angle

Play Episode Listen Later May 7, 2025 2:10


durée : 00:02:10 - Le grand format - En Syrie, le week-end a été émaillé de violences ciblant le monde de la nuit à Damas. Des groupes armés pour le moment non identifiés ont tiré sur la foule, tandis que le nouveau gouvernement menace de fermer certains bars. Certains Syriens y voient le signe d'une radicalisation du pouvoir.

Chronique des Matières Premières
Par crainte de manquer de cuivre, la Chine relève sa prime à l'achat

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later May 1, 2025 2:04


La Chine pourrait-elle manquer de cuivre ? C'est en tout cas ce que certains acheteurs semblent craindre. Ils se démènent pour sécuriser leur approvisionnement. Pour s'assurer d'être couverts, les importateurs chinois sont prêts à payer plus cher.  La prime payée par les acheteurs, en plus du prix fixé par les cours, est un bon indicateur de leurs besoins. En Chine, et plus précisément dans le port de Yanshan de Shangaï qui est une des portes d'entrée du cuivre, cette prime est passée de 35 dollars la tonne en février à 94 dollars cette semaine, selon l'agence Bloomberg. Les acheteurs chinois n'ont jamais payé autant depuis fin 2023.La hausse de cette prime illustre une tension sur le marché, alimentée par la baisse des stocks dans les entrepôts : selon les données de la bourse aux métaux de Shangaï, ils auraient chuté de près de 55 000 tonnes en une semaine, soit la plus forte baisse hebdomadaire enregistrée. Pour atteindre 116 800 tonnes la semaine dernière, selon le Financial Times. Selon le journal Mercuria, un négociant en métaux, estime qu'ils pourraient s'épuiser d'ici mi-juin. Concurrence des États-UnisSi les Chinois se démènent pour importer du cuivre, c'est que les États-Unis sont devenus des concurrents inattendus ces derniers mois sur le marché. Les acheteurs américains, mais aussi les traders, ont acheté beaucoup plus de métal rouge qu'en temps normal, par peur d'éventuels droits de douane. Sur la place boursière de New York (COMEX) le cuivre s'est négocié ces dernières semaines jusqu'à 1 600 dollars par tonne de plus que le prix de la bourse de Londres (LME). Cela a logiquement attiré ceux qui avaient du cuivre à vendre.Le niveau des stocks dans les entrepôts de la bourse américaine ont atteint leur plus haut niveau depuis 2018. Ce flux inhabituel de cuivre vers les États-Unis a commencé à inquiéter la Chine, gros consommateur de cuivre. La Chine acheteuse de cuivre et de ferraille Le pays est un des grands acheteurs de cuivre, mais aussi de ferraille de cuivre, qui pourrait, un jour ou l'autre, faire l'objet d'éventuelles taxes américaines. Les Chinois sont sur le qui-vive, car en 2024, ils ont absorbé la moitié de la ferraille que les États-Unis ont exportée, selon l'agence Fastmarkets.Les fêtes du 1er-Mai et les cinq jours de pause qui vont avec en Chine devraient cependant ralentir l'agitation ambiante autour du métal rouge. D'autant que les indicateurs économiques ne sont pas fabuleux dans le pays, notamment ceux du secteur manufacturier qui sont moins bons que prévu.La demande en cuivre pourrait ne pas être si forte que cela finalement, de quoi calmer les esprits si cela se confirme et mettre fin peut-être à la course aux primes chez les grands acheteurs de cuivre du marché.À lire aussiLes taxes Trump font grimper les prix de plusieurs métaux par anticipation

On marche sur la tête
Eliot Deval - Attaques contre des prisons : «Il y a évidemment une crainte, chez ces 50 000 membres de l'administration pénitentiaire, d'être ciblés», explique Jules Torres

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Apr 23, 2025 22:12


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent des inquiétudes contre plusieurs prises en France et qui continuent de multiplier. Que doit faire l'Etat ? Faut-il envoyer l'armée pour assurer la sécurité ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Podcast Torah-Box.com
Haftara Chémini : L'amour cadré par la crainte

Podcast Torah-Box.com

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 33:26


Cours vidéo de 34 minutes donné par Rav Yechaya ARROUAS.

L'heure du crime
LE SUPPLÉMENT - "J'ai la crainte de découvrir le pire" témoigne la mère de Julie Michel

L'heure du crime

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 11:05


INÉDIT - Betty Lefèbvre recherche désespérément sa fille aînée depuis plus de douze ans. Julie Michel s'est volatilisée sur la route de ses vacances à l'été 2013, depuis plus aucun signe de vie de la jeune femme. Aujourd'hui l'enquête repart. Dans ce podcast inédit, découvrez un supplément de l'émission de L'heure du crime. Questions oubliées, ou qui n'ont pas pu être posées à l'antenne, Justine Vignaux reste en studio avec l'invité(e) de Jean-Alphonse Richard, pour en savoir plus sur l'affaire du jour. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Parole du Jour
La crainte ralentit la croissance

Parole du Jour

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 1:51


La route se dévoile

Teach! EMCI TV
Pureté, sainteté ou crainte de Dieu ?

Teach! EMCI TV

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025


C à vous
Procès de Marine Le Pen: la crainte de l'inégibilité

C à vous

Play Episode Listen Later Mar 28, 2025 13:17


Lundi 31 mars Marine Le Pen saura si elle est condamnée dans l'affaire des assistants parlementaires. Tout comme Nicolas Sarkozy hier, son entourage s'attaque aux juges en les discréditant ce qui rappelle une technique mise en place par Donald Trump par exemple. Quel est le plan du RN en cas d'inéligibilité prononcée contre madame Le pen? Laurent Jacobelli, vice-président du groupe RN à l'assemblée Nationale est notre invité.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

Choisis de Jésus - Pensée du Jour
Pensée du Jour - 21 mars 2025 - Sois sans crainte

Choisis de Jésus - Pensée du Jour

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 0:43


Mon tout-petit, Ma toute-petite, sois sans crainte, Je suis le Dieu de l'impossible. Demeure à Mon écoute et ouvre bien les yeux pour Me voir agir. Tu es précieux pour Moi. J'ai besoin de toi. Divinement et tendrement, Je t'aime. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!  

Reportage International
Narva, ville russophone d'Estonie, vit dans la crainte de la menace russe

Reportage International

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 2:22


C'est la troisième ville d'Estonie. Elle est située tout au nord, juste à la frontière avec la Russie, séparée de la ville d'Ivangorod par un pont. Plus de 90% de ses habitants sont russophones. Un héritage de la période soviétique. Aujourd'hui, comment la vie s'est-elle transformée à Narva depuis le début de la guerre de la Russie à grande échelle contre l'Ukraine ? À Narva, le grand parking était, jusqu'en 2024, le cœur battant de la ville frontalière. C'est là que transitaient toutes les voitures en partance ou de retour de Russie. Aujourd'hui, la frontière ne se traverse plus qu'à pied. Il n'y a plus que les bus qui amènent les Russes qui veulent rentrer chez eux. La ville se vide depuis le début de la guerre lancée par Moscou contre l'Ukraine. Les Russes ne peuvent plus venir en Estonie et cela affecte grandement la situation économique de Narva, comme le décrit la maire Katri Raik :« La vie à Narva avait déjà été touchée par le début du conflit en Ukraine en 2014. Depuis, il y a de moins en moins de touristes. Et maintenant, il est clair que le chiffre d'affaires commercial de Narva a diminué de près de 30%, ce qui constitue bien sûr un coup dur pour la ville. »Milan, jeune activiste politique, se présentera aux élections municipales de l'automne pour réveiller la ville. Il a donné rendez-vous en face de la mairie, un bâtiment historique à la façade rouge, un rare vestige de l'histoire à avoir survécu aux bombardements massifs de 1944 par l'armée soviétique : « La plupart des habitants de Narva sont venus pendant la période soviétique. Ils ont toujours les vieilles habitudes. Ils craignent d'être punis, déportés, tués s'ils s'expriment contre les autorités. Les gens sont très passifs ici au niveau politique. »À lire aussiLes pays baltes font face aux menaces grandissantes de la RussieLa hausse du coût de l'énergie impacte fortement les habitants de la ville. Un tiers des habitants sont des retraités. La Russie fait toujours peur. Milan se souvient de ce qui s'est passé, l'été dernier à Narva : « C'est parfois un peu effrayant ici. Il faut se souvenir que l'été dernier, les Russes ont fait voler un immense ballon d'espionnage. Les gens, ici, font parfois des blagues sur le séparatisme. Ils font un parallèle avec l'Ukraine et la République populaire de Donetsk. Ils parlent de la République populaire de Narva qui pourrait être créée. Rire de cela permet d'avoir moins peur. »Signe de la tension existante, les russophones de Narva se mettent à parler estonien dès qu'ils en ont la possibilité, preuve que la langue estonienne s'est imposée dans le pays.À lire aussiVivre à l'ombre des menaces, voyage dans les États baltes, face aux Russes et Biélorusses

Reportage international
Narva, ville russophone d'Estonie, vit dans la crainte de la menace russe

Reportage international

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 2:22


C'est la troisième ville d'Estonie. Elle est située tout au nord, juste à la frontière avec la Russie, séparée de la ville d'Ivangorod par un pont. Plus de 90% de ses habitants sont russophones. Un héritage de la période soviétique. Aujourd'hui, comment la vie s'est-elle transformée à Narva depuis le début de la guerre de la Russie à grande échelle contre l'Ukraine ? À Narva, le grand parking était, jusqu'en 2024, le cœur battant de la ville frontalière. C'est là que transitaient toutes les voitures en partance ou de retour de Russie. Aujourd'hui, la frontière ne se traverse plus qu'à pied. Il n'y a plus que les bus qui amènent les Russes qui veulent rentrer chez eux. La ville se vide depuis le début de la guerre lancée par Moscou contre l'Ukraine. Les Russes ne peuvent plus venir en Estonie et cela affecte grandement la situation économique de Narva, comme le décrit la maire Katri Raik :« La vie à Narva avait déjà été touchée par le début du conflit en Ukraine en 2014. Depuis, il y a de moins en moins de touristes. Et maintenant, il est clair que le chiffre d'affaires commercial de Narva a diminué de près de 30%, ce qui constitue bien sûr un coup dur pour la ville. »Milan, jeune activiste politique, se présentera aux élections municipales de l'automne pour réveiller la ville. Il a donné rendez-vous en face de la mairie, un bâtiment historique à la façade rouge, un rare vestige de l'histoire à avoir survécu aux bombardements massifs de 1944 par l'armée soviétique : « La plupart des habitants de Narva sont venus pendant la période soviétique. Ils ont toujours les vieilles habitudes. Ils craignent d'être punis, déportés, tués s'ils s'expriment contre les autorités. Les gens sont très passifs ici au niveau politique. »À lire aussiLes pays baltes font face aux menaces grandissantes de la RussieLa hausse du coût de l'énergie impacte fortement les habitants de la ville. Un tiers des habitants sont des retraités. La Russie fait toujours peur. Milan se souvient de ce qui s'est passé, l'été dernier à Narva : « C'est parfois un peu effrayant ici. Il faut se souvenir que l'été dernier, les Russes ont fait voler un immense ballon d'espionnage. Les gens, ici, font parfois des blagues sur le séparatisme. Ils font un parallèle avec l'Ukraine et la République populaire de Donetsk. Ils parlent de la République populaire de Narva qui pourrait être créée. Rire de cela permet d'avoir moins peur. »Signe de la tension existante, les russophones de Narva se mettent à parler estonien dès qu'ils en ont la possibilité, preuve que la langue estonienne s'est imposée dans le pays.À lire aussiVivre à l'ombre des menaces, voyage dans les États baltes, face aux Russes et Biélorusses

C à vous
Rougeole: la crainte d'un épidémie

C à vous

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 12:38


C'est un virus extrêmement contagieux qui fait un retour inquiétant en France. Déjà plus de 50 cas de rougeole recensé dans les Hauts de France depuis le début de l'année contre huit en 2024 et seulement 2 en 2023. Pour en savoir plus, écoutez l'alerte du Professeur Agnès Buzyn, médecin spécialiste en hématologie et ancienne ministre de la Santé et des Solidarités de 2017 à 2020.Une recrudescence qui fait craindre une épidémie sur tout le territoire dans les semaines à venir. Avec l'arrivée des beaux jours et des vacances scolaires.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

Reportage International
À Naplouse, dans les territoires palestiniens occupés illégalement, la crainte des chars israéliens

Reportage International

Play Episode Listen Later Mar 6, 2025 2:41


Ce sont plus de 40 000 personnes qui ont été forcées de quitter leur foyer en Cisjordanie occupée. Deux jours après la mise en place du cessez-le-feu à Gaza, l'armée israélienne a lancé une opération de long terme sur cette autre partie du territoire palestinien, en commençant par les villes du nord, Tulkarem et Jénine. Entre les deux se trouve Naplouse. Le poumon économique de la Cisjordanie craint d'être la prochaine cible des chars israéliens. De nos envoyés spéciaux à Naplouse,Depuis quelques jours, le camp de réfugiés de Balata a une nouvelle habitante. Saharab est arrivée avec ses quatre enfants d'un camp de Tulkarem. « Ils ont mené plusieurs raids dans notre maison, raconte la jeune femme. Nous avons choisi de rester pour les enfants. Ils nous ont envoyé des drones. Nous sommes restés jusqu'à vendredi dernier, témoigne-t-elle. Ils tiraient dans tous les sens, ils se fichaient des enfants. Ils ont forcé mon mari à rester dehors. Ils sont entrés dans ma chambre alors que j'avais mon fils asthmatique dans les bras. Il a besoin d'un inhalateur. Ils m'ont dit qu'ils n'en avaient rien à faire. Ils ont compté : 5 !... 4 !... 3 !... 2 !... 1 !... Dehors ! dehors ! »Le camp de Nour Shams était habité par des familles réfugiées en Cisjordanie suite à la création de l'État d'Israël en 1948. Saharab est partie dans un autre camp, chez sa sœur, à Balata, dans la banlieue de Naplouse. Mais ici aussi, l'armée israélienne multiplie les raids. « Les soldats israéliens peuvent arriver à tout moment, prévient-elle. Soudain, ils sont là, face à vous. »Assise sur un canapé, la mère de famille nous parle d'une voix chaleureuse et dynamique. Ces enfants s'agrippent à elle. « Ils sont terrifiés. Avant, c'étaient des moulins à paroles, maintenant, il y a une vibration étrange dans leur voix, ils sont tout pâles, se désole-t-elle. Je sais que rien n'est impossible pour l'occupation israélienne. Je suis partie du camp de Nour Shams et je me prépare à revivre la même expérience à Balata. »À lire aussi«Ils détruisent ma maison»: en Cisjordanie, l'armée israélienne rase les camps de réfugiés vides« Il n'y a pas une maison qui n'ait pas un martyr »Entre deux raids, le camp de Balata fourmille de vie. Assis sur un muret avec deux amis, un vieil homme observe les enfants jouer dans la rue. « Ici, il n'y a pas une maison qui n'ait pas un martyr, affirme-t-il. Est-ce que l'occupation israélienne arrivera à empêcher ces enfants de résister ? Nous les mettons au monde pour ça et nous leur parlons pour qu'ils n'oublient pas. »Ne pas oublier le droit au retour sur les terres que ces familles ont été forcées de quitter il y a plus de 70 ans. C'est ce souvenir qui fait des camps les foyers des groupes armés palestiniens — des « terroristes » pour Israël.Mais aujourd'hui, le gouverneur de Naplouse, Ghassan Daghlas, affirme que l'Autorité palestinienne et l'armée israélienne ont eu raison de la lutte armée à Naplouse : « Malgré tout, la ville est assiégée. Il y a un barrage à chaque entrée de la ville, pareil dans les villages. Il y a aussi de nombreuses attaques de colons israéliens, dénonce-t-il. L'Autorité palestinienne ne pourra rien faire s'il y a une offensive d'ampleur sur les quatre camps de réfugiés de la banlieue. Toute la ville est fermée, où iront les gens ? »  L'annexion de la Cisjordanie est discutée jusqu'à Washington, grand allié d'Israël. En septembre dernier, l'Assemblée générale des Nations unies a pourtant donné un an à Israël pour mettre fin à sa présence illicite sur le territoire palestinien occupé.À lire aussiL'ONU adopte une résolution exigeant la fin de la «présence illicite» d'Israël dans les territoires palestiniens

Reportage international
À Naplouse, dans les territoires palestiniens occupés illégalement, la crainte des chars israéliens

Reportage international

Play Episode Listen Later Mar 6, 2025 2:41


Ce sont plus de 40 000 personnes qui ont été forcées de quitter leur foyer en Cisjordanie occupée. Deux jours après la mise en place du cessez-le-feu à Gaza, l'armée israélienne a lancé une opération de long terme sur cette autre partie du territoire palestinien, en commençant par les villes du nord, Tulkarem et Jénine. Entre les deux se trouve Naplouse. Le poumon économique de la Cisjordanie craint d'être la prochaine cible des chars israéliens. De nos envoyés spéciaux à Naplouse,Depuis quelques jours, le camp de réfugiés de Balata a une nouvelle habitante. Saharab est arrivée avec ses quatre enfants d'un camp de Tulkarem. « Ils ont mené plusieurs raids dans notre maison, raconte la jeune femme. Nous avons choisi de rester pour les enfants. Ils nous ont envoyé des drones. Nous sommes restés jusqu'à vendredi dernier, témoigne-t-elle. Ils tiraient dans tous les sens, ils se fichaient des enfants. Ils ont forcé mon mari à rester dehors. Ils sont entrés dans ma chambre alors que j'avais mon fils asthmatique dans les bras. Il a besoin d'un inhalateur. Ils m'ont dit qu'ils n'en avaient rien à faire. Ils ont compté : 5 !... 4 !... 3 !... 2 !... 1 !... Dehors ! dehors ! »Le camp de Nour Shams était habité par des familles réfugiées en Cisjordanie suite à la création de l'État d'Israël en 1948. Saharab est partie dans un autre camp, chez sa sœur, à Balata, dans la banlieue de Naplouse. Mais ici aussi, l'armée israélienne multiplie les raids. « Les soldats israéliens peuvent arriver à tout moment, prévient-elle. Soudain, ils sont là, face à vous. »Assise sur un canapé, la mère de famille nous parle d'une voix chaleureuse et dynamique. Ces enfants s'agrippent à elle. « Ils sont terrifiés. Avant, c'étaient des moulins à paroles, maintenant, il y a une vibration étrange dans leur voix, ils sont tout pâles, se désole-t-elle. Je sais que rien n'est impossible pour l'occupation israélienne. Je suis partie du camp de Nour Shams et je me prépare à revivre la même expérience à Balata. »À lire aussi«Ils détruisent ma maison»: en Cisjordanie, l'armée israélienne rase les camps de réfugiés vides« Il n'y a pas une maison qui n'ait pas un martyr »Entre deux raids, le camp de Balata fourmille de vie. Assis sur un muret avec deux amis, un vieil homme observe les enfants jouer dans la rue. « Ici, il n'y a pas une maison qui n'ait pas un martyr, affirme-t-il. Est-ce que l'occupation israélienne arrivera à empêcher ces enfants de résister ? Nous les mettons au monde pour ça et nous leur parlons pour qu'ils n'oublient pas. »Ne pas oublier le droit au retour sur les terres que ces familles ont été forcées de quitter il y a plus de 70 ans. C'est ce souvenir qui fait des camps les foyers des groupes armés palestiniens — des « terroristes » pour Israël.Mais aujourd'hui, le gouverneur de Naplouse, Ghassan Daghlas, affirme que l'Autorité palestinienne et l'armée israélienne ont eu raison de la lutte armée à Naplouse : « Malgré tout, la ville est assiégée. Il y a un barrage à chaque entrée de la ville, pareil dans les villages. Il y a aussi de nombreuses attaques de colons israéliens, dénonce-t-il. L'Autorité palestinienne ne pourra rien faire s'il y a une offensive d'ampleur sur les quatre camps de réfugiés de la banlieue. Toute la ville est fermée, où iront les gens ? »  L'annexion de la Cisjordanie est discutée jusqu'à Washington, grand allié d'Israël. En septembre dernier, l'Assemblée générale des Nations unies a pourtant donné un an à Israël pour mettre fin à sa présence illicite sur le territoire palestinien occupé.À lire aussiL'ONU adopte une résolution exigeant la fin de la «présence illicite» d'Israël dans les territoires palestiniens

Xam Sa Dine
05 - La crainte d'Allah comporte trois niveaux - JOTAAYU KOOR 2025 - Al Fawaaid ibnul Qayyim - Oustaz Mor Kébé

Xam Sa Dine

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 15:25


05 - La crainte d'Allah comporte trois niveaux - JOTAAYU KOOR 2025 - Al Fawaaid ibnul Qayyim - Oustaz Mor Kébé by XamSaDine

Drôles de dames
Julien Laurens évoque le respect voire la crainte qu'inspire le PSG en Angleterre avant le duel face à Liverpool – 03/03

Drôles de dames

Play Episode Listen Later Mar 3, 2025 11:42


Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.

Baleine sous Gravillon (BSG)
Tout un Art ! La Baleine 9/12 : Démêler les cheveux de Sedna, déesse des Inuits

Baleine sous Gravillon (BSG)

Play Episode Listen Later Feb 23, 2025 13:10


Tout un Art ! est une série inédite à l'occasion de la Journée mondiale de la Baleine, le 19 février.Crainte par l'Occident qui l'a longtemps perçue comme un monstre, la baleine est vénérée dans d'autres cultures, chez les Maoris de Nouvelle-Zélande mais aussi chez les Inuits.Les Inuits vivent au Groenland, au nord du Canada et sur la côte nord-est de la Sibérie. Ils vénèrent la baleine; Dans leurs légendes, elle serait née des avant-bras de Sedna, la déesse de la mer. Chez les Inuits, on a plutôt intérêt à respecter Sedna ! A la moindre incartade, elle vous prive de toute nourriture en éloignant du rivage les créatures marines ! Et ensuite un seul moyen pour amadouer la déesse : le chaman doit descendre au fond de l'océan et … brosser les cheveux de Sedna dans lesquels se sont emmêlées des algues.Les Inuits sont un des rares peuples, avec les habitants des îles Féroé situées dans l'Océan Atlantique, au large de l'Europe du Nord, à encore chasser la baleine, au nom de leurs traditions culturelles. D'autres pays chassent encore la baleine pour les exploiter : le Japon, l'Islande, la Norvège. Mais la viande de baleine est de moins en moins au goût des consommateurs de tous les pays. Bientôt cette chasse s'arrêtera, faute d'être rentable au final.Les Inuits chassent la baleine pour se nourrir mais utilisent aussi ses os pour les sculpter et fabriquer des objets d'art. Saviez-vous d'ailleurs que le mot art n'existe pas en inuktitut, la langue des Inuits ? Et oui, quand on est un peuple semi-nomade, on ne s'embarrasse pas de poids mort décoratif.L'art inuit consiste donc d'abord à embellir les objets du quotidien : vêtements, outils… Ce n'est qu'au 17e siècle, quand les Inuits commencent à croiser des Occidentaux, que va se développer un art inuit à visée essentiellement commerciale.Aujourd'hui, l'art inuit tend à disparaître progressivement. Les jeunes Inuits ont d'autres morses à fouetter.______  La série "Tout un Art !" 12x10') raconte le Vivant dans la (pop) culture, l'Art et l'Histoire, au-delà des aspects biologiques et comportementaux. Et aussi de connecter deux mondes qui se nourrissent l'un l'autre.Il est temps que chacun.e se cultive, soigne et réenchante son lien avec nos colocataires non-humains et ressente le besoin de faire ce qu'il peut, ce qu'il doit.Après tout, chaque espèce n'est-elle pas aussi précieuse qu'une cathédrale Notre Dame, qu'une Joconde ? _______Sylvia Roustant est professeure, agrégée de lettres et créatrice du site Le secret derrière le tableau.Marc Mortelmans est créateur de podcasts, conférencier et auteur d'En finir avec les idées fausses sur le monde Vivant (Éditions de l'atelier 2024) et de Nomen, l'origine des noms des espèces (Ulmer 2024).contact@baleinesousgravillon.com.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On marche sur la tête
Gauthier Le Bret - Fermeture de C8 «Les personnes ont la crainte de dire ce qu'ils pensent», déclare Olivier Dartigolles

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Feb 21, 2025 12:11


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Gauthier Le Bret et ses invités débattent de la disparition de C8.

L'heure bleue
Arnaud Desplechin : "Ma grande crainte est de ne pas connaître autrui"

L'heure bleue

Play Episode Listen Later Jan 14, 2025 45:27


durée : 00:45:27 - La 20e heure - par : Eva Bester - Le réalisateur Arnaud Desplechin met à l'écran une salle obscure pour son film "Spectateurs !" qui sort demain. Il s'y demande ce qu'est le cinéma : un espace de vie, une communion silencieuse ou une expérience inévitablement plurielle ? Desplechin investit une infinité de regards en le sien.

Les Grandes Gueules
L'instant sordide du jour - Antoine Tracqui, médecin légiste : "Le cadavre n'est pas un objet de crainte pour nous ! Ma dernière matinée d'autopsie, c'était un noyé, un pendu et un accident de la voie publique !" - 27/12

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Dec 27, 2024 2:06


Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.

Journal en français facile
Mayotte: minute de silence / Proche-Orient: crainte d'un retour des djihadistes / France: dans l'attente d'un gouvernement...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Dec 24, 2024 10:00


Le Journal en français facile du lundi 23 décembre 2024, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BGSY.A

Les Grandes Gueules
La crainte du jour - Claire, auditrice : "Mon fils de 15 ans commence à me faire peur…" - 17/12

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Dec 17, 2024 3:16


Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Barbara Lefebvre et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les matins
Chute du régime de Bachar Al-Assad : vers une transition de pouvoir entre espoir et crainte

Les matins

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 14:30


durée : 00:14:30 - Journal de 8 h - En Syrie, trois jours après la chute du régime de Bachar Al-Assad l'heure est à la transition de pouvoir, les rebelles veulent aussi retrouver les tortionnaire du régime.

Le journal de 8H00
Chute du régime de Bachar Al-Assad : vers une transition de pouvoir entre espoir et crainte

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 14:30


durée : 00:14:30 - Journal de 8 h - En Syrie, trois jours après la chute du régime de Bachar Al-Assad l'heure est à la transition de pouvoir, les rebelles veulent aussi retrouver les tortionnaire du régime.

Les journaux de France Culture
Chute du régime de Bachar Al-Assad : vers une transition de pouvoir entre espoir et crainte

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 14:30


durée : 00:14:30 - Journal de 8 h - En Syrie, trois jours après la chute du régime de Bachar Al-Assad l'heure est à la transition de pouvoir, les rebelles veulent aussi retrouver les tortionnaire du régime.

Les Grandes Gueules
La crainte du jour - Sam a de la famille en Syrie : "La personne qui s'est présentée, pour être le successeur d'Assad, faisait partie d'Al-Qaida... Ma famille chrétienne en Syrie a eu un ordre de ne pas sortir de chez elle !"

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Dec 9, 2024 2:55


Aujourd'hui, Frédéric Farah, Zohra Bitan et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 7h - 30/11/2024

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 30, 2024 12:07


Dans cette édition :Crainte d'affrontements entre l'ultra-droite et l'ultra-gauche à Romand-sur-Isère lors d'hommages à deux jeunes hommes tués récemment.Michel Barnier, le Premier ministre, refuse de céder aux pressions du Rassemblement National malgré un recul sur la hausse de la fiscalité sur l'électricité.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky ouvre la porte à une perte temporaire de territoires occupés par la Russie en échange d'une protection de l'OTAN.Après 5 ans de travaux, la cathédrale Notre-Dame de Paris s'apprête à rouvrir ses portes, suscitant des interrogations sur le manque de moyens pour sauver le patrimoine des églises de campagne.Le Vendée Globe voit Charlie Dalin, deuxième en 2020, bien placé pour prendre sa revanche et gagner la course cette année.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Le journal - Europe 1
Le journal de 7h - 30/11/2024

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 30, 2024 12:07


Dans cette édition :Crainte d'affrontements entre l'ultra-droite et l'ultra-gauche à Romand-sur-Isère lors d'hommages à deux jeunes hommes tués récemment.Michel Barnier, le Premier ministre, refuse de céder aux pressions du Rassemblement National malgré un recul sur la hausse de la fiscalité sur l'électricité.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky ouvre la porte à une perte temporaire de territoires occupés par la Russie en échange d'une protection de l'OTAN.Après 5 ans de travaux, la cathédrale Notre-Dame de Paris s'apprête à rouvrir ses portes, suscitant des interrogations sur le manque de moyens pour sauver le patrimoine des églises de campagne.Le Vendée Globe voit Charlie Dalin, deuxième en 2020, bien placé pour prendre sa revanche et gagner la course cette année.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Les Grandes Gueules
La crainte du jour - Élina Dumont : "Je pense que les Français souhaitent de la stabilité mais pas celle-là ! Charles Consigny a dit, il y a longtemps, qu'on finirait comme la Grèce... Maintenant j'y crois !" - 22/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 22, 2024 1:41


Aujourd'hui, Élina Dumont, Antoine Diers et Stéphane Manigold débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
La crainte du jour - Joëlle Dago-Serry : "Je ressens plus le sentiment d'insécurité que je le ressentais avant... je le ressens partout ! J'estime que dans la société dans laquelle on vit, les "fous" sont partout..." - 1

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 15, 2024 1:16


Aujourd'hui, Bruno Pomart, ancien policier du Raid, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Stéphane Manigold, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Parole du Jour
Surmonter sa crainte du rejet

Parole du Jour

Play Episode Listen Later Nov 15, 2024 2:01


S'il rejette Jésus, il perdra son âme

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 8h - 10/11/2024

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 10, 2024 9:09


Au sommaire de la dernière édition du journal :Départ du Vendée Globe, course autour du monde en solitaire, avec 40 navigateurs et navigatrices prêts à traverser les océans pendant 3 mois.Menace de grève illimitée de la SNCF à partir du 11 décembre contre le démantèlement du fret, qui s'ajoute à d'autres mouvements sociaux prévus dans différents secteurs.Crainte de tensions autour du match de football France-Israël jeudi, après les violences antisémites survenues à Amsterdam lors d'un match impliquant des supporters israéliens.Relaxe en appel de la SNCF dans l'affaire du chat écrasé en gare de Montparnasse.Météo mitigée sur la France avec un temps gris et pluvieux, sauf dans le sud.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Le Billet politique
Élections américaines. Billets de campagne 7/7 : Climat anxiogène aux États-Unis et crainte de violences pour la présidentielle

Le Billet politique

Play Episode Listen Later Nov 5, 2024 5:01


durée : 00:05:01 - Le Billet politique - par : Catherine Duthu - Tension palpable aux États-Unis : en attendant de connaître les résultats de la présidentielle, ce qui pourrait prendre des jours, la sécurité est renforcée autour de bâtiments officiels et de bureaux de vote. Les fausses accusations de fraude électorale se multiplient chez les pro-Trump. - invités : Catherine Duthu Journaliste à la rédaction de France Culture

Le Billet politique
Élections américaines. Billets de campagne 5/5 : La crainte de l'après 5 novembre

Le Billet politique

Play Episode Listen Later Nov 1, 2024 3:41


durée : 00:03:41 - Le Billet politique - par : Loig Loury - À quatre jours seulement de cette élection tant attendue du 5 novembre, les peurs des jours qui suivront le résultat planent déjà. Selon toute vraisemblance, tout ne sera pas terminé le jour J, et, en cas de défaite, le camp de Donald Trump risquerait de ne pas reconnaitre les résultats.

Les Grandes Gueules
L'appel du jour - Hugo, habitant du Gard : "Je peux vous donner des dizaines de jours dans l'année où il y a eu des alertes orange et même des alertes rouges. Au début, il y avait une crainte, mais aujourd'hui, tout le monde s'en fiche&qu

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 31, 2024 1:26


Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
La crainte du jour - Fatima Aït-Bounoua : "Ce qui m'inquiète avec Halloween, c'est la sécurité, car une fois masqués, certains en profitent pour faire n'importe quoi" - 31/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 31, 2024 1:02


Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
La crainte du jour - Adel Sefiane : "Si le gouvernement recherche un nouvel épisode gilet jaune, il est sur la bonne voie." - 14/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 14, 2024 1:08


Aujourd'hui, Flora Ghebali, Adel Sefiane et Jean-Loup Bonnamy, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Aujourd'hui l'économie
Salon de l'automobile: le marché de la voiture électrique en crise

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Oct 14, 2024 2:50


C'est le rendez-vous annuel des plus grands constructeurs de la planète. Ce lundi 14 octobre, le salon de l'automobile ouvre ses portes à Paris, dans un contexte difficile pour la filière des voitures électriques. « Nous sommes dans la pire des situations », reconnaît Luc Chatel, le président de la Plateforme automobile, qui regroupe les acteurs de la filière automobile française. « Les industriels jouent le jeu de l'électrique, mais les consommateurs n'en veulent pas suffisamment ». Le phénomène s'observe partout en Europe, où seulement 12% des véhicules neufs vendus sont électriques.Crainte des hausses des taxesLa tendance n'épargne pas la France, où 20% des voitures vendues le mois dernier étaient électriques, loin de l'objectif de 25% fixé pour l'an prochain. Le tout dans un contexte très difficile pour la filière automobile en général, qui vient de réaliser son pire mois de vente depuis 20 ans. « Depuis le Covid, nous avons perdu l'équivalent d'un an de vente », explique Luc Chatel.D'où cette alerte lancée par les constructeurs tricolores à la veille de l'ouverture du salon de l'automobile, à Paris. « On risque d'être pénalisés parce que les clients ne sont plus au rendez-vous de l'électrique. Il ne faudrait pas nous taxer sur les véhicules thermiques, qui sont encore le gros de l'activité », explique Luc Chatel. C'est pourtant ce que le gouvernement s'apprête à faire. Le projet de loi de finances 2025, dévoilé la semaine dernière par Michel Barnier, prévoit une hausse du malus automobile, qui touchera désormais presque toutes les voitures à essence et au diesel.À lire aussiVéhicules électriques: face au ralentissement du marché, les constructeurs revoient leurs ambitions à la baisseEcarts de compétitivité avec la ChineLe salon de l'automobile s'ouvre aussi sur fond de concurrence commerciale avec la Chine. Le mois dernier, l'Union européenne a instauré des surtaxes à l'importation pour les véhicules chinois, souvent moins chers et aux technologies plus évoluées que leurs homologues européens.Mais plus que la concurrence, c'est la compétitivité qui est mise en avant par les industriels. « On ne peut pas continuer à acheter l'électricité en Europe 50% plus cher qu'en Chine ou qu'aux États-Unis » plaide Luc Chatel. « On ne peut pas nous demander de faire en 5 ans ce que les Chinois ont fait en 20 ans ».Pour remédier à cet écart de compétitivité, la Plateforme automobile souhaite un « électrochoc de la filière automobile » et réclame un fonds européen d'accompagnement à la filière, des mesures de formation aux métiers de demain, mais surtout une harmonisation des bonus à l'échelle du continent. Ces fameuses aides à l'achat des véhicules électriques ne sont pas les mêmes partout en Europe. Et elles ne sont surtout pas stables : d'après la plateforme automobile, rien qu'en France, la réglementation a changé 15 fois en 5 ans.À lire aussiChine-UE: les discussions sur les tarifs des véhicules électriques achoppent sur des «divergences majeures»

Reportage Afrique
Inondations à Brazzaville: un an après, les sinistrés dans la crainte d'un nouveau désastre

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Oct 14, 2024 2:22


Il y a près d'un an, fin 2023, le Congo-Brazzaville a subi les pires inondations de son histoire récente. Les cours d'eau sont sortis de leurs lits dans des proportions inédites, provoquant des dégâts considérables. La banlieue sud de Brazzaville a été touchée, sur les rives du fleuve Congo. Dans le quartier Tchouri et Mafouta dans le huitième arrondissement de la capitale, beaucoup d'habitants sinistrés à Noël dernier n'ont pas eu d'autre option que de retourner vivre dans leur maison malgré la nouvelle saison des pluies qui approche. « La hauteur, c'est à peu près là », indique Brian Honneur Wandete en montrant une trace sombre sur le mur en béton presque aussi haute que lui. Il venait d'avoir douze ans à Noël dernier quand l'eau du fleuve Congo a envahi le quartier Tchouri. « Cette eau nous a carrément gâché la vie, on a perdu beaucoup de nos effets personnels, le congélateur, mes cahiers, mon sac était tout mouillé, raconte le jeune garçon. Ça m'a fait peur, ça a même failli me faire pleurer. Mon année scolaire pour passer en sixième au collège, je l'ai ratée, j'ai raté mon CEPE, ça m'a carrément fait mal. Nous avons tous peur, car la première fois que nous avons vu ce genre de choses, tout le monde ici était surpris, c'était un désastre pour nous. »La scolarité de 43 000 élèves interrompueSelon l'Unicef, la scolarité de plus de 43 000 élèves a été interrompue dans tout le Congo pendant les inondations l'an dernier. Comme la famille de Brian Honneur, celle de Blaise Malonga, au coin de la rue, a dû quitter sa maison pendant trois mois. « Nous sommes allés vivre juste en face là-bas. Il y a une maison en hauteur, une de nos collègues et amies, voisine du quartier qui nous a repêchés. Mais moi par contre, je suis reparti à Bas-Congo. C'est là où je suis allé vivre. Ça m'a vraiment stressé. Avec les enfants, nous étions vraiment tous malheureux. »1,79 million de personnes ont été affectées. Un Congolais sur douze a eu besoin d'une assistance humanitaire, mais beaucoup, comme Blaise Malonga, n'ont presque rien reçus. « Rien… Rien… Un petit matelas, un bidon d'huile de 5 litres, plus un sac de sel qu'on se partageait à quatre. On se disait que par rapport à ce que nous avions perdu, on recevrait un peu d'argent, mais malheureusement, ce n'est pas ce qui est arrivé », regrette-t-il.Deux familles, comme beaucoup d'autres, appauvries par l'épisode des inondations de fin 2023, et qui un an plus tard, n'ont pas retrouvé leur niveau de vie d'avant. Et cette année, si l'eau monte encore, ce sera encore plus difficile de se reloger pour Dorcia Ntondele et ses cinq enfants, faute de moyens. « Quand les pluies vont commencer, on ne sait pas où on va aller. On a vraiment peur pour cette année. Nous sommes seulement en train de regarder si ça va recommencer ou pas. »Selon le 19e Forum des prévisions climatiques d'Afrique centrale, les précipitations cette année seront encore supérieures à la normale, avec un risque élevé d'inondations.

L'info en intégrale - Europe 1
Guerre au Proche-Orient : «Très peur que l'Iran s'y mette vraiment» , les Israéliens dans la crainte d'une nouvelle offensive

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Oct 3, 2024 1:00


Les frappes israéliennes se poursuivent au Liban, où l'armée israélienne mène des offensives terrestres "ciblées" contre le Hezbollah. Mais alors que l'escalade se poursuit, les civils israéliens craignent de leur côté une réplique iranienne et que le Dôme de fer ne tienne pas le choc.

Sur le fil
Liban, Israël, Iran : la crainte de l'embrasement

Sur le fil

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 10:24


L'emballement des événements au Proche-Orient, que nous avons du retarder la publication de cet épisode.Mardi soir près de 200 missiles ont été tirés en direction d'Israël par l'Iran, une attaque présentée comme la réponse aux dernières opérations d'Israël contre le mouvement pro-iranien Hezbollah. Israël a, à son tour, immédiatement promis une riposte et poursuivi son offensive contre le Hezbollah au Liban, qui déplore déjà plus de mille morts depuis la mi-septembre. Les habitants vivent au rythme des raids et des centaines de milliers de personnes sont déplacées. Cette crise fait craindre un embrasement de la région alors qu'Israël s'apprête à commémorer l'attaque menée il y a un an sur son territoire par le Hamas, également allié de l'Iran. Quels sont les scénarios possibles ? Éléments de réponse avec Hasni Abidi, du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen à Genève, Agnès Levallois de l'Institut de recherche et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient, et Acil Tabbara, directrice du bureau de l'AFP à Beyrouth.Réalisation: Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Nous avons un service à vous demander: si vous avez aimé Sur la Terre, notre série sur la transition écologique, votez pour nous ! Un des épisodes de notre la Sur la Terre est sélectionné pour un prix dans la catégorie Apprentissage au Paris Podcast Festival ! Et il concourt pour le prix du Public: c'est là que vous avez un rôle à jouer. Pour nous soutenir votez ici, cela ne prendra que 30 secondes, et de cocher la case 4 .Vous avez d'autres commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les matins
Selon la presse, Israël a piégé à l'explosif des bipeurs du Hezbollah : succès tactique et crainte d'escalade

Les matins

Play Episode Listen Later Sep 18, 2024 6:10


durée : 00:06:10 - La Revue de presse internationale - Le New York Times affirme qu'Israël a caché des explosifs dans des bipeurs achetés par le Hezbollah à Taïwan et les a déclenchés à distance mardi, tuant 9 personnes et faisant près de 2 800 blessés. La presse parle d'un "succès tactique" d'Israël mais craint une nouvelle escalade au Proche-Orient.

Les Grandes Gueules
La crainte du jour - Antoine Diers : "Je suis inquiet que l'Assemblée se ridiculise avec un bureau où LFI est majoritaire !" - 18/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 18, 2024 0:59


Aujourd'hui Flora Ghebali, Mourad Boudjellal et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Le zoom de la rédaction
"Si on ne fait rien, il n'y aura bientôt plus de médecins ici" : la crainte des généralistes à Marseille

Le zoom de la rédaction

Play Episode Listen Later Sep 17, 2024 4:31


durée : 00:04:31 - Le Zoom de France Inter - Un mois après l'agression d'une médecin généraliste dans les quartiers Nord de Marseille, ses confrères sont inquiets. Si la soignante rouée de coups préfère se reposer pour l'instant, les généralistes marseillais font en sorte de médiatiser l'affaire pour réveiller les consciences.

EMCI TV Prières inspirées
Comprendre la crainte de l'Éternel !

EMCI TV Prières inspirées

Play Episode Listen Later Aug 8, 2024