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Il y a quelques mois encore, je ne connaissais pas ce chef de 33 ans et, comme vous peut-être, je l'ai découvert tout récemment dans le plus célèbre concours culinaire télévisé le bien nommé Top Chef. Voilà des semaines que sous nos yeux, comme chaque année depuis maintenant 14 ans, des candidats s'affrontent et, à l'heure où j'écris ces lignes, l'affaire est sérieuse! Il y a quelques jours, on a dû dire au revoir au si talentueux Valentin Raffali, et la semaine prochaine c'est la finale! Jorick Dorignac est face à Clotaire Poirier et, comme on peut l'imaginer, dans quelques jours, la vie de l'un des deux concurrents devrait un peu changer... Mais je sais maintenant que l'un des deux sait parfaitement s'adapter, à tout! Comme vous peut être qui allez aujourd'hui profiter d'un épisode pas comme les autres puisque j'ai demandé au chef de me parler dans un premier temps de son actualité aux portes de la grande finale du concours, puis de remonter le fil de son histoire pour en revenir à quelques jours du verdict… Et je ne m'attendais pas à tant de rebondissements… Vous allez être surpris ! Car on a beau être vu par des millions de téléspectateurs, quand il s'agit de faire des épreuves imposées c'est pas facile de montrer ce qu'on est… Et l'histoire tout comme l'univers de Clotaire sont singuliers ! Et vous allez entendre ici une parole non formatée alors que Clotaire touche aujourd'hui au Graal de la télé. Vous allez entendre une histoire sans filtre où les travers, les abus, les violences et les déviances du monde de la cuisine ne vous seront pas cachés. Vous allez surtout entendre un récit inspirant qui vous donnera sûrement l'envie d'aller au bout du monde, pour voir, pour savoir, parce qu'il y a encore là des choses à apprendre et parce que tout peut s'arrêter demain. Ça c'est l'esprit du chef, mais je vais vous laisser le découvrir, alors on commence par parler de l'actualité et puis ensuite vous entendrez l'histoire de Clotaire Poirier. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Mory Sacko porte un regard très clair sur son parcours et sur la manière dont il a construit sa cuisine.C'est bien simple, je ne crois pas avoir rencontré de chef dont les idées sur sa cuisine et sur la ligne qu'il poursuit m'ont paru aussi nets et pourtant…Celui qui a marqué les mémoires dans une saison exceptionnelle de Top chef en 2020, propose une cuisine qui fait dialoguer la France, l'Afrique et le Japon.Je ne sais pas ce que cela vous évoque mais moi j'avoue qu'avant de l'entendre, je n'arrivais pas à me projeter et donc j'étais au max, niveau curiosité ! D'autant que pour cette échappée en solitaire, il s'est vu décerner sa première étoile, moins de deux mois après l'ouverture de Mosuke!Dans cet épisode, vous allez apprendre comment il a construit un univers sans nul autre pareil, quelles sont les figures qui l'ont épaulé sur le chemin (hello Thierrry Marx!) et comment il a sû révéler en cuisine les passions qui l'animent depuis l'enfance, ses racines et sa passion pour l'excellence de la gastronomie française!Production : NOLA Journaliste : David Ordono Création musicale : Nathan Cohen Programmation : Marion Cazes Réalisation : David OrdonoPour découvrir la cuisine de Mory Sacko c'est par ici ! Mais aussi sa version de la comfort food (tuerie de poulet frit sauce bulldog!!!)Mory fait aussi de la télé sur France3, dans une super émission dont il est à l'origine : Cuisine ouverte !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans cet épisode de CHEFS D'ENTREPRISE-S, David Ordono reçoit Laurent Perlès, cofondateur de La Source, une école de cuisine pensée comme un lieu de transmission, de conscience et d'impact.Laurent raconte un parcours loin des lignes droites : une enfance marquée par la table, un rapport "compliqué" à l'école traditionnelle, des études à l'étranger, l'entrepreneuriat, la restauration, avant une prise de conscience progressive : le métier doit changer, et c'est par la formation que tout commence.Avec La Source, il ne s'agit pas seulement d'enseigner des gestes, mais de former des professionnels capables de comprendre leur époque :écologie, produits, conditions de travail, modèle économique, responsabilité sociale.Un échange dense et incarné sur l'éducation, la difficulté de créer une structure engagée, les choix financiers, les renoncements et la conviction qu'on peut entreprendre autrement sans renoncer à l'exigence.Un épisode pour celles et ceux qui pensent que l'avenir de la gastronomie se joue autant dans les écoles que dans les cuisines ;)Pour découvrir les formations dispensées par La Source, c'est par ici !
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Pour ce nouvel épisode hors-série Le Noël des Chefs, je reçois la cheffe pâtissière Claire Heitzler.Dans cet échange, Noël n'est pas un simple décor.C'est un point d'ancrage.Une période fondatrice qui raconte une origine, une sensibilité, une manière d'aborder la pâtisserie.Claire Heitzler évoque son Alsace natale, les marchés de Noël, les odeurs d'épices, les tables familiales, le chocolat chaud, les gestes transmis, le plaisir du fait maison.Elle raconte aussi ces moments d'enfance passés à observer une certaine pâtissière travailler, derrière une vitre, fascinée par la transformation de la matière, par le temps et la précision du geste.Au fil de la conversation, on comprend comment ces souvenirs ont façonné sa vision du métier :une pâtisserie attentive aux saisons, au produit, à l'équilibre, à la justesse.Une pâtisserie sans surcharge, pensée dans le respect du vivant, du rythme naturel et du travail bien fait, un epatisserie marquée par l'impression d'une culture lointaine également...On parle bien sûr de son parcours, de ses choix professionnels, de son rapport au doute, à l'exigence, et de la manière dont elle construit aujourd'hui ses projets avec cohérence et sens.Un épisode doux, précis, incarné, qui explore la pâtisserie par le prisme de la mémoire et de la transmission, et qui rappelle combien les fêtes de fin d'année peuvent être un socle puissant dans la construction d'une vocation.Pour découvrir l'univers de Claire Heitzler & producteurs, c'est par ici !Pour retrouver les produits HORL qui soutient cet épisode hors série c'est par là !
Dans ce troisième et dernier volet, le récit bascule.Après les grandes maisons, la violence des brigades, Paris et ses vertiges, Éric Guérin raconte le moment où tout s'ouvre — et tout se resserre à la fois.La Brière apparaît d'abord comme un refuge, presque un accident de parcours.Un territoire découvert à seize ans, au fil d'une chasse avec son père.Un paysage qui s'imprime lentement, puis devient un point d'ancrage, un lieu où l'on respire autrement.Cette partie raconte le choix radical : quitter la frénésie, partir sans plan, ouvrir un restaurant presque seul, sans clients, sans réseau, avec des moyens dérisoires et une foi chevillée.Elle raconte aussi l'échec annoncé, la fatigue, la solitude, les dettes — et ce moment suspendu où tout semble devoir s'arrêter.Jusqu'à cette bascule étrange, presque irréelle : fermer un restaurant un soir, recevoir une étoile le lendemain.Et comprendre alors que rien n'est jamais vraiment linéaire.C'est ici que se dessine l'ADN d'Éric Guérin :le rapport au vivant, à la nature, au temps long, aux choix assumés.Une cuisine qui naît autant du marais que de la mémoire, autant des oiseaux que des fourneaux.Pour découvrir l'univers d'Éric Guérin, c'est par ici !
Dans cette deuxième partie de l'entretien, Éric Guérin revient sur les années les plus dures de sa formation.Celles où l'on tient plus par instinct que par certitude.Celles où la cuisine se vit comme un combat quotidien.Il raconte sans filtre son passage à la Tour d'Argent, la violence d'un système, la peur permanente, la fatigue extrême, la pression psychologique, les corps qui lâchent et les esprits qui vacillent.Il parle de ce que cette époque a produit : des blessures, des paradoxes, mais aussi une construction intérieure, une résistance, un caractère forgé dans l'excès.On entend aussi les moments de rupture : le départ, la dépression, le sentiment d'échec, puis les mains tendues, les chefs qui replacent, les maisons qui réparent autrement.Le Taillevent, le Jules Verne, l'apprentissage d'un autre rapport au travail, au collectif, au temps, à l'image.Cette partie est celle des choix contraints, des bifurcations, de la survie avant la projection.Elle éclaire ce qui, plus tard, donnera naissance à une cuisine profondément marquée par le besoin de liberté, de territoire et d'équilibre.Un récit brut, parfois inconfortable, mais essentiel pour comprendre l'homme, le chef, et la manière dont certaines trajectoires se construisent autant contre que grâce à ce qu'elles traversent.Pour découvrir l'univers d'Éric Guérin, c'est par ici !
Dans cette première partie, Éric Guérin entre directement dans le vif du sujet.Le chef de La Mare aux Oiseaux, installé depuis plus de trente ans en Brière, pose un regard d'homme d'expérience sur l'époque que traverse aujourd'hui la gastronomie.Il raconte un basculement profond : le retour à la terre après le Covid, l'émergence d'un maillage de producteurs locaux, la fin des cartes figées et la remise en question des certitudes. Chez lui, il n'y a plus de menu écrit à l'avance, mais une cuisine qui se construit au jour le jour, en fonction de ce que la nature, les pêcheurs et les paysans rendent possible.Éric Guérin détaille aussi la transformation de son organisation : un lien constant avec les producteurs, un travail de terrain assumé, une cuisine pensée comme un écosystème vivant où l'on ne demande plus “ce qu'il faut”, mais “ce qu'il y a”.Une approche qui redonne du sens au geste, au produit, et à la relation humaine.Il parle enfin de transmission, de sincérité, de responsabilité, et de ce rôle qu'il revendique désormais : celui d'un maillon engagé d'un territoire qu'il défend et qu'il veut rendre visible, sans folklore ni discours attendu.Un premier chapitre dense et incarné, qui dit beaucoup de la philosophie d'un chef pour qui la cuisine commence bien avant l'assiette.
Dans cet épisode, je vous emmène à Gambais, en pleine vallée de Chevreuse, à la rencontre de Cybele Idelot.Un lieu en pleine nature, un potager, le feu, la table… et une cuisine qui se pense avant tout comme un lien entre les gens, la terre et le temps.Cybele raconte un parcours hors des sentiers classiques.Une enfance passée au nord de San Francisco, entre une grand-mère attachée aux rituels de la table et une mère curieuse, attentive aux produits et au vivant. Un environnement où le respect du produit, le plaisir de recevoir et l'idée même de repas comme moment collectif sont des évidences bien avant de devenir un métier.La cuisine arrive plus tard, sans école, sans plan préétabli, portée par l'élan et le plaisir.Saint-Barth, New York, les Hamptons, la cuisine privée, l'événementiel, la vie de freelance — intense, libre, mais aussi précaire. Un parcours fait de mouvements, de rencontres, d'amour et d'un besoin constant de rester stimulée.Puis vient le retour en France.Avant même d'avoir des murs, Cybele crée des tables éphémères, des dîners presque clandestins, où des inconnus se retrouvent autour d'une même table. La cuisine comme prétexte à la rencontre, à l'échange, au partage.À l'origine du lieu tel qu'il existe aujourd'hui, il y a un geste simple : chercher un lopin de terre pour faire un potager.De cette intention naît une maison, un restaurant, quelques chambres, et un projet de vie où le rapport au vivant impose humilité, adaptation et apprentissage permanent.Un épisode sur le temps long, le choix du lieu, la transmission, et cette idée qui traverse tout l'échange : faire de la cuisine un acte profondément humain, ancré dans le réel, et jamais figé.Pour découvrir l'univers de Cybèle Idelot, c'est par ici !
(December 12, 2025) IT’S FOODIE FRIDAY! Food enthusiast and host of ‘The Fork Report’ on KFI Neil Saavedra joins Bill to talk about food related gifts and stocking stuffers. The show closes with ‘Ask Handel Anything.’See omnystudio.com/listener for privacy information.
IT’S FOODIE FRIDAY! Food enthusiast and host of ‘The Fork Report’ on KFI Neil Saavedra joins Bill to talk about food related gifts and stocking stuffers.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Dans cet épisode de CHEFS D'ENTREPRISE-S, je reçois Antony Giordano, fondateur du concept Père & Fish, une enseigne de street-food marine née d'une histoire familiale vieille de cinq générations.Ce que j'ai découvert derrière ses posts LinkedIn — à la fois francs, modernes et terriblement incarnés — c'est un parcours entrepreneurial profondément ancré dans un héritage :la poissonnerie du père, les recettes de sa mère, la cuisine méditerranéenne qui réunit, et l'envie, dès l'enfance, de « faire plaisir aux gens » en cuisinant avec ce qu'il avait sous la main.Dans cet épisode, Anthony raconte :comment ses racines ont façonné son idée de la food et du commerce ;comment une simple recette de fish-burger est devenue un concept ;comment il a dû affronter un incendie, des retards de travaux, des réajustements de carte, et le défi de démocratiser le poisson ;comment il a construit, pas à pas, une marque qui raconte vraiment qui il est ;pourquoi la communication — notamment sur LinkedIn — n'est pas chez lui un outil, mais une extension naturelle de son histoire.Un échange sur l'identité, la transmission, les virages entrepreneuriaux, et la manière dont une success-story peut naître dans la fidélité la plus totale à ses origines.Pour retrouver tout l'univers de Père&Fish, c'est par ici !Et promis il va la partager sa recette ;)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans « Ouvrir un restaurant », le bonus du format CHEFS D'ENTREPRISE-SChaque vendredi, David et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, partagent leurs conseils concrets (enfin surtout Adrien ;) pour aider les futur·e·s restaurateur·rice·s à se lancer sereinement.Dans cet épisode, Adrien répond à une question cruciale : quelles autorisations faut-il obtenir avant d'ouvrir un restaurant ?
Pour ce nouvel épisode du hors-série Le Noël des CHEFS, on part à la rencontre d'une pâtissière dont le nom s'est imposé comme une évidence, mais dont l'histoire dit avant tout une chose : derrière la douceur de ses créations, il y a une force de travail et une énergie qui forcent l'admiration.Dans cet échange, Nina Métayer remonte le fil de ce qui l'a construite :les souvenirs d'enfance, les odeurs, les gestes, les moments simples qui ont fait naître chez elle cette émotion très précise qu'elle cherche encore aujourd'hui à transmettre.Et quand elle parle de Noël, tout s'éclaire : cette période compte pour elle plus que n'importe quelle autre. C'est son sommet, son carburant, le moment où l'on crée des souvenirs — et où il n'y a pas le droit à l'à-peu-près.Elle raconte comment s'organise cette période hors norme :le rythme, l'anticipation, les nuits sans sommeil, la précision nécessaire pour orchestrer une production colossale qui doit pourtant rester délicate, poétique, immédiatement évocatrice.Et derrière la technique, elle raconte surtout les valeurs qui guident son travail : la joie, la bienveillance, le besoin de fédérer une équipe, l'envie que chacun trouve du sens dans ce qu'il fait.L'entretien dessine ainsi une trajectoire faite d'intuition, d'engagement et d'exigence.Une manière d'aborder la pâtisserie comme un lien, un langage, un espace où l'organisation ne tue pas la magie, mais la rend possible.Un épisode lumineux, généreux, et profondément incarné, qui montre comment Nina Méteyer transforme ce qui l'a touchée enfant en un univers qui illumine les fêtes de fin d'année pour des milliers de personnes.Pour retrouver l'univers de Nina Métayer c'est par ici !Pour retrouver les produits HORL qui soutient cet épisode hors série c'est par ici !
Dans cette troisième et dernière partie, Cybèle Idelot revient sur le cœur vivant de son projet : le lieu tel qu'il existe aujourd'hui, avec ses équilibres fragiles, ses contraintes et ses apprentissages permanents.Elle parle du potager comme d'une école quotidienne, du rapport au vivant et à l'incertitude, de la nécessité d'accepter de perdre pour comprendre. Une cuisine qui se construit au rythme des saisons, sans jamais chercher à figer les choses, et qui oblige à revoir sans cesse sa manière de travailler.Cybele évoque aussi la transmission : non pas comme un discours ou une méthode, mais comme une attention portée aux équipes, aux clients, aux gestes qui se répètent et se comprennent avec le temps. Faire en sorte que chacun reparte avec autre chose qu'un souvenir de repas — une sensation, une ouverture, une manière différente de regarder le monde de la cuisine.Cette dernière partie est celle du présent, mais aussi de la projection : comment continuer à avancer sans trahir l'esprit du lieu, comment rester en mouvement sans perdre le sens, comment laisser la place à l'émotion sans renoncer à l'exigence?Un final qui éclaire l'ensemble du parcours de Cybèle Idelot, et donne à entendre une cuisine pensée comme un acte vivant, humble et profondément humain.Pour découvrir l'univers de Cybèle Idelot, c'est par ici !
Après les années américaines et cette liberté totale du freelance, cette deuxième partie marque un vrai basculement.Cybèle Idelot raconte le moment où il faut choisir : continuer à circuler, ou s'ancrer.On parle ici d'une décennie à New York, d'événementiel pour de grandes maisons, de dîners privés jusqu'à mille convives, d'un nom qui circule dans un cercle très précis — mais aussi de la précarité du freelance, du téléphone qui ne sonne pas toujours, de l'insécurité permanente.Et puis il y a la rencontre, le couple, la question du “où vivre”, et cette décision progressive : s'établir en France.Cette partie raconte surtout la naissance d'un projet, avant même l'ouverture d'un restaurant.Le choix de Boulogne-Billancourt, le pari d'un territoire, les obstacles administratifs, l'attente interminable… et cette idée folle mais vitale : créer des tables éphémères, presque clandestines, pour faire exister la cuisine avant les murs.Des appartements, des lieux insolites, douze convives qui ne se connaissent pas, dix services, une grande table, et une cuisine pensée comme un moment de rencontre.On découvre ici ce qui fonde profondément son rapport au métier : le partage, la réactivité, la nécessité du mouvement, et cette capacité à transformer un contretemps en terrain d'expérimentation.Un chapitre charnière, celui où l'intuition devient projet, et où la cuisine cesse d'être seulement un savoir-faire pour devenir un lieu de vie.Pour découvrir l'univers de Cybèle Idelot, c'est par ici !
Dans cette première partie, Cybèle Idelot remonte le fil de son histoire, là où tout commence vraiment :au nord de San Francisco, dans un environnement où la cuisine est indissociable du produit, du respect du vivant et du rituel de la table.Elle raconte une enfance marquée par deux figures fondatrices :une grand-mère attachée aux codes, aux tables dressées comme des cérémonies,et une mère voyageuse, curieuse, végétarienne avant l'heure, ouverte aux cuisines du monde.Entre ces deux pôles se construit un rapport instinctif à la cuisine, sans projet professionnel clair, mais avec une évidence : celle de recevoir, de rassembler, de nourrir les autres.Formée à l'art, attirée par l'architecture intérieure, Cybele ne pense pas devenir cheffe.La cuisine s'impose pourtant, progressivement, par le geste et par le plaisir.Sans école, sans peur, avec cette énergie qu'elle revendique, très américaine finalement : décider et se lancer !De la France à Saint-Barth, des cuisines privées à des univers ultra-exigeants, elle fait ses premières armes en autodidacte, apprend à anticiper, à écouter, à s'adapter, et découvre dans l'intimité du métier une manière très personnelle de penser la cuisine.Une première partie fondatrice, où se dessinent déjà les lignes fortes de son approche :le produit avant tout, l'empathie, l'attention aux personnes, et cette relation directe, presque instinctive, entre la terre, la table et celles et ceux qui s'y retrouvent.Pour découvrir l'univers de Cybèle Idelot, c'est par ici !
Dans cet épisode de CHEFS, je vous propose une rencontre rare, vibrante, avec un chef dont la cuisine dit tout de sa trajectoire : Giuliano Sperandio, aujourd'hui à la tête du Taillevent.Un chef discret, presque silencieux dans les médias, mais dont la parole — quand elle se pose — raconte une vie entière. Dans cet épisode, on remonte le fil :L'enfance heurtée, les premiers repères, l'appétit démesuré qui devient une forme d'ancrage.L'Italie, les rites familiaux, la nourriture comme refuge et comme langage.La bascule : quitter son pays adolescent, reconstruire ailleurs, trouver dans la cuisine une possibilité, un métier, une identité.Les grandes maisons, l'arrivée en France, les cuisines exigeantes, le travail sous pression, la construction du chef qu'il est devenu.Le Taillevent, enfin : ce lieu chargé d'histoire où il déploie aujourd'hui sa voix, sa sensibilité et une liberté culinaire rare.Giuliano raconte avec une authenticité désarmante le chemin parcouru, ses failles, son exigence, ses fulgurances, son rapport à la création, au plaisir, au vrai.C'est un échange profond, parfois brut, toujours humain — une conversation qui révèle l'homme derrière le chef, et le feu derrière sa grande cuisine!Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
(December 05, 2025) IT’S FOODIE FRIDAY! Food enthusiast and host of ‘The Fork Report’ on KFI Neil Saavedra joins Bill to talk about Honey Baked’s new prime rib, Fruity Pebbles is officially brining back a fan-favorite flavor from the 90’s, World Market’s new stocking stuffers, and Chefs best store bought flour. The show closes with ‘Ask Handel Anything.’See omnystudio.com/listener for privacy information.
IT’S FOODIE FRIDAY! Food enthusiast and host of ‘The Fork Report’ on KFI Neil Saavedra joins Bill to talk about HoneyBaked’s new prime rib, Fruity Pebbles is officially brining back a fan-favorite flavor from the 90’s, World Market’s new stocking stuffers, and Chefs best store bought flour.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Bienvenue dans « Ouvrir un restaurant », le format bonus du podcast CHEFS.Chaque vendredi, David et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, partagent leurs conseils concrets pour aider les futur·e·s restaurateur·rice·s à se lancer sereinement.Dans cet épisode, une question essentielle : ai-je le droit de vendre ce que je veux, quand je veux ?Adrien rappelle que la restauration est un secteur très encadré, où les autorisations dépendent du type d'offre, des horaires d'ouverture et du lieu d'implantation.Il explique :Les formations obligatoires :HACCP pour la sécurité alimentaire.Permis d'exploitation pour servir de l'alcool.PVBAN pour la vente d'alcool de nuit.Les démarches administratives clés : déclaration en mairie, conformité du bail, affichages légaux.Les risques en cas de manquement : fermeture administrative, sanctions financières, voire perte de licence.
Dans cet épisode de CHEFS D'ENTREPRISE-S, on plonge dans le parcours d'un entrepreneur qui a bâti une des maisons familiales les plus remarquables du paysage français : Bertrand Jallerat, l'homme derrière le Grand Monarque à Chartres.Né dans une famille d'hôteliers-restaurateurs, élevé entre le travail, le pensionnat et les premières émotions vécues dans le hall d'un hôtel, Bertrand se forme très tôt — à quatorze ans — dans les cuisines et les salles où il apprend les bases du métier.Puis Lausanne, l'école, et surtout un tournant décisif : son entrée chez Paul Bocuse, qui deviendra pour lui bien plus qu'un modèle de cuisine, un mentor de l'hospitalité. Une véritable école de vie et de management, où il observe au quotidien comment on fait tenir un groupe, des équipes, des brasseries, des voyages, un univers.Paris, ensuite avec une adresse mythique de la gastronomie Le Petit Riche: la cadence, la salle qui déborde, les décisions prises à l'instinct, l'intuition commerciale… et la rencontre avec celle qui deviendra son épouse et sa partenaire dans tous les futurs projets...La suite, c'est un chemin entrepreneurial fait de paris audacieux :— ouvrir une brasserie sans apport,— transformer le Grand Monarque sans jamais le trahir,— créer un spa dans une ville où personne n'y croyait,— faire grandir des équipes sur deux décennies,— et imaginer aujourd'hui l'aboutissement du Monarque, comme un retour à la source après avoir bâti un véritable écosystème.Un épisode sur la vision, sur la transmission, sur la manière de créer des lieux qui accueillent, et sur un mantra que tout hotelier, aubergiste, chef et restaurateur pourrait se répéter au quotiden: "notre matière, c'est l'humain".Un parcours de bâtisseur, incarné, raconté avec simplicité, pudeur, et une précision qui dit beaucoup de la manière dont il dirige.Pour découvrir la villa Edmond à Bièvres, à deux pas de Paris c'est par ici !
Deuxième épisode de notre hors-série “Le Noël des Chefs”, où l'on explore les souvenirs, les gestes et les premières émotions qui naissent autour de la table pendant les fêtes.Dans cet épisode, place à une voix rare, sensible et précise : Jade Genin, chocolatière et fondatrice de sa maison éponyme.Fille de Jacques Genin, figure majeure du chocolat et de la pâtisserie française, Jade raconte un parcours fait de questionnement, de détours en apparence et de retours assumés — un chemin où l'héritage est un ingrédient de base mais où l'on apprend à tracer sa propre ligne.Elle se livre sur son enfance, sur l'atelier, sur la rigueur et la beauté du geste observées dès son plus jeune âge.Elle raconte aussi ce rapport particulier à Noël : la magie du chocolat, les sensations, les images qui reviennent, les premières créations qu'elle ne montrait qu'à demi, la pression qu'elle s'est longtemps imposée… et ce moment où l'on s'autorise enfin à trouver son style, sa forme, sa liberté.Un échange personnel, élégant, profondément humain, où l'on comprend comment une matière peut devenir un langage, et comment une artisane trouve sa place entre transmission et affirmation.
Dans cette troisième et dernière partie de notre échange avec Giuliano Sperandio, on entre dans ce qui fait la matière la plus intime de son parcours :les virages, les départs, les remises à zéro, les moments où l'on se demande si l'on est encore en phase avec soi-même — et ce besoin vital qu'il a toujours eu de se retrouver.On suit Giuliano dans une période dense :son arrivée à La Bigarrade, la fulgurance des deux étoiles, puis le doute.Le sentiment de ne pas être aligné malgré les succès, cette impression d'être applaudi mais “pas connecté”.C'est là qu'il quitte tout, retourne sur une plage d'Imperia servir des glaces et cuisiner comme un pêcheur… juste pour vérifier s'il a vraiment le niveau, sans artifice, sans critique, devant ceux qui l'ont connu enfant.Et puis vient Le Clarence, une aventure de liberté totale avec Christophe Pelé — liberté tellement vaste qu'elle virte à l'excès et provoque l'envie de retrouver un cadre, un terrain de jeu plus net.Arrive alors l'appel du Taillevent.Un rendez-vous à armes égales, un papier qu'il rédige seul dans sa chambre en plein Covid où il raconte “le Taillevent passé, présent et celui qu'il souhaite dessiner”.Et il obtient la maison.Dans cette partie, il raconte comment il a remis de la vie dans cette institution,Comment l'élégance peut enlacer l'agilité,Comment on bâtit une maison qui sourit, en rendant chacun libre d'être lui-même.Et puis il y a la vie privée, les choix difficiles, les ruptures qui se fondent dans la continuité... C'est un final d'une grande sincérité, un chef qui se raconte sans filtre, avec ses forces, ses doutes, ses lignes de fuite et cette façon très personnelle de remettre du vivant partout où il passe!Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
Dans cette deuxième partie, on retrouve Giuliano Sperandio au moment où sa vie bascule vraiment dans le métier.C'est un chapitre fait de voyages, d'apprentissages parfois rudes, de rencontres fondatrices et de décisions parfois impulsives — mais toujours guidées par une boussole intérieure très claire : vivre sa vie, pas celle que les autres attendent.On le suit du concours européen au Luxembourg — qu'il gagne presque malgré lui — à Monaco, puis Rome, où il découvre ce qui deviendra sa cuisine : les condiments, les cuissons, les jus, ces « petites touches qui font briller le palais ».On le découvre observateur obsessionnel, mémoriel sur les gestes et les attitudes, mais totalement imperméable à l'idée de reproduire un plat qu'il n'a pas compris.Et puis il y a ces virages qui disent tout de son tempérament :New York et ses cuisines chaotiques, la Suisse, la Grèce avec Nobu, puis ce besoin presque organique d'apprendre les bases françaises, à Paris, quitte à mettre son couple dans la balance.Ce chapitre, c'est le moment où Giuliano se construit un langage : chercher, absorber, décoder, comprendre — et ne jamais faire semblant.Une trajectoire faite « d'envies » plutôt que de plans, de liberté cadrée et d'intuition.Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
Send us a textHello and welcome to the show. In today's episode, we dove spoon-first into the world of weird holiday mac and cheese — including Apple Pie Mac & Cheese and Ranch Mac & Cheese! We taste-tested, ranked them, and decided which (if any!) deserve a spot on the holiday dinner table this year.Then things got serious… Chex-Mix serious. We pretended Chex Mix hired us to make the tough call: Which piece has to be eliminated forever? The debate got spicy (like the rye chips).We wrapped things up with our hilarious listener poll: What do your kids ALWAYS fight about in the car? The answers were way too relatable and absolutely chaotic.If you love food, fun, and family chaos, this episode is for you!Support the showFacebook https://www.facebook.com/justtalkinoutloudTwitter https://twitter.com/just_outloudWebsite https://justtalkinoutloud.buzzsprout.comEmail justtalkinoutloud@gmail.com https://www.buzzsprout.com/1925628/supporters/new https://www.buzzsprout.com/?referrer_id=1907869https://www.speakpipe.com/justtalkinoutloud
Chef du Taillevent, à Paris depuis 2021, Giuliano Sperandio est aujourd'hui un profil singulier de la haute cuisine française.Longtemps dans l'ombre de Christophe Pelé, il assoit désormais son univers avec une vivacité et une liberté remarquables — une main fine, précise, inspirée, une agilité qui fait vibrer les murs d'une institution historique.Dans ce premier chapitre consacré à Giuliano Sperandio, on remonte à l'origine de tout.Loin du prestige du Taillevent, loin de la vivacité créative qu'on lui connaît aujourd'hui, il y a un enfant de Ligurie — un petit village de 75 âmes, beaucoup de silence, une tristesse très tôt installée, mais aussi une immense bienveillance. Giuliano raconte sans détour cette enfance marquée par l'absence, la dépression, la nourriture comme refuge et cette première image fondatrice : un petit garçon enfermé dans les toilettes de l'école, qui face à une araignée, écrit sur un bout de papier comme une échapattoire qu'il veut être glacier.On découvre aussi la table de ses grands-parents, seul lieu joyeux, généreux, où les pâtes, les viandes, les desserts rythmaient les week-ends.On parle des difficultés de l'adolescence, de son entrée à l'école hôtelière, du premier stage dans un hôtel réputé “dur”, des carottes qu'on doit éplucher comme on ferait une introspection, de la violence de certains gestes en cuisine, et de la manière dont le jeune Giuliano tente de se construire malgré tout.Cette première partie est un récit puissant, brut, d'une grande sensibilité.Et pour comprendre l'homme et le chef qu'il est devenu, il faut commencer là : dans un village de Ligurie, avec un enfant triste et lumineux à la fois, avec cette force singulière qu'il a de transformer les éprevues et les cicatrices en énergie.Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
Send us a textMiami y Hialeah, this one is for you.I'm joined by someone who feels like an extension of every 305 childhood: Amy Cao of Vicky Bakery. She embodies everything that makes this brand so beloved: warmth, family, community, and that unmistakable sense of Cuban hospitality that hits you the second you walk through the door. We chat about:The original Southeast 8th Street bakery and how Cuban immigrants created a community staple.Amy's childhood birthday parties featuring the iconic Vicky Bakery cajitas (proof her future was written early).Our high school tiesWhy walking into any Vicky location feels like stepping into your Tía's kitchen: warm, loud, loving, and hungry.Franchising the Cuban way: Vicky University, family values, and the “right fit” rule.The goal of 100 locations by 2030, including the newest openings from Key Largo to Hialeah Park Casino.The cakes, the croquetas, the seasonal pumpkin offerings, and the refresquitos everyone is obsessed with.Amy's dream chef collabs (yes, Michelle Bernstein and Chef Adrianne, we see you).And of course, some classic Brenda tangents, laughter, and plenty of Miami chisme energy.If you grew up here, if you've ever held a red-and-white Vicky cajita at a party, or if pastelitos are your love language… this episode will feel like home.Subscribe, leave a review, and watch the episode on YouTube to see the pastelito-powered nostalgia in action.
Cette semaine dans CHEFS D'ENTREPRISE-S, on reçoit un acteur clé du paysage gastronomique… mais qui n'est ni chef, ni restaurateur : Damien Rodière, directeur général de TheFork France.Un épisode passionnant pour comprendre comment s'est bâtie la plateforme qui accompagne des millions d'utilisateurs et des dizaines de milliers de restaurateurs chaque mois.Damien parle avec précision de la mission de son entreprise — « aider quelqu'un à trouver le bon restaurant, au bon moment » — et de ce que cela implique en termes d'avis, de photos, d'inspiration, de lisibilité et de relation avec les professionnels. Et il raconte aussi ses débuts et la manière dont sa vision et sa mission ont évolués.Il revient aussi sur les débuts parfois hésitants des restaurateurs face aux avis, sur la nécessité de rendre l'information “digeste” et utile, sur l'accompagnement terrain… mais, comme toujours dans CHEFS, on explore aussi l'histoire derrière la fonction.On découvre ainsi un parcours étonnant :un enfant de Dax élevé autour de la table familiale, un jeune homme qui cherche sa voie, qui passe par l'ingénierie, un stage dans les vignes du Nebraska, un autre dans les antennes télécoms, puis la tech, puis le conseil…avant de trouver, presque sans l'avoir anticipé, l'entreprise dans laquelle toutes ses compétences prennent sens : TheFork.Vous passez volontairement des entretiens d'embauche pour jauger de votre envie de garder votre emploi? Lui si et ça fait partie de ces tips de dirigeants pour justement trouver du sens au quotidien...Un échange clair, humain, concret — qui dit beaucoup de la nouvelle génération de dirigeants dans le monde de la food et de la tech !
Chaque vendredi, en bonus du podcast CHEFS D'ENTEPRISE-S. David et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, partagent des conseils pour aider les futur·e·s restaurateur·rice·s à transformer leur idée en projet solide.Dans cet épisode, une question fréquente : faut-il prendre un expert-comptable dès le début ou attendre d'avoir du chiffre d'affaires ?
(November 27, 2025) Happy Thanksgiving! The Fork Reporter Neil Saavedra hosts this Turkey Day edition of the Bill Handel Show. As an annual tradition Neil takes listener calls about Thanksgiving food, prep, recipes, tips, and tricks.See omnystudio.com/listener for privacy information.
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(November 27, 2025) Happy Thanksgiving! The Fork Reporter Neil Saavedra hosts this Turkey Day edition of the Bill Handel Show. As an annual tradition Neil takes listener calls about Thanksgiving food, prep, recipes, tips, and tricks.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Referenced Episodes:1) Whole Fish, Whole Future in the Great Lakes with David Naftzger2) Conservation Through Utilization with Dallas Abel of the Kai Ika Project3) Regenerative Aquaculture: How Pine Island Redfish is Restoring Coastlines, One Fish at a Time Check out our website!: https://www.globalseafood.org/podcastFollow us on social media!Twitter | Facebook | LinkedIn | InstagramShare your sustainability tips with us podcast@globalseafood.org!If you want to be more involved in the work that we do, become a member of the Global Seafood Alliance: https://www.globalseafood.org/membership/ The views expressed by external guests on Aquademia are their own and do not reflect the opinions of Aquademia or the Global Seafood Alliance. Listeners are advised to independently verify information and consult experts for any specific advice or decisions.
Pour la première fois, CHEFS propose un hors-série : Le Noël des Chefs.Pendant un mois, chaque jeudi, jusqu'à Noël, un grand nom de la gastronomie revient sur ses souvenirs d'enfance, les fêtes, les premiers gestes, ces moments qui ont façonné son rapport au goût… et, bien souvent, sa vocation !Pour ouvrir cette collection, un invité rare, un chef immense : Éric Frechon.Trois étoiles, Meilleur Ouvrier de France, figure majeure de la cuisine française, un chef reconnu mais plutôt discret.Dans cet épisode, il replonge dans sa Normandie natale :• les Noëls en famille, autour des produits simples et frais,• les marchés, le jardin, la cuisine du grand-père,• ce premier « vrai » repas de réveillon qu'il prépare à quinze ans — huîtres chaudes comprises, servies fièrement pour l'occasion,• et cette envie très tôt ancrée : être indépendant, travailler, trouver sa voie.En filigrane, c'est la naissance d'un chef que l'on découvre : l'envie de faire plaisir, le goût du travail, la fierté de bien faire… qui ont contribué à construire un artisan, puis un chef, puis une référence.Un épisode intime, sensible, rare — un retour aux sources qui ouvre magnifiquement cette série dédiée à l'esprit de Noël!Pour retrouver l'univers d'Éric Frechon c'est par ici !
FRANK KABATAS and EAST VILLAGE PIZZA'S SUCCESS JOURNEYFrank Kabatas, the owner of East Village Pizza in New York City, shared his journey from being born in Turkey to becoming a successful pizza maker in the United States. He explained that after moving to the US at age 23 in 1997, he initially worked at East Village Pizza before being fired after six months. He then found a job at Ben's Pizzeria, where he learned valuable pizza-making skills. Frank emphasized his pride in owning East Village Pizza and his determination to succeed.Frank shared his journey in the pizza industry, starting with a local pizzeria where he learned the craft and worked long hours while studying English as a second language and briefly computer science. After the pizzeria was sold, he transitioned to Domino's in Long Island, initially as a driver but soon became a manager due to his pizza-making skills. Despite the differences between the local and chain pizzerias, Frank valued the experience gained at Domino's, particularly in marketing, which he applied in his subsequent role making pizza in Manhattan and the West Village.Frank's Pizza Journey and PassionFrank shared his journey of purchasing East Village Pizza in 2003 with his brother, emphasizing the importance of courage and happiness in achieving life goals. He discussed his passion for making pizza, particularly his signature margarita pizza, and highlighted the significance of using high-quality ingredients like San Marzano tomatoes and his own secret recipe for the sauce. Frank also mentioned his other popular menu items, such as double-stack pizza and cheese and garlic knots, and expressed his LOVE for a margarita pizza.https://www.eastvillagepizza.netLEAH BEN and OLD CITY DISTRICT'S HOLIDAY EVENTS and ANNOUNCEMENTSLeah, the Director of Marketing for Old City District, joined Amaris to discuss the upcoming holiday season and events in Old City. They talked about the history and current state of Old City, including recent restaurant accolades and new businesses. Leah explained the evolution of the holiday shopping event into a "sip and stroll," combining shopping with dining and entertainment opportunities. They also discussed the importance of walkable cities and the collaboration between shops and restaurants to attract visitors.Leah discussed the upcoming HOLIDAY SHOPPING SIP & STROLL EVENT with open streets in Old City on December 6th from 12-4pm, featuring carolers, a Snow Queen on stilts, and a brass band, while Amaris highlighted the historic aspects like horse tethering bars and the Betsy Ross house chocolate demonstration. The holiday shopping sip and stroll will feature nearly 40 businesses offering promotions, including Cuba Libre's $4 espresso martini and mango cinnamon butter, while the Elfreth's Alley fundraiser offers decorated home tours and discounts at participating restaurants.https://www.oldcitydistrict.orgRAGINI PARMAR and NATURE'S VINLastly, Amaris spoke with Ragini Parmar, who owns the natural wine bar and marketplace called Nature's VIN in Wayne, Pennsylvania. Ragini shared her background in tech and how she transitioned to opening Nature's VIN, which celebrates women in wine and the broader community. They discussed the differences between natural, organic, and biodynamic wines, as well as the bar's offerings, including tastings, classes, and gift options. Ragini emphasized the bar's focus on sustainability, digital experiences, and supporting women-owned businesses.Ragini also strongly believes in the philosophy of making wine accessible to everyone, for that reason she wanted to make sure to have transparency with the items you will find within her business' marketplace. You can also find more information about the products, the makers, and more by using the tablets provided to you while you shop.https://www.naturesvin.com
Il y a des épisodes qu'on rêve un jour de pouvoir enregistrer et celui-ci en fait partie.Dans CHEFS, vous le savez, on remonte les histoires, on parle de transmission, de cuisines qui se construisent, de brigades qui se soudent…Mais là, on vous embarque au cœur d'un moment fondateur de la gastronomie française contemporaine.Il faut remonter à la fin des années 80, au début des années 90.À cette époque, personne ou presque ne va dîner dans un palace — à moins d'y dormir. Les grandes tables des hôtels ne sont pas encore des destinations gastronomiques.Et puis un jour, l'Hôtel de Crillon confie sa cuisine à un chef nommé Christian Constant.Ce dernier rappelle alors son poulain Yves Camdeborde qui lui présente Éric Frechon, et avec Christophe Felder, ils vont former la bande du Crillon!C'est le début d'une aventure qui va tout changer.Vous allez entendre comment cette équipe s'est formée, comment Christian Constant est allé chercher “des humains avant tout”, des professionnels capables d'affronter une maison vieillissante, aux installations fatiguées, dans un contexte difficile. Yves Camdeborde décrire l'arrivée au Crillon comme “une bouffée d'oxygène”, après une période compliquée à la Tour d'Argent On entend Christophe Felder se souvenir du premier rendez-vous, de “l'accueil franc”, de cette intuition immédiate que “ça allait être aidant, formateur, vivant”. On entend Éric Frechon dire le challenge qui se dressait devant eux.Et puis, il y a la suite : Le travail. L'amitié. La rigueur.Les bières après le service.Le management participatif de Constant, “en avance sur son temps”, disent-ils.Et les plats historiques, le pied de cochon, le maquereau, les gestes canailles qui entrent dans un décor signé Sonia Rykiel, et qui finissent par faire bouger toute la restauration parisienne.Dans cet échange on comprend quelque chose de fondamental : au Crillon, on a inventé une manière de cuisiner sous les dorures et surtout une manière d'être ensemble.Une manière qui a contribué à former une pléiade de chefs :Thierry Breton, Thierry Faucher, Emmanuel Renaut, Jean-François Piège, Jean-François Rouquette, Gilles Marchal…Tous passés par là, tous marqués par cet esprit où “la passion”, “l'exigence”, “la rigueur”, “le respect du client”, “la confiance” ne sont jamais négociables.Dans cet épisode, les quatre racontent : comment ils se sont retrouvés, comment ils ont tenu, comment ils ont évolué, comment ils ne se sont jamais vraiment quittés...C'est un moment rare.Une conversation précieuse, directe, drôle, vraie.Une plongée dans l'histoire, racontée par ceux qui l'ont vécue.Une masterclass de management, de transmission, et d'humilité.Alors je suis très heureux de vous proposer cet épisode.Parce qu'il n'est pas seulement un retour vers une époque mythique.C'est un rappel :que derrière les grandes maisons, il y a des collectifs,que derrière les étoiles, il y a des équipes,que derrière les chefs, il y a des hommes.Bienvenue dans un chapitre clé de la gastronomie française avec la bande du Crillon !
Dans cet épisode de CHEFS, j'accueille un chef dont on parle souvent… mais que l'on entend rarement.Mathieu Pacaud fait partie de ces figures que la gastronomie française cite depuis des années — parfois pour ses réussites, parfois pour ses excès, souvent pour sa filiation — mais dont on connaît finalement très mal la véritable histoire.Né le jour même de l'ouverture de L'Ambroisie, avant ses trois étoiles évidemment, avant même la place des Vosges, il grandit néanmoins collé à un monument : Bernard Pacaud, son père. Un contexte unique, écrasant parfois, qui lui impose très tôt un parcours singulier : commencer au plus bas, prouver chaque geste, travailler sans relâche pour se faire un prénom... "Un enfer..."Dans cet entretien, il revient sans détour sur ce qui l'a construit :la rigueur, l'ambition brute, les années où il fallait se battre pour être reconnu... On entend aussi le virage entrepreneurial, le besoin d'ouvrir, diriger, créer, agrandir son univers… jusqu'à devenir aujourd'hui l'un des chefs les plus actifs et les plus prolifiques de sa génération.Il raconte avec franchise ses maladresses, son tempérament vif, ses choix parfois abrupts, mais aussi la manière dont il cherche désormais un rapport plus apaisé au métier — en homme qui a compris que durer compte davantage que briller.Un échange rare, sans filtre, qui dévoile enfin l'homme derrière le nom, derrière la réputation, derrière les fantasmes.Un chef qui s'est construit seul, contre beaucoup, parfois contre lui-même, et qui avance aujourd'hui avec une vision claire : la liberté, le travail, et l'envie de bâtir.Retrouvez l'univers de Mathieu Pacaud, ici !
A headline on Facebook grabbed my attention this week. It was from a big national grocery chain running a Thanksgiving promotion that feeds ten people for five dollars per person. It made me pause, partly because the idea is tempting, but also because it raised a few questions in my mind about scale, ingredients, and what we really want on our holiday tables. If you cook for a smaller group, or you are thinking creatively about Thanksgiving this year, I have thoughts to share!Then I talk with today's guest, Dee Rotman from deesweets.com. Dee focuses on helping people make impressive desserts without losing the whole day to the kitchen. She builds recipes that feel special but stay friendly for tight schedules. She also seriously loves almonds, which shows in the recipe she is sharing with us today. It's for Almond Croissant Cookie Bars that are inspired by those classic bakery almond croissants. Yum!Dee's Recipe: Almond Croissant Cookie BarsDee's website: Dee & Sweets WebsiteDee on Instagram: @dee_and_sweetsChristine's Links: Join the COOKforTWO membership community!Headline that stopped my scroll: Kroger Thanksgiving Meal Bundle InfoRecipes:How To Roast Turkey PerfectlyTurkey GravyPancakes for TwoLasagna for TwoBroccoli Cheddar Pickle DipEmail Me! CookTheStory@gmail.comSubscribe to the PodcastJoin the ROTD Facebook Group, TikTok, or InstagramWebsites: CookTheStory.com and TheCookful.comChristine's Newsletter
(November 21, 2025) IT’S FOODIE FRIDAY! Food enthusiast and host of ‘The Fork Report’ on KFI Neil Saavedra joins Bill to talk about Tupperware’s first foray into glassware, Grocery store Thanksgiving bundles, turkey from Popeye’s Chicken, and Costco best Thanksgiving sides. The show closes with ‘Ask Handel Anything.’See omnystudio.com/listener for privacy information.
Chaque vendredi, on explore la face business de la gastronomie.Et aujourd'hui, place à un entrepreneur qui bouscule littéralement le marché.Édouard Hausseguy, c'est l'histoire d'un gamin lumineux, élevé en Normandie entre un père prof de golf et une mère très présente, un gamin qui a appris très tôt à naviguer entre tous les milieux sociaux, à parler à tout le monde, à ne pas sacraliser, à foncer. Une enfance joyeuse qui, comme il le dit, lui a permis de conserver cette « joie, cette naïveté, cette légèreté » qui le caractérisent aujourd'hui !Ce qui est fascinant dans son récit, c'est cette trajectoire où rien n'était écrit du côté de la restauration.À 16 ans, il teste déjà l'entrepreneuriat.À 18, il organise des soirées.À 20, il retape des voitures.Puis vient la finance… puis l'envie de s'en échapper.Et un jour, presque par hasard, il tombe sur un restaurateur en galère de clients.Il comprend qu'il y a là un besoin, une faille dans le système, un truc à inventer.Ce sera Hemblem, puis Baracuda, avec cette idée d'utiliser les créateurs de contenus pour remplir les restaurants — et surtout de rendre ça accessible aux petites maisons, à ceux qui n'ont pas les moyens de se payer une agence.C'est ce chemin-là qui va le conduire, quelques années plus tard, à Gruppomimo.Une aventure née « presque par accident » pendant le confinement, quand son futur associé, Benoît, lui propose d'ouvrir un restaurant italien. Édouard accepte et imposer une ligne de conduite :« Toi tu gères, et moi je le remplis. »Le premier restaurant fait explose les compteurs : "un établissement qui faisait 200 000 € par an passe à 220 000 € par mois… uniquement en vente à emporter!"Le reste suivra : des ouvertures qui se succèdent, une croissance remarquable, la structuration d'un groupe et aujourd'hui un développement en France et en Europe.Mais ce que vous allez entendre, ce n'est pas seulement l'histoire d'un business.C'est un état d'esprit.Un entrepreneur qui parle cash, qui parle process, erreurs, rentabilité, stratégie en toute simplicité. Décomplexé quand on l'entend quand il parle à ses équipes, à ses franchisés, à ses pairs.Il explique ses succès sans arrogance, assume ses plantages, et raconte comment on passe de son salon à une entreprise qui vise désormais Londres, Lisbonne, Berlin.Un entrepreneur capable aussi de décrire la restauration comme ce qu'elle est vraiment :15 métiers en un, un univers où la passion ne suffit pas, un secteur où l'on doit comprendre la marge, le food cost, le RH, la logistique, les cycles, les chocs économiques — et il continue d'y croire!Cet épisode, je suis très heureux de vous le proposer.Parce qu'à l'heure où la profession traverse une période difficile, il est précieux d'entendre un jeune entrepreneur dire les choses franchement, expliquer comment il fait, pourquoi il y croit, et ce qu'il faut savoir avant de se lancer, en toute simplicité. Cette simplicité avec laquelle il m'a répondu sur LinkedIn avant de me recevoir chez lui quelques jours plus tard. Je vous laisse maintenant découvrir ce récit – celui d'un entrepreneur de la nouvelle garde, qui redessine les règles du jeu avec son style, sa vision et son enthousiasme contagieux !Bonne écoute.
Welcome to the thirty-sixth episode of the Sweet Nothings podcast! Today we're talking about the Starbucks bear cups and gingerbread EVERYTHING (again). We're also discussing the ugly, weird, old-fashioned, traditional foodstuffs that we adore (even if everyone else doesn't).In case we haven't met, my name is Kelly. I write about food and other lovely things at maverickbaking.com and make foodie videos at Maverick Baking on YouTube. This is your home of relaxed, funny, and informative chats about the love of eating. We'll talk about the latest food trends, controversial opinions, and all things edible.Want to start your own podcast? Try out Buzzsprout here!Support the showSupport the show
Dans ce dernier chapitre de l'entretien avec Mathieu Pacaud, on bascule pleinement dans l'autre versant de son histoire : celui de l'entrepreneur.Après les années de formation, les épreuves, les apprentissages et les premières conquêtes, on entre dans le moment où tout s'accélère : la gestion de plusieurs maisons, les projets qui se superposent, les paris architecturaux, les prises de risques financières, les ouvertures, les fermetures… et une capacité rare à encaisser les secousses.Cette troisième partie raconte la transformation d'un cuisinier élevé dans l'exigence en un patron désireux de porter une vision et de l'assumer.On y entend un homme qui a grandi, qui réfléchit plus loin, qui analyse les erreurs du milieu, qui parie sur des modèles plus agiles, plus accessibles, plus en phase avec l'époque.On y entend aussi l'importance des rencontres : Costes, Vigato, Gourcuff… autant de personnages qui jalonnent son parcours et qui font basculer sa trajectoire, jusqu'à l'aventure Apicius.C'est une partie où l'on comprend enfin ce qui l'anime aujourd'hui : le défi, la création, l'adversité même — ce moteur qu'il revendique.Un chapitre essentiel pour comprendre l'homme derrière le chef, et l'entrepreneur derrière le technicien : la dernière ligne droite d'un récit dense, tendu, mouvementé — et profondément honnête.Retrouvez l'univers de Mathieu Pacaud, ici !
Dans cette deuxième partie, l'histoire bascule.On quitte les débuts, les apprentissages et les luttes identitaires pour entrer dans la zone où tout s'accélère, où les portes s'ouvrent… mais où les risques deviennent vertigineux.Après Guichard, après Brifard, après les palaces, il découvre l'ailleurs, les premières responsabilités, la solitude du chef, le travail loin de Paris, puis le retour — un retour à la maison, mais à l'échelon le plus bas — pour reprendre à zéro à L'Ambroisie, face au regard des autres, face au nom qu'il porte, et surtout face à lui-même.Dans cet épisode, il raconte comment il apprend vraiment son métier, assiette après assiette, essai après essai, refus après refus, jusqu'à signer la carte et devenir chef de la maison familiale.Puis tout s'accélère : premières créations, premiers projets entrepreneuriaux, premiers succès, premières étoiles… et les premières secousses.Vous entendrez ce que veut dire, réellement, « se faire un prénom ».Vous entendrez aussi à quel moment naît chez lui l'idée d'entreprise, de vision, d'indépendance.Et surtout, vous comprendrez comment un second souffle peut faire naître toute une trajectoire.Bienvenue dans la partie où l'histoire devient un chemin, où la technique rencontre l'ambition, et où Mathieu Pacaud commence véritablement à avancer…par lui-même.Retrouvez l'univers de Mathieu Pacaud, ici !
Brandon Parish and The Kibitz Room:Amaris welcomed Brandon Parish, the owner of The Kibitz Room in KOP to the show. Our host and Brandon then discussed how his growing up within the industry influenced his decision to expand on the family's business. Brandon was born into the deli and restaurant business and followed in his father's footsteps. They discussed the menu offerings at The Kibitz Room, including large portion sizes and the availability of breakfast items all day. Brandon's approach to the current menu is to focus on classic dishes while incorporating some creative twists, particularly for Hanukkah. He plans to offer various latke options, including traditional and innovative varieties, and will introduce a loaded latke with pastrami. The Kibitz Rooms can be found online at: https://thekibitzroomkop.com Chef Brad Daniels' Culinary Journey and Gloria Sports & Spirits:Brad Daniels, head chef and co-owner of Gloria Sports & Spirits in Warrington, PA, opened up about his culinary journey before discussing the newest restaurant from he and his partners. Chef Daniels' culinary journey stemmed from family influences, working for and with former restaurateurs, and after attending the CIA in New York. Chef Daniels then discussed his third restaurant venture, Gloria Sports and Spirits. Opened only 7 weeks ago, Gloria Sports & Spirits aims to be a female-friendly sports bar concept under Daniels' partnership with Trifecta Hospitality Co.Brad discussed the transformation of the bar with an emphasis on their scratch-made pizzas. Daniels' and his partners wanted to focus on using simple, yet high-quality ingredients in their menu offerings, along with creating an inviting atmosphere for families. He described the pizza-making process, highlighting the use of a double-stack deck oven and a hybrid Roman-style pizza technique. He also highlighted other menu items including snacks, shareable plates, wings in various flavors, sandwiches, and a unique hot dog. Brad also described their pasta offerings, emphasizing their collaboration with a local producer for their mac and cheese. You can find Gloria Sports & Spirits online at: https://gloriasportsandspirits.comRandy Pulayya and West Indies Peppa Sauce (WIPS):We rounded out the show with Randy Pulayya, co-owner of West Indies Peppa Sauce (also known as WIPS), about their family-owned business that produces two scotch bonnet pepper sauces based on a four-generation-old recipe. Randy explained that the company, based in Florida, was founded 20 months ago and recently participated in their first trade show, where Amaris met Randy and sampled their products. They discussed the differences between the red and yellow sauces, with the red being citrusy and smooth, and the yellow being tangy and bold.Randy shared the story of West Indies Pepper Sauce, a premium Caribbean brand founded in February 2024, inspired by his great-grandmother's recipe. He explained their two products, red and yellow pepper sauces, are versatile for cooking, marinating, and as a condiment, with recent expansion into 31 Florida Sprouts stores. Amaris and Randy further discussed the two sauces' flexibility for use in other recipe ideas, including drizzling some on eggs for breakfast, whipping some into an aioli for spreads, and as a marinade for meals.You can find more information and how to purchase WIPS online at: https://shopwips.com
Juice Basin and Owner Madeline VricellaAmaris welcomed Madeline Vricella, co-owner of Juice Basin, to discuss her background in hospitality and the family's connection to the juice industry. Madeline shared her experience working in hotels and her family's history in citrus, which she felt that owning Juice Basin was meant to be. They discussed the smooth transition when Madeline and her partner took over ownership of the business' original founder, and Madeline expressed gratitude for the ongoing support from the previous owner. The conversation also touched on the importance of using organic fruits in their products and the collaborative aspect of preparing juices.Madeline discussed Juice Basin's sourcing challenges, noting that they are the only USDA organic certified juice manufacturer and rely on partners to source organic fruits year-round. She explained that while they try to stay seasonal, they sometimes need to substitute with other juices like greens or beet when certain fruits are unavailable. Madeline further explained that Juice Basin offers 45 different juices and various cleanses, including a popular bridal cleanse and custom options for special dietary needs. She highlighted the benefits of wheatgrass shots, which are known for their energy-boosting and immune-boosting properties, and mentioned that some customers use shots like the Painless Shot (ginger and turmeric) for daily maintenance. Madeline also noted that the business ships products nationwide and is looking to expand its online presence to reach more customers.https://www.juicebasin.com/Chef Jim Hasson with Stargazy, Tanglewood Fire & Smoke, & Passion Projects/other Collaborations:Jim shared his career journey, starting with his childhood where he learned to cook with limited resources and watching PBS cooking shows. After briefly working as a police officer, he transitioned into the culinary industry, working at various restaurants including fast-casual concepts which eventually led to working inside higher-end restaurants. He described how he took jobs focused on learning new skills, eventually becoming a plant manager at a butcher before helping open Royal Boucherie where he worked the raw bar. Always a hard worker, Chef Hasson has worked multiple jobs at once, including his current roles at Stargazy off of East Passyunk Ave, Tanglewood Fire & Smoke in Folsom, PA, and current passion projects under his well-named endeavor, "Jimmy Biscuits" with New Jersey-based businesses.https://www.tanglewoodfireandsmoke.comhttps://www.stargazywastaken.comhttps://www.instagram.com/jimmybiscuits1971/?hl=enhttps://www.haddonculinary.comhttps://cupcakecarnivale.comReplay from Nov 4th 2024: Jezabel's Cafe:Jezabel Careaga's passion, traditions, and love of food is palpable when you hear her story in her own words on this week's Food Farms And Chefs Radio Show. With origins in the hospitality and business management, Jezabel's hands-on approach guided her to creating a venue that was welcoming to not only visitors of Jezabe's Cafe, but also to the individuals who work in the spaces that she crafted by hand. Ultimately, she shares the comforting meals she grew up with through her menu, store, and bakery. https://www.jezabelscafe.com
Send us a textOn this episode of The Whet Palette Podcast, host Brenda Popritkin sits down with David Whitaker, President and CEO of the Greater Miami Convention & Visitors Bureau, to discuss Miami's ever-evolving culinary identity.The last time Whitaker joined the show, Miami had just been named Bon Appétit's Food City of the Year and was taking its first steps into the Michelin Guide Florida partnership. Fast-forward to today, and the Magic City's restaurant scene has exploded—claiming James Beard Award wins, Michelin Keys, and countless national headlines celebrating its chefs and culture. This time, Travel + Leisure reported on the WalletHub report that officially named Miami the "#1 Food City in North America" in September 2025.Michelin, Miami, and Managing SuccessWhitaker credits Miami's success to both innovation and community resilience.“Once you get to the top, managing success is much harder than building to success,” he notes. “But what a privilege it is to maintain our position as one of the world's top dining destinations.”He highlights how Michelin's arrival didn't just reward 17 or so restaurants, it lifted all of Miami's culinary landscape. From Wynwood to Coconut Grove and Downtown Doral, fine dining has become a lifestyle, not a luxury.Beyond the Stars: Miami Spice and Local SupportPrograms like Miami Spice, which celebrates its 25th anniversary next year, continue to help both diners and restaurateurs thrive. In 2024 alone, a record 387 restaurants participated, generating more than seven million visits to the GMCVB's landing page.“Food is synonymous with lifestyle,” says Whitaker. “It's incumbent on all of us to continue to support our chefs. We can't take them for granted.”The Road Ahead: 2026 and BeyondWhitaker also teases a massive upcoming year for Miami:FIFA World Cup 2026 (nine matches hosted locally)College Football National ChampionshipNHL Winter ClassicFormula One and Miami Open returningAnd through it all, food will remain at the center of the city's global brand.“Miami is where you go if you want to make it big as a chef,” Whitaker adds.The TakeawayFrom Michelin stars to farm-to-table innovation, Miami's dining scene continues to evolve with creativity, resilience, and heart.
Order SEA CHANGE:Torrey House Press (use code BUDDY to save 20%)On AmazonEvironmental Defense fund: WebsiteLinkedInXInstagramFacebookCheck out our website!: https://www.globalseafood.org/podcastFollow us on social media!Twitter | Facebook | LinkedIn | InstagramShare your sustainability tips with us podcast@globalseafood.org!If you want to be more involved in the work that we do, become a member of the Global Seafood Alliance: https://www.globalseafood.org/membership/ The views expressed by external guests on Aquademia are their own and do not reflect the opinions of Aquademia or the Global Seafood Alliance. Listeners are advised to independently verify information and consult experts for any specific advice or decisions.