Podcasts about cour supr

  • 230PODCASTS
  • 578EPISODES
  • 22mAVG DURATION
  • 5WEEKLY NEW EPISODES
  • May 20, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about cour supr

Latest podcast episodes about cour supr

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : les Haïtiens protestent contre l'inaction de l'État

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later May 20, 2025 30:00


Depuis une semaine, plusieurs organisations du Plateau central bloquent la centrale hydroélectrique de Péligre, la principale source d'électricité d'Haïti, pour protester contre l'inaction de l'État face à l'insécurité croissante dans la région. Nous en parlons avec Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Les villes de Saut d'Eau et de Mirebalais sont particulièrement touchées par les gangs armés. Les manifestants réclament des services publics essentiels, la sécurité, et un traitement équitable en matière de distribution d'électricité, selon le directeur de l'agence Alterpresse. Ce mouvement se présente comme une « prise en main citoyenne face à l'effondrement des institutions publiques » et le sentiment général que l'État a largement abandonné la population. Cette mobilisation plonge la capitale Port-au-Prince dans un black-out depuis le 13 mai 2025. Alterpresse souligne que ce mouvement intervient dans un contexte sécuritaire alarmant. Gotson Pierre revient aussi sur la fête du drapeau, le 18 mai dernier, qui s'est déroulé dans un climat tendu. Face à l'inaction du gouvernement, le discours du coordonnateur du Conseil présidentiel de transition (Cpt), Fritz Alphonse Jean, qui a appelé les Haïtiens à l'unité et à la résilience, a été vivement critiqué, selon le directeur d'Alterpresse.Omerta sur l'acuité mentale de Joe Biden ?  – les révélations explosives du livre enquête « Original Sin » Ce mardi, sort aux États-Unis le livre évènement « Original Sin », « Péché originel ». Il raconte comment l'entourage de l'ancien président démocrate l'a isolé des mauvaises nouvelles et a dissimulé la dégradation flagrante de son état physique et cognitif. Selon les auteurs, Alex Thompson, d'Axios, et Jake Tapper, de CNN, la Maison Blanche de Joe Biden « a trompé le peuple américain ». L'obstination de Joe Biden et de ses proches a directement conduit à la défaite démocrate face à Donald Trump, malgré la campagne éclair de Kamala Harris, soulignent les deux journalistes. Nous en parlons avec le spécialiste des États-Unis, Romuald Sciora, chercheur associé à l'IRIS. À lire aussiSanté mentale de Biden: «Plus qu'un mensonge d'État, un crime contre la démocratie américaine»« Trump se fait mener en bateau par Poutine » La presse nord-américaine commente abondamment la conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, et se montre très critique de l'attitude du président américain, Achim Lippold.« Donald Trump n'est pas connu pour sa patience ni pour sa clémence envers ceux qui défient sa volonté », écrit le Washington Post. Ces derniers jours, il s'en est pris tour à tour à la procureure générale de New York, à Bruce Springsteen, à Beyoncé et à l'ancien directeur du FBI James B. Comey — tous visiblement coupables, à ses yeux, de l'avoir contrarié d'une manière ou d'une autre. Mais, poursuit le journal, « lorsqu'il s'agit du dictateur russe Vladimir Poutine — qui continue de saboter les efforts de Donald Trump pour mettre fin à la guerre en Ukraine —, le président américain fait preuve d'une patience, d'une bienveillance et d'une compréhension sans fin. En coulisses, Donald Trump se plaint que mettre fin à une guerre est plus difficile qu'il ne le pensait. « Sans blague », commente le Washington Post et suggère au chef de la Maison Blanche de traiter Vladimir Poutine comme il traite tous ceux qui lui tiennent tête. Mais pour l'instant, conclut le Washington Post, c'est Vladimir Poutine qui mène Donald Trump en bateau, et le président américain ne semble pas s'en rendre compte.Trump pourrait se désengager de la guerre en Ukraine car de son point de vue, c'est une affaire purement européenne. Selon cette idée, que l'aide américaine serait donc un geste charitable, plutôt qu'un impératif stratégique. Or, The New York Times avertit que cette vision est dangereusement simpliste. Selon le quotidien, Vladimir Poutine ne se limite pas à l'Ukraine : il cherche à remettre en cause l'ordre européen d'après-Guerre froide et à restaurer l'influence globale de la Russie au détriment des États-Unis. Un accord de paix mal négocié risquerait de fragiliser l'Europe — un partenaire économique majeur de l'Amérique — et d'aggraver les défis géopolitiques auxquels Washington est déjà confronté. Le journal conclut que l'administration Trump devra tôt ou tard affronter le Kremlin, Mais plus elle attend, plus cela coûtera cher aux États-Unis.La Cour Suprême autorise l'administration Trump à révoquer le statut de protection temporaire pour les migrants vénézuéliens. Le gouvernement pourra donc expulser quelque 350.000 Vénézuéliens, alors que cette affaire est jugée devant les tribunaux. Mais chez les Vénézuéliens de Miami, c'est la panique. Une Vénézuélienne citée par le Miami Herald dénonce une « décision cruelle » qui laisse des milliers de personnes dans un vide juridique. Ils pourraient perdre leur statut et leur autorisation de travail. Selon cette habitante d'Orlando, la Cour Suprême « fait fi de la dignité humaine et des valeurs fondamentales américaines, comme celle de protéger ceux qui ne peuvent pas rentrer chez eux en sécurité ». Et Cecilia González Herrera, c'est son nom, de poursuivre : « Nous sommes des gens honnêtes — étudiants, enseignants, soignants, survivants — qui contribuent grandement à ce pays. Nous méritons mieux que de vivre dans la peur d'être renvoyés vers un pays dangereux. ». Le journal El Nacional souligne qu'en Floride, où résident environ la moitié des plus de 600.000 Vénézuéliens présents sur le territoire américain, beaucoup avaient voté pour Donald Trump, pensant qu'il soutiendrait leur combat contre le président Nicolas Maduro. La suppression du TPS est d'autant plus dure pour cette communauté car ce statut de résidence temporaire est maintenu pour d'autres nationalités, comme les Salvadoriens. Journal de la 1ère Dernière ligne droite pour la campagne sucrière.

Journal d'Haïti et des Amériques
Les universités américaines entrent en résistance

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 30:00


Une dizaine d'établissements universitaires, dont de grandes signatures comme celle de Yale, Brown, Princeton ou Harvard, dénoncent une ingérence sans précédent de l'administration Trump dans les programmes d'enseignement. Au Texas, la peur s'installe dans l'enseignement supérieur. Il y a d'abord, rapporte notre envoyé spécial, Nathanaël Vitrant, les étudiants internationaux, qui craignent, comme c'est déjà arrivé à plusieurs centaines d'entre eux dans cet État, de voir leurs visas révoqués pour des raisons parfois obscures, comme une infraction au code de la route. Ou bien pour avoir exprimé une opinion qui déplaît à l'administration américaine. Sofia, une étudiante pakistanaise, rencontrée lors de manifestations anti-Donald Trump : « Les étudiants impliqués dans les mouvements pro-Palestiniens sont devenus une cible : les services migratoires les enlèvent et les font disparaître. Une de mes amies a vu son visa révoqué et a été condamnée à ce que je qualifierais d'exil politique. »Et comme le confirme Matthew Thompson, un avocat de Houston spécialisé dans le droit à l'immigration, même les enseignants sont pétrifiés : « Le monde académique est en panique. Des profs étrangers qui en théorie n'ont aucune raison d'être inquiets, qui ont le statut de résident permanent, n'osent plus voyager même pour assister à une conférence à l'étranger de peur qu'on ne les laisse pas revenir. »Quant aux citoyens américains dans le monde universitaire, depuis que l'administration Trump a interdit certains mots ou certains sujets, il y règne ce qu'il faut bien qualifier de censure, d'après Sofia Alvarado, une étudiante en journalisme à Austin. « J'écrivais un article sur les feux de forêt au Texas et je suis tombée sur une étude scientifique qui mentionnait le lien entre le réchauffement climatique et les feux de forêt. Mais quand j'ai contacté l'auteure, j'ai eu la surprise de l'entendre me répondre que, dans le contexte politique actuel, elle n'avait pas le droit d'en parler. »Une situation qui inquiète son professeur, John Schwartz : « Des sources qui refusent de parler, ça arrive tout le temps. Mais là ce ne sont pas des gens qui disent « je n'ai pas envie de vous parler », ce sont des gens qui disent « je ne PEUX PAS vous parler. J'ai PEUR de vous parler. George Orwell a écrit 1984 comme un avertissement, mais il y a des gens dans cette administration qui semblent s'en servir comme d'un manuel. Ils n'aiment pas le monde universitaire. Ils rêvent de le transformer en outil de propagande conservateur. On a vu beaucoup de gens et d'institutions mettre le genou à terre, mais heureusement il y a aussi un mouvement de résistance face à cette tentative de changer notre culture. J'espère que d'autres universités suivront l'exemple d'Harvard. » Disparation du pape François, hommage en Haïti et à MiamiL'annonce de la mort du chef de l'Église catholique a suscité de vives réactions sur le sol haïtien, prêtres et leaders religieux n'ont pas caché leur peine et vanté un homme présenté comme très attentif aux souffrances des plus faibles et au sort d'Haïti. Reportage de Peterson Luxama.Hommage aussi du Miami Herald, le grand quotidien pro-démocrate de Floride, dans un articlé signé de son comité éditorial. « Le pape François a touché du doigt deux thèmes majeurs qui résonnent à Miami, souligne le journal, il a d'abord placé le climat sur le devant de la scène catholique en soulignant que la dégradation de la planète touchait en premier lieu les plus pauvres ». Or, dans un endroit tel que la Floride, en première ligne face aux impacts de la crise climatique, aux inondations et aux ouragans, « son appel a pris tout son sens ». Il s'est aussi emparé de la défense des migrants, remarque l'archevêque de Miami Thomas Wenski, « ne s'est jamais lassé de plaider pour les marginaux ou les exclus, et ce message compte ici, dans un État où de très nombreuses familles se sont forgées à travers l'expérience de l'immigration ». François, conclut le Herald, « nous a montré que l'Église ne devait pas être une forteresse où l'on se cache, mais un hôpital de campagne où chacun doit se mettre au service de son prochain ». Les Haïtiens face à la crise alimentaire Avec notre confrère Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse, en ligne de Port-au-Prince, retour sur une prédiction alarmante : plus de la moitié de la population, soit près de 6 millions de personnes, devraient se trouver en situation d'insécurité alimentaire aiguë au moins de juin 2025. C'est ce qui ressort du dernier rapport de la Coordination nationale de la sécurité alimentaire (Cnsa). Dans une note publiée le jeudi 17 avril 2025, le Programme alimentaire mondial (Pam) signale de son côté combien la montée des actes de violences a entraîné des déplacements massifs de personnes et une aggravation de la faim. Aux États-Unis, les démocrates mobilisés sur le dossier migratoireQuatre élus démocrates de la Chambre des Représentants sont arrivés au Salvador hier (21 avril 2025), afin de mettre en exergue les failles des mesures d'urgence décrétées par le président américain. C'est toujours le cas d'un seul homme qui mobilise l'attention, Kilmar Abrego Garcia, expulsé le mois dernier malgré une décision de justice en sa faveur. L'opposition veut faire de son histoire un exemple des procédures bâclées par l'administration Trump et demande sa retour immédiat aux États-Unis. Dans le Washington Post, les démocrates parlent d'une « crise constitutionnelle » et d'une « opération de kidnapping financée par le gouvernement, à rebours de l'État de droit, et d'un président qui ignore sciemment l'injonction de la Cour Suprême ». La question-clé du moment : Kilmar Abrego Garcia a t-il été ou est-il encore membre du MS13, un gang ultra-violent actif aux États-Unis et en Amérique centrale ? D'après la Maison Blanche, c'est bien le cas et c'est ce CV criminel qui justifierait son éloignement vers le Salvador. Mais sur quels éléments repose cette affirmation ? À ce jour, aucun élément tangible n'a été rendu public, et le quotidien salvadorien La Prensa Grafica nous apprend qu'à la demande expresse des États-Unis, la procédure va rester confidentielle.Les professionnels du droit au Salvador, eux, veulent profiter de cette affaire pour plaider la cause de tous les prisonniers qui croupissent dans les geôles du pays. L'avocate pénaliste Roxana Cardona rappelle que depuis l'instauration de l'état d'urgence en 2022, plus de 85 000 personnes ont été arrêtées de manière arbitraire et jetées en prison, sans accès à leur dossier, sans conseil juridique et sans contact avec leurs familles, au nom de la lutte contre les groupes criminels décrétée par le président salvadorien Nayib Bukele. Pérou : une loi « anti-ONG » alarme le milieu associatif Le Congrès péruvien vient d'adopter le texte qui vise à « limiter l'influence de l'étranger » au Pérou. Le gouvernement espère restreindre le travail des associations et des ONG internationales, pour éviter d'être poursuivi en justice pour certains de ses manquements au droit. Et cette évolution législative fait craindre une catastrophe dans le milieu associatif. Reportage de notre correspondant à Lima, Martin Chabal.Devant le ministère de la Santé à Lima, l'Asemblea verde, l'Assemblée verte, s'est réunie pour manifester sa colère. Ce collectif de femmes, lutte aujourd'hui pour le droit à l'avortement thérapeutique chez les mineures, car des groupes conservateurs tentent de limiter le recours à l'IVG à la maternité de Lima. Rocio Gutierrez s'inquiète de ces nouvelles mesures.« Nous, ce que nous voulons c'est que nos filles ne soient pas des mères. Au Pérou, chaque année au moins 1 000 enfants accouchent, et elles ont entre 10 et 14 ans. Et le Congrès remet en question le protocole pour ces filles, violées, et enceintes. »Aujourd'hui, à travers son association, Rocio Gutierrez peut se battre juridiquement, pour défendre le droit de ces jeunes filles à un avortement légal. Mais elle craint que ce ne soit bientôt plus possible, depuis que le congrès veut limiter « l'influence de l'étranger ».« L'une des conséquences de cette loi dite anti-ONG, c'est que par exemple, si une enfant se voit retirer le droit à l'accès à un avortement thérapeutique légal, nous en tant qu'organisation nous devons la défendre et dénoncer l'État. Mais ça, on ne pourra plus le faire. »Parce que le Congrès a voté pour la modification de la loi sur l'Agence péruvienne de coopération internationale. Les associations seront maintenant soumises à des amendes si elles poursuivent l'État en ayant reçu des fonds internationaux. Et au Pérou c'est le cas de nombreuses associations, comme celle de Rocio Gutierrez, qui a parfois besoin de l'aide internationale pour faire valoir le droit à l'avortement de ces jeunes filles.Pour les peuples originaires et isolés du Pérou, c'est aussi un coup dur.Antolin Huascar Flores défend les paysans des peuples autochtones à travers la Confédération nationale agraire :« Les communautés autochtones et agricoles du Pérou, on est vulnérables. Je parle des mines dans la partie andine, des entreprises pétrolières en Amazonie qui déforestent. Et quand on veut dénoncer tout cela, une organisation comme la nôtre n'a pas de fonds. On est obligé de recourir à la coopération internationale qui défend nos droits, le droit lié à notre terre, et oblige à l'État de respecter la Constitution. »Aujourd'hui, si ces associations ne se plient pas à la loi et veulent traîner l'État en justice, elles risqueront une amende de près de 700.000 euros. Autant dire que c'est impossible à payer pour ces petites communautés sans risquer la dissolution. Mais cette loi affecte aussi les poids lourds, prévient Marina Navarro, la directrice d'Amnesty International au Pérou, qui travaille notamment sur les victimes de violences policières lors des manifestations contre le pouvoir en 2023, où 49 Péruviens ont été tués.« Cette loi nous affecte beaucoup parce qu'on réalise des rapports sur les violences que l'on fournit à la justice, que l'on met à disposition des enquêteurs, mais avec cette loi ça pourrait être interdit. »Elle compare la situation du Pérou à d'autres pays autoritaires d'Amérique latine. Certains articles auraient été inspirés, voire totalement copiés de ce qui se fait au Nicaragua ou au Venezuela, des pays connus pour leurs atteintes à la démocratie et à l'État de droit. Ces associations protestent contre la manière dont cette loi a été votée, car elles n'ont jamais été consultées pour débattre, et la loi a été votée en une nuit, en une seule lecture, sans débat préalable. L'Agence péruvienne de coopération internationale devient un outil de censure à part entière, le projet d'un gouvernement péruvien de plus en plus autoritaire. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1ère9,4 pour 100 000 habitants : c'est le taux d'homicides en Guadeloupe, loin devant celui constaté en France métropolitaine.

Journal en français facile
Arrêt des livraisons de Boeing: l'énorme défi de Pékin / Royaume-Uni: la définition d'une femme par la Cour suprême divise / Lutte contre les pandémies: un traité historique de l'OMS...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 9:58


Le Journal en français facile du mercredi 16 avril 2025, 18 h 00 à Paris. ► EXERCICEComprendre un extrait du journal | L'OMS signe un accord mondial sur les pandémies | niveau A2 (exercice + PDF)​​​​​​​Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Badc.A

Tout un monde - La 1ere
Qu'est-ce qu'une femme? Le verdict de la Cour suprême britannique

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 20:08


(00:00:46) Qu'est-ce qu'une femme? Le verdict de la Cour suprême britannique (00:05:42) La famille de Laurent Vinatier, condamné en Russie, sort du silence (00:12:10) 20 ans d'enquête dans les banlieues françaises, interview de Luc Bronner

Entrez sans frapper
Le printemps va-t-il disparaître ?/Accord mondial pour la lutte contre les pandémies/Grève du secteur de la petite enfance/La définition légale d'une femme par la Cour suprême britannique/Passages piétons hackés en Californie

Entrez sans frapper

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 8:16


Le printemps va-t-il disparaître ? Accord mondial historique pour la lutte contre les pandémies Le secteur de la petite enfance en grève Discours du Ministre-président Adrien Dolimont sur l'état de la Wallonie La Cour suprême britannique a tranché sur la définition légale d'une femme : elle repose sur le sexe biologique et non le genre Real Madrid - Arsenal, quart de finale, retour de la Champions League  Climat : inondations et canicules ont marqué l'année 2024 Scènes cocasses dans les rues de Californie : des passages piétons hackés diffusent des voix générées par IA de Mark Zuckerberg et Elon Musk Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

À la une
Les crimes et la charte

À la une

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 22:57


Pierre Poilievre propose de ramener les peines consécutives pour les criminels les plus dangereux, une loi d'abord mise en place par Stephen Harper mais qui a été invalidée par la Cour Suprême, en 2022. Pour contourner la décision de la Cour suprême, il n'hésiterait pas à utiliser la disposition de dérogation, ce qui serait une première pour un premier ministre du Canada.

Journal d'Haïti et des Amériques
En Équateur, le président Noboa réélu, Luisa Gonzalez conteste les résultats

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 30:00


Le président sortant Daniel Noboa, tenant d'une ligne sécuritaire et soutenu par la droite équatorienne, a été réélu avec 56% des voix. La candidate socialiste Luisa Gonzalez demande un recomptage des votes. « À l'annonce des résultats hier soir [dimanche 13 avril 2025], les partisans du président Noboa ont fait la fête dans les trois grandes villes du pays », témoigne notre reporter sur place, à Quito, Rafael Moran. Ces résultats restent difficiles à expliquer, précise-t-il : « Le rejet du courant politique de gauche de Luisa Gonzalez, le corréisme, a pu compter (…) Certains analystes se demandent si la politique du carnet de chèques a pu compter : le président Noboa a distribué 14 aides différentes depuis le début de l'année ».Cette élection contestée laisse beaucoup de questions et d'incertitudes, selon Christophe Ventura, directeur de recherche à l'Iris (l'Institut de relations internationales et stratégiques), spécialiste de l'Amérique latine, au micro de Clotilde Dumay : « C'est le signe d'une élection qui ne résout pas la crise politique enÉquateur, sur fond de crise économique et sécuritaire », estime le chercheur. Il souligne des résultats « inattendus », qui marquent la polarisation de la société.« Le recomptage des voix va être très compliqué, car le Conseil national électoral réduit la possibilité de recomptage en fonction de conditions très limitées, ce n'est pas du tout gagné que ce recomptage soit accepté », ajoute Christophe Ventura à notre micro.La mort du prix Nobel péruvien Mario Vargas Llosa. Il s'est éteint au Pérou, à 89 ansMario Vargas Llosa laisse une œuvre considérable, une quarantaine d'essais, de romans et de pièces de théâtre : des textes autobiographiques comme La ville et les chiens, relatant son passage à l'académie militaire où son père l'avait envoyé de force ou encore La tante Julia et le scribouillard, qui raconte sa fuite avec sa tante de quinze ans son ainée. L'auteur avait touché à tous les genres, épiques, sensibles, libertins, fresques historiques. La littérature était pour lui une manière de façonner l'esprit et le monde, détaille le journaliste Olivier Rogez, du service culture de RFI.Grand amateur de politique, ex-candidat déchu à la présidentielle péruvienne, Mario Vargas Llosa, communiste dans les années 50 avant de soutenir la Révolution Cubaine, avait, sur la fin de sa vie, donné son soutien à des candidats populistes d'extrême-droite comme Jair Bolsonaro.Dans la presse latino-américaine, les hommages sont unanimes. El Comercio, journal péruvien pour lequel l'auteur écrivait, regrette la disparition du « péruvien le plus universel », « le plus grand écrivain » du pays. La Republica se fait, elle, l'écho de nombreux hommages nationaux et internationaux au « dernier écrivain du boom latino-américain ». Du côté de la Colombie, El Tiempo se souvient tout de même le lien tumultueux entre Mario Vargas Llosa et Gabriel Garcia Marquez. L'écrivain péruvien avait frappé, à la fin des années 70, son ami Colombien d'alors, mettant fin à leur relation.Dans la presse Argentine, le premier jour de la flexibilisation des taux de change« Le gouvernement cherche à détourner l'attention de ce premier jour sans restriction des taux de change » et préfère insister sur sa rencontre avec Scott Bessent, secrétaire du trésor américain, analyse La Nacion.En Argentine, le dollar est désormais « flottant », entre 1 000 et 1 400 pesos. Pas de quoi entraîner de l'inflation, se sont échinés à démontrer le président Milei et ses proches ce week-end, usant de longs tweets et autres démonstrations sur papier, comme le rapporte La Nacion.Le média Pagina12 n'est pas rassuré : « L'impact de ses mesures est incertain et ne sera connu qu'à l'ouverture des marchés ce lundi [14 avril 2025] », lit-on.Aux États-Unis, le cas emblématique du Salvadorien expulsé par erreur et la politique migratoire de Donald Trump scruté de près par les journaux« Le ministère de la Justice dit qu'il n'est pas obligé de ramener le migrant expulsé par erreur au Salvador », écrit le Washington Post, alors que le président du Salvador Nayib Bukele est reçu ce lundi à la Maison Blanche.Le journal explique comment l'administration Trump interprète en sa faveur la décision de la Cour Suprême. Pour le gouvernement, « faciliter » le retour de Kilmar Abrego Garcia ne reviendrait, en fait, qu'à retirer les « obstacles nationaux » à ce retour. Le tout s'appliquant, selon le gouvernement, uniquement si le Salvador décidait de lui-même de libérer M. Abrego Garcia.« Ces affirmations ouvrent la voie à un nouveau test de la capacité du pouvoir judiciaire fédéral à maîtriser une administration (…) qui s'est efforcée d'étendre de manière agressive son pouvoir exécutif », commente le Washington Post.  Par ailleurs, le New York Times publie une longue enquête décrivant comment le gouvernement utilise l'application mobile d'une entreprise pénitentiaire privée pour surveiller les migrants et faciliter leur arrestation. Le Washington Post révèle, lui, que la détention et la révocation du visa de la doctorante étrangère Rumesya Ozturk n'est fondée sur aucune preuve d'antisémitisme ou d'apologie du terrorisme, contrairement aux dires du gouvernement.À la Une du journal des Outre-mers, de notre partenaire de la 1ʳᵉLa Guyane où les maires contestent les chiffres du recensement.

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : la ville de Mirebalais sous l'emprise des gangs

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 30:00


Mirebalais est en proie à une violente attaque du gang « Viv Ansanm » depuis lundi (31 mars 2025). C'est en Une du journal Le Nouvelliste. Les assaillants ont pris d'assaut plusieurs infrastructures stratégiques, notamment le commissariat et la prison civile, provoquant l'évasion de 529 détenus.  Le Nouvelliste. Hier mardi (1er avril 2025), la tension restait vive à Mirebalais, une ville au nord de Port-au- Prince. Les groupes criminels ont renforcé leur emprise et occupent désormais le lycée de la ville, plongeant la population dans un climat de terreur. Les autorités locales dénoncent l'inaction du gouvernement. L'insécurité, c'est aussi en Une de Gazette Haïti, qui met en avant la colère des habitants de plusieurs quartiers de Port-au-Prince. Canapé-Vert, Débussy, Pacot, Carrefour-Feuilles et Christ-Roi se préparent à une nouvelle mobilisation ce mercredi. Leur objectif ? Exiger des mesures concrètes contre la violence des gangs. Selon Gazette Haïti, cette initiative est portée par des résidents, mais aussi des déplacés, premières victimes de ces exactions criminelles. Face à ce qu'ils jugent être l'inaction du Conseil Présidentiel de Transition et du gouvernement, ils comptent bien faire entendre leur voix dans les rues de la capitale.Revers pour Donald Tump et Elon Musk dans le Wisconsin Hier, mardi 1er avril, trois élections locales ont eu lieu aux États-Unis, marquant le premier test électoral depuis l'élection de Donald Trump. En Floride, les Républicains ont remporté deux sièges à la Chambre des représentants dans des circonscriptions conservatrices, bien que leur avance ait été moins marquée que prévu. En revanche, au Wisconsin, la juge démocrate Susan Crawford a gagné un siège à la Cour Suprême de cet État, ce qui constitue un revers électoral pour Donald Trump et Elon Musk, qui soutenaient son adversaire, Brad Schimel.Cette élection au Wisconsin a pris une ampleur nationale en raison de l'implication d'Elon Musk et de Donald Trump, nous explique Juliette Chaignon. Le scrutin a été exceptionnellement coûteux, avec plus de 80 millions de dollars investis, dont près de 20 millions par Elon Musk et ses alliés pour soutenir le candidat conservateur. Cependant, le camp démocrate, soutenu par l'ancien président Barack Obama et le financier Georges Soros, a réussi à retourner la situation à son avantage en faisant de ce scrutin un référendum sur le mandat de Trump et l'influence d'Elon Musk.La victoire de Susan Crawford signifie que la Cour Suprême du Wisconsin reste à majorité démocrate, ce qui pourrait avoir des implications importantes sur des dossiers-clés dont la Cour doit trancher prochainement comme le redécoupage des circonscriptions électorales, le droit à l'avortement et les droits des travailleurs. Pour Elon Musk, cette défaite est également significative, car il espérait obtenir une décision favorable dans les poursuites engagées par Tesla contre les autorités du Wisconsin concernant la vente directe de véhicules électriques.Le continent américain retient son souffle avant l'annonce des droits de douane par Donald Trump Sous le titre « Guerre commerciale », le journal La Presse parle d'un « grand éveil » pour le Canada, une remise en cause d'une alliance historique. Pour Ottawa, cette décision marque la fin du libre-échange nord-américain tel qu'il existait depuis les années 90. Le Canada doit donc, plus que jamais, diversifier ses partenaires économiques. Mais comment réagir ? The Globe and Mail estime que le gouvernement canadien doit éviter d'entrer dans une logique de représailles avec des contre-tarifs qui pourraient fragiliser l'économie nationale, menacer l'emploi et faire grimper les prix. D'après son entourage, le Premier ministre Mark Carney prévoit d'épargner la plupart des produits alimentaires et des biens de première nécessité.Le Mexique se prépare aussi à des conséquences désastreuses d'une augmentation des droits de douane. Même si la nature des relations commerciales entre Mexico et Washington pousse Donald Trump à faire des concessions, souligne Gaspard Estrada, professeur à la London Scool of Economics. Le Brésil s'inquiète également : le pays « aborde avec pessimisme l'annonce de Donald Trump et craint une double taxation de l'acier », titre Folha de Sao Paulo.Un record inédit au Sénat américainCory Booker, l'élu démocrate, a tenu un discours marathon de plus 25 heures au Sénat. L'objectif c'était de dénoncer la politique de Donald Trump. Une véritable épreuve physique : pas de pause (même pas pour des besoins naturels), pas le droit de s'asseoir, comme l'exigent les règles strictes du Sénat. « En seulement 71 jours, le président des États-Unis a infligé tant de dégâts à la sécurité et à la stabilité financière des Américains, aux fondements mêmes de notre démocratie », a-t-il martelé.Un discours salué par The Washington Post, qui y voit un exemple à suivre pour les démocrates. Les militants progressistes fulminent de voir leur parti faire comme si tout était normal – notamment après la décision des sénateurs démocrates, le mois dernier, de ne pas bloquer un projet de loi de financement du gouvernement, écrit le journal. Cory Booker, lui, a bien saisi ce message. Sa détermination à rester debout au Sénat pendant plus de 25 heures envoie un signal fort : au moins un sénateur comprend que Donald Trump est en train de détruire les institutions et les valeurs auxquelles beaucoup d'Américains sont attachés. The Washington Post souligne que cet acte de résistance vient d'une figure de l'establishment comme Booker. Jusqu'à présent, seuls des élus très à gauche, comme le sénateur Bernie Sanders et la députée Alexandria Ocasio-Cortez, avaient élevé la voix contre Donald Trump. Journal de la 1ère La Guadeloupe impactée par l'invasion des sargasses.                 https://gazettehaiti.com/node/12019

Journal d'Haïti et des Amériques
Brésil : Jair Bolsonaro face à la justice

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 30:00


Au Brésil, l'ancien président Jair Bolsonaro saura ce mercredi (26 mars 2025) s'il est renvoyé en procès pour projet présumé de coup d'État. En direct sur plusieurs chaînes d'information, la Cour Suprême délibère à Brasilia, ces mardi 25 et mercredi 26 mars, pour décider de l'ouverture ou non d'un procès contre l'ancien président d'extrême droite. Lors de la première journée de débat, le principal concerné était présent à la surprise générale, explique Sarah Cozzolino, la correspondante de RFI à Rio de Janeiro. Pour O Globo, le fait de mettre Bolsonaro face à ses juges vise à démontrer publiquement que ce dernier ne craint rien et surtout ne doit rien à personne. Mais personne n'est dupe, et les accusations de complot ne semblent pas diviser les juges, poursuit le journal. En coulisses, ces derniers reconnaissent que les faits révélés par l'enquête sont graves et doivent être jugés pour stopper définitivement les «impulsions antidémocratiques». Jair Bolsonaro risque 40 ans de prison en cas de procès. Procès Maradona : son garde du corps arrêté pour « faux témoignage »En Argentine, un autre procès retient l'attention, celui sur les circonstances de la mort du footballeur de légende, Diego Maradona. La presse argentine revient sur l'arrestation hier (25 mars 2025) en pleine audience du garde du corps de ce dernier pour «faux témoignage». Il était le troisième témoin du cinquième jour de ce procès qui se tient dans la banlieue de Buenos Aires. Julio Coria était présent le jour où Diego Maradona est décédé et lui a fait du bouche-à-bouche jusqu'à l'arrivée des médecins. Le quotidien Clarin explique qu'il s'est contredit lors de ses déclarations et a omis certains détails concernant notamment la façon dont Maradona a été réanimé. Il a aussi oublié de mentionner une conversation entre la fille de l'ancienne star du football et son neurochirurgien. Julio Coria encourt jusqu'à 10 ans de prison pour parjure. Équateur : 7 ans après le drame de Mataje, des traces toujours visiblesC'était il y a 7 ans, jour pour jour, en Équateur. Le 26 mars 2018, les trois membres d'une équipe journalistique du quotidien El Comercio étaient enlevés dans le petit village de Mataje, à la frontière avec la Colombie. Ils seront assassinés deux semaines plus tard par les dissidents des FARC, membres du «Front Oliver Sinisterra». Depuis, Mataje a été militarisée et souffre d'une réputation négative, que les autorités et les habitants essaient de changer. Le correspondant de RFI en Équateur, Éric Samson, s'est rendu sur place. États-Unis : Trump signe un décret pour réformer en profondeur le processus électoralLe décret signé ce mardi (25 mars) prévoit de rendre obligatoire la présentation de preuves de citoyenneté américaine, comme les passeports ou les permis de conduire, au moment de l'inscription au niveau des États sur les listes électorales. Le Washington Post souligne que « cette fixation » du président américain sur le processus électoral ne date pas d'hier. Donald Trump avait dénoncé les résultats des deux précédentes élections en remettant en cause des votes d'électeurs qui, selon lui, n'avaient pas la citoyenneté américaine. Cependant, rien n'a été prouvé, poursuit le journal. Seules les personnes qui ont la citoyenneté américaine peuvent voter lors des élections fédérales, mais la plupart des États américains ne demandent pas de preuve de cette citoyenneté, seulement une déclaration sur l'honneur. Avec ce décret, « des millions d'Américains pourraient être empêchés de se rendre aux urnes », souligne le journal. Un décret qui est, de plus, inconstitutionnel selon un expert juridique cité par le Washington Post. États-Unis : La fin programme «Humanitarian Parole» pour les migrants venant d'Haïti, du Venezuela, de Cuba et du NicaraguaLe journal nicaraguayenla Prensa revient sur cette décision qui pourrait toucher 530 000 migrants aux États-Unis. Une plainte a été déposée au Tribunal fédéral de Boston, et il y a toujours l'espoir que le juge ordonne un gel temporaire de cette mesure qui prendra effet le 24 avril 2025. Certains plaignants nicaraguayens sont entrés dans le pays après la torture d'un membre de leur famille et la persécution politique qui s'en est suivie, peut-on lire dans le journal. L'un d'entre eux a subi des menaces de mort et après l'arrêt du programme, il pourrait n'avoir plus que 30 jours pour retourner dans son pays. Haïti : Cap Haïtien sous la menace des glissements de terrainEn Haïti, la 2è ville du pays veut lutter contre les inondations. À chaque saison pluvieuse, les quelque 300.000 habitants de Cap-Haïtien sont en danger. La ville côtière est vulnérable, notamment parce qu'elle est entourée de rivières, et traversée par environ 5 bassins versants qui ne sont pas traités. Conséquences : lorsqu'il pleut, l'eau dégouline des montagnes et provoque des glissements de terrain mortels. Les autorités ont donc décidé de lancer un chantier pour tenter de limiter ces inondations.Les journalistes de RFI, Ronel Paul et Love-Marckendy Paul, se sont rendus sur place.

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti pourrait perdre une génération à cause des violences de gangs

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 29:59


Le pays risque de perdre une génération entière en raison de la persistance de la violence des gangs, alerte l'ONG Plan international. Nous en parlons avec Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Selon Gotson Pierre, l'ONG met en garde contre les multiples formes de violences qui affectent les enfants : physiques, psychiques, mais aussi liées à l'insécurité alimentaire. Exposés à ces traumatismes, ces enfants risquent de grandir avec des séquelles profondes, compromettant leur avenir et celui du pays. Plan International insiste aussi sur l'ampleur des violences sexuelles, l'effondrement du système éducatif et les risques accrus d'exploitation et de traite d'enfants. La crise sécuritaire et humanitaire a déjà forcé plus d'un million de personnes à fuir leur domicile, privant de nombreux enfants d'accès à l'éducation et à une enfance normale. Sans intervention urgente, l'ONG craint des conséquences irréversibles pour la jeunesse haïtienne, selon Gotson Pierre qui estime que les habitants de Port-au-Prince « vivent dans la peur et le terreur » au quotidien.Frappes américaines contre les Houthis : l'incroyable faille de sécurité Certains médias, comme le New York Times, demandent la démission du secrétaire à la Défense, Pete Hegseth. « Je ne sais pas comment Pete Hegseth peut regarder les militaires dans les yeux. Il vient de perdre sa crédibilité en tant que chef militaire », écrit le journal. Selon les informations du journaliste Jeffrey Goldberg, directeur du magazine The Atlantic, qui a été ajouté par inadvertance à un groupe de messagerie restreint du gouvernement pour discuter des frappes militaires contre les Houthis, c'est Pete Hegseth lui-même qui précisait dans la messagerie les détails de l'opération. Pour le New York Times, Pete Hegseth donne l'exemple de quelqu'un qui est négligent. « Et quand on est négligent dans l'armée, des gens peuvent mourir », souligne le journal, avant de conclure : « S'il avait un peu d'honneur, il démissionnerait ».Mais ce n'est pas un scénario crédible. Selon USA Today, l'administration Trump ne sera jamais à la hauteur des normes qu'elle impose aux autres. « Donc, ne vous attendez pas à ce qu'un responsable politique dans l'entourage de Donald Trump soit sanctionné dans cette affaire », écrit USA Today. « L'administration Trump, on l'a vu, préfère s'en prendre aux journalistes qui rapportent des faits : ce sont eux, les vrais méchants, aux yeux de Donald Trump et de ses proches ».La popularité de Lula en baisse alors que Jair Bolsonaro est confronté à un avenir judiciaire incertain À plus de la moitié de son troisième mandat, le président brésilien Lula fait face à une chute historique de popularité, avec seulement 24% d'opinions favorables. Notre correspondante Sarah Cozzolino se penche sur les raisons de ce « désamour ». Malgré une économie en croissance et un chômage bas, l'inflation pèse lourdement sur le pouvoir d'achat des classes moyennes, qui se sentent abandonnées par un gouvernement plus focalisé sur l'austérité budgétaire que sur les politiques sociales. Pendant ce temps, l'extrême droite reste mobilisée autour de l'ancien président Jair Bolsonaro, malgré son inéligibilité pour 2026. Sa base électorale reste active et pourrait continuer à fragiliser Lula, alors que la Cour Suprême s'apprête à décider de l'ouverture d'un procès contre Jair Bolsonaro pour tentative présumée de coup d'État.Journal de la 1ère 4 hommes comparaissent en Guadeloupe dans une affaire de traite d'êtres humains.

Bientôt chez vous
En Arizona, la Cour suprême mise sur l'intelligence artificielle pour communiquer ses décisions

Bientôt chez vous

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 2:45


durée : 00:02:45 - Bientôt chez vous - En Arizona, la Cour suprême adopte une nouvelle stratégie pour annoncer ses décisions au public : des avatars générés par intelligence artificielle. Une initiative qui vise à améliorer la transparence et à renforcer la confiance dans les institutions judiciaires.

TOPFM MAURITIUS
Manif de trois défenseurs de la cause animale devant la Cour suprême

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 1:18


Manif de trois défenseurs de la cause animale devant la Cour suprême

Le retour de Mario Dumont
La belle-mère de Granby «ne se rendra pas à la Cour suprême», prédit Félix Séguin

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 6:45


Perquisition en cours à Kanesatake. La belle-mère de Granby déboutée en appel. Crime et société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d’enquête de Québecor.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

TOPFM MAURITIUS
Singes élevés à Henrietta : un procès contre Biosphere Trading Ltd devant la Cour suprême

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 1:37


L'activiste avait déposé une injonction le 28 septembre 2023 contre cette ferme d'élevage de macaques située à Henrietta, dénonçant les conditions de détention des primates. Il réclame le démantèlement des cages et la libération des animaux. Biosphere Trading Ltd avait été sommée de fournir des explications sur la captivité de ces singes. L'affaire prend une tournure inédite. Linley Moothien qualifie cette audience de « fait historique » et souligne que c'est la première fois qu'un cas lié au "Monkey Business" est débattu en justice à Maurice. Pour rappel, l'affaire avait éclaté après la diffusion, en août 2023, de clichés pris par drone montrant des singes en cage, exposés aux intempéries. Le militant avait alors porté plainte au poste de police de Vacoas avant de saisir la Mauritius Society for Animal Welfare (MSAW).

Le Nouvel Esprit Public
Comment réarmer ? / Trump-Musk : quels contrepoids ?

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Mar 16, 2025 66:40


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 16 mars 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.COMMENT RÉARMER ?Après l'intervention télévisée du chef de l'État le 5 mars, la défense nationale est devenue la priorité du gouvernement. Fleurons de l'industrie de l'armement, PME et start-up innovantes, sous-traitants ... Tout un écosystème est mobilisé pour faire face à la menace russe amplifiée et au retrait de l'allié américain. Le ministre des Armées Sébastien Lecornu a évoqué une enveloppe de 100 milliards d'euros par an pour la défense à l'horizon 2030, contre 68 milliards inscrits dans la loi de programmation militaire, soit 1,5 point de PIB supplémentaire évoqué par le président de la République, pour passer de 2% à 3%-3,5% chaque année. Le ministre des Armées a esquissé quelques priorités : « Les munitions et la guerre électronique sont les urgences puis la dronisation et la robotisation des armées. » L'accélération des cadences est déjà visible sur certains segments comme les munitions, l'artillerie et les missiles. Il faut également rester performant dans le domaine de l'intelligence artificielle, et du spatial. Du côté des grands programmes, Sébastien Lecornu entend augmenter le nombre d'avions de combat et de frégates de premier rang.Les revues stratégiques successives qui évaluent régulièrement les menaces pesant sur le pays et prévoient les moyens d'y répondre, n'ont jamais écarté le risque d'un retour de la guerre de haute intensité. C'est pourquoi le modèle d'armée complet français a toujours été préservé au nom de la souveraineté nationale, afin de pouvoir agir sur tous les niveaux de conflictualité, même s'il a souvent été qualifié d'échantillonaire. La France s'inscrit également dans un cadre européen avec de nombreux programmes de coopération comme le système de combat aérien du futur avec l'Allemagne et l'Espagne ; l'hélicoptère du futur avec notamment l'Italie, l'Espagne, et l'Allemagne ou les missiles avec le Royaume-Uni.Interrogés par Ipsos-Ceci pour La Tribune Dimanche, les Français sont 68 % à considérer favorablement une augmentation du budget de la Défense quitte à augmenter encore les déficits pour 66 % d'entre eux et même sacrifier des budgets de l'Éducation ou de la Santé (51 %). La sécurité nationale passant ainsi devant la sécurité sociale. Avant d'en arriver là, le gouvernement veut toutefois explorer d'autres pistes de financement. Le ministre français de l'Économie, Éric Lombard, exclut d'activer la clause de sauvegarde prévue par Bruxelles pour financer les investissements dans la défense par de la dette. Parmi les outils envisagés à Bercy ou à Matignon, figurent notamment le recours au Livret A ou encore un grand emprunt. Vendredi, le président de la République, Emmanuel Macron a reçu les industriels de la défense pour leur fixer une nouvelle feuille de route visant à accélérer les cadences de livraison d'équipements. Face aux difficultés budgétaires et industrielles, Bercy doit organiser le 20 mars prochain une réunion rassemblant les banques et les assurances, mais aussi des acteurs de l'industrie de la défense.TRUMP-MUSK : QUELS CONTREPOIDS ?Les décisions et les méthodes de Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche, le 20 janvier, soulèvent des interrogations quant aux limites du pouvoir présidentiel aux États-Unis. Le système politique américain repose sur le principe des checks and balances, visant à ce que « le pouvoir arrête le pouvoir », comme l'avait théorisé Montesquieu au XVIIIème siècle. Chacune des trois branches du gouvernement – exécutif, législatif, judiciaire - dispose de moyens de contrôle sur les autres (checks) pour viser un certain équilibre (balance). Les Républicains contrôlent la présidence, la Chambre des représentants et le Sénat. Même si leur majorité à la Chambre est très étroite, la passivité des sénateurs conservateurs face aux nominations les plus controversées de Trump n'augure pas d'un rôle de frein à la présidence de la part du Congrès. Bien que les Républicains n'aient pas capturé l'ensemble du pouvoir judiciaire, ils disposent d'une nette majorité à la Cour suprême.Depuis deux mois, les recours en justice se multiplient dans les États fédérés à majorité Démocrate qui cherchent à mettre en place des contentieux stratégiques sur quasiment toutes les mesures : suspension des traitements médicaux pour les personnes transgenres, autorisations pour Elon Musk d'accéder aux informations du fisc et de la Sécurité sociale, licenciements massifs de fonctionnaires publics ou intimidations à leur encontre, suppression du droit du sol pour les personnes nées de parents irrégulièrement ou temporairement immigrés, élimination de plusieurs autorités administratives …Même les Églises se tournent vers la justice pour protéger les lieux de culte du décret y autorisant les raids de la police de l'immigration. Mais une bonne partie des dossiers risquent soit d'être enterrés, soit portés devant une Cour Suprême qui a proclamé, avant l'élection de 2024, que Donald Trump, poursuivi dans de multiples affaires, bénéficiait d'une présomption d'immunité en raison du principe de séparation des pouvoirs. Et, le vice-président, J.D. Vance, diplômé de la faculté de droit Yale, a déclaré que « les juges n'ont pas le droit de contrôler le pouvoir légitime de l'exécutif. » En outre, si l'administration Trump décidait de désobéir à une décision des juges, la Cour ne dispose pas de moyens de coercition.Face à une opposition étonnamment passive et encore sonnée, les contrepouvoirs paraissent bien faibles. Sauf un, que Montesquieu ne connaissait pas : Wall Street. Les entreprises américaines, surtout les grandes entreprises cotées en Bourse, dépendantes du marché mondial et de la chaîne de valeur globale paraissent être les seules à pouvoir refreiner les ardeurs autocratiques du clan au pouvoir à la Maison Blanche. Wall Street, qui avait soutenu l'élection de Donald Trump, semble déjà déchanter.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Procès Rozon : «Ça va aller en Cour suprême», prédit Me François-David Bernier 

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 10:41


Cour d’appel: le procès de Gilbert Rozon mis sur pause. Entrevue avec Me François-David Bernier, analyste judiciaire. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Dutrizac de 6 à 9
La journée de la femme… voilée: «Complètement ahurissant!», dit le président du Mouvement pour la laïcité

Dutrizac de 6 à 9

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 18:28


Le gouvernement de Justin Trudeau annonce qu’il veut faire partie de la contestation de la Loi 21 en Cour Suprême. Ottawa nous met des bâtons dans les roues et attaque notre droit à être une province laïque. Si vous cherchez des exemples pour comprendre pourquoi la Loi a été adoptée en 2019, vous allez être servi. Entrevue avec Daniel Baril, président du Mouvement laïque québécois.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Dutrizac de 6 à 9
Ép. 05/03 | La ministre Geneviève Guilbault est en studio!

Dutrizac de 6 à 9

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 139:50


La ministre des Transports Geneviève Guilbault vient en studio! | Le gouvernement de Justin Trudeau annonce qu’il veut faire partie de la contestation de la Loi 21 en Cour Suprême | Comment critiquer la culture ? | Dans cet épisode intégral du 05 février, en entrevue : Daniel Baril, président du Mouvement pour la laïcité Serge Denoncourt, Metteur en scène, directeur artistique de théâtre, réalisateur Geneviève Guilbault, ministre des Transports Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Cultures monde
Les juges, garants des démocraties ? 2/4 : Israël : le sursaut de la Cour suprême

Cultures monde

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 57:56


durée : 00:57:56 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En janvier 2024, les points clés de la réforme judiciaire israélienne visant à limiter le pouvoir de contrôle des juges de la Cour suprême avaient été invalidés. Une humiliation pour l'administration de Netanyahou, mais qui ne rend cependant pas les armes. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Denis Charbit Professeur de science politique à l'université libre d'Israël; Samy Cohen Directeur de recherche émérite au CERI (Centre de recherches internationales) de Sciences Po

TOPFM MAURITIUS
Selon ce projet de loi, lorsqu'un magistrat ordonne la libération sous caution d'un prévenu ou d'un détenu, le pouvoir de saisir la Cour suprême pour demander l'annulation de cette décision reviendra exclusivement au DPP.

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Mar 3, 2025 2:18


Selon ce projet de loi, lorsqu'un magistrat ordonne la libération sous caution d'un prévenu ou d'un détenu, le pouvoir de saisir la Cour suprême pour demander l'annulation de cette décision reviendra exclusivement au DPP. by TOPFM MAURITIUS

Dutrizac de 6 à 9
La Cour Suprême va aller dans le sens de tout ce que Trump dit, prédit Loïc Tassé

Dutrizac de 6 à 9

Play Episode Listen Later Feb 28, 2025 9:56


On attend les résultats de la rencontre entre Trump et Zelensky aujourd'hui. États-Unis : un juge ordonne l'annulation de la vague de licenciements faite par Trump. Nouveau décret de Trump : anglais reconnu comme langue officielle des États-Unis. Discussion international avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationalePour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Kan en Français
Représentation féminine en Israël : Décryptage de la décision historique de la Cour suprême

Kan en Français

Play Episode Listen Later Feb 26, 2025 6:15


⚖️ Décision historique en Israël ! La Cour suprême exige une représentation féminine accrue aux postes de direction des ministères. Actuellement, 29 hommes contre seulement 2 femmes occupent ces postes. Quels changements à venir ?

Journal d'Haïti et des Amériques
L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro inculpé pour tentative de coup d'État

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Feb 19, 2025 30:00


L'ancien président brésilien d'extrême droite est inculpé pour avoir ourdi un complot en vue de renverser le résultat de l'élection présidentielle de 2022 au Brésil. Au total, 34 personnes ont été inculpées, dont plusieurs responsables militaires. Selon le procureur, ils sont « accusés d'avoir incité et exécuté des actes contraires aux trois pouvoirs et à l'État de droit démocratique ». À Rio de Janeiro, notre correspondante Sarah Cozzolino estime que « l'étau se resserre un peu plus autour de Jair Bolsonaro. » « Mais l'ancien président a déclaré ce mardi « ne pas être inquiet » , » ajoute-t-elle «Alors que la popularité de Lula est au plus bas, Jair Bolsonaro ne semble pas avoir renoncé à sa candidature à la présidentielle, en 2026. Lui et ses soutiens répondent aux accusations en deux mots « persécution politique ».La décision est désormais entre les mains de la Cour Suprême, qui pourra décider de l'ouverture d'un procès.Jair Bolsonaro prépare déjà la contre-attaque. O Globo dévoile que l'ancien président d'extrême droite va rencontrer des députés de l'opposition ce mercredi (19 février 2025) et d'autres députés acquis à sa cause. Lors de cette rencontre, croit savoir le journal, Jair Bolsonaro compte demander du soutien pour le projet d'amnistie des personnes reconnues coupables lors de l'insurrection du 8 Janvier 2023 à Brasilia. Les partisans de l'ex-président avaient envahi le siège des trois pouvoirs dans une tentative d'insurrection une semaine après la victoire de Lula, l'actuel président brésilien.Jair Bolsonaro compte aussi plaider pour modifier la loi dite Clean Record qui lui permettrait de devenir à nouveau éligible.Toute cette semaine, explique O Globo, l'ancien président multiplie les prises de contact. Lundi, à la veille de son inculpation, il a reçu toute l'après-midi des sénateurs et des députés qui le soutiennent. Il participera à un dîner mercredi soir avec des influenceurs d'extrême droite et doit aussi prendre part à plusieurs évènements politiques pour rallier sa base à sa cause.Pour Folha de Sao Paulo, Bolsonaro adope la « tactique Trump » pour revenir au pouvoir. Selon le journal, la croyance selon laquelle un ancien président sous le coup d'une condamnation ne peut pas se représenter n'est plus valable depuis le retour de  Donald Trump à la Maison Blanche. Haïti : l'annulation du Carnaval à Fort-LibertéFace à la polémique, le Conseil présidentiel de transition fait marche arrière. Dans un communiqué publié ce mardi soir (18 février 2025), le CPT annonce l'annulation du Carnaval National qui devait se tenir dans la ville de Fort-Liberté les 2, 3 et 4 mars 2025. Une décision justifiée selon les autorités par « une détérioration de la situation sécuritaire à travers le pays. Le CPT affirme également avoir pris en compte les « préoccupations exprimées par la population à travers les médias et les forums citoyens ».Si le carnaval national est annulé, les festivités régionales restent autorisées, selon le communiqué présidentiel.La presse haïtienne salue d'une seule voix cette décision d'annuler le carnaval national : Frantz Duval dans son éditorial du Nouvelliste estime que le gouvernement a écouté la voix de la sagesse. «Tout le monde gagne et personne ne perd la face», ajoute notre confrère pour qui le gouvernement haïtien «propose pour une fois, une décision qui lui permet de faire croire qu'il est à l'écoute des critiques».Alterpresse de son côté revient sur la levée de boucliers qu'a provoquée l'annonce de la tenue du carnaval à Fort Liberté : «distractions honteuses, indécence, injustice, irresponsabilité, mépris des revendications de la population», les mots ne semblent pas assez forts pour décrire le sentiment des organisations de la société civile. L'agence en ligne rappelle le montant qui devait être accordé aux festivités : 300 millions de gourdes en tout, soit un peu plus de 2 millions d'euros alors que le pays manque de tout et que plusieurs milliers de personnes ont été déplacées en raison de la violence des gangs armés et vivent «dans des conditions infrahumaines». Des migrants expulsés des États-Unis enfermés dans un hôtel de Panama CityAprès la décision du président américain d'expulser massivement les migrants illégaux des États-Unis, le New York Times titre « des centaines de migrants piégés au Panama ».À la Une du journal, la photo d'un hôtel modeste la nuit et aux fenêtres, des dizaines de migrants qui se couvrent le visage. Aucun n'est originaire du Panama, ils viennent d'Afghanistan, d'Iran, de Chine : des pays où il est difficile de les renvoyer. Ils sont donc envoyés loin de tout, dans un pays inconnu et sont 170 enfermés dans cet hôtel où « un migrant a tenté de se suicider, un autre s'est cassé la jambe en tentant de s'enfuir », rapporte le journal. « On leur a enlevé leur passeport, et leur téléphone » et ils ne savent pas ce qu'ils vont devenir. On leur a dit qu'ils seront peut-être envoyés dans un camp de fortune dans la jungle panaméenne. Le Panama en est maintenant responsable et est « sous une pression intense des autorités américaines, qui a menacé de reprendre le Canal de Panama ».La Estrella s'en fait aussi l'écho, parlant de 299 personnes enfermées dans un hôtel de Panama city. L'agence de presse EFE rapporte que des familles avec des bébés, des enfants et des personnes âgées ont demandé de l'aide. « Ils craignent pour leur vie s'ils sont renvoyés dans leur pays d'origine ».  La fin d'USAID en Colombie remet en question l'aide aux migrants La Colombie était la principale bénéficiaire an Amérique Latine des fonds alloués par l'agence de coopération américaine USAID. Le pays, principale producteur mondial de cocaïne, a été victime d'un long conflit armé. L'aide venue de Washington représentait moins d1% du PIB mais elle finançait plus de 70% de l'aide humanitaire. La suspension des fonds de l'USAID a fait les gros titres des journaux.La coopération américaine finançait ici des programmes très divers, de la protection de la forêt amazonienne à la mise en œuvre de l'accord de 2016 signé avec la guérilla des FARC, en passant par le développement rural, l'éradication des cultures de coca ou encore l'aide aux migrants.La Colombie a reçu en moins de 10 ans plus de 3 millions de Vénézuéliens. Marie-Eve Detoeuf, notre correspondante à Bogota a rencontré Alba Pereira qui dirige une petite fondation qui offrait tous les jours 600 repas gratuits aux Vénézuéliens les plus démunis dans la ville de Bucaramanga : « Nous avons dû licencier les employés et la population dont nous nous occupions ne reçoit plus d'aide. La situation est terriblement critique, surtout qu'en ce moment la question des déplacés internes s'ajoute à celle des migrants. La ville de Bucaramanga reçoit en ce moment des déplacés qui arrivent de la région du Catatumbo ».Dans cette région du nord-est du pays, les combats entre des groupes armés ont provoqué depuis la mi-janvier 2025 le déplacement de quelque 50 000 personnes. La suspension de la coopération américaine a été décrétée pour 90 jours.Un reportage à écouter dans son intégralité dans la version audio de ce podcast. Mexique : 2 000 euros pour un AK47Depuis presque un demi-siècle, le Mexique souffre d'une criminalité importante notamment à cause de la puissance de feu des groupes criminels. Chaque année, il y a environ 30.000 homicides. La sécurité est depuis longtemps une priorité pour le gouvernement mexicain qui a tenté diverses stratégies pour endiguer la violence. En 2006, le président de l'époque, Felipe Calderon, avait déclenché une guerre contre les cartels qui n'a pas du tout résolu le problème, au contraire. Depuis, l'ex-président Andres Manuel Lopez Obrador tout comme l'actuelle cheffe de l'État Claudia Sheinbaum poursuivent une politique moins frontale qui cherche davantage à agir sur les causes de la violence.Les autorités ont mis en place un programme de désarmement volontaire. Pour Clara Burgada, la maire de Mexico, rencontrée par notre correspondante à Mexico, Gwendoline Duval, « Chaque arme récupérée représente un crime en moins dans ce pays. En 2019, il y avait 4 homicides par jour dans la capitale, mais grâce à cette politique, la moyenne en 2024 a baissé à 2,4. »Lancé par la présidente Claudia Sheinbaum lorsqu'elle était maire de Mexico, ce programme de désarmement va se déployer dans tout le pays. Avec le renforcement de la garde nationale, du renseignement et de la coordination des institutions mexicaines, c'est l'un des grands axes de la politique de sécurité du gouvernement.Un reportage à écouter dans son intégralité dans la version audio de ce podcast.  L'actualité des Outre-Mer Benoît Ferrand de la 1ère évoque cette déclaration du nouveau directeur territorial de la police nationale en Martinique qui se dit très surpris par le niveau de violence dans l'île.

Le retour de Mario Dumont
Trump s'en va en Cour Suprême !

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Feb 17, 2025 8:21


Le REM reprend doucement du service. Congédiement: Trump dans l’eau chaude? Une touriste amputée des deux mains. Les CPE en grève. Retour sur l’épisode de Star Académie diffusé hier soir. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Le retour de Mario Dumont
Loi 21: la Cour Suprême annoncera sa décision aujourd'hui!

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Jan 23, 2025 2:42


Ruba Ghazal en caucus. Décision de la Cour sur la loi 21 aujourd’hui. Grèves en CPE. Trump en virtuel au Forum de Davos. Le CH ce soir. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Priorité santé
Investiture administration Trump: conséquences pour la santé américaine et la santé mondiale

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jan 20, 2025 48:30


À l'occasion de l'investiture de la nouvelle administration américaine, nous nous interrogeons sur son impact dans le domaine de la santé. Pendant son premier mandat, Donald Trump a tenté à plusieurs reprises de démanteler l'Obamacare (the Affordable Care Act : cette réforme élargissant la couverture maladie à 20 millions de personnes supplémentaires) ; tentatives repoussées à deux reprises par la Cour Suprême des États-Unis. Pendant la campagne pour sa réélection, le candidat Trump a rappelé son souhait de transformer ce dispositif emblématique. Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche a été précédé par la désignation de personnalités au parcours équivoque, pour gérer la santé des Américains : l'antivax conspirationniste Robert F Kennedy Jr, ministre de la Santé et Mehmet Oz, un chirurgien célèbre pour ses prestations à la télé, pilotera quant à lui le programme public d'assurance-maladie. Un autre républicain antivax, Dave Weldon est quant à lui désigné à la tête du prestigieux CDC, l'Agence fédérale de prévention des maladies.Sur le plan international, l'arrivée de cette administration réactionnaire suscite également des inquiétudes parmi les acteurs de la santé mondiale. Financement de l'OMS, programmes de financements en matière de santé reproductive, d'accompagnement du changement climatique et de lutte contre les pandémies…  Pays à ressources limitées, O.N.G. et institutions internationales vont devoir composer avec les nouvelles orientations des États-Unis, qui avaient alloué en 2022, plus de 9 milliards de dollars aux programmes de santé mondiale.  Victor Rodwin, professeur de Gestion et des Politiques de santé à la Wagner School of Public Service, New York University Anne-Claire Amprou, ambassadrice pour la Santé mondiale Pr Antoine Flahault, épidémiologiste, professeur de Santé publique à l'Université de Genève et directeur de l'Institut de santé globale à la Faculté de Médecine de l'Université de Genève Guillaume Naudin, envoyé spécial permanent à Washington chez RFI. Programmation musicale :► Harry Styles – Medicine► Irma – House of cards.

Priorité santé
Investiture administration Trump: conséquences pour la santé américaine et la santé mondiale

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jan 20, 2025 48:30


À l'occasion de l'investiture de la nouvelle administration américaine, nous nous interrogeons sur son impact dans le domaine de la santé. Pendant son premier mandat, Donald Trump a tenté à plusieurs reprises de démanteler l'Obamacare (the Affordable Care Act : cette réforme élargissant la couverture maladie à 20 millions de personnes supplémentaires) ; tentatives repoussées à deux reprises par la Cour Suprême des États-Unis. Pendant la campagne pour sa réélection, le candidat Trump a rappelé son souhait de transformer ce dispositif emblématique. Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche a été précédé par la désignation de personnalités au parcours équivoque, pour gérer la santé des Américains : l'antivax conspirationniste Robert F Kennedy Jr, ministre de la Santé et Mehmet Oz, un chirurgien célèbre pour ses prestations à la télé, pilotera quant à lui le programme public d'assurance-maladie. Un autre républicain antivax, Dave Weldon est quant à lui désigné à la tête du prestigieux CDC, l'Agence fédérale de prévention des maladies.Sur le plan international, l'arrivée de cette administration réactionnaire suscite également des inquiétudes parmi les acteurs de la santé mondiale. Financement de l'OMS, programmes de financements en matière de santé reproductive, d'accompagnement du changement climatique et de lutte contre les pandémies…  Pays à ressources limitées, O.N.G. et institutions internationales vont devoir composer avec les nouvelles orientations des États-Unis, qui avaient alloué en 2022, plus de 9 milliards de dollars aux programmes de santé mondiale.  Victor Rodwin, professeur de Gestion et des Politiques de santé à la Wagner School of Public Service, New York University Anne-Claire Amprou, ambassadrice pour la Santé mondiale Pr Antoine Flahault, épidémiologiste, professeur de Santé publique à l'Université de Genève et directeur de l'Institut de santé globale à la Faculté de Médecine de l'Université de Genève Guillaume Naudin, envoyé spécial permanent à Washington chez RFI. Programmation musicale :► Harry Styles – Medicine► Irma – House of cards.

Le Conseil Santé
Investiture administration Trump: «ce n'est pas si facile de changer le secteur de la santé»

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Jan 20, 2025 1:47


À l'occasion de l'investiture de la nouvelle administration américaine, nous nous interrogeons sur son impact dans le domaine de la santé. Pendant son premier mandat, Donald Trump a tenté à plusieurs reprises de démanteler l'Obamacare (the Affordable Care Act : cette réforme élargissant la couverture maladie à 20 millions de personnes supplémentaires) ; tentatives repoussées à deux reprises par la Cour Suprême des Etats Unis. Pendant la campagne pour sa réélection, le candidat Trump a rappelé son souhait de transformer ce dispositif emblématique.  Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche a été précédé par la désignation de personnalités au parcours équivoque, pour gérer la santé des Américains : l'antivax conspirationniste Robert F Kennedy jr, ministre de la santé et Mehmet Oz, un chirurgien célèbre pour ses prestations à la télé, pilotera quant à lui le programme public d'assurance-maladie.  Un autre républicain antivax, Dave Weldon est quant à lui désigné à la tête du prestigieux CDC, l'agence fédérale de prévention des maladies.Sur le plan international, l'arrivée de cette administration réactionnaire suscite également des inquiétudes parmi les acteurs de la santé mondiale. Financement de l'OMS, programmes de financements en matière de santé reproductive, d'accompagnement du changement climatique et de lutte contre les pandémies…  Pays à ressources limitées, O.N.G. et institutions internationales vont devoir composer avec les nouvelles orientations des Etats-Unis, qui avait alloué en 2022, plus de 9 milliards de dollars aux programmes de santé mondiale. Pour Victor Rodwin, « ce n'est pas si facile de changer le secteur de la santé, c'est un système assez stable. » Victor Rodwin, professeur de gestion et des politiques de santé à la Wagner School of Public Service, New York UniversityRetrouvez l'émission en entier ici : Investiture administration Trump: conséquences pour la santé américaine et la santé mondiale

À propos
TikTok : les raisons de son sursis aux Etats-Unis - « À propos », le podcast du Soir

À propos

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 8:46


Aux Etats-Unis, TikTok, application de vidéos virales chinoise était jusqu'alors considérée par Donald Trump, mais aussi une majorité de représentants démocrates et républicains, comme une «menace existentielle» pour le pays, notamment à cause de soupçons d'espionnage industriel et de vol de données. Des soupçons qui ont amené la Cour Suprême à questionner le maintien de TikTok aux Etats-Unis. Mais récemment, Donald Trump est revenu sur sa détestation de l'application et sur sa potentielle suspension et ce, pour plusieurs raisons économiques et diplomatiques. On revient dessus avec Philippe Laloux, journaliste au pôle Economie et spécialiste des nouvelles technologies.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be

Grand angle
TikTok : les raisons de son sursis aux Etats-Unis

Grand angle

Play Episode Listen Later Jan 16, 2025 8:19


Aux Etats-Unis, TikTok, application de vidéos virales chinoise était jusqu'alors considérée par Donald Trump, mais aussi une majorité de représentants démocrates et républicains, comme une «menace existentielle» pour le pays, notamment à cause de soupçons d'espionnage industriel et de vol de données. Des soupçons qui ont amené la Cour Suprême à questionner le maintien de TikTok aux Etats-Unis. Mais récemment, Donald Trump est revenu sur sa détestation de l'application et sur sa potentielle suspension et ce, pour plusieurs raisons économiques et diplomatiques. On revient dessus avec Philippe Laloux, journaliste au pôle Economie et spécialiste des nouvelles technologies.

Le retour de Mario Dumont
Jérémy Gabriel: on attend la décision de la Cour suprême !

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 2:08


À surveiller aujourd’hui. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Kan en Français
Henri Bettan, de Yesh Atid, commente la décision de la Cour suprême

Kan en Français

Play Episode Listen Later Jan 3, 2025 12:29


La Haute Cour de justice a annulé un élément déterminant d’une loi controversée qui permettait au ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, de définir les « principes généraux » des enquêtes policières, influençant ainsi les « priorités fondamentales » des investigations. Henri Bettan, représentant de Yesh Atid, offre un éclairage sur les positions de son parti face à cette décision. Quels impacts sur l’équilibre des pouvoirs entre le gouvernement et les institutions judiciaires ?

Reportage International
Tentative de coup d'État: Bolsonaro au cœur de la controverse au Brésil

Reportage International

Play Episode Listen Later Nov 28, 2024 2:26


Jair Bolsonaro avait « pleinement conscience » d'un projet d'assassinat de Lula en 2022 selon un rapport de la police fédérale brésilienne. L'ancien président d'extrême droite est accusé d'avoir activement fomenté une tentative de coup d'État après sa défaite lors de la présidentielle de 2022. Le rapport, dévoilé ce mardi 26 novembre est de 900 pages, et il est accablant pour Jair Bolsonaro. Une nouvelle affaire qui divise les brésiliens. Pour ses soutiens, Jair Bolsonaro est victime d'un gouvernement de la vengeance. Selon Leandro, l'actuel président Lula, qui a lui-même passé du temps en prison, cherche à condamner son rival par tous les moyens. « Je pense qu'il s'agit de persécution politique. Et je dis ça, mais je suis ouvert d'esprit, je suis prêt à entendre qu'il y a effectivement des réunions de militaires qui voulaient attenter à la démocratie. Mais selon eux, c'était justement un acte en faveur de la démocratie. Parce que pour eux, ils n'étaient pas en train de fomenter mais plutôt de subir un Coup d'État ». Ce professeur de sport fait référence à l'opération « poignard vert et jaune », imaginée au lendemain de l'élection de 2022 par quelques militaires hauts gradés, qui n'ont pas accepté la défaite de Jair Bolsonaro. Quatre militaires et un policier ont été arrêtés le 19 novembre pour tentative d'assassinat de Lula, son vice-président, et le juge de la Cour Suprême Alexandre de Moraes. Leandro admet que Jair Bolsonaro ne peut pas être tout à fait innocent. « Je pense qu'il savait, mais qu'il n'a soutenu aucun crime. Il voulait faire les choses légalement ».À lire aussiBrésil: l'ex-président Bolsonaro soupçonné de «participation active» à un projet de coup d'ÉtatDeux ans après l'élection présidentielle, la polarisation politique divise encore les familles brésiliennes. Gaby a hâte de voir Jair Bolsonaro en prison, mais elle se garde bien d'en parler à son père, Bolsonariste. « Je préfère me moquer de lui de loin… Ahhh son héros…. Mais rire de loin, sinon le lien familial en prend un coup ».Son père est militaire, et elle a pu observer chez lui, ces dernières années, un véritable discours de haine, appelant à la mort de Lula ou du juge Alexandre de Moraes. Elle compare son soutien aveugle à Jair Bolsonaro, à celui d'un amour qui rend aveugle. « Les gens voient bien que ce n'est pas une bonne personne, qu'il est toxique, mais ils parviennent toujours à voir quelque chose de positif chez lui ».Dans l'autre camp, la nouvelle de l'implication directe de Jair Bolsonaro dans une tentative de Coup d'État ne surprend pas. À 66 ans, Eliane sait qu'elle devra encore faire preuve de patience avant de voir l'ancien président derrière les barreaux. « J'attends encore de voir l'attitude du Procureur général, la position de notre Congrès… Parce que pour l'instant, personne ne s'est manifesté piubliquement… étrange, non ? (Rires) Les députés et sénateurs sont muets… pourquoi ? »Publié en fin d'année, avant les longues vacances parlementaires et judiciaires… Il est probable que le procureur général n'analyse ce dossier qu'en 2025.

Les matins
Stephen Breyer, un regard sur la démocratie américaine

Les matins

Play Episode Listen Later Sep 27, 2024 38:25


durée : 00:38:25 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Ancien juge de la Cour Suprême pendant près de 30 ans, Stephen Breyer revient sur l'évolution sur la démocratie américaine et les derniers arrêts de la Court Suprême. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Stephen Breyer Juriste américain, ancien membre de la Cour Suprême des États-Unis

Journal d'Haïti et des Amériques
Les Haïtiens victimes de racisme aux États-Unis depuis longtemps

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Sep 16, 2024 30:00


Décidément, cette campagne électorale américaine sort vraiment de l'ordinaire. À la Une de la presse aujourd'hui, la deuxième tentative d'attentat contre Donald Trump. Un climat de violence qui se reflète aussi dans les propos racistes anti-haïtiens véhiculés depuis plusieurs jours avec véhémence par des candidats républicains, à commencer par Donald Trump et son colistier JD Vance. Ces rumeurs totalement infondées accusent les migrants haïtiens de Springfield, dans l'Ohio, de voler et de manger des animaux domestiques. Ces attaques racistes ne sont pas nouvelles, elles s'inscrivent dans une « tradition de stigmatisation » aux États-Unis qui a débuté après l'indépendance d'Haïti en 1804, explique le sociologue Sébastien Nicolas. Le Secret Service à nouveau épinglé après la nouvelle tentative d'assassinat  Selon le New York Times, tous les projecteurs sont à nouveau dirigés sur le secret service, chargé de protéger les présidents et les candidats à la présidence. Critiqué après l'attentat contre Donald Trump en juillet dernier (2024), où le candidat républicain a été touché par une balle à l'oreille, le Secret Service a « considérablement renforcé son dispositif de protection », écrit le New York Times. Il n'empêche, poursuit le quotidien new-yorkais : le fait qu'un tireur ait pu se procurer un fusil semi-automatique à lunette et se rapprocher à une distance d'environ 300 à 500 mètres de l'ancien président, montre que de nombreux problèmes urgents exposés lors de la première tentative d'assassinat n'ont pas été résolus ». Cet incident met aussi en lumière la difficulté pour le Secret Service de répondre à un environnement politique imprévisible et de plus en plus violent, souligne le New York Times.D'autres journaux se penchent sur la personnalité du suspect arrêté Il s'agit d'un Américain pro-ukrainien de 58 ans, Ryan Wesley Routh, au passé « donquichottesque », comme l'écrit le Washington Post. Selon le quotidien, « il a passé ses dernières années à la recherche d'une mission - en essayant de rassembler une armée hétéroclite pour défendre l'Ukraine et en écrivant un livre sur ses efforts infructueux ». Originaire de la Caroline du Nord, Ryan Wesley Routh a déjà eu des ennuis avec la justice. Il a fait notamment l'objet de poursuites pénales pour possession d'une arme de destruction massive, selon le Washington Post. Le Miami Herald de son côté a également enquête sur le suspect. Il est enregistré comme électeur indépendant, avait participé à la primaire démocrate de cette année et avait voté pour Donald Trump en 2016. Selon des messages postés sur les réseaux sociaux, Ryan Wesley Routh s'est montré cependant déçus par la présidence Trump. « Vous êtes stupide et je serai heureux quand vous partirez », a-t-il écrit, cité par le Miami Herald. Mexique : le dernier cri d'AMLO Hier dimanche (15 septembre 2024) à Mexico, le président sortant Andrès Manuel Lopez Obrador a célébré pour la dernière fois depuis le balcon du palais présidentiel l'anniversaire de l'indépendance du Mexique, avec le fameux « grito », le « cri » en écho à celui qu'aurait lancé le prêtre à l'origine du soulèvement armé contre la colonisation espagnole. Il en a profité aussi pour vanter son bilan politique et économique, la fameuse « quatrième transformation » du pays. Un discours aux allures d'adieu d'un président qui, à la fin de son mandat, reste extrêmement populaire, comme a pu le constater notre correspondante Gwendolina Duval.Promulgation de la loi sur la réforme de justice Acclamé par la foule, AMLO est toutefois vivement critiqué par la presse, après la promulgation hier dimanche de la loi controversée sur la réforme de justice. Unique au monde, elle instaure l'élection de tous les juges, y compris deux de la Cour Suprême, par un « vote populaire ». Une loi vivement critiquée par les juristes mexicains et une bonne partie de la presse. El Universal par exemple met en garde contre une dérive autoritaire du gouvernement mexicain. Selon le journal, lors des premières élections des juges, prévues pour 2025, « deux tiers des candidats seront choisis par le parti au pouvoir Morena et ses alliés ». Cela comporte le risque d'avoir des « juges clairement inféodés à certains hommes politiques du parti au pouvoir ». Et le journal de conclure : « Nous aurons un pouvoir judiciaire de moins en moins indépendant et de plus en plus faible face au pouvoir politique. » Journal de la 1ère Des barrages ont été érigés ce matin (16 septembre 2024) sur des lieux de forte circulation en Martinique.

L'Heure H
Rosa Parks : Le Courage Face au Racisme

L'Heure H

Play Episode Listen Later Jul 7, 2024 36:23


Le 1er décembre 1955, à Montgomery, Alabama, Rosa Parks, une couturière afro-américaine, refuse de céder sa place à un passager blanc dans un bus, défiant ainsi les lois ségrégationnistes. Cet acte de résistance conduit à son arrestation, déclenchant une protestation majeure. Les leaders de la communauté noire, dont Martin Luther King, lancent un boycott des bus qui dure 380 jours. Malgré les menaces et les violences du Klu Klux Klan, la Cour Suprême finit par déclarer les lois de ségrégation inconstitutionnelles. Rosa Parks devient une icône des droits civiques, changeant à jamais l'histoire des États-Unis. Merci pour votre écoute Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] La Cour Suprême octroie une « présomption d'immunité » à Donald Trump

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jul 4, 2024 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur l'élections présidentielle iranienne et la mise en place d'une force en attente contre le terrorisme.  Iran : le candidat réformateur sera-t-il le prochain président ?  En Iran, Massoud Pezeshkian a créé la surprise en arrivant en tête, lors du premier tour de l'élection présidentielle. Comment expliquer ce résultat ?  Avec Oriane Verdier, journaliste au service international de RFI.  CEDEAO : vers la mise en place d'une force contre le terrorisme ? À Abuja, les ministres de la Défense et des Finances des pays membres se sont réunis pour discuter de la mise en place d'une force en attente pour lutter contre le terrorisme. Quelles pourraient être les prochaines étapes ?  Avec Serge Daniel, correspondant régional pour le Sahel en direct d'Abuja.  États-Unis : l'immunité partielle pour Donald Trump La sentence de Donald Trump dans l'affaire Stormy Daniels a été repoussée suite à la décision de la Cour Suprême sur son immunité. Les autres procès pourraient-ils être reportés ou annulés ?  Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, chargé de cours à Sciences Po Saint-Germain en Laye et spécialiste des États-Unis. 

SBS French - SBS en français
Le journal du 2 juillet 2024 : révélations de liens inquiétants entre violence domestique et filicide

SBS French - SBS en français

Play Episode Listen Later Jul 2, 2024 11:11


Dans l'actualité de ce mardi 2 juillet : Un nouveau rapport révèle des liens inquiétants entre la violence domestique et le filicide, l'acte délibéré du parent qui tue son propre enfant ; en France, mobilisation pour faire barrage à l'extrême droite après le succès inédit du Rassemblent National aux législatives anticipées ; et, la Cour Suprême des Etats Unis accorde l'immunité a Donald Trump et les anciens présidents américains...

Un jour dans le monde
Pourquoi Trump a plus que jamais le vent dans le dos à quatre mois de la présidentielle

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Jul 2, 2024 3:37


durée : 00:03:37 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Aux Etats-Unis, Donald Trump a remporté une victoire à la Cour Suprême qui pourrait lui éviter un procès avant l'élection présidentielle du 5 novembre. Depuis une semaine, tout semble sourire au candidat républicain.

Journal d'Haïti et des Amériques
La Cour suprême des États-Unis étend l'immunité présidentielle, une victoire pour Donald Trump

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jul 2, 2024 30:00


La Cour suprême a étendu hier (1er juillet 2024) l'immunité présidentielle et Donald Trump a immédiatement salué une victoire. L'ancien président et candidat pour l'élection de novembre 2024 voit s'éloigner la perspective d'un procès fédéral où il devait être jugé pour avoir tenté d'inverser les résultats de la présidentielle de 2020 perdue face à Joe Biden, mais aussi pour son rôle dans l'assaut du Capitole par ses partisans, le jour où les parlementaires devaient entériner la victoire de Joe Biden, le 6 janvier 2021. Il est désormais impossible, ou presque, que son procès se tienne avant la présidentielle de novembre 2024. La décision renvoie aux juridictions inférieures le soin d'examiner les responsabilités de l'ancien président dans les affaires pour lesquelles il est poursuivi. Par exemple, le procureur Jack Smith va devoir revoir son acte d'accusation et tenter de démontrer que lorsque Donald Trump a cherché à renverser le résultat de l'élection présidentielle de 2020, il l'a fait comme candidat et non en tant que président et donc, que ces faits ne sont pas couverts par l'immunité. Cela risque de prendre des mois…Les juges démocrates opposés à cette décisionPour Sonia Sotomayor, juge progressiste à la Cour suprême, cette décision «met les présidents américains complètement à l'abri de toute responsabilité pénale». Le camp démocrate est du même avis : « Cette nation a été fondée sur le principe qu'il ne peut y avoir de roi en Amérique. Personne n'est au-dessus des lois, pas même le président des États-Unis », a déclaré Joe Biden.Le camp de Donald Trump balaye ces craintes, jugées exagéréesLors des débats à la Cour suprême, l'hypothèse avait été imaginée de voir un jour un président faire exécuter un de ses opposants. Ces hypothèses, ce sont de pures fantaisies pour Mike Johnson le speaker de la Chambre des représentants interrogé hier (1er juillet 2024) sur Fox News : « Souvenez-vous que le président et le vice-président sont les deux seuls postes élus par le peuple selon notre Constitution, aucun élu à ce poste n'ira commettre des actes criminels ».Pour le camp républicain, la décision de la Cour va surtout empêcher l'usage de la justice pour nuire à un adversaire politique. C'est leur argument de prédilection pour rejeter toutes les accusations visant Donald Trump.Selon Julien Tourreille, chercheur à l'Université du Québec, cet événement est un coup dur pour la campagne des démocrates, car « ils auraient certainement aimé que ces affaires de l'implication de Trump dans la tentative de renversement de l'élection de 2020 rappellent aux électeurs ce qu'est Trump et le risque qu'il représente pour la démocratie américaine. »En Haïti, de nouvelles violences des gangs dans la commune de GressierEntre dimanche 30 juin et lundi 1er juillet 2024, « plusieurs habitants auraient été abattus chez eux par les assaillants armés », déclare Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Les gangs avaient à nouveau occupé le commissariat de la ville, située au sud-ouest de Port-au-Prince, avant sa reprise hier après-midi (1er juillet) par la police. Ces nouvelles violences faisaient suite à des changements annoncés au sein de la hiérarchie de la police. Gotson Pierre précise que « le gouvernement a fait savoir que des travaux sont en cours en vue d'harmoniser les modes d'intervention de la police de l'armée d'Haïti et des forces kényanes »L'ouragan Béryl se dirige vers la JamaïqueL'ouragan de catégorie 3 hier (1er juillet 2024) est désormais classé catégorie 5, la plus élevée. «L'ouragan Béryl est le plus puissant à avoir frappé les îles du vent depuis 174 ans », rapporte le Washington Post, avec des vents qui pourront atteindre jusqu'à près de 270km/h selon le Centre National Américain des Ouragans. Les autorités ont conseillé aux habitants de rester chez eux. Après avoir dépassé la Jamaïque, l'ouragan Béryl pourrait toucher la péninsule du Yucatán au Mexique, au sud de Cancún, jeudi soir (4 juillet) ou tôt vendredi. En temps normal le phénomène El Nino aurait dû réduire le risque d'ouragans et le nombre de tempêtes au cours d'une saison. Mais le New York Times explique que «en 2023, les températures élevées de l'océan Atlantique ont atténué cet effet habituel d'El Niño, qui consiste à contrecarrer les tempêtes.»De son côté, Haïti est toujours en vigilance jaune. L'Unité d'Hydrométéorologique d'Haïti appelle les marins de voiliers ou de petites embarcations à la prudence notamment au large face à la mer qui sera agitée sur les côtes.Au Panama, José Raul Mulino ne veut plus que son pays serve de transit pour les migrantsLe président du Panama investi hier (1er juillet) José Raul Mulino a répété que son pays ne devait plus servir de transit pour les migrants en route vers les États-Unis.Pour la Estrella de Panama cette décision promet «un tournant dans la stratégie de fermeture de la frontière colombiano-panaméenne». Les deux pays sont divisés par la jungle du Darién, une jungle extrêmement dangereuse où opèrent de nombreuses bandes criminelles. En 2023, 520.000 migrants l'ont emprunté pour tenter de rejoindre les États-Unis. Plus de 200.000 depuis le début de l'année, en grande majorité des Vénézuéliens. Beaucoup sur la route sont victimes de rackets, de viols, de travail forcé.« Une feuille de route a été adoptée pour améliorer les conditions dans cette région de la jungle, en commençant par un dialogue inclusif avec les communautés ethniques locales », précise Semana avant d'ajouter que, « le ministre des Affaires étrangères a déclaré qu'il s'agissait d'un défi que les deux pays relèvent, en particulier dans le Darién ».Le journal panaméen rapporte que le président de droite «José Raul Mulino n'est pas disposé à supporter le coût économique et social de ces migrations irrégulières». Il a rencontré, dimanche 30 juin 2024, le secrétaire américain à la Sécurité intérieure, avec qui il a signé un accord le lendemain. Il s'engage à rapatrier à la frontière colombienne les migrants passés par le Darién, qui n'ont pas de base légale pour rester au Panama. En contrepartie, le gouvernement américain s'engage à couvrir le coût de ces rapatriements, précise La Prensa.Au Venezuela, Nicolas Maduro a annoncé la reprise des discussions avec les États-UnisEl Nacional parle de reprise de négociations «après des hauts et des bas». Dans sa prise de parole, Nicolas Maduro mentionne les accords signés au Qatar en 2023. À travers des négociations secrètes, les deux pays s'étaient mis d'accord sur un échange de prisonniers. Washington a libéré Alex Saab, accusé d'être un homme de paille de Nicolas Maduro, contre la libération de vingt-huit personnes, dix Américains et dix-huit Vénézuéliens emprisonnés au Venezuela. Les États-Unis ont aussi allégé l'embargo pétrolier imposé au pays depuis 2019 après la réélection controversée du président Maduro, qui n'a pas été reconnue par une partie de la communauté internationale.Cette reprise du dialogue a été saluée dans un tweet par le président colombien Gustavo Petro. La Colombie, acteur-clé de la médiation entre Washington et Caracas, rappelle El Espectador.Le gouvernement argentin officialise la fermeture de l'agence de presse nationale TélamLe président Javier Milei continue sa casse du service public. Télam «cessera d'opérer, comme elle le fait depuis sa création, dans les activités de services journalistiques et en tant qu'agence de presse», indique le bulletin officiel publié lundi. Pagina 12 précise «qu'elle sera transformée en agence de publicité». Fondée en 1945 par l'ancien président Juan Domingo Peron, alors secrétaire au Travail et à la Sécurité sociale, l'agence Télam employait 700 personnes et diffusait chaque jour environ 500 dépêches d'actualité nationale, 200 photos ainsi que des contenus vidéo et radio. Javier Milei avançait que l'agence avait été «utilisée durant les dernières décennies comme une agence de propagande kirchneriste» en référence au nom de l'ancienne présidente argentine de gauche, Cristina Kirchner.Le Journal de la 1èreAprès avoir frappé de plein fouet les îles Grenadines, l'ouragan Béryl se dirige vers la Jamaïque en s'éloignant des Antilles.

Trump 2020
Les décisions de la Cour suprême ont-elles été aussi conservatrices que ses membres?

Trump 2020

Play Episode Listen Later Jun 26, 2024 11:27


L'arrêt Dobbs, qui a supprimé la garantie fédérale du droit à l'IVG aux États-Unis, fête son deuxième anniversaire cette semaine. Depuis le mandat présidentiel de Donald Trump, on sait que la Cour suprême est sur une lancée très conservatrice.Ce dernier épisode de New Deal de la saison est donc l'occasion de faire le bilan de la jurisprudence de l'institution, qui termine fin juin sa session de printemps. Que peut-on dire des décisions prises cette année?Tous les mercredis, New Deal décortique l'actualité politique américaine. New Deal est un podcast de Laurence Nardon produit et réalisé par Slate Podcasts en partenariat avec la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et l'Institut français des relations internationales (IFRI).Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son, montage et réalisation: Aurélie RodriguesPrésentation: Romain DessalMusique: «Cutting It Close», DJ Freedem

Maintenant, vous savez
Qu'est-ce que le furtivage, cette pratique reconnue comme une agression sexuelle ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Jun 7, 2024 4:01


Le furtivage, issu de l'anglicisme stealthing, est l'action qui désigne, durant un rapport sexuel, le retrait du préservatif à l'insu de son partenaire. Le terme provient du Québec et découle de l'adverbe "furtivement". EN août 2022, la Cour Suprême canadienne a reconnu l'acte de retirer un préservatif sans le consentement de l'autre comme une agression sexuelle. La judiciarisation de cette pratique est toute nouvelle. Elle découle d'un procès dont l'accusé avait d'abord été acquitté, bien qu'une jeune femme lui reprochait d'avoir retiré un préservatif en plein acte sexuel. Que s'est-il passé ? C'est une pratique fréquente ? Comment ça se passe en France ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. Première diffusion : 18 août 2022 À écouter aussi : Comment notre cerveau réagit-il à une anesthésie générale ? Qu'est-ce que le biais d'optimisme ? Qu'est-ce que le phénomène du “projet Mbappé” ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Les matins
La Cour suprême du Ghana se penche sur une loi anti-LGBT

Les matins

Play Episode Listen Later May 31, 2024 5:43


durée : 00:05:43 - La Revue de presse internationale - par : Laura Dulieu - La loi a été adoptée par le Parlement ghanéen en février dernier.

Tout un monde - La 1ere
Quand la Cour suprême des Etats-Unis s'écarte de la norme

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later May 27, 2024 20:02


(00:00:40) Quand la Cour suprême des Etats-Unis s'écarte de la norme (00:07:46) "Caroline au pays des 27" (ep.4) : Hélène et l'action extérieure de l'UE (00:12:57) Investir dans des fonds d'un vert variable

Histoires du monde
La banière étoilée hissée à l'envers devant la maison d'un juge à la Cour suprême

Histoires du monde

Play Episode Listen Later May 20, 2024 2:42


durée : 00:02:42 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Le juge ultra-conservateur Alito doit-il se récuser dans les affaires touchant Donald Trump après que le New York Times a révelé qu'il avait arboré quelques jours durant devant sa maison ce signe de rébellion trumpiste.

InterNational
La banière étoilée hissée à l'envers devant la maison d'un juge à la Cour suprême

InterNational

Play Episode Listen Later May 20, 2024 2:42


durée : 00:02:42 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Le juge ultra-conservateur Alito doit-il se récuser dans les affaires touchant Donald Trump après que le New York Times a révelé qu'il avait arboré quelques jours durant devant sa maison ce signe de rébellion trumpiste.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Mali : vers une prolongation du régime de transition ?

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later May 14, 2024 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur la loi anti-LGBT au Ghana et sur le départ de Kyllian Mbappé du Paris Saint-Germain. Mali : vers une prolongation du régime de transition ? Les participants au dialogue inter-Malien ont recommandé la prolongation du régime de transition pour une durée de 2 ou 5 ans. Quels arguments avancent-ils ? Comment l'opposition a-t-elle réagi à cette proposition ? Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI.  Ghana : la loi anti-LGBT remet-elle en cause un prêt de la banque mondiale ? Examinée par la Cour Suprême ghanéenne, la loi anti-LGBT pourrait entrainer, si elle était promulguée, la suspension d'un prêt de la Banque mondiale. Pourquoi l'institution financière applique-t-elle ces principes ? A quelles conséquences économiques s'expose le pays si le prêt n'est fourni ?  Avec Dominique Baillard journaliste au service économie de RFI, présentatrice de la chronique « Aujourd'hui l'économie ».  Football : qui pour remplacer Mbappé au PSG ? Kyllian Mbappé a joué son dernier match au Parc des Princes avec le Paris Saint-Germain. Comment expliquer les moins bonnes performances du joueur cette saison ? Qui pourrait remplacer Mbappé au sein de l'effectif parisien ?  Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI.  

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Au Sénégal, le PDS saisit la Cour suprême pour reporter l'élection présidentielle

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Mar 13, 2024 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur une vague d'enlèvements au Nigeria, sur le retour du Gabon dans la CEEAC et sur un tribunal pour juger les crimes de guerre au Nigeria. Election au Sénégal : vers un nouveau report ?  Le Parti démocratique sénégalais a déposé un recours devant la Cour suprême pour annuler la nouvelle date de l'élection présidentielle. A 10 jours du premier tour, la Cour peut-elle examiner cette requête ? Peut-on s'attendre à un nouveau report de l'élection ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar.  Nigeria : le nord du pays frappé par une vague de kidnapping Ces derniers jours, le nord du Nigeria a été le théâtre de plusieurs enlèvements de masse. Pourquoi les groupes armés ciblent-ils principalement les enfants ? Est-ce le signe d'une recrudescence des kidnappings dans cette région ?  Avec Liza Fabbian, journaliste au service Afrique de RFI, de retour du Nigeria. Gabon : levée des sanctions de la CEEAC La Communauté économique des États de l'Afrique centrale a annoncé la levée des sanctions contre le Gabon six mois après le coup d'Etat. Pourquoi l'instance sous-régionale prend-elle cette décision maintenant ? Cette mesure pourrait-elle faciliter le retour du Gabon au sein de l'Union africaine ? Avec Sébastien Németh, journaliste au service Afrique de RFI. Libéria : un tribunal pour les crimes commis lors des guerres civiles Le Parlement a voté une motion pour la création d'un tribunal pour juger les crimes de guerres commis lors des deux guerres civiles entre 1989 et 2003. Comment expliquer cette décision alors que le pays n'a jamais condamné les responsables de ces crimes ? La proximité entre le chef de guerre Prince Johnson et le président Joseph Boakai peut-elle être un frein à cette initiative ? Avec Liana Maria Ursa, chercheuse en sciences politiques, spécialiste du Liberia. 

Les matins
Aux Etats-Unis, la Cour suprême s'empare de la question de l'immunité de Donald Trump

Les matins

Play Episode Listen Later Feb 29, 2024 4:41


durée : 00:04:41 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les médias américains y voient une "victoire" pour Donald Trump, car son procès fédéral pour son rôle dans l'assaut du Capitole va être repoussé.

Programme B
Aux origines de la discrimination positive | 2/2

Programme B

Play Episode Listen Later Jan 25, 2024 14:36


En juin 2023, la Cour Suprême des États-Unis décidait de mettre un terme à l'Affirmative Action, plus connue en France sous le nom de discrimination positive. Ce dispositif, vieux de près d'un demi-siècle, permettait aux universités de prendre en compte les origines ethniques et sociales des étudiants, afin d'assurer une diversité dans leurs rangs et de réparer les inégalités issues du passé ségrégationniste états-unien. Mais ce changement majeur, qui va avoir des conséquences durables, est resté assez mal compris de notre côté de l'Atlantique. Heureusement, il n'est pas trop tard pour rattraper nos lacunes. Une enquête de Kévi Donat.Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.