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durée : 00:03:38 - La gare de Pau et le blocus des taxis
1862. Le « Delphin » conçu comme le plus rapide navire à vapeur de son temps, quitte Glasgow en vue de relier Charleston afin d'y faire une opération commerciale. Des armes et vivres y sont nécessaires. En effet, c'est la guerre de sécession. La ville sudiste est sous l'emprise d'un blocus mis en place par les états du nord.Le capitaine James Playfair représente les intérêts de la maison Playfair et Cie. Un bien étrange marin se fait enrôler sur le navire en compagnie de son neveu. Ce dernier est en fait une jeune fille travestie. Leur but est de rejoindre la ville assiégée afin d'y retrouver le père de la charmante Jenny Hallyburt. Celui-ci est un journaliste abolitionniste que les confédérés ont emprisonné.James Playfair devra traverser de bien rudes épreuves, parsemées de conflits où se perdent boulets ainsi que des flèches de Cupidon…
durée : 00:12:47 - L'invité franceinfo soir - L'eurodéputée ECR Marion Maréchal était l'invitée de franceinfo jeudi soir. Elle répondait aux questions d'Agathe Lambret.
durée : 00:36:05 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Depuis deux mois, les 2,4 millions d'habitants de la bande de Gaza sont privés d'aide humanitaire en raison du blocus israélien qui empêche l'entrée de toute aide extérieure. En parallèle, Israël a repris ses bombardements aériens suivis d'une offensive terrestre. - réalisé par : Thomas Lenglain
durée : 00:36:05 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Depuis deux mois, les 2,4 millions d'habitants de la bande de Gaza sont privés d'aide humanitaire en raison du blocus israélien qui empêche l'entrée de toute aide extérieure. En parallèle, Israël a repris ses bombardements aériens suivis d'une offensive terrestre. - réalisé par : Thomas Lenglain
Notion est un outil à destination des étudiants pour organiser leurs notes de cours et leurs projets. Le tout accompagné par l'IA. Il nous est présenté par Andrew Marlow, le chroniqueur qui nous aide à mieux comprendre le numérique et ses enjeux. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 03/05/2025 Ce samedi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Martial Ze Belinga, économiste et sociologue ; Britta Sandberg, correspondante de “Der Spiegel” à Paris ; Mariam Pirzadeh, rédactrice en chef à France 24 et le dessinateur de presse Nicolas Vadot. Le blocus de Gaza devant la justice internationale : un coup d'épée dans l'eau ?Cette semaine, la Cour internationale de justice s'est réunie à la demande d'une quarantaine d'États et d'organisations internationales, afin de statuer sur le blocus humanitaire imposé par le gouvernement israélien dans la bande de Gaza. Depuis le 2 mars, aucune aide n'est acheminée dans ce territoire où vivent plus de deux millions de Palestiniens. L'État hébreu se justifie en expliquant que l'aide humanitaire est détournée par le Hamas et certains ministres assument que cette stratégie est un moyen pour faire plier l'organisation terroriste palestinienne. Pourtant, le droit humanitaire international, qui régule les effets des conflits armés, l'interdit. Israël n'a pas participé aux audiences de la CIJ dénonçant une “persécution systématique” de sa part. Si les décisions de cette Cour sont juridiquement contraignantes, elle ne dispose pas de moyens pour les faire appliquer. Les Français sont-ils obsédés par leurs jours fériés ?Comme chaque 1er mai, les boulangeries étaient fermées en France mais, cette année, une proposition de loi s'est invitée dans le débat. Des sénateurs proposent que désormais, les boulangers aient le droit de vendre du pain en ce jour national de fête du travail. Les syndicats s'opposent à une telle mesure qui viendrait porter atteinte à une conquête sociale. Cette passe d'armes reflète l'importance des jours fériés en France, dont le maintien ou non revient régulièrement dans le débat public, notamment ceux du mois de mai qui sont nombreux. Certains estiment qu'ils sont une entrave à l'activité au moment où la France a besoin de recettes. D'autres considèrent que ces acquis ne doivent pas être remis en cause, qu'ils soient religieux ou républicains. Nous recevons Katia Boudoyan, directrice de l'Institut du monde arabe de Tourcoing où se tient l'exposition “Ya Rayi ! Une histoire de la musique Raï”, jusqu'au 27 juillet. La musique raï est longtemps restée cantonnée à son berceau, Oran et sa région, en Algérie. Mais, au début des années 1980, cette musique de révolte et de liberté franchit les frontières grâce aux enfants de l'immigration maghrébine et s'installe au sommet du Top 50 en France. Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins allemands et leur gestion des déserts médicaux. Cette semaine, certains médecins français ont fait grève pour dénoncer une proposition de loi qui vise à réguler leur installation dans l'objectif de lutter contre les déserts médicaux. En Allemagne, cette régulation est en place depuis le début des années 1990 avec des résultats satisfaisants. Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Mark Carney, le nouveau Premier ministre canadien. Candidat du Parti libéral, le même que son prédécesseur, il a remporté l'élection lundi 28 avril face au conservateur Pierre Poilievre, longtemps donné gagnant et associé à Donald Trump. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision italienne qui commémore les 80 ans de l'exécution du Duce, Benito Mussolini. Sa mémoire continue d'être honorée, entre vrais nostalgiques du fascisme et amateurs de gadgets plus ou moins décérébrés. Paola Puerari se demande pourquoi nous attendons de trouver l'âme sœur pour avoir des enfants ? Elle s'intéresse à la coparentalité, une nouvelle façon de faire famille. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : pourquoi utilise-t-on encore de vieilles bandes magnétiques ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 03 mai 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
Le Journal en français facile du vendredi 2 mai 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BdQy.A
Deux mois de blocus humanitaire à Gaza, deux mois qu'Israël empêche d'entrer les camions de nourriture, d'eau, de médicaments et d'autres produits de première nécessité, dans un territoire déjà dans une situation catastrophique pour les habitants. L'Organisation mondiale de la santé a qualifié « d'abomination » la situation dans le territoire palestinien, exprimant sa colère face à l'inaction pour secourir sa population. Entretien avec Rony Brauman, ancien président de MSF et directeur d'études au sein du Centre de réflexion sur l'action et les savoirs humanitaires (Crash). Auteur de « Guerres humanitaires ? Mensonges et intox », éditions Textuel. RFI : La situation est insupportable selon les habitants de Gaza. L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) parle d'« abomination ». Aujourd'hui, en plus du blocus et des bombardements, Israël occupe aussi des parties de la bande de Gaza. À quoi ressemble le quotidien des Palestiniens ? Où et comment vivent-ils ? Rony Brauman : Les mots manquent pour décrire le quotidien des Palestiniens. L'attentat terroriste du 7-Octobre impliquait une riposte de la part d'Israël. Personne ne conteste cette évidence, mais la disproportion, la cruauté, la férocité avec laquelle cette punition collective a été abattue par les Israéliens sur la population de Gaza, cela laisse sans voix. Gaza était déjà sous blocus, mais finalement, l'aide humanitaire, sous la pression, avait fini par entrer. Dans des quantités limitées mais qui avaient permis des choses. Puis la trêve avait permis de constituer des stocks, avait été un véritable répit pour les Palestiniens pendant quelques semaines, durant sept ou huit semaines. Aujourd'hui, c'est à nouveau l'abomination, l'enfer qui s'abat sur les Palestiniens. Toutes les réserves sont épuisées. On boit de l'eau croupie, de l'eau saumâtre, on ne peut plus s'éclairer parce que les centrales ne sont plus approvisionnées. Il n'y a plus de carburant, plus de farine, plus d'aliments de base. Ce que les Gazaouis avaient réussi à stocker, les commerçants ou les particuliers, tout cela arrive maintenant à épuisement. On est dans une situation de famine organisée dans le cadre d'une guerre qui, aujourd'hui, n'a jamais mieux mérité son nom de guerre génocidaire. Comme pour rajouter à l'infamie, à l'horreur de cette situation, rien n'est fait concrètement de la part des Occidentaux pour que le massacre s'arrête, en dépit de quelques formulations critiques qui ont tardé à être entendues, comme la France appelant à arrêter le massacre. Par exemple, les livraisons d'armes continuent. L'intensité des bombardements, des tirs qu'Israël effectue sur Gaza, n'a jamais été aussi élevée. Il faut bien ravitailler toutes ces munitions, ces drones, ces avions, ces hélicoptères, ces chars qui tirent des missiles, des obus. Sur ce point-là, comment est-ce que vous expliquez que cela dure encore ? Parce que, même si Israël empêche les journalistes d'entrer, on a des images. Il y a eu quelques rares visites, on a des informations grâce aux réseaux sociaux. Pourquoi est-ce que cela dure depuis aussi longtemps ? Notamment les livraisons d'armes que vous mentionniez à l'instant. Cela dure pour deux raisons. D'une part, parce qu'Israël entend saisir l'occasion qui lui est donnée pour se débarrasser définitivement de la question des Palestiniens de Gaza. Au passage, Israël entend aussi accélérer et amplifier, intensifier sa politique de colonisation en Cisjordanie. Il y a quelque chose comme un effet d'aubaine, si vous voulez. Le 7-Octobre est utilisé par les Israéliens pour chasser le plus possible de Palestiniens. D'autre part, le soutien indéfectible des États-Unis. Ce soutien était un peu plus mesuré sous le mandat de Joe Biden, il y avait malgré tout quand même un peu de retenue. Maintenant, sous Donald Trump, il n'y en a absolument plus aucune, puisque c'est Trump qui leur a soufflé la solution de la déportation des Palestiniens de Gaza et l'installation d'une Riviera sur ce littoral. Par ailleurs, l'Europe tolère des transferts de composants d'armement. Certes, on n'envoie pas des obus, des vedettes militaires ou que sais-je, mais on laisse passer des composants électroniques, des composants métalliques utilisés dans la fabrication des missiles, des projectiles qui tuent chaque jour des Palestiniens. Surtout l'Allemagne, mais également d'autres pays. La France n'est pas en tête, mais son rôle est quand même significatif. L'Europe a-t-elle les moyens de faire quelque chose ? Je pense que l'Europe aurait les moyens de faire quelque chose. Car l'Europe est le premier débouché commercial d'Israël. L'Europe a accordé à Israël, en tant que pays démocratique allié, présent dans le bon camp, un accord d'association qui lui donne un statut de quasi-membre de l'Union européenne avec des coopérations culturelles, universitaires, militaires, stratégiques, commerciales, etc. Donc, il y a toutes sortes de moyens d'agir pour signifier à Israël qu'on ne veut pas se rendre complice de ce génocide, de ces atrocités que tout le monde voit et devant lesquelles personne ne fait rien. L'Europe, qui se vante d'être attachée au droit international, au droit humanitaire, ne fait absolument rien sinon envoyer quelques critiques qui ne changent absolument rien à la situation. Pour répondre à votre question, la réponse est simple : oui, l'Europe aurait les moyens de faire quelque chose à condition de le vouloir. Pour l'instant, l'Europe continue de se porter aux côtés d'Israël en continuant de qualifier ce pays de démocratie, alors qu'y règne l'apartheid, la colonisation, la torture légale et aujourd'hui une guerre génocidaire, le blocus imposé aux journalistes. Est-ce que l'on connait d'autres conflits dans lesquels, pendant deux ans, aucun journaliste étranger n'a pu pénétrer, si ce n'est « embedded », embarqué avec l'armée israélienne ? Quelques journalistes ont pu rentrer et visiter le camp de Jabalia, avec interdiction de parler aux réfugiés palestiniens de ce camp qui est le plus grand camp de réfugiés palestiniens de la région. On va visiter ce camp, mais on n'a pas le droit de parler aux gens qui s'y trouvent parce que l'armée israélienne l'interdit. Malgré tout cela, le génocide, l'apartheid, le racisme, la férocité de cette offensive, Israël continue à bénéficier du statut de démocratie, statut qui l'ancre dans le camp occidental et lui permet de bénéficier de la mansuétude, de l'indulgence, voire du soutien d'un certain nombre de pays européens. Le gouvernement israélien a encore dit, vendredi 2 mai, préparer une grande opération à Gaza et mobiliser pour cela des réservistes. Quelle est la stratégie ? Je crois que d'une part, Israël est en train de réoccuper Gaza. Il s'agit de prendre des positions, de découper la bande en plusieurs zones, en trois ou quatre zones. D'autre part, comme l'a dit élégamment, je crois, Smotrich, mais repris par d'autres, il s'agit « d'encourager le départ volontaire des Gazaouis ». Qu'est-ce que ça veut dire, « encourager le départ volontaire » ? Cela veut dire contraindre les gens par la faim et le désespoir à un départ sans espoir de retour, parce qu'il n'y a plus aucun avenir. Les jeunes gens de Gaza, à part le fait de vouloir se venger de ceux qui les ont plongés dans le malheur le plus extrême, ont aussi envie de voir autre chose. Je pense que le plan Trump, qui a été saisi au vol par Benyamin Netanyahu, est en train d'être mis en œuvre. C'est-à-dire vider Gaza de sa population, se livrer à une opération d'épuration, d'évacuation ethnique où l'on va garder quelques dizaines de milliers de personnes, mais évacuer les autres vers l'Égypte, d'autres pays africains, d'autres pays dans le monde. Je ne sais pas comment ils vont faire cela, mais en tout cas, tout semble indiquer qu'ils en prennent le chemin. Ce vendredi 2 mai, l'ONG « Flottille de la liberté » annonce que l'un de ses bateaux humanitaires à destination de Gaza a été visé par un drone israélien au large de Malte, dans les eaux internationales. Pour l'instant, Israël n'a pas réagi mais cela vous paraît-il plausible ? Cela me paraît plausible. Rappelez-vous la flottille Mavi Marmara en 2010 qui avait été attaquée par des commandos israéliens. Il y avait eu quand même dix morts sur une flottille qui était intégralement pacifiste, qui entendait simplement appliquer une pression pour forcer le blocus et livrer des médicaments et des vivres à la population de Gaza. Une opération hautement symbolique, disons de diplomatie humanitaire privée, mais qui n'avait rien d'agressif et qui a fini ainsi. Que cette flottille ait été attaquée par des drones israéliens, de la façon la plus illégale, est un acte de piraterie pure et simple. Je ne sais pas si, factuellement, cela s'est passé ainsi, mais ça me paraît tout à fait plausible. Cela ne fait aucun doute. À lire aussiFlottille de Gaza: un navire humanitaire attaqué par des drones israéliens, disent des militants À lire aussi«Mes enfants sont chétifs»: l'agonie des Gazaouis face au blocus humanitaire imposé par Israël
Univox | le blocus étudiant à Poitiers Depuis le 11 février 2025, suite à un appel à la mobilisation des syndicats étudiants réagissant à l'annonce du nouveau budget 2025 pour l'enseignement supérieur, un blocage de plusieurs bâtiments de l'université de Poitiers s'est organisé. Au programme de cet UNIVOX sur les mobilisations étudiantes : - Un micro-trottoir récoltant quelques avis autour du campus à propos de la mobilisation - Un reportage, sous forme de collection de portraits d'étudiantes et étudiants qui se sont engagés sur le blocage - Une interview de Ciné Luttes, une initiative documentant la vie du blocus de l'Université de Poitiers ------------------------------------------------------ UNIVOX l'émission Les radios Campus scrutent en permanence l'écosystème jeunesses de leur territoire et tendent chaque semaine leurs micros aux étudiant.e.s, citoyen.ne.s engagé.e.s, habitant.e.s et associations des villes et des campus de France. Une radiographie bouillonnante et itinérante de l'écosystème étudiant. Tous les podcasts : https://www.radiocampus.fr/emission/univox ------------------------------------------------------ RADIO CAMPUS FRANCE Radio Campus France est le réseau des radios associatives, libres, étudiantes et locales fédérant 30 radios partout en France. NOUS SUIVRE | FOLLOW US www.radiocampus.fr Insta @radio_campus TW @radiocampus FB @radiocampus NOUS ÉCOUTER | LISTEN Site, webradios et podcasts www.radiocampus.fr
Univox | le blocus étudiant à Poitiers Depuis le 11 février 2025, suite à un appel à la mobilisation des syndicats étudiants réagissant à l'annonce du nouveau budget 2025 pour l'enseignement supérieur, un blocage de plusieurs bâtiments de l'université de Poitiers s'est organisé. Au programme de cet UNIVOX sur les mobilisations étudiantes : - Un micro-trottoir récoltant quelques avis autour du campus à propos de la mobilisation - Un reportage, sous forme de collection de portraits d'étudiantes et étudiants qui se sont engagés sur le blocage - Une interview de Ciné Luttes, une initiative documentant la vie du blocus de l'Université de Poitiers ------------------------------------------------------ UNIVOX l'émission Les radios Campus scrutent en permanence l'écosystème jeunesses de leur territoire et tendent chaque semaine leurs micros aux étudiant.e.s, citoyen.ne.s engagé.e.s, habitant.e.s et associations des villes et des campus de France. Une radiographie bouillonnante et itinérante de l'écosystème étudiant. Tous les podcasts : https://www.radiocampus.fr/emission/univox ------------------------------------------------------ RADIO CAMPUS FRANCE Radio Campus France est le réseau des radios associatives, libres, étudiantes et locales fédérant 30 radios partout en France. NOUS SUIVRE | FOLLOW US www.radiocampus.fr Insta @radio_campus TW @radiocampus FB @radiocampus NOUS ÉCOUTER | LISTEN Site, webradios et podcasts www.radiocampus.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Israël a décidé de suspendre l’acheminement de l’aide humanitaire vers Gaza, une décision qui suscite de vives réactions sur la scène internationale. S’agit-il d’une mesure stratégique pour faire plier le Hamas ou d’un risque humanitaire mettant en péril les otages et les négociations en cours ?
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
Parmi les traditions de fin d'année, il y a aussi celle, moins festive, du blocus pour les étudiant.es du supérieur. Comment s'y prépare-t-on ? Quelles sont les bonnes pratiques? Seul.e à la maison ou en groupe à l'extérieur? Bref, comment mettre toutes les chances de son côté? On en parle avec Mikaël DE CLERCQ, professeur à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'UCLouvain. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Dans de podcast, ONU Info Genève rencontre Shanley Clémot McLaren, une jeune activiste française distinguée cette semaine lors du sixième Sommet des jeunes activistes (YAS) au Palais des Nations à Genève.Shanley, à seulement 17 ans, s'est fait remarquer en organisant un blocus dans son lycée pour dénoncer le sexisme. Depuis, elle n'a cessé de s'engager pour les droits des femmes et contre le harcèlement, notamment à travers sa campagne #StopFisha contre les violences sexistes en ligne.Dans cet entretien, Shanley partage ses motivations, ses défis et ses succès en tant qu'activiste, ainsi que son expérience personnelle face aux cyberviolences. Elle aborde également les moyens de concilier son activisme avec ses études et ses responsabilités professionnelles. Entretien réalisé par Alexandre Carette
Journaliste, écrivain et homme politique français, Député de Paris.
Un blocus en toute sérénité pour les étudiants (et leurs parents) , est-ce possible ? Merci pour votre écoute Matin Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 6h à 9h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Matin Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/60 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Chaque jour, Céline Géraud et ses invités font un point complet sur l'actualité.
Pour débuter l'émission de ce vendredi 3 mai 2024, les GG : Julie Martinez, avocate, Antoine Diers, consultant, et Étienne Liebig, éducateur, débattent du sujet du jour : les grèves de la faim, les blocus, la dénonciation de la politique israélienne et la mobilisation des étudiants pour la cause palestinienne.
Au menu du jour : France pays raciste ? / Blocus à Sciences Po / Antisémitisme
"BFM STORY" du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Retrouvez Jacques Serais, et ses invités pour revivre ensemble la semaine politique d'Europe 1, en collaboration avec Paris Match et Le JDD.
durée : 00:55:49 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Bérengère Bonte et Jean-François Achilli, les informés débattent de l'actualité du mercredi 13 mars 2024.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du gouvernement qui va saisir la justice à la suite du blocage d'un amphithéâtre à Sciences Po sur fond d'antisémitisme.
Au début du XIXème siècle, la guerre fait rage entre Napoléon et les Britanniques. Ces derniers décident un blocus pour couper l'arrivée en France de certaines matières premières dont ils ont le monopole comme le sucre de canne. Napoléon cherche alors une parade. C'est là que la betterave entre en jeu... Les Grosses Têtes vous proposent de découvrir ou redécouvrir le podcast de Florian Gazan. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.
Au début du XIXème siècle, la guerre fait rage entre Napoléon et les Britanniques. Ces derniers décident un blocus pour couper l'arrivée en France de certaines matières premières dont ils ont le monopole comme le sucre de canne. Napoléon cherche alors une parade. C'est là que la betterave entre en jeu... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.
Aujourd'hui Flora Ghebali, Charles Consigny et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez Le surf de l'info du 29 janvier 2024 avec Cyprien Cini.
Ecoutez L'édito d'Alba Ventura du 29 janvier 2024 avec Alba Ventura.
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Camionneurs et agriculteurs polonais ont repris hier leur blocus de la frontière avec l'Ukraine. Ils protestent contre une « concurrence déloyale » des Ukrainiens, soulevant la question de l'équilibre entre solidarité politique et coût de celle-ci pour la population.
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Camionneurs et agriculteurs polonais ont repris hier leur blocus de la frontière avec l'Ukraine. Ils protestent contre une « concurrence déloyale » des Ukrainiens, soulevant la question de l'équilibre entre solidarité politique et coût de celle-ci pour la population.
durée : 00:02:40 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Au Niger, 5 mois après le coup d'Etat le pays affronte un blocus imposé par certains de ses voisins ...
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En Espagne, les socialistes ont obtenu hier (9 novembre 2023) l'accord des indépendantistes catalans pour soutenir Pedro Sánchez à son investiture à la présidence du gouvernement. Un accord qui signe la fin d'un blocus politique et le probable retour du leader indépendantiste catalan. Elise Gazengel. À Bruxelles, la lutte pour le salariat des travailleurs des plateformesÀ Bruxelles, syndicats et livreurs se mobilisent pour l'adoption d'une directive européenne en faveur du salariat des livreurs de plateformes comme Uber ou Deliveroo. Le texte fait actuellement l'objet de discussions entre les différentes institutions de l'UE, mais les réticences des plateformes sont fortes, tout comme celles de certains États membres, Laure Broulard.En Espagne, une association pour sortir de l'enfer du jeuEn Espagne, ce rapport alarmant du ministère de la Consommation : 12 % des jeunes Espagnols âgés entre 18 et 25 ans pariant en ligne développent une addiction aux jeux de hasard. Le gouvernement, qui a déjà durcit la législation qui encadre les jeux d'argent et les paris en ligne, entend désormais plafonner les montants que les joueurs peuvent parier et des associations tentent de venir en aide aux joueurs compulsifs. Diane Cambon.La bonne nouvelle de Laura TaouchanovC'est sans doute une bonne nouvelle pour la nature : de l'argent pour soutenir des projets en faveur de la biodiversité. C'est, en tout cas, l'objectif du nouveau jeu lancé par la Française des Jeux, même si l'initiative est qualifiée de greenwashing par des écologistes. La chronique musicale de Vincent Théval : la métamorphose de VV BrownVV Brown Black British (Angleterre).
durée : 00:20:06 - Journal de 18h - Au 21e jour de la guerre entre Israël et Hamas, déclenché par l'attaque du mouvement islamiste palestinien, l'armée israélienne continue de bombarder Gaza. Les organisations humanitaires alertent quotidiennement sur la situation catastrophique pour les 2,5 millions d'habitants de ce territoire.
(00:00:43) Témoignages du Haut-Karabagh sous blocus (00:07:19) "Sissi-City", la nouvelle capitale égyptienne en partie opérationnelle (00:12:01) L'écrivain néerlandais Jan Brokken raconte le courage des Justes
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le bilan des nouvelles routes de la soie et les tentatives de médiation du président turc pour relancer l'accord sur les céréales. Mali : à Tombouctou, la population soumise au blocus du Jnim Depuis un mois, la ville de Tombouctou est soumise à un blocus du Jnim, le Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans. Quelle est la gravité de la situation humanitaire dans la ville ? Quelles sont les mesures prises par les autorités maliennes pour mettre un terme à cette situation ? Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI. Chine : dix ans après, quel bilan pour les « nouvelles routes de la soie » ? Le 7 septembre 2013, Xi Jinping annonçait la création des nouvelles routes de la Soie, un gigantesque réseau de routes maritimes et d'infrastructures de transport. En 10 ans, quel principal bénéfice la Chine a-t-elle tiré de ce « projet du siècle » ? Cette initiative a-t-elle répondu aux attentes des pays partenaires ? Avec Stéphane Lagarde, envoyé spécial permanent à Pékin. Russie : Erdogan veut relancer l'accord sur les céréales Recep Tayyip Erdogan s'est rendu en Russie pour tenter de convaincre Vladimir Poutine d'accepter d'un nouvel accord céréalier. Pourquoi le président turc redouble ses efforts de médiation entre l'Ukraine et la Russie ? Avec Nicolas Monceau, maître de conférences en Sciences politiques à l'Université de Bordeaux, spécialiste de la Turquie.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
durée : 00:59:18 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - En 1806, tandis que la flotte britannique domine les mers, Napoléon proclame un Blocus continental afin d'isoler l'Angleterre, asphyxier son économie et provoquer la paix. La stratégie de l'Empereur ne tarde pas à se retourner contre lui et l'entraîne dans une fuite en avant. - invités : Pierre Branda Historien, directeur scientifique de la Fondation Napoléon; Silvia Marzagalli Professeure d'histoire moderne à l'Université Côte d'Azur
Pendant que les caméras du monde entier restent braquées sur l'Ukraine, une autre région est touchée silencieusement par la guerre entre Moscou et Kiev. Le Haut-Karabakh, une république autonome enclavée, subit un important blocus mené par l'Azerbaïdjan. La paix sociale, sous la responsabilité des troupes russes, est fragilisée. Les 120 000 résidents de la région, majoritairement d'origine arménienne, sont au bord de la crise humanitaire. On fait le portrait d'un conflit complexe, qui entre dans une nouvelle phase.Invité: Fabien Deglise, journalisteÉquipe :Meeker Guerrier, animateurFabien Deglise, journalisteXavier Kronström Richard, réalisateurFélix Deschênes, recherchisteAlexis Elina, composition musicale originalePour joindre l'équipe du balado : balado@ledevoir.comRectificatif:Une version antérieure de cet épisode avançait à tort que la majorité des Arméniens étaient de confession catholique et attribuait à Nikol Pachinian le titre de président. La majorité des Arméniens sont plutôt de confession chrétienne, par le biais de l'Église apostolique arménienne, et Nikol Pachinian occupe plutôt la fonction de premier ministre.
La Somalie connaît sa pire sécheresse depuis 40 ans. Selon l'ONU, 8 millions de personnes y ont besoin d'une aide alimentaire, dont plus de 250 000 vivent dans des conditions « proches de la famine ». Pour les Somaliens des zones rurales administrées par les islamistes shebabs, la peine est double : déjà durement frappés par la sécheresse, ils continuent de subir des taxations forcées instaurées par le groupe terroriste. De notre envoyée spéciale à Baidoa, On retrouve Abdulaye à l'abri des regards, à Baidoa où il s'est réfugié. Abdoulaye n'est pas son vrai prénom, mieux vaut rester discret ici pour évoquer les pratiques des islamistes shebabs. Il a 76 ans, et le visage buriné par une vie de labeur à Gurban, son village. Il y vivait jusqu'en juin dernier. « Al-Shabab est source de souffrance pour les populations. Non seulement ils nous harcèlent, mais en plus ils nous taxent. Ils ponctionnent nos revenus, tuent nos têtes de bétail. Ils nous réduisent en esclavage. » Asphyxié par les taxes prélevées par les shebabs À Gurban, Abdulaye vivait de son bétail et de la culture du sorgho. À cause de la sécheresse, ses revenus n'ont fait que diminuer. Mais pas les taxes prélevées par les shebabs. Elles ont fini par l'asphyxier. Il fallait payer jour et nuit. Même si ton champ est vide, qu'il n'est plus cultivé, on te force à payer. Mais au bout d'un moment je n'avais plus rien pour payer. J'ai dû commencer à vendre mon bétail. J'avais 20 vaches et 20 chèvres. Et j'ai tout perdu. Certaines sont mortes de soif, d'autres ont été vendues pour payer les shebabs. Quand la dernière bête est morte, j'ai décidé de partir. C'était devenu insupportable. Aliman Hassan supervise pour la communauté le site de déplacés où vit désormais Abdulaye. Il n'est pas étonné. « Ils n'ont aucune pitié, pour personne… Il n'y a pas de pitié dans ces endroits. Vous devez payer ce qu'on vous demande sous peine d'être punis. » Blocus imposé par les islamistes D'autant que Gurban est situé dans une zone âprement disputée près de Dinsor, une ville autrefois sous contrôle shebabs mais récupérée en 2015 par le gouvernement. Depuis, en représailles, les islamistes y imposent un blocus. Ils contrôlent tous les accès à Dinsor par la route et empêchent de s'y rendre les habitants des villages alentour toujours sous leur contrôle des zones qu'ils administrent, y compris lorsqu'ils sont affamés. Hassan Ali, est chef de projet adjoint au sein de l'ONG Acted. « Ce blocus imposé aux populations rend cette sécheresse encore plus dure à supporter. L'an dernier, des habitants de ces zones rurales s'étaient organisés pour acheminer de la nourriture de Dinsor jusque chez eux dans des charrettes tirées par des ânes. Mais les shebabs ont tué les ânes et ont brûlé la marchandise. Même si tu as de quoi payer, parfois dans ces zones, tu ne peux rien acheter. C'est très inquiétant. » D'autant plus inquiétant que dans les villages sous contrôle shebabs, pratiquement aucune agence humanitaire n'est autorisée à intervenir.
Être un artiste, un musicien, n'est pas une chose aisée. Mais dans la bande de Gaza - minuscule bande de terre côtière palestinienne - se lancer dans la musique, c'est encore plus compliquée. Blocus depuis 2007, restrictions de mouvements, manque d'électricité, manque d'espace, manque d'argent, sans oublier les guerres successives, et le stress, la peur, les traumatismes qui vont avec. Devenir musicien est une tâche encore plus ardue quand la musique que l'on joue est « différente » de celle communément écoutée, qu'il faut changer les perceptions d'un public conservateur, jugeant ce style trop « occidental », non habitué à ce genre musical, comme c'est le cas pour le rock ou encore le rap et le hip hop à Gaza par exemple. Mais pour les Gazaouis, la musique reste une manière de résister par les notes, par les paroles… Une manière de s'exprimer, de s'émanciper, de montrer qu'ils Gazaouis ne sont pas prêts d'abandonner. Reportage dans le seul magasin de musique de la bande de Gaza, où notre correspondante y a rencontré le premier groupe de rock de l'enclave.
Le 18 juin 1815, la sanglante bataille de Waterloo sonne le glas de l'Empire. Contraint à abdiquer une seconde fois, Napoléon sera exilé sur la lointaine île de Sainte-Hélène, où il trouvera la mort en 1821.La bataille entraîne un véritable carnage. Très variés, les chiffres donnés par les historiens vont de 5.000 à plus de 30.000 morts, sans compter les très nombreux blessés. Mais il est possible que ce bilan soit encore sous-évalué.La plupart de ces soldats ne vont pas recevoir de véritables sépultures. Pour des raisons sanitaires, une partie des dépouilles sont incinérées ou inhumées dans de vastes fosses communes.De nombreux cadavres sont donc enterrés de manière sommaire ou même laissés sur le champ de bataille. Et pourtant il est très rare de trouver des ossements ayant appartenu à des combattants de Waterloo.Dans ces conditions, on peut se demander ce que sont devenus ces restes humains. Une réponse assez macabre est donnée par certains historiens. D'après eux, il est probable que ces os aient été récupérés par des paysans. Certains, même, n'auraient pas hésité à déterrer les cadavres pour s'en emparer.Mais qu'auraient-ils bien pu faire de ces ossements ? Pour les historiens, la réponse ne fait guère de doute : ils les auraient revendus à l'industrie sucrière locale. Elle était très prospère depuis l'instauration du Blocus continental, en 1806, qui avait incité à remplacer la canne à sucre, importée des colonies françaises, par la betterave sucrière.Des os d'animaux, souvent de cheval, étaient en effet utilisés dans le processus de fabrication. Cuits dans des fours, ils étaient réduits en poudre et donnaient ce "noir animal" qui permettait de filtrer le sirop de sucre.Les ossements de chevaux auraient donc été remplacés, dans certains cas, par les os des soldats de Waterloo. Suspectant le trafic, les autorités locales avaient pourtant averti les paysans qu'ils risquaient gros à le poursuivre. Mais ces os étant payés à un bon prix, il semble que l'appât du gain l'emporta sur la peur du châtiment. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 18 juin 1815, la sanglante bataille de Waterloo sonne le glas de l'Empire. Contraint à abdiquer une seconde fois, Napoléon sera exilé sur la lointaine île de Sainte-Hélène, où il trouvera la mort en 1821. La bataille entraîne un véritable carnage. Très variés, les chiffres donnés par les historiens vont de 5.000 à plus de 30.000 morts, sans compter les très nombreux blessés. Mais il est possible que ce bilan soit encore sous-évalué. La plupart de ces soldats ne vont pas recevoir de véritables sépultures. Pour des raisons sanitaires, une partie des dépouilles sont incinérées ou inhumées dans de vastes fosses communes. De nombreux cadavres sont donc enterrés de manière sommaire ou même laissés sur le champ de bataille. Et pourtant il est très rare de trouver des ossements ayant appartenu à des combattants de Waterloo. Dans ces conditions, on peut se demander ce que sont devenus ces restes humains. Une réponse assez macabre est donnée par certains historiens. D'après eux, il est probable que ces os aient été récupérés par des paysans. Certains, même, n'auraient pas hésité à déterrer les cadavres pour s'en emparer. Mais qu'auraient-ils bien pu faire de ces ossements ? Pour les historiens, la réponse ne fait guère de doute : ils les auraient revendus à l'industrie sucrière locale. Elle était très prospère depuis l'instauration du Blocus continental, en 1806, qui avait incité à remplacer la canne à sucre, importée des colonies françaises, par la betterave sucrière. Des os d'animaux, souvent de cheval, étaient en effet utilisés dans le processus de fabrication. Cuits dans des fours, ils étaient réduits en poudre et donnaient ce "noir animal" qui permettait de filtrer le sirop de sucre. Les ossements de chevaux auraient donc été remplacés, dans certains cas, par les os des soldats de Waterloo. Suspectant le trafic, les autorités locales avaient pourtant averti les paysans qu'ils risquaient gros à le poursuivre. Mais ces os étant payés à un bon prix, il semble que l'appât du gain l'emporta sur la peur du châtiment. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Ce matin : Djibo : quelles sont les revendications des jihadistes ? Par Wassim Nasr, journaliste à France 24, spécialiste des mouvements jihadistes. Pétrole : pourquoi les pays de l'Opep+ décident de réduire leur production ? Par Mounia Daoudi, cheffe du service économie de RFI. Mali : que sait-on sur le crash d'un avion militaire ? Par Seidik Abba, Journaliste, spécialiste du Sahel, auteur de Mali-Sahel, notre Afghanistan à nous ? chez Impacts éditions. Afrique : l'Ukraine en quête d'alliés ? Par Babacar NDIAYE, directeur de la recherche et des publications de WATHI. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
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Ce lundi 20 juin, le blocus terrestre désormais appliqué par la Lituanie contre l'enclave de Kaliningrad, un territoire russe, a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - 4,5 millions de tonnes de blé et de maïs attendent dans des silos sur le port d'Odessa, alors que le risque de famine croit dans le monde. Mais Odessa est soumis à un blocus russe, constaté lundi par Charles Michel, le Président du Conseil européen.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - 4,5 millions de tonnes de blé et de maïs attendent dans des silos sur le port d'Odessa, alors que le risque de famine croit dans le monde. Mais Odessa est soumis à un blocus russe, constaté lundi par Charles Michel, le Président du Conseil européen.