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I.A. Café - Enquête au cœur de la recherche sur l’intelligence artificielle
Est-ce que l'IA s'invitera sous le sapin?Au programme : notre party de Noël d'IA café. On se donne des cadeaux. Dans ces cadeaux se cache évidemment le thème de l'intelligence artificielle. Interprétation très littérale du terme « cadeau » (des livres, BD, jeux, séries TV, films, application AI à essayer), ou très souple du terme « cadeau », genre Fred qui nous parle intensément d'un texte niché et geek, parce que vous êtes les seuls, chers auditeurs, à pouvoir comprendre que ça aussi c'est un cadeau! Bonne écoute:Lecture aux enfants - neurones d'apprentissage non machine et non automatiqueCapacitation cognitive et lutte au « brain rot » - La technique IA C.A.F.É. de VéroniqueGémini vs ChatGPT 5.2 - Sam Altman the Hype snow manZone de danger - Petit lunch des Top Guns de l'IA au sommet des gratte-cielsChicane du réveillon - Régulation de la Commission Européenne vs Google Le sens des mots - vocabulaire critique de l'IADisney et Open AI - Avengers: unissez-vous!Bonne écoute!Production et animation: Jean-François Sénéchal, Ph.DBaristIAs de Noël: Véronique Tremblay, Stéphane Mineo, Frédérick Plamondon, Shirley Plumerand, Benjamin Leblanc, Marie-Ève Vachon Savary.Collaborateurs et collaboratrices: Véronique Tremblay, Stéphane Mineo, Frédérick Plamondon, Shirley Plumerand, Sylvain Munger Ph.D, Ève Gaumond, Benjamin Leblanc, Marie-Ève Vachon Savary.En musique :Musique: PP2, Aubert Sénéchal (2025) (c)Musique: Danger Zone, Kenny Loggins, from the film "Top Gun," (1986) (c)Montage audio – Sources :Hugo DécrypteBMF business – Le journal@20 minutesFrance@LeBigDataFRRadio Canada - Rad Radio Canada -Info@businesse DynamiteTV5 Monde infoFrance CultureQUB (Fred Bastien)Vision IA-FRLe Figaro Podcasts – Questions techFrance 24Le HuffPost Support the show
Dans cette édition :Le président français Emmanuel Macron remporte une victoire à Bruxelles en obtenant le report à janvier de la signature de l'accord entre l'Union Européenne et le Mercosur, aidé par l'Italie et les manifestations d'agriculteurs devant la Commission Européenne.Les syndicats agricoles, dont la FNSEA, s'étonnent du revirement de la Commission Européenne et jugent le report insuffisant, alors que le Premier ministre tente d'apaiser la colère des éleveurs bloquant les autoroutes du sud-ouest.Les auditions de Thomas Legrand et Patrick Cohen devant la commission d'enquête sur l'audiovisuel public soulèvent des questions sur l'impartialité du service public, avec des accusations de connivence avec le Parti Socialiste.Une policière de 25 ans a été interpellée en région parisienne pour avoir revendu des fichiers confidentiels de la police à des délinquants, une activité criminelle lui ayant rapporté plus de 12 000 euros.La justice se prononce sur la suspension pour trois mois du géant chinois Chine en France, après la mise en vente de poupées sexuelles d'apparence enfantine et d'armes sur sa plateforme, en pleine période de Noël.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le président français Emmanuel Macron remporte une victoire à Bruxelles en obtenant le report à janvier de la signature de l'accord entre l'Union Européenne et le Mercosur, aidé par l'Italie et les manifestations d'agriculteurs devant la Commission Européenne.Les syndicats agricoles, dont la FNSEA, s'étonnent du revirement de la Commission Européenne et jugent le report insuffisant, alors que le Premier ministre tente d'apaiser la colère des éleveurs bloquant les autoroutes du sud-ouest.Les auditions de Thomas Legrand et Patrick Cohen devant la commission d'enquête sur l'audiovisuel public soulèvent des questions sur l'impartialité du service public, avec des accusations de connivence avec le Parti Socialiste.Une policière de 25 ans a été interpellée en région parisienne pour avoir revendu des fichiers confidentiels de la police à des délinquants, une activité criminelle lui ayant rapporté plus de 12 000 euros.La justice se prononce sur la suspension pour trois mois du géant chinois Chine en France, après la mise en vente de poupées sexuelles d'apparence enfantine et d'armes sur sa plateforme, en pleine période de Noël.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que plusieurs milliers d'agriculteurs manifestent à Bruxelles contre l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur, le traité est à l'ordre du jour du Conseil européen ce jeudi et demain. Très critiqué sur le plan agricole, il est pourtant défendu avec insistance par la Commission européenne. Pour quelles raisons Bruxelles tient-elle tant à le signer ? La détermination de la Commission européenne à faire aboutir l'accord UE-Mercosur s'inscrit d'abord dans une lecture globale des rapports de force économiques actuels. Pour Bruxelles, ce traité est conçu pour générer plusieurs milliards d'euros de bénéfices chaque année. L'exécutif européen avance le chiffre de 4 milliards d'euros d'économies annuelles pour les exportateurs européens, grâce à la réduction des droits de douane. Concrètement, l'accord vise à supprimer environ 90 % des droits de douane entre l'Union européenne et les pays du Mercosur. Une mesure qui permettrait à la production européenne de mieux s'exporter et de gagner en compétitivité sur ces marchés. Bruxelles y voit également une diversification stratégique de ses partenaires commerciaux, dans un contexte mondial de plus en plus tendu. Le Mercosur représente en effet un marché de 270 millions de consommateurs, pour un PIB cumulé d'environ 2 700 milliards d'euros. Sur le papier, il s'agit donc d'un marché à fort potentiel pour les entreprises européennes. Une asymétrie assumée, mais encadrée Sur le papier seulement, car l'accord est souvent résumé par une formule devenue célèbre : « Des voitures européennes contre des vaches sud-américaines ». Une image qui illustre l'asymétrie du traité, entre exportations industrielles européennes et importations agricoles sud-américaines. La Commission européenne assume pleinement cette asymétrie. Selon elle, les gains industriels et macroéconomiques pour l'Europe excéderaient largement les pertes sectorielles agricoles, d'autant plus que ces dernières seraient limitées par des quotas, des périodes de transition et des mécanismes de sauvegarde prévus dans le texte. Pour Bruxelles, l'accord ne constitue donc pas une ouverture brutale et incontrôlée des marchés, mais un compromis encadré, pensé pour préserver les secteurs les plus sensibles tout en favorisant la compétitivité globale de l'économie européenne. À lire aussiAccord UE-Mercosur: le ton se durcit entre Paris et Bruxelles, la France demande un report du vote Un enjeu géopolitique et stratégique majeur Au-delà de l'aspect commercial, la Commission européenne insiste surtout sur la dimension géopolitique de l'accord. L'Union cherche à réduire ses dépendances stratégiques, notamment vis-à-vis de la Chine. Les pays du Mercosur disposent de ressources naturelles et minières essentielles à la transition énergétique et numérique, ce qui renforce leur intérêt stratégique pour l'Europe. Le traité est aussi présenté comme une réponse au retour du protectionnisme sur la scène internationale. En scellant une alliance commerciale avec plusieurs États sud-américains, l'Union européenne espère compenser d'éventuelles pertes d'accès aux marchés américain et chinois. Refuser l'accord, selon la Commission, reviendrait à fragiliser volontairement la position de l'Europe dans la mondialisation. Bruxelles s'appuie enfin sur le bilan des accords déjà conclus. L'Union européenne a signé 44 accords de libre-échange avec près de 80 pays, faisant de cette politique un levier central de son influence. En 2024, le commerce entre l'UE et ses partenaires liés par des accords atteignait 2 300 milliards d'euros, pour un excédent commercial global de près de 270 milliards d'euros. Contrairement aux idées reçues, même les secteurs sensibles en ont bénéficié: à l'échelle européenne, l'agroalimentaire dégage aujourd'hui un excédent d'environ 40 milliards d'euros, en hausse continue depuis dix ans. Cette lecture macroéconomique dresse donc un bilan globalement positif. Mais la Commission reconnaît aussi que, en analysant pays par pays et secteur par secteur, la réalité est plus contrastée : ce qui bénéficie à certains peut pénaliser d'autres. Finalement, l'accord UE-Mercosur pose une question plus large que le seul commerce. Quelle place l'Europe veut-elle occuper dans le monde, et quelle vision porte-t-elle pour l'avenir de sa construction politique et économique ? À lire aussiL'Europe toujours aussi divisée face à l'accord commercial avec le Mercosur
durée : 00:02:01 - France Inter sur le terrain - La colère agricole monte d'un cran cette semaine, entre l'épidémie de dermatose, le Mercosur, les nouvelles taxes, ou la future PAC… Tous les sujets de crispations sont réunis à Bruxelles, où 10.000 agriculteurs sont attendus ce jeudi. Nous en avons rencontré certains dans l'Oise. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Christophe Giltay revient sur tout ce qui fait l'actu. Le plus célèbre chroniqueur de bel RTL partage son avis et son humeur à l'heure du petit déjeuner ! Un édito sans concession avec la plume et le ton unique de Christophe Giltay.
La Commission européenne va finalement autoriser la production de voitures thermiques au-delà de 2035. Mais les petits modèles, électriques et européens seront privilégiés et les entreprises devront accélérer l'électrification de leurs flottes. On en parle en détails avec Benoît July du pôle Planète.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
durée : 00:06:05 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - La Commission européenne présente des aménagements à l'interdiction à partir de 2035 de commercialiser des véhicules à moteurs thermiques au profit du 100 % électrique. Mais le marché électrique peine à décoller : malgré un léger rebond, il ne représentait que 26 % des ventes en France en novembre.
durée : 00:58:26 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - En cette journée très importante pour l'automobile en France et en Europe puisque la Commission Européenne va rendre ses arbitrages pour la bascule vers le tout électrique Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La Commission européenne va finalement autoriser la production de voitures thermiques au-delà de 2035. Mais les petits modèles, électriques et européens seront privilégiés et les entreprises devront accélérer l'électrification de leurs flottes. On en parle en détails avec Benoît July du pôle Planète.
durée : 00:02:36 - Regarde le monde - À 83 ans, il prend la peine d'écrire à la Commission européenne, en ajoutant sa signature à celles de huit députés britanniques. Objet de son courroux : ce vote de Bruxelles qui pourrait, à terme, interdire l'appellation « steak », « burger » ou « saucisse » pour des produits végétaux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:36 - Regarde le monde - À 83 ans, il prend la peine d'écrire à la Commission européenne, en ajoutant sa signature à celles de huit députés britanniques. Objet de son courroux : ce vote de Bruxelles qui pourrait, à terme, interdire l'appellation « steak », « burger » ou « saucisse » pour des produits végétaux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au Danemark, au Royaume-Uni et, à présent, au sein des instances de l'UE, le principe d'une politique migratoire hyperrestrictive s'impose sous la pression des partis nationalistes. Immigrations : Au Royaume-Uni, depuis son arrivée au pouvoir en juillet 2024, le Labour de Keir Starmer déplace sa ligne politique vers la droite, dans un paysage plus morcelé que jamais avec la montée en puissance d'acteurs comme les LibDem au centre, les Verts et surtout l'extrême droite de Reform UK. Parmi les décisions de ce gouvernement Labour qui ont surpris à gauche - y compris au sein du parti - figure la récente réforme des politiques d'immigration. Elle durcit l'accès au droit d'asile et met fin au regroupement familial. Reportage à Londres, Marie Billon. Au Danemark, les sociaux démocrates ont doté le pays de l'une des politiques les plus restrictives d'Europe en matière d'immigration et de conditions d'accueil des réfugiés, soutenue par un consensus politique. Le pays se présente par ailleurs comme un modèle de défense des droits humains et du bien-être de l'individu. Les explications d'Ottilia Ferey À Bruxelles, sous l'impulsion de la présidence danoise du Conseil, les représentants des instances européennes ont décidé de lier les aides commerciales aux pays du Sud à la réadmission de migrants déboutés de l'asile. Ce tournant majeur vient rappeler que le visage politique de l'UE change. Est-il en train de basculer vers l'extrême droite ? Éléments de réponse avec la journaliste Sophie Dupuy. Une chronique en partenariat avec Contexte, média européen numérique indépendant sur les institutions et les politiques de l'Union européenne. Transition énergétique : En Slovaquie, le charbon a joué un rôle économique considérable après la Seconde Guerre mondiale, mais l'heure de la reconversion a sonné. Dans le nord du pays, la région de la Haute Nitra a décidé d'abandonner la production. La centrale électrique est en cours de fermeture, et la mine a cessé d'extraire le minerai, il y a deux ans. Grâce à un fonds de transition de l'UE, de 226 millions, la Haute Nitra doit devenir une région pilote de l'économie post-fossile. Mais les projets d'énergie verte ont du mal à avancer. Frédérique Lebel nous emmène sur le site de la mine désaffectée de Novaky. Reportage en Slovaquie réalisé avec le soutien de la Direction générale de la politique régionale et urbaine de la Commission Européenne.
Au Danemark, au Royaume-Uni et, à présent, au sein des instances de l'UE, le principe d'une politique migratoire hyperrestrictive s'impose sous la pression des partis nationalistes. Immigrations : Au Royaume-Uni, depuis son arrivée au pouvoir en juillet 2024, le Labour de Keir Starmer déplace sa ligne politique vers la droite, dans un paysage plus morcelé que jamais avec la montée en puissance d'acteurs comme les LibDem au centre, les Verts et surtout l'extrême droite de Reform UK. Parmi les décisions de ce gouvernement Labour qui ont surpris à gauche - y compris au sein du parti - figure la récente réforme des politiques d'immigration. Elle durcit l'accès au droit d'asile et met fin au regroupement familial. Reportage à Londres, Marie Billon. Au Danemark, les sociaux démocrates ont doté le pays de l'une des politiques les plus restrictives d'Europe en matière d'immigration et de conditions d'accueil des réfugiés, soutenue par un consensus politique. Le pays se présente par ailleurs comme un modèle de défense des droits humains et du bien-être de l'individu. Les explications d'Ottilia Ferey À Bruxelles, sous l'impulsion de la présidence danoise du Conseil, les représentants des instances européennes ont décidé de lier les aides commerciales aux pays du Sud à la réadmission de migrants déboutés de l'asile. Ce tournant majeur vient rappeler que le visage politique de l'UE change. Est-il en train de basculer vers l'extrême droite ? Éléments de réponse avec la journaliste Sophie Dupuy. Une chronique en partenariat avec Contexte, média européen numérique indépendant sur les institutions et les politiques de l'Union européenne. Transition énergétique : En Slovaquie, le charbon a joué un rôle économique considérable après la Seconde Guerre mondiale, mais l'heure de la reconversion a sonné. Dans le nord du pays, la région de la Haute Nitra a décidé d'abandonner la production. La centrale électrique est en cours de fermeture, et la mine a cessé d'extraire le minerai, il y a deux ans. Grâce à un fonds de transition de l'UE, de 226 millions, la Haute Nitra doit devenir une région pilote de l'économie post-fossile. Mais les projets d'énergie verte ont du mal à avancer. Frédérique Lebel nous emmène sur le site de la mine désaffectée de Novaky. Reportage en Slovaquie réalisé avec le soutien de la Direction générale de la politique régionale et urbaine de la Commission Européenne.
L'austérité désigne un ensemble de politiques économiques drastiques mises en place par un gouvernement pour réduire son déficit budgétaire et sa dette publique. Elle se traduit principalement par une forte diminution des dépenses publiques et/ou une augmentation des impôts. Le terme est souvent employé péjorativement car ces mesures sont douloureuses pour la population.L'objectif premier de l'austérité est de restaurer la confiance des marchés financiers et des créanciers dans la capacité d'un État à rembourser sa dette. En réduisant les dépenses, l'État vise un retour à l'équilibre budgétaire (ou excédent), ce qui est censé stabiliser la situation financière du pays et réduire les taux d'intérêt auxquels il emprunte. Ces politiques sont généralement adoptées après une crise économique majeure ou en cas de dette jugée insoutenable.Les mesures d'austérité agissent sur deux leviers principaux :1. Réduction des dépenses publiques :Gel ou baisse des salaires des fonctionnaires.Coupes budgétaires dans les services publics (santé, éducation, défense).Réduction des prestations sociales (allocations chômage, retraites).2. Augmentation des recettes :Augmentation des impôts directs ou indirects (hausse de la TVA, par exemple).Un exemple emblématique est la Grèce après la crise de 2008. Sous la pression de la Troïka (FMI, Banque Centrale Européenne, Commission Européenne), le pays a dû mettre en œuvre des programmes d'austérité massifs. Entre 2010 et 2017, les dépenses publiques ont été réduites de l'équivalent de 16 points de son PIB, entraînant une hausse spectaculaire du chômage. Le taux de chômage en Grèce a ainsi atteint un pic de près de 28% en 2013.Si l'austérité peut rassurer les créanciers, elle a souvent pour effet de freiner l'activité économique (on parle de récession ou de dépression). En retirant de l'argent de l'économie (moins de dépenses publiques, impôts plus élevés), la demande globale diminue. Les entreprises vendent moins, réduisent leurs investissements et licencient, faisant grimper le chômage et la pauvreté. C'est l'un des débats majeurs en économie : l'austérité aggrave-t-elle la crise qu'elle est censée résoudre ?Le Royaume-Uni, qui a mis en place des coupes budgétaires importantes à partir de 2010 pour réduire son déficit, a vu sa croissance stagner, tandis que les services publics, comme les hôpitaux et les écoles, ont fait face à des pénuries de financement importantes.En résumé, l'austérité est un remède amer visant à guérir les finances publiques, mais dont les effets secondaires sont souvent une détérioration du niveau de vie et un ralentissement de la croissance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'exécutif européen doit présenter, ce mercredi 19 novembre, un projet de loi de simplification numérique. Une révision des textes en vigueur qui ont fait de l'Europe la superpuissance régulatrice des activités en ligne. Objectif affiché : relancer la compétitivité européenne et favoriser le développement de l'intelligence artificielle (IA). Mais les associations spécialisées craignent surtout une dilution de la protection de la vie privée des Européens sous la pression de Washington et des Gafam. Règlement général sur la protection des données (RGPD) en 2018, Digital Markets Act et Digital Services Act en 2022, toute première règlementation au monde sur l'intelligence artificielle en 2024 : à défaut de briller sur le plan de l'innovation, depuis bientôt dix ans l'Union européenne se présente comme la superpuissance régulatrice du numérique. Forte de son marché unique aux 500 millions de consommateurs, l'Europe est parvenue à imposer ses règles aux grandes plateformes du numérique, qu'elles soient américaines ou chinoises. Mais tout pourrait changer avec la proposition dite « Omnibus numérique » que la Commission doit présenter ce mercredi 19 novembre. Un projet de loi qui devrait de toute façon en passer par le Parlement européen et les États membres mais dont une première version a fuité une semaine avant sa présentation. L'exécutif européen y défend une série de mesures présentées comme le moyen de relancer la compétitivité européenne et notamment dans le domaine de l'intelligence artificielle. Pour cela la Commission propose de réécrire tous les textes en vigueur pour en assouplir les règles ou laisser une plus grande place à l'interprétation. De quoi susciter l'inquiétude des associations spécialisées qui y voient une « dilution » de tout le bouclier réglementaire dont s'est dotée l'Union européenne ces dix dernières années. Mort à petit feu du parapluie réglementaire européen Par exemple, à l'heure actuelle la loi européenne empêche les acteurs du numérique d'exploiter les données personnelles d'un internaute, pour lui proposer de la publicité ciblée en fonction de son état de santé, son orientation politique ou sexuelle. Des données très sensibles mais qu'il est facile d'obtenir ou de deviner si vous avez accès à l'historique de navigation d'un internaute, à la liste des applications installées sur son téléphone, ce genre de chose. Avec les nouvelles règles proposées par la Commission au nom de la compétitivité, tant que l'internaute en question n'est pas directement identifié, les entreprises pourraient exploiter ces données personnelles : les vendre à des tiers ou les utiliser pour entraîner une intelligence artificielle. L'ONG autrichienne Noyb (pour « None of your business »), la référence en la matière, estime que ce projet de la Commission est de nature à tuer à petit feu tout le parapluie réglementaire qui protège la vie privée des Européens. La Commission se défend en expliquant vouloir ne pas vouloir freiner le développement des acteurs européens. Certaines entreprises se réjouissent par avance de la diminution de ce qu'elles considèrent comme un carcan administratif trop lourd. Mais les mesures proposées vont surtout servir les intérêts des géants américains, déjà en place : Google, Amazon, Meta, Open AI... Vassalisation numérique Alors pourquoi ce soudain volte-face européen ? Peut-être à cause d'un certain Donald Trump qui n'a de cesse d'accuser l'Europe de faire preuve de protectionnisme en citant son cadre réglementaire et en particulier numérique. Déjà mise en difficulté par les droits de douane l'UE semble vouloir donner des gages à Washington, quitte à devenir plus encore le vassal numérique des États-Unis.
La commission européenne créé le score de souveraineté. Elle introduit un cadre pour un cloud de confiance qui inclut un système de score de souveraineté. The post La commission européenne créé le score de souveraineté first appeared on XY Magazine.
Comment mettre en place des dispositifs humanitaires efficaces ?Dans les contextes de crise et d'urgence, les critères d'âge et de genre sont particulièrement décisifs pour déployer les bonnes réponses. Mais selon les circonstances, toutes les populations à risque ne sont pas affectées de la même manière. Aider efficacement ces populations nécessite avant tout de comprendre quels sont les facteurs de vulnérabilité à prendre en compte puis de développer des approches différenciées pour chaque catégorie de personnes.Muhameda Tulumovic est une experte de l'humanitaire et du développement, avec plus d'une décennie d'expérience dans la coopération internationale et la réponse aux crises. Basée au Cameroun, elle travaille pour le service de la Commission Européenne chargé de l'aide humanitaire et de la protection civile. Dans cet épisode, elle répond aux questions d'Anton Stolper concernant la mise en place d'approches humanitaires intégrant du genre et de l'âge dans la réponse aux besoins des populations vulnérables.Cet épisode a été produit en partenariat avec le service de la Commission européenne à la protection civile et aux opérations d'aide humanitaire (DG ECHO). Crédits :Cet épisode est un hors-série Programme B de Anton Stolper, réalisé par Théo Boulenger, en partenariat avec le service de la Commission européenne de la protection civile et des opérations d'aide humanitaire européennes. Production et édition : Camille Khodor. Rédaction en chef : Thomas Rozec. Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce week-end, on passe à l'heure d'hiver et on gagne une heure de sommeil. Mais, peut-être que vous vous en souvenez, en 2018, la Commission Européenne proposait de mettre fin au changement d'heure, et ce dès 2021. Entre-temps, la crise du Covid-19 et la guerre en Ukraine ont mis ce texte au placard. À l'époque, cette mesure créait débat au sein de l'UE. Les pays du Nord, comme le Danemark et la Finlande souhaitaient conserver l'heure d'hiver, tandis que ceux du sud comme l'Italie, l'Espagne ou la France préféraient l'heure d'été. Un décalage de fuseau au sein de l'Union pourrait avoir un impact, notamment économique, sur la logistique des marchés intérieurs. Quels seraient les secteurs impactés par la fin du changement d'heure ? Quand est-ce qu'on pourra s'attendre à la fin du changement d'heure ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Maële Diallo. Première diffusion : octobre 2022 À écouter aussi : Comment fonctionne le dispositif “alerte enlèvement” ? Pourquoi les tempêtes portent-elles des prénoms ? Qu'est-ce que le validisme ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:22:26 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour - Katia Roux, chargée de plaidoyer pour Amnesty, Stéphanie Mistre, mère d'une adolescente qui s'est donnée la mort, membre du collectif Algos Victima et Samuel Comblez, directeur général adjoint de l'association E-enfance évoquent le dernier rapport de l'ONG sur les dangers de TikTok. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
*Episode en anglaisIl y a des PDG comme cela, on ne peut rien y faire, on tombe sous leur charme. Ilham Kadri partie de ceux-là. Née au Maroc dans un environnement modeste, élevée par sa grand-mère, Ilham Kadri s'est passionnée pour les sciences dès son plus jeune âge. Elle est partie étudier en France la chimie et la physique. C'est la chimie qui l'emmènera un peu partout sur la planète. Ilham est devenue la première femme CEO de Solvay, a été la première marocaine à diriger une entreprise de l'indice Euronext 100. Elle siège aujourd'hui à plusieurs boards dont celui de l'Oréal. Parmi ses autres nombreuses casquettes, elle préside le World Business Council for Sustainable Development et le CEFIC, celui-là même dont je vous parlais dans un précédent épisode. Le CEFIC est à l'origine du wake-up call pour la réindustrialisation de toute l'Europe, la Déclaration d'Anvers. C'est en l'écoutant en présence de la Présidente de la Commission Européenne Ursula Von der Leyen que j'ai souhaité la rencontrer. Bref, Ilham est une dame et une dame rare. Ensemble nous parlons de la création de Syensqo née de Solvay. Nous parlons de chimie, la mère de toutes les industries. Nous évoquons sa rencontre avec Sam Altman, de l'intrusion de l'IA dans les grands groupes comme celui qu'elle dirige. Nous évoquons l'avenir de l'industrie en Europe, et en particulier de la chimie. Ilham Kadri est forte d'une grande simplicité. Elle mélange comme rarement force et naturel. Elle vous sourit aussi naturellement que vous souriez à votre voisin de bureau et s'intéresse à vous hors micro comme peu de mes interviewés l'ont fait. Il n'en fallait pas plus pour que je tombe sous son charme. J'espère que vous aussi vous serez séduits. Suivre Ilham sur LinkedIn Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast...) et rédigez un avis.N'hésitez pas à m'écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d'Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d'indépendants que j'anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès GuillardHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Tech est un combat de sociétés.Cette semaine, on vous raconte l'histoire de ChatControl, la nouvelle lubie de la Commission Européenne qui, pour combattre la pédopornographie, veut mettre les 450 millions d'européens sur écoute grâce à l'IA. Un projet Orwellien et pourtant tout à fait réel.Chaque semaine, les Eclaireurs du Numérique décryptent les enjeux cachés du numérique et leurs impacts sur la société. Avec Damien Douani et Fabrice Epelboin et Drapher. Retrouvez les saisons passées sur www.leseclaireursdunumerique.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Près de 10 000 milliards d'euros « dorment » aujourd'hui sur les comptes bancaires du continent. La Commission européenne veut inciter les ménages à placer cet argent en Bourse, via une nouvelle stratégie qui mêle incitations fiscales, produits accessibles et éducation financière. Les Européens adorent épargner. L'Union européenne est l'une des régions du monde où l'on met le plus d'argent de côté. Mais ce capital reste souvent sur des livrets ou comptes bancaires qui rapportent peu, voire rien. En période d'inflation, il perd même de sa valeur : un euro mis de côté reste un euro, mais si le prix d'un produit passe de 1 euro à 1,05 euro en un an, le pouvoir d'achat diminue. Pour mesurer l'ampleur de la situation, Bruxelles rappelle que les 10 000 milliards d'euros qui « dorment » représentent l'équivalent du PIB cumulé de l'Allemagne, de la France, de l'Italie et de l'Espagne sur une année. À lire aussiPour relancer l'investissement en Europe, Bruxelles mise sur la titrisation Une Union de l'épargne et de l'investissement Pour canaliser cette montagne d'argent vers l'économie réelle, la Commission européenne propose de créer une Union de l'épargne et de l'investissement. Objectif : financer les petites et moyennes entreprises, soutenir l'innovation, accélérer la transition écologique et stimuler les grands projets du continent. Selon ses calculs, cette stratégie pourrait générer jusqu'à 470 milliards d'euros d'investissements supplémentaires par an. Pour attirer les épargnants, Bruxelles imagine des placements accessibles dès 10 euros, investis dans des actions, obligations ou fonds, tout en excluant les produits jugés trop risqués. Incitations fiscales et éducation financière Pour convaincre les ménages les plus prudents, l'exécutif européen mise aussi sur des avantages fiscaux appliqués aux revenus générés par ces comptes. Mais la fiscalité n'est pas le seul levier : Bruxelles veut également lancer une vaste campagne d'éducation financière. Il s'agit de sensibiliser les citoyens aux opportunités d'investissement, mais aussi aux risques. Contrairement aux livrets classiques, les actions et obligations peuvent perdre de la valeur. D'où l'importance de la diversification, comme le rappelle l'adage populaire, de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Mais attention, le succès du projet dépendra aussi de la confiance : pour l'instant, chaque État garde la main sur la fiscalité et la mise en œuvre. Sans harmonisation ni pédagogie suffisante, il sera difficile de convaincre les Européens de franchir le pas. Mais Bruxelles veut y croire : car réorienter l'épargne vers l'investissement pourrait être l'une des clés pour rivaliser avec les États-Unis, où plus d'un ménage sur deux détient des actions et contribue ainsi à dynamiser le financement des entreprises.
Sortie de la 8ème édition de Understanding Quantum TechnologiesNouvelle édition le 29 septembre. PDF unique de 1 510 pages contenant tout le contenu du livre, avec une version A4 et Letter (> 500 Mo). Vous pouvez également télécharger le livre en 5 parties compressées (prologue, matériel d'informatique quantique, logiciels d'informatique quantique, communications et cryptographie et détection, écosystèmes) également en A4 et Letter. Enfin, vous pouvez également télécharger la version courte des « points clés » de 36 pages, en A4 et en Letter. Il y a même une timeline des principaux progrès dans le domaine depuis 2018, l'année où nous avons plongé dedans.Remerciements à Lucas Leclerc, Stefan Bogdanovic, Raphaël Lescanne, Olivier Hess, Tom Darras, Mathys Rennela, Kenzo Bougneta, Pierre Desjardins, Lydia Baril, Evan Tanner, Jean-Philippe Nominé, Elisabeth Eude et Fanny Bouton pour les relectures . Un grand merci à Vincent Pinte-Deregnaucourt qui a poussé à migrer vers LaTeX, à Michel Kurek qui a soigneusement relu plusieurs fois l'ensemble du livre comme pour de nombreuses éditions précédentes, et même développé quelques scripts pour supprimer les liens morts dans la bibliographie, et Christophe Jurczak pour sa préface mise à jour. Cet ouvrage est également soutenu par le Lab Quantique, non pas financièrement, mais pour sa visibilité. https://www.oezratty.net/wordpress/2025/understanding-quantum-technologies-2025 Evénements Gottingen DPG Congress https://www.oezratty.net/Files/Conferences/Olivier%20Ezratty%20DPG%20Fall%20Gottingen%20Sept2025.pdfSIDO à Lyon- panel sur l'IA et le calcul quantique organisé au SIDO à Lyon le 17 septembre 2025 avec Félix Givois (GENCI), Salvatore Cina (CEA), Filippo Vincentini (Collège de France, Ecole Polytechnique), Giovanni Lammana (Laboratoire d'Annecy de Physique des Particules), animé par Julien Bergouhnoux (Usine Digitale). https://www.youtube.com/watch?v=HldA3KZNGxM Journée France-Allemagne - A Station F puis chez Quandela avait lieu le 23 septembre la seconde journée de rapprochement entre les deux écosystèmes. “French German Dialogue of Quantum Technology Players : Building today the future of Europe for and with the industry”. La matinée était organisée sous forme de séances de brainstorming sur l'adoption des technologies quantiques par les grands utilisateurs. Q2B Paris- La Q2B Paris 2025 avait lieu à la Cité des Sciences de la Villette. Elle regroupait environ 300 participants sur deux journées, les 24 et 25 septembre. Les intervenants étaient un mix de startups et d'entreprises utilisatrices.https://www.oezratty.net/Files/Conferences/Olivier%20Ezratty%20Q2B%20Paris%20FTQC%20Roadmaps%20Sept2025.pdfune grille d'analyse des roadmaps FTQC des constructeurs d'ordinateurs quantiques - énergétique des ordinateurs FTQC, en liaison avec mon rôle de cofondateur de la Quantum Energy Initiative https://www.oezratty.net/Files/Conferences/Olivier%20Ezratty%20Q2B%20Paris%20FTQC%20Energetics%20Sept2025.pdf Les vidéos des interventions seront bientôt publiées. Quantum World Congress https://www.youtube.com/playlist?list=PLqMDXDxb_hzKoVf20NEDZi76tHg7xPhrL Quantum.Tech EuropeCette conférence a lieu la première semaine d'octobre à Rotterdam. Quantum Computing Europe - 1er octobre à Bruxelles. C'est un forum reliant la Commission Européenne et les acteurs de l'écosystème quantique. https://quantumcomputingeurope.com/ Journées QuantAlps 2025 à Grenoble, les 13 et 14 octobre (inscriptions). QET-W, le second forum sur les technologies habilitantes aura lieu le 13 novembre sur le campus de Saint Germain en Laye (inscriptions). GDR-TEQ 2025 à Grenoble des 12 au 14 novembre (inscriptions). Symposium France Singapour chez Bpifrance à Paris les 25 et 26 novembre (inscriptions). Avec notamment une intervention d'Alain Aspect en compagnie d'Artur Ekert. QUEST-IS début du 1ier au 4 décembre 2025 (inscriptions). Q2B Santa Clara la seconde semaine de décembre. Actualités France Alice&Bob- livre blanc sur l'intégration HPC-QPU https://alice-bob.com/newsroom/hpc-report-press-release/ Pasqal-premiers qubits logiques Actualités Internationales Infleqtion - L'une des quatre startups des atomes froids aux USA publiait un papier sur la réalisation d'un QPU de 114 atomes supportant leur architecture Sqale qui gère la connectivité many-to-many entre atomes et jusqu'à 12 qubits logiques. Demonstration of a Logical Architecture Uniting Motion and In-Place Entanglement: Shor's Algorithm, Constant-Depth CNOT Ladder, and Many-Hypercube Code by Rich Rines, Benjamin Hall, Mariesa H. Teo, and Ilya Vinogradov, arXiv, September 2025 (17 pages). Quantum Motion- premier ordinateur à base de qubit silicium au NQCC, ayant obtenu un financement de $8M en 2024. https://quantummotion.com/quantum-motion-delivers-the-industrys-first-full-stack-silicon-cmos-quantum-computer/ IonQ - Première machine avec 64 qubits livrée. https://investors.ionq.com/news/news-details/2025/IonQ-Achieves-Record-Breaking-Quantum-Performance-Milestone-of-AQ-64/default.aspx Financements
durée : 00:05:56 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Depuis l'été 2025, le règlement d'un vieux contentieux entre Paris et la Commission Européenne ouvre la voie à une relance de la "houille blanche" en France. Le PDG d'EDF espère augmenter la production hydroélectrique de 20%, mais comment combiner cette relance avec l'éolien et le solaire? - invités : Stefan Ambec Economiste de l'environnement à Toulouse School of Economics et directeur de recherche à l'INRA
durée : 00:20:27 - Journal de 18h - La Commission européenne a annoncé vendredi infliger une amende de 2,95 milliards d'euros au géant américain de la tech pour abus de position dominante dans le secteur de la publicité.
durée : 00:20:27 - Journal de 18h - La Commission européenne a annoncé vendredi infliger une amende de 2,95 milliards d'euros au géant américain de la tech pour abus de position dominante dans le secteur de la publicité.
Le Premier ministre François Bayrou va solliciter un vote de confiance, deux jours avant le Mouvement “Bloquons tout” du 10 septembre. A l'Est, la Présidente de la Commission Européenne termine sa tournée sur fond de brouillage de signal GPS.
Le Premier ministre François Bayrou va solliciter un vote de confiance, deux jours avant le Mouvement “Bloquons tout” du 10 septembre. A l'Est, la Présidente de la Commission Européenne termine sa tournée sur fond de brouillage de signal GPS.
Le Premier ministre François Bayrou va solliciter un vote de confiance, deux jours avant le Mouvement “Bloquons tout” du 10 septembre. A l'Est, la Présidente de la Commission Européenne termine sa tournée sur fond de brouillage de signal GPS.
durée : 00:19:59 - Journal de 18h - Face aux réticences de la France, la Commission a ajouté une clause de sauvegarde pour limiter l'importation en Europe de certains produits latino-américains. Des mesures insuffisantes pour les syndicats agricoles français qui dénoncent un accord "toxique".
durée : 00:19:59 - Journal de 18h - Face aux réticences de la France, la Commission a ajouté une clause de sauvegarde pour limiter l'importation en Europe de certains produits latino-américains. Des mesures insuffisantes pour les syndicats agricoles français qui dénoncent un accord "toxique".
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:22:03 - Journal de 12h30 - Le Royaume-Uni et la France se sont mis d'accord ce jeudi sur le sort des migrants. Les deux pays proposent un "projet pilote" qui doit encore être validé par la Commission Européenne, et provoque déjà l'inquiétude des élus locaux.
durée : 00:22:03 - Journal de 12h30 - Le Royaume-Uni et la France se sont mis d'accord ce jeudi sur le sort des migrants. Les deux pays proposent un "projet pilote" qui doit encore être validé par la Commission Européenne, et provoque déjà l'inquiétude des élus locaux.
L'accord sur le Mercosur pourrait être finalisé dans les prochains jours par la Commission Européenne. Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 26 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
gnès Verdier-Molinié analyse les récentes déclarations de la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, sur les risques de voir le FMI imposer des réformes à la France si elle ne les mène pas elle-même. Elle explique que malgré les discours rassurants, la France reste sous la procédure pour déficit excessif de la Commission européenne et que le FMI pourrait être appelé en renfort en cas de crise de la dette, comme cela s'est produit en Grèce. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Cette semaine, Justine nous invite à approfondir la révolution du réemploi en Europe avec Fernando Rodriguez Mata, directeur général de New ERA (New European Reuse Alliance).Fernando a quitté le monde de l'emballage unique après seulement 3 mois de stage pour se consacrer à un avenir plus durable.Il occupe un poste clé pour comprendre le secteur du réemploi et de l'éco-emploi en plein développement.Le potentiel de création d'emplois est de 600 000 postes pourraient être créés, grâce à cette filière, selon les estimations de la Commission Européenne.Comment New ERA est passée de 8 membres fondateurs en 2022 à 72 membres aujourd'hui ?Pourquoi atteindre le 6ème ou 7ème cycle de réutilisation confère aux emballages réemployables une meilleure performance environnementale en termes d'émissions de gaz à effet de serre ?Quelle est l'ampleur du défi face à la production de près de 200 kg de déchets d'emballage par citoyen européen chaque année ?Comment l'arrivée prochaine de plus de 30 millions de contenants réemployables standardisés va impacter les français ?Toutes les réponses à ces questions se trouvent dans notre conversation.Merci à Fernando qui nous permet de comprendre rapidement les enjeux, les opportunités et les chiffres clés qui façonnent l'avenir du réemploi en Europe !Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier HANRION, 100 jours d'entrée en fonction de la Commission européenne Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:22:34 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le président du Rassemblement national Jordan Bardella s'oppose à une "Europe de la défense" qui reposerait sur "la spoliation des moyens de la France". Concernant l'Ukraine, il estime que "2025 doit être l'année de la paix".
La Commission Européenne a décidé de rediscuter, plus tôt que prévu, des modalités de la fin des voitures thermiques. La clause de revoyure aura lieu en 2025 et non en 2026. Les constructeurs, eux, temporisent en prolongeant leur production, notamment sur les moteurs diesel.
durée : 00:22:34 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le président du Rassemblement national Jordan Bardella s'oppose à une "Europe de la défense" qui reposerait sur "la spoliation des moyens de la France". Concernant l'Ukraine, il estime que "2025 doit être l'année de la paix".
durée : 00:14:37 - Journal de 8 h - La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen dévoilera ce mercredi le plan de soutien à la filière automobile européenne, embarquée dans la transition vers l'électrique. Les grandes lignes de ce plan, dans cette édition.
durée : 00:14:37 - Journal de 8 h - La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen dévoilera ce mercredi le plan de soutien à la filière automobile européenne, embarquée dans la transition vers l'électrique. Les grandes lignes de ce plan, dans cette édition.
durée : 00:14:37 - Journal de 8 h - La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen dévoilera ce mercredi le plan de soutien à la filière automobile européenne, embarquée dans la transition vers l'électrique. Les grandes lignes de ce plan, dans cette édition.
durée : 00:37:34 - Secrets d'info - par : Benoît COLLOMBAT, Cellule investigation de Radio France - Il y a 5 ans, le Nutri-score avait le vent dans le dos. Il était en passe d'être généralisé et rendu obligatoire en Europe. Mais d'après les informations de la cellule investigation de Radio France, la Commission européenne y a renoncé, sous la pression des lobbies et de l'Italie. - réalisé par : Christophe IMBERT
C dans l'air du 22 février 2025 - Agriculture : la colère couve encoreRien n'était laissé au hasard. Emmanuel Macron a inauguré ce matin le 61e Salon international de l'agriculture au parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. Objectif pour le président de la République : faire oublier le souvenir désastreux de son passage l'année dernière. Le chef de l'Etat avait été très chahuté et sa venue avait été synonyme d'un chaos sans précédent. L'ouverture des grilles avait été retardée et le pavillon 1 avait été fermé au public jusqu'à 15h. Cette fois-ci, l'atmosphère est plus détendue. Emmanuel Macron l'explique par "des textes qui sont passés" et "le travail qui est fait par le gouvernement". La loi de programmation agricole votée tout juste avant le début de l'événement a en effet sans doute favorisé l'accueil du locataire de l'Elysée. Le texte a été salué par la FNSEA, le principal syndicat d'exploitants agricoles. Ces derniers sont notamment satisfaits que les produits phytosanitaires ne puissent plus être interdits sans qu'une solution de remplacement n'ait au préalable été trouvée. Suffisant pour apaiser la colère du monde agricole ? Rien n'est moins sûr. Les agriculteurs se plaignent de leurs revenus insuffisants et attendent du concret. Ils sont vent debout contre le Mercosur, ce traité de libre-échange entre l'Union Européenne et les pays d'Amérique du Sud. Car en décembre dernier, la présidente de la Commission Européenne a en effet finalisé les termes de ce traité qui devra être soumis aux Etats membres et aux eurodéputés. Ursula Von der Leyen a décidé de passer en force, malgré l'opposition de la France et de la Pologne. Emmanuel Macron a donc tenté de rassurer les agriculteurs. Il affirme que la France cherchera, avec les autres pays opposés, une minorité de blocage pour que le traité ne soit pas adopté. Dans les allées du salon, le chef de l'Etat a tenu à délivrer un message : "Le cap est clair : on défend la souveraineté agricole et la production. On ne veut pas de décroissance agricole, ni en France ni en Europe".Ce salon s'ouvre dans un contexte post-électoral dans les chambres d'agriculture. Le dernier scrutin a vu la majorité syndicale de la coalition FNSEA-Jeunes agriculteurs grignotée par la bouillonnante Coordination rurale. Ce syndicat, adepte des coups d'éclat médiatiques, l'a emporté dans 14 départements, contre trois auparavant. Une percée importante pour une organisation qui partage souvent le vocabulaire, la colère et les solutions du Rassemblement national. Dans plusieurs départements, comme le Lot-et-Garonne ou encore l'Aude, les liens sont palpables. Le député RN Christophe Barthès est par exemple un ancien cadre du syndicat. Alors, la Coordination rurale roule-t-elle pour le RN ? C dans l'air est allé poser la question au probable futur président de la chambre d'agriculture du Gers. Au-delà du seul RN, de nombreux agriculteurs aux bonnets jaunes se sont récemment affichés aux côtés de membres de l'extrême droite, comme Jordan Bardella, Eric Zemmour ou encore Sarah Knafo.Loin des manœuvres politiques, l'intelligence artificielle s'invite dans les fermes. En Ille-et-Vilaine, une exploitation de vaches laitières a adopté depuis deux ans des capteurs placés sur leurs animaux. Grâce à eux, les agriculteurs récoltent des données et ont de meilleures prédictions pour déterminer, par exemple, la période de fécondité des vaches. Ils gagnent en productivité et se libèrent du temps. Cette technologie, vécue comme un progrès dans l'exploitation, est à l'essai dans une vingtaine d'autres fermes.Quelle est la situation du secteur agricole français, alors que s'ouvre le 61e Salon de l'agriculture ?La Coordination rurale roule-t-elle pour le RN ?Comment la technologie va-t-elle venir en aide aux exploitants agricoles ?Les experts :- Frédéric DENHEZ - Journaliste - Spécialiste des questions environnementales - Marianne- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges »- Olivia DETROYAT - journaliste économie-Le Figaro- Lou FRITEL - journaliste politique - Paris Match
durée : 00:22:38 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, appelle la Commission européenne à une plus grande fermeté contre les "menaces d'ingérences" du miliardaire Elon Musk, allié de poids du président élu des Etats-Unis Donald Trump. - invités : Jean-Noël Barrot - Jean-Noël Barrot : Homme politique français
durée : 00:08:30 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Alors que la Commission Européenne a annoncé avoir trouvé un accord avec les pays du Mercosur vendredi dernier, la France a réaffirmé son opposition et espère parvenir à constituer une coalition pour bloquer sa ratification. Mais quelle est la marge de manœuvre réelle de la France ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Patrick Martin-Genier Enseignant à Sciences Po Paris et à l'INALCO, spécialiste des questions européennes
Le Journal en français facile du mercredi 27 novembre 2024, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BB1k.A