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Blocages et perturbations sont annoncés dans tous les secteurs ce mercredi en France : transports, écoles, entreprises. Et ce ne sont pas les syndicats ou les partis politiques qui ont lancé le mouvement, ce sont des milliers et des milliers d'anonymes en colère qui se sont fédérés sur les réseaux sociaux au cours des dernières semaines. Et « c'est la grande incertitude, s'exclame Le Parisien. Sur les réseaux sociaux, les appels à manifester et bloquer massivement la France résonnent de plus en plus fort. Les premiers sympathisants du mouvement “Bloquons tout“ ont incontestablement fait des émules, grâce également aux propositions budgétaires impopulaires du gouvernement de François Bayrou. Pour autant, si la grogne sociale existe, impossible de mesurer précisément quelle sera l'ampleur des actions menées ce mercredi. » « Niveau inégalités le plus élevé depuis 30 ans » Le Monde nous explique les raisons de cette colère : c'est le ras-le-bol de « la France ric-rac », des « fins de mois difficiles » ; « nombreux sont ceux à dénoncer le budget de l'ex-Premier ministre François Bayrou, qui demandait beaucoup à ceux qui ont peu, prônant une austérité douloureuse. Nombreux sont ceux à décrier les salaires qui ne bougent pas, les budgets de plus en plus difficiles à tenir, les arbitrages impossibles au moment de remplir les chariots de courses, si éloignés des préoccupations du gouvernement. » Si l'on regarde les chiffres, poursuit Le Monde, « la baisse du chômage, aujourd'hui stabilisé à 7,5 % environ de la population active, n'a pas empêché une hausse du taux de pauvreté et du surendettement. La faute notamment à une précarisation croissante de l'emploi. (…) Au contraire des revenus salariaux, les revenus financiers, eux, ont augmenté de 7 % en moyenne, poussés par la hausse des taux d'intérêt. Et cela a profité aux ménages les plus aisés, ceux qui possèdent un patrimoine financier. » Résultat, constate le journal : « le niveau d'inégalités atteint en France est ainsi le plus élevé depuis trente ans. » Lecornu Premier ministre : « la droite comblée, la gauche exaspérée » C'est dans ce contexte tendu que le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu prend ses fonctions aujourd'hui. L'ex-ministre de la Défense est un très proche d'Emmanuel Macron. « On ne change pas une équipe qui perd », soupire Libération. « La droite comblée, la gauche exaspérée. (…) L'arrivée de Sébastien Lecornu à Matignon révèle qu'Emmanuel Macron manque décidément d'oxygène, s'exclame le quotidien de gauche. Face à la crise, il se recroqueville dans un espace politique qui, chaque jour, ressemble de plus en plus à une cabine téléphonique. Il a pourtant besoin d'espace. De se redonner des marges de manœuvre. Mais non. En nommant Sébastien Lecornu, le chef de l'État confirme qu'il lui est impossible de retirer l'énorme œillère qui l'empêche de regarder vers sa gauche. Peu importe ce qui se passe autour de lui. » Ligne claire ? À contrario, Le Figaro acquiesce. « À la veille d'une journée vampirisée par l'extrême gauche, la France a un premier ministre qui vient de la droite. Ministre depuis huit ans, il est, pour le grand public, neuf, intact. (…) Bien qu'à la tête d'une minorité de gouvernement, Sébastien Lecornu doit se faire le porte-voix de la majorité oubliée, invisible, abandonnée. Pression fiscale et normative désespérante, dépenses délirantes, immigration incontrôlée, insécurité galopante. Les inquiétudes qui réunissent plus de deux Français sur trois sont connues, affirme encore le quotidien de droite. (…) C'est cette ligne claire qu'il faut dessiner. (…) Le succès n'est pas garanti, mais l'autre choix, celui de la tambouille, mènerait à l'échec et au déshonneur. » L'extrême-droite en embuscade En tout cas, sur le plan politique, économique et social, la France va mal et pourrait bien finir par se jeter dans les bras de l'extrême-droite. Un vrai danger pour l'avenir de l'Europe et de ses valeurs, s'exclame La Repubblica à Rome : « nous sommes dangereusement proches du point de non-retour, affirme le quotidien italien. En Allemagne, les néonazis pro-Poutine de l'AfD, soutenus par Trump, aspirent à devenir le premier parti. En Grande-Bretagne, la droite anti-européenne de Farage nourrit les mêmes ambitions. En Italie, l'extrême droite est déjà au pouvoir. (…) Le seul espoir qui nous reste, estime La Repubblica, est que les électeurs et les responsables politiques français comprennent que le jeu dont ils sont les arbitres, au nom de 450 millions d'Européens, ne se résume pas à la suppression d'un ou deux jours de vacances ou au recul d'un an de l'âge de la retraite, mais à la survie même de l'Occident et de ses valeurs. »
Un attacco aereo israeliano contro un gruppo di alti dirigenti di Hamas, avvenuto in un Paese del Golfo, il Qatar. Israele si muove dunque lontano dai suoi confini nazionali, a 1800 chilometri di distanza, lo fa con i suoi caccia da combattimento, per colpire e indebolire i vertici di Hamas, l'organizzazione responsabile degli attacchi del 7 ottobre e contro cui l'esercito israeliano combatte a Gaza. Uno scenario di guerra mai visto prima, che coinvolge la piccola monarchia del Golfo, un Paese che in questi anni si è ritagliato il ruolo di mediatore, pur ospitando da tempo la dirigenza politica di Hamas. Israele colpisce dunque dentro i confini nazionali di uno Stato arabo che dal 7 ottobre in poi si è impegnato per creare le condizioni di un cessate-il fuoco a Gaza. Un emirato che ha anche strette relazioni con gli Stati Uniti, Stati Uniti che a loro volta sono i principali alleati di Israele. L'attacco di ieri è stato condannato da più parti, a cominciare dalle Nazioni Unite, che denunciano la grave violazione del diritto internazionale da parte di Israele. Cosa vuol dire tutto questo per il conflitto israelo-palestinese e più in generale per tutto il Medioriente? Si apre ora una nuova dimensione, un nuovo scenario, per Israele e per l'intera regione? Ne parliamo con tre ospitiNaima Chicherio, giornalista RSI, più volte inviata in MediorienteFrancesca Caferri, giornalista de La Repubblica, esperta di Paesi del GolfoDaniel Bettini, capo redattore esteri del quotidiano israeliano Yediot Aharonot
« Le gouvernement français est au bord du gouffre », s'exclame le Guardian à Londres. « Le Premier ministre, François Bayrou, a peut-être pensé qu'il était pertinent de convoquer un vote de confiance parlementaire envers son gouvernement minoritaire, avant une journée de protestation nationale prévue après-demain et le début d'une saison budgétaire parlementaire chargée. (…) Mais en fait, François Bayrou semble avoir choisi le hara-kiri politique, affirme le quotidien britannique. Son éviction quasi certaine par un Parlement sans majorité, ce lundi, risque de transformer une impasse politique latente en une crise de régime fulgurante. » Et attention, prévient le Guardian, « une crise politique prolongée ne fera qu'accroître le soutien de l'opinion à la droite nationaliste et anti-immigrés et discréditer davantage les partis traditionnels. Face aux résonances toxiques des réseaux sociaux et à la montée d'une extrême droite à l'américaine qui fustige la criminalité, l'immigration et l'islam, Marine Le Pen et son jeune protégé Jordan Bardella semblent de plus en plus proches de la conquête du pouvoir. » Le danger à droite… ou à gauche ? En effet, renchérit Le Monde à Paris, « de la colère qui sourd dans le pays, le Rassemblement national en apparaît aujourd'hui comme le principal bénéficiaire. Ni les ennuis judiciaires de Marine Le Pen, ni la juvénilité de Jordan Bardella, ni les virages à 180 degrés du parti qui oscille entre radicalité et quête de respectabilité, ni sa versatilité et son amateurisme sur les questions budgétaires n'entament la dynamique. Le moteur est ailleurs : il suffit à ses dirigeants d'exploiter les faiblesses et les renoncements de ceux qui prétendaient le combattre pour prospérer. » À contrario, pour Le Figaro, le danger est à gauche… Qui pour succéder à Bayrou ? « Un Premier ministre socialiste, ce serait plonger le pays dans un nouveau cauchemar, estime le quotidien de droite. D'autant plus que les Insoumis rôderaient alentour. La France est payée pour le savoir depuis François Mitterrand et la retraite à 60 ans, Lionel Jospin et les 35 heures, François Hollande et la "chasse aux riches". Elle ne s'est jamais vraiment remise de toutes ces politiques dépensières et inconséquentes. Un Premier ministre socialiste, ce ne serait certainement pas une façon de rebondir dans la crise que traverse notre pays. Ce serait plutôt l'assurance d'un enlisement, d'un effondrement garanti. » Rome regarde du haut de ses 20 ans de dépenses La Repubblica à Rome revient sur l'aspect économique. Comment la France en est-elle arrivée là ? « Nous, Italiens, avons une certaine expérience, ironise le journal. Nous avons vécu pendant des décennies avec des gouvernements instables et une dette publique dépassant 100 % du PIB, et nous sommes malheureusement habitués à dépenser des dizaines de milliards par an en intérêts sur cette dette. Mais pour la France, une dette de 115 % avec un coût d'intérêt annuel de plus de 60 milliards d'euros, c'est la découverte d'un nouveau monde. Un monde qui s'est construit au cours des 15 à 20 dernières années, sachant qu'il n'y a pas si longtemps, la dette publique française équivalait à celle de l'Allemagne : toutes deux atteignaient un peu moins de 60 % du PIB. » Quel a été le point de bascule ? : Réponse de La Repubblica : « les dépenses publiques, 57 % du PIB de la France, sont les plus élevées des économies avancées du monde et ont évidemment contribué à la hausse de la dette. Et cette hausse a été constante, inexorable, jamais stoppée par les excédents budgétaires primaires des vingt dernières années, alimentée par la longue période de taux d'intérêt proches de zéro, et accélérée par le Covid et les mesures ultérieures visant à protéger les consommateurs des pics d'inflation. La conjoncture politique a ensuite fait le reste, freinant l'élan réformateur de Macron et rendant difficile tout changement de cap. » Macron, premier responsable ? En tout cas, conclut Libération à Paris, « la France va s'enfoncer un peu plus ce lundi dans un épais brouillard. Et cela n'a rien de réjouissant. Les plus fragiles sont les premières victimes d'un pays à l'arrêt. Ils le seront davantage si la crise politique mute en crise de régime. Ce jour, tous les regards seront tournés vers François Bayrou. Normal, et à la fois injuste. Le premier responsable de la situation s'appelle Emmanuel Macron. Sa dissolution fut une faute. Son départ, en plus de rajouter de la crise à la crise, créerait un dangereux précédent. Le Président n'a pas toutes les clés en main pour dessiner les mois qui nous séparent de la prochaine présidentielle. Mais il en détient une, pointe Libération : répondre au sentiment profond d'injustice qui plombe le pays. »
Senza Vlahovic, il prescelto di mister Allegri, e con l'arrivo di Nkunku che non è una punta centrale, sarà Leao il vertice offensivo del Milan.Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/radio-rossonera--2355694/support.
Une belle brochette d'une quarantaine de dirigeants, tous alignés sur un tapis rouge, pour assister au grand défilé militaire organisé hier par les autorités chinoises sur la place Tiananmen à Pékin. La Repubblica à Rome zoome sur la photo officielle : « Xi Jinping au centre, Poutine à sa droite, Kim Jong-un à sa gauche ; autour d'eux : vingt-cinq autres présidents et chefs de gouvernement, dont l'Iranien Pezeshkian et le Biélorusse Loukachenko (…). Ce groupe de chefs d'États au centre de la tribune était autrefois appelé "l'Axe du Mal", rappelle le quotidien italien ; aujourd'hui, les analystes préfèrent le nommer "l'Alliance du Désordre" ou, soulignant le rôle de Téhéran, le "Quatuor du Chaos". Cette coalition cherche à construire un ordre mondial alternatif, pointe encore La Repubblica, qui place l'Asie en son centre et attire de nombreux groupes "non-alignés" ». Les Occidentaux trop divisés… Et de fait, l'Occident semble bien loin… « Il faut dire, pointe Le Figaro, que les divisions et les incohérences du camp occidental ont été du pain bénit pour le groupe des autocrates, qui ont comblé les vides, les silences, les hésitations et les changements de cap des États-Unis et de l'Europe. Les divisions de l'UE sur tous les sujets, de la guerre en Ukraine à la politique vis-à-vis de la Chine en passant par l'utilisation de la force, ont neutralisé sa voix sur la scène internationale. Ses reculs, comme les promesses militaires non tenues vis-à-vis de l'Ukraine, ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont, eux, joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. » Pour les Européens, en effet, analyse le Times à Londres, cette démonstration de force « dissipe tout espoir de voir l'alliance sino-russe s'effriter, plus de trois ans après le début de la guerre en Ukraine. Pour les voisins est-asiatiques de la Chine, a contrario, elle témoigne d'une puissance écrasante, qu'ils sont obligés de suivre. Par exemple en acceptant les manœuvres expansionnistes illégales de Pékin en mer de Chine méridionale ». Prêts à en découdre face aux États-Unis… Toutefois, poursuit le Times, « le principal destinataire des images des nouveaux missiles hypersoniques, des chasseurs furtifs et des drones est Washington. La plupart des armes exposées hier sont destinées à empêcher l'armée américaine d'utiliser les siennes autour de Taïwan, si l'administration Trump ou son successeur envisageait de contester une invasion chinoise. Si Taïwan et ses 23 millions d'habitants tombent dans les mains de Xi Jinping comme des fruits mûrs uniquement par la coercition économique et politique, tant mieux. Mais sinon, comme le montre le défilé, l'Armée populaire de libération est prête ». Réponse immédiate de la Maison-Blanche. Donald Trump a dégainé son portable pour envoyer ce message sur son réseau social, message rapporté notamment par Die Welt à Berlin : « veuillez transmettre mes salutations les plus chaleureuses à Vladimir Poutine et Kim Jong-un pendant que vous conspirez contre les États-Unis d'Amérique ». La Belgique va reconnaître l'État de Palestine Enfin à la Une de la presse belge : la reconnaissance par Bruxelles de l'État palestinien. La Belgique qui emboîte ainsi le pas à la France, à l'Australie ou encore au Royaume-Uni. Ce sera le 22 septembre en marge de l'assemblée générale des Nations unies. Pour Le Soir, « la Belgique retrouve enfin le chemin du droit international. (…) Alors, oui, soupire le journal, tout cela représente si peu au regard de la montagne à renverser. Alors, oui, tout cela est très tardif et obtenu après des mois de débats de fond autant que de pinaillages indécents. (…) Mais l'obstination de notre ministre des Affaires étrangères a payé. À New York, conclut Le Soir, on retiendra que la Belgique était du côté de ceux qui affichent la volonté de reconnaître un Etat de Palestine. Le reste ne sera plus que de la gesticulation politicienne, inutile et contreproductive, à l'heure où la seule urgence demeure la fin du massacre à Gaza. Ou de ce qu'il en restera ».
Bentornate e bentornati alla nuova stagione di Sveja, oggi martedì 2 settembre 2025 ai microfoni c'è Alessandro ColtréParliamo di Ater e delle lettere inviate a chi non è in regola con i pagamenti.Lo facciamo con Lorenzo Rossi Doria di Auser Lazio: più di 300 avvisi sono arrivati a Corviale, dove tanti abitanti delle case popolari, tra marginalità e pensioni minime, non possono mettersi in regola con i pagamenti. In alcuni casi parliamo anche di 10.000 mila euro e di interessi sul debito che non tengono conto delle condizioni materiali di vita delle persone."Si tratta di una bomba sociale a cui sarà difficile se non impossibile trovare una risposta, ma che in qualche modo proveremo a disinnescare", racconta Rossi Doria. Sanità: Su Corriere della Sera: Il Lazio cerca 7.000 camici bianchi. Ora si cerca di colmare con nuove assunzioni e piani di investimento. Restano le criticità con i medici specialisti. La Repubblica racconta il primo giorno delle matricole di medicina. Primo anno senza numero chiuso ma con semestre filtro. A Tor Vergata oltre 2.100 iscritti. Inceneritore di Roma: niente posa della prima pietra.Spazi sociali: su Fanpage.it si parla dell'interrogazione di Sartori (Lega) in Campidoglio. Dopo lo sgombero del Leoncavallo, il capogruppo attacca il Forte Prenestino.Una segnalazione: V Zona organizza a ex Parco Meda "Scientifica - scienza popolare, libera e accessibile". Venerdì 5 settembre ore 19:30 si parlerà di Ospedali da abitare: come gli ambienti cambiano la cura.Sveja è un progetto di comunicazione indipendente, sostenuto da Periferiacapitale, il programma per Roma della Fondazione Charlemagne.Ringraziamo, come sempre, l'Associazione A Sud che ci mette a disposizione i propri spazi per le riunioni di redazione. La sigla di Sveja è di Mattia Carratello.Foto di Rai NewsA domani con Cecilia Ferrara
Deux enfants ont été tués et 14 autres blessés, mercredi dans l'attaque d'une église attenante à une école catholique, par un homme de 23 ans se disant « obsédé » par l'idée de « tuer des enfants ». La presse américaine est allée sur place, à Minneapolis, rencontrer les témoins et les proches des familles. Notamment le père de Fletcher Merkel, un enfant de huit ans, tué mercredi, père dont on trouve les propos dans le Washington Post et qui évoque ainsi son fils : « Nous ne pourrons plus jamais le tenir dans nos bras, lui parler et le voir grandir et être le merveilleux jeune homme qu'il était en passe de devenir ». « Derrière lui, précise le quotidien américain, trône un ours en peluche géant, dans une pile d'animaux en peluche et un mot manuscrit 'je t'aime pour toujours' signé maman ». Le Washington Post a également recueilli les propos d'Angela Ferrel Zabala, responsable d'une association de mères s'opposant aux armes à feu, qui s'est interrogée : « Quand est-ce que ce sera suffisant ? Nous continuerons à poser cette question jusqu'à ce que les législateurs décident enfin que la vie des enfants vaut plus que les profits des fabricants d'armes ». Attaque meurtrière À la Une, des enfants encore, victimes, cette fois-ci, de la guerre. C'est à la Une du Guardian à Londres. Une femme embrasse un bébé qu'elle serre dans ses bras. Elle s'appelle Ioulia Maystruck. Le quotidien britannique l'a rencontrée sur les lieux de l'attaque russe sur Kiev, dans la nuit de mercredi à jeudi. Elle raconte « qu'elle connaît une femme qui s'était réfugiée au sous-sol de son immeuble avec son fils de 14 ans. La mère a survécu, mais elle a été blessée. « Quant à son fils, 'il est mort à l'hôpital', dit-elle, les larmes aux yeux. » À Rome, La Repubblica commente cette nouvelle attaque, estimant « que Vladimir Poutine a décidé d'ignorer la prudence dictée par les négociations avec Donald Trump et de se lancer dans une démonstration de force massive et brutale ». Le Kiev Post, de son côté, ajoute que cette attaque, « l'une des plus meurtrières » qui ait visé la capitale ukrainienne, « a creusé un cratère sur cinq étages, dans un immeuble d'appartements ». Le Kiev Post fait aussi la liste de tous les dirigeants européens qui ont condamné l'attaque, Emmanuel Macron, Keir Starmer, Ursula von der Leyen, Friedrich Merz. Réaction aussi bien sûr de Volodymyr Zelensky. Le président ukrainien a estimé « que les Russes avaient choisi de ne pas mettre fin à la guerre, ils ont choisi de frapper à nouveau. » La ligne Trump / Netanyahou Enfin Le Temps s'intéresse aux Israéliens qui contestent la politique de Benyamin Netanyahu. À la Une du quotidien suisse, cette question : « Pourquoi mon gouvernement ne fait-il pas son devoir ? Les mouvements de protestation se multiplient en Israël en faveur de l'arrêt des combats à Gaza et du retour des otages ». Pour La Tribune, c'est un appel « vain » mais « bruyant ». « Trump apparaît comme l'unique espoir ». Haaretz estime lui que « Netanyahou a vendu à Trump l'illusion d'une victoire rapide, alors que les négociations sur les otages sont au point mort ». « Le seul canal qui compte », estime toutefois le quotidien israélien d'opposition, « est la ligne entre Benyamin Netanyahou et Donald Trump (...) le président américain qui croit aux explications du Premier ministre israélien selon lequel le Hamas peut être vaincu par une offensive militaire pour conquérir la ville de Gaza ».
Au début de son mandat, le président américain avait promis, on s'en souvient, de régler le problème entre la Russie et l'Ukraine en 24 heures… Six mois plus tard, on en est au même point. Et visiblement, Donald Trump veut accélérer… Les discussions d'hier à Moscou entre son émissaire Steve Witkoff et Vladimir Poutine n'ayant rien donné de concret, le président américain a affirmé hier, relève le New York Times, qu'il avait « l'intention de rencontrer en personne le président russe dès la semaine prochaine, et qu'il prévoyait d'organiser dans la foulée une réunion avec Vladimir Poutine et le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Interrogé plus tard dans la journée pour savoir si la Russie et l'Ukraine avaient accepté le sommet, Trump a répondu aux journalistes : "il y a de très bonnes chances qu'elles le fassent" ». Arlésienne ? Toutefois, la prudence reste de mise… C'est ce que souligne notamment La Repubblica à Rome : « Volodymyr Zelensky n'a pas évoqué hier la possibilité d'un sommet. Sur les réseaux sociaux, il s'est contenté de répéter que "la position commune avec nos partenaires était absolument claire : la guerre doit cesser". Et lors d'un discours hier soir, il a ajouté que la Russie semblait désormais "plus encline à un cessez-le-feu. La pression exercée sur eux porte ses fruits, a-t-il poursuivi. Mais l'essentiel est qu'elle ne nous trompe pas" ». Même « parmi les observateurs russes, la prudence prévaut », relève encore La Repubblica qui cite le politologue en exil Vladimir Frolov, selon lequel « la Russie tente d'avancer sur un sommet avec Trump uniquement pour le convaincre de forcer l'Ukraine à accepter son mémorandum d'Istanbul du 2 juin dernier comme base d'un accord final en échange d'un cessez-le-feu complet ». Un mémorandum, qui, rappelons-le, entérine l'annexion par la Russie des territoires ukrainiens qu'elle a conquis. Poutine joue la montre… Le Soir à Bruxelles ne se fait aucune illusion : « l'horizon d'une paix "juste et durable" en Ukraine paraît encore lointain. (…) Le président russe peut continuer à tromper le monde en affirmant sa disposition à négocier. Voire présenter ses revendications initiales comme "raisonnables" : obtenir la cession des quatre oblasts de l'Est, occupés en bonne partie par son armée mais pas totalement, outre la Crimée. Des revendications que l'Ukraine ne saurait accepter sans obtenir, a minima, un parapluie de sécurité extrêmement robuste de la part de ses alliés – ce que Moscou refuse totalement. Dans ces conditions, pointe Le Soir, on voit bien que le maître du Kremlin continue de jouer la montre, persuadé qu'il finira par emporter cette cruelle guerre d'usure. Vladimir Poutine est désormais enfermé dans sa logique guerrière, au point de ne plus pouvoir reculer. À moins de perdre sa stature, donc le pouvoir : on pense, par comparaison, à l'obstination d'un Netanyahu ». Méga-feu dans le sud de la France À la Une également, le gigantesque incendie qui ravage le département de l'Aude, dans le sud de la France. 16 000 hectares partis en fumée en l'espace de 24 heures. Et les moyens de lutte sont insuffisants. « Les nouveaux Canadair promis par Macron en 2022 ne sont pas encore opérationnels », déplore Le Figaro. Cette année-là, « Emmanuel Macron avait annoncé un "plan de réarmement aérien d'urgence" de lutte contre les incendies, quelques semaines après un été marqué par ce qui a été qualifié "d'incendie du siècle" dans le département de la Gironde. Trois ans plus tard, les nouveaux avions ne sont toujours pas là. La France doit faire avec douze Canadair vieillissants - 30 ans de moyenne d'âge -, huit avions Dash-8, qui sont surtout employés pour larguer des solutions retardantes, dix hélicoptères bombardiers d'eau et six petits avions spécialisés ». Les Canadairs commandés ne seront livrés au mieux que dans deux ou trois ans… Mobilisation ! Pour autant, il n'y a pas de fatalité, « les feux peuvent être évités, contenus ou combattus, encore faut-il y mettre les moyens humains et financiers », relève Libération. Il faut un « sursaut de l'État pour renforcer les moyens de lutte et notamment les équipes qui manquent de bras, l'été, au plus fort de la saison des feux. Les habitants, eux, peuvent éviter qu'un incendie se répande : en débroussaillant. La méthode a prouvé son efficacité et pourtant moins d'un tiers des propriétaires en zone à risque y ont recours, les municipalités ont un rôle plus coercitif à jouer. Idem pour les matériaux utilisés pour les constructions ou leurs abords, ils doivent pouvoir résister au feu tout comme les espèces d'arbres plantées, cela paraît presque élémentaire ». Et Libération de prévenir : « si rien n'est fait, des incendies monstres comme celui de l'Aude risquent de se produire chaque année avec le dérèglement climatique. Si l'on s'y prépare maintenant, on peut les éviter, ou au moins limiter leurs dégâts ».
TESTO DELL'ARTICOLO ➜ https://www.bastabugie.it/8245LA REPUBBLICA CECA VIETA PER LEGGE IL COMUNISMO di Bernardo Tombari Mai più comunismo. È ciò che ha deciso la Repubblica Ceca con la nuova legge che vieta la creazione o la propaganda di movimenti comunisti, al pari di quelli nazisti. Sono previsti fino a cinque anni di carcere per chi "crei, sostenga o promuova movimenti nazisti, comunisti o di altro tipo che mirino chiaramente a reprimere i diritti e le libertà umane o a incitare all'odio razziale, etnico, nazionale, religioso o di classe.Si tratta in realtà di una modifica legge preesistente, che non conteneva le parole "comunisti" o "nazisti", ma si dava per scontato che si riferisse a quest'ultimi. A promuovere il cambiamento è stato il presidente Petr Pavel, un comunista pentito (era iscritto al partito durante la dominazione sovietica) che già si era battuto per il risarcimento delle vittime e dei ricatti e della coercizione psicologica e fisica da parte della polizia sovietica. La severità della legge dipenderà dall'interpretazione dei giudici, che decideranno se si tratta di una vera guerra a simboli e idee comuniste o solo una condanna a movimenti eversivi.Secondo il deputato conservatore Martin Dlouhy "si tratta solo di una precisazione". Ciò che è certo è che la Repubblica Ceca fa i conti con il proprio passato, come hanno fatto molti altri Paesi dell'ex blocco sovietico: la vicina Slovacchia ha vietato i partiti comunisti, dichiarandoli organizzazioni criminali, e similmente hanno fatto Ucraina, Georgia, Estonia, Lettonia e Lituania. Forse non ci sarà mai la "Norimberga" del comunismo, ma è un segno che i Paesi che l'hanno vissuto vogliono conservare la memoria di decenni di soprusi, repressioni e stermini per far sì che non accada ancora.I cechi in particolare erano tra i più irrequieti e ribelli rispetto all'occupazione sovietica. Da Jan Palach e le proteste della primavera di Praga, represse con i carrarmati, alla rivoluzione di velluto dopo il crollo del muro, il comunismo non ha mai attecchito in Repubblica Ceca. Non è chiaro se continuerà ad esistere il Partito Comunista di Boemia e Moravia (KSCM), che protestato contro la decisione, che secondo loro "mette a tacere gli oppositori del sistema limitando i diritti e le libertà costituzionali" poco prima delle elezioni (nel 2021 ha preso poco più del 3%).Il Partito Comunista Italiano ha prontamente espresso solidarietà ai "compagni del KSCM". I paesi del blocco occidentale d'altronde possono permettersi di prendere alla leggera il comunismo, non avendo mai vissuto la sua atrocità, e condannare solo l'autoritarismo di destra (che nella sua crudeltà non raggiunge comunque i 95 milioni di morti dei regimi comunisti). La Chiesa fu profetica nella sua condanna al comunismo sin dal diciannovesimo secolo, intuendone subito la pericolosità e, come diceva papa Leone XIII, il nichilismo di fondo della sua opposizione ai valori morali e agli istituti naturali. Non c'è da stupirsi che nell'Occidente nichilista sia ancora di moda.
"Domenico Marchese (La Repubblica)" ospite a RBN Cafe.
"Domenico Marchese (La Repubblica)" ospite a RBN Cafe.
La rassegna di oggi, mercoledì 30 luglio, è a cura di Lorenzo BoffaIl governo prepara il ddl su Roma Capitale: più poteri su urbanistica, turismo, trasporti – ma non la sanità (dal Corriere);Il M5S presenta una mozione per sospendere i rapporti tra Roma e aziende israeliane coinvolte nell'apartheid (dal manifesto);Stop ai medici a gettone, ma i reparti restano scoperti: intanto i concorsi vanno deserti (RomaToday e Tempo);La Repubblica svela un sistema di tangenti sui collaudi antisismici nella Regione: due funzionari indagati, verbali retrodatati e pratiche “ripulite” a pagamento;Fallisce il progetto dell'Acquario dell'Eur: condanna da 25 milioni, lavori mai iniziati (Corriere);Il Messaggero parla di inchiesta sul racket delle occupazioni: accuse ancora da dimostrare, ma si prepara il terreno alla repressioneFoto di Luca DammiccoSveja è un progetto di comunicazione indipendente, sostenuto da Periferiacapitale, il programma per Roma della Fondazione Charlemagne.Ringraziamo inoltre l'Associazione A Sud che ci mette a disposizione i propri spazi per le riunioni di redazione.La sigla di Sveja è di Mattia Carratello.A domani con Marica Fantauzzi
Presa europeană își exprimă îngrijorarea legată de proiectul de lege semnat de Zelenski care va restricționa autonomia agenților anticorupție. Jurnaliștii văd modificările ca pe un atac la adresa democrației și un pas înapoi de la traiectoria europeană. Este un punct fără întoarcere, scrie The Kyiv Independent. “Președintele Volodymyr Zelensky a semnat pe 22 iulie un proiect de lege care distruge efectiv independența celor două instituții cheie anticorupție din Ucraina, potrivit parlamentarilor din opoziție și organismelor de supraveghere. Aceștia au avertizat că, dacă vor fi adoptate, amendamentele ar împiedica anchetele celor două agenții asupra autorităților sau persoanelor apropiate președintelui.” Publicația ucraineană precizează și că decizia lui Zelenski de a aproba reforma va schimba cu siguranță imaginea țării în Europa, mai ales în privința aderării la uniune. La Repubblica este de acord că Ucraina tocmai a pus în pericol eforturile sale de până acum de a se apropia de Uniunea Europeană: „Lupta împotriva corupției endemice care a ținut Ucraina în strânsoare timp de decenii a dus la îmbunătățiri în ultimii ani. Este una dintre condițiile cheie pentru aderarea Kievului la Uniunea Europeană. Așadar, nu este o coincidență că Marta Kos, comisar european pentru extindere, și-a exprimat îngrijorarea cu privire la această contra-reformă, care extinde puterile președintelui și reprezintă un „pas înapoi” față de progresele înregistrate de Kiev în ultimii ani.” În consecință, Ucraina se aproprie din ce în ce mai mult de Rusia, spune The Spectator: „Lupta pentru viitorul Ucrainei se dă nu numai pe câmpul de luptă, ci și în cadrul instituțiilor sale democratice. Una dintre aceste bătălii a fost pierdută ... Legea apropie ucrainenii de țara pe care vor să o părăsească cu disperare. Dacă nu va fi respinsă, președintele Zelensky riscă să-i împingă pe oameni înapoi în Piața Independenței pentru o altă revoltă Maidan. Acest moment ar putea fi mai aproape decât crede el.”, se plânge ziarul britanic. Surprins de reacția provocată, președintele ucrainean a aprobat un alt proiect de lege care ar restabili independența autorităților anti-corupție. Însă răul a fost deja făcut, critică The Guardian. „Pentru mulți, această criză reprezintă punctul culminant al îngrijorărilor legate de stilul său de guvernare și de comportamentul unora dintre cei din anturajul său. De asemenea, ea are ecouri alarmante ale predecesorilor săi. [...] De asemenea, este îngrijorător faptul că președintele a încercat să discrediteze agențiile anticorupție vorbind despre „legături cu Rusia”. Ce este de facut în continuare? se întreabă publicația britanică. „El ar trebui să recâștige sprijinul în țară și în străinătate nu numai prin restabilirea independenței anchetatorilor anticorupție, ci și prin luarea în considerare a lecțiilor mai ample despre așteptările justificate ale poporului față de guvernul său.” Grupaj realizat de Mădălina Șerban
Oggi 24 luglio la rassegna stampa è a cura di Sara Bruno, social media manager e co-autrice di Roma-La guida ecologica, sostenibile e solidale edita da Altraeconomia.La puntata è ascoltabile su Spreaker, Spotify e Apple Podcasts.Le notizie:La prossima sfida per Roma: il Giubileo dei giovani. Attesi un milione di pellegrini in due giorni: se ne parla in un articolo di Marina De Ghantuz Cubbe su La Repubblica.Cosa ne sarà di Tor Vergata e le sue vele di Calatrava? Il progetto spiegato sempre su Repubblica in un articolo di Valentina LupiaSul Messaggero, i rimedi che si cerca di mettere in campo per risolvere il problema delle corse clandestine a CentocelleSu Il Corriere della Sera, uno scioccante racconto dell'aggressione omofoba ai danni di un ragazzo 23enne nel centro commerciale Roma EstSveja è un progetto di comunicazione indipendente, sostenuto da Periferiacapitale, il programma per Roma della Fondazione Charlemagne.A domani!
La paroisse de la Sainte-Famille à Gaza était « un dernier refuge pour environ un demi-millier de Gazaouis », elle a été bombardée jeudi vers 10 heures du matin, « lors d'un raid de l'armée israélienne », écrit La Croix. Selon le Patriarcat latin de Jérusalem, l'attaque a fait « trois morts et dix blessés, dont le curé de la paroisse, le père Gabriel Romanelli ». « Un obus d'artillerie tiré par un char israélien a touché le toit, provoquant l'effondrement d'une partie de la façade », rapporte La Repubblica. Au sommet de l'édifice, la croix, elle est restée « incroyablement intacte » mais dans la cour, « sous les décombres gisent les corps de Saad, 60 ans, le portier de la paroisse et de deux fidèles, Foumia, 82 ans et Najwa 69 ans ». Le curé de la paroisse, le père Gabriel, décrit la journée de jeudi comme « l'un des jours les plus difficiles d'une période déjà très difficile. Nous sommes sous le choc. Nous sommes terrifiés. Nous sommes inquiets. Mais c'est notre foyer et nous ne partirons pas », voilà le message qu'il a fait passer à ceux qui ont réussi à lui parler, rapporte toujours La Repubblica qui retrace le parcours de ce prêtre argentin, « bloqué à Jérusalem après le 7 octobre et qui a tout fait pour retourner auprès de sa communauté dévastée par la guerre ». Jeudi soir, il était « de retour à l'église, célébrant la messe », poursuit le quotidien italien. L'armée israélienne, elle, affirme avoir touché par erreur le bâtiment « Sous la pression de Donald Trump, Benyamin Netanyahu dit qu'il regrette le bombardement par erreur d'une église à Gaza », titre le Times of Israël. Un peu plus tôt, « la porte-parole de la Maison Blanche avait déclaré aux journalistes lors d'un point presse que le président américain avait téléphoné au Premier ministre israélien après avoir été informé de la frappe ». Selon l'armée israélienne, des éclats d'obus auraient touché « par erreur » le bâtiment, affirme le quotidien israélien Haaretz. « Le ministère israélien des Affaires étrangères a déclaré que les résultats de l'enquête militaire seraient publiés de manière transparente », précise le Washington Post. Le pape Léon XIV a réitéré son appel à un cessez-le-feu immédiat à Gaza. « L'attaque contre l'église de la Sainte-Famille a également été vivement condamnée par les responsables politiques italiens, poursuit le quotidien américain. La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a été l'une des premières à confirmer l'attaque contre l'église » et a déclaré que « les attaques contre la population civile menées par Israël depuis des mois sont inacceptables. Aucune action militaire ne peut justifier un tel comportement ». En Syrie, le réveil des traumatismes communautaires Après les frappes israéliennes, « dans les rues de la capitale, le sentiment d'un divorce entre les communautés se fait de plus en plus prégnant », écrit le quotidien libanais L'Orient-Le Jour. Les reporters décrivent une ville où il n'y a pas grand monde dans les rues. « À travers la capitale syrienne, deux sentiments s'entrechoquent. Celui d'avoir subi un "rappel à l'ordre israélien" à travers ces frappes alors que des négociations pour un accord de sécurité (a minima) avec le pays voisin s'accélèrent depuis ces dernières semaines. Mais aussi celui d'un divorce entre les communautés se faisant de plus en plus prégnant, malgré les tentatives de stabilisation ». Dans les rues de Jaramana, en périphérie de Damas, où réside une forte majorité druze, Mahaa estime que « la société syrienne ne se remettra pas de toutes ses fractures ». Un peu plus loin, Firas, raconte qu'un « ami de vingt ans, un sunnite d'Alep, l'a supprimé de ses contacts depuis mercredi. (…) Il n'y a plus d'avenir entre nos deux communautés », conclut-il. Mohammad, un habitant sunnite, a envoyé sa femme se réfugier « chez des voisins chrétiens » lors des affrontements en avril, parce qu'il ne « fait plus confiance aux druzes ». Champion du « ne rien faire » Denis Kwan Hong-Wang est le champion du monde du « ne rien faire ». Il a remporté à Hong Kong, la compétition Space Out qui consiste à rester assis sans bouger pendant 90 minutes, « sans sommeil, sans faire de bruit, sans vérifier son téléphone », précise le Guardian. Tout un art…
"Emanuele Gamba (La Repubblica)'' ospite a Rassegna Stramba.
"Rassegna Stramba" con Luca Cavallero. Ospiti: Antonello Valentini, Emanuela Gamba (La Repubblica).
"Emanuele Gamba (La Repubblica)'' ospite a Rassegna Stramba.
"Rassegna Stramba" con Luca Cavallero. Ospiti: Antonello Valentini, Emanuela Gamba (La Repubblica).
« Paris et Londres signent un accord sans précédent », titre Le Figaro, « un accord essentiel pour le Premier ministre britannique, soumis à une forte pression alors que les chiffres de traversées clandestines de la Manche sont à la hausse ». Le principe de cet arrangement est celui-ci, explique le quotidien conservateur : « les migrants arrivés sur de petites embarcations seront détenus et renvoyés en France dans les plus brefs délais. En échange, pour chaque retour, une autre personne sera autorisée à entrer au Royaume-Uni par une voie contrôlée, sûre et légale ». Un accord qui ne choque pas le Figaro, mais qui suscite la colère de Libération : le quotidien de gauche parle d'un « accord de la honte » et de « cruauté ». « La France et le Royaume-Uni veulent s'échanger des vies humaines pour combattre l'immigration », dénonce de son côté Médiapart, qui rappelle que « depuis le début de l'année, près de 21 000 migrants ont réussi à traverser la Manche à bord d'embarcations non-adaptées ». Le journal Le Monde estime toutefois que cet accord n'aura qu'une ampleur limitée. Selon le quotidien, « le nombre de personnes concernées devrait s'établir autour de cinquante par semaine ». Un accord également commenté par la presse britannique Le Guardian, par exemple, qui sans être enthousiaste souligne tout de même que c'est « la première fois que le gouvernement britannique augmente le nombre de voies d'accès sûres, permettant aux demandeurs d'asile d'atteindre la Grande-Bretagne ». Mais cet accès sera réservé à certains profils de candidats : « À ceux qui n'ont pas tenté d'entrer illégalement au Royaume-Uni », a précisé le Premier ministre Keir Starmer. Le Times publie de son côté un éditorial sans concession, estimant que « l'annonce faite par Starmer, ne risque pas de faire trembler les migrants dans leurs petits bateaux ». « Dans un avenir proche » ironise le quotidien britannique, « le Royaume-Uni restituera à la France une cinquantaine de petits bateaux par semaine et en retour cinquante autres bateaux arriveront dans l'autre sens, en toute légalité ». « Il n'y a pas si longtemps », ajoute le Times, « le Premier ministre avait excellé à souligner le ridicule du plan du gouvernement pour le Rwanda (…) c'était la décision dénuée de sens et non dissuasive des conservateurs. Cette fois-ci c'était la décision de Starmer, avec l'air mièvre et sévère qui le caractérise », assène le Times. La rapporteure spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens contre-attaque Francesca Albanese s'est attirée la foudre des États-Unis. « Le secrétaire d'État Marco Rubio », explique La Repubblica, a décidé de « lui imposer des sanctions » pour ses propos sur la situation à Gaza. Francesca Albanese estime « qu'on veut la faire taire alors que 60 000 personnes, dont 18 000 enfants, ont été tuées à Gaza. Il s'agit d'une tentative pour faire taire les accusations de génocide. Avec Israël, les États-Unis « utilisent des méthodes mafieuses pour m'intimider », accuse la rapporteure de l'ONU. En Israël justement, le quotidien Haaretz estime qu'Albanese « ne fait pas grand-chose, si ce n'est rédiger des rapports, faire du lobbying, prononcer des discours et publier des tweets ». « Elle cherche à créer un monde de bandes dessinées, opposant le bien au mal, où l'héroïsme palestinien affronte la violence et l'oppression israélienne. La date du 7 octobre 2023 », ajoute Haaretz, « n'apparait jamais dans son rapport. » Francesca Albanese, qui trouve plus de soutien, dans les colonnes de l'Orient le Jour. Le quotidien francophone libanais parle « d'une voix propalestinienne que les États-Unis cherchent à faire taire (…) son franc-parler et ses prises de position dérangent et polarisent largement ». « Mais elle incarne », nous dit l'Orient-le-Jour, « une voix internationale indispensable, aux yeux des Palestiniens, pour mettre la lumière sur les agissements de l'État hébreu dans les territoires occupés ».
Les bombardements ont cessé en Iran et en Israël. Et la presse internationale s'interroge ce matin, à l'instar du Devoir à Québec : « Ce cessez-le-feu ficelé par les États-Unis a-t-il l'étoffe de ceux qui durent ? Si on doit reconnaître un mérite au coup de théâtre de lundi, c'est qu'il permet aux trois parties impliquées de sortir la tête haute, sans devoir, face à leur peuple, panser les blessures d'un perdant. » Dans le New York Times, c'est la théorie que défend Ali Vaez, le directeur iranien de l'International Crisis Group. « Les États-Unis, affirme-t-il, peuvent dire qu'ils ont réussi à faire reculer les avancées nucléaires iraniennes. Israël peut dire qu'il a affaibli l'Iran, son adversaire dans la région. Et l'Iran peut dire qu'il a survécu aux attaques et même réussi à riposter à des puissances militaires beaucoup plus fortes. » Bref, il n'y aurait ni perdant ni gagnant… Pas plus de sécurité qu'il y a 12 jours Libération à Paris s'interroge également : « pour que cet accord – flou, non signé, non validé par quelque entité juridique ou politique que ce soit – puisse tenir, il faut que les deux parties puissent le présenter comme une victoire. Est-ce possible ? Côté israélien, Benyamin Nétanyahou peut se targuer d'avoir a minima retardé la militarisation du nucléaire iranien. Sans certitude que les mollahs ne recommencent pas leur entreprise hasardeuse (…). Côté iranien, l'honneur peut-il apparaître sauf ? (…) Le régime sait qu'il a eu chaud, et qu'il ne doit sa survie qu'à l'impréparation américaine sur un potentiel changement de régime. Mais, soupire Libération, le savoir engrangé en matière nucléaire et le ressentiment accumulé à Téhéran ne laissent malheureusement pas penser que le Moyen-Orient d'aujourd'hui sera longtemps plus sûr qu'il y a douze jours. » Le problème du nucléaire iranien réglé ou escamoté ? En fait, remarque Le Figaro, « cette négociation de paix annoncée par le président américain ressemble un peu à un tour de magie. (…) Le problème du nucléaire iranien est-il réglé ou seulement escamoté ? Nul ne sait, pas même Trump, ce que donneront ses solutions expéditives sur le long terme. » Concrètement, pointe le Washington Post, « le défi le plus urgent de l'après-guerre sera de trouver - et de détruire - le stock iranien de 400 kilos d'uranium enrichi à 60 %, qui pourrait devenir le combustible d'une “bombe sale“ en quelques semaines. (…) Des sources israéliennes et américaines affirment savoir où se trouvent les 400 kilos. Nous ne pouvons que l'espérer, s'exclame le Post. Ils doivent la trouver - rapidement - et s'en débarrasser en toute sécurité. Sinon, la mèche de la bombe iranienne sera toujours allumée. » Pour le Guardian à Londres, ce « cessez-le-feu est le bienvenu », certes, « mais, en effet, le danger n'est pas écarté. (…) L'approche de Trump reste chaotique. Et à mesure que les intentions et les messages du président américain se multiplient, les risques se multiplient. (…) L'instabilité des événements doit beaucoup à l'imprévisibilité de la rhétorique et des actes de Donald Trump. Et la crise au Moyen-Orient va continuer d'éclipser le sommet de l'OTAN à La Haye, destiné à consolider le soutien à l'Ukraine. » Un sommet de l'OTAN sous haute tension Un sommet qui a lieu ce mercredi. Et « Donald Trump, relève Le Soir à Bruxelles, a débarqué hier soir à La Haye auréolé de son succès (pour l'heure) engrangé au Moyen-Orient. Avec une autre victoire en poche : l'engagement que les Européens et le Canada signeront aujourd'hui dans la capitale administrative des Pays-Bas. Ces Alliés, parfois bousculés par l'impétueux président américain, accepteront, bon gré, mal gré, de porter leurs dépenses en matière de défense et de sécurité à un plafond historique : 5 % de leur PIB d'ici 2035 – une obsession du 47e président des États-Unis, depuis sa campagne électorale. » Pour Trump, il faut que les Européens s'engagent plus en matière de défense… Et il accentue la pression : « lors du dîner d'ouverture du sommet de La Haye, hier soir, la tension était palpable, s'exclame La Repubblica à Rome. Tous ceux assis à table ne savaient pas à quoi s'attendre de la part du magnat. » Sur l'Ukraine, Trump est tout aussi imprévisible, affirme encore le quotidien italien : « malgré un entretien direct prévu avec le président ukrainien Zelenski aujourd'hui, le dirigeant américain a de nouveau émis des doutes sur la nécessité d'inclure une condamnation de l'agression russe dans la déclaration finale du sommet. » Bref, conclut La Repubblica, « jamais autant de nuages d'incertitudes n'ont enveloppé un sommet de l'OTAN. »
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Settimo giorno di scontri fra Israele e Iran, sempre con l’incognita Trump. Con noi Claudio Bertolotti, direttore di Start Insight.Garlasco: riparte l’incidente probatorio. Ci racconta la giornata Massimo Pisa, giornalista de La Repubblica.Ha un nome la vittima il cui corpo è stato ritrovato a Villa Pamphili insieme ad una bambina di poco meno di un anno. Si chiamava Anastasia Trofimova. Ci racconta di più Fulvio Fiano, giornalista de Il Corriere della Sera.Oggi è stato il giorno della presentazione di Gennaro Gattuso come nuovo Ct della Nazionale. Ci racconta com’è andata il nostro Dario Ricci.
Giovedì 19 giugno 2025, la rassegna è a cura di Ciro Colonna.La Repubblica racconta le notti folli di Centocelle e l'inaugurazione di un parco al QuarticcioloIl Corriere della Sera dà conto del dibattito in Regione Lazio a proposito del cambio di destinazione d'uso delle sale cinematografiche dismesseIl Tempo invoca lo sgombero di un palazzo occupato in Corso d'ItaliaIl Messaggero racconta della messa in opera di mille nuove telecamere dotate di intelligenza artificialeRomatoday approfondisce (poco) la mappa delle infiltrazioni mafiose nelle attività produttive della capitaleSigla e jingle sono di Mattia CarratelloFoto di Lorenzo BoffaSveja è un progetto di comunicazione indipendente che si sostiene grazie a Periferiacapitale, il programma per Roma della fondazione Charlemagne. Ringraziamo inoltre l'associazione A Sud che ci mette a disposizione i propri spazi per le riunioni di redazione.
Oggi la rassegna stampa è condotta da Sara Bruno, social media manager, autrice con Ylenia Sina de “Roma - La guida ecologica, sostenibile e solidale”, Altraeconomia.Potete ascoltare la rassegna cercando “Sveja” su Spotify, Spreaker e Apple Podcasts!Le notizie di oggi:La Repubblica: il piano marciapiedi, la pedonalizzazione di via Condotti e i cantieri estivi per la riqualificazione delle stradeIl Corriere della Sera: Termini e l'ennesima “giornata nera” (ma pochi rimborsi dei biglietti)Il Messaggero: l'iter per la costruzione dello Stadio della Roma va avanti, tra perizie geologiche e altre “perdite di tempo”.Tutti i giornali ne parlano ma noi leggiamo l'articolo del Corriere: un'auto scende dalla scalinata di Trinità dei Monti: “Pensavo fosse la Tnagenziale”Sveja è un progetto di Periferiacapitale, il programma per Roma della Fondazione CharlemagneA domani con Ciro Colonna!
Ma un giornalista della carta stampata come lavora in una partita notturna? Quando deve consegnare il pezzo? E nel calciomercato, come si fanno ad ottenere le notizie? Di questo e molto altro ne ha parlato Enrico Zambruno insieme a Domenico Marchese, giornalista sportivo de La Repubblica.Potrero, dove tutto ha inizio. Un podcast sul calcio italiano e internazionale.Su Mola powered by Como TV (https://tv.comofootball.com) nel 2025 potete seguire in diretta ed in esclusiva le partite della Copa Libertadores, Copa Sudamericana, Recopa, Liga Profesional Argentina, Copa de la Liga Profesional Argentina, Eredivisie, HNL croata, Scottish Premiership, Coppa di Scozia, Super League greca, Coppa di Grecia e Coppa di Portogallo.Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/potrero--5761582/support.
Ilaria Bonacossa"Meriggiare pallido e assorto"Eugenio Montale: 100 immagini per i 100 anni di Ossi di Seppia.Palazzo Ducale, Genova - fino al 29 giugno 2025https://palazzoducale.genova.it/mostra/2025-meriggiare-pallido-e-assorto/Mostra a cura di Ilaria Bonacossa e Paolo Verri con Michela Murialdo.Una co-produzione a cura di Fondazione Arnoldo e Alberto Mondadori, Palazzo Ducale di Genova ed Electa.Realizzata grazie al contributo concesso mediante l'Avviso pubblico Strategia Fotografia promosso dalla Direzione Generale Creatività Contemporanea del Ministero della Cultura.Catalogo: ElectaA 100 anni dalla prima pubblicazione di Ossi di seppia, la Fondazione Arnoldo e Alberto Mondadori in collaborazione con la Fondazione Palazzo Ducale di Genova organizza la mostra Meriggiare pallido e assorto. Eugenio Montale: 100 immagini per i 100 anni di Ossi di Seppia. Fotografie di Iole Carollo, Anna Positano, Delfino Sisto Legnani. Ossi di seppia è uno dei testi poetici che hanno segnato l'intero Novecento non solo italiano, ridefinendo il ruolo della poesia nei confronti della realtà, nei confronti della quale, come scrive Gianfranco Contini, Montale non ha nessuna certezza.Qualcosa del genere sta accadendo oggi alle immagini, allo status stesso del vedere: se ne discuterà insieme a tre giovani talenti della fotografia italiana – Iole Carollo, Anna Positano e Delfino Sisto Legnani – che, prendendo spunto dal capolavoro montaliano, realizzeranno 99 scatti originali che verranno offerti al pubblico di Palazzo Ducale di Genova. Le fotografie saranno la parte principale di una mostra che includerà anche edizioni originali (messe a disposizione da Fondazione Arnoldo e Alberto Mondadori e da Beppe Manzitti, collezionista di Edizioni Originali di Letteratura italiana del Novecento), appunti, diari, fotografie d'epoca che tracceranno il percorso poetico che dalla prima edizione degli Ossi porta al 1975, anno in cui a Montale viene attribuito il Premio Nobel per la letteratura.L'evento del Nobel avrà un concreto approfondimento grazie alla documentazione di Epoca e alle foto originali di Domenico Porzio che accompagnò alla proclamazione il poeta genovese.In occasione della mostra si svolgerà un “public program” molto intenso, condiviso con l'Università di Genova e con il Comune di Genova, che avvieranno nell'occasione un percorso di visita en plein air dei luoghi montaliani.La mostra sarà a ingresso gratuito ed è realizzata grazie al contributo concesso mediante l'Avviso pubblico Strategia Fotografia promosso dalla Direzione Generale Creatività Contemporanea del Ministero della Cultura. ll catalogo sarà a cura di Electa.Iole Carollo (1977) è una fotografa e ricercatrice indipendente con una formazione in archeologia, con una laurea in Conservazione dei Beni Culturali e una specializzazione in Archeologia Minoica e Micenea. La sua pratica fotografica esplora l'incontro tra antico e contemporaneo, con un'attenzione particolare alla rappresentazione della storia umana attraverso l'arte e l'archeologia. Collabora con istituzioni pubbliche e private e con artisti contemporanei, realizzando campagne fotografiche, cataloghi d'arte e pubblicazioni scientifiche nel campo archeologico e artistico. I suoi interessi abbracciano l'esoeditoria, i processi comunitari e la forma archivio. Nel 2021 è stata selezionata dall'ICCD per documentare il patrimonio culturale del Sud Italia nel progetto PON Itinerari Digitali. È stata anche invitata come fotografa/artista nel 2022 per il progetto europeo FitForThem, all'interno del Workshop CreaLab organizzato dalle università di Valencia, Palermo e Opole, dove ha condiviso la propria riflessione sulla migrazione. Le sue fotografie sono state pubblicate in riviste come Il Venerdì de La Repubblica, Il Giornale dell'Arte, Il Corriere della Sera, Artribune, Annali della Scuola Normale Superiore di Pisa e sono presenti in collezioni private e istituzionali, tra cui il Polo Regionale di Palermo per i Parchi e i Musei Archeologici, Museo Antonino Salinas. Co-fondatrice di Église, associazione culturale che promuove la cultura visiva, è inoltre parte del festival Zines Palermo dal 2019.Anna Positano è una fotografa e ricercatrice indipendente con una formazione in architettura. Il suo lavoro si concentra sui paesaggi alterati dall'uomo da una prospettiva materialista ed esplora l'anti-capitalismo, le teorie postcoloniali e l'ecologia. Oltre alla sua attività di ricerca, lavora su commissione per architetti, riviste e istituzioni. È socia fondatrice dello Studio Campo.Delfino Sisto Legnani, dopo essersi laureato in Architettura, ha iniziato a lavorare come fotografo freelance per le più importanti riviste e giornali indipendenti e istituzionali. Grazie al suo originale punto di vista e ad un approccio progettuale all'obiettivo fotografico, con i suoi colleghi di DSL Studio sono diventanti un punto di riferimento internazionale per la fotografia di architettura e design. In alternanza tra reportage, fotografia di architettura e still life, i suoi progetti personali sono stati premiati ed esposti in musei e istituzioni come la Biennale di Venezia, the Victoria & Albert Museum in London, Triennale di Milano, Chicago Architecture Biennale, Manifesta 12, MAXXI, nonché in numerose gallerie e mostre"Meriggiare pallido e assorto"Electa www.electa.itIl volume Electa accompagna la mostra Meriggiare pallido e assorto. Eugenio Montale: 100 immagini per i 100 anni di Ossi di seppia (13 maggio - 29 giugno 2025) organizzata da Fondazione Arnoldo e Alberto Mondadori, Palazzo Ducale Fondazione per la Cultura ed Electa, promossa da Regione Liguria e Comune di Genova. Il progetto è sostenuto da Strategia Fotografia 2024, promosso dalla Direzione Generale Creatività Contemporanea del Ministero della Cultura in occasione del centenario della raccolta di Eugenio Montale. A partire dalle sue poesie, tre fotografi hanno accettato la sfida di ‘dialogare' con il poeta ligure, puntando l'obiettivo sui suoi luoghi, reali e lirici. Come anche Ugo Mulas fece quando nell'estate 1962 realizzò una serie di scatti di paesaggio, confrontandosi con Ossi di Seppia.Iole Carollo, Anna Positano, Delfino Sisto Legnani hanno dato una rilettura visiva delle poesie di Montale con tre proposte divergenti per linguaggi, approcci e sensibilità che ha determinato una meditazione fotografica che si muove tra fedeltà e interpretazione, attualità e memoria, paesaggi reali e interiori. Il libro e la mostra puntano così ad approfondire il rapporto tra poesia e immagine, parola e visione; a riflettere sull'ispirazione reciproca delle due ‘arti' e al contempo sulla loro autonomia sollevando questioni radicate ma attuali attorno concetti di ‘descrizione, ‘interpretazione', ‘illustrazione' nel confronto tra verbale e visivo.I saggi critici in catalogo di Marcello Ciccuto e Elio Grazioli delineano inoltre lo sguardo montaliano, col suo rapporto problematico con la fotografia ma anche le risonanze tra poesia e paesaggio: se da un lato Montale diffidava della fotografia intesa come mera riproduzione, dall'altro i suoi componimenti sono attraversati da immagini potenti, sintetiche, essenziali; un'estetica che oggi trova nuovi interlocutori nello sguardo dei tre fotografi.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Naționalist-conservatorul Karol Nawrocki a câștigat alegerile prezidențiale din Polonia. Cu ce consecințe pentru Europa? - se întreabă comentatorii. ”Boxerul câștigă în turul al doilea – o catastrofă din perspectiva guvernului liberal al lui Donald Tusk”, scrie Der Spiegel, făcând referire la sportul practicat în tinerețe de Nawrocki.”În Polonia, victoria la limită a lui Karol Nawrocki subminează eforturile lui Donald Tusk de a consolida Europa”, titrează Le Monde.”Eforturile diplomatice ale Poloniei de a consolida Europa în fața retragerii SUA și de a sprijini Ucraina vor avea probabil de suferit”.Și ziarul belgian De Standaard consideră că rezultatul aduce o presiune puternică asupra poziției pro-europene a prim-ministrului Tusk.”Încă de când a preluat mandatul, la sfârșitul anului 2023, Tusk a căutat legături mai strânse cu Franța, Germania și Regatul Unit. Probabilitatea este mare ca, sub conducerea lui Nawrocki, confruntările cu Europa să devină tot mai frecvente în următorii ani.”The Independent observă că ”spre deosebire de alți eurosceptici din Europa Centrală, precum premierul slovac Robert Fico sau Viktor Orban al Ungariei, Nawrocki susține acordarea de ajutor militar pentru Ucraina.Însă a declarat că, dacă va fi ales, se va opune aderării Ucrainei la alianțele occidentale, o poziție care încearcă să se contopească cu scăderea sprijinului pentru ucraineni în rândul polonezilor”.Politico scrie că ”rezultatul strâns al alegerilor arată diviziunile politice profunde din Polonia - între orașele mari, mai liberale și orașele și satele mai mici și conservatoare, între cei care susțin UE și cei care favorizează naționalismul și între liberali și oamenii care respectă valorile tradiționale și un rol important pentru Biserica Romano-Catolică”.*Un alt subiect de interes în presa internațională: care vor fi consecințele spectaculoasei acțiuni a Ucrainei pe teritoriul Rusiei? ”Atacul scoate la iveală vulnerabilitatea lui Putin”, transmite NBC News.Expertul consultat de rețeaua de televiziune crede că „ne putem aștepta la mult zgomot și furie din partea Moscovei. Aceasta va depune eforturi mari pentru a convinge Statele Unite să încerce să țină Ucraina în frâu.Într-un fel, întrebarea mai importantă este cum reacționează Statele Unite și cât de dornice sunt să ia partea Moscovei și să constrângă Ucraina”, a spus expertul.La Repubblica se teme de un contraatac nuclear:„Filmările care circulă pe rețelele de socializare sunt cea mai profundă rană adusă imaginii de om puternic pe care Vladimir Putin și-a construit autoritatea. Acum toată lumea este îngrijorată de reacția sa. Conform regulilor Moscovei, acest atac asupra bazelor strategice este suficient pentru a declanșa autorizarea unui răspuns nuclear împotriva Ucrainei.”Și, după cum analizează BBC, ”bombardierele strategice lovite de Ucraina nu sunt doar instrumente de război, ci sunt simboluri ale puterii nucleare și ale invulnerabilității strategice a Rusiei.De decenii, Moscova trimite astfel de bombardiere în misiuni în întreaga lume pentru a proiecta o imagine a unei superputeri nucleare de neatins.Acum, această imagine a fost grav afectată”.
XVI ciclo di Dottorato della Scuola Superiore di Studi StoriciUniversità deglli Studi della Repubblica di San MarinoSTORIOGRAFIA E DIPLOMAZIALa Repubblica popolare cinese, 1949-2024Guido Samarani(Università Ca' Foscari Venezia)Podcast a cura di Giuseppe GiardiUna produzione Usmaradio - Centro di Ricerca per la Radiofonia
Roma cambia pelle, ma non anima. Finalmente Nicola ha trovato qualcuno con cui parlare della città più bella del mondo.In questa puntata abbiamo discusso di tutto ciò che è successo negli ultimi mesi: dalle polemiche sullo stadio della Roma alle potature selvagge, passando per il progetto del tram a Tor Vergata.Ma non sono mancate anche tante cose belle, come il Grab al Colosseo, la Casina dei Salvi e i nuovi parchi d'affaccio, solo per citarne alcune.Una versione inedità, al bar, di Roma Capita!FONTIVideo youtube di La Repubblica e Pigneto TV Music from #Uppbeat (free for Creators!)https://uppbeat.io/browse/artist/sames
MarcoTurati"Porte Aperte Festival"L'Associazione Culturale Porte Aperte, il Centro Fumetto Andrea Pazienza, il gruppo dei curatori insieme al Comune di Cremona, annunciano la nuova edizione del Porte Aperte Festival che quest'anno celebra il suo decimo compleanno e si svolgerà dal 5 all'8 giugno 2025.I curatori del PAF, Andrea Cisi, Mario Feraboli, Michele Ginevra, Marco Turati e Marina Volonté, mentre cominciano ad accendersi i motori della macchina organizzativa, lasciano trapelare le prime novità sui tanti appuntamenti che animeranno Cremona all'inizio di giugno, offrendoci un assaggio di questa decima edizione del PAF.Manuele Fior è l'autore del manifesto di questa nuova edizione: artista pluripremiato e di respiro internazionale, è uno degli autori più apprezzati sia in Italia che all'estero, con all'attivo numerosi riconoscimenti. Fior collabora con le sue illustrazioni a riviste e quotidiani come “The New Yorker”, “Le Monde”, “Vanity Fair”, “la Repubblica” e “Il Sole 24 Ore”, oltre a case editrici come Feltrinelli, Einaudi, EL. L'opera di Fior vuole dare vita al tema Gener-Azioni che quest'anno sarà il cuore pulsante del festival e accompagnerà le numerosissime iniziative della manifestazione.Ci troviamo infatti in un'epoca particolare: un crocevia in cui le sfide intergenerazionali si intrecciano in modo indissolubile con le dinamiche di genere e la necessità impellente di creatività. Il crescente gap generazionale, alimentato dalle preoccupazioni ambientali che gravano pesantemente sul futuro dei giovani crea sempre maggiori frizioni e incomprensioni e le nuove generazioni si sentono spesso inascoltate e gravate da responsabilità non proprie.Parallelamente, le questioni di genere stanno vivendo una profonda trasformazione. La lotta per le pari opportunità, purtroppo ben lungi dal perseguire i propri obiettivi, si affianca alla crescente consapevolezza dell'importanza dell'inclusione e della fluidità delle identità. Le rigide categorie del passato si dissolvono, aprendo spazio a una visione più ampia e rispettosa della diversità in tutte le sue forme. Questa evoluzione appare fondamentale per costruire una società più equa, dove la diversità di genere non sia più un fattore limitante, ma una ricchezza da celebrare.È proprio in questo contesto complesso che emerge con forza il concetto di generatività, intesa come capacità di innovare. La creatività può diventare quindi uno strumento per superare divisioni, creare ponti tra le generazioni, sviluppare politiche inclusive, combattere nuove battaglie in forme inedite e trovare risposte efficaci anche ai nodi più critici della fase attuale. Le esperienze maturate nel tempo dalle generazioni più anziane e l'energia innovativa dei giovani, unite alla sensibilità e alla consapevolezza portate avanti dai movimenti per l'uguaglianza di genere, possono produrre un confronto fecondo e cambiamenti positivi, per costruire un futuro più giusto, equo e sostenibile per tutti e tutte.La decima edizione del PAF, con lo sguardo sempre rivolto alla contemporaneità, proverà dunque a indagare alcune di queste sollecitazioni. Lo farà proponendo come sempre opere dell'arte e dell'ingegno umano, generi letterari e artistici diversi, storie, racconti, canzoni, immagini e suggestioni.Tra le novità del 2025 la location degli appuntamenti compresi tra le 13:00 e le 18:00, che saranno ospitati nel Cortile di Palazzo Roncadelli Manna in via Colletta. I restanti appuntamenti avranno luogo la mattina nel Cortile di Palazzo Affaitati e dalle 18:00 a mezzanotte in Cortile Federico II.Visto il grande interesse riscosso in questi due anni, il giovedì pomeriggio sarà ancora dedicato all'appuntamento con il nostro festival-nel-festival “Alter: le stanze della traduzione”. Un serie di incontri con traduttori e traduttrici da lingue diverse, che ha registrato il tutto esaurito e che quest'anno si svolgerà nel Cortile di Palazzo Roncadelli Manna.Per il segmento del fumetto, come da tradizione, sarà tra gli altri presente proprio l'autore della grafica 2025, Manuele Fior, che accompagnerà gli appassionati all'interno del suo mondo onirico e intrigante.Per la letteratura viene proposto un pezzo da novanta della scena italiana: Edoardo Albinati, scrittore, traduttore e sceneggiatore italiano, vincitore nel 2016 del Premio Strega con “La scuola cattolica” e di altri prestigiosi premi. Ha lavorato presso l'Alto commissariato ONU per i rifugiati in Afghanistan e nel 2004 ha partecipato a una missione dell'UNHCR in Ciad, pubblicando reportage sul Corriere della Sera, The Washington Post e La Repubblica. Al PAF presenterà la sua nuova opera “I figli dell'istante” (Rizzoli, 2025).Per la musica, sarà in scena presso Cortile Federico II, rinnovato e restaurato, Gianni Maroccolo con lo spettacolo/concerto “Il sonatore di basso”, ispirato alla sua lunga carriera di musicista e produttore delle migliori rock band italiche degli anni '80, '90 e '00 (Litfiba, CSI, PGR, Marlene Kuntz, Beau Geste e molte altre). Gianni Maroccolo sarà accompagnato sul palco da Andrea Chimenti (già cantante dei Moda), da Mur Rouge (chitarra e basso) e da Andrea Salvi (voce narrante).L'assessore al Turismo, Luca Burgazzi, dichiara: “Il PAF è diventato nel tempo uno dei momenti più significativi e attesi della vita culturale cremonese. Il tema di quest'anno, Gener-Azioni, ci invita a riflettere su ciò che unisce, piuttosto che su ciò che divide, a riscoprire la forza della creatività come strumento per costruire ponti e immaginare insieme un futuro più giusto e aperto”.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Il governo impugna la legge del Trentino sul terzo mandato, nonostante la contrarietà della Lega. Ne parliamo con Emilia Patta, commentatrice politica de Il Sole 24 Ore.La sindaca di Merano Zeller si toglie la fascia tricolore poi si difende: “La porterò con rispetto”. Ci racconta cosa è successo Carmelo Salvo, cronista del Corriere dell’Alto Adige.Il presidente americano Donald Trump ha avuto oggi una conversazione di due ore con Vladimir Putin, ma quali saranno le conseguenze? Con noi per parlarne Alessandro Marrone, responsabile del programma Difesa, sicurezza e spazio dell’Istituto Affari Internazionali e Marco Valsania, corrispondente de Il Sole 24 Ore da New York. Intimidazioni al Foggia Calcio, arresti e daspo. Sentiamo Luca Guerra, giornalista de La Repubblica e Telesveva.
IT'S LE MONDE'S WORLD AND WE'RE JUST LIVING IN IT—Name a major newspaper—anywhere in the world—and you will find a magazine. Or two. Or three. The New York Times is the obvious example of this. The Times of London is another obvious example. And now more and more legacy newspapers from around the world are publishing their magazines in English.La Repubblica in Italy publishes D. And now France's venerable Le Monde is out with M International, a glossy biannual that distills their weekly M magazine for an English-speaking audience.Long called “the newspaper of reference” in France, Le Monde occupies an oversized space in the French media. When the Olympics returned to Paris, Le Monde decided to create an english version of their newspaper for the web. Then they decided to create the magazine—in English—something that not just added an extra piece of land to their media ecosystem, but one that pleased their advertisers as well. We spoke to Louis Dreyfus, the CEO of Le Monde about the business case for English, how the magazines attract new readers to the newspaper, the power of print, and how AI is one of the reasons Le Monde can create in english in the first place.—This episode is made possible by our friends at Freeport Press. A production of Magazeum LLC ©2021–2025
Sondaggio in una scuola di Bassano: “Chi meritava di morire tra Tramontano, Anastasi e Cecchettin?”. Con noi per parlarne Giuseppe Lavenia, psicologo e psicoterapeuta, presidente Di.Te. (Associazione Nazionale Dipendenze Tecnologiche Gap e Cyberbullismo). Proseguiamo parlando di tutte le novità sul delitto di Garlasco. Ci colleghiamo con Massimo Pisa, giornalista de La Repubblica. Alla fine a Istanbul si è tenuto il vertice fra Ucraina e Russia. Discutiamo dei risultati insieme a Riccardo Alcaro, coordinatore delle ricerche e responsabile del programma "Attori globali" dell'Istituto Affari Internazionali.E come ogni venerdì diamo spazio ai reportage della redazione di Radio 24. Questa settimana “Euroreportage-EuroMusic: Fan d'Europa, in musica”. Di Marta Cagnola. Il meteo del fine settimana, con Mattia Gussoni, de IlMeteo.it.
Continuăm cu reacțiile din presa internațională în urma primului tur al alegerilor prezidențiale din România. Jurnaliștii îl potretizează în diferite moduri pe câștigătorul primei runde, George Simion. Potrivit revistei franceze Le Point, observatorii spun că victoria lui George Simion în turul doi ar putea izola țara, ar putea limita investițiile private și ar putea destabiliza flancul estic al NATO, unde Ucraina se află în război cu Rusia.Frankfurter Allgemeine Zeitung vorbește despre ”Efectul Georgescu: Mulți români au perceput anularea primei tentative de alegeri prezidențiale ca fiind un act de aroganță. Candidatul de dreapta, acum principal, George Simion, a putut profita de acest lucru”.Istoria se repetă, spune La Repubblica, ziar italian citat de Eurotopics:„Simion dovedește că modelul suveranist este foarte popular în multe țări din fostul Bloc Estic. Scenariul este foarte similar în Ungaria, Slovacia, Polonia și acum România: victimizare și nostalgie pentru vremurile bune de altădată, ostilitate față de elite, euroscepticism, antimigrație, naționalism grosolan și aversiunea față de Ucraina. ... Simion a subliniat că «singura sa misiune este restabilirea ordinii constituționale și a democrației».””Huligan, fan Trump și vedetă pe rețelele de socializare: Cine este George Simion, liderul extremei drepte din România?”. Sub acest titlu, Libération îi face portretul lui George Simion.”Tânăr și carismatic, președintele partidului naționalist și eurosceptic AUR tocmai a câștigat primul tur al alegerilor prezidențiale din România la o diferență semnificativă”.Ziarul invocă gigantica nuntă în aer liber ”organizată după modelul liderului fasciștilor români în 1925”.De asemenea, Simion ”a combinat populismul cu promovarea tradițiilor - toată mâncarea servită era garantată a fi de origine românească plus stăpânirea rețelelor sociale. Nunta a fost transmisă în direct pe pagina de Facebook a partidului. De asemenea, au fost participanții: un amestec vast de preoți ortodocși, mici antreprenori locali, polițiști pensionari și tineri care îl văd pe George Simion drept purtător de cuvânt al generației lor.În acea zi însorită, politicianul a fost aplaudat cu strigăte de „George, Președinte!”. Perspectiva părea improbabilă la vremea respectivă. Dar Simion este acum în măsură să devină următorul șef de stat al României”.Iar Le Monde notează că ”domnul Simion are o relație ambiguă cu domnul Georgescu și nu împărtășește retorica sa radicală anti-UE și anti-NATO.Cu toate acestea, duminică, a mers să voteze cu el. Apoi, a reiterat că, dacă va fi ales, intenționează să „respecte voința poporului, aceea de a-l avea pe Georgescu [la putere]”.A adus în discuție, în special, ideea organizării unui „referendum”, a convocării unor „alegeri parlamentare anticipate” sau a „formării unei coaliții astfel încât [dl. Georgescu să poată] deveni prim-ministru”.Aceste promisiuni rămân discutabile, deoarece dl. Simion nu este cunoscut pentru înclinația sa spre împărțirea puterii”.
La Repubblica di Firenze e la dinastia dei Medici segnarono il Rinascimento con Cosimo e Lorenzo. Scopri la loro ascesa e il declino della dinastia.
Emilio Radice"Oltre il confine della paura"Viaggio in moto nell'Afghanistan dei TalebaniNeos Edizioniwww.neosedizioni.it “In Afghanistan con la motocicletta. Era un sogno che avevo da quando ero ragazzo e ho capito che avrei potuto realizzarlo soltanto il 15 agosto del 2021, quando i talebani occuparono Kabul e gli americani furono costretti a una fuga convulsa”. Emilio Radice, giornalista, viaggiatore e motociclista di lungo corso, nell'aprile del 2023 decide di provare a entrare nel Paese in sella alla sua Aprilia Tuareg 660. Attraversa l'Anatolia, il Kurdistan iraniano, il Belucistan persiano, fino a Mashhad, alle porte con l'Afghanistan. Da qui, non senza difficoltà, ottiene il visto per accedere nel Paese dei talebani. In sella alla moto segue quello che resta della statale A1, l'unica strada afghana che permette oggi di attraversare un Paese reduce da quarant'anni di guerre e conflitti interni. Scoprendo, tappa dopo tappa, la storia e le bellezze millenarie di questa terra, crocevia tra cultura occidentale e orientale. Herat, con il suo castello e i minareti del Mosallah, quindi Kandahar, Bamiyan, Kabul, l'Hindukush.Nei piccoli villaggi Emilio Radice trova la povertà estrema, la discriminazione, il fondamentalismo, la diffidenza dei talebani, ma superati i primi ostacoli scopre una popolazione accogliente, mossa da una profonda dignità, un popolo orgoglioso e determinato a mostrare di sé una veste inedita.Il volume è corredato da un ampio album fotografico accessibile tramite Qrcode. Emilio Radice, romano, settantacinque anni, è stato giornalista a “Paese Sera” e poi a “La Repubblica”, attivo in specie sul sociale (manicomi, carceri, lotta alla droga). È autore di due programmi radiofonici Rai, Altrimenti insieme e Il triangolo d'oro, e ha pubblicato Rose al veleno (stalking) e Cocaparty per Bompiani. Come reporter per l'inserto “Viaggi di Repubblica” ha visitato molti Paesi del mondo, ma la sua passione sono i lunghi e solitari viaggi in motocicletta scegliendo il Medio Oriente e il Centro Asia come luoghi di predilezione. Senza tour operator e prenotazioni, fedele al principio che un buon viaggio si costruisce giorno per giorno, è stato fra l'altro nel Kurdistan iracheno, in Siria, Georgia, Armenia, Russia, Kazakhistan, Kirghizistan, Tagikistan, Uzbekistan, Azerbaijan, più volte in Iran e, in ultimo, in un Afghanistan appena uscito dalla guerra e dominato dai talebani. IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Giovanni De Luna"Un domenica d'aprile"Piazzale Loreto 1945: una fine, un inizioMondadori Editorewww.mondadori.itTutti i cittadini italiani sanno cosa è accaduto a piazzale Loreto, a Milano, nell'aprile del 1945: l'esposizione del cadavere di Mussolini appeso a testa in giù resta come simbolo della fine di un regime e di una guerra, entrambi catastrofici per l'Italia. Ma quel momento e quel luogo non sono solo un simbolo, o un episodio risaputo, e a ottant'anni esatti di distanza Giovanni De Luna riesce a darcene dimostrazione, con una ricostruzione ravvicinata che è insieme un'interpretazione originale. Una ricostruzione ravvicinata, perché il fuoco si stringe sulla città di Milano, il luogo dove era stato fondato il primo Fascio di combattimento nel 1919, dove erano stati fucilati e insepolti i quindici martiri partigiani dell'agosto 1944, dove Mussolini fece il suo ultimo bagno di folla ancora nel dicembre di quell'anno. E perché quella giornata, una domenica d'aprile di festa e di orrore, viene raccontata ora per ora attraverso una miriade di testimonianze "dal basso": diari, fotografie, lettere, ricordi di gente comune. E insieme un'interpretazione originale, perché a piazzale Loreto accadono avvenimenti che esigono di essere compresi, se non giudicati. La folla che fa scempio del cadavere del Duce è la stessa che lo applaudiva al Teatro alla Scala solo qualche mese prima? Come è possibile che si festeggi la fine di un regime violento abbandonandosi alla violenza? Cosa lascia in eredità quel giorno alla rinata Italia? «Pochi giorni dopo, della folla di piazzale Loreto non restavano tracce evidenti se non nella memoria di chi c'era stato. Si respirava ormai un'altra aria. Ancora qualche anno e, come in un gigantesco processo di rimozione collettiva, il ricordo di quella domenica di aprile sembrava già come si fosse inabissato.» Ma rimuovere il passato non è mai senza conseguenze e guardare in faccia la folla di piazzale Loreto resta fondamentale anche nell'Italia di oggi.Giovanni De Luna è stato ordinario di Storia contemporanea all'Università di Torino e ha pubblicato, tra i suoi libri più recenti, La passione e la ragione. Il mestiere dello storico contemporaneo (Bruno Mondadori), La Resistenza perfetta (Feltrinelli 2015). La Repubblica inquieta (Feltrinelli 2017). Con Aldo Agosti, Juventus, storia di una passione italiana, Utet, 2019. Editorialista de La stampa, è autore di fortunate trasmissioni radiofoniche e televisive. È tra i volti di Rai storia ed è membro del Comitato scientifico della Fondazione Feltrinelli.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Hablamos con Marco Politi, escritor, editorialista y vaticanista de La Repubblica, que nos habla de cómo era el papa Francisco, por qué decidió seguir apareciendo en actos públicos pese a su frágil estado de salud y qué se espera ahora para suceder al Pontífice.
Gäste: Stormy-Annika Mildner, Aspen-Institut Deutschland, Maxim Kireev, Russland-Experte und ehem. Russland-Korrespondent, ZEIT ONLINE, Daniel Goffart, Brüssel-Korrespondent, WirtschaftsWoche, und Tonia Mastrobuoni, Berlin-Korrespondentin, La Repubblica, Italien Von Anke Plättner.
In apertura di trasmissione ci colleghiamo con Gianmario Bonzi di Eurosport per un aggiornamento sull'incidente occorso questa mattina a Federica Brignone nella seconda manche del gigante femminile dei Campionati Italiani, all'Alpe Lusia (Tn). Le notizie per la sciatrice non sono buone: frattura scomposta del piatto tibiale e della testa del perone della gamba sinistra.Voltiamo pagina sulla Coppa Italia con Franco Ordine del Giornale: un gol a testa e chi andrà in finale tra Milan e Inter si deciderà nel derby di ritorno del 23 aprile. Ci occupiamo anche della bufera che sta attraversando il mondo della ginnastica ritmica italiana insieme a Matteo Pinci che oggi ne scrive su La Repubblica, con degli aggiornamenti importanti. In questa puntata di Endurance Race con Roberto Lacorte di Cetilar Racing e Gionata Ferroni, parliamo dell'operazione nostalgia con cui la F1 sta riflettendo su un possibile ritorno al motore V10.
Il riarmo europeo in chiave anti-Putin, e in sostituzione degli armamenti Usa, tra volenterosi e contrari. Ne parliamo con Andrew Spannaus in studio insieme a Giampaolo Di Paola, ammiraglio ed ex ministro della Difesa.Ostia, i roghi negli stabilimenti e la battaglia sulle concessioni demaniali. Cerchiamo di capirne le cause con Federica Angeli, cronista de La Repubblica.Sindaco vieta e multa il calcio in strada. Ospitiamo il diretto protagonista, Silvio Parise, sindaco di Montecchio Maggiore (Vicenza).
Raffaella Baritono"Furore. Gli Stati Uniti verso la guerra civile"Biennale Democraziawww.biennaledemocrazia.itDomenica 30 marzo, ore 11:00Teatro Carignano, TorinoFurore. Gli Stati Uniti verso la guerra civileRaffaella Baritono, Mattia Diletti, introduce Oliviero Bergamini.UniVerso per Biennale Democrazia.Negli Stati Uniti è in corso una «guerra civile fredda»? Alcuni dati lo suggeriscono. Il tasso di fiducia nel governo è al 22% (era il 77% negli anni Sessanta), e la polarizzazione cresce a ritmi vertiginosi: in soli otto anni (2016-2024) la quota di repubblicani che considera i democratici «immorali» è cresciuta dal 47 al 72%, quella inversa dal 35 al 63%. Ricondurre tutto a Trump, comunque, sarebbe miope: il processo di frammentazione sociale è in corso da oltre mezzo secolo, con lo scandalo Watergate e la crisi del manifatturiero. Il risultato, oggi, è un'America spaccata lungo confini profondi – economici, politici, culturali. Un fenomeno sempre più difficilmente reversibile.Raffaella Baritono è professoressa ordinaria di Storia e politica degli Stati Uniti presso il Dipartimento di Scienze politiche e sociali dell'Università di Bologna. E' attualmente direttrice del Centro Studi dipartimentale sugli Stati Uniti (LAB-USA), è stata direttrice del CISPEA (Centro Interuniversitario di Storia e Politica Euro-Americana), nonché presidente della SIS (Società Italiana delle Storiche) e vicepresidente dell'AISNA (Associazione Italiana di Studi Nord Americani). Ha fatto parte anche del Comitato direttivo della SISI (Società Italiana di Storia Internazionale). È stata co-direttrice ed attualmente fa parte del Comitato direttivo della rivista “Ricerche di Storia Politica” e di “Scienza&Politica” e ha fatto parte, per due mandate, del Comitato direttivo della rivista “Il Mulino”. È attualmente membro del Comitato direttivo dell'Associazione Il Mulino e fa parte del Comitato editoriale della casa editrice Il Mulino e del Comitato scientifico della Fondazione Gramsci-Emilia Romagna. È anche socia dell'Accademia delle Scienze dell'Università di Bologna. Ha svolto periodi di ricerca all'estero (University of Wisconsin-Madison, University of Southern Illinois, Indiana University, Columbia University, University of Oxford, SciencePo-Lyon).I suoi interessi di ricerca riguardano la storia politica e politico-intellettuale statunitense, nonché della storia politica dei femminismi americani. Fra le sue pubblicazioni più recenti: Eleanor Roosevelt. Una biografia politica, Bologna, Il Mulino, 2021, «A bad edition of a Polish king»: i presidenti americani e le trasformazioni del sistema politico contemporaneo, in Giovanni Orsina e Maurizio Ridolfi , a cura di, La Repubblica del presidente. Istituzioni, pedagogia civile e cittadini nelle trasformazioni delle democrazie, Roma, Viella, 2022, pp. 325-342; Angela Davis, Roma, Carocci, 2024.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Welcome in for another edition of the Morning Espresso from the SDH Network, brought to you by Oglethorpe University, Atlanta's premier undergraduate learning experience and soccer powerhouse.Lionel Messi braved the negative wind chills in Kansas City to lead his Inter Miami side to a 1-0 win in their Concacaf Champions Cup opener. Javier Mascherano with his first competitive win in charge of the club, he said the conditions were "not human".Cincinnati and Seattle went to Central America to get wins in their competitive debuts for 2025, Kevin Denkey and Evander scored for Cincinnati in a 4-1 win over Motagua while Paul Arriola scored for Seattle in Guatemala in a 3-1 win over Antigua. RSL drew 0-0 in Costa Rica against Herediano.According to Axios, DC United wants to add up to 10K seats to Audi Field and have a partially retractable roof. Early stages, but it has been discussed for about a year.Serie A had a disastrous Champions League campaign this year with Milan, Atalanta, and now Juventus all eliminated at the knockout stage. Juventus were the latest ones to go, losing yesterday in the Netherlands to PSV.Milan have more issues as La Repubblica reports this morning that Christian Pulisic wants out if the club keeps manager Sergio Conceiçao for next season.USMNT striker Alex Zendejas has contributed to goals in 6 straight games for Club America as Las Aguilas drew 1-1 with Club Leon, thanks to a goal from Colombian star James Rodriguez.The US U16's are training in Florida, Atlanta United academy goalkeeper James Donaldson is part of the group.Luis Rubiales, the former head of the Spanish FA, was charged and found guilty of kissing Jenni Hermoso without consent, he'll have to pay €10,000 but he avoided jail time as he was acquitted of coercion.More Espresso on Friday on the SDH Network, presented by Oglethorpe University.
durée : 01:28:23 - Lilya Zilberstein, la grande tradition russe du piano - par : Aurélie Moreau - La percée internationale de Lilya Zilberstein a eu lieu lors de sa victoire au Concours Busoni de 1987. Pour Martha Argerich : « Lilya est une pianiste accomplie, avec un jeu tout à fait naturel, tout simplement de classe mondiale ! » (La Repubblica).
È polemica sul possibile accordo fra il governo italiano e Space X per l’affidamento dei servizi di connettività dell’amministrazione pubblica italiana. Dalle opposizioni si chiede che la Premier Giorgia Meloni riferisca in Parlamento. Ne parliamo con Barbara Fiammeri, commentatrice politica de Il Sole 24 Ore.A Genova, due sorelle si gettano dal quarto piano. Ci spiega cosa è successo Marco Lignana, giornalista de La Repubblica.Il Tribunale di Padova elimina il requisito dei 5 anni di residenza per l’accesso alle case popolari in tutto il Veneto. Con noi Simone Venturini, assessore comunale alla Casa.Infine, con Marco Di Liddo, Direttore del Centro Studi Internazionali, commentiamo le ultime dichiarazioni del presidente eletto Donald Trump, che non esclude l’utilizzo della forza per Panama e Groenlandia.
Silvia Boccardi e Francesco Rocchetti parlano con Sanam Vakil, direttrice del programma Medio Oriente e Nord Africa a Chatham House e professoressa alla Johns Hopkins University, di cosa sta succedendo a livello internazionale e internamente in Iran.
Mamma Mia! A major hacking scandal in Italy has expanded to include alleged involvement from Israel and the Vatican, and just why are companies advertising jobs that don't exist?All this and more is discussed in the latest edition of the "Smashing Security" podcast by cybersecurity veterans Graham Cluley and Carole Theriault.Warning: This podcast may contain nuts, adult themes, and rude language.Episode links:Massive hack-for-hire scandal rocks Italian political elites - Politico.Dossieraggi, i contatti con il Mossad e i dati passati al Vaticano. “Aiutiamo la Chiesa contro la Russia o no?” - La Repubblica.That position you just applied for might be a 'ghost job' that'll never be filled - The Register.Ghost jobs: why do 40% of companies advertise positions that don't exist? - The Guardian.Job boards are still rife with 'ghost jobs'. What's the point? - BBC.How To Spot Ghost Jobs And Make Your Job Search More Efficient - Forbes.What Are Ghost Jobs and How Can You Avoid Them? - Tech.coThat job you applied for might not exist. Here's what's behind a boom in "ghost jobs." - CBS News.The Coming Storm - BBC Radio 4.Things fell apart - BBC Sounds.Smashing Security merchandise (t-shirts, mugs, stickers and stuff)Sponsored by:1Password Extended Access Management – Secure every sign-in for every app on every device.Vanta – Expand the scope of your security program with market-leading compliance automation… while saving time and money. Smashing Security listeners get $1000 off!Flashpoint - Access the industry's best threat data and intelligence.SUPPORT THE SHOW:Tell your friends and colleagues about “Smashing Security”, and leave us a review on Apple Podcasts or Podchaser.Become a supporter via Patreon or
Костянтин Федоренко, науковий співробітник Центру східноєвропейських та міжнародних досліджень на Radio NV про те, що Олаф Шольц нібито має “мирний план” щодо України, як пише італійське видання La Repubblica, чому це може бути інформаційним вкидом, реакцію на це української сторони, що на публікацію відповіли у Кремлі, про удари по тилу РФ далекобійною зброєю. Ведуча – Юлія Петрова