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Non sempre, anzi quasi sempre, una buona prestazione al Bernabeu non basta. Bisogna buttarla dentro perché, se non lo fai tu, qualcuno di loro si accende e lo fa. È successo con Vinicius e Bellingham che hanno firmato l'1-0 di Real Madrid-Juventus. Stesso discorso ma con un gol e tanti fenomeni in meno per l'Atalanta che ha sprecato tante occasioni e si accontenta di uno 0-0 con lo Slavia Praga. Il commento è di Maurizio Crosetti de La Repubblica. Inizia l'NBA e ovviamente voliamo da Simone Sandri che ha assistito alla consueta consegna degli anelli ai campioni della scorsa stagione, gli Oklahoma City Thunder.Nel weekend del gran premio del Messico ci sarà una novità: Antonio Fuoco, vecchia conoscenza di Endurance Race, si prepara a prendere il posto di Hamilton sulla sua Ferrari nelle FP1. Ne parliamo con Roberto Lacorte di Cetilar Racing e Gionata Ferroni.
Le prime pagine dei principali quotidiani nazionali commentate in rassegna stampa da Davide Giacalone. Il vertice tra Putin e Trump che è saltato, la manovra e le tensioni, Nicolas Sarkozy che è entrato in carcere. Viaggi. Qualche suggerimento per le mete nel periodo autunnale... e magari ci proiettiamo anche sul periodo natalizio. È tornata a trovarci Simona Tedesco, direttrice di Dove. Ieri l'ex presidente francese Nicolas Sarkozy è entrato in carcere per il caso dei presunti finanziamenti della Libia di Gheddafi. Ci siamo collegati con Parigi, con Veronica Gennari, corrispondente di Sky tg 24 dalla Francia. Don Antonio Mazzi, fondatore della comunità Exodus, regala ogni giorno un pensiero, un suggerimento, una frase agli ascoltatori di RTL 102.5. Davide Giacalone, in libreria con "Futuribile. Domani sarà sempre migliore di ieri" (Edito da Rubbettino). Il punto sulle nostre squadre italiane in Champions con i nostri inviati. L'attualità, commentata dall'editorialista del giornale La Repubblica, Maurizio Molinari. All'interno di Non Stop News, con Giusi Legrenzi, Enrico Galletti e Massimo Lo Nigro.
‘To isolate Israel or to punish Israel will be the most irresponsible and unacceptable step to boycott Israel, for example. I think it's a huge mistake, because what we need is a dialogue.'Tim Franks speaks to Israeli author David Grossman about the Israel-Hamas war in Gaza as concerns grow over the increasingly fragile ceasefire. Grossman is one of Israel's most prominent writers, and since publishing his first novel over forty years ago, his works have been translated into 36 languages. He's won numerous literary awards over the years, including the Man Booker International Prize in 2017. Many of his works deal with the issues associated with Israel and Palestine.The 71-year-old is also well-known as a peace activist, and has been a vocal, long-standing critic of the Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu - expressing concern over the direction the country is being led in.In an interview with the Italian newspaper La Repubblica in August, Grossman described Israel's actions in Gaza as ‘genocide', lamenting that he had been forced to reach that conclusion by the ongoing military campaign that began following the events of October 7.Thank you to the Newshour team for their help in making this programme. The Interview brings you conversations with people shaping our world, from all over the world. The best interviews from the BBC. You can listen on the BBC World Service, Mondays and Wednesdays at 0700 GMT. Or you can listen to The Interview as a podcast, out twice a week on BBC Sounds or wherever you get your podcasts.Presenter: Tim Franks Producers: Ben Cooper and Jack Hunter Editor: Justine LangGet in touch with us on email TheInterview@bbc.co.uk and use the hashtag #TheInterviewBBC on social media.(Image: David Grossman. Credit Franco Origlia/Getty Images)
L'UNICEF tire la sonnette d'alarme sur une crise humanitaire qui ne cesse de s'aggraver, avec des milliers d'enfants déplacés, privés d'école et exposés aux violences des gangs. Retour sur une situation dramatique qui appelle une mobilisation urgente. En Haïti, les jours se suivent et se ressemblent : la mainmise des gangs s'accentue Ce mardi (14 octobre 2025), Médecins sans frontières annonce la fermeture définitive de l'un de ses centres d'urgence. Ce centre, situé en plein cœur de Port-au-Prince, était à l'arrêt depuis plusieurs mois, après une attaque contre un convoi de l'organisation humanitaire. Mais cette fois, le couperet tombe : il ne rouvrira pas. Malgré cela, MSF assure qu'elle poursuit ses actions sur le terrain, auprès des populations les plus vulnérables, et parmi elles : les enfants. Beaucoup ont fui avec leur famille, trouvant refuge dans des abris de fortune, totalement inadaptés à la vie quotidienne. Certains sont privés d'école, d'autres directement ciblés par les violences. Geeta Narayan représente Unicef en Haïti et elle se désole de voir la situation s'aggraver encore. Surtout, les déplacements de population accentuent les autres crises : ainsi, plus de 33% des sites ne disposent pas d'infrastructures de protection de base, ce qui expose les enfants et les femmes à un risque accru de violence, d'exploitation et d'abus. Les écoles servent souvent de refuges, ce qui perturbe l'éducation de près d'un demi-million d'élèves. Plus de 3,3 millions d'enfants ont besoin d'une aide humanitaire ; tandis que plus d'un million d'entre eux se trouvent dans une situation d'insécurité alimentaire critique. Selon les projections, environ 288 544 enfants de moins de cinq ans souffriront de malnutrition aiguë cette année. Les gangs armés contrôlent plus de 85% du territoire de Port-au-Prince et des routes principales, privant les familles d'accès à la nourriture, aux soins de santé et aux services de protection, tandis que les acteurs humanitaires s'exposent à de graves dangers pour venir en aide aux plus démunis. «Les enfants d'Haïti ne peuvent pas attendre. Comme tous les enfants, ils méritent de vivre en sécurité, en bonne santé et en paix. Il nous revient d'agir dès maintenant pour ces enfants.» Donald Trump recevait hier Javier Milei à la Maison Blanche La rencontre était faite pour sceller la bonne entente entre Washington et Buenos Aires, et le soutien financier américain à l'économie. Toute la presse en parle, mais cette rencontre est surtout critiquée dans les journaux argentins. Pour la Nacion, quotidien plutôt conservateur en Argentine, Donald Trump est intervenu dans la politique intérieure argentine «sans demander la permission», notamment en exhortant Javier Milei à remporter les prochaines élections législatives dans dix jours. «Trump, un président comme on en a jamais vu», titre le journal qui rappelle dans le même temps ce contexte : le président argentin est le seul dirigeant latino-américain issu d'un pays d'envergure «à être idéologiquement proche du locataire de la Maison Blanche». Pour l'auteur, cette rencontre était un spectacle extravaguant : «le président argentin s'est montré à la fois théoricien de l'économie, homme politique en campagne électorale et chanteur désaccordé», comme si Milei ne semblait pas percevoir la réalité qui l'entoure. En d'autres termes, la crise économique et financière. Pagina 12, un quotidien plus à gauche, poursuit cette idée et décrit Milei «désireux de plaire avant de lever le pouce». Signe du désintérêt américain, estime le quotidien, lors de la conférence de presse «le discours de l'Argentin n'a même pas été traduit en anglais» et l'annonce publique concernant l'Argentine s'est limitée aux résultats des élections. «La promesse d'aide s'est surtout transformée en menace, et la contribution américaine à la stabilité financière est devenue une extorsion pure et simple», résume un éditorialiste économique dans le même journal. Aux États-Unis, des milliers de messages privés échangés par des responsables du parti républicain : des plaisanteries choquantes sur les chambres à gaz, l'esclavage ou encore le viol Des échanges pendant 7 mois révélés en exclusivité par le site Politico après la fuite d'un fichier Telegram de 2 900 pages entre des jeunes dirigeants républicains de New York, du Kansas, de l'Arizona et du Vermont. Les propos sont choquants : «Ils qualifiaient les Noirs de singes et envisageaient de mettre leurs adversaires politiques dans des chambres à gaz», écrivent les journalistes. Depuis le début de l'enquête, apprend-on dans un autre article de Politico, un membre du groupe de discussion a perdu son travail, un autre a vu son offre d'emploi annulée. Mais c'est surtout, rapporte le site d'information, «un aperçu sans filtre de la façon dont une nouvelle génération de militants républicains s'exprime lorsqu'elle pense que personne ne l'écoute». Au fond, analysent les journalistes, «c'est aussi l'assouplissement des normes politiques sous l'ère Trump qui a rendu ce genre de discours moins tabou chez ceux qui s'identifient comme les futurs dirigeants du parti républicain». Au Pérou, la Génération Z dans la rue face au pouvoir politique Ce sont les personnes nées entre 1995 et 2010, une génération souvent décrite comme plus engagée socialement et prête à basculer les pouvoirs en place. Au Pérou, ces jeunes - qui représentent un électeur sur 4 - appellent à une grève nationale et à une mobilisation ce jour avec plusieurs organisations de la société civile. Le site de la radio péruvienne, RPP, revient sur leurs réclamations : «si à l'origine, ils réclamaient l'abrogation de la loi de modernisation du système de retraite, les groupes de la Génération Z réaffirment leur appel à des élections, ils veulent le départ de José Jeri - le nouveau président - et demandent l'arrivée au pouvoir d'un député qui ne fait pas partie des factions qui soutenaient la présidence précédente». Le quotidien La Repubblica rapporte de son côté les mots acerbes du nouveau Premier ministre quant à la mobilisation sociale : «une tentative subversive visant à mettre fin à la démocratie». Ce n'est pas tout : il qualifie la Génération Z au Pérou de «bande héritière du MRTA», un groupe armé maoïste responsable d'actions violentes dans les années 80-90. En Amérique centrale, des pluies torrentielles sur plusieurs pays et des bilans qui s'alourdissent Au Mexique, au moins 64 personnes ont perdu la vie. 65 autres sont toujours portées disparues. Des quartiers entiers sont menacés d'effondrement, et l'aide humanitaire peine à parvenir, certaines zones étant pratiquement isolées. Sur le terrain, des soldats creusent à la pelle pour tenter de rouvrir des routes. Les intempéries ont également frappé le Salvador, le Guatemala, et surtout le Honduras, placé en alerte rouge depuis dimanche (12 octobre 2025). Par mesure de sécurité, écoles et universités ont fermé leurs portes. Et aujourd'hui, plus de 12 000 personnes se retrouvent sans abri, après la destruction de leur logement. Les bidonvilles, déjà fragiles, comptent parmi les zones les plus durement touchées. «C'est un désastre total. On ramasse ce qu'on peut pour voir si on peut ensuite reconstruire dans un autre endroit Ici plus rien n'est possible, parce que le sol va continuer à s'effondrer et on ne sait pas jusqu'où», témoigne Adolfo, debout dans sa maison détruite, tentant de récupérer un ventilateur cassé et une paire de pantoufles. Après la catastrophe, il faut désormais trouver un nouveau logement : un défi pour ces familles pauvres. «Le loyer est cher ici, ça coûte 130 euros, c'est beaucoup et il faut beaucoup travailler pour pouvoir payer ça», poursuit-il. Brésil : alerte au méthanol dans l'alcool fort, plusieurs décès signalés Depuis quelques jours, les autorités brésiliennes recommandent de ne plus consommer d'alcools forts, suite à une série de cas d'intoxication au méthanol. Ce produit chimique industriel, hautement toxique même à faible dose, a été retrouvé dans plusieurs boissons alcoolisées, mélangé à d'autres types d'alcools. Il pourrait s'agir de falsifications ou de productions illégales. Le bilan est déjà lourd : au moins cinq personnes sont décédées, et des dizaines d'autres ont été hospitalisées après avoir consommé ces produits contaminés. L'affaire suscite une vive inquiétude dans le pays, alors que les enquêtes se poursuivent pour identifier les circuits de distribution et retirer les lots suspects du marché.
« La fin d'un cauchemar, pas le début de la paix » : en une seule phrase, Le Soir à Bruxelles résume un sentiment largement partagé par les journaux mardi matin. « Lundi fut un jour historique au Moyen-Orient, s'exclame le Washington Post : le Hamas a libéré ses 20 otages israéliens vivants, quelques jours seulement après l'arrêt de l'offensive israélienne dans la bande de Gaza. En négociant cet accord, Donald Trump a mérité l'accueil enthousiaste qu'il a reçu au Parlement israélien. (…) « Mais, s'interroge le quotidien américain, s'agit-il vraiment de "l'aube historique d'un nouveau Moyen-Orient", comme l'a déclaré Trump à la Knesset, avec “une Terre sainte enfin en paix“ ? Ou bien s'agit-il simplement d'un nouveau cessez-le-feu dans le conflit judéo-arabe qui dure depuis plus de 100 ans ? Malheureusement, soupire le Post, tout porte à croire que cette paix n'a rien de définitif. Transformer ce cessez-le-feu en une paix durable nécessitera des sacrifices auxquels ni le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu ni le chef du Hamas Khalil Al-Hayya ne semblent vouloir consentir. » « Incertitude, pressions, calculs politiques et jeux de pouvoir » « Le soulagement est réel, renchérit le Guardian à Londres, mais la promesse de Trump d'un “âge d'or“ sonne creux. La libération des otages et des prisonniers réjouit les familles. Mais rien ne garantit que le cessez-le-feu mettra fin aux souffrances des Palestiniens. » En effet, précise El Pais, « sur le terrain, les prochaines étapes sont incertaines. Il n'existe aucune condition concrète pour le désarmement du Hamas, ni pour le retrait de l'armée israélienne. Aucune directive n'est fixée pour le prétendu gouvernement technocratique. Derrière le slogan “paix au Moyen-Orient“, une période d'incertitude, de pressions, de calculs politiques et de jeux de pouvoir s'ouvre en réalité, rendant toute prédiction très risquée, si ce n'est l'espoir que les armes ne seront plus jamais utilisées. » Netanyahu sur la sellette « La deuxième phase du cessez-le-feu à Gaza reste incertaine », reconnait le Jerusalem Post. (…) Les progrès ne seront pas faciles. » Car « le problème fondamental, c'est Netanyahu, affirme le quotidien israélien, pourtant proche du pouvoir. Netanyahu, même après l'accord, est toujours perçu dans une grande partie du monde arabe comme le destructeur de Gaza. » Le Haaretz à Tel Aviv appelle au départ du Premier ministre : « les otages sont rentrés à la maison malgré Netanyahu, et non grâce à lui. Netanyahu qui a tout fait pour torpiller l'accord. (…) L'écho des huées des familles d'otages devrait le hanter la nuit et le tenir éveillé jusqu'à ce qu'il se retire de la vue du public et permette à la société israélienne de se rétablir. Et tandis que nous célébrons le retour des otages, tout ce qui reste à faire, tonne encore Haaretz, c'est de dire explicitement au Premier ministre : “vous êtes venu, vous avez détruit, maintenant partez“. » Dans une interview au quotidien italien La Repubblica, la chanteuse israélienne Noa enfonce le clou : « le traumatisme demeure et la guérison prendra du temps. Ensuite, nous changerons de direction. La coexistence est notre seule option, affirme-t-elle. Nous devons l'accepter. Pour moi, le Premier ministre Netanyahu reste un criminel. L'idée que les gens puissent lui pardonner me terrifie. » France : journée décisive pour Lecornu À la Une également la situation politique en France, avec une « journée à haut risque pour Sébastien Lecornu », pointe Le Figaro. « Ce mardi, Sébastien Lecornu entre dans le dur. À peine reconduit à Matignon, le Premier ministre doit prouver qu'il peut gouverner sans majorité, défendre un budget contraint et désamorcer les premières offensives parlementaires. » Tout va se jouer cet après-midi à l'Assemblée, après son discours de politique générale, précise Le Figaro : « si la moitié des députés socialistes se joignent aux motions de censure déposées lundi par le Rassemblement national et La France insoumise, alors le gouvernement Lecornu sera renversé, arithmétiquement. » Et la question des retraites sera centrale… En effet, relève Libération, « pour ne pas le censurer, les socialistes attendent qu'il annonce la “suspension intégrale“ de la réforme Borne. (…) Voilà Lecornu prévenu, constate encore le journal. Et si le PS ne le censure pas d'entrée, un chemin de croix, amendement par amendement, l'attend lors de ses longues soirées d'automne à l'Assemblée. »
"Tutto il mio folle amore" di Francesco Carofiglio e "E non scappare mai" di Annalisa CuzzocreaUna storia di ragazzi fra i 17 e 18 anni, ambientata a Bari nel 1943. C'è Alessandro, detto Ale, appassionato di musica jazz. Suona di nascosto in una band con alcuni amici perché durante il Fascismo il jazz era proibito. Sta maturando una sua coscienza politica e civile, aiutato anche da un suo ex professore del liceo. Poi c'è Lallo, il cugino "gemello" perché nato nel suo stesso giorno, stesso anno, però caratterialmente è diverso da lui: non prende parte alle riunioni politiche, odia l'arroganza del Fascismo, però è insofferente verso l'idea di far parte di un gruppo. Accanto a loro, naturalmente, ci sono diversi amici coetanei, ma c'è soprattutto Carolina, italo-irlandese, arrivata a Bari dopo il bombardamento di Roma. Con lei Ale vive la stagione entusiasmante di Radio Bari, che da organo del partito fascista divenne, dopo l'armistizio, la voce della Resistenza. Non c'era solo la diffusione di bollettini militari, come avveniva su Radio Londra,ma proprio un'intera programmazione fatta di parole e di musica all'insegna della libertà. Tutto questo viene raccontato nel romanzo "Tutto il mio folle amore" di Francesco Carofiglio (Garzanti). Nella seconda parte parliamo di "E non scappare mai" di Annalisa Cuzzocrea (Rizzoli). La vita di Miriam Mafai, funzionaria del Partito Comunista, giornalista, fra i fondatori del quotidiano La Repubblica. Non si tratta di una biografia, ma, come si legge nella postafazione, di un romanzo sulla vita di Mafai, arricchito fra l'altro di alcuni particolari ricavati grazie ai diari che sono stati consegnati dalla figlia di Mafai all'autrice. Si narrano la militanza nel Partito Comunista, il giornalismo, gli amori, la storica relazione con Giancarlo Pajetta. Ne emerge il ritratto di una donna che credeva profondamente nell'impegno e nella libertà, insofferente alle rigide regole del partito, all'ortodossia del Partito Comunista, che guardava in quel periodo all'Unione Sovietica, mentre lei ne metteva in evidenza anche le contraddizioni. Miriam Mafai adattava le sue idee al tempo, non era immobile.
durée : 00:39:09 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - "Apocalypse”, “chaos”, “théâtre de l'absurde”, au lendemain de la démission de Sébastien Lecornu, la presse étrangère n'a pas eu de mots assez durs pour qualifier la crise politique française. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Anaïs Ginori Correspondante à Paris de La Repubblica; Martina Meister Correspondante à Paris du quotidien allemand Die Welt.; Richard Werly Éditorialiste France Europe pour le site d'informations Blick.fr
La France embourbée jusqu'aux genoux sinon jusqu'à la taille : pas de Premier ministre, pas de gouvernement, pas de budget et un président de plus en plus isolé… Alors comment sortir de cet enlisement ? La presse française et au-delà passe au crible les différentes hypothèses. « Le compte à rebours s'achève aujourd'hui, constate La Repubblica à Rome . Emmanuel Macron avait donné 48 heures au Premier ministre sortant, Sébastien Lecornu, pour trouver une solution au chaos politique qui paralyse la France. Deux jours pour tenter de former un gouvernement responsable et éviter une nouvelle dissolution du Parlement. Ce matin, Lecornu rencontrera à nouveau les chefs des principaux partis pour une dernière série de consultations, une ultime étape avant le retour aux urnes. Hier, pointe en effet La Repubblica, Macron a reçu à l'Élysée les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, dans un geste institutionnel qui précède traditionnellement la dissolution du Parlement français. » De nouvelles législatives ? Alors s'oriente-t-on vers une dissolution de l'Assemblée nationale ? Peut-être bien, s'il faut en croire Le Canard Enchaîné à Paris qui affirme que « les préfets ont déjà reçu la consigne officieuse de se tenir prêts à organiser les élections législatives les 16 et 23 novembre. Juste après la célébration de l'Armistice », remarque malicieusement l'hebdomadaire satirique. Car pour l'instant, pas de cessez-le-feu… Les tirs fusent de toute part, et notamment en direction du chef de l'Etat. Comme le souligne Libération à Paris, « lâché par Gabriel Attal ( son ancien Premier ministre ), invité à la démission par Edouard Philippe ( également ancien Premier ministre ), bousculé par LR… Emmanuel Macron est un homme seul. » Et « à la réflexion, poursuit Libé, cet isolement remonte chez Emmanuel Macron à ses débuts. Seul, il le fut lors de sa première campagne. Il est indéniable que ce fut une force. Son erreur aura été de penser qu'il pouvait le rester une fois entré à l'Elysée. Il a présidé seul. Il s'est soucié de son parti, donc de ses soutiens, comme de sa dernière chemise. » Porte ouverte au RN ? « Et maintenant ? », s'interroge Die Welt à Berlin. En effet, « à première vue, l'option la plus plausible serait de convoquer de nouvelles élections. Cependant, cela ouvrirait la voie au Rassemblement national pour obtenir une majorité et installer un Premier ministre issue de ses rangs. Macron devrait bien réfléchir, pointe le quotidien allemand, avant de se demander s'il veut vraiment entrer dans l'histoire comme le président qui a fait le lit des héritiers de Jean-Marie Le Pen, le banalisateur d'Auschwitz. » C'est vrai, renchériter le Guardian à Londres, « de nouvelles élections législatives, au vu des sondages, risqueraient de transférer le pouvoir au Parlement au Rassemblement national, ou bien de provoquer un nouveau blocage. Mais la paralysie politique et les luttes intestines actuelles représentent un véritable cadeau pour Marine Le Pen à l'approche de l'élection présidentielle de 2027. » Reste, tempère El Pais à Madrid, que si législatifs il ya, « il n'est même pas certain que le Rassemblement national obtienne la majorité absolue pour gouverner. Face à cette situation, le président du RN, Jordan Bardella, a appelé Les Républicains à unir leurs forces et à gouverner ensemble s'ils n'atteignaient pas les 289 sièges nécessaires. Une formule qui reproduirait le schéma utilisé dans des pays comme l'Italie ou l'Espagne (du moins dans les régions où Vox et le Parti Populaire ont uni leurs forces). » Les Français… premiers responsables ? Enfin, cette interrogation formulée par Le Temps à Genève : « Et si les responsables de la crise étaient les Français eux-mêmes ? (…) Il ya (en effet chez les Français), affirme le quotidien suisse, cette fascination pour l'homme providentiel, le charisme qui donne l'impression d'avoir raison envers et contre tous. Une perception centrale dans l'imaginaire politique français, intimement liée à ce système très présidentiel. Et puis il ya, presque en miroir, l'envie suprême de faire tomber cette figure après l'avoir portée aux nues. C'est ce qui semble motiver le plus les électeurs. (…) Les électeurs qui semblent depuis des années favorisent toujours celui qui n'aura fait aucune concession, celui qui sera resté le plus « pur » dans son idéologie, (…) qui aura promis de renverser le plus de tableaux. (…) La folie totale du débat public est indéniable, conclut Le Temps. Et c'est pour plaire aux électeurs que les politiciens français campent ainsi sur leurs positions, jusqu'à l'absurde, jusqu'à prendre le risque de mener le pays dans le mur. »
De la colère « profonde, justifiée et vive », titre le Manchester Evening News, après l'attentat devant une synagogue lors de la fête juive de Yom Kippour. Deux hommes ont été tués par un Britannique, d'origine syrienne qui a été abattu par la police. La rédaction du journal local fait part de son soutien à la communauté juive, et appelle à ne pas laisser « la colère se transformer en haine ». « C'est, avant tout, une attaque odieuse contre les Juifs, affirme The Independant. C'est aussi une nouvelle épreuve pour la démocratie britannique, traditionnellement tolérante et multiculturelle. De nombreux Juifs en Grande-Bretagne pensaient qu'un jour comme celui-ci finirait par arriver, poursuit le tabloïd. Malheureusement, leurs craintes se sont confirmées, et ils ont raison de s'interroger douloureusement sur la protection que les autorités leur ont accordée ces dernières années ». Certains « ont fait l'éloge du multiculturalisme britannique » mais « difficile de prendre ces personnes au sérieux », attaque le Wall Street Journal, qui insiste : « Un seul groupe religieux en Grande-Bretagne pratique désormais systématiquement ses offices sous la protection d'agents de sécurité ». Dans le New York Times, on retrouve ce nombre cité dans plusieurs articles : 1 521 actes antisémites recensés en Grande-Bretagne au cours des six premiers mois de l'année. Le record date de l'an dernier – les autorités constatent que le phénomène a pris de l'ampleur depuis l'attaque du Hamas contre Israël, le 7 octobre 2023. Cet attentat à Manchester est donc « susceptible d'intensifier, selon le New York Times, le débat en Grande-Bretagne sur la guerre à Gaza ». C'est « la première manifestation, observe d'ailleurs The Times, du conflit à Gaza dans les rues britanniques sous la forme d'assassinats terroristes. Et certains craignent que ce ne soit pas la dernière ». La guerre à Gaza et ses conséquences, aussi, en Italie « Des dizaines de milliers d'Italiens sont sortis de chez eux à Rome, Bologne, Turin, Naples », raconte la correspondante en Italie du journal français La Croix. « On aurait dit le Black Friday », décrit le Corriere della Sera : dans plusieurs villes, « la circulation était paralysée par des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ». Des rassemblements qui se sont formés au moment où les forces israéliennes ont intercepté une flottille internationale au large de la bande de Gaza. En Italie, « des millions d'utilisateurs ont suivi cette intervention depuis leurs smartphones et leurs PC, remarque La Repubblica. Sept millions de commentaires ont été publiés tout au long de la journée. Pour tous, c'était l'occasion de briser le voile derrière lequel les choses se passent à Gaza ». « L'ampleur du mouvement interroge alors que les Italiens sont d'ordinaire peu enclins à manifester », s'étonne la correspondante de La Croix, citant le témoignage d'une informaticienne qui se mobilisait pour la première fois. Cela a « redonné un souffle au militantisme italien, en crise depuis une vingtaine d'années », explique un juriste milanais cité dans le journal français. Taylor Swift trop heureuse ? « Après le désordre, le nettoyage » : c'est de cette façon que le Los Angeles Times résume, non pas toutes les conséquences de la guerre à Gaza, mais le nouvel album de Taylor Swift, qui vient de sortir. The Life of a Showgirl et sa douzaine de « chansons pop découpées avec précision », moins de deux ans après son précédent album bien plus « émotionnellement instable », que le Los Angleles Times semble regretter. « Taylor Swift lâche quelques répliques amusantes sur les chihuahuas et la cocaïne, mais renonce totalement au sens de l'empathie qui a fait d'elle une telle icône. Peut-être est-ce, s'aventure le Los Angeles Times, parce qu'elle a fini par vivre une relation amoureuse épanouissante avec (le footballeur américain) Travis Kelce ». Tout en rappelant toutes les raisons et les records qui font de la chanteuse « une figure emblématique », le Süddeutsche Zeitung, en Allemagne, en arrive peut-être à la même conclusion : « le conte de fées de Cendrillon semble devenu réalité ». « Tous ceux qui se sont reconnus en elle y voient-ils désormais la confirmation de leurs rêves ? Ou est-ce la fin de leur identification, car la star est, malheureusement, heureuse ? »
Que va décider le Hamas ? Toute la presse s'interroge ce matin, à l'instar du Figaro à Paris. « Accepter le plan Trump même sans garantie d'application, quitte à disparaître militairement ? Ou le refuser, quitte à creuser encore son isolement et le drame des Gazaouis ? Le Hamas n'a que de mauvaises options devant lui, constate le journal. Mais, s'interroge-t-il, sous une intense pression de tous les pays qui comptent – y compris de ses alliés qatariens et turcs – la formation intégriste, aujourd'hui disloquée militairement à Gaza, peut-elle dire non ? » Finalement, pointe le Times à Londres, « le Hamas doit choisir entre combattre ou capituler. Ou bien faire semblant de capituler, se fondant dans l'ombre en attendant des jours meilleurs ». D'ailleurs « qui mène la danse au sein du mouvement islamiste ? », s'interroge le quotidien britannique. « Les dirigeants politiques confortablement installés dans le Golfe ou les irréductibles qui contrôlent les otages dans le dédale de tunnels sous la bande de Gaza ? Les fanatiques qui résistent depuis près de deux ans capituleront-ils simplement pour sauver leur peau ? » Modifications ? Conditions ? Le Hamas en plein doute… « L'empressement avec lequel Donald Trump et Benyamin Netanyahu ont avancé leur plan pour mettre fin à la guerre à Gaza, avant-hier, a suscité la consternation au sein du mouvement islamiste, constate Le Monde à Paris. Ces dernières 48 heures, plusieurs de ses porte-paroles ont dénoncé un texte qui ne propose, selon eux, qu'une "reddition" pure et simple. Il apparaît d'ores et déjà difficile, pour ses chefs, de l'accepter sans modifications importantes. (…) Le mouvement islamiste ne veut pas apparaître comme le seul responsable d'un échec du plan de paix. Mais le fait que le retrait des troupes israéliennes ne soit pas un préalable au cessez-le-feu est un obstacle majeur ». D'après La Repubblica à Rome, « des sources arabes qui suivent de près les négociations à Doha s'attendent à ce que le Hamas finisse par accepter. La décision pourrait être prise d'abord par les dirigeants sur le terrain à Gaza, puis à Doha. Mais le mouvement islamiste devrait poser des conditions et demander un nouveau temps de négociation ». Ce qui est sûr, pointe encore le quotidien italien, c'est que « les États arabes du Golfe et des pays musulmans comme la Turquie et le Pakistan, font pression sur les négociateurs du Hamas pour qu'ils disent oui au plan de paix ». Embûches… Alors quand bien même le Hamas plierait, il resterait encore de nombreux obstacles… Pour le New York Times, « le plus grand risque désormais est qu'Israël et le Hamas affirment vouloir la paix sans pour autant prendre les mesures difficiles pour y parvenir. Benyamin Netanyahu pourrait ralentir le retrait israélien de Gaza et le Hamas pourrait tenter de conserver un rôle en coulisses dans la gestion de Gaza, chaque camp rejetant la faute sur l'autre. Dans ce scénario, les dirigeants arabes et américains devront faire preuve d'encore plus de courage. Les dirigeants arabes devront annoncer au Hamas qu'il est fini comme force politique à Gaza, puis appuyer cette déclaration en envoyant des troupes. Et Donald Trump devra obliger Benyamin Netanyahu à choisir entre son alliance nationale avec les extrémistes israéliens et l'alliance internationale d'Israël avec les États-Unis ». Urgence humanitaire Et pendant ce temps, soupire Haaretz à tel Aviv, « alors qu'Israël, Washington et le monde attendent la réponse du Hamas au plan de Trump, la situation sur le terrain reste impitoyable et meurtrière. Les otages continuent de languir dans les tunnels du Hamas, et le nombre de victimes à Gaza ne cesse de s'alourdir. Depuis le début de la guerre, 66 000 Gazaouis ont été tués et plus de 168 000 blessés. Parallèlement, la catastrophe humanitaire se poursuit. Les hôpitaux de Gaza souffrent d'une grave pénurie de médicaments et d'électricité, tandis que leur personnel est débordé. De nombreuses personnes sont encore coincées sous les décombres. Et la population civile erre d'un endroit à l'autre au milieu des ruines. C'est une situation intolérable qui doit cesser, s'exclame Haaretz, quelle que soit la réaction du Hamas à ce plan. Elle doit cesser au nom de la morale et de l'humanité. Cette guerre doit prendre fin immédiatement. »
Le prime pagine dei principali quotidiani nazionali commentate in rassegna stampa da Davide Giacalone. Il piano di Trump su Gaza, le elezioni regionali nelle Marche, il crollo dell'export made in Italy, i tagli dell'Irpef. Spazio Confidenze. Abbiamo parlato di lettere e posta, con Angelina Spinoni, direttrice di Confidenze. La lingua italiana si evolve, cambia, e noi dobbiamo stare al passo. Anche i dizionari cercano di interpretare il presente, aggiornando le voci... e lo Zingarelli 2026 ufficializza una serie di termini che forse ci è già capitato di sentire in questi mesi, forse no. Il punto con Andrea Zaninello, uno dei curatori del nuovo dizionario Zingarelli 2026 (Edito da Zanichelli). Don Antonio Mazzi, fondatore della comunità Exodus, regala ogni giorno un pensiero, un suggerimento, una frase agli ascoltatori di RTL 102.5. Il direttore di CE.S.I, Andrea Margelletti, è intervenuto in diretta, per parlare del conflitto in Medio Oriente, e l'incontro tra Donald Trump e Netanyahu, per un piano che dovrebbe porre fine alla guerra. Lavoro. Sappiamo che gli stage sono uno strumento molto utile per le aziende e i futuri dipendenti, eppure troppo spesso capita di sentire storie non proprio edificanti. L'Unione Europea sta intervenendo con nuove regole che dovrebbero introdurre significativi cambiamenti. Ne abbiamo parlato con Eleonora Voltolina, fondatrice del portale "La Repubblica degli stagisti" (portale nato per approfondire questi temi. Calcio. Oggi torna la Champions League. Il punto con i nostri inviati: Per Inter-Slavia Praga Paolo Pacchioni. Per Atalanta-Bruges Massimo Caputi. L'attualità, commentata dal direttore del giornale Il Foglio Claudio Cerasa. All'interno di Non Stop News, con Giusi Legrenzi, Enrico Galletti, Massimo Lo Nigro e Ludovica Marafini.
Nessun referendum previsto per il resto del mandato: così Anthony Albanese archivia per il momento la transizione verso la Repubblica, proprio mentre visita il Regno Unito.
« Tout le monde est prêt pour quelque chose de spécial, une première » au Moyen-Orient. « Nous allons y arriver » : déclaration hier de Donald Trump, avant sa rencontre ce lundi avec Benjamin Netanyahu. Alors qu'y-a-t-il derrière ce « quelque chose de spécial » ? Très certainement le nouveau plan de paix pour Gaza que le président américain a présenté la semaine dernière aux dirigeants arabes et musulmans en marge de l'Assemblée générale de l'ONU à New York. Ce projet en 21 points est censé répondre aux préoccupations israéliennes et à celles des pays du Moyen-Orient, a indiqué Washington. Selon le site américain Axios, cité par Libération à Paris, « les propositions des Etats-Unis seraient des variantes d'idées discutées au cours des six derniers mois, des mises à jour de plans antérieurs présentés par Jared Kushner, le gendre de Donald Trump et ancien envoyé spécial pour le Moyen-Orient, et l'ancien Premier ministre britannique Tony Blair. Révélés samedi par la chaîne saoudienne Al-Hadath et le média israélien Ynet, poursuit Libération, les principaux points de ce plan prévoient la fin immédiate des hostilités à Gaza, ainsi que la libération des otages israéliens en contrepartie de celle de milliers de prisonniers palestiniens. » Échange de prisonniers, retrait progressif de Tsahal, aide humanitaire… Le Washington Post, qui a pu consulter le document, donne plus de précisions, et cite un extrait du texte : « une fois tous les otages libérés Israël libérera 250 prisonniers condamnés à perpétuité ainsi que 1.700 Gazaouis détenus après le 7 Octobre. […] Pour chaque otage israélien dont la dépouille sera restituée, Israël restituera les dépouilles de 15 Gazaouis décédés. » « Ce plan, pointe encore Libération à Paris, évoque également un retrait progressif des forces armées de l'État hébreu ; et un afflux d'aide humanitaire sous l'égide de l'ONU “ainsi que d'autres institutions internationales non liées d'une quelconque manière à l'une ou l'autre des parties“, cite le Washington Post, sans qu'il soit précisé si cela inclut l'opaque Gaza Humanitarian Foundation, dont les distributions sont régulièrement émaillées de tirs mortels pour la population. » L'inconnue Netanyahu… Alors, Donald Trump rencontre donc Benjamin Netanyahu ce lundi à la Maison-Blanche. Et il va tenter de le convaincre… Commentaire du Washington Post : « Trump détient les leviers pour faire avancer Gaza vers la paix. S'il veut vraiment créer un jour nouveau à Gaza, il devra utiliser toute l'influence dont il dispose auprès du Premier ministre israélien. » Benjamin Netanyahu sera sous la pression de son allié américain, poursuit le Washington Post : car « ce plan crée une alternative au Hamas, ce qui, d'une certaine manière, devrait plaire à Netanyahu. » Toutefois, « le Premier ministre israélien a explicitement déclaré qu'il n'y aurait jamais d'État palestinien, et ce plan ouvre clairement cette possibilité. » Acculé ? L'Orient-Le Jour à Beyrouth insiste sur le fait que « plusieurs experts estiment que Benjamin Netanyahu est acculé à mettre fin au conflit, sous la pression grandissante internationale et d'une partie de l'opinion israélienne. “Il n'a pas d'autre choix que d'accepter le plan“, affirme (ainsi) Eytan Gilboa, spécialiste des relations israélo-américaines à l'université Bar-Ilan. “Tout simplement, poursuit-il, parce que les États-Unis, et Trump en particulier, restent presque ses seuls alliés“. » Temporiser ? Pour Haaretz à Tel Aviv, « la logique voudrait que le président Trump pousse Netanyahu à accepter un accord qui mettrait fin à la guerre à Gaza, qui ramènerait tous les otages chez eux et qui mettrait en œuvre un plan visant à sécuriser, stabiliser et finalement reconstruire la bande de Gaza. » Toutefois, soupire le quotidien israélien de gauche, « il y a peu de raisons de croire que la logique ou le courage l'emporteront chez ces deux dirigeants. Ils pourraient très bien se quitter ce lundi sans grand changement (…). » Enfin, La Repubblica à Rome cite l'éditorialiste israélien Ben Caspit : « Netanyahu peut accepter l'accord, dit-il, crier victoire et convoquer des élections, ou alors continuer à temporiser au péril de la vie des otages et à mettre à l'épreuve la patience de plus en plus fragile de Trump pour faire gagner quelques semaines ou quelques mois supplémentaires à sa coalition destructrice. En bref, Netanyahu doit choisir entre son gouvernement et le pays. » Ce qui est sûr dans tout cela, c'est que Donald Trump et Benjamin Netanyahu donneront une conférence de presse commune à l'issue de leur entretien ce lundi. Ce sera vers 19h15 heure française. On verra bien si les deux hommes annonceront… « quelque chose de spécial. »
Prosegue il nostro piccolo viaggio di avvicinamento al 2026, anno in cui si celebreranno gli 80 anni della Repubblica Italiana, con la riscoperta della nostra Costituzione. Chiudiamo il mese di settembre con l'articolo 6 dedicato al bilinguismo.
"RBN Cafe" con Giulia Borletto. ospiti: Emanuele Gamba (La Repubblica), Marino Margin (ex Juve e Atalanta).
"Emanuele Gamba (La Repubblica)" ospite a RBN Cafe.
"RBN Cafe" con Giulia Borletto. ospiti: Emanuele Gamba (La Repubblica), Marino Margin (ex Juve e Atalanta).
"Emanuele Gamba (La Repubblica)" ospite a RBN Cafe.
La rassegna stampa di oggi, martedì 23 settembre 2025, è a cura di Miriam Aly.La rassegna di oggi è a partire dalla grande manifestazione del 22 settembre, per dire basta agli attacchi in Palestina, agli accordi politici tra Italia e Israele, al riarmo e per esprimere vicinanza alla Global Sumud Flotilla, in concomitanza con lo sciopero nazionale indetto dal sindacato, USB.Leggiamo le notizie sulle principali testate, i numeri delle presenze al presidio e successivo corteo romano che è partito da Piazza dei Cinquecento per poi prendersi la Tangenziale Est, rendendo la giornata di ieri straordinaria, per l'incredibile partecipazione che ha animato la città e bloccato davvero tutto, paralizzando la viabilità in un grande sciopero politico.Numeri diversi, parole diverse, importanza diversa alla notizia: in attesa dei commenti di palazzo, abbiamo seguito il racconto della giornata di mobilitazione e sciopero su La Repubblica, Il Corriere della Sera, Il Messaggero, il manifesto, Dinamopress. Dall'inizio della giornata fino all'occupazione della facoltà di Lettere all'università La Sapienza. A Roma c'è un momento di fermento, così come in altre città d'Italia. Nell'arco di due settimane si sono svolti ben tre cortei, oltre a quelli di quartiere: uno verso Porta San Paolo, e altri due partiti dall'università. Tutti convocati in nome della vicinanza dei movimenti politici della città alla Global Sumud Flotilla e al popolo palestinese. Una convergenza che a Roma non si vedeva da tempo, se non in occasioni sporadiche. Studenti, tantissimi bambini e bambine - con striscioni ironici ‘'definisci anche noi ‘' anziani, giovani, diversi settori del sindacato, anche quelli che non si vedevano da tempo, movimenti, partiti, scuole, istituzioni, e persino la Banca d'Italia: tutti presenti. Questo crescendo della mobilitazione per la Palestina ha coinvolto tutti, da ogni quartiere, portando in piazza un numero enorme di persone. Persone che forse, per il resto dell'anno, ci sono sempre state, ma mai con così tanta speranza. La speranza che da Roma, da questo pezzo di terra, arrivi a chi è in missione verso la Palestina, e alle migliaia di persone che sono state uccise — e continuano a morire — sotto le bombe a Gaza.Continueremo a seguirne gli aggiornamenti.Audio dalla piazza - manifestazione 22 settembre 2025, "Rossa Palestina".Foto di Lorenzo Boffa.Segui tutte le puntate su www.sveja.itSveja è un progetto sostenuto da Periferiacapitale, il programma per Roma della Fondazione Charlemagne.
Presa internațională a reacționat imediat după ce Estonia a acuzat Rusia că i-a încălcat spațiul aerian. Moscova respinge acuzațiile, spunând că avioanele sale au zburat deasupra apelor internaționale. Rusia continuă să mențină tensiunile cu vecinii din NATO, observă comentatorii. „Rusia testează din nou limitele NATO în Europa de Est”, rezumă El País. „Estonia, care își închisese spațiul aerian după ce mai multe drone rusești au survolat Polonia pe 10 septembrie, a văzut trei avioane survolând teritoriul său timp de 12 minute lungi. (...) Varșovia, la rândul său, a avertizat că o altă pereche de avioane de vânătoare rusești a efectuat o trecere la joasă altitudine peste una dintre platformele sale petroliere din Marea Baltică.” Le Monde titrează: ”Rusia își continuă strategia de tensiune militară cu europenii”. Incursiunea a trei aeronave rusești pe cerul Estoniei, deși negată de Moscova, este un „nou exemplu de comportament periculos al Rusiei”, potrivit NATO. Acest eveniment are loc în contextul unor exerciții militare majore de ambele părți. CNN amintește că ”incidentul de vineri are loc după ce dronele rusești au încălcat spațiul aerian polonez și cel românesc la începutul acestei luni – determinând aliații NATO să se angajeze să consolideze apărarea pe flancul estic al alianței. Miercurea trecută, avioane de vânătoare NATO au doborât mai multe drone rusești care au încălcat spațiul aerian polonez în timpul unui atac asupra Ucrainei vecine”. Un răspuns colectiv The Guardian informează că liderii UE vor discuta „răspunsul lor colectiv” la încălcările spațiului aerian european de către Rusia, într-o reuniune la Copenhaga pe 1 octombrie, după cum a declarat președintele Consiliului European, António Costa. Tallinn a denunțat imediat acest lucru ca fiind un „act fără precedent”, relatează La Repubblica. „Îngrijorarea a fost atât de mare încât prim-ministrul estonian Kristen Michal a cerut vineri seară activarea articolului 4” din Tratatul Atlanticului de Nord, care prevede „consultări formale între aliați în cazul unei amenințări directe împotriva unui partener”. Într-un interviu acordat ediției europene a Politico, ministrul estonian de externe, Margus Tsahkna, a declarat că incursiunea a demonstrat că liderul rus Vladimir Putin nu are niciun interes pentru pace. În Der Spiegel citim că sâmbătă, Ministerul Apărării din Estonia a publicat pe rețeaua X o hartă care arată presupusa traiectorie de zbor a trei avioane de vânătoare rusești MiG-31. ”Aceasta arată că avioanele au pătruns la aproximativ zece kilometri în spațiul aerian estonian părăsind coridorul internațional îngust de deasupra Golfului Finlandei. Prin această postare, statul baltic și-a reiterat acuzațiile conform cărora Rusia a încălcat spațiul aerian estonian – și, prin urmare, teritoriul NATO” Le Point observă că toți ochii au fost ațintiți asupra administrației Trump, pentru a se vedea reacția sa. „Nu-mi place. Nu-mi place când se întâmplă așa ceva”, a răspuns președintele SUA. „Ar putea fi o problemă mare. Vă voi spune mai târziu.”
In primo piano l'attacco hacker ad alcuni scali europei. Rimane ancora un mistero, nonostante varie ipotesi, chi possa essere il colpevole ma sono previsti disagi anche nella giornata di oggi. Focus sulle tante reazioni dopo la violazione dei cieli estoni con Zelensky che invoca sanzioni più severe per Mosca. Poi, l'intervista a Von Der Leyen a LENA (Leading European Newspaper Alliance) che troviamo su La Repubblica. Parleremo dell'attesa per l'Assemblea Onu con una decina di Paesi che si preparano a riconoscere la Palestina. Negli Usa, intanto, sono attese 100mila persone per i funerali di Charlie Kirk, ricordato più volte anche nelle scorse ore al raduno della Lega a Pontida. In chiusura, la Giornata Mondiale dell'Alzheimer che si celebra oggi, 21 settembre
Un attacco aereo israeliano contro un gruppo di alti dirigenti di Hamas, avvenuto in un Paese del Golfo, il Qatar. Israele si muove dunque lontano dai suoi confini nazionali, a 1800 chilometri di distanza, lo fa con i suoi caccia da combattimento, per colpire e indebolire i vertici di Hamas, l'organizzazione responsabile degli attacchi del 7 ottobre e contro cui l'esercito israeliano combatte a Gaza. Uno scenario di guerra mai visto prima, che coinvolge la piccola monarchia del Golfo, un Paese che in questi anni si è ritagliato il ruolo di mediatore, pur ospitando da tempo la dirigenza politica di Hamas. Israele colpisce dunque dentro i confini nazionali di uno Stato arabo che dal 7 ottobre in poi si è impegnato per creare le condizioni di un cessate-il fuoco a Gaza. Un emirato che ha anche strette relazioni con gli Stati Uniti, Stati Uniti che a loro volta sono i principali alleati di Israele. L'attacco di ieri è stato condannato da più parti, a cominciare dalle Nazioni Unite, che denunciano la grave violazione del diritto internazionale da parte di Israele. Cosa vuol dire tutto questo per il conflitto israelo-palestinese e più in generale per tutto il Medioriente? Si apre ora una nuova dimensione, un nuovo scenario, per Israele e per l'intera regione? Ne parliamo con tre ospitiNaima Chicherio, giornalista RSI, più volte inviata in MediorienteFrancesca Caferri, giornalista de La Repubblica, esperta di Paesi del GolfoDaniel Bettini, capo redattore esteri del quotidiano israeliano Yediot Aharonot
Blocages et perturbations sont annoncés dans tous les secteurs ce mercredi en France : transports, écoles, entreprises. Et ce ne sont pas les syndicats ou les partis politiques qui ont lancé le mouvement, ce sont des milliers et des milliers d'anonymes en colère qui se sont fédérés sur les réseaux sociaux au cours des dernières semaines. Et « c'est la grande incertitude, s'exclame Le Parisien. Sur les réseaux sociaux, les appels à manifester et bloquer massivement la France résonnent de plus en plus fort. Les premiers sympathisants du mouvement “Bloquons tout“ ont incontestablement fait des émules, grâce également aux propositions budgétaires impopulaires du gouvernement de François Bayrou. Pour autant, si la grogne sociale existe, impossible de mesurer précisément quelle sera l'ampleur des actions menées ce mercredi. » « Niveau inégalités le plus élevé depuis 30 ans » Le Monde nous explique les raisons de cette colère : c'est le ras-le-bol de « la France ric-rac », des « fins de mois difficiles » ; « nombreux sont ceux à dénoncer le budget de l'ex-Premier ministre François Bayrou, qui demandait beaucoup à ceux qui ont peu, prônant une austérité douloureuse. Nombreux sont ceux à décrier les salaires qui ne bougent pas, les budgets de plus en plus difficiles à tenir, les arbitrages impossibles au moment de remplir les chariots de courses, si éloignés des préoccupations du gouvernement. » Si l'on regarde les chiffres, poursuit Le Monde, « la baisse du chômage, aujourd'hui stabilisé à 7,5 % environ de la population active, n'a pas empêché une hausse du taux de pauvreté et du surendettement. La faute notamment à une précarisation croissante de l'emploi. (…) Au contraire des revenus salariaux, les revenus financiers, eux, ont augmenté de 7 % en moyenne, poussés par la hausse des taux d'intérêt. Et cela a profité aux ménages les plus aisés, ceux qui possèdent un patrimoine financier. » Résultat, constate le journal : « le niveau d'inégalités atteint en France est ainsi le plus élevé depuis trente ans. » Lecornu Premier ministre : « la droite comblée, la gauche exaspérée » C'est dans ce contexte tendu que le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu prend ses fonctions aujourd'hui. L'ex-ministre de la Défense est un très proche d'Emmanuel Macron. « On ne change pas une équipe qui perd », soupire Libération. « La droite comblée, la gauche exaspérée. (…) L'arrivée de Sébastien Lecornu à Matignon révèle qu'Emmanuel Macron manque décidément d'oxygène, s'exclame le quotidien de gauche. Face à la crise, il se recroqueville dans un espace politique qui, chaque jour, ressemble de plus en plus à une cabine téléphonique. Il a pourtant besoin d'espace. De se redonner des marges de manœuvre. Mais non. En nommant Sébastien Lecornu, le chef de l'État confirme qu'il lui est impossible de retirer l'énorme œillère qui l'empêche de regarder vers sa gauche. Peu importe ce qui se passe autour de lui. » Ligne claire ? À contrario, Le Figaro acquiesce. « À la veille d'une journée vampirisée par l'extrême gauche, la France a un premier ministre qui vient de la droite. Ministre depuis huit ans, il est, pour le grand public, neuf, intact. (…) Bien qu'à la tête d'une minorité de gouvernement, Sébastien Lecornu doit se faire le porte-voix de la majorité oubliée, invisible, abandonnée. Pression fiscale et normative désespérante, dépenses délirantes, immigration incontrôlée, insécurité galopante. Les inquiétudes qui réunissent plus de deux Français sur trois sont connues, affirme encore le quotidien de droite. (…) C'est cette ligne claire qu'il faut dessiner. (…) Le succès n'est pas garanti, mais l'autre choix, celui de la tambouille, mènerait à l'échec et au déshonneur. » L'extrême-droite en embuscade En tout cas, sur le plan politique, économique et social, la France va mal et pourrait bien finir par se jeter dans les bras de l'extrême-droite. Un vrai danger pour l'avenir de l'Europe et de ses valeurs, s'exclame La Repubblica à Rome : « nous sommes dangereusement proches du point de non-retour, affirme le quotidien italien. En Allemagne, les néonazis pro-Poutine de l'AfD, soutenus par Trump, aspirent à devenir le premier parti. En Grande-Bretagne, la droite anti-européenne de Farage nourrit les mêmes ambitions. En Italie, l'extrême droite est déjà au pouvoir. (…) Le seul espoir qui nous reste, estime La Repubblica, est que les électeurs et les responsables politiques français comprennent que le jeu dont ils sont les arbitres, au nom de 450 millions d'Européens, ne se résume pas à la suppression d'un ou deux jours de vacances ou au recul d'un an de l'âge de la retraite, mais à la survie même de l'Occident et de ses valeurs. »
« Le gouvernement français est au bord du gouffre », s'exclame le Guardian à Londres. « Le Premier ministre, François Bayrou, a peut-être pensé qu'il était pertinent de convoquer un vote de confiance parlementaire envers son gouvernement minoritaire, avant une journée de protestation nationale prévue après-demain et le début d'une saison budgétaire parlementaire chargée. (…) Mais en fait, François Bayrou semble avoir choisi le hara-kiri politique, affirme le quotidien britannique. Son éviction quasi certaine par un Parlement sans majorité, ce lundi, risque de transformer une impasse politique latente en une crise de régime fulgurante. » Et attention, prévient le Guardian, « une crise politique prolongée ne fera qu'accroître le soutien de l'opinion à la droite nationaliste et anti-immigrés et discréditer davantage les partis traditionnels. Face aux résonances toxiques des réseaux sociaux et à la montée d'une extrême droite à l'américaine qui fustige la criminalité, l'immigration et l'islam, Marine Le Pen et son jeune protégé Jordan Bardella semblent de plus en plus proches de la conquête du pouvoir. » Le danger à droite… ou à gauche ? En effet, renchérit Le Monde à Paris, « de la colère qui sourd dans le pays, le Rassemblement national en apparaît aujourd'hui comme le principal bénéficiaire. Ni les ennuis judiciaires de Marine Le Pen, ni la juvénilité de Jordan Bardella, ni les virages à 180 degrés du parti qui oscille entre radicalité et quête de respectabilité, ni sa versatilité et son amateurisme sur les questions budgétaires n'entament la dynamique. Le moteur est ailleurs : il suffit à ses dirigeants d'exploiter les faiblesses et les renoncements de ceux qui prétendaient le combattre pour prospérer. » À contrario, pour Le Figaro, le danger est à gauche… Qui pour succéder à Bayrou ? « Un Premier ministre socialiste, ce serait plonger le pays dans un nouveau cauchemar, estime le quotidien de droite. D'autant plus que les Insoumis rôderaient alentour. La France est payée pour le savoir depuis François Mitterrand et la retraite à 60 ans, Lionel Jospin et les 35 heures, François Hollande et la "chasse aux riches". Elle ne s'est jamais vraiment remise de toutes ces politiques dépensières et inconséquentes. Un Premier ministre socialiste, ce ne serait certainement pas une façon de rebondir dans la crise que traverse notre pays. Ce serait plutôt l'assurance d'un enlisement, d'un effondrement garanti. » Rome regarde du haut de ses 20 ans de dépenses La Repubblica à Rome revient sur l'aspect économique. Comment la France en est-elle arrivée là ? « Nous, Italiens, avons une certaine expérience, ironise le journal. Nous avons vécu pendant des décennies avec des gouvernements instables et une dette publique dépassant 100 % du PIB, et nous sommes malheureusement habitués à dépenser des dizaines de milliards par an en intérêts sur cette dette. Mais pour la France, une dette de 115 % avec un coût d'intérêt annuel de plus de 60 milliards d'euros, c'est la découverte d'un nouveau monde. Un monde qui s'est construit au cours des 15 à 20 dernières années, sachant qu'il n'y a pas si longtemps, la dette publique française équivalait à celle de l'Allemagne : toutes deux atteignaient un peu moins de 60 % du PIB. » Quel a été le point de bascule ? : Réponse de La Repubblica : « les dépenses publiques, 57 % du PIB de la France, sont les plus élevées des économies avancées du monde et ont évidemment contribué à la hausse de la dette. Et cette hausse a été constante, inexorable, jamais stoppée par les excédents budgétaires primaires des vingt dernières années, alimentée par la longue période de taux d'intérêt proches de zéro, et accélérée par le Covid et les mesures ultérieures visant à protéger les consommateurs des pics d'inflation. La conjoncture politique a ensuite fait le reste, freinant l'élan réformateur de Macron et rendant difficile tout changement de cap. » Macron, premier responsable ? En tout cas, conclut Libération à Paris, « la France va s'enfoncer un peu plus ce lundi dans un épais brouillard. Et cela n'a rien de réjouissant. Les plus fragiles sont les premières victimes d'un pays à l'arrêt. Ils le seront davantage si la crise politique mute en crise de régime. Ce jour, tous les regards seront tournés vers François Bayrou. Normal, et à la fois injuste. Le premier responsable de la situation s'appelle Emmanuel Macron. Sa dissolution fut une faute. Son départ, en plus de rajouter de la crise à la crise, créerait un dangereux précédent. Le Président n'a pas toutes les clés en main pour dessiner les mois qui nous séparent de la prochaine présidentielle. Mais il en détient une, pointe Libération : répondre au sentiment profond d'injustice qui plombe le pays. »
Senza Vlahovic, il prescelto di mister Allegri, e con l'arrivo di Nkunku che non è una punta centrale, sarà Leao il vertice offensivo del Milan.Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/radio-rossonera--2355694/support.
Une belle brochette d'une quarantaine de dirigeants, tous alignés sur un tapis rouge, pour assister au grand défilé militaire organisé hier par les autorités chinoises sur la place Tiananmen à Pékin. La Repubblica à Rome zoome sur la photo officielle : « Xi Jinping au centre, Poutine à sa droite, Kim Jong-un à sa gauche ; autour d'eux : vingt-cinq autres présidents et chefs de gouvernement, dont l'Iranien Pezeshkian et le Biélorusse Loukachenko (…). Ce groupe de chefs d'États au centre de la tribune était autrefois appelé "l'Axe du Mal", rappelle le quotidien italien ; aujourd'hui, les analystes préfèrent le nommer "l'Alliance du Désordre" ou, soulignant le rôle de Téhéran, le "Quatuor du Chaos". Cette coalition cherche à construire un ordre mondial alternatif, pointe encore La Repubblica, qui place l'Asie en son centre et attire de nombreux groupes "non-alignés" ». Les Occidentaux trop divisés… Et de fait, l'Occident semble bien loin… « Il faut dire, pointe Le Figaro, que les divisions et les incohérences du camp occidental ont été du pain bénit pour le groupe des autocrates, qui ont comblé les vides, les silences, les hésitations et les changements de cap des États-Unis et de l'Europe. Les divisions de l'UE sur tous les sujets, de la guerre en Ukraine à la politique vis-à-vis de la Chine en passant par l'utilisation de la force, ont neutralisé sa voix sur la scène internationale. Ses reculs, comme les promesses militaires non tenues vis-à-vis de l'Ukraine, ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont, eux, joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. » Pour les Européens, en effet, analyse le Times à Londres, cette démonstration de force « dissipe tout espoir de voir l'alliance sino-russe s'effriter, plus de trois ans après le début de la guerre en Ukraine. Pour les voisins est-asiatiques de la Chine, a contrario, elle témoigne d'une puissance écrasante, qu'ils sont obligés de suivre. Par exemple en acceptant les manœuvres expansionnistes illégales de Pékin en mer de Chine méridionale ». Prêts à en découdre face aux États-Unis… Toutefois, poursuit le Times, « le principal destinataire des images des nouveaux missiles hypersoniques, des chasseurs furtifs et des drones est Washington. La plupart des armes exposées hier sont destinées à empêcher l'armée américaine d'utiliser les siennes autour de Taïwan, si l'administration Trump ou son successeur envisageait de contester une invasion chinoise. Si Taïwan et ses 23 millions d'habitants tombent dans les mains de Xi Jinping comme des fruits mûrs uniquement par la coercition économique et politique, tant mieux. Mais sinon, comme le montre le défilé, l'Armée populaire de libération est prête ». Réponse immédiate de la Maison-Blanche. Donald Trump a dégainé son portable pour envoyer ce message sur son réseau social, message rapporté notamment par Die Welt à Berlin : « veuillez transmettre mes salutations les plus chaleureuses à Vladimir Poutine et Kim Jong-un pendant que vous conspirez contre les États-Unis d'Amérique ». La Belgique va reconnaître l'État de Palestine Enfin à la Une de la presse belge : la reconnaissance par Bruxelles de l'État palestinien. La Belgique qui emboîte ainsi le pas à la France, à l'Australie ou encore au Royaume-Uni. Ce sera le 22 septembre en marge de l'assemblée générale des Nations unies. Pour Le Soir, « la Belgique retrouve enfin le chemin du droit international. (…) Alors, oui, soupire le journal, tout cela représente si peu au regard de la montagne à renverser. Alors, oui, tout cela est très tardif et obtenu après des mois de débats de fond autant que de pinaillages indécents. (…) Mais l'obstination de notre ministre des Affaires étrangères a payé. À New York, conclut Le Soir, on retiendra que la Belgique était du côté de ceux qui affichent la volonté de reconnaître un Etat de Palestine. Le reste ne sera plus que de la gesticulation politicienne, inutile et contreproductive, à l'heure où la seule urgence demeure la fin du massacre à Gaza. Ou de ce qu'il en restera ».
Bentornate e bentornati alla nuova stagione di Sveja, oggi martedì 2 settembre 2025 ai microfoni c'è Alessandro ColtréParliamo di Ater e delle lettere inviate a chi non è in regola con i pagamenti.Lo facciamo con Lorenzo Rossi Doria di Auser Lazio: più di 300 avvisi sono arrivati a Corviale, dove tanti abitanti delle case popolari, tra marginalità e pensioni minime, non possono mettersi in regola con i pagamenti. In alcuni casi parliamo anche di 10.000 mila euro e di interessi sul debito che non tengono conto delle condizioni materiali di vita delle persone."Si tratta di una bomba sociale a cui sarà difficile se non impossibile trovare una risposta, ma che in qualche modo proveremo a disinnescare", racconta Rossi Doria. Sanità: Su Corriere della Sera: Il Lazio cerca 7.000 camici bianchi. Ora si cerca di colmare con nuove assunzioni e piani di investimento. Restano le criticità con i medici specialisti. La Repubblica racconta il primo giorno delle matricole di medicina. Primo anno senza numero chiuso ma con semestre filtro. A Tor Vergata oltre 2.100 iscritti. Inceneritore di Roma: niente posa della prima pietra.Spazi sociali: su Fanpage.it si parla dell'interrogazione di Sartori (Lega) in Campidoglio. Dopo lo sgombero del Leoncavallo, il capogruppo attacca il Forte Prenestino.Una segnalazione: V Zona organizza a ex Parco Meda "Scientifica - scienza popolare, libera e accessibile". Venerdì 5 settembre ore 19:30 si parlerà di Ospedali da abitare: come gli ambienti cambiano la cura.Sveja è un progetto di comunicazione indipendente, sostenuto da Periferiacapitale, il programma per Roma della Fondazione Charlemagne.Ringraziamo, come sempre, l'Associazione A Sud che ci mette a disposizione i propri spazi per le riunioni di redazione. La sigla di Sveja è di Mattia Carratello.Foto di Rai NewsA domani con Cecilia Ferrara
Deux enfants ont été tués et 14 autres blessés, mercredi dans l'attaque d'une église attenante à une école catholique, par un homme de 23 ans se disant « obsédé » par l'idée de « tuer des enfants ». La presse américaine est allée sur place, à Minneapolis, rencontrer les témoins et les proches des familles. Notamment le père de Fletcher Merkel, un enfant de huit ans, tué mercredi, père dont on trouve les propos dans le Washington Post et qui évoque ainsi son fils : « Nous ne pourrons plus jamais le tenir dans nos bras, lui parler et le voir grandir et être le merveilleux jeune homme qu'il était en passe de devenir ». « Derrière lui, précise le quotidien américain, trône un ours en peluche géant, dans une pile d'animaux en peluche et un mot manuscrit 'je t'aime pour toujours' signé maman ». Le Washington Post a également recueilli les propos d'Angela Ferrel Zabala, responsable d'une association de mères s'opposant aux armes à feu, qui s'est interrogée : « Quand est-ce que ce sera suffisant ? Nous continuerons à poser cette question jusqu'à ce que les législateurs décident enfin que la vie des enfants vaut plus que les profits des fabricants d'armes ». Attaque meurtrière À la Une, des enfants encore, victimes, cette fois-ci, de la guerre. C'est à la Une du Guardian à Londres. Une femme embrasse un bébé qu'elle serre dans ses bras. Elle s'appelle Ioulia Maystruck. Le quotidien britannique l'a rencontrée sur les lieux de l'attaque russe sur Kiev, dans la nuit de mercredi à jeudi. Elle raconte « qu'elle connaît une femme qui s'était réfugiée au sous-sol de son immeuble avec son fils de 14 ans. La mère a survécu, mais elle a été blessée. « Quant à son fils, 'il est mort à l'hôpital', dit-elle, les larmes aux yeux. » À Rome, La Repubblica commente cette nouvelle attaque, estimant « que Vladimir Poutine a décidé d'ignorer la prudence dictée par les négociations avec Donald Trump et de se lancer dans une démonstration de force massive et brutale ». Le Kiev Post, de son côté, ajoute que cette attaque, « l'une des plus meurtrières » qui ait visé la capitale ukrainienne, « a creusé un cratère sur cinq étages, dans un immeuble d'appartements ». Le Kiev Post fait aussi la liste de tous les dirigeants européens qui ont condamné l'attaque, Emmanuel Macron, Keir Starmer, Ursula von der Leyen, Friedrich Merz. Réaction aussi bien sûr de Volodymyr Zelensky. Le président ukrainien a estimé « que les Russes avaient choisi de ne pas mettre fin à la guerre, ils ont choisi de frapper à nouveau. » La ligne Trump / Netanyahou Enfin Le Temps s'intéresse aux Israéliens qui contestent la politique de Benyamin Netanyahu. À la Une du quotidien suisse, cette question : « Pourquoi mon gouvernement ne fait-il pas son devoir ? Les mouvements de protestation se multiplient en Israël en faveur de l'arrêt des combats à Gaza et du retour des otages ». Pour La Tribune, c'est un appel « vain » mais « bruyant ». « Trump apparaît comme l'unique espoir ». Haaretz estime lui que « Netanyahou a vendu à Trump l'illusion d'une victoire rapide, alors que les négociations sur les otages sont au point mort ». « Le seul canal qui compte », estime toutefois le quotidien israélien d'opposition, « est la ligne entre Benyamin Netanyahou et Donald Trump (...) le président américain qui croit aux explications du Premier ministre israélien selon lequel le Hamas peut être vaincu par une offensive militaire pour conquérir la ville de Gaza ».
Au début de son mandat, le président américain avait promis, on s'en souvient, de régler le problème entre la Russie et l'Ukraine en 24 heures… Six mois plus tard, on en est au même point. Et visiblement, Donald Trump veut accélérer… Les discussions d'hier à Moscou entre son émissaire Steve Witkoff et Vladimir Poutine n'ayant rien donné de concret, le président américain a affirmé hier, relève le New York Times, qu'il avait « l'intention de rencontrer en personne le président russe dès la semaine prochaine, et qu'il prévoyait d'organiser dans la foulée une réunion avec Vladimir Poutine et le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Interrogé plus tard dans la journée pour savoir si la Russie et l'Ukraine avaient accepté le sommet, Trump a répondu aux journalistes : "il y a de très bonnes chances qu'elles le fassent" ». Arlésienne ? Toutefois, la prudence reste de mise… C'est ce que souligne notamment La Repubblica à Rome : « Volodymyr Zelensky n'a pas évoqué hier la possibilité d'un sommet. Sur les réseaux sociaux, il s'est contenté de répéter que "la position commune avec nos partenaires était absolument claire : la guerre doit cesser". Et lors d'un discours hier soir, il a ajouté que la Russie semblait désormais "plus encline à un cessez-le-feu. La pression exercée sur eux porte ses fruits, a-t-il poursuivi. Mais l'essentiel est qu'elle ne nous trompe pas" ». Même « parmi les observateurs russes, la prudence prévaut », relève encore La Repubblica qui cite le politologue en exil Vladimir Frolov, selon lequel « la Russie tente d'avancer sur un sommet avec Trump uniquement pour le convaincre de forcer l'Ukraine à accepter son mémorandum d'Istanbul du 2 juin dernier comme base d'un accord final en échange d'un cessez-le-feu complet ». Un mémorandum, qui, rappelons-le, entérine l'annexion par la Russie des territoires ukrainiens qu'elle a conquis. Poutine joue la montre… Le Soir à Bruxelles ne se fait aucune illusion : « l'horizon d'une paix "juste et durable" en Ukraine paraît encore lointain. (…) Le président russe peut continuer à tromper le monde en affirmant sa disposition à négocier. Voire présenter ses revendications initiales comme "raisonnables" : obtenir la cession des quatre oblasts de l'Est, occupés en bonne partie par son armée mais pas totalement, outre la Crimée. Des revendications que l'Ukraine ne saurait accepter sans obtenir, a minima, un parapluie de sécurité extrêmement robuste de la part de ses alliés – ce que Moscou refuse totalement. Dans ces conditions, pointe Le Soir, on voit bien que le maître du Kremlin continue de jouer la montre, persuadé qu'il finira par emporter cette cruelle guerre d'usure. Vladimir Poutine est désormais enfermé dans sa logique guerrière, au point de ne plus pouvoir reculer. À moins de perdre sa stature, donc le pouvoir : on pense, par comparaison, à l'obstination d'un Netanyahu ». Méga-feu dans le sud de la France À la Une également, le gigantesque incendie qui ravage le département de l'Aude, dans le sud de la France. 16 000 hectares partis en fumée en l'espace de 24 heures. Et les moyens de lutte sont insuffisants. « Les nouveaux Canadair promis par Macron en 2022 ne sont pas encore opérationnels », déplore Le Figaro. Cette année-là, « Emmanuel Macron avait annoncé un "plan de réarmement aérien d'urgence" de lutte contre les incendies, quelques semaines après un été marqué par ce qui a été qualifié "d'incendie du siècle" dans le département de la Gironde. Trois ans plus tard, les nouveaux avions ne sont toujours pas là. La France doit faire avec douze Canadair vieillissants - 30 ans de moyenne d'âge -, huit avions Dash-8, qui sont surtout employés pour larguer des solutions retardantes, dix hélicoptères bombardiers d'eau et six petits avions spécialisés ». Les Canadairs commandés ne seront livrés au mieux que dans deux ou trois ans… Mobilisation ! Pour autant, il n'y a pas de fatalité, « les feux peuvent être évités, contenus ou combattus, encore faut-il y mettre les moyens humains et financiers », relève Libération. Il faut un « sursaut de l'État pour renforcer les moyens de lutte et notamment les équipes qui manquent de bras, l'été, au plus fort de la saison des feux. Les habitants, eux, peuvent éviter qu'un incendie se répande : en débroussaillant. La méthode a prouvé son efficacité et pourtant moins d'un tiers des propriétaires en zone à risque y ont recours, les municipalités ont un rôle plus coercitif à jouer. Idem pour les matériaux utilisés pour les constructions ou leurs abords, ils doivent pouvoir résister au feu tout comme les espèces d'arbres plantées, cela paraît presque élémentaire ». Et Libération de prévenir : « si rien n'est fait, des incendies monstres comme celui de l'Aude risquent de se produire chaque année avec le dérèglement climatique. Si l'on s'y prépare maintenant, on peut les éviter, ou au moins limiter leurs dégâts ».
TESTO DELL'ARTICOLO ➜ https://www.bastabugie.it/8245LA REPUBBLICA CECA VIETA PER LEGGE IL COMUNISMO di Bernardo Tombari Mai più comunismo. È ciò che ha deciso la Repubblica Ceca con la nuova legge che vieta la creazione o la propaganda di movimenti comunisti, al pari di quelli nazisti. Sono previsti fino a cinque anni di carcere per chi "crei, sostenga o promuova movimenti nazisti, comunisti o di altro tipo che mirino chiaramente a reprimere i diritti e le libertà umane o a incitare all'odio razziale, etnico, nazionale, religioso o di classe.Si tratta in realtà di una modifica legge preesistente, che non conteneva le parole "comunisti" o "nazisti", ma si dava per scontato che si riferisse a quest'ultimi. A promuovere il cambiamento è stato il presidente Petr Pavel, un comunista pentito (era iscritto al partito durante la dominazione sovietica) che già si era battuto per il risarcimento delle vittime e dei ricatti e della coercizione psicologica e fisica da parte della polizia sovietica. La severità della legge dipenderà dall'interpretazione dei giudici, che decideranno se si tratta di una vera guerra a simboli e idee comuniste o solo una condanna a movimenti eversivi.Secondo il deputato conservatore Martin Dlouhy "si tratta solo di una precisazione". Ciò che è certo è che la Repubblica Ceca fa i conti con il proprio passato, come hanno fatto molti altri Paesi dell'ex blocco sovietico: la vicina Slovacchia ha vietato i partiti comunisti, dichiarandoli organizzazioni criminali, e similmente hanno fatto Ucraina, Georgia, Estonia, Lettonia e Lituania. Forse non ci sarà mai la "Norimberga" del comunismo, ma è un segno che i Paesi che l'hanno vissuto vogliono conservare la memoria di decenni di soprusi, repressioni e stermini per far sì che non accada ancora.I cechi in particolare erano tra i più irrequieti e ribelli rispetto all'occupazione sovietica. Da Jan Palach e le proteste della primavera di Praga, represse con i carrarmati, alla rivoluzione di velluto dopo il crollo del muro, il comunismo non ha mai attecchito in Repubblica Ceca. Non è chiaro se continuerà ad esistere il Partito Comunista di Boemia e Moravia (KSCM), che protestato contro la decisione, che secondo loro "mette a tacere gli oppositori del sistema limitando i diritti e le libertà costituzionali" poco prima delle elezioni (nel 2021 ha preso poco più del 3%).Il Partito Comunista Italiano ha prontamente espresso solidarietà ai "compagni del KSCM". I paesi del blocco occidentale d'altronde possono permettersi di prendere alla leggera il comunismo, non avendo mai vissuto la sua atrocità, e condannare solo l'autoritarismo di destra (che nella sua crudeltà non raggiunge comunque i 95 milioni di morti dei regimi comunisti). La Chiesa fu profetica nella sua condanna al comunismo sin dal diciannovesimo secolo, intuendone subito la pericolosità e, come diceva papa Leone XIII, il nichilismo di fondo della sua opposizione ai valori morali e agli istituti naturali. Non c'è da stupirsi che nell'Occidente nichilista sia ancora di moda.
Presa europeană își exprimă îngrijorarea legată de proiectul de lege semnat de Zelenski care va restricționa autonomia agenților anticorupție. Jurnaliștii văd modificările ca pe un atac la adresa democrației și un pas înapoi de la traiectoria europeană. Este un punct fără întoarcere, scrie The Kyiv Independent. “Președintele Volodymyr Zelensky a semnat pe 22 iulie un proiect de lege care distruge efectiv independența celor două instituții cheie anticorupție din Ucraina, potrivit parlamentarilor din opoziție și organismelor de supraveghere. Aceștia au avertizat că, dacă vor fi adoptate, amendamentele ar împiedica anchetele celor două agenții asupra autorităților sau persoanelor apropiate președintelui.” Publicația ucraineană precizează și că decizia lui Zelenski de a aproba reforma va schimba cu siguranță imaginea țării în Europa, mai ales în privința aderării la uniune. La Repubblica este de acord că Ucraina tocmai a pus în pericol eforturile sale de până acum de a se apropia de Uniunea Europeană: „Lupta împotriva corupției endemice care a ținut Ucraina în strânsoare timp de decenii a dus la îmbunătățiri în ultimii ani. Este una dintre condițiile cheie pentru aderarea Kievului la Uniunea Europeană. Așadar, nu este o coincidență că Marta Kos, comisar european pentru extindere, și-a exprimat îngrijorarea cu privire la această contra-reformă, care extinde puterile președintelui și reprezintă un „pas înapoi” față de progresele înregistrate de Kiev în ultimii ani.” În consecință, Ucraina se aproprie din ce în ce mai mult de Rusia, spune The Spectator: „Lupta pentru viitorul Ucrainei se dă nu numai pe câmpul de luptă, ci și în cadrul instituțiilor sale democratice. Una dintre aceste bătălii a fost pierdută ... Legea apropie ucrainenii de țara pe care vor să o părăsească cu disperare. Dacă nu va fi respinsă, președintele Zelensky riscă să-i împingă pe oameni înapoi în Piața Independenței pentru o altă revoltă Maidan. Acest moment ar putea fi mai aproape decât crede el.”, se plânge ziarul britanic. Surprins de reacția provocată, președintele ucrainean a aprobat un alt proiect de lege care ar restabili independența autorităților anti-corupție. Însă răul a fost deja făcut, critică The Guardian. „Pentru mulți, această criză reprezintă punctul culminant al îngrijorărilor legate de stilul său de guvernare și de comportamentul unora dintre cei din anturajul său. De asemenea, ea are ecouri alarmante ale predecesorilor săi. [...] De asemenea, este îngrijorător faptul că președintele a încercat să discrediteze agențiile anticorupție vorbind despre „legături cu Rusia”. Ce este de facut în continuare? se întreabă publicația britanică. „El ar trebui să recâștige sprijinul în țară și în străinătate nu numai prin restabilirea independenței anchetatorilor anticorupție, ci și prin luarea în considerare a lecțiilor mai ample despre așteptările justificate ale poporului față de guvernul său.” Grupaj realizat de Mădălina Șerban
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Settimo giorno di scontri fra Israele e Iran, sempre con l’incognita Trump. Con noi Claudio Bertolotti, direttore di Start Insight.Garlasco: riparte l’incidente probatorio. Ci racconta la giornata Massimo Pisa, giornalista de La Repubblica.Ha un nome la vittima il cui corpo è stato ritrovato a Villa Pamphili insieme ad una bambina di poco meno di un anno. Si chiamava Anastasia Trofimova. Ci racconta di più Fulvio Fiano, giornalista de Il Corriere della Sera.Oggi è stato il giorno della presentazione di Gennaro Gattuso come nuovo Ct della Nazionale. Ci racconta com’è andata il nostro Dario Ricci.
Ilaria Bonacossa"Meriggiare pallido e assorto"Eugenio Montale: 100 immagini per i 100 anni di Ossi di Seppia.Palazzo Ducale, Genova - fino al 29 giugno 2025https://palazzoducale.genova.it/mostra/2025-meriggiare-pallido-e-assorto/Mostra a cura di Ilaria Bonacossa e Paolo Verri con Michela Murialdo.Una co-produzione a cura di Fondazione Arnoldo e Alberto Mondadori, Palazzo Ducale di Genova ed Electa.Realizzata grazie al contributo concesso mediante l'Avviso pubblico Strategia Fotografia promosso dalla Direzione Generale Creatività Contemporanea del Ministero della Cultura.Catalogo: ElectaA 100 anni dalla prima pubblicazione di Ossi di seppia, la Fondazione Arnoldo e Alberto Mondadori in collaborazione con la Fondazione Palazzo Ducale di Genova organizza la mostra Meriggiare pallido e assorto. Eugenio Montale: 100 immagini per i 100 anni di Ossi di Seppia. Fotografie di Iole Carollo, Anna Positano, Delfino Sisto Legnani. Ossi di seppia è uno dei testi poetici che hanno segnato l'intero Novecento non solo italiano, ridefinendo il ruolo della poesia nei confronti della realtà, nei confronti della quale, come scrive Gianfranco Contini, Montale non ha nessuna certezza.Qualcosa del genere sta accadendo oggi alle immagini, allo status stesso del vedere: se ne discuterà insieme a tre giovani talenti della fotografia italiana – Iole Carollo, Anna Positano e Delfino Sisto Legnani – che, prendendo spunto dal capolavoro montaliano, realizzeranno 99 scatti originali che verranno offerti al pubblico di Palazzo Ducale di Genova. Le fotografie saranno la parte principale di una mostra che includerà anche edizioni originali (messe a disposizione da Fondazione Arnoldo e Alberto Mondadori e da Beppe Manzitti, collezionista di Edizioni Originali di Letteratura italiana del Novecento), appunti, diari, fotografie d'epoca che tracceranno il percorso poetico che dalla prima edizione degli Ossi porta al 1975, anno in cui a Montale viene attribuito il Premio Nobel per la letteratura.L'evento del Nobel avrà un concreto approfondimento grazie alla documentazione di Epoca e alle foto originali di Domenico Porzio che accompagnò alla proclamazione il poeta genovese.In occasione della mostra si svolgerà un “public program” molto intenso, condiviso con l'Università di Genova e con il Comune di Genova, che avvieranno nell'occasione un percorso di visita en plein air dei luoghi montaliani.La mostra sarà a ingresso gratuito ed è realizzata grazie al contributo concesso mediante l'Avviso pubblico Strategia Fotografia promosso dalla Direzione Generale Creatività Contemporanea del Ministero della Cultura. ll catalogo sarà a cura di Electa.Iole Carollo (1977) è una fotografa e ricercatrice indipendente con una formazione in archeologia, con una laurea in Conservazione dei Beni Culturali e una specializzazione in Archeologia Minoica e Micenea. La sua pratica fotografica esplora l'incontro tra antico e contemporaneo, con un'attenzione particolare alla rappresentazione della storia umana attraverso l'arte e l'archeologia. Collabora con istituzioni pubbliche e private e con artisti contemporanei, realizzando campagne fotografiche, cataloghi d'arte e pubblicazioni scientifiche nel campo archeologico e artistico. I suoi interessi abbracciano l'esoeditoria, i processi comunitari e la forma archivio. Nel 2021 è stata selezionata dall'ICCD per documentare il patrimonio culturale del Sud Italia nel progetto PON Itinerari Digitali. È stata anche invitata come fotografa/artista nel 2022 per il progetto europeo FitForThem, all'interno del Workshop CreaLab organizzato dalle università di Valencia, Palermo e Opole, dove ha condiviso la propria riflessione sulla migrazione. Le sue fotografie sono state pubblicate in riviste come Il Venerdì de La Repubblica, Il Giornale dell'Arte, Il Corriere della Sera, Artribune, Annali della Scuola Normale Superiore di Pisa e sono presenti in collezioni private e istituzionali, tra cui il Polo Regionale di Palermo per i Parchi e i Musei Archeologici, Museo Antonino Salinas. Co-fondatrice di Église, associazione culturale che promuove la cultura visiva, è inoltre parte del festival Zines Palermo dal 2019.Anna Positano è una fotografa e ricercatrice indipendente con una formazione in architettura. Il suo lavoro si concentra sui paesaggi alterati dall'uomo da una prospettiva materialista ed esplora l'anti-capitalismo, le teorie postcoloniali e l'ecologia. Oltre alla sua attività di ricerca, lavora su commissione per architetti, riviste e istituzioni. È socia fondatrice dello Studio Campo.Delfino Sisto Legnani, dopo essersi laureato in Architettura, ha iniziato a lavorare come fotografo freelance per le più importanti riviste e giornali indipendenti e istituzionali. Grazie al suo originale punto di vista e ad un approccio progettuale all'obiettivo fotografico, con i suoi colleghi di DSL Studio sono diventanti un punto di riferimento internazionale per la fotografia di architettura e design. In alternanza tra reportage, fotografia di architettura e still life, i suoi progetti personali sono stati premiati ed esposti in musei e istituzioni come la Biennale di Venezia, the Victoria & Albert Museum in London, Triennale di Milano, Chicago Architecture Biennale, Manifesta 12, MAXXI, nonché in numerose gallerie e mostre"Meriggiare pallido e assorto"Electa www.electa.itIl volume Electa accompagna la mostra Meriggiare pallido e assorto. Eugenio Montale: 100 immagini per i 100 anni di Ossi di seppia (13 maggio - 29 giugno 2025) organizzata da Fondazione Arnoldo e Alberto Mondadori, Palazzo Ducale Fondazione per la Cultura ed Electa, promossa da Regione Liguria e Comune di Genova. Il progetto è sostenuto da Strategia Fotografia 2024, promosso dalla Direzione Generale Creatività Contemporanea del Ministero della Cultura in occasione del centenario della raccolta di Eugenio Montale. A partire dalle sue poesie, tre fotografi hanno accettato la sfida di ‘dialogare' con il poeta ligure, puntando l'obiettivo sui suoi luoghi, reali e lirici. Come anche Ugo Mulas fece quando nell'estate 1962 realizzò una serie di scatti di paesaggio, confrontandosi con Ossi di Seppia.Iole Carollo, Anna Positano, Delfino Sisto Legnani hanno dato una rilettura visiva delle poesie di Montale con tre proposte divergenti per linguaggi, approcci e sensibilità che ha determinato una meditazione fotografica che si muove tra fedeltà e interpretazione, attualità e memoria, paesaggi reali e interiori. Il libro e la mostra puntano così ad approfondire il rapporto tra poesia e immagine, parola e visione; a riflettere sull'ispirazione reciproca delle due ‘arti' e al contempo sulla loro autonomia sollevando questioni radicate ma attuali attorno concetti di ‘descrizione, ‘interpretazione', ‘illustrazione' nel confronto tra verbale e visivo.I saggi critici in catalogo di Marcello Ciccuto e Elio Grazioli delineano inoltre lo sguardo montaliano, col suo rapporto problematico con la fotografia ma anche le risonanze tra poesia e paesaggio: se da un lato Montale diffidava della fotografia intesa come mera riproduzione, dall'altro i suoi componimenti sono attraversati da immagini potenti, sintetiche, essenziali; un'estetica che oggi trova nuovi interlocutori nello sguardo dei tre fotografi.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Naționalist-conservatorul Karol Nawrocki a câștigat alegerile prezidențiale din Polonia. Cu ce consecințe pentru Europa? - se întreabă comentatorii. ”Boxerul câștigă în turul al doilea – o catastrofă din perspectiva guvernului liberal al lui Donald Tusk”, scrie Der Spiegel, făcând referire la sportul practicat în tinerețe de Nawrocki.”În Polonia, victoria la limită a lui Karol Nawrocki subminează eforturile lui Donald Tusk de a consolida Europa”, titrează Le Monde.”Eforturile diplomatice ale Poloniei de a consolida Europa în fața retragerii SUA și de a sprijini Ucraina vor avea probabil de suferit”.Și ziarul belgian De Standaard consideră că rezultatul aduce o presiune puternică asupra poziției pro-europene a prim-ministrului Tusk.”Încă de când a preluat mandatul, la sfârșitul anului 2023, Tusk a căutat legături mai strânse cu Franța, Germania și Regatul Unit. Probabilitatea este mare ca, sub conducerea lui Nawrocki, confruntările cu Europa să devină tot mai frecvente în următorii ani.”The Independent observă că ”spre deosebire de alți eurosceptici din Europa Centrală, precum premierul slovac Robert Fico sau Viktor Orban al Ungariei, Nawrocki susține acordarea de ajutor militar pentru Ucraina.Însă a declarat că, dacă va fi ales, se va opune aderării Ucrainei la alianțele occidentale, o poziție care încearcă să se contopească cu scăderea sprijinului pentru ucraineni în rândul polonezilor”.Politico scrie că ”rezultatul strâns al alegerilor arată diviziunile politice profunde din Polonia - între orașele mari, mai liberale și orașele și satele mai mici și conservatoare, între cei care susțin UE și cei care favorizează naționalismul și între liberali și oamenii care respectă valorile tradiționale și un rol important pentru Biserica Romano-Catolică”.*Un alt subiect de interes în presa internațională: care vor fi consecințele spectaculoasei acțiuni a Ucrainei pe teritoriul Rusiei? ”Atacul scoate la iveală vulnerabilitatea lui Putin”, transmite NBC News.Expertul consultat de rețeaua de televiziune crede că „ne putem aștepta la mult zgomot și furie din partea Moscovei. Aceasta va depune eforturi mari pentru a convinge Statele Unite să încerce să țină Ucraina în frâu.Într-un fel, întrebarea mai importantă este cum reacționează Statele Unite și cât de dornice sunt să ia partea Moscovei și să constrângă Ucraina”, a spus expertul.La Repubblica se teme de un contraatac nuclear:„Filmările care circulă pe rețelele de socializare sunt cea mai profundă rană adusă imaginii de om puternic pe care Vladimir Putin și-a construit autoritatea. Acum toată lumea este îngrijorată de reacția sa. Conform regulilor Moscovei, acest atac asupra bazelor strategice este suficient pentru a declanșa autorizarea unui răspuns nuclear împotriva Ucrainei.”Și, după cum analizează BBC, ”bombardierele strategice lovite de Ucraina nu sunt doar instrumente de război, ci sunt simboluri ale puterii nucleare și ale invulnerabilității strategice a Rusiei.De decenii, Moscova trimite astfel de bombardiere în misiuni în întreaga lume pentru a proiecta o imagine a unei superputeri nucleare de neatins.Acum, această imagine a fost grav afectată”.
MarcoTurati"Porte Aperte Festival"L'Associazione Culturale Porte Aperte, il Centro Fumetto Andrea Pazienza, il gruppo dei curatori insieme al Comune di Cremona, annunciano la nuova edizione del Porte Aperte Festival che quest'anno celebra il suo decimo compleanno e si svolgerà dal 5 all'8 giugno 2025.I curatori del PAF, Andrea Cisi, Mario Feraboli, Michele Ginevra, Marco Turati e Marina Volonté, mentre cominciano ad accendersi i motori della macchina organizzativa, lasciano trapelare le prime novità sui tanti appuntamenti che animeranno Cremona all'inizio di giugno, offrendoci un assaggio di questa decima edizione del PAF.Manuele Fior è l'autore del manifesto di questa nuova edizione: artista pluripremiato e di respiro internazionale, è uno degli autori più apprezzati sia in Italia che all'estero, con all'attivo numerosi riconoscimenti. Fior collabora con le sue illustrazioni a riviste e quotidiani come “The New Yorker”, “Le Monde”, “Vanity Fair”, “la Repubblica” e “Il Sole 24 Ore”, oltre a case editrici come Feltrinelli, Einaudi, EL. L'opera di Fior vuole dare vita al tema Gener-Azioni che quest'anno sarà il cuore pulsante del festival e accompagnerà le numerosissime iniziative della manifestazione.Ci troviamo infatti in un'epoca particolare: un crocevia in cui le sfide intergenerazionali si intrecciano in modo indissolubile con le dinamiche di genere e la necessità impellente di creatività. Il crescente gap generazionale, alimentato dalle preoccupazioni ambientali che gravano pesantemente sul futuro dei giovani crea sempre maggiori frizioni e incomprensioni e le nuove generazioni si sentono spesso inascoltate e gravate da responsabilità non proprie.Parallelamente, le questioni di genere stanno vivendo una profonda trasformazione. La lotta per le pari opportunità, purtroppo ben lungi dal perseguire i propri obiettivi, si affianca alla crescente consapevolezza dell'importanza dell'inclusione e della fluidità delle identità. Le rigide categorie del passato si dissolvono, aprendo spazio a una visione più ampia e rispettosa della diversità in tutte le sue forme. Questa evoluzione appare fondamentale per costruire una società più equa, dove la diversità di genere non sia più un fattore limitante, ma una ricchezza da celebrare.È proprio in questo contesto complesso che emerge con forza il concetto di generatività, intesa come capacità di innovare. La creatività può diventare quindi uno strumento per superare divisioni, creare ponti tra le generazioni, sviluppare politiche inclusive, combattere nuove battaglie in forme inedite e trovare risposte efficaci anche ai nodi più critici della fase attuale. Le esperienze maturate nel tempo dalle generazioni più anziane e l'energia innovativa dei giovani, unite alla sensibilità e alla consapevolezza portate avanti dai movimenti per l'uguaglianza di genere, possono produrre un confronto fecondo e cambiamenti positivi, per costruire un futuro più giusto, equo e sostenibile per tutti e tutte.La decima edizione del PAF, con lo sguardo sempre rivolto alla contemporaneità, proverà dunque a indagare alcune di queste sollecitazioni. Lo farà proponendo come sempre opere dell'arte e dell'ingegno umano, generi letterari e artistici diversi, storie, racconti, canzoni, immagini e suggestioni.Tra le novità del 2025 la location degli appuntamenti compresi tra le 13:00 e le 18:00, che saranno ospitati nel Cortile di Palazzo Roncadelli Manna in via Colletta. I restanti appuntamenti avranno luogo la mattina nel Cortile di Palazzo Affaitati e dalle 18:00 a mezzanotte in Cortile Federico II.Visto il grande interesse riscosso in questi due anni, il giovedì pomeriggio sarà ancora dedicato all'appuntamento con il nostro festival-nel-festival “Alter: le stanze della traduzione”. Un serie di incontri con traduttori e traduttrici da lingue diverse, che ha registrato il tutto esaurito e che quest'anno si svolgerà nel Cortile di Palazzo Roncadelli Manna.Per il segmento del fumetto, come da tradizione, sarà tra gli altri presente proprio l'autore della grafica 2025, Manuele Fior, che accompagnerà gli appassionati all'interno del suo mondo onirico e intrigante.Per la letteratura viene proposto un pezzo da novanta della scena italiana: Edoardo Albinati, scrittore, traduttore e sceneggiatore italiano, vincitore nel 2016 del Premio Strega con “La scuola cattolica” e di altri prestigiosi premi. Ha lavorato presso l'Alto commissariato ONU per i rifugiati in Afghanistan e nel 2004 ha partecipato a una missione dell'UNHCR in Ciad, pubblicando reportage sul Corriere della Sera, The Washington Post e La Repubblica. Al PAF presenterà la sua nuova opera “I figli dell'istante” (Rizzoli, 2025).Per la musica, sarà in scena presso Cortile Federico II, rinnovato e restaurato, Gianni Maroccolo con lo spettacolo/concerto “Il sonatore di basso”, ispirato alla sua lunga carriera di musicista e produttore delle migliori rock band italiche degli anni '80, '90 e '00 (Litfiba, CSI, PGR, Marlene Kuntz, Beau Geste e molte altre). Gianni Maroccolo sarà accompagnato sul palco da Andrea Chimenti (già cantante dei Moda), da Mur Rouge (chitarra e basso) e da Andrea Salvi (voce narrante).L'assessore al Turismo, Luca Burgazzi, dichiara: “Il PAF è diventato nel tempo uno dei momenti più significativi e attesi della vita culturale cremonese. Il tema di quest'anno, Gener-Azioni, ci invita a riflettere su ciò che unisce, piuttosto che su ciò che divide, a riscoprire la forza della creatività come strumento per costruire ponti e immaginare insieme un futuro più giusto e aperto”.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Il governo impugna la legge del Trentino sul terzo mandato, nonostante la contrarietà della Lega. Ne parliamo con Emilia Patta, commentatrice politica de Il Sole 24 Ore.La sindaca di Merano Zeller si toglie la fascia tricolore poi si difende: “La porterò con rispetto”. Ci racconta cosa è successo Carmelo Salvo, cronista del Corriere dell’Alto Adige.Il presidente americano Donald Trump ha avuto oggi una conversazione di due ore con Vladimir Putin, ma quali saranno le conseguenze? Con noi per parlarne Alessandro Marrone, responsabile del programma Difesa, sicurezza e spazio dell’Istituto Affari Internazionali e Marco Valsania, corrispondente de Il Sole 24 Ore da New York. Intimidazioni al Foggia Calcio, arresti e daspo. Sentiamo Luca Guerra, giornalista de La Repubblica e Telesveva.
IT'S LE MONDE'S WORLD AND WE'RE JUST LIVING IN IT—Name a major newspaper—anywhere in the world—and you will find a magazine. Or two. Or three. The New York Times is the obvious example of this. The Times of London is another obvious example. And now more and more legacy newspapers from around the world are publishing their magazines in English.La Repubblica in Italy publishes D. And now France's venerable Le Monde is out with M International, a glossy biannual that distills their weekly M magazine for an English-speaking audience.Long called “the newspaper of reference” in France, Le Monde occupies an oversized space in the French media. When the Olympics returned to Paris, Le Monde decided to create an english version of their newspaper for the web. Then they decided to create the magazine—in English—something that not just added an extra piece of land to their media ecosystem, but one that pleased their advertisers as well. We spoke to Louis Dreyfus, the CEO of Le Monde about the business case for English, how the magazines attract new readers to the newspaper, the power of print, and how AI is one of the reasons Le Monde can create in english in the first place.—This episode is made possible by our friends at Freeport Press. A production of Magazeum LLC ©2021–2025
Sondaggio in una scuola di Bassano: “Chi meritava di morire tra Tramontano, Anastasi e Cecchettin?”. Con noi per parlarne Giuseppe Lavenia, psicologo e psicoterapeuta, presidente Di.Te. (Associazione Nazionale Dipendenze Tecnologiche Gap e Cyberbullismo). Proseguiamo parlando di tutte le novità sul delitto di Garlasco. Ci colleghiamo con Massimo Pisa, giornalista de La Repubblica. Alla fine a Istanbul si è tenuto il vertice fra Ucraina e Russia. Discutiamo dei risultati insieme a Riccardo Alcaro, coordinatore delle ricerche e responsabile del programma "Attori globali" dell'Istituto Affari Internazionali.E come ogni venerdì diamo spazio ai reportage della redazione di Radio 24. Questa settimana “Euroreportage-EuroMusic: Fan d'Europa, in musica”. Di Marta Cagnola. Il meteo del fine settimana, con Mattia Gussoni, de IlMeteo.it.
Continuăm cu reacțiile din presa internațională în urma primului tur al alegerilor prezidențiale din România. Jurnaliștii îl potretizează în diferite moduri pe câștigătorul primei runde, George Simion. Potrivit revistei franceze Le Point, observatorii spun că victoria lui George Simion în turul doi ar putea izola țara, ar putea limita investițiile private și ar putea destabiliza flancul estic al NATO, unde Ucraina se află în război cu Rusia.Frankfurter Allgemeine Zeitung vorbește despre ”Efectul Georgescu: Mulți români au perceput anularea primei tentative de alegeri prezidențiale ca fiind un act de aroganță. Candidatul de dreapta, acum principal, George Simion, a putut profita de acest lucru”.Istoria se repetă, spune La Repubblica, ziar italian citat de Eurotopics:„Simion dovedește că modelul suveranist este foarte popular în multe țări din fostul Bloc Estic. Scenariul este foarte similar în Ungaria, Slovacia, Polonia și acum România: victimizare și nostalgie pentru vremurile bune de altădată, ostilitate față de elite, euroscepticism, antimigrație, naționalism grosolan și aversiunea față de Ucraina. ... Simion a subliniat că «singura sa misiune este restabilirea ordinii constituționale și a democrației».””Huligan, fan Trump și vedetă pe rețelele de socializare: Cine este George Simion, liderul extremei drepte din România?”. Sub acest titlu, Libération îi face portretul lui George Simion.”Tânăr și carismatic, președintele partidului naționalist și eurosceptic AUR tocmai a câștigat primul tur al alegerilor prezidențiale din România la o diferență semnificativă”.Ziarul invocă gigantica nuntă în aer liber ”organizată după modelul liderului fasciștilor români în 1925”.De asemenea, Simion ”a combinat populismul cu promovarea tradițiilor - toată mâncarea servită era garantată a fi de origine românească plus stăpânirea rețelelor sociale. Nunta a fost transmisă în direct pe pagina de Facebook a partidului. De asemenea, au fost participanții: un amestec vast de preoți ortodocși, mici antreprenori locali, polițiști pensionari și tineri care îl văd pe George Simion drept purtător de cuvânt al generației lor.În acea zi însorită, politicianul a fost aplaudat cu strigăte de „George, Președinte!”. Perspectiva părea improbabilă la vremea respectivă. Dar Simion este acum în măsură să devină următorul șef de stat al României”.Iar Le Monde notează că ”domnul Simion are o relație ambiguă cu domnul Georgescu și nu împărtășește retorica sa radicală anti-UE și anti-NATO.Cu toate acestea, duminică, a mers să voteze cu el. Apoi, a reiterat că, dacă va fi ales, intenționează să „respecte voința poporului, aceea de a-l avea pe Georgescu [la putere]”.A adus în discuție, în special, ideea organizării unui „referendum”, a convocării unor „alegeri parlamentare anticipate” sau a „formării unei coaliții astfel încât [dl. Georgescu să poată] deveni prim-ministru”.Aceste promisiuni rămân discutabile, deoarece dl. Simion nu este cunoscut pentru înclinația sa spre împărțirea puterii”.
La Repubblica di Firenze e la dinastia dei Medici segnarono il Rinascimento con Cosimo e Lorenzo. Scopri la loro ascesa e il declino della dinastia.
Emilio Radice"Oltre il confine della paura"Viaggio in moto nell'Afghanistan dei TalebaniNeos Edizioniwww.neosedizioni.it “In Afghanistan con la motocicletta. Era un sogno che avevo da quando ero ragazzo e ho capito che avrei potuto realizzarlo soltanto il 15 agosto del 2021, quando i talebani occuparono Kabul e gli americani furono costretti a una fuga convulsa”. Emilio Radice, giornalista, viaggiatore e motociclista di lungo corso, nell'aprile del 2023 decide di provare a entrare nel Paese in sella alla sua Aprilia Tuareg 660. Attraversa l'Anatolia, il Kurdistan iraniano, il Belucistan persiano, fino a Mashhad, alle porte con l'Afghanistan. Da qui, non senza difficoltà, ottiene il visto per accedere nel Paese dei talebani. In sella alla moto segue quello che resta della statale A1, l'unica strada afghana che permette oggi di attraversare un Paese reduce da quarant'anni di guerre e conflitti interni. Scoprendo, tappa dopo tappa, la storia e le bellezze millenarie di questa terra, crocevia tra cultura occidentale e orientale. Herat, con il suo castello e i minareti del Mosallah, quindi Kandahar, Bamiyan, Kabul, l'Hindukush.Nei piccoli villaggi Emilio Radice trova la povertà estrema, la discriminazione, il fondamentalismo, la diffidenza dei talebani, ma superati i primi ostacoli scopre una popolazione accogliente, mossa da una profonda dignità, un popolo orgoglioso e determinato a mostrare di sé una veste inedita.Il volume è corredato da un ampio album fotografico accessibile tramite Qrcode. Emilio Radice, romano, settantacinque anni, è stato giornalista a “Paese Sera” e poi a “La Repubblica”, attivo in specie sul sociale (manicomi, carceri, lotta alla droga). È autore di due programmi radiofonici Rai, Altrimenti insieme e Il triangolo d'oro, e ha pubblicato Rose al veleno (stalking) e Cocaparty per Bompiani. Come reporter per l'inserto “Viaggi di Repubblica” ha visitato molti Paesi del mondo, ma la sua passione sono i lunghi e solitari viaggi in motocicletta scegliendo il Medio Oriente e il Centro Asia come luoghi di predilezione. Senza tour operator e prenotazioni, fedele al principio che un buon viaggio si costruisce giorno per giorno, è stato fra l'altro nel Kurdistan iracheno, in Siria, Georgia, Armenia, Russia, Kazakhistan, Kirghizistan, Tagikistan, Uzbekistan, Azerbaijan, più volte in Iran e, in ultimo, in un Afghanistan appena uscito dalla guerra e dominato dai talebani. IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Giovanni De Luna"Un domenica d'aprile"Piazzale Loreto 1945: una fine, un inizioMondadori Editorewww.mondadori.itTutti i cittadini italiani sanno cosa è accaduto a piazzale Loreto, a Milano, nell'aprile del 1945: l'esposizione del cadavere di Mussolini appeso a testa in giù resta come simbolo della fine di un regime e di una guerra, entrambi catastrofici per l'Italia. Ma quel momento e quel luogo non sono solo un simbolo, o un episodio risaputo, e a ottant'anni esatti di distanza Giovanni De Luna riesce a darcene dimostrazione, con una ricostruzione ravvicinata che è insieme un'interpretazione originale. Una ricostruzione ravvicinata, perché il fuoco si stringe sulla città di Milano, il luogo dove era stato fondato il primo Fascio di combattimento nel 1919, dove erano stati fucilati e insepolti i quindici martiri partigiani dell'agosto 1944, dove Mussolini fece il suo ultimo bagno di folla ancora nel dicembre di quell'anno. E perché quella giornata, una domenica d'aprile di festa e di orrore, viene raccontata ora per ora attraverso una miriade di testimonianze "dal basso": diari, fotografie, lettere, ricordi di gente comune. E insieme un'interpretazione originale, perché a piazzale Loreto accadono avvenimenti che esigono di essere compresi, se non giudicati. La folla che fa scempio del cadavere del Duce è la stessa che lo applaudiva al Teatro alla Scala solo qualche mese prima? Come è possibile che si festeggi la fine di un regime violento abbandonandosi alla violenza? Cosa lascia in eredità quel giorno alla rinata Italia? «Pochi giorni dopo, della folla di piazzale Loreto non restavano tracce evidenti se non nella memoria di chi c'era stato. Si respirava ormai un'altra aria. Ancora qualche anno e, come in un gigantesco processo di rimozione collettiva, il ricordo di quella domenica di aprile sembrava già come si fosse inabissato.» Ma rimuovere il passato non è mai senza conseguenze e guardare in faccia la folla di piazzale Loreto resta fondamentale anche nell'Italia di oggi.Giovanni De Luna è stato ordinario di Storia contemporanea all'Università di Torino e ha pubblicato, tra i suoi libri più recenti, La passione e la ragione. Il mestiere dello storico contemporaneo (Bruno Mondadori), La Resistenza perfetta (Feltrinelli 2015). La Repubblica inquieta (Feltrinelli 2017). Con Aldo Agosti, Juventus, storia di una passione italiana, Utet, 2019. Editorialista de La stampa, è autore di fortunate trasmissioni radiofoniche e televisive. È tra i volti di Rai storia ed è membro del Comitato scientifico della Fondazione Feltrinelli.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Hablamos con Marco Politi, escritor, editorialista y vaticanista de La Repubblica, que nos habla de cómo era el papa Francisco, por qué decidió seguir apareciendo en actos públicos pese a su frágil estado de salud y qué se espera ahora para suceder al Pontífice.
Gäste: Stormy-Annika Mildner, Aspen-Institut Deutschland, Maxim Kireev, Russland-Experte und ehem. Russland-Korrespondent, ZEIT ONLINE, Daniel Goffart, Brüssel-Korrespondent, WirtschaftsWoche, und Tonia Mastrobuoni, Berlin-Korrespondentin, La Repubblica, Italien Von Anke Plättner.
In apertura di trasmissione ci colleghiamo con Gianmario Bonzi di Eurosport per un aggiornamento sull'incidente occorso questa mattina a Federica Brignone nella seconda manche del gigante femminile dei Campionati Italiani, all'Alpe Lusia (Tn). Le notizie per la sciatrice non sono buone: frattura scomposta del piatto tibiale e della testa del perone della gamba sinistra.Voltiamo pagina sulla Coppa Italia con Franco Ordine del Giornale: un gol a testa e chi andrà in finale tra Milan e Inter si deciderà nel derby di ritorno del 23 aprile. Ci occupiamo anche della bufera che sta attraversando il mondo della ginnastica ritmica italiana insieme a Matteo Pinci che oggi ne scrive su La Repubblica, con degli aggiornamenti importanti. In questa puntata di Endurance Race con Roberto Lacorte di Cetilar Racing e Gionata Ferroni, parliamo dell'operazione nostalgia con cui la F1 sta riflettendo su un possibile ritorno al motore V10.
Welcome in for another edition of the Morning Espresso from the SDH Network, brought to you by Oglethorpe University, Atlanta's premier undergraduate learning experience and soccer powerhouse.Lionel Messi braved the negative wind chills in Kansas City to lead his Inter Miami side to a 1-0 win in their Concacaf Champions Cup opener. Javier Mascherano with his first competitive win in charge of the club, he said the conditions were "not human".Cincinnati and Seattle went to Central America to get wins in their competitive debuts for 2025, Kevin Denkey and Evander scored for Cincinnati in a 4-1 win over Motagua while Paul Arriola scored for Seattle in Guatemala in a 3-1 win over Antigua. RSL drew 0-0 in Costa Rica against Herediano.According to Axios, DC United wants to add up to 10K seats to Audi Field and have a partially retractable roof. Early stages, but it has been discussed for about a year.Serie A had a disastrous Champions League campaign this year with Milan, Atalanta, and now Juventus all eliminated at the knockout stage. Juventus were the latest ones to go, losing yesterday in the Netherlands to PSV.Milan have more issues as La Repubblica reports this morning that Christian Pulisic wants out if the club keeps manager Sergio Conceiçao for next season.USMNT striker Alex Zendejas has contributed to goals in 6 straight games for Club America as Las Aguilas drew 1-1 with Club Leon, thanks to a goal from Colombian star James Rodriguez.The US U16's are training in Florida, Atlanta United academy goalkeeper James Donaldson is part of the group.Luis Rubiales, the former head of the Spanish FA, was charged and found guilty of kissing Jenni Hermoso without consent, he'll have to pay €10,000 but he avoided jail time as he was acquitted of coercion.More Espresso on Friday on the SDH Network, presented by Oglethorpe University.
Mamma Mia! A major hacking scandal in Italy has expanded to include alleged involvement from Israel and the Vatican, and just why are companies advertising jobs that don't exist?All this and more is discussed in the latest edition of the "Smashing Security" podcast by cybersecurity veterans Graham Cluley and Carole Theriault.Warning: This podcast may contain nuts, adult themes, and rude language.Episode links:Massive hack-for-hire scandal rocks Italian political elites - Politico.Dossieraggi, i contatti con il Mossad e i dati passati al Vaticano. “Aiutiamo la Chiesa contro la Russia o no?” - La Repubblica.That position you just applied for might be a 'ghost job' that'll never be filled - The Register.Ghost jobs: why do 40% of companies advertise positions that don't exist? - The Guardian.Job boards are still rife with 'ghost jobs'. What's the point? - BBC.How To Spot Ghost Jobs And Make Your Job Search More Efficient - Forbes.What Are Ghost Jobs and How Can You Avoid Them? - Tech.coThat job you applied for might not exist. Here's what's behind a boom in "ghost jobs." - CBS News.The Coming Storm - BBC Radio 4.Things fell apart - BBC Sounds.Smashing Security merchandise (t-shirts, mugs, stickers and stuff)Sponsored by:1Password Extended Access Management – Secure every sign-in for every app on every device.Vanta – Expand the scope of your security program with market-leading compliance automation… while saving time and money. Smashing Security listeners get $1000 off!Flashpoint - Access the industry's best threat data and intelligence.SUPPORT THE SHOW:Tell your friends and colleagues about “Smashing Security”, and leave us a review on Apple Podcasts or Podchaser.Become a supporter via Patreon or