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Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 28 mars 2023 avec Philippe Caverivière.
EXPERTS DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol Fondation pour l'innovation politique NEILA LATROUS Cheffe adjointe du service politique - « France Info » VANESSA SCHNEIDER Grand reporter - « Le Monde » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Journée décisive ce lundi pour le gouvernement dont le destin est lié aux deux motions de censure examinées à partir de 16 heures à l'Assemblée nationale. Deux textes, l'un du Rassemblement national, l'autre transpartisan, déposé par le groupe centriste LIOT (Libertés, Indépendants, Outre-Mer et Territoires), voté par la Nupes, le RN mais aussi une partie des députés LR. De quoi donner des sueurs froides à l'exécutif… Le seuil à atteindre est 287 voix, la majorité absolue. Dans ce cas, la réforme des retraites serait rejetée et le gouvernement renversé. Les yeux sont donc aujourd'hui rivés sur les 61 députés LR qui détiennent les clés de ce scrutin. "Nous ne voterons aucune motion de censure. Nous ne voulons pas rajouter du chaos au chaos", a assuré le président du parti, Eric Ciotti, à l'issue d'une réunion du groupe LR. Mais lors de cet échange, ils ont été malgré tout douze députés à s'être exprimés en faveur d'une motion de censure et 31 contre. Plusieurs d'entre-deux, dont Aurélien Pradié, ont depuis confirmé vouloir voter la motion de censure déposée par le groupe LIOT, quand d'autres demeurent silencieux. Alors combien y aura-t-il de frondeurs chez LR ? Le déclenchement jeudi dernier de l'arme constitutionnelle du 49.3 par la Première ministre pour faire passer sans vote la réforme des retraites n'a fait qu'attiser la contestation dans le pays et ouvert une crise politique majeure. Depuis jeudi, des rassemblements organisés ou spontanés se déroulent sur tout le territoire. Transports, énergie, école… les blocages se multiplient. En attendant une nouvelle journée d'actions le 23 mars à l'appel de l'ensemble des organisations syndicales, la grève se durcie dans les raffineries. Les syndicats ont affirmé ce lundi que d'ici à demain soir les sept raffineries de métropole seront totalement bloquées et dans les Bouches du Rhône de nombreuses stations-service sont déjà affectées par des pénuries de carburants. Les éboueurs poursuivent également leur mouvement à Paris, Rennes ou Nantes. Des arrêts de travail de surveillants étaient également redoutés dans les lycées, pour la première journée des épreuves de spécialité du bac 2023 et des surveillants supplémentaires ont été convoqués par le ministère de l'Education. Face à la colère exprimée, Emmanuel Macron a souhaité dimanche dans un communiqué que la réforme "puisse aller au bout de son cheminement démocratique dans le respect de tous". Le président de la République a également indiqué que tout est fait pour protéger les parlementaires qui soutiennent la réforme et dont les permanences sont parfois vandalisées. Ce qui fut le cas de celle d'Éric Ciotti, caillassée ce week-end à Nice. De plus en plus d'élus font également remonter les "pressions" qu'ils subissent de la part de leurs électeurs mais aussi de l'exécutif. Les députés de La France insoumise ont demandé ce lundi la création d'une commission d'enquête sur d'éventuelles "pressions" ou promesses de l'exécutif envers des parlementaires pour s'assurer de leur soutien à la réforme des retraites. Alors, pourquoi l'exécutif a-t-il choisi de recourir au 49.3 ? Quelles en seront les conséquences politiques ? Combien de Républicains soutiendront la motion de censure de LIOT ? Comment sortir de la crise politique ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS JÉRÔME JAFFRÉ Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales IVANNE TRIPPENBACH Journaliste politique - « Le Monde » CARL MEEUS Rédacteur en chef - « Le Figaro Magazine » C'est un suspens comme on en a peut être jamais eu dans la cinquième République. 14h55 cet après-midi lorsque la décision tombe, cinq minutes seulement avant le début de la séance à l'Assemblée : l'article 49.3 de la constitution est dégainé pour éviter un vote des députés au Palais Bourbon. C'est la onzième fois que cet outil constitutionnel est utilisé par la Première ministre depuis sa prise de fonctions. Mais cette fois a une importance bien supérieure au vu de la contestation sociale face à cette réforme des retraites. Plusieurs motions de censure devraient être déposées dans les prochaines heures. Une d'entre elles a des chances de faire tomber le gouvernement, elle devrait être déposée par le groupe centriste LIOT (Libertés, Indépendants, Outre-Mer et Territoires) et serait trans-partisane. Le compte n'y était donc pas pour tenter un vote à l'Assemblée Nationale, plusieurs députés Républicains ayant joué avec les nerfs du duo exécutif jusqu'au dernier moment. Emmanuel Macron a donc préféré « la grosse Bertha » à la « roulette russe » pour reprendre la comparaison imagée du sénateur Bruno Retailleau. Un choix « dangereux », selon le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger. La crise politique qui s'ouvre pourrait en effet engendrer une radicalisation dans la rue. De son côté, Elisabeth Borne a déjà signifié accepté être « le fusible » suite à ce nouveau 49.3, ce qui laisse penser que ses jours son comptés rue de Varenne. Les Républicains ont en tout cas joué les poils à gratter du gouvernement. Le parti s'en sort pourtant fragilisé et fortement divisé. Leur chef,Éric Ciotti, semble ne pas avoir su faire preuve d'autorité. Le 49.3 leur permet cependant de ne pas voir leur votes rendus publics, ce que craignaient certains députés hésitants, sous pression dans leur circonscription. Côté intersyndicale, une réunion aura lieu ce soir pour définir de la suite à donner au mouvement. Laurent Berger a déjà annoncé que le bras de fer allait se poursuivre, alors que de nombreux manifestants se massaient dans le quartier du Palais Bourbon cet après-midi. Une multiplication des manifestation et blocages pourraient aussi avoir lieu. Alors, comment s'est imposé le 49.3 à l'exécutif ? Quelles en seront les conséquences politiques ? Les Républicains soutiendront-ils la motion de censure de LIOT ? Quel avenir pour le mouvement social ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction – « Franc-Tireur » NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » ANNE-CHARLÈNE BEZZINA Constitutionnaliste - Enseignante en Droit public BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondage Elabe Quatre jours après une mobilisation record contre la réforme des retraites, l'intersyndicale appelle à une septième journée d'action ce samedi. Plus de 230 rassemblements sont prévus dans toute la France. Entre 800 000 et un million de personnes sont attendues selon les renseignements. Les syndicats avaient promis de mettre la France à l'arrêt. S'ils n'y sont pour l'heure pas parvenus par la grève, ils ne désarment pas. En parallèle des manifestations, les opérations coups de poing se multiplient en effet, entre coupures de courant ciblées, blocage de voies ferroviaires et de dépôts de carburants. Des agents du secteur du gaz et de l'électricité ont coupé ce jeudi le courant du Stade de France et du chantier du village olympique à Saint-Denis, a annoncé le syndicat CGT. Plus tard dans l'après-midi, le distributeur Enedis a toutefois démenti une partie de la coupure : « La ligne électrique qui alimente le stade de France n'a pas été coupée », a indiqué une porte-parole, qui confirme en revanche « des coupures » dans la zone commerciale et résidentielle autour du stade, ainsi que sur le chantier du futur village olympique. Les expéditions de carburants étaient elles toujours bloquées jeudi matin à la sortie de plusieurs raffineries françaises. La jeunesse est, elle aussi, mobilisée. Une journée de mobilisation et d'action a lieu ce jeudi. Plusieurs lycées et universités ont été bloqués. Jeudi toujours, les huit principaux syndicats et cinq organisations de jeunesse ont adressé un courrier au chef de l'État, à qui elles reprochent de rester sourd face à la mobilisation contre ce texte. Les syndicats demandent, depuis la mobilisation massive de mardi, à être reçus à l'Élysée par Emmanuel Macron, estimant que son silence "constitue un grave problème démocratique" et pourrait conduire "immanquablement à une situation qui pourrait devenir explosive". Le président leur a répondu "être à l'écoute" tout en défendant la "nécessité" de la réforme. Il ne le recevra pas. "Les salariés vont recevoir aujourd'hui la réponse du président de la République comme un vrai mépris", déclare Yvan Ricordeau, secrétaire national de la CFDT, chargé des retraites. Le président a argué vouloir respecter le temps du débat parlementaire. À l'Assemblée, justement, la semaine n'a pas été de tout repos, au contraire. La réforme des retraites crée des zones de turbulences chez les députés et sénateurs Les Républicains. À l'approche du vote sur la réforme des retraites, le groupe LR, allié de circonstance indispensable du gouvernement pour l'obtention d'une majorité sur le texte, est divisé entre frondeurs et pro-réforme. Trois mois après l'élection d'Éric Ciotti à sa tête, le parti peine en effet toujours à parler d'une seule voix. Autour de la réforme, les contestations internes se sont aiguisées, notamment lorsque Aurélien Pradié, candidat malheureux à la présidence de LR, a lancé le combat sur les carrières longues. Le député du Lot a affiché une intransigeance qui a exaspéré en interne, aboutissant à son éviction du poste de numéro 2. Mais il n'est pas certain que cet « acte d'autorité » d'Éric Ciotti ait suffit à calmer le jeu. Aurélien Pradié maintient la pression, alors qu'un vote crucial se profile jeudi à l'Assemblée. Pour Pierre Cordier, député apparenté LR, le pronostic est sans appel : "Élisabeth Borne n'aura pas de majorité à l'Assemblée nationale." À l'extrême droite de l'échiquier politique, pendant les quinze jours qu'ont duré les débats à l'Assemblée nationale, Marine Le Pen s'est soigneusement abstenue de livrer sa position sur le sujet et donc de prendre le moindre risque. Ses rares initiatives ont relevé de la seule tactique. Ainsi la motion de censure déposée in extremis, dans la dernière ligne droite, et rejetée par les députés. S'il y a une personnalité et un parti dont on ignore donc tout ou en matière de retraites, c'est bien Marine Le Pen et le RN. Un député de la majorité les a même accusé en séance dans l'hémicycle d'être les "passagers clandestins" de ce texte. Pourtant, au regard du débat hystérique auquel se sont livrés les députés, l'extrême réserve du RN semble lui avoir profité. Dans la continuité de la "stratégie de la cravate" du début de mandature, les élus d'extrême droite jouent le rôle des bons élèves. Le mouvement social peut-il faire plier le gouvernement ? Le parti les Républicains va-t-il vers une scission sur le texte de la réforme des retraites ? Jusqu'où sa stratégie de normalisation peut-elle conduire le RN ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frN°286 / 26 février 2023Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 février 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. LA TURQUIE APRÈS LE SÉISMELe 6 février, deux séismes de magnitude de 7,8 et de 7,5 ont secoué le sud de la Turquie et une partie de la Syrie voisine. Si on recense aujourd'hui plus de 45.000 morts, leur nombre pourrait être de 100.000. A la croisée de trois plaques tectoniques, la Turquie a connu depuis 1900, dix-huit tremblements de terre d'une magnitude égale ou supérieure à 7 sur l'échelle de Richter. 7 habitants sur 10 vivent dans une zone sismique, soit 60 millions de personnes (sur 86 millions). L'Organisation mondiale de la santé déclare que 5 millions de personnes sont en situation de vulnérabilité et craint le développement d'épidémies. Le 20 février, deux nouvelles répliques de forte puissance (6,4 et 5,8) ont eu lieu dans la province turque d'Hatay au sud du pays déjà fortement touché.La « diplomatie du séisme » - activée pour la première fois après les tremblements de terre successifs qui ont frappé la Grèce et la Turquie à l'été 1999 et ont conduit à une amélioration des relations gréco-turques - a été réactivée après ce nouveau séisme. Non seulement la Grèce, mais également Israël et l'Arménie, des pays qui ont en commun d'entretenir des relations plus ou moins tendues avec la Turquie, ont été parmi les premiers à avoir proposé leur aide.En Turquie, devant la montée des critiques publiées sur les réseaux sociaux, accompagnées des appels à l'aide de familles dont les proches étaient coincés sous les décombres, le gouvernement a choisi le 8 février de couper l'accès au réseau Twitter grâce auquel les survivants communiquaient et ... critiquaient le pouvoir. Des voix s'élèvent pour dénoncer vingt années de politique urbanistique désastreuse, de négligence, de corruption, de clientélisme, de népotisme et de stratégies électoralistes. La plupart des habitations turques ne sont pas construites aux normes antisismiques, malgré une loi votée en 2007, peu appliquée en raison de la corruption. Les sinistrés critiquent le manque de préparation des autorités, le retard des secours, l'absence de l'armée, seule en Turquie à posséder les moyens d'agir dans un tel chaos. Si le président turc Recep Tayyip Erdogan a reconnu des « lacunes » dans la réponse apportée, il a cependant assuré qu'« il est impossible d'être préparé à un tel désastre ».D'aucuns rappellent que la gestion hasardeuse du tremblement de terre de 1999, près d'Istanbul, par les autorités d'alors, avait favorisé l'ascension du Parti de la justice et du développement (AKP) d'Erdogan et favorisé son élection en 2003. En difficulté aujourd'hui dans les sondages, la popularité du chef de l'État turc est déjà mise à mal par sa politique monétaire, ayant plongé le pays dans une profonde crise économique. Alors que la chasse aux sorcières contre les promoteurs immobiliers a commencé, au vu de l'ampleur de la catastrophe, la tenue des élections législatives et présidentielle, prévues pour le 14 mai pourrait être reportée.***LA DROITE FRANÇAISE POURRA-T-ELLE SURVIVRE À LA RÉFORME DES RETRAITES ?Après la défaite de sa candidate à l'Élysée, battue avec moins de 5 % des voix, suivie par la perte d'un tiers de ses députés après les élections législatives, le parti Les Républicains connait de nouveaux déboires. Mi-janvier, son nouveau président Éric Ciotti dévoile l'organigramme des Républicains. A la surprise générale, il nomme deux vice-présidents exécutifs : Aurélien Pradié, député du Lot, qui, au premier tour a recueilli près du quart des suffrages des militants et François-Xavier Bellamy, qui soutien de et soutenu par Bruno Retailleau, finaliste de cette élection. Le député du Lot n'a pas tardé à faire savoir qu'il n'appréciait pas de ne pas être l'unique numéro deux du parti.Alors que les rancœurs nées de l'organigramme ne sont pas dissipées, LR doit trouver une position commune sur la réforme des retraites. Le 12 janvier, le Éric Ciotti s'est mis d'accord avec le gouvernement sur un texte qu'il se flatte d'avoir substantiellement orienté : report à 64 ans au lieu de 65 de l'âge légal de départ à la retraite, et accélération de la hausse de la durée de cotisation. Or, si, d'un côté, la direction du parti défend une ligne de « responsabilité » en s'engageant à soutenir le texte du gouvernement qui a accepté ses exigences, de l'autre, les soutiens du député du Lot ne souhaitent pas endosser l'impopularité de la réforme. Pour eux, il faut avant tout reparler aux catégories populaires et s'opposer à tout texte porté par la macronie. Aurélien Pradié dénonce notamment l'absence de prise en compte des carrières longues et réclame que personne n'ait à cotiser plus de quarante-trois ans pour partir à taux plein. Bruno Retailleau dénonce une dérive « socialisante » chez l'élu du Lot.Le 14 février, 38 députés Les Républicains sur 62 ont voté contre l'« index seniors », avec la Nouvelle Union populaire écologique et sociale et le Rassemblement national. Le17 février Aurélien Pradié est vivement applaudi par les députés de la Nupes sur les carrières longues dans l'Hémicycle. C'en est trop pour Éric Ciotti et nombre de députés LR. La sanction tombe le lendemain. Le patron des Républicains démet Aurélien Pradié de ses fonctions de vice-président exécutif car « ses prises de position répétées n'étaient plus conformes avec les valeurs de cohérence, d'unité et de rassemblement qui doivent guider la droite républicaine ». « Je refuserai toujours que la droite devienne peu à peu la béquille conciliante de la macronie », répond Aurélien Pradié.Le texte sur les retraites qui n'a pas pu être voté à l'Assemblée nationale le 17 février, doit arriver le 28 février en commission des Affaires sociales au Sénat, où les Républicains et les centristes disposent de la majorité. Les sénateurs LR devraient eux aussi poser leurs conditions, mais dans le sens d'un durcissement de la réforme pour le cas des régimes spéciaux.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
EXPERTS CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » SANDRA HOIBIAN Directrice générale du CRÉDOC THOMAS PORCHER Économiste Auteur de « Mon dictionnaire d'économie » Seul un dixième des articles auront été débattus. Le débat sur la réforme des retraites s'est achevé hier soir à l'Assemblée nationale, à minuit pile comme le prévoit la procédure législative accélérée choisie par le gouvernement. Entre obstruction et polémiques, le palais Bourbon sort donc de deux semaines d'ébullition. En déposant des milliers d'amendements, la Nupes a tenté de reprendre la maîtrise du temps, une stratégie qui a interrogé et divisé au sein même de la coalition de gauche. L'écologique Sandrine Rousseau a estimé hier que l'article central du texte, le numéro 7, aurait dû être débattu, fustigeant la ligne soutenue par Jean-Luc Mélenchon consistant à ne pas se presser, un « raté stratégique » aux yeux du groupe écologistes. Dernière image de cette ambiance chaotique dans l'hémicycle : le chant de plusieurs élus insoumis hier soir, reprenant devant les journalistes un air souvent entendu dans les mobilisations de Gilets Jaunes. Fin d'un premier acte qui a constrasté avec l'esprit bon enfant de la mobilisation intersyndicale. À droite, la division dans les rangs LR continue aussi de faire rage dans ce débat parlementaire. Dernier rebondissement en date : le numéro deux des Républicains, Aurélien Pradié, a été démis de ses fonctions par Éric Ciotti. Le chef du parti a dénoncé une « aventure personnelle » du député du Lot qui s'oppose à une parti de cette réforme des retraites. Pendant ce temps, Marine Le Pen regarde les balles passer. En ayant déposé moins d'amendements que la majorité elle-même, le Rassemblement National semble s'être mis à distance du débat, une stratégie de la « planque » aux yeux de nombreux observateurs. La motion de censure que le RN a déposé cette semaine a elle été rejetée hier soir en ne recueillant que 89 voix. À l'opposé de ces tensions, la mobilisation intersyndicale se fait donc dans l'unité et le pacifisme. Jeudi dernier, les deux principaux leaders syndicaux, Philippe Martinez (CGT) et Laurent Berger (CFDT) affichait leur entente à Albi qui représente et symbolise la colère palpable des villes moyennes. 55.000 manifestants ont été annoncés par les organisateurs, plus que les 50.000 habitants que compte la ville. Il n'y a pas qu'en France que les grèves font l'actualité. En Angleterre, celles-ci durent depuis des mois. Avec un pouvoir d'achat en chute libre et des factures énergétiques qui flambent, c'est tout un pays qui se retrouve plongé en pleine crise. Au NHS, le système de santé britannique, la mobilisation s'intensifie encore. Alors, que retenir de ces deux semaines de débats à l'Assemblée ? La stratégie de la Nupes a-t-elle été la bonne ? Les syndicats pourront-ils continuer la bataille au-delà du temps parlementaire ? Comment le Royaume-Uni peut-il se relever de cette crise historique ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Avec Alexis Cuvillier et Benjamin Duhamel, le récit en coulisses des atermoiements au sein de LR sur les retraites. Difficile de comprendre les stratégies respectives de Ciotti, Retailleau, Pradié, Bertrand et Wauquiez. Que disent-ils en privé ? Les voix des républicains sont pourtant essentielles pour que le gouvernement obtienne une majorité sur le texte.
Ce mardi 7 février, Laurent Gerra a notamment imité Olivier Véran, Eric Ciotti et Bruno Le Maire.
EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique – « Huffington Post » ÈVE ROGER Journaliste, spécialiste des questions de société BRUNO CAUTRÈS Politologue – Chercheur au CNRS Après deux journées de manifestations massives contre la réforme des retraites et avant celles du 7 et 11 février, la Premier ministre était l'invitée hier soir de l'émission l'Evènement sur France 2. L'occasion pour la cheffe du gouvernement de faire (encore) de la « pédagogie » sur cette réforme qu'elle juge « indispensable » et de se montrer inflexible sur le recul de l'âge légal à 64 ans, malgré son rejet par 64 % des Français. « J'entends les réticences, les inquiétudes, les questions », a déclaré Elisabeth Borne. « Demander aux Français de travailler plus longtemps, c'est un effort », a-t-elle concédé, « mais si on ne fait pas cette réforme, c'est notre système de répartition qui ne tiendra pas ». Reconnaissant que le texte vise d'abord « l'équilibre », et ensuite « la répartition de l'effort », elle a assuré : « Cette réforme, elle se fera ». Quarante-cinq minutes d'interview donc avec peu d'annonces, si ce n'est une porte ouverte sur l'emploi des séniors : actuellement, deux tiers des personnes âgées de 60 à 64 ans ne travaillent pas. Le gouvernement veut instaurer un index seniors qui devra être publié par les grandes entreprises, mais à ce stade il est purement indicatif. Hier soir, Elisabeth Borne s'est montrée ouverte à un dispositif plus contraignant, pour que les entreprises de plus de 50 salariés ayant un mauvais index séniors aient l'obligation de mettre en place un « plan d'action » sous peine de sanctions. La Première ministre souhaite également encourager les entreprises à embaucher des séniors et n'a pas formellement écarté l'idée d'une baisse de cotisations. Tout cela se discutera au Parlement. L'idée est notamment défendue par des députés LR sur qui toute l'attention se porte depuis quelques jours. Car sans le soutien des élus Les Républicains, le texte risque d'être bloqué. Or, selon un recensement réalisé par France Inter lundi 23 janvier, au moins un tiers des députés LR ne sont pas prêts à voter « pour » ce texte en l'état. Alors mercredi, le président des Républicains et le président du groupe LR à l'Assemblée ont été reçus par la Première ministre. Les deux hommes ont demandé « au gouvernement de revoir un peu sa copie » notamment sur les carrières longues, la retraite des mères et des ultra-marins. Mais hier soir, Éric Ciotti a jugé la Première ministre peu convaincante. Rien de nouveau sur la table pour le président des Républicains avant l'ouverture du débat à l'Assemblée lundi prochain. Du côté des syndicats, le leader de la CFDT Laurent Berger a regretté le manque « d'empathie » de la Première ministre et a appelé à amplifier la mobilisation. La réforme est « injuste et brutale », a renchéri le dirigeant de FO, Frédéric Souillot. Le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez s'était dit mercredi pas contre « des grèves reconductibles » et avait accusé l'exécutif de jouer « le bras de fer ». DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:04:16 - Le zoom de la rédaction - On peut être de droite et manifester ! 25.000 personnes selon les syndicats, 7000 selon la police... À Nice, certains électeurs de Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron ont aussi battu le pavé, pas anodin dans la ville de Christian Estrosi et le département du député LR Éric Ciotti.
durée : 00:03:20 - Le héros du jour - par : Daniel Morin - Suite à sa déclaration à propos de la réforme des retraites Éric Ciotti aurait bien sur dû être le héros du jour Seulement, actualité oblige, c'est aux chasseurs que Daniel choisit de remettre le titre.
Sans surprise, Les Républicains devraient voler au secours de la majorité relative d'Emmanuel Macron à l'Assemblée nationale pour voter la réforme des retraites, en France. Selon leurs conditions. Dans un entretien au Journal du Dimanche, le président du parti de droite Les Républicains déclare souhaiter « pouvoir voter une réforme juste qui sauve (le) système de retraite par répartition » en France. Éric Ciotti veut que « les petites retraites soient considérablement revalorisées » et pose d'autres conditions au gouvernement, sur les « carrières longues » notamment. Selon le journal l'Opinion, l'âge légal de départ à la retraite sera porté à 64 ans « au rythme de trois mois par génération » afin d'y arriver « pour les personnes nées à partir de 1968 ». Et Le Parisien Dimanche précise que le texte sera présenté dans le cadre d'un « projet de loi de financement de la Sécurité sociale rectificative ». La messe est-elle dite ? Pas sûr… Dans ce-même journal, le secrétaire général du syndicat de salariés CFDT met en garde Élisabeth Borne. « Attention, Madame la Première ministre, prévient Laurent Berger (…) même avec des mesures positives sur les carrières longues ou la pénibilité, on reste opposé à la réforme avec une mesure d'âge. Il n'y aura pas de deal avec la CFDT », martèle encore Laurent Berger dans Le Parisien Dimanche. Après Serval puis Barkhane, la France dans les sables du Sahel 11 janvier 2013, c'était il y a dix ans, la France déclenchait l'opération militaire Serval. Dix ans après, la France « se cherche au Sahel ». C'est en résumé l'avis du Journal du Dimanche. Lequel hebdomadaire, d'une formule des plus hardies sous ces caniculaires latitudes, qualifie de « polaire » le climat actuel entre la France et le Burkina Faso ! À tel point qu'en écho à la revue Afrique Intelligence, Le JDD évoque à son tour le possible « départ » de « la force Sabre à Ouagadougou ». Justement, faut-il fermer les bases militaires françaises en Afrique ? Pour l'hebdomadaire Valeurs Actuelles, il n'en est pas question. « Courage fuyons, fulmine ce magazine ! Invoquant l'échec malien, des voix au sein de l'exécutif plaident pour la fermeture de nos bases africaines ». Alors, Valeurs Actuelles met en garde. « En abandonnant son rôle historique de pourvoyeur de sécurité, plutôt que de chercher à le réinventer, la France perdrait le dernier plan intact de son influence sur le continent au moment où ses compétiteurs s'y bousculent ». Effervescence à l'arsenal Et aussi au moment où, sous l'effet de la guerre en Ukraine, l'heure est au réarmement mondial. Russie, États-Unis, Chine, Inde, Europe, cette guerre « a remis les armées et l'industrie militaire de la planète au centre du jeu », s'alarme Marianne. « Simple poussée de fièvre ou branle-bas de combat avant la catastrophe », se demande cet hebdomadaire ? Évoquant un éventuel nouveau conflit, Marianne se demande ce que les Européens feraient « si la Turquie attaquait la Grèce ? (…) Que se passerait-il si le "Reis" décidait de prendre un bout d'îlot ? Erdogan pourrait jouer de sa position centrale aujourd'hui : outre son poids diplomatique dans la guerre russo-ukrainienne, n'oublions pas que celui dont le pays pourvoit l'Ukraine en drones possède aujourd'hui la deuxième armée de l'Otan. Un petit coup de canif chez nos amis hellènes administré par Erdogan susciterait sans doute, chez les Européens, quelques déclarations martiales, mais cela n'irait pas beaucoup plus loin... jusqu'au prochain îlot », conjecture Marianne. La grande lessive Un anniversaire pour conclure, le soixantième d'une création connue dans le monde entier, une création made in France : les pictogrammes des vêtements et du linge de maison qui fournissent les conseils de lavage… 1963-2023, cela fait bien soixante ans que le très français Groupement international d'étiquetage pour l'entretien des textiles, basé à Paris, a créé ces cinq symboles, « un cuvier pour le lavage à la main, un triangle pour le blanchiment, un carré pour le séchage en machine, un fer pour le repassage et un cercle pour le nettoyage professionnel », signale Les Échos Week-End. Certains pays, comme les États-Unis ou l'Australie, font, certes, de la résistance, mais « les cinq symboles ont depuis conquis la planète », souligne cet hebdomadaire économique. Selon un sondage Ipsos de 2021 cité par ce magazine, si 14% seulement des Français savent ce que signifie le pictogramme « cercle », 9 Français sur 10 « reconnaissent le "picto" cuvier » rapporte en orfèvre Les Échos Week-End. Qu'on le lave ou non en famille, le linge sale a ses symboles, et ils sont français. Cocorico !
Ce jeudi 5 janvier, Laurent Gerra a notamment imité Philippe Martinez, Eric Ciotti, Lambert Wilson et Alain Finkielkraut.
durée : 00:04:47 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - L'élection d'Éric Ciotti à la tête du parti “Les Républicains” entraine depuis deux jours les départs en cascade d'un certain nombre de maires et de responsables départementaux. Ces défections pourraient bien en annoncer d'autres et constituer une vague de fond.
Éric Ciotti, nouveau chef de file des conservateurs français Au Pérou, un coup d'État raté et une crise politique permanente Inquiétude pour l'évolution du Covid-19 en France La dérive antisémite d'une partie de la droite américaine L'intégration réussie du Louvre à Lens
durée : 00:02:15 - Le brief politique - L'élection d'Eric Ciotti à la tête des Républicains rebat les cartes de la stratégie de l'exécutif vis-à-vis de la droite. Comment faut-il gérer le nouveau patron de LR ? La majorité présidentielle s'interroge.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
Au lendemain de son élection à la présidence du parti Les Républicains, Éric Ciotti vise "l'unité et le rassemblement". Un objectif qu'il détaille sur RTL.
durée : 00:04:33 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé rencontrer des partisans d'Eric Ciotti.
Au lendemain de son élection à la présidence du parti Les Républicains, Éric Ciotti vise "l'unité et le rassemblement". Un objectif qu'il détaille sur RTL.
durée : 00:04:33 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé rencontrer des partisans d'Eric Ciotti.
durée : 00:04:33 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé rencontrer des partisans d'Eric Ciotti.
Ce lundi 12 décembre, Laurent Gerra a notamment imité Jane Birkin, Pierre Arditi, Éric Ciotti et Philippe Martinez.
durée : 00:06:19 - Eric Ciotti élu président des Républicains avec 53,7%. Les LR sont-ils morts ou peuvent-ils rebondir ?
durée : 00:55:35 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour d'Olivier de Lagarde, les informés débattent de l'actualité du dimanche 11 décembre 2022.
L'émission 28 Minutes du 09/12/2022 Au programme de l'émission du 9 décembre 2022 ⬇ Ce vendredi, le correspondant de “Libération” à Bruxelles Jean Quatremer, la correspondante pour la télévision publique grecque ERT et chypriote RiK Thomaïs Papaïoannou, le journaliste Brice Couturier et la dessinatrice Louison reviennent sur l'actualité de la semaine. Notre invité Jul les rejoindra en cours d'émission. Dans un nouvel album de Lucky Luke, "L'arche de Rantanplan", le dessinateur de presse et auteur de bande dessinée français plonge le personnage au cœur des problématiques du 21e siècle. Sur ARTE, à partir du lundi 12 décembre, est aussi diffusée la troisième saison de “50 nuances de Grecs” adaptée de sa bande dessinée du même nom. Retour sur deux actualités de la semaine : Chine. Le régime tourne le dos à sa politique “zéro Covid” et renonce aux restrictions drastiques : fin des confinements à répétition, tests PCR à grande échelle, réouverture des écoles... Si la montée des contestations semble avoir fait peur au gouvernement, celui-ci affirme que ce revirement politique est dû à la circulation d'un variant moins virulent. Alors, est-ce vraiment le cas ? Ou est-ce simplement l'échec de son objectif “zéro Covid” et la peur de nouvelles manifestations ? Le régime ne voit-il pas en cet assouplissement l'occasion de relancer sa croissance économique ? Énergie. Y aura t-il de l'électricité cet hiver ? Si le gestionnaire du réseau électrique, Enedis, a annoncé qu'en cas de délestage les malades sous respirateur ne seraient "pas prioritaires", Emmanuel Macron se veut rassurant : “Le rôle du gouvernement, des ministres, des opérateurs, c'est de faire leur travail pour fournir de l'énergie, c'est tout [...] Ce n'est pas de commencer à faire peur aux gens avec des scénarios absurdes”. Alors, qui croire ? La consommation d'électricité a baissé de 8,3 % la semaine dernière (par rapport aux années pré-covid), est-ce la preuve que les Français vivent déjà sous le signe de la sobriété ? Dans son duel de la semaine, Benjamin Sportouch oppose les deux candidats au second tour de l'élection du président des Républicains, Éric Ciotti et Bruno Retailleau. Ce dernier peut-il rattraper son retard et bénéficier d'un « tout sauf Ciotti » comme à la primaire de l'an dernier ? La galère quotidienne des transports collectifs et la hausse du prix de 12 % du passe Navigo à partir du 1er janvier 2023 provoquent la colère des usagers. Sonia Chironi revient sur les réactions les plus chaudes des internautes. Condamné pour viol, Farid El Haïri va peut-être obtenir gain de cause après vingt ans passés derrière les barreaux et pourrait ainsi devenir le douzième cas d'erreur judiciaire en France depuis 1945. Dix-neuf ans après ses premières accusations, une certaine Julie D. reconnaît avoir menti et n'avoir en réalité jamais été agressée par cet homme. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch. Notre Une internationale est celle de l'hebdomadaire américain “Time,” qui titre : “Personnalité de l'année : Volodymyr Zelensky et l'esprit de l'Ukraine”, pour qui le choix cette année n'a “jamais été aussi clair”. Retrouvez enfin les photos de la semaine sélectionnées avec soin par nos clubbistes ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 9 décembre 2022 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
Chaque matin dans son édito, Alexis Brezet, directeur des rédactions du Figaro, revient sur l'actualité politique du jour. Ce jeudi, il s'intéresse à la bataille pour la présidence des Républicains.
Chaque matin dans son édito, Alexis Brezet, directeur des rédactions du Figaro, revient sur l'actualité politique du jour. Ce jeudi, il s'intéresse à la bataille pour la présidence des Républicains.
POLITIQUE FRANÇAISE : LE GRAND THÉÂTRE DU POUVOIR CATHERINE NAY Journaliste politique Auteure de « Le grand théâtre du pouvoir : quarante ans de vie politique française » Catherine Nay publie “Le grand théâtre du pouvoir. Quarante ans de vie politique française”, aux éditions du Bouquin. Elle y raconte quarante années de la vie politique française et montre que “ceux qui se lançaient en politique optaient pour un chemin de vie”. Ce dimanche 4 décembre, les résultats du vote du premier tour des adhérents Les Républicains ont été communiqués. Eric Ciotti arrive en tête avec 42,73% des suffrages, et se retrouve face à Bruno Retailleau au second tour. De son côté, Aurélien Pradié est arrivé troisième avec 22,29 % des suffrages, soit 14.765 voix. Deux fois moins d'Éric Ciotti, “mais un quart des voix“, insistent ses soutiens. L'objectif est donc de récupérer les 14.765 voix qu'Aurélie Pradié a obtenues. Pour créer la surprise, Bruno Retailleau devra en rallier une large majorité, près de deux tiers. Un cadre LR en doute : "Cela sera très serré, mais Ciotti garde un avantage. Je vois mal une immense vague d'électeurs de Pradié aller avec enthousiasme chez Retailleau". Dans des propos rapportés par le Figaro, l'ancien chef de l'État Nicolas Sarkozy a appelé Emmanuel Macron à tendre la main aux députés LR et invite ces derniers à accepter un rapprochement. Mais aucun des deux finalistes, en course à la tête de la présidence des Républicains, n'entend faire une alliance avec le parti du Président. Eric Ciotti, à l'issue du scrution, a promis "Pas d'alliance avec le macronisme, une rupture", et Bruno Retailleau entend soumettre un référendum interne sur une alliance avec Emmanuel Macron. Catherine Nay reviendra sur ce qu'elle appelle "le grand théâtre du pouvoir" et sur l'ambiance politique du moment.
durée : 00:03:06 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Eric Ciotti est arrivé en tête du premier tour de l'élection pour la Présidence des Républicains et affrontera Bruno Retailleau au second tour.
Ce lundi 5 décembre, Laurent Gerra a notamment imité Éric Ciotti, Jean-Pierre Raffarin, Olivier Véran et Alain Juppé.
durée : 00:03:06 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Eric Ciotti est arrivé en tête du premier tour de l'élection pour la Présidence des Républicains et affrontera Bruno Retailleau au second tour.
durée : 00:14:03 - Ciotti et Retailleau se disputeront la présidence LR
Les Bleus au défi de la Pologne en huitième de finale de la Coupe du monde de football, au Qatar. « Emmenés par Mbappé, les Bleus sont favoris », lance la Une du Journal du Dimanche. Selon cet hebdomadaire, les Bleus, cet après-midi, se rendront au stade Al-Thumama dans le sud de Doha « avec un gyrophare de favoris à l'avant du car ». Toutefois, s'empresse-t-il de compléter, « historiquement, cela a rarement été un statut confortable pour eux ». D'autant que l'équipe polonaise, « n'a cadré que quatre tirs depuis le début du tournoi mais elle est toujours là, quand l'Allemagne a trouvé 24 fois la cible et a déjà quitté le Qatar », remarque Le JDD. L'Equipe n'écrit guère autre chose. « Les Bleus en pole position », lance en orfèvre la Une de ce journal. Ce match France-Pologne sera-t-il un « camp de base de l'épopée » des Bleus ? Tout comme Le JDD, loin de plastronner, L'Equipe hésite face au « vertige » de ce match « sans retour, sinon à la maison (…) l'hésitation entre les valises et la grande aventure, sans rien au milieu, juste un gouffre où se fracassent les regrets ». Une partie serrée va donc se jouer, cet après-midi, au Qatar, entre la Pologne et la France. Une partie de football… Foot multipolaire On le voit, ce Mondial vit à l'heure de la compétition. À se demander si les critiques d'avant son coup d'envoi sur les droits de l'homme ou l'environnement ont jamais existé. Mais il n'empêche, le foot est aussi « un sport de combats idéologiques », souligne Marianne. « Nul besoin d'être fin politologue pour savoir qu'un grand événement sportif est une savante mise en scène des relations internationales. A fortiori quand cet événement porte sur le sport de loin le plus mondialisé, et quand il a lieu dans un pays qui ne fait pas mystère d'y investir pour une question d'image, estime cet hebdomadaire. On a glosé tant et tant sur le scandale absolu de l'attribution de cette Coupe du monde au Qatar (scandale dont tout le monde se remet une fois le spectacle lancé). On a brandi l'arme du boycott. On a guetté les coups d'éclat de joueurs conscientisés… Mais le fond du sujet n'est pas tant l'absurdité des stades climatisés ou le bilan carbone que cette évidence brutale : la Coupe du monde 2022 est un moment chimiquement pur de géopolitique appliquée. Plus, bien plus, que celles qui l'ont précédée. Un spectacle en mondovision de la recomposition des blocs. À coups de symboles et d'images », énonce Marianne. « En lieu et place du bloc contre bloc d'antan, la cartographie que propose la Coupe du monde au Qatar est aussi mouvante et trompeuse que les sables du désert. Quid du front uni des « progressistes » soucieux de témoigner leur attachement aux « droits humains » bafoué par le régime qatari ? En fait, il n'existe pas. Ou n'existe plus, pointe ce magazine. La quasi-totalité des fédérations se sont tues, et en mimant un bâillonnement lors de son avant-match contre le Japon, l'équipe d'Allemagne a été l'une des rares à manifester contre l'interdiction du brassard antidiscrimination "One Love" », constate Marianne. Macron tous azimuts De retour de sa visite d'État aux États-Unis et en clôture de celle-ci, Emmanuel Macron a plusieurs fois parlé à la presse. Sur tous les sujets du moment. Dans un entretien au journal Le Parisien Dimanche, le président français a défendu « l'idée de subventionner le made in Europe ». Le chef de l'État a également rappelé l'objectif de maintenir l'aide envers l'Ukraine, particulièrement à l'approche de l'hiver, pour que cette dernière ait plus de poids dans d'éventuelles négociations. Interrogé sur les éventuelles coupures de courant, Emmanuel Macron, dans Le Parisien Dimanche, invite les Français à « ne pas paniquer ». Dans cet entretien, le président français dénonce également les « mensonges » des autorités iraniennes et dit avoir « mis une pression très ferme » sur son homologue iranien face aux emprisonnements « inacceptables » de ressortissants français. Ciotti en pole position Clôture, ce soir à 17hTU, du premier tour de l'élection à la tête du parti de droite Les Républicains. Les votants vont départager trois candidats : Aurélien Pradié, Bruno Retailleau et Éric Ciotti. « Favori de l'élection pour la présidence de LR, (Éric Ciotti) évite tout coup d'éclat, note L'Express. Une façon de ne pas obérer sa capacité à rassembler au second tour... et après », explique cet hebdomadaire. « Qui l'eût imaginé, remarque Le Point ? Éric Ciotti respecte le leader de la Nupes, il admire sa culture, bien qu'il combatte ses idées. Qui sait qu'il bavarde volontiers avec Alexis Corbière, autre pilier de LFI ? », interroge ce magazine. Ancien président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, premier des macronistes, a longuement côtoyé le questeur Ciotti, chargé du budget des députés. En privé, il ne cache pas qu'il a apprécié, (…) de travailler avec cet homme qu'il juge rigoureux, si urbain et pragmatique. Jamais, ils ne se sont accrochés. « Il est pro, solide, fiable. Ainsi va Éric Ciotti, bien moins intransigeant que sa caricature. Je respecte tous ceux qui sont sincères dans leurs convictions, explique-t-il. La politique, ce n'est pas une guerre. Ce que j'ai connu de plus violent, les coups les plus bas, venaient de mon camp ».
durée : 00:02:50 - La chanson de Frédéric Fromet - par : Frédéric FROMET - Par ici la Ciotti !
durée : 00:02:50 - La chanson de Frédéric Fromet - par : Frédéric FROMET - Par ici la Ciotti !
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 24 novembre 2022
durée : 00:03:25 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Au lendemain du débat des trois candidats à la présidence LR, Eric Ciotti est visé par une affaire judiciaire…
durée : 00:03:25 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Au lendemain du débat des trois candidats à la présidence LR, Eric Ciotti est visé par une affaire judiciaire…
durée : 00:04:24 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Éric Ciotti, Aurélien Pradié et Bruno Retailleau veulent tous les trois devenir président des Républicains. Un débat les opposait hier soir sur LCI. Le parti peine à se relever.
Retour sur le seul et unique débat entre les candidats à la présidence des Républicains. Qui a marqué des points ? Y a-t-il ou non vraiment un vainqueur ?
durée : 00:03:59 - La chronique de Christine Gonzalez - par : Christine Gonzalez - Eric est dans la Pénélopade. Cristina de la Telenovela lui vient en aide.
durée : 00:02:59 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Interview exclusive par Daniel Morin !
EXPERTS JEAN-DOMINIQUE GIULIANI Président de la Fondation Robert Schuman Auteur de « Européen sans complexe » MARC LAZAR Professeur d'histoire et de sociologie - Sciences Po Spécialiste de l'Italie SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » ANNA BONALUME Journaliste franco-italienne Auteure de « Un mois avec un populiste » Bloqué en Méditerranée avec 234 migrants à bord et objet d'un bras de fer entre la France et l'Italie, le navire humanitaire Ocean Viking va finalement pouvoir accoster ce vendredi à Toulon, a annoncé le ministre de l'Intérieur à l'issue du Conseil des ministres. Dénonçant un « choix incompréhensible » de l'Italie de ne pas proposer de port d'accueil au bateau ainsi qu'un « manque d'humanité et de professionnalisme » de la part de Rome, Gérald Darmanin a ajouté qu'« un tiers » de ses occupants seraient relocalisés en France. Un peu plus tôt, l'évacuation vers l'hôpital de Bastia de trois personnes avait déjà été annoncée. Selon l'ONG SOS Méditerranée, qui affrète le bateau humanitaire, il s'agit de trois migrants qui « sont dans un état de santé grave et ont besoin d'une prise en charge hospitalière ». L'Ocean Viking est l'un des quatre navires ambulances ayant secouru des migrants, pour certains il y a presque trois semaines, entre la Libye et l'Italie, alors qu'ils tentaient de rejoindre l'Europe sur des embarcations de fortune. Trois d'entre eux ont obtenu l'autorisation ces derniers jours d'accoster dans des ports italiens. Mais Rome n'a autorisé dans un premier temps qu'une partie des rescapés à descendre à quai, essentiellement les femmes et les enfants, au grand dam des organisations humanitaires qui ont dû mener d'âpres négociations avec le gouvernement italien pour parvenir à débarquer l'ensemble des passagers. L'Ocean Viking, en revanche, n'a pas reçu le feu vert de l'Italie, à côté de laquelle il naviguait encore mardi et les services de la nouvelle Première ministre d'extrême droite Giorgia Meloni avaient fait savoir qu'elle remerciait la France, qui, selon elle, acceptait d'accueillir le navire dans l'un de ses ports. Dans la foulée la tension était montée d'un cran entre Paris et Rome. Les autorités françaises opposant un démenti et dénonçant le « comportement inacceptable » de leurs homologues italiennes, « contraire au droit de la mer et à l'esprit de solidarité européenne ». Bruxelles, de son côté, avait appelé au débarquement immédiat de tous les migrants. Finalement la France a décidé d'accueillir vendredi le navire à Toulon « à titre exceptionnel ». Mais quatre ans presque jour pour jour après l'Aquarius, la question de l'accueil des migrants oppose de nouveau la France et l'Italie, dont le gouvernement est une nouvelle fois dirigé par une coalition nationaliste. Pour Matteo Salvini hier comme pour Giorgia Meloni aujourd'hui, il s'agit de pousser l'Europe à plus de solidarité avec Rome mais aussi de donner des gages à leurs électeurs sur la question de l'immigration, thème de prédilection de l'extrême droite dans le pays. En France, cette question de l'accueil divise également la classe politique. Si la Nupes estime qu'il y avait urgence à venir en aide à ces personnes rescapées et presse depuis plusieurs jours Emmanuel Macron à accueillir le navire, les Républicains et le Rassemblement national y sont opposés. Marine le Pen s'est fendue ce jeudi d'un tweet pour dénoncer un « signal dramatique de laxisme » : « Avec cette décision, [Emmanuel Macron] ne peut plus faire croire à personne qu'il souhaite mettre fin à l'immigration massive et anarchique. » « Ce serait une faute, une erreur » d'accueillir ce bateau dans un port français, avait estimé Éric Ciotti sur Radio J hier. « Ce serait donner un signe pour les passeurs qui exploitent la détresse humaine », a-t-il ajouté, soucieux de « sauver » les personnes à bord, mais qui devront selon lui ensuite être reconduites à leur point de départ. Le président du groupe Modem à l'Assemblée, Jean-Paul Mattei, s'était lui dit prêt à « regarder avec une certaine ouverture d'esprit » la proposition du président de l'exécutif corse Gilles d'accueillir l'Ocean Viking sur l'île de Beauté. « À cas exceptionnel, condition exceptionnelle », avait-il ajouté. Un point de vue qui ne satisfait pas en revanche la gauche. « Il est grand temps que l'Europe mette en place une vraie politique. On ne peut pas, au cas par cas, se dire, 'qui va le faire' », avait déclaré la député socialiste Christine Pirès-Beaune. Alors que prévoit le droit européen ? Que se passe-t-il en méditerranée ? Immigration, Europe… Que veut faire Giorgia Meloni ? Et quelle est la situation à bord du navire Ocean Viking ? Enfin comment s'organise l'accueil des migrants en France ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
This episode of the Getting Smart Podcast is a part of our New Pathways campaign. In partnership with American Student Assistance® (ASA), The Bill & Melinda Gates Foundation, Stand Together and the Walton Foundation, the New Pathways campaign will question education's status quo and propose new methods of giving students a chance to experience success in what's next. On this episode of the Getting Smart Podcast Tom Vander Ark is joined by Jennifer Klein and Kapono Ciotti who are here to discuss their new book The Landscape Model of Learning: Designing Student-Centered Experiences for Cognitive and Cultural Inclusion. Jennifer is a former head of school with extensive international experience and over thirty years in education, including nineteen in the classroom. Kapono Ciotti taught in Honolulu, Hawaii, and Dakar, Senegal, for over a decade before moving into school leadership. Kapono has led schools in the United States and Egypt, where he put into practice the philosophy of "students making the world a better place.” Links: Jennifer D. Klein Bio Principled Learning Strategies Kapono Instagram Kapono bio Recent Getting Smart Blog by Jennifer D. Klein American International School of Egypt NAIS People of Color Conference The Power of Place: Authentic Learning Through Place-Based Education Ken Kay and Yong Zhao on Portrait of a Graduate The Rise: Creativity, the Gift of Failure, and the Search for Mastery by Sarah Lewis Rightful Presence by Tan and Barton Zone of proximal development What School Could Be Robert G Peters Deliberate Optimism co-authored by Judith Baenen
Philippe Caverivière était face à Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et candidat à la présidence des Républicains. Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 20 octobre 2022.
Anthony Ciotti owns Tactics 2 Toys, LLC. It's an ecommerce store that specializes in collectible toys and strategy games, and he's in his 32nd year of the Army Reserves, had tours in Iraq, Afghanistan, Kosovo and the African continent. And he's a brigade CSM. And he's full time with the Army and his family. Screw The Commute Podcast Show Notes Episode 650 How To Automate Your Business - https://screwthecommute.com/automatefree/ Internet Marketing Training Center - https://imtcva.org/ Higher Education Webinar – https://screwthecommute.com/webinars See Tom's Stuff – https://linktr.ee/antionandassociates 03:02 Tom's introduction to Anthony Ciotti 06:32 Quite a career path with 24 hour shifts 08:45 Went to college and forgot to line up a summer job 11:35 Transitioning to selling toys 15:58 Board games for mental health issues 23:18 Creating and selling digital products 28:47 Sponsor message 30:05 A typical day for Anthony Entrepreneurial Resources Mentioned in This Podcast Higher Education Webinar - https://screwthecommute.com/webinars Screw The Commute - https://screwthecommute.com/ Screw The Commute Podcast App - https://screwthecommute.com/app/ College Ripoff Quiz - https://imtcva.org/quiz Know a young person for our Youth Episode Series? Send an email to Tom! - orders@antion.com Have a Roku box? Find Tom's Public Speaking Channel there! - https://channelstore.roku.com/details/267358/the-public-speaking-channel How To Automate Your Business - https://screwthecommute.com/automatefree/ Internet Marketing Retreat and Joint Venture Program - https://greatinternetmarketingtraining.com/ KickStartCart - http://www.kickstartcart.com/ Copywriting901 - https://copywriting901.com/ Disabilities Page - https://imtcva.org/disabilities/ Anthony's website - https://tactics2toys.com/ Facebook - https://www.facebook.com/tactics2toys/ Instagram - https://www.instagram.com/tactics2toys Pinterest - https://www.pinterest.com/tactics2toys Email Tom: Tom@ScrewTheCommute.com Internet Marketing Training Center - https://imtcva.org/ Related Episodes Richelle Futch - https://screwthecommute.com/649/ More Entrepreneurial Resources for Home Based Business, Lifestyle Business, Passive Income, Professional Speaking and Online Business I discovered a great new headline / subject line / subheading generator that will actually analyze which headlines and subject lines are best for your market. I negotiated a deal with the developer of this revolutionary and inexpensive software. Oh, and it's good on Mac and PC. Go here: http://jvz1.com/c/41743/183906 The Wordpress Ecourse. Learn how to Make World Class Websites for $20 or less. https://screwthecommute.com/wordpressecourse/ Join our Private Facebook Group! One week trial for only a buck and then $37 a month, or save a ton with one payment of $297 for a year. Click the image to see all the details and sign up or go to https://www.greatinternetmarketing.com/screwthecommute/ After you sign up, check your email for instructions on getting in the group.
Manuela Ciotti's Retro-modern India: Forging the Low Caste Self (Routledge, 2020) is interesting engagement with Chamar identity and understanding it through the lens of modernity. Through a rich ethnographic engagement the book has looked into what Modernity meant for Chamar community and also the dialectical relationship such identity formation had with the discourse of Modernity. Kalyani Kalyani is a sociologist and currently teaches at School of Arts and Sciences in Azim Premji University at Bengaluru. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network