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Écoutez une méditation quotidienne tirée du livre "Parle Seigneur, ton serviteur écoute". Les méditations de ce recueil proviennent d'exhortations données par Daniel Issarte dans le cadre de la vie de collaboration de la Mission Timothée : réunions d'équipe, voyages missionnaires, simples échanges fraternels. Il en ressort un ton assez personnel et une lecture du texte biblique qui se veut simple, pratique, à la rencontre des préoccupations du quotidien et de l'œuvre, en vue de la prière. Les sujets abordés sont très divers, mais chaque page et chaque sujet nous replacent devant cette interrogation cruciale : « Quand les fondements sont renversés, le juste, que ferait-il ? » (Psaume 11 : 13). Seule la révélation de l'Écriture est propre à nous guider dans une voie juste en toute circonstance. C'est en méditant le texte biblique dans un esprit d'écoute et de foi que nous la recevrons dans toute sa simplicité et sa force. Alors en ouvrant ce livre, nous pouvons disposer nos cœurs comme le jeune Samuel et dire à sa suite « Parle Seigneur, ton Serviteur écoute » (1 Samuel 3 : 10). www.missiontimothee.fr/parole-partagee-bdd/ouvrage
Au Burkina Faso, l'opposition se dit satisfaite des manifestations de ces deux derniers jours pour dénoncer l'aggravation de la situation sécuritaire et exiger du gouvernement des mesures fortes pour endiguer les attaques terroristes. L'opposition doit se réunir ce lundi pour décider de la suite à donner au mouvement. Doit-elle maintenir la pression ? Reprendre le dialogue politique ? Vos réactions nous intéressent. Pour participer à l'émission, contactez-nous : * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays) Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
Au Burkina Faso, pour dénoncer «l'inaction» du gouvernement face à la recrudescence des attaques, l'opposition a suspendu sa participation au dialogue politique et appelle à la démission du Premier ministre et du ministre de la Défense. Que vous inspire ce bras de fer ? Quelles mesures attendez-vous du gouvernement ? Pour participer à l'émission, contactez-nous : * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays) Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
durée : 00:15:27 - Journal de 12h30 - Les autorités ont annoncé la libération de la militante, le jour du deuxième anniversaire des grandes manifestations en faveur de la démocratie. Agnès Chow incarne cette génération qui s'est dressée contre la mainmise de Pékin sur l'ex-colonie britannique.
durée : 00:15:27 - Journal de 12h30 - Les autorités ont annoncé la libération de la militante, le jour du deuxième anniversaire des grandes manifestations en faveur de la démocratie. Agnès Chow incarne cette génération qui s'est dressée contre la mainmise de Pékin sur l'ex-colonie britannique.
Cap sur le Cameroun et sur des groupes d'opposition au président Paul Biya, qui s'organisent depuis déjà quelque temps autour des Brigades Anti Sardinard. Nous en parlons avec Stéphane Tchoumbou, réfugié politique camerounais et porte-parole de la Brigade Anti-Sardinard (B.A.S.), un mouvement né en 2018 dans la diaspora qui milite pour l'alternance politique
Entrevue avec Frédéric Bastien, professeur, historien et ex-candidat à la chefferie du PQ : André Pratte s'oppose au volet constitutionnel du projet de loi 96 qui prévoit l'enchâssement dans la constitution de la nation québécoise et la reconnaissance du français comme sa langue officielle. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:17:19 - Le Quart d'Heure - - Selon le président biélorusse Loukachenko, affirmer que l'avion a été détourné est "un mensonge" - Les jeunes désertent le PS qui n'a pas su se renouveler - La ligue contre le cancer souhaite limiter la cigarette au cinéma
L’opposition gondwanaise estime qu’on ne parle pas assez d’elle. Les mauvaises langues se moquent régulièrement de l’opposition gondwanaise, lui reprochant son silence médiatique et son absence du terrain dès lors que les élections sont déjà passées, oubliées, archivées (élections qu’elle a, bien sûr, perdues face au tenant du titre, le président non sortant, le président restant, Notre Leader Bienaimé)...
Maire écologiste de Budapest, Gergely Karacsony a annoncé le 15 mai sa candidature à l’élection primaire qui doit désigner le candidat unique de l’opposition pour les législatives de 2022. S'il remporte les primaires en septembre, il deviendra le leader de l'opposition face à au Premier ministre Viktor Orban. C’est depuis le village de son d’enfance dans le nord-est de la Hongrie, que Gergely Karacsony a décidé d’annoncer sa candidature aux élections législatives de 2022. Même si cet écologiste à la tête de la capitale a longtemps affirmé qu’il n’avait pas l’ambition de devenir Premier ministre, sa candidature n’a pas surpris grand monde, comme l’explique Roman Krakovsky, spécialiste de l’Europe centrale. « Sa candidature aux élections arrive presque comme une conclusion logique », dit Roman Krakovsky. « Je pense que ce qui a le plus joué, c’était le Covid-19 et les conflits avec le gouvernement qui se sont accentués. Le gouvernement a attribué un certain nombre de mesures qui a réduit de manière drastique le budget de la ville. Ils ont mis les villes comme Budapest dans une situation de quasi-impossibilité d’assurer des services de base comme les transports publics. Je pense que c’est cette impasse qui a modifié sa position de base », ajoute-t-il. Les atouts de Gergely Karacsony pour combattre Viktor Orban Au premier abord, Gergely Karacsony ne semble pas être le candidat évident pour combattre Viktor Orban, l’homme fort du pays. Parmi les passions du maire âgé de 45 ans : le jazz et le cyclisme. Et quand cet homme aux petites lunettes parle de politique en Hongrie, c’est toujours avec un ton doux. Pourtant, pour Peter Balazs, ancien ministre des Affaires étrangères et son allié de longue date, la personnalité et l’histoire de Gergely Karacsony sont un atout pour les élections. « Il est très discret. J’ai l’impression qu’il ne s’énerve jamais même dans les circonstances les plus difficiles. Il vient d’une grande famille originaire d’un village situé dans le nord de la Hongrie. Donc, il connaît les réalités de la campagne, mais aussi la ville. Il a toutes les chances de gagner », souligne-t-il. Une opposition unie Pour la première fois en 3 élections, c’est une opposition unie qui fera face au Fidesz de Viktor Orban, le mastodonte maître des deux tiers du Parlement. Le bloc d’opposition comprend des Verts, des socialistes, des centristes, mais aussi le parti d’extrême droite, Jobbik, qui tente depuis quelques années, de rompre avec son passé radical et antisémite. Pour Zoltan Kiszelly, politologue conservateur hongrois, cette opposition unie est l’une des principales forces pour Gergely Karacsony. « Son premier atout, c’est le soutien des six partis d’opposition, dont il va récupérer les électeurs. C’est énorme ! Deuxième atout : grâce à sa personnalité et son programme, il pourrait attirer les électeurs indécis, en particulier les jeunes et les familles dans les zones urbaines, qui sont pro-européens. De par sa mentalité, il est en effet plus proche d’eux que M. Orban. Mais l’opposition a autant d’avantages que de fardeaux. L’un des inconvénients majeurs, c’est son allié, l’ancien Premier ministre socialiste, Ferenc Gyurcsány qui est l’une des personnalités politiques les moins appréciées dans le pays, tandis que M. Gergely Karacsony est très populaire. » Gergely Karacsony et les « 99 % » Dans sa vidéo de campagne, Gergely Karacsony s’engage à servir « 99 % » des Hongrois s’il est élu Premier ministre, et non les 1 % des plus riches, privilégiés, selon lui, par Viktor Orban. 99 c’est aussi le nom du nouveau mouvement politique qu’il vient de créer. Il rassemble des artistes, des philosophes, des personnalités politiques libérales, comme Peter Balazs, mais aussi des personnalités de droite. Une manière de s’assurer un large soutien s’il est élu en 2022, selon Zoltan Kiszelly. « S’il veut disposer d’une majorité parlementaire, il doit créer un mouvement plus large que son propre parti écologique qui n’a que 1 % des sièges au Parlement. Et s’il arrive à créer un mouvement qui ne soit pas aussi vert ou de gauche à l’image de son parti, il pourra attirer plus d’électeurs indécis avec ce type de mouvement populaire, “anti-élitiste” », analyse Zoltan Kiszelly Selon les sondages, le parti Fidsz et la coalition de l’opposition sont au coude à coude. En septembre, les électeurs de l’opposition décideront lors de la première élection primaire dans l’histoire du pays, si l’écologiste mérite d’affronter Viktor Orban en avril 2022.
Le dialogue entre le gouvernement chaviste et l'opposition va-t-il reprendre ? Il est au point mort depuis fin 2019. La Norvège tente une nouvelle médiation pour résoudre la crise économique et humanitaire que traverse le pays. L'opposant Juan Guaido, affaibli sur le plan international et critiqué en interne, a montré des signes d'ouverture. Mercredi 12 mai, dans la soirée, le président Maduro a soutenu qu'il était prêt à participer à ce dialogue. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/aziz-mustaphi/message
durée : 00:04:31 - Le Zoom de la rédaction - À N'Djamena, Mahamat Idriss Déby, président depuis la mort inattendue de son père le 19 avril dernier, peine à convaincre. À la tête d'un conseil militaire de transition, il promet des élections libres dans dix-huit mois. Mais ce qui semble rassurer Paris ne convainc pas l'opposition tchadienne.
durée : 00:12:49 - Journal de 7 h - Après l'attentat de Rambouillet, un nouveau projet de loi antiterroriste arrive en Conseil des ministres. Hasard du calendrier, dit le ministère de l'Intérieur, il prépare ce texte depuis des mois, durcissant des dispositions existantes. Les algorithmes pour traquer des terroristes posent question.
durée : 00:12:49 - Journal de 7 h - Après l'attentat de Rambouillet, un nouveau projet de loi antiterroriste arrive en Conseil des ministres. Hasard du calendrier, dit le ministère de l'Intérieur, il prépare ce texte depuis des mois, durcissant des dispositions existantes. Les algorithmes pour traquer des terroristes posent question.
Nous avons parlé dans cette Semaine en Turquie de la campagne lancée par le principal parti d’opposition (le CHP) qui consiste à poser la question “Où sont les 128 milliards de dollars”. Nous avons également traité de la libération d’Ahmet Altan, des nouvelles mesures prises pour lutter contre la pandémie, des relations diplomatiques avec la Grèce et l’Egypte et de la libération des amiraux à la retraite.
durée : 00:10:02 - Journal de 9h - La consultation des maires de France, lancée vendredi soir par l'exécutif, inquiète l'opposition et fait dire à une partie de la classe politique que les élections ne se tiendront pas en juin.
durée : 00:10:02 - Journal de 9h - La consultation des maires de France, lancée vendredi soir par l'exécutif, inquiète l'opposition et fait dire à une partie de la classe politique que les élections ne se tiendront pas en juin.
durée : 00:16:31 - Journal de 8 h - Les factions rebelles en Birmanie menacent de rejoindre l'opposition pour défendre les manifestants et pour s'en prendre aux militaires. La contestation s'organise maintenant aux frontières, avec des Birmans ayant fui leur pays. - réalisation : Martin Desclozeaux
durée : 00:16:31 - Journal de 8 h - Les factions rebelles en Birmanie menacent de rejoindre l'opposition pour défendre les manifestants et pour s'en prendre aux militaires. La contestation s'organise maintenant aux frontières, avec des Birmans ayant fui leur pays. - réalisation : Martin Desclozeaux
durée : 00:20:18 - Journal de 18h - Garder les écoles ouvertes avec le dernier protocole sanitaire renforcé, c'est le pari du gouvernement qui fait face à une opposition grandissante de parents d'élèves. Il faut fermer l'école et non simplement la classe, disent-ils, car le risque est trop grand pour les enfants.
durée : 00:20:18 - Journal de 18h - Garder les écoles ouvertes avec le dernier protocole sanitaire renforcé, c'est le pari du gouvernement qui fait face à une opposition grandissante de parents d'élèves. Il faut fermer l'école et non simplement la classe, disent-ils, car le risque est trop grand pour les enfants.
REJOINS OHLALA FRENCH COFFEE : https://www.ohlalafrenchcourse.fr/club Transcription de la vidéo : https://www.ohlalafrenchcourse.fr/blog/article/exprimer-l-opposition-en-francais Voyons aujourd'hui comment exprimer l'opposition en français grâce à plusieurs connecteurs d'oppositions. Je vous explique comment exprimer l'opposition en français. C'est parti ! À votre tour ! Faites une phrase en exprimant l'opposition ! Dites-moi en commentaire ! ✍️
Hospitalisé depuis le début du mois de mars à Paris et transféré en urgence en Allemagne six jours plus tard, le Premier ministre ivoirien, Hamed Bakayoko, a succombé hier, mercredi 10 mars, à un cancer fulgurant. Quel était le parcours de cet homme politique souvent qualifié de rassembleur ? Était-il un potentiel successeur à Alassane Ouattara à la tête de l'État ? Sylvain N'Guessan, directeur de l'Institut de stratégie d'Abidjan, répond aux questions de François Hume-Ferkatadji. RFI : Hamed Bakayoko, le Premier ministre ivoirien, est décédé hier, à l’âge de 56 ans. Quel homme était-il exactement ? On dit de lui qu’il avait un parcours atypique. Certains disent même qu’il était un self-made-man… Sylvain Nguessan : Oui, on retient du Premier ministre, Hamed Bakayoko, cette image. L’homme qui s’est fait lui-même, fils d’une famille modeste, qui n’a pas forcément fait de brillantes études — il aurait été envoyé à l’université, je crois, en troisième année de médecine — et qui est parvenu à ce poste de Premier ministre, après être passé par différents postes ministériels, dont celui de l’Intérieur et de la Défense. Hamed Bakayoko, le Premier ministre, ne se le cachait, pas, il disait avoir fait l’école de la vie. Donc je pense que c’est ce qui fascine un peu chez les Ivoiriens, de savoir que le monsieur est parti de rien du tout pour devenir Premier ministre, pour se hisser à ce niveau… Il y a de quoi séduire. Il a eu différents métiers. Il a été journaliste, directeur d’une radio… Oui, journaliste, directeur d’une radio… Il a contribué à l’organisation de plusieurs concerts… C’est un monsieur qui est passé un peu partout pour pouvoir se réaliser. La réalité aidant, le président Alassane Ouattara l’a responsabilisé à certains niveaux et il a pu réaliser les challenges qui étaient fixées à ces postes-là et cela a fait de lui le Premier ministre. Politiquement, il était perçu comme l’homme capable de parler à tous les camps. Il avait, notamment, parlé au téléphone récemment à Laurent Gbagbo… Oui, M. Hamed Bakayoko pouvait vraiment prendre le petit déjeuner chez Gbagbo, le déjeuner chez Bédié et le dîner chez le président Alassane Ouattara... C’était l’homme du consensus, le trait d’union entre les différents partis politiques et aussi le trait d’union entre les différentes couches sociales. Il avait cette particularité d’être l’homme du consensus, celui qui pouvait rassembler les différents acteurs politiques en Côte d’Ivoire autour d’une table. Et c’est notamment pour cette raison qu’il avait piloté, au mois de décembre dernier, le dialogue politique, et qu’il participait aussi aux négociations sur le retour de Laurent Gbagbo… Exactement. Et on a vu le résultat de ce dialogue politique du mois de décembre, c’est la première fois, depuis 2010, que l’on voyait une élection inclusive en Côte d’Ivoire. C’est même, peut-être, la première fois de l’histoire de la Côte d’Ivoire, qu’il y a une élection législative inclusive. C’est à mettre à son actif, parce qu’il savait parler à tout le monde et tout le monde a appris à lui faire confiance, également. Mais alors, comment on peut expliquer, justement, cette place particulière qu’il avait dans le champ politique ivoirien et une grande popularité, on peut le dire aussi ? Le Premier ministre lui-même le disait, il a fait l’école de la vie. Contrairement aux autres qui ont fait de brillantes études — Doctorat Master... — lui, il en a été exclus très tôt. Donc il bossait trois fois plus pour pouvoir occuper convenablement son poste. Et il a fait l’école de la vie ! Cela lui a appris à arrondir les angles à chaque fois, à ne pas insulter, à se rapprocher, à ne pas être dur sur sa position, à être toujours à la recherche du compromis… Je crois que c’est ce qui fascinait chez le Premier ministre. Est-ce que justement ses qualités de rassembleur faisaient de lui un possible successeur à la tête de l’État d’Alassane Ouattara ? Je pense, je pense… On était arrivés vraiment à un stade, au sortir de la présidentielle passée, où le champ politique ivoirien avait vraiment besoin de l’homme du compromis. Celui qui pouvait s’entendre avec tout le monde, qui n’allait pas privilégier la confrontation, qui allait éviter les grands affrontements… Je pense que M. Hamed Bakayoko, le Premier ministre, était un potentiel président, un potentiel remplaçant du président Alassane Ouattara. Après ce décès qui a fait suite à un cancer fulgurant, est-ce que, pour le RHDP, c’est une grosse perte ? Comment le président Alassane Ouattara va-t-il pouvoir affuter sa stratégie, après la perte d’un ponte, d’un ténor politique comme Hamed Bakayoko ? C’est non seulement une grande perte pour le RHDP, mais aussi une grande perte pour toute la classe politique ivoirienne. Quand l’homme — le trait d’union — n’est plus, on se demande comment différentes formations politiques vont se retrouver pour pouvoir discuter. Comment l’opposition incarnée par le PDCI et le FPI de Laurent Gbagbo vont poursuivre les négociations avec le RHDP du président Alassane Ouattara. C’est une grande perte pour le RHDP. L’homme qui pouvait apaiser les différends rangs de l’opposition n’est plus. Bien évidemment, je pense que le président Alassane Ouattara va chercher quelqu’un de sa trempe. On n’entre pas tous les jours à ce niveau de responsabilités, mais je pense que sa stratégie sera de trouver un homme qui a la compétence managériale du Premier ministre Hamed Bakayoko, de sorte à maintenir le contact avec l’opposition et susciter la cohabitation politique pacifique.
Entrevue avec Miguel Ouellette, directeur des opérations et économiste à l’IEDM : ils publient aujourd’hui une étude intitulée « Pétrole : nous devons mettre fin à notre dépendance envers les États-Unis ». La publication tombe à pic, alors qu’ont lieu plusieurs rencontres cette semaine entre le Canada et les États-Unis. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:11:22 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Divisée entre l'opposition "systémique", adoubée par le Kremlin, et l'opposition "libérale" qui ne soutient pas tellement Alexeï Navalny, l'opposition russe sera sans doute toujours aussi dispersée pour les élections de septembre. Entretien avec la chercheuse Tatiana Kastouéva-Jean. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Tatiana Kastouéva-Jean chercheuse, Directrice du Centre Russie/Nouveaux états indépendants de l'Ifri
Invité du "Grand Rendez-vous" dimanche 21 février, le délégué général de La République en marche Stanislas Guerini est revenu sur la possible mise en place d'un "vote par anticipation" lors de l'élection présidentielle 2022. Il explique qu'il y est favorable et déplore le "conservatisme, et parfois objectivement un peu [le] complotisme" de l'opposition.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix du lundi au jeudi et de Sabine Marin du vendredi au dimanche. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
VOTE ANTICIPÉ : LA SURPRISE DE MACRON RÉVEILLE L'OPPOSITION 18/02/21InvitésNATHALIE SAINT-CRICQÉditorialiste politique – « France Télévisions »DOMINIQUE REYNIÉPolitologue, directeur général de FondapolBRICE TEINTURIER Directeur délégué de l'Institut de sondages IpsosMARION MOURGUE Grand reporter au service politique – « Le Figaro »À peine acté le report des élections départementales et régionales pour cause de pandémie, l'exécutif se penche sur la présidentielle et veut faire adopter une petite révolution avant le scrutin. Jusqu'à présent, en France, le vote est une véritable cérémonie républicaine qui se déroule le dimanche, et si on ne peut pas y aller, on donne procuration à une personne qui se déplacera le jour dit dans l'isoloir. Mais pour 2022, le gouvernement veut permettre aux citoyens de voter par anticipation quelques jours avant, les mardis, mercredis ou jeudis précédents le premier et second tour, depuis le chef-lieu de leur département sur une machine électronique. Et il a déposé un amendement surprise dans ce sens mardi au Sénat. Du côté de LREM, on soutient l'idée de "moderniser la démocratie" et de lutter contre l'abstention. Au Portugal, le mois dernier, 250 000 personnes ont ainsi voté en amont. Aux États-Unis, ils furent plus de 100 millions lors de la dernière présidentielle. Mais la France n'est pas l'Amérique et la nouvelle a fait l'unanimité contre elle dans l'opposition. L'amendement qui a été débattu hier en commission des lois au Sénat a été rejeté. Dans un communiqué, la commission explique que sur la forme, il est "inenvisageable de modifier aussi radicalement les règles de l'élection présidentielle par un amendement déposé in extremis à la fin de la navette parlementaire, sans que ni les forces politiques ni le Conseil d'État aient été appelés à se prononcer". "Sur le fond, elle a considéré que l'amendement du gouvernement était de nature à alimenter la suspicion sur la sincérité de l'élection présidentielle et à remettre en cause la légitimité du Président élu. Les machines à voter, en effet, sont soumises à un moratoire depuis 2008 : seules 66 communes en sont équipées, le gouvernement interdisant aux autres communes d'acquérir des machines à voter". Les membres de la commission évoquent également plusieurs arguments, parmi lesquels les risques de fraude. Un argument largement mis en avant depuis mardi par plusieurs élus. "Machine à voter, machine à tricher !" a ainsi réagi le député Gilbert Collard. "Alerte fraude !" s'est insurgé l'ex-FN Florian Philippot. "Une magouille politique qui ne dit pas son nom" a pointé à son tour Sébastien Chenu, porte-parole du RN. Autre critique : "Ça crée une rupture d'égalité car les gens habitant les villes pourraient avoir l'occasion de voter un mercredi, puis un dimanche" et pas les gens des zones rurales reculées", a expliqué Bruno Retailleau. Mais "il y a bien un motif" pour "cette habileté politicienne qui vient finalement tromper le jeu démocratique" s'est interrogé le sénateur LR, qui a une idée : "Monsieur Macron recherche un électorat plutôt urbain, qui pourrait partir en villégiature le dimanche et dont on aimerait qu'il vote le mercredi pour le laisser libre de ses choix le dimanche". De son côté le rapporteur du texte, le sénateur LR Stéphane Le Rudulier rappelle que "l'élection présidentielle, notamment au premier tour, n'est pas frappée d'une abstention réelle. Cela a l'air d'un amendement bricolé à la dernière minute, vraiment bricolé, qui pourrait semer le doute encore une fois sur l'élection présidentielle" a-t-il déploré S'il ne fait pas de doute que l'amendement examiné ce jeudi en séance au Sénat, à majorité LR, va être rejeté, les députés auront le dernier mot sur le texte. Le gouvernement pourra réintroduire l'amendement à l'Assemblée. Le débat est donc loin d'être clos alors que la présidentielle est dans toutes les têtes et que le duel Macron/Le Pen a déjà commencé à distance. Un match retour que pronostiquent 67 % de Français mais dont ils ne veulent pas. Alors à droite comme à gauche on tente de se faire une place dans ce tête-à-tête et on se cherche une figure providentielle. Ces derniers jours le nom de Michel Barnier, "Monsieur Brexit", revient ainsi avec insistance du côté des Républilcains au sujet d'une éventuelle candidature à l'élection présidentielle, quand à gauche de nombreuses voix appellent l'ancienne Garde des Sceaux, Christiane Taubira, à se lancer dans la course pour 2022.Diffusion : du lundi au samedi à 17h45Rediffusion : du lundi au vendredi vers 23h40Format : 65 minutesPrésentation : Caroline Roux et Axel de TarléRéalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele, Jacques Wehrlin, Nicolas Ferraro et Benoît LemoineProductions : France Télévisions / Maximal ProductionRetrouvez C dans l'air sur France.tv
Tous les jours de la semaine, Paul Lahcene, remplacé aujourd'hui par Martin Lange, vous livre les dernières informations en provenance des réseaux sociaux. Aujourd’hui, Martin Lange revient sur le retour du réseau social ultra-conservateur Parler.
Au Tchad, après 30 ans de présidence Déby Itno, l'opposition parviendra-t-elle à provoquer l'alternance ? À deux mois de l'élection présidentielle, 16 partis ont désigné Théophile Bongoro comme candidat unique. Que vous inspire ce choix ? La stratégie de l'opposition sera-t-elle efficace ? Pour participer à l'émission, contactez-nous : * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays) Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l’actualité * Twitter : @AppelsActu
RADIO NEWS PODCAST | Radio News 94.3 Fm stereo Saint-Marc Haiti.
NEWS MATIN Lundi 08 Fevrier 2021 | invité Me Caleb Jean Baptste Membre de l'opposition.
Chronique politique provinciale et fédérale avec Antoine Robitaille & Caroline St-Hilaire : l’affaire Camara. Sandy Boutin reçoit des subventions. Les vaccins ne sont pas pour demain. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:48 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - 4 jours après le coup d’État militaire en Birmanie, les appels à la désobéissance civile se multiplient. On est tenté de ne donner aucune chance à cette résistance face à l’armée. Mais on peut aussi se demander si après tout, le putsch ne pourrait pas échouer. C’est le « monde d’après ».
Au Tchad, l'opposition parviendra-t-elle à provoquer l'alternance ? À trois mois de l'élection présidentielle, 14 partis se disent prêts à s'engager derrière un candidat unique. Mais encore faut-il qu'ils s'entendent sur le nom de celui qui portera les couleurs de l'opposition. Nous lançons le débat. Pour participer à l'émission, contactez-nous : * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays) Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l’actualité * Twitter : @AppelsActu
durée : 00:39:09 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Bruno Baradat - A l'occasion de la Nuit des Idées 2021 sur le thème "Proches", le Temps du Débat invite le philosophe Jacques Rancière et l'historien Eric Anceau. Pour rapprocher ceux et celles qui constituent un corps citoyen, "peuple" et "élite" sont-elles des catégories à réconcilier ou à déconstruire ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Jacques Rancière philosophe, professeur émérite à l'Université de Paris VIII (Saint-Denis); Eric Anceau Historien, Professeur à l'Université Paris-Sorbonne
durée : 00:39:09 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Bruno Baradat - A l'occasion de la Nuit des Idées 2021 sur le thème "Proches", le Temps du Débat invite le philosophe Jacques Rancière et l'historien Eric Anceau. Pour rapprocher ceux et celles qui constituent un corps citoyen, "peuple" et "élite" sont-elles des catégories à réconcilier ou à déconstruire ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Jacques Rancière philosophe, professeur émérite à l'Université de Paris VIII (Saint-Denis); Eric Anceau Historien, Professeur à l'Université Paris-Sorbonne
Nouveau Départ | À deux voix Get on the email list at nouveaudepart.substack.com
En Centrafrique, Faustin Archange Touadéra a été réélu pour un second mandat mais l'opposition ne reconnait pas sa légitimité. Elle dénonce des fraudes et une trop faible participation en raison de l'insécurité. Comment sortir de l'impasse ? Un dialogue vous semble-t-il possible ? Nous lançons le débat. Pour participer à l'émission, contactez-nous : * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays) Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l’actualité * Twitter : @AppelsActu
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
En Côte d'Ivoire, après avoir boycotté la présidentielle du mois d'octobre, l'opposition espère remporter les législatives du 6 mars. Mais parviendra-t-elle à surmonter ses divisions et à s'entendre sur une candidature unique par circonscription ? Nous lançons le débat à 24 h de la date limite de dépôt des candidatures. Pour participer à l'émission, contactez-nous : * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays) Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l’actualité * Twitter : @AppelsActu
L'opposant russe Alexeï Navalny a annoncé son retour à Moscou, où il risque d'être arrêté. Le pouvoir russe, qui ne veut rien laisser au hasard en cette année d'élections législatives, resserre l'étau sur la société civile.
Les médias dominants salissent votre esprit ? De Brague & Korias sont de retour et nettoient désormais l'info chaque semaine ! Au sommaire de cette émission : L'opposition verte, sparring-partner idéal pour Macron 2022. Source: https://bit.ly/3ic9BS9
durée : 02:00:21 - Le 5/7 - Retour sur la double audition du ministre de la Santé, Olivier Véran, hier, à l’Assemblée et au Sénat avec l'invité du 5/7 : Bernard Jomier, médecin généraliste, sénateur écologiste (apparenté PS) de Paris, est également le rapporteur de la Commission d’enquête du Sénat sur la gestion de l’épidémie.
Des acteurs biélorusses réfugiés à Vilnius ont monté avec une équipe lituanienne un spectacle de théâtre, proche du documentaire, sur les manifestations en Biélorussie et l'opposition à Loukachenko. En Biélorussie, Alexandre Loukachenko continue de faire face à une fronde d’une partie importante de la population. Depuis le scrutin du 9 août, entaché d’irrégularités, la population manifeste pour obtenir le départ du président, au pouvoir depuis 26 ans. Le mouvement de contestation est réprimé, les meneurs de l’opposition sont emprisonnés ou contraints à l'exil. Au moins quatre personnes sont mortes.
durée : 00:14:52 - Journal de 22h - La France n'avait vacciné ce week-end que quelques centaines de personnes, contre près d'un million au Royaume-Uni. A gauche comme à droite, on dénonce le retard pris par la campagne de vaccination française. Pour accompagner cette campagne, un collectif de citoyens tirés au sort sera mis en place. - invités : Jean-Michel Fourniau Chercheur associé au Groupe de sociologie pragmatique et réflexive de l'EHESS, directeur du GIS Démocratie et Participation
durée : 00:14:52 - Journal de 22h - La France n'avait vacciné ce week-end que quelques centaines de personnes, contre près d'un million au Royaume-Uni. A gauche comme à droite, on dénonce le retard pris par la campagne de vaccination française. Pour accompagner cette campagne, un collectif de citoyens tirés au sort sera mis en place. - invités : Jean-Michel Fourniau Chercheur associé au Groupe de sociologie pragmatique et réflexive de l'EHESS, directeur du GIS Démocratie et Participation
Le projet de loi sur la gestion des urgences sanitaires a été déposé lundi soir à l'Assemblée. Le Rassemblement national et la droite disent craindre un texte qui restreindrait la liberté de déplacement qui deviendrait conditionnée dans certains cas à la vaccination contre le Covid-19. Marine Le Pen, la cheffe de file du RN a dénoncé une mesure "d'essence totalitaire".
Le projet de loi sur la gestion des urgences sanitaires a été déposé lundi soir à l'Assemblée. Le Rassemblement national et la droite disent craindre un texte qui restreindrait la liberté de déplacement qui deviendrait conditionnée dans certains cas à la vaccination contre le Covid-19. Marine Le Pen, la cheffe de file du RN a dénoncé une mesure "d'essence totalitaire".
Le projet de loi sur la gestion des urgences sanitaires a été déposé lundi soir à l'Assemblée. Le Rassemblement national et la droite disent craindre un texte qui restreindrait la liberté de déplacement qui deviendrait conditionnée dans certains cas à la vaccination contre le Covid-19. Marine Le Pen, la cheffe de file du RN a dénoncé une mesure "d'essence totalitaire".