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« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Port-Louis à l'île Maurice, où les Chinois ne représentent que 3 % de la population, mais leur présence rayonne bien au-delà des chiffres. La communauté chinoise est à la fois discrète, bien intégrée, métissée et économiquement influente. Le Nouvel An chinois est d'ailleurs un jour férié dans l'île. Au cœur du Chinatown mauricien, traditions, gastronomie et mémoire des anciens se mêlent aux visages de toutes les communautés. De notre correspondant à Port-Louis, Dans les ruelles de Chinatown à Port-Louis, le mandarin résonne encore. Aujourd'hui, notre présence attire la curiosité. Aaron Kwang Poon nous accompagne. Né ici, il connaît l'histoire des commerçants chinois à Maurice. « Au pic de leur activité, il y avait environ 300 boutiques chinoises à travers Maurice. Pratiquement dans chaque village, il y avait au moins une boutique chinoise. » Ces petits commerces ont nourri l'île pendant des décennies avant et après l'indépendance. Ils ont approvisionné la population en denrées de base, tissant leurs racines dans chaque communauté locale. Pour sa part, Chinatown à Port-Louis reste un haut lieu du commerce. Dans les rues, on croise davantage une population locale diverse que des Mauriciens d'origine chinoise. Mais les grands symboles sont là : l'arc monumental de la rue Royale, ombrelles, et lanternes qui ponctuent façades et allées, ainsi que les enseignes en caractère chinois. C'est ici qu'Amélie, 88 ans, venue de la ville la plus éloignée de Port-Louis, fait ses courses : « J'habite à Curepipe. Je viens acheter des choses, ce qui me manque. » « Tous les Mauriciens adorent ça » Elle s'arrête devant une épicerie Yue Hwa, rue Dr Sun Yat Sen. Dans ce petit espace, un concentré de Chine : « Des ailerons de requin, des nids d'hirondelles, et des œufs de 100 ans », détaille le commerçant. Produits rares, nouilles, graines, fruits séchés, ustensiles, tout l'univers culinaire chinois dans quelques mètres carrés. La gastronomie chinoise est le fast-food préféré dans l'île : « Les nouilles frites, les "mines frites", le riz frit et les boulettes sont devenus des plats mauriciens. » Siddick Yerally, 82 ans, se joint à la conversation. Dans le quartier, tout le monde l'appelle Nala : « Tous les Mauriciens adorent ça ! Même rue Desforges, il y a un restaurant chinois musulman, halal, et c'est rempli tous les soirs. » Nala est musulman, marié à une Chinoise. Certains l'appellent Ah Young. Il siège à la Chinatown Foundation et il veut nous montrer les trésors du quartier : « Là, je vais vous emmener à la pagode, elle appartient au clan des Chan. » Une communauté influente Les descendants chinois de Maurice ont maintenu les liens claniques. Il existe une bonne dizaine de clans chinois à Maurice. À 200 mètres, nous découvrons une autre pagode, celle du clan Fock qui trône au 9e étage d'un immeuble résidentiel. Dans la pagode, des stèles en bois portent les noms des ancêtres, sous le regard de Kwan Tee, le guerrier légendaire. Au rez-de-chaussée, rencontre avec Bernard Li Kwong Ken qui nous explique ce que son nom dit de ses racines et de son identité : « En Chine, je m'appellerais Li Sui Chong. Nous gardons à travers les générations le nom du clan Li. Mon grand frère, c'est Li Kwet Chong, moi Li Sui Chong, mon petit frère Li Moy Chong. » Li (ou Lee), c'est le lien commun. Bernard est un descendant du clan Li, le deuxième nom le plus répandu de Chine. Comme beaucoup de Sino-Mauriciens, il porte aussi un prénom catholique. La plupart fréquentent l'église, héritage de l'intégration mauricienne. Cependant, cette population décline : de 40 000 âmes dans les années 1980 à environ 12 000 aujourd'hui. Les jeunes émigrent vers l'Australie, le Canada. Malgré cela, les Sino-Mauriciens demeurent une influente communauté économique dans l'île. À lire aussiDans mon Chinatown: visite guidée de Lognes, première ville asiatique de France
Ce jeudi 28 août, l'île Maurice vibre au rythme de Ganesh Chaturthi, une célébration profondément ancrée dans la communauté hindoue à Maurice. Après une nuit entière de prières, de chants et de rituels dans les temples et foyers, les dévots de Ganesha se préparent pour le Visarjan, soit l'immersion des statues du dieu Ganesh dans la mer ou les rivières. À travers plusieurs régions de l'île, les processions et les cortèges festifs reflètent la ferveur des Mauriciens qui perpétuent cette tradition séculaire. Ce reportage vous plonge au cœur de ces moments d'émotion, où spiritualité et culture se mêlent… Top FM vous souhaite un pieux Ganesh Chaturthi.
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Port-Louis à l'île Maurice, où les Chinois ne représentent que 3 % de la population, mais leur présence rayonne bien au-delà des chiffres. La communauté chinoise est à la fois discrète, bien intégrée, métissée et économiquement influente. Le Nouvel An chinois est d'ailleurs un jour férié dans l'île. Au cœur du Chinatown mauricien, traditions, gastronomie et mémoire des anciens se mêlent aux visages de toutes les communautés. De notre correspondant à Port-Louis, Dans les ruelles de Chinatown à Port-Louis, le mandarin résonne encore. Aujourd'hui, notre présence attire la curiosité. Aaron Kwang Poon nous accompagne. Né ici, il connaît l'histoire des commerçants chinois à Maurice. « Au pic de leur activité, il y avait environ 300 boutiques chinoises à travers Maurice. Pratiquement dans chaque village, il y avait au moins une boutique chinoise. » Ces petits commerces ont nourri l'île pendant des décennies avant et après l'indépendance. Ils ont approvisionné la population en denrées de base, tissant leurs racines dans chaque communauté locale. Pour sa part, Chinatown à Port-Louis reste un haut lieu du commerce. Dans les rues, on croise davantage une population locale diverse que des Mauriciens d'origine chinoise. Mais les grands symboles sont là : l'arc monumental de la rue Royale, ombrelles, et lanternes qui ponctuent façades et allées, ainsi que les enseignes en caractère chinois. C'est ici qu'Amélie, 88 ans, venue de la ville la plus éloignée de Port-Louis, fait ses courses : « J'habite à Curepipe. Je viens acheter des choses, ce qui me manque. » « Tous les Mauriciens adorent ça » Elle s'arrête devant une épicerie Yue Hwa, rue Dr Sun Yat Sen. Dans ce petit espace, un concentré de Chine : « Des ailerons de requin, des nids d'hirondelles, et des œufs de 100 ans », détaille le commerçant. Produits rares, nouilles, graines, fruits séchés, ustensiles, tout l'univers culinaire chinois dans quelques mètres carrés. La gastronomie chinoise est le fast-food préféré dans l'île : « Les nouilles frites, les "mines frites", le riz frit et les boulettes sont devenus des plats mauriciens. » Siddick Yerally, 82 ans, se joint à la conversation. Dans le quartier, tout le monde l'appelle Nala : « Tous les Mauriciens adorent ça ! Même rue Desforges, il y a un restaurant chinois musulman, halal, et c'est rempli tous les soirs. » Nala est musulman, marié à une Chinoise. Certains l'appellent Ah Young. Il siège à la Chinatown Foundation et il veut nous montrer les trésors du quartier : « Là, je vais vous emmener à la pagode, elle appartient au clan des Chan. » Une communauté influente Les descendants chinois de Maurice ont maintenu les liens claniques. Il existe une bonne dizaine de clans chinois à Maurice. À 200 mètres, nous découvrons une autre pagode, celle du clan Fock qui trône au 9e étage d'un immeuble résidentiel. Dans la pagode, des stèles en bois portent les noms des ancêtres, sous le regard de Kwan Tee, le guerrier légendaire. Au rez-de-chaussée, rencontre avec Bernard Li Kwong Ken qui nous explique ce que son nom dit de ses racines et de son identité : « En Chine, je m'appellerais Li Sui Chong. Nous gardons à travers les générations le nom du clan Li. Mon grand frère, c'est Li Kwet Chong, moi Li Sui Chong, mon petit frère Li Moy Chong. » Li (ou Lee), c'est le lien commun. Bernard est un descendant du clan Li, le deuxième nom le plus répandu de Chine. Comme beaucoup de Sino-Mauriciens, il porte aussi un prénom catholique. La plupart fréquentent l'église, héritage de l'intégration mauricienne. Cependant, cette population décline : de 40 000 âmes dans les années 1980 à environ 12 000 aujourd'hui. Les jeunes émigrent vers l'Australie, le Canada. Malgré cela, les Sino-Mauriciens demeurent une influente communauté économique dans l'île. À lire aussiDans mon Chinatown: visite guidée de Lognes, première ville asiatique de France
Journée internationale de la jeunesse : Chômage, drogue, méritocratie, énergie, sport … les jeunes Mauriciens livrent leurs priorités by TOPFM MAURITIUS
C'est un moment de grâce et de communion qui commence ce dimanche à Maurice : le Jubilé des Îles s'ouvre officiellement aujourd'hui et ce jusqu'au 10 août prochain. Au total, ce sont 230 jeunes venus des îles sœurs de l'océan Indien et 730 jeunes Mauriciens qui participeront à ce premier Jubilé des Îles placé sous le thème : « Avec Marie, soyons pèlerins d'espérance ». Quatre évêques seront présents pour accompagner ces journées. Dans un message, l'évêque de Port-Louis, Mgr Jean Michaël Durhône a souligné l'attention que l'Église porte à sa jeunesse : « Ils sont notre première mission, comme l'a rappelé notre regretté pape François qui, lors de sa visite chez nous en 2019, a mis en garde contre le danger des marchands de mort qui volent le visage jeune de nos sociétés. Les jeunes ont un immense potentiel. » Durant toute la semaine, des temps forts spirituels, des célébrations, des ateliers, des temps de mission et des moments festifs sont prévus à travers le diocèse.
Responsabiliser dès le plus jeune âge : ANSAM veut inscrire le bien-être animal dans les manuels scolaires mauriciens by TOPFM MAURITIUS
Santé : des maisons d'hôtes à Chennai offertes aux patients mauriciens en traitement by TOPFM MAURITIUS
Les abonnés mauriciens bientôt taxés by TOPFM MAURITIUS
Star Knitwear : 312 employés mauriciens et 158 ouvriers étrangers se retrouvent confrontés à une perte d'emploi by TOPFM MAURITIUS
Rapport Afrobarometer : les Mauriciens de plus en plus éloignés des partis politiques by TOPFM MAURITIUS
Réforme des pensions : « Les Mauriciens devront justifier leur pauvreté pour bénéficier de la charité de l'État », selon Shayn Sinnassamy de la CTSP by TOPFM MAURITIUS
Pension universelle à 65 ans : les Mauriciens fixés sur la réforme des retraites ce vendredi by TOPFM MAURITIUS
Chaque 1er juillet, le monde entier célèbre la Journée internationale du reggae, rendant ainsi hommage à ce genre musical né sur les terres de Jamaïque. Instaurée en 1994 par la militante culturelle Andrea Davis, cette journée met en lumière l'héritage profond du reggae : ses artistes légendaires, ses messages universels de paix, d'unité et de résistance, ainsi que son rayonnement culturel aux quatre coins du globe. À Maurice, en 2025, le reggae est bien plus qu'une simple musique. Pour de nombreux Mauriciens, il est devenu un véritable exutoire, un repère. Des voix locales s'élèvent pour témoigner de son impact, entre racines africaines, spiritualité rastafari et combats sociaux. Sur les ondes comme dans les cœurs, le reggae réunit et inspire.
Une cellule de crise a été mise en place au ministère des Affaires étrangères pour suivre de près la situation des ressortissants mauriciens dans la région. Plus d'une quinzaine d'entre eux ont déjà pris contact avec les autorités. Lors d'une réunion présidée par Rajen Narsinghen, ministre délégué au ministère des Affaires étrangères, de l'Intégration régionale et du Commerce international, ce mardi 24 juin, des hauts fonctionnaires de différents ministères et d'organismes concernés ont participé. Des représentants du secteur privé, notamment de la Mauritius Export Association (MEXA) et de la Chambre de commerce et d'industrie de Maurice (MCCI), étaient également présents.
Journée du don d'organes : « Il faut conscientiser les Mauriciens sur la nécessité du don d'organes », affirme Anil Gayan by TOPFM MAURITIUS
Comme chaque dimanche sur RFI, c'est l'heure de découvrir les Têtes d'affiches de Denise Epoté, cette semaine avec Nicolas Brousse. Sur la manchette, deux Mauriciens, Thibaut Walle, créateur de l'application « Alaprann » destinée à faire le pont entre le créole et l'anglais, afin de faciliter l'apprentissage. Et, Kaushik Rathod, fondateur de l'application « Yougo » visant à structurer et moderniser le secteur du transport.
Des chiffres qui en disent long, avec plus de 15 000 Mauriciens établis à l'étranger. Parmi eux, 3 000 sont des personnes âgées. Des Mauriciens, oui, mais pas éligibles à la pension universelle. En effet, selon la loi, un citoyen mauricien de plus de 60 ans est éligible à la pension de retraite s'il réside à Maurice et s'il a habité dans le pays au moins 12 ans depuis l'âge de 18 ans. Nous vous en parlions dans nos précédentes éditions : l'adaptation du modèle économique au vieillissement de la population est un chantier incontournable. La pension de retraite fait sourciller, et certains ont même proposé un ciblage… Les Mauriciens qui ont résidé à l'étranger et sont retournés à Maurice après avoir atteint l'âge de la retraite sont éligibles à la pension. Navin Calleechurn, ancien adjoint au commissaire à la Sécurité sociale, trouve cela injuste. « Selon le National Pensions Act (1976), un citoyen mauricien de plus de 60 ans est éligible à la pension de retraite s'il réside à Maurice et s'il a habité dans le pays pendant au moins 12 ans depuis l'âge de 18 ans. » Pour les personnes qui voyagent, le temps passé à l'étranger est comptabilisé en collaboration avec le Passport and Immigration Office (PIO). Si un bénéficiaire passe plus de six mois hors de Maurice, sa pension n'est plus versée à partir du septième mois. Il pourra toutefois la retrouver à son retour. Les derniers chiffres montrent qu'ils sont 17 839 Mauriciens à résider à l'étranger.
La subvention sur les billets d'avion accordée aux Mauriciens et aux Rodriguais dans le cadre du « Rodrigues Special Holiday Package Scheme » sera progressivement supprimée au cours des deux prochaines années, soit une réduction de 33 % d'ici juin 2026 et de 67 % d'ici juin 2027. Parallèlement, la Passenger Service Charge (PSC), appliquée aux passagers au départ de l'aéroport de Plaine Corail, sera augmentée de manière progressive sur la même période. Ainsi, si le tarif actuel est d'environ Rs 6 400, les Mauriciens et Rodriguais devront progressivement payer davantage, jusqu'à atteindre environ Rs 11 000 d'ici juin 2027. Pour Sen Ramsamy, Managing Director de Tourism Business Intelligence, cette somme est jugée excessive. Il déplore également l'absence de concurrence et critique la qualité du service proposé.
La Pentecôte est une fête chrétienne célébrée cinquante jours après Pâques. Elle commémore la descente du Saint-Esprit sur les apôtres, marquant ainsi la naissance de l'Église. Des milliers de Mauriciens sont attendus ce dimanche 8 juin à Marie-Reine-de-la-Paix pour un rassemblement exceptionnel organisé par le Diocèse de Port-Louis. Mgr Jean Michaël Durhône, Évêque de Port-Louis, rappelle que la Pentecôte est un jour de joie et d'espérance. Il invite les Mauriciens à se réunir dans un esprit de foi et exprime sa gratitude envers toutes les personnes qui soutiennent cette célébration. Le père Georgy Kenny a partagé les informations pratiques concernant cette journée et a souligné l'importance de porter des vêtements blancs, symbole de pureté et rappel du baptême.
Environ Rs 1,6 million ont été attribuées ce vendredi 30 mai à des athlètes et entraîneurs mauriciens en récompense de leurs succès internationaux dans des disciplines telles que la boxe, le badminton, le kick-boxing, l'haltérophilie, le judo et le para-athlétisme. La cérémonie s'est tenue au ministère de la Jeunesse et des Sports à Port-Louis, en présence du ministre Deven Nagalingum et de la ministre déléguée au Sport Karen Foo Kune-Bacha. Le ministre Nagalingum a salué les performances des sportifs et a annoncé qu'une distinction serait bientôt attribuée à la cycliste Kimberley Le Court-Pienaar. De son côté, Karen Foo Kune-Bacha a encouragé les athlètes à devenir des modèles pour la jeunesse en promouvant des valeurs telles que la discipline et la persévérance.
L'association I Have a Dream a tenu un point presse au Strand de Beau-Plan pour présenter son projet de voyage artistique à La Réunion. Cette initiative vise à promouvoir de jeunes talents mauriciens âgés de 9 à 15 ans dans le cadre d'un échange culturel. Invités par le Centre Culturel Éducatif de La Réunion, ces jeunes participeront à des activités artistiques autour du thème « I Have a Dream ». Le président de l'association, Ricardo Moutou, a salué cette deuxième participation comme une belle vitrine du potentiel créatif mauricien.
Ce concours, axé sur des projets scientifiques, offre aux élèves du secondaire à travers l'île Maurice une plateforme pour appliquer leurs connaissances théoriques à des problématiques concrètes du monde réel. Cette année, environ 500 élèves et 90 enseignants issus de 55 établissements scolaires participent à l'événement, avec la présentation de 100 projets innovants. Dr Maulloo, directeur du RGSC, a précisé que le processus de sélection a débuté en janvier 2025. Chaque équipe est composée de quatre élèves encadrés par un enseignant. Après une première évaluation, les meilleures propositions ont été retenues pour participer à la compétition. Le concours Science Quest vise à encourager les élèves à mettre en pratique les concepts scientifiques appris en classe en les confrontant aux défis du quotidien. Il s'inscrit dans une démarche éducative qui favorise la créativité, l'esprit critique et l'innovation parmi les jeunes.
Après avoir été retrouvés par les autorités malgaches le mercredi 14 mai, les trois ressortissants mauriciens sont toujours à Madagascar. Selon les informations communiquées par la police, les autorités malgaches et la police mauricienne suivent l'enquête de très près. Les modalités de leur rapatriement vers l'île seront déterminées à l'issue de l'enquête. Pour rappel, ces trois pères de famille étaient portés disparus depuis le mercredi 24 avril, alors qu'ils devaient simplement partir en pêche.
29ᵉ anniversaire de la mort de Sir Gaëtan Duval : « Son nom reste gravé dans la mémoire des Mauriciens », déclare Me Olivier Barbe by TOPFM MAURITIUS
Chaque année, le 23 avril, le monde entier rend hommage à la richesse de la littérature et à ceux qui la façonnent. Instaurée par l'UNESCO en 1995, la Journée mondiale du livre et du droit d'auteur célèbre le pouvoir des mots et l'importance de la lecture dans nos vies. Cette année, nous nous sommes tournés vers les auteurs mauriciens qui proposent leurs ouvrages sur le plan local. Leurs œuvres trouvent-elles une véritable reconnaissance dans leur propre pays ? Les auteurs peuvent-ils, tout simplement, vivre de leur art ? Les défis sont nombreux pour les auteurs mauriciens. Faible diffusion, manque de soutien institutionnel, visibilité limitée… autant d'obstacles que dénonce Alain Jeannot, écrivain engagé dans la promotion de la lecture.
De l'émotion et des larmes. Encore sous le choc depuis l'annonce ce lundi 21 avril de la disparition du pape François, des centaines de touristes et de fidèles se sont rassemblés à la cathédrale Notre-Dame de Paris pour se recueillir et rendre hommage au pape. Sur le parvis de Notre-Dame de Paris, une employée, haut-parleur à la main, lance en boucle ce message, pour informer le public que la cathédrale n'accueille plus de visiteurs, mais uniquement les croyants qui se regroupent pour prier en mémoire du défunt pape François. Notre-Dame est en deuil et les fidèles ont encore du mal à réaliser.« C'est un choc pour moi. Comme je n'habite pas très loin, je me suis dit que c'était le moment de venir dans une Notre-Dame nouvellement restaurée pour un moment de recueillement et de prière », explique cet homme, visiblement ému. Comme lui, la mort du pape François a surpris de nombreux touristes, c'est le cas de cette jeune espagnole. « C'est un moment symbolique, on est très touchés d'être ici pour dire au revoir au pape François. Il m'a permis de me rapprocher du christianisme », confie-t-elle.Dans la file d'attente, Anne Kate, originaire de Maurice, est venue plus d'une heure à l'avance pour assister à cette messe et se recueillir. « Je viens prier pour le pape. Comme on visite Paris, on apporte notre prière pour le pape François. C'est touchant. Il est venu à l'île Maurice en 2019. Cela nous touche particulièrement, nous les Mauriciens. Il avait une belle approche pour les jeunes et les personnes marginalisées. J'espère que le prochain pape suivra le même parcours », affirme-t-elle.Il est 18h, des centaines de fidèles suivent l'homélie qui résonne depuis la cathédrale, retransmise par la chaîne de télévision catholique KTO : « Rendons grâce, pour la personne que fut le pape François, pour le ministère qu'il a accompli parmi nous. Demandons à Dieu de donner à son Église la grâce de son unité. Implorons l'Esprit-Saint pour qu'il ne cesse de nous conduire sur les chemins que le pape François nous trace. Amen. »Encore sous le choc, cette famille toulousaine est très émue. « En tant que chrétien, c'est un jour qu'on n'oubliera pas. Cela m'a touché », expliquent-ils. Les hommages continuent et certains fidèles se préparent pour la veillée.À lire aussi«On perd le meilleur d'entre nous»: les Argentins pleurent la mort de «leur» pape François
Exportations vers les USA : la taxe de 40 % sur les produits mauriciens inquiète
Changement climatique : Les Mauriciens invités à soumettre leurs propositions pour un avenir plus vert
Nommé ambassadeur de Maurice à Madagascar, Bruno Clifford Cunniah entend renforcer les relations bilatérales entre les deux pays. Parmi ses priorités figurent la protection et la sécurité des Mauriciens qui vivent ou passent leurs vacances dans la grande île. Universitaire de renom, il souhaite également promouvoir la coopération culturelle. Bruno Cunniah prend ses fonctions avec une vision claire de la redynamisation des relations entre Maurice et Madagascar.
En cette Journée mondiale du recyclage, la réflexion sur l'importance du recyclage prend une dimension écologique cruciale. En effet, la production de matériaux neufs consomme énormément d'énergie et génère des rejets polluants, contrairement au recyclage des matériaux. Cependant, à Maurice, la situation reste préoccupante. Sunil Dowarkasing, ingénieur en environnement, déplore la gestion inefficace des déchets sur l'île. Il est au micro de Melissa Rachel. Stéphanie Jacquin, Senior Projects and Operations Officer de l'ONG We-Recycle, appelle les Mauriciens à se renseigner sur l'emplacement des poubelles de tri et à adopter les bonnes pratiques de tri à la maison. Elle encourage également chacun à prendre le temps de déposer ses déchets triés dans les points de collecte appropriés, afin de contribuer activement à la protection de l'environnement. Sunil Dowarkasing et Stéphanie Jacquin sont d'accord sur l'urgence d'adopter des solutions de recyclage plus efficaces pour limiter l'impact environnemental et promouvoir une économie circulaire, essentielle pour la préservation de notre planète.
Le 20 mars, le monde observe la Journée internationale du bonheur, instaurée par les Nations Unies en 2013 pour promouvoir le bien-être comme un objectif essentiel. Le World Happiness Report 2024 classe Maurice 2ᵉ en Afrique et 78ᵉ au monde, mais l'indice continue de baisser, passant de 5,902 en 2023 à 5,816 en 2024. Cette tendance reflète un déclin entamé depuis 2016. Il est à noter que Maurice se classe 85e pour les jeunes de moins de 20 ans, alors que pour ceux âgés de 60 ans ou plus, le pays est classé 28e. La Junior Minister de l'Égalité des Genres et du Bien-être de la Famille, AnishtaBabooram, souligne que la contribution de chacun au progrès économique est essentielle pour améliorer le bien-être des Mauriciens.
Le marché du travail mauricien traverse une période critique. Selon le rapport "The Hands That Build Mauritius : Challenges, Opportunities, and the Future of Labour" publié par AXYS, plusieurs menaces pèsent sur l'économie locale. Le rapport met en avant plusieurs enjeux : 1. Une baisse de 11,7 % de la population active d'ici 2038, et de 36,8 % d'ici 2063. 2. Une fuite des cerveaux avec plus de 182 000 Mauriciens expatriés. 3. Un taux de décrochage scolaire élevé (seulement 28 à 35 % des élèves terminent le secondaire). 4. Des salaires peu attractifs limitant la rétention des talents. AXYS préconise une modernisation des secteurs clés, une revalorisation salariale et une réforme de l'éducation pour adapter les jeunes aux exigences du marché du travail. Navnit Seeburrun, analyste chez AXYS, estime que l'éducation et la modernisation des secteurs économiques sont essentielles pour améliorer la compétitivité du pays.
C'était lors d'un workshop sur l'efficacité de l'énergie…. Le ministre a souligné que la consommation de l'électricité par les Mauriciens a augmenté de manière considérable. Patrick Assirvaden estime que les machines du CEB produisant de l'électricité ne pourront rendre l'appel à l'avenir. C'est dans ce contexte qu'il annonce l'implémentation du « Time of use tariff » ….
Préparations des Mauriciens face au cyclone Garance : Entre provisions et moments en famille by TOPFM MAURITIUS
Une température de 31°C a été enregistrée dans les eaux mauriciennes au cours du mois de janvier, une donnée préoccupante pour la santé des récifs coralliens du lagon. Selon l'océanographe Vassen Kauppaymuthoo, une température au-delà de 29°C provoque le blanchissement des coraux, un phénomène préoccupant. Face à cette situation, l'ONG Eco Sud alerte sur les conséquences de ce réchauffement, qui menace non seulement l'écosystème marin, mais également l'industrie touristique, axée sur le « Sea, Sun and Sand », prisé des visiteurs et des Mauriciens.
Rodrigues : « nous nous sentons moins mauriciens alors que nous chantons le même hymne national » déplore la députée Dianette Henriette Manan
Après six mois à l'île Maurice, Émilie partage une réflexion honnête et nuancée sur son expérience, entre émerveillement et réalités du quotidien. Elle s'émerveille de la beauté naturelle de l'île, avec ses plages paradisiaques et sa végétation luxuriante, tout en notant que la gestion des déchets reste un défi, surtout en dehors des zones touristiques soigneusement entretenues. Si l'intégration auprès des Mauriciens demande du temps et des efforts, l'école de ses enfants et son engagement dans des actions de bénévolat lui ont permis de tisser des liens enrichissants. Elle observe également une grande diversité culturelle sur l'île, où différentes communautés cohabitent paisiblement, même si elles se mélangent peu. Le visa premium, bien qu'imparfait sur certains aspects pratiques, lui a offert l'opportunité de vivre dans un cadre unique tout en poursuivant son activité professionnelle. Enfin, même si la pratique de la randonnée reste émergente et parfois imprévisible, Émilie apprécie la richesse naturelle de l'île, propice à l'exploration et à l'aventure. Ce témoignage, teinté de sincérité et de bienveillance, propose un regard authentique sur les atouts et les défis d'une expatriation à Maurice.
« Nouveau souffle », c'est le grand titre du quotidien mauricien L'Express. « Fin du suspense », pointe le journal qui égraine, dans les 21 circonscriptions, les résultats des élections législatives de dimanche. « Les chiffres officiels pour la circonscription n°6 sont tombés (en dernier) après 1 heure du matin. Et ils confirment la grosse victoire des candidats de l'Alliance du changement », s'exclame L'Express. Le parti d'opposition de l'ancien Premier ministre, Navin Ramgoolam rafle donc la mise. Dans la foulée, le chef du gouvernement, Pravind Kumar Jugnauth, a reconnu sa défaite.« L'île sœur change de majorité politique », peut-on lire sur le site Linfo, à La Réunion voisine. « Dans les rues de Maurice, l'ambiance est à la célébration. 14 ans après son dernier mandat, Navin Ramgoolam fait son grand retour au poste de Premier ministre. Les urnes ne trompent pas, les Mauriciens cherchaient du changement », pointe le site réunionnais qui cite ce militant : « C'est un message fort pour la démocratie et contre la mafia, affirme-t-il. Oui à une île Maurice où il fait bon vivre. »Érosion démocratique ?Pourtant, le Premier ministre sortant Pravind Kumar Jugnauth s'était présenté à ce scrutin en position de force, pointe Jeune Afrique. « Fort, en effet, de la conclusion début octobre d'un accord "historique" entre Maurice et Londres sur la souveraineté de l'archipel des Chagos, vu comme un succès majeur pour le gouvernement mauricien après plus d'un demi-siècle de litige. Mais son espoir de profiter de cet accord dans les urnes a été rapidement douché, relève le site panafricain, lorsque des extraits de conversations téléphoniques d'hommes politiques, de membres de la société civile, de diplomates et de journalistes ont fuité sur les réseaux sociaux courant octobre (des conversations, largement partagées sur Facebook, qui mettaient en cause des figures proches du Premier ministre, à l'approche du scrutin). En réaction, les autorités avaient annoncé le 1er novembre le blocage des réseaux sociaux jusqu'au lendemain du scrutin, avant de se raviser face à l'indignation de l'opposition et des médias. Une initiative malheureuse, commente Jeune Afrique, qui a encore ajouté à l'inquiétude de certains observateurs qui voient à Maurice des signes d'érosion démocratique. »Reconnaître sa défaite : « Bravo ! »En tout cas, « il faut saluer la maturité et le sens de responsabilités dont ont fait montre les acteurs politiques mauriciens, s'exclame Le Pays au Burkina Faso. C'est tout à leur honneur. Surtout que le parti au pouvoir et ses alliés ont eux-mêmes reconnu leur défaite, et félicité le vainqueur. Dans un continent où le mot d'ordre est de ne pas organiser des élections pour les perdre, la démarche du Premier ministre mauricien mérite d'être relevée et magnifiée, pointe Le Pays ; tant elle ne court pas les rues. Bien au contraire, la tendance est à la manipulation des résultats avec ce que cela provoque comme conséquences : contestation électorale, violences politiques, déchirures sociales, etc. Ces cas sont surtout légion dans les pays francophones où bien des dirigeants, refusant de s'imaginer une autre vie en dehors du pouvoir, rusent avec la démocratie, quand ils ne s'en soucient pas comme d'une guigne. (…) Cela dit, conclut le quotidien ouagalais, il ne reste plus qu'à encourager les acteurs politiques mauriciens à maintenir le cap de sorte à ne pas brader les acquis démocratiques dans leur pays connu pour être une nation politiquement et économiquement stable. Et pour cela, force doit, toujours et à toute épreuve, rester aux institutions. »Transition en douceur ?On s'oriente donc vers une « transition en douceur » à Maurice… C'est du moins ce qu'estime le site Afrik.com : « Le Premier ministre sortant a déclaré qu'il coopérerait avec les nouvelles autorités pour assurer la stabilité et la continuité des projets en cours. (…) Ce changement de dynamique politique ouvre la voie à une nouvelle phase de négociations et de compromis pour former un gouvernement stable. »Reste, poursuitAfrik.comque« les enjeux économiques restent au cœur des préoccupations. Maurice, bien qu'ayant connu un développement significatif dans le secteur du tourisme, des services financiers et des technologies, doit faire face à une croissance plus lente, exacerbée par la crise mondiale. L'inflation, la montée du coût de la vie, ainsi que la gestion des ressources naturelles et de l'environnement sont des sujets qui préoccupent profondément les populations. En attendant, conclutAfrik.com, les citoyens mauriciens s'attendent à ce que la situation se calme rapidement et que les institutions politiques, telles que le Parlement et la présidence, jouent leur rôle dans la consolidation de la démocratie. »
« Nouveau souffle », c'est le grand titre du quotidien mauricien L'Express. « Fin du suspense », pointe le journal qui égraine, dans les 21 circonscriptions, les résultats des élections législatives de dimanche. « Les chiffres officiels pour la circonscription n°6 sont tombés (en dernier) après 1 heure du matin. Et ils confirment la grosse victoire des candidats de l'Alliance du changement », s'exclame L'Express. Le parti d'opposition de l'ancien Premier ministre, Navin Ramgoolam rafle donc la mise. Dans la foulée, le chef du gouvernement, Pravind Kumar Jugnauth, a reconnu sa défaite.« L'île sœur change de majorité politique », peut-on lire sur le site Linfo, à La Réunion voisine. « Dans les rues de Maurice, l'ambiance est à la célébration. 14 ans après son dernier mandat, Navin Ramgoolam fait son grand retour au poste de Premier ministre. Les urnes ne trompent pas, les Mauriciens cherchaient du changement », pointe le site réunionnais qui cite ce militant : « C'est un message fort pour la démocratie et contre la mafia, affirme-t-il. Oui à une île Maurice où il fait bon vivre. »Érosion démocratique ?Pourtant, le Premier ministre sortant Pravind Kumar Jugnauth s'était présenté à ce scrutin en position de force, pointe Jeune Afrique. « Fort, en effet, de la conclusion début octobre d'un accord "historique" entre Maurice et Londres sur la souveraineté de l'archipel des Chagos, vu comme un succès majeur pour le gouvernement mauricien après plus d'un demi-siècle de litige. Mais son espoir de profiter de cet accord dans les urnes a été rapidement douché, relève le site panafricain, lorsque des extraits de conversations téléphoniques d'hommes politiques, de membres de la société civile, de diplomates et de journalistes ont fuité sur les réseaux sociaux courant octobre (des conversations, largement partagées sur Facebook, qui mettaient en cause des figures proches du Premier ministre, à l'approche du scrutin). En réaction, les autorités avaient annoncé le 1er novembre le blocage des réseaux sociaux jusqu'au lendemain du scrutin, avant de se raviser face à l'indignation de l'opposition et des médias. Une initiative malheureuse, commente Jeune Afrique, qui a encore ajouté à l'inquiétude de certains observateurs qui voient à Maurice des signes d'érosion démocratique. »Reconnaître sa défaite : « Bravo ! »En tout cas, « il faut saluer la maturité et le sens de responsabilités dont ont fait montre les acteurs politiques mauriciens, s'exclame Le Pays au Burkina Faso. C'est tout à leur honneur. Surtout que le parti au pouvoir et ses alliés ont eux-mêmes reconnu leur défaite, et félicité le vainqueur. Dans un continent où le mot d'ordre est de ne pas organiser des élections pour les perdre, la démarche du Premier ministre mauricien mérite d'être relevée et magnifiée, pointe Le Pays ; tant elle ne court pas les rues. Bien au contraire, la tendance est à la manipulation des résultats avec ce que cela provoque comme conséquences : contestation électorale, violences politiques, déchirures sociales, etc. Ces cas sont surtout légion dans les pays francophones où bien des dirigeants, refusant de s'imaginer une autre vie en dehors du pouvoir, rusent avec la démocratie, quand ils ne s'en soucient pas comme d'une guigne. (…) Cela dit, conclut le quotidien ouagalais, il ne reste plus qu'à encourager les acteurs politiques mauriciens à maintenir le cap de sorte à ne pas brader les acquis démocratiques dans leur pays connu pour être une nation politiquement et économiquement stable. Et pour cela, force doit, toujours et à toute épreuve, rester aux institutions. »Transition en douceur ?On s'oriente donc vers une « transition en douceur » à Maurice… C'est du moins ce qu'estime le site Afrik.com : « Le Premier ministre sortant a déclaré qu'il coopérerait avec les nouvelles autorités pour assurer la stabilité et la continuité des projets en cours. (…) Ce changement de dynamique politique ouvre la voie à une nouvelle phase de négociations et de compromis pour former un gouvernement stable. »Reste, poursuitAfrik.comque« les enjeux économiques restent au cœur des préoccupations. Maurice, bien qu'ayant connu un développement significatif dans le secteur du tourisme, des services financiers et des technologies, doit faire face à une croissance plus lente, exacerbée par la crise mondiale. L'inflation, la montée du coût de la vie, ainsi que la gestion des ressources naturelles et de l'environnement sont des sujets qui préoccupent profondément les populations. En attendant, conclutAfrik.com, les citoyens mauriciens s'attendent à ce que la situation se calme rapidement et que les institutions politiques, telles que le Parlement et la présidence, jouent leur rôle dans la consolidation de la démocratie. »
durée : 00:58:33 - LSD, la série documentaire - Embarquement à bord du Renaissance où les Philippins et les Mauriciens représentent la majorité de l'équipage. Au rythme de la navigation, rencontre avec les petites mains des navires de croisière.
En 2004, Jean-Noël Ducasse parlait à deux soldats mauriciens qui étaient présents lors du débarquement des troupes alliées en Normandie.
Les centres commerciaux s'imposent de plus en plus dans la vie des Mauriciens. Ils relèguent même au second plan la plage en termes de priorité de loisirs. L'offre n'arrête pas de séduire. Dans une île qui compte seulement 1,3 million habitants, certains centres commerciaux attirent jusqu'à 7 millions de visiteurs par an. À l'approche des festivités, ils ont placé la barre encore plus haut.
Alors qu'il est en attente de son procès pour le meurtre de deux femmes commis en 2021 : Umyad Ebrahim avoue un troisième meurtre à la MCIT…. Cet ex-vigil sera traduit cet après-midi au tribunal de Mahebourg. La police a encore sévi pendant le week-end : 2,327 motocyclistes verbalisés pour diverses infractions Après la démission de Sidharth Rath : SBM Bank India a fait une demande auprès de la Reserve Bank of India pour la nomination d'un nouveau CEO Produits pharmaceutiques : Certains médicaments offerts aux Mauriciens sont des copies non certifiées… ce qui pousserait les patients, selon Bose Soonarane, à se procurer des versions originales auprès des pharmacies privées à leurs frais A Port-Louis : La voiture d'une cheffe cuisinière vandalisée …. Un suspect arrêté par la police avoue les faits mais refuserait de donner le lieu où il a dissimulé les objets volés A l'étranger : A Gaza : Au moins 20,000 morts, dont une majorité de terroristes
En cette fête de La Toussaint : Comme d'habitude, beaucoup de Mauriciens se sont rendus au cimetière… « Nous prions pour que nos proches décédés deviennent des saints », dit Edley
Conflit israélo-palestinien : Un second groupe de Mauriciens bloqué à Bethléem….les autorités disent suivre la situation de près