Podcasts about exportations

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TOPFM MAURITIUS
Exportations mauriciennes sous pression

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 1:23


Exportations mauriciennes sous pression by TOPFM MAURITIUS

TOPFM MAURITIUS
Exportations vers les USA : la taxe de 40 % sur les produits mauriciens inquiète

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 2:23


Exportations vers les USA : la taxe de 40 % sur les produits mauriciens inquiète

Le journal - Europe 1
La bourse à 19h du 07/04/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 1:23


Didier Hameau de Boursier.com analyse les mouvements des marchés boursiers européens, notamment la forte baisse du CAC 40 de près de 5% en une seule séance. Les valeurs industrielles et exportatrices comme Air Liquide, Safran, Airbus ou Michelin ont particulièrement souffert, reflétant les inquiétudes des investisseurs face à la conjoncture économique. Malgré quelques rumeurs de détente sur les droits de douane, les indices européens ont clôturé dans le rouge, avec des pertes allant jusqu'à 5% à Madrid. Une analyse approfondie des tendances qui impactent les marchés financiers.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Top à Wall Street - Didier Hameau
La bourse à 19h du 07/04/2025

Top à Wall Street - Didier Hameau

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 1:23


Didier Hameau de Boursier.com analyse les mouvements des marchés boursiers européens, notamment la forte baisse du CAC 40 de près de 5% en une seule séance. Les valeurs industrielles et exportatrices comme Air Liquide, Safran, Airbus ou Michelin ont particulièrement souffert, reflétant les inquiétudes des investisseurs face à la conjoncture économique. Malgré quelques rumeurs de détente sur les droits de douane, les indices européens ont clôturé dans le rouge, avec des pertes allant jusqu'à 5% à Madrid. Une analyse approfondie des tendances qui impactent les marchés financiers.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
La bourse du 03/04/2025 à 13h

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 1:25


Analyse de la baisse des marchés boursiers européens, notamment du CAC 40, suite aux annonces de Donald Trump sur de nouveaux droits de douane. Impacts sur les secteurs exportateurs, le luxe et les spiritueux.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Top à Wall Street - Didier Hameau
La bourse du 03/04/2025 à 13h

Top à Wall Street - Didier Hameau

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 1:25


Analyse de la baisse des marchés boursiers européens, notamment du CAC 40, suite aux annonces de Donald Trump sur de nouveaux droits de douane. Impacts sur les secteurs exportateurs, le luxe et les spiritueux.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

TOPFM MAURITIUS
Transactions commerciales : une hausse de 40 % sur le tarif sur nos exportations vers les USA

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 1:29


Les nouveaux tarifs globaux étaient attendus mais aussi redoutés. L'économiste Manisha Dookony nous explique ce que sont les tarifs réciproques et leurs raisons d'être.  Il est à noter que Maurice impose un tarif de 80% sur les produits américains. Donald Trump a imposé un tarif de 10% sur toutes les importations vers les États-Unis, avec des taux encore plus élevés pour les pays qu'il qualifie de « pires contrevenants », à un moment décisif pour le commerce mondial. Maurice se retrouve dans cette catégorie puisque la hausse est conséquente comparée à celle d'autres pays. Il reste à confirmer si nos exportations sous l'African Growth and Opportunity Act sont concernées. Cependant, Manisha Dookony suggère d'utiliser la diplomatie économique pour renégocier le tarif imposé.

Chronique des Matières Premières
L'Arabie saoudite, un concurrent de l'Office chérifien des phosphates sur le terrain des engrais phosphatés

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 1:59


La recomposition du marché des engrais ces dernières années a confirmé l'Arabie saoudite comme un acteur majeur du secteur. Le royaume saoudien a lancé une stratégie de diversification de son économie et les engrais en font partie. Le prince héritier, et dirigeant de facto, Mohammed ben Salman travaille à réduire la dépendance de son pays à la rente pétrolière et les engrais font partie des alternatives économiques privilégiées. L'Arabie saoudite a tous les ingrédients pour réussir dans le secteur : des roches phosphatées qui, même si elles ne sont pas d'excellente qualité, peuvent être enrichies, de l'énergie à domicile avec le gaz fourni par Saudi Aramco, et du soufre.À coup de milliards de dollars, les autorités ont soutenu des alliances entre Ma'aden, l'opérateur minier du pays, SABIC un acteur de la chimie industrielle et Mosaic, le spécialiste américain du secteur. Ces alliances ont abouti à la mise en place d'une chaîne de production saoudienne d'acide phosphorique, d'acide sulfurique et d'ammoniac, des composants essentiels pour la fabrication d'engrais, comme l'explique une étude du cabinet Global Sovereign Advisory (GSA). Exportations comparables à celles du Maroc ou des États-UnisSelon cette étude, la part de l'Arabie saoudite dans le commerce mondial d'engrais a presque triplé entre 2019 et 2023 pour atteindre près de 6 %, avec près de 7 millions de tonnes exportées, tous types d'engrais confondus.Le royaume est devenu le deuxième exportateur de DAP — après le Maroc —, un engrais utilisé pour tous les types de cultures, et entend rester incontournable sur le marché de ces engrais phosphatés dans les prochaines années. Selon l'étude de GSA, Ma'aden a signé en janvier trois contrats avec une filiale d'une entreprise chinoise pour étendre deux de ses complexes industriels et augmenter les capacités de production du pays.À lire aussiOù en est le marché africain des engrais, trois ans après le déclenchement de la guerre en Ukraine?10 % de part de marché en AfriqueL'Arabie saoudite produit essentiellement pour exporter et ne s'interdit pas d'aller sur le terrain de jeu de l'Office chérifien des phosphates (OCP), à savoir le continent africain. Son principal client est l'Afrique du Sud, mais le pays vend aussi au Kenya, à l'Algérie, à la Tanzanie et au Mozambique. Le royaume saoudien occupe 10 % de part de marché à ce jour en Afrique, selon l'étude de GSA, mais reste, pour des questions géographiques, implanté globalement en Afrique de l'Est, alors que le mastodonte marocain a su capter les acheteurs d'Afrique de l'Ouest.« L'OCP a évidemment encore plusieurs longueurs d'avance sur le continent, assure un négociant en engrais, mais l'Arabie saoudite est un concurrent qui monte et qui a les moyens d'être très compétitif grâce à ses matières premières ».Hors Afrique, l'Arabie saoudite exporte le gros de ses engrais dans les pays asiatiques, en Inde, en Thaïlande, au Bangladesh ou encore au Pakistan. Le Brésil est aussi un de ses clients importants.À lire aussiL'Arabie saoudite affirme publiquement ses ambitions minières

Chronique des Matières Premières
Le commerce américain sous pression des taxes sur les bateaux chinois

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 2:02


Donald Trump va-t-il taxer les bateaux sous pavillon chinois ou construits en Chine ? La sanction est à l'étude. Rien n'a été décidé, mais la nouvelle fait déjà frémir les marchés. La simple perspective de voir des taxes massives imposées à tout navire chinois ou battant pavillon chinois qui ferait escale aux États-Unis, se fait déjà sentir : dans le secteur du charbon par exemple, il règne une certaine confusion à en croire la lettre envoyée au bureau du représentant américain au commerce (USTR). Cette lettre fait état d'opérations minières perturbées et de négociations sur des exportations retardées par peur de voir le charbon américain ne plus être compétitif. Or, sur certains types de charbon, le calendrier d'expédition est important pour éviter une exposition trop longue du minerai à l'air libre.Dans cette lettre des responsables du secteur rappellent « qu'un cinquième des 400 000 emplois miniers directs et indirects du pays sont directement liés à l'extraction, au traitement et au transport du charbon destiné à l'exportation » et qu'il est important d'en tenir compte lors de l'examen approfondi des effets relatifs aux éventuelles nouvelles taxes.À lire aussiLa Chine, grande gagnante des mesures de Donald Trump?Exportations américaines à risqueLe charbon, mais aussi les céréales, le pétrole, le gaz naturel liquéfié ou les carburants raffinés, la liste des exportations américaines à risque est longue. Un puissant groupe de pression de l'industrie pétrolière -l'American Petroleum Institute- a fait part de ses craintes ces derniers jours. Idem pour les groupements d'agriculteurs qui demandent une exemption pour les exportations agricoles. En cas de taxation sur les navires chinois, les exportations de céréales et oléagineux qui se font par des navires appelés vraquiers, pourraient subir des coûts de transport annuels supplémentaires allant jusqu'à 930 millions de dollars, selon l'American Farm Bureau Federation.Pour éviter une multiplication des taxes, les navires pourraient décider de limiter les escales dans les ports américains. Les exportateurs devraient alors se battre pour trouver une place à bord et exporter des matières premières américaines coûterait forcément plus cher.À lire aussiLa Chine réplique à Trump en imposant une taxation de 15% sur les importations agricoles américainesLa flotte américaine ne suffira pasLes responsables de la filière charbon le disent clairement, « il est probablement impossible pour les entreprises exportatrices de charbon de se procurer un nombre suffisant de navires de conception et de taille appropriées pour éviter les frais portuaires proposés ». Rien d'étonnant quand on sait que les navires construits aux États-Unis ont représenté seulement 0,1 % du tonnage commercial mondial l'an dernier contre 53 % pour les bateaux chinois selon Clarksons Research cité par le Wall Street Journal. La tendance s'amplifie : plus de 60 % des navires commandés aujourd'hui seront fabriqués par des chantiers navals chinois. Le Southern Group (CSSC) en Chine reste de loin le plus grand groupe de chantiers navals.L'entrée en vigueur de taxes américaines, ne porterait pas un coup immédiat à la Chine, puisque aujourd'hui les commandes passées concernent des navires qui seront livrés en 2027, explique un expert du secteur, mais la mesure pourrait profiter à moyen terme au Japon et à la Corée du Sud, qui ont perdu des parts de marché ces dernières années dans le secteur du transport maritime.À lire aussiÉtats-Unis: les armateurs américains se mobilisent contre la taxations des navires chinois

Afrique Économie
La RDC suspend les exportations de cobalt pour voir remonter les prix

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Mar 3, 2025 2:16


La RDC, qui détient près de 70% des réserves mondiales de cobalt, a annoncé fin février 2025 la suspension de toutes les exportations pour une période de quatre mois. Objectif : créer une rareté sur le marché afin de voir les prix se relever. Car aujourd'hui, le marché international connaît un excédent de ce minerai stratégique dans la fabrication des batteries électriques, et les prix sont au plus bas niveau. Dans le contexte, la RDC a besoin d'affirmer sa souveraineté sur son minerai et d'assurer ses revenus. Depuis le début de l'année 2025, la tonne de cobalt se vend quatre fois moins cher qu'il y a trois ans. Elle se négocie à environ 21 000 dollars, alors qu'en 2022, elle valait plus de 80 000 dollars. La surproduction est pointée du doigt.Avec la décision de suspendre les exportations, Kinshasa compte peser de tout son poids afin de rétablir une certaine stabilité sur les marchés. « En principe, dans la surproduction, la RDC perd triplement. Premièrement, les réserves diminuent et on augmente les stocks en Chine. Deuxième chose : quand les prix baissent, la RDC perd sur la taxe de superprofit qui est payée sur la vente du cobalt. Et troisièmement, ce n'est pas du cobalt métal qui est exporté par tous ces Chinois ; ce sont des concentrés de cobalt. Ils vont chez eux, ils raffinent, ils produisent », détaille Franck Fwamba, responsable de la plateforme Ne touche pas à mon cobalt.La chute drastique du prix du cobalt frappe aussi de plein fouet le secteur artisanal. Les mineurs ont abandonné l'extraction de ce minerai, faute d'acheteurs. Chadrack Mukad, directeur de l'association Comprendre et agir dans les secteurs miniers (CASMIA), basée à Kolwezi, confie : « Même si le cobalt titraient à 2 ou 3%, les preneurs n'achètent que le cuivre, et le cobalt est pris comme ça, sans aucune valeur. Vous savez que les mineurs vendent un mélange de cuivre et de cobalt, mais on n'achète que le cuivre. »Des motivations géostratégiques ?Selon certains analystes, la décision de la RDC aurait aussi des motivations géostratégiques. Depuis des mois, les États-Unis, l'Europe et la Chine se disputent le contrôle des minerais du pays. En 2024, la production du groupe Chinois CMOC représentait 38% de la production mondiale du cobalt, soit 114 165 tonnes. Le géant Suisse Glencore n'a produit que 38 200 tonnes. Mais Jean-Pierre Okenda, expert analyste du secteur extractif de la RDC, se veut plus nuancé sur cet aspect :« À ma connaissance, il n'y a quasiment pas d'usines de raffinerie de cobalt aux États-Unis. Cela ne signifie pas qu'il faut ignorer le fait que les États-Unis et les Européens veulent sécuriser la chaîne d'approvisionnement des minéraux critiques notamment, mais je ne pense pas que la mesure actuelle entre dans cette compréhension-là des choses », estime-t-il. Selon Bloomberg, le Chinois CMOC a lancé un groupe de travail pour mener des discussions avec le gouvernement de la RDC.

Chronique des Matières Premières
L'Afrique du Sud signe un nouveau record dans ses exportations agricoles, agrumes en tête

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Mar 3, 2025 1:46


L'Afrique du Sud vient de faire ses comptes : ses exportations agricoles sont en augmentation pour la sixième année consécutive. Elles ont atteint en 2024 un nouveau record, +3% en valeur. Ces revenus records ont été permis par des volumes exportés plus importants, à des prix plus élevés pour certains produits, explique la Chambre de commerce agricole sud-africaine. Ces bons chiffres sont aussi le résultat d'une stratégie d'ouverture du pays à un plus grand nombre d'acheteurs ces dernières années : 44% des échanges se font désormais avec des pays d'Afrique, environ 20% avec l'Union européenne, et à peu près autant avec l'Asie et le Moyen-Orient.En tête des listes des secteurs porteurs, il y a toujours celui des agrumes, suivi par celui des raisins. Ces dix dernières années, la taille des vergers n'a fait qu'augmenter – de 64 000 hectares en 2013 à 100 000 hectares en 2023 –, et la production d'agrumes avec. Tous fruits confondus – oranges, citrons, pomelos, mandarines –, l'Afrique du Sud réalise aujourd'hui 70% du commerce mondial pendant la saison d'été, c'est-à-dire de mai à septembre, voire parfois jusqu'à début octobre, avant que les pays méditerranéens ne reprennent le dessus.Les atouts sud-africains L'Afrique du Sud a fait un gros effort en terme de qualité et de variétés proposées. Elle offre une gamme relativement large, qui lui permet de toucher plus de consommateurs. Ces progrès sont liés en partie au climat du pays  : il est particulièrement adapté, au sud, aux petits agrumes et aux citrons, et au nord, aux pomelos et aux oranges. Enfin, l'organisation de la filière y fait aussi beaucoup. Une filière « exemplaire » selon Éric Imbert, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad).Résultat : l'Afrique du Sud a pris le pas depuis plusieurs années sur le Chili, l'Argentine, le Pérou et l'Australie, les autres pays qui comptent sur le marché des agrumes frais, pendant la saison d'été.L'impact sur les prix diffère selon les agrumesLa montée en puissance de la production sudafricaine a des impacts variables sur les prix. Pour les mandarines, les prix se tiennent car la demande est bonne, grâce à une consommation de plus en plus importante l'été, en Europe notamment. Pour le citron, c'est différent. Le marché est proche de la saturation, les experts parlent d'une demande « moins élastique ». Donc avec plus d'offre, la compétition augmente, ce qui est, sur le papier, plutôt un facteur de baisse des prix.Pendant la saison d'été, la production sud-africaine reste, quel que soit l'agrume, celle qui donne le ton du marché. Et cela devrait encore durer : « Tous les vergers plantés ces dernières années ne sont pas arrivés à maturité », explique Éric Imbert. La capacité de production du pays pourrait encore augmenter d'ici 2030. À lire aussiLes producteurs sud-africains d'oranges séduits par les prix du jus

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
L'Irlande, l'Italie et le Kenya font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 2:04


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.

L'info en intégrale - Europe 1
L'Irlande, l'Italie et le Kenya font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 2:04


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.

Les chroniques de Pierre-Yves McSween
«Il y a 29% des exportations du Québec qui vont vers le reste du pays»

Les chroniques de Pierre-Yves McSween

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 7:28


Écoutez Michèle Boisvert commenter cette nouvelle au micro de Philippe Cantin à l'émission Le Québec maintenant.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Trends-Tendances podcast
Z sur 7 - les contrôles douaniers augmentent , les négociations allemandes, la croissance de l'économie sociale

Trends-Tendances podcast

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 14:36


Dans ce nouvel épisode, plus de 300.000 contrôles douaniers ont été réalisé ces trois dernières années. Les services douaniers sont en demande d'agents pour surveiller les importations russes qui tentent de contourner les régulations visant le pays depuis l'invasion en Ukraine. Friedrich Merz et son parti sont en discussion avec les sociaux-démocrates pour créer une coalition en Allemagne. Le parti d'extrême droite, AfD, est laissé hors des négociations malgré sa deuxième place aux élections. L'économie sociale est en croissance. Le secteur se base sur un modèle économique qui met en avant les travailleurs. Du côté de la tech, une étude récente s'est posé la question de savoir si nous étions entrain de devenir paresseux à cause de l'intelligence artificielle. Du côté de la Bourse, Erik Joly vient donner son analyse sur la hausse du prix du café et les raisons de cette augmentation.

Aujourd'hui l'économie
L'Italie, championne des exportations mais jusqu'à quand?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Feb 17, 2025 3:30


Les chiffres du commerce extérieur italien pour 2024 sont publiés lundi 17 février. Même si cela ne devrait pas durer, l'Italie est l'une des championnes européennes des exportations. Décryptage. Tenez-vous bien, l'Italie est le quatrième exportateur mondial : elle est aux pieds du podium, derrière la Chine, les États-Unis et l'Allemagne. Le pays est en pointe pour vendre sa production tout autour de la planète. Les secteurs où l'industrie italienne brille, c'est la mode, l'ameublement, les matériaux, la construction et évidemment la production alimentaire et le vin. Ces exportations sont essentielles à l'économie italienne puisqu'elles représentent à peu près un tiers de son PIB. L'explication de cette dynamique tient en un chiffre : 400 000. C'est le nombre d'entreprises industrielles dans le pays et c'est beaucoup. Àtitre d'exemple, la France en compte 250 000. La particularité de cette industrie italienne est que 99 % de ces structures sont des petites et moyennes entreprises (PME). Mais ce qui fait leur spécificité, c'est qu'elles sont regroupées en districts industriels, par secteurs donc, comme l'agroalimentaire ou le cuir pour ne citer qu'eux. Des districts industriels puissants En étant regroupés par secteurs, cela favorise la complémentarité des entreprises. Autre aspect important, la concurrence est exacerbée dans ces tissus industriels. Cela pousse ces structures à sans cesse innover et donc à être en pointe sur certains marchés : le pays est alors bien intégré dans les chaînes de valeur.L'autre explication de cette dynamique italienne des exportations se résume au fait que produire en Italie coûte moins cher que dans d'autres pays européens. Résultat : les produits sont vendus à un prix moins élévé, ce qui rend l'industrie italienne plus compétitive que d'autres.La menace des taxes américainesPourtant, la croissance italienne est à peine positive. Cela signifie que la production stagne. Dans certains secteurs, elle est en chute libre : la production automobile a subi une chute de 43 % l'an passé, expliquée notamment par les difficultés du groupe Stellantis. C'est difficile aussi pour des secteurs porteurs de ces exportations comme la mode ou encore la métallurgie. On notera aussi que d'un côté la population vieillit et de l'autre les jeunes ne veulent plus travailler dans la production industrielle. Le modèle italien sembe arriver petit à petit à bout de souffle.Mais les acheteurs ne sont plus au rendez-vous. L'Allemagne, le partenaire commercial principal de l'Italie, importe moins en raison de ses propres difficultés économiques. La demande se maintient toutefois du côté des États-Unis, le deuxième client du pays. Les entreprises américaines ont d'ailleurs dû faire du stock ces derniers mois avant l'entrée en vigueur d'éventuels droits de douane à l'encontre des pays membres de l'UE. Selon Confindustria, la fédération des entreprises italiennes, cette nouvelle taxation pourrait coûter entre 4 et 7 milliards d'euros par an à la péninsule italienne.Mais cela est sans compter sur la Première ministre italienne Giorgia Meloni. La leader d'extrême droite entretient des liens étroits avec le président américain Donald Trump, une relation qui pourrait lui permettre d'obtenir des passe-droits.À lire aussiComment expliquer les difficultés de l'industrie européenne?

Le brief éco
La lente et irrémédiable chute des exportations de vins et spiritueux français

Le brief éco

Play Episode Listen Later Feb 12, 2025 2:03


durée : 00:02:03 - Le brief éco - On savait le secteur des vins et spiritueux en crise, les chiffres de l'année 2024 le prouvent et nos exportations accusent particulièrement le coup.

L'info en intégrale - Europe 1
Balance commerciale : «Elle est attendue une nouvelle fois à la baisse», confie Dominique Chargé

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Feb 7, 2025 6:57


Dominique Chargé, président de la Coopération agricole française, alerte sur la chute inquiétante de la balance commerciale agricole : divisée par trois depuis 2010 (12 à 4 milliards d'euros), la France est passée du 2ᵉ au 6ᵉ rang mondial des exportateurs. Concurrencés par des pays comme la Russie ou le Kazakhstan, les secteurs clés (céréales, produits laitiers, vins) souffrent du climat, des tensions géopolitiques et des pertes de marchés (Chine, États-Unis). Pire : les importations augmentent, réduisant la part des produits français dans l'alimentation, menaçant la souveraineté alimentaire. Dominique Chargé évoque aussi les négociations tendues entre distributeurs, industriels et agriculteurs, compliquées par la concentration de la grande distribution (4 acteurs dominants) et les incertitudes fiscales. Malgré le budget adopté, il craint un affaiblissement supplémentaire de la compétitivité agricole. Un état des lieux alarmant.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
L'Espagne, l'Égypte et l'Irlande font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Feb 6, 2025 2:10


Cette revue aborde les inquiétudes du secteur économique irlandais face aux menaces de taxation de Trump, ainsi que l'attrait de Madrid pour les ultra-riches attirés par son climat, sa mobilité et sa sécurité.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

L'info en intégrale - Europe 1
L'Espagne, l'Égypte et l'Irlande font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Feb 6, 2025 2:10


Cette revue aborde les inquiétudes du secteur économique irlandais face aux menaces de taxation de Trump, ainsi que l'attrait de Madrid pour les ultra-riches attirés par son climat, sa mobilité et sa sécurité.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Le journal - Europe 1
Droits de douane : pourquoi Donald Trump se lance dans une guerre commerciale contre l'UE

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Feb 3, 2025 1:01


Donald Trump vient d'engager la guerre commerciale promise durant sa campagne. Après avoir pris pour cible le Canada, le Mexique et la Chine, il a annoncé son intention d'augmenter les droits de douane sur les produits issus de l'Union européenne. Le locataire de la Maison Blanche y voit-il un moyen de rééquilibrer la balance commerciale entre son pays et l'UE ?

Trends-Tendances podcast
Z sur 7 - Les entreprises wallonnes face au protectionnisme américain, le plan de renforcement de l'économie européenne, la réouverture des bains de Spa

Trends-Tendances podcast

Play Episode Listen Later Jan 30, 2025 16:41


Dans ce nouvel épisode, un groupe de travail a été mis en place en Wallonie pour trouver des solutions face à la politique protectionniste de Donald Trump. L'Amérique représente 6 milliards d'euros de revenus en exportation par an aux entreprises wallonnes. Celles-ci doivent se préparer aux changements mais pour certains experts, il est bien trop tard. L'Europe affiche sa volonté de mettre l'industrie en avant avec un nouveau plan pour la Commission Von der Leyen 2. Un seul mot d'ordre: la compétitivité. Les bains de Spa vont réouvrir sous la forme d'un hôtel cinq étoiles. Christophe Charlot présente la Une du Trends Tendances. Le numéro s'est penché sur les agents IA, le futur de l'intelligence artificielle; son impact, ses conséquences et ses avantages. Du côté des marchés boursiers, Jean-Marc Turin revient sur résultats publiés par ASML qui ont relancé la Bourse européenne.

Top à Wall Street - Didier Hameau
La bourse du 22/01/2025 à 19h

Top à Wall Street - Didier Hameau

Play Episode Listen Later Jan 22, 2025 0:59


Le CAC 40 a clôturé en hausse pour la 7e séance consécutive, tiré par le secteur du luxe et les grands exportateurs. Les investisseurs sont optimistes quant à la reprise de la consommation en Chine et à un allégement potentiel des droits de douane américains.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Aujourd'hui l'économie
Pourquoi l'essor des exportations chinoises est une mauvaise nouvelle pour Pékin

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Jan 14, 2025 3:11


Les exportations chinoises ont atteint un record en 2024, elles ont augmenté de 7,1% par rapport à 2023. Et si pour l'économie chinoise, c'est une bonne nouvelle, derrière cette tendance se cache en fait un grand danger pour la deuxième économie mondiale. Décryptage. C'est l'un des rares indicateurs au vert de la Chine en 2024 : ses exportations records, d'une valeur de 3 600 milliards de dollars. Concrètement, elles représentent aux alentours d'un cinquième de sa croissance. Cela veut donc dire que la part des exportations dans l'économie chinoise est importante pour ne pas dire essentielle. Si on regarde dans le détail, c'est notamment l'entreprise BYD qui dope les exportations, le constructeur chinois de voitures électriques est à l'avant-garde de cette tendance, avec des ventes à l'étranger qui ont tout simplement explosé l'an passé. Juste un chiffre pour l'illustrer : +72% !La Chine est vulnérable Mais cette importance des exportations dans l'économie chinoise est un problème. Cela signifie que la Chine est ultra dépendante des exportations, précisément. Et qui dit dépendance, dit vulnérabilité. Le principal risque évidemment, c'est la menace de Donald Trump d'augmenter les droits de douane de 60% sur toutes les importations de produits chinois quand il arrivera à la Maison Blanche. Cette politique pourrait porter un coup sévère à ce pilier de la croissance chinoise qui devra trouver réponse à cette question : que faire de la production chinoise qui ne pourra plus être livrée aux États-Unis ? Car c'est là que ça coince. Parce que le risque de guerre commerciale avec les États-Unis pourrait avoir des conséquences sur les relations entre Pékin et d'autres nations. Si les entreprises chinoises essaient d'inonder d'autres pays, ils pourraient être amenés à eux aussi prendre des mesures pour limiter le phénomène. L'Union européenne notamment a déjà mis en place des droits de douane allant jusqu'à 45% sur les véhicules électriques fabriqués en Chine. À lire aussiLa Chine se prépare à la politique économique de Donald TrumpCrise en interne Mais il y a un hic : toute cette production chinoise ne peut pas être distribuée en Chine. C'est tout le problème de son économie. La demande est faible, le pays est notamment frappé par une crise persistante du secteur de l'immobilier. Alors pour faire repartir la consommation, les autorités ont subventionné les grandes industries du pays. Elles ont aussi assoupli les restrictions sur l'achat de logements. Des mesures pour inciter la population à acheter, tout comme la création de remises pour l'échange de vieux appareils électroménagers contre l'achat de modèles plus récents, évidemment chinois.Tout cela a en tout cas eu une conséquence : la chute des prix. Résultat, beaucoup d'entreprises chinoises ont vu leurs marges réduire voire complètement disparaître. Des comptes dans le rouge qui ont poussé bon nombre de société à mettre la clé sous la porte. La situation inquiète les autorités. Elles devront d'ailleurs présenter de nouvelles mesures de soutien budgétaire lors de la réunion de l'Assemblée populaire nationale en mars 2025. Et puis cet autre rendez-vous, non négligeable dans les prochains jours : la publication des chiffres de la croissance. Puisque si Pékin tablait sur une croissance à 5% pour 2024, elle pourrait être en deçà des projections, entre 4 et 4,5% ! 

Les chroniques de Pierre-Yves McSween
L'impact de Donald Trump sur les exportations canadiennes

Les chroniques de Pierre-Yves McSween

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 5:28


Écoutez François Gagnon commenter plusieurs sujets d'actualités portant sur l'économie avec l'animatrice Élisabeth Crête.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Apolline Matin
Lechypre d'affaires : Exportations d'armes, année faste pour la France - 08/01

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Jan 8, 2025 2:45


Tous les matins à 7h10, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.

Chronique des Matières Premières
La crise mozambicaine perturbe les exportations d'Afrique australe

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Dec 22, 2024 1:40


Le Mozambique attend toujours les résultats définitifs de ses élections générales du 9 octobre. Le Conseil constitutionnel doit les annoncer cette semaine. Les résultats provisoires sont toujours contestés par le candidat de l'opposition, Venâncio Mondlane, qui entretient depuis deux mois une vive protestation. Routes bloquées, frontières fermées, l'impact est important pour les exportations de matières premières de la région. Principal pays touché par l'instabilité mozambicaine : l'Afrique du Sud voisine et notamment son secteur du chrome. Extrait dans le nord-est du pays, c'est par le port de Maputo, la capitale du Mozambique, que ce minerai est exporté. Or, depuis le début de la crise, le poste frontière de Lebombo, entre les deux pays, est régulièrement fermé au fret.Cette situation a notamment fait l'objet d'une rencontre ministérielle entre les deux pays, la semaine passée, à Malelane, en Afrique du Sud. Dans un communiqué conjoint, Maputo et Pretoria, se sont engagés à « sécuriser les infrastructures […] afin de garantir un minimum de perturbations du commerce régional et transfrontalier ».Selon, Gavin Kelly, président de l'Association sud-africaine du fret routier, la fermeture de la frontière mozambicaine coûte chaque jour 550 000 dollars à l'économie d'Afrique du Sud.En août, les exportations sud-africaines de chrome dépassaient le million et demi de tonnes, selon la Bourse de Shanghai. Leur niveau annuel avait jusque-là atteint des records, mais la crise mozambicaine risque d'enrayer cette hausse.L'Eswatini cherche d'autres routes pour son sucreAutre secteur en difficulté : le sucre de l'Eswatini. Voisin du Mozambique, dépourvu d'accès à la mer, ce petit pays d'Afrique australe utilise le port de Maputo, pour ses exportations. Les blocages routiers de l'autre côté de la frontière ont déjà causé de nombreuses perturbations, selon l'ESA, l'Association du sucre de l'Eswatini.Les producteurs songent à se replier sur le port de Durban, au nord de l'Afrique du Sud. « Mais cela coûtera plus cher, explique Nontobeko Mabuza, responsable de plaidoyer à l'Esa. Et cela mettra à rude épreuve nos infrastructures de transport » conclut-elle.Le sucre représente le deuxième produit d'exportation de l'Eswatini. L'année dernière, 26 000 tonnes ont été envoyées à l'étranger, notamment aux États-Unis, pour 305 millions de dollars.

Trends-Tendances podcast
Z sur 7 - le fisc et les appartements Airbnb, les voitures de société électriques en fin de leasing, le classement des entreprises ferroviaires européennes

Trends-Tendances podcast

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 15:16


Dans ce nouvel épisode, les locations de Airbnb ont augmenté ces dernières années ce qui a poussé le fisc à regarder de plus près les déclarations fiscales de certains propriétaires. Les voitures de sociétés électriques arrivent en fin de leasing alors que le marché de voiture électrique de seconde main ne représente que 5% du marché global d'occasion. Les experts estiment qu'il est temps de redresser ce marché et proposent leurs solutions. La SNCB se trouve dans le nouveau classement des entreprises ferroviaires européennes. Dans certains domaines, la société belge brille alors que dans d'autres, elle est à la traine. Du côté de la bourse, Erik Joly donne son analyse sur l'assouplissement de la politique monétaire par le bureau politique chinois. Une première en quinze ans. Du côté de la Tech, Christophe Charlot présente le nouvel abonnement de ChatGPT, son prix, ses fonctionnalités et son accessibilité.

Chronique des Matières Premières
Incertitude en Syrie sur les exportations de phosphate depuis le port de Tartous

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Dec 10, 2024 1:41


Le renversement du pouvoir en Syrie peut-il avoir des répercussions sur les flux commerciaux et en particulier sur les exportations de phosphate, un minerai essentiellement utilisé pour fabriquer des engrais phosphatés (DAP, MAP, TSP, SSP, NPK) ? C'est la question que l'Inde, la Grèce, la Serbie, l'Iran et la Russie doivent probablement être en train de se poser. Le phosphate produit dans la région de Palmyre est une source importante de revenus pour la Syrie et pour ceux qui l'achètent et le revendent. Car la Syrie ne commercialisait ces dernières années qu'environ un tiers de sa production. Les deux autres tiers étaient destinés à l'Iran pour sa consommation intérieure, mais aussi à la Russie pour être revendus. La Russie a été un pilier du redémarrage du secteur après un arrêt total des ventes au début de la guerre en 2011. C'est grâce à l'intervention de Stroytransgaz, une société russe d'ingénierie et de construction, que le commerce a pu reprendre il y a quelques années.Jusqu'à ce début décembre, l'essentiel du phosphate syrien était exporté via le port de Tartous, même si certaines cargaisons sont suspectées d'avoir transité via le port de Tripoli au Liban, pour gagner en respectabilité avant d'être exportées vers des pays européens.À lire aussiLe DAP, un engrais dont le prix peine à retrouver ses niveaux d'avant-guerre2,5 millions de tonnes exportéesLa nouvelle donne pourrait redistribuer les cartes de l'approvisionnement, mais quel sera vraiment l'impact sur les flux et les prix dans les prochaines semaines ? Même du côté des négociants en engrais, on peine à répondre.En termes de poids sur le marché, la Syrie, c'est 2,5 millions de tonnes d'exportation cette année, c'est-à-dire moins qu'avant le début de la guerre, moins que les 4 millions de tonnes qui partent d'Égypte ou encore de Jordanie, et encore moins que les 8 millions de tonnes que le Maroc devrait exporter cette année, mais la Syrie ne pèse pas rien, elle alimente plus ou moins 10 % du marché, estime un négociant français. Outre son prix bon marché, le phosphate a bonne réputation en Europe, en raison de sa très faible teneur en cadmium, un métal cancérogène.Des clients dans l'expectativeIl y a donc de nombreux clients potentiellement en stress aujourd'hui de se voir couper temporairement d'une de leurs sources d'approvisionnement ou de revenus. Ceux qui ont le plus à perdre sont l'Iran et la Russie, mais on peut citer aussi la Serbie et la Grèce qui ont importé sur les neuf premiers mois de l'année respectivement 500 000 tonnes et 250 000 tonnes de phosphate syrien.Parmi les autres acteurs qui comptent, il y a la Chine pour qui l'approvisionnement syrien reste secondaire et l'Inde, qui devrait importer plus de 400 000 tonnes en 2024. Mais le pays s'en remettra : il se fournit majoritairement ailleurs pour répondre à ses besoins en phosphate évalués à 8 millions de tonnes. À lire aussiSyrie: retour sur les 24 heures qui ont conduit à la chute de Bachar el-Assad

Chronique des Matières Premières
Premier fournisseur mondial de blé, la Russie recadre ses exportations

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Dec 9, 2024 1:41


La Russie, premier fournisseur mondial de blé, multiplie les mesures pour cadrer ses exportations. Pour l'instant le marché mondial s'en accommode, car il y a du blé ailleurs et peu de demande. +32% de droit d'exportation sur le blé, c'est la dernière mesure annoncée par le gouvernement russe qui cherche à augmenter ses recettes. « Cette mesure devrait avoir un impact local plus qu'international », explique Damien Vercambre, analyste chez Inter-courtage. S'ils veulent rester aussi compétitifs qu'aujourd'hui, les exportateurs russes en effet feront en sorte de ne pas répercuter cette taxe qu'ils doivent payer, mais tenteront d'acheter moins cher sur le marché local.Le mois dernier, les autorités ont revu le quota d'exportation de blé qui serait appliqué de mi-février à fin juin 2025. « C'est la conséquence de stocks de début de saison presque inexistants et d'une production en légère baisse par rapport à l'année dernière, plus basse que la moyenne de ces cinq dernières années », explique l'expert.37% des cultures d'hiver seraient en mauvais état ou n'auraient pas germé en raison d'un faible niveau d'humidité dans le sol, selon l'Agence nationale de météorologie.Des exportations russes en baisse pour 2024/2025Cette mesure signerait donc surtout une capacité d'export limitée, plus qu'une volonté de restreindre par principe le commerce, explique un de nos interlocuteurs. Au contraire, ajoute-t-il, la Russie « cherche à vendre partout »  et elle ne manque pas une occasion de faire la promotion de son blé, comme l'illustre un accord signé fin novembre au Maroc pour l'achat d'un million de tonnes de blé russe cette année.Mais de fait, en raison de la baisse de la production russe, le pays devrait peser un peu moins dans les échanges cette année : selon les estimations, les exportations de blé russe pourraient diminuer de cinq millions, voire même de dix millions de tonnes. Cela n'inquiète pas pour autant les marchés qui n'avaient pas non plus été perturbés par les mauvaises nouvelles venant de France premier exportateur européen de blé.Assez de blé dans l'hémisphère sudLe manque de blé, en Europe et en mer Noire, devrait être plus ou moins compensé par les récoltes à venir de l'hémisphère sud : les perspectives de production australiennes et argentines sont meilleures que prévues. Le blé argentin a été l'origine la plus compétitive ces dernières semaines, assure un analyste, et cela n'a pas échappé aux pays d'Afrique subsaharienne qui délaissent le blé de la mer noire et le blé européen, selon les observations d'Argus Media France.L'autre facteur qui rassure les marchés, c'est la demande atone. La Chine achète très peu en ce moment, si ce n'est du soja et du sorgho. Même les prix actuels qui devraient être attractifs ne suffisent pas à relancer les commandes chinoises de blé.L'équilibre du marché dépendra dans les prochains mois de la demande asiatique qui est appelée à devenir de plus en plus le moteur de la demande globale : la consommation par habitant est en baisse chez les principaux importateurs africains alors qu'elle augmente chez les plus grands acheteurs asiatiques selon Argus Media France qui cite notamment les besoins croissants de l'Indonésie, où le secteur meunier est en plein essor.

L'éclairage éco - Nicolas Barré

Olivier Babaud soutient l'accord de libre-échange entre l'Union Européenne et le Mercosur, malgré les critiques.Il s'attaque aux idées reçues sur les dangers de cet accord. Il balaie les craintes sur l'importation de viande bovine traitée aux hormones, rappelant que les normes européennes l'interdisent. Il souligne que les quotas d'importation sont limités et que l'accord respecte l'Accord de Paris sur le climat.Olivier Babaud voit cet accord comme une opportunité pour développer les exportations dans des secteurs clés (vins, spiritueux, produits laitiers, automobile, chimie). Il rappelle que la France a déjà une balance commerciale excédentaire avec le Mercosur.Pour lui, rejeter cet accord serait un signe de déclin et de repli sur soi. Il plaide pour une posture offensive, pour éviter de perdre des parts de marché face à la concurrence, notamment chinoise, en Amérique du Sud.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Trends-Tendances podcast
Z sur 7 - l'étude de la banque-assurance CBC, les changements de PEB, le guide des boulangeries au levain

Trends-Tendances podcast

Play Episode Listen Later Nov 19, 2024 16:20


Dans ce nouvel épisode, la CBC sort une étude qui dévoile les protections privilégiées par les belges. Le PEB a un impact sur la valeur d'une maison et d'un prêt hypothécaire mais bientôt pour la survie de la location d'un bien. Tartine et Botheram sort son guide des boulangeries au levain en Wallonie et prône un soutien au secteur. En bourse, Érik Joly analyse la situation économique des Pays-Bas. Christophe Charlot répond aux propos du patron d'Unbabel, une entreprise qui développe des outils de traduction, selon qui l'intelligence artificielle dépasserait l'être humain dans les trois ans.

Afrique Économie
Soudan du Sud: la suspension des exportations de pétrole mine l'économie et fait exploser les prix

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 2:20


Le Soudan du Sud connaît l'un des taux d'inflation les plus élevés au monde : 55 % en un an, selon le Fonds monétaire international (FMI). C'est la conséquence de la crise économique profonde que connaît ce pays ravagé par le changement climatique et l'instabilité, et qui importe presque tout ce qu'il consomme. Sa seule source de devises provient des exportations de pétrole, mais depuis mars cette année, le pipeline est à l'arrêt. Malgré les annonces de reprise prochaine de l'exportation, la situation met en exergue le besoin de diversification de l'économie. De notre correspondante à Juba,« La nourriture est chère, tout est hors de prix, beaucoup de gens ont faim ! Qu'allons-nous faire ? », s'inquiète Sarah Alphonse. À Souk Libya, l'un des marchés de la capitale sud-soudanaise, cette femme frêle de 37 ans vient d'acheter des feuilles de niébé pour les cuisiner avec de la pâte d'arachide. « C'est super cher ! Il y en a pour 8 000 livres, alors qu'avant, tout ça ne coûtait que 500 livres !, assure la mère de quatre enfants. Tout est cher, la farine est chère, les gens n'en peuvent plus, nous sommes malades, nous n'avons pas d'argent pour nous soigner. Nous nous demandons ce que fait le gouvernement ? »La livre sud-soudanaise a perdu quatre fois sa valeur face au dollar. Conséquence : le prix des biens de première nécessité s'envole. Le gouvernement a annoncé en septembre la mise en vente de produits alimentaires à des prix subventionnés, et la Banque centrale a injecté des dollars sur le marché des devises. Mais comme beaucoup, Rose Poni Eluzai, une autre cliente du marché de Souk Libya, n'a pas observé d'amélioration. « Je n'ai pas entendu parler de ces mesures. C'est vrai que le dollar est devenu moins cher. Le taux de change est plus favorable, mais les prix sont restés les mêmes sur le marché. Rien n'a changé, martèle-t-elle. Et ici, nous n'avons reçu aucun produit alimentaire subventionné par le gouvernement pour aider les gens. »« La remise en route de l'oléoduc n'est qu'une solution de court terme »Plus de 90 % des revenus propres du pays dépendent des exportations du pétrole qui se fait via deux oléoducs qui transportent le brut sud-soudanais vers Port Soudan, sur la mer Rouge. Or, depuis mars cette année, le pipeline transportant 70 % du pétrole est arrêté à cause de la guerre qui fait rage au Soudan.Si le ministère du Pétrole a annoncé la reprise prochaine des exportations, le président de la Chambre de commerce de l'État d'Équatoria Central, Robert Pitia observe, lui aussi, les limites des mesures prises pour contrôler l'inflation. Pour lui, d'ailleurs, même la reprise des exportations de pétrole ne suffira pas à sortir le pays de la crise. « La remise en route de l'oléoduc n'est qu'une solution de court terme. Pour faire baisser les prix de l'alimentation, le gouvernement doit développer la production agricole, et créer un environnement propice pour que des investisseurs étrangers développent des projets de production agricole massive », analyse Robert Pitia.Une diversification de l'économie d'autant plus souhaitable que l'incertitude entoure la reprise des exportations de pétrole, comme le souligne Daniel Akech Thiong, de l'International Crisis Group (ICG) : « Si les parties en conflit au Soudan ne concluent pas un cessez-le-feu dans les zones situées sur le parcours du pipeline, le scénario qui a conduit à l'arrêt de l'oléoduc risque de se répéter. » La baisse du prix du pétrole et une demande mondiale en berne jouent également en défaveur des finances publiques sud-soudanaise, dépendantes à plus de 90 % de l'or noir.

Chronique des Matières Premières
Les exportations de miel d'Ukraine n'ont pas faibli malgré la guerre

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 1:41


Les exportations de miel d'Ukraine n'ont pas faibli depuis le début de la guerre, au contraire. Elles se sont maintenues et suscitent même des préoccupations chez les producteurs européens. Car l'Ukraine est un fournisseur majeur de miel pour l'Union européenne. L'Union européenne (UE) importe en moyenne 49 000 tonnes de miel ukrainien par an. Le pays est un fournisseur majeur de l'Europe : son miel de tournesol est particulièrement recherché pour fabriquer les miels « toutes fleurs » ainsi que la plupart des miels crémeux. Au début de la guerre, la question s'est donc très vite posée : comment faire sans ce miel si les exportations s'arrêtent. Mais très vite, la réponse est arrivée : la guerre n'a pas affecté les volumes vendus en Europe. « Il rentre toujours autant de miel d'Ukraine » confirme un expert de la filière.À tel point que certains commencent à douter et se demandent s'il ne s'agit pas de miel « ukrainisé » : autrement dit de miel asiatique, et en particulier chinois, qui transiterait par l'Ukraine pour changer d'étiquette, celle de miel ukrainien ayant bien meilleure réputation en Europe. En termes de volumes, ce serait possible : l'Empire du milieu est le plus gros producteur de miel au monde.Frein d'urgence activé pour le miel ukrainien L'inquiétude sur l'origine, mais aussi sur les volumes, est telle, que les acteurs de la filière ont demandé la mise en place d'un frein d'urgence. Comme cela est aussi le cas pour six autres matières premières exportées d'Ukraine : les œufs, la volaille, la sucre, l'avoine, le maïs et le gruau. Sur ces produits, les droits de douane européens sont suspendus, mais rétablis au-delà d'un certain volume.Pour 2024 le volume exempté de droits a été fixé, pour le miel, à un peu plus de 44 417 tonnes et il a été atteint depuis le mois d'août, preuve du dynamisme des exportations. Le miel ukrainien est donc de nouveau taxé jusqu'à la fin de l'année. Production française en baisse d'un quart ?La préoccupation s'exprime particulièrement en France où les récoltes des deux dernières années ont été plutôt bonnes, explique Eric Lelong, président de l'interprofession, l'InterApi et président de la commission apicole de la FNSEA. Les apiculteurs se sont retrouvés fin 2023 avec des invendus et des prix en baisse.Cet automne, la tendance s'est inversée : les prix sont remontés en raison d'une diminution de la production en France, comme en Finlande et en Slovénie selon la revue Abeilles et Fleurs d'octobre 2024. Les dernières estimations transmises par InterApi font état d'une production qui pourrait baisser de 27 % cette année, dans l'Hexagone, soit moins que les 40 % annoncés début octobre par le syndicat d'apiculteurs Unaf.

Le flash éco de Capital
Contrôle technique renforcé ? Trump et les exportations françaises… L'actu éco en 120 secondes

Le flash éco de Capital

Play Episode Listen Later Nov 6, 2024 2:00


Un nouvel équipement obligatoire dans les logements, l'enseigne Casa en difficulté… Rattrapez l'actualité économique du jour avec notre podcast 120 secondes. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

RTL Soir
INTERNATIONAL - Emmanuel Macron appelle à "cesser les exportations d'armes" utilisées à Gaza et au Liban

RTL Soir

Play Episode Listen Later Oct 11, 2024 1:44


Ecoutez RTL Soir avec Agnès Bonfillon et Yves Calvi du 11 octobre 2024.

Les matins
Comment les exportations d'armes sont-elles contrôlées ?

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 8, 2024 8:06


durée : 00:08:06 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Alors qu'Emmanuel Macron s'est prononcé pour l'arrêt de la vente d'armes à Israël servant au conflit à Gaza, quelle est la politique de l'Etat en matière de vente de matériel militaire aujourd'hui ? Quelles sont les instances chargées du contrôle de ces exportations sensibles ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Benjamin Jung Journaliste d'investigation indépendant

Chronique des Matières Premières
Concentré de tomates: boom historique des exportations, hausse des stocks et baisse des prix

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 1:31


Les exportations mondiales de concentré de tomates ne se sont jamais aussi bien portées. Et comme souvent quand on parle de record dans le secteur des matières premières, la Chine a sa part de responsabilité : sa production de tomates d'industrie ne cesse d'augmenter. Plus de 3,9 millions de tonnes de concentré de tomates vendu en un an – de juin 2023 à mai 2024, c'est 6 % de plus que l'année dernière et un record absolu. Ce boom du commerce mondial de concentré est étroitement lié aux performances d'un des moteurs du secteur, la Chine.Cela fait trois ans que la production de tomates destinées à l'industrie ne cesse de grimper dans le pays, sous l'effet de prix attractifs. Cette année, elle pourrait augmenter encore d'un tiers, et atteindre 10,45 millions de tonnes, selon Tomato Newsle site d'information de l'Association internationale méditerranéenne de la tomate transformée (AMITOM) et du Conseil Mondial de la Tomate d'Industrie (CMITI).Des prix en baisse depuis plusieurs moisLe problème, c'est qu'une faible partie seulement de cette production est consommée localement. Le reste grossit l'offre mondiale. Résultat, depuis l'hiver dernier, les prix du concentré chinois, mais aussi celui produit aux États-Unis et au Chili, sont en chute. En Europe, l'autre bassin important de production, les prix ont résisté un peu plus longtemps en raison d'une production maîtrisée, que ce soit volontairement ou à cause des aléas climatiques, mais dans les pays où ils n'ont pas encore baissé, ils devraient suivre la même tendance. Des stocks qui ne font que grossirL'offre record cette année va venir grossir des stocks qui avaient déjà commencé à se reconstituer l'année dernière. « Avec la production 2024, on va au-delà de ce qui aurait été raisonnable d'avoir », explique un expert de la filière.Les transformateurs pourraient en conséquence se retrouver à la fin de la prochaine campagne avec 18 mois, voire deux ans de stock. Ce serait alors un vrai casse-tête logistique et peut-être encore plus financier : tant qu'il est immobilisé, le concentré ne rapporte rien à son fabricant et perd de la valeur.À lire aussiLa Chine augmente sa production de concentré de tomate

Trends-Tendances podcast
Z sur 7 - indexation, salaire, dandoy

Trends-Tendances podcast

Play Episode Listen Later Oct 1, 2024 16:50


Dans cet épisode, les restaurateurs s'indignent face à la nouvelle indexation prévue début 2025, les jeunes demandent un salaire de plus en plus élevé et la maison Dandoy décide de diminuer ses exportations dans deux pays. Les marchés boursiers chinois sont en ébullition et découvrez Leexi, l'assistant IA 100% belge qui révolutionne les réunions.

SBS French - SBS en français
Le journal du 10 septembre 2024 : La ministre des Affaires étrangères, Penny Wong, se félicite de la décision du Royaume-Uni de réduire les exportations d'armes vers Israël

SBS French - SBS en français

Play Episode Listen Later Sep 10, 2024 14:10


Dans l'actualité de ce 10 septembre : La ministre des Affaires étrangères, Penny Wong, se félicite de la décision du Royaume-Uni de réduire les exportations d'armes vers Israël. En France, alors que Michel Barnier poursuit des consultations pour la mise en place de son gouvernement, le camp présidentiel exclu une censure automatique du prochain gouvernement tout en excluant de lui accorder un chèque en blanc non plus - Au Moyen Orient, le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme avertit d'un avenir dystopique si le droit international n'est pas respecté...

Ces chansons qui font l'actu
C'est une chanson qui nous ressemble. Le meilleur été des exportations de chanson francophone ?

Ces chansons qui font l'actu

Play Episode Listen Later Sep 1, 2024 8:04


durée : 00:08:04 - C'est une chanson qui nous ressemble - par : Bertrand DICALE - Avec les cérémonies et les épreuves des Jeux de Paris 2024, le monde entier écoute grands tubes classiques et chansons inconnues jusque-là en dehors de la France.

Le monde est à nous
Chine : la course contre la montre des exportations avant l'augmentation des droits de douane

Le monde est à nous

Play Episode Listen Later Jun 1, 2024 2:29


durée : 00:02:29 - Le monde est à nous - Les entreprises chinoises anticipent une prochaine augmentation des droits de douane, décidée par les États-Unis. Ce sont notamment les voitures électriques chinoises qui sont visées.

Serious Sellers Podcast: Learn How To Sell On Amazon
#547 - Amazon Remote Fulfillment with FBA Program - Sell in Canada, Mexico, & Brazil

Serious Sellers Podcast: Learn How To Sell On Amazon

Play Episode Listen Later Mar 26, 2024 37:19


Ever dreamt of expanding your Amazon empire internationally with just a few clicks? That's exactly what we're unpacking with Jaisal Jivanji from Amazon Canada and Irias Garcia Enriquez from Amazon Mexico in our latest chat. We're tackling the Remote Fulfillment with FBA program head-on, discussing the seamless process of selling across borders using your US FBA inventory. You'll find out how this can lead to a significant boost in product visibility and sales in foreign markets, which now includes the vibrant landscape of Brazil. Struggling with keyword research for an international audience? No sweat, because we also dissect how Helium 10's Magnet tool comes to the rescue, enhancing your targeting prowess. We spill the beans on Bradley's journey leveraging the program, the automatic translations of listings for local markets, and the nuances of handling images and A+ content across different Amazon platforms. It's a great episode to watch for logistical insights, from managing shipping times to utilizing Amazon's metrics, complemented by third-party tools that could be the game-changer you've been looking for. Now, let's talk money. Navigating the currency exchange and pricing strategies can be daunting, but we're breaking it down to make it practical and straightforward. With Amazon's handy Build International Listings (BIL) tool and Amazon Currency Converter for Sellers (ACCS), we explain how to keep your pricing strategies smart and your international profits in check, even with fluctuating exchange rates. Say goodbye to pricing headaches and hello to transparent, surprise-free customer experiences in Canada, Mexico, and Brazil. Big thanks to Jaisal and Irais for their expert insights—it's just what you need to consider taking the plunge into these exciting markets. In episode 547 of the Serious Sellers Podcast, Bradley, Irais, and Jaisal discuss: 00:00 - Amazon Remote Fulfillment Program Discussion 03:45 - Expanding Your Amazon Selling Internationally 09:21 - Cross-Border Fulfillment Eligibility and Shipping 12:32 - International FBA Shipping and Localization 16:56 - Amazon Metrics and Marketplace Expansion 22:12 - International Sales and Tax Considerations 24:59 - Currency Exchange and International Pricing 27:20 - International Price Synchronization Options 32:09 - Amazon Fulfillment in International Markets 36:34 - International Sales Success in Project X 37:15 - Expanding Sales With Remote Fulfillment ► Instagram: instagram.com/serioussellerspodcast ► Free Amazon Seller Chrome Extension: https://h10.me/extension ► Sign Up For Helium 10: https://h10.me/signup  (Use SSP10 To Save 10% For Life) ► Learn How To Sell on Amazon: https://h10.me/ft ► Watch The Podcasts On YouTube: youtube.com/@Helium10/videos Transcript   Bradley Sutton: Today we've got representatives from Amazon Canada and Mexico who are going to talk all about the remote fulfilling with FBA program, where just in three clicks you can instantly be selling your products in Canada, Mexico and now Brazil. How cool is that? Pretty cool, I think. I want to enter in an Amazon keyword and then within seconds get up to thousands of potentially related keywords that you could research. Then you need magnet by Helium 10. For more information, go to h10.me/magnet. Magnet works in most Amazon marketplaces, including USA, Mexico, Australia, Germany, UK, India and much more. Hello everybody and welcome to another episode of the Serious Sellers podcast by Helium 10. I'm your host, Bradley Sutton, and this is the show. That is a special episode because for the very first time, we have got somebody who is from Amazon Canada, also Amazon Mexico on the show. I've had people from Amazon USA, I think, Amazon Singapore and different places, but I'm just expanding out the marketplaces here. We've got Jaisal and Irais here. Welcome to the show, guys.   Irais: Hello everyone. Thank you for inviting us.   Bradley Sutton: Now, right before the show, I was like now the way you pronounce your name is Irais and that's how I would say it, but like that just sounds like so awkward. So I'm just going to go with Irais and she says she's not going to be offended there and Jaisal I couldn't even begin to exactly pronounce it, but so I'm going to start with Jaisal. What is the origin of your name?   Jaisal: So my name is actually originated from a town in India called Rajasthan, and there was a princess back in the day whose name was Jaisal, and there's also a city called Jaisalmer, so that's kind of where my name came from.   Bradley Sutton: See, I like knew there was a good story behind it. You know, Bradley, there's no, there's nothing going on there. You know, like Irais is or at least the English spelling is like a flower, you know kind of thing. So, all right, we've got. So I was already pronouncing it wrong, so it was Jaisal instead of Jaisal. I don't know why I was saying it the right. Okay, I got it now. Now, Jaisal, you we're in Canada, are you at right now?   Jaisal: So I actually live in Dallas, Texas. Bradley Sutton: Dallas Texas, okay.   Jaisal: Yeah, our team sits in Seattle and in Arlington, and then we also have a team out in Canada.   Bradley Sutton: Okay, all right now. How long have you worked for Amazon?   Jaisal: For a little over two years, so it's been a really fun ride so far.   Bradley Sutton: Now, have you always worked on the? You like Amazon Canada in different marketplaces, or did you do something else like for Amazon USA, or what's going on there?   Jaisal: Yeah, so the whole time I've been on Amazon Canada, I've been on the Remote Fulfillment expansion team for the entire time, so it's been I've definitely gotten really used to this team and I've learned a lot from the team as well.   Bradley Sutton: Now we're gonna be talking, we're gonna go in depth here, but just something I've wanted to know. I always you just said Remote Fulfillment. Now I have always referred to this as NARF right North, because I swear it used to be called like North American Remote Fulfillment. But now I don't see that those initials anywhere on Amazon did it? Was that an official term or is that something I made up, or did you guys have that and then you just erased the NARF and now it's called something else.   Irais: Yes, you're right, it was called North America Remote Fulfillment, but the thing is that the moment we are now expanding to other countries, it doesn't make sense to call it North America. That's why we only, we're only staying with Remote Fulfillment with it.   Bradley Sutton: That's all. We're almost giving a spoiler alert right there about later on in the show. We're gonna be okay now. Okay now, I guess. So like I gotta start calling it something, but that's. That was such a cool name though, NARF, you know, it's so easy to remember that. All right, let's. Let's switch to Irais. Now, where are you located?   Irais: So I am in Mexico City and I worked at the office that we have in Mexico City.   Bradley Sutton: Is that where you're born and raised?   Irais: Yes, yes, I haven't been living all my life here. I went to give my tour of the world for 10 years and came back to Mexico City, and I've been working at Amazon since four years now four years, and I hope.   Bradley Sutton: Let's just start in an degree. You know the reason why I brought you on kind of like representing Amazon Canada. By the way, that's a really cool sweater you have on there. I haven't seen that one special edition, but is you know? I want to talk about Remote Fulfillment now in general. You know, I'm an Amazon seller in the USA now me personally, I don't remember when I enrolled, but I'm already enrolled in it. But there's probably a lot of people listening to this show maybe who haven't. This might be the first time they're even hearing about Remote Fulfillment. So you know what? Let me take a step back. What is Remote Fulfillment? Either of you can answer this.   Irais: So Remote Fulfillment, it's a program that allows sellers to use their US FBA inventory to expand to other countries like Mexico, Canada and now Brazil. What we do is like the inventory that you are sending to the Remote Fulfillment Center, to the sorry, to the fulfillment centers in in US. Amazon uses to fulfill the orders internationally once there is a sale in another country.   Bradley Sutton: Cool now. So that's just basically in a nutshell what it is. Now I'm a seller who's maybe hearing about this for the first time. How do I know if it's something that I should probably look into? Or maybe there's a kind of seller where it's like nah, this is probably not for you yet.   Irais: Well, really, for I think, for any seller that is already selling in in US BISBA I think it's something really great to try, because you're already selling with FBA in US, you already have your products there. The only thing you need to do is enroll. Actually, we are I'll explain further down but we are doing automatically enrollment for some eligible sellers and once you're enrolled, you're basically instantly selling in other like internationally, because it's Amazon who takes care of the rest. We are basically, once we enroll you, we are going to duplicate your ASINs or your offers that's how we call it in Amazon ASINs and you're we're going to duplicate your offers and products to the other countries and then you will be offering those products to new clients and you will have more opportunities to sell right. So I think it's very easy. You don't really need to worry about sending inventory to other places, you don't need to invest on that and everything is taken care of by Amazon. So I think it's very easy. You don't really need to say, oh, am I ready?   Bradley Sutton: I'm not ready, because Amazon takes care of everything now, Jaisal, you know, for me when I first enrolled in it, when it was called NARF like the very first one that I made sure to get into was Canada, would it be safe to say that probably most people are, you know, who are selling in the US probably make that one their first enrollment. And then how does somebody enroll in it these days?   Jaisal: yeah, of course. So from the way to enroll standpoint, we do have that auto enrollment that I used to talking about earlier. But also if you want to double check to see if you are enrolled, you would go into your US Seller Central side and check the inventory tab and go to Remote Fulfillment and there will be. We have like a new UI as well and there you should be able to see like which countries you have launched in, and it's literally just like a click of a button all right.   Bradley Sutton: So I'm here for those watching on YouTube. I'm going in one of my accounts right, I'm pretty sure it's enrolled inventory and then Remote Fulfillment with FBA, all right. And then here it is right here. So I would hit then marketplace enrollment, right, and then there it is All right. So then you would be able to see the three marketplaces and it says I'm enrolled. And if it wasn't enrolled I would have just selected it here and then hit update. So everybody who's listening if you guys are, you know, if you guys are running on a jog right now or you're in your car, you know, please Pull over to the side of the road or just wait till you get home, but go into your Seller Central, hit the Menu button on the left hand side, go to inventory, mouse over that and then select Remote Fulfillment by FBA and literally right after there It'll be just maybe a couple of clicks to enroll. If you are not now, let's say somebody wasn't like me and it said not enrolled, enrolled, just like. If I. From the moment right now they click on this, is it instantaneous that they're now in the program? Does it take 24 hours about? How long would it take them to get up and running?   Irais: If you do it manually, you will go through a small flow like after this page. You have another flow when it will just let you know that we are duplicating your ASINs with building international listings tool and once you are enrolled it can be Instantly. It may take up to for you 24 hours, but most of the times it's on the same day.   Bradley Sutton: Excellent, excellent. Now, for me, there were some of my products that, even though, as everybody just saw who saw my screen I am fully enrolled, but some of my products that weren't activated. So you know, that leads me to assume that, hey, some products maybe are not eligible. Um, I know, way back in the day, like six years ago, when I was working for seven years and when I was working for a different company, like they were doing Uh, a diet pills and like nothing was available for Canada because there was like regulations about that. But just, I don't sell any diet pills and this is where I sell coffin shelves and egg trays and stuff like that. But what are the kind of products that might not be just Able to qualify for this program with this click of the button?   Jaisal: Yeah, so for each country they all have different importation roles. Um, products that are not eligible due to exportation rules Will not be copied to other stores by the build international listings tool, also known as the bill tool, and you'll generally see like an ineligibility message through that same UI that you were showing earlier. However, there are some cases where a product is eligible for cross-border fulfillment under a different fulfillment method, such as local FBA fulfillment or seller fulfilled, but it's not eligible for the Remote Fulfillment with FBA, and that could generally be because there are additional documentation requirements for customs or specific shipping or packaging requirements. Um, a good example is Remote Fulfillment does not export consumer goods, as those products often do need labeling in local languages. And if your product is not eligible for Remote Fulfillment and is not restricted for sale in the target store, you can still send it directly to the country for sale through FBA in each country, or you could list it as a seller fulfilled offer. Um, a good rule of thumb is like if you want to see a full list of restricted products per country, you can visit our Remote Fulfillment page and review what you can sell in the manager listing section now I think, oh, one of the most common or I have.   Bradley Sutton: I have a list of common questions that, I gathered from people in our community, when you know, asking about this program, but I think that probably the number one thing that people want to understand is the, the shipping. So, first of all, if I turn this on and it's tied to my FBA US inventory which, by the way, I'm not, um, not sure if I want to make sure everybody understands that it's what we're talking about here, I am not sending inventory, physical inventory, to Canada warehouses or to Mexico warehouses or to Brazil warehouses, it's taking from my us inventory. So Somebody sees, though, a prime batch. If they're shopping on Amazon Mexico, like they, they search for a coffin shelf, how would you say something? The atahood right here and it says Amazon Prime right there.   Irais: Yes, yeah, I think that's one of the main benefits of the program is that your ASINs have a prime batch when they are Distributed by Remote Fulfillment. So, although they might take longer, a little bit longer than the ones that are currently already in Mexico, but they are considered prime.   Bradley Sutton: That was my next question there. So they see the Prime Badge. Now what is the average shipping time that they might see, assuming obviously even in America you could have a Prime Badge and it might say 10 days because the inventory is being checked in. But let's just assume that the inventory is completely checked in. You know I have got tons of inventory. What's the average shipping time somebody in Mexico or Canada might see on my listing?   Irais: Yeah, uh. So On average to Mexico and Canada it takes Less than seven days. That's the time that the around you will see is that the target?   Bradley Sutton: I know it's completely brand new this month of, but is that the target also for Brazil or might take a little bit longer for there?   Irais: Yeah, so for Brazil, given the distance and obviously the size of the country, we are targeting now around 30 days, and which is also an average for products that are coming from other countries, locally Brazil.   Bradley Sutton: Excellent, excellent. Now, obviously for Spain or for Mexico, it's automatically translating my listing into Spanish. For Canada, is it changing it at all to like Canadian English? Not that it's that different, but you know, like, like, for example, British English. You know a diaper is called a nappy or something like that. It's still English, but it's, it's different. Like is there any translation happening? Or like. Does it translate to French? For, like the people in in Quebec who view Amazon and French?   Jaisal: Yes, it'll translate to French whenever you're looking in that for the French.   Bradley Sutton: But not changing it to like a Canadian vernacular or anything like that, right, yeah, okay now. So that's my second part of my question. Is all right, so Amazon is automatically translating my listing to either French or Spanish or Portuguese, I'm assuming for Brazil. Now what if I, being a Helium 10 user, and I like might know the keyword that people are searching in Spanish and Portuguese and the keyword that Amazon translated might not be what I like? Am I able to go in and override that translation?   Jaisal: Yeah, so it depends on the listing. If it already exists in the target country, just as it works in the US, you can propose changes and seller support will make the adjustment when they believe it's pertinent for the listing. However, if the listing is new in the target store and you're the first one to list it and you own the information, you'll be able to make changes as needed after localizing with the build international listings tool.   Bradley Sutton: So then it wouldn't be editing the listing per se and, like manage inventory, I would need to go to the build international listings to change the. You know, like I want to change a couple words in the title, that that would be the tool I go into. Yeah okay, perfect, perfect. What about A+ Content? How does that translation work? I'm not. I don't think I've ever looked at my A+ Content. In my North American remote fulfill, or see, I keeps using the old term Remote Fulfillment by FBA Listings. I don't think I've ever even looked at how what's going on with my A+ Content.   Jaisal: Yeah, so honestly, similar to how you do it in the US side for Canada or for the store that you're selling in, you can go exactly to where your A+ Content listings would be and upload it there. It doesn't automatically translate over, you may have to tweak some things, but it'll be in the Seller Central for that respective country speaking about localization, one thing, another thing I have not done is my change my images.   Bradley Sutton: So, for example, I have some infographic images right where I might have some text on there. Obviously, Amazon is not changing. You know, editing my images for me, changing that to English, it is it possible? If I'm using the same as in and smart, it's my product, you know. I've got Brand Registry, you know and everything. Can I change the like a certain image in the Mexican marketplace to put Spanish? You know, if I have like the features you know listed in one of my images and I want to change the Spanish, am I able to change that image or it's now going to overwrite that to my US listing?   Jaisal: It won't overwrite. So whatever you do on like, for example, if you do it on your Canada Seller Central, your Mexico Seller Central, it's not going to override or impact anything that you do on the US Seller Central side. It'll just stay for that target country.   Bradley Sutton: Give me good stuff here, like I was worried about. I was worried I think a lot of sellers might have been worried about that one. You're telling us what we want to hear. Now one thing I noticed to you know, like I don't ship inventory directly to Canada, but something that's cool is I can. I can still see them. We have some high and cool metrics here. Let me just show my screen to the listeners who can see this. But, like search, career performance and things like that, I can actually go to Canada and Go to Mexico and see that, even though, like again, I never registered to just for FBA in Canada or Mexico, but since I am part of this Remote Fulfillment, I can actually see the really cool metrics that Amazon has been giving for these different Marketplaces. And then, obviously, you know, if anybody's using Helium 10, you guys all have access to the same functionality for Amazon, for Amazon USA, Amazon Canada, Amazon Mexico, Amazon Brazil, our tools like Cerebro work and magnet where you can do your keyword research and things like that. So in the past, a lot of stuff that Amazon USA sellers had, you know, like they didn't have it right away for Mexico and Canada and the other marketplaces about at least all of the main things, definitely has access here now, where you know I talked about this a little bit before. But for again, for the, for those just joining us, where, at what point Should I be like, hey, this is something that I need to go all in on, and then maybe I've been doing it for a while and then I'm like you know what I don't want to have 30 days for shipping to Brazil. I don't want to have those eight days to Mexico or something. Maybe I should consider actually doing the whole process of taking my inventory, some for a certain product and shipping it to FBA in those countries.   Irais: I think that's a great point. It's really good considering at some point, migrating to local FBA Just because FBA has better seller experience, like you say, is like it has shorter shipping times, for example, and which can benefit the sellers. Conversion now. And but to the question one. I think it depends on multiple things. I think the minimum seller should consider is first, having a stable demand of the products they want to sell. You know to make sure the products you're going to send they are actually going to have a Sales. The second one is that sellers need to have figure out the export logistics. You need to have a Look for the information like what products can you send? You know that sometimes our Exportations about the materials that you can export and like maybe having the support of a broker sometimes. And finally, also making sure that you comply with the local laws of the country you're targeting right. Some countries and ask you to have, for example, a local tax ID, which is a process you need to do in in that country. Or some other countries, for example, they ask a specificity, a specificity story about labeling Products, know, and so all of those things we need to think about before, just like sending the inventory to the countries.   Irais: But, like I said, it's a good Option to think about it because it will. It will help yourselves and also one another point that I want to mention is that you don't need to decide of Removal filming or FBA. You can always choose both. Actually, it's something that we recommend because, for example, you can use FBA for the ASINs that they have a high turnover rate or they have a stable demand, but if you want to try new ASINs, you can enroll them first in removal filming and so that you can try you know the demand, see how it hits, how they work, and you can use be using both Programs at the same time. Also, FBA is a good option and for the products, like Jason said, for the products that are not Eligible in removal filming, you know, like, for example, if you also sell consumables, you can try to sell consumables via FBA and the rest of your products in removal filming.   Bradley Sutton: Interesting now. Now, Jaisal, you know, one question I had was you know she just mentioned about like tax implications and things like that, for when you're actually sending inventory there. I think that's a very top of mind Topic for sellers is like, wait a minute, like anything has to do with another country, like, alright, my product is crossing the border, am I gonna get tax? Like do I? I'm doing Remote Fulfillment? Am I gonna get a separate tax bill? Or do I have to clear customs for each order? Like all these, all these questions they might have, like which might be holding them back? Um, but correct me if I'm wrong, but in removal filming, is it true that I really don't have to worry about those things?   Jaisal: This is probably, like our, one of our top five questions that we always get. So when customers buy products through Remote Fulfillment with FBA, the buyer is actually the importer of record and must pay any import duties, taxes and fees. Amazon kind of simplifies the import duties process by estimating the amount that will be due and adding it to the amount the customer pays at checkout. You also do not have to present income taxes in other countries, since your sale is occurring in the United States, so sellers may continue with their tax-specific obligations in the US in the same way as before joining Remote Fulfillment.   Bradley Sutton: If I'm looking in Helium temp profits or in Seller Central, when I'm downloading my financial reports and everything, the order might show that it went to Canada or something. But is everything pretty much the same as far as the numbers go? My shipping, my fulfillment cost is the same and there's no extra fees. That's affecting my profitability. Is it almost 100% the same?   Irais: We can talk about also the fees. I can already explain how it works. So in Remote Fulfillment the products have two fees, just the same as any product in USFBA. So the first fee is Remote Fulfillment fee, which replaces the USFBA fee it's the same one. And we have the second fee, which is the category referral fee, which depends on the kind of product that you're selling and that will be. It varies depending on the country where the sale is occurring. So, besides these two fees although they can be higher because, for example, in Remote Fulfillment, fees varies depending on the size of the product, the weight and also the country to which you are sending the product Although these fees may be higher we have the tool bill that we have mentioned. But the tool does is it adjusts the prices in the targeted countries with those fees, including those fees in the price and any other extra costs that you might have, so that the price already includes all these additional costs and sellers will get a similar profit as they get in US. So to the question what we are doing with PIL is protecting the margin of the sellers so that they have a similar profit as they get in US, and that's how we can comfortable say that you will be having almost the same profits as you have in US.   Bradley Sutton: Okay. So let's say for whatever reason, the currency exchange rate is fluctuating greatly, day by day or week by week. Is once a week or once a day? Is the price maybe showing up as something like is BIL changing my price to reflect the currency fluctuations?   Irais: Yeah, so maybe it's easier if I give an example. But for example, so what BIL is going to do is have your US price as a base. It will stay connected to the other listings or to your products in Canada, Mexico and Brazil and the moment that you do, for example, a manual adjust price in the US, it will adjust all other countries, considering the fees difference in each of those countries and it will also consider, like you say, exchange rates for each of the countries. One point that I want to make sure is clear and that sellers know is that if sellers do a change manually to the price in the target country for example, they go and they make a change manually in the price in Mexico that will break the connection with the US price. So BIL will not be connected anymore, and that's something that selling partners need to be careful with. Sellers can totally go and manually change prices in the targeted countries, but that will be breaking the connection. So there is a way to connect the sellers, the listings, again through the BIL international listing tool, which is in global selling. You can reconnect all your listings, but it's just to have this in mind. You know, like not making manual adjustments if you want to maintain the connection with your US prices.   Bradley Sutton: That's super interesting. So if I never have touched it, it's going to go ahead and edit that for me, but if I mess with the price once, just like in Seller Central or something, then that breaks the connection. I literally have not seen this page in probably years, but I'm looking right now on my BIL international listings page and, for example I guess at one point I selected these things as default, but it's interesting. Like it says here for Canada, it tells me what the exchange rate is right now. And then it says, for price synchronization, I can choose the list price and the sale price, or list price only. So that's good to know. If I'm doing a sale in the US, that means, if I have this selected, it'll go ahead and reflect as well in Canada. And then it says here I can for Remote Fulfillment with FBA. The choices I have are same as the source marketplace adjust for fees, which is what I have. The other options, though, are same as just same as the source marketplace percentage above the source marketplace, or percentage below the source marketplace, or fixed amount above. So very interesting. And then I also have self-fulfilled options here. Like me, I have a lot of skews that I actually self-fulfilled myself, and I don't know why I put $25. I guess I didn't want anybody ordering from Canada or something. I put a markup of $25 here. But, interesting, I had not been on this page at all. I had no idea about these things. So, as a matter of fact, you just told me I'm working on something with our product team where we can do prices, and I didn't realize. So if I'm manually editing a price, it is no longer gonna go by these rules.   Irais: then yeah, just to be clear, it's manually adjusting the price in the target country. So if you change to the store of Mexico and then you change the price in pesos, no, if you change it in US, obviously it will stay connected, and exactly that's how the tool helps to change accordingly the prices in the other countries.   Bradley Sutton: Okay, all right, interesting, interesting. Now here we're talking about all these foreign currencies and things like that. Jesso, If I'm trying to open this up, do I need a Canadian bank to get my disbursements from? If I'm just an American seller, do I need a Mexican bank to be able to receive the payments, or how does that work?   Jaisal: Yeah, so now actually, Amazon will manage this for you through a tool called Amazon Currency Converter for Sellers, or otherwise known as ACCS, that you can set up in Seller Central as a deposit method. That way, your funds from other countries are transferred to your assigned bank account to receive deposits in the US.   Bradley Sutton: So literally at that moment that we talked about earlier in the show, when I'm enrolling, that's it, like there's not a bunch of other steps I'm going to have to jump through. All right, we talked about the cost. We talked about taxes and fees and banks and disbursements. I'm sure I'm forgetting some other things, but just in my just thinking about this program, a couple other questions a seller might have is maybe on the customer side. You said that they're the importer of records. So just out of curiosity, you're no tax code expert or anything, but on average, is it a lot of fees that they're having to pay? Like if they're buying my coffin shelf back there for 25 bucks that's the base price with shipping. The typical Canadian customer, though, what's their bill going to be like? Is it going to be double that? Is it just a certain percentage of that?   Jaisal: Yeah, I mean, I think it's an important aspect. But what we really want to highlight is that with the Remote Fulfillment program, buyer will be charged for the taxes.   Bradley Sutton: The price that the customer sees, though, is it just the listed price, you know, after the currency conversion, or is Amazon automatically building those you know taxes and things like that, into that retail price?   Jaisal: Yeah, so whenever the seller is going on to Amazon.ca and they want to buy your product, they will see actually what the price point is plus the tax and the shipping fee. Ah, so that's good.   Bradley Sutton: So it's not like you know like, see, that that's, that's a worry, like when I used to export to Canada and other countries, you know, off of Amazon. You know, maybe 15 years ago or 20 years ago, I would get some customers that would sometimes reject the shipments because they're like, I got this crazy tax bill that I had no idea you know this is how much, but kind of like, there's no surprises because Amazon is telling them how much, how much it's going to cost. Oh, that's a comfort to hear.   Irais: I was just going to compliment that. For example, for Mexico, the price of the AC versus US is very similar. It will only get adjusted by the, by the shipping fee which is going to be added to the price if there is no taxes, Amazon is not going to add any, any extra fees and, like you say, it's really convenient, for example, for me when I'm like I want to buy a brand that is not available in my country and that I want to bring it, and it's really nice to have you know like a exact date when I'm going to get it and that I don't have surprises of when the package arrives. Like you say like, oh, I am due another 50 bucks for what I am ordering.   Bradley Sutton: Okay, good to know. Good to know. What about returns? So you know, Amazon obviously has a generous return policy. Is it kind of like the same for people who buy through mobile film? I don't even know what it is like. You know 30, let's just say 30 days. They have 30 days, is it the same? And then what's the process? You know, like for like, I had to return something from Amazon the other day and it's just like all right here, go drop it off at UPS or we'll send you a label to return. How does it work if it's a Remote Fulfillment product?   Irais: Yeah, it's exactly the same from a buyer's perspective. You also have the Amazon promise that you can return items within a certain time First, I think Mexico is 30 days and you'll get a label, a shipping label, that you can paste on your package and you'll deliver it to the same place, where, or even you can also call for someone to pick it up at home, and it works exactly the same way. Amazon will take care of bringing back the product to the US. So that's I think it's important for sellers to know. We don't bring the product to the FCS and locally, we take it back to your inventory in US. So once it gets to the US, it will be re added to your inventory.   Bradley Sutton: Now, what are some educational resources that people can search for, maybe in Seller Central If they want to find out more about this? How would you suggest people can learn more?   Irais: inside Seller Central. I think there is two main resources sellers can use. One is the help page of Remote Fulfillment with FBA that you can search by using the search bar. You can place Remote Fulfillment. You will find the help page. We also have a revenue calculator that sellers can use. Also, by typing revenue calculator, you will find it in the search menu. The only thing you need to make sure is that once you are in the revenue calculator, you need to choose the store where you are targeting and the store where your inventory is in, and you will see the option of calculating fees with Remote Fulfillment so that you are able to compare what is the best channel for you or what will be your net profits using one channel or the other one. And finally, you always have seller support, which is a really good resource for a lot of sellers.   Jaisal: Just like sending your question or requesting a call, and they will be able to help you, yeah, and also just to add on to that as a seller, if you do have any country specific questions, one piece of advice that I like to give is search for those questions in your Seller Central that is accounted for that country. So if you have a question, for example, on Canada right and you're looking on how do I expand into FBA in Canada, you would literally go into your Seller Central side for your Canada account and type in selling in Canada from the US with FBA and you'll get information on how to expand that way.   Bradley Sutton: Excellent, excellent. Now just to give people an idea of what this could mean for you and everybody's accounts is different, but I have literally done no optimization. I haven't even edited my keywords or anything to make it right. All I did last year in one of my accounts is just turn on the Remote Fulfillment. Let me just show you, guys, my Helium 10 profits window here. But in one time period in Project X, my Project X account, I did $132,000 in USA and by never even looking at it, not even touching it at all, never having to ship something myself to Canada, I did $10,000 in Canada. So is that going to make me a millionaire by selling in Canada? Mexico only did a couple of hundred dollars, but still that's almost getting to 10% of my revenue by not even lifting a finger, just clicking a couple of buttons to enroll, and I was able to increase my sales in this one time period by $10,000. So, guys, if you haven't enrolled into this program, definitely do it. Not only are you going to be able to sell in Canada, but also Mexico. And now the newest member of the team is Amazon Brazil to really tap into that marketplace. So, Jaisal and Irais, thank you so much for joining us today and giving us all this knowledge about this program. I hope that all of our listeners are going to be enrolled by the end of this episode and maybe we'll bring you back next year and see what's new with the Remote Fulfillment program. So thank you so much for joining us.

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Ce mardi 21 novembre, le projet ETIncelles, un programme d'Emmanuel Macron pour aider les PME à débloquer les verrous administratifs des PME et à exporter, ainsi que le recyclage de l'Allemagne de sa monnaie après la suppression de 60 milliards de dollars de crédit, ont été abordés par Jean-Marc Daniel, professeur émerite à l'ESCP, Roland Gillet, professeur d'économie financière à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à l'Université Libre de Bruxelles Solvay, et André Loesekrug-Piétri, président de Jedi et fondateur du fonds ACapital, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Exportations (Exports)

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Le géant de l'énergie russe Gazprom a arrêté les exportations de gaz vers son voisin la Finlande car elle n'a pas reçu de paiement en roubles.Traduction:Russian energy giant Gazprom has halted gas exports to neighbouring Finland as it had not received payment in rubles.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Play Episode Listen Later Aug 20, 2023 5:06


Le géant de l'énergie russe Gazprom a arrêté les exportations de gaz vers son voisin la Finlande car elle n'a pas reçu de paiement en roubles. Traduction: Russian energy giant Gazprom has halted gas exports to neighbouring Finland as it had not received payment in rubles.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

The Face Radio
Dab of Soul - Chris Anderton // 20-06-23

The Face Radio

Play Episode Listen Later Jun 20, 2023 107:26


In tonight's show I will be featuring Lp tracks by artists such as The Exportations, The Originals, The Tymes and Buddy Miles. This weeks listener's Top 7 selected is from Bill Bishop. Tune into new broadcasts of Dab Of Soul every Tuesday from Midday - 2 PM EST / 5 - 7 PM GMT.For more info visit: https://thefaceradio.com/dab-of-soul///Dig this show? Please consider supporting The Face Radio: http://support.thefaceradio.com Support The Face Radio with PatreonSupport this show http://supporter.acast.com/thefaceradio. Join the family at https://plus.acast.com/s/thefaceradio. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.