Podcasts about craintes

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Best podcasts about craintes

Latest podcast episodes about craintes

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Thierry Cabannes - Les craintes du monde de la cryptomonnaie

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later May 16, 2025 10:11


Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent de la tentative de kidnapping sur Paris et des craintes du monde de la cryptomonnaie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
EXTRAIT - Les agriculteurs expriment leur mécontentement face à une proposition de loi qui a été modifiée en commission, suscitant des craintes de nouvelles mobilisations

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later May 15, 2025 1:32


Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les matins
Aide à mourir : comment comprendre les craintes des personnes handicapées ?

Les matins

Play Episode Listen Later May 12, 2025 9:00


durée : 00:09:00 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Les textes sur les soins palliatifs et la fin de vie seront examinés en séance publique à l'Assemblée Nationale à partir de ce lundi, et de nombreux observateurs s'inquiètent des effets de ce texte sur les personnes en situation de handicap. Comment expliquer de telles inquiétudes ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Elisa Rojas Avocate et militante pour les droits des personnes handicapées

FC Stream Team
Les craintes d'Arsenal, le plan anti-Yamal et le sacre du Bayern | Tour d'Europe

FC Stream Team

Play Episode Listen Later May 5, 2025 54:22


Face à Arsenal ce mercredi (21h), le PSG pourra compter sur un trident royal au milieu de terrain. Le trio Vitinha – Neves – Ruiz a surpris de l'autre côté de la Manche, autant par son pressing que sa virtuosité technique. Dans l'émission, Philippe Auclair et Elton Mokolo évoquent la force de ce PSG dans l'entrejeu. Alors que le FC Barcelone retrouve l'Inter Milan ce mardi après une manche aller débridée (3-3), l'alignement défensif du Barça pose question. Cette saison, les Blaugrana ont piégé énormément d'équipes avec une ligne défensive ultra-haute et un placement parfait pour générer des hors-jeu adverses. Explications avec Anna Carreau. Enfin en Allemagne, le Bayern Munich a été sacré champion pour la 34e fois et s'apprête à connaître un été agité en coulisses. Avec de nombreux cadres en fin de contrat, une possible arrivée de Florian Wirtz et des contingences financières, le club bavarois va devoir faire des choix forts. David Lortholary dresse le panorama des dossiers chauds. Bonne écoute ! Tour d'Europe est un podcast Eurosport Football Club. Présentation : Cyril MorinGraphisme : Marko Popovic [extraits en vidéo]Réalisation : Hadrien Hiault Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

En tendon
#25.1 - Début de carrière kiné : doutes, leçons, craintes et tips clinique | avec Robin Coq (@Caribbean_physio)

En tendon

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 52:11


Aujourd'hui l'économie
Droits de douane de Donald Trump: pourquoi a-t-il encore changé d'avis?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 3:30


Les droits de douane réciproques de Donald Trump n'auront été en vigueur que quinze heures. Quinze heures de panique sur les marchés boursiers du monde entier. Mais le président américain a finalement changé d'avis hier. C'est un rétropédalage que le monde n'attendait plus. Mais Donald Trump l'a fait en décidant de faire une pause de 90 jours dans l'application des mesures commerciales à l'encontre des pays du monde, qui restent taxés à hauteur de 10%. À une exception près, sur les importations chinoises qui vont être taxées à 125%. C'est donc la Chine qui paie le prix fort de la guerre commerciale voulue par le président américain. Cela parce qu'hier, on a assisté à une véritable escalade. Après l'entrée en vigueur des mesures américaines, Pékin a annoncé une surtaxe de 84% sur les importations de biens produits aux États-Unis avec application quasi immédiate. Les marchés boursiers se sont affolés, l'Europe a vu rouge, tout comme les indices américains, surtout ! À lire aussiDans la tête de Donald Trump, que veut-il gagner avec sa guerre commerciale?Panique à bord L'une des explications, c'est lorsque Donald Trump a vu le cours de Wall Street dégringoler encore une fois. Pour autant, le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, le réfute et estime que cela fait partie de la stratégie initiale du locataire de la Maison Blanche. Et les résultats sont là. Après avoir annoncé la suspension des droits de douane réciproques pour le monde entier et de s'en prendre encore plus violemment à la Chine, les indices américains ont bondi hier. Le S&P 500, l'indice des 500 plus grandes entreprises américaines, a augmenté de 9,5% et le Nasdaq, qui lui répertorie les valeurs technologiques, a pris 12%.  Craintes sur le marché obligataire Et si le président américain a changé d'avis, c'est parce que l'économie de son pays est liée aux marchés financiers. La véritable explication là. Donald Trump lui-même l'a écrit hier soir sur son réseau social Truth. « Je regardais le marché obligataire et certaines personnes commençaient à se sentir un peu fébriles », affirmait-il. Le marché obligataire, c'est grossièrement là où les États se financent via notamment des bons du Trésor. Sauf que les bons du Trésor américain qui étaient considérés comme des valeurs refuges ont connu une hausse très importante de leurs taux ces derniers jours. Comme si, finalement, les États-Unis avaient perdu du crédit auprès des investisseurs, ce qui est risqué pour la première économie mondiale. À lire aussiLe coût des mesures douanières de Donald Trump à l'échelle mondialeDes impacts concrets sur l'économie américaine Et même si Donald Trump et son équipe s'en défendent, on sent tous cas qu'il y a eu panique à bord. Cette instabilité dans cette valeur considérée comme l'une des plus sûres au monde a tout bouleversé. La conséquence directe pour le gouvernement américain, c'est que s'il veut emprunter, le coût de son crédit va augmenter.C'est une très mauvaise nouvelle pour un pays dont la dette fédérale est estimée à 36 000 milliards de dollars. Cela engendrera une hausse des taux d'intérêts, ce qui serait une catastrophe pour Donald Trump, car sur le long terme, ça pourrait contribuer au ralentissement économique américain. Puisque au-delà de la dette, cela va avoir un impact sur d'autres secteurs de l'économie du pays comme l'immobilier.  C'est donc cela qui a fait réagir Donald Trump. Il l'expliquait hier, « il faut savoir faire preuve de souplesse » pour inciter les marchés à suivre ses mesures. Visiblement, il s'est appliqué son conseil à lui-même. 

Camille Parle Sexe
#156 : Vivre une deuxième grossesse après une hyperémèse gravidique: entre craintes et espoirs

Camille Parle Sexe

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 33:50


Journal d'Haïti et des Amériques
Craintes en Haïti après les annonces de Donald Trump

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 30:00


L'économie mondiale reste secouée par les annonces de Donald Trump. Une guerre commerciale qui a provoqué une dégringolade des indices mondiaux, toujours en baisse en Europe, en Asie ou à Sydney. Comme beaucoup de pays, Haïti devrait voir ses droits de douane augmenter de 10%, ce qui serait une catastrophe pour ce petit pays. Si le secteur de la sous-traitance textile, jusqu'ici protégé par des lois américaines exonérant les entreprises de taxes, est concerné, cela pourrait être dramatique, comme l'explique Enomy Germain, économiste haïtien. Ce sont 30.000 emplois qui sont en jeu, précise-t-il. Le secteur agricole et la petite industrie pourraient aussi être fortement touchés, s'inquiète Enomy Germain. Ayibopost s'intéresse à un conflit foncier aggravé par la circulation des armes à feuComme chaque mois, nous sommes en ligne avec nos confrères du site Ayibopost. Nous évoquons aujourd'hui avec Jérôme Wendy Norestyl son article «Les armes de guerre aggravent un conflit foncier à Montrouis». Depuis plus de 30 ans, des paysans se disputent des terres. Ce conflit a déjà fait de nombreux morts lors d'attaques à l'arme blanche essentiellement. Mais avec le développement des gangs et d'un marché illégal des armes à feu, il prend un tour différent, explique le journaliste haïtien.D'autres régions d'Haïti sont également touchées, poursuit Jérôme Wendy Norestyl qui souligne l'absence de l'État à chaque fois. «Ces problèmes de délimitation, de cadastres ne sont pratiquement pas suivis par les autorités». Une amende record pour Elon Musk ?Selon le New York Times, la Commission européenne compterait infliger une amende record à X, le réseau social propriété d'Elon Musk. Plus d'un milliard de dollars, à régler cet été. À moins que la plateforme n'accepte de changer ses méthodes. X est accusé de ne pas suffisamment lutter contre les contenus illégaux et la désinformation. L'idée est de «faire un exemple» pour inciter les autres Gafam à se plier aux règles européennes de modération, estime le New York Times. Le Costa Rica veut devenir un champion de l'IALe Costa Rica est l'un des rares États d'Amérique latine à avoir mis en place une stratégie nationale en matière d'intelligence artificielle. Un projet porté notamment par la ministre de la Science, de l'Innovation, de la Technologie et des Télécommunications, Paula Bogantes, qu'Achim Lippold a rencontrée. Le Costa Rica veut avant tout moderniser ses services publics. «Le défi, c'est de rendre l'État plus efficace dans l'utilisation de ses ressources, c'est-à-dire les impôts des citoyens. Comment faire en sorte qu'un fonctionnaire ne passe pas des heures à traiter une demande de permis de conduire ? Que les médecins passent moins de temps à rédiger des rapports administratifs sur ordinateur et plus de temps à soigner leurs patients ? Nous devons utiliser l'intelligence artificielle pour numériser notre administration publique et faire en sorte que les services publics soient plus proches des citoyens», explique Paula Bogantes. Et pour cela, il faut inclure l'espagnol dans le développement de l'IA et des chatbots car aujourd'hui, ces outils s'appuient principalement sur des sources en anglais, souligne la ministre. En Argentine, Javier Milei ne parvient à imposer ses choix à la Cour suprêmeHier (3 avril 2025), le Sénat a refusé à une large majorité de nommer les deux magistrats désignés par le président ultralibéral pour siéger à la Cour suprême. «C'est l'une des défaites législatives les plus retentissantes» enregistrées par Javier Milei depuis qu'il a pris le pouvoir il y a 16 mois, juge La Nacion. Un échec d'autant plus cuisant si l'on prend en compte «les efforts, les pressions et autres actions moins nobles» menées par le pouvoir pour tenter de faire plier le Sénat, insiste le journal. Javier Milei a réussi l'exploit de faire voter ensemble des partis politiques qui sont rarement d'accord entre eux, ironise encore La Nacion. Des partis qui ont surtout rejeté la méthode employée par le président, explique Pagina 12 : en février 2025, Javier Milei a nommé ces deux juges par décret. L'un d'entre eux a même prêté serment et siège actuellement à la Cour suprême. Selon Clarin, ce dernier devrait consulter les autres membres de la Cour suprême pour savoir s'il doit rester ou partir. Au Chili, Isabel Allende, la fille de l'ancien président, va perdre son poste de sénatriceC'est la fin d'une carrière parlementaire de plus de 30 ans, souligne La Tercera. Et c'est aussi la première fois de l'histoire du Chili que le Tribunal constitutionnel destitue un membre du Congrès, insiste El Observador. La fille de Salvador Allende, 80 ans, a violé la Constitution, explique El Mostrador. En cause : la vente ratée de la maison de son père. À la fin de l'année dernière, l'État a cherché à l'acquérir pour en faire un musée. Problème : au Chili, les parlementaires n'ont pas le droit de passer des contrats avec l'État tant qu'ils sont en poste. Tout le monde a fait marche arrière. Mais trop tard, la droite et l'extrême droite se sont emparées du dossier et ont saisi la justice. Une petite-fille de Salvador Allende, copropriétaire de la maison, a, elle aussi, perdu son poste de ministre de la Défense. Une autre ministre a également été remerciée. Au-delà d'Isabel Allende, cette affaire éclabousse la gauche. «Le Parti socialiste et toute la gauche chilienne sont frappés en plein cœur (...) Le président Gabriel Boric pourrait lui aussi être affecté,» écrit El Mostrador qui rappelle que le chef d'État a reconnu que c'est lui qui avait eu l'idée de racheter la maison de Salvador Allende, lui qui en a parlé à sa fille. Et cela suscite l'indignation dans les rangs socialistes, rapporte La Tercera. «C'est le président qui a commis une erreur et c'est une sénatrice emblématique du PS qui en paye le prix».

Grand angle
Aux États-Unis, les craintes des concessionnaires face à la hausse des droits de douane sur les voitures étrangères

Grand angle

Play Episode Listen Later Mar 28, 2025 2:31


durée : 00:02:31 - Le grand format - Les États-Unis vont imposer dès mercredi prochain des droits de douane majorés de 25% sur les voitures fabriquées à l'étranger. Donald Trump dit vouloir relancer la production sur le sol américain. Mais en attendant, les prix des voitures risquent de flamber aux États-Unis. Reportage à Atlanta.

À la une
Prévisions d'un autre déficit record et craintes pour les réseaux de la santé et de l'éducation

À la une

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 22:57


Le ministre des Finances du Québec, Éric Girard, va déposer cet après-midi son septième budget. Les prévisions d'un autre déficit record font craindre de nouvelles compressions dans les réseaux de la santé et de l'éducation. Avec l'incertitude économique qui plane sur tout le pays, le mouvement Desjardins prévoit que le Québec, comme le Canada, va entrer en récession à partir du deuxième trimestre de 2025, en raison de l'impact des tarifs imposés par les États-Unis.

Les Experts
Les Experts : Craintes de récession, panique à Wall Street - 11/03

Les Experts

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 18:47


Ce mardi 11 mars, la chute de Wall Street hier, à la clôture, a été décryptée par Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE, Jean-Pierre Petit, président de Cahiers Verts de l'Économie, et Christian Parisot, économiste et conseiller auprès d'Aurel BGC, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Chronique des médias
L'intelligence artificielle dans le journalisme suscite craintes et espoirs

Chronique des médias

Play Episode Listen Later Feb 7, 2025 2:49


Les 10 et 11 février se tient un Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle (IA) à Paris, l'IA qui a des conséquences sur la presse. Analyse des espoirs, mais aussi des craintes et des dangers de cette technologie pour le journalisme.  L'Institut national de l'audiovisuel, l'INA, a publié cette semaine une cartographie des usages de l'intelligence artificielle pour le journalisme. Et ce dont on s'aperçoit, c'est que l'IA offre des avantages, comme de lui laisser les tâches répétitives pour se concentrer sur des sujets à valeur ajoutée ou de gagner du temps dans la rédaction, la vérification et même l'enquête. On l'a vu dans les Panama Papers ou d'autres fuites de documents, il est très utile de pouvoir interroger une masse de données à partir d'un robot pour extraire un compte, des liens, des ramifications...L'intelligence artificielle permet aussi de mieux connaître l'internaute et donc de lui adresser un contenu qui corresponde davantage à ses centres d'intérêt et qui favorise son engagement sur les réseaux sociaux. Elle peut aussi aider à créer des titres pertinents ou à faire remonter des tendances. Sans compter bien sûr les traductions automatiques qui peuvent rendre accessibles des médias de multiples pays.La technologie suscite des craintes dans les rédactionsCes craintes ne sont pas seulement liées à la peur de perdre son emploi. On peut se demander si les journalistes ne vont pas devenir « IA-dépendants », façonnés par les algorithmes, avec moins le souci de la découverte fortuite sur le terrain. D'autant que ces algorithmes renvoient à ce qui a été dit, écrit dans le passé, fût-il récent. Ils peuvent être un obstacle à la compréhension de l'inattendu.Il y a aussi une crainte sur les droits d'auteurs, tous les acteurs de l'IA se refusent à engager des négociations avec les médias sur ce sujet en particulier. Le New York Times a attaqué Open AI et des organisations représentant 3 000 titres de presse en France ont demandé, mercredi 5 février, que les pouvoirs publics imposent un dialogue à ces entreprises qui pillent leurs contenus pour entraîner leur modèle sans les rémunérer.À lire aussi Face à ChatGPT, le New York Times attaque en justice OpenAI et MicrosoftDe possibles dangers pour l'information L'IA fait redouter une grande vague de désinformation, surtout avec des modèles comme celui du chinois DeepSeek qui sont plus accessibles à des manipulateurs. On a vu en Roumanie comment des milliers de comptes se coordonnant pour amplifier la popularité de mots clés sur TikTok ont fait monter un candidat, au point d'entraîner l'annulation de l'élection. Le service français Viginum estime que le même type d'ingérence peut se produire en France.France Culture a d'ailleurs diffusé vendredi 7 février une émission, Les pieds sur Terre, avec des témoignages fabriqués par l'IA pour alerter sur le risque de manipulation. Alors l'IA favorise-t-elle les infox, les ingérences russes ou donne-t-elle des armes aux journalistes pour contrer cette désinformation ? Les deux sans doute. À lire aussi Intelligence artificielle : les médias s'en emparent autant qu'ils s'en méfient

L’invité de l’économie
« Le succès de la Philharmonie de Paris est inversement proportionnel aux craintes qu'on avait à sa création » se félicite Olivier Mantei

L’invité de l’économie

Play Episode Listen Later Jan 14, 2025 7:30


Le directeur général de la Philharmonie célèbre les 10 ans de l'institution musicale parisienneMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Pensée du jour
Comment gérer les craintes 2

Pensée du jour

Play Episode Listen Later Jan 6, 2025 8:56


Pst Réjean Cloutier 7 janv 2025

Le jour où
Le bug de l'an 2000

Le jour où

Play Episode Listen Later Jan 1, 2025 2:37


À l'occasion de ses 70 ans, Europe 1 vous ouvre sa malle aux trésors tout au long de la saison. Chaque jour avec Laure Dautriche, revivez les grands moments qui ont fait l'histoire de France et celle de notre antenne. Aujourd'hui, elle revient sur le bug de l'An 2000.

Chronique des Matières Premières
Des alternatives au cacao pour répondre aux craintes d'approvisionnement

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Dec 30, 2024 1:50


Pas de trêve pour les prix du cacao. La nouvelle hausse des cours entamée il y a deux mois se poursuit. Les prix ont augmenté de 30 % depuis début décembre, une hausse alimentée par les conditions climatiques trop sèches de cette fin d'année en Afrique de l'Ouest qui font craindre une récolte moins bonne que prévu. Pour répondre à ces prix hauts, mais aussi tout simplement pour se diversifier, les industriels multiplient la recherche d'alternatives. Les industriels n'ont pas attendu la dernière hausse des prix pour miser sur la recherche : les craintes d'approvisionnement ne sont pas nouvelles et ne vont pas s'estomper de si tôt. Entre les facteurs conjoncturels et ceux qui sont liés à l'état général de la filière cacao, les risques de perturbation de la production et de hausse des prix se multiplient. Il y a aussi une pression croissante sur les producteurs et les industriels pour commercialiser un cacao plus durable, assez de raisons donc pour accélérer la recherche de nouvelles alternatives.À lire aussiLes prix du cacao repartent à la hausse sur fond d'inquiétudes sur la productionDu cacao de laboratoireMondelez, le célèbre fabricant de biscuits Oreo, a ainsi investi dans une start-up qui travaille sur du cacao de laboratoire. À en croire la directrice générale de Celleste Bio, la société israélienne créée en 2022, citée par le Financial Times, avec cette innovation, l'industrie « n'aura plus besoin de dépendre de la nature ». Ce n'est pas la première initiative du genre. En Suisse, une entreprise, Food Brewer, travaille pour mettre sur le marché en 2026 du chocolat issu de la culture de cellules prélevées sur des plantations, une sorte de cacao in vitro qui occupe aussi depuis deux ans les équipes d'un confiseur finlandais. Cette entreprise basée à Helsinki (Fazer) s'est déjà illustrée avec un produit innovant à base de seigle malté et d'huile de coco.Dans le même registre, une société allemande, Planet A Foods, a mis au point une alternative à base de graines de tournesol, fermentées et torréfiées, baptisée ChoViva. On trouve aussi des pépins de raisins dans les pâtes à tartiner d'une autre start-up américaine, Voyage Foods, associée à Cargill, un des plus gros broyeurs de fèves de cacao.Une goutte d'eau sur le marché mondialSelon la règlementation européenne, la plupart de ces nouveaux produits ne pourront pas s'appeler chocolat, mais ils visent bien ceux qui en consomment et tous les amateurs de nouvelles expériences gustatives.La production de ces variantes représente cependant, pour l'instant, epsilon sur le marché, par rapport aux quelque 5 millions de tonnes de cacao consommées chaque année dans le monde. À écouter dans C'est pas du ventLe cacao durable: objectif réaliste ou mirage?

Les matins
Craintes et espoirs des chrétiens de Syrie / Sapins / Raphaël Pichon, chef d'orchestre

Les matins

Play Episode Listen Later Dec 25, 2024 150:11


durée : 02:30:11 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Marie-Lys de Saint Salvy - Avec Bernard Heyberger, directeur d'études à l'Ehess, historien spécialiste des Chrétiens d'Orient / Brigitte Musch, responsable du Conservatoire Génétique des Arbres Forestiers de l'Office National des forêts (ONF) / Raphaël Pichon, chef d'orchestre, fondateur du chœur Pygmalion - réalisation : Colin Gruel

Podcast Eglise Evangélique de Lonay
20241222_Jean-Charles_Moret, Noël, la fin des craintes ?

Podcast Eglise Evangélique de Lonay

Play Episode Listen Later Dec 22, 2024 28:53


Message du 22 décembre 2024

Radio Campus Tours – 99.5 FM
Maggot Brain – Alimenter par ces mêmes craintes

Radio Campus Tours – 99.5 FM

Play Episode Listen Later Dec 20, 2024


Les aficionados du rap français voient très bien de quoi il s’agit, premier album mythique d’un groupe mythique représenté par des documentaires, un film, une série sur Arte et plusieurs livres. Après les années 60 et 70, plongeon temporaire dans « le ghetto français » comme dirait Idéal J. En tout cas revisitons les années 80 et […] L'article Maggot Brain – Alimenter par ces mêmes craintes est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.

Revue de presse internationale
À la Une: craintes et espérances en Syrie, à l'aube d'une nouvelle ère

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Dec 13, 2024 4:00


Les craintes tout d'abord. Clairement exprimées par la Repubblica. « Les rebelles promettent qu'ils n'imposeront pas le voile, mais aujourd'hui à Damas, les hommes sont aux commandes, et les miliciens critiquent ceux qui ne respectent pas la loi islamique », affirme le quotidien italien, qui a interrogé de jeunes syriennes. L'une d'elles confie sa joie, dans un premier temps. « J'ai l'impression de naître, avec la liberté. Rien ne me fera jamais regretter [Bachar el-]Assad. Mais la minute suivante, j'ai peur, vraiment peur ». Elle raconte qu'il y a deux jours, un groupe de combattants d'Hayat Tahrir al Cham (HTS) lui a crié « couvre-toi les cheveux ».« L'angoisse alterne avec des moments d'optimisme », poursuit la Repubblica, « la rumeur se répand selon laquelle Abou Mohammed al-Joulani, le chef de rebelles, aurait donné l'ordre aux miliciens de ne pas déranger les filles à cause de leur tenue vestimentaire. » Rumeur invérifiable.Minorités religieusesL'espoir se manifeste aussi, après la prise du pouvoir par les rebelles d'HTS. L'espoir pour la minorité chrétienne notamment. « Malgré la peur, les chrétiens de Damas sont rassurés par les premiers signaux envoyés par HTS », titre l'Orient-Le Jour. Selon le quotidien francophone libanais, « des ecclésiastiques ont rencontré les autorités du nouveau gouvernement dirigé par HTS, qui les ont assurés de leur volonté de garantir la liberté de toutes les minorités religieuses ».  À Damas, la communauté chrétienne reste toutefois prudente. Dans le quartier de Bab Touma, où s'est rendu l'Orient-Le Jour, « un message vocal est partagé en masse sur WhatsApp, dans lequel un homme de la communauté exhorte les chrétiens à ne pas faire de célébrations ou de diffuser des chants de Noël ». « Il n'en faudra pas plus », explique le quotidien « pour semer le doute dans les esprits, à moins de deux semaines des fêtes de fin d'année ».Austin TiceCraintes, mais aussi de l'espoir. Car l'espoir est aussi celui de retrouver certains prisonniers vivants. De nombreux syriens sont à la recherche de leurs proches. À Damas, « ils ratissent les locaux de la prison la plus célèbre du pays », raconte le Wall Street Journal, « parcourant les listes de détenus et creusant le sol en béton à la recherche de cellules ou de tombes cachées ». Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont disparu en Syrie, depuis le soulèvement de 2011. Des syriens bien sûr, mais aussi un américain, le journaliste Austin Tice, capturé en 2012.Cette semaine, explique El País, « le président américain Joe Biden a indiqué que son gouvernement pensait que le journaliste était vivant ». Ceci étant, précise le Washington Post, « les responsables de l'administration Biden, affirment que pour l'instant, il est trop dangereux de déployer du personnel pour rechercher l'Américain ». Même si HTS, a annoncé sa volonté de « coopérer directement avec Washington, pour localiser les Américains détenus par la dictature Assad », précise El País.Premier ministreEnfin, en France, l'attente continue même si François Bayrou doit être reçu à l'Élysée à 8h30. Il s'agit bien sûr de l'attente pour connaître le nouveau premier ministre que doit nommer Emmanuel Macron. « Pourquoi c'est si long ? » se demande Aujourd'hui en France, alors qu'Emmanuel Macron devrait finalement annoncer son choix ce vendredi matin. « Hier », poursuit Aujourd'hui en France, « les rumeurs se sont succédé dans une ambiance de pétaudière ». Le quotidien qui pointe du doigt les politiques qui « à défaut de travailler leur programme, s'enferment dans des postures ». Libération, de son côté, constate avec amusement que le nouveau Premier ministre sera donc nommé un « vendredi 13 ».  S'il ne lui souhaite pas malheur, le quotidien français n'en énumère pas moins les dossiers brûlants qui attendent le nouveau chef du gouvernement : « budget, agriculteurs, plans sociaux, école ».Plus à gauche, l'Humanité n'hésite pas à accabler Emmanuel Macron. « Il est l'artisan du chaos », s'exclame le quotidien, « il s'embourbe dans une crise politique qu'il a lui-même provoquée ».

Rav Touitou
Les craintes de Yaakov (Vayichlah)

Rav Touitou

Play Episode Listen Later Dec 11, 2024 30:28


Les craintes de Yaakov (Vayichlah) by Rav David Touitou

Chronique des Matières Premières
La Chine augmente ses importations de soja américain avant l'arrivée de Donald Trump à Washington

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Nov 20, 2024 1:54


Le mois dernier, juste avant l'élection américaine, la Chine a importé deux fois plus de soja américain que l'année dernière à la même époque. Des achats qui ressemblent à une course à l'approvisionnement, avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Retour qui pourrait être synonyme de nouvelles tensions commerciales entre les deux pays. Impossible de dire si la Chine avait anticipé un retour de Donald Trump au pouvoir, mais l'augmentation des volumes de soja qu'elle a importé des États-Unis, au fil de ces derniers mois, pourrait le laisser penser. Comme si le pays avait voulu se couvrir au maximum, avant le mois de janvier et l'installation du nouveau président.Les acheteurs chinois, mais aussi les fermiers américains, ont en mémoire la guerre commerciale du premier mandat de Donald Trump. Les droits de douane imposés par les États-Unis ont causé entre mi-2018 et fin 2019 plus de 27 milliards de dollars de pertes aux exportations agricoles américaines, selon le ministère américain de l'Agriculture (USDA).Les États-Unis ont perdu des parts de marché Dans le cadre de cette guerre commerciale, 71 % des pertes commerciales concernaient le soja. Les parts de marché perdues par les États-Unis n'ont pas été récupérées malgré la mise en place d'une trêve commerciale en 2020.Selon les douanes chinoises, seulement 18 % du soja importé cette année est américain, contre 40 % en 2016. La Chine a diversifié ses fournisseurs et regarde de plus en plus vers le Brésil, le nouveau géant agricole mondial : les importations chinoises de soja brésilien ont augmenté de plus de 13 % de janvier à octobre. Le Brésil est aussi devenu le premier fournisseur de la Chine en maïs.Les prix du soja restent basLes ventes exceptionnelles de soja américain vers la Chine ces dernières semaines ne se sont pas traduites sur les cours : les prix restent bas, en raison de la perspective de concurrence avec les origines sud-américaines, et de la récolte américaine, explique Gautier le Molgat, directeur général de la société de conseil Argus Media France.Les prix sont aussi le reflet des craintes de voir l'activité export remise en cause en cas de nouvelle guerre commerciale. Craintes auxquelles il faut ajouter celles de voir la politique énergétique de Donald Trump faire baisser les volumes de soja transformés en biocarburant. Cela annoncerait une offre plus importante de grains sur le marché, et n'aiderait pas à faire remonter les prix. Une politique encore incertaineL'avenir des exports américains de soja vers la Chine reste pour l'heure encore très incertain. Un rapport publié le mois dernier par la National Corn Growers Association assure que soja et le maïs seront à nouveau « cibles principales des droits de douane » dans un éventuel conflit commercial. Avec un risque de voir, selon le rapport, les exportations américaines de soja baisser drastiquement, et l'excédent agricole national augmenter.Le président de United Soybean Board, Steve Reinhard, veut croire au contraire que le retour de l'administration Trump signifiera de nouveaux efforts pour augmenter les achats agricoles de Pékin, comme il l'a confié il y a quelques jours lors de la septième foire internationale de l'importation de Shangaï (CIIE).

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] RDC : le projet de révision constitutionnelle suscite des craintes

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Nov 12, 2024 20:00


En RDC, la polémique enfle sur une éventuelle révision de la constitution. Voulue par le président Félix Tshisekedi pour élaborer une loi fondamentale qui «reflète les véritables besoins du pays», une partie de l'opposition et de la société civile appelle «à un sursaut patriotique» contre cette initiative qualifiée de «dangereuse pour la démocratie». La démarche du président de la République vous semble-t-elle légitime ? Une révision constitutionnelle est-elle nécessaire ?

Matin Première
Elections US: entre craintes et attentes

Matin Première

Play Episode Listen Later Nov 7, 2024 5:13


Quelles sont les craintes des électeurs de Kamala Harris à la suite de la victoire de Donald Trump, et quelles sont les attentes des électeurs pro-Trump un reportage de Myriam Baele. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Les chroniques de Pierre-Yves McSween
Les craintes liées à l'élection américaine

Les chroniques de Pierre-Yves McSween

Play Episode Listen Later Oct 29, 2024 6:41


Écoutez Michèle Boisvert commenter les craintes des dirigeants du Canada et du Québec à quelques jours de la présidentielle américaine.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Invité France
Doliprane: l'État français devient actionnaire du fabricant «pour apaiser les craintes des salariés»

Invité France

Play Episode Listen Later Oct 21, 2024 6:57


Le Doliprane, considéré comme un médicament de base et préféré des Français, se rapproche des États-Unis. Sanofi a confirmé, lundi 21 octobre, s'allier au fonds d'investissement américain CD&R pour lui céder potentiellement le contrôle de sa filiale qui commercialise le médicament. Le projet de cette cession suscite une vive émotion en France. Après des négociations exclusives, le gouvernement dit avoir obtenu les garanties suffisantes pour le maintien de la filiale en France. Le décryptage de Marc Ivaldi, professeur à la Toulouse School of Economics, spécialiste de l'économie industrielle.

RTL Matin
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Les craintes d'une nouvelle montée de violence en Nouvelle-Calédonie

RTL Matin

Play Episode Listen Later Sep 23, 2024 2:28


Depuis le début des violences en Nouvelle-Calédonie, en mai dernier, il y a eu 13 morts. Deux kanaks sont décédés la semaine dernière dans une opération des forces de l'ordre. Depuis, les tensions sont de retour, d'autant que la fête nationale a lieu mardi 24 septembre, jour à haut risque. Cette date marque l'anniversaire du rattachement de la Nouvelle-Calédonie à la France. Écoutez 2 minutes pour comprendre avec Valentin Boissais du 23 septembre 2024.

Le journal RTL
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Les craintes d'une nouvelle montée de violence en Nouvelle-Calédonie

Le journal RTL

Play Episode Listen Later Sep 23, 2024 2:28


Depuis le début des violences en Nouvelle-Calédonie, en mai dernier, il y a eu 13 morts. Deux kanaks sont décédés la semaine dernière dans une opération des forces de l'ordre. Depuis, les tensions sont de retour, d'autant que la fête nationale a lieu mardi 24 septembre, jour à haut risque. Cette date marque l'anniversaire du rattachement de la Nouvelle-Calédonie à la France. Écoutez 2 minutes pour comprendre avec Valentin Boissais du 23 septembre 2024.

RTL Soir
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Les craintes d'une nouvelle montée de violence en Nouvelle-Calédonie

RTL Soir

Play Episode Listen Later Sep 23, 2024 2:28


Depuis le début des violences en Nouvelle-Calédonie, en mai dernier, il y a eu 13 morts. Deux kanaks sont décédés la semaine dernière dans une opération des forces de l'ordre. Depuis, les tensions sont de retour, d'autant que la fête nationale a lieu mardi 24 septembre, jour à haut risque. Cette date marque l'anniversaire du rattachement de la Nouvelle-Calédonie à la France. Écoutez 2 minutes pour comprendre avec Valentin Boissais du 23 septembre 2024.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchline - Les violences du NFP, les craintes de la police

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Jul 10, 2024 20:03


Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la "Grande marche populaire en direction de Matignon" proposé par Adrien Quatennens.

8.30 franceinfo:
Législatives, projets économiques, craintes en cas de victoire du RN ... Le "8h30 franceinfo" de Bruno Le Maire

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Jun 24, 2024 47:17


durée : 00:47:17 - 8h30 franceinfo - Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, était l'invité du “8h30 franceinfo”, lundi 24 juin 2024

L'aléa par Laura Pouliquen
EXTRAIT - Les craintes de divorcer pour Marion Brousse

L'aléa par Laura Pouliquen

Play Episode Listen Later Jun 18, 2024 2:32


EXTRAIT - Les craintes de divorcer pour Marion BroussePour écouter l'episode en entier : https://shows.acast.com/l-alea-par-laura-pouliquen/episodes/marion-brousse-divorce-post-tour-du-monde-entrepreneuse Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La chronique de Benaouda Abdeddaïm
Benaouda Abdeddaïm : Pour la BCE, le risque russe pèse sur l'euro - 13/06

La chronique de Benaouda Abdeddaïm

Play Episode Listen Later Jun 13, 2024 4:48


Ce jeudi 13 juin, la crainte de la BCE concernant les éventuels risques sur l'euro des actifs russes gelés en Europe a été abordée par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Apolline Matin
Les indiscrets : La dissolution et les élections à venir suscitent de sérieuses craintes pour la sécurité des JO - 11/06

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Jun 11, 2024 1:43


Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.

TES NEW BESTIES
86 : La peur de l'engagement

TES NEW BESTIES

Play Episode Listen Later Jun 4, 2024 44:03


Hello les besties, dans cet episode on aborde la peur de l'engagement, on le sait vous avez déjà rencontré une personne qui n'avait pas envie d'aller plus loin sérieusement dans votre relation amoureuse ou vous avez été vous même cette personne là. On vous donne les raisons courantes de cette peur et on vous donne des conseils pour la surmonter. On espère que cet épisode vous aidera et vous plaira !! A la semaine prochaine les besties, bisous !!! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C'est votre argent
Les marchés : Craintes sur la dette, la bourse dérape – 31/05

C'est votre argent

Play Episode Listen Later May 31, 2024 8:42


Vendredi 31 mai, la crainte sur la dette, notamment le rebond de 15% de l'indicateur VIX par rapport à des niveaux qui sont très bas, a été abordé par Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste de BDO France et Professeur d'économie à la Sorbonne ; Christopher Dembik, conseiller d'investissement chez Pictet AM ; Christian Bito, professeur de finance à l'ESSEC, et Virginie Robert, présidente de Constance Associés, reçu par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.

Pensée du jour
Comment gérer les craintes 2

Pensée du jour

Play Episode Listen Later Apr 17, 2024 8:56


Pst Réjean Cloutier 18 avril 2024

Les journaux de France Culture
Logement : la trêve hivernale prend fin dimanche, les craintes d'expulsions en hausse

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 29, 2024 20:25


durée : 00:20:25 - Journal de 12h30 - Tandis que la trêve hivernale prend fin ce weekend, nombre d'associations de défense des locataires expriment leur inquiétude face à la multiplication aujourd'hui des expulsions. Une situation d'autant plus compliquée avec l'explosion des locations touristiques.

Le journal de 12h30
Logement : la trêve hivernale prend fin dimanche, les craintes d'expulsions en hausse

Le journal de 12h30

Play Episode Listen Later Mar 29, 2024 20:25


durée : 00:20:25 - Journal de 12h30 - Tandis que la trêve hivernale prend fin ce weekend, nombre d'associations de défense des locataires expriment leur inquiétude face à la multiplication aujourd'hui des expulsions. Une situation d'autant plus compliquée avec l'explosion des locations touristiques.

À la une
Droit de la famille : Québec présente un nouveau régime d'union parentale

À la une

Play Episode Listen Later Mar 28, 2024 22:57


Droit de la famille : Québec présente un nouveau régime d'union parentale. Craintes en Pologne, dans les pays baltes et même en Finlande que la Russie s'en prenne aussi à eux.

Revue de presse française
À la Une: les craintes des pays baltes face aux ambitions de Vladimir Poutine

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 5:09


Sur la Une du Point, la photo montre un homme que le monde entier connaît, visage patibulaire, regard presque menaçant : le président russe. Avec ce titre : « Si Poutine gagne. » À l'approche du deuxième anniversaire de l'invasion russe en Ukraine, le 24 février, le Point échafaude des scénarios. Vus d'un pays où l'on redoute plus que toute l'hégémonie russe : la Lituanie, qui partage l'une de ses frontières avec la Biélorussie, alliée de Vladimir Poutine. « Un document du ministère allemand de la Défense a fuité il y a quelques semaines, raconte le Point. Il détaille le déroulé d'une offensive terrestre russe dans le sud de la Lituanie et l'extrême nord est de la Pologne, appelé corridor de Suwalki. Des territoires particulièrement vulnérables, car pris en étau entre la Biélorussie et l'enclave russe de Kaliningrad, où sont massées troupes, missiles hypersoniques et têtes nucléaires. »Ce n'est bien sûr qu'un scénario, mais il amène le Point à poser cette question : « L'alliance Atlantique se porterait-elle au secours des pays Baltes en cas d'invasion russe ? » L'hebdomadaire a interrogé Zygimantas Pavilionis, ancien ambassadeur lituanien aux États-Unis, qui se montre modérément optimiste. « Il redoute par-dessus tout de voir Donald Trump revenir à la Maison Blanche. Même en cas de réélection de Biden, il estime que l'Europe aurait tort d'y voir une assurance-vie. » Et il précise : « Le président américain pense que pour dissuader nos adversaires, il suffit de faire de beaux discours et de sourire comme Chamberlain. Le Premier ministre britannique qui, précise le Point, avait mis en place une politique d'apaisement avec Hitler. »Inquiétude pour le Sénégal« Quand le Sénégal, phare démocratique, vacille, titre l'Express. Le report de l'élection présidentielle, initialement prévue ce 25 février, plonge le pays dans l'inconnu. C'est la première fois, ajoute l'hebdomadaire, depuis l'instauration d'un régime présidentiel en 1963, qu'une élection est repoussée dans ce pays considéré comme un pôle de stabilité en Afrique de l'Ouest (...) Entre chaos et risque de dérive autoritaire dans un pays jusqu'ici épargné, l'avenir du Sénégal paraît soudain très sombre. »Plus pessimiste encore, l'Obs estime que « puisque Macky Sall a décidé de se maintenir au pouvoir au-delà de la fin de son mandat, le Sénégal pourrait connaître un scénario à la malienne où, après des élections contestées et des manifestations, l'armée a pris le pouvoir. Triste perspective pour la dernière démocratie d'Afrique de l'Ouest », ajoute l'Obs. Enfin, pour le Figaro Magazine, il ne s'agit pas « à proprement parler d'un coup d'État comme en ont connu ces dernières années le Niger, le Mali ou le Gabon, mais c'est en tout cas une grave dérive autoritaire, comme en République centrafricaine », estime l'hebdomadaire qui ose la comparaison avec ce pays en proie à la plus grande insécurité.Guerre de positionsM, le supplément du Monde, titre sur « la guerre de positions dans les familles juives. En France, le conflit entre Israël et le Hamas s'est invité jusqu'au sein des foyers juifs, révélant des points de vue antagonistes sur l'État hébreu et des manières différentes de vivre sa judéité. Exemple avec Elie, un ingénieur de 26 ans, qui, ne se sent pas "émotionnellement impliqué" par ces évènements qui se déroulent à 5 000 kilomètres de Paris, au Proche-Orient. Il se désole de la mort de 1 200 victimes innocentes, bien sûr, mais ni plus ni moins que si l'attentat s'était produit dans une autre contrée éloignée. "Ma mère était outrée, scandalisée", se souvient-il. Même chose face à la "riposte" de l'État hébreu, qu'il considère comme une réponse disproportionnée, alors que sa famille soutient le droit de l'État hébreu à se défendre ». Finalement, Elie n'aborde plus la question en famille. Même chose pour Ava, 34 ans, qui « dès le soir du 7 octobre, apprend que de proches amis de la famille, en Israël, des réservistes, ont quitté leur foyer pour rejoindre l'armée. "Il y a une vraie bascule à cette date", dit-elle. "J'ai arrêté d'essayer de leur expliquer ma manière de voir. J'ai compris que le discours de la paix n'était tout simplement plus entendable" ».À la Une de la Tribune Dimanche, Édouard Philippe, avec cette déclaration : « La compétition ne me fait pas peur. » L'ancien Premier ministre, nous dit la Tribune Dimanche, est « bien décidé à être candidat en 2027 ». Le Journal du Dimanche de son côté, fait sa Une sur Mayotte, et parle de « submersion migratoire », à l'occasion de la visite sur place du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin. Enfin, le Parisien Dimanche donne la parole à Gabriel Attal, le nouveau Premier ministre, selon lequel « il n'y aura "aucun temps mort" » dans sa gestion des affaires. 

Le Devoir
2. À double tour - Le courage de dénoncer

Le Devoir

Play Episode Listen Later Feb 5, 2024 19:30


Craintes d'être exclues de leur communauté ou expulsées du pays, dépendance totale à l'égard de leur conjoint, méfiance envers la police et les institutions: les immigrantes victimes ont leur propre cage de verre construite autour d'elles qui décourage la sortie du cycle de violence conjugale. Comment les forces de l'ordre tentent-elles de leur côté de s'adapter à cette réalité de plus en plus répandue?Équipe:Sarah R. Champagne, animatriceFélix Deschênes, réalisateurJulien Forest, monteurPour joindre l'équipe du balado : balado@ledevoir.com

La chronique de Benaouda Abdeddaïm
Benaouda Abdeddaïm : Sciences et technologies aux États-Unis, craintes du déclassement - 06/12

La chronique de Benaouda Abdeddaïm

Play Episode Listen Later Dec 6, 2023 4:03


Ce mercredi 6 décembre, le classement des États-Unis face au reste du monde sur les avancées technologiques, notamment la menace de la Chine a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Les Experts
Les Experts : Dette, les craintes se multiplient - 04/12

Les Experts

Play Episode Listen Later Dec 4, 2023 26:22


Ce lundi 4 décembre, l'utilisation du dollar comme monnaie de labellisation des paiements, et des facteurs qui ont contribué au retour du Bitcoin à 40 000 dollars ont été abordés par Jean-Marc Daniel, éditorialiste BFM Business et professeur émérite à l'ESCP, Nathalie Janson, professeure à Neoma Business School, et Natacha Valla, doyenne de l'École du Management et de l'Innovation de Sciences Po, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les chemins de la philosophie
L'espoir et la crainte : au cœur de nos vies ? 4/5 : Comment peut-on exprimer nos craintes ?

Les chemins de la philosophie

Play Episode Listen Later Oct 26, 2023 3:28


durée : 00:03:28 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Pourquoi sommes-nous si frileux à l'idée d'exprimer nos craintes ? Pourquoi l'expression et le partage de celles-ci peuvent-elles pourtant constituer des ressources pour lutter ?

Histoires d'Argent
EXTRAIT // Virginia et ses craintes après la dégringolade de son pays le Vénézuéla

Histoires d'Argent

Play Episode Listen Later Oct 26, 2023 2:41


Les matins
En Arménie, les craintes dans la région de Syunik face à l'offensive de l'Azerbaïdjan

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 3, 2023 3:59


durée : 00:03:59 - Le Reportage de la Rédaction - Après la capitulation de la République autoproclamée du Haut-Karabakh et l'exode de sa population, les Arméniens craignent que leur territoire même soit menacé à son tour. En particulier la région de Syunik, dans le sud du pays, convoitée par Bakou.

Grand reportage
La Malaisie, point de passage vital des «nouvelles routes de la soie», mais à quel prix?

Grand reportage

Play Episode Listen Later Sep 5, 2023 19:30


Deuxième épisode de notre série « nouvelles routes de la soie, dix ans après ». La Malaisie est un point de passage vital pour le commerce maritime mondial, et en particulier pour la Chine. Pékin y construit des ports et des chemins de fer pour éviter le détroit de Malacca, contrôlé par les Américains. C'est la justification première des « nouvelles routes de la soie ». Mais où est l'intérêt de la Malaisie ? Les populations locales affectées par les projets chinois souffrent du manque de transparence et de la corruption des élites.  En Asie du Sud-Est, la Malaisie occupe une place stratégique. Son versant Ouest longe le détroit de Malacca, qui sépare le pays de l'Indonésie. Il est le passage obligé des routes commerciales maritimes qui relient l'Europe et le Moyen-Orient à l'Asie. Entre le tiers et la moitié des flux mondiaux de marchandises transitent par ce détroit. La Malaisie est donc centrale dans tout projet qui vise à faciliter l'intégration de la région au commerce mondial. « Cela permet également de faciliter le commerce entre les pays de l'Asean ainsi qu'entre l'Asean, la Chine et d'autres parties du monde », explique Liew Chee Yoong, économiste spécialisé en gouvernance d'entreprise et développement financier à l'université de UCSI de Kuala Lumpur. Cela découle de l'augmentation de la connectivité induite par les projets des « nouvelles routes de la soie ». « Ces projets seront en fait très positifs et peut être très fructueux, compte tenu de ce qui se passe actuellement dans divers pays de l'Asean. »Un millier de bateaux empruntent le détroit de Malacca chaque jour - et faire passer les marchandises à travers la Malaisie pourrait faire gagner des jours entiers. Afin que les marchandises puissent être transportées plus rapidement et plus efficacement de la côte Est en Ouest, une ligne ferroviaire traversant le pays est en cours de construction, permettant ainsi d'éviter le détroit de Malacca. Nouvelle voie terrestreC'est à Kuantan, sur la côte Est du pays, ville incontournable sur les « nouvelles routes de la soie », qu'ont débuté les travaux de construction d'une ligne de chemin de fer nommée ECRL (East Coast Railway Link), ou ligne ferroviaire de la côte est, et de gares afin de faciliter le transport des marchandises.  Sauf que ces projets ne font pas l'unanimité auprès des populations locales. À une cinquantaine de kilomètres au nord de Kuantan, la maison de Rokamar, dame âgée au visage souriant, est plantée au milieu d'un grand terrain sur lequel se trouvent des poulaillers, des ateliers de construction… Tout ce que sa famille a bâti depuis plus de 40 ans sera réduit à néant pour faire place à une route bétonnée. « Nous avons été pris au dépourvu dès le début du projet. Les responsables ne sont venus ici que lorsque les choses ont été finalisées, nous confie Rokamar. Il n'y a donc rien que l'on puisse faire, nous devons accepter ce que Dieu nous a imposé. Je suis en colère que nous soyons forcés d'accepter ces projets et que nous soyons obligés de céder nos terres. »Sulung, son mari, peau burinée à force de travailler en extérieur, voudrait que le projet soit déplacé de quelques kilomètres. « À proximité, il y a des milliers de kilomètres carrés de marécages, ils pourraient construire là-bas, dit-il en tendant le bras vers un espace vide. Ce n'est pas que nous soyons contre le progrès, mais ils pourraient déplacer la ligne ferroviaire dans la zone marécageuse, il n'y a rien du tout là-bas. Lorsqu'ils sont venus faire des relevés et des mesures, ils nous ont dit que c'était pour construire une route d'accès à la gare. Il ne s'agit même pas d'y installer la voie de chemin de fer, mais une voie d'accès ! »Rokamar exprime tout haut ce que tous dans leur village pensent tout bas. « Pour moi, ceux qui ne sont pas directement touchés peuvent facilement parler des avantages de l'ECRL. S'ils étaient frappés de plein fouet, comme nous, ils sauraient à quel point c'est un bouleversement de devoir tout changer à sa vie. »Quelles indemnisations ? Le couple, parents de huit enfants, a toutefois une chance que d'autres n'ont pas : un titre de propriété de leur terre, garantissant un minimum d'indemnisation pour leur perte. Mais pour Razali, qui vit à moins de 5 km de là, ce n'est pas le cas. « Ils disent qu'ils paieront une somme, je cite, “symbolique”, je ne vais pas pouvoir faire grand-chose avec… Je ne peux pas reconstruire ma maison avec une somme symbolique ! » explique le vieil homme, assis en tailleur sur un tapis dans son salon. « S'ils m'indemnisent correctement, je pourrai, après l'expropriation, aplanir le terrain derrière ma maison, qui est pour le moment un marécage et y construire ma nouvelle maison. S'ils ne m'indemnisent qu'un peu, je pourrai seulement me permettre de drainer ce marécage. Mais je n'aurai pas assez pour construire une maison. Alors je suppose que je vais simplement rester là, assis sur le sol. J'ai fait appel mais ils ne veulent plus m'écouter, alors je n'ai plus d'options. Je veux pouvoir reconstruire ma maison, car je ne peux plus travailler, je suis un vieil homme. » Sa femme Zakaria a le regard triste, rempli d'incompréhension face à une situation qui les dépasse. « Mon cœur n'est pas en paix, confie-t-elle après un moment d'hésitation. Notre maison, nous y avons vécu si longtemps. C'est comme si on plantait un arbre et que, lorsqu'il porte des fruits, quelqu'un venait l'abattre. C'est difficile pour nous de perdre notre logement, tout s'écroule. Ce fut un sacrifice de toute une vie. Depuis notre jeunesse, on a gagné péniblement notre vie, en faisant des petits boulots pour construire cette maison. Aujourd'hui, nous approchons de la fin de notre vie, nous n'avons plus la force. Ils viennent soudainement tout démolir, cela m'attriste. » Leur voisine, Wan Zainab, tient une échoppe non loin de là. Elle aussi sera détruite pour laisser place à la construction de la voie ferrée. « C'est triste parce que nous sommes là depuis si longtemps. J'ai démonté les étagères, la plupart des affaires sont maintenant sur le sol, ça ne paye pas de mine, nous dit-elle en montrant le parterre encombré. À ce stade, je n'ai pas d'autre source de revenus si le magasin est démoli. Mais je dois quand même gérer une affaire, trouver un autre endroit. Vendre des choses est la seule chose que je sais faire, je ne connais rien d'autre. »Wan Zainab a tenté de faire entendre les problèmes qu'elle rencontrait. « Je suis allée au bureau du cadastre. Nous avons demandé ce qu'il en était pour les terres sans titres, et ils ont répondu qu'ils accorderaient une compensation de 30 %. Comment reconstruire avec 30 % de la valeur du bâtiment ? Est-ce suffisant ? »Des projets qui ne cessent de s'agrandir De retour à Kuantan, nous rencontrons Bakar, une représentante de la communauté locale. Selon elle, l'arrivée des investissements chinois est une bonne nouvelle, même si, ce qui l'inquiète, c'est le Malaysia-China Kuantan Industrial Park situé à Kuantan. Cette entité économique est jumelée au China Malaysia Qinzhou Industrial Park en Chine - un nouveau modèle d'exploitation des capacités de production internationales baptisé « Deux pays, deux parcs ».« Ce qui est un peu inquiétant, c'est qu'il s'étend, s'étend, s'étend… Il en est maintenant à la troisième ou quatrième phase d'expansion, raconte-t-elle. Le fait que le parc s'étende à ce point signifie que de plus en plus de nos terres sont convoitées par le gouvernement chinois. Mais la réalité qui se cache derrière est discutable et douteuse. Pourquoi ? Parce que nous avons entendu des rumeurs selon lesquelles le bail pourrait nous échapper car ils ont déjà dépensé beaucoup d'argent. »Cela entraîne d'autres problématiques, souligne-t-elle, qui affectent les Malaisiens. « Ils n'embauchent pas beaucoup de locaux : ils ont leurs propres structures, des condominiums de cinq blocs où vivent tous leurs travailleurs qui viennent de Chine travailler ici. Ils restent à l'intérieur. Cela ne crée donc pas d'emploi, ou très peu. Et puis à l'intérieur, c'est comme en Chine. Ils ont des distributeurs automatiques qui utilisent des yuans, la monnaie chinoise. Ils ont leur propre supermarché. C'est pratiquement comme une ville chinoise ici. Leurs travailleurs ne viennent pas en ville. Ils sont juste confinés à l'intérieur. Nous ne savons pas ce qui se passe à l'intérieur. On voudrait de la transparence. » Ce constat n'étonne pas l'économiste Liew Chee Yoong. Mais il pense qu'au bout du compte, ceux qui sont affectés par ce développement finiront par le voir sous un meilleur jour : « Je pense qu'il faut penser aux retombées économiques, et qu'il faut se projeter sur le long terme. Cette connectivité peut apporter de nombreux avantages économiques en stimulant l'hôtellerie, le tourisme, les industries logistiques et ainsi de suite, malgré les incertitudes économiques mondiales. »Malgré toutes les opinions et effets négatifs potentiels, l'économiste estime que les avantages l'emportent. Selon lui, de nombreux pays impliqués dans ce projet en tireront d'énormes bénéfices d'un point de vue économique. Y compris la Malaisie. Malacca, port en haute merLa ligne de chemin de fer en cours de construction à Kuantan aura pour destination la capitale Kuala Lumpur. Mais elle fera également la jonction avec un autre grand port de la côte ouest, Malacca. Le plus ancien des ports de Malaisie est marqué par près de 130 ans de colonisation portugaise, et l'on peut apercevoir dans son centre l'héritage de cette époque coloniale. Mais tout autour, ce qui est frappant, ce sont les immeubles abandonnés, les chantiers en cours un peu partout aux abords de la ville. Ce que déplore Jane, dont le nom a été modifié car elle travaille pour une entreprise sino-malaisienne. Elle a grandi à Malacca et pour elle, le visage de la ville a complètement changé. « Si vous traversez les quartiers de la ville, vous verrez des bâtiments abandonnés. Pourquoi ne pas faire revivre ces bâtiments ? s'interroge-t-elle. Nous sommes une ville historique. La ville est vide partout. Personne ne vient s'y installer. Alors qui gagne de l'argent ? Le nombre de touristes venant à Malacca a considérablement baissé par rapport aux cinq dernières années. »Elle ne comprend pas la façon dont les travaux s'organisent. « Comme vous avez des yeux, vous pouvez voir tous ces bâtiments abandonnés. Dans un tel état, pourquoi creusent-ils encore ? Si vous voulez vraiment vous développer, il faut peupler et donc remplir d'abord les espaces vides. »Ce qui l'inquiète le plus, c'est la perte d'identité de sa ville natale. « Ce n'est plus Malacca. Maintenant, il y a des magasins chinois partout. Vous avez une rue où il y a une prédominance de personnes qui ne sont pas de votre pays. Qu'il y ait un quartier chinois, c'est très bien. Mais à présent, tout le monde ne parle que le mandarin. C'est l'une des choses dont je me suis rendue compte et qui a changé tout l'écosystème ici : c'est la langue. »L'économiste Liew Chee Yoong modère cependant les choses. Selon lui, blâmer uniquement les investisseurs chinois à Malacca n'est pas raisonnable. « Je pense que ces magasins vides et ces nombreux bâtiments sont davantage la conséquence de l'environnement économique du pays, ce qui n'est pas seulement le cas à Malacca, mais aussi ailleurs dans d'autres États de la Malaisie. »Aux yeux de Liew, cette responsabilité particulière incombe également au gouvernement de l'État de Malacca. Il ne s'agit pas seulement du côté chinois, mais de la manière dont l'ensemble du projet est mis en œuvre et des parties prenantes qui doivent communiquer en premier lieu, et il souligne que le gouvernement local aurait pu faire beaucoup mieux. « Je ne rejetterai donc pas la faute à 100 % sur les Chinois. Oui, ils pourraient avoir une part de responsabilité, mais je pense que le gouvernement de Malacca pourrait en réalité intervenir pour mieux gérer le projet dès les premières étapes. Avant que le projet ne commence, ils devraient mener une enquête auprès de toutes les parties prenantes concernées. »  Manque de transparenceLe quartier historique de la ville est devenu un quartier chinois. Tout est écrit en mandarin. D'innombrables lanternes rouges et jaunes décorent les immeubles et l'une des plus grandes attractions de la ville est le plus vieux temple bouddhiste de Cheng Hoon Teng, dans un pays majoritairement musulman. D'ailleurs, pour qui regarde sa géolocalisation sur son téléphone, il est inscrit Jīcháng jiē - Jonker Street - en caractères chinois. C'est là que nous rencontrons Lim, un ancien journaliste local doué d'une connaissance approfondie des projets chinois à Malacca. Comme Jane, il est effaré de la rapidité du développement de la ville sans planification appropriée. « Il n'y a pas beaucoup d'informations disponibles publiquement, déplore-t-il. Ils ne divulguent pas vraiment ce qu'ils font. Ils disent qu'il s'agit d'un port en eau profonde, entièrement géré par une société chinoise, la China Communications Construction Company (CCCC). »  « Qui est donc aussi impliqué ? Qui bénéficie des contrats ? Nous devrions avoir plus d'informations à ce sujet, poursuit Lim. Il n'y a pas de transparence. Nous disposons d'informations, mais très limitées. Beaucoup de choses ne sont pas encore terminées. Et certains chantiers sont simplement bloqués, arrêtés à mi-chemin. Par ailleurs, les locaux, quelle que soit l'ampleur des investissements, sont confrontés aux problèmes liés au coût de la vie : si vous n'augmentez pas les salaires pour qu'ils atteignent un niveau adéquat, vous ne pourrez pas bénéficier des projets. Or le coût de la vie a augmenté, mais pas les salaires. À Malacca, le niveau de vie est encore très bas. » La crainte de Lim : et si les choses tournaient mal pour l'économie malaisienne ? « Le Sri Lanka est le meilleur exemple de la façon dont les choses peuvent mal tourner si vous ne contrôlez pas vos infrastructures essentielles, compare-t-il. Ils construisent un port en eau profonde ici. Que se passera-t-il si nous suivons la voie du Sri Lanka ? Pouvons-nous vraiment rembourser si les choses tournent mal ? Nous ne voulons pas suivre la voie du Sri Lanka. Et je pense qu'il n'est pas le seul. Le Pakistan a également des problèmes, l'Afghanistan, et quelques autres pays d'Asie centrale, ont déjà des difficultés à rembourser la Chine. »Cependant, souligne Lim, le ton a changé depuis une dizaine d'années. « La Chine est dure en affaires. La situation était très différente sous Hu Jintao, les choses ont changé lorsque Xi Jinping est arrivé au pouvoir. Xi s'enhardit maintenant parce qu'il a un contrôle absolu. Sous le règne de Hu Jintao, tout était encore négociable, mais sous Xi Jinping, les choses sont très, très opaques. On ne sait pas ce qu'il va faire. Qui sait, il pourrait même retirer ses investissements. »La question de l'absence de transparence revient souvent. Ce qui, selon l'économiste Liew Chee Yoong, témoigne d'une différence culturelle. « Si vous faites des affaires en Chine, et pas seulement dans le cadre des "nouvelles routes de la soie", les Chinois ont tendance à se concentrer davantage sur l'établissement de relations pour commercer. Et, en Chine, les règles ne sont pas non plus très claires. C'est pour cela que ces questions de transparence sont soulevées, ce que je ne conteste pas, je pense que c'est en partie vrai. Mais si vous ne pouvez pas rembourser le prêt, vous ne devriez pas le contracter en premier lieu. Je ne pense pas qu'il faille rejeter la responsabilité à 200 % sur la Chine elle-même. Je pense que les pays concernés doivent gérer correctement leurs finances avant de s'engager. Un pays doit s'engager quand il est prêt, c'est la meilleure stratégie. Mais bien sûr, nous ne pouvons pas attendre trop longtemps, parce que nous avons besoin de compétitivité économique. » Craintes pour le patrimoineDans le quartier portugais de la ville, nous retrouvons Martin Theseira, ancien pêcheur qui lutte contre l'appropriation de ses terres par les investisseurs chinois. Amoureux de la mer, il nous explique que les îles que nous apercevons dans le port sont artificielles, qu'elles ont été créées de toutes pièces, en peu de temps, avec du sable et de la végétation, en attendant d'y voir de nouveaux complexes de loisirs pousser…Ces îlots qui détruisent son horizon lui laissent un goût amer. « Ce qui motive des projets comme ça, c'est l'avidité pure et simple, pointe-t-il entre ses dents. Les autorités sont irresponsables d'autoriser de telles constructions parce que, premièrement, ce n'est pas durable. Les dommages causés à l'environnement et à la communauté côtière sont irréversibles. Les biologistes marins nous disent qu'il s'agit d'une diversité marine unique. Notre communauté est affectée car notre mode de vie dépend de la mer. Pour nous, la mer est notre bouée de sauvetage. En réalité, nous nous battons depuis le premier jour et nous sommes toujours dans la même situation. Il n'y a pas d'amélioration réelle parce qu'il n'y a pas d'engagement sérieux. »Sa grande crainte est la disparition de sa communauté, de son patrimoine et de son héritage. « Je pense que tout disparaîtra dans les dix à vingt prochaines années. Pouvez-vous compenser la perte de l'accès à la mer pour la communauté ?  Vous ne pouvez pas. On ne peut pas la remplacer. Aucune somme d'argent ne peut remplacer la disparition de ressources pour la communauté. L'argent n'est pas une compensation qui peut tout régler. »Les changements sont perceptibles ailleurs, souligne Martin, ce qui appuie son argument. « Nous constatons les changements dans la région, les tensions avec les États-Unis. Les Chinois se montrent très audacieux en mer de Chine méridionale. Mais que pouvons-nous vraiment faire ? Ce sont des superpuissances qui sont en train de montrer leurs muscles. » L'économiste Liew Chee Yoong souligne cependant que la compétition économique, quelle qu'elle soit, n'est pas une mauvaise chose. « Si l'on parle de commerce économique, d'expansion vers d'autres pays, il s'agit plutôt pour la Chine de montrer son soft power au reste du monde. Ce n'est pas une mauvaise dynamique. Nous-mêmes essayons de nous engager économiquement avec d'autres parties du monde, mais la Chine l'a fait plus tôt que d'autres. Si vous regardez les pays d'Afrique, vous verrez qu'ils ont beaucoup bénéficié des investissements de la Chine sur le continent. Au fil des années, les Chinois se sont développés au Kenya, au Nigeria ou en Tanzanie. La Chine aide d'autres pays à se développer économiquement, et l'Europe et les États-Unis peuvent aussi le faire, il n'y a rien de mal à cela. »Personne en Malaisie n'ignore la compétition économique mondiale qui se joue ici entre la Chine et les États-Unis. Face au projet tentaculaire des « nouvelles routes de la soie » qui dispose d'importantes réserves de liquidités, les États-Unis ont lancé leur pilier asiatique. Dans l'Indo-Pacifique, Washington multiplie les partenariats économiques avec des dizaines de pays, dont la Malaisie.À lire aussiRetrouvez l'intégralité de notre dossier sur les «nouvelles routes de la soie»

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Accord entre l'UE et le Mercosur: les craintes de la société civile brésilienne

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Play Episode Listen Later Aug 25, 2023 2:30


Les discussions pour la ratification de l'accord entre l'Union européenne et le Mercosur qui durent depuis des années devraient bientôt reprendre. Certains pays de part et d'autre de l'Atlantique ont émis le souhait d'arriver à un compromis avant la fin de l'année. Il s'agit du plus important accord de libre-échange conclu par l'UE de par la taille de la population concernée (780 millions de personnes) et également les volumes d'échanges couverts (40 à 45 milliards d'euros d'importations et exportations). Les enjeux économiques sont massifs et le temps presse. Mais plusieurs sujets achoppent toujours, notamment concernant les normes environnementales. Reportage à la rencontre de représentants de la société civile brésilienne à l'occasion des universités d'été des mouvements sociaux qui se tiennent en ce moment à Bobigny près de Paris.

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Faire le bon choix : comment se créer une vie plus juste ?

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Play Episode Listen Later Jul 27, 2023 38:24


Comment faire de bons choix dans la vie ? Comment développer notre capacité décisionnelle et savoir mesurer ce qui est important pour soi ? Écoute cet épisode, pour comprendre ce qu'est un vrai bon choix découvrir les 3 raisonnements selon lesquels nous faisons des choix avoir des questions clés et des idées pour prendre les meilleures décisions possibles Pour aller plus loin... (gratuitement) Tu peux faire les exercices d'approfondissement proposés + Télécharger la transcription de l'épisode ! Si tu veux me laisser un petit mot doux, c'est ici pour mettre un avis sur le podcast