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Ce mardi 9 septembre, les enjeux du mégabarrage éthiopien sur le Nil et sur les pays environnants ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Avec près de 2 kilomètres de longueur et 150 mètres de hauteur, le Grand Barrage de la Renaissance éthiopienne va dompter les eaux du Nil Bleu et va devenir aujourd'hui, jour de son inauguration par le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, la plus grande installation hydroélectrique du continent africain. Mais l'Égypte affirme que cet ouvrage est, pour elle, une « menace existentielle ». Les explications de Sonia Le Gouriellec, qui est maîtresse de conférence en science politique à l'Université catholique de Lille, en France. RFI : Qu'est ce qui va changer avec ce barrage dans la vie quotidienne des Éthiopiens ? Sonia Le Gouriellec : Je pense qu'il y a un gain énergétique important pour les Éthiopiens parce qu'ils pourront ainsi à la fois avoir de l'électricité dans leur pays et en exporter dans le reste de la région. D'autant que je crois que près de la moitié des Éthiopiens n'ont pas accès à l'électricité aujourd'hui. Tout à fait. Et puis on est dans un pays avec une démographie très forte, 130 millions d'habitants. Donc, il y a un véritable enjeu, effectivement, de fournir de l'électricité et puis aussi d'atteindre les ambitions économiques du pays, puisqu'il y a de nombreuses zones économiques spéciales qui ont été ouvertes et dont le but est de pouvoir fournir de l'électricité à tout le monde. Alors, l'Égypte est très hostile à ce barrage. Elle affirme qu'il représente une menace existentielle. Est-ce que ces craintes sont fondées ? Alors effectivement, depuis le début, l'Egypte est opposée à la construction de ce barrage. A tel point qu'on a parlé à une époque de bombardements du barrage. Et la crainte aujourd'hui, je dirais, c'est plutôt politiquement une déstabilisation de la région par l'Egypte. L'existence du barrage, ce n'est pas ça qui est véritablement contesté, puisque le barrage, il va être inauguré ce mardi. Donc il est construit, il est fait. C'est une grande réalisation. Ce qui est aujourd'hui véritablement en débat, c'est l'absence de règles claires et contraignantes de sa gestion en période de stress hydrique. L'Egypte a toujours eu une position très constante sur cette question. Toutes les exploitations possibles en amont devraient avoir un accord écrit juridiquement contraignant, avec des règles claires d'opérations, de comment on va gérer au fur et à mesure ces eaux, notamment en période de sécheresse. Et ça, pour l'instant, c'est absent. Donc, bien que Abiy Ahmed, le Premier ministre éthiopien, ait invité le Soudan et l'Egypte à venir à l'inauguration, pour eux, ça, c'est de la diplomatie, c'est des accords à l'oral, mais il n'y a rien de véritablement fixé. Et ça, ça les ennuie beaucoup. Et ce qu'on craint, c'est que le conflit puisse s'exporter sur d'autres terrains, par exemple en Somalie. Donc, la grande crainte de l'Égypte et du Soudan, c'est qu'en cas de sécheresse, les Éthiopiens ne libèrent pas le volume d'eau nécessaire qui est stocké par ce barrage pour lutter contre cette sécheresse. C'est ça ? Exactement. Et qu'on ne s'en tienne qu'à des paroles alors qu'il faudrait quelque chose d'écrit. Or, pour l'instant, vous n'avez aucun document. Il y a une absence de règles claires, contraignantes sur la gestion des eaux du Nil. En juin 2013, le président égyptien de l'époque, l'islamiste Mohamed Morsi, a déclaré publiquement que, contre ce barrage, aucune option n'était exclue. Est-ce que son successeur, son tombeur, le maréchal al-Sissi, pourrait ordonner le bombardement du barrage ? Alors je ne sais pas ce qui relève effectivement du discours politique d'annonce pour effrayer et de ce qui est techniquement possible. Il me semble que, déjà à l'époque de Morsi, ce n'était pas techniquement possible d'imaginer un bombardement. En revanche, ce qui est tout à fait possible et ce qui est en train d'être fait, c'est une façon de déstabiliser un peu plus l'Éthiopie. Et c'est quelque chose qu'on voit par exemple en Somalie en ce moment. L'Egypte a renforcé sa coopération militaire avec la Somalie, en proposant d'ailleurs de remplacer les troupes éthiopiennes par des troupes égyptiennes. Le conflit s'exporte sur ce territoire, comme ça a souvent été le cas. Et l'envoi de 3000 soldats égyptiens à la frontière du Somaliland qui s'est rapproché de l'Éthiopie, c'est peut-être une pression militaire de l'Égypte sur l'Éthiopie, c'est ça ? Tout à fait. Pression militaire sur l'Éthiopie, pression militaire aussi avec l'Érythrée puisqu'on voit qu'il y a un soutien assez explicite de l'Érythrée. Vous avez eu beaucoup de visites d'Egyptiens en Érythrée, vous l'avez eu également à Djibouti. Donc les Éthiopiens ont souvent vu la politique égyptienne dans la Corne de l'Afrique comme une volonté d'encercler l'Éthiopie. Alors autant ça pouvait parfois paraître étonnant, autant là c'est vrai qu'on peut créditer effectivement ce discours. Et ce bras de fer avec le maréchal al-Sissi, est-ce que le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed peut en tirer un avantage politique dans son pays ? Oui bien sûr, parce qu'au niveau interne en Éthiopie actuellement, la situation est instable. Et donc ce projet de barrage sur le Nil est véritablement un totem national. Et c'est ce qu'il essaye de montrer en interne en Ethiopie. Donc effectivement, plus les pays comme l'Egypte vont vouloir contrer ou faire plier l'Ethiopie, plus ça peut être un drapeau nationaliste pour les Éthiopiens. Néanmoins, il y a beaucoup de crises actuellement en Éthiopie parce qu'il y a eu la guerre au Tigré entre 2020 et 2022, et vous avez encore des affrontements aujourd'hui en région Amhara et en région de l'Oromia. Alors il y a les médias pro Abiy Ahmed qui glorifient le moment, ça très clairement, mais on voit un petit peu moins ce barrage dans les médias du Tigré, en pays Amhara, etc, puisqu'ils sont véritablement concentrés sur les défis internes et les conflits qui ont lieu actuellement. À lire aussiGrand barrage de la Renaissance: des revenus d'un milliard de dollars par an pour l'Éthiopie?
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In this episode, Dr. Uchenna Kennedy (CH) talks about the growing importance of fertility preservation in pediatric patients, particularly those undergoing cancer treatment.Dr. Kennedy explains the reasons behind adding fertility preservation to clinical guidelines, and the increasing survival rates of children with cancer. She also explores the effects of chemotherapy on the ovarian reserve in girls and the role of a pediatric multidisciplinary team in managing fertility preservation.The episode covers various fertility preservation options, including ovarian tissue retrieval, oocyte retrieval, and ovarian transposition, as well as the outcomes and challenges associated with these procedures.Shifting to boys, Dr. Kennedy addresses cryopreservation techniques, including sperm cryopreservation for postpbertal boys and the experimental status of testicular tissue cryopreservation for prepubertal boys.Finally, she outlines the current state of these procedures and the ongoing advancements in the field.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
Enquanto o exército se prepara para entrar na Cidade de Gaza o isolamento internacional aumenta e a sociedade israelense se esfarela.....Bloco 1- Exército emite 40 mil convocações de reservistas e se prepara para entrar na cidade de Gaza nos próximos dias.- Gabinete se divide quanto à entrada em Gaza e Trump diz que Israel tem que terminar com a guerra.- Bélgica diz que reconhecerá Palestino na Assembléia Geral da ONU nesses mês.- EAU ameaça romper Acordos de Abraão caso Israel anexe territórios palestinos.- Ataque israelense no Iêmen mata primeiro ministro Houthi e outros 11 oficiais do movimento.Bloco 2- Conselheira Jurídica limita ações de Ben-Gvir, que ameaça não respeitar.- Suprema Corte mantém Conselheira Jurídica no cargo e diz que governo precisa demiti-lá de acordo com a lei.- Ministério da Educação muda currículo e temas como cidadania, democracia e liberalismo são excluídos do sistema educacional.- Polícia pede para diretores de escolas informações sobre alunos que organizaram manifestações pelo retorno dos sequestrados.Bloco 3- Palavra da semana- Dica cultural- Correio dos ouvintesPara quem puder colaborar com o desenvolvimento do nosso projeto para podermos continuar trazendo informação de qualidade, esse é o link para a nossa campanha de financiamento coletivo. No Brasil - apoia.se/doladoesquerdodomuroNo exterior - patreon.com/doladoesquerdodomuroNossa página: ladoesquerdo.comNós nas redes:bluesky - @doladoesquerdo.bsky.social e @joaokm.bsky.socialtwitter - @doladoesquerdo e @joaokminstagram - @doladoesquerdodomuroyoutube - youtube.com/@doladoesquerdodomuroTiktok - @esquerdomuroPlaylist do Spotify - Do Lado Esquerdo do Muro MusicalSite com tradução de letras de músicas - https://shirimemportugues.blogspot.com/Episódio #317 do podcast "Do Lado Esquerdo do Muro", com Marcos Gorinstein e João Miragaya.
Si on avait des doutes sur le sujet, nos banques investissent massivement dans les industries polluantes et surtout dans les énergies fossiles. C'est notre argent qu'elles utilisent pour financer ces projets. Son argent peut être utilisé de façon responsable et ainsi permettre de financer la transition écologique !Pour réduire l'empreinte écologique de votre argent, suivez le guide !
Pesticides, médicaments, microplastiques : l'eau courante est de plus en plus polluée. D'où cette question : faut-il encore boire l'eau du robinet ? Pour y répondre, nous recevons Fabrice Nicolino, journaliste spécialisé sur les questions écologiques, et auteur de “C'est l'eau qu'on assassine”, aux éditions Les liens qui libèrent.Interview réalisée par Maxime Thuillez, à l'académie du climatHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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SOURCES :Il en reste encore sur ce site : où trouver les figurines Labubu à petit prix ce lundi ? — Ouest-France Shopping.LABUBU : COMMENT CES PELUCHES ONT RENDU LES GENS FOUS ? (TIKTOK, PRIX, VOL) — YouTube, chaîne LIYANA.Labubu : sur quel site se rendre pour trouver les peluches ? — Le Parisien Guide d'achat.Labubu, la mini-peluche aux maxi-chiffres : derrière le phénomène, un business redoutable — RTBF Actus, Diane Burghelle-Vernet.Labubu, la peluche qui affole Paris et les réseaux sociaux — YouTube, chaîne Le Parisien.Café : cet accord qui vaut de L'Or — Le Télégramme avec AFP.En rachetant L'Or et Jacques Vabre, Keurig Dr Pepper bouscule le marché du café — Presse économique, Olivia Détroyat.Keurig Dr Pepper s'offre JDE Peet's (L'Or, Senseo...) pour dominer le marché mondial du café — Reuters.Rachat dans le café : L'Or et Jacques Vabre bientôt aux mains de Keurig Dr Pepper — LSA Conso, Véronique Yvernault.Coca-Cola, Ricard… Découvrez les produits les plus achetés par les Français en 2025 — Capital.fr, Pauline Linard-Cazanave.Cristaline, Ricard, Coca-Cola... Voici les 50 produits les plus achetés en 2025 — RTL.fr, Jérémy Descours.Cristaline, Ricard, Coca-Cola… Quels sont les produits les plus achetés en supermarché ? — Article économique, Julien Da Sois.Derrière les produits alimentaires les plus achetés, des habitudes inquiétantes — Le Point, Marie Guermeur.Eau, alcool et soda en tête des ventes en supermarché — 20 Minutes, T.G.Voici les produits les plus achetés en 2025 — Boursorama avec Newsgene.[EXCLU] Les 50 produits les plus achetés par les Français en 2025 — Blog Olivier Dauvers.Œufs, yaourts, Coca-Cola… Quels sont les produits alimentaires les plus vendus en 2025 ? — Ouest-France, Mathilde Guilbaud.Danone resserre son équipe dirigeante — Les Échos, Dominique Chapuis.Danone resserre son état-major — Presse économique, Olivia Détroyat.Danone restructure son organisation mondiale : découvrez les nouveaux dirigeants à compter de janvier 2026 — LSA Conso, Sylvie Lavabre.Danone se réorganise autour de trois grandes zones géographiques — Investir (AGEFI-Dow Jones), Alice Doré.Auchan annonce avoir été victime d'un acte de cybermalveillance, des centaines de milliers de données piratées — Le Monde avec AFP.Auchan à son tour victime d'un piratage, des centaines de milliers de données dérobées — Ouest-France avec agence.Auchan victime d'un piratage massif de données — Les Échos.Auchan victime d'un piratage massif : « La sécurité totale, c'est quasiment impossible » — Challenges, Milan Strahm (interview Thibaut Hénin).Auchan victime d'un piratage : des centaines de milliers de données compromises — Sud Ouest avec AFP.Encore piraté, Auchan alerte sur une fuite de données clients — Le Monde Informatique, Jacques Cheminat.CyberAttaque Auchan : quand la fidélité devient vulnérable — ZATAZ.com, Damien Bancal.Vous souhaitez me retrouver ailleurs qu'en podcast ?C'est possible : site internet, LinkedIn, YouTube, Instagram, TikTok.La suite, on l'écrit ensemble ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
This podcast episode is the first in a series by the EAU's History Office. Its chair, Prof. Philip Van Kerrebroeck (BE) is interviewed by EAU Editor and historian Loek Keizer (NL) about how electricity has been used for centuries to treat urological conditions.From natural sources in ancient times, to generated power and its effects on the body to the current state of neuromodulation, find out from one of its experts how our understanding and applications of electricity have developed.This podcast was recorded in Noordwijk, the Netherlands, on the occasion of the annual EAU Meets National Societies Meeting. Its contents are based on a presentation first given at the History Office's Fall Meeting in Leiden in October 2024.· Download the original presentation (PDF): https://tinyurl.com/39n6n4my· Explore the European Museum of Urology: https://history.uroweb.org/· Browse the books produced by the History Office: https://shop.uroweb.org/pages/booksFor more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
Stephen Bishop se despide con su último, definitivo álbum “Thim”, tras una veintena de discos grabados durante casi medio siglo. Nuestra favorita del año: Mei Simones. Segundo disco en solitario de Steve Porcaro (Toto), autor de “Human Nature”. Valores nuevos: Halima, Teethe o Luna Li. Y más novedades de Tennis, Rudimental, The Divine Comedy o Billie Marten.DISCO 1 STEPHEN BISHOP Message + On and On (ESCA)DISCO 2 STEPHEN BISHOP The Money Girl (ESCA)DISCO 3 MEI SIMONES Tora Moyo (ESCA)DISCO 4 STEVE PORCARO Miss Jane Sinclair (ESCA)DISCO 5 STEPHEN MARLEY Old Man (ESCA)DISCO 6 HALIMA Eau de vie (ESCA) Sweet ToothDISCO 7 LUNA LI Minnie Says (Would You Be My) (ESCA) When A Thought Grows WingsDISCO 8 RUDIMENTAL Nights Like These (ESCA)DISCO 9 BILLIE MARTEN Planets (ESCA) DOG EAREDDISCO 10 TENNIS Weight Of Desire ( ) Face Down In The GardenDISCO 11 RACHAEL & VILRAY My Key to Gramercy Park (ESCA)DISCO 12 TEETHE Hate Goodbyes (ESCA) MAGIC OF THE SALEDISCO 13 CASS McCOMBS Peace (ESCA) DISCO 14 THE DIVINE COMEDY The Last Time I Saw The Old Man (ESCA) RAINY SUNDAY AFTERNOONEscuchar audio
Berlin vit la plus importante transformation de son histoire. Comme d'autres grandes villes dans le monde, la capitale allemande et ses quatre millions d'habitants doivent faire vite pour s'adapter aux effets du changement climatique. La municipalité a donc adopté un nouveau concept : celui de la « ville-éponge ». Il s'agit de permettre à la terre d'absorber l'eau. Ou bien de la collecter pour la rendre ensuite disponible en période de sécheresse. (Rediffusion) Depuis 2018, pour chaque nouvelle construction, plus aucune goutte de pluie ne doit partir dans les canalisations. Cela pose des défis considérables et oblige à trouver des solutions innovantes. « Berlin, ville éponge : sur la voie de l'adaptation au changement climatique », un Grand reportage de Stefanie Schüler.
Au menu de l'actualité :Une personne sur quatre dans le monde n'a pas accès à l'eau potableRDC : à Goma, l'accès à l'eau potable connaît une améliorationRCA : les médias s'efforcent de lutter contre la désinformation Présentation : Jérôme Bernard
Depuis deux mois, la consommation de l'eau du robinet est interdite dans une vingtaine de communes de la Meuse et des Ardennes, dans le nord-est de la France, en raison d'une pollution record aux PFAS, les « polluants éternels ». Les habitants s'inquiètent des conséquences pour leur santé et les élus locaux se disent démunis. Dans le garage de Marion, habitante de Malandry (Ardennes) depuis 17 ans, quatre packs d'eau ont trouvé place sur une étagère. « Il faut que j'aille en racheter, car je n'ai plus de stock », remarque cette assistante familiale. C'est devenu une habitude depuis deux mois : privée d'une consommation d'eau courante, elle se rend chaque semaine au supermarché pour acheter de l'eau en bouteille. « Je n'ai pas le choix, d'autant que j'accueille de très jeunes enfants. Il est hors de question que je leur fasse consommer l'eau du robinet », poursuit-elle. Depuis le 5 juillet dans la Meuse, et le 10 juillet dans les Ardennes, la consommation de l'eau du robinet est interdite par les préfectures pour 3 500 habitants résidant dans une vingtaine de communes en raison d'une contamination aux PFAS (substances per- et polyfluoroalkylées) dans des proportions jamais atteintes en France jusqu'à présent. Dans une enquête publiée en juillet par Disclose et France 3, deux médias à l'origine des révélations, on apprend que les taux mesurés dans ces communes sont de trois à 27 fois supérieurs à la limite définie par les autorités sanitaires, fixée à 100 nanogrammes par litre pour la somme de 20 PFAS jugés préoccupants par l'Union européenne. Ces PFAS, aussi appelés « polluants éternels », sont des molécules synthétiques réputées indestructibles dans l'environnement et l'organisme. Risques cardio-vasculaires, cancers, baisse de la fertilité... Leur toxicité pour l'homme est de plus en plus documentée. À lire aussiComment les PFAS, « polluants éternels », ont contaminé le monde? « Est-ce que ça va aggraver sa maladie ? » « Lorsque l'on fait le choix de vivre à la campagne, on s'attend à avoir un cadre de vie de qualité et on se rend compte que ce n'est pas le cas », se désole Annick, une autre résidente de Malandry. Comme elle, Aurore, qui vit à quelques pâtés de maisons, n'avait jamais entendu parler des PFAS avant que l'affaire éclate. Cette mère de quatre enfants confie son inquiétude quant aux répercussions sanitaires de cette pollution, notamment pour son mari atteint d'une maladie génétique : « Du fait de cette maladie, il peut plus facilement attraper des tumeurs aux reins et à la mâchoire. Il a toujours bu l'eau du robinet. Est-ce que ça va aggraver sa maladie génétique ? On ne sait pas. » « Comment ces toutes petites communes rurales peuvent-elles être impactées comme des sites industriels ? », se lamente Annick Dufils. Dans sa commune, la maire de Malandry a enregistré une contamination trois plus élevée que la limite fixée par les autorités sanitaires. Pourtant, aucune usine n'est visible à l'horizon depuis les hauts plateaux du village. Au contraire, celui-ci est entouré de bois et de champs de maïs. L'origine de la pollution n'a pas encore été déterminée avec certitude. Mais les soupçons des élus locaux, comme des préfectures, portent sur l'ancienne papeterie Stenpa, située à Stenay, à 15 kilomètres de Malandry, dans le département de la Meuse. Celle-ci a fermé fin 2024, laissant une bonne centaine de salariés sur le carreau. Lorsqu'elle était encore en activité, cette usine rejetait des boues industrielles contaminées aux PFAS. Ces mêmes boues ont ensuite été transportées puis épandues sur les parcelles agricoles des alentours, en raison de leurs propriétés fertilisantes. Selon les élus des villages pollués, ces épandages auraient débuté en 1995. Annick Dufils et Richard Philbiche, maire de Villy, commune voisine contaminée, ont retrouvé le plan d'épandage pour la période 2000-2013. Au total, 23 000 tonnes de boues industrielles devaient être déversées sur les terres agricoles à Villy et dans la commune voisine d'Olizy-sur-Chiers, « avec une limite fixée à 30 tonnes par hectares tous les trois ans », précise Richard Philbiche. L'élu nous tend une photographie satellite d'une parcelle agricole située à proximité des captages de Malandry et Villy, prise le 20 juin 2000 : « Les petits points blancs que vous voyez, ce sont les tas de boues. Il y en a pour 1 500 tonnes. Or, la parcelle fait une dizaine d'hectares. Avec une limite fixée à 30 tonnes par hectares, elle ne pouvait en accueillir que 300. Où sont passés les 1 200 tonnes restants ? » Les deux édiles soupçonnent un enfouissement qui aurait contaminé les captages d'eau potable de leurs communes par ruissellement. À lire aussiPFAS : peut-on se débarrasser des polluants éternels ? « On se repose sur les maires pour gérer la situation » Annick Dufils ne décolère pas : « J'ai été sidérée d'apprendre la pollution, d'autant que jusqu'alors, les rapports annuels de l'eau étaient excellents. » L'édile de Malandry a été informée de la pollution dans sa commune le 19 mai 2025 à la suite d'une analyse effectuée par l'Agence régionale de santé de la région Grand-Est. Quelques jours plus tard, à l'occasion d'une réunion sur le sujet organisée par la sous-préfète, l'élue est tombée des nues : « On se rend compte que des PFAS sont détectés dans nos eaux par les autorités sanitaires depuis 2016 ! » Dans une foire aux questions sur leurs sites internet, les préfectures de la Meuse et des Ardennes répondent que l'Agence régionale de santé du Grand-Est a mené en 2023 et 2024 « des campagnes d'analyse exploratoire » des PFAS dans l'eau potable, que des analyses réalisées sur la commune de Villy fin 2024 ont révélé la présence de PFAS dans l'eau distribuée, et que des « investigations complémentaires » ont été menées en 2024 et 2025, mais que ce n'est qu'en 2025 que le suivi des 20 PFAS jugés les plus préoccupants a été intégré aux contrôles sanitaires. Une réponse loin de satisfaire Annick Dufils : « On nous a caché cette pollution ! », s'insurge la maire de Malandry, qui assure, à titre personnel, avoir « perdu confiance » dans les autorités sanitaires. Une prise de position renforcée par le sentiment d'abandon qui envahit ces élus locaux depuis l'éclatement de l'affaire. « Les autorités se reposent sur nous pour gérer le problème, alors que nous n'y sommes pour rien. Mais on est totalement démunis », se lamente Richard Philbiche. Le maire de Villy et sa consœur de Malandry ont l'obligation légale de fournir de l'eau en bouteille aux habitants. La méthode choisie est celle du virement bancaire aux administrés, leur permettant de rembourser l'équivalent de deux litres d'eau par jour et par habitant pour une durée de six mois. Pour une commune comme Malandry, cela représente un coût estimé à 3 500 euros sur un budget de fonctionnement à l'année de 200 000 euros. « C'est une dépense pharamineuse qui n'a pas été anticipée dans nos budgets prévisionnels. Il y a des choses que l'on ne fera pas dans la commune, car il faudra financer l'achat de l'eau », prévient Annick Dufils. L'édile a sollicité une aide financière de l'État, sans succès. « La recommandation des autorités, c'est de dire ''augmentez le prix de l'eau''. Mais nos administrés ne vont pas payer plus cher une eau qu'ils ne peuvent plus consommer ! », s'emporte Annick Dufils. D'autres solutions sont possibles, du moins sur le papier : trouver un autre captage d'eau potable ou se raccorder à une commune voisine non contaminée. Mais les travaux seraient onéreux et impossibles à assumer financièrement pour ces petites communes. Le 21 juillet, deux stations de filtrage au charbon actif ont été installées dans les châteaux d'eau de Malandry et Haraucourt, situés à une trentaine de kilomètres, pour un coût de 20 000 euros chacune, à la charge des communes. Objectif : dépolluer les eaux en retenant les PFAS. Les premiers résultats sont encourageants. Mais combien de temps le charbon reste-t-il actif ? Faudra-t-il le remplacer à court terme ? Des interrogations demeurent. Pour l'heure, ces élus ne peuvent compter que sur eux-mêmes. « On est solidaires entre maires concernés par cette pollution », confie Richard Philbiche, le maire de Villy. Avec Annick Dufils, ils envisagent de déposer plainte contre X prochainement. À lire aussiUne étude révèle la présence de PFAS dans les produits d'hygiène menstruelle réutilisables
La Syrie fait face à son été le plus sec depuis 60 ans. Les pertes en blé sont massives : environ 75% des terres cultivables sont touchées d'après l'ONU, ce qui menace la sécurité alimentaire de plus de 16 millions de personnes. Dans la région de Deraa, l'une des plus agricoles du pays, les barrages sont à sec et les agriculteurs inquiets. De notre envoyée spéciale de retour de Deraa, Le barrage d'Ibta ne ressemble plus qu'à un cratère calciné : une coulée de sable, des crevasses, des fissures et tout autour, des champs brûlés. Avec les années, les agriculteurs sont tous partis, raconte Yaza, 19 ans, jeune berger comme son père et son grand-père avant lui. « Cette année, c'est pire que tout. Nous n'avons plus assez d'eau, plus assez de plantes pour nourrir nos moutons », témoigne-t-il. En un an, son troupeau a été décimé. Il a perdu la moitié de ses moutons, qui meurent un à un. Dans la région de Deraa, tout le monde vous le dira : en 60 ans, il n'y a jamais eu de pénurie d'eau d'une telle ampleur. La faute à un hiver sans précipitations, aux effets du changement climatique, mais aussi, dans le sud du pays, aux incursions israéliennes qui s'emparent des ressources stratégiques en eau. Au lendemain de la chute du régime de Bachar el-Assad, ces dernières se sont déployées dans la zone tampon démilitarisée du Golan, et sont depuis accusées de prendre possession des ressources stratégiques en eau. « Ils ont pris le contrôle de barrages stratégiques, des barrages qui étaient des sources d'eau, affirme Aref, un agriculteur. Depuis, il n'y a plus d'eau pour personne. » À lire aussiLa Syrie fait face à une sécheresse extrême engendrée par le changement climatique « Tous les arbres fruitiers sont asséchés cette année » Ici, plus qu'ailleurs encore, les effets de ce stress hydrique sont visibles. La région est l'une des plus agricoles du pays, surnommée le « grenier » de la Syrie. « Même les oliviers, les pêchers, les pruniers... Tous les arbres fruitiers sont asséchés cette année », nous affirme Abu Aysam, également agriculteur, en empilant une à une ses cagettes de pommes de terre. De ses hectares de champs, il ne cultive cette année que la moitié. Cette sécheresse est aggravée par les effets des politiques menées par le clan Assad. Avant sa chute, le régime a soigneusement pillé les puits et conduits d'eau des quartiers et villes révolutionnaires, compliquant aujourd'hui l'irrigation des terres, mais aussi celle des villes, jusqu'à la capitale, Damas. Avec son association Al-Seeraj, Kinan Al Kudsi, franco-syrien, s'est donné la mission de réhabiliter les 22 puits de la banlieue sud de Damas : « On estime que rien qu'à Damas, 500 puits ne fonctionnent pas. » Dans le bureau du centre de pompage, la plupart des panneaux électriques sont encore éteints. Coût du projet : 150 000 dollars. « L'État ne nous donne pas les fonds nécessaires. Mais si tu veux reconstruire le pays, la première chose, c'est de reconstruire le système d'eau... », poursuit-il. Tout à coup, la pluie tombe. Au milieu de la chaleur de l'été – quelque 48°C –, tout le monde se rue dehors. Pas question, pour Kinan, de perdre une occasion de se rafraîchir. À lire aussiSyrie: la sécheresse et le manque d'eau, un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir
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La Syrie fait face à son été le plus sec depuis 60 ans. Les pertes en blé sont massives : environ 75% des terres cultivables sont touchées d'après l'ONU, ce qui menace la sécurité alimentaire de plus de 16 millions de personnes. Dans la région de Deraa, l'une des plus agricoles du pays, les barrages sont à sec et les agriculteurs inquiets. De notre envoyée spéciale de retour de Deraa, Le barrage d'Ibta ne ressemble plus qu'à un cratère calciné : une coulée de sable, des crevasses, des fissures et tout autour, des champs brûlés. Avec les années, les agriculteurs sont tous partis, raconte Yaza, 19 ans, jeune berger comme son père et son grand-père avant lui. « Cette année, c'est pire que tout. Nous n'avons plus assez d'eau, plus assez de plantes pour nourrir nos moutons », témoigne-t-il. En un an, son troupeau a été décimé. Il a perdu la moitié de ses moutons, qui meurent un à un. Dans la région de Deraa, tout le monde vous le dira : en 60 ans, il n'y a jamais eu de pénurie d'eau d'une telle ampleur. La faute à un hiver sans précipitations, aux effets du changement climatique, mais aussi, dans le sud du pays, aux incursions israéliennes qui s'emparent des ressources stratégiques en eau. Au lendemain de la chute du régime de Bachar el-Assad, ces dernières se sont déployées dans la zone tampon démilitarisée du Golan, et sont depuis accusées de prendre possession des ressources stratégiques en eau. « Ils ont pris le contrôle de barrages stratégiques, des barrages qui étaient des sources d'eau, affirme Aref, un agriculteur. Depuis, il n'y a plus d'eau pour personne. » À lire aussiLa Syrie fait face à une sécheresse extrême engendrée par le changement climatique « Tous les arbres fruitiers sont asséchés cette année » Ici, plus qu'ailleurs encore, les effets de ce stress hydrique sont visibles. La région est l'une des plus agricoles du pays, surnommée le « grenier » de la Syrie. « Même les oliviers, les pêchers, les pruniers... Tous les arbres fruitiers sont asséchés cette année », nous affirme Abu Aysam, également agriculteur, en empilant une à une ses cagettes de pommes de terre. De ses hectares de champs, il ne cultive cette année que la moitié. Cette sécheresse est aggravée par les effets des politiques menées par le clan Assad. Avant sa chute, le régime a soigneusement pillé les puits et conduits d'eau des quartiers et villes révolutionnaires, compliquant aujourd'hui l'irrigation des terres, mais aussi celle des villes, jusqu'à la capitale, Damas. Avec son association Al-Seeraj, Kinan Al Kudsi, franco-syrien, s'est donné la mission de réhabiliter les 22 puits de la banlieue sud de Damas : « On estime que rien qu'à Damas, 500 puits ne fonctionnent pas. » Dans le bureau du centre de pompage, la plupart des panneaux électriques sont encore éteints. Coût du projet : 150 000 dollars. « L'État ne nous donne pas les fonds nécessaires. Mais si tu veux reconstruire le pays, la première chose, c'est de reconstruire le système d'eau... », poursuit-il. Tout à coup, la pluie tombe. Au milieu de la chaleur de l'été – quelque 48°C –, tout le monde se rue dehors. Pas question, pour Kinan, de perdre une occasion de se rafraîchir. À lire aussiSyrie: la sécheresse et le manque d'eau, un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir
Cet album a largué les amarres le 27 juin 2025 et qu'il vogue doucement vers vous, porté par vos cœurs et vos oreilles attentives.La soirée de lancement fut un moment d'une rare intensité, remplie d'émotions, de présences lumineuses et de gratitude partagée.Vos commentaires touchants, vos partages et les nombreux téléchargements me remplissent de joie et confirment que cette création trouve sa place, là où elle doit résonner.Aujourd'hui, je vous offre une courte vidéo de 5 minutes, avec des extraits de l'album et des instants captés sur le vif lors de cette soirée magique.Merci du fond du cœur de faire vibrer ce projet avec moi, c'est un honneur de vous accompagner ainsi.
Connaissez-vous l'origine et le sens de nos chères expressions françaises ? Cet été, je vous partage un épisode du nouveau podcast “Perpète les oies” dans lequel Sophie Herrouet et Rémi Gutton, deux amis fans d‘expressions françaises, décortiquent les grands classiques !
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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le remaniement gouvernemental en RDC, l'utilisation de l'uranium congolais pour les bombes atomiques lancées sur le Japon et le déploiement des militaires à Washington. Mauritanie : la capitale face à une grave pénurie d'eau Nouakchott, la capitale de la Mauritanie, est en proie à une grave pénurie d'eau potable. Quelles sont les causes de cette pénurie ? Comment le gouvernement mauritanien entend-t-il résoudre ce problème ? Avec Welly Diallo, journaliste au service Afrique de RFI. RDC : Tshisekedi resserre ses rangs avec un remaniement gouvernemental En RDC, le nouveau gouvernement annoncé par Félix Tshisekedi apparaît comme une stratégie politique visant à renforcer l'Union sacrée. En quoi ce remaniement renforce-t-il concrètement la position de Félix Tshisekedi ? Qu'est-ce qui explique l'absence des grandes figures de l'opposition ? Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège. Japon : l'uranium congolais derrière les bombes atomiques américaines L'uranium utilisé pour fabriquer les bombes atomiques américaines lancées sur le Japon a été extrait en RDC, dans la mine de Shinkolobwe, située dans le Haut-Katanga. Quelles étaient les particularités de l'uranium congolais qui le rendaient si précieux pour la fabrication de ces bombes atomiques ? Y a-t-il actuellement une mine en RDC où l'on extrait de l'uranium ou cela a-t-il été laissé à l'abandon ? Avec Patrice Christmann, consultant et chercheur indépendant, ancien collaborateur du BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières). États-Unis : Donald Trump déploie la garde nationale à Washington Donald Trump a placé la capitale fédérale Washington DC sous la surveillance de l'armée fédérale. Y a-t-il vraiment des gangs dans la capitale américaine, ou est-ce une stratégie de Donald Trump pour imposer sa politique ? Les élus démocrates de la capitale peuvent-ils s'opposer à cette décision ? Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en Civilisation américaine, spécialiste en rhétorique présidentielle.
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Chers auditeurs, votre avis compte ! Vous qui écoutez ces épisodes, pourriez-vous donner votre avis ? Pour cela, rien de plus simple, remplissez ce questionnaire !Cela devrait vous prendre moins de 5 minutes. Cela permettra au podcast L'autruche et le colibri de s'améliorer, dans son format mais aussi dans son contenu pour que vous puissiez continuer à prendre plaisir à l'écouter !Merci à vous pour votre aide
« Quand vous naviguez, vous avez un sentiment de liberté quand vous quittez le port. Vous laissez derrière vous les histoires (…) Sur les îles c'est pareil, quand la dernière navette est partie, on souffle. Ça, vous ne pouvez pas l'expliquer aux gens. »Christophe et Brigitte sont tous les 2 originaires de la région, Brigitte de Carqueiranne et Christophe de la presqu'île de Giens où il a grandi.Après une brillante carrière dans la marine marchande, une vie faite de voyages, passée ensemble, puisque Brigitte a eu la possibilité de naviguer aux cotés de son mari, ils ont décidé de poser leurs valises en 2004 au Levant où ils vivent désormais, bien que n'étant pas naturistes. Ils exercent comme pêcheurs , seuls pêcheurs de l'île à exercer toute l'année. Avec Brigitte et Christophe on a parlé de navigation au long cours, d'instabilité, de solidarité insulaire, d'isolement, de chats, de la gestion de l'eau et des déchets, de pêche et du fait de vivre au Levant sans être naturistes. L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur le site Fragîle PorquerollesSupport the show Me suivre sur instagram : https://www.instagram.com/fragile_porquerolles/ Me soutenir sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/fragile-porquerolles-1 Vous pouvez me laisser des étoiles et un avis sur Apple Podcasts et Spotify, ça aide ! Si vous souhaitez m'envoyer un mail: fragileporquerolles@gmail.com
Comment repenser notre rapport à l'eau ? Et si on s'inspirait du castor ? Proposition partagée par le philosophe du vivant Baptiste Morizot et de nombreux écologues : comment apprendre du castor à restaurer nos rivières et à entretenir un autre rapport à l'eau et à la vie qui en découle ? (Rediffusion du 12/11/2024). Repensons notre rapport à l'eau et aux rivières... Et si, face au chaos climatique, on tissait de nouvelles alliances entre vivants ? Et si on s'inspirait d'un animal qui travaille depuis des milliers d'années à rendre l'eau à la terre, à façonner des oasis de vie qui pourraient nous aider à traverser les sécheresses, les feux et les crues ? Et si on s'inspirait du castor ?Avec le philosophe Baptiste Morizot pour Rendre l'eau à la Terre, paru chez Actes Sud.Éclairage avec Rémi Luglia (président de la Société nationale de protection de la nature (SNPN) pour Vivre en Castor (Quae Éditions).
Comment repenser notre rapport à l'eau ? Et si on s'inspirait du castor ? Proposition partagée par le philosophe du vivant Baptiste Morizot et de nombreux écologues : comment apprendre du castor à restaurer nos rivières et à entretenir un autre rapport à l'eau et à la vie qui en découle ? (Rediffusion du 12/11/2024). Repensons notre rapport à l'eau et aux rivières... Et si, face au chaos climatique, on tissait de nouvelles alliances entre vivants ? Et si on s'inspirait d'un animal qui travaille depuis des milliers d'années à rendre l'eau à la terre, à façonner des oasis de vie qui pourraient nous aider à traverser les sécheresses, les feux et les crues ? Et si on s'inspirait du castor ?Avec le philosophe Baptiste Morizot pour Rendre l'eau à la Terre, paru chez Actes Sud.Éclairage avec Rémi Luglia (président de la Société nationale de protection de la nature (SNPN) pour Vivre en Castor (Quae Éditions).
Et si nous cultivions notre jardin ? Je vous partage pour cet été un épisode de Basilic. Jeane y interroge Pierre le Cultivateur, passionné de jardinage et l'un des vulgarisateurs les plus suivis sur les réseaux sociaux.Que vous ayez un grand jardin, un balcon ou un simple rebord de fenêtre, vous pouvez semer, rempoter, cueillir. Mettre les mains dans la terre et jardiner ont un effet sur notre bien-être mental.
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L'Irak fait face à l'une des sécheresses les plus graves de son histoire. Les terres du Croissant fertile de la Mésopotamie antique se détériorent et s'appauvrissent année après année sous les effets du changement climatique et de l'activité humaine. Cet été, les apports en eau venus des principaux fleuves irakiens sont trop faibles – peu de pluie cet hiver, et peu de délestage d'eau depuis la Turquie. C'est tout un patrimoine environnemental et historique qui souffre chaque année, et disparaît petit à petit, particulièrement dans le sud de l'Irak. À l'approche d'une écluse fermée qui sépare les marais de Chibayish du fleuve Euphrate, des mouches et une odeur nauséabonde emplissent l'air. Raed Al-Assadi, directeur de l'organisation pour l'Écotourisme de Chibayish : « Des centaines de tortues sont mortes. » La main sur le nez, Raed el-Assadi, constate la catastrophe. L'Euphrate a été coupé du réseau de canaux des marais pour conserver le plus d'eau possible pour la consommation humaine, ces tortues ont été prises au piège. « Ce sont des tortues qui migrent depuis les marais vers l'Euphrate parce que les eaux de l'Euphrate sont un peu meilleures que celles des marais qui sont très salées. Tu peux voir tout le long des marais de grands nombres d'animaux morts. Bien sûr, c'est un dérèglement clair et extrêmement grave de la chaîne de l'équilibre écologique en Irak. » Ces marais, classés au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2016, dépérissent. Seules 20% des zones marécageuses restent en eau cet été. Près d'une rive dénudée, dix buffles se baignent paisiblement, semble-t-il, mais l'eau des marais est devenue trop salée et la végétation change. Leur survie, à présent, dépend de ressources acheminées par bateau. Restriction de l'eau Leurs éleveurs, Kadhem et Razzaq, peinent à maintenir ces élevages traditionnels dans les marais : « Tous les jours, une bête meurt. Tout le monde est endetté à hauteur de 10, 15 ou 30 millions de dinars, pour du fourrage. Mais on ne peut pas abandonner. » Pour Razzaq Ismaël, un autre éleveur : « C'est notre culture, celle de nos ancêtres, c'est notre mode de vie et on le perpétue. » Mais la majorité des éleveurs est partie. Et même si certains reviendront lors de saisons plus clémentes, pour le directeur de l'Écotourisme de Chibayish, Raed el-Assadi, ce déplacement de population a déjà un effet sur le patrimoine local : « Tout change chez eux. Même leur manière de parler, on n'entend plus les mots ou les expressions propres aux habitants des marais. » Les éleveurs partent souvent vers le nord, mais la situation n'y est pas meilleure. Dans la province de Najaf à Mishkhab, connue pour l'odeur de ses plantations de riz ambre, depuis des siècles, il n'y a pas d'eau non plus et donc pas l'ombre d'une rizière. Abdel Ali al-Kuraity est agriculteur, ancien cultivateur de riz ambre : « Où peut-on encore trouver l'odeur du riz "ambre" ? Il n'y a plus d'eau. » L'agriculteur le reconnaît, l'irrigation par inondation pour cultiver ce riz, emblématique de la cuisine irakienne, n'est plus une option en ces temps de pénurie. Mais les restrictions sont sévères. Les canaux du village sont fermés depuis des mois : « La population dépendait de la culture du riz ambre, comme moyen de subsistance et source alimentaire principale. On a accepté de ne plus cultiver du riz, mais qu'on nous donne de l'eau ! » Les cultures alternatives se meurent elles aussi. Fouad, porte-parole de ces agriculteurs, s'emporte : « Nous ne sommes pas indemnisés. Que faire ? Émigrer ? Partir ? » D'année en année, les migrations vers les villes se multiplient Un exode qui complique la gestion des ressources en eau potable qui doivent être toujours plus réorientée vers les grandes agglomérations au détriment des zones rurales. À lire aussiIrak: la sécheresse provoque la disparition des marais du sud du pays, joyaux du patrimoine de l'Unesco
Il existe plus de 3 500 espèces de moustiques sur terre. Ils seraient évalués à 110 000 milliards sur terre. Certaines espèces sont donc plus inquiétantes que d'autres car vecteurs de maladie. Entre épandage massif et répulsifs toxiques, quelles solutions plus saines s'offrent à nous ?
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EAU Educational Platform UROLUTS associate editor Dr. Manuela Tutolo talks to guidelines panel chair Prof. Gernot Bonkat on updates on EAU Guidelines for urological infections. This discussion took place during EAU25 in Madrid, Spain. For more updates on functional urology, please visit our educational platform UROLUTS.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
Privatisé en 1989, le secteur de l'eau au Royaume-Uni traverse aujourd'hui une grave crise. Entre déversements d'eaux usées, dettes abyssales et sous-investissements massifs, le gouvernement britannique veut reprendre la main. Mais une question reste en suspens : qui règlera la facture ? En 1989, la Première ministre Margaret Thatcher privatisait le secteur de l'eau en Angleterre et au Pays de Galles. L'objectif ? Attirer des capitaux privés pour moderniser un réseau jugé vétuste, tout en allégeant le fardeau des finances publiques. Mais 35 ans plus tard, le bilan est accablant. Les entreprises privées ont versé plus de 78 milliards de livres de dividendes à leurs actionnaires, tandis que la dette du secteur atteint aujourd'hui 68 milliards. Résultat : les investissements promis dans les infrastructures n'ont pas été réalisés, au détriment de l'environnement et des usagers. Une crise environnementale et sanitaire grandissante Ce sous-investissement s'est traduit par une dégradation spectaculaire du service. En cinq ans, les incidents graves de pollution ont été multipliés par cinq. Les déversements d'eaux usées dans la nature se sont multipliés, rendant certaines plages impraticables et classant les rivières du Royaume-Uni parmi les plus polluées d'Europe. Cette situation a provoqué un tollé au sein de la population, notamment face aux bonus records des dirigeants de ces compagnies, alors même que les services se détériorent. Et ce sont bien les consommateurs qui risquent de payer l'addition. Un plan à 104 milliards financé par les usagers ? Pour rattraper le retard, un rapport récent estime les besoins en investissement à 104 milliards de livres d'ici à 2030, uniquement pour l'Angleterre et le Pays de Galles. Ce plan devrait entraîner une hausse de 36 % des factures d'eau pour les Britanniques. F ace à la situation, le gouvernement a annoncé une réforme du secteur avec la mise en place d'un nouveau régulateur chargé d'assurer un contrôle plus strict et de renforcer les sanctions. Mais le défi est triple : protéger l'environnement, regagner la confiance des citoyens et rassurer les investisseurs, de plus en plus frileux face à la dégradation de la note financière des opérateurs. À lire aussiLe Royaume-Uni va devoir débourser 340 milliards d'euros pour rénover ses réseaux d'eau
Dans l'Antiquité, au cœur du croissant fertile, la Syrie a été le berceau de la civilisation et de l'agriculture grâce à l'Euphrate. Mais aujourd'hui, le niveau de sécheresse est alarmant, les pluies ayant été rares cet hiver. De nombreux Syriens vivent ou survivent en comptant chaque goutte d'eau. Huit mois après la chute du régime, l'avenir de la Syrie reste intimement lié à celui de l'eau. De notre envoyée spéciale de retour de Aatchané et Barada, En Syrie, à 50 km au sud d'Alep, dans le village d'Aatchané dont le nom signifie littéralement « l'assoiffée » en arabe, Assaad Faiz al Moustapha a l'habitude de cultiver des fèves, du blé et de l'avoine. Mais cette année, les champs sont désespérément arides. « À cause de la sécheresse et du manque d'eau, les terres sont rouges. Regardez cette plante. D'autres ne sont même pas sorties. Elles arrivent à cette taille et elles meurent. Ici, j'ai planté une tonne de blé, avec de l'engrais. On a beaucoup investi, on a tout labouré. Tout cela pour rien », déplore l'agriculteur, tenant en main des brindilles desséchées. Quand l'eau des nappes phréatiques manque, Assaad et ses voisins irriguent avec l'eau des égouts, mais même celle-ci s'est évaporée. Pour survivre, les 150 familles du village doivent acheter leur eau à 25 km à une entreprise privée. Chaque citerne coûte l'équivalent de 50 euros et ne dure que 10 jours. « L'eau est chère, très chère. C'est une souffrance. Oui, pour ce qui est de l'eau, une souffrance pour tout le monde », se désole Assaad Faiz al Moustapha. Aatchané devait bénéficier d'un projet national d'irrigation, mais la guerre a tout arrêté. « Avant, on recevait de l'eau de la rivière Qouweiq et même de l'Euphrate, mais ce n'est plus le cas cette année. Ils nous ont promis de rénover les systèmes de pompage. Pourvu que ce soit fait le plus vite possible. La vie sans agriculture, sans eau, est vraiment difficile », raconte Hussein el-Moustapha, le voisin et oncle d'Assaad, qui espère que les nouvelles autorités reprendront le dossier. Privés de revenus, de nombreux agriculteurs émigrent vers les villes. Mais à Damas, l'eau est aussi comptée. À la station de Barada qui approvisionne la capitale syrienne, le Comité international de la Croix Rouge (CICR) craint de graves pénuries. « D'habitude, l'eau se trouve à 13 mètres de profondeur dans les puits, mais depuis un an, à cause du manque de pluie, le niveau est tombé à 30 mètres. L'ensemble du système est dans une situation critique. Il va falloir beaucoup d'efforts et d'interventions pour l'empêcher de s'effondrer », détaille Sleiman Chakkour, responsable eau et habitat au CICR. L'organisme compte réhabiliter ces infrastructures délaissées pendant 15 ans de guerre. La Syrie traverse déjà l'un des étés les plus secs de son histoire. Un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir, la sécheresse étant l'un des facteurs qui avait entraîné les manifestations de 2011. À lire aussiLa Syrie fait face à une sécheresse extrême engendrée par le changement climatique
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Dans cet épisode, Sébastien Poiret, confrère podcasteur de notre partenaire La Salamandre, rappelle la différence entre les Libellules vraies (de grosses mémères aux ailes déployées et perpendiculaires au corps) et les Demoiselles (plus fines, aux ailes repliées)._______Le FIFO (Festival international du film ornithologique) de Ménigoute est un rendez-vous incontournable pour les passionnés du documentaire animalier et pour les amoureux du Vivant.Le FIFO propose des projections de films, mais aussi un forum des assos et autres acteurs naturalistes, un salon d'Art animalier, des rencontres-débats, un festival off, des sorties et ateliers nature. L'entrée est gratuite et chaque projection payante. C'est simple, riche et “familial”.BSG a eu l'honneur et la chance d'y être invité pour la 38 e édition, fin octobre 2022. Marc y a réalisé 48 interviews, en se laissant guider par le hasard, au petit bonheur la grande chance. Il en est revenu les cales pleines de belles rencontres et de pépites naturalistes.___
EAU edu platform UROLUTS associate editor Dr. Manuela Tutolo talks to guidelines panel members Prof. Chris Harding and Prof. Salvador Arlandis on the 2025 updates on EAU Guidelines for female LUTS. This expert discussion took place during EAU25 in Madrid, Spain.For more updates on functional urology, please visit our educational platform UROLUTS.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
À Lima, au Pérou, 1 million et demi de personnes n'ont pas accès à l'eau courante… Leur seul moyen d'approvisionnement est le passage d'un camion citerne, à la venue aléatoire et dont la qualité de l'eau est critique... ; et critiquée. Et si les pouvoirs publics ne s'emparent pas rapidement du sujet, de plus en plus de Péruviens risquent d'être concernés. Selon une étude d'Aquafondo, le Pérou ne disposera, en effet, d'ici 40 ans, que de 60% de ses ressources actuelles en eau. (Rediffusion) «L'accès à l'eau dans la capitale péruvienne : avant tout le combat des pauvres», un Grand reportage de Marion Bellal.
« La nudité, c'est une question de présence à soi, aux sensations. Dans notre monde moderne, on est coupés de nos sensations corporelles. Le naturisme permet de se reconnecter à soi, à cette grande intensité du moment présent »Originaire de Toulon, Brigite a découvert l'île du Levant il y a 25 ans en vacances avec son mari. Ils séjournent alors à l'hôtel restaurant Le Ponant. En 2004, ils acquièrent un terrain sur l'île où ils construisent leur maison qui sera achevée en 2010. Brigite vit depuis maintenant 3 ans à l'année sur l'île, date à laquelle elle a été élue en tant que présidente de l'Association Syndicale Libre (l'ASL), mandat qui venait d'être renouvelé quand je l'ai interviewée. Depuis, Brigite a quitté ses fonctions à la présidence de l'ASL mais elle reste investie dans la vie de l'île. Avec Brigite on a parlé des missions de l'Association Syndicale Libre, de la gestion de l'eau et des déchets sur l'île, des enjeux immobiliers, de vibrations, de vulnérabilité, de présence à soi et de sensations…L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur https://fragileporquerolles.com/brigite-gelman/Support the show Me suivre sur instagram : https://www.instagram.com/fragile_porquerolles/ Me soutenir sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/fragile-porquerolles-1 Vous pouvez me laisser des étoiles et un avis sur Apple Podcasts et Spotify, ça aide ! Si vous souhaitez m'envoyer un mail: fragileporquerolles@gmail.com
Givaudan VP Perfumer Rodrigo Flores-Roux generously returns to the Perfume Room to offer a definitive roadmap to the past, present, and future of perfume. Bookmark this ep. You'll come back to it. Rodrigo is a fragrance genealogist of sorts, tracing your favorite perfumes' parents, grandparents, and great-grandparents. He offers a rare perfumer's POV on the current landscape: What's trending? Why? What even qualifies as a trend? Should we care? And what's happening in the world today that will shape how fragrance smells tomorrow?WATCH THE FLORSTALGIA PANEL (coming this Fri)LISTEN TO EP. 136 (linked below)THANK YOU TO THIS MONTH'S SPONSOR THE RACONTEUR! 10% off full bottles of The Raconteur @ Stéle: code 'emma10'FRAGS MENTIONED:Sol de Janeiro, Phlur, Burberry Goddess, 27 87 Hakuna Matata, Mary Kay Velocity, Marc Jacobs Daisy Wild, Vacation Inc, Arquiste Tropical, Cire Trudon Merida, ARQUISTE Esencia de El Palacio Guayabos, Chanel No. 5, Guerlain Shalimar, Lanvin Arpège, Schiaparelli Shocking, Robert Piguet Bandit, Balmain Vent Vert, Carven Ma Griffe, Givenchy L'Interdit, Nina Ricci L'Air du Temps, Madame Rochas, Rabanne Calandre, Eau de Lancome, Eau de Patou, Eau de Guerlain, Estée Lauder Estée Super, Revlon Charlie, YSL Opium, Estée Lauder Youth Dew, Balenciaga Prelude, Estée Lauder Cinnabar, Fendi, Giorgio, Dior Poison, Ralph Lauren Polo, Guy Laroche Drakkar Noir, Davidoff Cool Water, New West, Calvin Klein Escape, Issey Miyake L'Eau D'Issey, Mugler Angel, Tom Ford Oud Wood, Donna Karan Black Cashmere, Clinique Happy, Isabell Calla, Ungaro Diva, Florstalgia: Violet, Carnation; YSL Paris, Eauso Vert Fruto Oscuro, Le Galion Bourrasque, Thom Browne: Vetyver & Brut, Vetyver & Rose; Xinu: OroNardo, Copala; ARQUISTE: A Grove By The Sea, Tropical; Roberto Greco Porter Sa Peau
Le podcast L'autruche et le colibri fête ses 4 ans, 4 ans déjà à faire sa part en éveillant les consciences, en tout cas en essayant !Chers auditeurs, votre avis compte ! Vous qui écoutez ces épisodes, pourriez-vous donner votre avis ? Pour cela, rien de plus simple, remplissez ce questionnaire !Cela devrait vous prendre moins de 5 minutes. Cela permettra au podcast L'autruche et le colibri de s'améliorer, dans son format mais aussi dans son contenu pour que vous puissiez continuer à prendre plaisir à l'écouter !Merci à vous pour votre aide
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À La Calera, une municipalité montagneuse près de Bogotá, les habitants s'opposent à Coca-Cola, qui exploite sept sources d'eau via sa filiale Indega. En pleine sécheresse historique causée par El Niño, les habitants ont subi des coupures d'eau pendant près d'un an, tandis que l'usine de mise en bouteille continuait son activité. C'est un reportage d'Eve-Marie Detoeuf. L'indignation est d'autant plus grande que la concession d'exploitation d'Indega, arrivée à échéance en décembre, pourrait être renouvelée malgré les contestations. Coca-Cola affirme puiser l'eau dans les nappes souterraines, mais une hydrologue critique sévèrement l'étude fournie par la multinationale, la jugeant biaisée et contradictoire. La situation divise désormais les habitants de La Calera. Tandis que certains défendent l'entreprise pour les emplois supposément créés, d'autres dénoncent une exploitation injuste d'une ressource vitale. Des artistes, des écologistes, et des villageois expriment leur tristesse face aux tensions causées par Coca-Cola. Ils sont pessimistes quant à une décision des autorités régionales, soupçonnées de favoritisme et de corruption. En 2024, Coca-Cola n'aurait payé que l'équivalent de 2 500 euros de redevance pour cette ressource précieuse, alimentant un sentiment d'injustice grandissant. Les gangs haïtiens sanctionnés par l'ONU Les Nations unies ont imposé des sanctions contre les coalitions de gangs haïtiens Viv Ansanm et Gran Grif, quelques semaines après leur désignation comme organisations terroristes par les États-Unis. C'est un des sujets abordés ce jeudi (10 juillet 2025) avec le rédacteur en chef du Nouvelliste, Frantz Duval. Ces sanctions permettent notamment à Interpol de lancer des poursuites internationales, peut-on lire dans le Nouvelliste. Elles interviennent dans un contexte d'escalade de la violence en Haïti, où les gangs multiplient les attaques armées, s'étendent au-delà de Port-au-Prince, et plongent le pays dans une crise humanitaire sans précédent. Aux États-Unis, des milliers de fonctionnaires fédéraux vivent dans la peur d'un licenciement massif Mardi dernier, la Cour suprême a validé le vaste plan de réorganisation de l'administration Trump, ouvrant la voie à des suppressions de postes. Selon Politico, ce jugement a profondément ébranlé des agents jusque-là convaincus d'être protégés par le droit de la fonction publique et les syndicats. « Tous mes amis se sont résignés au pire », confie un employé au ministère du logement. À l'agence de protection de l'environnement, certains se terrent au sous-sol pour fuir la tension. Déjà 3 000 départs volontaires ou retraites anticipées. Des services comme la justice environnementale sont démantelés. « Le gouvernement abandonne les communautés les plus polluées », dénonce un agent. Au ministère du Logement, les couloirs sont devenus silencieux, « comme après un décès ». La peur est encore plus vive au Département d'État : dans des groupes Signal, diplomates et agents s'inquiètent pour leur avenir, la sécurité nationale, et dénoncent une trahison. Des salles de réunion ont été réservées pour ce vendredi, jour probable des annonces officielles. Les conséquences de la taxe douanière de 50% sur les produits brésiliens décidée par Donald Trump Pour le site d'information G1, Donald Trump répète la formule du harcèlement et des représailles qu'il utilise contre ses adversaires politiques. « Cette fois, cependant, les échanges économiques ne peuvent pas servir de prétexte car les États-Unis ont un rare excédent commercial avec le Brésil ». Dans Carta Capital, un ancien ambassadeur brésilien s'insurge : il parle d'ingérence révoltante, de brutalité diplomatique, et estime que les États-Unis sont en train de devenir un adversaire du Brésil — une rupture avec deux siècles de relations diplomatiques. Il appelle à une réaction forte de la société civile brésilienne, et suggère au gouvernement Lula d'intensifier ses contacts avec les démocrates américains. L'embarras des bolsonaristes Selon Folha de Sao Paulo, plusieurs proches de l'ex-président reconnaissent, en privé, que cette décision « pose un vrai problème politique ». Officiellement, ils continuent de soutenir Donald Trump et tentent de rejeter la responsabilité de la mesure douanière sur le président Lula. C'est le cas de Tarcísio de Freitas ou Romeu Zema — deux candidats potentiels pour la prochaine élection présidentielle de 2026. Ils affirment que c'est le rapprochement de Lula avec la Chine, la Russie, l'Iran, Cuba ou encore le Venezuela qui aurait déclenché la réaction de Donald Trump. Washington à la recherche d'une stratégie à l'égard du Venezuela C'est à lire dans le New York Times. D'un côté, le secrétaire d'État Marco Rubio a tenté un accord avec Caracas : libérer des prisonniers politiques en échange du renvoi de 250 migrants vénézuéliens détenus au Salvador. Mais ces négociations ont été court-circuitées par… l'émissaire spécial de Donald Trump pour le Venezuela lui-même, Richard Grenell. Lui proposait tout autre chose : autoriser l'entreprise Chevron à reprendre ses activités pétrolières au Venezuela. Une offre plus alléchante pour le président Nicolas Maduro. Mais finalement, aucun accord n'a été conclu, et les 250 migrants vénézuéliens sont toujours détenus dans une prison de haute sécurité au Salvador. Le New York Times révèle que malgré ses déclarations, la Maison Blanche garde le contrôle sur ces détenus car ils sont utilisés comme monnaie d'échange. Premiers témoignages sur les conditions de détention au sein du «Alligator Alcatraz» Le Miami Herald publie un témoignage glaçant : un migrant mexicain, pourtant protégé par le programme DACA, car il est venu aux États-Unis lorsqu'il était encore mineur, s'est retrouvé enfermé dans le centre de détention situé en plein cœur des Everglades, en Floride. Il a été arrêté après un simple contrôle routier. Son avocat affirme ne pas connaître les raisons de sa détention. Et son client dénonce des conditions inhumaines : nourriture avariée, toilettes bouchées, chaleur étouffante sans climatisation, moustiques en pagaille, et interdiction de se doucher pendant quatre jours. Les autorités de Floride, elles, démentent en bloc : « des accusations totalement fausses », disent-elles. Mais l'affaire commence à faire grand bruit. Journal de la 1re En Martinique, la lutte contre le décrochage scolaire.
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La coopération entre les États, ça continue de marcher en Afrique de l'Ouest, même après la rupture entre les trois États de l'Alliance du Sahel et la Cédéao. La preuve ? L'OMVS, l'Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal, qui réunit le Sénégal, la Mauritanie, la Guinée et le Mali. Mais attention, dit le Haut-Commissaire de l'OMVS, la vraie menace sur son organisation n'est pas politique. Elle est financière. Si les sociétés nationales d'eau et d'électricité ne payent plus leurs factures, les barrages vont tomber en ruine ! En ligne de Dakar, le Mauritanien Mohamed Abdel Vetah répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : En octobre et novembre dernier, une crue exceptionnelle du fleuve Sénégal a provoqué plus de 50 000 déplacés et a inondé plus de 16 000 hectares de terres agricoles. Est-ce que c'est une fatalité ou est-ce qu'on peut y faire quelque chose ? Mohamed Abdel Veta : Les changements climatiques sont une réalité et le bassin du fleuve Sénégal n'y échappe pas. Les crues sont plus fréquentes et plus violentes. Effectivement, l'année dernière, nous avons connu l'une des pires inondations depuis un demi-siècle. Le fleuve a atteint des niveaux records. Les dégâts ont été importants, mais grâce à la coordination régionale, nous avons activé notre système d'alerte précoce. Nous avons opéré les barrages et travaillé main dans la main avec les États membres, jour après jour, pour limiter les impacts. Et ce que vous dites, c'est que, si vous n'étiez pas intervenu, cela aurait pu être pire ? Sur le fleuve Sénégal, il y a deux barrages importants, celui de Manantali et celui de Diama, et ils ont été opérés effectivement pour réduire l'impact de ces crues. Et notre rôle, c'est la préparation de notre plan, de notre système d'alerte précoce qui est là pour dire aux populations : attention, cette zone est inondable, il ne faut pas cultiver, il ne faut pas y habiter, ou attention, cette saison des pluies sera une saison particulièrement humide. Et quelles sont vos prévisions hydrologiques pour le fleuve Sénégal pour ce deuxième semestre 2025 ? Alors tout porte à croire qu'elles seront excédentaires sur le haut bassin, c'est-à-dire dans la zone Guinée et Mali. Et normale ou plutôt normale dans le reste du bassin. Et quand je dis excédentaire dans le haut bassin, cela veut dire effectivement qu'il y a des risques d'inondation parce qu'avec le temps, c'est la pluie qui vient dans le haut bassin qui vient se propager dans le reste du bassin. L'OMVS est un organisme de bassin transfrontalier qui réunit quatre pays, la Mauritanie dont vous êtes vous-même un ressortissant, le Sénégal, le Mali et la Guinée. Je vois que vous veillez à l'équilibre entre les quatre pays de votre organisation, mais est-ce que la rupture récente entre le Mali et la Cédéao ne complique pas les relations entre vos quatre pays ? L'OMVS, ce n'est pas la Cédéao. Et la bonne question, c'est plutôt : quelle est notre contribution pour que ce qui a fonctionné pendant 50 ans, 50 ans de dialogue, 50 ans de solutions qui ont bénéficié à nos populations, continue à fonctionner et à bénéficier à nos populations ? Notre conviction est que la coopération n'est pas un luxe. C'est une nécessité, surtout aujourd'hui face au changement climatique. Et l'eau, la sécurité alimentaire, aucun pays ne peut relever ces défis seul. Je crois qu'il y a trois priorités pour que cette coopération non seulement tienne, mais s'amplifie. La première, c'est de saisir l'opportunité du changement climatique pour trouver des financements pour pousser à l'innovation. La deuxième, c'est de maintenir un haut niveau de dialogue et d'engagement politique. Et c'est la force de l'OMVS à travers la conférence des chefs d'États et de gouvernements, c'est que le dialogue a toujours été maintenu entre nos États. Et la troisième, c'est de construire l'avenir avec les jeunes. Ce sont eux les vrais bâtisseurs de la résilience. Et au fond, c'est cela la diplomatie du concret, des projets visibles, partagés, utiles pour ces jeunes. Et nous y croyons et nous le faisons avec force. À l'heure de la rupture entre la Cédéao et les trois États de l'AES, est-ce que vous ne craignez pas tout de même que chacun des quatre États de l'OMVS ne soient tentés de se replier sur lui-même ? Alors, ce que je peux vous dire, c'est que nous avons lancé notre dernier programme d'adduction en eau potable dans les zones rurales qui ont été longtemps délaissées au profit des grands transferts vers les grandes villes comme Nouakchott, comme Dakar et comme d'autres grandes villes. Ces programmes vont permettre aux villageois autour du fleuve d'avoir accès à une eau potable. Et quand nous avons lancé ce programme, et bien nous avons vu l'engagement des quatre États de l'organisation pour ces projets. Et je vous parle de projets, là, qui ont été lancés dans les derniers mois. L'une des grandes vocations de l'OMVS, c'est de vendre de l'eau et de l'électricité aux grandes sociétés nationales. Mais est-ce que ces sociétés s'acquittent convenablement de leurs obligations financières ? Les ouvrages communs de l'OMVS, qui font notre fierté et symbolisent notre résilience, ces barrages qui éclairent nos foyers, irriguent nos terres, donnent à boire à nos populations et nous protègent face aux aléas climatiques, ces ouvrages fonctionnent parce que, depuis la création de l'OMVS, depuis plus d'un demi-siècle, chacun de nos pays a joué sa partition. Mais je dois le dire avec clarté, sans paiement régulier des obligations financières, ces infrastructures sont en péril. Ce que nos prédécesseurs ont construit avec courage et vision sera en péril. Je sais que la conjoncture est parfois difficile. Je ne porte aucun jugement, mais je garde une conviction. L'histoire de l'OMVS a montré que, chaque fois que nos pays se sont réunis autour de problématiques communes, des solutions visionnaires ont été trouvées. Donc, il faut qu'en Mauritanie, au Sénégal, au Mali, en Guinée, les sociétés nationales des eaux, les sociétés nationales d'électricité payent leurs factures. C'est ça ? Oui. Il faut que ces engagements financiers soient honorés parce que, sans ces engagements, la maintenance des ouvrages est une difficulté majeure et la continuité de service sera un risque. À lire aussiMali : inauguration du barrage de Gouina, sur le fleuve Sénégal À lire aussiSénégal: le barrage de Diama, un exemple de gestion partagée de l'eau
Have you ever wondered how France became the world's perfume capital? In “The Story of Perfume: A Journey Through France's Luxurious Past,” host Annie Sargent and guest Elyse Rivin from Toulouse Guided Walks take you on a fragrant journey through French history. They explore how perfume evolved from smoky rituals and religious ceremonies to the luxury bottles we see today. You will learn how Grasse became the heart of perfume making and why Chanel No. 5, Shalimar, and Poison became iconic scents tied to France. Listen to the episode ad-free to travel back in time through the scents of France! Annie and Elyse share stories about Catherine de' Medici bringing her personal perfumer to France, the smelly days at Versailles when perfume was used to cover the lack of bathing, and how Napoleon loved Eau de Cologne so much he used it daily. Discover how the French revolution impacted perfume makers, how the Guerlain family shaped perfume history, and how synthetic fragrances changed the industry. If you are planning a trip to France, Annie and Elyse suggest several places you can visit to enjoy this history in real life. This episode is perfect for travelers interested in French culture, perfume lovers, and anyone curious about the unique stories that shaped France. Subscribe to the Join Us in France Travel Podcast to get weekly episodes that bring France to life with history, culture, and practical travel tips for your next adventure. Listen to this episode to add a touch of scent and story to your France travel plans and discover why perfume remains one of the country's most luxurious traditions. Table of Contents for this Episode [00:00:15] Introduction and Topic Overview [00:00:31] Today on the podcast [00:01:03] Podcast supporters [00:01:59] No Magazine segment [00:02:33] Annie and Elyse about the History of Perfume in France [00:03:01] Perfume as a French Identity [00:04:15] Understanding Different Types of Perfume [00:07:38] Historical Significance of Perfume [00:08:46] The Fragonard Perfume Store near the Opera House in Paris [00:09:30] Finding Your Perfume [00:13:27] The word Perfume [00:13:30] Origin of the word “perfume” [00:14:44] Perfume in Religious and Cultural Practices [00:16:27] Perfume in Ancient Civilizations [00:20:24] The Renaissance Influence on French Perfume [00:21:58] Catherine de' Medici and the Rise of French Perfume [00:25:59] Grasse: The Perfume Capital [00:29:19] Impact of the Plague on Hygiene and Perfume [00:31:16] The Unwashed Aristocracy [00:32:41] Perfume to Mask the Stench [00:34:52] The Spread of Perfume Culture [00:37:30] The Birth of Eau de Cologne [00:42:45] Perfume Revolution in the 1700s [00:44:33] Napoleon and the Return of Perfume [00:46:45] The Rise of Guerlain and Synthetic Perfumes [00:48:00] The Introduction of Synthetic Fragrances [00:50:24] Perfume in 20th Century [00:52:15] Coco Chanel and Chanel No5 [00:53:34] Christian Dior and the Perfume for the “New Women” [00:54:18] The Golden Age of French Perfume [00:56:17] Conclusion and Final Thoughts More episodes about French culture
durée : 00:57:43 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Si le tout-à-l'égout permet de mettre à distance urines et excréments, des alternatives à ce système d'évacuation sont parfois développées, pour des raisons écologiques et économiques. Ces innovations requièrent cependant un changement de paradigme culturel... - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Marine Legrand Chargée de recherche au laboratoire Eau, Environnement et Système urbain de l'Ecole nationale des ponts et chaussées. ; Camille Salaün Doctorante au sein de l'UMR G-EAU et assistante de recherche auprès de la "Chaire Eau pour Tous" AgroParisTech-Suez.; Gabriel Bortzmeyer Critique et professeur de cinéma et de littérature en classe préparatoire. Membre de la revue Débordements et de la revue Les temps qui reste.
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In December 2022, Christina Basias-Androulakis (a PhD in digital education) filmed and posted a Tiktok of her wife Alexis Androulakis (a beauty product developer) in Sephora, evaluating the new Make Up By Mario Skin Foundation.That video went viral, and @thelipsticklesbians were off.1.7M followers later, today the duo continues to challenge and shape the way consumers, influencers, marketers, and chemists alike think, talk, and know about beauty.That's the @thelipsticklesbians origin tale...Did you know that Christina and Alexis's begins with fragrance??!Today's ep is full of personal stories, beauty insights and advice, the full scoop on their new beauty evaluation course, LLAB, and some important life lessons along the way!FOLLOW: @thelipsticklesbiansCHECK OUT LLAB: letslearnaboutbeauty.comFRAGS MENTIONED:St. Rose Juliet in White (SOTD), Burberry London, JHAG Not A Perfume, Byredo Blanche, Sol De Janeiro, Kayali, Daise, BBW, Aesop, Loewe, Method, Frenshe, Fine'ry, Solo Loewe Ella, Britney Spears Curious, Giorgio, Bvlgari Tygar, Amouage Guidance 46, Le Labo Another 13, Glossier You, Aesop Eleos, MFK A La Rose, Diptyque Do Son, Marc Jacobs EDP, Le Labo: Rose 31, The Noir 29; Aesop: Ouranon, [meant Aurner], Marrakech; Hermes Eau des Merveilles, Amouage Guidance 46, Shalimar, Dior Poison, Estee Lauder Youth Dew, Chanel No. 5, Balmain Rouge, Kayali Yum Pistachio Gelato, Laura Mercier Eaux Gourmandes, Eau de Space The Smell of Space, Le Labo Santal 33, Relevant 13 StemsProducts Mentioned:Makeup Forever Superboost Lightweight Moisturizing Skin Tint, Estee Lauder Double Wear, Mac Ruby Woo, Mac Studio Fix, Danessa Myricks eyeshadow, Prada Pradalines eyeliner, Victoria Beckham Satin Kajal eyelinerJASMINE SMELL CLUB: jasminesmellclub.eventbrite.comThanks to this month's sponsor Goldfield & Banks! Try Pacific Rock Flower on luckyscent.com (get 10% off w/ code perfumeroom10)