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En Afrique du Sud, des centaines d'habitants de Johannesburg ont manifesté samedi dernier 1er novembre devant le siège du conseil municipal pour exiger une action urgente face aux coupures d'eau, de plus en plus fréquentes. Infrastructures vieillissantes, mauvaise gestion de la cité, manque de fonds : la situation s'aggrave dans la première ville industrielle sud-africaine, alors que des milliers de kilomètres de canalisation ont besoin d'être remplacés. Dans sa maison, Melissa Davids est occupée à enchaîner les lessives. L'eau coule aujourd'hui du robinet, cela peut sembler anodin, mais ça ne l'est plus pour les habitants de ce quartier de Johannesburg, plus grande ville d'Afrique du Sud. « On ne peut jamais savoir quand et pour combien de temps l'eau va être coupée, témoigne-t-elle. Donc, à chaque fois, on remplit toutes ces bouteilles, on s'assure d'être prêt pour le lendemain. » La moitié des réservoirs fuient Melissa et ses voisins, excédés, ont décidé de prendre la rue en septembre. Une pression qui a poussé la ville à entamer des réparations temporaires. À quelques rues de là, des ouvriers installent une nouvelle canalisation pour soulager le quartier. « Le problème ici, c'est que la zone est approvisionnée par le réservoir Hursthill 1, explique Sandile Mpofana, contremaître. Donc là, on est en train d'établir une connexion avec un autre réservoir, Crosby, qui est beaucoup plus stable. » La moitié des réservoirs de la ville fuient et ont besoin d'être rénovés. Idem pour des milliers de kilomètres de canalisations vétustes. Environ un tiers de l'eau se perd ainsi dans des fuites, auxquelles s'ajoutent les connexions illégales. Provoquant ces coupures de plus en plus longues et fréquentes dans de nombreux quartiers de la métropole. « C'est principalement dû aux infrastructures vieillissantes », explique Nombuso Shabalala, porte-parole de Johannesburg Water, l'entité municipale dédiée.« Et aussi en grande partie au sous-investissement dans les infrastructures au fil des ans. Ces quartiers sont très anciens et ont besoin qu'elles soient renouvelées. Mais nous sommes confrontés à des problèmes de financement pour la plupart des quartiers de la ville. » Vers un cloisonnement des financements dédiés à l'eau ? L'année dernière, le budget alloué par la ville n'a permis de remplacer que 17 km de canalisations, sur plus de 12 000. Les retards de maintenance s'accumulent désormais, équivalent à plus de 1,3 milliard d'euros. « Ce réservoir devait être terminé en avril, souligne Ferrial Adam, activiste pour l'accès à l'eau, devant un réservoir en construction. Mais comme les sous-traitants n'ont pas été payés, ils ont dû interrompre le chantier et il a été retardé. Le problème est que la ville de Johannesburg déplace les financements comme si elle jouait aux échecs. C'est un arrangement qui permet à la ville de déplacer le budget alloué entre les différentes entités : eau, routes ou électricité… » L'équivalent de 200 millions d'euros auraient ainsi été ôtés du budget de Johannesburg Water. Le Parlement s'est saisi de la question et a appelé au cloisonnement du financement dédié à cette entité. À lire aussiAfrique du Sud: une station d'épuration au Cap pour un jour rendre l'eau usée potable
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In Episode 4, “Women surgeons in Latin America: Leading change” of the series “Women in Urology: Dare to Thrive”, Dr. Catalina Solano Mendoza (CO) and Dr. Mariela Corrales Acosta (FR) discuss the evolving role of women surgeons in Latin America.They share their personal experiences and reflect on the progress achieved through mentorship, collaboration and determination. Their conversation highlights the cultural and systemic challenges women still face across the region and the importance of creating networks that promote equal opportunities and professional growth. Both speakers emphasise that representation and solidarity are key to inspiring the next generation of urologists.This episode celebrates the resilience and leadership of women who are driving lasting change in Latin American urology.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
durée : 00:03:21 - Le Nord-Mayenne récompensé pour la qualité de ses champs et son eau potable - Le Syndicat d'Eau du Nord-Ouest Mayenne (Senom) a reçu le trophée de l'eau Loire-Bretagne, ce mardi 28 octobre 2025. Des techniques de pâturages ont été testées par une vingtaine d'agriculteurs du secteur. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
The Still Point · Yoga & Meditation SpaceEspacio bilingüe – English & EspañolTodos los viernes · 5:00 pm (EAU) · 8:00 am (México) · 3:00 pm (Madrid)Inicio: 24 de octubreThe Still Point es un espacio semanal online donde cuerpo y conciencia se encuentran en quietud y movimiento. Una hora y media para habitar el presente, restaurar la energía vital y cultivar la claridad interior.Cada encuentro incluye:• 60 minutos de Yoga con Vani Devi — Profesora de Yoga, Osteópata y Terapeuta Natural. Nacida en el linaje Sivananda y titulada por la Organización Internacional de Yoga Sivananda Vedanta (2014). Su enseñanza une tradición, respiración consciente y anatomía terapéutica.• 20 minutos de Meditación con Dra. Koncha Pinos — Directora de The Wellbeing Planet, investigadora en neuroestética y autora de más de 27 libros sobre arte, contemplación y bienestar. Su guía invita a explorar la mente y el silencio desde una mirada científica y humana.• 10 minutos de diálogo y preguntas, para integrar la experiencia.Modalidad: Online – espacio bilingüe (English & Español)Valor: 144 AED (39 USD) por mesGratuito para estudiantes con matrícula activa en cualquiera de los diplomados de The Wellbeing PlanetSi te inscribes al programa con un pago anual (342 USD) recibirás de regalo nuestro Programa Anual de Meditación
On en trouve partout, pour des moules à gâteaux, spatules, cuillères, plaques de cuisson… de toutes les couleurs, le silicone est aussi super pratique pour sa caractéristique anti-adhésive. Ecologique ? Toxique ? Le silicone est-il vraiment plus sain que les matériaux anti-adhésif utilisés dans nos poêles et casseroles ? Est-ce une bonne alternative ?
UROONCO BCa chief editor Dr. Benjamin Pradere (FR) talks to Prof. Morgan Roupret (FR), on the results of the ALBAN trial. A phase 3, randomised, open-label, international study of intravenous atezolizumab and intravesical Bacillus Calmette-Guérin (BCG) vs BCG alone in BCG naïve high-risk, non-muscle invasive bladder cancer.This interview was recorded at ESMO 2025 in Berlin, Germany. For more updates on bladder cancer, please visit our educational platform UROONCO BCa.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
UROONCO BCa chief editor Dr. Benjamin Pradere (FR) talks to Prof. Nicholas James (GB) on the results of the final survival analysis from the BladderPath trial, a randomised comparison of upfront magnetic resonance imaging versus transurethral resection for staging new bladder cancers. This interview was recorded at ESMO 2025 in Berlin, Germany. For more updates on bladder cancer, please visit our educational platform UROONCO BCa.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
durée : 00:05:39 - L'invité de "ici Maine" - Un recours va être déposé ce lundi 27 octobre 2025 devant le tribunal administratif de Nantes par deux associations de la Sarthe. Elles veulent obliger l'État à agir dans le dossier de l'eau du robinet contaminée par le CVM, un gaz classé "cancérogène certain" libéré par les canalisations en PVC. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Eau : l'absence de pluie pourrait affecter la distribution d'eau dans les semaines à venir by TOPFM MAURITIUS
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In Episode 3, “Women surgeons in Asia – Pioneering progress” of the series “Women in Urology: Dare to Thrive”, Dr. Kinju Adhikari (NP) and Dr. Steffi Kar Kei Yuen (HK) share their experiences as pioneering female surgeons in Asia. Dr. Adhikari recounts her path from Nepal to becoming a leading onco-urologist and robotic surgeon in India, while Dr. Yuen reflects on her work at the Chinese University of Hong Kong and the evolving role of women in urology across the region. Together, they discuss the challenges of gender bias, the importance of perseverance and the growing number of women entering surgical specialities.They highlight the vital role of mentorship, collaboration and supportive professional networks in fostering women's progress in medicine. Both speakers emphasise that while representation has improved, barriers such as societal expectations and limited opportunities still exist. Their conversation explores how passion for patient care and clinical excellence can co-exist with advocacy for equality.Through their exchange, the episode celebrates the determination of women surgeons shaping the future of urology in Asia and inspires the next generation to follow their lead with confidence and purpose.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
En Syrie, les agriculteurs du nord-est du pays ont été confrontés cet été à un nouvel épisode de sécheresse dramatique, notamment pour les récoltes de blé, une ressource pourtant indispensable à la population dont le pain représente la base de l'alimentation. La situation suscite l'inquiétude quant à la capacité de l'administration autonome du nord-est syrien (AANES) – l'entité politique dominée par les Kurdes en charge de la région – à poursuivre la distribution de pains subventionnés, à la base du contrat social du Rojava. De notre correspondant de retour de Qamishli, Le long de la route défoncée qui relie Raqqa à Hassaké, longtemps considérée comme le grenier à blé de la Syrie, les propriétés agricoles autrefois florissantes sont difficiles à deviner dans la poussière. La Syrie a été confrontée cet été à la pire sécheresse depuis 36 ans. « La saison est très mauvaise, le climat est trop sec et il fait trop chaud. Et l'hiver dernier, il n'a pas plu, donc il n'y a plus d'eau dans les puits. » D'un ample geste de la main, Oum Raly embrasse son domaine : là le coton, ici les blés… Mais il n'y a pas grand-chose à voir : la surface cultivée s'est réduite à peau de chagrin. Ici, il faut désormais creuser à plus de 300 mètres pour dénicher un peu d'eau : « Avant, nous pompions l'eau grâce à des moteurs, mais le diesel est devenu trop cher. Alors, nous nous sommes endettés pour les remplacer par des panneaux solaires. Ici, chaque famille envoie un fils travailler en Allemagne ou en Turquie et ils renvoient de l'argent tous les ans. D'ici deux ans, peut-être que nous aurons remboursé nos dettes. » À écouter aussiSyrie: la sécheresse et le manque d'eau, un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir D'autres n'ont pas cette possibilité. Plus loin, sur la route, une femme, arrosoir à la main, le dos courbé, humecte péniblement son champ dont le sol est nervuré de larges crevasses : « Nous n'avons fait aucun profit cette saison, il a fallu que nous vendions tous nos moutons pour financer l'agriculture. Mais c'est un échec, nous n'avons rien gagné grâce à la terre. Si nous pouvions, nous partirions, mais pour aller où ? » Le blé, une ressource en chute libre Le Programme alimentaire mondial évalue une baisse de 40% de la production de blé en Syrie, une chute libre surveillée de près par les autorités kurdes. À Qamishli, Noursheen administre l'une des nombreuses boulangeries étatiques du nord-est syrien, véritable usine à pain : « Nous sommes confrontés à une crise du blé et de l'eau. Nous recevons encore de la farine et nous pouvons faire du pain tous les jours. Mais les quantités sont limitées et nous devons puiser dans les stocks des années précédentes, la qualité du pain s'en ressent. » Dans son dos, les galettes fumantes défilent sur un tapis, elles seront vendues à prix réduit à la population. Le pain est largement subventionné par les autorités kurdes en prise avec le pouvoir de Damas, une autre source d'inquiétude pour cet ouvrier : « Avec l'ancien régime, nous pouvions encore échanger du blé contre du pétrole. Mais là, le gouvernement de transition a coupé les routes et isole certaines régions kurdes, ils veulent mettre la pression sur l'administration autonome, et ça affecte la production de pain ! » À écouter aussiSyrie: la région de Deraa frappée par une pénurie d'eau sans précédent Avec ces contraintes politiques et climatiques, le prix du pain a doublé en quelques mois. De 1 500 livres syriennes le sac, il se vend désormais 3 000, soit un peu plus d'un dollar. Pour les habitants des quartiers modestes de Qamishli, comme Hamid, cette hausse des prix est alarmante : « Notre peuple est pauvre ! Il faudrait que l'administration fournisse le carburant et le pain sans chercher à faire de profit pour le soutenir. » Alors que se négocient âprement les conditions de la réunification du pays, les autorités du nord-est syrien sont vigilantes à préserver les bases du contrat social, et à ne pas laisser s'installer un climat de défiance.
En Syrie, les agriculteurs du nord-est du pays ont été confrontés cet été à un nouvel épisode de sécheresse dramatique, notamment pour les récoltes de blé, une ressource pourtant indispensable à la population dont le pain représente la base de l'alimentation. La situation suscite l'inquiétude quant à la capacité de l'administration autonome du nord-est syrien (AANES) – l'entité politique dominée par les Kurdes en charge de la région – à poursuivre la distribution de pains subventionnés, à la base du contrat social du Rojava. De notre correspondant de retour de Qamishli, Le long de la route défoncée qui relie Raqqa à Hassaké, longtemps considérée comme le grenier à blé de la Syrie, les propriétés agricoles autrefois florissantes sont difficiles à deviner dans la poussière. La Syrie a été confrontée cet été à la pire sécheresse depuis 36 ans. « La saison est très mauvaise, le climat est trop sec et il fait trop chaud. Et l'hiver dernier, il n'a pas plu, donc il n'y a plus d'eau dans les puits. » D'un ample geste de la main, Oum Raly embrasse son domaine : là le coton, ici les blés… Mais il n'y a pas grand-chose à voir : la surface cultivée s'est réduite à peau de chagrin. Ici, il faut désormais creuser à plus de 300 mètres pour dénicher un peu d'eau : « Avant, nous pompions l'eau grâce à des moteurs, mais le diesel est devenu trop cher. Alors, nous nous sommes endettés pour les remplacer par des panneaux solaires. Ici, chaque famille envoie un fils travailler en Allemagne ou en Turquie et ils renvoient de l'argent tous les ans. D'ici deux ans, peut-être que nous aurons remboursé nos dettes. » À écouter aussiSyrie: la sécheresse et le manque d'eau, un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir D'autres n'ont pas cette possibilité. Plus loin, sur la route, une femme, arrosoir à la main, le dos courbé, humecte péniblement son champ dont le sol est nervuré de larges crevasses : « Nous n'avons fait aucun profit cette saison, il a fallu que nous vendions tous nos moutons pour financer l'agriculture. Mais c'est un échec, nous n'avons rien gagné grâce à la terre. Si nous pouvions, nous partirions, mais pour aller où ? » Le blé, une ressource en chute libre Le Programme alimentaire mondial évalue une baisse de 40% de la production de blé en Syrie, une chute libre surveillée de près par les autorités kurdes. À Qamishli, Noursheen administre l'une des nombreuses boulangeries étatiques du nord-est syrien, véritable usine à pain : « Nous sommes confrontés à une crise du blé et de l'eau. Nous recevons encore de la farine et nous pouvons faire du pain tous les jours. Mais les quantités sont limitées et nous devons puiser dans les stocks des années précédentes, la qualité du pain s'en ressent. » Dans son dos, les galettes fumantes défilent sur un tapis, elles seront vendues à prix réduit à la population. Le pain est largement subventionné par les autorités kurdes en prise avec le pouvoir de Damas, une autre source d'inquiétude pour cet ouvrier : « Avec l'ancien régime, nous pouvions encore échanger du blé contre du pétrole. Mais là, le gouvernement de transition a coupé les routes et isole certaines régions kurdes, ils veulent mettre la pression sur l'administration autonome, et ça affecte la production de pain ! » À écouter aussiSyrie: la région de Deraa frappée par une pénurie d'eau sans précédent Avec ces contraintes politiques et climatiques, le prix du pain a doublé en quelques mois. De 1 500 livres syriennes le sac, il se vend désormais 3 000, soit un peu plus d'un dollar. Pour les habitants des quartiers modestes de Qamishli, comme Hamid, cette hausse des prix est alarmante : « Notre peuple est pauvre ! Il faudrait que l'administration fournisse le carburant et le pain sans chercher à faire de profit pour le soutenir. » Alors que se négocient âprement les conditions de la réunification du pays, les autorités du nord-est syrien sont vigilantes à préserver les bases du contrat social, et à ne pas laisser s'installer un climat de défiance.
UROONCO BCa chief editor Dr. Benjamin Pradere (FR) interviews Prof. Maria De Santis (DE) about the result of the final analysis of the phase III, open-label, randomised POTOMAC trial: Durvalumab (D) in combination with Bacillus Calmette-Guérin (BCG) for BCG-naïve, high-risk non-muscle-invasive bladder cancer (NMIBC). This interview was recorded at ESMO 2025 in Berlin, Germany. For more updates on bladder cancer, please visit our educational platform UROONCO BCa.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
In this episode, Prof. Scott Tagawa (US), a medical oncologist at Weill Cornell Medicine in New York, discusses the results of PSMAddition - a phase III trial of [177Lu]Lu-PSMA-617 combined with ADT + ARPI in patients with PSMA-positive metastatic hormone-sensitive prostate cancer. This interview was recorded at ESMO 2025 in Berlin, Germany. For more updates on prostate cancer, please visit our educational platform UROONCO PCa.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
Interview avec Alexandra aka Shiwasou Komayaka, présidente & créatrice de l'association ICONIC. L'association œuvre pour le cosplaying notamment en organisant le prochain événement ICONSPLAY qui a lieu au Point d'Eau d'Ostwald le dimanche 26 octobre 2025.Réalisé en direct sur RBS le 22/10/25 dans le créneau 14H-18H de Pierre Liermann
At the base of Burrow Hill life moves at the pace of apples and oak. Here, Julian and daughter Matilda Temperley are testment to the value of family for carry a business such as cider and brandy forward into the next 100 years. "You have to believe in the Romance of it because you are thinking so far in advance" Matilda Temperly From orchards planted for future generations to brandy resting quietly in barrels for decades, the Temperleys embody what it means to think in centuries, not seasons. The Cider: Tradition and Terroir The mount at Burrow Hill is memorialized in ongoing instagram posts because it provides a magnificent centerpiece of endurance and beauty due to its simplicity of a lone a large sycamore tree, which has become a local landmark and symbol of the Somerset landscape. Julian Temperly began planting cider apples trees here over 50 years ago. Today there are acres of orchards in different pockets surrounding Burrow Hill. A notable 75 acre orchard that was purchased from the Showering family years ago now, is touted to be the largest standard cider apple orchard in the world. Here you find the classic Burrow Hill cider as a tannic, full-bodied, and balanced drink. The bottle-fermented Kingston Black and Stoke Red ciders are great for hang time with friends or fine dining. Every cider reflects its orchard origin, emphasizing flavor, heritage, and authenticity. Distilling Somerset's Spirit In 1989, Somerset Cider Brandy became the first licensed distiller of apple brandy in the UK since the 19th century. And they have been awarded Protected Geographical Indication (PGI) status. This status guarantees that the brandy is produced in a consistent and traditional manner within Somerset. Using unique Gazagne stills, which are continuous stills of French design, the Temperleys now have lovely range of offerings from Eau de Vie to 20-year-aged Somerset Cider Brandy. Their Pomona, is a blend of apple juice and brandy, celebrates Somerset roots. Looking Ahead The Temperly's 100-year plan focuses on replanting traditional orchards, cultivating local oak for future barrels, and sustaining multi-generational stewardship. The goal: to ensure that Burrow Hill remains a place where apples, family, and time converge into something extraordinary. Matilda Temperley in the Tasting Room at Somerset Cider & Brandy Contact info for Somerset Cider and Brandy at Burrow Hill Website: https://www.somersetciderbrandy.com Mentions in this Cider Chat 432: Ancha Gergely's Abaliget Garden Projects | Hungarian Cider Maker 431: Domaine Johanna Cécillon's Elegant Ciders | Brittany FR Totally Cider Tours - UK Cider Tour April 27th - May 3rd, 2026 French Cider Tour September 20th - 26th, 2026
UROONCO BCa chief editor Dr. Benjamin Pradere (FR) talks to Prof. Christof Vulsteke (BE) on the design and results of the phase III KEYNOTE 905/EV303 study: Perioperative (periop) enfortumab vedotin (EV) plus pembrolizumab (pembro) in participants (pts) with muscle-invasive bladder cancer (MIBC) who are cisplatin-ineligible. This interview was recorded at ESMO 2025 in Berlin, Germany. For more updates on bladder cancer, please visit our educational platform UROONCO BCa.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
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In Episode 2, “Academic career – The long and winding road?” of the series “Women in Urology: Dare to Thrive”, Dr. Amelia Pietropaolo (GB) and Dr. Carmen Mir (US) explore the opportunities and obstacles women face in building an academic career in urology. They highlight the persistence of gender gaps in leadership, the structural barriers that limit women's access to networks and senior positions, and the pressures of balancing academia with personal life.Both speakers emphasise the value of mentorship and sponsorship, sharing how role models and supportive colleagues helped them progress, while also reflecting on moments when barriers or cultural biases made the journey more difficult. They discuss positive shifts in recent years, including greater awareness of diversity at conferences and in academic societies, while questioning whether current measures go far enough.Their conversation also touches on the importance of collaboration, networking, and building resilient research communities that encourage young urologists to thrive. Finally, they share personal advice for the next generation: seek mentors, stay curious, and remember why you chose research in the first place.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
Les premières gouttes tombées du ciel sont un signal vital. Dans les déserts le plus souvent, des plantes et des animaux reprennent vie pour donner la vie. Quelques gouttes de pluie, et c'est la vie qui repart. À la première averse, les escargots sortent de leur coquille, où ils s'étaient mis en sommeil, parfois pendant trois ans dans certains déserts, pour attendre un taux d'humidité satisfaisant. Se terrer, s'enterrer, c'est le lot de toutes ces plantes et ces animaux accros au bulletin météo. Pour eux, la pluie est une bonne nouvelle, parce qu'elle réveille leur libido. C'est le cas pour un crapaud du désert australien, qui peut s'enterrer pendant deux ans. « Quand il pleut, ils vont sortir et se reproduire, explique Anthony Herrel, chercheur au Muséum national d'histoire naturelle à Paris. On connait tous le développement des têtards. Chez nous, cela prend un ou deux mois. Eux vont réduire ce cycle de vie. Le développement des têtards et leur métamorphose prennent seulement une semaine ou dix jours. Les petits vont se métamorphoser avant d'entrer dans le sable, pour attendre la prochaine pluie. » Agents dormants Quand la pluie tombe enfin, c'est une course contre la montre qui démarre, et c'est la même stratégie pour les dipneustes, des poissons « préhistoriques » dotés d'un poumon pour survivre hors de l'eau, planqués dans la boue. « Dans les périodes où l'eau n'est pas disponible, il va s'enterrer dans la boue et va créer un cocon autour de lui qui évite de perdre de l'eau. Il va attendre en état de dormance, jusqu'à ce qu'il y ait une nouvelle pluie. Il va alors sortir de son cocon et se reproduire », décrit Anthony Herrel. Des plantes aussi attendent la pluie. La rose de Jéricho se met en boule, avant de s'ouvrir et de reverdir dès les premières gouttes. Un symbole de résurrection. Comme la mousse, qui se dessèche complètement, ne respire plus, arrête la photosynthèse, en hibernation totale, et retrouve des couleurs quand la pluie revient. Il y a aussi des graines, de vrais agents dormants, enterrées dans le sable du désert d'Atacama au Chili. « C'est un désert où il y a très peu de pluie, rappelle Anthony Herrel. En revanche, au moment où la pluie arrive, le désert va se transformer complètement, avec des fleurs partout, issues de ces graines présentes dans le sol. Elles vont se reproduire dans un temps très court, et ensuite elles vont attendre que la pluie arrive. » Le cycle de la pluie est aussi celui de la vie. La question de la semaine
Cuisiner sans se polluer peut s'avérer être un vrai parcours du combattant. Inox, fonte, fer, aluminium, céramique, etc. Les propositions sur le marché sont nombreuses et parfois obscures pour le consommateur. Comment naviguer au milieu de cette offre pléthorique de poêles et de casseroles et faire le bon choix ?
La couleur de l'eau, c'est le titre de l'exposition de Nicolas Floc'h au FAB, le Festival des Arts de Bordeaux qui fête sa dixième édition. Le photographe explore depuis une dizaine d'années les fonds marins et fluviaux pour les traduire en image. Sa série de photographies, réalisée dans la Garonne qui traverse Bordeaux et l'océan où le fleuve se jette, se déploie comme autant de peintures abstraites. Des images qui invitent au rêve et au voyage. Pour aller plus loin : L'exposition La couleur de l'eau – Garonne Océan au FAB de Bordeaux Nicolas Floc'h
La couleur de l'eau, c'est le titre de l'exposition de Nicolas Floc'h au FAB, le Festival des Arts de Bordeaux qui fête sa dixième édition. Le photographe explore depuis une dizaine d'années les fonds marins et fluviaux pour les traduire en image. Sa série de photographies, réalisée dans la Garonne qui traverse Bordeaux et l'océan où le fleuve se jette, se déploie comme autant de peintures abstraites. Des images qui invitent au rêve et au voyage. Pour aller plus loin : L'exposition La couleur de l'eau – Garonne Océan au FAB de Bordeaux Nicolas Floc'h
Picture this: You're at the top of your game at Australia's biggest beauty retailer, then you quit to bet everything on bodycare. Not once, but twice. Sounds like a risky move, right? When two former beauty executives leave their dream jobs to launch a bodycare brand, the industry pays attention. When that first brand sells out in 72 hours, people take notice. But when they follow it up by launching a second brand that flies off supermarket shelves nationwide? That's when you know you're dealing with serial entrepreneurs who've cracked the code. Camille and Georgie, the founders behind Bronte and SOMA, share their journey from corporate beauty to launching two successful Australian brands. They reveal what it takes to succeed in the competitive beauty market, the personal story behind the Bronte name (featuring Camille's 99-year-old Italian grandmother), and their honest takes on cult products versus overhyped launches. PRODUCTS MENTIONED: Bronte Fragrance-Free Body Cleanser $17 Bronte Sea Salt Body Cleanser $17 Bronte Santal Body Lotion $18 SOMA Body Wash $18 Cosmetics 27 Baume 27 Advanced Formula $213 - $281 Diptyque Fragrances & Candles Maison Francis Kurkdjian Baccarat Rouge 540 Eau de Parfum $300 - $911 Glow Recipe Dew Drops $62 The Ordinary La Roche-Posay Australia FOR MORE WHERE THIS CAME FROM: Watch & Subscribe on YouTube – Watch this episode, tonight at 7pm! Catch it here. Follow us on Instagram: @youbeautypodcast Follow us on TikTok: @youbeautypod Join our You Beauty Facebook Group here For our product recommendations, exclusive beauty news, reviews, articles, deals and much more - sign up for our free You Beauty weekly newsletter here Subscribe to Mamamia here GET IN TOUCH: Got a beauty question you want answered? Email us at youbeauty@mamamia.com.au or send us a voice note on Instagram! You Beauty is a podcast by Mamamia. Listen to more Mamamia podcasts here. CREDITS: Hosts: Kelly McCarren Guest: Camille Peressini & Georgie Gilbert Producer: Sophie Campbell Audio Producer: Tegan Sadler Hydralyte is Australia’s #1 Oral Rehydration Solution**No. 1 claim based on IQVIA SCAN Mat to 26th July 2025. Just so you know — some of the links in these notes are affiliate links, which means we might earn a small commission if you buy through them. It doesn’t cost you anything extra, and it helps support the show. Happy shopping! Mamamia acknowledges the Traditional Owners of the Land we have recorded this podcast on, the Gadigal people of the Eora Nation. We pay our respects to their Elders past and present, and extend that respect to all Aboriginal and Torres Strait Islander cultures. Become a Mamamia subscriber: https://www.mamamia.com.au/subscribeSee omnystudio.com/listener for privacy information.
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In Episode 1, “Leadership ladder: Creating your path” of the series “Women in Urology – Dare to Thrive”, Dr. Amelia Pietropaolo (GB) and Prof. Maria Ribal (ES) discuss the challenges and opportunities of pursuing leadership in a traditionally male-dominated specialty. Drawing on their personal journeys, they reflect on the persistence of gender stereotypes, the experience of imposter syndrome, and the importance of building confidence through knowledge, hard work, and supportive networks.Their conversation emphasises that leadership is not about following a rigid master plan but about vision, long-term investment, and trust in one's capabilities. Both speakers highlight the transformative role of mentorship and sponsorship, the value of inclusive groups in attracting more women into urology, and the importance of respecting individuality rather than conforming to stereotypes. Practical advice for young urologists includes taking small steps, embracing networking opportunities, and being unafraid to volunteer or step outside of one's comfort zone.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
Les PFAS, autrement appelés polluants éternels, sont des substances chimiques qu'on retrouve dans les cosmétiques waterproof, les vêtements techniques… et les ustensiles de cuisine.Leur particularité ? Une liaison carbone-fluor ultra stable, ce qui les rend très résistants… et quasiment indestructibles. Résultat : ils s'accumulent partout ! Comment sommes-nous arrivés à devoir nous méfier de nos ustensiles de cuisine, de ce que nous mangeons et nous buvons ?
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In Episode 3 "Pharmaceutical preventative measures" of the series "How to prevent anxiety in children undergoing urological procedures", MSc. Gülhan Karaöz-Bulut (NL) and Dr. M. İrfan Dönmez (TR) discuss how medications can support anxiety reduction in paediatric urological care. They begin by emphasising that sedation should not be a goal on its own but part of a broader, child-centred strategy aimed at preventing trauma and building trust. The episode reviews several commonly used agents - nitrous oxide, midazolam, dexmedetomidine, clonidine and ketamine - with clear explanations of their benefits, limitations, and suitability for different procedures.The speakers provide guidance on how each medication affects the child's experience, with practical considerations such as onset time, duration, side effects and how they may impact diagnostic results. Special attention is given to the impact of sedatives on urodynamic studies, highlighting where certain agents (like dexmedetomidine or ketamine) may alter bladder function. They also address administration methods, such as intranasal and oral routes, and the importance of planning around food intake and hydration.Throughout, the discussion underscores that medication should be tailored to the individual child and procedure, always supported by experienced clinical staff. The episode closes with a strong reminder that safe and effective sedation enhances both procedural success and the child's well-being.*See references and additional research information hereFor more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
In this episode, UROLUTS chief editor Dr. Giuseppe Magistro talks to Dr. Franziska Blobel on surgical treatments for benign prostatic obstruction (BPO).For more updates on functional urology, visit UROLUTS educational platform.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
At DGU 2025 (Congress of the German Society of Urology), UROLUTS chief editor Dr. Giuseppe Magistro (DE) talks to Asst. Prof. Tamalunas (DE) about treatments for LUTS, with a focus on in vitro medicines. For more updates on functional urology, visit UROLUTS educational platform.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
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In Episode 2, “Non-pharmaceutical preventative measures" of the series "How to prevent anxiety in children undergoing urological procedures", Dr. Lisette ‘t Hoen (NL) and Dr. Sofie Schilling (NL) discuss how thoughtful, non-medication-based approaches can significantly ease procedural anxiety in children. Drawing from their experience at the Erasmus MC - Sophia Children's Hospital, they share the importance of assessing each child's age, emotional needs and prior medical experiences to tailor supportive care.The conversation highlights the critical role of communication - not only with children but also with their families - as a foundation for trust and reassurance. The speakers explain how giving children a sense of control, even in small choices, helps reduce anxiety and increase cooperation. They present a range of effective tools, including bubble play, search-and-find books, stress toys and virtual reality headsets, each adapted to the child's developmental stage.Particular attention is given to cognitive distraction techniques that actively engage a child's attention, leaving less mental space for fear. The episode also addresses what can be done during emergencies or at night when child life specialists are unavailable - emphasising that even small, simple gestures by clinical staff can have a big impact.Finally, the discussion turns to newborns, often overlooked in anxiety prevention. The speakers explain how skin-to-skin contact, pacifiers, breastfeeding, and glucose water can all contribute to a calmer, less stressful experience, even in the earliest stages of life.This episode offers highly practical insights for anyone involved in paediatric urological care - underscoring that anxiety prevention can often be achieved with empathy, creativity and the right non-pharmaceutical tools.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
UROONCO RCC associate editor Dr. Riccardo Bertolo (IT) talks to Prof. Jean-Christophe Bernhard (FR) about the lectures he presented during the ERUS25 Meeting. Prof. Bernhard discusses surgical training for the next generation of urologists, sharing practical advice and guidance to help young surgeons grow in their careers, as discussed in his Young ERUS lecture. He also shares details of his presentation on "Complex surgery of robotic nephrectomy in level 3 caval thrombus", and provides insights into treatment strategies, highlights the most critical preoperative considerations, and shares practical tips and tricks. He concludes with his opinion on whether robotic surgery represents the future for managing such challenging cases.This interview was recorded at ERUS25 in London, United Kingdom. For more updates on kidney cancer, please visit our educational platform UROONCO RCC.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
Episode 50 : Cet épisode vient clôturer la série sur les banques vertes avec un exemple de projet dans lequel peuvent investir les banques vertes pour contribuer à changer nos modes de production.Voici un projet qui consiste à former une partie de la relève agricole, les personnes Non Issues du Milieu Agricole (NIMA). L'idée de Cultive, un acteur engagé pour une agriculture plus durable, est de former la relève au maraîchage bio pour assurer une pérennité des exploitations maraîchères et ouvrir les portes d'un monde trop souvent fermé aux non-issus du milieu agricole.
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In “Episode 1” of the series "How to prevent anxiety in children undergoing urological procedures", Dr. Beatriz Bañuelos Marco (ES) and Dr. Michele Gnech (IT) discuss the basic principles of preventing anxiety, and the impact of urological procedures. Their discussion covers the core psychological and behavioural aspects that contribute to anxiety in children, particularly in the context of invasive urological procedures like catheterisation or surgery. They highlight the critical importance of preparing both the child and their caregivers, using age-appropriate language, clear explanations, and visual aids when necessary.Dr. Gnech draws on his clinical experience to underscore how even common procedures can trigger stress responses if not handled with empathy and planning. Dr. Bañuelos Marco highlights how early assessment of a child's psychological state can help tailor supportive interventions. The discussion touches on the role of hospital environments, the use of distraction techniques, and the impact of parental anxiety on children's emotional regulation.Together, they advocate for a multidisciplinary and preventative approach involving not just urologists, but also nurses, child psychologists and play therapists. The episode serves as an essential starting point for understanding how procedural anxiety can be mitigated with thoughtful communication, planning and compassion. This foundation sets the stage for more focused episodes later in the series, which will examine specific techniques and interventions.For more EAU podcasts, please go to your favourite podcast app and subscribe to our podcast channel for regular updates: Apple Podcasts, Spotify, EAU YouTube channel.
durée : 00:25:36 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - En partenariat avec le magazine "60 millions de Consommateurs" qui a publié une enquête sur l'eau du robinet, Le Mag de la vie quotidienne se demande comment boire une eau de bonne qualité directement depuis notre robinet ? Comment la filtrer efficacement ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec près de 2 kilomètres de longueur et 150 mètres de hauteur, le Grand Barrage de la Renaissance éthiopienne va dompter les eaux du Nil Bleu et va devenir aujourd'hui, jour de son inauguration par le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, la plus grande installation hydroélectrique du continent africain. Mais l'Égypte affirme que cet ouvrage est, pour elle, une « menace existentielle ». Les explications de Sonia Le Gouriellec, qui est maîtresse de conférence en science politique à l'Université catholique de Lille, en France. RFI : Qu'est ce qui va changer avec ce barrage dans la vie quotidienne des Éthiopiens ? Sonia Le Gouriellec : Je pense qu'il y a un gain énergétique important pour les Éthiopiens parce qu'ils pourront ainsi à la fois avoir de l'électricité dans leur pays et en exporter dans le reste de la région. D'autant que je crois que près de la moitié des Éthiopiens n'ont pas accès à l'électricité aujourd'hui. Tout à fait. Et puis on est dans un pays avec une démographie très forte, 130 millions d'habitants. Donc, il y a un véritable enjeu, effectivement, de fournir de l'électricité et puis aussi d'atteindre les ambitions économiques du pays, puisqu'il y a de nombreuses zones économiques spéciales qui ont été ouvertes et dont le but est de pouvoir fournir de l'électricité à tout le monde. Alors, l'Égypte est très hostile à ce barrage. Elle affirme qu'il représente une menace existentielle. Est-ce que ces craintes sont fondées ? Alors effectivement, depuis le début, l'Egypte est opposée à la construction de ce barrage. A tel point qu'on a parlé à une époque de bombardements du barrage. Et la crainte aujourd'hui, je dirais, c'est plutôt politiquement une déstabilisation de la région par l'Egypte. L'existence du barrage, ce n'est pas ça qui est véritablement contesté, puisque le barrage, il va être inauguré ce mardi. Donc il est construit, il est fait. C'est une grande réalisation. Ce qui est aujourd'hui véritablement en débat, c'est l'absence de règles claires et contraignantes de sa gestion en période de stress hydrique. L'Egypte a toujours eu une position très constante sur cette question. Toutes les exploitations possibles en amont devraient avoir un accord écrit juridiquement contraignant, avec des règles claires d'opérations, de comment on va gérer au fur et à mesure ces eaux, notamment en période de sécheresse. Et ça, pour l'instant, c'est absent. Donc, bien que Abiy Ahmed, le Premier ministre éthiopien, ait invité le Soudan et l'Egypte à venir à l'inauguration, pour eux, ça, c'est de la diplomatie, c'est des accords à l'oral, mais il n'y a rien de véritablement fixé. Et ça, ça les ennuie beaucoup. Et ce qu'on craint, c'est que le conflit puisse s'exporter sur d'autres terrains, par exemple en Somalie. Donc, la grande crainte de l'Égypte et du Soudan, c'est qu'en cas de sécheresse, les Éthiopiens ne libèrent pas le volume d'eau nécessaire qui est stocké par ce barrage pour lutter contre cette sécheresse. C'est ça ? Exactement. Et qu'on ne s'en tienne qu'à des paroles alors qu'il faudrait quelque chose d'écrit. Or, pour l'instant, vous n'avez aucun document. Il y a une absence de règles claires, contraignantes sur la gestion des eaux du Nil. En juin 2013, le président égyptien de l'époque, l'islamiste Mohamed Morsi, a déclaré publiquement que, contre ce barrage, aucune option n'était exclue. Est-ce que son successeur, son tombeur, le maréchal al-Sissi, pourrait ordonner le bombardement du barrage ? Alors je ne sais pas ce qui relève effectivement du discours politique d'annonce pour effrayer et de ce qui est techniquement possible. Il me semble que, déjà à l'époque de Morsi, ce n'était pas techniquement possible d'imaginer un bombardement. En revanche, ce qui est tout à fait possible et ce qui est en train d'être fait, c'est une façon de déstabiliser un peu plus l'Éthiopie. Et c'est quelque chose qu'on voit par exemple en Somalie en ce moment. L'Egypte a renforcé sa coopération militaire avec la Somalie, en proposant d'ailleurs de remplacer les troupes éthiopiennes par des troupes égyptiennes. Le conflit s'exporte sur ce territoire, comme ça a souvent été le cas. Et l'envoi de 3000 soldats égyptiens à la frontière du Somaliland qui s'est rapproché de l'Éthiopie, c'est peut-être une pression militaire de l'Égypte sur l'Éthiopie, c'est ça ? Tout à fait. Pression militaire sur l'Éthiopie, pression militaire aussi avec l'Érythrée puisqu'on voit qu'il y a un soutien assez explicite de l'Érythrée. Vous avez eu beaucoup de visites d'Egyptiens en Érythrée, vous l'avez eu également à Djibouti. Donc les Éthiopiens ont souvent vu la politique égyptienne dans la Corne de l'Afrique comme une volonté d'encercler l'Éthiopie. Alors autant ça pouvait parfois paraître étonnant, autant là c'est vrai qu'on peut créditer effectivement ce discours. Et ce bras de fer avec le maréchal al-Sissi, est-ce que le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed peut en tirer un avantage politique dans son pays ? Oui bien sûr, parce qu'au niveau interne en Éthiopie actuellement, la situation est instable. Et donc ce projet de barrage sur le Nil est véritablement un totem national. Et c'est ce qu'il essaye de montrer en interne en Ethiopie. Donc effectivement, plus les pays comme l'Egypte vont vouloir contrer ou faire plier l'Ethiopie, plus ça peut être un drapeau nationaliste pour les Éthiopiens. Néanmoins, il y a beaucoup de crises actuellement en Éthiopie parce qu'il y a eu la guerre au Tigré entre 2020 et 2022, et vous avez encore des affrontements aujourd'hui en région Amhara et en région de l'Oromia. Alors il y a les médias pro Abiy Ahmed qui glorifient le moment, ça très clairement, mais on voit un petit peu moins ce barrage dans les médias du Tigré, en pays Amhara, etc, puisqu'ils sont véritablement concentrés sur les défis internes et les conflits qui ont lieu actuellement. À lire aussiGrand barrage de la Renaissance: des revenus d'un milliard de dollars par an pour l'Éthiopie?
Ce mardi 9 septembre, les enjeux du mégabarrage éthiopien sur le Nil et sur les pays environnants ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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Pesticides, médicaments, microplastiques : l'eau courante est de plus en plus polluée. D'où cette question : faut-il encore boire l'eau du robinet ? Pour y répondre, nous recevons Fabrice Nicolino, journaliste spécialisé sur les questions écologiques, et auteur de “C'est l'eau qu'on assassine”, aux éditions Les liens qui libèrent.Interview réalisée par Maxime Thuillez, à l'académie du climatHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Berlin vit la plus importante transformation de son histoire. Comme d'autres grandes villes dans le monde, la capitale allemande et ses quatre millions d'habitants doivent faire vite pour s'adapter aux effets du changement climatique. La municipalité a donc adopté un nouveau concept : celui de la « ville-éponge ». Il s'agit de permettre à la terre d'absorber l'eau. Ou bien de la collecter pour la rendre ensuite disponible en période de sécheresse. (Rediffusion) Depuis 2018, pour chaque nouvelle construction, plus aucune goutte de pluie ne doit partir dans les canalisations. Cela pose des défis considérables et oblige à trouver des solutions innovantes. « Berlin, ville éponge : sur la voie de l'adaptation au changement climatique », un Grand reportage de Stefanie Schüler.
Au menu de l'actualité :Une personne sur quatre dans le monde n'a pas accès à l'eau potableRDC : à Goma, l'accès à l'eau potable connaît une améliorationRCA : les médias s'efforcent de lutter contre la désinformation Présentation : Jérôme Bernard
La Syrie fait face à son été le plus sec depuis 60 ans. Les pertes en blé sont massives : environ 75% des terres cultivables sont touchées d'après l'ONU, ce qui menace la sécurité alimentaire de plus de 16 millions de personnes. Dans la région de Deraa, l'une des plus agricoles du pays, les barrages sont à sec et les agriculteurs inquiets. De notre envoyée spéciale de retour de Deraa, Le barrage d'Ibta ne ressemble plus qu'à un cratère calciné : une coulée de sable, des crevasses, des fissures et tout autour, des champs brûlés. Avec les années, les agriculteurs sont tous partis, raconte Yaza, 19 ans, jeune berger comme son père et son grand-père avant lui. « Cette année, c'est pire que tout. Nous n'avons plus assez d'eau, plus assez de plantes pour nourrir nos moutons », témoigne-t-il. En un an, son troupeau a été décimé. Il a perdu la moitié de ses moutons, qui meurent un à un. Dans la région de Deraa, tout le monde vous le dira : en 60 ans, il n'y a jamais eu de pénurie d'eau d'une telle ampleur. La faute à un hiver sans précipitations, aux effets du changement climatique, mais aussi, dans le sud du pays, aux incursions israéliennes qui s'emparent des ressources stratégiques en eau. Au lendemain de la chute du régime de Bachar el-Assad, ces dernières se sont déployées dans la zone tampon démilitarisée du Golan, et sont depuis accusées de prendre possession des ressources stratégiques en eau. « Ils ont pris le contrôle de barrages stratégiques, des barrages qui étaient des sources d'eau, affirme Aref, un agriculteur. Depuis, il n'y a plus d'eau pour personne. » À lire aussiLa Syrie fait face à une sécheresse extrême engendrée par le changement climatique « Tous les arbres fruitiers sont asséchés cette année » Ici, plus qu'ailleurs encore, les effets de ce stress hydrique sont visibles. La région est l'une des plus agricoles du pays, surnommée le « grenier » de la Syrie. « Même les oliviers, les pêchers, les pruniers... Tous les arbres fruitiers sont asséchés cette année », nous affirme Abu Aysam, également agriculteur, en empilant une à une ses cagettes de pommes de terre. De ses hectares de champs, il ne cultive cette année que la moitié. Cette sécheresse est aggravée par les effets des politiques menées par le clan Assad. Avant sa chute, le régime a soigneusement pillé les puits et conduits d'eau des quartiers et villes révolutionnaires, compliquant aujourd'hui l'irrigation des terres, mais aussi celle des villes, jusqu'à la capitale, Damas. Avec son association Al-Seeraj, Kinan Al Kudsi, franco-syrien, s'est donné la mission de réhabiliter les 22 puits de la banlieue sud de Damas : « On estime que rien qu'à Damas, 500 puits ne fonctionnent pas. » Dans le bureau du centre de pompage, la plupart des panneaux électriques sont encore éteints. Coût du projet : 150 000 dollars. « L'État ne nous donne pas les fonds nécessaires. Mais si tu veux reconstruire le pays, la première chose, c'est de reconstruire le système d'eau... », poursuit-il. Tout à coup, la pluie tombe. Au milieu de la chaleur de l'été – quelque 48°C –, tout le monde se rue dehors. Pas question, pour Kinan, de perdre une occasion de se rafraîchir. À lire aussiSyrie: la sécheresse et le manque d'eau, un défi de plus pour la population et le nouveau pouvoir