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L'émission 28 minutes du 21/04/2025 Découvrez ou redécouvrez les meilleurs moments de 28 minutes !Au programme : le comédien et écrivain Panayotis Pascot raconte son passage à l'âge adulte dans son dernier spectacle, l'astrophysicienne Françoise Combes nous aide à mieux comprendre l'Univers et le neurologue Lionel Naccache nous donne les dernières nouvelles du cerveau. Le comédien Vincent Dedienne évoque son adolescence et sa passion pour Jean-Luc Lagarce. Puis Claire Nouvian, fondatrice et présidente de l'association BLOOM, détaille son combat pour protéger les océans de la pêche industrielle. Pour finir, l'explorateur Nicolas Dubreuil nous conte son amour du pôle Nord et des Inuits. Retour sur deux débats de société qui interrogent notre avenir : l'épidémie d'obésité qui représente un défi majeur pour la santé mondiale au 21e siècle et l'avenir de l'avion. L'avion 100 % écolo, c'est pour bientôt ?Enfin, Xavier Mauduit évoque l'histoire du mont McKinley, nommé d'après l'ancien président républicain William McKinley. Marie Bonnisseau nous fait découvrir le blobfish, élu poisson de l'année malgré sa laideur. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 21 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Vincent Dedienne est impressionnant dans le seul en scène « Il ne m'est jamais rien arrivé », adapté des carnets d'écriture du dramaturge Jean-Luc Lagarce. Il y a un phénomène d'identification. L'auteur accumule les rencontres d'un soir. Il mentionne les morts de célébrités. Malheureusement le Sida s'invite dans sa vie et va transformer son existence. Rendez-vous à 19 heures du jeudi au samedi au Théâtre de l'Atelier A 21 heures en semaine, vous pouvez découvrir « Juste la fin du monde ». Vincent Dedienne interprète magnifiquement Louis. Celui-ci rend visite à sa famille après des années d'absence. Il doit leur annoncer qu'il est malade et qu'il va bientôt mourir. Mais il ne parvient pas à raconter son histoire. Les autres vont parler pour lui. J'ai aimé l'interprétation de Céleste Brunnquell. Cela se passe au Théâtre de l'Atelier, 1 place Charles Dullin dans le 18ème, métro Abbesses Vous avez jusqu'au 22 mars pour profiter de ces deux événements. Et sachez que le Théâtre de l'Atelier est équipé d'un accès pour les personnes à mobilité réduite en orchestre. Crédit Photo : Christophe Raynaud de Lage
durée : 00:05:29 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Il est à l'affiche du théâtre de l'Atelier à Paris dans deux spectacles : "Juste la fin du monde" de Jean-Luc Lagarce et "Il ne m'est jamais rien arrivé", tiré du journal intime de Lagarce. Au micro de Frédéric Pommier. Vincent Dedienne évoque "Manèges" d'Anne Sylvestre, sa chanteuse préférée.
Aujourd’hui dans La Librairie des étudiants, nous ouvrons une pièce de théâtre moderne devenue incontournable : Juste la fin du monde de Jean-Luc Largarce. Louis revient chez lui, auprès de sa mère et de son frère, après des années sans ‘être trop... Continue Reading →
durée : 00:06:20 - "Juste la fin du Monde" de Jean-Luc Lagarce, par Johanny Bert
durée : 00:54:43 - Le grand atelier - par : Vincent Josse, Virginie ROUZIC - Vincent Dedienne honore Jean-Luc Lagarce au théâtre de l'Atelier. Il joue dans "Juste la fin du monde" et propose une création à partir de ses journaux. Et c'est avec un passionné d'aventures et de chasse au trésor qu'il partage le studio : Julien Alvarez, des éditions du Trésor. - invités : Vincent DEDIENNE - Vincent Dedienne : Comédien et humoriste français - réalisé par : Lucie Lemarchand
durée : 00:28:55 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - 30 ans après la mort en 1995 de Jean-Luc Lagarce, le metteur en scène Johanny Bert et le comédien Vincent Dedienne mettent à l'honneur cette grande figure du théâtre dans une adaptation de son journal, "Il ne m'est jamais rien arrivé" et de sa pièce "Juste la fin du monde". - réalisation : Laurence Malonda - invités : Vincent Dedienne Comédien et humoriste français; Johanny Bert Metteur en scène, comédien, marionnettiste
L'émission 28 minutes du 30/01/2025 L'enfant de la télé Vincent Dedienne joue au théâtre ce soirTrente ans après la disparition de Jean-Luc Lagarce, le Théâtre de l'Atelier redonne vie à deux de ses textes, “Juste la fin du monde” et “Il ne m'est jamais rien arrivé”, une adaptation par Vincent Dedienne du journal intime du dramaturge. Jean-Luc Lagarce est mort du sida à l'âge de 38 ans. Dans “Juste la fin du monde”, Vincent Dedienne incarne Louis, qui retourne en province pour annoncer la nouvelle de sa mort prochaine à sa famille. Les retrouvailles ne vont pas se passer comme prévu : sa mère, sa sœur et son frère en profitent pour lui dire ce qu'ils ont sur le cœur. Jouer ces deux textes ne relève pas du hasard : “Ça m'a semblé intéressant de faire un parallèle, un diptyque entre ce personnage qui vient dire une nouvelle fondamentale, “je vais mourir”, qui ne dit rien, dont les membres de la famille ignorent absolument tout de sa vie qui se passe à Paris ; et de l'autre côté il y a le journal où l'auteur dit tout”, explique Vincent Dedienne. Hausse des tarifs des complémentaires santé : faut-il nationaliser la Sécu ?L'association de consommateurs UFC-Que choisir a appelé à réformer le mode de financement des remboursements des consultations médicales. Elle assure qu'"aujourd'hui, 4% de la population [en France], soit 2,6 millions de personnes, n'ont pas de complémentaires santé. Ce modèle obsolète aggrave les fractures sociales", selon elle. De leur côté, les complémentaires se défendent, mettant en avant un vieillissement de la population qui entraîne une hausse des dépenses de santé, ainsi que les prix élevés des médicaments innovants et une augmentation des tarifs des consultations médicales. UFC-Que choisir souhaiterait changer de modèle en s'inspirant de celui déjà envisagé par le gouvernement fin 2022 : la création d'une "Grande Sécu". Elle impliquerait la prise en charge à 100% des soins “essentiels” par l'Assurance maladie. Les soins supplémentaires et non essentiels resteraient du ressort des complémentaires santé. Enfin, Xavier Mauduit nous raconte l'origine des néonicotinoïdes après le vote du Sénat en faveur de la réintroduction des néonicotinoïdes tueurs d'abeilles. Marie Bonnisseau évoque une découverte surprenante au Danemark qui date de plus de 66 millions d'années… un morceau de vomi fossilisé !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 janvier 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Trente ans après sa disparition, que reste-t-il des mots et du théâtre de Jean-Luc Lagarce ? Jean-Luc Lagarce, auteur et metteur en scène et mort des suites du SIDA en 1995 est mis à l'honneur au Théâtre de l'Atelier avec les pièces «Il ne m'est jamais rien arrivé» et «Juste la fin du monde», pièces dans lesquels il aborde les questions de l'homosexualité ou de la maladie, mais aussi les relations familiales, l'amour, la rivalité. Invité : François Berreur, fondateur des éditions Les Solitaires Intempestifs et Loïc Riewer qui joue dans la pièce «Juste la fin du Monde».
Trente ans après sa disparition, que reste-t-il des mots et du théâtre de Jean-Luc Lagarce ? Jean-Luc Lagarce, auteur et metteur en scène et mort des suites du SIDA en 1995 est mis à l'honneur au Théâtre de l'Atelier avec les pièces «Il ne m'est jamais rien arrivé» et «Juste la fin du monde», pièces dans lesquels il aborde les questions de l'homosexualité ou de la maladie, mais aussi les relations familiales, l'amour, la rivalité. Invité : François Berreur, fondateur des éditions Les Solitaires Intempestifs et Loïc Riewer qui joue dans la pièce «Juste la fin du Monde».
durée : 00:11:13 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - Le comédien et humoriste Vincent Dedienne a adapté le Journal de l'auteur Jean-Luc Lagarce dans la pièce "Il ne m'est jamais rien arrivé", qu'il joue en alternance avec la pièce du même auteur "Juste la fin du monde", mise en scène par Johanny Bert au Théâtre de l'Atelier. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Vincent Dedienne Comédien et humoriste français
durée : 00:11:13 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - Le comédien et humoriste Vincent Dedienne a adapté le Journal de l'auteur Jean-Luc Lagarce dans la pièce "Il ne m'est jamais rien arrivé", qu'il joue en alternance avec la pièce du même auteur "Juste la fin du monde", mise en scène par Johanny Bert au Théâtre de l'Atelier. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Vincent Dedienne Comédien et humoriste français
Vincent Dedienne ne fait rien comme tout le monde. Plutôt que de jouer une pièce, il en jouera deux à la suite. A partir du 15 janvier, en soirée Il interprètera avec en troupe “Juste la fin du monde”, une pièce écrite par Jean-Luc Lagarce mais....et seulement à compter du 23 janvier et à 19h “Il ne m'est jamais rien arrivé” vous pourrez également le voir une 1ère fois seul sur scène. Vincent Dedienne lira un condensé des journaux intimes du même Lagarce. Heureusement, tout ça se passe au même endroit, au théâtre de l'Atelier à Paris.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
durée : 00:18:49 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Le comédien Vincent Dedienne démarre l'année 2024 avec un double projet théâtral ambitieux autour de Jean-Luc Lagarce, l'un de ses auteurs de prédilection. À l'occasion des 30 ans de la disparition de l'auteur, il présente au Théâtre de l'Atelier deux créations en alternance - invités : Vincent DEDIENNE - Vincent Dedienne : Comédien et humoriste français
durée : 00:18:49 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Le comédien Vincent Dedienne démarre l'année 2024 avec un double projet théâtral ambitieux autour de Jean-Luc Lagarce, l'un de ses auteurs de prédilection. À l'occasion des 30 ans de la disparition de l'auteur, il présente au Théâtre de l'Atelier deux créations en alternance - invités : Vincent DEDIENNE - Vincent Dedienne : Comédien et humoriste français
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnement Une conversation entre Hervé Pierre et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 2 décembre 2022. Hervé Pierre est un comédien et metteur en scène, ex-sociétaire de la Comédie Française qu'il a quittée à l'été 2022. Dans ces badas il revient sur sa longue et riche carrière dans laquelle il a fréquenté de nombreux artistes comme Jean-Louis Hourdin, Jean-Luc Lagarce ou Eric Ruf. Il parle de sa passion pour le théâtre dans lequel il a toujours baigné, mais aussi de son apprentissage à l'Ecole du Théâtre National de Strasbourg. Un parcours marqué par des convictions et un constant amour du jeu.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnement Une conversation entre Hervé Pierre et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 2 décembre 2022. Hervé Pierre est un comédien et metteur en scène, ex-sociétaire de la Comédie Française qu'il a quittée à l'été 2022. Dans ces badas il revient sur sa longue et riche carrière dans laquelle il a fréquenté de nombreux artistes comme Jean-Louis Hourdin, Jean-Luc Lagarce ou Eric Ruf. Il parle de sa passion pour le théâtre dans lequel il a toujours baigné, mais aussi de son apprentissage à l'Ecole du Théâtre National de Strasbourg. Un parcours marqué par des convictions et un constant amour du jeu.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Nous sommes aujourd'hui au Galpon pour la pièce "J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne" de Jean-Luc Lagarce dans une mise en scène d'Elidan Arzoni jusqu'au 26 mai. C'est une pièce où cinq femmes, dans l'attente interminable du retour du fils, racontent leurs vies perdues et leurs espoirs déformés par la mémoire. Statique et mystérieux le texte, explore le thème de l'attente entre la vie et la mort. Elidan Arzoni, le metteur en scène de la pièce nous en parle.
https://www.aufonddelaclasse.com/Dans l'Épilogue de Juste la fin du monde, Louis, qui n'a pas révélé le secret qu'il était venu dire, évoque sa propre mort et son besoin irrésistible de « pousser un grand et beau cri, / un long et joyeux cri qui résonnerait dans toute la vallée ». Un dernier cri jamais poussé : « Je me remets en route avec seul le bruit de mes pas sur le gravier. / Ce sont des oublis comme celui-là que je regretterai. ». N'est-ce pas ici Lagarce lui-même qui parle ? Sa pièce n'est-elle pas à entendre comme le cri intérieur qu'il pousse lui-même ? Lagarce se sait condamné par la maladie, le SIDA, environ sept ans avant sa mort. Au printemps 1990, il reçoit le prix Léonard-de-Vinci et part trois mois à Berlin où il rédige Juste la fin du monde. D'après Michel Raskine, à son retour en France, très peu sont ceux qui comprennent et acceptent cette pièce. La dimension autobiographique de la pièce est évidente et très émouvante. C'est un projet très personnel de l'auteur, qui trouve son origine dans des moments vécues (la crise personnelle de juillet 1983, mentionnée dans le Journal de Lagarce, les relations souvent tendues que l'auteur a entretenues avec sa famille, sa maladie tenue secrète.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:27:05 - Fictions / Théâtre et Cie - Le fils retourne dans sa famille pour l'informer de sa mort prochaine. Ce sont les retrouvailles avec le cercle familial où l'on se dit l'amour que l'on se porte à travers les éternelles querelles. De cette visite qu'il voulait définitive, le fils repartira sans avoir rien dit.
durée : 01:27:05 - Fictions / Théâtre et Cie - Le fils retourne dans sa famille pour l'informer de sa mort prochaine. Ce sont les retrouvailles avec le cercle familial où l'on se dit l'amour que l'on se porte à travers les éternelles querelles. De cette visite qu'il voulait définitive, le fils repartira sans avoir rien dit.
Elmano Sancho e Mª João Falcão falam de “Últimos remorsos antes do esquecimento”, peça do francês Jean-Luc Lagarce, estreia absoluta em Portugal, em cena no Teatro Municipal Mirita Casimiro, CascaisSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Les mots sont-ils toujours un outil fiable lorsque l'on a quelque chose de difficile à dire ? Peuvent-ils exprimer correctement les doutes, les peurs, les maladresses ? C'est ce que nous allons essayer de voir aujourd'hui dans l'épisode 4 des Mots pansements. 1 oeuvre au programme du jour : "Juste la fin du monde" mais sous deux formes : la pièce de théâtre de Jean-Luc Lagarce et l'adaptation cinématographique de Xavier Dolan. Pensez à vous abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes ! Prenez soin de vous
Spaudos apžvalgoje – žurnalas „Metai“.Pernai minėjome „Aušros“ muziejaus įkūrimo iniciatoriaus Pelikso Bugailiškio 140-ąsias gimimo metines, o dabar Teismų muziejuje Šiauliuose rodoma ir jam skirta paroda. Joje eksponuojama per pusantro šimto įvairių Bugailiškiui priklausiusių dokumentų, asmeninių daiktų, leidinių. Aušros Kaminskaitės teatro įžvalgos. Neringos muziejai organizuoja pirmąjį renginį Nidoje, skirtą Švyturių metams.Vilniaus senajame teatre (VST) savaitgalį laukiama premjera – spektaklis ,,Aš buvau namuose ir laukiau, kol ateis lietus“ pagal prancūzų dramaturgo Jean-Luc Lagarce pjesę.Senojoje Gegužinėje, kaime Kaišiadorių rajone, Benjaminas ir Rolandas Bortkūnai atgaivino savo senelių sodybą. Čia architektai pastatė dvarelį, kuris atkartoja senąją kaimo architektūrą. Kaip sako Senosios Gegužinės ūkio šeimininkas, šis namas – tai pavyzdys, kaip liaudies architektūra gali būti pritaikyta šioms dienoms.Vasario 18-ąją legendiniam aktoriui Johnui Travoltai sueis 70 metų. Per pusšimtį amžiaus jo filmografijoje labiausiai įsimintini kūriniai – sukurti 8-9 dešimtmečiais.LRT KLASIKOS viktorina. Ved. Karolina Bieliauskaitė
Tan solo el fin del mundo, de Jean-Luc Lagarce y dirigido por Israel Elejalde, en las Naves del Español. Una historia sobre la familia y la muerte. Te lo cuento en detalle, en Mucha mierda #10 --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/mucha-mierda8/message
La actriz Irene Arcos ha pasado por los micrófonos de Madrid Directo con Nieves Herrero para presentar la obra de teatro que protagoniza en las Naves del Matadero Tan solo el fin del mundo de Jean Luc Lagarce. La representación está dirigida por Israel Elejalde y cuenta en el reparto con María Pujalte, Raúl Prieto o Eneko Sagardoy además de Irene Arcos. La actriz ha dicho que “a muchas mujeres nos han enseñado a aplacar el instinto e ir por zonas seguras”, también que “el trabajo del director, Israel Elejalde, en esta obra de teatro es espectacular” y que “esta función remueve”.
Israel Elejalde dirige esta obra del dramaturgo francés Jean- Luc Lagarce, que habla del regreso a casa de un joven a punto de morir y cuya vuelta reabre viejas tensiones familiares. Hablamos con Elejalde y con dos de los actores, Raúl Prieto e Irene Arcos, de esta pieza llena de poesía
durée : 01:46:02 - Fictions / Théâtre et Cie - Adaptation du Journal de Jean-Luc Lagarce par François Berreur, rediffusion de cette fiction en hommage à Lucien Attoun, créateur de Théâtre Ouvert à Paris (lieu d'enregistrement de cette fiction), Lucien Attoun disparu le 28 avril dernier.
durée : 01:46:02 - Fictions / Théâtre et Cie - Adaptation du Journal de Jean-Luc Lagarce par François Berreur, rediffusion de cette fiction en hommage à Lucien Attoun, créateur de Théâtre Ouvert à Paris (lieu d'enregistrement de cette fiction), Lucien Attoun disparu le 28 avril dernier.
La saison 1 de Dramathis est produite par Madmoizelle.Tous les quinze jours, une courte critique pour analyser un enjeu du théâtre.Dramathis est un podcast écrit, incarné, réalisé, produit et mis en musique par Mathis Grosos. Pour plus de recos, retrouvez mes vidéos sur Tik Tok et sur Instagram. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bada # 187 : Si c'est pour la Culture, on a déjà donné (92) / 3 mai 2023.Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne conversation entre Hervé Pierre et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 2 décembre 2022.Hervé Pierre est un comédien et metteur en scène, ex-sociétaire de la Comédie Française qu'il a quitté à l'été 2022.Dans ces badas il revient sur sa longue et riche carrière dans laquelle il a fréquenté de nombreux artistes comme Jean-Louis Ourdin, Jean-Luc Lagarce ou Eric Ruf. Il parle de sa passion pour le théâtre dans lequel il a toujours baigné, mais aussi de son apprentissage à l'Ecole du Théâtre National de Strasbourg. Un parcours marqué par des convictions et un constant amour du jeu.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Bada # 185 : Si c'est pour la Culture, on a déjà donné (91) / 26 avril 2023.Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne conversation entre Hervé Pierre et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 2 décembre 2022.Hervé Pierre est un comédien et metteur en scène, ex-sociétaire de la Comédie Française qu'il a quitté à l'été 2022.Dans ces badas il revient sur sa longue et riche carrière dans laquelle il a fréquenté de nombreux artistes comme Jean-Louis Ourdin, Jean-Luc Lagarce ou Eric Ruf. Il parle de sa passion pour le théâtre dans lequel il a toujours baigné, mais aussi de son apprentissage à l'Ecole du Théâtre National de Strasbourg. Un parcours marqué par des convictions et un constant amour du jeu.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Bada # 184 : Si c'est pour la Culture, on a déjà donné (90) / 19 avril 2023.Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne conversation entre Hervé Pierre et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 2 décembre 2022.Hervé Pierre est un comédien et metteur en scène, ex-sociétaire de la Comédie Française qu'il a quitté à l'été 2022.Dans ces badas il revient sur sa longue et riche carrière dans laquelle il a fréquenté de nombreux artistes comme Jean-Louis Ourdin, Jean-Luc Lagarce ou Eric Ruf. Il parle de sa passion pour le théâtre dans lequel il a toujours baigné, mais aussi de son apprentissage à l'Ecole du Théâtre National de Strasbourg. Un parcours marqué par des convictions et un constant amour du jeu.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Bada # 183 : Si c'est pour la Culture, on a déjà donné (89) / 12 avril 2023.Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne conversation entre Hervé Pierre et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 2 décembre 2022.Hervé Pierre est un comédien et metteur en scène, ex-sociétaire de la Comédie Française qu'il a quitté à l'été 2022.Dans ces badas il revient sur sa longue et riche carrière dans laquelle il a fréquenté de nombreux artistes comme Jean-Louis Ourdin, Jean-Luc Lagarce ou Eric Ruf. Il parle de sa passion pour le théâtre dans lequel il a toujours baigné, mais aussi de son apprentissage à l'Ecole du Théâtre National de Strasbourg. Un parcours marqué par des convictions et un constant amour du jeu.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Ce petit livre de Jean-Luc Lagarce rassemble plusieurs de ses écrits, articles et éditoriaux pour le théâtre. Sous une forme très libre, il partage au lecteur sa vision du monde et son approche singulière de la vie d'auteur, de comédien et de metteur en scène. Décalés et volontiers provocateurs, les passages présentés ici proviennent d'un calendrier rédigé pour la saison 1993-1994 du Théâtre de la Roulotte. Entre les lignes, on entend la voix du metteur en scène au travail avec sa compagnie, toujours en mouvement dans le jeu comme dans la vie. Une voix qui parle comme elle écrit, pour ceux qui s'avancent dans la lumière. Le texte de ce fragment est à retrouver sur le site fragmentslus.com Jean-Luc Lagarce, Du luxe et de l'impuissance – Éditions Les Solitaires Intempestifs 2008 Crédits musique : Calore Umano - Redo Lucchetti ©Picci 1972
Cet épisode de Dramathis évoque à la fois « Music Hall » et « Les règles du savoir vivre dans la société moderne », deux pièces de Jean-Luc Lagarce où Catherine Hiegel se montre au sommet de son art dans une mise en scène de Marcial Di Fonzo Bo.Dramathis est la chronique théâtre de Madmoizelle, dix à quinze minutes pour rire, apprendre et dramatiser. Parce que la vie sans drama, c'est comme une blague sans chute.Dramathis est écrit, réalisé et incarné par Mathis Grosos, mis en images par Audrey Godefroy, photographies de Emilie Rappeneau, promu par Hannah Monange et produit par Madmoizelle. Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos.Retrouvez Mathis sur instagram (@mathisgrosos) pour plus de recos théâtre ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode de Dramathis évoque à la fois « Music Hall » et « Les règles du savoir vivre dans la société moderne », deux pièces de Jean-Luc Lagarce où Catherine Hiegel se montre au sommet de son art dans une mise en scène de Marcial Di Fonzo Bo.Dramathis est la chronique théâtre de Madmoizelle, dix à quinze minutes pour rire, apprendre et dramatiser. Parce que la vie sans drama, c'est comme une blague sans chute.Dramathis est écrit, réalisé et incarné par Mathis Grosos, mis en images par Audrey Godefroy, photographies de Emilie Rappeneau, promu par Hannah Monange et produit par Madmoizelle. Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos.Retrouvez Mathis sur instagram (@mathisgrosos) pour plus de recos théâtre ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épilogue, Louis semble revenir d'entre les morts pour nous confier les clés de ses choix, de son absence et du silence qu'il a gardé jusqu'au bout. La petite anecdote du cri manqué a une dimension symbolique, et l'on devine que la véritable tragédie, ce n'est pas tant la mort du personnage que le silence final et l'oubli. Mais paradoxalement, par l'écriture théâtrale, le récit de l'échec vient conjurer l'échec, et lui donne du sens. Avec cet épilogue, Jean-Luc Lagarce nous invite à redécouvrir la pièce, comme si elle était un long et beau cri…
Le théâtre classique nous avait habitués à des répliques ciselées, des arguments déjà longuement mûris, une pensée qui se conçoit bien et s'énonce clairement, des alexandrins équilibrés… Et voilà qu'on découvre chez Jean-Luc Lagarce des vers libres très longs ou très courts, des personnages qui hésitent, qui se reprennent et se corrigent sans cesse... Ces tâtonnements, c'est la fameuse figure de l'épanorthose : reformuler pour mieux dire. Mais Lagarce précise bien “au-delà du raisonnable”, comme s'il ne s'agissait pas tant de mieux dire, que d'insister sur une parole insuffisante, des doutes, des silences, qui dépassent la parole elle-même, pour révéler des crises. Dans quelle mesure la parole permet-elle d'exprimer les crises qui hantent cette pièce de Jean-Luc Lagarce ?
Retrouvez sur la chaîne youtube de CLAPOTEE des méthodologies, des lectures linéaires, de la grammaire !! C'est par ici : https://youtu.be/TrdPMJzhtBY Les sujets proposés en 2021 : CHOIX 1 Sujet A Œuvre : Victor Hugo, Les Contemplations, livres I à IV Parcours : les mémoires d'une âme. Dans la préface des Contemplations, Victor Hugo décrit son recueil comme un miroir tendu aux lecteurs. En quoi cette image rend-elle compte de votre lecture des quatre premiers livres du recueil ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant sur les livres I à IV du recueil de Victor Hugo, sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle. Sujet B Œuvre : Baudelaire, Les Fleurs du Mal Parcours : alchimie poétique : la boue et l'or. On a reproché à Baudelaire de « tout peindre, de tout mettre à nu » dans son recueil Les Fleurs du Mal. Qu'en pensez-vous ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant sur le recueil de Charles Baudelaire, sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle. Sujet C Œuvre : Guillaume Apollinaire, Alcools Parcours : modernité poétique ? La poésie de Guillaume Apollinaire s'invente-t-elle en rejetant le passé ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant sur le recueil Alcools, sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle. CHOIX 2 Sujet A Œuvre : Molière, Le Malade imaginaire Parcours : spectacle et comédie. La comédie Le Malade imaginaire est-elle un spectacle de pure fantaisie ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant sur la pièce de Molière, sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle. Sujet B Œuvre : Marivaux, Les Fausses confidences Parcours : théâtre et stratagème. Dans Les Fausses Confidences de Marivaux, le stratagème théâtral n'est-il qu'un ressort comique ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant sur la pièce de Marivaux, sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle. Sujet C Œuvre : Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde Parcours : crise personnelle, crise familiale. Diriez-vous que la pièce de Jean-Luc Lagarce Juste la fin du monde est un drame intime ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant sur la pièce de Jean-Luc Lagarce, sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle. CHOIX 1 Commentaire littéraire Commentaire (20 points) Objet d'étude : Le roman et le récit du Moyen Âge au XXIe siècle Vous commenterez le texte suivant : Georges PEREC (1936-1982), Les Choses (1965) – extrait du chapitre 2 CHOIX 2 Commentaire littéraire Commentaire (20 points) Objet d'étude : La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle Vous commenterez le texte suivant : Valéry LARBAUD, Les Poésies de A.O. Barnabooth, 1913 Soutenez-nous !
Vous n'en pouvez plus des émissions politiques ? La culture vous manque et vous rêvez d'écouter des analyses croustillantes autour du livre que vous venez d'achever ou de son adaptation à l'écran ? Peut-être même qu'en ce moment, vous ne savez plus trop quoi lire ou quoi regarder...Eh bien, nous sommes heureux de vous annoncer la création de notre nouvelle émission : ADAPTAZIA!! Il s'agit d'une émission FULL culture (parce qu'au fond c'est comme la confiture, plus il y en a et plus on aime ça) basée sur des discussions (MAIS aussi des débats... tenez-vous prêts) autour d'adaptations d'œuvres littéraires au cinéma!! Pour ce qui est du premier épisode, nous avons décidé de le consacrer à Gaspard Ulliel, grand acteur qui nous a tragiquement quitté il y'a peu de temps. Pour lui rendre hommage une dernière fois, rien de mieux que de (re)plonger dans deux de ses plus grands rôles. D'abord, nous irons dans les tréfonds même de la première guerre mondiale en compagnie de Manech à travers l'analyse du roman Un long dimanche de fiançailles de Sébastien Japrisot, adapté à l'écran par Jean-Pierre Jeunet. Puis, nous accompagnerons Louis annoncer sa mort prochaine à sa famille (qui ne l'est visiblement que de nom) parce que c'est Juste la fin du monde (une pièce de Jean-Luc Lagarce et adaptée à l'écran par @xavierdolan On espère sincèrement que ça vous plaira !!! En tout cas, stay tuned comme on dit parce qu'on vous a préparé lourd !!! Sur ce, nous vous souhaitons une excellente écoute et, encore une fois, un ÉNORME MERCI de faire confiance à Radio Germaine pour illuminer vos journées ! Vous envoyant toute nos bonnes ondes ! Une émission présentée et produite par Umut Elhan et Zineb Senhaji
durée : 00:27:48 - La Grande Table culture - par : Olivia Gesbert - A l'occasion de son premier seule-en-scène, nous recevons l'actrice Catherine Hiegel. Elle interprétera dès le vendredi 15 octobre "Les Règles du savoir-vivre dans la société moderne", écrit par Jean-Luc Lagarce et mis en scène au théâtre du Petit Saint Martin. - invités : Catherine Hiegel comédienne et metteuse en scène
durée : 00:27:48 - La Grande Table culture - par : Olivia Gesbert - A l'occasion de son premier seule-en-scène, nous recevons l'actrice Catherine Hiegel. Elle interprétera dès le vendredi 15 octobre "Les Règles du savoir-vivre dans la société moderne", écrit par Jean-Luc Lagarce et mis en scène au théâtre du Petit Saint Martin. - invités : Catherine Hiegel comédienne et metteuse en scène
durée : 00:27:48 - La Grande Table culture - par : Olivia Gesbert - A l'occasion de son premier seule-en-scène, nous recevons l'actrice Catherine Hiegel. Elle interprétera dès le vendredi 15 octobre "Les Règles du savoir-vivre dans la société moderne", écrit par Jean-Luc Lagarce et mis en scène au théâtre du Petit Saint Martin. - invités : Catherine Hiegel comédienne et metteuse en scène
Späckat avsnitt om tyska Theatertreffen och Scenkonstbiennalen som båda ägt rum online men som vanligt krockade. Och så lägger vi våra känsliga kritikernäsor i veckans debatt om Linda Skugges recension av Kristina Sandbergs "En ensam plats" i Expressen. Föreställningar som nämns och minns i detta avsnitt är: Einfach das Ende der Welt av/efter Jean-Luc Lagarce (Juste la fin du monde/It's only the end of the world) i regi av Christopher Rüping, livestream från Schauspielhaus Zürich 13 maj 2021 Show Me A Good Time av och med Gob Squad, 12 h livestream från Berliner Festspiele och andra delar av Berlin, 14 maj 2021 Maria Stuart av Friedrich Schiller, regi Anne Lenk, inspelning från Deutsches Theater Berlin Reich des Todes av Rainald Goetz, regi Karin Beier, livestream från Deutsches SchauSpielHaus Hamburg 21 maj 2021 Der Zauberberg, baserad på Thomas Manns roman (Bergtagen), regi Sebastian Hartmann, livestream från Deutsches Theater Berlin 22 maj 2021 Scenkonstbiennalen: Är det krig än av Mikhail Durnenkov, regi Natalie Ringler, Teater Galeasen Klaus Nomi av Lucas Svensson, musik Jonas Redig, regi Sunil Munshi, Kungliga Operan Proxy av Martin Forsberg, Norrdans På spaning efter den tid som flytt av Nina Jeppsson och Maja Salomonsson efter Marcel Proust, Orionteatern Från Uppsala stadsteater nämns också: Inte hela världen? (Juste la fin du monde) av Jean-Luc Lagarce från 2016 & 3 vintrar av Tena Štivičić från 2019, båda i regi Anja Suša Revolution Now av Gob Squad, 2012 Bonusmaterial: Den skojiga listan "How to opera Germanly" finns att fnissa åt här: https://www.operaclick.com/forum/viewtopic.php?t=7917
Je vous propose une explication linéaire du Prologue de Juste la Fin du monde de Jean-Luc Lagarce, la célèbre pièce de théâtre de Jean-Luc Lagarce.
Audiodeskriptive Einführung zum Stück "Einfach das Ende der Welt" nach Jean-Luc Lagarce unter der Regie von Christopher Rüping. Im Rahmen des diesjährigen Theatertreffens wird das Stück am 13ten Mai 2021 um 20 Uhr live aus dem Schauspielhaus Zürich gestreamt. Den Link zum Stream mit Audiodeskription finden Sie unter www.theaterhoeren-berlin.de/spielplan. Sprecherin: Nadja Schulz-Berlinghoff
Jean-Michel Le Baut, professeur de Lettres au lycée de l'Iroise à Brest et formateur numérique, travaille depuis de nombreuses années sur la capacité du numérique à transformer la pédagogie, développer les compétences des élèves, construire des dynamiques de travail et resserrer les liens. Loin des idées reçues, et si le distanciel pouvait réduire les distances ? Et s'il pouvait offrir aux élèves un espace de créativité et de communication plus proche de leurs usages ? Et si internet pouvait rétablir des ponts là où l'espace réel les avait supprimés ? i-voix.net, blog du projet. « Hybridation présentiel/distanciel », ressources en ligne et webinaires à venir, Réseau Canopé. « Hybridation de l'apprentissage », dossier thématique en ligne, Agence des usages, Réseau Canopé. « Le distanciel pour réduire les distances ? À la lumière du projet hybride i-voix », webinaire de Jean-Michel Le Baut, CanoTech, Réseau Canopé, 2010. En ligne sur YouTube. « Le numérique pour réduire les distances : ce que l'hybridation change à l'école », enregistrements et infographies du Mardi du numérique du 26 janvier 2021 (conférences, table ronde et ateliers). En ligne sur thinglink. La transcription de cet épisode est disponible après les crédits. Chaque dernier mercredi du mois, découvrez un nouvel épisode de « Parlons pratiques ! » sur votre plateforme de podcasts préférée. Suivez-nous, écoutez et partagez… Retrouvez-nous sur : Extraclasse.reseau-canope.fr Apple Podcasts Spotify Deezer Google Podcasts Podcast Addict Extra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé. Émission préparée par : Hélène Audard, Aurélie Dulin et Régis Forgione Réalisée grâce à l'appui technique de : Steven Bucas (Réseau Canopé Bretagne) Animée par : Hélène Audard et Régis Forgione Directrice de publication : Marie-Caroline Missir Coordination et production : Magali Devance, Luc Taramini, Hervé Turri Mixage : Bababam Secrétariat de rédaction : Valérie Sourdieux Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2021 Transcription : HÉLÈNE AUDARD & RÉGIS FORGIONE : Bonjour, bienvenue dans ce tout premier épisode de « Parlons pratiques ! » Nous sommes Hélène Audard et Régis Forgione et nous sommes très heureux de vous accueillir dans cette nouvelle émission d'Extra classe. Dans « Parlons pratiques ! », il sera question de pédagogie, de climat scolaire, de numérique éducatif et bien plus, avec des analyses, des échanges pair-à-pair, des interviews et des tables rondes. Avec vous, nous allons explorer les enjeux éducatifs dans toutes leurs dimensions, grâce à des invités qui vont nous apporter éclairages, points de vue et expertises. Notre ligne de conduite : être au plus près de vos préoccupations et besoins. Que vous soyez enseignants ou en passe de le devenir, CPE, chefs d'établissement, parents ou partenaires de l'école, vous êtes tous les bienvenus à notre table. Pour ce premier épisode et au vu de la situation depuis bientôt un an, le sujet était quasiment tout trouvé : l'enseignement hybride. Jusque-là, l'hybridation relevait encore de l'avant-garde pédagogique. Elle est aujourd'hui, pour le meilleur et pour le pire, le quotidien d'un grand nombre d'enseignants et d'élèves. C'est ce bouleversement que nous allons essayer d'appréhender avec notre invité. En tant qu'enseignant de lettres, il pratique l'hybridation depuis plus de dix ans. Son leitmotiv : on peut créer de la présence et un lien pédagogique de qualité, malgré la distance, ou peut-être même grâce à elle. L'hybridation pour réduire les distances, c'est le thème de ce « Parlons pratiques ! » aux côtés de Jean-Michel Le Baut. Bonjour Jean-Michel ! JEAN-MICHEL LE BAUT : Bonjour à vous ! HA : Jean-Michel Le Baut avec i-voix, vous proposez depuis une douzaine d'années à vos élèves un projet de création littéraire hybride, à plus d'un titre, puisque vous combinez du présentiel, du distanciel, du synchrone, de l'asynchrone. Mais aussi du clavier, du crayon, des productions individuelles collectives, du travail accompagné et autonome. Au vu de tout cela, quelle serait votre définition de l'hybridation ? JMLB : Ma première réponse, j'ai envie de dire, je ne sais pas. En tout cas, quand j'ai lancé le projet i-voix, je ne savais pas ce qu'était l'hybridation. Je ne connaissais même pas le mot. Le projet i-voix, c'est de l'hybridation un petit peu sauvage, empirique, artisanale. Je sais, en tout cas, ce que n'est pas l'hybridation. Ce n'est pas, contrairement peut-être à certaines idées reçues, de l'enseignement à distance, comme vous le disiez à l'instant. C'est, au contraire, chercher à articuler le présentiel et le distanciel, à les relier, à les organiser de façon complémentaire et parfois simultanée. L'hybridation, ce n'est pas non plus, et c'est une autre confusion qu'on fait parfois, de l'enseignement bimodal. C'est-à-dire que ce n'est pas un professeur qui fait cours devant une partie de sa classe, qui se filme et qui diffuse en direct, ou non, son cours à destination des élèves qui sont chez eux. C'est un dispositif qui a été testé, pas mal ces dernières semaines, mais qui me semble avoir des intérêts pédagogiques assez limités. L'hybridation, je pense que c'est vraiment repenser globalement son enseignement pour imaginer des activités différenciées et complémentaires. Comme vous le disiez, à la fois en présentiel et en distanciel, à la fois en mode synchrone et asynchrone. Peut-être insister sur le fait que l'hybridation ne s'improvise pas. Le projet i-voix, vous l'évoquiez, est mené depuis une dizaine d'années à Brest. L'essentiel de ce projet, pour simplifier, c'est un blog. Mais en fait, les activités se déclinent sur d'autres espaces numériques, un blog ou les élèves publient régulièrement leurs écrits d'appropriation des œuvres littéraires qu'ils lisent, des écrits numériques, des écrits créatifs ou re-créatifs. RF : Jean-Michel, est-ce que vous pourriez donner un exemple très concret – c'est extrêmement riche ce qu'on trouve sur i-voix effectivement, comme vous le dites – pour les auditeurs ? JMLB : Oui, tout à fait ! Par exemple, quelque chose qui a été produit récemment. Nous étions dans l'étude de la pièce de Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde, qui est une pièce au programme de français en 1re et j'ai invité les élèves à mener deux activités. D'une part, à créer des comptes Instagram pour chaque personnage de la pièce et à les faire vivre, à publier sur ces comptes des images légendées qui essaieraient d'éclairer l'intériorité des personnages, et en particulier ce que les personnages n'arrivent pas à dire dans la vie réelle de la scène, puisque la pièce pose la question de ce que l'on peut dire ou ce que l'on ne peut pas dire, y compris à ses proches. Ce qui nous a permis d'avoir des productions extrêmement créatives, extrêmement sensibles. Ça a permis aux élèves de faire un vrai travail d'immersion dans la pièce et même à l'intérieur des personnages, d'entrer en empathie avec les personnages. Mais aussi de mener une réflexion sur la question, employons un mot un petit peu jargonnant peut-être, de l'extimité à l'heure du numérique : qu'est-ce qu'on peut ou pas dire de soi, partager de son intimité en ligne ? HA : Qu'est-ce qui fait que, dans une modalité hybride, ça peut se développer mieux que dans un enseignement plus traditionnel ? JMLB : C'est développé de façon hybride dans la mesure où une partie du travail est menée en classe, en présentiel. C'est-à-dire qu'il y a des cours autour de l'œuvre, de la pièce pour préparer le bac de français de façon un petit peu plus traditionnel. Il y a, en présentiel aussi, une heure hebdomadaire que je consacre systématiquement à ce projet. C'est une heure ritualisée, la séance i-voix, et donc je suis avec des élèves en salle multimédia. C'est l'heure où je lance les activités. Les élèves travaillent, je les accompagne dans la mise en œuvre de ces activités, je suis là pour répondre à toutes leurs questions. Mais évidemment, une partie importante du travail se fait aussi en ligne et à distance. C'est en ligne, à distance par exemple, que les élèves ont fait le choix du personnage pour lequel ils allaient créer un compte Instagram, que des groupes de travail se sont constitués, que des échanges entre les élèves ont eu lieu pour faire vivre le compte en question. Et la plupart des productions, en fait, a été réalisée à la maison par les élèves, chaque élève devant prendre des photos pour nourrir ce compte Instagram, et donc éventuellement se promenant dans son environnement pour essayer de trouver des images qui correspondraient à ce qu'on a essayé d'appeler des selfies de la vie intérieure des personnages. RF : En suivant vos projets, on est frappé par la présence que vous arrivez à créer avec vos élèves et entre eux. Quels seraient les fondamentaux, les points de vigilance que vous pourriez proposer aux enseignants qui nous écoutent pour créer ce cadre ? JMLB : Oui, je crois que vous l'avez évoqué tout à l'heure. Vraiment, l'enseignement hybride, ce n'est pas créer de la distance, au contraire, c'est essayer de créer de la présence au maximum, de réduire les distances. Ça suppose un double travail important, me semble-t-il. Les points de vigilance, c'est d'une part la scénarisation, d'autre part l'accompagnement. Du côté de la scénarisation, ce que je veux dire par là, c'est qu'il s'agit de structurer les activités, les tâches, les missions confiées aux élèves. C'est un vrai défi, parce que je crois que l'enseignement hybride nous invite encore plus que l'enseignement traditionnel à mettre les élèves en activité, à concevoir des activités, à confier des missions aux élèves, et puis à les aider à structurer leur travail autour de ces activités. Par exemple pour i-voix, c'est ce que j'évoquais à l'instant. Il s'agit pour moi d'essayer de rapprocher les élèves d'une littérature qui est parfois assez difficile, à s'éloigner de leur univers culturel et je les invite à participer, à entrer dans les œuvres, amener de l'écriture créative ou re-créative, des pratiques transformatives des œuvres, de l'écriture interventionniste. Comme on dit aussi parfois à concevoir une littérature participative, comme il existe une encyclopédie participative, évidemment fort connue. J'ajouterai de mon point de vue que pour cette scénarisation et pour ces activités, le numérique libère bien des possibles pour peu qu'on accepte d'aller chercher les élèves là où ils sont, qu'on exploite leurs outils personnels – les smartphones –, leurs pratiques numériques informelles – je parlais tout à l'heure des réseaux sociaux –, qu'on exploite aussi la textualité numérique qui est désormais multimodale, et donc qu'on les invite à mener des créations, des formes d'écriture à l'école qui ne soient pas simplement faites de mots comme dans une copie de bac, mais aussi d'images, de sons, de vidéos, d'hyperliens, etc. RF : Vous parlez d'une scénarisation précise des séquences. Mais vous parliez d'un deuxième point de vigilance à garder en mémoire ? JMLB : Oui, je crois que c'est l'accompagnement des élèves qui est très important dans le cadre d'un enseignement hybride. On ne peut pas laisser les élèves livrés à eux-mêmes. Ça a été dit au moment de cet enseignement à distance, de crise qu'on a vécu au printemps 2020, comme il y a eu du décrochage. Cela dit, d'ailleurs, on ne parle pas non plus trop de la capacité de l'enseignement présentiel dans nos classes, en autobus, à générer du décrochage scolaire et de l'ennui. Mais il y a une clé, je crois, outre les activités motivantes à mettre en place, c'est d'être le plus présent possible auprès des élèves, c'est de multiplier avec eux les interactions et les rétroactions en se faisant disponible, bienveillant, en les invitant eux-mêmes à formuler leurs difficultés, à expliciter les procédures pour mieux les acquérir. C'est pour ça qu'il y a certainement un travail très important d'autonomisation des élèves à mettre en place. Ça veut dire trouver un juste équilibre, un équilibre évolutif, je crois, entre le guidage et la liberté, entre l'étayage et le lâcher-prise. Ça veut dire, par exemple, pour ce qui me concerne, dans le cadre d'i-voix, il y a systématiquement des consignes de travail, des tutoriels techniques pour bien s'emparer des outils, un calendrier de travail extrêmement précis, et c'est dans ce cadre-là que les élèves ont à disposition sur notre plateforme notre cuisine du projet. Les élèves vont pouvoir développer petit à petit leur liberté et leur autonomie. J'ajoute d'ailleurs que l'accompagnement à mettre en place, c'est aussi un accompagnement, non pas simplement du prof à destination des élèves, mais un accompagnement des élèves entre eux. Il faut susciter des interactions entre les élèves, créer des communautés apprenantes, favoriser des projets coopératifs. Et ça, ça se fait, et en classe, et à distance. HA : Jean-Michel, on entend une forme un peu de complexité dans tout ce que vous proposez finalement. Effectivement, d'où le besoin de scénarisation. Mais est-ce que, parfois aussi, vous scénarisez, vous préparez des choses et puis, ça ne fonctionne pas ou ça ne marche pas comme vous l'imaginez ? Est-ce que l'hybridation pose des questions particulières, des difficultés particulières par rapport à la préparation d'une séquence habituelle ? JMLB : Des choses qui ne marchent pas, je n'en ai pas en tête. En revanche, des choses qui évoluent en fonction des réactions des élèves, c'est assez régulier. Effectivement, je lance des propositions, je lance des invitations, je confie des missions aux élèves et ils les réalisent. Et parfois, entre-temps, ça bouge un petit peu, ça change un petit peu. J'aime bien qu'il y ait ce côté aventure, que les choses soient moins figées. Ce que l'hybridation nous invite à transformer, c'est précisément la forme scolaire, ce sont aussi les formes scolaires, les productions des élèves. Par exemple, tout à l'heure, je vais rejoindre mes élèves. On va se lancer dans le travail sur la poésie. Je vais les inviter sur l'œuvre qu'ils vont lire à créer des selfies de poèmes, des poèmes qui se prennent en photo pour éclairer leur propre signification. C'est évidemment une mission un petit peu bizarre, étrange, donc j'attends l'effet de surprise, j'espère l'effet de surprise et j'espère avoir de beaux étonnements grâce à leurs productions. HA : Vous parlez des outils numériques qu'utilisent vos élèves. On a coutume soit de réduire le numérique à un outil, soit de survaloriser son rôle. Mais au-delà de ces aspects techniques qui le rendent indispensable pour apprendre et enseigner à distance, quelle place pour celui-ci dans votre enseignement hybride ? JMLB : Oui, il y a des outils numériques. Un smartphone, c'est un outil numérique, un réseau social d'une certaine façon, c'est un outil numérique, un ENT, une plateforme. Il y a des outils numériques, mais le numérique en lui-même, effectivement, comme vous le dites Hélène, ce n'est pas un outil. Dans l'hybridation, je ne l'envisage pas comme un outil. Je l'envisage comme un enjeu, en fait, essentiel du travail que nous menons. Il s'agit d'éduquer aussi au numérique pour dire les choses simplement. Il faut être assez clair par rapport à cette question. Le numérique pour moi et pour beaucoup d'entre nous je pense, ce n'est plus un choix. Le numérique, c'est une nécessité. Nous vivons dans une société qui est désormais numérisée. Le numérique au quotidien, pour chacun d'entre nous, transforme notre façon de travailler, de lire, d'écrire, de nous relier au monde, d'être traversé par le monde, d'apprendre. Le numérique, il est là ! Or, rappelons cette évidence, les digital natives n'existent pas. Les compétences numériques ne sont pas universellement partagées par tous nos élèves. Et en particulier, ce que de nombreuses enquêtes ont démontré, c'est qu'il y a inégalité sociale, non pas d'équipement par rapport au numérique, mais inégalité sociale et culturelle d'usage du numérique. Selon les classes sociales, les familles, les milieux, les usages du numérique par les élèves vont être tantôt banals, répétitifs voire très limites, tandis qu'ailleurs ils se feront divers et créatifs. Donc, ça veut dire que les familles ne peuvent pas entièrement, toutes en tout cas, mener une éducation au numérique. Si les familles ne le font pas, c'est à nous de le faire. C'est à nous d'apprendre à nos élèves à travailler avec le numérique et pour ma part, en plus, je pense qu'il y a une compétence fondamentale à ce sujet, c'est la compétence de publication. RF : Alors justement, Jean-Michel, encore une fois, dans cette obsession d'amener du concret aux enseignants auditeurs qui nous écoutent, concrètement, qu'est-ce qu'on fait dans la classe, dans un projet comme i-voix, pour amener ces compétences qu'ils ne peuvent pas recevoir de leur milieu familial ? JMLB : Alors, on apprend à publier, comme je le disais à l'instant. Je vais juste insister sur ce point, parce que c'est sans doute devenu une compétence majeure. Apprendre à publier, c'est apprendre à rejoindre un espace de publication, un espace public, un espace où désormais se joue notre citoyenneté, à savoir évidemment, internet. Apprendre à publier, ça veut dire concrètement le faire déjà. Ce n'est pas, je crois, en donnant des cours, des leçons théoriques sur ce qu'on doit faire, on ne doit pas faire en ligne qu'on va transformer les pratiques des élèves. Apprendre à publier, c'est apprendre certains principes fondamentaux du genre : je réfléchis avant de publier. Ça veut dire prendre le temps avec les élèves en classe de réfléchir : « J'ai quelque chose que je dois publier, comment je vais faire pour que cette publication soit la plus belle, la plus intéressante possible ? » Apprendre à publier, c'est aussi acquérir des principes du genre : je suis ce que je publie. Qu'est-ce que je dis de moi à travers mes publications ? C'est tout ce que je publie en ligne à un destinataire. HA : Jean-Michel, on arrive sur la fin de cet échange et on voit qu'il y a énormément de choses à créer et à imaginer. Et donc, j'ai envie de vous poser la question de vos sources d'inspiration. Qu'est-ce qui vous inspire particulièrement pour créer tout ce travail ? JMLB : Nous sommes de nombreux collègues à nous inspirer les uns les autres et à travailler en ce sens aujourd'hui. Je dirais que ma source d'inspiration principale, ce sont les élèves. Évidemment, ce sont eux qui insufflent au projet i-voix une dynamique de travail étonnante, qui proposent des idées, qui transforment le projet au fur et à mesure des années. S'il fallait citer une source d'inspiration, peut-être je dirais quelqu'un que, je pense, beaucoup connaissent et qui a écrit des ouvrages assez fondamentaux, c'est Milad Doueihi, que j'ai eu la chance de rencontrer, que mes élèves aussi ont eu la chance de rencontrer, et qui est l'auteur de cet ouvrage fondamental : Pour un humanisme numérique [Seuil, 2011]. Parce qu'en reliant comme il le fait, l'humanisme et le numérique, je crois qu'il donne un sens au travail que nous faisons avec le numérique à l'école, avec l'hybridation en particulier. Relier l'humanisme et le numérique, c'est dire que nous sommes en train de vivre une révolution de l'écrit, à la hauteur de celle qui a eu lieu au moment de la révolution de l'imprimerie. C'est nous dire que si le livre imprimé a diffusé la lecture, aujourd'hui le numérique démocratise l'écriture. Et que c'est une chance pour nous, enseignants, professeurs de lettres en particulier comme moi, que cette démocratisation de l'écriture. Pour amener encore plus nos élèves à écrire, à écrire mieux, à écrire aussi autrement, à développer des capacités, à entrer dans les textes pour les annoter et même les recréer, à faire de la culture non plus simplement un patrimoine de sacrés à admirer, mais une culture vivante dans laquelle les élèves peuvent jouer un rôle, sur laquelle ils peuvent agir. Je crois que ce que Milad Doueihi nous indique, c'est qu'il faut dépasser l'opposition entre l'homme et la machine pour réhumaniser le numérique et ce qui m'intéresse dans cette hybridation, c'est bien la relation que l'on va créer entre le prof et les élèves, entre les élèves et la littérature, entre le livre imprimé et le numérique. C'est cette relation qui est au cœur des choses. RF : Réhumaniser le numérique, j'aimerais qu'on reste sur cette expression pour conclure cette émission. On a, je pense avec Hélène, eu la chance de vous avoir pour prendre de la hauteur sur ces questions de société numérique et d'hybridation dans l'éducation. Un grand merci Jean-Michel Le Baut. JMLB : Merci à vous. RF : Si vous êtes curieux de découvrir les productions concrètes des élèves de monsieur Le Baut, nous vous invitons à les consulter sur le blog i-voix. Vous trouverez les liens et d'autres propositions de référence dans les notes qui accompagnent cette émission. HA : Merci beaucoup Jean-Michel Le Baut d'avoir échangé avec nous aujourd'hui. JMLB : Merci à vous de m'avoir offert cette possibilité. Je crois que c'est très important de faire le récit de ce que l'on fait les uns les autres, y compris d'amener les élèves à raconter ce qu'ils font, ce qu'ils apprennent et merci de m'y avoir aidé aujourd'hui.
durée : 01:27:05 - Fictions / Théâtre et Cie - Louis, trente-quatre ans, est à l'aube de sa mort. Il a peur, mais il a décidé : il retournera voir sa famille. Après un très long silence ponctué de cartes postales, "petites lettres elliptiques", il parlera. Lors d'une ultime visite, il annoncera sa mort prochaine à sa mère.
durée : 01:27:05 - Fictions / Théâtre et Cie - Louis, trente-quatre ans, est à l'aube de sa mort. Il a peur, mais il a décidé : il retournera voir sa famille. Après un très long silence ponctué de cartes postales, "petites lettres elliptiques", il parlera. Lors d'une ultime visite, il annoncera sa mort prochaine à sa mère.
Salut! O episódio de hoje é totalmente em francês. Para que você treine e melhore sua habilidade de compreensão do francês, vou ler pra você o pedaço de uma peça de Jean-Luc Lagarce, que se chama: Nous devons préserver les lieux de la création. Ouça atentamente quantas vezes você puder e busque perceber o contexto e as palavras que você conhece. Participe do meu GRUPO TELEGRAM: https://t.me/francesavecelisa | Cadastre-se nas minhas redes sociais pra você não perder nenhum conteúdo e fazer o seu francês deslanchar. Acesse https://avecelisa.com.br/acesso/ [PRESENTE] Receba grátis 3 aulas e descubra os segredos de pronúncia dos sons do francês. Acesse o link e receba o material completo: https://bit.ly/31sFj7i
Salut! O episódio de hoje é totalmente em francês. Para que você treine e melhore sua habilidade de compreensão do francês, vou ler pra você o pedaço de uma peça de Jean-Luc Lagarce, que se chama: J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne. Ouça atentamente quantas vezes você puder e busque perceber o contexto e as palavras que você conhece. Tem artigo no blog com vocabulário, texto e atividades: https://avecelisa.com.br/jean-luc-lagarce-theatre-et-litterature-leitura-em-frances/ Participe do meu GRUPO TELEGRAM: https://t.me/francesavecelisa | Cadastre-se nas minhas redes sociais pra você não perder nenhum conteúdo e fazer o seu francês deslanchar. Acesse https://avecelisa.com.br/acesso/ [PRESENTE] Receba grátis 3 aulas e descubra os segredos de pronúncia dos sons do francês. Acesse o link e receba o material completo: https://bit.ly/31sFj7i
País Canadá Dirección Xavier Dolan Guion Xavier Dolan (Obra: Jean-Luc Lagarce) Música Gabriel Yared Fotografía André Turpin Reparto Gaspard Ulliel, Nathalie Baye, Vincent Cassel, Léa Seydoux, Marion Cotillard, Antoine Desrochers, Sasha Samar Sinopsis Tras doce años de ausencia, un joven escritor regresa a su pueblo natal para anunciar a su familia que pronto morirá. Vive entonces un reencuentro con su entorno familiar, una reunión en la que las muestras de cariño son sempiternas discusiones y la manifestación de rencores y reproches. Adaptación de una obra teatral de Jean-Luc Lagarce.
durée : 00:54:36 - Fictions / Théâtre et Cie - Le garçon de café s’appelle Omer et la patronne du bistrot Madame Achille. C’est là qu’ils se retrouvent après le cours de théâtre... D’Omer à Homère, "Elles disent..." est la première pièce inédite, et vraiment personnelle de Jean-Luc Lagarce.
durée : 00:54:36 - Fictions / Théâtre et Cie - Le garçon de café s’appelle Omer et la patronne du bistrot Madame Achille. C’est là qu’ils se retrouvent après le cours de théâtre... D’Omer à Homère, "Elles disent..." est la première pièce inédite, et vraiment personnelle de Jean-Luc Lagarce.
durée : 00:51:06 - Fictions / Théâtre et Cie - Adaptation du Journal de Jean-Luc Lagarce par François Berreur.
durée : 00:51:06 - Fictions / Théâtre et Cie - Adaptation du Journal de Jean-Luc Lagarce par François Berreur.
MISES EN SCENE, mercredi et vendredi à 9h30 et 20h. La chronique théâtre de Sonia Jucquin. Cette semaine, Sonia nous parle de la pièce "Le Pays Lointain" de Jean-Luc Lagarce, mise en scène de Clément Hervieu-Léger au Théâtre de l'Odéon jusqu'au 7 avril.
Le Pays lointain, de Jean-Luc Lagarce, mise en scène de Clément Hervieu-Léger, au Théâtre de l'Odéon jusqu'au 7 avril 2019. Une critique Articulture produite par Margot Grellier. Musique : Overcast part 2, from Fugue, de Roman Bulakhov / Prelude: White, from Fugue, de Svyat Ilin. Dessin : © Margot Grellier.
★★★ • Réalisé par Xavier Dolan, Avec Marion Cotillard, Léa Seydoux, Nathalie Baye, Vincent Cassel, Gaspard Ulliel • Adapté de la pièce de théâtre éponyme de Jean-Luc Lagarce, le film raconte l’après-midi en famille d’un jeune auteur qui, après 12 ans d’absence, retourne dans son village natal afin d’annoncer aux siens sa mort prochaine