POPULARITY
Le président guatémaltèque Bernardo Arevalo a été élu, il y a 2 ans, avec plus de 60% des voix. C'est son programme anti-corruption qui avait convaincu les électeurs. Mais il peine à le mettre en œuvre, nous explique Lila Olkinuora. Il avait promis d'en finir avec la corruption qui gangrène le Guatemala depuis des décennies. Une fois élu, malgré les tentatives de ses opposants pour empêcher son investiture, il tient parole : il crée une Commission de lutte contre la corruption et impose le premier code d'éthique pour le pouvoir exécutif. Ce texte permet de sanctionner des ministres impliqués dans des détournements, mais le président le reconnaît : son action reste limitée à l'exécutif, alors que d'autres institutions comme le Parlement ou les collectivités locales lui échappent. La Commission anti-corruption a déposé 269 plaintes, mais le ministère public, dirigé par la procureure générale Consuelo Porras — elle-même sur la liste noire de l'Union européenne et des États-Unis pour corruption — en a rejeté une partie. Consuelo Porras est accusée de criminaliser la mobilisation citoyenne : en avril 2025, elle a ordonné l'arrestation de deux dirigeants autochtones et membres du gouvernement, poursuivis pour terrorisme et entrave à la justice. Une dérive dénoncée jusqu'au Conseil des droits de l'homme de l'ONU, qui s'inquiète de la répression des voix autochtones et démocratiques au Guatemala. À Pétion-Ville en Haïti, les déchets envahissent la ville Certains marchands assurent verser régulièrement des cotisations pour le ramassage. Mais rien n'est fait pour nettoyer les rues. Les défenseurs d'environnement tirent la sonnette d'alarme. Ils mettent en garde contre un risque sanitaire. La mairie, de son côté, se dit dépassée. C'est un reportage de notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxama. La ministre du Travail cubaine contrainte de démissionner face à la colère de la population Marta Elena Feitóà Cuba avait déclaré qu'il n'y avait pas de mendiants à Cuba. Des propos qui ont soulevé une vague d'indignation. La ministre a été contrainte de démissionner, c'est du jamais vu, commente la presse latino-américaine. Pas un mot cependant sur cette affaire dans Granma, le journal du Parti communiste. Il se contente de relayer les propos du président Miguel Diaz-Canel : « La Révolution cubaine n'occulte pas ses problèmes, elle les affronte avec éthique et justice sociale, même dans des circonstances extrêmes ». Mais pour le journal El Pais, une chose est sûre : la situation est inédite. Les déclarations polémiques de la ministre ont provoqué une telle vague de rejet, à Cuba comme dans la diaspora, que non seulement elle a dû démissionner, mais le président et son Premier ministre ont été contraints de la désavouer publiquement. Ils ont même dû reconnaître la « vulnérabilité » d'une partie de la population cubaine. Pour El Pais, cette fronde contre une responsable du gouvernement est tout simplement l'un des plus grands actes de civisme des Cubains en soixante ans. C'est bien la première fois qu'un dirigeant de ce rang quitte son poste sous la pression populaire. Une démission qui intervient dans un contexte économique catastrophique Selon le site indépendant 14ymedio, le régime cubain affiche son impuissance face à l'effondrement économique. En cinq ans, le PIB officiel a reculé de 11%, mais en réalité la chute serait bien plus forte, toujours selon14ymedio. La session parlementaire de début de semaine s'est d'ailleurs tenue dans une ambiance très morose, sans véritable solution à proposer. La récession s'aggrave, dans un contexte international compliqué : pénurie de carburants, flambée des prix mondiaux, et blocage de certaines importations faute de devises. Mais le cœur du problème reste interne, insiste 14ymedio : une économie plombée par des structures inefficaces, une dette extérieure qui explose, des entreprises publiques à la traîne, et un système énergétique en déliquescence. Le Brésil paye cher la guerre commerciale déclenchée par Donald Trump La surtaxe de 50% imposée par Donald Trump frappe de plein fouet les exportations brésiliennes de poissons, de mangues et de viandes, révèle Folha de Sao Paulo. Résultat : les exportations sont suspendues pour éviter les pertes. Plus de 1 000 tonnes de produits de la mer s'accumulent déjà dans les entrepôts frigorifiques, pour une valeur estimée à 50 millions de dollars. Les industriels brésiliens poussent leur gouvernement de négocier un sursis de 90 jours, mais cela s'annonce compliqué : le site G1 rappelle que les États-Unis viennent justement d'ouvrir une enquête contre le Brésil pour « pratiques commerciales déloyales ». Et pourtant, il y a une personne qui profite de tout ça au Brésil : c'est Lula. Sa popularité, qui était au plus bas, remonte depuis l'annonce des mesures de Trump. C'est la Une du magazine Carta Capital qui parle d'un « effet boomerang » positif pour Lula : une majorité de Brésiliens soutient aujourd'hui sa gestion de crise. Journal de la 1ère Circulation intense de la grippe saisonnière en Guadeloupe.
durée : 00:14:57 - Journal de 12h30 - Un an après la tentative d'assassinat contre Donald Trump, les menaces envers les élus du Congrès ou leurs proches augmentent. En 2024, la police du Capitole a recensé plus de 9400 menaces visant des membres du congrès ou leur entourage, une hausse de près de 140 % par rapport à 2017.
durée : 00:14:57 - Journal de 12h30 - Un an après la tentative d'assassinat contre Donald Trump, les menaces envers les élus du Congrès ou leurs proches augmentent. En 2024, la police du Capitole a recensé plus de 9400 menaces visant des membres du congrès ou leur entourage, une hausse de près de 140 % par rapport à 2017.
Noticias interesantes esta semana por parte de Washington y la OPEP. Disclaimer: Los videos no representan una recomendación de Compra o Venta. Cada inversor debe realizar su análisis antes de invertir. Substack: https://substack.com/profile/105788346-value-seeker-reserch ¿Quieres análisis de empresas de calidad?¿Quieres descubrir una nueva oportunidad de inversión? 👉 https://www.analisisdeinversion.com Para montar y controlar la rentabilidad de tu cartera, tenemos para ti una web GRATUITA: 👉 https://portfoliodeinversion.com/ Síguenos en TWITTER: ► @AnalisisdeInver ► @ConquistaStonks La Cartera de INVERSIÓN del DIABLO vs la de JESUCRISTO ► https://youtu.be/5zhiPZ_25QE INVERTIR en BARCOS con GABRIEL CASTRO y AYUSO ► https://youtu.be/96W56pz22Lg INVERTIR EN EL ESPACIO ► https://youtu.be/3yG_4HLQU18 La CARTERA de MICHAEL BURRY ► https://youtu.be/NP35nLA3yiQ
À Los Angeles, un cinquième jour d'affrontement oppose la police à des manifestants qui protestent contre les raids organisés contre les migrants illégaux. Donald Trump a demandé au Pentagone d'envoyer 700 marines et 2 000 membres supplémentaires de la garde nationale pour "garantir le maintien de l'ordre". Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom a exercé un recours contre le Président, l'accusant d'abimer les fondements de la république par "un abus de pouvoir éhonté".
Stephen Miran, le chef des conseillers économiques de la Maison Blanche et proche de Donald Trump, est un farouche partisan des droits de douane. Il a publié en novembre 2024 sa stratégie pour rendre plus attractive la production américaine.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Le point dans cette édition sur le Doge, le département de l'efficacité gouvernementale aux États-Unis, cent jours après le retour au pouvoir de Donald Trump.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Le point dans cette édition sur le Doge, le département de l'efficacité gouvernementale aux États-Unis, cent jours après le retour au pouvoir de Donald Trump.
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Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump multiplie les attaques contre les intellectuels, la science et le monde universitaire. Entre coupes budgétaires ciblées, pressions idéologiques et exils forcés, enseignants et chercheurs s'inquiètent d'un climat de plus en plus pesant. Depuis Buffalo, dans l'État de New York, Antoine Yoshinaka, professeur de Science politique, observe la situation avec inquiétude : « Je ne me sens pas personnellement menacé dans mon université, mais ailleurs, c'est une autre histoire. » Il évoque des collègues dont les financements fédéraux ont été brutalement interrompus, sans avertissement. « La direction nous a même demandé de retirer des mots comme “genre” ou “race” de nos projets de recherche. Ces termes sont devenus des cibles idéologiques. »Exil universitaireFace à cette pression croissante, certains chercheurs choisissent de quitter les États-Unis. Marine de la Moissonnière, notre envoyée spéciale au Canada, a rencontré à Toronto une chercheuse américaine qui a préféré s'exiler avec sa famille. « J'ai honte d'être partie, mais je ne voulais pas que mes enfants grandissent dans un climat de fascisme », confie-t-elle. Elle redoute une répression accrue : « Si des agents de l'immigration venaient arrêter un étudiant sur le campus, je ne sais pas comment je réagirais. »Résistance discrète, mais déterminéeLe monde de la recherche tente de résister, à sa manière. Colette Délawéla, présidente du collectif Stand Up for Science, rapporte qu'en mars 2025, près de 2 000 scientifiques ont lancé un appel pour dénoncer les attaques contre la liberté académique. « Je sais que certains collègues modifient discrètement leur vocabulaire en cours. Mais moi, je refuse de céder. Je ne changerai pas ma manière d'enseigner. »Une démocratie fragiliséeContrairement à son premier mandat, le retour au pouvoir de Donald Trump ne suscite pas les mêmes vagues de protestation. « Il y a une certaine fatigue », admet Antoine Yoshinaka. Moins de manifestations, moins de mobilisation. Pour lui, la démocratie américaine existe encore, mais elle est affaiblie. « Elle tient encore grâce à quelques contre-pouvoirs – les médias, la justice – mais ces remparts sont de plus en plus attaqués. »
Ce mercredi 30 avril, Donald Trump célèbre le centième jour de son deuxième mandat à la tête des États-Unis. Que retenir des actions d'un Trump 2.0 qui a déjà signé plus de 130 décrets en moins de trois mois, soit presque autant que son prédécesseur Joe Biden sur l'ensemble de son mandat? Derrière le show permanent, qu'a réellement accompli le 47e (et 45e) président de la première puissance économique mondiale? Pour tenter de dresser le bilan d'une stratégie difficile à déchiffrer, Ondine Werres reçoit dans le studio du Brief deux fins connaisseurs des États-Unis: Frank Vranken, stratégiste en chef de la banque Edmond de Rothschild et Serge Jaumain, professeur d'histoire contemporaine à l'ULB et spécialiste de l'Amérique du Nord. Présentation, écriture et réalisation: Ondine Werres Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Donald Trump fête ses 100 jours à la Maison Blanche avec un meeting dans le Michigan. Le président américain a défendu son bilan malgré des sondages qui ne lui sont pas favorables. Il promet "de rendre à l'Amérique sa grandeur". En 100 jours, l'état du monde a été ébranlé par les décisions et les prises de position de Donald Trump. Roselyne Febvre en parle avec David Revault-d'Allonnes de l'Hémycicle et Pierre Jacquemain de Politis.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les 100 premiers jours de Donald Trump à la Maison-Blanche. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
#notizie #podcast #politica #rassegnastampa
Le président chinois a réagi aux droits de douane des États-Unis en imposant des taxes sur les produits américains, mais Xi Jingping veut aussi renforcer ses liens avec ses alliés du continent asiatique. Le président chinois fait une grande tournée en Asie du Sud-est : Vietnam, Malaisie et Cambodge. Pour lui, "une guerre commerciale ne produit aucun gagnant". Chine et Vietnam ont exprimé leur soutien à l'OMC. Les deux pays se sont également opposés à l'hégémonie, à la politique de puissance et à l'unilatéralisme, dans une déclaration commune.
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:35:32 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Ce lundi 17 mars le nouveau Premier ministre canadien Mark Carney, en visite à Paris, a appelé à renforcer les liens de son pays avec l'Europe à l'heure où le Canada, sous la pression commerciale de son turbulent voisin, subit des menaces d'annexion de Donald Trump. - réalisé par : Thomas Lenglain
durée : 00:35:32 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Ce lundi 17 mars le nouveau Premier ministre canadien Mark Carney, en visite à Paris, a appelé à renforcer les liens de son pays avec l'Europe à l'heure où le Canada, sous la pression commerciale de son turbulent voisin, subit des menaces d'annexion de Donald Trump. - réalisé par : Thomas Lenglain
En entrevista para MVS Noticias con Adrián Jiménez en ausencia de Manuel López San Martín, Eduardo Torreblanca, colaborador de MVS Noticias, analizó los costos y el impacto de la incertidumbre económica generada por Donald Trump en los mercados internacionales. “Las políticas de Trump, especialmente en relación con las imposiciones arancelarias, han llevado al mundo a enfrentar el quinto periodo de mayor incertidumbre económica desde 2008. Esto no solo afecta a Estados Unidos, sino también a sus socios comerciales y al resto de las economías globales”, afirmó Torreblanca.See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - Des mots interdits, des cours à la poubelle et des budgets tronçonnés : un mois tout juste après le retour de Donald Trump c'est la panique sur les campus américains. Place à la résistance avec le mouvement Stand Up for Science, les détails dans cette édition.
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Le Journal en français facile du mardi 4 mars 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BSwL.A
Cela fait un mois jour pour jour que Donald Trump est arrivé à la Maison Blanche. Trente jours durant lesquels le président américain a mis la planète dans une forme de tension. Le nouveau président américain est très vite passé à l'action en prenant des mesures économiques chocs. Décryptage. Le chiffre peut donner le tournis en seulement trente jours puisque d'après NBC News, Donald Trump a signé 67 décrets depuis son arrivée au pouvoir. Et pour beaucoup il faut bien le dire, il est question d'économie et de finance. On retiendra surtout celui-ci, l'imposition de droits de douane pour tout produit venant du Mexique et du Canada à hauteur de 25%. Ces surtaxes, sur le papier auraient dû entrer en vigueur le 1er février dernier mais le président américain a fait marche arrière. Quelques heures avant l'entrée en vigueur de ce décret, et le Canada, et le Mexique ont trouvé un accord avec les États-Unis. Le projet a été suspendu pour un mois. Personne ne semble épargné Ce sujet est d'ailleurs un marqueur très fort de son début de mandat. Donald Trump estime que les concessions faites par les voisins mexicain et canadien sont un triomphe pour lui. Mais dans les faits, d'un point de vue purement économique, pas grand-chose n'a changé sur cet aspect précis. À lire aussiDroits de douane contre le Mexique et le Canada: les raisons du renoncement de Donald TrumpPar ailleurs, pendant toute sa campagne il promettait des tarifs douaniers de 60% à l'encontre de la Chine. Pareil, Donald Trump a revu à la baisse ses ambitions. Si Washington a repris la guerre commerciale qui l'oppose à Pékin, ce n'est qu'avec l'application de 10% de droits de douane supplémentaires sur les importations chinoises. Riposte immédiate de la Chine qui a mis en place une hausse des taxes sur les importations d'hydrocarbures aux États-Unis et une enquête contre Google. Le président américain entend aussi imposer toutes les importations d'aluminium et d'acier de 25% de taxes, cela qu'importe la provenance. Entrée en vigueur prévue le 12 mars. Beaucoup d'idées donc mais pour le moment, peu de mise en pratique ! Des mesures aux effets concrets Il y a notamment la mise sur pause du programme USAID, l'agence américaine pour le développement qui est le plus grand donateur au monde. Des centaines d'ONG et d'associations humanitaires sont concernées. Chaque année, ce sont près de 40 milliards de dollars qui sont distribués partout sur la planète. Et puis il y a aussi la mise en place du DOGE, le département de l'efficacité gouvernementale, mené par Elon Musk. Objectif : tailler à la serpe dans la fonction publique. Plan déjà concrétisé par la fin des périodes d'essai, l'interdiction du télétravail aux fonctionnaires et par un plan de départs volontaires. Environ 75 000 agents ont décidé de partir, en étant payés jusqu'à fin septembre. Cela représente environ 3% des fonctionnaires fédéraux. On retiendra aussi que la banque centrale américaine a laissé ses taux inchangés. La FED attend de voir les effets des politiques menées par Donald Trump avant de déterminer quel mouvement adopter concernant les taux d'intérêts.Bref pour le moment, Donald Trump se montre à la manœuvre et occupe il faut bien le dire l'espace médiatique. Mais il reste difficile de comprendre ses stratégies économiques puisque leurs conséquences pourraient être négatives pour les Américains. Et puis il s'est beaucoup exprimé, à l'oral comme par écrit, il a beaucoup menacé mais adopter le bluff comme stratégie de long terme pourrait trouver ses limites.
Le président des États-Unis a adopté la logique prédatrice de Vladimir Poutine dans laquelle la souveraineté des grandes puissances prime sur celle de leurs voisins.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En seguimiento a la política de seguridad del presidente Donald Trump, la Fiscalía General de Estados Unidos publicó un oficio para iniciar con las acciones que deriven en la “eliminación total de los cárteles” mexicanos.See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:02:59 - Géopolitique - Donald Trump s'est peu exprimé sur la Chine depuis qu'il est président, laissant les dirigeants de Pékin dans l'expectative. Si tout le monde s'attend à des relations sino-américaines tendues, voire conflictuelles, il n'est pas exclu que Trump tente de proposer un « deal ». De quoi inquiéter Taiwan.
De passage dans la matinale de Dimitri Pavlenko pour annoncer le programme de son émission, Pascal Praud revient sur le cordon médiatique sanitaire pour le discours de Donald Trump mis en place par la RTBF.
Vincent Hervouët analyse l'impact des décisions du président américain Donald Trump sur l'Union européenne. Il décrit comment les mesures protectionnistes de Trump, comme la hausse des tarifs douaniers et la remise en cause de la sécurité américaine en Europe, désemparent les dirigeants européens qui peinent à y répondre. Vincent Hervouët souligne également les défis auxquels l'Europe est confrontée, notamment dans des domaines stratégiques comme l'intelligence artificielle, où les investissements américains dépassent largement ceux de l'UE. Une analyse approfondie des enjeux géopolitiques et économiques qui façonnent les relations transatlantiques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Le désormais locataire de la Maison-Blanche a proclamé la renaissance des États-Unis comme si elle était déjà acquise, du seul fait de son avènement et de la signature d'une volée de décrets.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 21/01/2025, il revient sur le retour et le discours de Donald Trump à la Maison Blanche. Il est également abordé l'évolution de l'état des relations entre la France et les Etats-Unis passées et à venir. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
durée : 00:25:58 - 8h30 franceinfo - L'ancien Premier ministre était l'invité du "8h30 franceinfo" le lundi 20 janvier.
Ha sobrevivido a todo: una condena penal, cuatro inculpaciones y dos intentos de asesinato. Y aunque su caída fue anunciada mil veces, Donald Trump supo sacar provecho de cada uno de esos obstáculos y vuelve a la Casa Blanca. TikTok vuelve a estar disponible en EU de forma parcial. Capítulos 00:00 - Introducción 00:31 - La historia política de Trump 02:49 - TikTok agradece a Trump Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche inspire la presse française, prolixe, mais dans l'ensemble plutôt méfiante et critique vis-à-vis du nouveau président qui prêtera serment lundi 20 janvier. La Tribune Dimanche nous annonce une « rupture », un « nouveau désordre mondial », fait « d'autoritarisme, de nationalisme religieux, de souverainisme économique, et de populisme exacerbé ». Alors que, précise le journal, « le Trump d'aujourd'hui est bien plus préparé qu'il y a huit ans, bien plus puissant aussi. Il a dans sa poche tout ce qui pourrait jouer le rôle de contre-pouvoir dans son pays : la Cour suprême, le Congrès, le monde des affaires. »Le Nouvel Obs n'est guère plus optimiste, et met en Une Donald Trump et Elon Musk, avec ce titre : « Le nouvel impérialisme », et ce sous-titre : « Le duo de milliardaires ouvre une nouvelle ère dangereuse des relations internationales, dans laquelle la Maison Blanche assume une volonté hégémonique décomplexée ». « Le monde pénètre en terra incognita », annonce de son côté l'Express, « non seulement personne ou presque ne peut freiner Trump (…) mais de plus il s'est adjoint un vice-roi en la personne d'Elon Musk, qui lui aussi rêve de pulvériser les règles établies ».« Egos boursouflés »Le duo Donald Trump-Elon Musk, a l'avenir incertain. C'est du moins le point de vue du Nouvel Obs, qui se demande si « les egos boursouflés de Musk et Trump s'accorderont durablement. » Certains « riant sous cape », parlent du « président Elon Musk ». Ce qui n'inquiète pas Donald Trump outre mesure : « Je suis tranquille, dit-il. Vous savez pourquoi ? Il ne peut pas être président, il n'est pas né dans ce pays ». Manière de rappeler qu'Elon Musk a vu le jour en Afrique du Sud et qu'il ne sous-estime pas ses ambitions.Quant à la nouvelle administration Trump, « elle ressemble à un bric-à-brac d'idéologies contradictoires », poursuit le Nouvel Obs : « populistes et ploutocrates, conservateurs traditionnels, francs-tireurs de la nouvelle droite et transfuges démocrates, tenants du protectionnisme et représentants d'industries aux intérêts supranationaux ». « Ma raison d'espérer, explique le politologue Lee Drutman, c'est qu'ils soient submergés par les luttes intestines entre les grandes fortunes et la faction populiste ».Imprévisibilité trumpienneLa presse hebdomadaire s'attarde aussi sur les ambitions internationales de Donald Trump. L'Express, qui compare Donald Trump à un « dynamiteur », revient sur ce qu'il appelle « le feu d'artifice de provocations à l'égard de ses alliés ». « Lors d'une conférence de presse à Mar-a-Lago en Floride, le président élu a asséné qu'il n'excluait rien. Ni d'attaquer le Panama pour reprendre le contrôle du canal interocéanique cédé à ce pays fin 1999, ni de s'emparer du Groenland – partie intégrante du Danemark depuis deux siècles, ni de faire pression sur le Canada pour en faire le 51ème état américain. » « On croyait le 47ème président isolationniste », ajoute l'Express, « on le découvre impérialiste ». « Il croit obtenir davantage par l'agression que par la coopération. En cela, il ressemble à Vladimir Poutine ».Une perspective qui fait peur à l'Europe : « l'imprévisibilité trumpienne met les acteurs européens dans un état de stress qu'ils n'avaient pas connu depuis… le précédent mandat du républicain », remarque l'Express. Alors que pour le Nouvel Obs, « cette soudaine brutalité des relations internationales, vise particulièrement l'Europe, qui a le front de vouloir réguler les géants de la tech, et qui fait pièce à Poutine en soutenant l'Ukraine. » L'hebdomadaire lance en quelque sorte un appel : « il faut impérativement qu'après l'investiture de Trump, l'Union européenne se ressaisisse et accepte de s'affirmer comme la seule entité géopolitique à même de faire face à l'Amérique qui se dessine ».Vent de libertéCertains journaux français apportent toutefois leur soutien à Donald Trump. C'est le cas du Journal du Dimanche qui s'enthousiasme à l'idée de la trace que Donald Trump laissera dans l'histoire. « Jamais il n'aura été aussi près du but qu'il s'est fixé depuis ses premiers pas à la Maison Blanche : transmettre sa vision de l'Amérique, et sa façon de diriger en héritage. Faire avec le pays ce qu'il a fait avec le Parti républicain en réconciliant classes populaires et classes dirigeantes. » Le JDD salut particulièrement les projets de Donald Trump en matière d'immigration, alors qu'il bénéficie du soutien « de la plupart des exécutifs locaux, des forces de l'ordre et surtout de l'opinion publique, lassée par quatre ans d'incurie ». « Bonne chance aux droits de l'Homme ! », s'exclame, avec ironie, le JDD qui ajoute : « Sous Biden, 7,5 millions de migrants ont franchi la frontière sans documents. »Le Journal du Dimanche a aussi interrogé Sarah Knafo, eurodéputée d'extrême droite, qui avec son compagnon, l'ex-candidat à la présidentielle Éric Zemmour, est invitée à l'investiture de Donald Trump. « Comment interprète-t-elle cette invitation ? » lui demande le JDD. « Un vent de liberté souffle sur l'Occident, répond-elle, ce mouvement monte aux États-Unis, en Italie, en Grande-Bretagne. Je pense, sans prétention, que nous en sommes les représentants français ». Donald Trump a donc bien choisi ses invités.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
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durée : 00:05:55 - Le Journal de l'éco - par : Laura Dulieu - Donald Trump reprend ses fonctions lundi prochain. Le 47e Président a été réélu grâce à des promesses populistes, notamment faites aux électeurs de la classe ouvrière mais il est en train de constituer ce qui sera le gouvernement le plus riche de l'histoire des États-Unis.
Donald Trump a su élargir sa base électorale. Il a obtenu 2,5 millions de voix de plus qu'il y a quatre ans quand il a perdu contre Joe Biden. Un chiffre qui s'explique par les gains du républicain chez certains électorats traditionnellement plus démocrates, et notamment chez les jeunes. Kamala Harris a récupéré plus de voix chez cet électorat, mais moins que ces prédécesseurs démocrates. Preuve que le président élu a su s'adresser à ces électeurs. Chez Skyler Akins, des portraits de l'ancien président démocrate John Fitzgerald Kennedy sont affichés aux murs, ainsi qu'une photo de Skyler avec Kamala Harris. Elle a été prise avant 2020, à l'époque où il votait encore démocrate. Aujourd'hui, celui qui est désormais vice-président des jeunes Républicains d'Atlanta (Géorgie, sud-est des États-Unis) constate un engouement jamais vu pour son parti : « On vient d'avoir notre fête de Noël et on n'a jamais eu autant de personnes. Et on n'a jamais eu autant de sponsors. Le soutien pour les jeunes républicains est à un niveau historique. »Ce succès, estime Skyler, provient surtout du programme économique de Donald Trump : « Ils voient que, pendant le dernier mandat de Donald Trump, tous les indicateurs économiques étaient meilleurs quand il était président. Tout était moins cher et les taux d'intérêts étaient plus bas. »À lire aussiLa jeunesse américaine dans le bouillonnement des électionsLes podcasts, biais de communication de Trump pour la jeunesseSur une voie piétonne d'Atlanta, Matt, 30 ans, se promène devant des restaurants et magasins. Il a voté pour le parti libertarien, mais reste optimiste pour le mandat de Donald Trump : « La dernière fois, il s'était mal entouré. J'espère qu'il le sera mieux cette fois dans son administration pour qu'ils le mettent sur la bonne voie. »Pour Matt, les interviews accordées par Donald Trump à des podcasts ont contribué à son succès. « Il s'est pris au jeu et s'est dit "les médias traditionnels ne proposent pas de discussion de trois heures". Je pense que ça l'a vraiment aidé, avec ses électeurs, de pouvoir s'installer et discuter pendant trois heures. Ça a changé les choses. Je ne dis pas que je suis d'accord avec tout ce qu'il a dit, mais ça a permis de le rendre plus personnel », souligne Matt.À lire aussiPrésidentielle américaine: les jeunes sur TikTok ont l'intention de contrebalancer le vote de leurs aînésDes jeunes démocrates convertis en jeunes républicainsTyler, 31 ans, a voté démocrate et se dit inquiet. Mais il a vu la popularité de Donald Trump augmenter dans son entourage : « Un de mes meilleurs amis a voté pour Donald Trump. Il vit en Californie. Il a toujours été un démocrate et a voté pour lui pour la première fois. Il en a juste marre des politiques en Californie. Une part importante de ma génération lit et regarde les infos plus que jamais. Et ils voient les politiques des démocrates au pouvoir qu'ils n'aiment pas et ça les pousse vers Donald Trump. Je pense que la criminalité, la délinquance et l'immigration sont importants. L'impression dans les médias, c'est que les démocrates tolèrent le crime et la délinquance. Si c'est vrai ou pas, c'est à chacun de voir. »Mais les jeunes ont moins voté qu'aux dernières élections, selon des estimations du centre de recherche Circle. La participation des personnes entre 18 et 29 ans était de 42%, soit dix points de pourcentage de moins qu'en 2020.À lire aussiVictoire de Donald Trump: ces électorats qui ont fait basculer l'élection
El análisis de actualidad económica, todas las mañanas a las 07:30 con Javier Ruiz, jefe de Economía de la SER.
Domenica Donald Trump ha rilasciato un'intervista a NBC in cui possiamo dire ha esposto, o piuttosto ribadito, quelli che saranno i punti chiave della sua presidenza in merito alla guerra in Ucraina, i rapporti con l'Europa e altri temi di politica economica e politica interna. Intanto, sempre domenica, si sono concluse le votazioni all'interno del M5S che hanno definitivamente abolito la figura del garante Beppe Grillo, mentre continuano ad arrivare aggiornamenti dalla Siria. ... Qui il link per iscriversi al canale Whatsapp di Notizie a colazione: https://whatsapp.com/channel/0029Va7X7C4DjiOmdBGtOL3z Per iscriverti al canale Telegram: https://t.me/notizieacolazione ... Qui gli altri podcast di Class Editori: https://milanofinanza.it/podcast Musica https://www.bensound.com Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Brasil, México, Colombia y Chile fortalecen el “bloque progresista” en la cumbre del G20 Marco Rubio se suma a la lista de altos cargos en el futuro gobierno de Donald Trump La crisis del sector automovilístico alemán Rafael Nadal dice adiós al tenis Pedro Páramo cobra vida en la gran pantalla
durée : 00:06:33 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Des caravanes de milliers de migrants espèrent arriver aux Etats-Unis avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche le 20 janvier prochain. Le président républicain a promis de lutter contre "l'invasion migratoire". Des agriculteurs craignent de perdre une main d'œuvre essentielle.
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durée : 00:02:54 - Planète verte - par : Célia Quilleret - Cette semaine, dans la sphère climatique en France, la victoire du candidat Républicain, connu pour ses prises de positions climato-sceptiques, a provoqué un ouragan d'effroi et de contestation. Ce séisme change-t-il pour autant la perspective de la COP29 à Bakou en Azerbaïdjan ?
durée : 00:02:08 - Le vrai ou faux - Même si son retour à la Maison-Blanche est fracassant et rare, il n'est pas totalement inédit. Grover Cleveland, au XIXe siècle, avait également été réélu président des États-Unis après avoir été battu quatre ans plus tôt.
durée : 00:14:43 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, avec Romain Huret et Elisa Chelle
durée : 00:58:49 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - La majeure partie de notre 13/14 est consacrée à l'élection de Donald Trump, de retour à la Maison Blanche après une campagne brutale et incertaine jusqu'à tôt ce matin. Pour en parler, l'historien Romain Huret et la professeur en sciences politiques Elisa Chelle sont nos invités.
Fernando Arancón y Alba Leiva analizan la actualidad política mundial para entender por qué pasan las cosas. A diez días de las elecciones en Estados Unidos nos preguntamos: ¿Quién es realmente Donald Trump? Los expertos del 'orden mundial' nos cuentan cómo el candidato republicano ha construido su perfil político.