Country in Southwestern Asia
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Medhi Benatia : "Laporte risque de résilier avec son club. C'est un très bon joueur malgré ses 2 ans passés en Arabie Saoudite. C'est une piste qu'on étudie tout comme Facundo Medina et d'autres centraux."
Arabie Saoudite, Qatar, Emirats Arabes Unis : le Trump tour au Moyen-Orient devrait prendre fin ce vendredi. Le président américain a profité de ce premier déplacement d'envergure depuis son élection pour conclure toute une série d'accords commerciaux. Mais il a également fait de la géopolitique avec notamment une rencontre avec le président syrien...rencontre assortie d'une levée des sanctions. Que faut-il retenir de cette grande visite? On a posé la question à Pauline Hofmann, cheffe adjointe du pôle International.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la levée des sanctions américaines en Syrie et des affrontements entre groupes armés à Tripoli. Football : qui pour remplacer Carlo Ancelotti au Real ? Après quatre ans sur le banc du Real Madrid, l'entraîneur Carlo Ancelotti a été nommé sélectionneur de l'équipe nationale du Brésil jusqu'à la Coupe du monde 2026. Malgré une saison blanche avec les Merengues, pourquoi l'Italien a-t-il été choisi par la Fédération brésilienne ? Qui pour le remplacer au Real ?Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI.Syrie : levée des sanctions américaines, mais à quelles conditions ? Lors de sa visite en Arabie Saoudite, Donald Trump a créé la surprise en annonçant la suspension des sanctions américaines contre de la Syrie. Cette décision a suscité des manifestations de joie dans les rues de Damas. Quelle était la nature de ces sanctions ? En contrepartie, les Américains ont-ils fixé des conditions ?Avec Frédéric Encel, professeur en géopolitique à Sciences-Po Paris. Auteur de l'ouvrage « La Guerre mondiale n'aura pas lieu: Les raisons géopolitiques d'espérer » (éditions Odile Jacob).Libye : flambée de violences à Tripoli Le chef de l'importante milice de l'Autorité de soutien à la stabilité (SSA), Abdelghani el-Kikli dit « Gheniwa », a été tué à Tripoli dans de violents affrontements entre groupes armés. Comment expliquer ces violences ? Que revendiquent ces groupes armés ?Avec Jalel Harchaoui, géopolitologue spécialiste de la Libye, chercheur associé au sein du Royal United Services Institute de Londres.
Arabie Saoudite, Qatar, Emirats Arabes Unis : le Trump tour au Moyen-Orient devrait prendre fin ce vendredi. Le président américain a profité de ce premier déplacement d'envergure depuis son élection pour conclure toute une série d'accords commerciaux. Mais il a également fait de la géopolitique avec notamment une rencontre avec le président syrien...rencontre assortie d'une levée des sanctions. Que faut-il retenir de cette grande visite? On a posé la question à Pauline Hofmann, cheffe adjointe du pôle International.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Après un plongeon printanier, les marchés actions américains reprennent des couleurs dans le sillage d'un Donald Trump nouvelle version : toujours rugueux, mais plus réactif. Une remontée à relativiser, car des ombres planent encore sur l'économie américaine. Les gardiens de la galaxie obligataire veillent et ils sont un peu inquiets… Mais les investisseurs en actions se fichent pour le moment de ces rabat-joie austères.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il avait promis une annonce très importante, à l'occasion de sa tournée dans les pays du Golfe. Donald Trump a surpris, en effet, en levant les sanctions américaines contre la Syrie, avant de rencontrer le président syrien ce mercredi 14 mai 2025. Cette tournée est surtout consacrée à la signature de contrats économiques, mais de nombreux sujets diplomatiques s'y invitent : la transition syrienne, la guerre à Gaza, le nucléaire iranien. Comment le Golfe peut-il profiter des bouleversements diplomatiques provoqués par Trump ? Les monarchies de la péninsule peuvent-elles devenir le centre de l'économie et de la diplomatie mondiale ? Avec : - Adlene Mohammedi, chercheur en Géopolitique, enseignant à Paris III et à l'IRIS.
Alors que plusieurs élus pointent ses possibles conflits d'intérêts, Donald Trump annonce un montant record d'investissements saoudiens auprès des Etats-Unis, au premier jour de sa tournée dans le golfe persique. Est-il prêt à monnayer la politique étrangère des Etats-Unis ? On va plus loin avec Patricia Allémonière et Gauthier Rybinski.
À la Une de la presse, ce mercredi 14 mai, les réactions à l'intervention télévisée, mardi soir, d'Emmanuel Macron ; la tournée de Donald Trump au Proche-Orient, où il annonce une pluie de contrats avec l'Arabie saoudite ; le royaume saoudien, où des centaines de domestiques kényanes subissent des conditions de travail indignes ; l'audition de François Bayrou par l'Assemblée nationale sur l'affaire Bétharram ; et un canard flashé par le radar.
Volodymyr Zelensky attendra Vladimir Poutine demain à Istanbul Jacqueline Galant veut interdire les réseaux sociaux aux ados jusque 15 ans pour protéger du cyberharcèlement et Donald Trump en Arabie Saoudite, il annonce la levée des sanctions contre la Syrie Pfizergate : la justice européenne condamne la Commission pour son refus de divulguer les SMS d'Ursula von der Leyen avec le patron du laboratoire pharmaceutique Pfizer Qu'en pensent les ados de cette interdiction des RS ? Festival de Cannes : des documentaires présentés sur Volodymyr Zelensky et la guerre en Ukraine Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au lendemain de la spectaculaire annonce de la levée des sanctions américaines contre la Syrie, Donald Trump a rencontré ce mercredi le président syrien par intérim Ahmed al-Charaa, lors de son séjour en Arabie saoudite. Il lui a demandé notamment de normaliser ses relations avec Israël. Le décryptage d'Anthony Samrani, rédacteur en chef de L'Orient-Le Jour. Anthony Samrani est l'auteur de Vu du Liban, la fin d'un pays, la fin d'un monde ? (éditions Gallimard)
Le Journal en français facile du mardi 13 mai 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BfNE.A
Ce mardi 13 mai, François Sorel a reçu Jean-Baptiste Kempf, co-créateur du logiciel VLC et CTO de Scaleway, Jean Schmitt, président de Jolt Capital, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur l'investissement par l'Arabie Saoudite de centaines de milliards de dollars dans l'IA, la baisse des tarifs du forfait 4G à moins 10 euros chez des opérateurs mobiles en France, et la sortie du smartphone ultra-fin de Samsung, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:37:34 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Le président américain réserve aux monarchies du Golfe sa première tournée depuis sa réélection. Reçu en grande pompe par le prince héritier Mohammed Ben Salmane ce mardi 13 mai en Arabie Saoudite, le milliardaire a laissé présager d'une "annonce de grande importance pour l'avenir du Moyen-Orient". - réalisé par : Thomas Lenglain
durée : 00:13:17 - L'invité d'un jour dans le monde - Le président américain réserve aux monarchies du Golfe sa première tournée depuis sa réélection. Ce mardi 13 mai, il était reçu en grande pompe par le prince héritier Mohammed Ben Salmane en Arabie Saoudite. À quoi peut-on s'attendre ? Décryptage avec Agnès Levallois, spécialiste du Moyen-Orient.
durée : 00:37:34 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Le président américain réserve aux monarchies du Golfe sa première tournée depuis sa réélection. Reçu en grande pompe par le prince héritier Mohammed Ben Salmane ce mardi 13 mai en Arabie Saoudite, le milliardaire a laissé présager d'une "annonce de grande importance pour l'avenir du Moyen-Orient". - réalisé par : Thomas Lenglain
Donald Trump est en Arabie Saoudite. Première étape d'une tournée dans les pays du Golfe. Le Président américain s'est entretenu avec Mohammed ben Salmane, le prince héritier saoudien. Washington et Riyad ont signé un contrat de défense de 142 milliards de dollars. Cet accord s'inscrit dans un ensemble plus vaste de promesses d'investissement saoudien de 600 milliards de dollars selon l'exécutif américain.
En visite officielle en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis et au Qatar, Donald Trump affiche sa volonté de resserrer les liens économiques entre Washington et les monarchies du Golfe. Mais cette tournée soulève de nombreuses interrogations sur les intérêts privés de son entourage et les possibles conflits d'intérêts qui en découlent.
À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente la grande visite de Donald Trump dans les pays du golfe Persique. En quête d'investissements importants pour les États-Unis, notamment en termes de vente d'armes et d'intelligence artificielle, le président américain est arrivé en Arabie Saoudite mardi pour y rencontrer le prince héritier Mohammed ben Salmane. «Trump a été accueilli par le prince, un bon dictateur comme il les aime. [...] Donald Trump est très heureux [...] C'est la grande tournée des États du Golfe.» Le président américain doit par la suite se rendre au Qatar - où il devrait recevoir un avion luxueux d'une valeur de 400 millions de dollars - et dans les Émirats arabes unis. Autres sujets abordés ⦁ Gérard Depardieu coupable d’agression sexuelle;⦁ Une chirurgie à la colonne vertébrale a été annulée cinq fois... Et le patient attend encore;⦁ Assermentation des ministres de Mark Carney ce mardi.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
C'est du moins l'expression utilisée par Le Temps à Genève. « Les trois États du Golfe qui accueilleront Donald Trump pour sa première tournée présidentielle, à partir d'aujourd'hui, vont faire office de Rois mages. Arabie saoudite, Qatar et Émirats arabes unis attendent le président américain les bras chargés de cadeaux. 600 milliards de dollars pour l'Arabie saoudite, pratiquement autant pour le Qatar, et plus du double promis par les Émirats arabes unis : en guise de signe de bénédiction de son deuxième mandat, le président Trump entend revenir aux États-Unis auréolé des largesses provenant des fonds souverains de ces pays, parmi les plus riches de la planète comparativement au nombre d'habitants ».« Un deal est un deal »« Faire des affaires, pas la guerre, relève Le Monde à Paris. L'ambition de Donald Trump peut se résumer ainsi, à l'heure de sa première tournée à l'étranger depuis son investiture, en janvier ».« Trump cherche avant tout des deals », insiste Le Soir à Bruxelles. « Quitte à confondre voyage diplomatique et business trip dans le Golfe. Sachant qu'il n'obtiendra probablement rien à court terme, ni de la Russie, ni d'Israël sur une paix, ni de l'Arabie saoudite, ni de l'Iran sur les dossiers de la normalisation avec Israël et du nucléaire, Trump pourrait détourner l'attention avec des contrats affichant un nombre de zéros à n'en plus finir. Car dans la vision du monde transactionnelle du président américain, peu importe s'il s'agit de paix ou de pétrodollars : un deal est un deal ».Le Figaro à Paris précise : « des investissements massifs aux États-Unis, des contrats d'armement ou aéronautiques, ou des accords sur l'intelligence artificielle, les cryptomonnaies ou les métaux rares pourraient être proclamés, permettant à Trump d'afficher des succès commerciaux. La Maison-Blanche dit espérer obtenir mille milliards de dollars de contrats et d'investissements ».Israël en berne…« Un pays suivra d'un mauvais œil cette visite, relève pour sa part La Croix : Israël. Contrairement à 2017, l'État hébreu n'est pas sur la feuille de voyage de Trump (…). Galvanisé initialement par ses annonces sur la “Riviera“ et le “déplacement“ des Gazaouis, Benyamin Netanyahu redoute désormais les déclarations de son imprévisible partenaire. Ce dernier pourrait-il soutenir le plan arabe pour Gaza, porté par l'Égypte, la Jordanie et la France ? Ou bien lâcher le Premier ministre israélien et imposer un règlement politique pour l'enclave ? Les supputations vont bon train dans les médias arabes et israéliens. Mais la séquence contrarie déjà l'État hébreu, remarque encore La Croix : non seulement Donald Trump va être pressé par ses alliés du Golfe de conclure un accord avec l'Iran sur le nucléaire, mais il devrait aussi rencontrer lors de sa tournée trois des ennemis jurés d'Israël : le président palestinien Mahmoud Abbas, le Syrien Ahmed Al Charaa et le Libanais Joseph Aoun ».Un cadeau somptueux…Mais le sujet qui accapare l'attention de la presse américaine c'est l'avion d'une valeur de 400 millions de dollars que le Qatar a l'intention de mettre à disposition de Donald Trump…« Ce don potentiel soulève de grandes inquiétudes, pointe le Washington Post, non seulement en matière de sécurité, mais aussi de corruption et d'abus de confiance. On a là un président qui, au cours de la première année de son mandat de quatre ans, accepte un cadeau historique et extraordinairement coûteux de la part d'un gouvernement étranger qui a de nombreux intérêts dans les actions de son administration ».Qui plus est, poursuit le Washington Post, « cet avion pourrait apparemment être affecté ultérieurement à l'usage personnel de Donald Trump, bien que ce dernier ait déclaré hier qu'il ne l'utiliserait pas. Certains experts affirment que cela violerait clairement la clause “émoluments“ de la Constitution ».Des contrats juteux pour la famille Trump…Dans le même temps, le New York Times soulève un autre lièvre… Des contrats mirifiques pour la famille Trump… « Les deux fils aînés du président se sont en effet lancés récemment dans une série de contrats juteux en capitalisant sur le nom et le pouvoir de leur père, chacun essayant apparemment de surpasser l'autre. On parle là de milliards de dollars », s'exclame le New York Times qui précise : « un hôtel de luxe à Dubaï. Une deuxième tour résidentielle haut de gamme à Djeddah, en Arabie saoudite. Deux entreprises de cryptomonnaies basées aux États-Unis. Un nouveau parcours de golf et un complexe de villas au Qatar. Et un nouveau club privé à Washington. Dans bien des cas, pointe le journal, ces nouvelles transactions promues la semaine dernière bénéficieront non seulement à Eric et Donald Jr., mais aussi au président Trump lui-même ».
Carney dévoilera son Conseil des ministres. La saga de Terrebonne. Le passé du candidat du PQ dans Arthabaska. Legault veut un 3e mandat! Trump est arrivé en Arabie Saoudite. Dossier HMR: frais d’inspection pour la broche temporaire. Le procès Puff Daddy s’est ouvert hier. Kim Kardashian va parler à son procès. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Donald Trump est arrivé en Arabie Saoudite. La rencontre Bureau-Dumont avec Stéphan Bureau et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La saga de Terrebonne se poursuit. La candidature du PQ dans Arthabaska sème la controverse. Trump est arrivé en Arabie Saoudite. Tarifs: la Chine répond aux États-Unis. Victoire des Oilers. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Au micro de Yaël Bornstein, Jacques Neriah décrypte le virage stratégique des États-Unis.Donald Trump ne tourne pas le dos à Israël, mais laisse son allié se débrouiller seul face aux attaques des Houthis. En parallèle, il renforce ses ouvertures vers l’Arabie Saoudite, y compris sur le dossier sensible du nucléaire civil.Un isolement relatif d’Israël, dans un Proche-Orient toujours plus instable, où même les Druzes de Syrie, longtemps protégés, voient leur avenir s’obscurcir.
Les pays du Golfe pourraient-ils s'imposer comme un hub du raffinage des métaux, activité aujourd'hui largement dominée par la Chine? C'est une des questions abordée dans un rapport à paraître de l'Observatoire de la sécurité des flux et des matières énergétiques (OSFME). Les minerais et les métaux sont avant tout un moyen pour les pays du Golfe de se préparer à l'après-pétrole, rappellent les auteurs du rapport de l'OSFME, mené pour le compte de la Direction générale des relations internationales et de la stratégie (DGRIS) du ministère des Armées, en partenariat avec Enerdata et Cassini Conseil.La dépendance des recettes publiques de ces États aux hydrocarbures varie, elle est au minimum de 40% pour les Émirats arabes unis et va jusqu'à 80 % pour le Qatar et le Koweït. Dans la perspective d'une demande en pétrole qui pourrait être divisée par quatre entre 2025 et 2050, selon l'Agence internationale de l'Énergie, les pays du Golfe ont commencé à chercher d'autres sources de revenus. Énergies renouvelables, mines et métauxCes dernières années, ils ont développé une batterie de projets et de plans nationaux pour diversifier leur économie avec deux grands axes : les énergies renouvelables et les mines et les métaux, explique Candice Roche, chercheuse en économie prospective à IFPE Énergies nouvelles, la baisse de la consommation d'énergie fossile s'accompagnant d'une montée des besoins en métaux. L'extraction minière est un des piliers de la stratégie saoudienne, mais plus globalement les pays de la région se sont engouffrés dans le secteur du raffinage, de leurs propres ressources quand ils en ont, ou de minerais importés. L'atout commun de ces pays-là est unique : ils disposent d'énergie bon marché pour faire fonctionner des fonderies qui traitent le minerai pour le transformer en métal. Pour le raffinage de lithium, les Émirats ont signé un accord avec un producteur, le Zimbabwe, l'Arabie saoudite raffine, elle, du lithium d'Autriche. Les pays du Golfe disposent aussi de capacité de raffinage de bauxite et sont devenus des producteurs d'aluminium qui comptent sur le marché, explique Frederic Jeannin, chercheur à l'Iris.Grâce à la bauxite qu'ils importent de Guinée, les Émirats, qui sont loin de concurrencer la Chine sur la production d'aluminium primaire, sont devenus les premiers exportateurs d'alliage d'aluminium avec une production et se distinguent par leur production de métal de qualité militaire très prisée par l'industrie américaine de la défense.Production pour le secteur de la défenseLe royaume saoudien fabrique lui un des aluminiums les moins chers du monde grâce à sa propre mine de bauxite. Un atout qui pourrait cependant ne pas durer, en raison du manque de réserves d'eau, explique Fréderic Jeannin. Le recours à plus d'eau de mer dessalée est très énergivore et pourrait réduire l'avantage concurrentiel du pays, voire limiter sa capacité à augmenter sa production, explique le chercheur.L'Arabie saoudite se positionne aussi sur le créneau du titane de qualité aéronautique, produit à partir de minerai importé du Mozambique et d'Australie. Ce titane saoudien a fait l'objet fin avril d'un accord d'approvisionnement pour Airbus, pour un montant de 585 millions d'euros.Aux yeux des Occidentaux, les pays du Golfe peuvent être une alternative intéressante à la Chine qui domine largement l'activité mondiale du raffinage. Ils constituent aussi un levier à actionner : les États-Unis encourageraient les investissements des États du Golfe dans les zones minières trop risquées pour les occidentaux, et dans l'activité de raffinage pour précisément limiter la mainmise de la Chine. Les intérêts en jeu sont différents : là où l'Empire du milieu sécurise ses approvisionnements, via l'achat de mine et la production de métaux, pour servir ses intérêts, les pays du Golfe, eux, jouent avant tout leur diversification et leur positionnement dans le système international. « Ils apparaissent comme une puissance intermédiaire, capable d'investir pour récupérer des métaux et les transformer, avec une position moins menaçante que celle de la Chine, qui n'est pas dans une logique d'approvisionnement collectif », explique un des auteurs du rapport de l'OSFME.
Une partie de l'Asie et du Moyen-Orient suffoque, les températures des derniers jours battent des records de chaleur, fragilisant les populations les plus vulnérables. Les anomalies de température ont atteint jusqu'à + 12°C de plus que d'habitude en Afghanistan, en Inde ou au Pakistan. 46°C en Irak et en Iran où plus de 300 records de température ont été battus partout dans le pays. En Arabie saoudite, ce sont 47,6°C qui ont été mesurés sur les rives du golfe Persique, une première pour un mois d'avril. Pour expliquer cette canicule précoce, entretien avec Jean-Pascal Van Ypersele, climatologue à l'Université catholique de Louvain. Membre de la Plateforme wallonne pour le Giec.
L'idée que l'Homo erectus aurait disparu à cause de sa paresse a fait grand bruit en 2018, à la suite d'une étude menée par une équipe d'archéologues australiens sur un site situé à Saffaqah, en Arabie Saoudite. Mais derrière ce titre accrocheur se cache une réalité bien plus nuancée et, surtout, scientifique.L'Homo erectus, espèce humaine ancienne apparue il y a environ 1,9 million d'années, a longtemps été vue comme une espèce pionnière : première à sortir d'Afrique, première à utiliser le feu, à fabriquer des outils bifaces perfectionnés, et à occuper des environnements variés. Cependant, les recherches menées à Saffaqah ont révélé un comportement surprenant : les Homo erectus locaux semblaient éviter les efforts inutiles, tant pour fabriquer leurs outils que pour exploiter les ressources de leur environnement.Des outils simples malgré des ressources meilleures à proximitéSur le site étudié, les chercheurs ont observé que les Homo erectus utilisaient des pierres de mauvaise qualité, disponibles localement, plutôt que de parcourir quelques kilomètres supplémentaires pour accéder à des roches bien meilleures pour la fabrication d'outils, comme le quartzite. En comparaison, d'autres espèces humaines, comme les Néandertaliens ou Homo sapiens, ont démontré une plus grande mobilité et une capacité à rechercher les meilleurs matériaux, même s'ils étaient éloignés.Un manque d'adaptationCe comportement est interprété non pas comme de la "paresse" au sens moral du terme, mais comme un manque de flexibilité comportementale. L'Homo erectus semble avoir conservé des stratégies de subsistance simples et peu adaptatives, même lorsque les conditions environnementales devenaient plus arides ou plus contraignantes. Contrairement à Homo sapiens, il n'a pas su adapter ses pratiques face au changement climatique ou à la rareté des ressources. Ce manque d'innovation et de plasticité aurait limité sa capacité à coloniser de nouveaux territoires ou à faire face à des crises écologiques.Une extinction multifactorielleLa disparition de l'Homo erectus, il y a environ 100 000 ans, est donc probablement le résultat de facteurs multiples : changements climatiques, concurrence avec d'autres espèces humaines plus évoluées (comme Homo sapiens), isolement géographique, et incapacité à innover ou à s'adapter rapidement. La "paresse" évoquée n'est qu'un symptôme comportemental, vu aujourd'hui par les scientifiques comme un indice de stagnation culturelle et technologique.En conclusion, l'Homo erectus n'a pas disparu parce qu'il était "fainéant", mais parce qu'il était moins réactif face aux défis de son environnement. Une leçon précieuse sur le rôle de l'innovation, de la mobilité et de l'adaptabilité dans la survie des espèces. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oscar Piastri remporte son 2e Grand Prix consécutif en Arabie Saoudite après une grande bagarre contre Max Verstappen. Le quadruple champion du monde a réalisé un tour d'anthologie en qualification pour prendre la pôle position à Piastri pour 10 millièmes. Il prend la 2e place et reste au contact au championnat du monde. Charles Leclerc monte pour la 1e fois de la saison sur le podium. Le pilote Ferrari a eu un rythme extrêmement rapide pendant la course alors que son coéquipier Lewis Hamilton continue de souffrir. Nicolas Paolorsi, Jean-Luc Roy, Alexandre Khaldi et Louis Gerbier reviennent sur la très belle performance d'Isabelle Hadjar qui continue d'impressionner. Le Français est une nouvelle fois entré dans les points
Oscar Piastri enchaîne une deuxième victoire consécutive et démontre qu'il faudra compter sur lui pour le titre. Max Verstappen a une nouvelle fois été énorme pour marquer des gros points. On en discute ensemble !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La F1 termine son premier triple-header de la saison en Arabie Saoudite pour la 5e manche du championnat du monde. Un circuit urbain qui a profité à Red Bull lors des 3 dernières années mais l'écurie autrichienne apparait en grande difficulté depuis le dernier Grand Prix de Bahreïn. Max Verstappen a reconnu les difficultés de son team pour rivaliser pour le titre. Christian Horner et Helmut Marko les deux patrons de Red Bull s'inquiètent d'un potentiel départ de leur quadruple champion du monde en fin de saison. Lando Norris, de son côté, doit absolument relever la tête et garder la 1e place du championnat. La pression mise par son coéquipier Oscar Piastri est de plus en plus insistante.
Le feuilleton n'aura pas duré. Mohamed Salah prolonge pour deux ans à Liverpool avant la fin de la saison. L'égyptien était en fin de contrat et les rumeurs d'un départ en Arabie Saoudite ou au Paris Saint-Germmain allait bon train. Salah fait-il le bon choix ? Liverpool a-t-il raison de céder sur la durée du contrat ? Avec la prolongation de Salah et celle à venir de Van Dijk, est-ce une preuve que le projet Slot est validé ? Liverpool devait-il tourner la page ? L'Olympique de Marseille se déplace à Monaco avec un nouveau bricolage en défense centrale. Ulysse Garcia pourrait être aligné dans l'axe. De Zerbi a-t-il raison de continuer avec son schéma à trois défenseurs axiaux alors qu'il y a une pénurie à ce poste ?
L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées. Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées. Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France. Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ? La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française. Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel
L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées. Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées. Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France. Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ? La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française. Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel
Dans cette édition :Un rabbin d'Orléans a été agressé et insulté par un jeune homme de 16 ans qui se dit palestinien, suscitant l'indignation et la colère de la communauté juive française.Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, souhaite identifier les détenus étrangers en prison afin de les faire purger leur peine dans leur pays d'origine pour lutter contre la surpopulation carcérale.L'acteur Gérard Depardieu sera jugé pour agression sexuelle et outrage sexiste lors du tournage d'un film en 2021.Des émissaires russes, ukrainiens et américains se réunissent en Arabie Saoudite pour discuter d'une possible trêve dans le conflit en Ukraine.L'équipe de France de football a réussi à se qualifier pour les demi-finales de la Ligue des Nations en remportant un match à suspense contre la Croatie.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Nouvelles interpellations dans l'enquête sur l'évasion de Mohamed Amra, dont le rappeur Koba LaD soupçonné d'avoir aidé le fugitif.Agression antisémite contre le rabbin d'Orléans, la classe politique unanime pour dénoncer la responsabilité de La France Insoumise dans la montée de l'antisémitisme en France.Poursuite des négociations entre représentants américains, russes et ukrainiens en Arabie Saoudite pour tenter d'aboutir à une trêve partielle en Ukraine.Nomination de Didier Retière au poste de directeur technique national de la Fédération française de tennis.Situation boursière mitigée avec une légère baisse du CAC 40 et des performances contrastées des secteurs.Prévisions météorologiques avec un temps instable et des risques orageux dans l'après-midi, notamment dans le sud.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Alors que des pourparlers entre la Russie et les Etats-Unis sur une trêve vont se tenir ce lundi en Arabie Saoudite, les questionnements des jeunes français sur le sujet grandissent...Leur inquiétude aussi ! L'angoisse des jeunes face à l'actualité a atteint en 2024 son plus haut niveau : 31% d'après une enquête IPSOS. Un baromètre réalisée en fin d'année dernière, et où l'état du monde et les conflits figuraient déjà comme étant le deuxième sujet d'actualité le plus stressant pour les jeunes : 41%...11 points de plus qu'en 2021... Ecoutez RTL Evènement avec Hortense Crépin du 24 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le pape François est sorti de l'hôpital après cinq semaines d'hospitalisation pour une double pneumonie et a béni la foule depuis un balcon, bien qu'encore très affaibli.Des négociations décisives entre l'Ukraine, la Russie et les États-Unis sont prévues demain en Arabie Saoudite pour tenter d'obtenir une trêve partielle, alors que des attaques de drones russes ont encore visé Kiev cette nuit.En politique française, le Premier ministre François Bayrou traverse une mauvaise passe avec une chute importante de sa popularité, tandis que des tensions apparaissent au sein du gouvernement sur des sujets comme le port du voile.Sur le plan sportif, l'équipe de France de football affronte la Croatie en Ligue des Nations avec l'obligation de gagner par 3 buts d'écart pour se qualifier, et un hommage sera rendu à Olivier Giroud, meilleur buteur de l'histoire des Bleus.Sur le plan économique, le président américain Donald Trump menace d'imposer des droits de douane de 200% sur le vin français, ce qui inquiète les viticulteurs de l'Aude qui ont envoyé une caisse de vin à la Maison Blanche pour le convaincre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Négociations prévues entre la Russie et l'Ukraine en Arabie Saoudite, supervisées par les États-Unis, dans l'espoir d'un cessez-le-feu.Manifestations contre le racisme en France, marquées par des violences et des propos haineux, suscitant la condamnation du gouvernement.Découverte d'un trafic de fossiles de dinosaures, un nouveau type de délinquance lucrative.Hausse des dépenses contraintes pesant sur le pouvoir d'achat des Français, qui doivent faire des arbitrages sur leurs loisirs.Défi de taille pour l'équipe de France de football, qui doit remonter un retard de 2 buts face à la Croatie pour se qualifier en finale de la Ligue des Nations.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le gouvernement français peine à afficher un front uni sur le dossier algérien, avec des déclarations contradictoires de plusieurs ministres.Le Premier ministre a dû recadrer ses troupes concernant l'interdiction du port du voile dans les compétitions sportives, un sujet qui divise le gouvernement.Les négociations sur un cessez-le-feu total en Ukraine devraient débuter dimanche en Arabie Saoudite, après un échange téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine.Un séisme de magnitude 4,1 a secoué la région de Nice, sans faire de dégâts ni de blessés.Le conclave sur la réforme des retraites semble au bord de l'implosion, avec le départ annoncé de plusieurs syndicats.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:59 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - L'Arabie saoudite oeuvre pour la paix. C'est le nouveau Woodstock. Le prince ben Salmane est médiateur dans les négociations entre l'Ukraine et les Etats-Unis. Hier, il recevait hier Zelensky...
durée : 00:02:59 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - L'Arabie saoudite oeuvre pour la paix. C'est le nouveau Woodstock. Le prince ben Salmane est médiateur dans les négociations entre l'Ukraine et les Etats-Unis. Hier, il recevait hier Zelensky...
L'Ukraine est sortie satisfaite des avancées des discussions avec les équipes américaines lors d'une rencontre en Arabie Saoudite. Trump doit maintenant convaincre Poutine d'accepter un cessez-le-feu de 30 jours. Pendant ce temps, l'Union européenne essaye d'exister et doit également gérer les changements de trajectoire quant à ses objectifs environnementaux.
durée : 00:27:50 - Trêve en Ukraine : que va faire la Russie ? Après la proposition américaine d'un cessez-le-feu de trente jours, accepté par l'Ukraine mardi en Arabie saoudite, proposition assortie d'une reprise de l'aide militaire américaine à Kiev, le Kremlin dit désorm
Le Journal en français facile du mardi 11 mars 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BUCk.A
durée : 00:14:46 - Journal de 8 h - Deux délégations, ukrainienne et américaine, ont rendez-vous en Arabie saoudite ce mardi. Le point dans cette édition avec notre correspondant à Washington.
C dans l'air du 11 mars 2025 - Ukraine/ USA : "un deal"après le clash ?Des centaines de drones ukrainiens ont été lancés cette nuit sur la Russie, en particulier sur la région de Moscou. Trois personnes sont mortes et dix-huit autres ont été blessées, selon le ministère russe de la Santé et les autorités municipales. Cette attaque, la plus importante contre la région de la capitale, rarement touchée depuis le début de l'invasion russe en Ukraine en février 2022, est intervenue à quelques heures de pourparlers ce mardi en Arabie Saoudite entre représentants ukrainiens et américains sur la guerre en Ukraine. Le secrétaire d'État américain, Marco Rubio avait jugé hier soir prometteuse une proposition ukrainienne de trêve dans les airs et en mer dans la guerre avec la Russie, tout en indiquant que l'aide américaine et le partage de renseignements pourraient reprendre si Kiev s'engageait dans un processus de paix. Dans la matinée, l'Ukraine a déclaré que son attaque de drones visait à "inciter" Vladimir Poutine à accepter une trêve aérienne. Volodymyr Zelensky depuis plusieurs jours appel à un cessez-le-feu dans les airs et en mer. «Les premières étapes pour établir une paix réelle devraient être de forcer la seule source de cette guerre, c'est-à-dire la Russie, à mettre fin à de telles attaques», avait écrit vendredi le président ukrainien dans un message sur X, en demandant une «interdiction» de l'usage «de missiles, de drones à longue portée et de bombes» aériennes alors que Moscou a massivement bombardé l'Ukraine ces derniers jours. Pendant ce temps, en France, Emmanuel Macron va recevoir cet après-midi à Paris 30 chefs d'état-major de pays européens et de l'Otan pour discuter des garanties de sécurité à fournir à l'Ukraine en cas de cessez-le-feu. Le ministre de la Défense réunira ensuite ce mercredi ses homologues du groupe E5 (France, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Pologne), ainsi que des représentants de l'Union européenne, de l'Otan et, en visioconférence, le ministre ukrainien de la Défense, pour « coordonner leur action en soutien à Kiev ». Il sera également question du réarmement de l'Europe alors que les pays riverains de la mer Baltique ont publié une multitude de rapports mettant en garde contre les projets du président russe Vladimir Poutine d'étendre le conflit militaire à l'ensemble de l'Europe. Le service de renseignement extérieur de l'Estonie a notamment averti que la Russie renforçait ses forces armées, laissant craindre "une future guerre potentielle avec l'Otan". Nos journalistes sont allés faire un reportage dans ce pays où il existe la ligue de défense, une organisation de civils qui s'entraînent pour seconder les militaires en cas de conflit. C'est un rouage essentiel du système de défense estonien, et depuis l'invasion russe en Ukraine, elle prend de plus en plus d'importance. Le pays s'est également lancé dans la construction de centaines de bunkers le long des 338 km de frontières qu'il partage avec la Russie, dans le cadre de nouveaux projets visant à créer une "ligne de défense baltique" pour renforcer la sécurité régionale. Militairement, l'Estonie est l'un des membres de l'Otan qui consacre le plus de moyens à sa défense, 3,4 % de son PIB en 2024. Parmi les 32 membres de l'alliance, c'est le deuxième pays à avoir le plus dépensé.Aux États-Unis, si la menace russe ne fait pas la Une des médias, c'est bien la guerre commerciale relancée par Donald Trump qui inquiète. Le refus du président américain, dans une interview donnée dimanche 9 mars à la chaîne Fox News, d'exclure la possibilité d'un recul de l'activité économique aux États-Unis a fait chuter la Bourse, lundi. Les investisseurs craignent notamment la hausse des droits de douane voulue par l'administration Trump et le risque d'une récession. Les acteurs de marché attendent désormais avec attention la publication, ce mercredi, de l'indice des prix à la consommation (CPI) aux Etats-Unis pour le mois de février, après un mois de janvier qui a vu l'inflation connaître une forte augmentation. Les experts :- GÉNÉRAL JEAN-PAUL PALOMÉROS - Ancien chef d'état-major et ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN - JEAN-DOMINIQUE GIULIANI - Président de la Fondation Robert Schuman, auteur de Européen sans complexe aux éditions Marie B. - NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste à Ouest France - VINCENT HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationauxPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:54:58 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mardi autour d'Aurélie Herbemont et Jean-Rémi Baudot.
durée : 00:23:51 - Discussions Ukraine/Etats-Unis en Arabie Saoudite : "un pas important vers la paix" ? - L'Ukraine a apporté son soutien mardi à une proposition des Etats-Unis pour un cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie, en échange de quoi Washington a annoncé la levée "immédiate" de la suspension de l'aide à Kiev, lors d'une réunion en Arabie saoudite.
C dans l'air du 10 mars 2025 - Russie : la réalité de la menaceDans son allocution télévisée mercredi dernier, le chef de l'Etat a mis en garde contre "l'agressivité" de Moscou "qui ne semble pas connaître de frontières" et face à laquelle "rester spectateur serait une folie". Une analyse sur la réalité de la menace russe et la nécessité de mettre en œuvre une défense européenne, alors que les Etats-Unis ont décidé de se désengager d'Ukraine, que ne partage pas l'ensemble de la classe politique. Si les socialistes et les écologistes soutiennent la fermeté de la France face à Vladimir Poutine et l'effort de réarmement annoncé, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sont beaucoup plus ambigus. Le chef de fil des Insoumis défend une stratégie de "non-alignement " et une "diplomatie altermondialiste", contre "les fanfaronnades guerrières ". Il s'oppose comme la leader du RN à la constitution d'une défense européenne puisque selon eux, la Russie ne menace pas la France, ni le reste de l'Europe, hors l'Ukraine. "Il y a peu de chances que la Russie ambitionne de venir jusqu'à Paris" avait lancé ironique ces derniers jours Marine Le Pen appelant à une paix rapide en Ukraine sans exiger de garanties de sécurité précises. Et si ces derniers jours, la Russie de Vladimir Poutine intensifie ses bombardements sur fond de suspension par les Etats-Unis du partage de renseignement américain avec l'Ukraine, pour Marine Le Pen le véritable "va t'en guerre", c'est Emmanuel Macron, et Donald Trump "tient ses promesses".Ce qui en fait "une patriote de papier" et "d'une certaine façon une adversaire de l'intérieur", selon les mots du patron du PS, Olivier Faure dimanche. De son côté, l'eurodéputé Raphaël Glucksmann qui s'est dit en "confrontation absolue" avec Jean-Luc Mélenchon sur le sujet, a dénoncé "une tentation munichoise, une tentation défaitiste, une tentation de la capitulation". L'ancien président de la République socialiste François Hollande a pour sa part jugé Emmanuel Macron "lucide" sur la menace russe mais l'a jugé "trop discret" sur le "lâchage de l'Ukraine par Donald Trump parce que, en réalité, c'est en ce sens qu'il y a un risque pour la sécurité du continent européen".Dans une interview accordée à La Tribune Dimanche ce 9 mars, le ministre des Armées a annoncé qu'il réunira la semaine prochaine les présidents de groupes parlementaires pour évoquer la brûlante question de la sécurité européenne lors d'une réunion en huis clos avec l'état-major et le renseignement. "Je considère que l'on ne peut pas laisser des responsables politiques, et même demain des candidats à l'élection présidentielle, trop loin des réalités du monde", a souligné Sébastien Lecornu estimant que ce briefing est nécessaire pour la bonne tenue du débat démocratique sur la stratégie de la France. "Ceux qui nient la menace russe se trompent et engagent leur crédibilité pour l'avenir car leurs propos vieilliront mal" a-t-il ajouté, préconisant d'augmenter le de budget de la défense à hauteur de 100 milliards d'euros par an. Avant cette réunion avec les présidents de groupes parlementaires, le ministre recevra ce mercredi ses homologues des quatre autres poids lourds militaires européens - Allemagne, Italie, Pologne, Royaume-Uni - pour "coordonner leur action en soutien à Kiev".Pour rappel, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a récemment annoncé un "plan de 800 milliards d'euros en faveur de la défense européenne". La course à l'armement s'intensifie en Europe. Une bonne nouvelle pour l'industrie française, parmi les leaders de l'armement dans le monde, mais aussi pour l'industrie turque. Sous l'impulsion d'Erdogan, la dépendance de l'armée turque au matériel étranger est tombée de 70 % à 30 %. Son industrie de la défense compte aujourd'hui 2 000 entreprises, emploie 100 000 salariés et exporte ses produits dans près de 170 pays, notamment ces célèbres drones Bayraktar (le porteur de drapeau", en turc) utilisés par l'armée ukrainienne contre les Russes.Des troupes ukrainiennes qui se trouvent actuellement en difficulté sur le front, alors que Volodymyr Zelensky est attendu ce lundi 10 mars en Arabie Saoudite à la veille de la rencontre avec la diplomatie américaine pour discuter d'un éventuel accord de paix avec la Russie. Alors quelle est la réalité de la menace russe ? Les experts :- JAMES ANDRE - Grand reporter – France 24- DAPHNÉ BENOIT - Cheffe du pôle international - AFP- LAURE MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro - PIERRE HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationaleUniversité Catholique de Lille PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:50:25 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce lundi 10 mars autour d'Aurélie Herbemont et Jean-Rémi Baudot.