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durée : 00:11:29 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Lors du sommet européen de Copenhague, les 27 débattront d'un projet de mur anti-drone. Le Danemark s'active pour éviter de nouveaux survols de drones. Si leur origine ne peut être officiellement établie, le scandale divise la classe politique : comment le pays peut-il être aussi peu préparé ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Guillaume Lasconjarias Historien militaire, professeur associé à l'Université Paris Sorbonne.
Décoller sans stress, c'est possible ! Mains moites, ventre noué, peur du vide... Mathieu, ancien animateur radio désormais steward et star d'Instagram, connaît toutes ces angoisses par cœur. Il livre conseils et anecdotes de bord pour transformer votre vol long-courrier en voyage zen.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Trois fermetures en moins d'une semaine. Le trafic aérien du Danemark est régulièrement perturbé par des drones non-identifiés. Ils survolent les aéroports du pays causant leur fermeture pendant plusieurs heures. Que sait-on de cette « attaque hybride” ? On pose la question à Thierry Arnaud, éditorialiste de politique internationale à BFMTV.
durée : 00:03:33 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le président américain a changé de ton vis-à-vis de la Russie après sa rencontre avec Volodymyr Zelensky, se disant même prêt à abattre les avions russes qui pénètrent dans l'espace aérien de l'OTAN. Vrai virage ou message à destination de Poutine ? Même les Ukrainiens sont surpris, et méfiants. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:33 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le président américain a changé de ton vis-à-vis de la Russie après sa rencontre avec Volodymyr Zelensky, se disant même prêt à abattre les avions russes qui pénètrent dans l'espace aérien de l'OTAN. Vrai virage ou message à destination de Poutine ? Même les Ukrainiens sont surpris, et méfiants. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'Histoire a connu de grands fraudeurs, arnaqueurs, escrocs ou encore manipulateurs… En se faisant passer pour ceux qu'ils n'étaient pas, en créant leur propre système économique frauduleux ou encore en vendant des choses qui ne leur appartenaient pas, nombreux ont été ceux qui ont cherché à se faire de l'argent illégalement.Et c'est leur malice qui a fait leur renommée. Ce sont leurs destins que l'on a souhaité vous raconter dans cette série de podcast appelée Une Fraude Presque Parfaite, imaginée par Finovox. Embarquez donc pour une dizaine de minutes et retracez les grandes histoires de fraudeurs avec Justine Gaget, Content Manager et Podcasteuse. Aujourd'hui, pour cette nouvelle saison, plongez dans l'une des plus grandes escroqueries d'État de la Ve République : l'affaire des avions renifleurs.Deux individus improbables, un comte belge désargenté et un réparateur de télévisions italien, réussissent à convaincre Elf Aquitaine et les plus hautes sphères politiques de croire en une technologie miracle supposée détecter le pétrole depuis le ciel. Promesses révolutionnaires, démonstrations truquées et appuis de figures respectées donnent à la supercherie une crédibilité inattendue. Des centaines de millions de francs sont engloutis ... Un scandale national qui soulève encore aujourd'hui une question : où est passé l'argent disparu ?⭐ Si cet épisode vous plaît, n'hésitez pas à le partager sans modération !
Chaque soir, Julie Hammett vous accompagne de 22h à 00h dans BFM Grand Soir. Ce mardi 23 septembre, abattre les avions russes ? Trump est pour.
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - Une violation inacceptable pour l'Estonie. Après l'interception par l'OTAN de 3 MIG russes dans son espace aérien hier, le pays balte demande à l'alliance Atlantique d'activer l'Article 4 de son traité fondateur prévoyant des consultations entre alliés en cas de menace sur l'un d'entre eux.
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - Une violation inacceptable pour l'Estonie. Après l'interception par l'OTAN de 3 MIG russes dans son espace aérien hier, le pays balte demande à l'alliance Atlantique d'activer l'Article 4 de son traité fondateur prévoyant des consultations entre alliés en cas de menace sur l'un d'entre eux.
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - Une violation inacceptable pour l'Estonie. Après l'interception par l'OTAN de 3 MIG russes dans son espace aérien hier, le pays balte demande à l'alliance Atlantique d'activer l'Article 4 de son traité fondateur prévoyant des consultations entre alliés en cas de menace sur l'un d'entre eux.
L'incursion russe n'a duré que 12 minutes, mais elle a mis sous pression les pays de l'Otan. « Avions de chasse interceptés en Estonie : Moscou teste les nerfs de l'Otan », titre le Parisien. Partout dans la presse européenne, des photos des trois MIG-31 russes en plein ciel. « Ils ont violé l'espace aérien de ce petit pays balte, hier, forçant l'Alliance à intervenir », explique le Parisien. « Cet acte inédit fait monter d'un cran la pression militaire aux confins de l'Union Européenne », ajoute le quotidien français. L'incursion russe est aussi à la Une de la Republica, en Italie, car ce sont des F 35 italiens qui ont intercepté les MIG russes. La Republica n'hésite pas à employer des mots forts et parle « d'instants terribles, sans précédent en Europe ». Il s'agit d'une « violation formelle de l'espace aérien de Tallin, et donc de celui de l'Otan, qui s'est transformée en provocation explicite, lorsque l'escadron moscovite s'est dirigé directement vers la capitale Tallin ». « La Russie teste une fois de plus les limites de l'Otan en Europe de l'est » remarque, de son côté, le quotidien espagnol El Païs. Bref, la presse européenne est plutôt inquiète, contrairement à la presse américaine, qui ne dit rien, ou presque, de l'incursion russe dans le ciel de l'Estonie. Visas à 100 000 dollars La presse américaine qui, en revanche, revient sur les dernières annonces de Donald Trump concernant les visas. C'est à la Une du Washington Post : « Trump ajoute des frais de 100 000 dollars pour les visas des travailleurs qualifiés, et lance aussi des visas Gold Card d'une valeur d'un million de dollars », précise le quotidien américain, selon lequel « ces mesures risquent d'être contestées en justice ». « Mais si elles étaient maintenues, remarque le Washington Post, elles restreindraient considérablement l'immigration légale, tout en ouvrant la porte aux étrangers fortunés ». Ce qui mérite quelques explications que nous donne le quotidien américain. « Les frais annuels de 100 000 dollars seraient imposés aux candidats à un visa de travail hautement qualifié, largement utilisé dans la Silicon Valley, limitant ainsi un accès primordial vers l'immigration légale ». Ce qui inquiète d'ores et déjà certains pays. Ainsi le Times Of India, remarque « que les entreprises qui recrutent des travailleurs étrangers devront désormais faire face à des dépenses plus élevées, ce qui pourrait les inciter à se tourner à nouveau vers les travailleurs américains du secteur technologique ». Notez enfin que la Gold Card, la carte en or, serait, elle, destinée aux étrangers fortunés qui pairaient 1 million de dollars pour un visa de résidence aux États-Unis. « L'essentiel, a dit Donald Trump, c'est que des gens formidables arrivent et qu'ils paient ». Une oeuvre fragile Enfin, la célèbre tapisserie de Bayeux, en Normandie, entreprend un long voyage… Et cela fait grincer des dents… C'est le journal le Monde qui s'est penché sur la question, et nous indique que « pour la première fois depuis quarante ans, la célèbre broderie du XI siècle a quitté son musée, fermé pour travaux, pour rejoindre un lieu de conservation provisoire, avant d'être prêtée au British Museum en 2026 ». Mais un si long voyage est-il bien raisonnable, pour une si longue tapisserie de 70 mètres ? Certainement pas, disent plusieurs experts, « qui ont lancé des avertissements sur la grande fragilité de l'œuvre ». Des experts qui ont « minutieusement radiographié les dégradations qui fragilisent la tapisserie (24 204 tâches, 9 646 trous, 30 déchirures) ». En 2021, les autorités culturelles régionales avaient d'ailleurs estimé que « l'œuvre n'était pas transportable, avant d'être restaurée ». Mais le calendrier a été bouleversé, sur décision du président français, Emmanuel Macron qui (en prêtant la tapisserie de Bayeux) a souhaité « revivifier » les liens entre la France et le Royaume-Uni.
Le Journal en français facile du vendredi 19 septembre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C1de.A
durée : 00:20:38 - Journal de 18h - Les menaces et provocations de Moscou envers l'Union européenne franchissent un nouveau cap. Après l'envoi de drones dans les ciels polonais et roumain, des avions militaires russes ont survolé l'espace aérien de l'Estonie.
durée : 00:20:38 - Journal de 18h - Les menaces et provocations de Moscou envers l'Union européenne franchissent un nouveau cap. Après l'envoi de drones dans les ciels polonais et roumain, des avions militaires russes ont survolé l'espace aérien de l'Estonie.
Chaque week-end, Emilie Broussouloux vous accompagne de 22h à 00h dans BFM Grand Soir. Ce vendredi 19 septembre, l'espace aérien estonien a été violé par trois avions russes.
Pendant des décennies, les manuels de neurosciences ont enseigné que la perte d'un membre déclenchait une réorganisation majeure du cortex somatosensoriel : la zone cérébrale correspondant au membre amputé serait rapidement colonisée par les zones voisines — par exemple, celles de la bouche ou des lèvres. Cette théorie s'appuyait sur des travaux historiques chez les primates et des observations post-amputation chez l'humain.La percée : une étude longitudinale et inéditeCe paradigme s'effondre avec une étude rarissime — longitudinale — menée sur trois participants devant subir une amputation de la main. Les chercheurs leur ont fait passer des IRM fonctionnelles (fMRI) avant l'opération, puis jusqu'à cinq ans après, en leur demandant de bouger leurs doigts ou de presser leurs lèvres, y compris en effectuant des mouvements fantômes.Résultats étonnants : permanence du corps corticalLes résultats sont renversants : les cartes cérébrales (représentant mains et lèvres dans le cortex somatosensoriel) restent pratiquement identiques, même plusieurs années après l'amputation — sans aucune invasion par les zones voisines. Une participante, scannée cinq ans après, présentait toujours la même organisation neuronale.Pourquoi c'est révolutionnaireRenversement d'un dogme : L'étude remet en cause l'idée selon laquelle le cerveau adulte se réorganise rapidement après une amputation — un pilier de la science depuis plus de cinquante ans.Un protocole méthodologique fort : Grâce à sa conception avant/après, elle surmonte la limite méthodologique des études antérieures, qui comparaient uniquement des amputés à des personnes valides.Explication des douleurs fantômes : Le maintien de la représentation cérébrale de la main amputée explique pourquoi les douleurs ou sensations fantômes persistent : le cerveau « sait » encore que la main existe.Perspectives thérapeutiques inéditesNeuroprothèses et interfaces cerveau-machine : Comme la carte cérébrale reste stable, les prothèses alimentées directement par l'activité cérébrale — ou interfaces cerveau-machine — peuvent exploiter cette cartographie persistante, même longtemps après l'amputation.Révision des traitements contre la douleur fantôme : Plusieurs thérapies actuelles (ex. miroir) visent à « réparer » une carte cérébrale supposément réorganisée. Mais ces résultats suggèrent qu'on se trompe de cible : il faudrait plutôt s'attaquer à des mécanismes périphériques ou autres réseaux neuronaux, et repenser l'approche clinique.ConclusionCette étude marque un véritable tournant pour les neurosciences du corps et de la plasticité cérébrale. En démontrant que le cerveau ne réorganise pas massivement ses cartes sensorielles après amputation, elle dissipe un mythe établi et ouvre la voie à des traitements plus ciblés et efficaces, tant pour les douleurs fantômes que pour les technologies prothétiques. La permanence de ces cartographies offre une base robuste et durable sur laquelle s'appuyer pour améliorer la prise en charge des millions de personnes amputées à travers le monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dorine Bourneton avait 16 ans quand un accident d'avion a bouleversé sa vie. Devenue paraplégique, elle aurait pu renoncer. Mais au contraire, elle a choisi de poursuivre ses rêves... et de reprendre son envol jusqu'à devenir la 1ère femme handicapée au monde à devenir pilote de voltige. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La France a décidé de mobiliser trois avions de chasse Rafale "pour contribuer à la protection de l'espace aérien polonais" ainsi que de l'Europe de l'Est avec l'Otan, après les "incursions de drones russes en Pologne", a annoncé jeudi Emmanuel Macron. Concrètement, que vont faire ces avions ? Écoutez Malo Cornuaille, chargé d'étude à l'Institut d'études de stratégie et de défense, qui travaille notamment sur la puissance aérienne.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le silence est pesant. Seuls quelques zéphyrs traversent les coursives métalliques et viennent interrompre la tension latente. A bord du porte-avions, chacun est à son poste, prêt à agir. Dans la pénombre du central opérations, l'assistantautodéfense, un artilleur de spécialité, vérifie une dernière fois le paramétrage du système sur l'interface de sa console. En passerelle, l'immense mer s'étale à perte de vue, calme en apparence, mais la cible est identifiée. Pourtant, chaquemanœuvre, chaque seconde, compte. Il faut viser juste. Etre certain de son objectif, évaluer les probabilités d'interception de son système d'armes contre la menace qui approche. Et surtout... il ne faut jamais douter.Soudain, l'ordre du Commandant est donné puis relayépar l'officier de « quart opérations ». L'action codée depuis laconsole du système de combat se répercute le long de la ligne de feu jusqu'à ce qu'un grondement sourd traverse le porte-avions. La porte du silo s'ouvre, un missile part et fend l'air. Il file droit vers sa cible et son impact soulève une colonne d'eau sur plusieurs dizaines de mètres de hauteur. Aujourd'hui, dans le Carré, on vous présente le métier d'artilleur, celui qui s'occupe de la mise en œuvre des systèmes d'armes au-dessus de la surface.Alors qui sont ces marins de l'ombre, formés à manier le feu pour protéger les autres ? Comment se préparent-ils à tirer, réagir et défendre leur navire ? Et que ressent-on quand on a la mer pour champ de bataille et un missile pour outil ?On en parle, aujourd'hui, avec le Lieutenant de vaisseau Pierre-Yves, artilleur et chef du secteur SAAM, « Surface Air Anti-missile », le système d'armes antiaérien principal, à bord du porte-avions Charles de Gaulle.Bonne écoute !Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégique de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des ArméesN'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
5000 avions, soit 15% de la flotte mondiale, ont bien été commandés, mais jamais livrés. Les ennuis se sont enchaînés : le Covid a perturbé les chaînes de production d'Airbus et de Boeing. L'avionneur américain a également été confronté à des problèmes industriels et de sécurité qui l'ont contraint baisser sa production. Avec des avions neufs en moins, cela représente plus de vieux coucous polluants dans le ciel…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Chine organise mercredi 3 septembre une immense parade militaire à Pékin pour commémorer le 80e anniversaire de la défaite du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale. En dévoilant de nouvelles armes et en s'affichant aux côtés de Vladimir Poutine et Kim Jong-un Pékin entend bien défier les États-Unis de Donald Trump.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Le surbooking consiste à vendre à la clientèle un nombre de places supérieur à la capacité de l'avion. Les voyageurs au sein de l'UE sont protégés par le règlement européen de 2004. Maître Blanche de Granvilliers vous explique ici ce qu'il prévoit. Tout d'abord pour bénéficier d'une indemnisation, vérifiez que vous vous êtes bien présenté à l'heure à l'enregistrement et que vous avez confirmé votre billet. Ensuite, vérifiez quelle convention régit votre vol. Est-ce que vous bénéficiez bien du règlement européen ? Auditeurs et abonnés au podcast de Ça peut vous arriver, découvrez désormais chaque semaine l'inimitable Règle d'or, avec les avocats qui interviennent chaque jour sur RTL et M6. Pour accéder chaque semaine à votre règle d'or, abonnez-vous au podcast de l'émission.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:35 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - Direction les Gorges du Tarn, où niche l'une des plus grandes colonies de vautours en France. Leur tranquillité est parfois interrompue par le survol d'avions de chasse. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Selon le plan « vision stratégique » près de 140 milliards d'euros seront consacrés à la Défense au cours des neuf prochaines années. Avions de chasse, drones, véhicules blindés, système de défense aérienne sol-air, frégate pour la lutte anti-sous-marine et munitions en tous genres, la liste des fournitures militaires n'en finit pas. Et ce n'est pas tout puisque ce plan prévoit également de renforcer les effectifs de l'armée et prévoit aussi des investissements dans son commandement et dans son soutien opérationnel. Pour comprendre, nous recevons aujourd'hui Ugo Santkin, journaliste au pôle International du Soir. Il a décortiqué les 116 pages du rapport et a accepté de venir nous en expliquer les grandes lignes. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Selon le plan « vision stratégique » près de 140 milliards d'euros seront consacrés à la Défense au cours des neuf prochaines années. Avions de chasse, drones, véhicules blindés, système de défense aérienne sol-air, frégate pour la lutte anti-sous-marine et munitions en tous genres, la liste des fournitures militaires n'en finit pas. Et ce n'est pas tout puisque ce plan prévoit également de renforcer les effectifs de l'armée et prévoit aussi des investissements dans son commandement et dans son soutien opérationnel. Pour comprendre, nous recevons aujourd'hui Ugo Santkin, journaliste au pôle International du Soir. Il a décortiqué les 116 pages du rapport et a accepté de venir nous en expliquer les grandes lignes. Découvrez « Grand angle » dans votre podcast « A propos », qui est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée (Spotify, Apple Podcasts, Amazon Music, Podcast Addict). Retrouvez tous les podcasts du journal Le Soir sur https ://podcasts.lesoir.be
Commandés pour 6 milliards de francs, les avions de combat américains F-35 destinés à l'armée suisse pourraient couter jusqu'à 1,3 milliard de plus. Les États-Unis refusent de garantir un prix fixe pour l'achat des 36 jets. Comment on est-on arrivé là? Décryptage avec Mathieu Henderson, correspondant parlementaire de la RTS à Berne. Journaliste: Juliane Roncoroni Réalisateur: Brian Lanni >> Pour aller plus loin: - "Acquisition des F-35: Le prix fixe promis par Viola Amherd n'a jamais été garanti", 24heures, 17 août 2025 (en ligne) - "Avions de combat F-35: les dessous d'un contrat d'armement aux surcoûts presque inévitables", RTSinfo, 3 juillet 2025 (en ligne) Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Le Hamas réclame l'ouverture de corridors humanitaires alors que les vidéos des otages israéliens décharnés continuent de provoquer de vives réactions.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Le Hamas réclame l'ouverture de corridors humanitaires alors que les vidéos des otages israéliens décharnés continuent de provoquer de vives réactions.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Le Hamas réclame l'ouverture de corridors humanitaires alors que les vidéos des otages israéliens décharnés continuent de provoquer de vives réactions.
L'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle accueille en moyenne 250 000 avions par an et plus de 530 espèces de plantes et d'animaux. Reportage près des pistes du plus grand aéroport de France, à la rencontre d'une biodiversité parfois inattendue. (rediffusion du 25 septembre 2024) Un gros oiseau de fer passe presque au-dessus de nos têtes. C'est un avion d'Air France, à 100 mètres du sol, tout près d'atterrir à l'aéroport de Roissy, Paris-Charles-de-Gaulle (CDG), au nord de Paris, dans un vacarme assourdissant. On ne s'entend plus, à 300 mètres à peine de la piste. Mais quelques secondes plus tard, le silence (toute proportion gardée) est là, et c'est un autre oiseau qu'on entend. « C'est un pic-vert qui rigole comme ça, note Nicolas Croizé, ornithologue pour AéroBiodiversité, une association qui défend et recense la biodiversité dans les aéroports français. On peut entendre comme maintenant des moments d'accalmie où les oiseaux vont être capables de chanter, et donc de s'identifier, de retrouver leurs jeunes, de former des couples... S'ils sont ici, c'est qu'ils s'y sont adaptés et qu'ils y sont bien. » Les aéroports, d'où décollent et où atterrissent les avions émetteurs de 3% des émissions mondiales de CO2, le principal gaz à effet de serre responsable de la crise climatique, peuvent paradoxalement abriter une riche biodiversité. À CDG, on a déjà compté plus de 530 espèces végétales et animales, et donc pas mal d'oiseaux. « Je crois qu'en face il y a l'épervier », qui s'est envolé quand on l'a regardé. Autour de nous, en contrebas de la piste, de la prairie, des plantes, des arbres, et un immense bassin récupérateur des eaux de pluie qui tombent sur le tarmac. En ce matin de septembre, le niveau de l'eau est au plus bas, sécheresse oblige. Mais au loin, quelques canards barbotent. « Là-bas, près de la berge, ce sont principalement des canards colvert, décrit Nicolas Croizé. Au milieu, beaucoup plus petits, ce sont des grèbes castagneux, ce sont ceux qu'on voit plonger. » « Ah, on a eu une nidification de l'autre côté », lui répond Emmanuel Vesval, référent environnement à l'aéroport de Roissy. Nids d'oiseaux Plusieurs nids de différentes espèces d'oiseaux ont été observés depuis le printemps. « Qu'il y ait de la reproduction, c'est intéressant, souligne Nicolas Croizé. Ça veut dire que les oiseaux ne sont pas seulement de passage et qu'ils vont y passer toute la saison, donc qu'il y a de quoi s'alimenter, de quoi se reposer, de quoi faire un nid. » « Quand vous voyez des cigognes, ça peut surprendre ! Comme on a une partie humide, avec de l'eau, au niveau migratoire on peut avoir beaucoup d'oiseaux qui viennent entre novembre et février », précise de son côté Emmanuel Vesval. Les naturalistes d'AéroBiodiversité effectuent des visites régulières dans des zones où on ne pénètre que sur autorisation spéciale. « On se déplace trois fois par an sur les aéroports, explique Nicolas Croizé. On vient en avril, en juin et en septembre. Le but de notre venue, c'est de faire l'inventaire de toutes les espèces qu'on va pouvoir retrouver sur la plateforme. » Ils sont les bienvenus. Au conseil d'administration d'AéroBiodiversité siègent les patrons des aéroports parisiens, soucieux de présenter une autre image que celle véhiculée par les plateformes aéroportuaires : pollution, nuisances sonores... « Sur les 3 800 hectares de plateforme à Roissy, on a quand même 1 200 hectares de prairies aéronautiques, assure Emmanuel Vesval. On ne peut pas dire qu'elles sont polluées puisqu'on a beaucoup d'espèces qui y vivent. On a une biodiversité qui est tout de même assez impressionnante. » Un renard en bord de piste On est descendu un peu plus bas encore. Un petit ruisseau coule au milieu de saules. Les oiseaux reprennent leur chant dès qu'un avion est passé. Oiseaux et avions ne font pourtant pas bon ménage. « Ce qui va poser problème, c'est surtout la quantité, le nombre d'oiseaux qui vont se retrouver au même moment au même endroit, explique Meriem Methlouti, chargée d'études naturalistes pour AéroBiodiversité. Et c'est pour cela que les effaroucheurs essaient de les éloigner quand un avion s'approche de la piste. Sur certains aéroports, des rapaces sont dressés, mais pas à Charles-de-Gaulle. » « En général, ce sont des gens, formés, avec des véhicules, qui émettent des sons d'oiseaux, par exemple, ou qui tirent au fusil en l'air, pour que les oiseaux s'envolent de la piste. C'est à la fois pour éviter les accidents avec les avions, mais aussi pour limiter l'impact des avions sur les oiseaux, pour éviter qu'ils tuent des oiseaux lors de collision », complète Nicolas Croizé. Mais il n'y a pas que des oiseaux à CDG. On peut aussi croiser des mammifères, des lapins par exemple, que le voyageur, à travers le hublot, aperçoit parfois gambader dans la prairie que longe la piste, indifférent au bruit effrayant de l'avion. « On n'en voit pas autant qu'il y a des années, relève pourtant Emmanuel Vesval. On a l'impression que ça se régule tout seul, parce qu'on n'a pas de maladies, on n'a pas de tout ça...» Le régulateur justement, on l'a aperçu ce matin. Une patrouille de gendarmes en voiture s'arrête à notre hauteur. « Vous avez vu du renard aujourd'hui ?, leur demande Emmanuel Vesval. J'ai vu l'effaroucheur côté sud, apparemment, ils annonçaient un renard en bord de piste. » Une salade et une infusion La promenade se prolonge jusqu'à l'extrémité est de la plateforme aéroportuaire et prend des airs bucoliques. Le chant d'une bergeronnette grise. Le cri de corneilles. Des orties. Des baies d'églantiers, si rouges en cette veille d'automne. « C'est le gratte-cul ! C'est le poil à gratter !, rigole Meriem Methlouti, botaniste. On les mange en confiture. On a trouvé de la verveine et de la camomille, on peut se faire une petite infusion. Là il y a de la tomate sauvage, la morelle, et puis il y a de la mâche, du panais, de la carotte...» « On pourrait presque faire une salade au niveau de la plateforme, avec tout ce qu'on a en plantes ! », conclut dans un sourire Emmanuel Vesval. On entend encore un avion atterrir. On ne les compte plus. On se croirait presque à la campagne.
REDIFF - En cas d'annulation ou de retard de votre vol, le premier élément à déterminer est : avez-vous pris un vol sec ? ou avez-vous pris un voyage avec d'autres prestations fournies par une agence de voyage? Autres questions à vous poser : le retard concerne-t-il le départ du vol ou son arrivée ? Qu'est ce qui considéré comme du retard ? Une heure, deux heures, trois heures... Maître Blanche de Granvilliers vous explique tout. Auditeurs et abonnés au podcast de Ça peut vous arriver, découvrez désormais chaque semaine l'inimitable Règle d'or, avec les avocats qui interviennent chaque jour sur RTL et M6. Pour accéder chaque semaine à votre règle d'or, abonnez-vous au podcast de l'émission. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:00:32 - Les Matins d'été - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Benoît de Tréglodé Historien, directeur de recherche de l'IRSEM, spécialiste du Viêt-Nam; Delphine Allès Professeure de science politique, chercheuse au Centre sur l'Asie du Sud-Est et vice-présidente de l'INALCO; Tamara Al Saadi Metteuse en scène; Élie Tenenbaum Directeur du Centre des Études de Sécurité de l'IFRI
Tu veux que je te raconte l'histoire du championnat du monde de lancer d'avions en papier? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Invités : - François Pupponi, ancien député - Georges Fenech, ancien magistrat - Naïma M'Faddel, essayiste et chargée de mission politique de la ville - Michel Fayard, analyste politique et géopolitologue Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
PODCAST - On a tous entendu dire un jour qu'il vaut mieux réserver ses billets à 3 heures du matin, effacer ses cookies Internet ou encore mettre un VPN pour payer comme si on vivait dans un pays où les tarifs sont plus avantageux. Chacun y va de sa méthode miracle pour trouver ses billets d'avion au meilleur prix. Mais toutes les astuces ne sont pas aussi efficaces. Dans ce nouvel épisode de "La Règle d'Or Numérique", Benjamin Hue, journaliste RTL, vous explique quelles techniques sont vraiment efficaces et lesquelles relèvent plus de la légende urbaine numérique. Retrouvez chaque semaine (l'inimitable) "Règle d'or" en podcast... et désormais son pendant Numérique consacré aux problèmes du quotidien en ligne.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julia Vignali reçoit Roschdy Zem, bouleversant dans 13 jours 13 nuits. Il incarne le commandant Bida, héros discret de l'évacuation de Kaboul. Entre émotions, préparation du rôle et projets à venir, un échange intense sur le courage et le cinéma engagé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion du 55ᵉ salon du Bourget, le journaliste Martial You prend un peu de hauteur pour se demander quels sont les métiers d'avenir dans l'aéronautique ? Où en est cette industrie en France ? Les invités : - Philippe Dujaric, directeur des affaires sociales et de la formation au GIFAS, le groupement des industries françaises d'aéronautique et de spatiale qui organise le Bourget. - Laurent Deloire, spécialiste aéronautique au cabinet SIA Partners. - Emmanuel Duteil, directeur des rédactions de l'Usine Nouvelle. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité, fonction, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce jeudi 24 septembre. Il/Elle [est revenu(e) / a abordé / s'est penché(e) sur] [SUJET] sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
À l'occasion du 55ᵉ salon du Bourget, le journaliste Martial You prend un peu de hauteur pour se demander quels sont les métiers d'avenir dans l'aéronautique ? Où en est cette industrie en France ? Les invités : - Philippe Dujaric, directeur des affaires sociales et de la formation au GIFAS, le groupement des industries françaises d'aéronautique et de spatiale qui organise le Bourget. - Laurent Deloire, spécialiste aéronautique au cabinet SIA Partners. - Emmanuel Duteil, directeur des rédactions de l'Usine Nouvelle. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion du 55ᵉ salon du Bourget, le journaliste Martial You prend un peu de hauteur pour se demander quels sont les métiers d'avenir dans l'aéronautique ? Où en est cette industrie en France ? Les invités : - Philippe Dujaric, directeur des affaires sociales et de la formation au GIFAS, le groupement des industries françaises d'aéronautique et de spatiale qui organise le Bourget. - Laurent Deloire, spécialiste aéronautique au cabinet SIA Partners. - Emmanuel Duteil, directeur des rédactions de l'Usine Nouvelle. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours à 12h50, Anthony Morel vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Estelle Midi, sur RMC.
Dans un contexte où le calcul haute performance devient un levier clé pour innover, certains acteurs français s'imposent comme des partenaires essentiels des secteurs industriels stratégiques. Do IT Platinium accompagne notamment les filières de l'aéronautique, de l'espace, de la défense, ainsi que l'automobile et le ferroviaire, en leur fournissant des solutions adaptées à ces exigences complexes. -----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Bruno Poncet et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
À première vue, il pourrait sembler plus logique de stocker le carburant d'un avion dans le fuselage, près des moteurs ou de la soute. Pourtant, dans la majorité des avions modernes, le carburant est principalement stocké dans les ailes. Ce choix d'ingénierie n'a rien d'un hasard : il repose sur des raisons techniques, aérodynamiques et sécuritaires.1. Une meilleure répartition du poidsL'aile d'un avion n'est pas seulement une surface portante : c'est aussi une structure capable de supporter des charges importantes. En plaçant le carburant dans les ailes, les ingénieurs répartissent mieux le poids total de l'avion, ce qui permet de réduire les contraintes structurelles. Plus précisément, cela limite la flexion de l'aile en vol.Imagine une aile sans carburant : elle supporterait son propre poids, celui du revêtement et surtout la portance exercée par l'air sous l'aile. Cela pourrait la faire fléchir vers le haut de manière excessive. En remplissant l'aile de carburant, on ajoute du poids vers le bas, ce qui équilibre les forces et rend la structure plus stable et plus durable.2. Un gain d'espace et d'efficacitéLes ailes offrent un espace creux naturel très pratique pour stocker du carburant sans empiéter sur la cabine passagers ou la soute à bagages. Cela permet de maximiser la capacité utile de l'avion. En d'autres termes : plus de carburant sans sacrifier d'espace pour les passagers ou le fret.De plus, comme les ailes sont proches des moteurs, cela réduit la longueur des tuyauteries nécessaires pour alimenter ceux-ci. Moins de tuyaux, c'est moins de poids, moins de risques de fuites, et une maintenance simplifiée.3. Une meilleure sécurité en volLe fait de répartir le carburant dans plusieurs réservoirs situés dans les ailes permet aussi d'équilibrer l'avion en vol. Lorsque le carburant est consommé, le système peut réguler les quantités dans chaque aile pour éviter un déséquilibre latéral, ce qui est crucial pour la stabilité.Enfin, en cas d'incident grave (comme un feu moteur), il est plus sûr d'avoir le carburant éloigné du fuselage, où se trouvent les passagers et les systèmes vitaux. Les ailes sont conçues pour isoler les réservoirs et limiter les risques de propagation en cas de choc.ConclusionLe stockage du carburant dans les ailes est un choix ingénieux, fruit de décennies d'optimisation aéronautique. Il combine performance, sécurité et logique structurelle, tout en contribuant à faire voler des machines aussi imposantes que légères. Comme quoi, dans l'aviation, chaque goutte est à sa place. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour écouter mon podcast Le fil IA:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-fil-ia/id1797244733Spotify:https://open.spotify.com/show/7DLZgY60IARypRmVGAlBM0?si=bacee66244884d27-----------------------------Imaginez un avion de ligne qui vient tout juste de décoller pour un long vol intercontinental. Mais quelques minutes plus tard, un passager fait un malaise grave, ou un voyant technique s'allume dans le cockpit. Résultat : le pilote décide de faire demi-tour et de se poser en urgence. Problème ? L'appareil est bien trop lourd pour atterrir en toute sécurité. C'est là qu'intervient une procédure méconnue mais cruciale : le délestage de kérosène.Concrètement, cela signifie relâcher en vol une partie du carburant. Ce n'est pas une opération faite à la légère, ni de manière fréquente. Elle est encadrée par des règles strictes fixées par la Direction générale de l'aviation civile. Et elle concerne uniquement les longs courriers, comme l'Airbus A380, qui peut embarquer plus de 300 000 litres de carburant !Pourquoi ce délestage est-il nécessaire ? Chaque avion a une masse maximale au décollage, mais aussi une masse maximale à l'atterrissage. Or, un long-courrier qui décolle pour 10 heures de vol transporte beaucoup plus de carburant qu'il ne peut en avoir dans les réservoirs à l'atterrissage. Si l'appareil devait se poser trop tôt sans avoir consommé ce carburant, il serait trop lourd. Cela pourrait endommager le train d'atterrissage, compromettre la manœuvre ou même rendre la piste inutilisable.Dans ces situations d'urgence, le pilote peut demander une autorisation au contrôle aérien pour larguer du carburant. Cela se fait à plus de 2 000 mètres d'altitude, au-dessus de zones peu habitées, pour limiter les risques. La majeure partie du kérosène s'évapore dans les couches hautes de l'atmosphère, et le reste se disperse rapidement sous forme de vapeur d'eau et de gaz.Ce système n'est pas installé sur tous les avions, car il ne concerne que les appareils destinés à voler longtemps et loin. Et son usage reste rare. Mais il est vital dans certaines situations : il permet d'atterrir rapidement, sans risquer un accident.Un exemple marquant : en 2016, un Boeing d'Air France a dû relâcher du carburant au-dessus de la forêt de Fontainebleau avant de revenir se poser à Roissy. Une décision qui avait choqué localement… mais qui, du point de vue aéronautique, a sans doute évité bien pire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les repas des chefs étoilés à bord des avions. Entrevue avec Thierry Daraize, consultant en gastronomie et alimentationPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 17 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:25 - Le vrai ou faux - De nombreux hommes et femmes politiques de tout bord affirment que les avions de chasse américains, achetés par des pays européens comme l'Allemagne, la Pologne ou l'Italie, sont contrôlables à distance par les États-Unis. C'est vrai.
Ah ces auxiliaires, je reçois quantité de questions à leur propos, et c'est vrai que parfois l'utilisation de l'un ou de l'autre semble bien arbitraire. Un auxiliaire, rappelons-le, quand ce n'est pas une personne qui apporte son assistance à une autre, bref un auxiliaire en grammaire, c'est un verbe qui sert à former les temps composés des autres verbes.