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52 minutes. C'est le temps qu'on passerait chaque jour à faire des commérages, selon une étude du Social Psychological and Personality Science.. Ces 52 minutes révèlent aussi quelque chose d'important: les potins, aussi futiles qu'ils paraissent, ont en fait une vraie fonction sociale. Les ragots ne sont pas toujours négatifs. Techniquement, c'est simplement le fait de parler de quelqu'un qui n'est pas là. Et ça peut être gentil, indifférent ou… un peu plus piquant. D'ailleurs, les chercheurs de cette même étude les ont classés de la même façon : les potins positifs, négatifs ou neutres. Résultat : ¾ des ragots sont neutres. Ce qu'on raconte le moins en revanche, ce sont les choses sympas. Les potins positifs sont deux fois moins fréquents que les négatifs ! Mais… c'est quoi l'intérêt des ragots ? Ça veut dire qu'on passe près d'une heure par jour à critiquer les autres ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez" À écouter ensuite : Comment savoir si on est radin ? Éjaculation féminine : quelles sont les 3 choses à savoir ? Pourquoi cuisiner améliore-t-il notre santé mentale ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans un relatif silence médiatique, la Chine vient d'accomplir une première mondiale majeure : le déploiement de la première constellation de satellites sur une orbite rétrograde lointaine (Distant Retrograde Orbit, ou DRO) entre la Terre et la Lune. Cette avancée technologique représente un tournant dans l'exploration de l'espace profond et annonce une redéfinition potentielle des stratégies de communication, de navigation et de soutien logistique pour les futures missions lunaires.Qu'est-ce qu'une orbite rétrograde lointaine ?Une orbite rétrograde lointaine est une trajectoire gravitationnelle stable qui entoure la Lune dans le sens opposé à sa rotation (d'où "rétrograde") et à une altitude très élevée, généralement située entre 60 000 et 70 000 kilomètres au-dessus de la surface lunaire. Cette orbite tire parti des équilibres gravitationnels complexes entre la Terre et la Lune, offrant une stabilité exceptionnelle avec peu de corrections nécessaires. Elle a été choisie par la NASA pour la future station spatiale lunaire Gateway, mais jusqu'à présent, aucun pays n'avait réussi à y déployer une constellation complète de satellites.C'est précisément ce que la Chine a accompli. Selon les informations fournies par l'agence spatiale chinoise (CNSA), plusieurs petits satellites ont été positionnés avec succès sur cette orbite au moyen d'une mission automatisée, conçue pour tester des capacités de communication, d'observation et de navigation dans un environnement cislunaire complexe. Les satellites peuvent se coordonner entre eux, former un maillage dynamique, et relayer des données vers la Terre et vers d'autres engins spatiaux.Techniquement, ce déploiement est une démonstration impressionnante de maîtrise de la mécanique orbitale et du contrôle autonome dans l'espace profond. Il pourrait permettre à la Chine d'assurer des liaisons stables et durables avec des missions habitées ou robotiques opérant à la surface de la Lune, ou même sur sa face cachée, où les communications directes avec la Terre sont impossibles.Au-delà de la prouesse technologique, cette mission marque l'entrée dans une nouvelle ère de l'exploration lunaire, dans laquelle les infrastructures orbitales joueront un rôle central. Les orbites rétrogrades lointaines pourraient devenir les futurs axes de circulation logistique pour les modules habités, les véhicules automatisés et les relais de communication.Alors que la NASA et l'ESA finalisent leurs plans pour Artemis et Gateway, la Chine prend une longueur d'avance discrète mais stratégique. Le déploiement de cette constellation sur orbite DRO ne vise pas seulement à soutenir des missions lunaires : il prépare le terrain pour une présence permanente dans l'espace cislunaire. Une étape de plus vers une colonisation rationnelle et géopolitiquement compétitive de notre satellite naturel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Créer un fichier plus grand que l'univers : cela semble absurde, voire impossible. Et pourtant, c'est précisément le défi qu'Alex Chan, un ingénieur logiciel britannique, a tenté de relever, avec une pointe d'humour mais aussi une solide démonstration des limites et bizarreries de l'informatique moderne.Tout commence par une idée un peu folle : peut-on créer un fichier informatique dont la taille dépasse celle de l'univers observable ? Pour situer, l'univers visible contiendrait environ 108010^{80} atomes. Un fichier de cette taille, en octets, serait donc littéralement inconcevable à stocker dans le monde réel. Mais Alex Chan ne cherche pas à le stocker… juste à le déclarer.Il utilise un format bien connu des informaticiens : le format ZIP. Les fichiers ZIP permettent de compresser des données, mais surtout, ils reposent sur une structure logique qui référence les fichiers contenus. En d'autres termes, on peut indiquer qu'un fichier compressé contient un fichier de plusieurs zettaoctets (ou plus), sans réellement inclure les données correspondantes. Cette astuce est connue sous le nom de "zip bomb", une forme d'attaque qui consiste à piéger un fichier compressé pour qu'il occupe une taille gigantesque une fois extrait, mettant ainsi à genoux les logiciels ou systèmes qui tentent de le lire.Mais Alex Chan pousse l'idée plus loin : il s'appuie sur les spécificités du format ZIP64, une extension du format ZIP qui permet de dépasser les limitations initiales de 4 Go par fichier. Grâce à une manipulation astucieuse des en-têtes ZIP (qui décrivent les tailles et emplacements des fichiers à l'intérieur de l'archive), il crée une structure vide mais déclarée comme contenant un fichier de 4,5 yottaoctets – soit plus que la quantité totale d'information pouvant être contenue par tous les atomes de l'univers.Techniquement, le fichier ne contient pratiquement rien. Il est extrêmement léger. Mais les métadonnées décrivent un fichier gigantesque, bien au-delà de ce que la physique pourrait permettre. C'est donc un exploit purement conceptuel : Alex Chan ne crée pas un fichier gigantesque, mais une sorte de "mensonge bien formaté". Il démontre ainsi que les systèmes informatiques peuvent être poussés dans leurs retranchements logiques, que les limites ne sont pas toujours physiques, mais parfois uniquement liées aux conventions des formats ou des logiciels.En somme, son défi est à la fois une blague geek, une leçon de conception logicielle, et un clin d'œil aux absurdités possibles dans l'univers numérique. Une preuve brillante qu'avec un peu d'imagination, même le vide peut peser plus lourd que l'univers. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les soirs à 20h30, Pierre de Vilno reçoit un invité qui fait l'actualité politique. Ce soir, c'est Didier Leschi, directeur général de l'Office Français de l'Immigration et de l'Intégration qui est reçu dans le studio d'Europe 1 Soir. L'occasion de revenir sur les propos chocs de Laurent Wauquiez qui propose d'envoyer les personnes sous rétention administrative à Saint-Pierre-et-Miquelon. Il est aussi question des tensions diplomatiques entre Paris et Alger et quelles solutions peuvent trouvés pour trouver une issue.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Brillant, expert, performant… et après ? Un as du terrain devient-il un bon coach ? Non. Pas toujours.Les entreprises font souvent la même erreur. Elles promeuvent les meilleurs… mais sans filet. On te dit : "
Final Fantasy VII Rebirth avait beaucoup de choses à prouver. Déjà il devait porter l'héritage du monde ouvert de Final Fantasy VII premier du nom et nous offrir un dépaysement digne du monde original. Ensuite il devait finir de nous convaincre de cette volonté d'écriture alternative commencée par Remake. Et enfin il devait nous convaincre qu'il avait quelque chose à nous raconter dans la partie la plus directe et remplie en mini-jeu de FF VII. Le contrat est-il rempli ? Avez-nous été comblés ? Comme vous vous en doutez la réponse est compliquée mais on y revient en détail dans ce test tout aussi gargantuesque que le jeu ! » SOMMAIRE (00:00:00) Introduction (00:08:09) Où en étions-nous ? (00:15:36) Que vit-on ? (00:20:00) Scénario : Le voyage (00:40:24) Scénario : Un scénario qui fait du sur-place (01:12:23) Scénario : Un scénario de moments (01:48:13) Scénario : Les personnages (02:26:44) Scénario : Quêtes secondaires et autres (02:41:47) Scénario : De nouvelles thématiques (02:45:49) Scénario : Partie spoilers (03:10:40) Scénario : Conclusion (03:13:03) Gameplay : Introduction (03:15:05) Gameplay : Un monde ouvert qui fait des efforts (03:29:34) Gameplay : Un monde ouvert qui ne fait pas d'effort (03:58:47) Gameplay : Des mini-jeux, y'en a trop peu (04:12:21) Gameplay : Les donjons c'est compliqué (04:20:45) Gameplay : La baston, c'est canon (04:51:37) Gameplay : Conclusion (05:00:40) Direction artistique (05:10:59) Techniquement pas fou (05:29:22) Discussion autour des ventes du jeu (05:34:49) Musique (05:49:39) Conclusion
« Nous allons nous débarrasser des fact-checkers ». Cette déclaration du patron de Meta, Mark Zuckerberg, ce mardi 7 janvier, a suscité beaucoup d'inquiétude chez les spécialistes de la lutte contre la désinformation. Pendant que certains veulent faire disparaître le fact-checking sur les réseaux, d'autres essayent au contraire de faciliter l'accès à des informations vérifiées. C'est le cas de l'ONG La Réponse Tech qui a récemment lancé, Vera, un bot conversationnel de vérification. Utiliser l'intelligence artificielle pour permettre à tout un chacun de vérifier une information en temps réel. C'est la mission que s'est lancée le collectif citoyen La Réponse Tech en développant Vera, un agent conversationnel numérique, accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Concrètement, il suffit d'appeler le numéro de téléphone de Vera, 09 47 99 12 95 ou bien de lui envoyer un message sur WhatsApp, en lui demandant si telle information est vraie ou fausse.Pour cet exemple, nous avons volontairement posé une question sur une infox vérifiée par la cellule Info Vérif de RFI. Mais cette intelligence artificielle se base sur le travail de plusieurs centaines de sources fiables, sélectionnées par un comité d'experts et librement consultables.« À partir de la question posée par l'utilisateur, Vera va d'abord chercher si des rédactions de fact-checking ont traité le sujet. Si ce n'est pas le cas, elle va chercher la réponse auprès de 300 sites de médias reconnus comme fiables, avant d'en faire une synthèse et de la proposer en temps réel », explique son fondateur, Florian Gauthier. Techniquement parlant, Vera se base sur le modèle de langage GPT-4, développé par la société américaine Open AI.Aujourd'hui, Vera est utilisée par environ 700 utilisateurs uniques chaque semaine.Une IA modelée pour éviter les erreursComme tout outil basé sur l'intelligence artificielle, Vera n'est pas infaillible. Le risque d'erreur ou de réponse incomplète existe. Mais contrairement à des chatbots comme ChatGPT, Perplexity ou Claude, Vera n'a pas été pensée pour répondre coûte que coûte à la question posée. « Vera a l'interdiction totale, d'imaginer quoi que ce soit. Dès qu'elle va formuler une réponse, c'est que cette réponse a été donnée par une source fiable qui est toujours citée. Si Vera ne trouve pas la réponse dans sa base de données, ce qui arrive par moment, elle ne va pas chercher à inventer. Elle se contentera alors de préciser qu'elle n'a pas trouvé la réponse à cette question », détaille Florian Gauthier.Autre limite, la base de données ne peut pas être exhaustive. Il est donc possible que Vera vous réponde qu'elle ne sait pas même si le sujet a déjà été vérifié. Mais d'après nos essais, Vera est aujourd'hui le bot conversationnel le plus efficace pour vérifier une information en temps réel. À l'avenir, ses créateurs envisagent de rendre Vera multilingue, et de proposer gratuitement le service sur d'autres plateformes et réseaux sociaux.Lutter contre les discours complotistesAu-delà de permettre ce processus de vérification en temps réel, ce genre d'agent conversationnel pourrait également permettre de limiter, chez certains utilisateurs, l'adhésion aux théories complotistes. C'est ce que montre une étude récente publiée dans la revue scientifique Nature. « De nombreuses personnes qui croient fermement à des théories du complot apparemment infondées peuvent changer d'avis lorsqu'on leur présente des preuves convaincantes. (...) Les dialogues avec l'IA réduisent durablement les croyances complotistes, même parmi les plus fervents croyants », concluent les chercheurs.Pour Florian Gauthier, « l'intelligence artificielle est un super outil pour propager des fausses informations. Mais l'IA peut aussi être, au contraire, une véritable piste de réponse pour combattre la désinformation ».
Parmi les grands musées parisiens, le Musée du Quai Branly - Jacques Chirac est celui que l'on visite pour découvrir toute la richesse des arts et des civilisations d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques. Plus de 3500 objets sont ainsi exposés sur son Plateau des Collections, dans ce vaste espace décloisonné, construit autour d'une allée centrale, qui serpente comme une rivière pour permettre au public de naviguer entre les cultures des 4 continents. Depuis le 17 septembre 2024, pour ajouter au plaisir de la déambulation et de la contemplation, le Musée du Quai Branly a décidé d'ajouter un nouveau sens à la visite, en intégrant le SON dans cet espace. Techniquement, ce sont plus de 120 relais d'écoute, connectés à un objet, une vitrine ou une aire géographique, qui diffusent en permanence ou au passage des visiteurs, une véritable bande-son composée de voix, d'ambiances, de créations musicales, d'archives, ou d'enregistrement de terrains. Un dispositif discret et délicat, de façon à ne pas perturber la visite, et à l'enrichir pour celles et ceux qui tendent un peu l'oreille… L'objectif du musée sera atteint si le son vous permet de vous rapprocher d'une œuvre, ou tout simplement vous donne envie d'en savoir plus sur ces civilisations venues d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques. Un épisode réalisé en collaboration avec le Musée du Quai Branly - Jacques Chirac. Soutenez-nous sur Patreon !
En Tunisie, le taux de chômage stagne à 16%, l'inflation est à 9,3%. À cela s'ajoute la persistance de la précarité dans de nombreux secteurs non régulés. Malgré une volonté affichée par le président de lutter contre la petite corruption, les intermédiaires ou la spéculation, beaucoup de corps de métiers y sont encore exposés. À l'approche des élections, les Tunisiens n'hésitent pas à faire part de leurs difficultés, mais préfèrent rester anonyme. De notre correspondante à Tunis,À Radès, en banlieue sud de Tunis, les pêcheurs vendent leur poisson directement sur place, mais Hassan Saïd, l'un d'entre eux, explique que normalement, il devrait avoir une petite boutique pour écouler sa pêche. « Moi, je passe parfois quatorze heures en mer et quand je rentre au port, je dois vendre mon poisson sur un emplacement miteux que l'on nous a attribué. Les gens viennent s'y saouler, donc évidemment qu'aucun client ne vient », se désole ce pêcheur. « Du coup, à qui je dois vendre ? Des intermédiaires, car il n'y a personne d'autre pour acheter », assure-t-il.Pour Boubaker, son collègue, c'est une angoisse permanente que d'être dépendant de ces intermédiaires. « Eux, ils s'en foutent de la loi, dénonce-t-il. Ils revendent notre poisson le double et nous arnaquent. Je suis pêcheur, je ne devrais pas avoir à angoisser et à me demander à qui et à combien je vais brader ma marchandise en rentrant de la mer. »Problèmes administratifsÀ quelques mètres, Kais Chebli vend son poisson dans un cabanon. Lui a d'autres problèmes. La longueur de son bateau a été mal enregistrée auprès de l'administration. Techniquement, il n'a plus le droit d'aller en mer, car son autorisation de pêche n'a pas été renouvelée à cause de cette erreur. Depuis deux ans, il n'arrive pas à régler le problème.« Moi, par exemple, je ne peux pas aller en eaux profondes, parce que si je me fais contrôler, et vu que je n'ai plus d'autorisation, c'est normal que les garde-côtes me questionnent et me demandent de rentrer au port », détaille-t-il. Ce genre de blocage administratif arrive souvent dans le pays, Kaïs espère que le président va changer les choses s'il est réélu. « Je sais que lui s'intéresse aux problèmes des citoyens des plus défavorisés. Il faut le laisser travailler », plaide-t-il.La corruption au quotidienLes transporteurs comptent de nombreux désabusés de la politique. Stationnés sur un terrain à Bhar Lazreg en banlieue nord de Tunis, ils disent n'avoir que des problèmes dans leur métier, comme Mohamed, transporteur depuis une vingtaine d'années. « Les problèmes commencent dès que l'on prend la route avec la petite corruption de la police. Le billet que l'on doit glisser par-ci et par là comme droit de passage. C'est sans arrêt », se plaint-il.Tous refusent de parler de l'élection présidentielle. Pour eux, leur métier manque tellement de régulation et d'encadrement qu'aucune solution n'est possible si ce n'est la débrouillardise au quotidien.
durée : 00:10:07 - 100% ASNL, La quotidienne - L'ASNL est don tombée pour la première fois de la saison. Dijon a parfaitement fait déjouer une équipe nancéienne en manque d'inspirations pendant toute la rencontre. Techniquement, tactiquement et physiquement, l'ASNL était très loin de son niveau habituel. Un simple coup de barre ?
durée : 00:02:43 - Bientôt chez vous - Manger vegan réduirait de 75% l'empreinte carbone d'un individu, estime la mairie. Techniquement, la mesure est applicable dès maintenant mais elle est diversement appréciée.
L'Ukraine parviendra-t-elle à échapper au défaut de paiement ? Il ne lui reste plus qu'un mois pour trouver un accord avec ses créanciers privés. Une négociation particulièrement ardue sous la pression de la guerre. Au lendemain de l'offensive de la Russie, plusieurs fonds, dont l'américain Black Rock et le français Amundi, acceptent de bon gré un moratoire sur les remboursements. Ils deviennent alors des alliés de l'Ukraine, mais ils restent des financiers, ils ont besoin de revenus à court terme pour satisfaire leurs clients, ceux qui leur ont confié leur argent. Le moratoire expirant le premier août prochain, ils veulent récupérer leur mise, pas question pour eux de le repousser une deuxième fois, comme le demande l'Ukraine. Ce qu'ont accepté les créanciers bilatéraux, c'est-à-dire les États. En plus du nouveau moratoire, Kiev leur demande d'effacer 60% de cette ardoise à 20 milliards de dollars. Au maximum ils renonceront à 20% seulement de leurs créances.L'aide occidentale insuffisante ?L'Ukraine a aujourd'hui l'assurance de recevoir une aide substantielle de ses alliés. Les 50 milliards de dollars promis en juin par le G7, plus le prêt américain à 60 milliards enfin voté par le congrès, lui donnent de l'oxygène mais cet argent n'est pas encore versé et il sera fléché vers les dépenses militaires. L'Ukraine a donc dans l'immédiat un sérieux problème pour boucler son budget. Elle est à court de cash selon le FMI. Donner la priorité aux créanciers dans cette crise de trésorerie revient à sacrifier les salaires des fonctionnaires, ou des dépenses sociales, voire militaires. Impensable pour le président Zelensky. La dette publique de l'Ukraine a augmenté de 50% depuis le début de la guerre, elle représentera l'équivalent de son PIB d'ici la fin de l'année.Des créanciers chouchoutés en temps de guerre.Techniquement, il ne se passera pas grand-chose si l'Ukraine est acculée au défaut car elle ne se finance plus sur les marchés depuis le début de l'offensive russe. Mais en termes de réputation ce serait du plus mauvais effet. Un pays en guerre soigne en général la relation avec ses créanciers. Il est très rare qu'il fasse défaut note l'universitaire Patrick Shea dans une analyse publiée par The conversation. La Russie l'a fait en 2022 mais c'était un défaut technique, entrainé par les sanctions occidentales. Dans les années 80, l'Irak alors en guerre contre l'Iran a aussi fait défaut. Ces deux pays disposent de ressources abondantes, du pétrole, qui rassurent les prêteurs. Ce n'est pas le cas de l'Ukraine. Elle voit au contraire son économie se rabougrir à cause des destructions de ses infrastructures ciblées par l'armée russe. Son PIB a perdu un quart de sa valeur en deux ans. Pas très sécurisant pour les créanciers qui en temps de paix se basent sur les perspectives de croissance pour prêter de l'argent.Le contribuable américain à la rescousse ?L'Ukraine dit vouloir aboutir à une solution dans les prochaines semaines. Mais à ce jour aucune solution ne parait satisfaisante. On voit mal les États occidentaux payer pour l'Ukraine, cela signifierait que les contribuables américains ou européens renfloueraient un créancier privé. Une option politiquement indéfendable. Mais si l'Ukraine fait défaut, cela veut dire que les États alliés de l'Ukraine font désormais peser le coût de la guerre sur le privé. Pas vraiment rassurant sur la solidité de leur soutien.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Aux Etats-Unis, CSC ServiceWorks se décrit comme le principal fournisseur de services de blanchisserie commerciale aux États-Unis, au Canada et en Europe. Ses machines à laver équipent des résidences, des hôtels et universités dans le monde entier… mais visiblement, la sécurité de ses appareils laisse à désirer. Car au mois de janvier, deux étudiants de l'université de Californie, Alexander Sherbrooke et Iakov Taranenko, sont parvenus à activer une machine en exécutant un script de code, sans dépenser un dollar ! Mieux, ils se sont même ajouté un solde virtuel de plusieurs millions de dollars sur l'un de leurs comptes de blanchisserie, accessible via l'application CSC Go.Selon les deux étudiants, la vulnérabilité des machines trouve dans l'API utilisée par l'application mobile, qui offre la possibilité de recharger son compte, payer et commencer une lessive sur une machine à proximité. Dans le détail, les serveurs de la société peuvent en effet être trompés et accepter des commandes qui modifient le solde du compte, car les contrôles de sécurité sont effectués par l'application via l'appareil de l'utilisateur, puis sont automatiquement approuvés par les serveurs. Techniquement, n'importe qui peut activer une machine de l'entreprise sans payer ou créer un faux compte chez CSC Go, car les serveurs ne vérifient pas non plus si les nouveaux utilisateurs sont propriétaires de leur adresse électronique. Les étudiants ont donc souhaité alerter l'entreprise par messages et appels téléphoniques. Si leurs requêtes sont jusqu'à aujourd'hui restées sans réponse, la firme a pris soin de retirer le solde de plusieurs millions de dollars de leur compte.La possibilité d'activer une machine gratuitement semble inoffensive, mais la vulnérabilité de tels appareils présente tout de même des dangers. Par exemple, l'envoi de commandes par l'intermédiaire de l'API est susceptible de contourner les restrictions de sécurité dont sont équipées les machines à laver pour éviter les surchauffes et les incendies. De façon plus générale, cette affaire souligne la nécessité d'apporter des contrôles de sécurité suffisants aux objets connectés. Il est déjà arrivé que des hackers parviennent à activer des caméras depuis l'étranger ou même à accéder à des prises intelligentes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aldair marqueur d'une grande fidélité a l'AS Rome ou il a eu le privilège d'être sacré champions d'Italie en 2001 après lui de grand défenseur de nationalité brésilienne porterons le maillot du club de la capitale il étais le poissons ultime face a tout les attaquant du calcio tout les offensive adverse étais stoppé par lui puis il avais une qualité a ressortir le ballons très propre puis a faire des relance pour que son équipe marque il est une légende du club romains tout simplement riens a dire de plus.
Les prix du gallium ont été multipliés par deux depuis que la Chine en a limité les exportations l'été dernier, dans un contexte de rivalité technologique avec les États-Unis. Mais malgré cette hausse, la demande n'a pas baissé, le gallium est trop stratégique dans l'industrie des semi-conducteurs. La décision chinoise annoncée en juillet 2023 a eu des conséquences immédiates. En août et septembre dernier, les exportations de gallium depuis la Chine ont presque cessé, pour reprendre ensuite, mais en deçà des flux habituels. L'Empire du Milieu a expédié un peu plus de 2 700 kg de gallium au cours des deux premiers mois de cette année, contre plus de 8 800 kg il y a un an pour la même période, selon l'agence Bloomberg.Cette perturbation de l'approvisionnement s'est accompagnée aussi d'une hausse des prix : ils ont plus que doublé en huit mois, avec un gallium qui se vendait à 575 dollars le kilo fin mars, livré à Rotterdam. Une hausse qui a pu être provoquée par la crainte de manquer et l'urgence de regarnir des réserves trop basses par rapport aux besoins. Car la demande n'a pas baissé : le gallium n'a pas vraiment de substitut, et son usage dans les technologies de pointe peut difficilement être réduit.Ultra-dépendance à la ChineAux prix actuels, « la production et le raffinage de gallium sont devenus plus rentables » relève Raphaël Danino-Perraud chercheur associé à l'Ifri. Mais rien ne dit que cela suffise à redistribuer les cartes dans le secteur. Car une hausse des prix n'est pas forcément durable, par nature. Si adaptation il y a dans la filière, elle sera donc plus liée à une prise de conscience des pays occidentaux, qu'ils dépendent, aussi pour le gallium, dangereusement de la Chine. Une dépendance à deux chiffres puisque 97% du métal sous sa forme primaire - selon les chiffres du World Mining of Data - est produit dans l'Empire du Milieu. « Techniquement, l'Europe sait encore faire »En France, un groupe de travail s'est constitué à l'initiative de l'Observatoire français des ressources minérales pour les filières industrielles (Ofremi), après la décision chinoise, pour réfléchir à la mise en place d'une solution à l'échelle européenne. Même si depuis 2016 il n'y a plus de production de gallium primaire sur le continent, « techniquement l'Europe sait faire », assure Aurélien Reys analyste au Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) et pourrait dans les deux années qui viennent à nouveau produire du gallium par raffinage de bauxite, si l'approvisionnement des pays membres était en danger.À lire aussiLa Chine restreint les exportations de deux métaux rares
C'est particulièrement l'enquête menée par Israël qui est mise en cause. Certes, Israël a reconnu de « graves erreurs », mais les conclusions de cette enquête « manquent de crédibilité » estime WCK, World Central Kitchen, l'ONG américaine dont les volontaires ont été tués lundi. Le Guardian s'en fait l'écho, et précise que l'ONG réclame une « enquête complète et indépendante », estimant que « L'armée israélienne ne peut pas enquêter de manière crédible sur son propre échec à Gaza ». « Erin Gore, La directrice générale de l'association », poursuit le quotidien britannique, a déclaré : « Les excuses d'Israël pour le meurtre scandaleux de nos collègues, ne représentent qu'un maigre réconfort. Israël doit prendre des mesures concrètes pour assurer la sécurité des travailleurs humanitaires ». Le Washington Post affirme de son côté que « Pendant des mois, les ONG à Gaza ont prévenu que le système utilisé pour coordonner leurs livraisons avec l'armée israélienne était défectueux, mettant en danger la vie des secouristes ». « Au cours des 6 derniers mois », précise le quotidien américain, « des organisations humanitaires, dont Médecins sans frontières et l'agence de secours des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), ont rendu publics au moins 9 incidents de convois humanitaires ou de bâtiments attaqués, bien que leurs itinéraires ou leurs coordonnées aient été partagés, à l'avance, avec les autorités israéliennes ». Le 30ème anniversaire du génocide au Rwanda.Le journal le Temps, en Suisse, nous parle du « délicat cheminement » du Rwanda. Le quotidien s'est rendu à Nyundo, dans l'ouest du pays, où il a rencontré John, professeur d'histoire né en 1994, l'année du génocide. « Dans la salle des profs », raconte le Temps, « il feuillette les manuels qui abordent cette période douloureuse de l'histoire du pays. C'est d'autant plus sensible que les ethnies hutues comme tutsies ont été officiellement proscrites depuis la fin du génocide. Il n'y a plus que des Rwandais, censés oublier les divisions du passé. « Mais », explique John, « On est obligé d'en parler, de dire qui sont les victimes et les coupables. Et on insiste toujours sur le fait que ça appartient au passé ». Un autre jeune professeur, Bruno, qui lui non plus n'a pas vécu le génocide, souligne que l'inquiétude est tout de même à l'ordre du jour. Car de l'autre côté de la frontière avec la RDC, tout près, les combats font rage. « Fin 2021, après huit ans de sommeil », précise le Temps, « la rébellion congolaise du M23, qui revendique la protection d'une minorité tutsie également présente de ce côté-là de la frontière, a repris les armes ». Avec notamment « le soutien de l'armée rwandaise ». « Ça fait peur », murmure Justin, un élève qui s'interroge « En finira-t-on jamais avec cette histoire, cette stigmatisation ? »Fine poussièreLa France va-t-elle devoir affronter ce week-end une tempête de sable ? La réponse est non, mais il n'est pas complètement incongru de poser la question. C'est Libération qui nous l'explique : « d'importantes quantités de poussières orangées du Sahara vont teinter le ciel sur l'intégralité du territoire métropolitain entre samedi et lundi. Sans pour autant subir une tempête de sable ». Techniquement, poursuit le journal, « Lorsque les vents sont suffisamment forts dans le Sahara, la plus grande étendue désertique du monde, ils réussissent à soulever les grains de sable, qui, en retombant, se fracturent en poussière, beaucoup plus fine ». Et cette poussière voyage, elle peut même aller « jusqu'en Scandinavie », précise un météorologue. Mais ce n'est pas tout... poursuit Libération : « Ce flux d'air venant du Sahara ne va pas se contenter d'apporter uniquement du sable. D'après Météo-France, un épisode de douceur « remarquable » est attendu ce week-end, avec des températures avoisinant les 30 °C ». Exceptionnel pour un mois d'avril, alors que l'adage nous dit : « En avril, ne te découvre pas d'un fil ».
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport ! L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Le Musée de La Boverie (Liège) consacre, jusqu'au 28/4, une exposition monographique à l'artiste américain Bill Viola. Figure majeure de l'art contemporain, Bill Viola est considéré comme l'un des pères de l'art vidéo. Techniquement éblouissantes, les œuvres de Bill Viola sont à la fois grandioses et intimistes, complexes et étonnamment accessibles, spectaculaires et profondément humaines. Les sources d'inspiration de ses installations sont multiples, ancrées dans des traditions artistiques occidentales et orientales et diverses philosophies spirituelles : bouddhistes, soufies et chrétiennes. Et toutes sont traversées par un humanisme au caractère universel. Entre terre et ciel : La Ville de Charleroi a récemment créé un jardin mémoriel, à Marcinelle, en l'honneur de Julie, Mélissa, Sabine, Laetitia, An et Eefje, les victimes de Marc Dutroux. Les architectes de RESERVOIR A, les architectes paysagistes de Carbonifère, l'artiste Christophe Terlinden et la Cellule Charleroi Bouwmeester, ont placé la réhabilitation du quartier et de ses habitants au premier plan. Dans ce lieu où avaient été cachées les petites filles, cerné par les bruits de la route, par le passage fréquent des trains, une forme de tumulus a été implanté. Par ce jardin bordé d'un haut mur de briques blanches, « l'ineffable » tente de s'exprimer. L'espace reprend vie, entre terre et ciel, le jardin laisse place à la couleur, la douceur et la lumière. Réalisation Christine Van Acker Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Solaire et solidaire. C'est une expérience d'autoconsommation d'électricité qui débouche sur du partage. La totalité de l'énergie produite par des panneaux solaires doit être consommée instantanément ou injectée dans le réseau, avec les AMEP, le surplus d'énergie bénéficie gratuitement aux voisins à proximité immédiate. À Simiane-Collongue, dans les Bouches-du-Rhône, Christophe Brun un ingénieur de formation qui a travaillé dix ans dans le secteur de l'énergie, a eu l'idée de donner son surplus d'électricité plutôt que de le revendre. Les 16 panneaux photovoltaïques installés sur le toit de sa maison située près d'Aix-en-Provence sont “reliés” à ses voisins dont un établissement pour personnes handicapées.Ce projet d'autoconsommation collective solidaire permet aux voisins de réaliser des économies sur leurs factures et crée du lien social. Cette initiative citoyenne, née en 2022, constitue une alternative altruiste à la revente habituelle de son énergie renouvelable à un fournisseur d'énergie, permettant aux bénéficiaires de réaliser des économies jusqu'à 10 % sur le montant de leur facture au passage. Mais cette démarche est surtout orientée vers le lien social et la diffusion de connaissances sur l'énergie afin de favoriser une certaine sobriété dans sa consommation. Les AMEP empruntent une partie de leur nom aux AMAP qui ont frayé leur chemin pour favoriser le maintien d'une agriculture paysanne de proximité. Avec le concept de l'Association pour la Mutualisation d'une Energie de Proximité (AMEP), c'est une nouvelle forme de solidarité qui est mise en œuvre alors que la France s'est engagée dans une transition énergétique. Un projet qui interpelle et qui commence à essaimerLes AMEP se sont constituées en un réseau regroupant une quinzaine d'initiatives en France et accompagnent les personnes ou structures intéressées par le don d'électricité. Elles les aident dans la constitution de leur projet et les informent sur la relation à bâtir avec Enedis. Le distributeur d'électricité en France qui retranche concrètement du montant des factures des bénéficiaires la somme en euros d'énergie donnée et réinjectée dans son réseau. Pour cela, il est nécessaire de se constituer en association et que toutes les parties prenantes signent un contrat ensemble. Pour tout savoir, écoutez cet épisode de Soluble(s) ! POUR ALLER PLUS LOIN Participer aux séminaires en ligne organisés par les AMEP : chaque dernier lundi du mois un webinaire en ligne, sur inscription : https://amep.co/Écouter aussi ce reportage France Inter réalisé par Cécile Bidault pour “Esprit d'initiative” Christophe Brun sur LinkedIn : www.linkedin.com/in/christophebrun/TIMECODES00:00 Introduction 01:00: Le parcours de Christophe Brun 02:17 Le principe des AMEP 04:10 L'installation de Christophe 05:48 La gratuité pour les voisins 08:01 Techniquement, ça fonctionne comment ? 10:25 Quel cadre administratif pour se lancer dans une AMEP ? 11:25 Le profil des personnes intéressées 13:14 La solidarité pour doper la transition énergétique ? 16:09 Merci à Christophe Brun ! Fin _ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 1er janvier 2024 a marqué un tournant historique pour Mickey, l'un des symboles principaux de la culture américaine. En fait, les trois premiers dessins animés de Walt Disney représentant le personnage sont désormais dans le domaine public. Un événement a immédiatement inspiré les fans d'IA comme Pierre-Carl Langlais, responsable de recherche à l'Opsci (Organisme de placement collectif en immobilier) qui a déjà développé un modèle d'IA entraîné spécifiquement pour créer des images dans le style des premiers dessins animés. Les curieux pourront s'amuser à créer des images de Mickey et Minnie version 1930 en utilisant le modèle, disponible en libre accès sur la plateforme Hugging Face, dont le lien est dans la description de cet épisode.Dans le détails, Langlais n'a pas créé son modèle de toutes pièces. Il s'agit en fait d'une version "sophistiquée" de Stable Diffusion XL qui a donc été constitué à partir d'images des trois premiers dessins animés datant de 1928 : « Steamboat Willie », « Plane Crazy » et « Gallopin' Gaucho ». Étant donné que le nombre d'images utilisées pour entraîner l'IA est d'à peine 96 au total, le résultat est, à ce stade, assez peu abouti. Un écueil qu'admet volontiers Pierre-Carl Langlais, je cite « ce projet est encore en cours d'élaboration : tant que le modèle est en développement, il est important de vérifier que les images générées respectent effectivement les designs tombés dans le domaine public » fin de citation. Mais une fois de plus, cette situation soulève des questions juridiques assez intéressantes. Plusieurs expériences utilisant des images de 1928 sont actuellement en cours, dans le but d'évaluer comment ces images peuvent être utilisées pour entraîner les modèles d'IA. Car, l'utilisation de Stable Diffusion XL (y compris les images protégées par le droit d'auteur) ne garantit pas la totale légalité des images nouvellement créées par l'IA. Techniquement parlant, les images générées par l'IA appartiennent au domaine public. Cependant, si vous utilisez certains éléments protégés d'une image (dessin, personnage) sans autorisation, il s'agit déjà d'une violation du droit d'auteur. Bref, la situation autour de l'utilisation de Mickey 1928 n'est pas claire, mais l'imagination des internautes est déjà bouillante... comme Mickey attaquant la capitale américaine, se faisant clouer sur une croix, ou en train de fumer de la drogue. Une chose est sûre, en matière de parodie, les créateurs n'ont bien souvent aucune limite, si ce n'est celle de leur imagination. Modèle IA : https://huggingface.co/Pclanglais/Mickey-1928 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 1er janvier 2024 a marqué un tournant historique pour Mickey, l'un des symboles principaux de la culture américaine. En fait, les trois premiers dessins animés de Walt Disney représentant le personnage sont désormais dans le domaine public. Un événement a immédiatement inspiré les fans d'IA comme Pierre-Carl Langlais, responsable de recherche à l'Opsci (Organisme de placement collectif en immobilier) qui a déjà développé un modèle d'IA entraîné spécifiquement pour créer des images dans le style des premiers dessins animés. Les curieux pourront s'amuser à créer des images de Mickey et Minnie version 1930 en utilisant le modèle, disponible en libre accès sur la plateforme Hugging Face, dont le lien est dans la description de cet épisode. Dans le détails, Langlais n'a pas créé son modèle de toutes pièces. Il s'agit en fait d'une version "sophistiquée" de Stable Diffusion XL qui a donc été constitué à partir d'images des trois premiers dessins animés datant de 1928 : « Steamboat Willie », « Plane Crazy » et « Gallopin' Gaucho ». Étant donné que le nombre d'images utilisées pour entraîner l'IA est d'à peine 96 au total, le résultat est, à ce stade, assez peu abouti. Un écueil qu'admet volontiers Pierre-Carl Langlais, je cite « ce projet est encore en cours d'élaboration : tant que le modèle est en développement, il est important de vérifier que les images générées respectent effectivement les designs tombés dans le domaine public » fin de citation. Mais une fois de plus, cette situation soulève des questions juridiques assez intéressantes. Plusieurs expériences utilisant des images de 1928 sont actuellement en cours, dans le but d'évaluer comment ces images peuvent être utilisées pour entraîner les modèles d'IA. Car, l'utilisation de Stable Diffusion XL (y compris les images protégées par le droit d'auteur) ne garantit pas la totale légalité des images nouvellement créées par l'IA. Techniquement parlant, les images générées par l'IA appartiennent au domaine public. Cependant, si vous utilisez certains éléments protégés d'une image (dessin, personnage) sans autorisation, il s'agit déjà d'une violation du droit d'auteur. Bref, la situation autour de l'utilisation de Mickey 1928 n'est pas claire, mais l'imagination des internautes est déjà bouillante... comme Mickey attaquant la capitale américaine, se faisant clouer sur une croix, ou en train de fumer de la drogue. Une chose est sûre, en matière de parodie, les créateurs n'ont bien souvent aucune limite, si ce n'est celle de leur imagination. Modèle IA : https://huggingface.co/Pclanglais/Mickey-1928 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Lassina Diabaté le milieux ivoiriens au 32 sélections avec les éléphant a fait tout le bonheur du monde au girondin de bordeaux avec par moment de bon coups de génie avec des frappe assez dingue mis dans le but adverse mais bon a par c'est quelque belle qualité de frappe par certains moment techniquement riens de si fous que cela avec lui seul titre majeurs en sa possessions est être champions de France de la saison 98-99 et puis il a eu un assez belle échec en terre anglaise malgré un autre titre de champions la bas voila tout sur lui.
Retour sur le rôle joué par les médias sociaux dans les émeutes urbaines qui ont touché la France alors qu'Emmanuel Macron a songé à bloquer leur accès dans les zones sinistrées. C'est devant 200 maires réunis à l'Elysée que le président a évoqué mardi une réflexion pour « réguler ou couper » les réseaux sociaux « quand les choses s'emballent », dit-il. On pense alors aux régimes autoritaires, en Iran ou ailleurs, qui coupent internet et les réseaux sociaux lors des révoltes de leur jeunesse. Techniquement, c'est tout à fait faisable, cela passe par le nom de domaine. D'ailleurs, après des images d'émeutiers se filmant avec leur mobile et appelant à la violence, des milliers de contenus et des centaines de comptes sur les réseaux sociaux ont été suspendus à la demande de l'État pendant les émeutes en France.Mais la crainte est bien de voir une démocratie lutter avec les moyens de la dictature. Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement, s'est donc empressé de déminer l'idée d'une interruption généralisée en évoquant « la suspension de fonctions de géolocalisation, sur certaines plateformes, qui permettent à des jeunes de se retrouver à tel ou tel endroit ».On pense à Snapchat qui a été très utilisée pour sa capacité à géolocaliser ses amis en temps réel ou à trouver sur une carte des zones de forte viralité, qui peuvent ensuite inciter à rejoindre des émeutiers. On pense aussi à TikTok et à son algorithme de recommandation « pour toi » qui va suggérer de regarder des images qui vont faire le buzz et parfois inviter à se mettre en scène sur une action violente.Pas de vidéo, pas d'indignationLa Première ministre Elisabeth Borne estime que les réseaux sociaux « facilitent parfois l'organisation des violences et ont souvent une responsabilité dans la désinhibition des jeunes ». Mais sans réseaux sociaux, sans la vidéo partagée de la mort de Nahel, tué par un policier, pas d'indignation dans les quartiers sensibles. La victime était mineure, comme de nombreux émeutiers. Et la vidéo a permis d'invalider la version policière. Le 14 juin, près d'Angoulême, le Guinéen Alhoussein Camara a aussi été abattu après un refus d'obtempérer en voiture, comme l'a rappelé Daniel Schneidermann dans Libération. Mais il n'y a pas eu de vidéo… Donc pas d'indignation nationale. Les médias français sont souvent jugés trop proches des sources policières. Ils sont rejetés par les jeunes de quartiers qui leur reprochent de ne parler d'eux qu'en cas d'émeute. Selon Pascal Froissart, professeur au Celsa, les réseaux sociaux offrent à ces jeunes des « lieux de délibération » qui leur sont propres. Mais l'erreur serait de les imaginer dans une bulle, imperméable à l'information, « techno-déterminés », comme il dit. En réalité, les réseaux sociaux se nourrissent des médias comme les médias, et notamment les chaînes d'info, se nourrissent de leurs vidéos.
Techniquement, avec l'épisode 0, ceci marque notre 50e épisode ; quoi de mieux que le vote du publique pour cloturer cette 4ème saison! On parle évidemment de l'épopée métamoderne de Sam Porter Bridges, mais aussi d'un ti-break pour mieux revenir en force avant la saison 5 et d'un rendez-vous spécial pour le top de nos jeux jusqu'à maintenant! Live à 19h le Vendredi 7 Juillet 2023 au twitch.tv/retrocouchpotato Merci à la gang du père à Will qui supporte le podcast sur Patreonhttps://www.patreon.com/legrandrattrapageLe Grand Rattrapage est un podcast où William Fradette et Josni Bélanger se tapent enfin les jeux vidéos qu'ils ont mis de côté depuis des années. En plus de partager leur expérience avec le jeu, ils se penchent sur sa création et son héritage.Aussi sur:Youtube - youtube.com/channel/legrandrattrapageDiscord - discord.gg/UtX7utt98MTiktok - tiktok.com/@legrandrattrapageInstagram - instagram.com/le_grand_rattrapage
Episode 978 : Youpi, c'est lundi et on a de la news social media bien fraîche; Vente de voitures sur Linkedin, Application Chat GPT, Stories Insta et projet P92 sont au menu !On peut désormais commenter avec des gifs animés sous les posts InstagramJusqu'à présent, il était possible de réagir avec des GIF uniquement dans les Stories et les DM sur Instagram. On va désormais pouvoir répondre directement au coeur des commentaires d'un post en gif animé.Pendant longtemps Instagram a datif de la résistance. Alors que Twitter et Facebook proposent la réponse en gif depuis longtemps, Instagram préférait rester sur une version sobre, efficace et 100% textuelle.Quel impact sur l'engagement des posts Instagram ?Linkedin, meilleure place pour vendre des bagnolesQuand on te parle Vente de voiture et où tu es susceptible de te faire séduire pour en acheter une , tu pense probablement Télévision, bannières web, Radio, 4X3 ou encore Pré-roll Youtube et bien il en manque un dans la Liste : LINKEDIN !Tout part d'une étude Nielsen commandée par Linkedin pour évaluer la performance des annonceurs du secteur automobiles sur leur plateforme.L'objectif de cette étude était de confirmer que les marques étaient susceptibles d'améliorer leur notoriété et d'augmenter les ventes en allouant plus de budget à Linkedin Ads.L'étude a été menée sur 2 ans entre Octobre 2020 et Octobre 2022 auprès d'un panel de marques auto, le constat est puissant :LinkedIn est 3 fois plus efficace pour générer des ventes que la télévision et d'autres grandes plateformes sociales, et 2 fois plus efficace que la vidéo en ligne.LinkedIn est 2 fois plus efficace pour accroître la notoriété de la marque que la télévision, l'affichage et les autres grandes plateformes socialesLa publicité sur LinkedIn est 4 fois plus efficace pour générer des ventes en dollars que les canaux de médias traditionnels Pour comparer avec d'autres supports :139 % plus performant que le search206% + performant que la radio477% plus performant que l'affichage Pour aller plus loin, quelques sur les utilisateurs: 75% des utilisateurs Linkedin se disent prêts à cliquer sur une publicité si elle est pertinente: 63% des utilisateurs Linkedin font partie du marché potentiel des véhicules de luxe: 73 % des utilisateurs font partie du marché des véhicules « standard »sourceMeta ouvre l'API d'Instagram et autorise la programmation des stories depuis les applications tiercesHootsuite, Agorapulse, Buffer… d'ici quelques semaines, toutes ces applications tierces pourront aussi gérer la publication et la planification de vos stories Instagram.Pratique et sans aucun doute salvateur pour nombre de CM qui peinent aujourd'hui à publier sur Instagram faute de temps.Le tentions, toute fois. La publication via l'API ne permettra pas d'utiliser les stickers et autres outils d'engagements qui font aujourd'hui la force du format story. Vous ne pourrez que poster des photos ou vidéos.Chat gpt lance son applicationUn peu d'intelligence Artificielle pour bien commencer la semaine : Chat GPT lance son appli mobile.Pour le moment elle est en test uniquement aux US et sur Apple . Le déploiement monde et Android est déjà envisagé.Que va nous apporter cette App ?Techniquement, les fonctionnalités proposées sont les mêmes que sur la version web desktop MAIS la formule mobile devrait garantir un lancement plus rapide du contenu, la génération plus rapide des réponses car pas besoin d'attendre l'o verrière du navigateur ou le lancement des pages.La dictée vocale whisper est toujours de la partie mais pas d'intégration avec siri pour le momentLa où c'est limitéPour le moment sur cette appli , n'est pas capable d'aller interroger le web meme si vous êtes abonné. Elle est donc plus limitée que la version web pour les abonnements payant.Là où on doit toujours faire attentionl'appli ChatGPT pour iPhone collecte les informations privées renseignées par les utilisateurs a but statistiques. Pas ouf pour la vie privée ou le RGPD.La nouvelle a été annoncée par Mira Murati la CTO D'OPEN AID'ailleurs petit virage, il est intéressant de suivre cette dame, c'est un peu la Adam Mosseri d'insta et elle communique fréquemment sur les News et releases.Des nouvelles du projet P92 d'InstagramLe Pew research center vient de publier une étude sur l'usage de Twitter. Selon cette étude, 25% des utilisateurs de Twitter envisage de se barrer dans les 12 prochains mois. Ce qui laisse de la place à d'autres… Notamment à Meta ! Instagram est en effet en train de travailler à sa propre version d'un réseau de micro blogging 100% textuel, à la twitter.Nom de code : projet 92.Des infos additionnelles ont fuité sur ce nouveau réseau. On a pu apercevoir une capture d'écran.On y a apprend aussi que ce nouveau projet pourrait être lancé en Beta courant du mois de Juin.Qu'il s'agira d'une app indépendante d'Instagram mais connecté à voter base d'audience. Votre pseudo, votre bio et même vos followers seront issus d'Instagram.Vous pourrez publier des contenus textes allant jusqu'à 500 caractères. Vous pourrez joindre des liens, des photos et des vidéos d'une durée maximale de 5 minutes.. . .Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs.Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs.
Michael Douglas dévoile ses conseils pour bien réussir une scène de sexe. Qu'est-ce que l'excellence au lit? Un mariage vire au drame en Guinée. Sexologie avec Anaïs Guertin-Lacroix.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans cet épisode, Andréa Brusque vous raconte l'histoire d'un inventeur de génie. Passionné d'électronique et de technologie, visionnaire, enfant dans l'âme jusqu'à ses vieux jours, il a révolutionné l'industrie du divertissement. Aujourd'hui, on le considère tout simplement comme le père du jeu-vidéo. Son nom : Ralph Baer. De ses premières idées, à l'élaboration d'un prototype de console commercialisable, découvrez sa True Story. Le début d'une idée Août 1966. Les rues de Manhattan sont bondées en cet après-midi d'été. Au milieu des passants qui défilent par milliers, un homme d'une quarantaine d'années desserre sa cravate pour respirer un peu. Soudain, un frisson lui parcourt l'échine, comme une impression aussi familière que lointaine. Celle des pensées qui trottent dans la tête depuis des années sans vraiment faire surface ni disparaître pour autant. Il avait eu une idée, quinze ans auparavant. « Un téléviseur, un boîtier électronique, un fil de raccordement… Avec les bons réglages, les bonnes instructions, ça pourrait fonctionner… ! Techniquement réalisable. Peut-être pas si cher à produire ! » Les nouvelles idées affluent par dizaines. « Avec un tel appareil, n'importe quel jeu devient possible : des jeux de plateau, de sport, de cartes, des jeux pédagogiques ou même d'action ! » Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : Charles Manson, le gourou criminel qui fascine encore aujourd'hui Elena Ferrante, la plus mystérieuse des romancières Louise Weiss, la pionnière méconnue de l'Europe Un podcast Bababam Originals Ecriture : Elie Olivennes Voix : Andréa Brusque Production : Bababam (montage Célia Brondeau, Antoine Berry Roger) Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Je réponds à la question de Laetitia sur la bonne stratégie à avoir sur le mobile. Et comme support, j'ai pu interviewer Raphael Chenol sur le sujet. Je vous laisse découvrir l'interview complète ici. Bonjour à tous, j'ai voulu tester un nouveau format, l'interview de personnes expertes dans leur domaine ou qui ont réussi à lancer un business en ligne qui fonctionne. L'idée est de vous partager leurs expertises et leur retour d'expériences pour en tirer le meilleur pour votre business. Aujourd'hui nous parlerons donc marketing mobile. J'ai eu la chance d'interviewer Raphaël Chenol, Expert en mobile et stratégie omnicanale. Bonjour Raphaël, peux-tu nous parler de ton parcours ? Cela fait 20 ans que je suis 100% dans le digital. J'ai travaillé dans les jeux vidéo, la télévision numérique et quand le WAP est arrivé avec la 3G à la fin des années 2000, j'ai basculé sur le mobile. D'abord chez Canal+ puis chez PagesJaunes. ensuite, j'ai connu l'arrivée de l'iPhone et ses chamboulements sur le marché. Cela m'a donné l'opportunité d'emmener Pages Jaunes (devenu Solocal) dans l'ère du smartphone. J'ai travaillé de nombreuses années sur le web et sur le mobile. Mais j'ai également eu l'opportunité de faire de l'intrapreunariat : créer une startup au sein de Solocal, qui s'appelait Hamak.fr qui était une plateforme d'économie collaborative dédiée aux services à la personne. C'était une aventure incroyable même si nous avons dû fermer cette startup après 4 ans d'existence. J'ai su tirer les leçons de cet échec. Aujourd'hui j'enseigne aux étudiants d'un double Master 2 digital au Pôle De Vinci à la Défense. Ma spécialité est le drive-to-store (générer du trafic incrémental en point de vente), soit tous les moyens qui emmènent une personne d'un site web ou mobile vers le point de vente. Je suis également consultant en stratégie digitale pour les entreprises. Fort de ton expérience d'intrapreunariat chez Hamak, à quoi doit-on penser lorsqu'on lance un service ou un produit aujourd'hui ? La première chose à laquelle il faut penser, c'est l'utilisateur. Il faut se mettre à sa place et comprendre ce dont il a besoin. Jusqu'à anticiper ce qu'il n'a pas prévu. Sans cette donnée essentielle, le service ne fonctionnera pas. Il faut répondre à une vraie demande. Pour cela, il est nécessaire d'interroger des personnes, faire des tests pour avoir des remontées et construire ton produit ou service en prenant en compte toutes ces informations. Une fois la masse critique d'utilisateurs atteinte, dans la mesure du possible en mode gratuit, pour que les clients et prospects potentiels s'approprient le service, ils nous font des retours pour améliorer le service. L'équipe doit travailler en méthode Agile pour pouvoir s'adapter au fur et à mesure des demandes et évolutions. Ensuite, il faut penser à la monétisation. Cette étape pour moi n'arrive que lorsque le service est bien rôdé et répond à un usage. Est-ce qu'il y a des méthodes particulières à connaître ? A mettre en place ? Nous avions monté Hamak en Lean start up, c'est-à-dire que chaque étape du projet, chaque nouvelle fonctionnalité du produit est testée par nos utilisateurs. Nous avions identifié une communauté de supers utilisateurs qui étaient ravie de tester en avance de phase les nouvelles fonctionnalités. Ils nous donnaient leur retour pour voir si cela fonctionnait bien et si ça leur plaisait. En méthode agile, nous avons ce qu'on appelle un BackLog, c'est une grande boîte à idées dans laquelle il y a nos idées pour les 6 mois à un an à venir. Chez Hamak, la moitié des idées nous étaient remontées par nos clients qui étaient très actifs par mail, téléphone ou tchat. Nous étions au plus près de nos utilisateurs et cela nous permettait d'améliorer notre service en continu en prenant en compte leurs retours. Quelle est l'importance aujourd'hui à aller sur le mobile ? On ne parle plus d'importance car aujourd'hui c'est vital d'être présent sur le mobile ! Il est même parfois plus pertinent d'aller sur le mobile directement plutôt que de passer par la case site internet ordinateur. En effet, nous passons une grande majorité de notre temps sur notre mobile. C'est le premier média ultra personnel que l'on utilise entre 3 et 6 heures par jour. Entre 50 à 60% de la navigation sur internet se fait via un mobile tout comme la consultation d'email. Cette consultation s'effectue sur des sites spécifiques en Responsive : adapté au mobile, soit via des applications. L'usage se précise et dépasse celui d'un ordinateur classique depuis les 3 dernières années. Quelles sont les erreurs à éviter lorsqu'on se lance sur le mobile ? L'erreur la plus commune, c'est de penser ordinateur et de se dire qu'on va s'adapter au mobile ensuite. C'est l'inverse, il faut penser mobile en premier puis ajouter des éléments sur ordinateur ensuite si c'est justifié. Votre service sera consulté dans la majorité des cas en premier lieu sur mobile. L'erreur de nombreux éditeurs est d'offrir un service dégradé sur mobile par rapport à la version existante sur ordinateur. Il ne faut pas oublier que sur mobile, lorsque vous avez un usage qui justifie une application, les places sont chères pour faire télécharger votre application. Il faut vraiment avoir une promesse d'usage récurrent supérieur à ce qu'on va trouver sur un site internet. Autre usage intéressant, pour respecter les dernières normes de protection des données personnelles notamment la RGPD (Réglementation Générale de Protection des données) les navigateurs ne conservent plus les fameux cookies au-delà de 24h et vous serez obligé de vous reconnecter tous les jours sur un site internet. Sur une application mobile, on peut rester connecter pendant 3 mois. Quelle est la différence à faire entre application mobile et site mobile ? Techniquement ceux sont 2 choses différentes : un site mobile se trouve dans un navigateur type Google Chrome ou Safari, alors qu'une application c'est un programme à lui tout seul. La différence est majoritairement en termes d'usage. Un site mobile ne sera pas nécessairement utilisé de manière récurrente et est plutôt utile pour du passage occasionnel. Souvent on a fait une recherche via Google ou on surfe sur les réseaux sociaux et on atterrit sur un site mobile. Une application est plus pour un usage récurrent. Tout le monde n'a pas besoin de faire une application mobile. Par exemple, on achète un matelas tous les 10 ans. Si vous êtes fabricant de matelas, vous n'avez pas besoin d'une application mobile car l'usage serait unique. L'avantage de l'application mobile est qu'elle est déjà installée sur le téléphone, il y a donc une rapidité d'accès. Techniquement on peut faire beaucoup plus de choses sur une application mobile : lecteur code barre, paiement sans contact, réalité augmentée (même si on commence à pouvoir en faire dans un navigateur). La navigation va être beaucoup plus fluide dans ses fonctionnalités mais aussi dans la navigation et de l'expérience utilisateur au sens global, les temps de chargement vont être réduit à 0. Le mobile est-il l'avenir du e-business ? Vaste question car cela dépend du Business. Si vous êtes en B2C, il faut y être notamment lorsqu'on sait que le mobile représente 60% de l'usage. Si vous êtes en B2B ou qu'il y a usage métier, il faut voir de quoi vous avez besoin. Il y a des outils métiers qui ne pourront pas être développés sur le mobile, mais en revanche qui sera possible sur tablette. On voit de plus en plus de conseillers de vente avec des tablettes en magasin, on les appelle les vendeurs augmentés car ils ont accès au stock du magasin ou encore votre historique de commande. En B2C, clairement le mobile a une première place à jouer. Que risque les retailers qui tardent à aller sur ce canal ? Ils n'ont pas compris ce qu'il se passait sur le marché. Certains retailers qui n'y sont pas encore vont bientôt disparaître. Notamment avec la concurrence des pures players qui sont nés sur internet, qui sont très agressifs et qui ont des budgets sans limite. Si aujourd'hui en tant que retailer, vous n'avez pas à minima un site compatible mobile, vous n'avez pas compris l'usage et l'importance du mobile pour votre business. Quelle est ta vision du marché mobile à 5 ans ? Sur ce secteur, on ne peut pas réellement prédire ce qu'il va se passer sur le marché. On sait que dans 5 ans, on aura un iPhone 16 ou 17. Les usages ne vont pas fondamentalement évoluer. On va clairement vers un abandon des ordinateurs avec l'agrandissement incessant des écrans de smartphones. Les nouveaux écrans qui arrivent se plient ou s'enroulent et permettront d'abonner l'usage des tablettes voire des ordinateurs. On le voit avec Apple et son iPad qui devient de plus en plus un ordinateur. Les ordinateurs vont encore perdre 10 ou 15 points de part de marché. L'usage mobile sera à 70 ou 80 %. Être sur le mobile est plus que jamais nécessaire, notamment pour les 10 prochaines années. Un autre usage qui va considérablement se développer sur mobile est celui du paiement, qui a déjà suivi une forte accélération lors de la crise du COVID-19. A surveiller de très près ! Ce qu'il faut retenir : Il est nécessaire d'être présent sur le mobile pour booster votre business Lorsqu'on monte un business, il faut mettre l'utilisateur au centre de notre produit ou service Travailler en méthode agile ou lean start up vous permet d'être réactif et à l'écoute de vos utilisateurs Il faut penser mobile en premier lorsqu'on se lance sur internet En apprenant de ses erreurs on peut transmettre de forts enseignements Pour suivre Raphael Chenol c'est ici : https://www.linkedin.com/in/raphaelchenol/ Vous n'arrivez pas à vous lancer sur les réseaux sociaux ? Vous avez conscience de leur importance mais vous ne savez pas par où commencer ? En tant qu'entrepreneur ou dirigeant il est essentiel d'être visible sur le digital ! La formation 30 jours pour vous lancer sur les réseaux sociaux est faite pour vous !Cette formation vous donne les clés pour vous lancer sur les réseaux sociaux avec un plan d'action concret. Plus : Bénéficiez de 2 sessions de coaching incluses ! 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A la fin de cet épisode, vous saurez enfin ce qu'est ce fameux lait de poule, mais mieux encore, vous pourrez en faire chez vous. Ceux qui pensent qu'il s'agit d'une crème anglaise ne sont pas loin de la vérité. Le lait de poule se sert traditionnellement en période des fêtes de fin d'année mais bien sûr, vous en consommez quand vous voulez. Il n'est a priori pas à base d'alcool et peut s'acheter tout fait. Néanmoins, il est plus traditionnel de le faire soi-même et de taper de la gnole dedans. Les alcools qu'on y ajoute sont assez classiques pour un cocktail lacté, rhum, Bourbon, Brandy, whisky moins classique mais tout aussi savoureux, on peut penser à l'amaretto, le baileys ou à la mandarine Napoléon. Au niveau des épices, c'est au goût mais la vanille, la cannelle ou la muscade sont en tête de classement. Ça se boit pur mais en analysant la recette, on se rend compte que le lait de poule peut servir à imbiber des pains perdus ou servir dans un pudding de pain par exemple. Mais du coup, quelle est cette recette ? Historiquement, il s'agissait d'un mélange sans cuisson d'œufs, de lait de crème de sucre, d'épices, principalement de la muscade et beaucoup d'alcool. C'est la quantité incroyable d'alcool qu'il contenait qui lui permettait de se conserver jusqu'à une semaine malgré que le mélange était cru. Aujourd'hui, un lait de poulet se prépare en cuisant à la nappe un ruban blanchi dans un lait chaud aromatisé à la vanille ou à la cannelle. Suivant les régions, soit on y incorporera les blancs en neige à la fin, soit on battra le ruban avec des œufs entiers. Donc, dans un langage moins technique, vous fouettez des jaunes d'oeufs et du sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Cette base s'appelle un ruban et comme vous l'avez blanchi, c'est un ruban blanchi. Vous chauffez du lait et l'infusez à la vanille ou à la cannelle ou à la muscade ou la combinaison de votre choix. Vous versez un tiers du lait dans le ruban, donc dans les jaunes d'oeufs sucré, vous mélangez bien et vous remettez le tout dans la casserole qui contient encore les ⅔ de lait restant. Et là, vous cuisez à la nappe, c'est-à-dire à feux doux en remuant en permanence, en fait, le but est de ne jamais dépasser 85 degrés, températures à laquelle les œufs vont coaguler et nous ne voulons pas ça. On cuit quelques minutes jusqu'à ce que la préparation nappe votre spatule. d'où le nom “cuire à la nappe”. Techniquement, vous avez là une crème anglaise. Une fois fait, deux école, la première école estime que c'est prêt, l'autre va ajouter les blanc d'oeufs en neige pour un peut enrichir le tout. Je vous laisse juger par vous même. N'oubliez pas la troisième école qui aura battu les œufs entiers avec le sucre au tout début. Et enfin, à la toute fin, on ajoute le tord boyaux, la quantité variant suivant l'ambiance désirée de la soirée. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Pourquoi parler des Mayas dans un podcast sur le Moyen Âge ? Techniquement, les Mayas ont en partie vécu pendant cette période, selon les bornes temporelles classiques 500-1500, et même si ces bornes sont européennes, pourquoi pas les utiliser pour d'autres espaces géographiques ? Mon invité Terry David a a soutenu en 2022 un mémoire de recherches à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne sur « Les halls à colonnade dans les basses terres mayas à l'époque classique (250-1000)« . Donc bien sûr nous n'allons pas parler d'une société médiévale mais cet épisode, mais pour la première fois dans ce podcast nous parlons d'Amérique du sud ! ▪ Infos sur le podcast Créé et produit par Fanny Cohen Moreau depuis 2017. ➡ Soutenir le podcast > https://passionmedievistes.fr/soutenir/ ➡ Instagram > https://instagram.com/passionmedievistes/ ➡ Facebook > https://facebook.com/PassionMedievistes ➡ Twitter > https://twitter.com/PMedievistes ➡ Plus d'infos sur cet épisode > https://passionmedievistes.fr/ep-71-terry-mayas
Élisabeth Borne, la Première ministre française, poursuit sa visite en Algérie avec une quinzaine de ministres à ses côtés. Un accord bilatéral de coopération économique a été signé. Et si, officiellement, le dossier du gaz n'est pas au programme, la cheffe du gouvernement a dit « continuer à avancer » avec l'Algérie. En revanche, c'est bien pour diversifier les approvisionnements énergétiques de l'UE que la commissaire européenne à l'Énergie se rend à Alger ce lundi 10 octobre. Après une rencontre ministérielle, Kadri Simson participera demain au Forum d'affaires UE-Algérie sur l'énergie. Ces derniers mois, le gaz algérien a été très courtisé, mais une augmentation des flux à court terme paraît peu probable. L'Algérie a déjà augmenté ses livraisons et son carnet de commande vers l'Italie. Sa fourniture de gaz vers la « botte » avait dépassé en juillet de 113%, ce qui avait été initialement prévu. Cet été, une visite de Mario Draghi, président du Conseil désormais sur le départ, s'est conclue avec une nouvelle rallonge. Depuis le début la guerre en Ukraine, Alger a aussi conclu avec Rome une augmentation des exportations de 9 milliards de m3 par an progressivement sur la période 2023-2024. Ce qu'il y avait à prendre a donc sans doute été pris, selon plusieurs spécialistes. D'un autre côté, la part du gaz algérien dans les livraisons vers l'Espagne a elle fortement chuté. Quoiqu'il en soit, les marges de manœuvres sont limitées. La production algérienne tend à augmenter Seulement légèrement, mais selon S&P Global, elle devrait passer de 100 milliards de m3 l'an dernier à 103 milliards de m3 cette année. Selon les projections du cabinet, la production devrait encore un peu grimper pour se hisser à 106 milliards de m3 l'an prochain. Mais production ne veut pas dire exportation. L'Algérie consomme une partie importante de son gaz, entre autres pour générer de l'électricité. Par ailleurs, l'Algérie étant à la fois productrice de gaz et de pétrole, une partie du gaz est réinjecté dans les champs pour faciliter l'extraction de pétrole. De son côté, « la Norvège a accepté d'augmenter sa production de gaz de 10%, c'est une partie du gaz qu'ils injectent en moins dans les champs pétroliers et qui devient donc disponible », explique Thierry Bros, expert énergie et professeur à Sciences Po. Une solution plutôt favorable vu le prix actuel du gaz. Mais, note Thierry Bros, cela représente tout de même un effort politique, effort consenti parce que l'Union européenne est un proche partenaire. Techniquement, « l'Algérie pourrait faire la même chose », détaille encore ce spécialiste du gaz. Mais, l'Algérie, qui a par ailleurs récemment renouvelé un partenariat stratégique avec Moscou, « ne l'a pas fait ». L'Union européenne n'a pas non plus dégainé ses meilleurs atouts séduction : les 27 discutent d'un éventuel plafonnement du prix du gaz. De nouvelles exploitations en perspective sur le long terme ? Pour cela, il faut des financement. Or, les conditions pour les investisseurs étrangers ne sont pas les plus favorables, quoiqu'une loi de 2019 rende les conditions plus accommodantes qu'auparavant. D'ailleurs cet été, un contrat de « partage de production » a été signé par la Sonatrach, l'Italien ENI, TotalEnergies et Oxy, un accord pétro-gazier d'un montant estimé à 4 milliards de dollars. Un rôle à jouer dans le transit pour l'Algérie ? Rien n'est sûr. Fin juillet, les ministres de l'Énergie algérien, nigérian et nigérien ont signé un mémorandum d'entente pour un mégaprojet de gazoduc transsaharien. Objectif : acheminer le gaz nigérian vers l'Europe. Mais ce pipeline transsaharien est dans les cartons depuis plus de vingt ans, aucune date n'a encore été donnée et il fait face à un projet concurrent qui passerait au large du Maroc. On peut par ailleurs se demander si le modèle du pipeline est toujours à privilégier. Certains experts en doutent. « Si la guerre [en Ukraine] a montré une chose, estime Thierry Bros, c'est que le business modèle des pipelines est fini. » Ces installations sont plus vulnérables face aux aléas géopolitiques que le gaz naturel liquéfié. La fermeture l'an dernier du gazoduc Maghreb-Europe, acheminant du gaz algérien vers l'Espagne via le Maroc, en est un autre exemple.
"À propos", c'est le podcast quotidien du Soir pour s'informer, décrypter et s'inspirer.Vous l'aviez lu dans Le Soir, Tinne Van der Straeten, la ministre de l'énergie, a déposé sa proposition de captation des surprofits dans le secteur de l'énergie. Elle veut aller plus loin que les recommandations européennes en captant plus et pendant plus longtemps. Bien sûr, le texte doit encore passer plusieurs arbitrages politiques mais on peut déjà se demander comment la ministre compte-t-elle faire ? Techniquement, son plan est-il applicable ? On a posé la question à Bernard Padoan, chef du service économie.L'invité de Soir Eco cette semaine est un économiste français, spécialiste de la décroissance. Pourquoi faut il lire cette interview de Timothée Parrique ? Parce qu'on est loin des clichés et des préjugés, nous a répondu Dominique Berns. Dommage collatéral de la hausse des prix de l'énergie: les factures vont augmenter dans les maisons de repos. Les établissements doivent assurer une température de 22 degrés. Baptiste Gillot a demandé à Jean-Phillipe de Vogelaere, du service société, comment le secteur compte s'en sortir."À propos", c'est notre sélection, du lundi au vendredi dès 7 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal «Le Soir» sur https://podcasts.lesoir.bePrésentation : Pierre Fagnart, Sandrine Puissant
Vous l'aviez lu dans Le Soir, Tinne Van der Straeten, la ministre de l'énergie, a déposé sa proposition de captation des surprofits dans le secteur de l'énergie. Elle veut aller plus loin que les recommandations européennes en captant plus et pendant plus longtemps. Bien sûr, le texte doit encore passer plusieurs arbitrages politiques mais on peut déjà se demander comment la ministre compte-t-elle faire ? Techniquement, son plan est-il applicable ? On a posé la question à Bernard Padoan, chef du service économie
Inutile de vous dire que la semaine dernière aura été vraiment pourrie. Le seul point positif que l'on peut retenir, c'est que le S&P500 a terminé AU-DESSUS des plus bas de l'année après avoir été EN-DESSOUS des plus bas de l'année pour aller voir ce qui s'y passait. Techniquement, on pourrait appeler ça un « … Continued
Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m'appelle Clarisse Treilles, et aujourd'hui je vous explique pourquoi la première solution de visioconférence de l'histoire a connu un échec cuisant sur le plan commercial. Alors que le chat vidéo semble aujourd'hui parfaitement naturel et intégré à notre routine au travail comme à la maison, cela n'a pas toujours été le cas. Son ancêtre dans les années 60 peut en témoigner. Nous allons voir pourquoi une invention techniquement si brillante pour l'époque a échoué à devenir l'outil populaire du quotidien qu'il est à présent. On parle là du Picturephone, la célèbre invention de Bell Labs, une division de l'opérateur américain AT&T. Cette invention a fait son apparition en 1964, lors de l'exposition universelle de New York. Techniquement, l'idée était brillante. Le Picturephone devait permettre aux familles et aux amis de s'entendre et de se voir, le tout à distance, par écran interposé. Bell utilisait le matériel du réseau téléphonique existant pour produire une vidéo en noir et blanc d'une dizaine de centimètres carrés environ. Le petit plus : la possibilité d'ajuster la taille et la hauteur de l'image, sans avoir à déplacer le picturephone lui-même. En clair, cela ressemblait à un FaceTime avec un écran un peu plus grand. A une différence près : le service était loin d'être accessible au plus grand nombre. Après la démonstration en public de 1964, Bell Labs avait installé des cabines de Picturephones dans quelques grandes villes américaines : pour la modique somme de 27 dollars, on pouvait passer un appel téléphonique de 3 minutes entre New York et Chicago. Cela restait une expérience luxueuse pour des utilisateurs curieux. A ce moment, les ingénieurs d'AT&T y croyaient pourtant dur comme fer. En 1970, ils ont lancé la deuxième version du Picturephone, le premier appareil de visioconférence destiné à être installé dans les entreprises. Plusieurs options étaient alors proposées pour améliorer l'expérience : il était par exemple possible de passer en mode “privé”, en coupant le son ou l'image, et même de partager un document à l'écran grâce à un miroir amovible placé au-dessus de la caméra. Mais facturé à 160 dollars, ce service de chat vidéo en face à face n'a pas rencontré son public. Seule une poignée d'entreprises se sont montrées intéressées par le produit, si bien que le service a fermé quelques années plus tard. Le picture phone était tout bonnement hors de prix. Il a fallu 40 ans pour que le rêve de Bell Labs devienne réalité : créer le premier téléphone fabriqué en masse pour le chat vidéo. Pendant la pandémie, la visioconférence a atteint son heure de gloire chez les entreprises où les collaborateurs ne pouvaient plus se réunir en physique dans les bureaux. Et voilà, normalement on a fait le tour du sujet. Pour en savoir plus, rendez-vous sur ZDNet.fr. Et retrouvez tous les jours un nouvel épisode du ZDTech sur vos plateformes de podcast préférées.
Rivelino un maitre qui a son propre football et qui a sue le contribuer toute au long de sa carrière et en 1970 il a fait a été avec la légende pelé dans la meilleurs équipe jamais vue de l'histoire de notre sport le football respect maitre du drible et inventeurs de la virgule ou le flip flap en anglais.
« Comme l'ombre d'un doute, pointe Le Monde. Au lendemain de la réélection d'Emmanuel Macron, fin avril, ses lieutenants imaginaient les élections législatives comme une formalité. (…) Un mois et demi plus tard, à l'approche du scrutin des 12 et 19 juin, le paysage s'est assombri. À cinq jours du premier tour, les troupes d'Emmanuel Macron restent confiantes mais sans être, toutefois, certaines de décrocher la majorité absolue. Avec le déclin progressif enregistré par le camp présidentiel dans les sondages, les lieutenants du chef de l'État ont sérieusement revu à la baisse leurs ambitions, en redoutant désormais une majorité étriquée… Voire une défaite, désormais jugée "pas impossible" à l'Élysée. » En effet, pointe La Croix, « dans une campagne qui n'intéresse guère les Français – les instituts de sondages prévoient un taux d'abstention supérieur à 50 % –, et alors que les premiers pas du nouveau gouvernement ont été éclipsés par l'affaire Damien Abad et le fiasco du Stade de France, la majorité est à la peine dans les sondages. La République en marche et ses alliés arriveraient en tête du scrutin, mais obtiendraient seulement entre 275 et 315 sièges sur 577. Sans certitude, donc, d'avoir la majorité absolue dans l'Hémicycle. » Comme un élan à gauche Alors, « serait-ce le calme avant une possible tempête ? », s'interroge Le Figaro. « Derrière la morne plaine, les colères volcaniques d'une partie des Français subsistent et, faute d'avoir été prises à bras-le-corps depuis longtemps, elles pourraient un jour se réveiller. De fait, les fractures sont multiples : sociale, générationnelle, géographique, culturelle, ethnique… L'épisode des gilets jaunes a laissé des traces et donné un avant-goût de ce qui pourrait arriver. » ► À lire aussi : Législatives 2022: un duel entre Nupes et les macronistes marque une campagne toujours atone En effet, à gauche, il y a comme un « élan », pointe Libération. « À moins d'une semaine du premier tour, les militants continuent de mobiliser pour empêcher Macron d'obtenir une confortable majorité à l'Assemblée. Si Mélenchon ne devient pas Premier ministre, l'Union aura au moins eu le mérite d'insuffler une nouvelle dynamique à gauche. (…) Jean-Luc Mélenchon a réussi à bâtir une opposition qui écrase toutes les autres. Ils sont nombreux, un peu partout en France, les "fâchés pas fachos" qui réclament la revitalisation des services publics, un renouvellement des institutions, et la lutte contre le dérèglement climatique ou les injustices sociales. » Bojo : reculer pour mieux sauter… À la Une également, Boris Johnson a eu chaud hier soir… « Boris Johnson a obtenu un (petit) sursis, constate Le Parisien. En emportant hier soir le vote de confiance, le Premier ministre britannique peut souffler un temps, aucune autre motion de défiance ne pouvant être déposée pendant un an. Mais cette fois, le couperet n'est pas passé loin. Le scandale des soirées clandestines fort arrosées en série au 10 Downing Street, pendant que le Royaume était confiné pour cause de Covid-19, a failli coûter son poste au turbulent Boris Johnson, que certains de ses "amis" de son propre parti voulaient pousser dehors. Bojo reste en poste grâce aux 211 voix des députés conservateurs en sa faveur. 148 ont voté contre, et il se retrouve désormais face à une majorité fracturée. » « Touché, mais pas (encore) coulé », commentent Les Dernières Nouvelles d'Alsace. « Techniquement, Boris Johnson a sauvé son siège de Premier ministre mais psychologiquement et même politiquement, il l'a déjà perdu. (…) Bojo est désormais cerné par les affaires et les scandales. Plus isolé et affaibli que jamais. Régnant sur un champ de ruines. » Inflation : haro sur le discount ! On revient en France, on revient au Parisien qui constate « une ruée sur les magasins discounts : l'arme anti-inflation », s'exclame le journal en Une. « Selon une récente étude publiée par le magazine 60 Millions de consommateurs, l'inflation représente déjà un surcoût de 90 euros par mois et par famille, relève Le Parisien. Alors, les Français s'organisent : pour maintenir leur consommation, ils n'ont d'autre choix que de se tourner vers les enseignes discount, où les prix riquiquis sont légion. » Enfin, dans la série tout augmente : les prix s'envolent aussi dans les transports… « Avion, train : le prix des billets flambe », constate La Dépêche en première page. Plus 15% à la SNCF ces trois derniers mois, plus 10% pour les billets d'avion, déplore le journal qui trouve là l'occasion « d'une profonde réflexion sur les transports dont nous aurons besoin dans les années à venir : transports plus écologiques, moins polluants et plus efficients, transports plus abordables, transports plus innovants… »
Le nombre de morts liées aux drogues continue d'enregistrer des records aux États-Unis. Principalement en raison des opioïdes, alors que la ville de New York est devenue la première ville du pays à autoriser des salles de shoot. Techniquement, au niveau fédéral, c'est encore illégal. Deux centres ont ouvert dans la « Grosse pomme » en novembre dernier. Des centres d'injection, mais aussi des lieux de vie où les usagers peuvent recevoir des soins médicaux et un accompagnement.
Bertrand Bernager sort tout juste de l'école de photographie, mais a déjà un sérieux bagage et de sacrées références à son actif, lui qui était ambassadeur Sony et titulaire de prix prestigieux avant d'être majeur. De sa bonne relation avec quelques grands noms de la photographie à son établissement en tant que photographe professionnel, nous parlerons de sa déjà conséquente expérience de la photographie tout au long de cet épisode. Dans cet épisode, on parle: d'univers urbain, de commencer la photo très jeune, d'école de photo, de ne pas faire comme tout le monde, d'apprendre de ses erreurs, de ne pas avoir de plan B, de s'imposer des contraintes, de prendre moins de photos, de pose longue et de patience, de prendre son temps, de repérage et de bien préparer le terrain, de voir les planches contact, de noir et blanc, de la lumière d'après la pluie, mais surtout, on parle de l'instant décisif qui n'arrive jamais, sauf quand il arrive parfois. Bienvenue dans l'œil de Bertrand Bernager. Page web de l'épisode: http://063.dlodp.fr --- Send in a voice message: https://anchor.fm/julienpasternak/message
La chance sourit aux audacieux paraît-il. Je ne saurai pas dire si Jérémie a eu de la chance ou pas. Ce qui est sûr en revanche, c'est qu'il n'a pas manqué d'audace ! Propulsé à la tête du pôle data après le départ de ses N+1 et N+2, à peine quelques mois après avoir rejoint la BNP... et se saisir de l'opportunité pour créer un DataLab qui va révolutionner l'usage de la data métier, il fallait en avoir. La trentaine, reprendre les études et rendre sa thèse à3h du mat, la veille de son mariage. Voilà qui en dit long sur le personnage. Comme dirait l'autre, "la chance, ça se provoque". En bossant sa thèse sur les modèles de traitement du langage, il trouve un modèle sur un blog au fin fond du web. L'auteur du modèle est un ingénieur de chez Google. Le genre de mec inaccessible. C'est presque une bouteille à la mer que lui a lancé Jérémie en lui demandant de l'aide pour avancer sur le modèle de sa thèse. Surprise, le gars répond 2 jours plus trad. Découverte de l'open source, d'un mindset nouveau fait d'ouverture, de partage et de confiance. Piqûre. C'est avec ce même mindset qu'il rejoint la BNP. Quand il lance le DataLab, il repart d'une plateforme embryonnaire, le projet d'une plateforme à destination des Data Scientist du groupe. Quelques mois plus tard, cette plateforme devient une véritable boîte à outil pour plus de 400 Data Scientist, dans une vingtaine de pays. Changement de paradigme. Avant l'existence de cette plateforme par exemple, pour enregistrer une donnée quelque part, il fallait se déplacer, physiquement, parfois loin, avec un disque dur crypté, ouvrir un ticket, etc. Ce qui pouvait parfois prendre des semaines. Avec cette plateforme, tout est intégré, chacun est autonome. La première pierre était posée. La deuxième pierre est peut être plus ambitieuse encore : former les collaborateurs qui le souhaitent aux métiers de demain. C'est ainsi que, profitant du programme Upskilling déjà en place, des gens sont formés au métier de data engineer. Évidemment, c'est très difficile pour eux de rattraper les années, d'être sur des technologies de pointe. Techniquement, ce retard est parfois irratrapable. En revanche, ce qui est sûr, c'est que les années d'expérience métier de ces collaborateurs valent de l'or. Et c'est tout l'enjeu ! Casser les silos, ou plutôt, outrepasser les silos, les ignorer si intensément qu'on ne se souvient même plus qu'ils existent, voilà l'enjeu. Ces collaborateurs formés permettent d'ouvrir de nouvelles portes, d'arriver jusqu'à des CODIR jusqu'alors inatteignables, le fruit de plusieurs années de labeurs et de projets en tous genre. L'art de favoriser des échanges intergénérationnels pour briser les silos.
Tout le monde sait utiliser un navigateur web, mais savez-vous exactement comment il fonctionne, depuis le lancement jusqu'au chargement d'une page complète ?Notes de l'épisode:Article d'origine : https://blog.nicolas.brondin-bernard.com/comment-fonctionne-un-navigateur-web-version-technique/La première page web : http://info.cern.ch/hypertext/WWW/TheProject.htmlTCP/IP : https://blog.nicolas.brondin-bernard.com/tcp-ip-comment-ca-fonctionne/Les codes de retour HTTP : https://blog.nicolas.brondin-bernard.com/les-codes-de-retour-http-indispensables-a-connaitre/Compilation JIT : https://blog.bitsrc.io/the-jit-in-javascript-just-in-time-compiler-798b66e44143
La Nouvelle Garde - 26 octobre 2021
La famille Lefèvre, gagnante l'an dernier de "La France a un incroyable talent", publie "Ad Vitam", son premier album consacré au répertoire qui a fait son succès, la musique sacrée ! Les Lefèvre se sont confiés au micro d'Isabelle Morini Bosc pour "Laissez-Vous Tenter". "Techniquement et humainement, un album parfait", selon Isabelle.
Le 20 août dernier, la chaîne de télévision Dojd, créée en 2010, a été désignée « agent de l'étranger ». C'est le média indépendant le plus important de Russie. Entretien avec Tikhon Dziadko, rédacteur en chef. RFI : Quel est l'impact de votre classification le 20 août dernier comme agent de l'étranger ? Tikhon Dziadko : La situation est meilleure que celle à laquelle on aurait pu s'attendre : pour le moment nous n'avons pas de problème financier. Certains nouveaux projets ont certes été mis en pause, mais tous nos partenaires (deux sociétés d'électroménager haut de gamme et une banque privée, NDLR) restent, et nous avons reçu beaucoup de dons des téléspectateurs, ce qui nous aide beaucoup. Il faut souligner que Dojd est un média atypique en Russie : c'est un média indépendant qui vit à 90 % de ses abonnements et dons. Depuis 2014 et notre expulsion du réseau du câble et du satellite (Dojd diffuse désormais sur Internet), nous avions déjà perdu beaucoup de partenaires financiers, car c'était une décision politique. Les partenaires courageux qui sont restés représentent aujourd'hui 10 % du budget. Pour eux, le fait que nous soyons classés agent de l'étranger ne change rien. C'était déjà difficile de travailler avec nous avant cela. Et pour vos sources ? C'est la même chose. Presque tous les représentants de Russie unie (le parti au pouvoir) ne parlent plus à Dojd depuis cette année, parce qu'ils n'aiment pas nos questions. Ils aiment la communication, les chaînes d'État où ils peuvent dire tout ce qu'ils veulent. La présidente de la commission électorale a garanti la semaine dernière que les médias classés « agent de l'étranger » seraient normalement accrédités comme les autres pour suivre les élections. Oui, même dans cette législation qui est affreuse, il n'y a rien qui dise qu'un média « agent de l'étranger » n'a pas le droit de couvrir les élections. Le fait que nous soyons classés de la sorte est très grave, mais les conséquences aujourd'hui sont surtout l'incertitude, nous ne savons pas ce qui peut se passer. En fait, il y a plusieurs conséquences concrètes avec ce classement. Sur le papier, c'est surtout formel : nous devons utiliser 24 mots chaque fois que nous publions quelque chose (un message en lettres capitales avertissant que le contenu vient d'un média agent de l'étranger, NDLR), et tous les trois mois nous devons présenter une documentation sur nos dépenses. Techniquement, c'est tout. C'est pour ça que les représentants du gouvernement disent : il n'y a pas de problèmes avec ce statut, car c'est tout ce que vous avez à faire. Mais c'est juste une partie de la vérité, car il y a d'autres conséquences possibles. Si quelqu'un ici dans la rédaction oublie d'utiliser ces 24 mots, par exemple au Web quand on poste une story Instagram en vidéo, c'est une amende : la première fois 200 000 roubles (le montant du salaire médian mensuel en Russie est d'environ 30 000 roubles, NDLR), la deuxième, 1 million, la troisième 5 millions ! Avec aussi le risque de l'ouverture d'une enquête pénale pour moi ou la propriétaire. L'autre conséquence n'est pas formelle. Il faut comprendre que quand l'État dit que quelqu'un est agent de l'étranger, cela signifie qu'on est l'ennemi de l'État, qu'on travaille pour quelqu'un d'autre. Un partenaire veut-il être associé à un ennemi de l'État ? Par exemple l'entreprise qui est propriétaire des bureaux ici, ou celle qui assure l'Internet ou la transmission satellite, veut-elle être associée à ça ? Devenir elle aussi ennemie de l'État ? Parce que c'est ça la logique d'un État autoritaire. Les conséquences informelles sont majeures. Encore une chose importante : c'est une décision politique. Selon cette loi, en réalité chaque média russe et même presque chaque citoyen russe peut être désigné agent de l'étranger, même Russia Today et l'agence Tass. Mais ils ne l'ont pas été. Donc, comme c'est une décision politique, peut-être qu'il faut s'attendre à d'autres nouvelles actions. Si le fisc ou l'inspection du travail débarque ici, c'est très facile de fermer l'entreprise si on le veut. Nous ne savons pas si cette classification, c'est juste un pas après lequel il faut en attendre d'autres, ou si ça va s'arrêter là. C'est le problème avec cette loi. Nos partenaires financiers nous ont dit « tout va bien », mais ça ne veut rien dire. Comment vous et vos équipes travaillez avec cette pression ? Bien sûr, c'est une situation stressante. Mais il faut comprendre que nous avons reçu beaucoup de soutien de nos téléspectateurs. Des messages et des lettres chaque jour et un soutien financier ; ces dons et souscriptions signifient que ce que nous faisons est très important pour eux. Il y a des gens prêts à payer pour ce que nous faisons. Mais en même temps, c'est une humiliation quand l'État vous dit « toi, tu es un ennemi ». Mais ce n'est pas vrai ! Moi par exemple, je suis absolument sûr que je suis un patriote, et je sais que tous les gens qui travaillent ici sont 100 % patriotes, tout ce que nous avons fait ces onze dernières années, c'est pour rendre la vie ici meilleure qu'hier. Et quand la réponse est que nous sommes des agents de l'étranger, cela veut dire quoi ? Nous, nous sommes les agents de nos téléspectateurs, moi je le suis de ma famille, de mes enfants, qui habitent ici, font leurs études ici. Les enfants de beaucoup de gens qui travaillent pour ce gouvernement qui nous a nommés « agent de l'étranger », eux, font leurs études à l'étranger. J'ai donc une question : qui est « agent de l'étranger ? » Les élections sont très proches. Avez-vous dû adapter votre couverture ? Nous n'avons rien changé. Nous avons été qualifiés « agent de l'étranger » le 20 août, et notre politique éditoriale du 19 août et celle du 21 est la même. Ce sont les premières élections depuis la fin de l'Union soviétique où les médias indépendants seront autant en difficulté. Qu'est-ce que cela dit, pour vous, de ce que traverse la Russie en ce moment ? Ça dit que le pouvoir russe a décidé de changer la vie ici. Le pouvoir a décidé d'arrêter de prétendre qu'ici, c'est une démocratie. Les amendements à la Constitution, les protestations en Biélorussie, la tentative d'attenter à la vie d'Alexeï Navalny et son retour ici en Russie, tout ça fait que je pense que le pouvoir a décidé au début de l'année d'arrêter de faire semblant et c'est pour ça que le régime est devenu plus dur, qu'on a arrêté beaucoup de gens, d'hommes politiques indépendants, nommés beaucoup d'organisation et médias « agent de l'étranger » et que beaucoup de gens ont quitté le pays. En 2021, le régime a changé de nature par rapport à l'année dernière, et bien sûr, c'est difficile de travailler dans cette atmosphère. Mais encore une fois, il y a 15 ou 16 millions de gens qui regardent Dojd chaque mois, c'est pourquoi même dans ces conditions nous devons continuer ce que nous faisons.
Extra classe s'installe à l'université d'été de Ludovia pour une émission spéciale consacrée au podcast dans l'éducation. Vingt ans après la naissance de ce média, on assiste à une véritable vague de podcasts qui fleurissent dans tous les domaines et tous les formats. Qu'en est-il des usages du podcast dans la sphère éducative, que ce soit pour les enseignants ou pour les élèves ? Quelles pratiques dans les classes ? Comment se lancer ? C'est à ces questions que s'attaque cet épisode enregistré en public avec Natacha Robert, professeure-documentaliste en lycée qui a accompagné les élèves du club webradio dans la création d'un podcast documentaire récompensé au festival « Une fois, une voix », Cécile Cathelin, professeure de lettres en lycée et créatrice de la plateforme de podcasts éducatifs Clapotee, et Sébastien Manodritta, professeur des écoles et animateur du podcast e-teachers consacré au numérique et à l'éducation. Clapotee, la plateforme de podcasts éducatifs par Cécile Cathelin. Quand y'en a plus, y'en a encore : l'impossible repos des femmes, podcast de la webradio Ablocradio du lycée agricole Beaulieu-Lavacant d'Auch, 2021. e-teachers, le podcast des profs numériques. Créer un podcast pour sa classe, série microlearning de cinq vidéos, Canotech, Réseau Canopé. La transcription de cet épisode est disponible après les crédits. Chaque dernier mercredi du mois, découvrez un nouvel épisode de « Parlons pratiques ! » sur votre plateforme de podcasts préférée. Suivez-nous, écoutez et partagez… Retrouvez-nous sur : Extraclasse.reseau-canope.fr Apple Podcasts Spotify Deezer Google Podcasts Podcast Addict Extra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé. Émission préparée et animée par : Hélène Audard et Régis Forgione Directrice de publication : Marie-Caroline Missir Coordination et production : Hervé Turri, Luc Taramini, Magali Devance Prise de son : Laurent Gaillard Mixage : Simon Gattegno Secrétariat de rédaction : Blaise Royer Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2021 Transcription : HÉLÈNE AUDARD : Aujourd'hui, c'est une émission spéciale enregistrée depuis l'université d'été Ludovia, que nous remercions chaleureusement pour son accueil. Nous avons choisi de parler d'un thème qui est abordé dans plusieurs ateliers cette année : le podcast éducatif. Et on va se demander comment les enseignants peuvent s'emparer de ce média. Régis, tu ne m'en voudras pas si je dis que tu es un vieux routard du podcast ? RÉGIS FORGIONE : Non, clairement. HA : Tu le connais, tu le pratiques depuis longtemps, alors j'aimerais savoir de quel œil tu vois le boom actuel du podcast dans tous les domaines. Est-ce que ça décolle aussi du côté de l'éducation ? RF : Alors j'ai effectivement pas mal d'années de podcast derrière moi ; mais nos invités aussi, ils vont nous le dire. Effectivement, il y a un gros engouement en ce moment autour de ce medium, comme on dit. Il se passe pas mal de choses, on parle même de la deuxième vague du podcast. Alors, pour ceux qui ne le sauraient pas, puisque c'est une émission dédiée au podcast, un petit point lexical : le podcast, c'est un mot-valise, qui est né en l'an 2000 et qui est une combinaison du thème iPod, le fameux baladeur de la marque à la pomme, et de broadcasting, qui veut dire diffusion. Pourquoi l'iPod ? Parce qu'il incluait du podcast. En tout cas, c'était un des premiers objets à inclure du podcast et de la baladodiffusion. Ça a été popularisé ensuite à partir de 2004. Les pionniers des usages pédagogiques sont de l'autre côté de l'Atlantique, en tout cas nos cousins du Canada et du Québec ; et ils ont très vite vu l'intérêt de ce qu'ils appellent, eux, la baladodiffusion… c'est tellement plus joli… Et là on est 20 ans après la naissance du podcast et on assiste, je le disais, à cette deuxième vague dans tous les domaines et, comme tu le disais, effectivement aussi dans le monde de l'éducation. Sur tous les thèmes, j'ai envie de dire : « et tous les formats ». Nos invités vont nous le dire aussi : des formats longs, des formats courts, des modes intimistes, des tables rondes… La sphère éducative ne fait pas exception à ça, que ce soit du côté des élèves ou des enseignants. HA : Alors quelles pratiques dans les classes ? Comment se lancer ? C'est à ces questions que s'attaque cet épisode de « Parlons pratiques ! » avec des invités que nous allons vous présenter tout de suite. Et tout d'abord, Natacha Robert. Bonjour ! NATACHA ROBERT : Bonjour ! HA : Vous êtes professeure-documentaliste au lycée agricole d'Auch. Cette année vous avez accompagné les lycéens du club webradio dans la création d'un podcast documentaire sur la charge mentale des femmes, un podcast qui a été récompensé au festival « Une fois, une voix ». NR : C'était le concours « Une fois, une voix ». Et c'était la première édition de ce concours. C'était une occasion pour nous de trouver une motivation supplémentaire à réaliser quelque chose de concret – et aussi de qualité – dans l'année, avec le club webradio de mon lycée. HA : On va en parler tout de suite. RF : Sébastien Manodritta, bonjour. SÉBASTIEN MANODRITTA : Bonjour. RF : Alors vous êtes professeur des écoles et animateur du podcast E-teachers. Je pense que les auditeurs d'Extra classe qui écoutent du podcast éducatif, en tout cas pour les enseignants, doivent avoir entendu au moins une fois E-teachers : le podcast des profs numériques, c'est bien ça ? SM : C'est bien ça, né sous l'inspiration de Jean-François Simon et Guillaume Ogier. On a une date de naissance approximativement identique à celle d'un autre podcast très connu qui est Nipédu. On se permet de faire des émissions qui nous permettent de partager notre veille éducative numérique. HA : Alors on va déjà se poser la question du podcast. Qu'est-ce que c'est ? Est-ce que tout support audio est du podcast ? Quelle est la différence avec une webradio ? Je commence avec Natacha, puisque vous travaillez avec la webradio du lycée depuis quelques années. Alors voilà le podcast, pour vous, comment vous le définiriez ? Et puis qu'est-ce que ça vous permet de faire ? NR : Tout basiquement, matériellement, c'est déjà le fichier MP3 ou autre, qu'on va pouvoir déposer par exemple sur le site web de la webradio qu'on a créée. Mais au départ on avait plutôt fait des petits sons qu'on déposait sur l'ENT. Avant qu'on ait un site. Et même si on a une webradio, on a assez peu de temps pour faire un flux, et pour faire vraiment une programmation. Et du coup, c'est vrai qu'on est davantage sur des podcasts, même si on a des rendez-vous un peu réguliers, comme une émission mensuelle en plateau ou en studio, enregistrée dans les conditions du direct, et qu'on va du coup podcaster plus tard sur le site de la webradio ablocradio. Mais là, dans le cadre du concours, c'était vraiment un podcast, mais je parlerais plutôt d'un documentaire audio parce que « podcast », ça veut tout dire. On l'a dit, c'était un mot-valise. Et on a du coup fait aussi bien des rediffusions d'émissions que des chroniques, que des fictions qu'on avait écrites et jouées. Mais là, c'était un documentaire, donc je préfère insister sur le côté documentaire que sur le côté podcast. RF : Sébastien, sur ce côté « c'est de l'audio »… Techniquement, c'est effectivement un fichier audio. Quels sont les éléments de simplicité technique, les atouts de ce côté-là que vous pouvez voir dans ce format audio ? SM : Ils sont très simples, c'est la disponibilité. C'est-à-dire, on a ce fichier, là, qui traine sur notre appareil préféré, celui qu'on balade. On va l'écouter quand on veut. Généralement, certains l'écoutent en faisant du sport, certains l'écoutent en faisant la vaisselle, voilà. Et c'est ce côté très accessible, ce choix du moment, qui rompt avec la radio classique telle qu'on l'a connue. Et puis c'est vraiment la simplicité – on y reviendra un peu tout à l'heure – de la fabrication d'un épisode où on peut mettre ce que l'on veut et parler de ce que l'on veut. HA : Est-ce qu'il y a un côté aussi « ne pas être piégé devant les écrans » qui peut séduire les enseignants ? Parce que c'est du numérique, mais sans l'écran. SM : Oui ! Moi, je sais que parfois – je vais vous révéler un secret – je corrige mes copies en même temps que j'écoute un podcast. Ça fait que je tombe dans une espèce de torpeur merveilleuse. Il y a ce côté : plutôt qu'une musique, etc., on va avoir cette voix qui va nous porter. Je ne sais pas… quand c'est celle de Régis par exemple. RF : Là on parle du côté de l'enseignant qui écouterait du podcast sur ses différents moments de vie. On entre encore plus dans le vif du sujet en se posant la question du « pourquoi le “podcast Éducation” » et qu'est-ce qu'on en fait ? qu'est-ce qu'on peut en faire ? Et notamment avec l'exemple de votre projet, Natacha. Pouvez-vous nous en dire quelques mots ? NR : Dans les retours qu'on avait eus par les élèves qui avaient fait ce podcast particulièrement, il y a un élève qui disait : « Par rapport à un exposé classique, c'est très différent parce qu'on était allés chercher des entretiens, des expériences de vie chez les témoins qu'on a interrogés. » Eux, d'entrée, ils avaient comparé ça avec un exposé à faire en classe, parce que finalement il y a un sujet, il y a une problématique, éventuellement, qui peut être le sous-titre. Et puis, on va convoquer des recherches documentaires, on va convoquer des sources que sont les personnes et leurs expériences. Et qu'est-ce qu'on fait de tout ça ? On fait un plan. On fait un conducteur. On raconte des choses autour, une intro, une conclusion, des transitions et on fait de l'écriture avec le montage. On pourrait dire que, basiquement, si on voulait changer des exposés en classe, on pourrait déjà tous basculer sur du podcast. Seulement, c'est quand même un peu plus engageant que des exposés, ça demande beaucoup plus de temps, un petit peu de moyens, même si c'est très léger. Et puis, on ne pourra pas concerner l'ensemble de la classe de la même manière. HA : Alors une petite question que je me posais : quand vous avez parlé de podcasts ou même de radio avec vos élèves, est-ce qu'ils ont déjà des pratiques ? Est-ce qu'ils connaissent bien ce média-là ou le découvraient plutôt ? NR : Ils écoutent la radio, plutôt musicale. Là où on intervient, c'est en essayant de leur donner une culture radiophonique qui soit différente, en leur montrant que la radio qui parle, c'est bien aussi – qui sait de quoi elle parle surtout, et qui construit ce dont elle parle. Évidemment, on a quelques exemples à convoquer, à faire écouter. Donc c'est une culture radiophonique, plus précise que la culture médiatique. C'est pour ça que les professeurs-documentalistes sont d'ailleurs souvent à la manœuvre, puisque ça rentre dans notre domaine de compétence ou d'enseignement. Après, il se dit que les jeunes écoutent beaucoup de podcasts. J'ai du mal à mesurer ça, notamment auprès des plus jeunes. On peut davantage, nous, les tirer vers ce genre de pratiques plutôt que de s'inspirer de leurs pratiques. Pour l'instant, je ne pense pas qu'ils soient très abonnés à des chaînes ou à des flux sur des plateformes et qu'ils écoutent des podcasts indépendants. Ça serait davantage des rediffusions d'émissions. RF : Ou alors peut-être pas forcément du podcast éducatif : du podcast sur un groupe qu'ils aiment bien ou des choses comme ça, effectivement. NR : Après ce qu'ils connaissent très bien, c'est le podcast YouTube. RF : La vidéo… NR : Vidéo ou pas vidéo, mais mise sur YouTube quand même avec quelque chose qui bouge et ils se concentrent sur le son. Ça, ils n'ont pas eu besoin de nous pour avoir cette habitude de faire plein de choses en écoutant, parce qu'ils travaillent tous en écoutant quelque chose. Mais l'éducatif particulièrement, on a quand même besoin d'intervenir. RF : Alors on n'est plus dans le côté production par et/ou avec les élèves, mais est-ce que l'un de vous deux utilise le podcast dans une séquence pédagogique, des morceaux d'audio, de podcasts, à faire écouter en classe sur une thématique ou une autre ? Est-ce que vous avez des pratiques là-dessus ? Je ne sais pas… peut-être on commence par Sébastien ? SM : Non, mais tu m'as donné une très bonne idée pour cette année. Merci. RF : Et Natacha ? NR : Oui, oui, dans le cadre de mes cours en BTS. En information-documentation, soit pour traiter le thème, soit pour aborder une notion, ou l'actualité, ou la manière dont l'actualité est traitée, je vais beaucoup piocher des extraits d'émissions que j'ai pu entendre juste avant ou que je connais, et je fais des montages, et je les fais écouter. HA : Natacha, vous parlez des lycéens… Est-ce que, Sébastien, vous avez l'impression que dans le premier degré aussi le podcast est un outil logique qui peut être utilisé par les enseignants ? Ou c'est encore assez timide ? SM : Ça reste des initiatives assez localisées. Mais comme l'a dit Régis fort justement, comme le format se répand, comme les gens connaissent un peu plus ça… Comme d'habitude, les enseignants, quand ils connaissent quelque chose, ils ont envie de le réinvestir dans leur pratique. Et ça va continuer, ça va se multiplier. Moi, par exemple tout bêtement, cette année je vais m'y mettre avec ma classe. Mais ça restera localisé, etc. Donc, c'est en cours, on va dire, c'est « en voie de ». RF : On l'a dit, je crois, en début d'émission – en tout cas, on l'a dit dans le teaser –, on est sur l'événement Ludovia #18. Vous entendez sans doute des petites voix autour, il y a des choses qui se passent. Et la thématique de cette édition de Ludovia, vous le savez, c'est « Le numérique est-il social ? » Et, dans le cadre de ce que vous pouvez avoir comme pratique autour du podcast, est-ce que vous avez un point de vue ? ou un angle ? un fil à tirer sur cette thématique du social ? Natacha peut-être ? NR : Mais, typiquement, ce qu'on a fait et ce qu'on vit avec le club. Parce qu'on fait des choses avec les classes, selon les projets, ce pour quoi je suis venue sur Ludovia. C'est avec un club que j'ai fait le concours. C'est vraiment une histoire de liens, une histoire de rencontres, une histoire d'échanges, une histoire d'humains. Et il y a le thème qu'on a traité dans le documentaire audio qu'on a fait. C'est le travail des femmes, la charge mentale des femmes qui travaillent, particulièrement. Écouter les témoins, rentrer dans leur vie personnelle – ou des fois quand ce sont vos enseignants et que vous avez 15 ans –, c'est très… bousculant, sans être perturbant. Et les témoins eux-mêmes ont beaucoup appris, ils ont été surpris d'entendre les autres témoins au moment où le podcast était finalisé. Et c'est vraiment ça : c'est créer un espace, créer un moment, une occasion de parler de soi. Ce n'est pas si souvent qu'on vous demande de parler de vous et de votre parcours, et de vos sentiments, et de les partager. Et puis surtout pour les élèves de savoir les recevoir. HA : Et vous Sébastien ? Dans le cadre aussi d'E-teachers, entre autres, vous créez du lien aussi avec les enseignants, avec la communauté ? SM : Que ce soit au niveau d'E-teachers, que ce soit même au niveau plus personnel et professionnel, le numérique, dans son ensemble, ça a été vraiment l'occasion de faire des tas de rencontres. Ludovia ne serait pas né sans ça. Personnellement, je ne serais pas à Ludovia, je n'aurais pas connu la moitié des gens de mon milieu professionnel. À la base, je suis dans un petit coin de France, et Ludovia, c'est une vraie exposition à des pratiques, à des idées. Ça a été, c'est toujours très motivant de prendre ce côté-là du numérique. HA : Alors on va pouvoir aborder justement la question de l'utilisation du podcast dans un but de formation, d'information, de veille professionnelle. Pouvez-vous nous parler du projet d'E-teachers par rapport à ça ? Et puis peut-être des pratiques des enseignants de manière générale ? SM : Alors à la base, E-teachers, c'est une veille que nous partageons avec nos auditeurs. Cette année particulièrement, on a fait une série d'émissions spéciales sur les podcasts éducatifs. Sachant que, comme l'a introduit Régis tout à l'heure, ces derniers sont en train de se multiplier. On a essayé de faire un petit panel de ce que ça pouvait représenter, depuis nos confrères et homologues de Nipédu, jusqu'à des choses beaucoup plus personnelles – je vous en parlerais peut-être à la fin sur les recommandations. Mais voilà : on a un panel très différent qui peut tenir lieu de formation personnelle ou alors simplement [qui permet] d'aller à la rencontre de pans de notre métier qu'on ne connaît pas, de collègues qu'on ne connaît absolument pas, de voir le fonctionnement de l'institution à laquelle on appartient, mais qui a des tas et des tas de facettes. RF : Comme on sait que Natacha est très prise et qu'on a une autre invitée qui attend en coulisses… Natacha, est-ce qu'il y a peut-être quelque chose, avant de partir, que vous n'avez pas dit ? que vous auriez envie de rajouter autour de cette thématique du podcast éducatif ? HR : Rapidement, que n'importe qui dans un établissement peut se lancer, avec même très peu d'élèves et très peu de moyens. Un smartphone suffit, un petit logiciel pour faire le montage, un peu de temps ou beaucoup de temps selon ce qu'on a envie de faire. C'est vrai qu'il y a quand même un minimum d'investissement. Mais après, le résultat est très valorisant, et surtout pour les élèves. Et rapidement. Surtout ne pas attendre avant d'arriver à quelque chose de fini, même si c'est très court, pour que rapidement les élèves découvrent à quel point ils ont pu faire quelque chose de valorisant et accrochent pour la suite. Voilà. Et je vous remercie pour l'invitation. RF : Un grand merci à vous Natacha ! On retrouve votre travail dans les notes de l'émission. Et on encourage les auditeurs d'Extra classe à aller écouter vos productions. Un grand merci Natacha ! En direct, on accueille Cécile Cathelin, le temps qu'elle s'installe au micro d'Extra classe. Toujours aux côtés de Sébastien, qui nous accompagne quant à lui jusqu'à la fin de l'émission. Sébastien ? SM : C'est ça, tout à fait. Sans problème. RF : Bonjour Cécile ! CÉCILE CATHELIN : Bonjour Régis. RF : Un grand merci d'arriver au micro d'Extra classe. Je vous présente – et vous me dites si on ne dit pas de bêtises. Vous êtes professeure de lettres en lycée et formatrice. Depuis janvier 2020, vous avez lancé la plateforme Clapotee, qui a pour but de montrer la plus-value du podcast dans le domaine de l'éducation. CC : Très bien résumé. RF : Parfait. HA : Dites-nous en plus sur Clapotee. Alors là c'est un usage un petit peu différent de ce dont on parlait tout à l'heure – qui était plutôt de faire du podcast avec les élèves. Vous, vous faites du podcast pour les élèves. CC : Voilà. En fait, Clapotee, je l'avais lancé en janvier 2020. Cinq-six ans avant, j'avais un peu essayé de voir la plus-value du podcast auprès des élèves et de voir si ça apportait du contenu intelligent, hors classe, en asynchrone. Voyant que ça marchait, j'ai lancé la plateforme en janvier 2020. Malheureusement et heureusement, le Covid passant par-là, mars : plus rien. Et je me suis rendu compte que ces petits podcasts Clapotee avaient vraiment créé du lien, permettaient aux élèves de continuer à avoir du contenu hors classe, en asynchrone. Ma foi, le retour est plutôt positif. C'est du mobile learning, qui leur permet d'écouter où ils le souhaitent. Certains me disent : « c'est dans le tram, c'est dans le train, c'est juste avant le cours, en rentrant à la maison, on a ce luxe formidable de pouvoir appuyer sur le bouton, de l'arrêter, de prendre des notes, de recommencer ». Donc ils voient beaucoup d'avantages dans ce mobile learning, et l'idée de Clapotee, c'est effectivement de créer une sorte de plateforme solidaire sur laquelle on retrouverait du contenu – de qualité bien sûr – en se référant au programme officiel, de leur offrir ce contenu de podcasts. Mais aussi, Clapotee, ce sont des podcasts enrichis – ou aussi augmentés si on veut être tendance. Pourquoi ? Parce qu'il y a le contenu audio, mais qui est accompagné de contenus visuels. Donc chaque épisode est accompagné d'une infographie, qui peut être perçue comme une sorte de synthèse de ce qu'ils ont écouté, mais aussi comme une sorte de prise de notes, vous savez, avec les mots-clés dont ils ont besoin : ça peut être bien orthographier un nom d'auteur, un mot-clé dans la terminologie littéraire. C'est pour ça que j'appelle ça des podcasts enrichis. L'ambition est un peu plus grande maintenant parce qu'on veut créer des podcasts solidaires dans ce sens qu'ils offrent du contenu pour le français, mais aussi est arrivé entretemps, en juin 2020, du contenu en espagnol. Il y a déjà du contenu en histoire. Vont arriver, à la rentrée, des maths, parce qu'en fait de l'audio peut aussi très bien fonctionner pour des matières comme les mathématiques. Moi, je n'y croyais pas au début mais en échangeant avec les collègues, finalement, si. Et puis va arriver aussi de l'anglais. Voilà donc l'idée, c'est vraiment de faire une plateforme solidaire, c'est-à-dire que n'importe quel élève peut avoir accès à un contenu sérieux en lien avec le programme officiel. Et aussi gratuit parce qu'on s'est rendu compte, avec la crise, que c'est important d'offrir du contenu pour n'importe quel élève où qu'il soit, qu'il puisse en bénéficier. Voilà un petit peu l'ambition de cette plateforme. RF : Merci Cécile. On arrive à une partie de l'émission… on est sur le comment ? Tout à l'heure, Natacha, avant de quitter le micro, a tenu à dire qu'on pouvait se lancer facilement, qu'il ne fallait pas hésiter à y aller pour commencer. En début d'émission, on disait que finalement, à la fin des fins, le podcast, c'est un fichier audio. Sur la partie technique, pour redonner un petit peu la parole à Sébastien : si un enseignant devait se lancer en classe, et pour le coup, un enseignant d'école élémentaire, pour produire du podcast avec ses élèves, est ce que vous auriez quelques idées ? quelques pistes ? quelques conseils ? SM : Allez, on va partir avec une solution toute bête. On va espérer que le ou la collègue a un ordinateur de fond de classe – on ne prend même pas la salle info. On prend l'ordinateur de fond de classe et pour avoir un fichier qui ne soit pas trop mauvais, on va aller lui coller un petit micro-casque. Généralement on en a un qui traîne, si on n'en a pas ce n'est vraiment pas cher, et le micro-casque a cet avantage-là : ce n'est pas un micro superbe, mais on va enregistrer avec un petit logiciel libre style Audacity et c'est réglé. Vous avez déjà de quoi rouler pour une année entière et faire des montages très sympa. RF : Et Cécile, du coup, des conseils de ce côté-là ? Si vous avez déjà pu pratiquer dans ce sens-là, c'est-à-dire les élèves qui produisent de l'audio, du podcast. CC : Je rejoins ce qui vient d'être dit. C'est-à-dire qu'on peut très bien démarrer des podcasts avec très peu d'outils. Il y a en ce moment aussi beaucoup de plateformes gratuites qui permettent de faire des montages assez simples. Je ne sais pas si je peux dire des noms, mais il y a déjà la plateforme Anchor, qui est vraiment d'une facilité déconcertante parce que, aussi bien pour les enseignants que pour les élèves, c'est une appréhension très simple et très facile. C'est gratuit. Le montage est d'une simplicité extrême, on met les fichiers, il y a des petites virgules sonores. Un peu plus technique mais amusant, c'est Soundtrap, ça ressemble… c'est comme pour les pros : on a toutes les pistes qui apparaissent et on fait le montage aussi. Voilà. Mais c'est vrai que c'est un outil… enfin créer un podcast, c'est relativement simple ; et en plus moi j'ai envie de dire : c'est simple parce que c'est aussi amusant. Il ne faut pas oublier cet aspect-là, quand même, d'avoir plaisir à monter un podcast. RF : Pour les non-connaisseurs, Anchor : A-N-C-H-O-R. Je vais rajouter une solution, dont vous n'avez pas parlé, que moi j'aime beaucoup, et que j'avais utilisée avec mes élèves de cycle 3 pour ne rien vous cacher. C'est l'Atelier franceinfo junior, qui est une appli toute faite sur tablette et qui est sur toutes les – je ne veux pas nommer une marque – tablettes disponibles, et qui effectivement contient tout : les tapis sonores, le petit atelier de montage. Et il y a même des vidéos pédagogiques expliquant comment préparer son conducteur, comment tourne une rédaction, etc. Donc voilà un outil intéressant, d'ailleurs fait en partenariat avec le Clémi [Centre pour l'éducation aux médias et à l'information]. SM : Je me permets d'en rajouter une. Il y a La Digitale, sur le net, qui a une petite solution avec des virgules intégrées, des bruitages intégrés également. CC : Très facile d'appréhension aussi. HA : On a entendu qu'il y avait plein de formats possibles dans le podcast. Natacha a parlé de documentaires, mais aussi d'interviews et de direct. Est-ce que vous pourriez tous les deux partager deux ou trois références de podcasts que vous auriez envie de faire connaître à vos collègues ? SM : Il y a deux podcasts sur l'éducation. D'un côté, vous avez Kadékol [webradio de l'Institut français de l'éducation], avec des collègues, dont une collègue qui va dans les classes ; par exemple elle a fait un super reportage sur le CNED [Centre national de d'enseignement à distance]. Et de l'autre côté vous avez Prof Etc, avec un collègue qui va interviewer des profs… au sens très, très large. Je vous conseille celui sur Armande Altaï, par exemple, si vous voulez rigoler un peu… voilà pour aller très loin. HA : De la Star Academy, c'est ça ? SM : Exactement, alors là, on l'a tous reconnue. Mais sinon, vous avez des profs au profil plus classique, on va dire. Donc deux extraits très différents. CC : Là il me pose une colle, parce que je ne peux plus rien dire… Ah si : il y a le podcast Un prof D z'écoles. C'est effectivement le retour d'expérience d'un professeur du primaire. Je suis en train d'en chercher… Et il y en a un, si je peux me permettre, qui va paraître à la rentrée, auquel je participe aussi, qui va s'appeler Balad'Édu. Un peu la métaphore de la balade, de la promenade, avec l'idée de s'adresser à toute la communauté éducative : professeur, enseignant, directeur, formateur. Et l'idée, c'est justement de créer un podcast où tout le monde va se retrouver dans des pratiques et des usages. On va lancer Balad'Édu en septembre, et il y aura des témoignages de directeurs, d'enseignants, de formateurs, mais aussi d'élèves, qui font des retours d'expérience sur des outils numériques. Parce que la communauté éducative, elle ne se fait pas sans nos élèves. RF : Et bien sûr, les deux recommandations de cet épisode, c'est Clapotee, pour les élèves, et E-teachers, pour les enseignants. Un grand merci à tous les deux. Alors, si on reboucle avec Hélène du côté du « Le numérique est-il social ? », on sent bien en tout cas qu'il crée du lien. Voilà ce n'est pas un raccourci facile de dire que le numérique crée du lien. En tout cas, quand on fait de l'audio, il est forcément social. Et je pense que ceux qui nous écoutent à ce micro, que ce soit à n'importe quel moment, seront de cet avis. HA : Merci à tous les deux. CC : Merci ! SM : Merci à vous !
Ça t'es-tu déjà arrivé de te faire dire de suivre ta voix intérieur, de faire ce que tu aimes et de te faire dire que t'es dont ben chanceux, parce que tu as la liberté de choisir ce que tu veux faire dans la vie?Aujourd'hui, je suis là pour te dire que non, t'as pas le choix. Depuis que je suis déménagé ici en Floride, depuis que tu me voix « profiter de la vie », avoir le choix est quelque chose qui ne fait plus partie de mon vocabulaire.Mais tsey, le fait d'être obligé de performer, de travailler jour & nuit et de gagner la confiance de mon équipe, c'est ce qui fait en sorte que je suis capable d'accomplir mes shits. Techniquement, oui c'est vrai, tu as le choix.Techniquement, oui c'est vrai, tu as le choix. Sois tu décides d'être une victime ou sois t'es vainqueur. Quand t'as pris une décision, reste plus qu'à stick to it. Là, t'as pas le choix.
Au Bénin, la Direction générale des impôts exige depuis le 1er juillet aux entreprises et aux fournisseurs de délivrer à leurs clients des factures normalisées lors des transactions pour plus de sécurité et de traçabilité. Démarrée en fait en décembre 2019, cette réforme est mal accueillie. Toutes les entreprises, quels que soient leurs secteurs d'activité, leur taille et leur régime fiscal, sont tenues de délivrer à leurs clients des factures normalisées lors des achats ou des ventes. La facture normalisée comporte des mentions obligatoires et des éléments de sécurité, dont un QR code, introduits par le fisc. Une fois émise, la facture est transmise instantanément au serveur des impôts. « La réforme vise à élargir l'assiette fiscale et à lutter contre la fraude fiscale », selon le directeur général des impôts. Malgré la bonne foi de certaines entreprises, des problèmes liés aux réalités du terrain se posent, comme le dit cette patronne d'un hôtel de Cotonou, qui a requis l'anonymat. « Quand nous achetons dans les fermes, la tomate, l'oignon, nous n'avons pas de facturation normalisée et ceci représente une bonne partie de nos dépenses. Au moment des bilans, nous risquons de nous retrouver avec des achats qui n'ont pas de factures normalisées et risquent d'être rejetées par le service des impôts. » Une mise en place fastidieuse pour certains Elle n'est pas seule dans ce cas. À cela, il faut ajouter les structures retardataires, le premier juillet est passé et elles ne sont pas toujours en règle. Techniquement, c'est fastidieux, disent-elles. Anatole, directeur d'école, émet quelques réserves. « Je ne me suis pas encore conformé parce que je ne maîtrise pas encore tout ce que cela cache. Il va falloir que le directeur général des impôts apporte des clarifications. L'État, au lieu de nous appuyer, s'acharne à nous imposer comme une entreprise commerciale et industrielle. L'activité que nous menons est purement sociale. Elle devrait être exemptée de tout impôt ou à défaut devrait être frappée d'un forfait. » 7,3 milliards de francs CFA engendrés par la réforme Quelle que soit l'activité, les retardataires s'exposent à des sanctions, prévient Nicolas Yenoussi, directeur des impôts. « La loi a prévu des sanctions très lourdes. Si vous, consommateur, vous faites une transaction et que vous n'exigez pas la facture normalisée, la loi a prévu que vous soyez déclaré complice. » Monsieur Yenoussi annonce des mesures d'accompagnement, comme le remboursement des frais d'acquisition de la machine de délivrance des factures et une version dématérialisée des factures normalisées. Les premiers résultats de la réforme auraient engendré 7,3 milliards de francs CFA (plus de 11 millions d'euros) de recettes supplémentaires en TVA et un accroissement du fichier des contribuables.
Et si New York devenait l'Amsterdam de la côte est américaine ? Le cannabis y est désormais légal. Il faudra attendre au moins un an et demi avant de voir des commerces ouvrir. Un business qui pourrait rapporter 350 millions de dollars en recettes fiscales annuelles à l'État. Mais cette légalisation ouvre la voie à une nouvelle industrie, elle vise aussi à mettre fin à certaines discriminations. À Washington Square Park, à quelques mètres des musiciens de rue, ils sont désormais installés à la vue de tous. « Ils », ce sont les fumeurs de cannabis comme Kwan et Banes. « C'est trop bien parce qu'en plus, on est tous les deux dealers aussi et là, on n'a plus à avoir peur des policiers. On peut vendre en paix »,expliquent-ils. En mars dernier, New York est devenu le 15e État à légaliser le cannabis à usage récréatif. Les adultes peuvent acheter, consommer et même faire pousser des petites quantités de marijuana. Techniquement, les licences pour la vente ne seront attribuées que l'année prochaine, mais Kwan sait qu'il peut déjà souffler un peu. Pour lui, comme pour d'autres, cette légalisation est une opportunité. « Je pense que les Noirs devraient se lancer parce qu'on a tellement été criminalisés pour la consommation de cannabis. Donc, mettons de l'argent de côté, prenons une licence et ouvrons des magasins. On fera de grandes choses ! » Permettre aux communautés les plus affectées par la guerre contre le cannabis de bénéficier de ce nouveau marché, c'est justement l'un des volets les plus importants de la nouvelle loi. « Les recherches montrent bien que le cannabis est consommé de façon égale par toutes les communautés. Pourtant, dans l'État de New York, les arrestations pour les délits liés au cannabis visaient en grande majorité les noirs et les latinos. » indique-t-il. En 2019, 95% des arrestations liées au cannabis visaient des Noirs et des Latinos. Eli Northrup fait partie d'un groupe d'avocats installés dans le Bronx, qui a milité pour que le volet justice sociale soit inscrit dans la loi. « La loi dit que nous n'avons pas seulement besoin de légaliser, dire "ok la marijuana est légale aujourd'hui", mais aussi "dire nous avons besoin de réparer le mal qui a été fait". Une grande partie du texte prévoit que si vous avez une condamnation liée au cannabis, au lieu que ce soit un handicap pour obtenir une licence, c'est un plus ! », avance-t-il. La nouvelle loi prévoit ainsi l'annulation, de façon rétroactive, de toutes les condamnations liées au cannabis. La moitié des licences pour la vente sera notamment réservée aux communautés les plus discriminées. 40% des revenus fiscaux seront réinvestis dans ces quartiers. Pour Melissa Moore, de la Drug Policy Alliance, c'est une victoire importante, même s'il reste beaucoup à faire : « Le fait que des gens n'ont pas pu faire des études, ou avoir accès à des logements ou des emplois stables durant tellement d'années à cause de condamnations, cela a créé un vrai fossé et de vrais problèmes dans de nombreuses communautés à New York. Ce ne sera pas réglé du jour au lendemain. Mais ça met l'accent sur ces problèmes surtout qu'on se remet aussi tout juste du Covid. » Les communautés noires et latinos font effectivement partie des plus touchées par la crise du coronavirus. La légalisation du cannabis devrait permettre la création de dizaines de milliers d'emplois.
Dans Super Nova, Marie Bonnisseau accueille chaque jour à 18h sa grande famille de toasteurs, bande d'humeuristes et d'humoristes, décodeurs de signaux faibles.« Techniquement, la seule mesure qui permettrait de tenir toutes ces promesses, c'est d'ouvrir des lits en terrasse. »Après les annonces de Macron concernant la réouverture des bars, des restaurants... Wary Nichen se demande comment le président va tenir ses engagements vu que la vaccination n'avance pas.Visuel © Radio Nova See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Avec les confinements et le télétravail, nos outils de travail sont dans nos salons, dans nos chambres, dans notre intimité. Et mécaniquement, la sur-connexion en dehors des heures de travail empire. Pendant le premier confinement en mai 2020, une enquête de l’Ugict-CGT réalisée avec la Dares a montré que “près de 80 % des télétravailleurs” disaient ne pas disposer d’un droit à la déconnexion. Techniquement, le droit à la déconnexion est apparu dans la loi française pour tous les salariés en 2017 dans la loi Travail, pour “assurer le respect des temps de repos et de congé ainsi que de la vie personnelle et familiale”. Mais la loi n’est pas contraignante pour les entreprises, et dans les faits elle n’est pas toujours appliquée. Dans ce nouvel épisode de Travail (en cours), Judith Chetrit explore comment le télétravail généralisé révèle les faux-semblants du droit à la déconnexion. Elle a interrogé Arthur Vinson, fondateur de la société Mailoop qui analyse les flux d’emails en entreprise, Audrey Probst, avocate spécialiste du droit du travail, et Francis Jauréguiberry, sociologue spécialiste des usages des technologies. Travail (en cours) est un podcast de Louie Media. Présentatrice : Louise Hemmerlé. Journaliste : Judith Chetrit. Louise Hemmerlé est chargée de production. Cet épisode a été monté et réalisé par Cyril Marchan. La musique est de Jean Thévenin et le mix a été fait par Olivier Bodin. Marion Girard est responsable de production, et Maureen Wilson responsable éditoriale. Mélissa Bounoua est à la direction des productions et Charlotte Pudlowski à la direction éditoriale. Pour que les podcasts de Louie soient accessibles à toutes et tous, des retranscriptions écrites des épisodes sont disponibles sur notre site internet. Si celle de l’épisode que vous cherchez n’est pas encore disponible, vous pouvez nous écrire à hello@louiemedia.com See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Retrouvez le GOOD MORNING FrenchWeb tous les matins dès 7h avec Joseph Postec pour découvrir les actualités à ne pas manquer analysées par la rédaction et les experts de la communauté FrenchWeb.Malgré la crise, la publicité en ligne a réussi à se maintenir avec une croissance de 3% en 2020 pour atteindre 6 milliards d'euros en France. Mais le secteur se retrouve face à de nombreux défis à plus ou moins long terme, dont la fin annoncée des cookies tiers.Pour rappel, Google a prévu de ne plus les utiliser pour Chrome d'ici 2022. Mais n'est-ce pas aussi pour le secteur l'opportunité de réinventer la façon dont il fait de la publicité en ligne pour remettre la confiance, le consentement, et l'expérience utilisateur au centre? Techniquement, quels sont les outils qui pourraient relever ces défis?En somme, à quoi pourrait ressembler la publicité en ligne sans cookies tiers? Le point avec Hélène Chartier, directrice générale du SRI, le Syndicat des Régies Internet, et Eric Schnubel, directeur général de l'IAB (l'Interactive Advertising Bureau).
l y en a marre de devoir recharger son smartphone tous les jours. Sachez que bientôt, on aura la possibilité de le charger à distance, sans avoir à le brancher à un chargeur. Grâce à une petite box très innovante conçue par une entreprise chinoise, on pourra recharger notre téléphone à plusieurs mètres de distance. Techniquement, comment ça marche ? Quid des autres technologies qui permettent de recharger son mobile sans contact ? - Tous les jours à 6h50, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Apolline Matin, sur RMC. Apolline de Malherbe donne rendez-vous aux auditeurs de RMC et téléspectateurs de RMC Découverte pour une nouvelle matinale info avec « Apolline matin ». Accompagnée d'une équipe de journalistes, elle apporte son regard quotidien sur l'information avec des débats et reçoit chaque matin les acteurs de l'actualité. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Découverte. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Neumann/Lechypre (12h-14h).
Nous fêtons les 20 ans de l'encyclopédie en ligne Wikipedia, tout au long de la journée. Wikipédia, merveille d'internet qui conserve l'esprit des origines du réseau... Rappelons que les pionniers d'internet rêvaient d'un espace de liberté inédit, où l'intelligence collective permettrait à l'homme de progresser... Ces rêves se sont éteints les uns après les autres, mais un site a résisté, où toute la folie et le génie humain se rencontrent : Wikipédia, bibliothèque gratuite, extensible à l'infini, disponible dans 300 langues.Alors pour fêter ce bel anniversaire, on a pioché au hasard quelques articles qui donnent envie de se réveiller... Ou de réviser ses cours d'Histoire.Article sur les faux Mérovingiens: autre article étonnant, à découvrir sur Wikipedia : celui consacré au Whamageddon, mot-valise entre Wham et Armageddon.C'est un jeu, qui se joue chaque année depuis 2010, entre le 1er décembre et le 24 décembre... Les joueurs doivent traverser cette période sans entendre la chanson Last Christmas, de Wham. Si l'un des joueurs entend la chanson entre le 1er décembre et le 24, à minuit, il est éliminé, et doit poster le #Whamageddon sur un réseau social. Attention : les reprises et remixes ne sont pas éliminatoires. Je vous passe l'ensemble des règles... Pour en savoir plus, rendez-vous sur WikipediaUn dernier article électrisant... Celui consacré aux pannes de courant provoquées par des écureuils. Ces petits animaux jouent-ils, eux aussi, à un petit jeu ? Ce qui est sûr, c'est que les réseaux électriques tombent régulièrement en panne à cause des écureuils, dans de nombreux pays... A tel point qu'on se demande si la menace que représentent les écureuils pour Internet, les infrastructures et les services pourrait dépasser celle posée par les terroristes. Techniquement, un écureuil peut perturber un système électrique si son corps devient un conducteur entre deux lignes électriques suspendues. En 2013, entre le Memorial Day (c'est-à-dire le 31 mai) et le 31 août, au moins 50 coupures de courant ont été causées aux Etats-Unis, rapporte Wikipedia. Pour en savoir plus, rendez-vous dans l'encyclopédie en ligne, qui je vous le rappelle, fête ses 20 ans... Et ça, ça nous a donné envie de nous lever, ce matin.Crédit image : Muséum national d'histoire naturelle Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si l’on excepte son travail sur la série pour Netflix MINDHUNTERS, David Fincher n’a pas tourné de long-métrage de cinéma depuis 2014 et la sortie de GONE GIRL. Techniquement, MANK ne sort pas non plus au cinéma – du moins pas chez nous en France – mais directement sur Netflix. Pourtant, il s’agit d’un projet que le réalisateur de SE7EN et FIGHT CLUB porte en lui des années, étant donné qu’il devait déjà le tourner à la fin des années 90. Initié par son père Jack Fincher (décédé en 2003), MANK relate l’écriture de CITIZEN KANE en traçant le portrait de l’un de ses auteurs, Herman J. Mankiewicz. Inspiré par l’une des théories fortement contestées de l’essayiste Pauline Kael, qui attribue la paternité artistique du scénario de CITIZEN KANE au seul Mankiewicz, MANK se présente comme un voyage dans le cinéma hollywoodien des années 30 et 40, auquel David Fincher rend un hommage sincère et pointu, et pourtant contradictoire avec ses propres principes de réalisation.Au micro de SALE TEMPS POUR UN FILM, on affiche complet puisque Clémence Gueidan, Erich Vogel, Rafik Djoumi, Stéphane Moïssakis et Yannick Dahan répondent présent pour parler de cet étrange objet filmique aux qualités indéniables et aux défauts insoupçonnés !Présentation : Clémence GueidanRédacteur en chef : Stéphane MoïssakisChroniqueurs : Erich Vogel, Rafik Djoumi, Yannick Dahan et Stéphane MoïssakisProduction : Clémence Gueidan et Alain MercierHabillage Sonore : LatexPour nous soutenir, une seule adresse : https://fr.tipeee.com/capture-mag/ See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Si l'on excepte son travail sur la série pour Netflix MINDHUNTERS, David Fincher n'a pas tourné de long-métrage de cinéma depuis 2014 et la sortie de GONE GIRL. Techniquement, MANK ne sort pas non plus au cinéma – du moins pas chez nous en France – mais directement sur Netflix. Pourtant, il s'agit d'un projet que le réalisateur de SE7EN et FIGHT CLUB porte en lui depuis des années, étant donné qu'il devait déjà le tourner à la fin des années 90. Initié par son père Jack Fincher (décédé en 2003), MANK relate l'écriture de CITIZEN KANE en traçant le portrait de l'un de ses auteurs, Herman J. Mankiewicz. Inspiré par l'une des théories fortement contestées de l'essayiste Pauline Kael, qui attribue la paternité artistique du scénario de CITIZEN KANE au seul Mankiewicz, MANK se présente comme un voyage dans le cinéma hollywoodien des années 30 et 40, auquel David Fincher rend un hommage sincère et pointu, et pourtant contradictoire avec ses propres principes de réalisation.Au micro de SALE TEMPS POUR UN FILM, on affiche complet puisque Clémence Gueidan, Erich Vogel, Rafik Djoumi, Stéphane Moïssakis et Yannick Dahan répondent présent pour parler de cet étrange objet filmique aux qualités indéniables et aux défauts insoupçonnés !Présentation : Clémence GueidanRédacteur en chef : Stéphane MoïssakisChroniqueurs : Erich Vogel, Rafik Djoumi, Yannick Dahan et Stéphane MoïssakisProduction : Clémence Gueidan et Alain MercierHabillage Sonore : Latex Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
L'accident de Romain Grosjean soulève pas mal d'interrogations sur le plan technique. Dans les Fous du Volant, Stéphane Vrignaud et Gilles Della Posta listent ce qui a parfaitement fonctionné et ce qui mériterait d'être amélioré pour encore parfaire la sécurité des pilotes de F1. Dans la deuxième partie de l'émission, Benoît Tréluyer, triple vainqueur des 24h du Mans, évoque le côté humain de cet accident. Lui qui a également du faire face à plusieurs gros crashs explique comment on reprend le volant derrière. Enfin, le forfait de Lewis Hamilton occupe la 3e partie des Fous du Volant avec cette question : qui pour le remplacer ? Attachez vos ceintures, c'est parti pour un nouvel épisodes des Fous du Volant ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Il avait marqué le plus beau but de l'histoire du football. Diego Maradona est mort ce mercredi 25 novembre d'une crise cardiaque à l'âge de 60 ans. Pourquoi le capitaine de l'équipe d'Argentine était-il meilleur que les autres ? C'était quoi, la différence Maradona ? François Omam Biyik l'a affronté lors d'un match mémorable : Argentine-Cameroun, en ouverture de la Coupe du monde 1990. À la surprise générale, c'est le Cameroun qui a gagné, un but à zéro. Mais aujourd'hui, au micro de Christophe Boisbouvier, le Camerounais rend hommage à l'Argentin. RFI: François Omam-Biyik, quelle est votre réaction à la mort de Diego Maradona ? François Omam-Biyik : Je suis triste. Je pense que le monde du football est triste, aussi. Nous venons de perdre l’un des meilleurs joueurs mondiaux. Diego a marqué le monde du football de par ses qualités. Mes premières pensées vont à sa famille. Que son âme repose en paix. Quel souvenir personnel gardez-vous de Diego Maradona ? J’ai eu à le croiser une seule fois, lors du match d’ouverture de la Coupe du monde de 1990. C’est quelqu’un qui avait confiance en ses qualités, qui faisait des gestes pour impressionner l’adversaire. Je pense que c’était dans son style. Nous avons essayé de faire le maximum, avec les moyens en notre possession, pour le neutraliser le plus vite possible. Il reste vraiment l’un, sinon le meilleur joueur, contre lequel j’ai pu jouer. C’est lors de ce match que vous avez marqué ce fameux but de la tête qui a donné la victoire au Cameroun. Est-ce que vos regards se sont croisés ? Je ne sais vraiment pas si Maradona nous regardait - (rires) -, mais surement que nous, on le regardait… Et sûrement qu’avec mes collègues défenseurs, leurs regards se sont croisés, mais personnellement non, puisqu’il était attaquant dans son équipe et moi dans la mienne. C’est quelqu’un que j’ai beaucoup apprécié et qui m’a donné envie de jouer au ballon, d’aller le plus haut possible. Et justement, ça fait quoi de jouer contre son idole ? On s’est préparés autrement, parce qu’on savait que l’Argentine était la meilleure équipe, à l’époque championne du monde, avec le meilleur joueur, avec d’autres joueurs capables, encore, de l’accompagner. Donc on a préparé ce match pour ne pas être ridicules et à la fin, on a été des héros. Voilà… Donc on était heureux de gagner contre cette grande équipe, avec Diego Maradona comme capitaine. Et est-ce que vous vous êtes échangé des maillots à la fin du match ? Je pense qu’il a changé le maillot avec Roger Milla. C’est d’ailleurs le seul Argentin qui a voulu changer le maillot Donc c’était un grand monsieur, alors ! Oui, on a l’image d’un enfant gâté, mais je pense plutôt que c’est à cause du milieu où il a vécu, avec beaucoup de succès, les villes qu’il a fréquentées, dont Naples, où il a eu des hauts et des bas… Mais je pense que c’est un humain et malheureusement il nous quitte aujourd’hui, c’est la vie aussi. Qu’est-ce qui faisait le talent de Maradona ? Pourquoi il était meilleur que les autres ? Maradona était meilleur que les autres, parce que, techniquement, avec le ballon, il savait tout faire et il avait un gabarit qui était difficile à contrer. Il allait vite avec le ballon et il voyait vite, il savait jouer juste… Il était adroit devant le but. Je pense qu’il cumulait toutes les qualités qu’il faut trouver sur plusieurs joueurs. Il les avait à lui tout seul. Il était adroit et il était intelligent, c’est ça ? Il était adroit et il savait voir le jeu. Il voyait le jeu avant même de recevoir le ballon. Il était juste sur ses paffes, il pouvait dribler toute une défense, comme il l’a fait contre l’Angleterre, en Coupe du monde en 1986. Je ne sais pas si c’est avec France Football qu’il a été élu « Meilleur joueur du siècle ». Il n’était pas loin d’être premier. Vous savez qu’il y a une bataille entre Pelé et Maradona pour savoir qui est le meilleur joueur de l’histoire du football ? Oui, je dis toujours que l’on ne peut pas comparer les deux. Ce sont deux générations différentes. Pelé a joué à une période où les règles étaient différentes. Oui, mais vous avez un petit choix personnel, François Omam- Biyik, je suis sûr qu’au fond de vous-même… Oui, mon choix, sûrement qu’il va sur Pelé. Ça c’est sûr. Bon… Mais n’empêche que Maradona était Maradona… Il n’y en aura jamais deux, Maradona reste un « Dieu vivant du football », malgré les déboires à la fin de sa carrière.
La FRS vous propose un nouveau format d’émission mensuel : les Podcasts de la recherche stratégique. Cette émission audio en accès libre est mise à la disposition du grand public, des journalistes, chercheurs, experts et autres professionnels de la défense. Chaque mois, un chercheur de la FRS vous présente une analyse sur une problématique de stratégie ou de sécurité internationale. Dans ce nouvel épisode, Emmanuelle Maitre, chargée de recherche à la FRS, évoque les contraintes et les possibilités liées à la question du désarmement nucléaire. Est-il possible de vérifier qu'un pays a véritablement détruit son arsenal nucléaire ? Réalisation et présentation de l'émission : Fabien Herbert
Dire que la pandémie de la COVID-19 a été un défi serait un euphémisme, mais même les nuages les plus sombres peuvent avoir des conséquences positives. Et OROT est cette lueur d'espoir! Techniquement, il s'agit d'un centre névralgique futuriste des soins branchés. Mais il s'agit vraiment d'un phare pour l'avenir des soins de santé – qui est en cours d'être implanté à l'échelle du CIUSSS du Centre-Ouest-de-l'Île-de-Montréal. Comment ce centre névralgique changera-t-il l'expérience des usagers? Quelles technologies novatrices seront lancées prochainement? Danina Kapetanovic, adjointe au PDG, Innovation et Entrepreneuriat, est le fer de lance de ce projet de pointe. Elle est l'invitée la plus récente de Shaun McMahon dans le cadre du balado Votre santé.
À l’heure où le Parlement français revoit les lois sur la bioéthique. Pour autoriser la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes seules. Pour permettre aux enfants nés grâce à des dons de gamètes de connaître leur géniteur. Comment nos voisins européens gèrent-ils ces questions ? Force est de constater qu’il n’y a pas de modèle européen. De moins en moins de Fiv en PologneÀ quelques jours des prochaines élections législatives en Pologne, le parti populiste au pouvoir le PIS se distingue par ses positions ultra-conservatrices. Les Fécondations in vitro étaient déjà réservées uniquement aux couples hétérosexuels sans donneurs extérieurs. Elles ne sont plus désormais remboursées ! C’est le reportage de Thomas Giraudeau Catalogue de sperme au DanemarkChoisir un donneur de sperme sur catalogue, c’est possible. C’est même devenu un business mondial pour le Danemark qui exporte des gamètes dans une centaine de pays au monde. Cette immense banque de sperme au nom de Cryos, présente les spermes des donneurs comme des biens commerciaux Anne Françoise Hivert. Pas d’encadrement en UkraineEt en Ukraine, pas de loi de bioéthique ! Certaines cliniques se sont même fait une spécialité d’un commerce très lucratif de mère porteuse, les fameuses GPA interdites en France. Quant à la procréation médicalement assistée, elle suscite aussi des controverses, scientifiques cette fois. Les explications à Kiev de Sébastien Gobert. Turquie : une attractivité mondialeOn le sait peu mais on vient du monde entier pour obtenir une fécondation in vitro en Turquie. Techniquement, le taux de réussite est élevé, et les prix très abordables. Reportage à Istanbul d’Anne Andlauer. Septante ou soixante-dix ? Et pour notre nouvelle chronique en un mot, un mot intraduisible qui nous en dit long sur un pays du continent, nous avons choisi septante, nonante, cette façon de compter qui est si particulière à la Belgique, à quelques pays africains mais aussi à la Suisse. Une question historique, mais aussi identitaire qu’explore pour nous Jérémie Lanche à Genève. Alors pourquoi Septante plutôt que soixante dix ? (Rediffusion du 9 octobre 2019)
Témoignage d'une professeure en lycée. Dans le contexte du confinement, l'enseignement distanciel entrave les pédagogies basées sur les interactions entre élèves et sur l'oral. Lucie Danlos, professeure de lettres au lycée, évoque ses tâtonnements et ses observations sur la relation nouvelle qui se noue avec ses élèves. La transcription de cet épisode est disponible après les crédits. Retrouvez-nous sur : Extraclasse.reseau-canope.fr Apple Podcasts Spotify Deezer Google Podcasts Podcast Addict Extra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé. Interview animée en avril 2020 par : Silvère Chéret Directrice de publication : Marie-Caroline Missir Coordination et production : Hervé Turri, Luc Taramini, Magali Devance Mixage : Laurent Gaillard Secrétariat de rédaction : Valérie Sourdieux Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2020 Transcription : SILVÈRE CHÉRET | Bonjour, je reçois aujourd'hui Lucie Danlos. LUCIE DANLOS | Bonjour ! SC | Tu enseignes la littérature dans un lycée en milieu urbain et tu as en charge quatre classes sur les niveaux de première et de terminale. Je te remercie par avance d'avoir accepté de consacrer du temps pour cet entretien. Lors de nos échanges, pour préparer cet entretien, tu me disais que cette situation de travail distanciel forcé entravait ta pédagogie. Peux-tu nous expliquer en quoi et pourquoi ? LD | D'emblée, je me suis posé beaucoup de questions par rapport à cette situation, parce que mes cours reposent beaucoup sur l'oral. Pas nécessairement l'oral sur le modèle du cours dialogué, mais un oral qui privilégie les échanges entre élèves, les questionnements et les hypothèses entre élèves. L'écrit est présent aussi, mais il va plus servir d'écrit de travail, de tâtonnement dans la séance. L'oral est très souvent associé à une incitation à la créativité, par exemple avec des exposés à plusieurs dans lesquels j'incite les élèves à faire des mises en scène créatives. Ce type d'activité n'a de sens qu'en présence, c'est vraiment vivant, il y a quelque chose d'un peu théâtral. Les échanges peuvent aussi se faire à partir des écrits dans les carnets de lecteur : on a des partages de textes, des lectures de textes. Là, de la même manière, on est dans quelque chose qui nécessite de la présence. Autre élément, je privilégie beaucoup les activités de groupe, donc les échanges se produisent beaucoup entre élèves. Ensuite, à partir de ce qui ressort de ces échanges, je m'appuie sur leur travail pour avancer dans mon cours. Donc finalement, les moments d'apports magistraux sont plutôt ciblés et ils ne viennent que pour achever un travail, une réflexion, la compléter éventuellement. Mettre en scène tout ça dans un enseignement à distance me semblait extrêmement compliqué. SC | Dès lors, comment t'es-tu adaptée à cette entrave, et comment as-tu adapté ta pédagogie pour essayer de retrouver l'essence de cette pédagogie et de tes modalités d'enseignement ? LD | Je ne sais pas si j'ai pu retrouver l'essence de mes modalités d'enseignement. La première semaine, c'était plutôt... tâtonnant. J'ai essayé de m'interroger sur ce que je pouvais conserver, ce qui me semblait faisable, en proposant par exemple des extraits d'émissions de radio à écouter au niveau des connaissances à construire, en poursuivant l'approche des textes avec des pistes de travail ou des hypothèses de lecture que les élèves pouvaient m'envoyer par mail. Pour l'oral, puisque des élèves avaient un oral à préparer, j'ai tenté en classe entière avec Ma classe à la maison du CNED et les élèves ont pu présenter leur travail. Le bilan que j'en ai tiré est que c'était intéressant d'une certaine manière parce que les élèves ont apprécié de s'entendre, mais en même temps très frustrant pour certains élèves qui n'ont pas pu bien entendre les autres et qui se sont retrouvés un peu à part de la séance. Techniquement on voit bien que c'est impossible que cela se passe vraiment bien pour tous. Les interactions sont très difficiles en grand groupe. Donc je me suis vraiment posé la question de la pertinence de cette modalité. Voilà pour mes tâtonnements dans l'adaptation ! SC | Dans ce contexte de nécessaire privation des contacts avec les élèves, j'aimerais savoir selon toi, de quoi la continuité pédagogique — un terme qu'on a assez peu défini — est-elle le nom, quelle réalité recouvre-t-elle et omet-elle sur le terrain ? LD | Aujourd'hui, avec le recul de ces trois semaines, voilà mes premières réflexions : dans cette continuité, je ne sais pas si ce que j'ai pu conserver est réellement d'ordre pédagogique. Ce que j'ai compris, petit à petit, c'est que mes objectifs se sont un peu transformés. Le premier point d'observation est peut-être les échanges entre pairs avec les élèves, qui se sont développés parce qu'ils me rendaient un travail, une hypothèse de lecture, un travail de groupe éventuellement et que je pouvais réagir par mail et leur envoyer des retours. J'ai vu émerger une écriture de communication, singulière, plus étoffée, quelque chose comme une relation par l'écrit qui s'est mise en place et j'ai commencé à voir que le message en lui-même se mettait à compter tout autant que le travail qui m'était rendu à côté. J'ai vraiment perçu une attention des élèves dans la formulation de leurs messages, qui venait aussi en réponse aux miens puisque pour moi, c'était le lieu d'une tentative pour prolonger la singularité de la relation à chaque élève. Là, cela s'est produit par l'écriture, donc cela a bien sûr son intérêt en français. Je pense que finalement, la continuité est surtout relationnelle ici. Le second point est toujours par rapport à cette idée de continuité relationnelle : j'ai incité les élèves à préserver la relation entre eux dans le travail, je les ai invités à échanger leurs pistes de travail, à m'envoyer des travaux qu'ils avaient faits à plusieurs, en essayant de prendre contact comme ils le pouvaient. Pour certains élèves, cela fonctionne vraiment très bien. Ils m'ont dit que c'était important pour eux parce qu'ils poursuivent leur dynamique de groupe de classe, malgré le contexte, avec les moyens du bord. Ils continuent de travailler ensemble et de s'aider les uns les autres. Et enfin, par rapport à l'outil Ma classe à la maison, dans la même perspective d'un contact qui pourrait s'adapter au mieux à chacun, j'ai fait le choix d'une connexion non obligatoire. Je donne une plage de temps et ce sont seulement les élèves qui ont besoin de passer par l'oral pour des questions, des échanges, des éclaircissements qui se connectent. Cela permet d'échanger entre nous en petit nombre, selon les besoins. Et j'ai l'impression que cela correspond mieux à cette continuité, peut-être plus relationnelle que pédagogique en soi. SC | Concernant ces plages de connexion facultatives qui s'adaptent aux besoins de chacun, quelles observations en fais-tu, comment les élèves s'en emparent-ils ? Est-ce que c'est égal pour tous ? ou est-ce que tu vois déjà se dessiner des comportements différents par rapport à cette opportunité qui est différente de la présence obligatoire habituelle ? LD | Je peux donner deux exemples différents pour que l'on voie les profils. J'ai par exemple, un élève qui se connecte systématiquement. C'est un élève, je le sais, qui a besoin d'être rassuré, de cadre, de présence, de structurer son temps. Cela doit l'aider d'avoir un temps précis de telle heure à telle heure pour se connecter. Et les questions qu'il me pose, je sens bien que c'est surtout pour se rassurer dans sa progression. Alors que j'ai une autre élève avec qui j'ai pu discuter par cet intermédiaire, je n'avais aucune nouvelle d'elle depuis le début du confinement. Au bout de presque deux semaines, je commençais à m'inquiéter, à me demander si elle suivait le travail que je déposais, et même comment elle allait. Et par cet intermédiaire, elle m'a expliqué qu'elle faisait le travail à son rythme, elle regardait les corrigés qui étaient déposés sur padlet, à sa manière. Là, elle prenait contact avec moi pour m'expliquer tout ça et aussi me dire qu'elle en avait assez de l'écran et que ça expliquait sa façon à elle de mener les choses. Ce qui m'a rassuré et m'a montré que l'on s'inquiète parfois alors que les élèves sont là, même si on ne les voit pas directement. SC | Il y a une forme d'obligation de lâcher prise et de faire confiance aux élèves et à leur capacité de s'organiser et de mesurer leurs propres besoins, ce qui est plutôt une bonne chose. J'aime bien finir ces entretiens avec l'évocation d'un bon moment, une belle situation, un temps de réussite, est-ce que tu pourrais avec nous partager un témoignage là-dessus ? LD | Je ne sais pas si on peut parler de réussite, mais c'est quelque chose qui va me laisser un souvenir. C'est quand je sens que les élèves passent de la communication scolaire a quelque chose qui serait presque plutôt de l'épistolaire où on va avoir un échange qui sort du cadre des travaux à rendre, pour parler d'un film qui est sorti où on a pensé l'un à l'autre par rapport à ce film... des choses de cet ordre-là qui font que l'on entre dans un autre type d'écriture dans cette situation exceptionnelle. SC | Lucie, je te remercie infiniment pour ce témoignage. Si nous le pouvons et si tu es d'accord, nous poursuivrons cet entretien dans quelques jours pour faire un point et voir comment cela avance. Je te souhaite une très belle journée, je te dis au revoir. LD | Au revoir, merci.
Est-ce que vous avez besoin de perdre 12 kg ? Ou plutôt 7,5 kg ? Est-ce qu’il vaut mieux se concentrer sur autre chose que le poids ? Compliqué de savoir quel objectif viser pour une perte de poids… Nous expérimentons la majorité de nos émotions positives en rapport à un objectif. Techniquement, nous ne … Continuer la lecture de « Quel objectif viser pour une perte de poids ? – 060 » L’article Quel objectif viser pour une perte de poids ? – 060 est apparu en premier sur Le Rééquilibrage Alimentaire.
Aujourd’hui je vais t’expliquer un peu ce qu’est un podcast et comment ça fonctionne. Ça t’intéressera principalement si tu ne connais rien au podcast et n’a aucune connaissance technique mais que tu as envie de te lancer. Et tu comprendra en quoi c’est très différent de Youtube et des réseaux sociaux et pourquoi c’est génial ! Pour accéder aux futurs bonus du podcast : https://votrecoachweb.com/podcastgenial ---- Lancez un podcast génial maintenant vous aide à créer et développer votre podcast. Je vous donne mes conseils et vous guide pour vous lancer dans le podcast, développer votre podcast et vous professionnaliser dès maintenant ! Ce podcast est une création de Bertrand Soulier Votre Coach Web : https://votrecoachweb.com On se retrouve sur les réseaux sociaux :- Twitter : http://twitter.com/bertrandsoulier- Linkedin : https://www.linkedin.com/in/bertrandsoulier/- Facebook : https://www.facebook.com/soulierbertrand- Instagram : http://www.instagram.com/bertrandsoulier- YouTube : http://bertrand.video
durée : 00:11:10 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Le nouveau gouvernement de Hassan Diab s’est réuni en Conseil des ministres la semaine dernière. Après la démission de Saad Hariri sur la pression de la rue, la tâche qui incombe en premier lieu à ce nouveau cabinet est d’éviter la faillite. Entretien avec l'économiste Samir Aïta. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : Samir Aïta économiste, rédacteur en chef et directeur général de l’édition arabe du Monde Diplomatique, président du Cercle des économistes arabes, directeur général de A Concept/Mafhoum, une société de conseil en économie et technologies de
Pour cet épisode 66 de #DisVoirAlex, je vais répondre à une question qu'on me pose fréquemment : faut-il vraiment être un excellent technicien pour vendre des sites WordPress ? La question est pertinente : faut-il vraiment manier à la perfection le code (HTML, CSS, PHP et JS), et faire du développement ultra-personnalisé, pour être un bon prestataire WordPress ? Et la réponse est simple : à mon sens, pas besoin d'être un super codeur pour s'en sortir. Je vous détaille ma réponse dans la vidéo, pour vous motiver à vous lancer en tant que créateur de site sans être un dieu de la technique. ## Je vous en parle dans la vidéo : si vous êtes en quête des meilleurs plugins WordPress, et que vous voulez faire votre veille au quotidien avec nous, inscrivez-vous au Bouillon, la newsletter Premium de WPMarmite : ⏩ https://wpmarmite.com/bouillon/ ## Parce qu'être un freelance WordPress aguerri, ce n'est pas uniquement manier WordPress de main de maître, la Marmite a créé une formation pour vous aider à vous réussir : "Devenir un Freelance WordPress Accompli". Dans ce programme vidéo de 5 semaines, nous avons pris soin de vous donner tous les conseils pour trouver les bons clients et vendre des sites rentables, et vous épanouir dans votre activité de freelance. Pour vous inscrire au programme (ou à la liste d'attente si les inscriptions sont fermées pour l'instant), direction : ⏩ https://wpmarmite.com/freelance-wordpress-accompli/ ## Et bien sûr, abonnez-vous à la chaîne de la Marmite pour recevoir les prochains #DisVoirAlex et tous mes tutos WordPress : ⏩ https://www.youtube.com/subscription_center?add_user=WPMarmite N'hésitez pas non plus à me poser toutes vos questions autour de l'univers de WordPress dans les commentaires, ou sur les réseaux sociaux !
Dans une période professionnelle un peu pourpre de ce printemps 2019, nous déjeunions avec un ami: Yves Chadeyras de la boutique de confection de costumes sur mesure Les Francs Tireurs. En parlant de tout et de rien mais surtout d'entreprendre il me dit: "tu devrais écouter un podcast qui te donnera la flamme, l'envie de faire... Ce podcast s'appelle Génération Do It Yourself". Je suis têtu par nature, nonobstant, j'en prends note et j'écoute religieusement les conseils de l'ami. Avant de partir en vacances je passe les semaines de canicule du mois de juillet en compagnie de l'incroyable podcast de Matthieu Stefani en parcourant dans le désordre les captivantes histoires de : Tirgrane Seydoux (Big Mamma Group); Catherine Painvin (fondatrice de Tartine & Chocolat); Alexandre de Metz (Yellow Corner); Jacques Antoine Granjon (Vente Privée devenu Veepee); William Hauvette (Asphalte chez qui j'ai passé six mois en stage à ses côtés dans sa première aventure avec Six & Sept); Marc Simoncini (Meetic à Jaina Capital, Heroin Bike); Mercedes Erra (BETC); Fred Jourden (Blitz Motorcycle); Pauline Laigneau (Gemmyo); Alice Zagury (The Family); Christian Jorge (Vestiaire Collective); Geoffrey Bruyere (Bonne Gueule) et bien d'autres encore... Le podcast a accompagné mon transfert de Paris à Orly pour arriver dans le fin fond de la Sicile cet été me donnant la flamme et l'envie de faire quelque chose de mes mains (et esprit)... Ce que j'ai retenu de toutes ces histoires c'est que chaque histoire est différente, semée d'embuches et de succès mais que rien n'arrive par hasard - la chance il faut la courtiser en se bougeant le cul et en : DO IT PUTAIN! Sans se cacher derrière un milliard d'excuses pour ne pas le faire, le seul risque serait de ne pas essayer de sauter dans ce train et quelle que soit la destination de ce voyage. En rentrant je me suis décidé à investir dans ce qu'il fallait comme matériel pour enregistrer (je ne savais pas comment... Encore...) mes propres interviews en m'inspirant de ce mentor (et d'Adrien Garcia aussi de Entreprendre dans la Mode
Techniquement, la Tunisie est autant dire prête pour la 5G et l'IoT. Mais quid de la législation tunisienne, surtout que certaines de ces lois datent d'il y a plus de 100 ans ? Nous avons invité Asma Massoudi, directrice des affaires juridiques chez l'INTT, qui a donné le point de vue du régulateur en vue d'un lancement optimal de la 5G en Tunisie. Producteurs : Marwen Dhemayed et Walid Naffati Producteur exécutif : Walid Naffati Enregistrement dans les studios de Jawhara FM Production : StreamingHD
Épisode 205 : Si vous aussi vous passez vos journées à manager des réseaux sociaux, vous vous êtes sans doute déjà demandé si utiliser un outil de programmation de posts ne serait pas plus approprié que de passer par les outils natifs. Vous êtes aussi sans doute tombé sur ces rumeurs qui soulignent qu’utiliser un outil tiers de publication pénalise votre portée organique sur Facebook ou Instagram. Ce matin on va tacher d’y voir plus clair sur les outils de programmation social media : avantages, inconvénients, comparaison avec les outils natifs fournis par les plateformes… Bref on vous fait notre retour d’expérience et on va tacher de faire tomber le mythe. Comment ça marche Hootsuite, Buffer, Agorapulse… ils sont nombreux et vous font tous la promesse d’un monde meilleur. Ou en tout cas d’un monde meilleur pour les social media managers. Techniquement, Ils se branchent sur les API des plateformes sociales. Comment marchent ces fameux outils de gestion social media. Bien souvent ces outils de gestion des médias sociaux font plus que publier ou planifier du contenu. Ils essaient et vous aident à gérer tous les aspects de votre empire social media, notamment: La Publication et planification de contenu sur vos canaux de médias sociaux Le community management : Vous pouvez ainsi répondre efficacement aux mentions, commentaires et messages de vos médias sociaux. La mise à disposition de rapports statistiques. L’Écoute ou social listening. Ainsi, vous pourrez trouver et dialoguer avec des personnes qui parlent de votre marque, de vos concurrents ou de mots-clés. Particulièrement utile voir indispensable quand on gère plusieurs comptes réseaux sociaux Toutes ces fonctionnalités existent évidemment en natif dans les plateformes. Sur Facebook vous pouvez programmer des posts, répondre aux commentaires, accéder à des Stats… Oui ma l’intérêt de ces outils de gestion de réseaux sociaux c’est la possibilité de gérer en un même espace tous vos comptes réseaux sociaux simultanément. FB, IG, Twitter, Linkedin… se retrouvent tous dans un même outil… avec à la clé un gros gain de temps ! Big picture Choisir un outils de programmation c’est surtout la possibilité de pouvoir réunir à un seul endroit toutes les pages dont on s’occupe et ce peu importe la plateforme ! Ça permet de travailler une ligne éditorial claire avec une vision plus longue ! On peut programmer un mois complet voir plus et sur différents réseaux ! Il faut juste se garder un peu de place pour la spontanéité et rester souple en décalant parfois des posts si une actualité chaude est plus importante sur le moment ! Qu’est-il possible de faire avec un outil tiers que je ne peux pas faire en natif ? Gestion de réseaux sociaux en équipe. Assigner une modération à un membre de sa team. Programmer et poster automatiquement du contenu posts sur Instagram. Retrouver l’historique des conversations avec une personne de mon audience. Top pour les Community Manager. Taguer mes contenus avec des thématiques et ensuite obtenir des rapports statistiques personnalisés sur la pertinence des mes sujets éditoriaux. À l’inverse qu’est ce que je peux faire en natif mais pas avec des outils de gestion des réseaux sociaux ? Certaines typologie de posts ne sont programmables qu’en natif : les stories Instagram, les carrousels Certaines fonctionnalités ne sont accessibles qu’en natif : les tickets, le tangage de lieux ou personnes Le live évidemment. La gestion de commentaires avec des réponses en GIF par exemple. Mythe 1 : les plateformes social media n’aiment pas les publications qui ne sont pas fait en natif L'une des principales préoccupations que l’on entend est que les plates-formes sociales savent que vous utilisez un outil et vous pénaliseront dans leurs algorithmes. Coupons court. Ce n’est pas vrai. Une vilaine rumeur qui traine. A ce titre on vous invite à lire cette étude du Social media Lab d’Agorapulse qui a fait un certain nombre de test très poussés. La bonne nouvelle: la publication sur des réseaux sociaux a enregistré une performance de 22,61% supérieure à celle d'une publication native sur Facebook. Pourquoi ? Meilleur timing de publication. Autre signe que les plateformes ne sont pas anti outil tiers : Instagram encourage également désormais les publications en tiers en autorisant les publications directes sur Instagram , ce qui était impossible auparavant. Twitter n'a également montré aucune préférence pour les publications natives par rapport aux publications programmées . Mythe 2 : En utilisant un outil de gestion des réseaux sociaux je risque de perdre en authenticité Cela ne dépend pas de l'outil, mais de la manière dont vous l'utilisez. Que vous utilisiez des outils natifs pour la planification ou des outils de gestion tiers la recette reste la même. Ne pas abuser de contenus ever green. Attention à rester proche de l’actualité. Utilisez un ton de conversation et de marque approprié dans tous vos messages. Utilisez des questions et d’autres méthodes pour créer des publications qui encouragent l’engagement. Statistique On peut récupérer énormément de statistiques plus facilement sur ces outils là ! C’est un vrai gain de temps pour récupérer les statistiques les plus importantes, celles qui vont vous permettre de bien driver la page ! Vous aurez aussi énormément d’informations sur votre audience ce qui peut vous permettre d’ajuster vos contenus éditoriaux ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon. Nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs.
Peut-on utiliser le béton ciré sur un plan de travail pour rénover une cuisine? Voici une question fréquente qui a fait venir pas mal de gens sur le blog Logement éco responsable et sur cette chaîne vidéo.J'aimerais vous donner ma réponse dans cette vidéo, basée sur mon expérience du béton ciré en crédence dans la cuisine, et sur un appui de fenêtre carrelé, mais aussi suite à l'utilisation du béton ciré dans une salle de bain pendant de nombreuses années. Alors, mon avis de l'utilisation de béton ciré sur carrelage est assez mitigé. Techniquement, il est parfaitement possible d'utiliser le béton ciré pour recouvrir un carrelage. Dans la pratique cependant, si le béton ciré est résistant à l'eau, celui ci est moins résistant aux tâches de graisse, comme je vous ai déjà fait remarquer dans la vidéo dédiée à la crédence dans la cuisine... Donc à mon avis rénover un plan de travail de cuisine avec du béton ciré n'est pas idéale, s'il y a un piano de cuisson sur celui. En revanche si le piano de cuisson est sur un îlot qui lui a un plan de travail autre- pas de problème!Plus d'informations sur l'utilisation du béton ciré en rénovation, notamment dans la cuisine dans cet article de mon blog travaux.Découvrez la formation " Devenez l'"architecte " de votre rénovation " destiné aux particuliers qui se chargent seuls de leur projet de rénovation et de son suivi en chantier https://www.logement-eco-responsable.com/premium/Support the show (https://www.logement-eco-responsable.com/premium/)
Épisode 155 : Si vous ne connaissez pas le Cinemagraph c'est que vous n'êtes jamais allés sur les réseaux sociaux ! Il existe 500 000 publications sur le hashtag #cinemagraph sur Instagram ! À mi-chemin entre la vidéo et la photo c'est un format ultra efficace ! Dans cet épisode nous vous présentons plusieurs créateur : Kevin Burg et Jamie Beck, Zoetropic, Julien Douvier et Nicolas Monterrat. Le terme « cinémagraphe » (cinemagraph) a été inventé par les Américains Kevin Burg et Jamie Beck, respectivement photographes et spécialistes de l'animation, qui utilisèrent cette technique pour animer leurs photos de mode à partir de début 2011, à l'occasion de la Fashion Week de cette année. Et cette méthode explose sur les réseaux sociaux ! Tellement que LG a crée un triple capteur photo disponible sur son téléphone V40 qui peut crée des cinémographes en direct ! #cinemagraph sur Instagram : plus de 500 000 publications ! ##Le cinemagraph est un cousin du Gif animé## Pour faire simple et court le Cinemagraph est un format hybride qui se situe entre la photo et la vidéo. C’est une image associant l’aspect figé et instantané d’une photo et le mouvement perpétuel d’une boucle vidéo. Le cinemagraph est créé à partir d’une vidéo. C’est une image qui reste fixe, mais dans laquelle quelques détails s’animent. Lorsque cette animation est subtile la photographie devient en un clin d’œil féerique. Techniquement, c’est un GIF animé composé d’une photographie dont une partie seulement est animée sous forme de boucle vidéo. Typiquement c’est la petite vidéo d’une tasse de thé suis e remplit de façon infini, ou une route avec des voitures qui défilent en continue. ##Attention, le Cinemagraph ce n’est pas exactement comme un Gif animé.## Un Gif se regarde, un Cinemagraph se contemple La principale différence avec un GIF animé classique réside dans la perfection de la loop créée. Dans un gif, la coupure entre début et fin de scène est très marquée. Les meilleures réalisations en cinemagraph parviennent à créer un effet visuel quasi hypnotique. Ce qui rend les choses intéressantes c’est bien souvent le réalisme de la photo. En apparence c’est une photo normale comme on en regarde tous les jours. Mais tout d’un coup, une partie bouge et l’autre reste fixe. C’est le mix de ces deux procédés très réalistes qui rend le cinemagraph saisissant, envoutant. ##Le cinemagraph c’est l’incarnation en image du principe de slow Life## Ce format, également appelé « photo vivante » est devenu un élément récurent dans les stratégies de contenu social media des marques. Et ce n’est surement pas un hasard. Nous sommes en plein dans une tendance slow Life et le cinemagraph c’est peut-être le format visuel le plus à même de rendre compte de cette tendance. Le cinemagraph arrive alors comme un compromis entre le gif sur vitaminé, la vidéo et la photographie. On prend le temps de contempler l’image si énigmatique. De quoi s’assurer de ralentir le rythme Idéal dans votre stratégie de communication, le mouvement du Cinemagraph est très subtil, il intrigue le regard sans distraire vos lecteurs de votre message. Zoetropic @zoetropic_app 505k followers sur Instagram Une application pour créer des cinemagraphs. Pour mieux montrer ce qu’on peut faire avec leur application, ils ont fait une page Instagram qui est juste magnifique ! Des posts ultra colorés et tout simplement très réussis. Des visages immobiles avec plein de choses qui bougent autour ! Et là où c’est très très fort, c’est que tous leurs posts sont des carrousels. Sur la première vidéo vous prenez une claque. Puis la deuxième slide est une photo où il vous montre comment ils ont fait. À quelle endroit ils ont mis du mouvement pour faire ce cinémagraph ! Ils en propose en highlight story avec différents thèmes : paysages, sport, art digital, et même un jeu concours ! Ils sont très forts puisque même en IGTV, ils proposent des vidéos tuto super bien faites ! Enfin vraiment ça vaut le coup d’aller voir ! Julien Douvier @juliendouvier @juliendouvierpro 506 followers sur Instagram. Il est français, il est photographe et vous pouvez d’ailleurs aussi aller voir sur son compte @juliendouvier. Et il est très bon. Ce qui nous intéresse aujourd’hui c’est son compte pro sur lequel il n’a que 11 cinémagraphs mais de grande qualité. Il est d’une précision terrible ! C’est vraiment très bien fait ! Certains sont drôles vous verrez, notamment celui avec l’homme qui entre un CD-Rom dans un ordinateur. D’autre très beau, notamment celui avec le cheval ! Enfin bref il n’y a que 11 publications mais c’est vraiment une réussite ! Vous pouvez aller voir sur son site aussi, il y en a un peu plus ! Nicolas Monterrat @ugdtg (ungifdanstagueule) 4898 followers sur Instagram Gifs animés surréalistes. Nicolas va puiser son imagination dans des images scientifiques ou populaires d’un autre temps. Des créations hypnotiques, simples et efficaces. Les animations courtes mélangent des images empruntées à d'anciens catalogues, journaux et manuels Son Interview à lire sur Artistup "L’intérêt du Gif pour moi, c’est d’approcher la boucle parfaite, de raconter une histoire en quelques secondes. Tout est dans le rythme et la qualité des enchaînements." « Je crois que les photos anciennes me parlent plus, tout simplement. Leur côté formel, un peu rigide, appliqué, parfois trop sérieux, sans doute, qui me donne envie de les détourner de leur but originel, d’apporter un peu de fantaisie, d’humour ou de titiller l’imaginaire. » —— Kevin Burg & Jamie Beck Leur site à est à découvrir ! Le terme « cinémagraphe » (cinemagraph) a été inventé par les Américains Kevin Burg et Jamie Beck, respectivement photographes et spécialistes de l'animation en 2011. Les inventeurs du Cinemagraph. Ils ont travaillé avec Channel, Armani ou Amazon notamment. On retient la photo de nature morte avec des clémentines et une insecte qui se balade. Ou le kiosque à journaux parisien avec une scène figée et juste une personne qui feuillette des journaux. ##Comment faire un Cinemagraph ?## Il existe des tonnes de tutoriels en ligne pour créer un cinamagraph sur Photoshop. Mais il y a aussi des applications simples qui rendent la tache accessible à tous. Loopsie / Pixaloop . . . Le Super Daily est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence de content marketing et social media basée à Lyon. Nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Contact : bonjour@supernatifs.com
La finance peut-elle servir l’intérêt général ? Orienter les investissements vers le bien commun ? Techniquement, c’est possible. Cette pratique porte un nom : la finance éthique. Comme sa cousine spéculative, la finance éthique a ses banques, ses fonds d’investissements, ses indices boursiers, ses agences de notation… Seule différence, mais de taille : le profit n’est pas son seul objectif… Comment ça marche ? Regardez !
UMLA, le premier album solo d’Alpha Wann sort enfin. Contrairement à ses collègues du collectif L’Entourage dont le succès a été très rapide, Alpha Wann a pris son temps et c’est une réussite. “Une main lave l’autre” est un album de rap, pour les amateurs de rap et pour les connaisseurs de rap. Techniquement rien à redire tant Alpha Wann est maître de la discipline, dans la lignée de ses références Dany Dan ou ILL. Alpha Wann ne cherche pas le succès mais simplement à faire ce qu’il aime et ses choix le confirment comme celui d’inviter Infinit’ sur une prod plutôt que Nekfeu ou Joke. Sans entrer dans le titre à thème, Alpha Wann distille tout au long de l’album des petites phrases qui parlent de lui et de ses doutes, comme son physique et sa difficulté à choper, ou encore sa peur lors des Rap Contenders, sans ne jamais tomber dans l’égo-trip. Dans cet album, Alpha Wann parle tout seul devant sa glace et puisqu’il rappe comme il parle, ça fait du bien à tous.Animé par Mehdi Maïzi avec Brice Bossavie, Raphaël Da Cruz et Aurélien Chapuis.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION1995, L’entourage, Nekfeu, Deen Burbigo, Jazzy Bazz, Alpha Wann, UMLA (Alpha Wann, 2018), Iman (Dinos, 2018), Olive et Tom (Alpha Wann, 2018), Pour celles (Alpha Wann, 2018), Dany Dan, ILL, Starsky & hutch (Alpha Wann, 2018), Une main lave l’autre (Alpha Wann, 2018), Casse la baraque (X-men, 1998), Da Storm (O.G.C, 1996), Le combat continue (Ideal J, 1998), Fugees (Alpha Wann, 2018), Infinit’, Joke, Sneazzy, Doums, Les sages poètes de la rue, Areno Jaz, Poétiquement Correct (Dany Dan, 2006), Salif, Nubi, Alph Lauren 3 (Alpha Wann, 2018), Éternité (Jazzy Bazz flat Nekfeu, 2018), S.Pri Noir, Bus tour (Alph Lauren 1, Alpha Wann, 2014), Joe Budden, Eminem, Cascade (Alpha Wann, 2018), La tour 20 (Nakk, 2001), Dégeulasse (Caballero & JeanJass, 2018), Hamza, Méthode Man & Redman, Masta Killa, Quarter Thing (Joey Purp, 2018), Just Blaze, Veust, Akhenaton, 361 Records, Le singe fume sa cigarette (Hologram Lo’, Lomepal & Caballero), En sous-marin (Nekfeu feat Alpha Wann, 2011), Dans ta Réssoi (Nekfeu feat Alpha Wann, 2011).RECOMMANDATIONS ET COUPS DE COEURSLA RECO D’AURÉLIEN : L’album “Quarter Thing” de Joey Purp, qui se rapproche d’Alpha Wann par son côté rap puriste mais qui, grâce un savant mélange, rend un projet protéiforme.LA RECO DE RAPHAËL : Le rappeur niçois Veust, à la voix “fauvesque”, et qui a sorti trois nouveaux morceaux cet été.LA RECO DE BRICE : Le projet “Le singe fume sa cigarette” de Hologram Lo’, Lomepal & Caballero, à leurs débuts.LA RECO DE MEHDI : “En sous-marin” , le projet commun de Nekfeu et Alpha Wann qui s’amusent à rapper comme ils l’aiment, bien avant leur célébrité.CRÉDITSEnregistré le 13 septembre 2018 à L’Antenne Paris (10 rue la Vacquerie, Paris 11ème). NoFun est une production Binge Audio. Générique : Shkyd. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée de production : Juliette LIvartowski. Chargée d’édition : Judith Hillebrant. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction des programmes : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Un épisode un peu particulier pour l’été, puisqu'en plus de notre invité Yann, c'est le retour de deux anciens de Yabai, Kitti et Gael.On a eu des petite soucis d'enregistrement en raison des records de chaleur de la chaleur la semaine précédente, du coup on a tout re-enregistré chez Remka, mollement affalés (il fait chaud) sur son canapé, avec des bières et des chips.Techniquement, il y a une terrasse, mais on n'en a pas beaucoup profité vu la chaleur. Au programme cette fois-ci : Des news plus ou moins rigolotesQuoi faire à Tokyo en été si on ne veut pas être pris pour un gros touristeLe tatouage au Japon ou « Irezumi » (入墨)Yann, sa vie, son oeuvre, son bar à vin a Itabashi Les liens : Le bar de Yann Sa page Facebook Audio : Sheena And The Rokkets – Omae ga hoshii (one more time)
Un épisode un peu particulier pour l'été, puisqu’en plus de notre invité Yann, c’est le retour de deux anciens de Yabai, Kitti et Gael. On a eu des petite soucis d’enregistrement en raison des records de chaleur de la chaleur la semaine précédente, du coup on a tout re-enregistré chez Remka, mollement affalés (il fait chaud) sur son canapé, avec des bières et des chips. Techniquement, il y a une terrasse, mais on n’en a pas beaucoup profité vu la chaleur. Au programme cette fois-ci : - Des news plus ou moins rigolotes - Quoi faire à Tokyo en été si on ne veut pas être pris pour un gros touriste - Le tatouage au Japon ou "irezumi" (入墨) - Yann, sa vie, son oeuvre, son bar à vin a Itabashi Le bar de Yann → https://tabelog.com/tokyo/A1322/A132201/13217582/ Sa page Facebook → https://www.facebook.com/laperoitabashi/ Suivez nous sur Facebook → www.facebook.com/majiyabai/ Ou sur Twitter → twitter.com/tokyoites_tv
Une émission émise depuis un studio à la fois chaud et humide. Une invitée au poil parfaitement au point sur ce qu'elle raconte, un invité-chroniqueur surprise, joyeux Déborah Golfier, un Pape du Cool qui appelle au secours, un point trafic et migrants et une émission globalement très sexy dans laquelle on entremêle disco, soul, gospel... Incroyable ! ROGER DE LILLE & THE GIN TONICS TOUJOURS DISPONIBLE : http://gonzairecords.com/album/speed Instagram d'Elise Kravets : @lisoukFacebook : http://facebook.com/rogerdelillevaticool/Twitter : @rogerdelilleInstagram : @rogerdelille mail : vaticoolradio@gmail.com
Techniquement, j’ai commencé le yoga avant de commencer le running. Mais ça ne fait qu’une année que j’ai associé les deux pour les améliorer les deux. J’ai commencé à adapter L’article Courez comme un yogi : 5 façons qu’à le yoga de faire de vous un meilleur coureur est apparu en premier sur Metanoiada.
Journaliste et chef de projet confirmée sur les supports print et web, Sandrine Chauvin a plus de 15 années d'expérience dans l'élaboration et mise en œuvre de stratégies éditoriales, rédaction d'articles, enquêtes et dossiers thématiques (économie, société, droit, retraite, santé), editing des contenus éditoriaux print et web, suivi des budgets et gestion des plannings, coordination de pigistes et chroniqueurs, refonte et lancement de sites Internet et newsletters, community management, partenariats éditoriaux ou serviciels. On a discuté sur "comment exploiter Linkedin en 2018". Dynamique, créative et passionnée, dotée d'un excellent relationnel, Sandrine Chauvin capitalise sur son expertise web et son savoir-faire journalistique pour développer le programme LinkedIn Influencers et valoriser le contenu éditorial en français sur LinkedIn. Au total, chaque semaine, ce sont ainsi plus de 100.000 articles qui sont publiés sur le réseau et chaque minute, près de 1.000 posts partagés dans plus de 200 pays! Je me suis entretenu avec elle sur divers sujets: En tant que rédactrice en chef de Linkedin France, elle est en charge de développer le programme des influenceurs sur Linkedin. En quoi ça consiste exactement? Comment les entrepreneurs et professionnels présents sur Linkedin peuvent-ils contribuer au maximum à la communauté francophone sur la plateforme? La récupération d'articles de blogue de notre propre site web ou encore les publications d'autres plateformes est-elle encouragée? Techniquement, est-ce-qu'il y a des pratiques à observer? Des choses à ne pas faire? J'aimerais qu'on parle du palmarès Linkedin top Voices 2017. En quoi ça consiste et comment les gens qui désirent contribuer sur la plateforme peuvent s'en inspirer? Voici les liens et ressources dont on a discuté avec Sandrine Chauvin, rédactrice en chef de Linkedin France sur comment exploiter Linkedin en 2018 Le profil de Sandrine Chauvin sur Linkedin: https://www.linkedin.com/in/sandrinechauvin/LinkedIn Daily Rundown Canada (Canada, anglais)LinkedIn Daily Rundown US (anglais)LinkedIn Récap Actu (français, France)LinkedIn Top Companies Canada 2018 (en anglais)LinkedIn Top Companies France 2018 (français)LinkedIn Top Voices 2017 (anglais)LinkedIn Top Voices Influencers 2017 (anglais) dont Justin Trudeau et Ian Bremmer dont on a parléLinkedIn Top Voices France 2017 (français)LinkedIn Top Voices Influencers France 2017 (français) Pour me rejoindre: Pour rejoindre le présentateur de cet épisode sur comment exploiter Linkedin en 2018 avec Sandrine Chauvin: marcobernard.ca/extreme Pour vous joindre au party du 100 épisode de l'Accélérateur: marcobernard.ca/party-100 Pour être gardé à jour de toutes les primeurs qui ...Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - ht...
L'EMISSION DE LA CATASTROPHE. Techniquement, tout est à jeter là-dedans, suite à une grosse erreur au moment de la sauvegarde du fichier. Neuf heures de montage plus tard, je décide de sortir cet épisode quand-même, mais honnêtement c'est dur. Si c'est trop inaudible, ne vous braquez pas, on revient à la normale dès la prochaine. PROTIP : La dernière heure de l'émission est moins crade techniquement parlant, je vous en voudrai pas si vous zappez le début. Enfin bref, tout ceci ne nous a pas empêché de visiter la Terre 2, un univers parallèle voisin du notre et de faire des reviews des oeuvres culturelles que nous avons dénichées là-bas. Nous avons ainsi eu le plaisir de débattre de : - Explosion Humide (2017), incroyable thriller avec Benoît Magimel et Najat Vallaud-Belkacem produit par Balthazar Picsou - Homo Ecolo (2005), tentative de comédie franchouillarde sur le thème de l'écologie et du travestissement. - Bananarama Palette (2017), une comédie romantique avec Jack Black, de la bisexualité, du larping et des usines écossaises, bref tout ce qu'on aime. - Alain & Les Souchon (Saison 8), conclusion magistrale de la fameuse sitcom surréaliste qui a conquis le monde entier. En seconde partie d'émission, on debrief de vraies comédies fournies par Muriel, avec Terminagolf (1996) et Arnaque à la Carte (2012). Adam Sandler, Jason Bateman et Mélissa McCarthy intensifies. Comme on cause toujours un peu de musique de temps en temps, on a aussi eu l'occasion d'entendre : MONSIEUR ORANGE - Les Maisons Nana Mizuki - Exterminate The Turtles - Buzz Saw Flight of the Conchords - Frodo Don't Wear The Ring Dire Straits -Expresso Love ALAIN CHAMFORT - CE N'EST QUE MOI (DOOMSDAY-REMIX) MC Carol & Karol Conka - 100% Feminista Tourdion - Quand je bois du vin clairet
Red Universe Tome 1 Chapitre 23 Episode 9 "ExOne Média" « Bonjour à tous, vous êtes bien sur Ex-One Média, et c'est Titus Matrane en direct de Transporteur 3 pour l'édition du soir !Voici les titres :Retour sur cette impressionnante série de miracles dont nous recevons les images presque quotidiennement par nos multispectateurs. Il semble que Saint P… Phil Goud et Adénor Kerichi… aient décidé de montrer l'étendue de leurs capacités. Le nombre de leurs adeptes ne cesse de croitre et pas seulement dans l'Exode !La dispersion imposée par l'empire de Ragnvald se poursuit, mais elle est loin de se dérouler dans la paix. Des témoignages en provenance des dix-mille mondes en seconde partie.Enfin, nous ferons un tour d'horizon des connaissances accumulées sur la société de Ragnvald, sa structure et ses contradictions.Pour répondre à toutes nos questions et éclairer ce débat, nous recevons sur ce plateau le commandant Momumba Arlington en personne, qui s'installe en ce moment à mes côtés.Retrouvons-nous juste après une page de publicité ! » Retour dans votre édition du soir d'Ex-One Média. Colonel Arlington, c'est un plaisir de vous recevoir ici, vos interventions publiques se font plutôt rares.Le plaisir est partagé, cher Monsieur Matrane. J'adorerais venir commenter l'actualité plus souvent, mais il s'avère que je suis, en raison de mes fonctions, au cœur de cette actualité. Rappelons à vos multispectateurs, s'il en était besoin, qu'il y a environ un mois, nous étions happés dans une dimension autre que la nôtre, alors que l'on traversait la Passe de Magellone…… Et nous en sommes revenus directement pour être récupérés par l'Empire de Ragnvald. Tout cela n'est plus guère « nouveau » dans le flux médiatique, alors que ces images-ci…Là, nous voyons Sainte Adénor Kerichi qui s'élève dans les airs et prie face au mur protégeant le service des soins intensifs de l'hôpital. Un exodé avait été gravement blessé en barrant le passage des machines-outils, venues démanteler notre transporteur. La nouvelle de sa rémission miraculeuse nous est parvenue quelques minutes plus tard et on a même pu voir l'homme saluer la foule et s'agenouiller devant Adénor.Ici, c'est Sai… Phil Goud qui confirme être apparu à ce pilote de corvette dont nous avions reçu le témoignage quelques heures plus tôt. Il avait été ainsi prévenu du passage d'une météorite, sur sa trajectoire de descente vers Monte Circeo.Ou cet extraordinaire redémarrage du circuit secondaire de Transporteur 3, quand Phil et Adénor ont uni leurs mains et effleuré le générateur. Celui-ci s'est remis à fonctionner, fournissant l'électricité indispensable à la cité intérieure, coupée depuis plusieurs heures.Ces miracles ont été vérifiés et confirmés sur place. Aucun trucage n'a pu être mis à jour. Colonel, votre commentaire ?Vous savez… dans ma culture tropicalienne, nous sommes habitués aux mystères de l'esprit et de l'autre monde. Les divinités ne sont, en fin de compte, qu'une part de notre univers et nous cohabitons avec eux en permanence, de la naissance à la mort. Et bien sûr après, lorsque notre âme pénètre elle-même ces mystères.Je ne peux que me réjouir de voir les très estimés Phil et Adénor devenir ainsi une forme de pont avec cet autre univers. D'une manière ou d'une autre, ils ont réussi à atteindre cette forme que l'on qualifie de « divine », mais qui, à mes yeux, n'est qu'une représentation supplémentaire des forces mystiques naturelles.Je ne peux que vous donner mon opinion, bien entendu. Que peut le ver de terre face à la baleine-verte, n'est-ce pas ?En effet, Colonel. Mais du point de vue officiel, l'administration de Transporteur 3 ne fait pas de commentaire. Pourquoi ? Techniquement, ce sont des troubles à l'ordre public auxquels nous assistons.Tout de suite les grands mots ! Mon cher Titus, une autre dimension, le capitaine Magellone, Ragnvald et l'Empereur-Dieu, le Yesmaïl… Nous ne pouvons que nous réjouir de voir apparaitre un tel repère pour nos exodés, compte tenu de la dispersion.Comprenez-moi bien : il est nécessaire que chacun conserve ses racines fondamentales. La religion en fait partie, que l'on vive ici ou à des millions d'années-lumière.Donc tout va bien et aucune règlementation n'est enfreinte ?Totalement.Alors, poursuivons notre journal. Nous avons actuellement cent-douze-mille-trois-cent-quarante-quatre exodés qui ont « choisi », si l'on peut parler de choix, de se rendre dans un des dix-mille mondes de Ragnvald, parfois seuls, parfois avec leur famille. Comme promis, les communications sont ouvertes et non filtrées par le pouvoir en place. Nous pouvons donc obtenir des retours. En voici certains recueillis par notre équipe…(my-ëve)« Vous m'entendez ? … très bien, je commence ? Bonjour, je me nomme Orta, je suis parmi les premiers à avoir suivi l'Empereur-Dieu lorsqu'il est venu nous parler dans le transporteur.Je vis seule avec mon hamster, le déménagement a été simple. J'ai accepté une place dans une station spatiale en orbite, autour d'une géante gazeuse. Heu… je ne peux pas vous dire où exactement, mais on a voyagé cinq jours en Transition. L'endroit est spacieux, nous sommes un millier d'habitants, dont une trentaine originaires de l'Exode. Je ne me plains pas de la fonction qu'on m'a attribuée, c'est pile dans mes compétences.En fait, le seul truc qui me gène ce sont les quatre prières de la journée à l'Empereur-Dieu. Elles ne sont pas obligatoires, mais ceux qui ne les font pas sont vite repérés. On essaye de nous convaincre, de discuter… et ensuite, on commence à nous rejeter. Non, pas rejeter, on ne nous ouvre plus les portes de la communauté, vous voyez ?Sur une station spatiale, ben on va vite tourner en rond. Alors, on se rapproche des autres exodés, même ceux qu'on n'appréciait pas trop, comme ces deux Octotes qui ont voyagé avec nous. Je veux dire, je ne suis pas religieuse, ni l'Empereur-Dieu, ni Phil et Adénor, juste… juste que je crois à la liberté de culte. Un soir, je suis venue les soutenir alors qu'ils faisaient face à un groupe d'illuminés qui leur refusaient le droit de s'installer dans une petite pièce, presque un dépotoir, pour prier.Je dois être honnête, j'ai vraiment l'impression que la tension augmente entre les exodés, solidaires des Octotes et majoritairement non croyants, et les habitants de Ragnvald. Hier, on m'a refusé une part supplémentaire alors qu'il y avait du rab aux cuisines. C'était injuste et une des consoles s'est allumée, ordonnant que je reçoive mon dû. C'était l'Empereur-Dieu qui parlait, il est partout et, lui, il est juste, mais ce n'est pas le cas de tout le monde, loin de là… Voilà, c'est ce que j'avais à raconter, merci beaucoup et passez le bonjour à ceux qui sont restés, de la part d'Orta. Dites-leur que… qu'ils me manquent… »(Tristan)« Bonjour à Ex-One Média et, par Saint Phil, bravo pour vos émissions. En ce qui me concerne, lorsque nous avons pris la décision, avec ma femme, de quitter le transporteur pour la dispersion, c'était d'abord pour nos enfants. Nous voulions qu'ils aient enfin accès à un réel espace de vie, sans restriction. Je suis spécialiste en compression de fluide et nous avons été affectés sur une planète géothermique. Plusieurs villes couvertes sont construites à sa surface et l'énergie pour les faire fonctionner est captée du sol sous forme de chaleur, puis convertie.Nous avons une petite serre avec un potager, comme tous les foyers sur cette planète, et c'est ma femme qui s'en occupe. Nous allons bientôt récolter nos premiers légumes, ce ne sont que quelques poignées de carotte-lait, mais toute la famille les attend avec impatience. L'eau et la nourriture sont donc disponibles à volonté et la cité est très calme et sereine.Nous entendons bien parler d'accrochages dans d'autres mondes de Ragnvald au sujet de la religion… pourtant nous ne subissons pas d'ostracisme particulier ici. Personne ne s'est plaint à ce que je crois savoir… Oui, chérie ?… Ah ! Ma femme me signale qu'en fait c'est plutôt l'inverse, nous avons trois habitantes de la cité qui sont venues suivre une réunion de prières à Sainte Adénor, la semaine dernière. En fait, même la maitresse de nos enfants s'est montrée très intéressée par nos croyances et nous l'avons invitée demain, justement, à en discuter.On assiste plutôt, ici, à un mouvement d'acceptation et d'intégration dans les deux sens.En tout cas, sauf incident majeur, nous ne voyons pas pourquoi nous repartirions dans le transporteur… on est vraiment dans un endroit idéal. » Colonel Arlington ?Ce que nous venons d'entendre recoupe mes propres sources, voyez-vous. Nos exodés volontaires ont décidé de refaire leur vie, il serait loin de notre idéal de les en empêcher. Mieux : je propose même de les aider et de nous disperser encore plus massivement ! Une seule règle prévaudrait, c'est de ne jamais oublier qui nous sommes. Et comme le trésor commun qui nous unit est à la fois notre esprit d'indépendance et les réels miracles divins, de nos Saints Messies Phil et Adénor, alors que cela reste au cœur de chacun et soit emporté au travers des étoiles.Vous appelez à accélérer la dispersion ? C'est bien ce que vous venez de dire, Colonel ?J'appelle nos hôtes à accepter un vrai et profond partage. Ils nous offrent une société bien établie et puissante, nous leur donnons une expérience de vie et d'autres voies de croyance.Nous allons-en reparler dans quelques instants, mais la religion autour de l'Empereur-Dieu est unique et n'accepte pas de concurrence, le premier témoignage en est une démonstration.L'Empereur-Dieu Godheim est un être tolérant et je l'ai rencontré à plusieurs reprises, ainsi que ceux qui l'ont croisé sous sa forme de sympathique vieillard. Nous savons tous que ce brave homme est d'abord empli de bonté. Qui en douterait, cher Titus ? Vous ?Les petits incidents ou tensions ne peuvent être que des cas isolés. Le temps effacera les différences, c'est le fondement même de l'assimilation.Et si cela se généralisait ? Si nous étions frappés d'hérésie ?Ce serait si injuste, je n'ose croire que Godheim refuse les preuves indubitables des miracles de Saint Phil et Sainte Adénor. Ce serait nier l'évidence et il est bien trop… trop majestueux pour cela.Bien, si vous le dites. Je suis certain de mon côté que Saint Phil saurait convaincre même l'Empereur-Dieu en personne.C'est possible, qui sait ?Une virgule publicitaire et nous nous retrouvons pour la conclusion. Ne zappez pas ! Retour dans votre émission d'information pour la dernière partie. Colonel, nous sommes en retard et nos multispectateurs sont impatients de retrouver leur héros Képri Apriolli dans une nouvelle aventure de « Panique violente », la série produite par Ex-One Média.Donc, je vais vous soumettre plusieurs assertions relevées dans les médias ou sur les réseaux sociaux, et vous nous les commenterez.Êtes-vous d'accord ?Comme une jeune mariée, Titus.L'empire de Ragnvald est une dictature théocratique.Je ne suis pas de cet avis. C'est un système théocratique, fondé sur une croyance, une confiance plutôt, en un dieu omniprésent et juste.Donc, une dictature ?Selon nos critères, sans doute, mais sont-ils bien à propos dans cette partie de l'univers ?Pas besoin de police quand même la sonnette d'entrée est une extension de l'Empereur-Dieu.Hé, hé ! Cher Titus, cette personne a de l'humour. Je suis tout à fait d'accord avec cette phrase, elle recoupe d'ailleurs la logique précédente : si vous faites confiance à l'Empereur-Dieu, alors vous n'avez rien à craindre. D'après quelques sources bien placées, il ne réagit d'ailleurs pas souvent, sauf en cas de délit majeur ou d'injustice flagrante comme précédemment dans les témoignages. On peut supposer qu'il accumule les informations, les classe et les trie. Cela ne serait pas formidable de pouvoir revivre, au travers de cette base de données, une journée de l'existence de notre… arrière-arrière-grand-père ?Mais soyons clairs : nous pouvons tourner autour du pot de confiture jusqu'à ce que les mouches à langue viennent en lécher le fond, cela n'y changerait rien. Ce système politique, mêlant omnipotence et infaillibilité, croyance et acceptation, a permit à cet empire de s'agrandir en subvenant aux besoins de tous. La justice y est rendue équitablement, les conflits sont rares et mineurs, la corruption n'existe pas, les inégalités non plus. Et cela depuis… cinq-cents années. Il fonctionne, même si cela gêne notre idéal démocratique.L'arrivée de l'Exode ne risque-t-elle pas d'apporter du changement dans cette belle mécanique ?C'est là que nous allons voir si ce système théocratique, basé sur une réelle entité impartiale et immortelle, peut tenir la route. Nous pouvons y apporter notre pierre pour construire ce nouvel édifice… ensemble.Une phrase à l'expression assez fleurie : On n'a qu'à appeler les autres et venir leur mettre la pâtée.Oh ! C'est sûr qu'avec deux petits croiseurs et une vingtaine de chasseurs, l'Exode doit donner des sueurs froides à la flotte de Ragnvald. Plus sérieusement, nous ne pouvons contacter l'Exode, tout simplement. Ne me demandez pas pourquoi, nos ingénieurs et spécialistes ont tout essayé, mais le signal ne passe pas.Dernière assertion : Phil et Adénor sont de plus grands Dieux que l'Empereur-Dieu.Mmhmm… Je n'apprécie guère ce genre de comparaison. Dans le sens que… l'avis des habitants de Ragnvald est actuellement à l'exact opposé. Nous ne venons pas ici nous affronter au jeu de celui qui a le dieu le plus réel. Nous venons en paix et nous acceptons l'assimilation en prônant simplement le respect de nos coutumes et croyances.Je vous propose de conserver cette belle tournure comme conclusion de cette émission, Colonel Arlington. Merci d'être venu sur notre plateau dialoguer en direct avec nous et partager votre point de vue sur les évènements actuels.Je remercie également l'équipe qui a permis la réalisation de cette émission et bien entendu Saint Phil et Sainte Adénor pour leur protection.À très bientôt, sur Ex-One Média ! Soutenez Reduniverse.fr - Prod: PodShows, Réa: Raoulito, Relecture: Kwaam, JMJ, Acteurs: Hadaria: Titus M, DrWolf: Arlington, My-ëve & Tristan: témoins, Derush: Zizooo, Montage: Leto75. Les génériques de début et de fin de ce chapitre ont été exceptionnellement créés à partir de "Grasslands" de "Ramzoid"https://soundcloud.com/ramzoid/grasslands-1 Vous aimez Red Universe ou alors vous avez des critiques ou des remarques ? Laissez vos commentaires ici : http://reduniverse.fr/la-saga/episodes/Merci à vous !
La question: Y a-t-il plusieurs "suites cognitives" comme Watson ? Absolument : Microsoft cognitive service, HPE Haven, Saffron et bientôt bien d’autres... Qu’est-ce que CES ? Pour les news Windows/CES, écoutez l’épisode 99 de LiveTile TV : le fin du fin avec LG ou une surface acoustique 4K de Sony ? PC : Vous êtes plutôt Valerie (à moins que vous l’ayez déjà acheté...) ou Chromebook Pro ? Ou peut-être Sprout G2 ? Robot Takeover : Cute Attack ! Olly, Projecteur à roulettes (?) Panasonic, Kuri, LG Hub Robot. Les voitures du futur vous aimeront : Honda NeuV , Toyota Yui ou Chrysler Portal ? Enfin une moto pour moi : merci Honda ! Smart Remote : 7 câlins pour les commander tous… Camera 360°, le futur des photos de vacances. Ou des sextapes. Will model M : la techno des chaises roulantes évolue enfin ! Plume Flow : un capteur portable de qualité de l’air. Le collier connecté pour les toutous ! Conférence Nintendo : Switched on ? Enfin dévoilée et détaillée officiellement… Ecran, JoyCon : la technologie haptique démocratisée par le Nintendo ? Pleins de jeux annoncés et en développement mais … 3 à la sortie ? Hot or not ? La technique du SandSwitch… En attendant, les préco se portent bien, heureusement, Nintendo veut écouler 2 millions de Switch le premier mois… En bref : INCOMING : L’avenir des appareils passera-t-il par le pliable ? Techniquement, ok, mais dans les usages… ? Un brevet chez Microsoft et des prévisions en 2018 pour Samsung. Airbus et les voitures volantes Le Game Mode de Windows 10 confirmé et un aperçu de son nouveau look. Neon, c’est aussi un navigateur frais signé Opera. Andy "Android" Rubin reviendrait avec une nouvelle plateforme pour smartphone ? Il arrive, le premier casque de VR avec eye Tracking, mais c’est pas Oculus, c’est fove. La compression par l’IA pour les images par Google VIE PRIVÉE, SÉCURITÉ : Les images nous regardent : certains veulent nous sensibiliser Y a-t-il une backdoor dans Whatsapp ? Toujours pas de mieux dans les usages des mots de passe. Mais quid des services qui autorisent de tels mots de passe ? Résolution 2017, utilisez un gestionnaire de mots de passe ? Faut-il arrêter de faire des V avec les doigts dans les photos ? Du changement à venir dans les acceptations de cookies selon les réglementations européennes ? Les voitures connectées ne devraient pas être connectées trop souvent, selon Waymo Bonus : Guillaume Poggiaspalla : Série Luke Cage sur Netflix. Guillaume Vendé : Evernote 8 sur iOS et les drones Parrot c’est cool Participants : Guillaume Poggiaspalla Présenté par Guillaume Vendé (@guillaumevende sur Twitter) et sur Facebook avec une nouvelle page dédiée à mes activités en podcast ; dans un podcast (streetcast) plus intimiste : "La voix de Guillaume"