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Pourquoi avons-nous tendance à minimiser ce que nous vivons ?Et comment ce réflexe apparemment anodin peut-il influencer votre rapport à l'alimentation ?Ah ben, ça, c'est important de le savoir ! Dans cet épisode de Dans la poire !, je vous propose d'examiner un mécanisme fréquent mais souvent méconnu : la comparaison de vos galères, de vos fatigues et de vos difficultés. Ce réflexe, très répandu, consiste à penser que “d'autres vivent pire”, que votre fatigue “n'a pas de raison d'être”, ou que vos émotions devraient être plus “raisonnables”.Je décris comment ce réflexe, pourtant très humain, brouille les signaux internes, empêche la reconnaissance de la fatigue réelle et peut encourager des prises alimentaires guidées non par la faim, mais par la nécessité d'apaiser une tension émotionnelle. Lorsque la lassitude, l'ennui ou le manque d'élan ne trouvent pas d'espace pour être exprimés, ils cherchent d'autres voies pour se manifester.Je m'appuie également sur la réflexion d'Audre Lorde, poétesse, essayiste et militante, qui rappelle que prendre soin de soi n'est pas un geste d'indulgence, mais un acte de préservation.Reconnaître la fatigue n'est pas une faiblesse : c'est une manière d'ouvrir un espace où vos besoins peuvent exister sans être comparés ni hiérarchisés.✨ Cet épisode est fait pour vous si :vous vous dites souvent « ce n'est rien » alors que votre corps raconte l'inverse,vous comparez vos difficultés à celles des autres,vous sentez que votre fatigue influence votre rapport à la nourriture,vous avez du mal à demander de l'aide, à poser des limites ou à reconnaître votre vulnérabilité,vous souhaitez comprendre comment vos émotions influencent vos prises alimentaires.Je vous proposerai enfin une question simple mais essentielle pour éclairer votre semaine (enfin, je l'espère!). Cet épisode vous accompagnera pour mieux comprendre ce réflexe, en identifier les coûts invisibles et rétablir une relation plus claire avec vos besoins. Une manière d'alléger à la fois votre charge mentale, votre fatigue… et votre rapport à l'alimentation.
À l'arrivée de l'automne, vous avez plus envie de chocolat chaud, de pain, de pâtes et de “comfort food”… et beaucoup moins d'énergie et de motivation? Dans cet épisode, on explique ce qui se passe VRAIMENT dans votre cerveau et votre métabolisme quand la lumière diminue, et pourquoi ce n'est pas une question de paresse ni de volonté, ni seulement de calories, mais de messages hormonaux.On parle de :Comment la baisse de luminosité dérègle l'horloge circadienne, augmente la mélatonine et fait chuter l'énergie.Le lien entre lumière, sérotonine, dopamine, humeur… et envies de sucre, incluant la dépression saisonnière.Pourquoi on se tourne spontanément vers les aliments réconfortants (et jamais vers une “bonne grosse canne de thon”
Manger pour se réconforter : est-ce vraiment grave ? | Alimentation émotionnelle, grignotage, culpabilité alimentaireEst-ce que vous mangez parfois sans faim, juste pour apaiser une émotion (stress, tristesse, ennui…) ? Et ensuite, la culpabilité débarque ?C'est un schéma que je rencontre tous les jours en consultation : le fameux trio stress → réconfort → culpabilité.
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Tu manges bien. Tu bouges. Tu fais attention.Tu es en déficit calorique… et pourtant ton corps ne change pas.Ta balance stagne. Ton énergie chute.Et tu commences à douter de toi.Si tu te reconnais, cet épisode va te faire un bien IMMENSE.Aujourd'hui, on plonge dans un sujet qui touche des milliers de femmes :le rôle caché de la thyroïde dans la perte de poids.Et surtout : pourquoi un déficit calorique peut ne rien donner quand ta thyroïde fonctionne au ralenti — même si ta TSH est « normale ».Dans cet épisode, je t'explique simplement (et sans drame) :✨ pourquoi ton métabolisme dépend directement de ta T3✨ pourquoi une prise de sang “normale” ne veut rien dire✨ comment le stress, les carences, la digestion et la rT3 bloquent ta perte de poids✨ les signes que ta thyroïde ralentit — même si on te dit que c'est « dans ta tête »✨ ce qui affaiblit ta thyroïde sans que tu le réalises✨ ce que tu peux faire pour la soutenir naturellement (sans tomber dans le extrême)Si tu te sens découragée, si tu n'arrives pas à perdre malgré tous tes efforts, si ton énergie et ton humeur ne te ressemblent plus… Cet épisode est pour toi.Et… bonne nouvelle :Mon défi 21 jours BOSS commence le 1er décembre gratuit, déjà plus de 500 femmes inscrites
Salut les sportifs intelligents ! Cette semaine on va parler de la question que tout le monde se pose : Est-ce que les CALORIES comptent vraiment pour PERDRE DU POIDS ?On démêle ensemble le vrai du faux : pourquoi le déficit calorique fonctionne, mais pourquoi compter les calories ne suffit pas toujours à expliquer vos résultats. On va parler d'énergie, de glycémie, de satiété, d'hormones, de métabolisme… et surtout de comment utiliser les calories intelligemment pour enfin débloquer votre perte de poids.- Pour découvrir les liens utiles de l'émission, clique ici : https://linktr.ee/sportsantenutritionHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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L'apnée du sommeil se caractérise par des arrêts respiratoires répétés la nuit, souvent provoqués par la fermeture des voies aériennes (apnée obstructive). Les personnes concernées peuvent être des hommes ou des femmes, y compris après la ménopause, mais aussi des gens minces ou jeunes. De nombreux facteurs de risque existent : surpoids, âge, sexe, anatomie des voies aériennes, prise d'alcool, certains médicaments, et même la respiration buccale.Avant d'aller plus loin, nous aimerions vous inviter à découvrir Transforma, notre programme en ligne de perte de poids qui a été pensé tout particulièrement pour les femmes en périménopause et ménopause. Transforma, c'est un programme de 8 à 12 semaines qui vous enseigne comment optimiser votre santé métabolique tout en atteignant et en maintenant votre poids santé. Arrêtez de vous battre contre votre métabolisme, apprenez comment travailler avec lui! Rendez-vous sur www.transforma.fit.Les symptômes ne se limitent pas au bruit nocturne : somnolence diurne, troubles de la concentration et de la mémoire, irritabilité, baisse d'énergie, céphalées matinales, troubles de la libido et de l'érection sont fréquents. Chez l'enfant, l'apnée peut simuler un trouble de l'attention. L'apnée a aussi des répercussions sur la santé métabolique et hormonale. Elle augmente le cortisol, dérègle l'insuline, stimule l'appétit, fait baisser la testostérone et bouleverse, chez la femme, la production d'œstrogènes. Elle favorise la prise de poids et accentue la résistance à l'insuline.Le diagnostic se fait par questionnaire (Epworth ou STOP-BANG) et tests spécialisés (polysomnographie ou PCRS à domicile). Même une apnée légère peut altérer la vie quotidienne, augmenter les risques d'accidents, d'hypertension, de diabète, de troubles cognitifs et d'humeur.Les traitements incluent la pression positive continue (CPAP), la perte de poids, une bonne hygiène de vie, le traitement de la congestion nasale, la gestion du sommeil et même des solutions comme la thérapie positionnelle, l'orthèse mandibulaire ou la cétose nutritionnelle. Il existe aussi des astuces simples, comme l'application iRonfle pour dépister le ronflement.En conclusion, l'apnée du sommeil peut toucher tout le monde, même les enfants, et nécessite une prise au sérieux : il y a des solutions concrètes et efficaces pour améliorer la santé physique et mentale.Les messages clés de l'épisode sont : Les symptômes de la ménopause peuvent être très incommodants, et même engendrer de l'insomnie et de la dépression. Les bouffées de chaleur sont particulièrement problématiques, et environ 80% des femmes vont en avoir. La sévérité des bouffées de chaleur est associée à un risque accru de maladie cardiovasculaire, mais plus d'études sont nécessaires pour savoir si c'est un lien de cause à effet. Les palpitations cardiaques sont aussi fréquentes en périménopause et en ménopause et elles sont habituellement causées par la baisse de l'estradiol, mais mieux vaut consulter son médecin si on ressent des palpitations et ne pas simplement déduire que c'est les hormones. L'estradiol soutient la santé cardiaque en améliorant le profil lipidique, en réduisant l'inflammation et en maintenant la flexibilité des vaisseaux sanguins.L'hormonothérapie de remplacement, selon les études, semble être plus efficace pour prévenir les maladies cardiovasculaires que les statines, chez les femmes, mais à l'heure actuelle, en Amérique du Nord, on ne la recommande pas encore d'emblée pour prévenir la survenue de ces maladies. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On mange assez de protéines… ou pas vraiment ? La newsletter PROTEIN MANIA avec TOUS LES BONUS !Est-ce qu'on doit en mettre à chaque repas ? Est-ce que les végétaux “manquent” vraiment d'acides aminés essentiels ? Pourquoi dit-on que certaines protéines sont “complètes” et d'autres “moins bonnes” ? Et surtout : comment expliquer qu'on parle autant de protéines aujourd'hui, entre influenceurs, sportifs, médecins ?Dans cet épisode spécial, je vous propose un voyage au cœur de ce nutriment qui fascine. On repart de la base - qu'est-ce qu'une protéine, exactement ? - mais on explore aussi tout ce que personne ne prend le temps de vous expliquer : pourquoi notre corps en fabrique des milliers de types différents, pourquoi certaines sont indispensables alors que d'autres peuvent être synthétisées, et comment nos besoins réels se déterminent… Vous vous êtes déjà demandé si vous mangiez “assez” de protéines ? Si le fameux “30 g par repas” s'applique à tout le monde ? Si le shake post-séance est obligatoire ? Ou encore pourquoi la plupart des Français dépassent déjà leurs besoins sans s'en rendre compte ? Vous entendrez peut-être la réponse dans l'épisode, mais pas forcément là où vous l'attendez.Et puis il y a le débat qui divise : protéines animales ou végétales ? Qui gagne vraiment le match ? Que valent les lentilles, pois chiches, céréales complètes, tofu, pistaches ou quinoa… quand on regarde la digestibilité, le profil en acides aminés, la biodisponibilité ? Et si les méthodes de classement qu'on utilise encore aujourd'hui venaient… de tests sur des rats du début du XXᵉ siècle ? Et si le “manque” de certains acides aminés végétaux n'était pas vraiment un problème… dès que l'alimentation est variée ? Autre question : quels sont les choix en protéines qui pèsent le plus sur la planète ? Est-ce que réduire la viande suffit ? Pourquoi certaines sources sont-elles plus sobres que d'autres ? Est-ce qu'un label garantit vraiment une pêche ou un élevage durable ? Et que vaut l'idée “moins mais mieux” quand on regarde les données récentes sur le climat, l'eau, les sols ou la biodiversité ? Là aussi, la réponse est plus nuancée qu'on ne le croit.Enfin, un sujet dont on parle trop peu : comment les besoins évoluent à la périménopause et à la ménopause ? Pourquoi certaines femmes perdent du muscle malgré une alimentation identique ? Pourquoi la fatigue augmente-t-elle ? Pourquoi le corps utilise-t-il moins efficacement les protéines ? Et comment adapter sans excès, sans se restreindre, et sans tomber dans les injonctions ?Si vous vous posez des questions, si vous voulez comprendre sans culpabiliser, si vous cherchez à mieux manger en respectant votre corps, votre rythme et vos valeurs… cet épisode est fait pour vous.⭐ Si cet épisode vous parle, laissez 5 étoiles et un petit mot sur votre plateforme d'écoute - ça m'aide énormément à faire connaître le podcast. Déjà, je lis tous vos petits mots et ça me fait un petit truc chaud dans le coeur. Et d'autres ça aide d'autres personnes à découvrir Dans la poire!. Et voui, vous avez un pouvoir de recommandations, rien qu'en notant le podcast ou en écrivant un petit mot !
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Et si ton antidépresseur ne fonctionnait pas… à cause de ton intestin?
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Salut les sportifs intelligents ! Cette semaine on va parler d'un univers invisible qui contrôle une énorme partie de votre faim, votre énergie… et même votre perte de poids : votre microbiote.Dans cet épisode, je vous explique comment vos bactéries envoient des signaux à votre cerveau, pourquoi elles peuvent augmenter vos fringales ou au contraire réduire votre appétit, et comment les nourrir pour reprendre le contrôle.Vous allez découvrir pourquoi deux personnes réagissent totalement différemment au même repas, comment réparer un microbiote affaibli, et les trois habitudes simples qui changent tout.Un épisode essentiel si vous pensez “manquer de volonté”… alors que ce sont peut-être vos bactéries qui décident à votre place.- Pour découvrir les liens utiles de l'émission, clique ici : https://linktr.ee/sportsantenutritionHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, j'ai voulu aborder la nuance entre ce qui appartient à du cadre VS ce qui appartient à du contrôle, dans l'alimentation. Parce que oui, la barrière est fine entre les deux, mais il est important, à mes yeux, que tu comprennes la nuance.Beaucoup de personnes alternent entre deux extrêmes : l'hypercontrôle (peser, calculer, surveiller…) et la perte de contrôle. Et lorsque l'on sort du contrôle, on a parfois l'impression de “se laisser aller”, de perdre ses repères… d'où l'importance de garder un cadre sécurisant et flexible.Dans cet épisode de podcast, je t'explique : la différence profonde entre ce qui soutient (le cadre) et ce qui enferme (le contrôle), comment reconnaître ce qui appartient à l'un ou à l'autre, comment reconstruire un cadre nourrissant, sécurisant et flexible mais aussi pourquoi le vrai lâcher-prise n'est pas d'abandonner toute structure. L'objectif étant de t'aider à sortir de la rigidité, sans tomber dans le chaos, en retrouvant un espace où l'alimentation redevient vivante, ajustable, et alignée avec ton corps.____Pour me soutenir et si vous avez apprécié l'épisode, n'hésitez pas à noter le podcast et même le partager autour de vous
⚠️ La newsletter partira lundi ! Pas vendredi ! Fatigue, perte de tonus, masse musculaire qui fond, sommeil agité, moral en dents de scie… Ces changements ne sont pas une fatalité !Vous vous demandez peut-être : Pourquoi ai-je l'impression de prendre du poids sans rien changer à mon alimentation ?Pourquoi mes muscles fondent, pourquoi je me sens plus fatiguée ?Et surtout : que puis-je faire, concrètement, pour me sentir mieux dans mon corps à cette période ?Dans cet épisode de Dans la poire !, on termine la mini-série sur les protéines en explorant leur rôle clé pendant la périménopause et la ménopause.Ces années de transition hormonale sont souvent accompagnées de nombreux bouleversements physiques : perte musculaire, ralentissement du métabolisme, prise de masse grasse abdominale, fragilité osseuse, troubles du sommeil.Des effets bien réels, mais souvent minimisés.
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Vous avez déjà entendu que les protéines animales sont “meilleures” ?Que les végétaux sont incomplets ?Ou que “sans viande, on manque de protéines” ?Ces phrases, vous les avez vues passer dans des débats télé, dans les médias, dans des pubs, peut-être même dans des conversations de famille. Elles semblent solides, évidentes, presque “scientifiques”.Mais d'où viennent-elles vraiment ?Et surtout… sont-elles vraies ?Dans cet épisode, je vous propose de remonter le fil d'un mythe qui dure depuis plus de 150 ans. Une histoire qui commence avec des chercheurs du XIXe siècle, se poursuit avec des expériences sur des rats… et qui a fini par influencer nos assiettes, nos croyances et les recommandations nutritionnelles pendant des décennies.Ce n'est pas un épisode pour vous convaincre de devenir végétarien.ne.C'est un épisode pour comprendre : comment naissent les idées reçues, pourquoi elles persistent, et ce que dit réellement la science en 2025 sur les protéines animales et végétales.Si vous vous êtes déjà demandé :“Est-ce qu'une protéine végétale est vraiment moins bonne ?”“Est-ce qu'on risque une carence si on mange moins de viande ?”“Pourquoi certains experts affirment l'inverse des autres ?”… vous êtes exactement au bon endroit.Ici, on détricote les croyances sans dogme, sans procès d'intention, et surtout avec de la nuance.Parce que derrière ce débat très émotionnel, il y a une vraie question : qu'est-ce que notre corps fait réellement des protéines que nous mangeons ?À la fin de cet épisode, vous saurez :d'où vient la hiérarchie “viande > végétal”, et pourquoi elle s'est imposéecomment des expériences faites sur des rats ont influencé nos recommandations pendant presque un sièclepourquoi les protéines végétales ont longtemps été jugées “incomplètes”ce qu'on sait aujourd'hui sur la digestibilité, la biodisponibilité et l'assimilationet surtout : comment couvrir vos besoins sans stress, sans dogme et sans calculs compliquésL'objectif n'est pas de choisir un camp.L'objectif, c'est de vous rendre + autonome.De vous permettre d'y voir clair dans un débat qui génère beaucoup de peur… et parfois beaucoup d'intérêts.Demain, on poursuivra cette mini-série avec un sujet essentiel : l'impact environnemental réel de nos choix alimentaires - au-delà du CO2 ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On vous répète qu'il faut 30 g de protéines à chaque repas, 2 g par kilo de poids, un shake après chaque séance… Si je croyais tout ce que je vois passer sur Instagram, je passerais mes journées à compter mes œufs, mon poulet et mes yaourts.Dans cet épisode, je prends un peu de recul et je réponds à une question simple :
Nous parlons dans cet épisode des habitudes atomiques, c'est-à-dire comment utiliser la technique de James Clear pour changer une ou plusieurs habitudes de manière efficace et durable. Avant d'aller plus loin, nous aimerions vous mentionner que Sophie Rolland a quelques places disponibles pour vous coacher en réduction thérapeutique des glucides, alimentation cétogène, jeûne thérapeutique et changement des habitudes de vie. Elle est sur Zoom. Prenez rendez-vous en allant sur www.gorendezvous.com/sophierolland et cliquez sur «Je suis un nouveau client», «à la carte» et choisissez le nombre de minutes dont vous avez besoin. Dans Atomic Habits de James Clear, l'auteur démontre comment de petits changements réguliers peuvent transformer durablement nos vies. S'appuyant sur la science des habitudes, il explique que la création d'une habitude ne suit pas la fameuse « règle des 21 jours » mais varie largement selon l'individu, allant parfois jusqu'à 66 jours en moyenne. Acquérir ou conserver une habitude dépend de plusieurs facteurs : constance, attractivité, facilité et satisfaction.Clear propose quatre règles pour instaurer une bonne habitude : la rendre évidente (signal visible comme mettre ses chaussures à la porte), attrayante (associer plaisir ou soutien social), facile (découper l'action et utiliser la règle des deux minutes) et satisfaisante (suivre ses progrès ou s'offrir une récompense cohérente). À l'inverse, pour briser une mauvaise habitude, il faut la rendre invisible, peu attirante, difficile d'accès et insatisfaisante.L'environnement et le contexte social jouent un rôle clé dans l'attractivité et la stabilité des habitudes. Toutefois, même une routine solidement ancrée peut être ébranlée par des imprévus (comme la pandémie). Acquérir, perdre ou reprendre une habitude est donc un processus dynamique : régularité et bienveillance sont essentielles pour tenir sur le long terme.En résumé, les techniques d'Atomic Habits offrent des outils concrets et scientifiques pour instaurer des routines saines et durables et se libérer progressivement des comportements nuisibles, tout en rappelant que la progression prime sur la perfection.Les messages clés : Les habitudes atomiques reposent sur quatre lois simples mais puissantes : rendre l'action évidente, attrayante, facile et satisfaisante, ce qui facilite leur intégration durable dans la vie quotidienne.La formation d'une habitude ne se limite pas à 21 jours : des études montrent qu'il faut en moyenne 66 jours, voire plus, pour qu'une nouvelle habitude devienne automatique, et cela varie selon chaque individu.Pour briser une mauvaise habitude, il faut appliquer l'inverse des lois d'une bonne habitude : rendre l'habitude invisible, peu attrayante, difficile ou insatisfaisante pour réduire progressivement son occurrence.*reprise complète x 2 Le maintien et la réussite des habitudes nécessitent constance, patience, et parfois adaptation face aux imprévus : une habitude bien intégrée peut être mise à mal par des événements comme la pandémie, mais il est toujours possible de la reconstruire en utilisant des stratégies basées sur la science des habitudes.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Poudre dans un shaker. Blanc de poulet grillé. Gros biceps.
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L'automne s'installe… et avec lui, les premiers nez qui coulent
Dans cet épisode, Pierre-Hugues Geoffroy reçoit Mathieu Parent, psychologue spécialisé en troubles alimentaires, pour démystifier la relation complexe que plusieurs entretiennent avec leur corps. Ensemble, ils abordent différents thèmes liés à l'image corporelle, la perte de poids et la transformation, du rôle des réseaux sociaux sur la confiance en soi ainsi que l'importance de l'acceptation. Une conversation nécessaire pour remettre du sens, de la nuance et de la santé dans la façon d'aborder le poids et le changement.—————————————————————————————————————————
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Dans ce nouveau contenu du Guide Blooness, découvrez quels sont les meilleurs morceaux de boeuf à intégrer ou réintégrer pour la santé, la longévité, les articulations et la perte de poids, que l'on soit en alimentation lowcarb, paléo, cétogène, carnivore ou plus globalement méditerranéenne et omnivore.Beaucoup d'influenceurs et de chercheurs de la sphère cétogène répètent sans cesse qu'il faut remettre la protéine et la graisse animale au centre de l'alimentation, mais en pratique, très peu expliquent comment faire : quels morceaux de viande faudrait-il consommer ?comment en parler à son boucher sans passer pour un novice ?quelles viandes faudrait-il alterner ?comment identifier ces types de viandes ?à quelle fréquence consommer telle ou telle partie du boeuf ?quel mode de cuisson selon le morceau de boeuf choisi ?et où trouver de la viande de qualité ?Autant de question auxquelles nous allons tenter de répondre dans ce nouveau contenu du Guide.Retrouvez la version écrite de ce podcast ainsi que la seconde partie exclusivement réservée aux membres Blooness sur Blooness.com :https://blooness.com/meilleurs-morceaux-boeuf-cetogene-carnivore-paleo/
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Dans cet épisode, qui est diffusé moins de 24 h après l'annonce de la FDA américaine qu'elle va retirer le black box warning sur l'hormonothérapie de remplacement pour les femmes ménopausées, nous abordons l'impact de l'estradiol sur la santé cardiovasculaire des femmes. Les études montrent que l'hormonothérapie réduit le risque de mortalité, notamment quand elle est commencée avant 60 ans, en diminuant le risque de maladies cardiaques, fractures, Alzheimer et mortalité globale. La dénégation historique liée à l'étude WHI a nui aux femmes pendant des décennies, mais la science prouve que l'hormonothérapie, surtout si débutée précocement, est bénéfique. Les symptômes comme les bouffées de chaleur, les palpitations, et leur lien avec le risque cardiovasculaire, qui ne devraient pas être ignorés. L'estradiol soutient la santé cardiaque en améliorant la fonction vasculaire, en réduisant l'inflammation, et en préservant la santé des vaisseaux. Enfin, l'hormonothérapie semble plus efficace que les statines pour prévenir ces maladies, mais elle est encore sous-utilisée en prévention primaire. La science avance, il est temps de repenser nos notions sur la ménopause et la santé des femmes.Les messages clés de l'épisode sont : Les symptômes de la ménopause peuvent être très incommodants, et même engendrer de l'insomnie et de la dépression. Les bouffées de chaleur sont particulièrement problématiques, et environ 80% des femmes vont en avoir. La sévérité des bouffées de chaleur est associée à un risque accru de maladie cardiovasculaire, mais plus d'études sont nécessaires pour savoir si c'est un lien de cause à effet. Les palpitations cardiaques sont aussi fréquentes en périménopause et en ménopause et elles sont habituellement causées par la baisse de l'estradiol, mais mieux vaut consulter son médecin si on ressent des palpitations et ne pas simplement déduire que c'est les hormones. L'estradiol soutient la santé cardiaque en améliorant le profil lipidique, en réduisant l'inflammation et en maintenant la flexibilité des vaisseaux sanguins.L'hormonothérapie de remplacement, selon les études, semble être plus efficace pour prévenir les maladies cardiovasculaires que les statines, chez les femmes, mais à l'heure actuelle, en Amérique du Nord, on ne la recommande pas encore d'emblée pour prévenir la survenue de ces maladies.Nous aimerions vous inviter à découvrir Transforma, notre programme en ligne de perte de poids qui a été pensé tout particulièrement pour les femmes en périménopause et ménopause. Transforma, c'est un programme de 8 à 12 semaines qui vous enseigne comment optimiser votre santé métabolique tout en atteignant et en maintenant votre poids santé. Arrêtez de vous battre contre votre métabolisme, apprenez comment travailler avec lui! Rendez-vous sur www.transforma.fit pour voir un webinaire gratuit qui explique comment fonctionne le programme. FDA américaine le 10 novembre 2025 : "les femmes peuvent aussi réduire leur risque de maladie cardiovasculaire d'au moins 50%" : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2005736/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si chaque repas devenait un geste de soin ?La vie serait-elle un peu + belle ? Après tout, essayons, non ? Dans cet épisode un peu hors cadre de Dans la poire !, je vous propose une pause réflexive et intime, inspirée du livre Faire de la place de Karine Sahler(éditions Les Renversantes, fondées par Victoire Tuaillon). Vous pouvez vous le procurer ici ou ici. Le point de départ du livre, c'est le désencombrement, où plutôt notre incapacité à ne pas pouvoir désencombrer nos intérieurs de vie. L'autrice parle du désecombrement matériel, certes, mais surtout émotionnel et existentiel. Karine Sahler explore ce qui se passe quand on décide de se délester, de ne plus accumuler, de se séparer de ce qui n'a plus de sens ou de place.Je vous lis un passage qui m'a profondément touché et je partage avec vous ce qu'il m'a évoqué : le désencombrement matériel, émotionnel et existentiel, la mémoire affective des objets, le besoin de repos, et cette idée de penser depuis le geste, plutôt que depuis la performance.À travers cette lecture, je vous invite à explorer le geste-soin : cette manière de se relier à soi, à travers nos actions les plus simples - manger, respirer, prendre soin de soi - en y mettant présence et intention.Présence... et... intention. ✨ C'est un épisode plus court, plus libre, plus personnel. Je vous invite à l'écouter quand vous avez besoin de ralentir, de respirer, ou simplement de reprendre goût au moment présent.
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Tu sais ces moments où tout semble bien aller, où le temps s'arrête, où tu crées, travailles ou bouges avec une clarté totale… sans forcer?C'est ça, le flow.Dans cet épisode, je t'explique comment cet état de concentration profonde te permet de performer mieux, d'être plus créative, et surtout, de te sentir vivante et connectée à ce que tu fais.On va voir ensemble :
Salut les sportifs intelligents !Tu manges ton repas, tout va bien… et deux heures plus tard, ton ventre gargouille déjà ?
Et si nos envies n'étaient pas le problème… mais une partie de la solution ?
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Je crois qu'on parle trop peu de douceur quand on parle d'alimentation.Et oui, c'est souvent ce qui manque le plus quand on se sent pris dans le cycle des compulsions alimentaires.Dans cet épisode de Dans la poire !, j'avais envie de remettre la douceur au centre du rapport à la nourriture.La douceur ? Celle qui permet de se regarder autrement, d'interrompre le jugement, et de créer enfin un espace où on peut respirer sans forcément culpabiliser.Parce que, soyons honnêtes : quand on parle de “craquage”, de “perte de contrôle” ou de “je n'ai aucune volonté”, on ne fait souvent qu'ajouter de la dureté à de la souffrance déjà existante. Et plus on se parle mal, plus on entretient le stress, le cortisol, la tension… et plus les compulsions reviennent.Rappel : La dureté abîme. La douceur répare.Dans cet épisode, je vous explique pourquoi la douceur est une vraie stratégie anti-compulsion.Je m'appuie sur les travaux de Kristin Neff (auto-compassion), Paul Gilbert (compassion-focused therapy) et Stephen Porges (théorie polyvagale) pour vous montrer comment la bienveillance envers soi apaise littéralement le système nerveux.Quand on se parle avec douceur, le corps se détend, l'amygdale se calme, le besoin de réconfort immédiat diminue.Ce n'est pas du “lâcher-prise”, c'est de la régulation émotionnelle.Je vous propose aussi des pistes très concrètes :→ une phrase-repère→ un petit rituel de 60 secondes Des gestes simples et puissants, pour commencer à sortir du cycle “je craque → je culpabilise → je recommence”.Et si vous avez grandi dans un environnement où la douceur était absente, si elle vous semble étrange, inutile, voire dangereuse, cet épisode est aussi pour vous. On parle de cette éducation qui ne nous a pas toujours appris à consoler, de la place du genre dans notre rapport à la vulnérabilité, et de la force politique qu'il y a à dire : “Je refuse de me traiter comme une machine.”Je crois sincèrement que la douceur n'est pas un luxe, c'est une nécessité.C'est une posture intérieure, un entraînement, une résistance à une culture qui nous pousse sans arrêt à faire plus, à être plus, à contrôler davantage.La douceur, c'est le choix courageux de se traiter comme un être humain avant de se traiter comme un projet.Alors, si vous vous sentez souvent en lutte avec vous-même, si vous avez envie d'en finir avec la culpabilité autour de la nourriture, cet épisode pourrait bien changer quelque chose.
Tu veux perdre du gras, tu fais attention à ce que tu manges… mais ton corps ne réagit plus ?
Les réseaux sociaux ont profondément transformé notre rapport à l'alimentation, au corps et au plaisir de manger. Entre les contenus “healthy”, les “What I Eat In A Day” et les transformations physiques spectaculaires, il devient difficile de distinguer la réalité de la mise en scène. Cet épisode analyse comment Instagram, TikTok et YouTube influencent nos comportements alimentaires, nos émotions et notre perception du corps.Nous passons en moyenne 2 h 30 par jour sur les réseaux sociaux, exposés à des images filtrées qui modèlent nos désirs, nos envies et nos croyances sur ce que signifie “bien manger”. Derrière ces contenus apparemment anodins se cachent des mécanismes psychologiques puissants : la comparaison sociale, la recherche de validation et la culpabilité liée à l'alimentation.Dans cet épisode, j'explore trois dimensions essentielles :
Salut les sportifs intelligents !
Vous est-il déjà arrivé de vous dire : « j'ai trop mangé » ?Ce moment où l'on sent que c'était un peu trop, où la culpabilité s'installe, où le mental prend le dessus. Très vite, surgit l'envie de “compenser”, de “se reprendre”, ou simplement de s'en vouloir.Dans cet épisode, je vous propose une autre voie : celle de la résilience alimentaire. Tiens, comme c'est bizarre, le 13 octobre, c'est la journée internationale de la résilience... :)Alors alors... Plutôt que de vous juger, et si vous appreniez à comprendre ce qui s'est réellement passé ?À reconnaître qu'il y a eu un déséquilibre, mais que cela ne remet pas tout en en cause.Je partage avec vous ma manière d'aborder ces situations à travers trois étapes simples et concrètes :1️⃣ Faire une pause. Prendre un instant pour ne rien faire.2️⃣ Observer avec curiosité. Comprendre vos comportements sans accusation, avec douceur.3️⃣ Reprendre le fil. Poser des gestes calmes, bienveillants et nourrissants pour revenir à vous.Mon intention n'est pas de vous dire quoi manger, ni de vous donner une méthode de plus.Je veux simplement vous aider à retrouver une relation apaisée à la nourriture, à sortir du cycle culpabilité → punition, et à renforcer votre capacité à rebondir.Parce que la résilience, ce n'est pas de manger parfaitement.C'est de savoir quoi faire quand on ne l'a pas fait.C'est cette faculté à reconnaître, accueillir, puis avancer, sans rester coincé dans le jugement.Je vous invite à explorer avec moi cette façon plus douce d'habiter vos repas :
Manger...C'est ce geste intime, culturel… et profondément politique.La version filmée, c'est par ici ! J'ai besoin de votre aide sur YOUTUBE ! Venez mettre un commentaire ou un pouce bleu ! Dans cet épisode de Dans la poire!, je reçois Lauren Malka, autrice de Mangeuses – Histoire de celles qui dévorent, savourent ou se privent à l'excès (Éditions Les Pérégrines). Ensemble, nous explorons une question aussi intime que politique : pourquoi les femmes ont peur de manger.Ce rapport à la nourriture, loin d'être instinctif, a été façonné par des siècles d'injonctions, de contrôle et de patriarcat.De la mythologie aux magazines féminins, la société a appris aux femmes à craindre leur appétit, à se punir de leur gourmandise, et à confondre minceur et valeur.Au menu :Comment l'histoire et la culture ont forgé la peur de mangerLe passage de la “bonne mangeuse” à la “bonne mince”La gourmandise punie dès l'enfance et dans les contesLe lien entre patriarcat, capitalisme et corps fémininEt cette question essentielle : manger librement, est-ce désobéir ?Pour qui :Pour celles qui culpabilisent d'aimer mangerPour celles qui veulent comprendre leur rapport au corpsPour tous ceux qui s'interrogent sur la façon dont la société contrôle les appétits fémininsCet épisode invite à réfléchir, à se libérer, et à retrouver le plaisir simple de manger sans peur, sans honte, sans injonction.Ressources mentionnées :
Salut les sportifs intelligents ! Cette semaine, on va parler d'un sujet qui va bien au-delà du physique : la confiance en soi. Beaucoup pensent que perdre du poids, c'est seulement une histoire de calories et de sport… mais en réalité, c'est aussi une question de mental.
À quelle vitesse perte du poids, calmer un syndrome rotulien, mon avis sur les réseaux sociaux dans le sport et mes objectifs pour 2026. Ce sont les questions qui m'ont été posées cette semaine. Et ça me permet de vous parler de la drôle d'idée que j'ai eue pour 2026.Liens :Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolekm42Nouveau : La Stratégie FlowFit (tarif de lancement spécial) : https://go.soulier.xyz/flowfitkm42Le formulaire pour poser vos questions : https://tally.so/r/3yBqXWTous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/374Les questions de la semaine me permettent de revenir sur l'importance de perdre du gras et prendre du muscle plutôt que viser une perte de poids. Vous comprendrez comment sont nés mes programmes comme Le Protocole Perte de Gras et le tout nouveau FlowFit.Je vous partage ma vision des réseaux sociaux actuels et des problématiques de la comparaison et du découragement avec les réseaux sociaux comme Strava et Instagram. J'ai les genoux qui grincent, surtout un et ce serait un problème de syndrome rotulien. La question de la semaine me permet de vous en parler et comment j'évite qu'il me fasse mal. Enfin je vous parle d'une idée née dans un rêve mais qui me motive beaucoup pour les mois qui viennent. Surtout en y ajoutant une dimension de jeu. Les questions de cet épisode :Combien de kilos maximum recommandes-tu de perdre par semaine / mois ?Les réseaux sociaux ? Bonne ou mauvaise chose ? J'allais marqué pour la course mais pas que Douleurs liées à un syndrome rotulien, quoi faire pour ne plus avoir de douleur ?
Saviez-vous qu'en France, une femme meurt toutes les 7 minutes d'une maladie cardiovasculaire ?Moi, non. Saviez-vous qu'en France, les femmes sont parfois plus exposées que les hommes à certains risques cardiaques, en particulier l'AVC ?Moi, non.
Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 18 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous venez de manger. Peut-être trop, peut-être sans faim, peut-être en cherchant à calmer quelque chose qui n'a rien à voir avec la nourriture. Et maintenant, la culpabilité arrive… ce mélange d'agacement, de honte et de jugements intérieurs qui semblent tourner en boucle. Si cette sensation vous est familière, vous n'êtes pas seul·e. Cet épisode de Dans la poire ! est pour vous.
Pendant que vous attendez de maigrir pour vivre… votre vie passe.Dans ce dernier épisode des cahiers de vacances, je vous invite à explorer cette question : et si vos vrais objectifs santé et bien-être n'avaient rien à voir avec la balance ?Pour aller + loin, go dans les bonus : c'est dans ma newsletter sur ce post !Téléchargez votre cookbook juste ici : https://brumauld.systeme.io/cookbook-magnifique-ete-miam-miamEn tant que diététicien-nutritionniste, tout l'été, je vous ai proposé 8 exos pour transformer votre relation à l'alimentation. Aujourd'hui, nous allons parler de ces objectifs non pondéraux : ceux qui comptent mais qu'on repousse souvent à “quand j'aurai perdu du poids”.Spoiler alert : perdre du poids, ça peut vraiment compter pour vous. Et perdre du poids PEUT vous mener à un meilleur état de santé. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit !