HeyA, le podcast qui met en lumière les parcours inspirants de femmes de culture arabe et berbère.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Myriam François.Myriam est journaliste, chercheuse, animatrice de podcast et réalisatrice de documentaires. Elle a travaillé pour des médias prestigieux tels que la BBC, The Guardian et Al Jazeera.Son parcours académique est impressionnant, elle a notamment un doctorat de l'université d'Oxford portant sur la société postcoloniale et les mouvements anticoloniaux.Myriam s'est imposée dans les médias anglo-saxons comme une figure incontournable du dialogue interculturel et de la réflexion sur les dynamiques sociopolitiques façonnant notre monde.Dans cet épisode, nous avons discuté de :· la différence de traitement du sujet de la diversité entre la France et le Royaume-Uni,· la responsabilité légale de certains médias occidentaux dans leur contribution au génocide à Gaza,· religion,· la place de l'Islam en France.Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour – Myriam Francois.----------------------------------------------------- Références citées :
Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Myriam François.Journaliste, Myriam a travaillé pour de prestigieux médias tels que la BBC, The Guardian ou Al Jazeera. Elle est aussi chercheuse et réalisatrice de documentaires.Elle a un parcours académique impressionnant dont un doctorat de l'université d'Oxford portant sur la société postcoloniale et les mouvements anticoloniaux. Myriam s'est imposée dans les médias Anglo saxons comme une figure incontournable du dialogue interculturel et de la réflexion sur les dynamiques sociopolitiques qui façonnent notre monde. Dans cet épisode, nous avons discuté:de la différence de traitement du sujet de la diversité entre la France et le UKde la définition de la blanchitéde racisme anti-blancde la responsabilité légale de certains médias occidentaux pour leur contribution dans le g*n*cide à Gaza, mais aussi de religion et de la place de l'Islam en France. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ---------------------------------------------------------Pour suivre MyraimInstagram : @myzfrancoisPour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Manèle Labidi, scénariste et réalisatrice franco-tunisienne.Après des études en sciences politiques et une carrière initiale dans la finance, Manèle décide de se consacrer pleinement à sa passion : le cinéma.Rapidement, elle s'impose dans le paysage cinématographique international avec son premier long-métrage, Un divan à Tunis.Son dernier film, Reine Mère, une chronique familiale douce-amère qui ose le fantastique, traitant avec tendresse et modernité des thèmes de l'exil, de l'identité et du déclassement social. C'est un film intime et politique avec un super casting dont Camélia Jordana et Sofiane Zermani.Dans cet épisode, Manèle revient sur son enfance et son parcours atypique. Nous avons également discuté :· des raisons qui l'ont poussée à réaliser son dernier film Reine Mère,· comment l'Histoire modèle notre présent et les histoires,· du manque de représentations de l'« arabe »,· des obstacles rencontrés dans sa carrière.Sans plus attendre, je laisse place à la HeyA du jour – Manèle Labidi. ----------------------------------------------------- Pour suivre ManèleInstagram : @manelelabidi Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Magda El Haitem, avocate au Barreau de Paris. Après une formation en droit international et droit humain, Magda a poursuivi une carrière à l'étranger : au Liban d'abord, puis en Tunisie (où elle s'est particulièrement intéressée aux problématiques liées à la justice transitionnelle) ainsi qu'à Londres dans un cabinet international. Installée en France depuis 2021, elle a ouvert son propre cabinet. Magda est issue d'une famille aux origines diverses, marocaine via son papa et algérienne via sa maman. Cette double culture ressentie très jeune lui ont fait se poser des questions identitaires très tôt. Elle nous raconte le choc ressenti à 14 ans lorsqu'elle a déménagé de son petit cocon dans les Yvelines direction Paris où elle s'est retrouvée être la seule enfant d'origine arabe. Elle nous explique ce qui l'a poussé à faire des études de droit, plus particulièrement à suivre une spécialité en droit international ainsi que les raisons qui l'ont incité à quitter la France et s'ouvrir au monde. Elle évoque avec beaucoup d'émotion son expérience en Tunisie quelques mois après la révolution, un moment historique et unique pour la spécialiste en justice transitionnelle qu'elle est. Elle nous raconte comment ses différentes « immigrations » (et non expatriation) l'ont aidé à grandir, s'accepter et devenir la femme qu'elle est aujourd'hui. Nous avons également parlé de l'usage du terme expatriation vs immigration, mais aussi du pouvoir du récit et de ce manque en France sur plusieurs problématiques. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Magda El Haitem. ----------------------------------------------------- Pour suivre Magda Site web: https://www.elhaitem-law.com Instagram: https://www.instagram.com/elhaitem_avocate Pour suivre Avocats Solidaire Instagram: https://instagram.com/avocatssolidaires?utm_medium=copy_link Pour suivre Heya Instagram : https://www.instagram.com/heya_podcast/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Fethia Sabrina Farhani alias Vitalunaspirit. Sabrina a mille vies et évolue dans des milieux radicalement différents. Elle est médecin, entrepreneure, ancienne mannequin, passionnée de motos et influenceuse suivie par plus de 75,000 followers. Dans cet épisode, Sabrina revient sur son enfance marquée par le rôle important de sa maman qui lui octroie très tôt beaucoup de liberté et confiance. Elle aborde également les difficultés rencontrées au moment où il lui a fallu accepter son profil considéré à « haut potentiel ». Lorsque Sabrina arrive en France il y a deux ans elle n'imagine pas un instant ce qu'elle s'apprête à vivre. Elle commence à travailler le 16 Mars 2020 dans un hôpital de la banlieue parisienne. Cette date qui pourrait paraître anodine marque en fait le début du confinement en France et l'ouverture des unités Covid dans lesquelles elle va évoluer de nombreux mois. Elle nous raconte comment elle a vécu cette période pleine d'incertitudes et revient sur son expérience de médecin pendant ce moment historique. Nous avons aussi parlé de santé mentale et des raisons qui la pousse aujourd'hui à aborder ce thème de plus en plus fréquemment sur son compte Instagram. Sabrina évoque sans filtre la dépression qu'elle a traversé il y a quelques années. C'est d'ailleurs la première fois qu'elle se livre sur le sujet et je la remercie infiniment pour sa confiance et transparence. Enfin nous avons échangé sur l'importance de se connaître et passer du temps seul, mais aussi de sa relation avec les réseaux sociaux. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Sabrina Farhania alias Vitalunaspirit. ----------------------------------------------------- Pour suivre Vitalunaspirit Instagram : https://www.instagram.com/vitalunaspirit/ Pour suivre HeyAInstagram : https://www.instagram.com/heya_podcast/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Sofya Benzakour, créatrice de contenu lifestyle et entrepreneure. Elle est la cofondatrice de la marque de vêtements « Bahaar ».Dans cet épisode, Sofya revient sur son enfance à Fès au Maroc, son arrivée en France et son parcours professionnel : de l'architecture, en passant par la création du contenu et l'entreprenariat.Nous avons également discuté :- De la perception du métier d'influenceur/euse dans notre société- Du manque de représentativité des personnes nord-africaine au sein de l'industrie de la mode- Des défis rencontrés en tant qu'entrepreneure- Et du poids de la tradition sur les sujets liés au mariage des filles une fois la trentaine atteinteSans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Sofya Benzakour.-------------------------------------------Pour suivre Sofya et BahaarSofya : @sofyabenzakourBahaar : @bahaar_paris Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Rania Talala, fondatrice d'Ardi Concept store, premier lieu culturel palestinien à Paris. Dans cet épisode Rania retrace son parcours, de professeur de français à chef d'entreprise.Elle revient sur les raisons qui l'ont poussées à se lancer dans l'aventure Ardi alors qu'elle était une maman célibataire de 3 enfants, sans économie ni expérience entrepreneuriale. Elle nous raconte les défis rencontrés et le soutien infaillible de sa communauté qui ira jusqu'à financer 50% du projet.Une fois la dimension financière du projet réglée et alors qu'elle imagine le plus dur derrière, elle est confrontée à un véritable parcours du combattant lors de la recherche d'un local. Son dossier est automatiquement rejeté, ceci en lien avec la nature de son engagement. Alors qu'elle était très active sur les réseaux sociaux et via son blog, Rania décide de se retirer de la toile pour permettre à son projet déclore et exister. Nous avons aussi discuté de la condition palestinienne, de résistance mais aussi de la maladie auto-immune qu'on lui a diagnostiquée récemment. Sans plus attendre, je laisse place à la HeyA du jour - Rania Talala. ----------------------------------------------------- Pour suivre Rania et ArdiInstagram : @les_petits_plats_palestiniens @ardi.concept.storePour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Rania Talala, fondatrice d'Ardi Concept store, premier lieu culturel palestinien à Paris. Dans cet épisode Rania retrace son parcours, de professeur de français à chef d'entreprise.Elle revient sur les raisons qui l'ont poussées à se lancer dans l'aventure Ardi alors qu'elle était une maman célibataire de 3 enfants, sans économie ni expérience entrepreneuriale. Elle nous raconte les défis rencontrés et le soutien infaillible de sa communauté qui ira jusqu'à financer 50% du projet.Une fois la dimension financière du projet réglée et alors qu'elle imagine le plus dur derrière, elle est confrontée à un véritable parcours du combattant lors de la recherche d'un local. Son dossier est automatiquement rejeté, ceci en lien avec la nature de son engagement. Alors qu'elle était très active sur les réseaux sociaux et via son blog, Rania décide de se retirer de la toile pour permettre à son projet déclore et exister. Nous avons aussi discuté de la condition palestinienne, de résistance mais aussi de la maladie auto-immune qu'on lui a diagnostiquée récemment. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Rania et ArdiInstagram : @les_petits_plats_palestiniens @ardi.concept.storePour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Sélima Sfar, première femme arabe à avoir intégré le top 100 du tennis professionnel féminin. Elle est aujourd'hui entrepreneure et consultante pour beIN Sports et Al Jazeera. Dans cet épisode, Sélima retrace son enfance heureuse en Tunisie. Elle nous parle de sa relation unique avec son grand père journaliste et militant de la première heure pour l'indépendance de la Tunisie. Ce lien marquera d'ailleurs profondément la femme quelle est devenue. Sélima évoque ses premiers pas au tennis. A l'âge de 12 ans, ses excellentes performances vont l'emmener à Paris afin d'effectuer un test de sélection à Roland-Garros. Son niveau y est reconnu et elle se voit offrir une place dans le centre de formation. Cette opportunité est cependant conditionnelle, en effet elle est invitée à se faire naturaliser et jouer pour la France afin de définitivement valider la proposition. Ambitionnant de jouer pour les couleurs de son pays et devenir la première tenniswoman arabe Sélima refuse catégoriquement cette offre. Ce qui conduira ainsi sa famille à personnellement financer son cursus au sein d'une des meilleures académies à Biarritz. Sélima revient sur le passage le plus sombre de son adolescence, les abus sexuels de Regis de Camaret son entraîneur de l'époque. Elle nous explique ce qui l'a incité à en parler publiquement à l'âge de 46 ans. Nous avons aussi discuté de la prévention des abus, de la difficulté d'évoquer ses sujets tabous en tant que femme arabe et de l'importance de l'éducation transmise aux enfants. Enfin, Sélima nous parle de son nouveau projet Unus Mundus qui œuvre entre autres à la prévention de ces abus. Un épisode qui traite de thèmes sensibles jamais évoqués jusque-là sur le podcast mais qui sont d'utilité publique. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Sélima Sfar. ----------------------------------------------------- Pour suivre Sélima et ses activités Instagram : @selimasfar www.unusmundusforall.com Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Sélima Sfar, première femme arabe à avoir intégré le top 100 du tennis professionnel féminin. Aujourd'hui entrepreneure et consultante pour beIN Sports et Al Jazeera. Dans cet épisode, Sélima retrace son enfance heureuse en Tunisie. Elle nous parle de sa relation unique avec son grand père journaliste et militant de la première heure pour l'indépendance de la Tunisie. Ce lien marquera d'ailleurs profondément la femme quelle est devenue. Sélima évoque ses premiers pas au tennis. A l'âge de 12 ans, ses excellentes performances vont l'emmener à Paris afin d'effectuer un test de sélection à Roland-Garros. Son niveau y est reconnu et elle se voit offrir une place dans le centre de formation. Cette opportunité est cependant conditionnelle, en effet elle est invitée à se faire naturaliser et jouer pour la France afin de définitivement valider la proposition. Ambitionnant de jouer pour les couleurs de son pays et devenir la première tenniswoman arabe Sélima refuse catégoriquement cette offre. Ce qui conduira ainsi sa famille à personnellement financer son cursus au sein d'une des meilleures académies à Biarritz. Sélima revient sur le passage le plus sombre de son adolescence, les abus sexuels de Regis de Camaret son entraîneur de l'époque. Elle nous explique ce qui l'a incité à en parler publiquement à l'âge de 46 ans. Nous avons aussi discuté de la prévention des abus, de la difficulté d'évoquer ses sujets tabous en tant que femme arabe et de l'importance de l'éducation transmise aux enfants. Enfin, Sélima nous parle de son nouveau projet Unus Mundus qui œuvre entre autres à la prévention de ces abus. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Sélima et ses activitésInstagram : @selimasfar www.unusmundusforall.com Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je suis particulièrement émue de partager ma conversation avec Ines Abdel Razek, Directeur Executive au sein du Palestine Institute for Public Diplomacy (PIPD). Avant cela, Inès a travaillé au sein de l´Union pour la Méditerranée, l'ONU puis a exercé en tant que consultante au bureau du premier ministre palestinien.L'Interview a été enregistré à distance car elle est actuellement basée à Ramallah.Ines est née à Paris d'une maman française et d´un papa refugié palestinien militant de l'OLP (Organisation de la libération de la Palestine) ce qui la conduira à rencontrer plusieurs fois Yasser Arafat. Durant son enfance, elle vit de façons périodiques en France et en Palestine. Elle nous parle avec nostalgie de ses années passées à Gaza.Inès revient sur ses années d´étude à Science Po, ses premières expériences professionnelles et ce qui l'a incité à s'installer en Palestine afin de s'engager en faveur de son pays.Elle nous raconte son quotidien et toutes les contraintes auxquelles sont confrontées les Palestiniens de Cisjordanie.Nous avons également parlé de l'évolution de son identité, de l'invisibilisation des voix palestiniennes, de la transmission d´un patrimoine détruit depuis des années mais aussi du conflit actuel et de son impact sur l'ordre mondial.Inès est devenue maman quelque jours avant le 7 octobre. Elle évoque la façon qu'elle a eu d'appréhender cette étape si importante de la vie dans le contexte actuel.Le parcours et l'histoire d´Inès m'ont profondément touché.Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Inès Abdel Razek.---------------Pour suivre Ines et soutenir le PIPDInstagram: @Inesarazek et @rabetbypipdPour soutenir le PIPD : https://www.thepipd.com/donate/Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je partage un extrait de ma conversation avec Inès Abdel Razek, Directrice Executive au sein du Palestine Institute for Public Diplomacy (PIPD). Avant cela, Inès a travaillé au sein de l´Union pour la Méditerranée, l'ONU puis a exercé en tant que consultante au bureau du premier ministre palestinien.L'Interview a été enregistré à distance car elle est actuellement basée à Ramallah.Ines est née à Paris d'une maman française et d´un papa refugié palestinien militant de l´OLP (Organisation de la libération de la Palestine) ce qui la conduira à rencontrer plusieurs fois Yasser Arafat. Durant son enfance, elle vit de façons périodiques en France et en Palestine. Elle nous parle avec nostalgie de ses années passées à Gaza.Ines revient sur ses années d´étude à Science Po, ses premières expériences professionnelles et ce qui l'a incité à s'installer en Palestine afin de s'engager en faveur de son pays.Elle nous raconte son quotidien et toutes les contraintes auxquelles sont confrontées les Palestiniens de Cisjordanie.Nous avons également parlé de l'évolution de son identité, de l'invisibilisation des voix palestiniennes, de la transmission d´un patrimoine détruit depuis des années mais aussi du conflit actuel et de son impact sur l'ordre mondial.Inès est devenue maman quelque jours avant le 7 octobre. Elle évoque la façon qu´elle a eu d'appréhender cette étape si importante de la vie dans le contexte actuel.Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Ines et soutenir le PIPDInstagram: @Inesarazek et @rabetbypipdPour soutenir le PIPD : https://www.thepipd.com/donate/Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Kaouthar Trojette, coach exécutive pour femmes cadres et dirigeantes.Née en Belgique, Kaouthar grandit au sein d'une famille modeste et aimante. Scolarisée dans une école catholique, elle se souvient ne pas se sentir à son aise dans cet environnement. A ses neuf ans, ses parents décident de revenir au pays et s'installer en Tunisie. Après l'obtention de son baccalauréat, Kaouthar part étudier en France et débute une carrière d'ingénieur. Son poste lui offre la possibilité de vivre plusieurs expatriations notamment en Colombie, au Royaume Uni et en Inde.Bien que ces expériences soient enrichissantes, le métier et le mode vie d'ingénieur terrain sont très contraignants.Après plusieurs années intenses elle est diagnostiquée d'une péri ménopause. Cette annonce constitue un déclic. Elle décide ainsi de mettre en pause ce rythme de travail effréné et songe à changer de vie.Elle se connecte alors à son corps, prend du temps pour elle et décide de se lancer dans le coaching.Nous avons discuté du lien entre le corps et le mental, des dérives du développement personnel et de l'importance de résoudre les problèmes systémiques à l'échelle collective. Kaouthar parle également du fonctionnement neuro-somatique et partage avec nous des tips pour améliorer la confiance en soi. Sans plus attendre, je laisse place à la HeyA du jour - Kaouthar Trojette.----------------------------------------------------- Pour suivre KaoutharLinkedIn : Kaouthar Trojette | LinkedInToutes Puissantes ! | Ausha Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Kaouthar Trojette, coach exécutive pour femmes cadres et dirigeantes et fondatrice du podcast "Toutes puissantes".Née en Belgique, Kaouthar grandit au sein d'une famille modeste et aimante. Scolarisée dans une école catholique, elle se souvient ne pas se sentir à son aise dans cet environnement. A ses neuf ans, ses parents décident de revenir au pays et s'installer en Tunisie. Après l'obtention de son baccalauréat, Kaouthar part étudier en France et débute une carrière d'ingénieur. Son poste lui offre la possibilité de vivre plusieurs expatriations notamment au UK, en Colombie et en Inde.Bien que ces expériences soient enrichissantes, le métier et le mode vie d'ingénieur terrain sont très contraignants.Après plusieurs années intenses elle est diagnostiquée d'une péri ménopause. Cette annonce constitue un déclic. Elle décide ainsi de mettre en pause ce rythme de travail effréné et songe à changer de vie.Elle se connecte alors à son corps, prend du temps pour elle et décide de se lancer dans le coaching.Nous avons discuté du lien entre le corps et le mental, des dérives du développement personnel et de l'importance de résoudre les problèmes systémiques à l'échelle collective. Kaouthar parle également du fonctionnement neuro-somatique et partage avec nous des tips pour améliorer la confiance en soi. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre KaoutharLinkedIn : Kaouthar Trojette | LinkedInToutes Puissantes ! | Ausha Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Ines Leonarduzzi, cheffe d'entreprise, autrice et fondatrice de l'ONG Digital for the Planet. Vous laurez compris Inès a plus d'une corde à son arc et un parcours très inspirant. Dans cet épisode, elle retrace son enfance en Normandie au sein d'un couple mixte : papa italo-croate et une maman Berbère d'Algérie. Éduquée par son grand-père imam, elle a été scolarisée dans une école catholique. Inès revient sur son adolescence et ses complexes passés issus de l'effet pervers des diktats de la beauté de l'époque. Elle se livre sans filtre sur le harcèlement subi à l'école et ses conséquences sur la petite fille qu'elle était. Elle partage également la difficulté qu'elle a eu plus jeune à appréhender et maîtriser sa double identité. Inès évoque avec beaucoup d'émotions les précieux conseils transmis par son grand-père qui ont contribué à bâtir la femme qu'elle est devenue. Enfin, nous avons discuté d´amour de soi, de transclasses, du poids des diplômes en France et de maternité.Un épisode à cœur ouvert que j'ai pris un plaisir immense à enregistrer.Sans plus attendre, je laisse place à la HeyA du jour – Inès Leonarduzzi. ----------------------------------------------------- Pour suivre InèsInstagram: @inesleonarduzziPour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Inès Leonarduzzi, cheffe d'entreprise, autrice et fondatrice de l'ONG Digital for the Planet. Vous laurez compris Inès a plus d'une corde à son arc et un parcours très inspirant. Dans cet épisode, elle retrace son enfance en Normandie au sein d'un couple mixte : papa italo-croate et une maman Berbère d'Algérie. Éduquée par son grand-père imam, elle a été scolarisée dans une école catholique. Inès revient sur son adolescence et ses complexes passés issus de l'effet pervers des diktats de la beauté de l'époque. Elle se livre sans filtre sur le harcèlement subi à l'école et ses conséquences sur la petite fille qu'elle était. Elle partage également la difficulté qu'elle a eu plus jeune à appréhender et maîtriser sa double identité. Inès évoque avec beaucoup d'émotions les précieux conseils transmis par son grand-père qui ont contribué à bâtir la femme qu'elle est devenue. Enfin, nous avons discuté d´amour de soi, de transclasses, du poids des diplômes en France et de maternité.Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre InèsInstagram: @inesleonarduzziPour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Léa Sfeir, artiste de table et créatrice de contenu lifestyle.Léa est également entrepreneure et a lancé sa marque d'Art de la table « By LéaSfeir ». Dans cet épisode Léa revient sur son enfance, son arrivée en France à l'âge de 7 ans et évoque la manière dont sa famille a fui un Liban en guerre. Elle partage avec nous ses premiers souvenirs et décrit son émerveillement face à toutes ces petites choses qui semblaient pourtant si basiques aux autres petits enfants. Elle retrace sa carrière, du droit au relation presse, en passant par l'influence et l'art de la table et nous raconte comment elle a réussi à faire de sa passion un métier. Nous avons également discuté de ses débuts sur Instagram et de son rapport aux réseaux sociaux. Enfin, Léa se livre sans filtre sur la maternité et les expériences douloureuses auxquelles elle a été confrontée. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Léa Sfeir.----------------------------------------------------- Pour suivre LéaLéa: @leasfeir Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Léa Sfeir, artiste de table et créatrice de contenu lifestyle.Léa est également entrepreneure et a lancé sa marque d'Art de la table « By LéaSfeir ». Dans cet épisode Léa revient sur son enfance, son arrivée en France à l'âge de 7 ans et évoque la manière dont sa famille a fui un Liban en guerre. Elle partage avec nous ses premiers souvenirs et décrit son émerveillement face à toutes ces petites choses qui semblaient pourtant si basiques aux autres petits enfants.Elle retrace sa carrière, du droit au relation presse, en passant par l'influence et l'art de la table et nous raconte comment elle a réussi à faire de sa passion un métier. Nous avons également discuté de ses débuts sur Instagram et de son rapport aux réseaux sociaux. Enfin, Léa se livre sans filtre sur la maternité et les expériences douloureuses auxquelles elle a été confrontée. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre LéaLéa : @leasfeir Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Amina Kalache, journaliste au sein du media indépendant Le Média. Amina a également exercé au sein de prestigieuses rédactions françaises et internationale telles que : Aljazeera, BBC, ITV, Skynews ou encore BFM.Née d'une maman algérienne et d'un papa français, Amina revient sur son enfance et son amour pour l'Algérie. Elle nous raconte son parcours professionnel et ce qui l'a conduit à devenir journaliste alors qu'elle était destinée à devenir professeur d'anglais. Elle évoque sans détour les raisons qui l'ont incité à s'éloigner des grands médias pour se diriger vers une structure indépendante.Nous avons aussi évoqué l'expérience journalistique qui l'a le plus marquée ainsi que les différentes approches dans le traitement de l'information entre les médias anglophones et français.Enfin, nous avons échangé sur les évènements actuels en Palestine et de leurs impacts sur sa vie. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Amina Kalache.----------------------------------------------------- Pour suivre AminaInstagram: @amina.kalache Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Amina Kalache, journaliste au sein du média indépendant Le Média. Amina a également exercé au sein de prestigieuses rédactions françaises et internationale telles que : Aljazeera, BBC, ITV, Skynews ou encore BFM.Née d'une maman algérienne et d'un papa français, Amina revient sur son enfance et son amour pour l'Algérie. Elle nous raconte son parcours professionnel et ce qui l'a conduit à devenir journaliste alors qu'elle était destinée à devenir professeur d'anglais. Elle évoque sans détour les raisons qui l'ont incité à s'éloigner des grands médias pour se diriger vers une structure indépendante.Nous avons aussi évoqué l'expérience journalistique qui l'a le plus marquée ainsi que les différentes approches dans le traitement de l'information entre les médias anglophones et français.Enfin, nous avons échangé sur les évènements actuels en Palestine et de leurs impacts sur sa vie. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre AminaInstagram: @amina.kalache Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Laila Mamou, Directrice de l'Engagement citoyen chez Crédit Agricole Consumer Finance et membre du comité exécutif. Laila est également très engagée et occupe la fonction de PDG au sein de l´association Injaz el Maghrib. Vous l'aurez compris, Laila a une carrière exceptionnelle et a déjà figuré à plusieurs reprises dans le classement des femmes les plus puissantes du monde arabe établi par Forbes. Dans cet épisode, Laila revient sur son enfance à Casablanca au sein d'une fratrie de sept. Elle évolue dans un environnement traditionnel mais très jeune elle se montre têtue et défie certaines règles établies. Cet aspect rebelle lui permettra d'ailleurs d'être l'unique enfant de la famille à suivre un cursus au sein de l'école française. Elle poursuit ensuite ses études universitaires en France mais revient travailler sur sa terre natale où elle exerce en tant que Présidente du directoire de Wafasalaf, une des filiales locales de Crédit Agricole. Trente-cinq ans plus tard, à l'âge de cinquante-quatre ans, elle décide de sortir de sa zone de confort et accepte une nouvelle opportunité professionnelle en France. Laissant derrière elle une vie très confortable. Laila revient sans filtre sur les défis auxquels elle a fait face tout au long de son parcours et évoque notamment un harcèlement subi au cours de sa carrière. Nous avons également discuté de leadership et de l'importance pour les femmes occupant ces postes de ne pas calquer les styles masculins. Un épisode très riche qui je l'espère vous procurera autant de plaisir que j'ai pris à l'enregistrer. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Laila Mamou.----------------------------------------------------- Pour suivre LailaLinkedIn: Laila Mamou | LinkedInPour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Laila Mamou, Directrice de l'Engagement citoyen chez Crédit Agricole Consumer Finance et membre du comité exécutif.Laila est également très engagée et occupe la fonction de PDG au sein de l´association Injaz el Maghrib.Vous l'aurez compris Laila a une carrière exceptionnelle et a déjà figuré à plusieurs reprises dans le classement des femmes les plus puissantes du monde arabe établi par Forbes. Dans cet épisode Laila revient sur son enfance à Casablanca au sein d'une fratrie de sept. Elle évolue dans un environnement traditionnel mais très jeune elle se montre têtue et défie certaines règles établies. Cet aspect rebelle lui permettra d'ailleurs d'être l'unique enfant de la famille à suivre un cursus au sein de l'école française. Elle poursuit ensuite ses études universitaires en France mais revient travailler sur sa terre natale où elle exerce en tant que Présidente du directoire de Wafasalaf, une des filiales locales de Crédit Agricole. Trente-cinq ans plus tard à l'âge de cinquante-quatre ans elle décide de sortir de sa zone de confort et accepte une nouvelle opportunité professionnelle en France. Laissant derrière elle une vie très confortable. Laila revient sans filtre sur les défis auxquels elle a fait face tout au long de son parcours et évoque notamment un harcèlement subi au moment d'une promotion en France. Nous avons également discuté de leadership et de l'importance pour les femmes occupant ces postes de ne pas calquer les styles masculins. Un épisode très riche qui je l'espère vous procurera autant de plaisir que j'ai pris à l'enregistrer. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre LailaLinkedIn: Laila Mamou | LinkedInPour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
En cette veille de la journée internationale des droits des femmes je suis particulièrement émue de partager ma conversation avec Ines Abdel Razek, Directeur Executive au sein du Palestine Institute for Public Diplomacy (PIPD). Avant cela, Inès a travaillé au sein de l´Union pour la Méditerranée, l'ONU puis a exercé en tant que consultante au bureau du premier ministre palestinien.L'Interview a été enregistré à distance car elle est actuellement basée à Ramallah.Ines est née à Paris d'une maman française et d´un papa refugié palestinien militant de l'OLP (Organisation de la libération de la Palestine) ce qui la conduira à rencontrer plusieurs fois Yasser Arafat. Durant son enfance, elle vit de façons périodiques en France et en Palestine. Elle nous parle avec nostalgie de ses années passées à Gaza.Inès revient sur ses années d´étude à Science Po, ses premières expériences professionnelles et ce qui l'a incité à s'installer en Palestine afin de s'engager en faveur de son pays.Elle nous raconte son quotidien et toutes les contraintes auxquelles sont confrontées les Palestiniens de Cisjordanie.Nous avons également parlé de l'évolution de son identité, de l'invisibilisation des voix palestiniennes, de la transmission d´un patrimoine détruit depuis des années mais aussi du conflit actuel et de son impact sur l'ordre mondial.Inès est devenue maman quelque jours avant le 7 octobre. Elle évoque la façon qu'elle a eu d'appréhender cette étape si importante de la vie dans le contexte actuel.Le parcours et l'histoire d´Inès m'ont profondément touché.Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Inès Abdel Razek.---------------Pour suivre Ines et soutenir le PIPDInstagram: @Inesarazek et @rabetbypipdPour soutenir le PIPD : https://www.thepipd.com/donate/Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
En cette veille de la journée internationale des droits des femmes je suis particulièrement émue de partager avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Inès Abdel Razek, Directeur Executive au sein du Palestine Institute for Public Diplomacy (PIPD). Avant cela, Inès a travaillé au sein de l´Union pour la Méditerranée, l'ONU puis a exercé en tant que consultante au bureau du premier ministre palestinien.L'Interview a été enregistré à distance car elle est actuellement basée à Ramallah.Ines est née à Paris d'une maman française et d´un papa refugié palestinien militant de l´OLP (Organisation de la libération de la Palestine) ce qui la conduira à rencontrer plusieurs fois Yasser Arafat. Durant son enfance, elle vit de façons périodiques en France et en Palestine. Elle nous parle avec nostalgie de ses années passées à Gaza.Ines revient sur ses années d´étude à Science Po, ses premières expériences professionnelles et ce qui l'a incité à s'installer en Palestine afin de s'engager en faveur de son pays.Elle nous raconte son quotidien et toutes les contraintes auxquelles sont confrontées les Palestiniens de Cisjordanie.Nous avons également parlé de l'évolution de son identité, de l'invisibilisation des voix palestiniennes, de la transmission d´un patrimoine détruit depuis des années mais aussi du conflit actuel et de son impact sur l'ordre mondial.Inès est devenue maman quelque jours avant le 7 octobre. Elle évoque la façon qu´elle a eu d'appréhender cette étape si importante de la vie dans le contexte actuel.Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Ines et soutenir le PIPDInstagram: @Inesarazek et @rabetbypipdPour soutenir le PIPD : https://www.thepipd.com/donate/Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Hayatte Maazouza, programme manager au sein de la fondation L'Oréal et membre du conseil d'administration de Génération France. Hayatte a une carrière vraiment inspirante et un parcours très éclectique. Elle a exercé dans l'associatif, la fonction publique, privée mais également dans le milieu philanthropique et en politique.Dans cet épisode, Hayatte revient sur son enfance à Trappes au sein d'une famille d'origine marocaine très modeste où elle est l'unique fille d'une fratrie de quatre.Elle relate le choc subi lors de son arrivée en prépa et en école de commerce notamment face au déterminisme social et au manque de mixité sociale dans ces milieux.Hayatte évoque les raisons qui l'ont incité à suivre des études et des métiers engagés, ainsi que son moteur dans ses prises de décisions relatives à ses choix d'opportunités professionnelles.Nous avons également abordé la question de son engagement politique et les circonstances qui l'ont conduit à être le bras droit de Benoit Hammon dans sa course à la présidentielle de 2017.Enfin, Hayatte partage à cœur ouvert ses interrogations et ses prises de conscience sur la maternité, de la grossesse au post partum.Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Hayatte Maazouza. ----------------------------------------------------- Pour suivre Hayatte LinkedIn: @hayatte-maazouza Instagram: @ha_yatte Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Aujourd'hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Hayatte Maazouza, programme manager au sein de la fondation L'Oréal et membre du conseil d'administration de Génération France. Hayatte a jusque-là connu une carrière vraiment inspirante et un parcours très éclectique. Elle a exercé dans l'associatif, la fonction publique, privée mais également dans le milieu philanthropique et en politique.Dans cet épisode, Hayatte revient sur son enfance à Trappes au sein d'une famille d'origine marocaine très modeste où elle est l'unique fille d'une fratrie de quatre.Elle relate le choc subi lors de son arrivée en prépa et en école de commerce notamment face au déterminisme social et au manque de mixité sociale dans ces milieux.Hayatte évoque les raisons qui l'ont incité à suivre des études et des métiers engagés, ainsi que son moteur dans ses prises de décisions relatives à ses choix d'opportunités professionnelles.Nous avons également abordé la question de son engagement politique et les circonstances qui l'ont conduit à être le bras droit de Benoit Hammon dans sa course à la présidentielle de 2017.Enfin, Hayatte partage à cœur ouvert ses interrogations et ses prises de conscience sur la maternité, de la grossesse au post partum.Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Hayatte LinkedIn: @hayatte-maazouza Instagram: @ha_yatte Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Yasmine Boheas, créatrice du compte « Bonjourlassmala » et autrice du livre « Un compte Instagram qui vous ressemble ». Née d'une maman bretonne et d'un papa marocain, Yasmine revient sur son enfance pleine d'amour, de couleurs et de musique. Elle évoque avec une immense fierté ce double héritage malgré sa confrontation brutale au racisme à l'âge de 7 ans lorsque sa famille emménage dans un petit village. Yasmine revient sur son parcours professionnel et la manière avec laquelle elle s'est formée sur le terrain au travers de différents métiers. Elle relate les prémices du compte « bonjourlasmala » et son évolution jusqu'au lâcher prise qu'elle prône aujourd'hui. Yasmine partage également ses top tips en tant que professionnelle d'Instagram. Nous avons aussi discuté de son rôle de maman, de l'importance de ne pas s'oublier en tant que femme et du sentiment de culpabilité souvent liée à maternité. Enfin, nous avons parlé de son projet photo intitulé « Cher corps, je t'aime », qui met en lumière la beauté dans la diversité des corps. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Yasmine Boheas.----------------------------------------------------- Pour suivre Yasmine et BonjourlasmalaInstagram: @bonjourlasmala Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Aujourd'hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Yasmine Boheas, créatrice du compte « Bonjourlassmala » et autrice du livre « Un compte Instagram qui vous ressemble ». Née d'une maman bretonne et d'un papa marocain, Yasmine revient sur son enfance pleine d'amour, de couleurs et de musique. Elle évoque avec une immense fierté ce double héritage malgré sa confrontation brutale au racisme à l'âge de 7 ans lorsque sa famille emménage dans un petit village. Yasmine revient sur son parcours professionnel et la manière avec laquelle elle s'est formée sur le terrain au travers de différents métiers. Elle relate les prémices du compte « bonjourlasmala » et son évolution jusqu'au lâcher prise qu'elle prône aujourd'hui. Yasmine partage également ses top tips en tant que professionnelle d'Instagram. Nous avons aussi discuté de son rôle de maman, de l'importance de ne pas s'oublier en tant que femme et du sentiment de culpabilité souvent liée à maternité.Enfin, nous avons parlé de son projet photo intitulé « Cher corps, je t'aime », qui met en lumière la beauté dans la diversité des corps. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Yasmine et BonjourlasmalaInstagram: @bonjourlasmala @bonjourlasmala.communication Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je vous propose un épisode « hors-série » : l'enregistrement du Heya talk « femmes arabes dans le monde du podcast » organisé il y a quelques mois à Paris.Pour celles et ceux qui ne me suivaient pas encore à l'époque, les Heya talks sont des événements physiques dont le but est d'échanger, se rencontrer, partager et faire avancer nos idées sur des sujets spécifiques.Dans ce talk coanimé avec mon amie Lisa de PR Lab, je reviens sur mon expérience personnelle dans l'univers du podcast au côté d'un superbe panel de Heyas : Fatma Torkhani d´ArabiaVox, Nadia Slimani du podcast Na3Na3 et Asma el baba du podcast Entredeuxid.Un très bel échange qui vous procurera je l'espère autant de plaisir que nous en avions pris ce jour-là.Très belle écoute !
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Rima Hassan Mobarak, présidente et fondatrice de l'Observatoire des Camps de Réfugiés. Rima est également rapporteuse à la Cour Nationale du Droit d'Asile, enseignante à l´Ecole Supérieure de Journalisme de Paris. Dans cet épisode Rima retrace ses origines, notamment sa naissance et son enfance dans un camp de réfugiés près d'Alep en Syrie. Elle relate son arrivée en France et les contraintes auxquelles elle et surtout ses frères plus âgés ont dû faire face pour parvenir à se sentir les bienvenus dans ce nouveau pays. Rima revient sur les raisons qui l'ont incité à créer l'Observatoire et la mission qui l'habite. Nous avons également parlé d'identité, ou plutôt de non-identité ou d'identité pulvérisé par l'exil forcé, de la condition des Palestiniens nés après 1948 mais aussi de sa tentative d'y retourner. Le parcours et l'histoire de Rima m'ont profondément touché. Si vous souhaitez soutenir son combat, je vous invite à faire un don à l'Observatoire des Camps de Réfugiés dont les détails sont dans les notes. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Rima Hassan Mobarak. ----------------------------------------------------- Pour suivre Rima et l'Observatoire des Camps de Réfugiés Instagram: @rimamobarak et @obsrefugies Soutenir l'Observatoire, dons et partenariats - Observatoire des camps de réfugiés (o-cr.org) Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Racha Belmehdi, autrice du livre « Rivalité, nom féminin ». Fille de diplomate, Racha vit une enfance nomade. Elle nait en Algérie puis déménage en Côte D'ivoire et en Russie avant de finalement atterrir en France à l'âge de 15 ans. Elle revient sur ses premiers pas dans ce nouveau pays et ce moment qu'elle décrit comme très difficile. Malgré qu'elle ait toujours été dans la minorité jusque-là, son expérience française s'avère plus chaotique. Elle est confrontée à une malveillance jamais connue jusque-là. Racha évoque les prémices de ses souvenirs de féminisme et revient sur la mésaventure qui a déclenché l'écriture de son livre et l'a encouragé à développer le thème de la rivalité féminine. On a discuté de la différence de perception en fonction du genre que la société porte sur certaines attitudes mais aussi du titre de son livre et de ce qui l'a incité à aborder la rivalité sous cet angle. Enfin nous avons parlé de sororité, des invisibles mais aussi de l'incident avec l'émission Quotidien de Yann Barthes. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour – Racha Belmehdi. ----------------------------------------------------- Pour suivre Racha: Instagram:@rachabelmehdi Pour suivre Heya: Instagram: @heya_podcast
Aujourd'hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Racha Belmehdi, autrice du livre « Rivalité, nom féminin ». Fille de diplomate, Racha vit une enfance nomade. Elle nait en Algérie puis déménage en Côte D'ivoire et en Russie avant de finalement atterrir en France à l'âge de 15 ans. Elle revient sur ses premiers pas dans ce nouveau pays et ce moment qu'elle décrit comme très difficile. Malgré qu'elle ait toujours été dans la minorité jusque-là, son expérience française s'avère plus chaotique. Elle est confrontée à une malveillance jamais connue jusque-là. Racha évoque les prémices de ses souvenirs de féminisme et revient sur la mésaventure qui a déclenché l'écriture de son livre et l'a encouragé à développer le thème de la rivalité féminine. On a discuté de la différence de perception en fonction du genre que la société porte sur certaines attitudes mais aussi du titre de son livre et de ce qui l'a incité à aborder la rivalité sous cet angle. Enfin nous avons parlé de sororité, des invisibles mais aussi de l'incident avec l'émission Quotidien de Yann Barthes. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode !
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Samira Bejnouni Terlier, Chief Expérience Officer (CXO) (ou Directrice de l´expérience client France et Belgique) et membre du comité exécutif chez Amazon. Dans cet épisode Samira revient sur son enfance et l'arrivée de ses parents originaires du Maroc en France quelques années avant sa naissance. Elle nous fait part de son attrait pour les langues et de sa volonté très tôt d'exercer un métier en lien avec celles-ci. Elle se lance ainsi dans des études de langues et civilisations étrangères mais devant le contenu pas vraiment à la hauteur de ses espérances elle s'orientera finalement vers un BTS en commerce international. Elle nous raconte comment elle obtient un peu par hasard son premier job chez Amazon en Irlande en tant qu´intérimaire. Et la manière dont elle gravit les échelons pour atteindre quelques années plus tard son poste actuel. Samira revient sans filtre sur les défis auxquels elle a fait face tout au long de sa carrière. Nous avons discuté du syndrome de l'imposteur, de l'importance de montrer sa vulnérabilité, des rôles model mais également de l'importance de la transmission. Un épisode très riche qui je l'espère vous procurera autant de plaisir que j'ai pris à l'enregistrer. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Samira Bejnouni Terlier. ----------------------------------------------------- Pour suivre Samira LinkedIn: Samira Bejnouni Terlier | LinkedIn Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Aujourd'hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Samira Bejnouni Terlier, Directrice de l´Expérience Client et membre du comité exécutif chez Amazon. Dans cet épisode Samira revient sur son enfance et l'arrivée de ses parents originaires du Maroc en France quelques années avant sa naissance. Elle nous fait part de son attrait pour les langues et de sa volonté très tôt d'exercer un métier en lien avec celles-ci. Elle se lance ainsi dans des études de langues et civilisations étrangères mais devant le contenu pas vraiment à la hauteur de ses espérances elle s'orientera finalement vers un BTS en commerce international. Elle nous raconte comment elle obtient un peu par hasard son premier job chez Amazon en Irlande en tant qu´intérimaire. Et la manière dont elle gravit les échelons pour atteindre quelques années plus tard son poste actuel. Samira revient sans filtre sur les défis auxquels elle a fait face tout au long de sa carrière. Nous avons discuté du syndrome de l'imposteur, de l'importance de montrer sa vulnérabilité, des rôles model mais également de l'importance de la transmission. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode !
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Rajae Maouane, co-présidente du parti écologique belge Ecolobe. En plus d'être l'unique femme présidente de parti du pays, elle est également la plus jeune occupant ce poste. Ce qui est une belle prouesse lorsque l'on connait l'importance et le pouvoir associé à ce rôle en Belgique où le système est plus particratique qu´en France. En effet, ce sont par exemple les présidents de partis qui nomment le premier ministre et les ministres. Nées de parents marocains, Rajae grandit à Bruxelles dans une fratrie de 10. Son enfance regorge de vie, d'amour et d'échanges. Elle revient sur ses origines et certaines expériences pas toujours positives vécues plus jeune. Elle nous explique aussi comment sa perception de sa double culture a évolué et évoque l'impact de l'admiration portée à sa maman sur la fibre féministe désormais bien présente en elle. Rajae retrace ses débuts en politique et notamment son intégration dans ce nouveau paysage: pour elle la politicienne au style qui dénote et éloigné des standards habituels. Enfin nous avons discuté de l´invisibilisation des mères au foyer, de cyberharcèlement et de l'écart de leadership entre femmes et hommes. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Rajae Maouane.
Aujourd'hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec avec Rajae Maouane, co-présidente du parti écologique belge Ecolobe. En plus d'être l'unique femme présidente de parti du pays, elle est également la plus jeune occupant ce poste. Ce qui est une belle prouesse lorsque l'on connait l'importance et le pouvoir associé à ce rôle en Belgique où le système est plus particratique qu´en France. En effet, ce sont par exemple les présidents de partis qui nomment le premier ministre et les ministres. Nées de parents marocains, Rajae grandit à Bruxelles dans une fratrie de 10. Son enfance regorge de vie, d'amour et d'échanges. Elle revient sur ses origines et certaines expériences pas toujours positives vécues plus jeune. Elle nous explique aussi comment sa perception de sa double culture a évolué et évoque l'impact de l'admiration portée à sa maman sur la fibre féministe désormais bien présente en elle. Rajae retrace ses débuts en politique et notamment son intégration dans ce nouveau paysage, pour elle la politicienne au style qui dénote et éloigné des standards habituels. Enfin nous avons discuté de l´invisibilisation des mères au foyer, de cyberharcèlement et de l'écart de leadership entre femmes et hommes. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode !
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Emel Methlouthi, chanteuse, auteure-compositrice et productrice de musique. Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d'un manteau rouge, on l'a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C'est ainsi qu'Emel est devenue l'égérie chantante d'une révolution. Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz. Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l'ont incité à s'expatrier en France à l'âge de 25 ans. Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d'un côté le bonheur d'être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d'un autre le fait d'être coincée dans une case qui ne lui correspond pas. Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu'elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi des répercussions. Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Emel Mathlouthi. ----------------------------------------------------- Pour suivre Emel Instagram: @emelmathlouthi Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Aujourd'hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Emel Methlouthi, chanteuse, auteure-compositrice et productrice de musique. Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d'un manteau rouge, on l'a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C'est ainsi qu'Emel est devenue l'égérie chantante d'une révolution. Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz. Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l'ont incité à s'expatrier en France à l'âge de 25 ans. Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d'un côté le bonheur d'être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d'un autre le fait d'être coincée dans une case qui ne lui correspond pas. Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu'elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi de ses répercussions. Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Emel Instagram: @emelmathlouthi Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Samah Karaki, docteure en neuroscience, fondatrice du « Social Brain Institute » et autrice du livre « Le talent est une fiction ». Née au Liban en pleine guerre civile, Samah grandit au sein d'une famille au sens large où cousins, tantes et voisins sont très présents. Du fait de leur précarité, elle mène une vie de nomade et déménage vingt-et-une fois avec ses parents. Cela ne l'empêche pas malgré tout de baigner dans un océan d'amour. Samah nous raconte comment le hasard de la vie et sa rencontre avec Carla, une de ses professeures, changera à jamais le cours de sa vie. Carla la supporte et l'encourage à s'expatrier en France à l'âge de 23 ans pour y finir ses études. Elle revient sur son arrivée en France et évoque ce sentiment nouveau d'enfin se sentir quelque part chez soi. Nous avons discuté du sexisme dans le milieu scientifique et du mythe de la méritocratie. Samah décortique le syndrome de l'imposteur et décrypte ce que le boom du développement personnel dit de notre société actuelle. Samah ne tombe pas du tout dans l´illusion biographique et retrace sa vie sans filtre. Elle évoque des sujets qu'elle n'a jusque-là jamais partagés publiquement et je la remercie infiniment pour sa confiance. Un épisode très riche qui a suscité chez moi beaucoup de réflexions. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Samah Karaki. ----------------------------------------------------- Pour suivre Samah LinkedIn: Samah Karaki |LinkedIn Instragram: @samah_karaki Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Aujourd'hui je partage un extrait de ma conversation à venir avec Samah Karaki, docteure en neuroscience, fondatrice du « Social Brain Institute » et autrice du livre « Le talent est une fiction ». Née au Liban en pleine guerre civile, Samah grandit au sein d'une famille au sens large où cousins, tantes et voisins sont très présents. Du fait de leur précarité, elle mène une vie de nomade et déménage vingt-et-une fois avec ses parents. Cela ne l'empêche pas malgré tout de baigner dans un océan d'amour. Samah nous raconte comment le hasard de la vie et sa rencontre avec Carla, une de ses professeures, changera à jamais le cours de sa vie. Carla la supporte et l'encourage à s'expatrier en France à l'âge de 23 ans pour y finir ses études. Elle revient sur son arrivée en France et évoque ce sentiment nouveau d'enfin se sentir quelque part chez soi. Nous avons discuté du sexisme dans le milieu scientifique et du mythe de la méritocratie. Samah décortique le syndrome de l'imposteur et décrypte ce que le boom du développement personnel dit de notre société actuelle. Samah ne tombe pas du tout dans l´illusion biographique et retrace sa vie sans filtre. Elle évoque des sujets qu'elle n'a jusque-là jamais partagés publiquement et je la remercie infiniment pour sa confiance. Un épisode très riche qui a suscité chez moi beaucoup de réflexions. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Samah LinkedIn: Samah Karaki |LinkedIn Instragram: @samah_karaki Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Amel, professeur de yoga, thérapeute Ayurvédique et fondatrice du podcast « The Inner Journey ». Dans cet épisode Amel retrace son enfance au sein d'une famille tunisienne et évoque l'intérêt très jeune qu'elle portait aux différences et origines exotiques que pouvaient avoir certains de ses camarades. Amel a suivi une classe préparatoire puis intégré une école de commerce. Durant son cursus, elle fait un échange universitaire de 6 mois au Venezuela. Cette expérience lui donne le goût du voyage et elle se promet de repartir une fois son diplôme en poche. Promesse tenue puisse qu´Amel devient une vraie globetrotteuse. Elle va passer de long mois en Inde, Irak, au Sri Lanka, Pakistan et Moyen Orient. Amel nous révèle ce qui l'a incité à faire du voyage une partie intégrante de sa vie. Notamment ce besoin de sortir de sa zone de confort, se rapprocher d'autres visions du monde mais aussi découvrir d'autres spiritualités. Toutes ces choses qui en fait lui manque depuis enfant. Ce voyage constitue également une sorte de quête identitaire qui va l'aider à lever certains blocages tels que s'autoriser à parler arabe ou se sentir légitimes avec ses origines. Enfin nous avons discuté d'Ayurveda, mariage et maternité. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Amel. ----------------------------------------------------- Pour suivre Amel Instagram: @tijbyamel Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Aujourd'hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Amel. Amel est professeur de yoga, thérapeute Ayurvédique et fondatrice du podcast « The Inner Journey ». Dans cet épisode Amel retrace son enfance au sein d'une famille tunisienne et évoque l'intérêt très jeune qu'elle portait aux différences et origines exotiques que pouvaient avoir certains de ses camarades. Amel a suivi une classe préparatoire puis intégré une école de commerce. Durant son cursus, elle fait un échange universitaire de 6 mois au Venezuela. Cette expérience lui donne le goût du voyage et elle se promet de repartir une fois son diplôme en poche. Promesse tenue puisse qu´Amel devient une vraie globetrotteuse. Elle va passer de long mois en Inde, Irak, Turquie, Sri Lanka, Pakistan, Egypte, Jordanie et Palestine. Amel nous révèle ce qui l'a incité à faire du voyage une partie intégrante de sa vie. Notamment ce besoin de sortir de sa zone de confort, se rapprocher d'autres visions du monde mais aussi découvrir d'autres spiritualités. Toutes ces choses qui en fait lui manque depuis enfant. Ce voyage constitue également une sorte de quête identitaire qui va l'aider à lever certains blocages tels que s'autoriser à parler arabe ou se sentir légitimes avec ses origines. Enfin nous avons discuté d'Ayurveda, mariage et maternité. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode !
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Mariam Khattab, Directrice Générale de Mozaik RH, cabinet de recrutement et conseil en stratégie Diversité et Inclusion. Mariam est aussi administratrice de l'association « Rêv'Elles » qui agit pour l'empowerment des jeunes femmes issues des quartiers populaires. Elle est également administratrice de la Fondation IAD pour l'égalité des chances et Membre du CA du MEDEF de Seine Saint Denis pour contribuer à davantage d'inclusion au sein des entreprises du réseau. En avril 2022, elle a été élevée au grade de chevalier de l'Ordre national du Mérite pour son parcours et son engagement dans la lutte contre les discriminations et la promotion de l'égalité des chances. Née à Tétouan au Maroc, Mariam arrive à Amiens à l'âge d'un an et demi. Ainée d´une sororie de 6 filles, elle est vite responsabilisée et doit montrer l'exemple à ses sœurs. Elle suit des études de Langues Étrangères Appliquées (LEA) et une fois son diplôme en poche, elle déménage à Paris pour entamer sa vie professionnelle. Elle nous raconte le choc lié à ce changement ainsi que les difficultés rencontrées pour trouver un logement et un travail. Elle réalise alors qu'elle n'avait ni les bonnes origines ni suivi les bonnes études. Elle se retrouve ainsi forcée à devoir se lancer dans un nouveau cursus car son parcours ne lui ouvre malheureusement pas les portes des métiers qu'elle souhaiterait exercer. Mariam retrace les débuts de sa carrière en Ressources Humaines et les raisons qui l'ont incité à se spécialiser dans l'inclusion. Nous avons discuté de la différence entre la diversité subie et la diversité représentée ainsi que du manque de représentativité dans les postes à haute responsabilité. Mariam partage son analyse d'experte sur l'évolution des politiques de diversité et inclusion ainsi que sur les actions et leviers nécessaires pour arriver à une véritable évolution. Un épisode très riche que j'ai pris beaucoup de plaisir à enregistrer. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Mariam Khattab. ----------------------------------------------------- Pour suivre Mariam LinkedIn: Mariam KHATTAB | LinkedIn Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Aujourd'hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Mariam Khattab. Mariam est Directrice Générale de Mozaik RH, cabinet de recrutement et conseil en stratégie Diversité et Inclusion. En avril 2022, elle a été élevée au grade de chevalier de l'Ordre national du Mérite pour son parcours et son engagement dans la lutte contre les discriminations et la promotion de l'égalité des chances. Née à Tétouan au Maroc, Mariam arrive à Amiens à l'âge d'un an et demi. Ainée d´une sororie de 6 filles, elle est vite responsabilisée et doit montrer l'exemple à ses sœurs. Elle suit des études de Langues Étrangères Appliquées (LEA) et une fois son diplôme en poche, elle déménage à Paris pour entamer sa vie professionnelle. Elle nous raconte le choc lié à ce changement ainsi que les difficultés rencontrées pour trouver un logement et un travail. Elle réalise alors qu'elle n'avait ni les bonnes origines ni suivi les bonnes études. Elle se retrouve ainsi forcée à devoir se lancer dans un nouveau cursus car son parcours ne lui ouvre malheureusement pas les portes des métiers qu'elle souhaiterait exercer. Mariam retrace les débuts de sa carrière en Ressources Humaines et les raisons qui l'ont incité à se spécialiser dans l'inclusion. Nous avons discuté de la différence entre la diversité subie et la diversité représentée ainsi que du manque de représentativité dans les postes à haute responsabilité. Mariam partage son analyse d'experte sur l'évolution des politiques de diversité et inclusion ainsi que sur les actions et leviers nécessaires pour arriver à une véritable évolution. Rendez-vous demain pour l'intégralité de l'épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Mariam LinkedIn: Mariam KHATTAB | LinkedIn Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Samar Seraqui de Buttafoco, romancière et entrepreneure, alias Ulap sur les réseaux sociaux. Samar débute sa carrière en tant que journaliste de télévision pour Direct 8 puis devient chroniqueuse littéraire sur TV5 et au desk arabophone de France 24. Elle se fait ensuite une notoriété via son blog Ulap « Une libanaise à Paris ». Samar est également la fondatrice des marques Das Mot et Philia. En 2022, elle publie son premier roman « Vivre sans bruit ». Un récit intimiste empreint de pudeur et tendresse destiné à sa maman disparue alors qu'elle était âgée de 21 ans. Dans cet épisode, nous avons évoqué son enfance, sa relation avec sa mère et les raisons qui l'ont incité à écrire et publier son livre. Samar retrace son évolution de bloggeuse à écrivaine et commente également son rapport aux réseaux sociaux. Samar donne peu d'interviews et je la remercie infiniment pour sa confiance. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Samar Seraqui de Buttafoco. ----------------------------------------------------- Pour suivre Samar Instagram: @ulap Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Salwa Rajaa, mannequin. Elle a collaboré avec des grands noms de la mode tels que Chanel, l´Oréal, YSL beauté, Vogue Arabia, Elle Arabia, Madame Figaro ou encore Valentino beauté. Salwa née et grandit au Maroc où elle peine à trouver un équilibre, ballottée entre un environnement familial plutôt conservateur et un système éducatif laïque à l'école française. Ce sentiment mûrissant va l'inciter à émigrer en France dès l'obtention de son bac. Elle revient sur ses débuts dans le milieu du mannequinat, notamment sur son casting sauvage au détour d´un magasin. Salwa évoque ses premières confrontations à des remarques racistes qui créent chez elle un sentiment de mal être profond allant même jusqu'à une remise en question de sa propre identité. Enfin nous avons discuté du décalage de diversité qui existe dans le milieu du mannequinat entre la France et les pays Anglo saxons. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Salwa Rajaa.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Neziha Boubekri alias Ness, consultante médias. Ness est connue pour avoir été la première femme Arabe à piloter des émissions télévisuelles en prime time. Pendant plus de 20 ans, elle a successivement été journaliste sur France 2, MCM, Game One et TF1 où elle animait notamment l'émission Exclusif. En plus de sa casquette audiovisuelle, Ness est l'auteure du livre “Ma vérité : des mots et des maux”. Dans cet épisode, Ness revient ses premières années de vie ensoleillée au Maroc entourée d'une grande famille aimante. Atmosphère qui contraste avec la froideur ressentie lors de son arrivée en France à l'âge de 3 ans. Elle retrace ses premiers pas dans l'hexagone où dès son apprentissage de la lecture elle devient très vite responsabilisée afin d'épauler ses parents qui ne lisent pas la langue locale. Elle relate les souvenirs qu'elle garde de cette époque durant laquelle son papa lui fait comprendre très tôt que son genre ne doit jamais être une limite à ce qu'elle souhaite accomplir. Cette phrase l'accompagnera et sera probablement à l'origine de sa force de caractère et détermination. Ness nous raconte son parcours et comment un évènement macroéconomique, la guerre en Irak, va dévier le cours d'une carrière toute tracée et mettre en pause le job de rêve qu'elle avait décroché à Casablanca au sein d'un grand groupe américain. Elle explique également son accession dans le milieu des médias alors que rien ne la prédestinait à ça et nous ouvre les portes des coulisses de la télé. Enfin nous avons parlé de diversité dans les médias, de quotas, de représentativités mais aussi des raisons qui l'ont poussé à écrire son ouvrage. Ness se livre sans filtre au cours de cette interview plus longue que le standard habituel. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Neziha Boubekri. ----------------------------------------------------- Pour suivre Ness Instagram: @ness_boubekri Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Mouna Aoun, secrétaire générale de KissKissBankBank & Co, filiale de La Banque Postale et pionnier du financement participatif en France et en Europe. Femme engagée depuis de nombreuses années, Mouna AOUN est à titre personnel vice-présidente d'ONU Femmes France (en charge des partenariats) et administratrice de Solidarité Sida. Née d'une maman française et d'un papa tunisien, Mouna nous raconte comment elle a vécu cette double identité et ce double héritage. Nous avons évoqué son parcours universitaire plutôt atypique pour une personne exerçant à présent dans le secteur bancaire. En effet, Mouna a débuté par des études d'histoire médiévale de l´orient musulman et son ambition professionnelle était à ce moment-là de devenir chercheuse. Elle revient sans filtre sur un de ses échecs et raconte comment elle en a fait une force pour repartir encore plus fort de l'avant. Nous avons également discuté de son rapport à la langue arabe, de l'importance de la diversité des équipes en milieu professionnel et de transmission. Un épisode très riche qui je l'espère vous procurera autant de plaisir que j'ai pris à l'enregistrer. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Mouna Aoun. ----------------------------------------------------- Pour suivre Mouna LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/mouna-aoun-5106b12/ Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Kahina Kettane professeure de yoga, alias Yogini Infinity sur les réseaux sociaux. Dans cet épisode, Kahina revient sur son enfance et ses origines kabyles. Elle nous raconte comment tout s'effondre à l'âge de 23 ans lorsqu'elle apprend être atteinte d'une sclérose en plaque avec l'éventualité de se retrouver en fauteuil roulant à horizon 10 ans. Ce diagnostic marquera un tournant dans sa vie. En effet, elle refuse ce destin dramatique et décide pour la première fois de véritablement prendre sa vie en main. Ce bouleversement complet va la mener à plusieurs mois de voyages, découvertes et d'acceptation. Nous avons évidemment aussi discuté de yoga (de son essence mais aussi de sa présence sur les réseaux), de liberté et d'appropriation culturelle. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Kahina Kettane. ----------------------------------------------------- Pour suivre Kahina Instagram: @yogini.infinity Site web : https://www.yogini-infinity.net/ Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Myriam Attia, rédactrice en chef du media digital Period. Myriam a exercé dans plusieurs rédactions dont Ouest France, Le magazine de la santé ou encore Le Monde. Dans cet épisode, elle revient sur son enfance, ses origines tunisiennes et ses premières réflexions féministes. Elle retrace le parcours qui l'a mené jusqu'à sa fonction actuelle en n'omettant pas d'évoquer les responsabilités et défis inhérents. Myriam revient également sur ce besoin, ressenti très jeune, de s'investir et travailler plus que les autres afin de combler le manque de maitrise de certains codes du fait de ses origines. Enfin nous avons discuté de la diversité dans le milieu des médias, du syndrome de l'imposteur et du sujet des quotas. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Myriam Attia. ----------------------------------------------------- Pour suivre Myriam et Period Instagram: @mimi_attia @period.studio Lien du documentaire 28 jours: 28 JOURS - Film Documentaire (2018) - YouTube Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Sara El Khouya Ali, Global Porject Manager au sein du département Visual Merchandising chez Christian Dior. Dans cet épisode, Sarah retrace son enfance et l'éducation stricte mais pleine d'amour qu'elle a reçu. Elle évoque ce lien fort qui la lie à son papa ainsi que l'admiration qu'elle lui porte. Elle relate sa rencontre avec Jean Paul Gaultier à l'âge de 9 ans et sa découverte plus tard du monde de la mode. Elle revient sur son parcours et ses expériences au sein de différentes maisons de luxe. Elle nous explique également en quoi consiste sa fonction actuelle. Nous avons aussi parlé de santé mentale. Sara partage comment un besoin de reconnaissance parfois poussé à l'extrême l'a conduit à deux burn-out. Enfin nous avons discuté de la diversité dans le milieu du luxe, du rôle de Chief Diversity Officer et de l'importance du rôle de mentor dans une carrière. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Sara El Khouya Ali. ----------------------------------------------------- Pour suivre Sara: Instagram: @saraelkho LinkedIn: Sara El Khouya Ali | LinkedIn Pour suivre Heya: Instagram: @heya_podcast