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Dans les jeux vidéo, la nourriture est souvent un détail.Mais dans certains, elle est au coeur du sujet.Et dans quelques univers, elle se transforme en quête, en politique du quotidien, en rituel social.Du feu de camp de Link aux cuisines chaotiques d'Overcooked, cuisiner n'est jamais juste “faire à manger”.C'est donner sens à un monde, régénérer le héros, construire une communauté.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour varier les plaisirs, j'avais envie de vous proposer quelques anecdotes gourmandes sur les grands classiques du cinéma !Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette année, j'avais envie d'intégrer au calendrier de l'avent, des épisodes "calendrier inversé". Vous me lancez des défis que je découvre et réalise sur la journée !Et pour ce tout troisième défi :
Xavier Dolan filme les sentiments comme d'autres dressent une assiette : avec excès, minutie, débordement, sensualité.Chez lui, la cuisine n'est jamais un décor neutre. C'est un espace de friction, d'intimité, de révélation, parfois un champ de bataille, parfois une table de communion.Alors analysons tout cela !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la comédie romantique, la nourriture n'est jamais seulement un décor. Elle est une syntaxe sentimentale, un dialecte intime, un champ de bataille parfois, un refuge souvent. Aujourd'hui, on plonge dans les assiettes les plus emblématiques du genre :
Ma meilleure amie m'a ramené quelques bonbons australiens alors je me suis dit qu'autant les tester... avec vous !
Dans la comédie, la nourriture est un outils de mise à nu : elle révèle, déstabilise, dérange, et parfois ridiculise.Aujourd'hui, on plonge dans les cuisines du rire, de Père Noël est une Ordure à La Cité de la Peur, en passant par Les Bronzés, Le Dîner de Cons et les grandes farces gastronomiques de Louis de Funès.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les restaurants au cinéma sont des lieux où le visible s'entrechoque avec l'invisible : ce que les personnages commandent n'est jamais ce qu'ils viennent vraiment chercher.On y goûte des illusions, on y savoure des désirs à demi-mots, on y avale souvent ce que l'on ne peut pas dire.Et pour analyser tout cela, je m'appuierai sur :
Aujourd'hui, je vous parle de ma dernière lecture coup de coeur en date
Cette année, j'avais envie d'intégrer au calendrier de l'avent, des épisodes "calendrier inversé". Vous me lancez des défis que je découvre et réalise sur la journée !Et pour ce tout premier défi :
Années 2000 : les séries s'émancipent des studios, sortent dans les rues, dans les bureaux, dans les lofts ultra-luminescents.Et dans ces nouveaux espaces… la nourriture se transforme.Elle devient un symbole social, un trait de caractère, parfois même un enjeu scénaristique.Bref : on mange quoi dans les séries des années 2000 ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La série Emily in Paris a suscité de nombreux commentaires sur sa représentation stéréotypée de la culture française.Parmi les motifs les plus récurrents figure la mise en scène d'une gastronomie parisienne idéalisée : macarons pastel, croissants impeccablement dorés, terrasses ensoleillées.Ces éléments culinaires ne servent pas seulement de décor : ils structurent la vision internationalisée d'un “Paris de carte postale”.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On pourrait croire que la pâtisserie, au cinéma, n'est que sucre, consolation et gourmandise.Pourtant, lorsqu'on regarde de plus près, les gâteaux sont parfois les complices silencieux de la mort.Ils empoisonnent, dissimulent, symbolisent des rapports de pouvoir, ou annoncent la chute d'un personnage.Dans cet épisode, nous allons analyser comment The Grand Budapest Hotel, Parasite et Mathilda associent le dessert à la destruction.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on ouvre les portes d'un royaume où la nourriture n'est jamais un simple décor.Un univers où un baiser peut naître d'une boulette de viande…Où une pomme peut sceller un destin…Et où une fourchette devient, allez savoir pourquoi, un peigne.Bienvenue dans les dessins animés Disney, où les repas sont des scènes clés, des symboles, des révélateurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on part à New York.Et on s'installe autour de la table d'une série qui nous a nourri, littéralement.Parce que Friends, c'est une histoire d'amitié, oui, mais c'est aussi une immense cuisine, une table toujours dressée et un buffet d'émotions.Il y a des cookies, des cheesecakes, des sandwichs, des Thanksgiving ratés, des restaurants trop chers et des plats trop épicés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au coeur du paysage télévisuel français, depuis 1954, les émissions culinaires ne cessent de fleurir. Mais s'il est bien une autre spécialité française dont on parle seulement depuis peu c'est la pâtisserie. Si Le Gâteau de mes rêves, la première émission dédiée à la pâtisserie en France n'est apparue qu'en 2012, aujourd'hui on ne compte plus les nombreux formats qui mettent à l'honneur ce savoir-faire français.Comment les émissions de pâtisserie sont-elles devenues une véritable tendance dans le paysage audiovisuel français ?Je m'appuierais sur les émissions suivantes :
Cette année, j'avais envie d'intégrer au calendrier de l'avent, des épisodes "calendrier inversé". Vous me lancez des défis que je découvre et réalise sur la journée !Et pour ce tout premier défi :
Aujourd'hui, je vous propose d'analyser trois films qui utilisent le repas comme moteur dramatique central. Trois films très différents :
Aujourd'hui, on entre dans une rue où les gâteaux sont parfaits… et les vies beaucoup moins.Une rue où la nourriture parle plus fort que les mots.Bienvenue à Wisteria Lane.Bienvenue dans Desperate Housewives !Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on décortique 3 ouvrages de la littérature japonaise qui ont tous un point commun : la cuisine comme point central de leur récit.Au programme : Le restaurant des recettes oubliées de Hisashi KashiwaiLa cantine de minuit de Yarō AbeLes Délices de Tokyo de Durian SukegawaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je vous embarque dans un univers où les festins apparaissent d'un claquement de doigts, où les desserts peuvent exploser, où une simple tablette de chocolat peut repousser le désespoir.Un univers où la nourriture est partout — dans les cuisines, dans les couloirs, dans les rites, dans les liens.Oui : nous partons à Poudlard.Dans cet épisode, on plonge ensemble dans la place et la symbolique de la nourriture dans Harry Potter.Pour ce faire, je me suis aussi appuyée sur les recherches de l'anthropologue Margaret Ann Simonetta, mises en lumière dans un article passionnant publié par La Gazette du Sorcier :« Harry Potter à l'université : Le rôle de la nourriture dans la série ».Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand Thomas Parrain reprend Marlette, ce coffee shop iconique de la rue des Martyrs, il ne reprend pas qu'un fond de commerce : il reprend une histoire, une communauté, une marque aimée. Surtout, il reprend un actif fragile à remettre à flot, un lieu à faire grandir, un héritage à honorer… en douceur.Ancien marketeur amoureux des bons produits, Thomas raconte la reprise comme on raconte un chantier minutieux : un audit express entre finances, RH et atelier de production, des montagnes russes émotionnelles, puis le « jour 1 », celui où tout est à faire… sans rien brusquer.Au menu de cet épisode☕ Le parcours de Thomas, de l'industrie agroalimentaire à la reprise d'un coffee shop.☕ Les coulisses de la reprise de Marlette, entre audit, dossier, tribunal et reprise express.☕ Comment analyser un dossier, se démarquer et gagner un appel d'offres,☕ Comment créer (ou recréer) des habitués et stimuler une communauté.☕ Ouvrir un deuxième lieu : ce qui change, ce qui surprend et ce qui ne s'anticipe jamais.☕ Et surtout : comment créer un café qui devient chez eux pour ceux qui y passent chaque matin.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En vrac, on a parlé de peau de lait, de mères de vinaigre, de syndrome de la page blanche, des tendances cupcakes et macarons ou de la bonne façon de cuire ses chouquettes. Et j'ai tout simplement adoré cet échange. Entre rire et émotions, Tessa Ponzo, Cheffe Pâtissière du restaurant Irwin à Paris, raconte son parcours de pâtissière.Pour trouver l'inspiration, Tessa rend hommage aux gens qu'elle aime et à des souvenirs communs. Une bonne soirée bière et cacahuètes avec des amis, le café au lait de son père au petit déjeuner, l'odeur du coin dans la cuisine de ses grands-parents. Et pour conclure cette petite introduction, je dirais deux mots qui nécessiteront d'écouter l'épisode avec attention pour les comprendre : fermentation 63%.Au menu de cet épisode :
Entre l'art et la pâtisserie, il n'y a qu'un pas. Passionné de dessins et de travaux manuels en tous genre, Boris Alliès a finalement trouvé sa voie dans la pâtisserie. Et pour être plus précise encore, dans les glaces. Aujourd'hui Chef pâtissier à Cheval Blanc Saint-Tropez, il fait de la glace bien plus qu'un accompagnement, c'est (presque) toujours le point de départ de ses créations.Mais il n'a pas pour autant délaissé totalement le dessin, et graffe dès qu'il en trouve le temps. Et ce qu'il aime par dessus tout sur ces tableaux, ce sont les textures, les jeux de couleurs et se laisser aller à la créativité. Presque comme dans un dessert finalement, non ?Au menu de cet épisode :
Après des années en tant que Chef Pâtissier des restaurants gastronomiques comme La Table du Castellet, François Luciano a eu l'envie d'un autre équilibre. Alors il y a quelques mois, à la fin de l'été 2025, il a ouvert Mistral, sa propre pâtisserie. Sous le soleil de Sanary-sur-Mer, entre huile d'olive et agrumes, François a trouvé sa juste mesure : celle d'un pâtissier qui marie l'exigence des trois étoiles à la chaleur d'une boutique.Ce qu'aime tant François dans la pâtisserie ? L'expression qu'elle permet et la précision, cette attention minutieuse aux détails. Et c'est tout ce qu'il met quotidiennement dans ses créations. Enfin, François parle avec sincérité de sa quête d'équilibre : entre la précision du geste et la liberté du vivant, entre la passion dévorante et la vie de famille qu'il chérit.Au menu de cet épisode :
Appréhender les jeux d'ombre, faire saliver en une image, jouer sur les macros de textures… c'est finalement assez naturellement que Léa Gil est devenue une photographe culinaire passionnée. Et aujourd'hui, elle nous emmène dans les coulisses de son métier : celui où l'on capture non pas seulement une assiette, mais une histoire, une émotion, un instant suspendu.Epicurienne de nature, Léa nous raconte ses débuts, les doutes avant de se lancer, la confiance née d'une rencontre, et ce jour où elle a réalisé qu'elle pouvait vivre de sa passion. Entre voyages, lumière naturelle, rencontres de chefs et amour du bien manger, rendez-vous dans un épisode aussi gourmand que photogénique !Au menu de cet épisode :
Le jour de son premier stage en boulangerie pâtisserie, Jordan Talbot a compris qu'il avait trouvé sa voie et que c'était ce métier qu'il voudrait faire toute sa vie. Alors il n'a rien lâché. De sa Bretagne natale à ses premiers pas à Paris jusqu'à devenir Chef Pâtissier du restaurant 3 étoiles Le Gabriel de l'Hôtel La Réserve à Paris, il nous raconte tout.Avec beaucoup d'émotions, Jordan se confie. Le premier dessert qu'il a créé autour de la poire et du chocolat. Le travail des fruits, tout en finesse et en précision qu'il a redécouvert en arrivant à La Réserve Paris… Et pour résumer cet échange, j'emprunterai les mots que j'aime tant de Xavier Dolan : “Rien n'est impossible à qui rêve, ose, travaille et n'abandonne jamais.”Au menu de cet épisode :
durée : 00:13:38 - Les saveurs du Pays Basque Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:11 - Le "Bistrot Zingué" fait danser les papilles des danseurs du Malandain Ballet Biarritz - "Le temps d'aimer" ... la danse et la bonne cuisine ! Un festival de couleurs et de saveurs que s'offre quotidiennement le Bistrot Zingué à Biarritz. Lieu de pause gourmande choisi par les danseurs du Malandain Ballet Biarritz et autres épicuriens. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est une histoire de famille, de passion et de fèves de cacao. À la Manufacture Paysac, Bertrand Paysac, ses sœurs et ses parents ont fait le pari, ensemble de remonter toute la chaîne du chocolat, depuis la fève jusqu'à la tablette, pour retrouver le goût juste. Parce que oui, pour cette famille de gourmands, il était finalement assez naturel, après le café de spécialité, de s'attaquer au chocolat !Avec Bertrand, on parle de cette aventure humaine et gustative : de l'art de torréfier le cacao comme on torréfie le café, de la complexité de travailler une matière agricole vivante, et de la force de l'entrepreneuriat en famille, entre rigueur, fous rires et poulet du dimanche.Au menu de cet épisode :
Si je devais résumer cette conversation en un mot je dirais : humain. Parce que c'est ce qu'affectionne particulièrement Maxime Frédéric dans son métier. L'humain derrière les gourmand·es en herbe qui dégusteront ses desserts, l'humain derrière ses collaborateur·rices avec qui ils les imagine, et surtout, surtout, l'humain derrière les producteur·ices et agriculteur·rices qui produisent toutes ces matières premières. Parce que depuis qu'il a compris toute l'importance de l'humain dans ce métier, c'est tout un nouveau champ créatif qui s'est ouvert à lui.Dans cet échange plein d'authenticité et d'émotions, Maxime nous emmène sur les chemins de sa Normandie, là où tout a commencé : les vaches de la ferme familiale, les rosiers de sa grand-mère, et ce riz au lait qui sentait le bon lait chaud fermier. Aujourd'hui chef pâtissier à Cheval Blanc Paris, il nous parle d'artisanat, de transmission, d'échecs qui font grandir, et de ce besoin viscéral de “donner du sens à ce qu'on fait”.Au menu de cet épisode :
durée : 00:13:34 - Les goûts d'ici en Béarn Bigorre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
S'il y a bien une chose qu'ils ont toujours su, c'est qu'un jour, ils ouvriraient quelque chose ensemble ! Amis de longue date, Matthieu Turin et Pauline Zerouali ont multiplié les aventures. La mode pour Matthieu, l'Île Maurice pour Pauline. Puis après des années de promesses, ils se lancent enfin en duo et créent leur service de traiteur.Et dix ans plus tard, en complément, ils décident d'ouvrir leur propre boutique de pâtisserie. Et c'est un rêve de petite fille qui se réalise pour Pauline. Ouverte au début de l'été 2025, c'est au 24 rue Cler, dans le 7ème arrondissement de Paris que vous pourrez retrouver les douceurs de la pâtisserie Matthieu Pauline. Un épisode qui sent bon la cannelle et qui, j'espère, vous plaira autant qu'à moi !Au menu de cet épisode :
La cuisine n'est pas qu'une histoire de fourneaux et de recettes… elle est aussi un personnage à part entière au cinéma. Dans ce premier épisode d'une série spéciale, je vous emmène explorer la place de la cuisine dans les films et dessins animés qui ont marqué notre enfance.De la ratatouille qui bouleverse un critique gastronomique à Alice qui grandit (et rapetisse) au fil de ses gâteaux magiques, en passant par la folie sucrée de Willy Wonka ou le légendaire cake d'amour de Peau d'Âne… la cuisine devient tour à tour art, rite initiatique, critique sociale et langage d'amour.Au menu de cet épisode :
C'est l'histoire de Matéo Cosnefroy, un ingénieur agronome qui découvre le cacao un peu par hasard au Pérou, via l'agroforesterie. Pour la première fois, il goûte une cabosse de cacao toute fraîche. Et c'est une révélation. Lui qui n'aimait pas spécialement le chocolat, il en découvre la vraie saveur. Alors quelques années plus tard, avec son ami Jimy, lui aussi ingénieur agronome et qui hérite de la plantation familiale au Pérou, ils décident de créer Racine Carrée.L'objectif : aller encore plus loin dans le bean to bar et travailler le cacao de la racine de l'arbre au carré de chocolat. Jimy se charge de la culture au Pérou, et Matéo de la transformation dans son atelier à Saint-Jeannet, dans l'arrière-pays niçois.Et pour les plus curieux·ses d'entre-vous, que vous soyiez chef·fe pâtissier·ère ou grand·e gourmand·e si vous le souhaitez, Racine Carré propose aussi des voyages découverte ou expert pour se rendre au coeur de l'Amazonie, dans les plantations. Ça se passe en mai 2026, au Pérou, dans la magnifique région de San Martin.
“Je vais créer”. Dès le nom de sa boutique, ABRA, Tal Spiegel annonce la couleur. Ce qu'il aime lui, ce qui le passionne profondément, c'est la création. Fasciné par la pâtisserie et le design depuis qu'il est tout petit, Tal a d'abord eu du mal à choisir entre ces deux univers. Et finalement… il a fait les deux. D'abord designer. Puis désormais, pâtissier.Vous l'avez peut-être connu sous le pseudo @desserted_in_paris, un joli compte Instagram sur lequel il assortissait chaussures et pâtisseries. Et cet été, il a ouvert sa boutique. Le concept ? Un lieu unique où la création et sa double passion design et pâtisserie est au centre. Desserts minutes, viennoiseries ou trompe l'oeil réalisés grâce à des moules qu'il dessine lui-même : il y en a pour tous les goûts. Et pour découvrir ça, rendez-vous au 1 rue des mauvais garçons à Paris.Au menu de cet épisode :
durée : 00:12:11 - Les saveurs du Pays Basque - "Le temps d'aimer" ... la danse et la bonne cuisine ! Un festival de couleurs et de saveurs que s'offre quotidiennement le Bistrot Zingué à Biarritz. Lieu de pause gourmande choisi par les danseurs du Malandain Ballet Biarritz et autres épicuriens. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tout commence par une belle histoire d'amitié. Il y a presque 15 ans, Manon Lefort et Maureen Gueguin se rencontre en travaillant toutes deux dans le même établissement. C'est un vrai coup de foudre amical. Et dès ce jour là elle savent : un jour elle ouvriront un établissement entre copines. Les années qui suivent, elles se forment et peaufinent leur expérience. Et puis début 2025, ça y est : elles ouvrent Maison Complices.Alors dans cet épisode elles nous confient tout : de leur rencontre à la création de leur boutique, en passant par toutes les galères et les coulisses de l'ouverture d'une pâtisserie. Et pour découvrir Maison Complices et leurs gourmandises, rendez-vous au 30 rue de Montreuil à Vincennes.Au menu de cet épisode :
Pour clore cette série d'été dédiée au voyage, je vous emmène… dans ma propre valise !Direction la Slovénie, ce petit pays aux paysages de carte postale, où j'ai goûté à toutes les douceurs que j'ai pu croiser.Au menu :
C'est à Istanbul qu'Hélène Kerloeguen, la cheffe pâtissière du Prince de Galles à Paris, a décidé de nous emmener. Sentez ! L'odeur des marchés, le bruit de la foule et des commerçants. Ça et là, observez les fruits séchés et la viande maturée suspendue. De ce voyage, Hélène garde un délicieux souvenir, plein de nouveautés et découvertes.Les spécialités culinaires à IstanbulÀ Istanbul, de nombreux aliments sont vendus séchés. C'est le cas du kaki et de l'aubergine par exemple, qu'Hélène n'avait jamais goûté sous cette forme.Elle retient aussi les délicieux desserts Ayva Tatlisi et Kabak Tatlisi respectivement au coing et au potiron. Les fruits y sont confits et servis avec du tahineh et diverses épices. Une association qu'Hélène a d'ailleurs envie de refaire au Prince de Galles.Côté salé, Hélène y a aussi goûté les kebabs locaux faits de viande de boeuf maturée et servi avec un verre de lait fermenté.Enfin, côté boisson, elle a été surprise par le café turc et le thé servi dans une double théière.Au menu de cet épisode :
Aymeric Pinard, le chef pâtissier du restaurant d'Alain Ducasse, Le Grand Contrôle à Versailles, a décidé de nous emmener au Japon. La différence de culture, d'art de vivre et de gastronomie l'y a particulièrement marqué. Il en a d'ailleurs rapporté un bon nombre de techniques et d'ingrédients dans sa valise qu'il réutilise presque quotidiennement.Les spécialités sucrées au JaponAvant d'aller au Japon, Aymeric était justement en train de réaliser un dessert autour du sarrasin. Oui mais voilà, il n'arrivait pas à trouver la meilleure manière de le travailler dans une glace. Arrivé là-bas, il a goûté le sobacha, une infusion au sarrasin torréfié. Et il a eu une vraie révélation : c'est en sorbet, dans une infusion à l'eau directement, qu'il allait travailler ce produit.En parallèle, il a aussi goûté la prune umeboshi et le sakura qu'il réutilise régulièrement dans nombreux de ses desserts.Enfin, côté technique c'est le kakigōri, un dessert japonais à base de glace râpée sur laquelle on verse un sirop au thé vert, aux fruits ou au sésame, qu'il a découvert et réutilise très régulièrement.Au menu de cet épisode
Dans ce nouvel épisode de notre série d'été consacrée aux « délices du continent », nous partons pour Casablanca, à la découverte d'un sandwich populaire. Ce dernier convoque, pour des générations de Marocains, l'enfance, la plage, les vacances d'été… Vendu autour d'un euro, il est emblématique de la culture toujours très vivante de la street food à la marocaine. La suite vous est contée par Matthias Raynal. Il s'appelle le « thon o'lahrour », littéralement « le thon et le piment ». Ce sont les deux ingrédients phares de ce sandwich marocain. Mais il y en a d'autres… Sur son comptoir mobile, Imad, 36 ans, prépare des thon o'lahrour depuis treize ans : « Le plus important, c'est le pain ! Le croquant, le croustillant, c'est ça le secret ! ». Il poursuit : « Premièrement, le thon ne va jamais te rendre malade. Deuxièmement, c'est léger, c'est bien quand il fait chaud. Troisièmement, c'est le sandwich de toutes les générations, il convient à la fois aux petits et aux grands. » Voilà la recette du succès, qui ne s'est jamais démentie au fil des années. Kenzi vient de sortir du bureau. Elle prend sa pause déjeuner avec des copines : « Mmmmm, c'est très très bon, c'est mon enfance… Ce sandwich, tu le trouves à la plage, au stade, dans la rue, à côté des écoles… » Hicham, 43 ans, en est déjà à son deuxième thon o'lahrour ce midi : « On oubliera jamais ce sandwich, il fait partie de l'histoire. Le jour de l'Aïd, quand tout est fermé, il y a toujours un gars dans le quartier qui profite de ce moment pour se mettre à vendre des sandwichs, car le jour de la fête, les gosses reçoivent un peu d'argent de poche, quelques dirhams qui sont aussitôt dépensés ». À lire aussi« Cuisines d'Afrique du Nord » : recettes et récits intimes d'une identité retrouvée Parasol et sable fin, voilà le décor que préfère encore le thon o'lahrour. Imad reprend : « Il n'y a pas un Marocain qui est parti à la plage et qui n'a pas mangé ce sandwich. C'est un pan de la culture balnéaire au Maroc. » Ce monument de la street food marocaine a évolué à travers le temps : « Par exemple, il n'y avait pas de pommes de terre avant. Certains en ajoutent désormais, ils mettent aussi de la charcuterie halal, des sauces, du fromage… Son avantage, c'est qu'on n'a jamais marre d'en manger. Tous les jours, du lundi au vendredi, j'en mange deux au déjeuner. » Et si vous voulez goûter à ce fameux sandwich fait avec passion par Imad, sachez que son stand se trouve en centre-ville, sur la place Zellaqa. À lire aussiLes délices du continent en Côte d'Ivoire: l'alloco [9/10]
durée : 00:11:35 - Bienvenue chez vous, au menu du jour - Aux Vans, petit bijou ardéchois, le restaurant "Le Likoké" brille par sa double étoile Michelin. Cyriel Huysentruyt nous ouvre les portes de ce lieu familial où les saveurs colombiennes rencontrent le terroir local. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Notre périple se poursuit en Italie, et plus précisément à Naples avec Émilie Gerardi. La simplicité d'une tomate-mozza ou d'un pizza margherita, voilà, ce qu'Émilie a préféré dans son voyage. Découvrir l'Italie, la vraie, aussi. Les spritzs au soleil en fin de journée et les incroyables glaces pour se rafraîchir dans la journée.Les spécialités culinaires à NaplesOutre les pizzas napolitaines, les tomates-mozza et basilic, les glaces et les tiramisu, Emilie a découvert les sfogliatella, des petits gâteaux en forme de cône, préparés avec de la pâte feuilletée et fourrés de ricotta, parfumée à la vanille ou à la cannelle, et d'écorces d'orange (ou autres fruits confits). Et cette jolie forme lui a ensuite inspiré la création d'une galette il y a quelques années !Au menu de cet épisode
Pour cette nouvelle destination, c'est Matthieu Carlin, chef pâtissier de l'Hôtel du Crillon à Paris qui nous emmène à Istanbul. Odeurs d'épices, doux mariage de la pistache et de la fleur d'oranger et herbes fraiches, Matthieu nous raconte tous ses plus beaux souvenirs. Parce que, pour lui, les voyages sont toujours un mélange de découverte et d'inspiration future.Pourtant pas un grand fan de pistache, Matthieu garde un délicieux souvenir d'une glace pistache et fleur d'oranger. Une association qu'il a d'ailleurs repris plus tard dans un cake pour l'Hôtel du Crillon.Et ce qui l'a le plus surpris c'est sans doute un “flan sucré au poulet”. Traditionnellement, cela s'appelle Tavuk goğsu et est donc un pudding au lait garni de blanc de poulet effiloché.Au menu de cet épisode :
Direction la Thaïlande en compagnie de Margaux Aycard, la fondatrice du Bar à Brioches (le BAB) pour découvrir les spécialités culinaires de ce joli pays d'Asie. Margaux en garde le vif souvenir des marchés et de la street food atypique ! Et pour les plus audacieux·ses, les insectes croustillants — qu'elle aimerait même utiliser dans une brioche spécial Halloween.Les spécialités sucrées en ThaïlandeVéritable bec sucré, Margaux a ADORÉ le “banana roti”, une version thaïlandaise des pancakes, fourrés de nutella et de banana. Gras à souhait mais qui saura ravir les plus gourmand·es !Les glaces à la noix de coco, servies directement dans la coque du fruit aussi, sont particulièrement délicieuses et apportent le rafraîchissement idéal.Enfin, dessert emblématique, le “mango stiky rice”, une recette à base de riz gluant, de lait de coco et de morceaux de mangue fraiche.Au menu de cet épisode :
Cette semaine, j'ai rejoint Léandre Vivier, le chef pâtissier du Burgundy à Paris, qui m'a fait découvrir la Jordanie. Entre les dunes du désert du Wadi Rum, l'incroyable site de Pétra et entre la mer rouge et la mer morte, il y a aussi de belles spécialités culinaires à découvrir.Les spécialités culinaires en JordanieChawarma, falafels, houmous, Baba ganousch sont autant de mets délicieux que l'ont peu retrouver lors d'un voyage en Jordanie.Côté sucré, c'est la confiture de rose qui a particulièrement marqué Léandre. Son goût subtil lui a même, plus tard, inspiré un petit beignet à la rose.Au menu de cet épisode :
Pâtissière oenophile, Juliette Henry a plein de passions dans la vie ! Tout commence par un compte Instagram qu'elle crée alors qu'elle étudie à Ferrandi pour partager ses desserts. Mais ce compte prend une autre dimension lorsqu'elle se lance dans l'événementiel. Après des mois à galérer, elle en repense tout le projet. Et rapidement… elle cartonne !Petit à petit, tout prend beaucoup plus d'ampleur et lui permet d'en vivre. Alors Juliette ne s'arrête pas là et crée d'autres formats pour y mêler sa deuxième passion : la musique. C'est comme ça que nait Bla-bl'Artiste, un podcast et une série de vidéos enregistrés avec des chanteur·euses.On a parlé de tout :
Coucou,Comment vas-tu ?Je t'écris depuis un petit coin de paradis où je suis en vacances pour les prochaines semaines.Pendant tout l'été, j'ai décidé de discuter avec plusieurs chef·fes de leurs souvenirs de voyage. Ce qu'ils ont ressenti, ce qui les a surpris, ce qu'ils ont aimé… et évidemment ce qu'ils y ont goûté ! Et à chaque destination, je te propose de t'envoyer une petite carte postale pour que tu suives nos aventures. La tradition des cartes postales, c'est la tradition !Je profite d'ailleurs de cette première carte pour te raconter une petite anecdote de l'un des mes tous premiers souvenirs de voyage. J'avais 13 ans, j'étais à Marrakech avec mes parents et ma petite soeur. Après avoir visité le jardin Majorelle et ses couleurs éclatantes, nous avons fait un tour du souk sur la place Jemaa El Fna. L'agitation, les couleurs, les formes, les odeurs d'épices… tout à retenu mon attention. Et pour la première fois j'ai vu la négociation qui s'effectuait presque comme un jeu, d'un côté comme de l'autre.Et puis, bien sûr, le Maroc reste forcément associé au goût des petits gâteaux plein de miel et de pâtes croustillantes. Pour l'anecdote d'ailleurs, ayant un oncle algérien, je mangeais régulièrement ce type de petits gâteaux depuis mon enfance qui étaient souvent ramenés à la suite de mariages. Et mes préférés, après les Makroud et les Cornes de gazelle, étaient toujours ceux décorés de petites billes en sucre argenté. Vois-tu desquels je veux parler ? Ils étaient souvent recouverts d'un petit glaçage blanc. Je retirai toujours ces petites billes que je laissais d'abord fondre sur ma langue avant de manger le petit gâteau. Bref, voici l'un de mes souvenirs d'enfance et de voyage les plus marquants.Ma carte se fait déjà assez longue, alors je vais te laisser. Je te dis à la semaine prochaine pour la prochaine destination. Je ne te gâche pas la surprise, à vendredi prochain !Plein de bisous,LéaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi, Laurent Mariotte et son invité vous livrent conseils, trucs et astuces autour de la gastronomie et l'alimentation. Un éclairage utile sur l'art du bien-manger. Aujourd'hui, tout savoir sur la lentille et la street food avec Sonia Ezgulian et Yves Camdeborde.