POPULARITY
* Anticipan baja participación en elección judicial* Detienen a elementos de la Guardia Nacional por huachicol* Macron contra Macron. La bofetada que se vio en todo el mundo
Partagez votre opinion avec la rédactionCe nouvel épisode du FC Expat vous emmène cette fois-ci en Afrique. En effet, notre invité, Julien Mette, a quitté la France afin d'exercer son métier d'entraîneur, successivement en République du Congo, à Djibouti, puis au Rwanda. Tout au long de ce podcast, il nous explique les circonstances qui l'ont conduit à parcourir un tel chemin. De plus, il nous raconte sa vie quotidienne en totale immersion. Il nous partage notamment diverses anecdotes, comme la manière dont la passion de ses joueurs compense bien souvent le manque de ballons ! Enfin, Julien livre sans détour son ressenti sur la perception de la France dans ces différents pays. De quoi, peut-être, inspirer quelques conseils au Président Macron…La suite sur Lesfrancais.pressSupport the show
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'interview qui a eu lieu hier soir sur TF1, avec le président de la République pour faire un bilan de ses huit premières années à la tête du pays et tenter de se projeter sur la fin de son deuxième quinquennat.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 14 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphanie de Muru, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Macron à la TV le 13 mai... pour annoncer un référendum ? Islamisme, la visite à Macron qui va faire du bruit... 100 millions d'euros pour les chercheurs américains.
Après les réfugiés politiques ou climatiques, voici le temps des réfugiés scientifiques… Emmanuel MACRON a lancé ce matin son appel de La Sorbonne pour convaincre les chercheurs américains et étrangers menacés par le trumpisme de choisir la France et l'Europe… Nous allons en débattre avec nos invités : Cette fuite des cerveaux américains est-elle une opportunité rêvée pour la France ? Avons-nous les moyens de nos ambitions? Pouvons-nous incarner un contre-modèle total à l'Amérique de Trump ? On en débat ce lundi 5 mai avec nos invités : ▶︎ Clémentine GOLDSZAL Journaliste indépendante, autrice de « Premiers cris : Les mystères de la néonatologie » aux éditions du Seuil (21.02.25)▶︎ Étienne KLEIN Physicien, philosophe des sciences, directeur de recherche au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), auteur de «Transports physiques » aux éditions Gallimard (13.03.25)▶︎ Shahin VALLÉE Économiste, chercheur en économie politique au German Council on Foreign Relations (DGAP), membre de l'Observatory Group (Washington D.C.), ancien conseiller du Président du Conseil européen (Herman Von Rompuy) et ancien conseiller du Ministre de l'Économie (Emmanuel Macron)▶︎ David DJAÏZ Essayiste, enseignant à Sciences Po▶︎ Julie MARTINEZ Directrice générale de France Positive
À 22h, Perrine Storme fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Perrine jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
Emmanuel Macron, impliqué sur le dossier ukrainien et le réarmement de l'Europe, est soutenu par l'opinion et remonte dans les sondages. Son Premier ministre, en revanche, semble fragilisé après avoir estimé, en plein conclave sur les retraites, que le retour aux 62 ans était inenvisageable. La CGT a claqué la porte et le PS dénonce une "trahison". François Bayrou va-t-il être rattrapé par la censure ?
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.
C dans l'air du 6 mars 2025 - Macron : "la menace russe est là""La patrie a besoin de vous, de votre engagement". Mercredi soir, à la veille d'un Conseil européen décisif sur la sécurité, le chef de l'Etat s'est adressé aux Français lors d'une allocution télévision solennelle pour les alerter sur l'avènement d'une "nouvelle ère" et d'"un monde de dangers". "Il va falloir investir dans la défense » a dit le président de la République puisque l'Amérique de Donald Trump fait le choix de se désengager et que le Kremlin déploie son agressivité sans frontières. "Au-delà de l'Ukraine, la menace russe est là et touche les pays d'Europe, nous touche. La Russie a déjà fait du conflit ukrainien un conflit mondial", a déclaré le chef de l'Etat. "La Russie du président Poutine viole nos frontières pour assassiner des opposants, manipule les élections en Roumanie, en Moldavie, organise des attaques numériques contre nos hôpitaux pour en bloquer le fonctionnement. La Russie tente de manipuler nos opinions avec des mensonges diffusés sur les réseaux sociaux, au fond elle teste nos limites. Elle le fait dans les airs, en mer, dans l'espace et derrière nos écrans. Cette agressivité ne semble pas connaître de frontières et la Russie dans le même temps continue de se réarmer (…) "Qui peut donc croire dans ce contexte que la Russie d'aujourd'hui s'arrêtera à l'Ukraine ?", a-t-il poursuivi. "Face à ce monde de danger, rester spectateur serait une folie", a estimé Emmanuel Macron à la veille d'un sommet extraordinaire des 27 à Bruxelles ce jeudi sur l'Ukraine en présence Volodymyr Zelensky. Il sera notamment question de soutenir Kiev après la suspension de l'aide militaire américaine à Kiev et de muscler la défense européenne à coup de centaine de milliards d'euros.Sur les réseaux sociaux, Emmanuel Macron a envisagé de passer de 2 à 5 % du PIB les dépenses militaires de la France, ce qui représenterait un effort colossal de 90 milliards d'euros pour la défense. Mais où trouver ces dizaines de milliards d'euros dans un contexte de restrictions budgétaires et d'endettement public record ? Le chef de l'Etat a prévenu qu'il faudrait "mobiliser des financements privés, mais aussi des financements publics, sans que les impôts ne soient augmentés. Pour cela, il faudra des réformes, des choix, du courage" a-t-il martelé sans en dire plus. Le gouvernement de son côté s' est déjà opposé à la confiscation des avoirs russes gelés dans l'UE, malgré le plaidoyer de nombreux députés lors du débat à l'Assemblée nationale sur le conflit en Ukraine. Le président de la République a également dit vouloir "ouvrir le débat stratégique" sur la protection de l'Europe par le parapluie nucléaire français et a déclaré que la France avait "besoin" de "l'engagement" de ses citoyens. S'il n'y a plus de service militaire depuis 1997, il existe en revanche une réserve dans l'armée, c'est-à-dire des volontaires qui ont un métier dans le civil mais qui s'engagent pour aider à la défense nationale. Au 1er octobre 2024, date de la dernière mise à jour, les volontaires de l'armée de terre, la marine nationale, l'armée de l'air et de l'espace étaient de 44 535. « Il est certain que nous n'avons pas assez de réservistes », a regretté le ministre de la Défense Sébastien Lecornu, ce matin sur France Inter. "Est-ce qu'on a besoin d'accélérer sur le durcissement de la réserve ? La réponse est oui" a-t-il ajouté. Qu'est-ce que la réserve opérationnelle dans les armées ? Qui peut l'intégrer ? Une de nos équipes a suivi la formation de ces réservistes. Alors comment aider l'Ukraine et réarmer l'Europe ? Être réserviste en France, ça veut dire quoi ? Enfin comment financer un effort de guerre ? L'Europe peut-elle saisir les 209 milliards d'euros d'avoirs russes gelés pour aider l'Ukraine ?Les experts :- Jean-Paul PERRUCHE - Général de corps d'armée, expert en stratégie de sécurité et de défense- Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express, auteure de Le piège Nord Stream - James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Hélène KOHL (En duplex de Berlin) - Journaliste indépendante – Le Podkast
C dans l'air du 6 mars 2025 - Macron : "la menace russe est là"Les experts :- Jean-Paul PERRUCHE - Général de corps d'armée, expert en stratégie de sécurité et de défense- Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express, auteure de Le piège Nord Stream - James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Hélène KOHL (En duplex de Berlin) - Journaliste indépendante – Le Podkast
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'allocution du président de la République, Emmanuel Macron et des propos graves qu'il a tenus, notamment concernant la guerre en Ukraine et du danger que représente la Russie vis-à-vis la France et l'Europe.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ensemble, ils reviennent sur l'allocution du président de la République, Emmanuel Macron qui a dénoncé l'ingérence de Moscou dans les affaires de la France et de nos voisins européens.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 06/03/2025, il revient sur l'allocution du Président de la République Emmanuel Macron, hier soir. "La Russie est devenue une menace pour la France" "La patrie a besoin de vous". Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
See omnystudio.com/listener for privacy information.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ensemble, ils reviennent sur l'allocution du président de la République, Emmanuel Macron qui a dénoncé l'ingérence de Moscou dans les affaires de la France et de nos voisins européens.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des enjeux qui entourent la venue du Président de la France, Emmanuel Macron à Washington, notamment vis-à-vis de la guerre en Ukraine.
Le président de la République Emmanuel Macron a un plan pour le Louvre. Annoncée fin janvier en grande pompe, cette "Nouvelle Renaissance" doit permettre de faire face à la fréquentation exceptionnelle du musée français, le plus visité du monde.Une nouvelle grande entrée, une Joconde déplacée, des billets plus chers et des rénovations un peu partout : des chantiers dont le budget total pourrait atteindre 800 millions d'euros selon l'entourage du président de la République. Pour Emmanuel Macron, il s'agirait de laisser une empreinte sur le joyaux parisien et peut-être aussi de revenir sur le devant de la scène politique en France.Réalisation : Maxime MametInvités : Sandra Biffot-Lacut (service culture de l'AFP) et Francesco Fontemaggi (service politique de l'AFP)Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Soir avec Agnès Bonfillon et Yves Calvi du 30 janvier 2025.
"Ça me dépasse totalement". Invitée de RTL vendredi 10 janvier, Brigitte Macron est revenue sur les nombreuses critiques reçues depuis la décision d'Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée nationale en juin dernier. La Première dame a notamment dénoncé la virulence de certains propos, notamment ceux écrits sur les réseaux sociaux. À ce sujet, elle a confié à propos du chef de l'État : "Je le sens extrêmement blessé". "Vous imaginez ce taux de violence que vous prenez ? Les rares fois où je vais sur les réseaux, je n'imaginais même pas qu'on arrivait à dire des phrases pareil à des personnes dont on ne sait rien, que l'on ne connaît pas ou que l'on croit connaître. Comment peut-on assassiner verbalement des gens comme ça ? Je ne comprends pas, ça me dépasse totalement", ajoute-t-elle.
"Ça me dépasse totalement". Invitée de RTL vendredi 10 janvier, Brigitte Macron est revenue sur les nombreuses critiques reçues depuis la décision d'Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée nationale en juin dernier. La Première dame a notamment dénoncé la virulence de certains propos, notamment ceux écrits sur les réseaux sociaux. À ce sujet, elle a confié à propos du chef de l'État : "Je le sens extrêmement blessé". "Vous imaginez ce taux de violence que vous prenez ? Les rares fois où je vais sur les réseaux, je n'imaginais même pas qu'on arrivait à dire des phrases pareil à des personnes dont on ne sait rien, que l'on ne connaît pas ou que l'on croit connaître. Comment peut-on assassiner verbalement des gens comme ça ? Je ne comprends pas, ça me dépasse totalement", ajoute-t-elle.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Christophe Bordet scrutent et analysent la presse du jour. Aujourd'hui, les vœux du président.
durée : 00:04:16 - Récits d'enquête - par : Mattéo Caranta - “Le Président et son double”, une série du Monde signée Ariane Chemin Ivanne Trippenbach et Raphaëlle Bacqué, sonde le pouvoir très solitaire d'Emmanuel Macron. Elle révèle des propos à caractère sexiste, raciste, ou homophobe, mais pose une question : comment traiter les "sources" politiques ?
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 19 décembre 2024.
Ce jeudi 5 décembre 2024, Laurent Gerra a notamment imité Nicolas Sarkozy, Michel Barnier ou encore Emmanuel Macron. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.
C dans l'air du 5 décembre - Trois mois après sa nomination à Matignon, Michel Barnier a remis ce matin la démission de son gouvernement au président de la République, un record de brièveté sous la Ve République. L'histoire s'est accélérée hier soir à l'Assemblée nationale avec le vote de la motion de censure déposée par le Nouveau Front Populaire par 331 députés, bien plus que les 288 nécessaires. Toutes les oppositions ont voté pour renverser le gouvernement, une première depuis soixante-deux ans, en 1962 sous la présidence de Charles de Gaulle.Et maintenant ? En attendant la nomination d'un nouveau Premier ministre, Gabriel Attal, le chef de file des députés macronistes, a appelé tous les partis, sauf le RN et LFI, à trouver un compromis. Chez Horizons on plaide également pour une "coalition" qui aille de la "droite républicaine" aux "socio-démocrates". Laurent Wauquiez, chef des Républicains à l'Assemblée nationale, a lui affirmé que son groupe "ne fera pas tomber un gouvernement" même s'il n'y participe pas. À gauche, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale Boris Vallaud a appelé à "un gouvernement de gauche ouvert aux compromis". "Ça suppose que nous abandonnons le 49.3, qu'il n'y aura pas de passage en force et que sur chaque texte nous serons obligés de trouver des compromis", a expliqué ce matin Olivier Faure. Le patron des socialistes a également assumé ses "divergences avec Mathilde Panot", la cheffe de file des députés Insoumis, rétorquant qu'il "vaut mieux parfois faire un pas qui n'est pas exactement celui qui était prévu, plutôt que de ne rien faire et rester dans la protestation". Le Parti socialiste et les écologistes ont demandé au chef de l'Etat de recevoir "les chefs de partis et les présidents des groupes parlementaires de l'Assemblée nationale et du Sénat ayant participé au front républicain" lors des dernières législatives. Dans une lettre ouverte, la secrétaire nationale des Verts a également exhorté le chef de l'Etat à "consentir à accorder aux Français l'alternance politique qu'ils réclament" en nommant un Premier ministre "issu de la gauche et des écologistes". Le leader de Place publique Raphaël Glucksmann a de son côté appelé ce jeudi dans une tribune parue dans Le Monde à la construction d'une "plateforme minimale" entre les forces politiques ayant fait barrage à l'extrême droite aux dernières élections législatives.À l'extrême droite, Marine Le Pen, la cheffe des 124 députés RN, a déclaré qu'elle "laissera travailler" le futur Premier ministre pour "co-construire un budget acceptable pour tous".Pendant ce temps, à l'Elysée, le chef de l'Etat a déjeuné ce jeudi avec François Bayrou. Le nom du président du MoDem, allié du chef de l'Etat depuis 2017, circule pour le poste de Premier ministre, de même que celui du ministre des Armées Sébastien Lecornu, un fidèle d'Emmanuel Macron. Le président de la République doit s'exprimer ce soir à 20 heures. Il pourrait nommer rapidement un successeur alors que selon un dernier sondage Harris Interactive pour RTL, une majorité des Français, 53 %, indiquent approuver cette censure. Ils sont nombreux à l'approuver notamment chez les sympathisants des partis de gauche (78 % pour LFI, 66 % pour le PS et 61 % pour les écologistes) et du Rassemblement national (74 %). Pour autant, 82 % des Français sondés se disent inquiets pour l'avenir de la France.Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Brigitte BOUCHER - journaliste politique à franceinfo TV- Caroline VIGOUREUX - journaliste politique et société à la Tribune DimanchePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 5 décembre - Si vous manquez de temps pour écouter l'émission en entier, nous vous donnons la possibilité d'accéder directement aux questions posées par les téléspectateurs qui sont un bon résumé de l'émission du jour.Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Brigitte BOUCHER - journaliste politique à franceinfo TV- Caroline VIGOUREUX - journaliste politique et société à la Tribune Dimanche
Au menu de la troisième heure des GG du mardi 3 décembre 2024 : "Démission de Macron, la seule solution ?" avec Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Pomart, ex-policier du Raid, et Jérôme Marty, médecin généraliste.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la série "Le bureau des Légendes" de Canal+ va connaître une suite après quatre ans d'absence, le dernier épisode de la saison 2 de Master Crimes et Brigitte Macron a rendu visite aux élèves de la Star Academy cette semaine.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la série "Le bureau des Légendes" de Canal+ va connaître une suite après quatre ans d'absence, le dernier épisode de la saison 2 de Master Crimes et Brigitte Macron a rendu visite aux élèves de la Star Academy cette semaine.
M. Joly revient sur les principaux aspects de la violence morale caractérisant la façon de faire d'Emmanuel Macron. L'absence de toute empathie et plus largement de toute prise en compte véritable de ce qui fait obstacle dans le réel, l'habileté à mettre les interlocuteurs dans des impasses en leur tenant des discours contradictoires et incompatibles, ou encore la propension à toujours centrer les discussions sur soi-même, sont des traits typiques du pervers manipulateur. Derrière le cas Macron et la réussite exceptionnelle d'un individu présentant ce type de profil, M. Joly discerne un fait social contemporain. « Un homme plein de paroles, mais un homme sans parole » : c'est ainsi que le psychanalyste Paul-Claude Racamier a évoqué le profil-type du pervers narcissique. Le comportement de l'actuel président de la République paraît bel et bien correspondre à cette formule, ainsi qu'aux autres traits de la catégorie psychopathologique en question – laquelle, on le sait, constitue un thème à la mode depuis plus d'une vingtaine d'années. Alors qu'il menait une enquête approfondie sur les violences sexistes et sexuelles, la souffrance des victimes et le travail des associations vouées à les soutenir, le sociologue Marc Joly a été frappé par les similitudes aussi bien entre le comportement des hommes auteurs de maltraitances psychologiques et celui d'Emmanuel Macron au pouvoir qu'entre le discours des victimes de ces maltraitances et celui des gouvernés confrontés à la politique et aux discours du président. C'est ainsi qu'il a conçu un livre d'intervention, à la fois sociologique et politique, intitulé « La pensée perverse au pouvoir », récemment paru aux éditions Anamosa. Avec Julien Théry, qui le reçoit dans ce nouveau numéro d'« On s'autorise à penser », M. Joly revient sur les principaux aspects de la violence morale caractérisant la façon de faire d'E. Macron. L'absence de toute empathie et plus largement de toute prise en compte véritable de ce qui fait obstacle dans le réel, l'habileté à mettre les interlocuteurs dans des impasses en leur tenant des discours contradictoires et incompatibles (c'est la « paradoxalité perverse »), la propension à toujours centrer les discussions sur soi-même, sont des traits typiques du pervers manipulateur. Derrière le cas Macron et la réussite exceptionnelle d'un individu, M. Joly discerne un fait social contemporain : la compensation du déclin historique des grandes autorités et de la violence symbolique qu'elles exerçaient pour faire accepter aux dominés leur place subalterne par la montée d'une violence psychologique perverse aussi bien dans les couples et dans les relations au travail que dans la sphère politique.
C dans l'air du 9 octobre - Netanyahou / Macron : la rupture ?Les experts :- Frédéric ENCEL - Docteur en géopolitique, maître de conférences - Sciences Po Paris, auteur de "Petites leçons de diplomatie"- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs, auteur de "Une terre doublement promise".- Raphaëlle BACQUé - Grand reporter - Le Monde - Rym MOMTAZ - Chercheuse en géopolitique - Carnegie Europe
C dans l'air du 9 octobre - Netanyahou / Macron : la rupture ?La France hausse le ton contre le Premier ministre israélien. Hier soir le ministre des Affaires étrangères a dénoncé une "provocation" de Benyamin Nétanyahou après son message adressé aux Libanais les menaçant de "destructions et (de) souffrances comme celles que nous voyons à Gaza" s'ils ne se débarrassent pas du Hezbollah. "Si cette provocation était suivie d'effet, cela entraînerait le Liban, pays ami de la France déjà si fragile, dans le chaos. Et cela poserait pour Israël des problèmes de sécurité plus importants encore que ceux qui prévalaient avant les opérations militaires au Liban", a affirmé Jean-Noël Barrot.Cette mise en garde du chef de la diplomatie française survient après un week-end où la tension est montée d'un cran entre Emmanuel Macron et Benyamin Netanyahou. Samedi, le président de la République a lancé un appel à cesser les livraisons d'armes à Israël qui sont utilisées dans la guerre contre le Hamas à Gaza. La France est "en solidarité avec la sécurité d'Israël", a-t-il assuré, "néanmoins, nous essayons aussi d'être cohérents. On ne peut pas appeler au cessez-le-feu et livrer les armes de la guerre". La France, avait souligné Emmanuel Macron, "ne livre pas" d'armes à l'Etat hébreu, et ces propos étaient un message adressé aux alliés de Paris, à commencer par les Etats-Unis, plutôt que d'un changement de stratégie militaire. Ils n'en ont pas moins provoqué la colère du Premier ministre israélien. "Alors qu'Israël combat les forces de la barbarie dirigées par l'Iran, tous les pays civilisés devraient se tenir fermement aux côtés d'Israël. Pourtant, le président Macron et d'autres leaders occidentaux appellent maintenant à des embargos sur les armes pour Israël. Honte à eux !", s'est-il insurgé.Le lendemain, lors d'un entretien téléphonique, les deux dirigeants ont assumé leurs "différences" a fait savoir l'Elysée dans un communiqué. La présidence française a indiqué avoir exprimé "à la veille du premier anniversaire de l'offensive terroriste du Hamas contre Israël la solidarité du peuple français avec le peuple israélien", mais également rappelé "sa conviction que le temps du cessez-le-feu est désormais venu".Les Etats-Unis et la France, rejoints par des pays arabes et européens avaient déjà appelé dans la nuit du 25 au 26 septembre, à un cessez-le-feu temporaire de vingt-et-un jours entre Israël et le Hezbollah pour éviter une situation hors de contrôle. Depuis au Liban comme à Gaza, l'intensité des bombardements ne faiblit pas mais les discussions diplomatiques se poursuivent et plusieurs propositions de cessez-le-feu sont sur la table.Alors pourquoi la diplomatie ne parvient-elle pas à faire cesser les guerres au Proche-Orient ? Quelle est la position de Paris ? Après avoir longtemps eu une parole qui porte dans la région, y a-t-il une perte d'influence de la France au Moyen-Orient ? Enfin après sa démission fracassante, l'ancien commissaire européen Thierry Breton a dit voir une "dérive" dans le poids croissant de l'Allemagne dans les institutions communautaires et a estimé que la "voix de la France porte moins" en Europe. L'influence française est-elle en perte de vitesse sur la scène européenne ?Les experts :- Frédéric ENCEL - Docteur en géopolitique, maître de conférences - Sciences Po Paris, auteur de "Petites leçons de diplomatie"- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs, auteur de "Une terre doublement promise".- Raphaëlle BACQUé - Grand reporter - Le Monde - Rym MOMTAZ - Chercheuse en géopolitique - Carnegie Europe
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.
Francia tendrá un gobierno de derechas, presidido por un político de la derecha tradicional que quedó cuarta en las últimas elecciones generales. Emmanuel Macron ha tomado esta decisión y consuma así su enésima traición a quienes alguna vez le otorgaron su confianza. El Nuevo Frente Popular, la coalición de izquierdas que ganó esos comicios, y en la que Macrón se apoyó para, en teoría, frenar la entrada de la extrema derecha, se ha quedado sin ninguna opción de poder en un nuevo ejecutivo que, paradójicamente, estará condicionado por los votos Marine Le Pen. Repasamos con Daniel Fuentes Castro, doctor en Economía por la Universidad de Paris Nanterre y colaborador de elDiario.es, el curriculum de traiciones y maniobras de supervivencia de un político que lleva toda su vida haciendo lo mismo. Con Lilith Vestrynge, política y militante de izquierdas en España y también en Francia, conocemos mejor las sensaciones que ha dejado esta última maniobra entre los votantes del Nuevo Frente Popular. *** Hazte socio de elDiario.es y llévate un año gratis de Podimo, la plataforma de podcast y audiolibros. Todos los detalles en elDiario.es/podimo *** Envíanos una nota de voz por Whatsapp contándonos alguna historia que conozcas o algún sonido que tengas cerca y que te llame la atención. Lo importante es que sea algo que tenga que ver contigo. Guárdanos en la agenda como “Un tema Al día”. El número es el 699 518 743.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs En déniant aux dirigeants de la commission des finances de l'Assemblée le droit d'examiner les « lettres plafonds » préparant les choix budgétaires de 2025, le pouvoir franchit une sérieuse ligne rouge et abîme un pilier des démocraties parlementaires. Une analyse de Dan Israel publiée mardi 17 septembre et lue par Christine Pâris.
durée : 00:03:12 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - La France insoumise veut tenter de destituer le chef de l'Etat. Les socialistes, qui y sont opposés, acceptent... d'en parler. Que comprendre ?
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
La nomination d'un Premier ministre et la formation d'un gouvernement devrait coïncider avec la rentrée sociale agitée de septembre. Outre-Manche, et sous l'égide de Keir Starmer, les relations politiques se réchauffent entre les Britanniques et l'Union européenne.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Théo Grévin revient sur la Une des journaux de ce matin.
Ecoutez Le journal RTL avec Tristan Barraux du 23 juillet 2024.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.
Ce mercredi 24 avril 2024, Laurent Gerra a notamment imité Pascal Praud, Emmanuel Macron ou encore Bruno Le Maire. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.