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durée : 00:01:58 - L'info d'ici, ici Périgord Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Je prends acte de ce geste d'humanité du président Tebboune et l'en remercie », a déclaré hier Emmanuel Macron, après la libération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal par les autorités algériennes. « Avec l'Algérie, le bras de fer ne fonctionne pas », a ajouté l'un des conseillers du Président français. Est-ce à dire que le départ du gouvernement français de Bruno Retailleau, qui prônait la fermeté avec Alger, a facilité les choses ? L'écrivain franco-algérien Kamel Bencheikh, qui est l'un des membres fondateurs du comité de soutien à Boualem Sansal, témoigne au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Quelle est votre réaction à la libération de Boualem Sansal ? Kamel Bencheikh : Vous vous doutez que je saute au plafond, que c'est une joie incommensurable. Lorsque je l'ai appris, d'abord, je ne m'y attendais pas du tout. Parce qu'on s'est attendu à sa libération pendant l'Aïd el-Kébir, puis pour le 5 juillet, fête de la libération de l'Algérie. On a été déçus et chat échaudé craint l'eau froide. Je ne m'y attendais pas et je n'espérais plus rien. Tout de même, il y a quelques jours, sur France Inter, le patron de la DGSE, les services français de renseignement extérieurs, Nicolas Lerner, déclarait : « Il y a des signaux venant d'Alger en faveur d'une reprise du dialogue. J'espère qu'il y aura libération de nos deux compatriotes, Boualem Sansal et Christophe Gleizes. » Je l'ai écouté et nous espérions tous. Mais connaissant le pouvoir d'Alger et le régime d'Alger, je me suis dit que, à moins qu'il soit grièvement malade, ils ne le lâcheront pas. Je pense que ce n'est pas un geste de clémence. C'est parce qu'il est malade qu'ils voulaient se débarrasser de lui. Apparemment, l'Allemagne et son président Frank-Walter Steinmeier ont joué un grand rôle, non ? Certainement. Parce que, entre l'Allemagne et l'Algérie, il y a des relations fortes dans le domaine économique. Il ne faut pas se le cacher, le président Abdelmadjid Tebboune a l'habitude d'aller se faire soigner en Allemagne. Il l'a fait l'année dernière et il y a deux ans. Cette médiation allemande, en aviez-vous déjà eu connaissance ces derniers mois ? Non, pas du tout. C'est une surprise pour moi. Sans être une surprise, parce que Boualem Sansal est très connu en Allemagne. Il a eu le Grand Prix des libraires allemands pour l'ensemble de son œuvre. Il avait l'habitude d'aller faire des conférences pour les ambassadeurs allemands à l'étranger. C'est là-bas qu'il a écrit son livre Gouverner au nom d'Allah. Il a été reçu deux ou trois fois par l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel. On peut donc imaginer qu'Emmanuel Macron a demandé à Frank-Walter Steinmeier de faire une démarche auprès d'Alger ? Je ne l'imagine pas et je n'imagine rien parce que maintenant que Boualem Sansal est arrivé à Berlin, tout le monde va dire : « C'est grâce à moi. » Moi, je ne le sais pas, je ne suis pas au courant. Tout ce que je sais, c'est qu'on a essayé de contacter la présidence française qui n'a jamais réagi. Que les deux filles de Boualem Sansal, Sabira et Naouel, ont écrit dans Le Figaro une lettre ouverte au président Macron à laquelle il n'a jamais répondu. Cela nous a déçu. Du côté des Français, on avait remarqué ces derniers mois qu'il y avait deux lignes sur la question algérienne : la ligne de fermeté, incarnée par le ministre de l'Intérieur de l'époque, Bruno Retailleau ; et la ligne modérée, incarnée par le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Avez-vous senti la même chose ? Bien évidemment. On dirait que ce sont des ministres des deux gouvernements différents. Jean-Noël Barrot en est même arrivé à taper sur le comité de soutien et en particulier sur Xavier Driencourt, l'ancien ambassadeur de France en Algérie, en le traitant de tous les noms et en le traitant de militant d'extrême droite. Alors que Bruno Retailleau tenait la ligne dure vis-à-vis de l'Algérie et je pense que l'Algérie l'a humilié. Ne serait-ce qu'en n'acceptant pas les obligations de quitter le territoire français (OQTF). N'est-ce pas le départ du gouvernement de Bruno Retailleau qui a facilité l'issue favorable à Boualem Sansal ? Je n'y crois pas. D'abord, c'est parce que le président allemand l'a demandé et l'Allemagne est un partenaire important pour l'Algérie. Deuxièmement, je suis sûr – on le saura dans les prochaines heures, sinon dans les prochains jours –, que les examens de santé que demandait Boualem Sansal devaient être faits en Occident. Je pense qu'ils ne pouvaient pas le laisser mourir chez eux parce que le monde entier aurait réagi. Donc, pour vous, le moment de la libération de Boualem Sansal, c'est d'abord un moment médical ? Médical, oui. Une année, cela suffit. En gardant Boualem Sansal pendant une année, le pouvoir algérien, le régime algérien, a montré non seulement au monde qu'il était « souverain », mais surtout aux opposants que nul n'est à l'abri d'une arrestation. Boualem Sansal n'était-il pas l'otage d'une crise politique entre Alger et Paris ? Sa libération n'est-elle pas le signe que cela va mieux entre les deux pays ? Ce n'est pas ma lecture. Ma lecture, c'est que Boualem Sansal a été arrêté parce que les islamistes se sont sentis forts en Algérie. Ils lui en voulaient terriblement. Le jour où il a dérapé, dans le média Frontières, en parlant des frontières algéro-marocaines, c'était l'occasion ou jamais pour obliger le président et le pouvoir algérien à l'arrêter. Tout de même, le président Abdelmadjid Tebboune n'envoie-t-il pas un message d'apaisement à Paris par l'intermédiaire de cette grâce à l'égard de Boualem Sansal ? Cela aurait été le cas s'il avait été libéré à la demande de Paris. Ce n'est pas le cas. Mais le résultat est le même. Le résultat est le même et nous sommes heureux. Boualem Sansal arrive en Allemagne et d'ici à quelques jours, il sera probablement parmi les siens, y compris en France ? Bien sûr, nous l'attendons de pied ferme. Mais je ne suis pas sûr que c'est pour faire plaisir au gouvernement français qu'il a été libéré. C'est même l'inverse. Ils ont résisté à toutes les demandes françaises pendant une année. Il y a Boualem Sansal et puis il y a un autre ressortissant français, le journaliste Christophe Gleizes, qui a été condamné au mois de juin dernier à sept ans de prison. Comment voyez-vous sa situation aujourd'hui ? Il faut absolument qu'il en sorte. Mais au-delà de Boualem Sansal et de Christophe Gleizes, il y a des centaines de prisonniers politiques qui sont dans les prisons algériennes. Maintenant que nous avons eu le bonheur d'avoir le retour de Boualem Sansal, il faudrait que nous ne lâchions pas concernant Christophe Gleizes. Il faut absolument que l'on commente, que l'on se batte pour qu'il nous revienne. Son procès en appel est prévu dans quelques semaines, début décembre, à Alger. Êtes-vous optimiste ? Je ne suis ni optimiste ni pessimiste parce que les réactions algériennes sont très improbables. C'est là où l'on verra justement si le pouvoir algérien veut faire plaisir à la France, puisque cela ne passera pas par l'Allemagne, cette fois-ci. Ce que vous dites, c'est qu'avec le sort à venir de Christophe Gleizes, on saura si, oui ou non, il y a un apaisement entre Alger et Paris ? C'est exactement ce que je veux dire. Mais en tout cas, ce que vous souhaitez, c'est la libération de Christophe Gleizes également. Oui, qu'il revienne vers sa famille, vers son pays, à son métier. À lire aussiLibération de Boualem Sansal par l'Algérie: la diplomatie française en question
Un rassemblement d'une ampleur sans précédent a rendu hommage samedi aux 16 victimes de la catastrophe de la gare de Novi Sad, survenue il y a un an. La mobilisation contre la corruption continue, et la détermination des manifestants à obtenir la convocation d'élections anticipées reste intacte. Mobilisation en Serbie Dimanche (2 novembre 2025), la mère d'une des victimes de l'effondrement du toit en béton de la gare de Novi Sad a entamé une grève de la faim pour que justice soit rendue, alors que plus de 100.000 personnes s'étaient rassemblées dans le calme samedi pour rendre hommage aux 16 personnes mortes dans la catastrophe, il y a un an. C'est le plus imposant rassemblement jamais organisé sur place depuis lors et cette mobilisation massive montre à quel point la détermination de l'opposition au régime d'Aleksandar Vucic reste intacte. À la pointe du mouvement, les étudiants sont déterminés à obtenir la chute du président serbe et de son parti, le SNS, considéré comme responsable d'une corruption qui ronge la société. À Novi Sad, le reportage de Louis Seiller. En Italie, les juges dans le viseur du pouvoir Le Parlement italien a approuvé en fin de semaine dernière la réforme du système judiciaire, projet phare du gouvernement Meloni, et des conservateurs depuis de très nombreuses années. C'était la quatrième fois que le Sénat examinait le texte, qui doit encore être soumis à référendum dans quelques mois avant adoption définitive. Les explications de Cécile Debarge. En Turquie, des fonctionnaires toujours à la peine avec la justice Après le putsch manqué de l'été 2016, le pouvoir avait limogé plus de 125.000 personnes au sein de la Fonction publique. Parmi elles, de nombreux opposants, accusés de soutenir les putschistes ou le terrorisme. Du jour au lendemain, ces fonctionnaires se sont retrouvés, sans revenus, sans droits sociaux et même sans passeport. Neuf ans plus tard, certains sont toujours dans l'impasse et même les plus mobilisés d'entre eux ont du mal à garder espoir. Reportage à Ankara, Anne Andlauer. Michel Hazanavicius : l'Ukraine au plus près Depuis la publication de ses Carnets d'Ukraine (Allary éd.), récit d'une semaine passée sur le front avec les combattants, le réalisateur Michel Hazanavicius poursuit sans relâche son engagement en faveur des Ukrainiens en guerre, Il est notamment ambassadeur en France du fonds de soutien gouvernemental United 24, auquel il reverse les bénéfice de son livre. Le réalisateur de The Artist, et de La plus précieuse des marchandises était récemment au festival War on screen où Olivier Favier l'a rencontré.
Un rassemblement d'une ampleur sans précédent a rendu hommage samedi aux 16 victimes de la catastrophe de la gare de Novi Sad, survenue il y a un an. La mobilisation contre la corruption continue, et la détermination des manifestants à obtenir la convocation d'élections anticipées reste intacte. Mobilisation en Serbie Dimanche (2 novembre 2025), la mère d'une des victimes de l'effondrement du toit en béton de la gare de Novi Sad a entamé une grève de la faim pour que justice soit rendue, alors que plus de 100.000 personnes s'étaient rassemblées dans le calme samedi pour rendre hommage aux 16 personnes mortes dans la catastrophe, il y a un an. C'est le plus imposant rassemblement jamais organisé sur place depuis lors et cette mobilisation massive montre à quel point la détermination de l'opposition au régime d'Aleksandar Vucic reste intacte. À la pointe du mouvement, les étudiants sont déterminés à obtenir la chute du président serbe et de son parti, le SNS, considéré comme responsable d'une corruption qui ronge la société. À Novi Sad, le reportage de Louis Seiller. En Italie, les juges dans le viseur du pouvoir Le Parlement italien a approuvé en fin de semaine dernière la réforme du système judiciaire, projet phare du gouvernement Meloni, et des conservateurs depuis de très nombreuses années. C'était la quatrième fois que le Sénat examinait le texte, qui doit encore être soumis à référendum dans quelques mois avant adoption définitive. Les explications de Cécile Debarge. En Turquie, des fonctionnaires toujours à la peine avec la justice Après le putsch manqué de l'été 2016, le pouvoir avait limogé plus de 125.000 personnes au sein de la Fonction publique. Parmi elles, de nombreux opposants, accusés de soutenir les putschistes ou le terrorisme. Du jour au lendemain, ces fonctionnaires se sont retrouvés, sans revenus, sans droits sociaux et même sans passeport. Neuf ans plus tard, certains sont toujours dans l'impasse et même les plus mobilisés d'entre eux ont du mal à garder espoir. Reportage à Ankara, Anne Andlauer. Michel Hazanavicius : l'Ukraine au plus près Depuis la publication de ses Carnets d'Ukraine (Allary éd.), récit d'une semaine passée sur le front avec les combattants, le réalisateur Michel Hazanavicius poursuit sans relâche son engagement en faveur des Ukrainiens en guerre, Il est notamment ambassadeur en France du fonds de soutien gouvernemental United 24, auquel il reverse les bénéfice de son livre. Le réalisateur de The Artist, et de La plus précieuse des marchandises était récemment au festival War on screen où Olivier Favier l'a rencontré.
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L’ex-directeur du FBI est formellement inculpé. La très curieuse affaire des drones ennemis au-dessus des aéroports du Danemark se poursuit. Trump signe un ordre de transfert de propriété de Tik Tok. Réunion extraordinaire au Pentagone la semaine prochaine. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
durée : 00:04:11 - Le Grand reportage de France Inter - Dans le Béarn, les opposants se sont réunis pour assister à la chute de François Bayrou devant sa mairie à Pau. Dans la ville natale de l'ancien Premier ministre, à Bordères, ses voisins ont des mots durs pour son action à la tête du gouvernement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:24 - Les Toulousains réagissent après la chute du gouvernement de François Bayrou. - Le gouvernement de François Bayrou est tombé ce lundi. Entre 100 et 200 personnes se sont réunies sur la place du Capitole à Toulouse, pour trinquer au départ du premier ministre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au Gondwana, il y a une catégorie d'opposants qui s'en sort toujours quelle que soit la situation. Rediffusion du 5 mars 2024.
Au Gondwana, il y a une catégorie d'opposants qui s'en sort toujours quelle que soit la situation. Rediffusion du 5 mars 2024.
Disparition d'opposants, manifestations et médias interdits: quatre ans après le coup d'Etat, les opposants à Mamadi Doumbouya dénoncent la mainmise du général sur la Guinée, alors que ses soutiens louent l'engouement qu'il susciterait, à l'approche d'échéances électorales cruciales.
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs À Toulouse s'est tenue mercredi une audience sur le sursis à exécution demandé par l'État et les concessionnaires pour relancer le chantier de l'autoroute, arrêté par le tribunal administratif en février. Le délibéré sera rendu le 28 mai. Un article d'Emmanuel Riondé publié mercredi 21 mai et lu par Christine Pâris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 21 mai a été décrété par l'opposition biélorusse Journée des prisonniers politiques. C'est un 21 mai, en 2021, que le premier prisonnier politique est mort en prison en Biélorussie. Il s'appelait Vitold Ashurak. En Lituanie, le soutien aux prisonniers politiques biélorussesLa mort d'un 8è prisonnier politique en prison en Biélorussie a été confirmée ce 21 mai. Il s'appelait Valiantsin Shtermer et avait été condamné à 5 ans de prison en 2023 pour avoir critiqué l'agression de la Russie contre l'Ukraine. 5 ans après l'élection présidentielle frauduleuse et les manifestations réprimées dans la violence, il y a encore 1.200 prisonniers d'opinion dans les prisons de Biélorussie. Selon les témoignages d'anciens détenus, et selon l'organisation Viasna qui les défend, ils subissent en détention des tortures psychologiques et physiques. Ceux qui sont libérés trouvent parfois refuge de l'autre côté de la frontière, en Lituanie. Reportage à Vilnius de notre correspondante Marielle Vitureau. Le choix musical de Vincent Théval : Forever Yung du Suédois Yung Lean. En Suède, le succès de la « Slow TV » se confirme : 7 ans après son lancement, le programme la Grande Migration des Élans cartonne. Pendant 3 semaines, des millions de téléspectateurs ont à nouveau vécu au rythme de la nature en suivant en direct 24h sur 24h, 7 jours sur 7, le périple des troupeaux d'élans qui rejoignent leurs pâturages d'été. Pas de voix off, pas de commentaires, pas d'êtres humains ; c'est la définition de cette « slow télé », un concept dont le succès repose en partie sur un profond besoin de ralentir. Mais qui s'accompagne désormais de groupes de fans sur les réseaux sociaux. Notre correspondante à Stockholm s'est penchée sur le phénomène. Reportage, Ottilia Ferey.Entretien avec Guënaelle Gault, directrice de l'Obsoco pour qui le succès de la Slow TV en Suède n'est pas une surprise : de plus en plus d'Européens expriment un sentiment de saturation vis-à-vis de l'actualité et de la surexposition aux réseaux sociaux. En France, 54% de la population disait souffrir de « fatigue informationnelle » selon l'expression consacrée par l'étude menée fin 2024, pour la deuxième fois, par la Fondation Jean-Jaurès et l'OBservatoire SOciété et COnsommation.
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durée : 00:37:07 - Secrets d'info - par : Benoît COLLOMBAT, Cellule investigation de Radio France - Edition spéciale de “Secrets d'info” cette semaine. En partenariat avec le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ), la cellule investigation de Radio France révèle l'ampleur de la répression menée par la Chine au-delà de ses frontières. La France n'est pas épargnée. - réalisé par : Christophe IMBERT
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:16:26 - L'invité d'un jour dans le monde - “Un jour dans le monde” reçoit Géraldine Hallot et Maxime Tellier, journalistes à la Cellule Investigation de Radio France, et Raphaël Viana, porte-parole de l'ONG International Service for Human Rights.
durée : 00:03:40 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Donald Trump sera ce mardi en meeting dans le Michigan pour son centième jour à la Maison Blanche, saison 2. D'après les derniers sondages, de moins en moins d'électeurs approuvent son action mais le milliardaire a toujours su rebondir.
durée : 00:38:19 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - La Cellule Investigation de Radio France, en collaboration avec plusieurs journalistes et médias étrangers, révèle comment Pékin traque ses opposants à travers le monde, jusqu'au sol français et à l'ONU. - réalisé par : Thomas Lenglain
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durée : 00:15:23 - Journal de 8 h - Une vaste enquête de Radio France, en collaboration avec le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) et d'autres médias, révèle comment la Chine traque ses opposants à travers le monde jusque sur le sol français.
durée : 00:05:11 - Le Reportage de la rédaction - A l'issue d'une enquête internationale coordonnée par l'ICIJ, la cellule investigation de Radio France révèle que plus d'une centaine d'opposants au régime chinois ont été pris pour cible ces dernières années à travers le monde, y compris en France.
durée : 00:15:23 - Journal de 8 h - Une vaste enquête de Radio France, en collaboration avec le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) et d'autres médias, révèle comment la Chine traque ses opposants à travers le monde jusque sur le sol français.
durée : 00:05:04 - Le Zoom de France Inter - Qu'ils soient dissidents chinois, Tibétains ou Ouïghours, ils ont en commun d'être dans le viseur des autorités chinoises. Pékin n'hésite pas à les traquer et les intimider alors qu'ils vivent en France. Premier volet d'une vaste enquête menée en collaboration avec plusieurs médias étrangers.
durée : 00:15:23 - Journal de 8 h - Une vaste enquête de Radio France, en collaboration avec le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) et d'autres médias, révèle comment la Chine traque ses opposants à travers le monde jusque sur le sol français.
durée : 00:05:11 - Le Reportage de la rédaction - À l'issue d'une enquête coordonnée par le Consortium International des Journalistes d'Investigation, la cellule investigation de Radio France révèle que 105 opposants au régime chinois ont été pris pour cible ces dernières années à travers le monde, y compris en France.
De lourdes peines ont été prononcées contre 37 opposants au président tunisien Kaïs Saïed, accusés de complot contre la sûreté de l'État. Les sentences vont jusqu'à 70 ans de prison et ont été communiquées ce matin à l'aube. Notre correspondante Lilia Blaise, qui se trouvait devant le tribunal lors de la dernière audience vendredi, nous raconte le déroulé du procès et les réactions face au verdict.
durée : 00:14:52 - Journal de 12h30 - Un tribunal de Tunis a prononcé des peines allant de 13 à 66 ans de prison à l'encontre d'une quarantaine d'opposants. Le signe de la dérive autoritaire du pouvoir de Kaïs Saïed. - invités : Simon Persico Chercheur en sciences politiques au Centre d'études européennes de Sciences Po
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Vincent Hervouët analyse les tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie suite à l'arrestation en France de trois ressortissants algériens, dont un employé consulaire, soupçonnés d'avoir enlevé un opposant algérien réfugié en France. En réponse, l'Algérie a expulsé 12 agents français, une première depuis l'indépendance. Vincent Hervouët explore les enjeux géopolitiques et les implications de cette affaire sur les relations franco-algériennes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:57 - Journal de 18h - Les opposants à Donald Trump sont dans la rue ce samedi. Plusieurs centaines de manifestations sont prévues aux Etats-Unis pour dénoncer les dérives du président américain. Des slogans sont aussi entendus à Paris.
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Une plongée dans une Russie différente, une Russie d'opposants à la guerre et au régime de Vladimir Poutine et qui se battent souvent en silence et dans la solitude : c'est ce que nous propose l'écrivain russe en exil Filipp Dzyadko, petit-fils et fils de dissidents. Dans son livre Radio Vladimir (éditions Stock), il raconte les actes de résistance de ceux qui, aujourd'hui comme hier, osent s'opposer. Filipp Dzyadko est interrogé par Anastasia Becchio. RFI : Le titre de votre livre fait référence à une radio, une radio pirate d'un homme, Vladimir Roumiantsev, qui a décidé de créer sa propre radio. Vous avez entretenu une correspondance avec lui, lorsqu'il s'est retrouvé en prison.Filipp Dzyatko : Oui, c'est un homme étonnant. Il a plus de 60 ans. Il vivait seul dans la ville de Vologda. C'est une petite ville de province, située à 500 kilomètres de Moscou. Vladimir a travaillé toute sa vie dans des usines, il était ouvrier de chaufferie. Et il était lui-même issu d'une famille ouvrière. Son père a travaillé à l'usine pendant 50 ans. Il a commencé à travailler sous Staline et a terminé sa carrière sous Poutine. C'est donc un homme du peuple, un homme de la classe laborieuse.Un jour, cet homme décide qu'il n'est pas d'accord avec ce qui se passe autour de lui. Toute sa vie, il a été amoureux de la radio. Lorsque la Russie a annexé la Crimée en 2014, il a décidé qu'il ne voulait plus écouter la propagande de l'État qui était diffusée sur les ondes, et il a tout éteint dans son appartement. Et comme il le raconte, le silence s'est alors installé. Il fallait bien remplir ce vide et il a donc commandé différents composants sur internet et il a construit sa propre station de radio, dont le rayon de diffusion se cantonnait à son appartement et à plusieurs appartements voisins.Et malgré le fait que sa radio pirate était vraiment confidentielle, il a été arrêté à l'été 2022 et incarcéré. Dans votre livre, vous parlez de ces personnes, anonymes pour la plupart, qui continuent de s'opposer au régime, à la guerre. Mais dans un environnement de plus en plus répressif, comment exprimer son désaccord sans risquer de finir en prison ?C'est très dangereux, et peu de gens réalisent à quel point c'est dangereux. Dans mon livre, je parle de cette société secrète, parce que ces gens ne se connaissent pas les uns les autres. Il y a des personnes connues, comme Alexei Navalny. Cela fait plus d'un an qu'il n'est plus avec nous. Il y a aussi l'élu municipal d'opposition Alexei Gorinov, qui est un véritable héros et qui est la première personne à avoir été condamnée pour avoir dénoncé la guerre. Il est torturé en prison. Nous devons faire pression pour qu'il soit libéré. Plusieurs milliers d'autres personnes sont persécutées pour leurs opinions anti-guerre.Mais il y a aussi tous ceux qui sont impliqués dans une résistance discrète. Nous ne connaissons pas leur nombre. D'une manière générale, la Russie est, aujourd'hui, à bien des égards, une boîte noire. Ce que disent les autorités, en citant les chiffres du soutien à la guerre, est certainement un mensonge. Et nous ne savons pas vraiment ce que pense la société russe. Mais nous avons divers témoignages d'actes de résistance. C'est parfois une résistance ouverte, comme dans le cas des célèbres prisonniers politiques, mais parfois, elle est peu visible. Mais elle existe.Il y a aussi toutes ces lettres, ces milliers de lettres de soutien que reçoivent ces prisonniers politiques.Oui, écrire aux prisonniers politiques, c'est l'un des moyens de soutenir et de prendre part à cette société secrète. On peut leur écrire des courriers électroniques par l'intermédiaire du système pénitentiaire. Les prisonniers politiques racontent que c'est un soutien incroyable pour eux. Et à leur tour, ils soutiennent ceux qui sont à l'extérieur. C'est d'ailleurs un paradoxe frappant : les prisonniers politiques sont souvent beaucoup plus optimistes que les personnes qui sont à l'extérieur et qui sont déprimées du fait de cette guerre. En quelque sorte, les prisonniers politiques soutiennent ceux qui sont à l'extérieur.Vous avez quitté la Russie dès mars 2022, juste après le début de l'invasion russe à grande échelle de l'Ukraine. Vous vivez à Berlin. Comment vous sentez vous aujourd'hui ? Les deux premières années après mon départ de Russie, j'avais le sentiment que je n'avais pas le droit d'avoir des états d'âme et que je ne devais pas penser à moi. Une guerre terrible est en cours, en Russie. On enferme des prisonniers politiques derrière des barreaux, et moi, je vais penser à ma tranquillité d'esprit. C'est inconvenant. Mais ensuite, j'ai mûri et j'ai compris que pour pouvoir faire quelque chose pour les autres, il faut aussi s'occuper de soi. C'est un peu comme dans un avion : on doit d'abord mettre le masque à oxygène sur soi avant de le mettre à son enfant. Et j'ai le sentiment qu'aujourd'hui, moi, mais d'autres aussi, on met ce masque à oxygène et qu'on apprend à vivre une nouvelle vie. Cela nous apprend l'humilité. On regarde les erreurs que l'on a commises, on apprend.
durée : 00:12:05 - La justice met un coup d'arrêt au chantier de l'A69, liesse chez les opposants
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la convocation par la justice de Robert Ménard, maire de Béziers, qui a refusé de marier un homme sous OQTF et qu'il suspectait de vouloir commettre un mariage blanc. Il risque 5 ans de prison, 75.000 euros d'amende, et la perte de son siège d'élu.
Eric Coquerel, président de la commission des finances de l'AN et député LFI de Seine-Saint-Denis, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la motion de censure contre le gouvernement de François Bayrou sur le Budget, des dissidences au PS et au RN, de l'avenir du Nouveua Front Populaire, du remplacement des populations, des mœurs, de la culture française et de la créolisation de la France.
durée : 00:36:58 - Secrets d'info - par : Benoît COLLOMBAT, Cellule investigation de Radio France - Après de multiples tentatives d'assassinats contre un blogueur azerbaïdjanais réfugié à Nantes, un ancien procureur opposant politique au régime de Bakou a été tué, en septembre 2024, à Mulhouse. Avec en arrière-plan, l'ombre de Bakou. - réalisé par : Christophe IMBERT
durée : 00:04:22 - Le Zoom de France Inter - Ils ont trouvé refuge en France et en Europe pour échapper à la répression du pouvoir azerbaïdjanais, mais plusieurs opposants au régime de Bakou continuent pourtant d'être menacés et parfois même tués.
Il n'y aura pas d'alternance lors des élections de dimanche (26 janvier 2025) en Biélorussie. Le président Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 30 ans, a emprisonné tous ses opposants ou les a contraints à l'exil. Après le scrutin truqué de 2020 et les manifestations monstres qui avaient suivi, 60 000 biélorusses avaient trouvé refuge dans la République voisine de Lituanie. Mais aujourd'hui, les voilà menacés par un autre danger, leurs titres de séjour ne sont plus automatiquement renouvelés, il y a suspicion car des espions se seraient infiltrés dans le pays. Le gouvernement lituanien serre donc la vis. C'est le reportage de Marielle Vitureau. La revue de presse sonore de Franceline Beretti On n'a pas fini de parler de Washington... et de l'investiture de Donald Trump... Parmi ses sympathisants européens, on s'est beaucoup bousculé sur le net pour montrer qu'on y était !!! L'Europe, la Tech et Donald TrumpMais que fait l'Europe pour se protéger des agressions d'Elon Musk sur X qui soutient sans faille l'extrême droite allemande ? Ou du patron de Facebook Mark Zuckerberg qui déclare abandonner le fact checking ?Pas grand chose, jugent les plus sévères, trop tard, disent les autres. Leo Lictevout, spécialiste des questions numériques dans le média Contexte. Sablja, une série serbe très politiqueLa série est un succès, elle a rassemblé un quart des Serbes devant leur écran. Opération Sabre, Sablja, s'inspire du réel et revient sur les heures sombres de l'après Milosevic en Serbie. En 2003, le président Zoran Djindjic est assassiné. Le pays est alors divisé entre nationalistes et prodémocratie. Un traumatisme qui pèse encore lourd dans la vie politique d'aujourd'hui.... Les explications depuis Belgrade de Louis Seiller.
Il n'y aura pas d'alternance lors des élections de dimanche (26 janvier 2025) en Biélorussie. Le président Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 30 ans, a emprisonné tous ses opposants ou les a contraints à l'exil. Après le scrutin truqué de 2020 et les manifestations monstres qui avaient suivi, 60 000 biélorusses avaient trouvé refuge dans la République voisine de Lituanie. Mais aujourd'hui, les voilà menacés par un autre danger, leurs titres de séjour ne sont plus automatiquement renouvelés, il y a suspicion car des espions se seraient infiltrés dans le pays. Le gouvernement lituanien serre donc la vis. C'est le reportage de Marielle Vitureau. La revue de presse sonore de Franceline Beretti On n'a pas fini de parler de Washington... et de l'investiture de Donald Trump... Parmi ses sympathisants européens, on s'est beaucoup bousculé sur le net pour montrer qu'on y était !!! L'Europe, la Tech et Donald TrumpMais que fait l'Europe pour se protéger des agressions d'Elon Musk sur X qui soutient sans faille l'extrême droite allemande ? Ou du patron de Facebook Mark Zuckerberg qui déclare abandonner le fact checking ?Pas grand chose, jugent les plus sévères, trop tard, disent les autres. Leo Lictevout, spécialiste des questions numériques dans le média Contexte. Sablja, une série serbe très politiqueLa série est un succès, elle a rassemblé un quart des Serbes devant leur écran. Opération Sabre, Sablja, s'inspire du réel et revient sur les heures sombres de l'après Milosevic en Serbie. En 2003, le président Zoran Djindjic est assassiné. Le pays est alors divisé entre nationalistes et prodémocratie. Un traumatisme qui pèse encore lourd dans la vie politique d'aujourd'hui.... Les explications depuis Belgrade de Louis Seiller.
durée : 01:00:04 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - A l'occasion d'une série de "grandes conférences" sur George Sand, André Maurois racontait l'importance qu'avait eue la révolution de 1848 pour elle dans une conférence intitulée "George Sand et 1848". Plus largement, il analysait son rapport complexe à la politique. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : André Maurois
La COP29, la conférence sur les changements climatiques, se déroule à Bakou du 11 au 22 novembre, en Azerbaïdjan. Ce petit État pétrolier du Caucase est officiellement une démocratie, mais le pays a le même président depuis 2003… Ilham Aliyev, un homme qui a succédé à son père, arrivé au pouvoir en 1993. L'Azerbaïdjan est régulièrement accusée de bafouer les droits humains, et le régime menace ses opposants. À l'ouverture de la COP, Le Parisien a fait le portrait de l'un d'entre eux : Mahammad Mirzali, 30 ans…. Un homme exilé en France, où il a subi plusieurs tentatives d'assassinats. Code source raconte son histoire avec Charles de Saint Sauveur, chef du service international du Parisien. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clémentine Spiler, Clara Garnier-Amouroux, Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:10:24 - Journal de 18h - Menés par Ioulia Navalnaïa, un millier d'opposants et d'exilés russes ont défilé dans les rues de la capitale allemande ce dimanche.
durée : 00:10:24 - Journal de 18h - Menés par Ioulia Navalnaïa, un millier d'opposants et d'exilés russes ont défilé dans les rues de la capitale allemande ce dimanche.
durée : 00:02:05 - Le vrai ou faux - La présidentielle américaine agite toujours les réseaux de désinformation, une semaine après la victoire de Donald Trump.
Au Tchad, comme une quinzaine de partis de l'opposition, les Transformateurs de Succès Masra boycotteront les législatives du 29 décembre. Tous dénoncent les conditions d'organisation des élections. Que vous inspire la politique de la chaise vide ? Quelles seront les conséquences de cette décision ?
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