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Max Ophuls's controversial extravaganza about the infamous courtesan
Joan Bennett and James Mason, in only his third US film, play blackmailee and blackmailer respectively in director Max Ophuls' The Reckless Moment - his tale of a harried housewife whose life is turned upside down when her daughter accidentally kills a cad boyfriend and Bennett tries to cover it up. After directing only five American films, German born Ophuls returned to France, where he was a citizen, and continued to direct until his untimely death at age 54. Despite a relatively small output, Ophuls is nonetheless considered a true auteur. Dan and Vicky discuss the film along with lots of recently seen including the new Crow, Caitlin Cronenberg's Humane, Alien: Romulus, Indiana Jones and the Dial of Destiny, The Killer and Shudder series Horror's Greatest. Watch, like and subscribe to the pilot for Dan's web series West 40s below. Our socials: hotdatepod.com FB: Hot Date Podcast Twitter: @HotDate726 Insta: hotdatepod West 40s
QUERIDO CICLO, espero que estejas bem. Escrevo para dizer que começámos nova ronda de filmes, começando por este drama de amor destinado a não acontecer realizado pelo tio Max Ophuls. Achámos os 3 uma história muito bem filmada, ainda que triste e pouco esperançosa. A cena do date romântico com o casal a viajar num comboio imóvel com os fundos a rolar pela janela é deliciosa. Desculpa escrever num tom infantil, mas é o que temos. Espero que gostes do episódio. Com os melhores cumprimentos, TB.
Películas: "Magnificient obsesion" (Douglas Sirk, 1954), "Letter from an unknown woman" (Max Ophuls, 1948) y "The bridges of Madison County" (Clint Eastwood, 1995) Conducción: Diego Cirulo Columnistas: Andrés Brandariz, Belén Saitúa Más amor, por favor. Después de tantas desavenencias, de tanto pelear, de tanto oscurantismo, te ofrecemos un capítulo con tres peliculones centrados en "la pasión", en el amor insondable. Los besos, los abrazos, los lechos y... las tragedias. Tenemos un Sirk, un Ophuls y un Clint... ¿Te animás a ponerle play? Producción general: Diego Cirulo, Fabio Villalba, Luciana Eyras. Locución: Daniela Jorquera Música: Leonel Ibaña, Bahía Blanca
This week at the Silver Screen Video we discuss two films, Letter from an Unknown Woman and The Earrings of Madame de… Let us know what you guys think. Link is below for all our social media. https://linktr.ee/silverscreenvideo Thanks for stopping by. Feel free to email at silverscreenvideopodcast@gmail.com with any comments or thoughts. Also be sure to follow us on Instagram @silverscreenvideopodcast or Twitter @SilverVideo --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/silverscreenvideo/message Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/silverscreenvideo/support
durée : 00:21:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1992, "Rétro" nous raconte le destin de l'actrice Martine Carol, vedette très populaire dans les années 50 qui fut détrônée par Brigitte Bardot. Elle joua pour Max Ophuls, connut une immense popularité avec la série des "Caroline Chérie" et mourut à 46 ans dans un palace de Monte-Carlo. Au cinéma, elle fut le visage de la jeune aristocrate Caroline de Bièvre alias Caroline Chérie et de Lola Montès pour Max Ophuls. La comédienne Martine Carol meurt à 46 ans le 6 février 1967 à Monte-Carlo, officiellement d'une crise cardiaque, officieusement d'un abus de médicaments et d'alcool. Marie-Louise Mourer, dite Martine Carol, était née le 16 mai 1920 à Saint-Mandé. Martine Carol, star du cinéma français, sera détrônée par Brigitte Bardot à la fin des années 50 Elle fut, jusqu'à l'arrivée de Brigitte Bardot, la vedette française la plus populaire des années 1950. Dans un numéro de l'émission "Rétro", en 1992, intitulé "La mort de Martine Carol", Florence Bott esquisse la vie de la comédienne en l'illustrant par des archives de sa voix, de journaux d'actualités, de témoignages, dont celui de François Perier, et par des extraits de films. A 28 ans un destin charmeur lui offre une carrière de star : tentatives de suicides multiples, scandales à répétition, et rivières de diamants, quatre mariages dont le plus houleux avec le réalisateur Christian-Jacque, qui fit d'elle Nana, Lucrèce Borgia et Madame du Barry. Elle fut le visage de Caroline Chérie, de Lola Montès, de Nana et Lucrèce Borgia On entend un témoignage de René Simon, son professeur au Conservatoire, qui lui avait dit que sa beauté serait un handicap et masquerait son talent : "Le cas de Martine Carol a été le désespoir de ma vie parce qu'elle a raté sa carrière. Je suis le seul à pouvoir le dire. Elle était une comédienne merveilleuse et je la destinais à la Comédie française. Un producteur l'a changé en vedette de cinéma alors que ce n'était pas du tout son affaire. Elle était faite pour le théâtre. Elle jouait Phèdre magnifiquement à 17 ans. C'est une erreur, c'est une carrière ratée." Dans une archive, Martine Carol s'exprime sur le temps sui passe : "Vieillir cela n'a aucune importance, je fais partie de cette catégorie de femme qui n'est absolument pas jalouse, j'aime regarder une jolie femme." En 1955, Max Ophuls choisit Martine Carol pour jouer dans le film Lola Montès, l'actrice à l'expression mutine et aux décolletés plongeants se métamorphose en comédienne. Le film était splendide mais le public refusa cette démythification du vedettariat et le bouda. Déjà, la silhouette de Brigitte Bardot se profilait dans l'ombre de Lola. Martine Carol s'éteint à 46 ans, dans la chambre 855 de l'Hôtel de Paris à Monte-Carlo. Par Florence Bott Réalisation : André Mathieu Rétro - La mort de Martine Carol (1ère diffusion : 02/02/1992) Edition web : Sandrine England, Documentation de Radio France Archive Ina-Radio France
Our fourth and currently final Max Ophuls movie in the Collection is his final film, a historic romance that takes a lot of liberties and is maybe kinda about taking liberties? Capitalist patriarchy is a circus in Lola Montes.
Primo appuntamento della settimana dedicata alla XII edizione del Sicilia Queer FilmFest! Per il Day 1 abbiamo Marco e Davide Truchlec che ci portano dentro la selezione del 30 maggio 2022. Partecipanti: Marco Grifò Davide Truchlec Argomenti: 0:00 - Introduzione 1:11 - First Time [The Time for All But Sunset - VIOLET] di Nicolaas Schmidt 9:15 - I gioielli di Madame de... di Max Ophuls 11:37 - Hideous di Yann Gonzalez 21:23 - Bébé Colère di Jonathan Vinel e Caroline Poggi Spotify: https://open.spotify.com/show/2QtzE9ur6O1qE3XbuqOix0?si=mAN-0CahRl27M5QyxLg4cw Apple Podcasts: https://podcasts.apple.com/it/podcast/salotto-monogatari/id1503331981 Google Podcasts: https://www.google.com/podcasts?feed=aHR0cHM6Ly9hbmNob3IuZm0vcy8xNmM1ZjZiNC9wb2RjYXN0L3Jzcw== Logo creato da: Massimo Valenti Sigla e post-produzione a cura di: Alessandro Valenti / Simone Malaspina Per il jingle della sigla si ringraziano: Alessandro Corti e Gianluca Nardo
durée : 00:57:28 - Certains l'aiment Fip - Célébrant les 400 ans de la naissance de l'homme de théâtre le plus joué, on plonge dans son monde avec Ariane Mnouchkine, Marcel Bluwal, Louis de Funès, Max Ophuls, Le Guay, Murnau,...
durée : 00:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Le Radio Ciné-club - Un Festival Edwige Feuillère, l'émission proposait plusieurs extraits de films d'Edwige Feuillère et des informations sur sa vie et sa trajectoire de comédienne (1ère diffusion : 17/02/1948 Paris Inter). Edwige Feuillère, comédienne de théâtre et de cinéma est l'une des plus importantes actrices françaises du 20ème siècle avec une carrière qui aura duré soixante ans. Elle se forme au conservatoire de Dijon où elle obtient en 1928 un premier prix de comédie et de tragédie. * Elle entre à la Comédie Française en 1931 et parallèlement elle brille sur les planches d'autres théâtres prestigieux. Elle interprète les héroïnes de Cocteau, Claudel, Molière, Dumas fils, Giraudoux, Corneille, Shaw, Pirandello, Molière, Beaumarchais, Anouilh mais aussi des auteurs comme Tennessee Williams et Edward Albee. Au cinéma où elle débute en 1931, elle tournera devant la caméra d'Abel Gance (Lucrète Borgia en 1935), Marc Allégret, Max Ophuls, Maurice Tourneur, Marcel L'Herbier, Jean Delannoy, Jean Cocteau, Christian-Jaque, Claude Autant-Lara, etc Sa carrière cinématographique se poursuivra jusqu'en 1975, le dernier film dans lequel elle jouera sera La Chair de l'orchidée de Patrice Chéreau en 1975. Mais en 1948 Edwige Feuillère est au somment de sa popularité, elle a tourné avec Gérard Philipe dans une adaptation cinématographique de L'Idiot de Dostoïevski en 1946, puis en 1947 avec Jean Marais dans L'Aigle à deux têtes de Jean Cocteau. Le Radio ciné-club proposait plusieurs extraits de films d'Edwige Feuillère et des informations sur sa vie de comédienne et son métier. Par Lise Clarisse et Monique Sénèze Le Radio Ciné-club - Un Festival Edwige Feuillère (1ère diffusion : 17/02/1948 Paris Inter) Indexation web : Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
This episode we're thrilled to be joined by friend of the show Louis Bennett (insta @louisben1995) for a special on painters on screen. We discuss some old favourites, some new discoveries, a couple of real stinkers and much more in a wide-ranging discussion about screen representations of fictional, contemporary and historical painters' lives, work and times. Check below for the full filmography! Louis' latest show, ‘Ariel', is exhibiting at the Kristin Hjellegjerde Gallery (https://bit.ly/3znSUuf) in Wandsworth, London until 31st July and includes the cover image of this episode, 'It Was Written'. Featuring covers of ‘When I Paint My Masterpiece' by Bob Dylan & The Band, ‘When I Was a Painter' by The Breeders, ‘Painter in Your Pocket' by Destroyer and ‘Painter Man' by The Creation. Filmography (in order of appearance): Mrs. Lowry and Son (Adrian Noble, 2019) Miss Potter (Chris Noonan, 2006) Lust For Life (Vincente Minnelli, 1956) The Horse's Mouth (Ronald Neame, 1954) The Rebel (Robert Day, 1961) The Square (Ruben Ostlund, 2017) Dinner for Schmucks (Jay Roach, 2010) The Draughtsman's Contract (Peter Greenaway, 1982) Dont Let The Riverbeast Get You! (Charles Roxburgh, 2012) Mr. Turner (Mike Leigh, 2014) After Hours (Martin Scorsese, 1985) Life Lessons (Martin Scorsese, 1989) Portrait of a Lady on Fire (Celine Sciamma, 2019) The Belly of an Architect (Peter Greenaway, 1987) The Agony and The Ecstasy (Carol Reed, 1964) Final Portrait (Stanley Tucci, 2017) Nightwatching (Peter Greenaway, 2008) The Da Vinci Code (Ron Howard, 2007) The Mill & The Cross (Lech Majewski, 2011) La Kermesse Heroique (Jacques Feyder, 1936) Andrei Rublev (Andrey Tarkovsky, 1968) The Seventh Seal (Ingmar Bergman, 1957) Rembrandt (Alexander Korda, 1936) Rembrandt fecit 1669 (Jos Stelling, 1977) A Bigger Splash (Jack Hazan, 1973) The Quince Tree Sun (Victor Erice, 1992) The Mystery of Picasso (Henri-Georges Clouzot, 1958) Caravaggio (Jarman, 1986) Artemisia (Agnes Merlet, 1997) Frida Still Life (Paul Deluc, 1983) Frida (Julie Taymor, 2002) At Eternity's Gate (Julian Schnabel, 2018) Basquiat (Julian Schnabel, 2000) Vincent & Theo (Robert Altman, 1991) Van Gogh (Maurice Pialat, 1991) Loving Vincent (Dorota Kobeila & Hugh Welchmann, 2017) Csontvary (Zoltan Huszarik & Ferenc Olasz, 1980) Klimt (Raul Ruiz, 2006) The Hypothesis of the Stolen Painting (Raul Ruiz, 1978) Pirosmani (Giorgi Shengelaia, 1969) Arabesques on the Pirosmani Theme (Sergei Parajanov, 1985) Schalken the Painter (Leslie Megahey, 1979) Pollock (Ed Harris, 2000) Love is the Devil (John Maybury, 1998) Edvard Munch (Peter Watkins, 1974) Montparnasse 19 (Max Ophuls & Jacques Becker, 1958) Bibliography: John A. Walker, Art and Artists on Screen (1993) David Bovey, The artist biopic: a historical analysis of narrative cinema, 1934-2010 (unpublished 2015 PhD thesis). Subscribe to Film Graze on your podcast app of choice. twitter.com/FilmGraze letterboxd.com/Film_Graze/ instagram.com/film.graze/ Co-produced by Emmett Cruddas and Sam Storey
Dave's first Summer in France Special Subject is devoted to two lesser-known Max Ophüls movies starring Edwige Feuillère that were made just before the Nazis occupied France and Ophüls fled to Hollywood, Sans lendemain (1939) and De Mayerling à Sarajevo (1940). We consider the two films in light of those dire circumstances and Ophüls' oeuvre, arguing that they deserve more attention--especially the beautifully shot, noirish Sans lendemain (There's No Tomorrow), with its creatively suicidal heroine. Time Codes: 0h 01m 00s: SANS LENDEMAIN (1939) [dir. Max Ophuls] 0h 44m 28s: DE MAYERLING A SARAJEVO (1940) [dir. Max Ophuls] +++ * Marvel at our meticulously ridiculous Complete Viewing Schedule for the 2020s * Intro Song: “Sunday” by Jean Goldkette Orchestra with the Keller Sisters (courtesy of The Internet Archive) * Read Elise's latest film piece on Preston Sturges, Unfaithfully Yours, and the Narrative role of comedic scapegoating. * Check out Dave's new Robert Benchley blog – an attempt to annotate and reflect upon as many of the master humorist's 2000+ pieces as he can locate – Benchley Data: A Wayward Annotation Project! *And Read lots of Elise's Writing at Bright Wall/Dark Room, Cléo, and Bright Lights.* Follow us on Twitter at @therebuggy Write to us at therebuggy@gmail.com
1527 Sacco di Roma - 1902 Nasce il regista Max Ophuls
2 Guys classes it up this week with Frank's best "high society" movies. His list includes Orson Welles's Citizen Kane, Whit Stillman's Metropolitan, Max Ophuls's The Earrings of Madame de…, Mary Harron's American Psycho, and Preston Sturges's Unfaithfully Yours. Who know so many directors' last names could end in "ess"? If you are a fan of the podcast, there are other two important ways you can help us. First, you can please subscribe, rate, and leave a review on your podcast client. That not only would be useful to us for the feedback, but also help us receive more attention. Second, if you like your Facebook page, 2 Guys 5 Movies, it would be helpful to like or share our posts so others can learn about 2 Guys 5 Movies and decide if it is for them. Finally, if you have your own ideas for the podcast, you can also email us with list suggestions at 2guys5movies@gmail.com, and thank you all for listening and your support.
Volvemos con el compositor Michel Legrand y su colaboración con el director y guionista Jacques Demy. Empezaron en 1960 con “Lola” como un homenaje a Max Ophuls, en el que Anouk Aimée interpretaba a la cantante de cabaret Lola a la que seguiría “La bahía de los ángeles” con Jeanne Moreau. Luego vendría “Los paraguas de Cherburgo”, la primera película totalmente cantada y “Las señoritas de Rochefort” en la que contaron con Gene Kelly y George Chakiris en el reparto. Todavía darían un toque de musical a su siguiente película “Piel de asno”, basada en el cuento de Perrault, con toques de incesto, cerrando así esta trilogía de musicales que protagonizó Catherine Deneuve. Aún habría otras películas como “No te puedes fiar de la cigüeña”, “Lady Oscar”, “Parking” o “Tres entradas para el 26”, de las que hemos incluido canciones o suites arregladas y dirigidas por Michel Legrand para profundizar un poco más en la versatilidad de este compositor. Legrand escribió “Yentl”, un musical para el cine que dirigió y protagonizó Barbra Streisand con el que ganó el Oscar a la mejor partitura y a la mejor canción original. También escribió musicales para el teatro como “Le pase muraille” estrenado en Broadway con el título de “Amour” que hemos tratado en el “Cuéntame un musical” de este mes. Terminamos con su último musical “Marguerite” basado en “La dama de las camelias” de Alejandro Dumas hijo, pero situado en París en tiempos de la ocupación nazi. El libreto y letras los escribieron Alain Boublil y Claude Michel Schönberg, los exitosos autores de “Los Miserables” y “Miss Saigon”, que se estrenó en 2008 en Londres. Espero te guste la variada selección de temas que hemos hecho. 00h 00'00" Presentación 00h 02'34" Cabecera 00h 03'09" LOLA (1960) 00h 12'27" LOS PARAGUAS DE CHERBURGO (1963) 00h 43'45" LAS SEÑORITAS DE ROCHEFORT (1966) 00h 58'28" PIEL DE ASNO (1970) 01h 07'19" NO TE PUEDES FIAR NI DE LA CIGÜEÑA (1973) 01h 13'56" LADY OSCAR (1978) 01h 29'40" YENTL (1983) 01h 45'05" PARKING (1985) 01h 53'54" TRES ENTRADAS PARA EL 26 (1988) 01h 58'26" LE PASSE MURAILLE / AMOUR (1996) 02h 11'27" MARGUERITE (2008) Sólo me queda recordarte que si quieres suscribirte GRATUITAMENTE al canal de Love4musicals puedes hacerlo en ivoox o itunes, para recibir notificación cada vez que publiquemos un nuevo programa.
Volvemos con el compositor Michel Legrand y su colaboración con el director y guionista Jacques Demy. Empezaron en 1960 con “Lola” como un homenaje a Max Ophuls, en el que Anouk Aimée interpretaba a la cantante de cabaret Lola a la que seguiría “La bahía de los ángeles” con Jeanne Moreau. Luego vendría “Los paraguas de Cherburgo”, la primera película totalmente cantada y “Las señoritas de Rochefort” en la que contaron con Gene Kelly y George Chakiris en el reparto. Todavía darían un toque de musical a su siguiente película “Piel de asno”, basada en el cuento de Perrault, con toques de incesto, cerrando así esta trilogía de musicales que protagonizó Catherine Deneuve. Aún habría otras películas como “No te puedes fiar de la cigüeña”, “Lady Oscar”, “Parking” o “Tres entradas para el 26”, de las que hemos incluido canciones o suites arregladas y dirigidas por Michel Legrand para profundizar un poco más en la versatilidad de este compositor. Legrand escribió “Yentl”, un musical para el cine que dirigió y protagonizó Barbra Streisand con el que ganó el Oscar a la mejor partitura y a la mejor canción original. También escribió musicales para el teatro como “Le pase muraille” estrenado en Broadway con el título de “Amour” que hemos tratado en el “Cuéntame un musical” de este mes. Terminamos con su último musical “Marguerite” basado en “La dama de las camelias” de Alejandro Dumas hijo, pero situado en París en tiempos de la ocupación nazi. El libreto y letras los escribieron Alain Boublil y Claude Michel Schönberg, los exitosos autores de “Los Miserables” y “Miss Saigon”, que se estrenó en 2008 en Londres. Espero te guste la variada selección de temas que hemos hecho. 00h 00'00" Presentación 00h 02'34" Cabecera 00h 03'09" LOLA (1960) 00h 12'27" LOS PARAGUAS DE CHERBURGO (1963) 00h 43'45" LAS SEÑORITAS DE ROCHEFORT (1966) 00h 58'28" PIEL DE ASNO (1970) 01h 07'19" NO TE PUEDES FIAR NI DE LA CIGÜEÑA (1973) 01h 13'56" LADY OSCAR (1978) 01h 29'40" YENTL (1983) 01h 45'05" PARKING (1985) 01h 53'54" TRES ENTRADAS PARA EL 26 (1988) 01h 58'26" LE PASSE MURAILLE / AMOUR (1996) 02h 11'27" MARGUERITE (2008) Sólo me queda recordarte que si quieres suscribirte GRATUITAMENTE al canal de Love4musicals puedes hacerlo en ivoox o itunes, para recibir notificación cada vez que publiquemos un nuevo programa.
À la Nouvelle-Orléans, au milieu du XIXème siècle, un cirque gigantesque donne en représentation la vie scandaleuse de Lola Montès, alias comtesse de Landsfeld. Répondant aux questions les plus indiscrètes du public, sous la direction de son manager habillé en Monsieur Loyal, elle est contrainte de raconter dans quelles conditions elle a refusé pour époux le vieillard qu'on lui destinait, préférant s'enfuir avec le jeune amant de sa mère et comment, passant de lui à d'autres, elle connut des hommes célèbres, tels que Liszt, achevant sa prodigieuse et scandaleuse carrière en qualité de maîtresse attitrée de Louis II, roi de Bavière. Mais une telle femme ne pouvait que déchaîner les passions et même, en Bavière, la révolution. Après avoir été obligée de fuir, elle est réduite à la déchéance finissant dans ce cirque. Sa tragique conclusion se trouvera-t-elle dans le clou du spectacle, le grand saut de la mort ?Avec : Martine Carol, Peter Ustinov, Anton Walbrook, Henri Guisol, Lise Delamare, Oscar Werner, Paulette Dubost, Claude PinoteauFilm d'ouverture de Cannes Classics 2008Festival de New-York 1963, 1968, 2008Devant l’échec commercial du film à sa sortie, le film subit des transformations puis fut réduit et remonté suivant un ordre chronologique sans l’accord du réalisateur. En 1966, Pierre Braunberger racheta les droits du film aux enchères et reconstitua une version proche de l’originale. En 2008, grâce aux possibilités offertes par le numérique, la Cinémathèque française en collaboration avec les Films du Jeudi et Marcel Ophuls, la Fondation Thomson, avec le soutien du Fonds Culturel Franco-Américain a restauré une version fidèle à celle voulue par Max Ophuls, en restituant les couleurs, le son stéréophonique et le format d’origine.
We continue Noirvember 2019 with a look at Max Ophul's The Reckless Moment. Released in 1949, the film tells the story of Lucia Harper (Joan Bennett), a mother who's out to protect her family from the forces of evil including Ted Darby, a swindler who's making moves on her 17 year old daughter. Mrs. Harper will go to extremes to keep her family safe.Cullen Gallagher and Samm Deighan join Mike to discuss the film. Our interview this week is with Lutz Bacher, author of Max Ophuls in the Hollywood Studios.Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
We continue Noirvember 2019 with a look at Max Ophul’s The Reckless Moment. Released in 1949, the film tells the story of Lucia Harper (Joan Bennett), a mother who’s out to protect her family from the forces of evil including Ted Darby, a swindler who’s making moves on her 17 year old daughter. Mrs. Harper will go to extremes to keep her family safe. Cullen Gallagher and Samm Deighan join Mike to discuss the film. Our interview this week is with Lutz Bacher, author of Max Ophuls in the Hollywood Studios.
We continue Noirvember 2019 with a look at Max Ophul’s The Reckless Moment. Released in 1949, the film tells the story of Lucia Harper (Joan Bennett), a mother who’s out to protect her family from the forces of evil including Ted Darby, a swindler who’s making moves on her 17 year old daughter. Mrs. Harper will go to extremes to keep her family safe. Cullen Gallagher and Samm Deighan join Mike to discuss the film. Our interview this week is with Lutz Bacher, author of Max Ophuls in the Hollywood Studios.
From Kim Newman, 1001 Movies You Must See Before You Die: "The Reckless Moment is an unusual film noir in that it reverses the sexes in a replay of the familiar story (as in Double Indemnity [1944] and Scarlet Street [1945]) of an innocent who gets involved with a seductive no-good and is embroiled in crime. Here, class and respectability assume the status usually accorded to sex and money as housewife Lucia Harper (Joan Bennett) loses her grip on suburbia when the sleazy specimen (Shepperd Studwick) who has been seeing her daughter (Geraldine Brooks) is semiaccidentally killed under suspicious circumstances, and she moves his corpse to make things look better. "Lucia's nemesis is played by James Mason, oddly but effectively cast as an Irish lowlife, who starts out blackmailing her but begins, disturbingly, to make sincere romantic overtures. The focus of the film then changes as the criminal is driven to make a sacrifice that will restore the heroine's life but also suggests that Bennett - who, after all, was the tramp in Scarlet Street - may have unwittingly been manipulating him to her advantage all along. Viennese director Max Ophuls is more interested in irony and emotion than crime and drama, which gives this a uniquely nerve-flaying feel, and he nudges the lead actors into revelatory unusual performances" Have a comment or question for the host? Email Sean at 1001moviespodcast@gmail.com or follow him on Twitter at @1001MoviesPC.
Max Ophuls's 1953 film The Earrings of Madame de... revolves around a pair of earrings, the titular woman who owned them (Danielle Darrieux), the man who gave them to her (Charles Boyer), and the man who gives them to her again (Vittorio De Sica).Ken Stanley and Paula Guthat join Mike to talk about this beautiful and heart-breaking film. Susan White, author of The Cinema of Max Ophuls, discusses Ophuls's career.Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Max Ophuls's 1953 film The Earrings of Madame de... revolves around a pair of earrings, the titular woman who owned them (Danielle Darrieux), the man who gave them to her (Charles Boyer), and the man who gives them to her again (Vittorio De Sica). Ken Stanley and Paula Guthat join Mike to talk about this beautiful and heart-breaking film. Susan White, author of The Cinema of Max Ophuls, discusses Ophuls's career.
Max Ophuls's 1953 film The Earrings of Madame de... revolves around a pair of earrings, the titular woman who owned them (Danielle Darrieux), the man who gave them to her (Charles Boyer), and the man who gives them to her again (Vittorio De Sica). Ken Stanley and Paula Guthat join Mike to talk about this beautiful and heart-breaking film. Susan White, author of The Cinema of Max Ophuls, discusses Ophuls's career.
How do you solve a problem like Marnie?Released in 1964, Alfred Hitchcock's Marnie stars Tippi Hedren as the titular heroine -- or perhaps anti-heroine -- an itinerant thief who gets caught and essentially blackmailed into marriage with Mark (Sean Connery) who thinks that Marnie is broken and takes it upon himself to "fix" her, diving deep into her childhood trauma.Tania Modleski (The Women Who Knew Too Much: Hitchcock and Feminist Theory and Susan White (The Cinema of Max Ophuls) join Mike to unravel the red-tinged mystery of the film.Author and filmmaker Tony Lee Moral (Hitchcock and the Making of Marnie) and Tippi Hedren (Tippi: A Memoir) discuss the behind-the-scenes of the contentious production.Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Special Guests: Tony Lee Moral, Tippi HedrenGuest Co-Hosts: Tania Modleski, Susan WhiteHow do you solve a problem like Marnie?Released in 1964 , Alfred Hitchcock's Marnie stars Tippi Hedren as the titular heroine -- or perhaps anti-heroine -- an itinerant thief who gets caught and essentially blackmailed into marriage with Mark (Sean Connery) who thinks that Marnie is broken and takes it upon himself to "fix" her, diving deep into her childhood trauma.Tania Modleski (The Women Who Knew Too Much: Hitchcock and Feminist Theory and Susan White (The Cinema of Max Ophuls) join Mike to unravel the red-tinged mystery of the film.Author and filmmaker Tony Lee Moral (Hitchcock and the Making of Marnie) and Tippi Hedren (Tippi: A Memoir) discuss the behind-the-scenes of the contentious production.
Actualité riche en événements et ressorties en cette fin d’année ! Antoine Jullien reçoit dans l’Agenda de Flashback #16 : Jean-Pierre Mercier, commissaire de l’exposition « Goscinny et le Cinéma » qui se tient jusqu’au 4 mars à la Cinémathèque Française. Et parmi les autres événements à ne pas manquer en décembre : la rétrospective George Romero, toujours à la Cinémathèque Française, du 13 au 30 décembre. Mais aussi : Harold Lloyd à redécouvrir en ciné-concert à la fondation Jérôme Seydoux-Pathé du 20 décembre au 2 janvier et la rétrospective consacrée à Joseph Mankiewicz, à l’Institut Lumière jusqu’au 7 janvier ! Côté ressorties, Antoine Jullien propose une balade éclectique dans les classiques à (re)voir sur grand écran en cette fin d’année : des « Bourreaux Meurent aussi » de Fritz Lang à « Dirty Dancing » d’Emile Ardolino, en passant par « La Nuit Américaine » de Truffaut et « La Ronde » de Max Ophuls. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
This week Shawn made Craig watch the 1949 Max Ophuls drama 'Caught,' which will be familiar to film fans as Martin Scorsese's 12th* favorite film of all time! (*Kind of. And in alphabetic order.) More importantly though, find out what Craig and Shawn think about the length of Robert Ryan's necktie. Spoiler: it's really short. --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app
Chassés-croisés et aveuglement sont au coeur du récit mélodramatique classique, caractérisé par une quête féminine que le philosophe Stanley Cavell a opposée aux « comédies du remariage », avec leur happy end codifié. Inconnue, oubliée, voire bafouée, la femme amoureuse de George Cukor ou de Max Ophuls n'en est pas moins une héroïne, enfin placée au centre de films marqués par leur sophistication narrative et visuelle (tournoiement des travellings et flashbacks soulignent chacun à leur manière la circularité fatidique de l'amour).
Le samedi 31 octobre 2009 Sur la scène du Théâtre St-Gervais à Genève, Marcel Ophuls et Jean-Luc Godard ont dialogué à bâtons rompus deux heures durant. C'est à André Gazut que l'on doit cette rencontre: concepteur de la rétrospective Marcel Ophuls, un théâtre de la mémoire. Connaissant l'admiration de Godard pour Ophuls, il avait souhaité réunir le temps d'un après-midi ces deux personnalités singulières, radicales, emblématiques. De ces retrouvailles est né un long entretien sur le cinéma, l'art, la politique et le monde. Au coeur de ce dialogue, la vie, la fiction et le documentaire, Max Ophuls (le père), François Truffaut et la nouvelle vague, mais aussi un vieux projet de film que Godard était venu proposer à Ophuls, il y a longtemps.Un projet énigmatique et profond autour de la Palestine et d'Israël, des questions juive et palestinienne, à la lumière de leurs vies et de leurs trajectoires respectives dans le siècle. Un projet jamais réalisé, à ce jour. A la manière de Diderot et de Brecht, ce dialogue d'exilés, à la marge des idées et des formes canoniques, vaut son pesant de liberté de ton et de gai savoir. De cette rencontre sur les failles de l'Histoire, entremêlées d'histoires aux multiples digressions, Frédéric Choffat et Vincent Lowy ont su extraire la quintessence fulgurante et inachevée. Le souvenir émerveillé de l'après-midi de deux faunes à la jeunesse scandaleusement inentamée. Langue : français - Sous-titres : anglais (DVD)La VoD est proposée en version française
As one of the film criticism's public figures, Dana Stevens has carved out a niche for herself with a thoughtful and intelligent approach to contemporary film reviewing. So she joins Peter in the studio for a brief chat about her days as a Comparative Lit. PhD, the 6 hour writing process, and the joy of the occasional Slate-style pitch. Then the two dive into Max Ophuls's opulent drama Letter From An Unknown Woman, which Dana finds majesty in the film's tragic metaphor for love while Peter explores the film's unique texture between the artificial and the authentic. Plus, Peter remembers Alain Resnais by revisiting two of his classics. 0:00-1:20 Opening2:01-8:20 Establishing Shots - RIP Alain Resnais / Donations9:05-36:38 Deep Focus - Dana Stevens38:34-1:01:32 Double Exposure - Letter from an Unknown Woman (Max Ophuls)1:01:34-1:03:16 Close / Outtake
C'est après-guerre que Danielle Darrieux entre dans la danse des films de Max Ophuls (La Ronde, Le Plaisir, Madame de...). Valse à trois temps où l'un et l'autre s'entendent à ravir et se réfléchissent. Un accomplissement, en somme. Comme après une longue attente qui trouve enfin, à l'inverse du tragique des films d'Ophuls, son heureux dénouement. D'elle, il ne voulait plus se passer et désirait même en faire sa Lola Montès ; de lui, elle a dit : "Max Ophuls m'a permis de découvrir le cinéma ou, plutôt, un autre cinéma".
C'est après-guerre que Danielle Darrieux entre dans la danse des films de Max Ophuls (La Ronde, Le Plaisir, Madame de...). Valse à trois temps où l'un et l'autre s'entendent à ravir et se réfléchissent. Un accomplissement, en somme. Comme après une longue attente qui trouve enfin, à l'inverse du tragique des films d'Ophuls, son heureux dénouement. D'elle, il ne voulait plus se passer et désirait même en faire sa Lola Montès ; de lui, elle a dit : "Max Ophuls m'a permis de découvrir le cinéma ou, plutôt, un autre cinéma".
Filme de Max Ophuls basado en el relato de Stefan Zweig.
Nous sommes maintenant au n°2 de la rue d’Estienne d’Orves, devant le château Vilmorin qui date du XVIIe siècle. Mais il est difficile de déterminer ce qui subsiste de cette époque. La tradition affirme que Louis XIV le fit construire pour en faire un rendez-vous de chasse. La façade avec son faux avant-corps surmonté d'un fronton évoque le style néo-classique de la Restauration. Quant au bâtiment à droite, il est sans doute une adjonction postérieure. Les Vilmorin en devinrent propriétaires en 1815 et y résident toujours. En 1969, André Malraux vint habiter le château, célèbre pour le « salon bleu » où Louise de Vilmorin, romancière, se plaisait à recevoir ses nombreux amis. André Malraux y résida jusqu'à sa mort en 1976. Sur les piliers du portail, nous apercevons deux lions en pierre qui appartiennent aux armoiries des Vilmorin. Louise Lévesque, dite Louise de Vilmorin (1902-1969) - Femme de lettres française, fiancée à Antoine de Saint-Exupéry, amie d'André Malraux. Grand prix littéraire de Monaco (1955), pour plusieurs elle trônait en reine du Paris littéraire mondain, incarnation même de la frivolité hissée au rang de l'art de vivre. Ses poèmes son empreints d'une fantaisie impulsive et féérique (Fiancailles pour rire, Le Sable du Sablier, l'Alphabet des aveux). Romancière, plusieurs de ses oeuvres seront adaptées par le cinéma. Vers 1956, le dimanche soir, à son château de Verrières-le-Buisson, Louise de Vilmorin réunissait souvent ses amis autour d'un fameux pot au feu. Ce «salon bleu» contemporain attirait des gens de lettres, des gens de spectacles et des saltimbanques : l'acteur Alain Cuny, Pierre Bergé, les cinéastes René Clair et Max Ophuls, l'auteur Anaïs Nin, le cinéaste François Truffaut, Jean Cocteau, Nadine et Roger Nimier, Louis Malle, la journaliste Françoise Giroud, le chanteur Paul Meurisse, le peintre Bernard Buffet, les danseurs Roland Petit et Zizi Jammaire, Olga Gainsbourg, Brigitte Bardot, Gunther Sachs, le producteur Georges Lourau et sa femme, Léo Ferré et sa femme Madeleine. Celle-ci s'ennuyait dans ce salon et trouvait que «les fleurs avaient des épines snobinardes». Léo Ferré, lui sera impressionné par «cette femme extraordinaire et sensible».