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durée : 00:40:02 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Le cinéaste René Clair se confie dans une série d'entretiens donnée en 1951. Dans cet épisode, qui regroupe deux interviews, le cinéaste décrit son approche artistique sur ses films. Des lectures de Gérard Philipe illustrent les entretiens. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : René Clair Acteur, Réalisateur, Scénariste, Producteur, Dialoguiste, Assistant réalisateur, Adaptateur français; Gérard Philipe
durée : 00:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - René Clair, académicien-réalisateur, "Le Rouge et le Noir" était de ses livres de chevet… En 1967, au micro de Jean Vincent-Bréchignac, il en lisait quelques pages sur France Culture. - invités : René Clair Acteur, Réalisateur, Scénariste, Producteur, Dialoguiste, Assistant réalisateur, Adaptateur français
This week we have a look at the 1942 film I MARRIED A WITCH. This is Episode #418! I Married a Witch is a 1942 American supernatural romantic comedy film, directed by René Clair, and starring Veronica Lake as a witch whose plan for revenge goes comically awry, with Fredric March as her foil. The film also features Robert Benchley, Susan Hayward and Cecil Kellaway. The screenplay by Robert Pirosh and Marc Connelly and uncredited other writers, including Dalton Trumbo, is based on the 1941 novel The Passionate Witch by Thorne Smith, who died before he could finish it; it was completed by Norman H. Matson.This show is part of the Spreaker Prime Network, if you are interested in advertising on this podcast, contact us at https://www.spreaker.com/show/4268760/advertisement
durée : 01:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Michel Polac - Avec René Clair (réalisateur) - Réalisation Annie Coeurdevey
In the second episode of Season 9 (Keep It Musical!) Kyle is joined by screenwriter David Gutierrez for a one-on-one conversation about René Clair's blend of surrealist sound design and fantastical musical touches that enhance his delightful tale of love conquering monetary dependency in the ingenuously constructed Le Million (1931).
durée : 01:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - "L'enchantement tropézien" propose de découvrir la fête traditionnelle provençale "La Bravade", fêtée tous les ans en mai à Saint-Tropez, avec des témoignages du cinéaste René Clair, du peintre André Dunoyer de Segonzac, de l'écrivain Joseph Peyre et du maire de Saint-Tropez, en 1958, Louis Fabre. Tous les mois de mai à Saint-Tropez le ciel s'emplit de clameurs festives, ce sont les trois journées de La Bravade. Pour connaître l'origine de cette fête, il faut remonter au temps lointain où les pirates écumaient les côtes méditerranéennes. Pour se défendre les habitants du port de Saint-Tropez décidèrent d'avoir un chef de guerre. En 1558, un Capitaine de Ville fut élu, il était chargé de recruter et de commander les hommes nécessaires à la défense de la Cité. Depuis cette date, chaque lundi de Pâques, le Conseil Municipal procède à l'élection d'un Capitaine de Ville.Pendant plus d'un siècle, les Capitaines de Ville et leurs troupes tropéziennes assurèrent la défense locale et s'opposèrent victorieusement aux nombreuses attaques venues de l'extérieur. Les pouvoirs qui leur étaient reconnus dans la ville de Saint-Tropez furent confirmés par les lettres patentes de tous les Rois de France jusqu'à Louis XIV.Un jour les Tropéziens cessèrent de faire usage de leurs armes pour la défense de leur cité, mais ils les conservèrent pour honorer leur Saint Patron. Ainsi, tous les ans, le Capitaine de Ville continue à se mettre à la tête de La Bravade, grande fête patronale du 17 mai. Ce volet de l'émission "Soirée de Paris" produit par Roger Régent en 1958, plonge les auditeurs dans l'évocation des traditions tropéziennes avec le cinéaste René Clair, le peintre André Dunoyer de Segonzac, l'écrivain Joseph Peyre et le maire de Saint-Tropez, Louis Fabre. Par Roger Régent Réalisation : Guy Delaunay Soirée de Paris - L'enchantement tropézien (1ère diffusion : 11/05/1958 France III Nationale) Rédaction web : Sandrine England, Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
Hola Gerardo aquí en otro episodio de Simplemente Yo; La selección de esta semana es I married a Witch, es una película de comedia romántica de fantasía del 1942, dirigida por René Clair y protagonizada por Veronica Lake como una bruja cuyo plan de venganza sale cómicamente mal. El guión de Robert Pirosh y Marc Connelly y se basa en la novela de 1941 The Passionate Witch de Thorne Smith. Espero que lo disfruten ;) Información adicional del podcast: Enlace del website official de Filmic Notion Podcast: https://filmicnotionpod.com/ Enlace a nuestra página de Facebook: https://www.facebook.com/fnpod
Le Centre Robert Doisneau vous propose l'exposition «De la photographie aux poèmes, de Luçon à Paris ». On doit ce projet à la FAM Damien Seguin (Foyer d'Accueil Médicalisé), situé à Luçon en Vendée. Cette initiative autour du thème handicap et confinement doit beaucoup au travail d'Hervé Raymond, professionnel de l'équipe et passionné de photographie. Il a immortalisé des instants de vie au moment du premier confinement. Cette exposition est désormais présentée à Paris. Elle prend une nouvelle dimension puisqu'on peut découvrir des textes qui ont été écrits par des résidents du Centre au cours d'un atelier d'écriture, animé par l'auteure Véronique Pittolo. Les deux approches sont complémentaires. «De la photographie aux poèmes, de Luçon à Paris », une exposition à voir jusqu'au 21 janvier, de 9h30 à 18 heures. Une initiative de la Fondation OVE. Rendez-vous au Centre Robert Doisneau, au 51 rue René Clair dans le 18ème.
The DieCast Movie Podcast's Steve Turek takes on the role of guest host while Derek recovers from his battle with Covid. This week, he is joined by the Classic Horror Club's Jeff Owens to discuss the 1942 film I Married a Witch (dir. René Clair). Voicemail: 503-479-5MKR (503-479-5657) Email: Monster Kid Radio's Discord Server - Monster Kid Radio on Reddit - Monster Kid Radio on Twitch! - - Monster Kid Radio on YouTube - Follow Steve TurekDieCast Movie Podcast - / Follow Jeff OwensClassic Horrors Club - Derek's Amazon Wishlist - Monster Kid Radio on TeePublic - Next week on Monster Kid Radio: STAY TUNED! All original content of Monster Kid Radio by is licensed under a .
A Meta anunciou uma parceria com a Microsoft para levar as reuniões do Teams ao metaverso. É mais uma abordagem para um problema crônico e cheio de soluções no mercado: a comunicação no trabalho, no ambiente corporativo. Slack, Teams, Facebook Workplace, Google Chat, Basecamp, Discord, WhatsApp… ufa, haja ferramentas! Na prática, porém, estamos nos comunicando melhor na hora de trabalhar? É o que Rodrigo Ghedin e Jacqueline Lafloufa debatem neste podcast. Apoie o Manual pelo preço de um cafezinho Nas últimas semanas, o Manual ganhou dois novos apoiadores: Zizi Baptista e Leonardo Bispo. Obrigado! Gosta do podcast? Se puder, apoie o nosso trabalho e ajude a mantê-lo no ar. A assinatura custa apenas R$ 9 por mês via Catarse ou PicPay, ou menos de R$ 0,30 por dia. Se preferir, assine com desconto no plano anual por Pix, a partir de R$ 99. Indicações culturais Jacque: O livro Pequeno manual antirracista, da Djamila Ribeiro, publicado pela Companhia das Letras. Ghedin: O filme O vingador invisível [Belas Artes À La Carte], dirigido por René Clair.
Neste Guia Prático, Rodrigo Ghedin e Jacqueline Lafloufa revelam como lidam com as difíceis e por vezes inevitáveis conversas de política em redes sociais e grupos de WhatsApp. Vale a pena confrontar notícias falsas? Melhor perder a amizade que deixar a “fake news” correr solta? Como denunciar conteúdos ilegais sem se indispor com o seu tio reaça? Apoie o Manual pelo preço de um cafezinho Nas últimas semanas, o Manual ganhou dois novos apoiadores: Suellen Melo e André Luiz Alvares. Obrigado! Gosta do podcast? Se puder, apoie o nosso trabalho e ajude a mantê-lo no ar. A assinatura custa apenas R$ 9 por mês via Catarse ou PicPay ou, se preferir, com desconto no plano anual por Pix, a partir de R$ 99. Indicações culturais Jacque: A série Black Bird [Apple TV+], de Dennis Lehane. Ghedin: O filme O tempo é uma ilusão [Belas Artes À La Carte], de René Clair.
durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Vittorio de Sica répondait à Jean Lescure et Jean Amrouche en 1951. Il évoquait son film "Miracle à Milan" qui devait, cette année-là, recevoir la Palme d'or à Cannes. - invités : Vittorio De Sica Réalisateur
Dans ce premier épisode raconté par David Le Simple Le , on va voir comment le cinéma est devenu sonore puis comment, en France, il fut exploré par des cinéastes tels que René Clair, Jacques Demy, Jean-Luc Godard ou encore Agnès Varda.
Briana and Maddy of the Chapter One: Take Two podcast join us this week to discuss director René Clair's screwball jaunt through the centuries as a mischievous and thoroughly evil witch (Veronica Lake) and her father (Cecil Kellaway) plot to torment the modern-day descendent (Frederick March) of the pilgrim who burned them at the stake. With his political future, public reputation, impending marriage, life, and sanity at risk, can this proto-Bewitched cast a love spell instead?6 Join us next week for the fourth annual Rando Awards ceremony!
This week we are joined by Michael Patrick Jann, director of the upcoming film Organ Trail and member of The State, to watch John Hughes' all-time classic teen drama The Breakfast Club. We talk a little about fashion, a little about lunch, and a lot about the ego, Jungian self, and gestalt therapy. And, it should be said, crass sex jokes. If you'd like to watch ahead for next week's film, we will be discussing and reviewing René Clair's I Married a Witch (1942).
durée : 01:04:59 - Les Nuits de France Culture - Par Henri Béhar - Avec Yvonne Baby, Jean Renoir, Alain Resnais, Michel Cournot, Jean-Luc Godard, Georges Charensol, Agnès Varda, Milos Forman, Enrico Fulchignoni, Henri Langlois, Jean Wiener et René Clair
L'œuvre sans doute la plus célèbre d'Antoine de Saint-Exupéry, "Le petit prince", n'a pas été écrite en France, mais aux États-Unis. En effet, depuis le mois de décembre 1940, le célèbre aviateur s'était exilé dans ce pays.Un pilote en exilSaint-Exupéry n'a accepté ni l'armistice de juin 1940 avec l'Allemagne nazie ni la mise en place du régime de Vichy. Aussitôt démobilisé, il se rend donc au Maroc, puis, de là, s'envole pour les États-Unis.Il arrive à New York le dernier jour de l'année 1940. Le célèbre pilote n'est pas venu se mettre à l'abri. Il compte profiter de sa notoriété pour persuader les Américains, dont la majorité demeure isolationniste, d'entrer en guerre aux côtés de l'Angleterre.Et Saint-Exupéry pense représenter une alternative à de Gaulle. Il n'éprouve en effet guère de sympathie pour le mouvement gaulliste qui, à New York, offre le spectacle de ses divisions.Des influences diversesC'est après son arrivée aux États-Unis que "Le petit prince" fut écrit dans une bourgade paisible, située sur la côte Nord de Long Island. Mais le livre sera publié à New York en 1943.C'est en voyant l'écrivain dessiner la silhouette d'un petit garçon sur un coin de nappe, alors qu'ils dînaient au restaurant, que l'éditeur de Saint-Exupéry et sa femme lui auraient conseillé d'introduire ce personnage dans un conte.À vrai dire, l'idée d'écrire un tel récit lui trottait dans la tête depuis quelque temps déjà. Elle lui serait venue alors qu'il séjournait à l'hôpital, en 1940. Son amie, l'actrice Annabella, venue lui rendre visite, lui aurait lu un conte d'Andersen qui lui aurait donné l'idée d'en écrire un à son tour.Et Saint-Exupéry aurait commencé à illustrer son histoire grâce à la boîte de peinture offerte par le cinéaste René Clair. Dès l'année 1940, la silhouette du garçonnet à l'écharpe, qui va devenir le "petit prince", apparaît dans la correspondance de Saint-Exupéry.D'autres influences ont encore pu jouer, comme celle de la femme de son éditeur qui, elle aussi, lui aurait suggéré d'écrire un conte de fées. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Albert, un cantante callejero, invita a cantar con él a los viandantes que se paran a escucharle por las calles parisinas. Una banda de carteristas aprovecha para robar a los espectadores. Cuando Albert evita que roben a la joven inmigrante Pola, se enamora perdidamente de ella. Es el argumento de Bajo los techos de París (Sous les toits de Paris, 1930, Francia) de René Clair, con Albert Préjean, Pola Illery, Gaston Modot y Edmond Gréville. Aunque René Clair había renegado del naciente cine sonoro, con Bajo los techos de París acabó por aceptar que su implantación era inevitable. Largos parlamentos silentes se combinan con vivos diálogos y canciones, en una cinta consagrada a transmitir el encanto del París bohemio, sus calles y sus icónicas azoteas. Así, el film se convertiría en el primer gran exponente del realismo poético francés, con sus personajes urbanos retratados bajo una luz a un tiempo realista y estilizada.Más información de este acto
Cine en la Fundación: Los orígenes del cine musical (VI). Presentación de "Bajo los techos de París" (1930) de René Clair. Pedro G. Cuartango. Bajo los techos de París (Sous les toits de Paris, 1930, Francia) de René Clair, con Albert Préjean, Pola Illery, Gaston Modot y Edmond Gréville (88') Presentación: Pedro G. Cuartango Albert, un cantante callejero, invita a cantar con él a los viandantes que se paran a escucharle por las calles parisinas. Una banda de carteristas aprovecha para robar a los espectadores. Cuando Albert evita que roben a la joven inmigrante Pola, se enamora perdidamente de ella. Aunque René Clair había renegado del naciente cine sonoro, con Bajo los techos de París acabó por aceptar que su implantación era inevitable. Largos parlamentos silentes se combinan con vivos diálogos y canciones, en una cinta consagrada a transmitir el encanto del París bohemio, sus calles y sus icónicas azoteas. Así, el film se convertiría en el primer gran exponente del realismo poético francés, con sus personajes urbanos retratados bajo una luz a un tiempo realista y estilizada. El sábado se proyecta el vídeo de la presentación del día anterior. Explore en canal.march.es el archivo completo de Conferencias en la Fundación Juan March: casi 3.000 conferencias, disponibles en audio, impartidas desde 1975.
In der dritten Ausgabe der Cineholics besprechen Dominik und Romina den Klassiker der Filmgeschichte „Aelita“ aus dem Jahr 1924. Auf ihrer Reise durch die 101 Science-Fiction Filme die man gesehen haben sollte, erreichen die beiden Cineholics das russische Monumentalkino. Jakow Protasanow erzählt die Geschichte rund um die Marskönigin Aelita und liefert in 111 Minuten Laufzeit ein Zeitzeugnis ab. Wenn ihr den Film sehen wollt könnt ihr das auf YouTube tun. In der nächsten Ausgabe der Cineholics wird es um den französischen Film Paris qui dort aus dem Jahr 1925 von René Clair gehen. Diesen könnt ihr ebenfalls auf Youtube sehen! Es sind immer noch WarpCast-Sticker verfügbar! Wer einen haben möchte meldet sich am besten bei Chris unter podcast@warp-core.de.
durée : 00:55:46 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie DUNCAN - Un petit matin de mars 1923, une jeune femme et un jeune homme marchent sur le boulevard Montparnasse à Paris. Ils viennent de passer la nuit ensemble mais chastement, endormis l'un contre l'autre dans le jardin du Bullier, la salle de bal à la mode.
[Terror Imobiliário] Não, a varanda não está à venda e nem viramos corretores de imóveis. Os dois filmes em destaque, no episódio, colocam o terror em evidência. Ambos têm estranhas presenças atormentando mulheres em suas casas. A Casa Sombria traz Rebecca Hall como uma professora vivendo o luto por seu marido, em sua linda casa no lago. Já A Mansão (15:02) tem Barbara Hershey como uma ex-bailarina que, após sofrer um derrame, tenta se adaptar a vida numa casa de repouso. E mais: No Momento Belas Artes à La Carte recomendamos um filme pouco conhecido de René Clair. O Puxadinho da Varanda destaque para Missa da Meia-Noite, o Olhar de Cinema, o filme Um Dia e um super especial sobre a segunda de temporada de Ted Lasso. No Cantinho do Ouvinte, o Metavaranda dos Ouvintes e os comentários sobre o episódio anterior. Bom Podcast!
durée : 01:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Antoine Dhulster - "L'enchantement tropézien" propose de découvrir la fête traditionnelle provençale "La Bravade", fêtée tous les ans en mai à Saint-Tropez, avec des témoignages du cinéaste René Clair, du peintre André Dunoyer de Segonzac, de l'écrivain Joseph Peyre et du maire de Saint-Tropez, en 1958, Louis Fabre. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : René Clair Acteur, Réalisateur, Scénariste, Producteur, Dialoguiste, Assistant réalisateur, Adaptateur français
durée : 00:58:06 - Maurice Jaubert, météore musical - par : Thierry Jousse - Pour fêter dignement le retour des films de Jean Vigo dans les salles, Ciné Tempo vous propose une promenade dans l'œuvre unique de son compositeur disparu trop tôt, le grand Maurice Jaubert qu'on retrouve également auprès de René Clair, Marcel Carné, Julien Duvivier ou même, François Truffaut. - réalisé par : Lionel Quantin
durée : 00:39:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1951, le cinéaste René Clair donnait une série de douze entretiens sur la Chaîne Nationale. dans les volets 8 et 11 il évoquait sa carrière et certains de ses films dont "La Beauté du diable". Ces entretiens étaient illustrés par des lectures de Gérard Philipe. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : René Clair Acteur, Réalisateur, Scénariste, Producteur, Dialoguiste, Assistant réalisateur, Adaptateur français; Gérard Philipe
Agradece a este podcast tantas horas de entretenimiento y disfruta de episodios exclusivos como éste. ¡Apóyale en iVoox! En este episodio de nuestra serie temática dedicada a Luis García Berlanga abordamos tres obras que realizó en producciones mayoritariamente extranjeras y que en algunos casos rodó en otro país. Por un lado, dos de sus películas menos conocidas y valoradas: el segmento neorrealista LA MUERTE Y EL LEÑADOR dentro del filme colectivo LAS CUATRO VERDADES (1962) que realizó junto a Alessandro Blasetti, Hervé Bromberger y René Clair adaptando fábulas de Jean de La Fontaine, que ha restaurado y digitalizado recientemente Filmoteca Española por el centenario del cineasta y podrá verse en la sección Klasikoak del Festival de San Sebastián. También el largometraje argentino LAS PIRAÑAS (LA BOUTIQUE) de 1967, rodada en condiciones precarias en Buenos Aires con un relato rebosante de humor negro y crítica social ácida hacia el matrimonio y las costumbres burguesas. Para terminar analizamos más extensamente TAMAÑO NATURAL (1974), película en la que desarrolla sin constricciones su reconocida perspectiva misógina sobre las mujeres, su fetichismo y obsesiones erotómanas con Michel Piccoli como alter ego en la pantalla. Una obra de profunda honestidad con imágenes incómodas y perturbador discurso de múltiples capas en una puesta en escena precisa y minuciosa en la que desmonta las contradictorias proyecciones masculinas y expectativas sociales sobre las mujeres. Este es el octavo programa de nuestra serie temática dedicada a Luis García Berlanga con motivo de su centenario. Durante este año 2021 y cada mes realizamos el análisis de todas las películas de su filmografía en una serie de episodios exclusivos para mecenas que podéis escuchar desde 1,49 euros al mes. Escucha este episodio completo y accede a todo el contenido exclusivo de Los jueves, milagro. Descubre antes que nadie los nuevos episodios, y participa en la comunidad exclusiva de oyentes en https://go.ivoox.com/sq/901164
We explore René Clair's adaptation of Agatha Christie's novel of - in the US - the same name, And Then There Were None. In terms of quality, it's nothing to write home about, sadly, but is interesting nonetheless. Recorded on 13th May 2021.
Michel Piccoli est le fils d'Henri Piccoli, violoniste, de lointaine origine tessinoise et de Marcelle Expert-Bezançon (1892-1990), pianiste, elle-même fille de l'industriel et homme politique français Charles Expert-Bezançon. Il a « une enfance assez compliquée. C'est un enfant de remplacement, qui est venu remplacer son frère aîné décédé. » Il est placé dans un établissement pour enfants à problèmes où il se retrouve « dans une situation de liberté totale ». Les engagements du jeune Piccoli, notamment politiques et « contre le monde de l'argent», se comprennent par l'opposition à la personnalité de son grand-père, sénateur de la IIIe République, financier du parti radical, et important industriel de la peinture, accusé par la gauche syndicale et Georges Clemenceau, d'avoir intoxiqué des ouvriers à travers le blanc de plomb qui donnait le saturnisme. Michel Piccoli suit une formation de comédien d'abord auprès d'Andrée Bauer-Théraud puis au cours Simon Après une apparition en tant que figurant dans Sortilèges de Christian-Jaque en 19458, Michel Piccoli débute au cinéma dans Le Point du jour de Louis Daquin. Cependant, c'est surtout au théâtre qu'il s'illustre dans le début de sa carrière, avec les compagnies Renaud-Barrault et Grenier-Hussot ainsi qu'au Théâtre de Babylone (géré par une coopérative ouvrière et qui met en scène les pièces d'avant-garde de Ionesco ou Beckett). Bien que remarqué dans le film French Cancan en 1954, il poursuit sur les planches et travaille avec les metteurs en scène Jacques Audiberti, Jean Vilar, Jean-Marie Serreau, Peter Brook, Luc Bondy, Patrice Chéreau ou encore André Engel. Durant la même période, il se fait connaître dans des téléfilms populaires tels que Sylvie et le fantôme, Tu ne m'échapperas jamais ou encore L'Affaire Lacenaire de Jean Prat. Devenu athée après un deuil familial, il rencontre en 1956 Luis Buñuel, réalisateur connu pour son anticléricalisme, et prend ironiquement le rôle d'un prêtre dans La Mort en ce jardin. En 1959, il tourne Le Rendez-vous de Noël, court métrage d'André Michel d'après la nouvelle de Malek Ouary, Le Noël du petit cireur, qui se passe à Alger. Les années 1960 marquent le début de sa consécration, remarqué dans Le Doulos de Jean-Pierre Melville, il est révélé au grand public avec Le Mépris de Jean-Luc Godard aux côtés de Brigitte Bardot. Dès lors, il tourne avec beaucoup des plus grands cinéastes français (Jean Renoir, René Clair, René Clément, Alain Resnais, Agnès Varda, Jacques Demy, Alain Cavalier, Michel Deville, Claude Sautet, Claude Chabrol, Louis Malle, Jacques Doillon, Jacques Rivette, Léos Carax, Bertrand Blier), européens (Luis Buñuel, Costa-Gavras, Marco Ferreri, Alfred Hitchcock, Jerzy Skolimowski, Marco Bellocchio, Ettore Scola, Manoel de Oliveira, Otar Iosseliani, Theo Angelopoulos, Nanni Moretti) et internationaux (Youssef Chahine, Raoul Ruiz, Hiner Saleem). Dans Le Coup de grâce (1965). Il devient l'un des acteurs fétiches de Marco Ferreri, avec sept films, de Dillinger est mort à Y'a bon les blancs en passant par Touche pas à la femme blanche ! — avec pour point d'orgue La Grande Bouffe —, de Luis Buñuel avec six films : Le Journal d'une femme de chambre (1964), Belle de jour (1967), La Voie lactée (1969), Le Charme discret de la bourgeoisie (1972), Le Fantôme de la liberté (1974) et Cet obscur objet du désir (1977) ainsi que de Claude Sautet, avec Les Choses de la vie, Max et les Ferrailleurs, Mado et Vincent, François, Paul… et les autres. Il joue également dans le singulier Themroc. Il entame la décennie 1980 par le prix d'interprétation au festival de Cannes en 1980, avec Le Saut dans le vide de Marco Bellocchio, et celui du festival de Berlin en 1982, avec Une étrange affaire de Pierre Granier-Deferre8. Il travaille avec le jeune cinéma français, comme Jacques Doillon (La Fille prodigue en 1985), Leos Carax (Mauvais sang en 1986), n'hésitant pas à casser son image bienveillante avec des rôles provocateurs ou antipathiques, avant de s'essayer lui-même à la réalisation. Il tourne également plusieurs films avec Manoel de Oliveira, de Party (1996) à Belle toujours (2006) en passant par Je rentre à la maison (2001). Habitué du festival de Cannes, il fait partie du jury de la compétition officielle du 60e festival en 2007 sous la présidence de Stephen Frears. Amateur de littérature, il a également enregistré la lecture des Fleurs du mal de Charles Baudelaire et de Gargantua de François Rabelais. En 2011, il joue dans Habemus Papam de Nanni Moretti, présenté en compétition à Cannes. C'est sa dernière apparition au cinéma.
durée : 00:54:56 - Le Masque et la Plume - par : Jérôme Garcin - Vos critiques vous disent ce qu'ils pensent de "Oxygène" le dernier film de Alexandre Aja sur Netflix, "The Nightingale" de Jennifer Kent, et ces classiques : "Black Jack" de Ken Loach, "Batman" de Tim Burton, "Les Grandes manœuvres" de René Clair et "La Baule Les Pins" de Diane Kurys.
durée : 01:04:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Philippe Esnault - Avec Claude Autant-Lara, Claude Heymann, René Clair, Jean Mitry, Joe Noel, Georges Neveux et William Sivel - Avec la voix de René Clair - Réalisation Janine Antoine - réalisation : Virginie Mourthé
Hoy nos visita un viejo y olvidado Director, el gran René Claire, con una pequeña joya, Viva la libertad. Una obra imprescindible, amable, inocente, luminosa y divertida; precursora y referencia innegable de la obra maestra de Chaplin, Tiempos Modernos. Viva la libertad es de 1931, como su titulo indica, es todo un canto a la libertad en letras mayúsculas, un bello gesto reivindicando el libre albedrío, el amor, y sobre todo, la amistad. Una visión pura e inocente sobre la propia vida. Un historia sencilla, cine a medio camino entre el slapstick, el cine mudo, el vodevil y el incipiente cine sonoro. Con una estructura narrativa que mezcla canciones y diálogos; situaciones que van desarrollando esta pequeña gran historia, con la entrañable banda sonora de George Auric. René Claire es un director a reivindicar, de obra ecléctica, con incursiones sobresalientes en Hollywood, no muy bien tratado por la Nouvelle Vague. Viva la Libertad desprende ese aroma a Buster Keaton, a Harold LLoyd, a Oliver y Hardy, al maestro Chaplin, sin la lírica de éste, pero con un mensaje similar, de concordia y humanismo, sin olvidar un tono de denuncia meridiano. Es espeluznante como esta sencilla historia de Claire predice la deriva totalitaria y oscura que vendría poco después, desde el Nazismo al Capitalismo Salvaje, a la producción en masa, un mensaje fascinante, contextualizado en una película de 1931. Un mensaje subversivo una noche mas: “para nosotros… la libertad”, un bien no negociable, que supera y sobrevive a las putadas del destino, a cualquier circunstancia; sin libertad, sin libre albedrío, no somos nada... Es nuestro bien más preciado. Esta noche, interrumpimos el monótono sin fin de la cadena de montaje, junto a la inocencia pura de Emile y la redención de Louis: Raúl Gallego, Salvador Limón, Gervi Navío y Zacarias Cotán. Gervasio Navío Flores.
Kallis returns to bring some cheer to your Sunday. He rants about Tier 4, Free School Meals, the myth of an "Australian" EU deal and "The Chop". In the "Halliwell's Odyssey" Kallis expresses why he loves René Clair's 1931 Comedy "À Nous la Liberté".
CRITICALLY ACCLAIMED is bursting with cinema this week! Film critics William Bibbiani and Witney Seibold say goodbye to the late, great Wilford Brimley and review Shudder's new supernatural/found footage/COVID-19 horror film HOST, Beyonce's Disney Plus visual concept album BLACK IS KING, the ACLU documentary THE FIGHT, Jessica Swale's World War II drama SUMMERLAND, and Katie Holmes learning the secret to life and love in THE SECRET: DARE TO DREAM! Also this week on THE CRITICALLY ACCLAIMED STREAMING CLUB, Bibbs and Witney explore René Clair's witty, stylish, romantic and weird I MARRIED A WITCH, starring Veronica Lake as a witch who accidentally falls in love with a man she's cursed! Wilford Brimley - 3:19 Host - 16:39 Black is King - 33:04 The Fight - 45:40 Summerland - 53:34 The Secret: Dare to Dream - 59:50 I Married a Witch - 1:17:21 Subscribe on Patreon at www.patreon.com/criticallyacclaimednetwork for exclusive content and exciting rewards, like bonus episodes, commentary tracks and much, much more! And visit our TeePublic page to buy shirts, mugs and other exciting merchandise! Email us at letters@criticallyacclaimed.net, so we can read your correspondence and answer YOUR questions in future episodes! Follow us on Twitter at @CriticAcclaim, join the official Fan Club on Facebook, follow Bibbs at @WilliamBibbiani and follow Witney at @WitneySeibold, and head on over to www.criticallyacclaimed.net for all their podcasts, reviews and more!
durée : 01:54:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Michel Polac - Avec René Clair - Réalisation Annie Coeurdevey - réalisation : Virginie Mourthé
Le confinement, c'était l'occasion de découvrir sa ville ou son village dans une situation inédite : celle d'un endroit désertique, privé de ses habitants. Si cette idée fantasmée a été maintes fois exploitée au cinéma ("Je suis une légende", "28 jours plus tard" ou "Seuls two" pour ne citer qu'eux), le 1er a avoir eu cette idée est le réalisateur français René Clair, en 1924, dans son film "Paris qui dort". Jusqu'en septembre, la Cinémathèque Française le rend disponible gratuitement en ligne sur sa plateforme de streaming Henri. Abonnez-vous au podcast pour ne rater aucune épisode du Plan Q Une oeuvre à nous suggérer ? Laissez-nous un commentaire !
Veronica Lake plays a 300-year-old witch who returns to life and wreaks havoc when she falls in love with a young politician, played by Frederic March. A romance fantasy comedy, the film by René Clair has had a noticeable influence on other witch films that blend romance and witchcraft. I'm joined in this episode by film writer, critic and historian Pamela Hutchison to talk the context this film was made in, the dark themes explored under all the laughs and Veronica Lake's charming performance. *** The Final Girls are a UK-based film collective exploring the intersections of horror film and feminism. Find out more about our projects here: thefinalgirls.co.uk Follow us on Twitter, Instagram and Facebook. Follow Anna on @annabdemented and Olivia is on @livihowe
durée : 00:39:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1951, le cinéaste René Clair donnait une série de douze entretiens sur la Chaîne Nationale. dans les volets 8 et 11 il évoquait sa carrière et certains de ses films dont "La Beauté du diable". Ces entretiens étaient illustrés par des lectures de Gérard Philipe. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : René Clair Acteur, Réalisateur, Scénariste, Producteur, Dialoguiste, Assistant réalisateur, Adaptateur français; Gérard Philipe
Una noche al raso bajo los cielos de París, ese París que tantos autores han retratado, René Clair, Godard, Rivette, Chabrol, Garrel, Vigo, Rohmer, Varda...Y Truffaut en su primer largometraje, dedicado a su mentor André Bazin que murió durante los días que se rodaba. Los 400 golpes de Antoine Doinel, el niño desertor de mirada huidiza y lector de Balzac. Jean Pierre Léaud es Antoine, y Antoine es Truffaut, el chaval en fuga del colegio, de la familia, del reformatorio. Corre sin mirar atrás en uno de los finales más bellos de la historia del invento de los Lumière. Truffaut y sus coetáneos de la Nueva Ola francesa reinventaban el cine a finales de los años 50. Doinel finge la muerte de su madre. Huye de los problemas conyugales. Que duro es dormir en el pasillo de casa, con una madre que lo ignora, un padrastro que le abofetea Esa noche va a dormir en la calle, como un vagabundo, se lavará la cara en una fuente, desayunará con tragos largos de leche robada. La adolescencia, el desconsuelo y la rabia de un niño al que no han sabido querer. Un aula lúgubre en la escuela con pupitres de madera y maestro con regla y borrador arrojadizo. Antoine hace novillos con su amigo René, se sienten libres en sus aventuras de infancia, van al cine, a la feria, cometen fechorías. Reflejo de la propia infancia del autor, el escritor Marcel Moussy le ayudó a organizar el guion, a suavizar un poco la melancolía, a convertir su confesión en cine eterno. Doinel mira a la cámara, el fatalismo de un crío que pasa la noche en el calabozo de una comisaría nos mira cara a cara. La verdad del cine de Truffaut, la frescura, el realismo. El plano inicial de los barrios de París, la Torre Eiffel filmada desde abajo, la fotografía sobria y elegante de Henri Decaë ilumina los espacios de forma naturalista. Con ese travelling final de un pequeño que huye de los golpes, de las patadas, de los castigos, sin resuello, como los personajes de Al final de la escapada de Godard. Se confunden las notas de la partitura de Jean Constantin con las pisadas sobre la arena, al fondo el mar, el objetivo se acerca a su abandono, y la imagen se congela. Raúl Gallego Esta noche giramos y giramos en la atracción de feria detrás de la gran evasión... José Miguel Moreno, Gervi Navío, Zacarías Cotán y Raúl Gallego.
Bienvenue dans les Chroniques Singulières.Un podcast réalisé par le coworking Studios Singuliers, Paris 18ème.Chroniques Singulières est une retranscription nature des Mercredis Singuliers, l'événement historique des Studios. Une parenthèse dans la semaine : un moment convivial d'échanges et de partage, autour de thématiques vraiment très variées. Coworker ou pas, tout le monde se retrouve autour de la table des Studios pour écouter, questionner, apprendre avec l'intervenant du jour.D'ailleurs, vous qui écoutez notre podcast, vous êtes les bienvenus !Vous retrouverez tous les Mercredis Singuliers à venir sur notre page Facebook Studios Singuliers.Pour venir, c'est au 46, rue René Clair, 75018 Paris, Métro Simplon ou Marcadet Poissonniers.Et bien sûr, RDV tous les mercredis sur votre appli de podcast préférée pour découvrir un nouvel épisode des Chroniques Singulières.Pour nous soutenir, partagez, commentez ! Vous souhaitez poser une question, donner votre avis, participer, ou encore animer un Mercredi Singulier ? Contactez-nous à l’adresse contact@studios-singuliers.frBonne écoute !
durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Christine Goémé, Albane Penaranda - Vittorio de Sica répondait à Jean Lescure et Jean Amrouche en 1951. Il évoquait son film "Miracle à Milan" qui devait, cette année-là, recevoir la Palme d'or à Cannes. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Vittorio De Sica Réalisateur
durée : 01:04:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Henri Béhar - Avec Yvonne Baby, Jean Renoir, Alain Resnais, Michel Cournot, Jean-Luc Godard, Georges Charensol, Agnès Varda, Milos Forman, Enrico Fulchignoni, Henri Langlois, Jean Wiener et René Clair - réalisation : Virginie Mourthé
Tu destino, sabor tiene de mal vino. Tus deslices, cuan son de meretrices.... Pedro Puche se sacó de la chistera en 1937, en plena guerra civil, esta poco conocida joya rodada en los estudios cinematográficos de Barcelona, controlados entonces por los sindicatos anarquistas de la CNT-FAI. Cine libertario en el Barrio Chino, el muelle y el burdel. Puche centra la narración en esas gentes que pululan por calles de herrumbre, tabernas tristes, cantineros con paño al hombro, y sonidos de tangos traídos en un barco, el desencanto flota en una copa de aguardiente. El Valencia, un estibador de corazón noble y cabeza dura, altruista, agradecido con los que le han ayudado, protege al abogado que abre la película con un crimen pasional filmado a la manera del mejor Fritz Lang. Melodrama con pizcas de cine negro , la oveja descarriada frente a la casta doncella, una Jean Harlow morena, virginal, acechada por las alcahuetas al servicio de un chulo. A lo largo del metraje temas controvertidos para la época, un tipo consume cocaína, jóvenes son captadas en el mercado de la prostitución. En una escena, el adinerado borracho entra en la habitación de la chica que trabaja para él, le ordena que se desnude, la trata como a una esclava y ella huye del lugar. Aires de libertad expresiva que dejarán de sonar en la España inmediatamente posterior, los personajes de la alta sociedad utilizan a la gente del pueblo en función de sus intereses. No hay serenidad en los rostros. La violencia en cada frase, en cada puñetazo, todo puede derrumbarse en cualquier momento. Reminiscencias del cine de René Clair, Julien Duvivier o Jean Vigo. Los macarras de medio pelo comparten barra con críos que beben alcohol, con puteros huidizos y cantantes acabados. Raúl Gallego Esta noche nos empapamos de la tétrica bohemia de Casa Paco... José Miguel Moreno, Raúl Gallego y Zacarías Cotán.
Jean-Loup Dabadie est un homme de lettres français né le 27 septembre 1938 dans le 14e arrondissement de Paris, journaliste, romancier, auteur de sketches et de chansons, auteur et metteur en scène dramatique, traducteur, scénariste et dialoguiste. Il est élu à l'Académie française le 10 avril 2008 au fauteuil de Pierre Moinot, occupé de 1960 à 1981 par René Clair. N'oubliez pas de vous abonner !
Depuis deux mois, la Cinémathèque française met à l'honneur le grand réalisateur Sergio Leone. Un rendez-vous immanquable pour les amoureux du cinéma, ce que souligne Gian Luca Farinelli, le commissaire de l'exposition dans l'interview qu'il nous accorde.Le mois de décembre nous réserve d'autres surprises, toujours à la Cinémathèque française, avec les rétrospectives Elia Kazan et James Caan.Egalement sous le sapin, retrouvez en salle "Les Chasses du comte Zaroff" d'Irving Pichel et Ernest Schoedsack. Puis c'est dans un autre style, que nous aurons le plaisir de redécouvrir deux savoureux divertissements : "C'est arrivé demain" de René Clair et l'un des films les plus joyeusement débile de sa génération, "Y a-t-il un pilote dans l'avion ?". Décollage prévu à partir du 26 décembre.Direction Lyon ensuite, où une rétrospective Alfred Hitchcock est présentée à l'Institut Lumière jusqu'au 12 février. L'occasion de retrouver celui qu'on appelle le "maître du suspense" mais qui est bien plus en réalité. Partez à la découverte de ses innovations, qui ont permis de forger le cinéma aujourd'hui.Crédits :Flashback est un podcast de Séance radio, proposé par Goom (Go on media), animé par Antoine Jullien et Antoine Sire. Enregistré à Goom Radio, le jeudi 29 novembre 2018. Directeur des contenus : Omar Erraïs. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
United Artists Productions Inc released I Married a Witch to theaters on October 30, 1942. René Clair directed film which starred Fredric March, Veronica Lake, and Robert Benchley. The post I Married a Witch (1942) appeared first on Movie House Memories.
Under the roofs of Paris…lovers swoon, a piano plinks out a tune, and a jealous lout shows up too soon. Under the roofs of Beatrice…Brandon and Tyler record a podcast! This week, they’re talking about René Clair’s 1930 Parisian romance, Under the Roofs of Paris! Follow us on on Twitter, @FilmFoilPodcast, and Facebook Brandon’s Twiter: @BrandoV2 Tyler’s Twitter: @TylerJRinne Music - "Golden Sunrise" by Josh Woodward. Free download: http://joshwoodward.com/
As Dicas Triplas do PFC voltam neste episódio, com Fred, Alexandre e o convidado Sergio Gonçalves debatendo sobre três ótimos filmes, cada um deles – à sua maneira – com algo de misterioso no ar. Abrimos o áudio falando sobre o filme “Picnic na Montanha Misteriosa” (Picnic at Hanging Rock, 1975 - Tempo: 00:03:50 ), a película de Peter Weir que colocou o cinema australiano no mapa e depois seguimos com o diretor francês René Clair se aventurando em Hollywood ao realizar uma das melhores adaptações do romance de maior sucesso de Agatha Christie (“O Caso dos Dez Negrinhos”), no filme “O Vingador Invisível” (And Then There Were None, 1945 - Tempo: 00:25:40). Fechamos o episódio com o intrigante filme francês dirigido por Alain Resnais e intitulado “O Ano Passado em Marienbad” (L’année dernière à Marienbad, 1961 - Tempo: 00:43:25), uma verdadeira experiência cinematográfica de forma x conteúdo. Os “spoilers” são salvos para o fim do episódio (ouça-os a partir de 1:15:46), para lhe ajudar caso não tenha visto algum destes filmes.
Sonates est l’émission de musique classique de Radio Campus Paris. Notre sixième émission, diffusée le dimanche 17 décembre, est consacrée à la musique de film. L’arrivée du parlant dans le cinéma va permettre la création d’un nouveau genre : la musique de film, puisque tout simplement des compositeurs vont commencer à composer pour des films. Non pas que la musique n’existait avant mais bien souvent elle consistait, pour les musiciens, à improviser, et non à écrire quelque chose pour un film, ou bien à un orchestre de jouer pendant le visionnage. Tout cela sans oublier les difficultés pour synchroniser son et image à l’époque. L’arrivée de ce nouveau genre, à la fin des années 20, donne la possibilité à des compositeurs classiques de faire de la musique de film. Certains s’y était déjà essayer comme Erik Satie pour le court film dadaïste Entr’Acte de René Clair sorti en 1924, et c’est déjà un exploit de voir une musique aussi synchronisée avec les images à l’époque du muet. Étant donné que de nombreux compositeurs classiques ont composé de la musique de film à ses débuts, la question de sa place en comparaison à la musique classique fait parfois encore débat. Dès les débuts,en Russie, comme nous en avons parlé récemment dans notre troisième émission, les compositeurs du régime ont beaucoup écrit pour le cinéma, afin de servir le rêve d’un art populaire, grandiose et grandiloquent. Sergei Prokofiev a par exemple composé la musique d’Alexandre Nevski d’Eisenstein (en 1938), un cinéaste avec lequel il travaille énormément pendant toute sa vie. Mais on comptait aussi sur Dmitri Chostakovitch qui a fait la musique du Cuirassé Potemkine (1925) même s’il est beaucoup moins connu pour ses musiques de films. Il était un exemple type de ce qui se faisait avant l’arrivée de la “musique de film” à proprement parler puisqu’il improvisait sur les films. Ses débuts en tant que compositeur de musiques de films ont d’ailleurs été marqués par un échec cuisant avec le thème de La Nouvelle Babylone, totalement désynchronisé et incompréhensible pour les spectateurs à sa sortie en 1929. La suite sera pour lui surtout de l’alimentaire, n’ayant pas envie réellement de composer pour les films mais se voyant surtout obligé par le régime. Les balbutiements des débuts montrent en tout cas la difficulté qu’impose ce nouveau genre de musique, les contraintes qu’il demande et l’apparition d’un métier à part entière, et cela bien sûr pas seulement en Russie.
Your host for this edition is René ClairIt is entitled More RealistFirst Sequence:Lillian Briggs - I Want You to Be My BabyThe Chantels - He's GoneThe Elektras - All I Want to Do is RunThe Starlets - Better Tell Him NoLittle Eva - Keep Your Hands Off My BabySecond Sequence:Wild Man Fischer - The TasterSandy Hurwitz - WomanThe GTOs - Do Me in Once and I'll Be Sad, Do Me in Twice and I'll Know Better (Circular Circulation)Judy Henske & Jerry Yester - Horses on a StickJeff Simmons - Appian WayThird Sequence:Jackie Wilson - We Have LoveThe Solitaires - Thrill of LoveThe Gaylords - Magic SongThe Cute-Teens - From This Day ForwardAl Kent - That's Why I Love You SoFourth Sequence:Jackie Edwards - Girl, You'll Be a Woman SoonThe Monkees - A Little Bit Me, a Little Bit YouJay & The Americans - Sunday and MeShane MacGowan & The Popes - Cracklin' RosieNeil Diamond - Red, Red WineSummation:Marlena Shaw - Woman of the Ghetto
Three little podcasters sat down to record anew, one disappeared and then there were two! Two little podcasters show begun, then Lydia started talking and then there was one! Christopher and Lydia watch and discuss the 1945 René Clair directed film, And Then There Were None. The first screen adaptation of Agatha Christie’s mystery novel. […]
Dès qu'on lui a donné la parole (autour de 1929), le cinéma français s'est mis à chanter : adaptation d'opérettes, films-véhicules pour stars du music-hall, élaboration d'un étrange modèle de films chantants par René Clair. Jamais pourtant, la comédie musicale ne se constitue en genre. Seul Jacques Demy va en proposer sa très singulière formulation. Mais au même moment, de Varda à Godard, c'est toute la Nouvelle Vague qui place le format chanson au cœur même de son esthétique. Depuis, d'Eustache à Bozon, tout ce que le cinéma français comporte de plus créatif a aimé suspendre ses récits en chansons. Tendons l'oreille à ce que nous chante le cinéma français.
Dès qu'on lui a donné la parole (autour de 1929), le cinéma français s'est mis à chanter : adaptation d'opérettes, films-véhicules pour stars du music-hall, élaboration d'un étrange modèle de films chantants par René Clair. Jamais pourtant, la comédie musicale ne se constitue en genre. Seul Jacques Demy va en proposer sa très singulière formulation. Mais au même moment, de Varda à Godard, c'est toute la Nouvelle Vague qui place le format chanson au cœur même de son esthétique. Depuis, d'Eustache à Bozon, tout ce que le cinéma français comporte de plus créatif a aimé suspendre ses récits en chansons. Tendons l'oreille à ce que nous chante le cinéma français.
In relation to the exhibition with German painter Anton Henning at Magasin 3 in 2012, Olle Granath, former Director of the Moderna Museet, and the National Museum, gives us a a close portrait of the charismatic artist Francis Picabia (1879-1953). Picabia, close friend to Duchamp, was a restless pioneer in Dada, constantly striving for total artistic freedom, while challenging the good taste with his nude portraits. With approval from the Dance Museum we also showed Entr’acte by René Clair, the classic film from 1924 in the transitional period between Dada and Surrealism. Olle Granath is a critic, writer and a recognized figure in the Swedish art scene. He was previously head of the Museum of Modern Art (1980-1989), Director of the National Museum and art director of the National Museum (1989-2001), Granath is an honorary member of the Academy of Arts since 1987 and author of books on Swedish and Nordic artists including The dog’s Vision: explorations of contemporary life (2008). Recorded November 8, 2012 at Magasin 3, Stockholm Language: Swedish
In relation to the exhibition with German painter Anton Henning at Magasin 3 in 2012, Olle Granath, former Director of the Moderna Museet, and the National Museum, gives us a a close portrait of the charismatic artist Francis Picabia (1879-1953). Picabia, close friend to Duchamp, was a restless pioneer in Dada, constantly striving for total artistic freedom, while challenging the good taste with his nude portraits. With approval from the Dance Museum we also showed Entr’acte by René Clair, the classic film from 1924 in the transitional period between Dada and Surrealism. Olle Granath is a critic, writer and a recognized figure in the Swedish art scene. He was previously head of the Museum of Modern Art (1980-1989), Director of the National Museum and art director of the National Museum (1989-2001), Granath is an honorary member of the Academy of Arts since 1987 and author of books on Swedish and Nordic artists including The dog’s Vision: explorations of contemporary life (2008). Recorded November 8, 2012 at Magasin 3, Stockholm Language: Swedish
Nous sommes maintenant au n°2 de la rue d’Estienne d’Orves, devant le château Vilmorin qui date du XVIIe siècle. Mais il est difficile de déterminer ce qui subsiste de cette époque. La tradition affirme que Louis XIV le fit construire pour en faire un rendez-vous de chasse. La façade avec son faux avant-corps surmonté d'un fronton évoque le style néo-classique de la Restauration. Quant au bâtiment à droite, il est sans doute une adjonction postérieure. Les Vilmorin en devinrent propriétaires en 1815 et y résident toujours. En 1969, André Malraux vint habiter le château, célèbre pour le « salon bleu » où Louise de Vilmorin, romancière, se plaisait à recevoir ses nombreux amis. André Malraux y résida jusqu'à sa mort en 1976. Sur les piliers du portail, nous apercevons deux lions en pierre qui appartiennent aux armoiries des Vilmorin. Louise Lévesque, dite Louise de Vilmorin (1902-1969) - Femme de lettres française, fiancée à Antoine de Saint-Exupéry, amie d'André Malraux. Grand prix littéraire de Monaco (1955), pour plusieurs elle trônait en reine du Paris littéraire mondain, incarnation même de la frivolité hissée au rang de l'art de vivre. Ses poèmes son empreints d'une fantaisie impulsive et féérique (Fiancailles pour rire, Le Sable du Sablier, l'Alphabet des aveux). Romancière, plusieurs de ses oeuvres seront adaptées par le cinéma. Vers 1956, le dimanche soir, à son château de Verrières-le-Buisson, Louise de Vilmorin réunissait souvent ses amis autour d'un fameux pot au feu. Ce «salon bleu» contemporain attirait des gens de lettres, des gens de spectacles et des saltimbanques : l'acteur Alain Cuny, Pierre Bergé, les cinéastes René Clair et Max Ophuls, l'auteur Anaïs Nin, le cinéaste François Truffaut, Jean Cocteau, Nadine et Roger Nimier, Louis Malle, la journaliste Françoise Giroud, le chanteur Paul Meurisse, le peintre Bernard Buffet, les danseurs Roland Petit et Zizi Jammaire, Olga Gainsbourg, Brigitte Bardot, Gunther Sachs, le producteur Georges Lourau et sa femme, Léo Ferré et sa femme Madeleine. Celle-ci s'ennuyait dans ce salon et trouvait que «les fleurs avaient des épines snobinardes». Léo Ferré, lui sera impressionné par «cette femme extraordinaire et sensible».
Peter Rehberg - Paris Qui Dort - Recorded live at Centre Pompidou, Paris 11.09.2004: "In June 2004 I was asked by Cinemix to perform a live score to the silent movie 'Paris Qui Dort' (directed by Ren Clair in 1923) at the Centre Pompidou in Paris on September 11th of that year. 'Paris Qui Dort' ('Paris Asleep', or as the English version of the film is known: 'The Invisible Ray') was not only Ren Clair's first film but the first film to investigate the theme of the 'deserted city'. The night watchman on the Eiffel Tower comes off his shift to find people all over Paris frozen in motion. Eventually he meets a group of unfrozen people who arrived that morning on a plane. The group enjoys the luxury of the city, dining in restaurants and taking jewelry as they want, however boredom soon sets in and the men fight over the woman. Eventually they receive a radio message directing them to come to a particular address. There a scientist tells them how he invented a ray that has frozen the whole city. They were unaffected because the Eiffel Tower and plane were out of the rays range. And so on..... This is the recording of that live score."