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Giorgia Meloni è in grado di guidare l'Italia? Incensata per l'abilità mostrata nella sua ascesa politica, dopo sei mesi di governo Giorgia Meloni non è stata in grado di fare il salto di qualità da capo di partito a capo di governo. L'approssimativa gestione del dopo naufragio di Cutro, la mancanza di empatia con sopravvissuti e parenti delle vittime, le polemiche con i giornalisti durante la conferenza stampa sono state le prove dei limiti nella capacità di governare da parte della leader della Destra. Ne parlano in questa puntata di Va Pensiero Giorgia Serughetti, docente di Filosofia della Politica all'Università Milano Bicocca, Norma Rangeri, direttrice de il quotidiano Il Manifesto e il politologo Piero Ignazi.
Combien de temps va durer la lune de miel entre Giorgia Meloni et ses alliés ? La première femme cheffe du gouvernement a pris la tête de l'Italie en période de crise, avec une cote de popularité au plus haut. Mais elle est flanquée des deux hommes forts de la droite qui ne lui passeront aucune erreur : Silvio Berlusconi pour le centre droit de Forza Italia et Matteo Salvini pour la Ligue. « Le capitaine » de la Ligue, fragilisé par un cuisant échec électoral, entend bien rester à la barre et tente déjà de dicter son agenda politique. À peine en place, il impose le tempo et pousse les murs : vice-président du Conseil et Ministre des infrastructures et de la mobilité durable, Matteo Salvini veut se faire entendre sur tous les dossiers. En témoigne son premier rendez-vous officiel réservé à la garde-côtière. Les ports sont des infrastructures, certes, et « puisqu'il a la possibilité en tant que ministre des infrastructures de travailler avec cette institution, il se prend en photo avec le chef des garde-côtes pour parler d'immigration. D'emblée. Dans le tweet qu'il a publié, il ne parle que d'immigration, alors que ça ne relève pas de sa responsabilité aujourd'hui », note Giuseppe Bettoni, professeur de l'université romaine Tor Vergata. Peu importe, le travail se fera en parfaite entente avec le ministre de l'Intérieur, Matteo Piantedosi. Les ports seront interdits aux navires des ONG « complices » des passeurs, a d'ores et déjà annoncé ce proche de Matteo Salvini qui fut son directeur de cabinet à l'époque des décrets sécurités et de l'affaire de l'Open Arms, toujours en cours de procédure judiciaire. La veille du vote de confiance à l'Assemblée, Matteo Salvini était aussi monté au créneau sur le projet de loi sur les paiements en espèce. « Le cyclone Salvini s'abat sur Meloni » titrait le quotidien La Repubblica. La Ligue demandait un relèvement du plafond à 10 000 euros contre 3 000 actuellement (quelques jours plus tard, Giorgia Meloni, qui s'est engagée à lutter contre la fraude et l'évasion fiscale, évoquera le chiffre de 5 000). « Le patron de la Ligue revient littéralement sur son terrain habituel », analyse Giuseppe Bettoni. À savoir la lutte contre l'immigration et la défense des intérêts des commerçants du nord. Au sein du gouvernement, la Ligue est bien servie, poursuit le chercheur, elle a aussi obtenu le ministère clé de l'Économie. Soit les cordons de la bourse des quelque 200 milliards d'euros du fonds de relance européen qui seront largement dédiés… aux infrastructures. Communiquer pour exister Lors du vote de confiance au Sénat, un autre fidèle de Matteo Salvini a fait entendre sa différence en tenant des propos controversés sur l'Ukraine. Divergences de fonds ou communication ? Quoi qu'il en soit, en communication, « le capitaine » – comme se fait appeler Matteo Salvini – est un expert. Déjà vice-président du Conseil lors du premier gouvernement Conte, il avait monté une imposante machine de propagande. « Plus d'une centaine de personnes qui étaient payées par le ministère de l'Intérieur, ce qui a fait un peu scandale puisque aux frais du contribuable donc, alors que cette équipe ne servait que lui », rappelle Giuseppe Bettoni. « Attendons-nous au retour du champion de la communication, qui travaillera de préférence les dossiers qui ont un effet médiatique, ceux grâce auxquels il peut retrouver une visibilité. Parce qu'il a de gros problèmes par rapport au gouvernement, mais aussi par rapport à l'intérieur de son parti au sein duquel il n'est absolument pas bien vu. Donc, il travaille avec son courant et son équipe pour montrer qu'il est toujours fort, et impossible à désarçonner ». Matteo Salvini revient de loin. Il y a eu le cuisant échec de ses manœuvres pour pousser Giuseppe Conte dehors en 2019, la défection de plusieurs cadres dirigeants du parti au moment des élections et la chute vertigineuse dans les urnes : le parti est passé de 17% aux législatives de 2018 à moins de 9% cette année. Il avait obtenu 34% des suffrages aux européennes de 2019. Et le 25 septembre dernier, Fratelli d'Italia a obtenu plus du double de voix sur la Ligue dans son fief du Nord. Retour aux fondamentaux Mais le Capitaine a réussi à garder le contrôle du navire. Il a très bien négocié les listes électorales, analyse Piero Ignazi professeur de sciences politiques à l'université de Bologne. « Il a été habile sur la répartition des circonscriptions avec Fratelli d'Italia et Forza Italia, de sorte que La Ligue a obtenu un nombre de députés double de son score électoral : la Ligue a 65 députés, exactement comme le Parti démocrate qui lui a obtenu deux fois plus de voix. Alors oui, il a perdu des voix, mais il a sauvé beaucoup de sièges. Et ce n'est pas rien ! Les cadres du parti sont contents ». Parmi les projets qui sont chers aux cadres de la Ligue et risquent de faire tanguer la coalition selon Piero Ignazi, celui de l'autonomie régionale - un retour aux fondamentaux de la Ligue du Nord. « Il aurait pour conséquence d'aliéner tout l'électorat du centre-sud, alors que les partis de droite ont déjà du mal à conquérir l'électorat de cette partie du pays – dominée, on l'a vu, par le Mouvement 5 étoiles. Et par ailleurs, donner le feu vert à ce projet qui concerne surtout les régions fortunées du pays, Lombardie et Vénétie, voire même la région rouge de l'Emilie Romagne et alentour, ce serait un peu acter la séparation des riches d'avec “les autres” et là, je pense que les tensions entre la Ligue et le parti de madame Meloni seront plutôt fortes ». Des tensions sûrement - mais pas tout de suite, une rupture encore moins : Matteo Salvini n'a aucun intérêt à mettre le gouvernement en danger, son avenir politique serait trop incertain, jugent les observateurs, convaincus que la lune de miel durera au moins jusqu'au printemps.
For the first time since Mussolini's rule during the Second World War, a far-right party has been elected to power in Italy. We take you to Mussolini's birthplace, Predappio — which, to this day, is home to souvenir shops and shrines honouring the dictator — to explore the lasting impact of fascism in the country's politics. Featuring: Carlo Magistretti, Italian freelance journalist. Piero Ignazi, political scientist. Giorgio Frasinetti, former mayor of Predappio. Roberto Canali, current mayor of Predappio.
This week on the Beyond the Byline podcast, we discuss Italy's upcoming general elections. Italians are asked to decide who will be their next government on 25 September. Political analyst Lorenzo Pregliasco and professor of politics Piero Ignazi explain: What is the possible outcome? What are the most probable scenarios if the right-wing coalition wins? Will Giorgia Meloni become the next prime minister and if so, how would it affect Italy's relations with the EU?
Lo scorso 18 febbraio 2022, Stroncature ha ospitato la presentazione di “Come votano le periferie. Comportamento elettorale e disagio sociale nelle città italiane” a cura di Marco Valbruzzi (il Mulino, 2021). Con il curatore dialogano Piero Ignazi e Francesco Raniolo.
Piero Ignazi, Univ. Bologna ; Sofia Ventura, UniBo ; Giovanni Orsina, Univ. Luiss ; Leopoldo Freyrie, Consiglio nazionale architetti .
Per il politologo Piero Ignazi la classe dirigente è ancora affetta dallo stesso strabismo che la colse quando idolatrò il governo Monti e in questo modo il divario tra politica e cittadini si allarga
Il politologo Piero Ignazi spiega perché la protezione sociale ovvero il reddito di cittadinanza è oggi il vero confine tra schieramenti politici
Governare la società del dopo Covid. E' il titolo di un documento politico scritto da un gruppo di studiosi (economisti, sociologi, scienziati politici) e offerto alle forze politiche della sinistra. Da Gianfranco Pasquino a Piero Ignazi, da Elena Granaglia a Valeria Termini, Mario Ricciardi, Giovanni Dosi: ecco il network di studiosi che dopo un paio di incontri, tra dicembre e marzo scorsi, ha elaborato quel documento di sintesi (https://ripensarelasinistra.it) presentato oggi a Memos da Salvatore Biasco (economista) e Nadia Urbinati (teorica della politica). Per il professor Biasco l'obiettivo centrale del loro lavoro è stato “immaginare una società del post-Covid che sia partecipata, che mobiliti le persone mentre corregge le varie disuguaglianze, dove l'economia sia governata, il capitalismo sia costretto a produrre risultati coerenti con l'interesse pubblico”. Per la professoressa Urbinati il lavoro del network ha indicato in cinque funzioni i caratteri che possono individuare le forze politiche del campo del centrosinistra a cui il documento si rivolge. “La prima – sostiene Urbinati – è la funzione del pubblico, dello stato. La seconda: gli indirizzi strategici connessi a missioni di ricerca. Terza: indirizzi generali capaci di aver ripercussioni nel Mezzogiorno e nelle aree in ritardo del centro-nord. Quarta: le grandi imprese pubbliche orientate da mandati specifici coerenti e per un obiettivo-paese. Quinta – conclude Urbinati – la governance e l'architettura dei processi che non devono essere calati dall'alto”.
Governare la società del dopo Covid. E’ il titolo di un documento politico scritto da un gruppo di studiosi (economisti, sociologi, scienziati politici) e offerto alle forze politiche della sinistra. Da Gianfranco Pasquino a Piero Ignazi, da Elena Granaglia a Valeria Termini, Mario Ricciardi, Giovanni Dosi: ecco il network di studiosi che dopo un paio di incontri, tra dicembre e marzo scorsi, ha elaborato quel documento di sintesi (https://ripensarelasinistra.it) presentato oggi a Memos da Salvatore Biasco (economista) e Nadia Urbinati (teorica della politica). Per il professor Biasco l’obiettivo centrale del loro lavoro è stato “immaginare una società del post-Covid che sia partecipata, che mobiliti le persone mentre corregge le varie disuguaglianze, dove l’economia sia governata, il capitalismo sia costretto a produrre risultati coerenti con l’interesse pubblico”. Per la professoressa Urbinati il lavoro del network ha indicato in cinque funzioni i caratteri che possono individuare le forze politiche del campo del centrosinistra a cui il documento si rivolge. “La prima – sostiene Urbinati – è la funzione del pubblico, dello stato. La seconda: gli indirizzi strategici connessi a missioni di ricerca. Terza: indirizzi generali capaci di aver ripercussioni nel Mezzogiorno e nelle aree in ritardo del centro-nord. Quarta: le grandi imprese pubbliche orientate da mandati specifici coerenti e per un obiettivo-paese. Quinta – conclude Urbinati – la governance e l’architettura dei processi che non devono essere calati dall’alto”.
Il cambio di segreteria ha ridato ossigeno al Pd ma il partito deve individuare ora la sua nuova mission e l'alternativa è finire per fare la ruota di scorta secondo il politologo Piero Ignazi
Francesca Baronio, RaiNews24 ; Piero Ignazi, Univ. Bologna ; Marcella Sullo, Gr ; Paolo Soddu, Univ. Torino .
Francesca Baronio, RaiNews24 ; Piero Ignazi, Univ. Bologna ; Marcella Sullo, Gr ; Paolo Soddu, Univ. Torino .
Mario Draghi presenta un governo di larghe intese, quanto durerà? L'ananlisi del politologo Piero Ignazi. Stretta anti-Covid della Germania che chiude le frontiere con Tirolo e Repubblica Ceca. Nello sport mondiali di sci, campionato di calcio e basket.
Voglia di autorità: in Italia consensi record per il governo Conte, dice l'Osservatorio politico di Ilvo Diamanti. 7 su 10 lo sostengono. Non era mai accaduto prima. Alla voglia di autorità si aggiungono i rischi di scivolamento verso forme autoritarie di gestione dell'emergenza coronavirus. Dalla Lombardia, con il presidente Fontana, si evocano nuove strette. Che cosa ci può essere di più rigoroso di un impedimento ad uscire di casa, se non autocertificati? A Memos ne abbiamo parlato con i politologi Nadia Urbinati, della Columbia University di New York, e Piero Ignazi dell'università di Bologna. Chiude la puntata la sociologa Giovanna Procacci con il suo messaggio.
Voglia di autorità: in Italia consensi record per il governo Conte, dice l’Osservatorio politico di Ilvo Diamanti. 7 su 10 lo sostengono. Non era mai accaduto prima. Alla voglia di autorità si aggiungono i rischi di scivolamento verso forme autoritarie di gestione dell’emergenza coronavirus. Dalla Lombardia, con il presidente Fontana, si evocano nuove strette. Che cosa ci può essere di più rigoroso di un impedimento ad uscire di casa, se non autocertificati? A Memos ne abbiamo parlato con i politologi Nadia Urbinati, della Columbia University di New York, e Piero Ignazi dell’università di Bologna. Chiude la puntata la sociologa Giovanna Procacci con il suo messaggio.
Voglia di autorità: in Italia consensi record per il governo Conte, dice l’Osservatorio politico di Ilvo Diamanti. 7 su 10 lo sostengono. Non era mai accaduto prima. Alla voglia di autorità si aggiungono i rischi di scivolamento verso forme autoritarie di gestione dell’emergenza coronavirus. Dalla Lombardia, con il presidente Fontana, si evocano nuove strette. Che cosa ci può essere di più rigoroso di un impedimento ad uscire di casa, se non autocertificati? A Memos ne abbiamo parlato con i politologi Nadia Urbinati, della Columbia University di New York, e Piero Ignazi dell’università di Bologna. Chiude la puntata la sociologa Giovanna Procacci con il suo messaggio.
Vuelvo a la carga con el infame CORONAVIRUS. Os traigo noticias frescas desde Italia, el epicentro europeo de este nuevo virus que nos está volviendo locos a todos. En la parte final del episodio de hoy os haré una serie de recomendaciones para matar el tiempo sin preocuparse por el puñetero virus de moda. El autor del artículo de opinión al que hago referencia es Piero Ignazi, titulado Cercasi Regista della vita collettiva, publicado hoy, 6 de marzo de 2020.
I risultati del voto regionale: in Emilia-Romagna vince il candidato del centrosinistra Bonaccini, mentre in Calabria è il centrodestra a imporsi con Jole Santelli. Ai nostri microfoni il politologo Piero Ignazi. Nello sport i podi azzuri di sci e shorttrack e la morte della leggenda del basket Kobe Bryant.
Luigi Marattin, PD ; Piero Ignazi, Univ. Bologna ; Paolo Cirino Pomicino, DC ; Pietro Senaldi, Libero .
La crisi di governo "for dummies" da Salvini a Di Maio, il ruolo di Conte, la rabbia di Mattarella, Berlusconi che non si accoda subito alla Lgea, il PD che dovrebbe mettere a frutto un'alleanza tra Renzi e Zingaretti invece di dividersi, il tutto spiegato da Luigi Ambrosio e Piero Ignazi, docente di Scienze politiche e sociali all'Università di Bologna. (prima parte)
La crisi di governo "for dummies" da Salvini a Di Maio, il ruolo di Conte, la rabbia di Mattarella, Berlusconi che non si accoda subito alla Lgea, il PD che dovrebbe mettere a frutto un'alleanza tra Renzi e Zingaretti invece di dividersi, il tutto spiegato da Luigi Ambrosio e Piero Ignazi, docente di Scienze politiche e sociali all'Università di Bologna. (prima parte)
Grandi come la Democrazia cristiana o minuscoli come il Partito repubblican nuovi come Forza Italia e Lega, o nuovissimi come il Movimento 5 stelle.
Angela Merkel dopo 13 anni di governo lascia la guida del suo partito, la Cdu, ma non la cancelleria di Berlino. E' la fine di una lunga stagione politica, che segue alcune pesanti sconfitte elettorali (Baviera, Assia). Con lei finisce anche un ciclo politico, l'alternanza tra socialdemocratici e democristiani in Germania? Memos ne ha parlato con il politologo Piero Ignazi dell'università di Bologna. Merkel lascia nel pieno del ciclone delle destre sovraniste europee. Quanto ha contribuito la cancelliera a determinarlo? Ospite della trasmissione anche la copresidente dei verdi europei Monica Frassoni. Il successo dei verdi in Germania può essere un argine al sovranismo nazional-populista? Nella puntata di oggi abbiamo parlato anche di riarmo nucleare con il professor Alessandro Pascolini e di beni confiscati alle mafie con Davide Mattiello, presidente della Fondazione Benvenuti in Italia.
Angela Merkel dopo 13 anni di governo lascia la guida del suo partito, la Cdu, ma non la cancelleria di Berlino. E’ la fine di una lunga stagione politica, che segue alcune pesanti sconfitte elettorali (Baviera, Assia). Con lei finisce anche un ciclo politico, l’alternanza tra socialdemocratici e democristiani in Germania? Memos ne ha parlato con il politologo Piero Ignazi dell’università di Bologna. Merkel lascia nel pieno del ciclone delle destre sovraniste europee. Quanto ha contribuito la cancelliera a determinarlo? Ospite della trasmissione anche la copresidente dei verdi europei Monica Frassoni. Il successo dei verdi in Germania può essere un argine al sovranismo nazional-populista? Nella puntata di oggi abbiamo parlato anche di riarmo nucleare con il professor Alessandro Pascolini e di beni confiscati alle mafie con Davide Mattiello, presidente della Fondazione Benvenuti in Italia.
Angela Merkel dopo 13 anni di governo lascia la guida del suo partito, la Cdu, ma non la cancelleria di Berlino. E’ la fine di una lunga stagione politica, che segue alcune pesanti sconfitte elettorali (Baviera, Assia). Con lei finisce anche un ciclo politico, l’alternanza tra socialdemocratici e democristiani in Germania? Memos ne ha parlato con il politologo Piero Ignazi dell’università di Bologna. Merkel lascia nel pieno del ciclone delle destre sovraniste europee. Quanto ha contribuito la cancelliera a determinarlo? Ospite della trasmissione anche la copresidente dei verdi europei Monica Frassoni. Il successo dei verdi in Germania può essere un argine al sovranismo nazional-populista? Nella puntata di oggi abbiamo parlato anche di riarmo nucleare con il professor Alessandro Pascolini e di beni confiscati alle mafie con Davide Mattiello, presidente della Fondazione Benvenuti in Italia.
Antonella Rampino, quirinalista de La Stampa ; Piero Ignazi, docente di politica comparata e sistema politico dell'Unione Europea Università di Bologna ; Antonio Polito, vicedirettore de Il Corriere della Sera ; Mario Puddu, sindaco M5S di Assemini.
Piero Ignazi, docente di politica comparata Università di Bologna ; Maurizio Belpietro, direttore La Verità.
La scelta di Mattarella. Un governo “neutrale, di servizio” fino a dicembre per dare ancora tempo ai partiti. Se non troveranno un accordo politico e una maggioranza, allora si tornerà alle urne. Il capo dello stato ha offerto alle forze politiche anche un piano B: se il “governo neutrale” non otterrà la fiducia, le elezioni anticipate arriveranno tra l'estate e l'autunno prossimi. E' l'ipotesi sfavorita da Mattarella. A Memos ne abbiamo parlato con il politologo Piero Ignazi e Ida Dominijanni, giornalista di Internazionale.
La scelta di Mattarella. Un governo “neutrale, di servizio” fino a dicembre per dare ancora tempo ai partiti. Se non troveranno un accordo politico e una maggioranza, allora si tornerà alle urne. Il capo dello stato ha offerto alle forze politiche anche un piano B: se il “governo neutrale” non otterrà la fiducia, le elezioni anticipate arriveranno tra l’estate e l’autunno prossimi. E’ l’ipotesi sfavorita da Mattarella. A Memos ne abbiamo parlato con il politologo Piero Ignazi e Ida Dominijanni, giornalista di Internazionale.
La scelta di Mattarella. Un governo “neutrale, di servizio” fino a dicembre per dare ancora tempo ai partiti. Se non troveranno un accordo politico e una maggioranza, allora si tornerà alle urne. Il capo dello stato ha offerto alle forze politiche anche un piano B: se il “governo neutrale” non otterrà la fiducia, le elezioni anticipate arriveranno tra l’estate e l’autunno prossimi. E’ l’ipotesi sfavorita da Mattarella. A Memos ne abbiamo parlato con il politologo Piero Ignazi e Ida Dominijanni, giornalista di Internazionale.
Piero Ignazi, politica comparata e sistema politico dell'UE Università di Bologna ; Pietro Senaldi, direttore di Libero ; Anna Ascani, deputata PD ; Fabio Rampelli, capugruppo alla Camera FdI.
Luciano Capone, Il Foglio ; Ugo Mattei, docente di diritto privato a Torino e a Berkeley ; Tomaso Montanari, presidente di Libertà e Giustizia ; Piero Ignazi, politica comparata e sistema politico dell'UE Università di Bologna.
Guerra per banche, Renzi lacera il Pd nella campagna contro il governatore della Banca d'Italia Visco. Dopo la dura mozione del Pd alla Camera contro Visco, venerdì scorso quattro ministri renziani (Boschi, Lotti, Del Rio e Martina) non hanno partecipato al consiglio dei ministri che doveva rinnovare l'incarico al governatore Visco. Perchè Renzi ha consumato un duro strappo con Gentiloni e Mattarella su Visco? Ne abbiamo parlato oggi a Memos con il politologo Piero Ignazi e i giornalisti Gianni Dragoni (Sole 24 Ore) e Giorgio Meletti (Fatto Quotidiano).
Guerra per banche, Renzi lacera il Pd nella campagna contro il governatore della Banca d’Italia Visco. Dopo la dura mozione del Pd alla Camera contro Visco, venerdì scorso quattro ministri renziani (Boschi, Lotti, Del Rio e Martina) non hanno partecipato al consiglio dei ministri che doveva rinnovare l’incarico al governatore Visco. Perchè Renzi ha consumato un duro strappo con Gentiloni e Mattarella su Visco? Ne abbiamo parlato oggi a Memos con il politologo Piero Ignazi e i giornalisti Gianni Dragoni (Sole 24 Ore) e Giorgio Meletti (Fatto Quotidiano).
Guerra per banche, Renzi lacera il Pd nella campagna contro il governatore della Banca d’Italia Visco. Dopo la dura mozione del Pd alla Camera contro Visco, venerdì scorso quattro ministri renziani (Boschi, Lotti, Del Rio e Martina) non hanno partecipato al consiglio dei ministri che doveva rinnovare l’incarico al governatore Visco. Perchè Renzi ha consumato un duro strappo con Gentiloni e Mattarella su Visco? Ne abbiamo parlato oggi a Memos con il politologo Piero Ignazi e i giornalisti Gianni Dragoni (Sole 24 Ore) e Giorgio Meletti (Fatto Quotidiano).
Germania, l'ultimo giro alla cancelleria per Angela Merkel. Il suo partito, la Cdu, è arrivato primo alle elezioni di ieri, ma non ha vinto. Ora Merkel deve trattare con verdi e liberali per formare un govrno, dopo la rovinosa caduta della Spd che ha deciso di passare all'opposizione e chiudere con la “grande coalizione”. Ospiti: Angelo Bolaffi, filosofo della politica e germanista; e Piero Ignazi che insegna Politica comparata e Politica estera dei paesi europei all'Università di Bologna.
Germania, l’ultimo giro alla cancelleria per Angela Merkel. Il suo partito, la Cdu, è arrivato primo alle elezioni di ieri, ma non ha vinto. Ora Merkel deve trattare con verdi e liberali per formare un govrno, dopo la rovinosa caduta della Spd che ha deciso di passare all’opposizione e chiudere con la “grande coalizione”. Ospiti: Angelo Bolaffi, filosofo della politica e germanista; e Piero Ignazi che insegna Politica comparata e Politica estera dei paesi europei all’Università di Bologna.
Germania, l’ultimo giro alla cancelleria per Angela Merkel. Il suo partito, la Cdu, è arrivato primo alle elezioni di ieri, ma non ha vinto. Ora Merkel deve trattare con verdi e liberali per formare un govrno, dopo la rovinosa caduta della Spd che ha deciso di passare all’opposizione e chiudere con la “grande coalizione”. Ospiti: Angelo Bolaffi, filosofo della politica e germanista; e Piero Ignazi che insegna Politica comparata e Politica estera dei paesi europei all’Università di Bologna.
La partecipazione in Italia alle elezioni dei sindaci si riduce sempre di più. E il voto di ieri in oltre mille comuni lo conferma. L'affluenza ieri è stata complessivamente del 60,07 rispetto alle 66,85% di cinque anni fa. «E' così dal 1993, da quando fu introdotto l'attuale sistema elettorale nei comuni», ci dice Marco Valbruzzi, ricercatore dell'Istituto Cattaneo di Bologna. Valbruzzi ha raccontato a Memos i dati disaggregati della partecipazione al voto di ieri: l'affluenza cala in tutte le regioni, il calo è maggiore nelle regioni del nord rispetto al sud. Per i sindaci, in genere, la partecipazione al sud è maggiore rispetto al nord. L'Emilia Romagna è la regione dove ieri c'è stato il calo maggiore dell'affluenza (-10,99%), mentre la Liguria è quella in cui si è votato di meno (solo il 50,63%). Ospite oggi a Memos anche il politologo Piero Ignazi che ha analizzato il voto italiano: da quello per il M5S a quello per le coalizioni “tradizionali” (centrosinistra e centrodestra). ..Il professor Ignazi ha poi commentato alcuni dei dati emersi dal primo turno delle politiche francesi: l'affermazione del movimento En Marche! del presidente Macron e, soprattutto, il tracollo del partito socialista che, insieme all'insuccesso della France Insoumise di Melenchon, ha segnato il voto a sinistra.
La partecipazione in Italia alle elezioni dei sindaci si riduce sempre di più. E il voto di ieri in oltre mille comuni lo conferma. L’affluenza ieri è stata complessivamente del 60,07 rispetto alle 66,85% di cinque anni fa. «E’ così dal 1993, da quando fu introdotto l’attuale sistema elettorale nei comuni», ci dice Marco Valbruzzi, ricercatore dell’Istituto Cattaneo di Bologna. Valbruzzi ha raccontato a Memos i dati disaggregati della partecipazione al voto di ieri: l’affluenza cala in tutte le regioni, il calo è maggiore nelle regioni del nord rispetto al sud. Per i sindaci, in genere, la partecipazione al sud è maggiore rispetto al nord. L’Emilia Romagna è la regione dove ieri c’è stato il calo maggiore dell’affluenza (-10,99%), mentre la Liguria è quella in cui si è votato di meno (solo il 50,63%). Ospite oggi a Memos anche il politologo Piero Ignazi che ha analizzato il voto italiano: da quello per il M5S a quello per le coalizioni “tradizionali” (centrosinistra e centrodestra). ..Il professor Ignazi ha poi commentato alcuni dei dati emersi dal primo turno delle politiche francesi: l’affermazione del movimento En Marche! del presidente Macron e, soprattutto, il tracollo del partito socialista che, insieme all’insuccesso della France Insoumise di Melenchon, ha segnato il voto a sinistra.
La partecipazione in Italia alle elezioni dei sindaci si riduce sempre di più. E il voto di ieri in oltre mille comuni lo conferma. L’affluenza ieri è stata complessivamente del 60,07 rispetto alle 66,85% di cinque anni fa. «E’ così dal 1993, da quando fu introdotto l’attuale sistema elettorale nei comuni», ci dice Marco Valbruzzi, ricercatore dell’Istituto Cattaneo di Bologna. Valbruzzi ha raccontato a Memos i dati disaggregati della partecipazione al voto di ieri: l’affluenza cala in tutte le regioni, il calo è maggiore nelle regioni del nord rispetto al sud. Per i sindaci, in genere, la partecipazione al sud è maggiore rispetto al nord. L’Emilia Romagna è la regione dove ieri c’è stato il calo maggiore dell’affluenza (-10,99%), mentre la Liguria è quella in cui si è votato di meno (solo il 50,63%). Ospite oggi a Memos anche il politologo Piero Ignazi che ha analizzato il voto italiano: da quello per il M5S a quello per le coalizioni “tradizionali” (centrosinistra e centrodestra). ..Il professor Ignazi ha poi commentato alcuni dei dati emersi dal primo turno delle politiche francesi: l’affermazione del movimento En Marche! del presidente Macron e, soprattutto, il tracollo del partito socialista che, insieme all’insuccesso della France Insoumise di Melenchon, ha segnato il voto a sinistra.
con: LUIGI DI MAIO (M5s), PIERO IGNAZI (politologo)
Domani a Washington il giuramento di Donald Trump, il nuovo presidente degli Stati Uniti. Dopodomani a Coblenza in Germania, il vertice dei leader delle destre xenofobe e nazionaliste europee: ci saranno la francese Marine Le Pen, la tedesca Frauke Petry, l'olandese Geert Wilders e il leghista Salvini. Due eventi lontani, quasi contemporanei. Cosa li tiene insieme? Cosa c'è in comune tra i leader della destra estrema europea e Trump? A Memos risponde Piero Ignazi, professore di politica comparata all'Università di Bologna. Come cambieranno le relazioni economiche internazionali con l'arrivo Trump? Quale sarà il ruolo dell'Europa? Lo storico Giuseppe Berta a Memos racconta come Trump cercherà di costruire un nuovo asse economico tra Stati Uniti, Russia e Gran Bretagna.
Domani a Washington il giuramento di Donald Trump, il nuovo presidente degli Stati Uniti. Dopodomani a Coblenza in Germania, il vertice dei leader delle destre xenofobe e nazionaliste europee: ci saranno la francese Marine Le Pen, la tedesca Frauke Petry, l’olandese Geert Wilders e il leghista Salvini. Due eventi lontani, quasi contemporanei. Cosa li tiene insieme? Cosa c’è in comune tra i leader della destra estrema europea e Trump? A Memos risponde Piero Ignazi, professore di politica comparata all’Università di Bologna. Come cambieranno le relazioni economiche internazionali con l’arrivo Trump? Quale sarà il ruolo dell’Europa? Lo storico Giuseppe Berta a Memos racconta come Trump cercherà di costruire un nuovo asse economico tra Stati Uniti, Russia e Gran Bretagna.
Domani a Washington il giuramento di Donald Trump, il nuovo presidente degli Stati Uniti. Dopodomani a Coblenza in Germania, il vertice dei leader delle destre xenofobe e nazionaliste europee: ci saranno la francese Marine Le Pen, la tedesca Frauke Petry, l’olandese Geert Wilders e il leghista Salvini. Due eventi lontani, quasi contemporanei. Cosa li tiene insieme? Cosa c’è in comune tra i leader della destra estrema europea e Trump? A Memos risponde Piero Ignazi, professore di politica comparata all’Università di Bologna. Come cambieranno le relazioni economiche internazionali con l’arrivo Trump? Quale sarà il ruolo dell’Europa? Lo storico Giuseppe Berta a Memos racconta come Trump cercherà di costruire un nuovo asse economico tra Stati Uniti, Russia e Gran Bretagna.
con: MAURO CALISE (professore di Scienze Politiche all'Università Federico II di Napoli), PIERO IGNAZI (professore di Politica Comparata all'Università di Bologna), STEFANO FOLLI (editorialista de La Repubblica)
EFFETTO TRUMP SUL REFERENDUM, EFFETTO REFERENDUM SULLA SINISTRA. Due questioni che aleggiano e possono pesare, per i molti che ancora sono incerti su come votare, e se, al referendum del 4 dicembre. Ospiti: Alessandro Amadori, Piero Ignazi.
EFFETTO TRUMP SUL REFERENDUM, EFFETTO REFERENDUM SULLA SINISTRA. Due questioni che aleggiano e possono pesare, per i molti che ancora sono incerti su come votare, e se, al referendum del 4 dicembre. Ospiti: Alessandro Amadori, Piero Ignazi.
con: PIERO IGNAZI (docente di Politica Comparata e Sistema Politico dell'Unione Europea all'Università di Bologna), GIOVANNI ORSINA (professore di Storia Contemporanea alla Luiss Guido Carli di Roma)
con: STEFANO PARISI (promotore convention Energie PER l'Italia), PIERO IGNAZI (professore di Politica Comparata all'Università Alma Mater Studiorum di Bologna)
Qual è la posta in gioco alle prossime elezioni comunali del 5 giugno? A destra vincerà la linea di Salvini o quella di Berlusconi? A sinistra, dopo le alleanze “larghe” del 2011, come andrà a finire tra i candidati omogenei alla segreteria renziana del Pd e quelli che vi si oppongono o giocano partite autonome? ..E il M5S? «Roma sarà decisiva per dire chi guiderà la destra e quale rapporto questa destra avrà con il Pd e con il M5S», racconta a Memos Piero Ignazi, professore ordinario di Scienza politica all'Università di Bologna. «Il voto a Roma, Milano e Napoli – sostiene Ignazi – può essere interpretato come un voto pro o contro Renzi. Non direi la stessa per Bologna e per Torino». Infine, Ignazi propone due considerazioni particolari per Napoli e per Milano. ..«Napoli – dice il politologo bolognese - rappresenta un suicidio politico per il Pd, con la scelta di non candidare Bassolino. Una scelta fatta per ragioni ideologiche o di fedeltà al capo (Renzi, ndr)». ..Quanto a Milano il professor Ignazi esprime un rammarico per come è finita l'esperienza Pisapia. «Non è riuscita a diventare – dice – un'esperienza nazionale. Il caso milanese poteva essere una sfida interessante non solo per il mondo della sinistra fuori dal Pd, ma anche per il partito democratico stesso».
Qual è la posta in gioco alle prossime elezioni comunali del 5 giugno? A destra vincerà la linea di Salvini o quella di Berlusconi? A sinistra, dopo le alleanze “larghe” del 2011, come andrà a finire tra i candidati omogenei alla segreteria renziana del Pd e quelli che vi si oppongono o giocano partite autonome? ..E il M5S? «Roma sarà decisiva per dire chi guiderà la destra e quale rapporto questa destra avrà con il Pd e con il M5S», racconta a Memos Piero Ignazi, professore ordinario di Scienza politica all'Università di Bologna. «Il voto a Roma, Milano e Napoli – sostiene Ignazi – può essere interpretato come un voto pro o contro Renzi. Non direi la stessa per Bologna e per Torino». Infine, Ignazi propone due considerazioni particolari per Napoli e per Milano. ..«Napoli – dice il politologo bolognese - rappresenta un suicidio politico per il Pd, con la scelta di non candidare Bassolino. Una scelta fatta per ragioni ideologiche o di fedeltà al capo (Renzi, ndr)». ..Quanto a Milano il professor Ignazi esprime un rammarico per come è finita l'esperienza Pisapia. «Non è riuscita a diventare – dice – un'esperienza nazionale. Il caso milanese poteva essere una sfida interessante non solo per il mondo della sinistra fuori dal Pd, ma anche per il partito democratico stesso».
Qual è la posta in gioco alle prossime elezioni comunali del 5 giugno? A destra vincerà la linea di Salvini o quella di Berlusconi? A sinistra, dopo le alleanze “larghe” del 2011, come andrà a finire tra i candidati omogenei alla segreteria renziana del Pd e quelli che vi si oppongono o giocano partite autonome? ..E il M5S? «Roma sarà decisiva per dire chi guiderà la destra e quale rapporto questa destra avrà con il Pd e con il M5S», racconta a Memos Piero Ignazi, professore ordinario di Scienza politica all'Università di Bologna. «Il voto a Roma, Milano e Napoli – sostiene Ignazi – può essere interpretato come un voto pro o contro Renzi. Non direi la stessa per Bologna e per Torino». Infine, Ignazi propone due considerazioni particolari per Napoli e per Milano. ..«Napoli – dice il politologo bolognese - rappresenta un suicidio politico per il Pd, con la scelta di non candidare Bassolino. Una scelta fatta per ragioni ideologiche o di fedeltà al capo (Renzi, ndr)». ..Quanto a Milano il professor Ignazi esprime un rammarico per come è finita l'esperienza Pisapia. «Non è riuscita a diventare – dice – un'esperienza nazionale. Il caso milanese poteva essere una sfida interessante non solo per il mondo della sinistra fuori dal Pd, ma anche per il partito democratico stesso».
Conduce Giancarlo Loquenzi,scheda di Valeria D'Onofrio.Ospiti:On.Brando Benifei (eurodeputato più giovane del gruppo dei socialisti e democratici),Piero Ignazi (politologo,docente di scienza politica Università Bologna)
Conduce Giancarlo Loquenzi.Ospiti:On.Brando Benifei (eurodeputato più giovane del gruppo dei socialisti e democratici),Piero Ignazi (politologo,docente di scienza politica Università Bologna),ascoltatori.
con: Debora Serracchiani vicesegretario PD, Piero Ignazi docente di politica comparata Università di Bologna
Ospite il politologo Piero Ignazi e i nostri inviati a Roma Luigi Ambrosio e Federico Bogazzi. In studio: Massimo Bacchetta
Ospite il politologo Piero Ignazi e i nostri inviati a Roma Luigi Ambrosio e Federico Bogazzi. In studio: Massimo Bacchetta
Ospite il politologo Piero Ignazi e i nostri inviati a Roma Luigi Ambrosio e Federico Bogazzi. In studio: Massimo Bacchetta
con: il professore Piero Ignazi, l'onorevole Fabio Rampelli, l'europarlamentare Lara Comi, il direttore di Demopolis Pietro Vento, il segretario della LegaNord Matteo Salvini, l'onorevole Gianfranco Fini
L'impronta del governo tedesco sulla nuova Commissione europea. Oggi il sì del Parlamento di Strasburgo ai nuovi commissari. "Il presidente Juncker è un mediatore, è filoeuropeo, farà di sicuro meglio dell'uscente Barroso", sostiene Piero Ignazi, politologo dell'Università di Bologna. Ma l'austerità resta il profilo prevalente della nuova Commissione. "Il governo di Berlino è forte della potenza economica della Germania - dice Ignazi - la cancelliera Merkel non ha dei meriti propri, anzi è un politico di basso profilo, capace solo di conservare lo status quo". Le alternative? "Troppo labili - per Ignazi - le speranze legate alla Spd tedesca o alla Francia di Hollande, anche se da Parigi possono arrivare sorprese". Renzi e Tsipras? "L'Italia resta un paese debole, la Grecia è irrilevante perchè economicamente sfasciato. Entrambi non possono essere perni di un'alternativa", conclude Ignazi.
L'impronta del governo tedesco sulla nuova Commissione europea. Oggi il sì del Parlamento di Strasburgo ai nuovi commissari. "Il presidente Juncker è un mediatore, è filoeuropeo, farà di sicuro meglio dell'uscente Barroso", sostiene Piero Ignazi, politologo dell'Università di Bologna. Ma l'austerità resta il profilo prevalente della nuova Commissione. "Il governo di Berlino è forte della potenza economica della Germania - dice Ignazi - la cancelliera Merkel non ha dei meriti propri, anzi è un politico di basso profilo, capace solo di conservare lo status quo". Le alternative? "Troppo labili - per Ignazi - le speranze legate alla Spd tedesca o alla Francia di Hollande, anche se da Parigi possono arrivare sorprese". Renzi e Tsipras? "L'Italia resta un paese debole, la Grecia è irrilevante perchè economicamente sfasciato. Entrambi non possono essere perni di un'alternativa", conclude Ignazi.
L'impronta del governo tedesco sulla nuova Commissione europea. Oggi il sì del Parlamento di Strasburgo ai nuovi commissari. "Il presidente Juncker è un mediatore, è filoeuropeo, farà di sicuro meglio dell'uscente Barroso", sostiene Piero Ignazi, politologo dell'Università di Bologna. Ma l'austerità resta il profilo prevalente della nuova Commissione. "Il governo di Berlino è forte della potenza economica della Germania - dice Ignazi - la cancelliera Merkel non ha dei meriti propri, anzi è un politico di basso profilo, capace solo di conservare lo status quo". Le alternative? "Troppo labili - per Ignazi - le speranze legate alla Spd tedesca o alla Francia di Hollande, anche se da Parigi possono arrivare sorprese". Renzi e Tsipras? "L'Italia resta un paese debole, la Grecia è irrilevante perchè economicamente sfasciato. Entrambi non possono essere perni di un'alternativa", conclude Ignazi.
Fabrizio Barca, Matteo Renzi e Sergio Staino presentano "La traversata", Feltrinelli editore. 8 ottobre 2013, Libreria Feltrinelli Firenze. "Questi giovani, queste donne, questi uomini che incontro ogni giorno vogliono ancora dare battaglia. Il Pd ha davanti una lunga marcia." Il libro: Fabrizio Barca è salito alla ribalta mediatica come ministro tecnico del governo Monti. Ma, conclusa questa esperienza, è iniziata per lui una nuova fase: ha preso la tessera del Partito democratico, ha elaborato un documento di intervento politico (la famosa "Memoria", disponibile in Rete da aprile 2013) e ha iniziato un lungo viaggio in Italia, tra circoli, convegni, fondazioni, per raccogliere suggerimenti, critiche, spunti di riflessione. Questo libro è il tentativo di elaborare una sintesi di tutto il lavoro fatto fin qui. In una lunga intervista a Stefano Feltri, Barca racconta le sue proposte ma anche la sua storia personale. Viene poi presentata, in una versione aggiornata (in particolare sulla questione dell'identità della sinistra), la sua "Memoria" scritta a conclusione dell'esperienza di governo: una riflessione su quello che non va nel sistema dei partiti italiani, e la proposta di una visione politica, apertamente "di sinistra", del Pd. Due capitoli tentano di dare conto, in maniera necessariamente parziale, del dibattito scaturito dalle tesi della "Memoria", sia tra esperti e politologi (appaiono qui contributi originali di Piero Ignazi, Salvatore Biasco e altri), ma anche tra iscritti, simpatizzanti, curiosi che hanno potuto discutere con Barca nelle varie tappe del suo percorso sul territorio: dalla sede di via dei Giubbonari a Roma, a cui Barca è iscritto, a Milano, da Torino e Saluzzo a Bari e Maglie, da Figline Valdarno a Montebelluna. A conclusione del libro, Barca ritorna sui punti qualificanti della sua proposta, lavorando a una sintesi dei multiformi stimoli venuti dal viaggio e delle sue proposte originali, in vista di una ripresa della discussione a partire dall'autunno del 2013. Perché solo dalla discussione e dalla messa in comune dei saperi senza tentazioni personalistiche può scaturire una nuova cultura politica che trasformi il Pd da com'è oggi a come serve che sia. http://www.feltrinellieditore.it/opera/opera/la-traversata/