POPULARITY
C dans l'air du 8 juin : LES EXPERTS - DAMIEN DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice, Le Parisien - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef du service politique - Marianne - DRISS AÏT YOUSSEF - Docteur en droit public - Spécialiste des questions de sécurité Une attaque épouvantable au couteau a eu lieu ce jeudi matin dans une aire de jeu dans le grand parc qui borde le lac d'Annecy. Deux adultes et quatre enfants de moins de trois ans ont été blessés, certains se trouvent en urgence absolue, selon un bilan provisoire. L'agresseur présumé a été rapidement interpellé par les forces de l'ordre. Il s'agit d'un homme de nationalité syrienne, avec le statut de réfugié en Suède depuis dix ans. Inconnu des services de police, il est entré légalement en France. La justice a ouvert une enquête pour tentative d'assassinat. "Il n'y a pas d'éléments qui pourraient laisser entendre une motivation terroriste" à ce stade, a fait savoir la procureure de la République d'Annecy, lors d'une conférence de presse. Une cellule d'information a été mise en place par la préfecture de Haute-Savoie : 04 50 33 61 33. Emmanuel Macron a dénoncé ce midi une "attaque d'une lâcheté absolue". "La Nation est sous le choc", a déclaré le chef de l'État. La Première ministre Elisabeth Borne et Gérald Darmanin se sont rendus sur place pour exprimer "tout le soutien de la nation" . A l'Assemblée nationale, une minute de silence a été observée en fin de matinée à la demande de la présidente Yaël Braun-Pivet "pour eux, pour leurs familles", après cette "attaque gravissime". Pour le secrétaire national du Parti communiste français Fabien Roussel, "aucun mot ne peut qualifier une telle horreur". "Comment est-ce possible ? Attaquer des petits ! Les frapper avec un couteau ! Notre cœur est en miette à devoir le vivre. Aux enfants notre affection douloureuse. Aux parents toute notre compassion affligée", a lancé le chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon. "Toutes nos pensées pour ces enfants qui luttent pour leur survie et pour leurs familles", a aussi écrit le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure. Le président du parti Les Républicains Eric Ciotti a fait part, de son côté, de son "immense émotion et de sa grande colère" après cette attaque décrite par son ami Laurent Wauquiez, président LR de la région Auvergne-Rhône-Alpes, comme "le sommet de l'abomination". Le député d'Eure-et-Loir et président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, Olivier Marleix, a dénoncé, sur twitter : "l'immigration massive incontrôlée tue. Plutôt que de nous lamenter à chaque nouveau crime, mettons enfin un coup d'arrêt à l'immigration de masse !". "Après le drame d'Annecy, c'est toute notre politique migratoire, et un certain nombre de règles européennes, qu'il faut remettre en cause. On doit se donner les moyens d'agir et de reprendre le contrôle d'une situation qui échappe au gouvernement. Ce débat est urgent " a estimé le président du Rassemblement national, Jordan Bardella. Depuis Annecy, cet après-midi, la Première ministre a appelé à ce qu'il n'y ait pas d'emballement alors que l'enquête ne fait que débuter. "Aujourd'hui c'est le temps de l'émotion" a affirmé Elisabeth Borne. Un drame qui n'a pas fini de faire réagir et a relancé le débat à droite à l'extrême droite sur l'immigration, alors que le gouvernement prépare un projet de loi sur le sujet pour l'automne et que les négociations avec LR ont débuté depuis plusieurs semaines. Alors que s'est-il passé ce matin à Annecy ? Que sait-on du profil de l'agresseur présumé ? Que veut faire le gouvernement avec le prochain projet de loi immigration ? Où en sont les discussions avec Les Républicains ? Enfin Emmanuel Macron réagissant ces derniers jours à une série de faits-divers successifs, avait déclaré : "il faut être intraitable sur le fond. Aucune violence n'est légitime. Il faut travailler en profondeur pour contrer ce processus de décivilisation." Que voulait dire le chef de l'Etat ? D'où vient le terme "décivilisation" utilisé par le président de la République ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 29 mai - Immigration : le nouveau sujet brûlant du gouvernement LES EXPERTS : - CARL MEEUS - Rédacteur en chef - « Le Figaro Magazine » - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra - ASTRID DE VILLAINES - Cheffe du service politique - « Huffington Post » - JEAN GARRIGUES - Historien, président du Comité d'histoire parlementaire et politique Un nouveau casse-tête pour le gouvernement. Comment faire adopter son projet de loi immigration sans majorité à l'assemblée ? Et sans passer par un 49.3 ? La seule solution semble être le compromis avec les Républicains. Dans une interview donnée ce week-end au Parisien, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a tendu la main aux LR, « travaillons ensemble », leur a-t-il répondu, alors qu'ils l'avaient interpellé il y a quelques jours dans le JDD. Ils y avaient notamment dévoilé leur plan pour limiter le nombre d'immigrés, en spécifiant leur refus de régulariser certains sans-papiers dans les métiers en tension, comme dans le BTP ou la restauration. « Le texte immigration ne peut pas être du 100% LR », indique l'entourage de Darmanin. « Chacun doit faire un pas » estime pour sa part le ministre de l'Intérieur. Le gouvernement n'a donc pas l'intention de laisser entièrement la main aux Républicains sur ce sujet hautement sensible. Éric Ciotti et ses troupes ont notamment suggéré la possibilité d'un référendum sur la politique migratoire, ou encore le rétablissement du délit de séjour clandestin et l'inscription de « l'assimilation » dans la Constitution. Eric Ciotti veut aussi mettre dans la constitution l'impossibilité de s'opposer à une OQTF (obligation de quitter la France). Il dénonce le « manque de volonté » de l'Etat sur ce sujet alors que le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, a avoué que les OQTF ne peuvent pas toujours être exécutée. Enfin, la question des retraites est toujours dans les esprits. Dans son discours au festival de Cannes, la lauréate française de la Palme d'or, Justine Triet, a dénoncé la « façon choquante » dont a été « niée et réprimée » la contestation sociale. Alors qu'une nouvelle mobilisation intersyndicale est prévue le 6 juin, et que sera débattu deux jours plus tard un projet de loi LIOT pour revenir sur l'âge de départ à la retraite, cette réforme cristallise toujours le débat public. Alors, le gouvernement peut-il trouver un accord sur la loi immigration avec les Républicains ? Que peut faire l'Etat pour mieux exécuter les OQTF ? Le projet de loi du groupe LIOT sur l'âge de départ à la retraite peut-il être voté ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - Bruno Duvic REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:10:25 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes, président des Républicains, est l'invité de 7h50.
durée : 02:28:34 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes, président des Républicains, Gabriel Attal, ministre délégué chargé des Comptes publics, et Chris de Stoop, journaliste belge, auteure de Le Livre de Daniel (Globe), sont les invités de la matinale.
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
durée : 00:05:20 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Fabien Roussel, le communiste a rencontré Bernard Cazeneuve et d'après Tanguy, il est sous le charme ! Une bromance inattendue.
Il s'est démarqué de la ligne fixée par son parti, lors des débats sur la réforme des retraites. Fermement opposé au report de l'âge légal de départ à 64 ans, ou encore au dispositif des carrières longues, le député LR Aurélien Pradié a dénoncé un texte qu'il estimait « socialement injuste ».Une prise de position qui lui a valu d'être évincé de l'état-major des Républicains le 18 février par le président du parti Eric Ciotti. C'était avant qu'Aurélien Pradié ne décide de voter, contre l'avis du chef de la droite, la motion de censure déposée contre le gouvernement avec 18 autres députés de son groupe.Après avoir connu une ascension fulgurante, l'élu du Lot âgé de 37 ans divise de plus en plus au sein de son propre parti. Accusé par certains de mener sa propre barque, Aurélien Pradié assume de marquer sa différence, en portant des sujets sociétaux comme le handicap et les violences intrafamiliales, loin des thèmes de prédilection de sa famille politique. Pour Code source, Quentin Laurent et Alexandre Sulzer, journalistes au service politique du Parisien, retracent le parcours d'Aurélien Pradié. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Emma Jacob et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France TV, Public Sénat, Le Figaro, Europe 1. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:31 - Le héros du jour - par : Daniel Morin - Daniel décerne son titre de héros du jour à un homme qui prend une belle revanche sur la vie…
durée : 00:03:20 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Marlène Schiappa va donner une interview à Playboy. Daniel Morin imagine que ça donne des idées à d'autres... Et pourquoi pas Eric Ciotti dans 30 millions d'amis, ou Nicolas Demorand dans Biceps Mag ?
LES EXPERTS : Florentin COLLOMP Journaliste - Le Figaro, spécialiste Europe, ex-correspondant à Londres Catherine NORRIS-TRENT Journaliste britannique, grand reporter en charge des questions internationales – France 24 Sophie AURENCHE Rédactrice en chef – RTL Christian ROUDAUT Journaliste – ancien correspondant en Grande Bretagne pour Radio France See you later… Le roi Charles III et la reine consort Camilla ne viendront pas finalement en France comme prévu à partir de dimanche. En raison du contexte social tendu, et de l'annonce d'une nouvelle journée de mobilisation mardi prochain, Emmanuel Macron s'est finalement résolu à appeler son "ami" pour lui proposer de décaler sa visite. "Le bon sens et l'amitié nous conduisent à proposer un report" vers le "début de l'été", a expliqué le chef de l'Etat vendredi depuis Bruxelles, où il participait à un Conseil européen répondant à un journaliste britannique qui l'interrogeait sur "l'humiliation" infligée à l'Elysée. Le monarque britannique destinait à l'Hexagone sa première visite d'État à l'étranger en tant que souverain, de dimanche à mercredi. Au programme du couple royal figuraient notamment une cérémonie à l'Arc de Triomphe, un discours du souverain au Sénat et un déplacement à Bordeaux. Pour l'Elysée, la visite devait notablement permettre en scène le nouveau départ des relations franco-britanniques, illustré aussi par une récente visite à Paris du Premier ministre Rishi Sunak. S'exprimant le vendredi matin sur Cnews, Gérald Darmanin avait d'ailleurs affirmé que "nous serons prêts à accueillir dans d'excellentes conditions" le souverain britannique alors que plusieurs responsables politiques, notamment à gauche, avaient appelé Emmanuel Macron à annuler cette rencontre en raison de la colère sociale générée par la réforme des retraites. "Ce n'était pas le bon moment", avait souligné Jean-Luc Mélenchon, tandis que la députée écologiste Sandrine Rousseau s'était offusquée de cette décision "incroyable". Finalement la visite du monarque britannique est reportée et c'est à l'Allemagne que reviendra l'honneur d'accueillir le premier déplacement international du couple royal. Une annonce qui là encore a suscité de nombreuses réactions. "Quelle image pour notre pays de n'être même pas en capacité d'assurer la sécurité d'un chef d'Etat", a déploré le président des Républicains, Eric Ciotti, tandis que le secrétaire général du Parti Communiste, Fabien Roussel, s'est amusé qu'Emmanuel Macron ait, sur ce sujet au moins, "trouvé la marche arrière". Outre-Manche le palais de Buckingham a fait savoir que le roi Charles et Camilla se réjouissent d'aller en France "dès que des dates pourront être trouvées", mais la presse anglaise n'a pas laissé passer l'occasion d'égratigner la France et Emmanuel Macron. "Révolution", "chaos", "humiliation" peut-on lire ce samedi en Une des quotidiens britanniques. Pour autant le Royaume-Uni connaît aussi d'importants mouvements de grève depuis des mois sur fond de flambée des prix de l'alimentation et de l'énergie, devenue intenable pour des milliers de Britanniques. Sur les chaînes de télévision du pays, les représentants des salariés sont excédés. Des professeurs, des soignants, des cheminots, des postiers… Il y a des arrêts de travail qui perturbent parfois le quotidien mais pas de manifestations d'ampleur et aucune violence. Alors parmi les Britanniques certains se disent affligés de voir leur Roi contraint de reporter son voyage quand d'autres envient le système politique la France. Car si l'institution monarchique est encore largement populaire au Royaume-Uni – 62 % sont pour son maintien, selon un sondage publié en juin 2022 – mais son aura baisse d'année en année, notamment chez les jeunes. D'après cette même étude, seuls 33 % des 18-24 ans veulent ainsi préserver l'institution, contre 59 % en 2011. La cause de ce désamour grandissant : les scandales à répétition qui ont éclaboussé la couronne britannique. Parmi elles, les allégations de racisme visant la famille royale, de la part d'Harry et de son épouse Meghan Markle. Parallèlement en ces temps d'inflation record au Royaume-Uni, qui poussent des millions de Britannique à couper le chauffage et sauter des repas, plusieurs voix s'élèvent pour dénoncer une institution jugée trop coûteuse et archaïque. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS JÉRÔME JAFFRÉ Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF NATHALIE SCHUCK Grand reporter – « Le Point » CAROLINE MICHEL-AGUIRRE Grand reporter au service politique - « L'Obs » JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages Auteur de « La France sous nos yeux » Le dossier des retraites est loin d'être clos. Au lendemain de l'adoption du texte au Parlement, consécutivement au rejet des deux motions de censure à l'Assemblée nationale, l'Elysée a annoncé que le chef de l'Etat, jusqu'ici resté très silencieux, donnera une interview à TF1 et France 2 ce mercredi 22 mars à 13 heures, en direct. Cette annonce intervient alors que le président de la République va consulter tous azimuts ce mardi. Il a reçu ce matin la Première ministre qui a échappé de peu la veille à un renversement de son gouvernement, avec le rejet à neuf voix près d'une motion de censure transpartisane à l'Assemblée. "Je suis déterminée à continuer à porter les transformations nécessaires à notre pays", a assuré lundi soir Elisabeth Borne, conviée à l'Elysée avec plusieurs membres du gouvernement et les chefs de la majorité. Emmanuel Macron a ensuite déjeuné avec Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, présidents de l'Assemblée et du Sénat, avant une réunion en soirée avec les parlementaires du camp présidentiel. Si les motions de censure ont été rejetées, les oppositions réclament toujours la démission de la Première ministre et le retrait du texte. Elles comptent notamment sur des recours devant le Conseil constitutionnel et ont soumis une demande de référendum d'initiative partagée (RIP), dont les Sages doivent examiner la recevabilité. Les opposants à la réforme appellent également à poursuivre la mobilisation dans la rue : la prochaine journée de grèves et de manifestation à l'appel de l'intersyndicale est prévue ce jeudi 23 mars. Mais d'ici là les rassemblements et blocages se poursuivent partout dans le pays. Hier soir, des rassemblements et des défilés ont eu lieu une nouvelles fois dans plusieurs villes, en particulier dans la capitale. Des poubelles ont été renversées et brûlées, des barricades et des fumigènes ont marqué certains des rassemblements. Mais alors que 287 interpellations ont été recensées dans le pays dont 234 à Paris, plusieurs vidéos de cette soirée diffusées sur les réseaux sociaux mettent en cause les forces de l'ordre et soulèvent la question de la stratégie du maintien de l'ordre adoptée. L'une d'elles fait particulièrement réagir. Filmée à Paris, elle montre un homme auquel un policier administre un coup de poing. La personne tombe au sol, mise KO. Et le policier s'éloigne. La députée Raquel Garrido (LFI) a demandé sur Twitter au ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, d'arrêter le massacre. Son collègue Thomas Portes a fait part de sa "honte" de la police. Il a dénoncé par ailleurs le "silence radio" du ministre. Dans un communiqué, le Syndicat de la magistrature a déploré également la manière dont sont gérées les manifestations des derniers jours. "Des centaines d'interpellations et de mesures de garde à vue ont été décidées depuis jeudi dernier. La très grande majorité de ces mesures n'a reçu aucune suite judiciaire (à Paris, après la manifestation de jeudi place de la Concorde, sur 292 gardes à vue de manifestants, seules 9 ont donné lieu à des poursuites pénales)", écrit-il. "Nous avons vu ces scènes indignes d'une démocratie : des policiers exerçant des violences illégitimes contre des manifestants et des street medics (NDLR : des personnes effectuant des soins dans les manifestations), des interpellations collectives de manifestants enjoints de s'asseoir par dizaines à terre, mains sur la tête, des journalistes faisant leur métier menacés ou brutalisés", dénonce le syndicat. A l'opposé de ces prises de position, la préfecture de police de Paris a communiqué ce mardi matin sur sa satisfaction. Invité par la suite sur BFM TV, le préfet Laurent Nunez a justifié l'usage des nasses. Il a également indiqué que l'IGPN a été saisie dans l'affaire du coup de poing et que "toutes les investigations seront menées pour savoir si ce coup était adapté ou pas". Des images et une crise politique scrutées depuis plusieurs jours par la presse étrangère qui anticipe un avenir orageux pour les institutions françaises et une fin de mandat infernale pour Emmanuel Macron contre qui la "colère" est dirigée. Une colère, d'après le New York Times, qui "s'est intensifiée" après "le passage en force sur les réformes". Même tonalité dans le Süddeutsche Zeitung de Munich : "Le calme ne revient pas, la résistance ne s'arrête pas." Revenant sur le 49.3, le journal de Berlin Der Tagesspiegel évoque lui une "catastrophe politique". Quand en Espagne, où une autre réforme des retraites vient d'être validée mettant davantage à contribution les revenus les plus élevés et les entreprises, le quotidien madrilène El País estime que "le 49.3 menace d'empoisonner la vie politique et sociale pour des mois, sinon des années". "Macron s'est mis à dos la majorité du pays. Il a nourri la défiance envers les institutions et alimenté les accusations contre des dirigeants jugés déconnectés des réalités sociales." Alors comment gouverner après avoir échappé de neuf voix à la censure ? Que va-t-il se passer chez LR alors qu'un tiers des députés n'a pas suivi la ligne du parti édictée par Eric Ciotti ? Comment sortir de la crise politique ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol Fondation pour l'innovation politique NEILA LATROUS Cheffe adjointe du service politique - « France Info » VANESSA SCHNEIDER Grand reporter - « Le Monde » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Journée décisive ce lundi pour le gouvernement dont le destin est lié aux deux motions de censure examinées à partir de 16 heures à l'Assemblée nationale. Deux textes, l'un du Rassemblement national, l'autre transpartisan, déposé par le groupe centriste LIOT (Libertés, Indépendants, Outre-Mer et Territoires), voté par la Nupes, le RN mais aussi une partie des députés LR. De quoi donner des sueurs froides à l'exécutif… Le seuil à atteindre est 287 voix, la majorité absolue. Dans ce cas, la réforme des retraites serait rejetée et le gouvernement renversé. Les yeux sont donc aujourd'hui rivés sur les 61 députés LR qui détiennent les clés de ce scrutin. "Nous ne voterons aucune motion de censure. Nous ne voulons pas rajouter du chaos au chaos", a assuré le président du parti, Eric Ciotti, à l'issue d'une réunion du groupe LR. Mais lors de cet échange, ils ont été malgré tout douze députés à s'être exprimés en faveur d'une motion de censure et 31 contre. Plusieurs d'entre-deux, dont Aurélien Pradié, ont depuis confirmé vouloir voter la motion de censure déposée par le groupe LIOT, quand d'autres demeurent silencieux. Alors combien y aura-t-il de frondeurs chez LR ? Le déclenchement jeudi dernier de l'arme constitutionnelle du 49.3 par la Première ministre pour faire passer sans vote la réforme des retraites n'a fait qu'attiser la contestation dans le pays et ouvert une crise politique majeure. Depuis jeudi, des rassemblements organisés ou spontanés se déroulent sur tout le territoire. Transports, énergie, école… les blocages se multiplient. En attendant une nouvelle journée d'actions le 23 mars à l'appel de l'ensemble des organisations syndicales, la grève se durcie dans les raffineries. Les syndicats ont affirmé ce lundi que d'ici à demain soir les sept raffineries de métropole seront totalement bloquées et dans les Bouches du Rhône de nombreuses stations-service sont déjà affectées par des pénuries de carburants. Les éboueurs poursuivent également leur mouvement à Paris, Rennes ou Nantes. Des arrêts de travail de surveillants étaient également redoutés dans les lycées, pour la première journée des épreuves de spécialité du bac 2023 et des surveillants supplémentaires ont été convoqués par le ministère de l'Education. Face à la colère exprimée, Emmanuel Macron a souhaité dimanche dans un communiqué que la réforme "puisse aller au bout de son cheminement démocratique dans le respect de tous". Le président de la République a également indiqué que tout est fait pour protéger les parlementaires qui soutiennent la réforme et dont les permanences sont parfois vandalisées. Ce qui fut le cas de celle d'Éric Ciotti, caillassée ce week-end à Nice. De plus en plus d'élus font également remonter les "pressions" qu'ils subissent de la part de leurs électeurs mais aussi de l'exécutif. Les députés de La France insoumise ont demandé ce lundi la création d'une commission d'enquête sur d'éventuelles "pressions" ou promesses de l'exécutif envers des parlementaires pour s'assurer de leur soutien à la réforme des retraites. Alors, pourquoi l'exécutif a-t-il choisi de recourir au 49.3 ? Quelles en seront les conséquences politiques ? Combien de Républicains soutiendront la motion de censure de LIOT ? Comment sortir de la crise politique ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:05:13 - Le journal de presque 17h17 - Le Sénat a adopté l'article 7 du projet de loi sur les retraites, Mardi, Eric Dupont-Moretti a fait trois bras d'honneur dans l'hémicycle de l'Assemblée Nationale, Eric Ciotti le Président des Républicains a déclaré à la presse : “Le féminisme est d'abord de droite" c'est l'actu du jour !
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 17 février 2023
EXPERTS Pascal PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po - Auteur de « Le populisme » Nathalie SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » Astrid DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » - Auteure de « Les 7 péchés capitaux de la gauche » Bernard VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail - Spécialiste du dialogue social Après trois grandes journées de grève contre la réforme des retraites, les syndicats ont fait le choix d'organiser une manifestation ce samedi sans appeler à la grève. L'objectif est double : permettre que les personnes souhaitant se mobiliser puissent facilement rejoindre le cortège, mais également offrir la possibilité aux gens pour qui la grève coûterait trop cher de participer, eux aussi, à cette mobilisation dans la rue. Les trois premières journées d'action ont réuni entre 757 000 et 1,27 million de personnes selon les autorités, entre « près de deux millions » et « plus de 2,5 millions » selon l'intersyndicale. Pour l'heure, cela n'a pas infléchi le choix de l'exécutif, qui tient sur la mesure clé de la réforme, le recul de l'âge légal de départ à 64 ans. La bataille autour de cette réforme a également lieu à l'Assemblée nationale, où l'examen du projet de loi se poursuit. Le premier article, qui prévoit la suppression des régimes spéciaux, a été adopté jeudi. Les débats sont houleux. Il ne se passe pas un jour sans son lot de polémiques et d'invectives. Hier, le député LFI-Nupes Thomas Portes a été exclu pour 15 jours après un tweet litigieux le présentant le pied sur un ballon à l'effigie d'Olivier Dussopt, ministre en charge de la réforme. La France Insoumise explique y voir une manœuvre visant à priver d'une voix supplémentaire l'opposition. Au sein de l'opposition politique à l'Assemblée, c'est le groupe LR qui semble plus que jamais avoir en main le destin de la réforme. Le nouveau président du parti, Eric Ciotti, a assuré le gouvernement de son appui lors du vote à la Chambre. Ce soutien des Républicains est indispensable pour l'exécutif afin d'éviter d'avoir à recourir à l'article 49-3 pour faire adopter son texte. Seulement, plusieurs députés LR expliquent qu'en l'état ils ne voteront pas le texte. Plusieurs points justifient selon eux ce refus. La question des carrières longues, tout d'abord. Ce dispositif est censé permettre à ceux qui ont commencé à travailler avant 21 ans de partir plus tôt. Le député du Lot Aurélien Pradié a affirmé qu'il ne soutiendra la réforme qu'à la condition de réduire de 5 à 1 le nombre de trimestres nécessaires pour y être éligible. Mais la question de la pénibilité au travail est également au cœur des débats. Car si le gouvernement assure que son projet permettra d'« améliorer la prise en compte de la pénibilité », les syndicats estiment qu'elle est encore loin d'être reconnue, et même que les dispositifs existants ont été affaiblis depuis l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron en 2017. Dans la rue, les cortèges d'opposants à la réforme sont fournis, et pas uniquement dans les grandes métropoles. Le mouvement social est en effet marqué par une forte mobilisation dans les petites et moyennes communes. C'est même l'un de ses grands succès. À Alès, dans le Gard, malgré une moindre mobilisation mardi dernier, on comptait quand même 4 500 participants. C'est important pour une commune d'un peu plus de 40 000 habitants. Dans cette France des sous-préfectures, frappée par la désindustrialisation, beaucoup manifestent pour la première fois. Si tous sont préoccupés par la réforme des retraites, le climat économique ambiant, marqué par la forte inflation, est également dans tous les esprits. Qui du mouvement social ou de l'exécutif est le mieux armé pour remporter ce bras de fer ? Le gouvernement peut-il éviter le recours au 49-3 pour faire adopter sa réforme ? La mobilisation des petites et moyennes communes est-elle la clé du succès pour le mouvement social ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce mardi 7 février, Laurent Gerra a notamment imité Olivier Véran, Eric Ciotti et Bruno Le Maire.
durée : 00:03:30 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - L'examen de la réforme des retraite a commencé à l'Assemblée nationale. Un bordel ! Daniel Morin imagine une baston géante dans l'hémicycle. Eric Ciotti encerclé par des députés de la NUPES...
Avec Alexis Cuvillier, qui enquête pour déterminer combien de députés LR pourraient manquer à l'appel pour voter la réforme des retraites, comme le souhaite le nouveau président du parti Eric Ciotti. 5 ? 10 ? Plus de 20? C'est le vote de la réforme qui en dépend. Sans une majorité des députés LR, le gouvernement n'aura pas le nombre de voix suffisantes pour faire adopter le texte sans 49-3.
EXPERTS GAËLLE MACKE Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos MATHIEU PLANE Économiste Directeur adjoint du Département Analyse et Prévision – OFCE La réforme des retraites enfin dévoilée. La Première ministre Elisabeth Borne en détaillera les contours en fin d'après-midi lors d'une conférence de presse. Elle sera ensuite l'invitée du 20 Heures de France 2, puis de la chaîne franceinfo, où elle répondra aux questions d'internautes et de téléspectateurs. Mais on sait déjà qu'il faudra, avec cette sixième réforme des retraites en trente ans, travailler plus longtemps, sans doute jusqu'à 64 ans au lieu de 62 actuellement et que certains, qui ont commencé à travailler tôt ou ont des métiers pénibles, pourraient faire valoir leur droit avant. D'autre part, ce report devrait également être associé à une accélération de l'allongement de la durée de cotisation, qui passerait à 43 ans pour bénéficier d'une retraite à taux plein, bien avant donc l'année 2035 fixée par la précédente réforme Touraine. L'exécutif espère ainsi réduire les dépenses à l'horizon 2030. Opposés à cette réforme des retraites, tous les syndicats ont déjà prévu de se réunir ce soir pour annoncer la date de leur première journée d'action. Un front syndical inédit depuis douze ans dont la solidité sera l'une des principales inconnues de la bataille qui s'annonce. Mais pour l'heure, à défaut de convaincre les organisations syndicales, le gouvernement espère rallier les élus des Républicains, ce qui lui permettrait de la faire adopter sans recourir à l'arme constitutionnelle du 49.3. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, Eric Ciotti s'est dit prêt à « voter une réforme juste » qui s'étalerait « sur deux quinquennats », avec un relèvement de l'âge légal de départ à 63 ans en 2027, puis 64 ans en 2032. Le patron de LR y réclame également que le minimum retraite à 1 200 euros programmé par l'exécutif s'applique « de façon rétroactive aux retraités actuels qui bénéficient des pensions les plus modestes », et non aux seuls nouveaux entrants. A gauche, à l'inverse, toutes les composantes de la Nupes dénoncent le projet du gouvernement. La France insoumise souhaite, en outre, présenter un « contre-projet complet ». « Nous n'avons pas besoin de faire travailler les gens plus longtemps », a insisté ce mardi sur franceinfo Mathilde Panot, la présidente du groupe à l'Assemblée nationale. (...) Au contraire, on pourrait aller vers une civilisation du temps libéré où on travaille moins, dans la semaine, l'année, avec la sixième semaine de congés payés et dans la vie, avec la retraite à 60 ans. » Le secrétaire national du Parti communiste français, Fabien Roussel, a de son côté estimé que « rien ne justifie d'augmenter l'âge de départ en retraite. Nous voulons un grand débat parlementaire... et sans 49.3 au bout s'il vous plaît ». Selon lui, « cette réforme va entraîner le pays dans une crise profonde ». « Il faut ouvrir une nouvelle séquence, entamer la mobilisation contre le recul de l'âge légal de départ à la retraite » avait également lancé ces derniers jours le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, garantissant l'unité de la gauche face à ces propositions du gouvernement. Après cette journée, le texte sera présenté en Conseil des ministres le 23 janvier. Les syndicats envisageraient de se mobiliser autour de cette date. La Nupes devrait tenir des meetings les 10 et 17 janvier, tandis que les organisations de jeunesse, soutenues par LFI, manifesteront le 21. Selon un dernier sondage Ipsos, 79 % des Français seraient opposés au report de l'âge légal de départ à la retraite. Alors travailler jusqu'à quel âge ? Que prévoit la réforme des retraites du gouvernement ? Qui pourra partir plus tôt ? Et quel sera le niveau des pensions ? D'ores et déjà, si certains choisissent de garder une activité pour rester au contact de la société, de plus en plus de retraités sont contraints de travailler pour compléter une pension trop faible pour vivre. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:03:40 - Le journal de presque 17h17 - Eric Ciotti s'est dit prêt à voter une réforme des retraites juste, le gouvernement interdit la pratique de la chasse sous l'emprise de l'alcool et de la drogue, et jeudi aura lieu le premier tour de l'élection du Premier Secrétaire du PS, c'est l'actu du jour !
Ce jeudi 5 janvier, Laurent Gerra a notamment imité Philippe Martinez, Eric Ciotti, Lambert Wilson et Alain Finkielkraut.
Elisabeth Borne reçoit mercredi 21 décembre Eric Ciotti, le nouveau patron de LR. Elle espère le convaincre de voter la réforme des retraites, elle y joue probablement son avenir à Matignon selon Marie-Bénédicte Allaire.
Le dimanche 11 décembre, Eric Ciotti est élu président du parti Les Républicains.A 57 ans, cet ancien homme de l'ombre prend sa revanche, après avoir longtemps été le bras droit du maire de Nice, Christian Estrosi, devenu l'un de ses principaux adversaires.Élu député des Alpes-Maritimes pour la première fois en 2007, Eric Ciotti se fait remarquer par des propositions radicales et très marquées à droite, notamment sur la sécurité et l'immigration. Il prend peu à peu de l'importance au sein du parti LR et en 2021, il se présente à la primaire de la droite, face à Valérie Pécresse, Xavier Bertrand ou encore Michel Barnier. Il est battu par Valérie Pécresse au deuxième tour mais en décembre 2022, il remporte la présidence de LR face à Bruno Retailleau et Aurélien Pradié.Code source retrace le parcours d'Eric Ciotti avec Quentin Laurent et Alexandre Sulzer, journalistes au service politique du Parisien, en charge de la droite.Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Thibault Lambert et Emma Jacob - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : TF1, France info, LCI, BFM TV, RTL. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Kdysi nejvýznamnější strana francouzské politiky – Republikáni – volila nového předsedu. Eric Ciotti, který zvítězil s 53 procenty, slíbil sjednotit stranu kolem hodnot „práce, autority a identity“. Problém ale tkví v tom, že už delší dobu není jasné, v čem vlastně identita této strany spočívá. Nový předseda svým programem totiž nápadně připomíná politickou rétoriku krajně pravicových politiků – Marine Le Penové a Erica Zemmoura.
Kdysi nejvýznamnější strana francouzské politiky – Republikáni – volila nového předsedu. Eric Ciotti, který zvítězil s 53 procenty, slíbil sjednotit stranu kolem hodnot „práce, autority a identity“. Problém ale tkví v tom, že už delší dobu není jasné, v čem vlastně identita této strany spočívá. Nový předseda svým programem totiž nápadně připomíná politickou rétoriku krajně pravicových politiků – Marine Le Penové a Erica Zemmoura.Všechny díly podcastu Názory a argumenty můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
The European parliament is rocked by corruption allegations. Plus: Peru's new president, Dina Boluarte, proposes early elections as protests in the country turn deadly and France's Les Républicains elect Eric Ciotti.
In den Bundesasylzentren Basel und Zürich gibt es neu externe, unabhängige Beschwerdestellen. Das zeigen Recherchen von Radio SRF. Asylsuchende, aber auch Mitarbeitende, können jetzt anonym Vorfälle melden. Der Bund reagiert damit auf Vorwürfe, in den Bundesasylzentren sei es zu Gewalt gekommen. Weitere Themen der Sendung: * Eskalieren die Spannungen zwischen Serbien und Kosovo? * Auf den Strassen Perus fordern Menschen die neue Regierung zum Rücktritt auf * Die französischen Konservativen wählen Eric Ciotti zum neuen Präsidenten * «Sports Awards» in Zürich vergeben
EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » NEILA LATROUS Cheffe adjointe du service politique – « France Info » NATHALIE MAURET Journaliste politique – Groupe de presse régionale « Ebra » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué – Institut de sondages Ipsos Alors qu'Emmanuel Macron, réélu en avril, ne pourra pas se représenter en 2027, du côté des partis, l'heure est déjà aux grandes manoeuvres. La plupart se préparent à cette échéance et changent d'organisation ou de dirigeants. Rien que ces derniers jours, quatre formations politiques ont changé de patron, à commencer par les deux principaux opposants à la majorité, le RN et LFI. Ainsi après Jordan Bardella, élu le 5 novembre dernier à la présidence du Rassemblement national, avec 85 % des voix des adhérents face au maire de Perpignan Louis Aliot, c'était au tour ce week-end de la France insoumise de dévoiler sa nouvelle direction autour de Manuel Bompard qui devrait être désigné prochainement à la tête de cette « coordination ». Plusieurs jeunes partisans de Jean-Luc Mélenchon comme Bastien Lachaud, Paul Vannier ou Antoine Léaument en font partie, mais ce n'est pas le cas de figures comme les députés Alexis Corbière, Clémentine Autain, François Ruffin ou encore Eric Coquerel. Un « repli » et un « verrouillage » « assumés de façon brutale » pour « fait taire toute critique » a dénoncé l'élue de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain dans Libération aujourd'hui. Le député de la Somme François Ruffin a lui parlé de « déni de démocratie ». Fustigeant une désignation « qui s'est faite au consensus d'un petit groupe qui s'est mis d'accord avec lui-même », il a indiqué qu'il allait réfléchir avec ses camarades sur une attitude commune. Toujours à gauche, les Verts ont, eux, élu ce week-end avec 90 % des voix une nouvelle secrétaire nationale : Marine Tondelier. Soutenue par les secrétaires nationaux sortants, Cécile Duflot, David Cormand et Julien Bayou, la nouvelle patronne d'EELV entend « refonder » le parti, qui « a trop souffert des individualismes » et qui doit changer de nom à l'été 2023. A droite, c'est Eric Ciotti qui l'a remporté chez les Républicains, avec 53 % des voix des adhérents face à Bruno Retailleau. Mais le résultat est plus serré que ce qu'il espérait pour valider sa stratégie pour l'élection présidentielle : supprimer la primaire et introniser Laurent Wauquiez candidat de la droite en 2027. Ce qui n'a d'ailleurs pas manqué d'être raillé par ses adversaires politiques. « On a demandé aux adhérents, non pas de désigner leur président, mais le directeur de campagne de Laurent Wauquiez », a ainsi commenté le patron de Renaissance Stéphane Séjourné. Plusieurs élus dont le maire de Metz François Grosdidier ont annoncé leur départ de LR. Pour aller où ? Renaissance et Horizons, deux partis qui soutiennent le président de la République, espèrent de nouveaux ralliements. De son côté, le chef de l'Etat a fait savoir ce lundi que la réforme des retraites qui devait être dévoilée le 15 décembre sera finalement présentée le 10 janvier 2023. Ce nouveau calendrier doit permettre aux nouveaux dirigeants des Républicains et d'Europe Ecologie Les Verts « d'échanger avec le gouvernement », a indiqué Emmanuel Macron en ouvrant la deuxième session plénière du Conseil national de la refondation (CNR) à l'Elysée. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Tous les samedis et dimanches soir, Pierre de Vilno reçoit des invités pour deux débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes à 19h30 et 19h44 pour décrypter l'actualité.
durée : 00:55:35 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour d'Olivier de Lagarde, les informés débattent de l'actualité du dimanche 11 décembre 2022.
durée : 00:06:19 - Eric Ciotti élu président des Républicains avec 53,7%. Les LR sont-ils morts ou peuvent-ils rebondir ?
durée : 00:02:58 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - L'élection du président LR va départager dimanche Bruno Retailleau et Eric Ciotti… et cette élection va beaucoup se jouer du côté de Nice…
durée : 00:02:58 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - L'élection du président LR va départager dimanche Bruno Retailleau et Eric Ciotti… et cette élection va beaucoup se jouer du côté de Nice…
POLITIQUE FRANÇAISE : LE GRAND THÉÂTRE DU POUVOIR CATHERINE NAY Journaliste politique Auteure de « Le grand théâtre du pouvoir : quarante ans de vie politique française » Catherine Nay publie “Le grand théâtre du pouvoir. Quarante ans de vie politique française”, aux éditions du Bouquin. Elle y raconte quarante années de la vie politique française et montre que “ceux qui se lançaient en politique optaient pour un chemin de vie”. Ce dimanche 4 décembre, les résultats du vote du premier tour des adhérents Les Républicains ont été communiqués. Eric Ciotti arrive en tête avec 42,73% des suffrages, et se retrouve face à Bruno Retailleau au second tour. De son côté, Aurélien Pradié est arrivé troisième avec 22,29 % des suffrages, soit 14.765 voix. Deux fois moins d'Éric Ciotti, “mais un quart des voix“, insistent ses soutiens. L'objectif est donc de récupérer les 14.765 voix qu'Aurélie Pradié a obtenues. Pour créer la surprise, Bruno Retailleau devra en rallier une large majorité, près de deux tiers. Un cadre LR en doute : "Cela sera très serré, mais Ciotti garde un avantage. Je vois mal une immense vague d'électeurs de Pradié aller avec enthousiasme chez Retailleau". Dans des propos rapportés par le Figaro, l'ancien chef de l'État Nicolas Sarkozy a appelé Emmanuel Macron à tendre la main aux députés LR et invite ces derniers à accepter un rapprochement. Mais aucun des deux finalistes, en course à la tête de la présidence des Républicains, n'entend faire une alliance avec le parti du Président. Eric Ciotti, à l'issue du scrution, a promis "Pas d'alliance avec le macronisme, une rupture", et Bruno Retailleau entend soumettre un référendum interne sur une alliance avec Emmanuel Macron. Catherine Nay reviendra sur ce qu'elle appelle "le grand théâtre du pouvoir" et sur l'ambiance politique du moment.
Cette saison, Arnaud Démanche fait le tour de l'actu avec les auditeurs RMC, au 3216. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions.
durée : 00:03:50 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Laurent Wauquiez officialise son soutien à Eric Ciotti, Elisabeth Borne utilise son septième 49.3, et Louis Alliot déclare qu'il n'ira plus à la FNAC tant que le jeu Antifa sera commercialisé, c'est l'actu du jour !
EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction - « Le Figaro » CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique - « Les Echos » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » Alors qu'Emmanuel Macron, en visite cette semaine aux Etats-Unis, s'en est pris au plan de lutte contre l'inflation passé par le président américain, jugé protectionniste, et a mis en garde contre le risque de « fragmenter l'Occident », en France la hausse de prix et la crise de l'énergie suscitent des inquiétudes mais aussi des tensions sociales. Depuis l'automne les revendications salariales se font entendre dans de nombreuses d'entreprises pour compenser l'inflation, et ce mois de décembre s'annonce agité sur le front social. Ainsi après une première mobilisation, les salariés de la RATP n'excluent plus une grève illimitée en décembre si leur nouveau patron, Jean Castex, ne répond pas à leurs attentes. A la SNCF, alors que s'ouvrent les négociations salariales annuelles, un premier mouvement des contrôleurs contraint la compagnie ferroviaire à annuler 60 % de ses TGV et Intercités de vendredi à dimanche, et d'autres grèves sont déjà prévues d'ici à la fin de l'année, y compris à Noël. Et cette colère s'exprime aussi dans le secteur de la santé où médecins généralistes et biologistes libéraux ont décidé de fermer cabinets et laboratoires ce jeudi et vendredi, les uns pour réclamer des hausses de tarifs, les autres pour éviter un « coup de rabot ». Dans ce climat social particulièrement tendu, et alors que le froid s'installe dans l'Hexagone, le gouvernement commence à préparer les entreprises et les habitants à des coupures de courant qui pourraient survenir dans le pays, compte tenu du manque de production nucléaire. Avec en ligne pour le moment, le mois de janvier qui - selon le gestionnaire du réseau de transport d'électricité RTE - présente un risque de tension « élevé », même en cas de « vague de froid modérée ». Mais l'exécutif est empêtré dans les affaires et dans la polémique sur le recours aux cabinets de conseil, notamment depuis l'ouverture de deux informations judiciaires visant les campagnes électorales de 2017 et 2022 du président. La première est ouverte des chefs de « tenue non conforme de comptes de campagne » et « minoration d'éléments comptables dans un contexte de campagne ». La justice soupçonne des salariés du cabinet de conseil McKinsey d'avoir travaillé bénévolement pour la campagne d'Emmanuel Macron en 2017. La seconde information judiciaire concerne des faits de « favoritisme ». À savoir la contrepartie du travail bénévole réalisé par les équipes de McKinsey. Depuis, le débat sur le recours dans les ministères à des cabinets de conseil est relancé. Si Bruno Le Maire a reconnu qu'il y a eu « des abus », Olivier Véran a assuré ne pas savoir « ce qu'est une dérive ou un abus ». De son côté le chef de l'Etat avait estimé vendredi dernier qu'il n'était pas au coeur de l'enquête du Parquet national financier et avait jugé « normal » que la justice fasse son travail. Par la suite, le président de la République s'en est allé aux États-Unis rendre visite à Joe Biden, mais l'actualité a continué de bruisser de ses démêlés avec le parquet national financier (PNF), ainsi que ceux de son secrétaire général à l'Élysée Alexis Kohler, mis en examen en septembre dernier pour « prise illégale d'intérêts » ou encore de la démission de sa ministre des Collectivités territoriales, Caroline Cayeux, après que la HATVP ait saisi la justice pour des soupçons d'« évaluation mensongère » de sa déclaration de patrimoine et de « fraude fiscale ». Du côté des Républicains qui s'apprêtent à élire un nouveau président, c'est l'affaire Gaël Perdriau qui secoue le parti. S'il n'est plus un membre de LR, il est toujours maire de Saint-Étienne. Eric Ciotti, Bruno Retailleau et Aurélien Pradié, les trois candidats à la tête de LR, ont appelé hier à sa démission après un dernier épisode révélé par Médiapart. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:03:50 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Laurent Wauquiez officialise son soutien à Eric Ciotti, Elisabeth Borne utilise son septième 49.3, et Louis Alliot déclare qu'il n'ira plus à la FNAC tant que le jeu Antifa sera commercialisé, c'est l'actu du jour !
durée : 00:03:50 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Laurent Wauquiez officialise son soutien à Eric Ciotti, Elisabeth Borne utilise son septième 49.3, et Louis Alliot déclare qu'il n'ira plus à la FNAC tant que le jeu Antifa sera commercialisé, c'est l'actu du jour !
Avec Alexis Cuvillier, qui suit Les Républicains pour BFMTV, retour sur une campagne interne pour la présidence qui n'a pas fait les gros titres des journaux. Eric Ciotti est donné favori : s'est-il recentré ? le soutien implicite de Laurent Wauquiez règle-t-il la question de la candidature en 2027 ?
Avec : Jérôme Marty, médecin généraliste. Mehdi Ghezzar, chef d'entreprise. Sarah Saldmann, avocate. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
durée : 00:03:25 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Au lendemain du débat des trois candidats à la présidence LR, Eric Ciotti est visé par une affaire judiciaire…
durée : 00:03:25 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Au lendemain du débat des trois candidats à la présidence LR, Eric Ciotti est visé par une affaire judiciaire…
Philippe Caverivière était face à Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et candidat à la présidence des Républicains. Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 20 octobre 2022.
Eric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes et candidat à la présidence du parti "Les Républicains", répond aux questions de Dimitri Pavlenko.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Ce 5 octobre, Laurent Gerra a imité Marine Le Pen, Céline Dion, Pascal Praud et Eric Ciotti.
EXPERTS Alain BAUER Professeur au CNAM Responsable du pôle sécurité, défense et renseignement Vanessa SCHNEIDER Grand reporter – « Le Monde » Audrey GOUTARD Cheffe de service enquête et reportage – « France Télévisions » Jérôme FOURQUET Directeur du pôle Opinion et Stratégies d'Entreprises – IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » 8.500 policiers et gendarmes supplémentaires en cinq ans. C'est l'annonce faîte hier par Elisabeth Borne en marge de l'inauguration d'un nouveau commissariat parisien. Un chiffre qui marque, et qui annonce surtout la future loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (Lopmi). Celle-ci doit donner plus de moyens pour faire face à la délinquance et à la criminalité. Le texte, présenté ce matin en Conseil des ministres dans une version resserrée, prévoit notamment 15 milliards d'euros supplémentaires de budget pour la sécurité des Français. Car la sécurité est une des principales inquiétudes de la population. Selon un sondage Elabe du 24 août, c'est la troisième priorités d'action pour le gouvernement aux yeux des Français, derrière le pouvoir d'achat et l'environnement. L'été a sans doute accentué ce sentiment grandissant d'insécurité, entre les épisodes de rodéos sauvages, de refus d'obtempérer et d'incivilités un peu partout sur le territoire. Gérald Darmanin s'est ainsi démultiplié ces dernières semaines, enchaînant propositions et déclarations polémiques. Le ministre de l'Intérieur a notamment associé immigration et délinquance et avancer l'idée d'un encadrement militaire pour les jeunes délinquants de Mayotte. Réalité ou ressenti sans fondement, l'insécurité est en tout cas de plus en plus abordée dans des villes qui, jusque là, ne faisait pas parler d'elles dans ce domaine. À Nantes, les riverains du centre-ville seraient aujourd'hui inquiet d'une détérioration de leur qualité de vie. La sixième ville de France ferait en effet face à de plus en plus de vols et d'agressions en pleine rue. Alors qu'à Angers, l'attaque mortelle au couteau de trois adolescents en juillet dernier est perçu comme le signe d'une ville moins sûre qu'auparavant. Si la sécurité n'est plus l'apanage des politiques de droite, elle reste la colonne vertébrale du logiciel des Républicains. C'est justement leur rentrée, sur fond de guerre de succession pour remplacer Christian Jacob à la tête du parti. Le congrès pour choisir le prochain dirigeant se tiendra le premier week-end de décembre. Trois candidats se sont déclarés : les très droitiers Eric Ciotti et Bruno Retailleau d'un côté, et le plus modéré Aurélien Pradié de l'autre, qui se présente comme une « alternative » pour « tout changer ». Alors, les annonces à venir du gouvernement suffiront-elles à endiguer le sentiment d'insécurité des Français ? Que peuvent les villes face à la délinquance ? Quel avenir pour les LR, et qui pour en devenir le nouveau chef ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Eric Ciotti, Député LR des Alpes-Maritimes, candidat à la présidence des Républicains Ecoutez L'invité de RTL avec Amandine Bégot du 06 septembre 2022
Tout l'été, retrouvez les best of des meilleures imitations de Laurent Gerra en podcast. Ce 11 juillet, Eric Ciotti, Nicolas Sakozy et Olivier Véran sont au programme...