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Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face Eric Ciotti, Gérald Darmanin ou encore Eric Zemmour... Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Marc-Antoine Le Bret s'amuse avec les voix de Emmanuel Macron, Eric Ciotti, Nicolas Sarkozy, Gilbert Montagné, Stéphane Bern et Patrick Sébastien. Le Bret King News avec Marc-Antoine Le Bret Ecoutez Le Bret King News du 10 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Eric Ciotti, président de l'Union des droites pour la République et député des Alpes-Maritimes, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la politique de Donald Trump, de la crainte sur l'épargne des Français, du risque de récession, des relations avec l'Algérie, de l'éventualité d'une motion de censure avec le Rassemblement national, de Gabriel Attal et de sa proposition de loi pour supprimer l'exécution provisoire d'une condamnation d'inéligibilité. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marc-Antoine Le Bret continue de réagir à la condamnation de Marine Le Pen avec Eric Ciotti, Pascal Praud et Jean-Marc Morandini. François Lenglet parle ensuite de Donald Trump et des droits de douane, Mike Horn du Dukono, un des volcans les plus dangereux du monde qui est entré en éruption en Indonésie. Le Bret King News avec Marc-Antoine Le Bret Ecoutez Le Bret King News du 03 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:43:34 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - Eric Ciotti est député Union des droites (UDR) des Alpes-Maritimes. Il revient sur son parcours, son engagement, et sur l'actualité au micro d'Astrid de Villaines. - réalisation : Peire Legras - invités : Éric Ciotti Homme politique français
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durée : 00:03:21 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - C'est à la mode de vouloir un chien à la carte... en croisant deux races. Et pourquoi pas faire ça avec les politiques ?
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Retrouvez un épisode spécial de la série "Bref" avec Jean Lassalle au Salon de l'Agriculture, puis François Bayrou toujours au SIA, Dominique Besnehard, Nelson Monfort, Cyril Hanouna, Nelson Monfort, Eric Ciotti et Jean-Marie Bigard.
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Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la suppression de C8 avec Eric Ciotti.
Les Républicains vont-ils renouer avec leurs vieux démons ? Une bataille intense pour la présidence du parti se dessine entre Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau, tous deux déclarés candidats cette semaine. L'enjeu est important, car le vainqueur sera bien placé pour la présidentielle de 2027. Le duel devrait être rude. Sans que l'on connaisse encore les modalités et la date du vote, la campagne a commencé dès mercredi et l'annonce de la candidature de Bruno Retailleau avec 24 heures d'avance sur son rival. Dans la foulée, l'entourage de Laurent Wauquiez fait savoir que le ministre de l'Intérieur prend « la lourde responsabilité d'ouvrir une guerre des chefs ». La campagne part sur des bases conflictuelles. Comme si cela était nécessaire, la rupture entre les deux hommes vient d'éclater au grand jour et se mue en une guerre des narratifs. Chez Wauquiez, tous assurent que Bruno Retailleau a rompu un pacte selon lequel le Vendéen devait rester au gouvernement et le Ponot prendre la tête du parti pour préparer 2027. Chez Retailleau, tous démentent l'existence d'un tel accord. Personne ne connaît la vérité, mais tout le monde a compris que le chef des députés LR pensait avoir une route dégagée pour prendre le parti, mais que son concurrent lui a coupé l'herbe sous le pied. À lire aussiFrance: Bruno Retailleau annonce sa candidature à la présidence du parti Les RépublicainsDes tergiversations coupablesDepuis l'été dernier et le psychodrame « Eric Ciotti » parti nouer une alliance avec le Rassemblement national, les Républicains n'ont toujours pas de chef. Maintes fois annoncé comme de retour aux affaires, Laurent Wauquiez n'a cependant jamais pris de décisions franches. Outre le lancement d'une opération « refondation de la droite », presque rien n'a été décidé : pas de dates de congrès, pas de grandes lignes politiques et surtout des refus répétés d'entrer au gouvernement. « Laurent est un cérébral, il réfléchit beaucoup, mais parfois trop », résume un ancien cadre du parti.Et pendant ce temps, même sans direction, LR reprend des couleurs. Et cela tient beaucoup à l'incarnation de Retailleau au ministère de l'Intérieur. « Il laisse une empreinte très forte dans la France de droite » se convainc un ministre. Bien que limité dans ses pouvoirs, le locataire de Beauvau est, en tout cas, le plus populaire du gouvernement et entre même dans la catégorie des personnalités politiques préférées des Français. À ces bons sondages s'ajoutent aussi de bons résultats pour LR dans des élections municipales et législatives partielles. Voyant Laurent Wauquiez tarder, Bruno Retailleau perçoit donc un alignement des planètes pour, à court terme, prendre le parti et à long terme, incarner la droite à la présidentielle 2027. Retailleau favori, mais Wauquiez combatifEn l'état, Bruno Retailleau semble favori. Il domine son principal concurrent et a déjà le soutien de poids lourds comme Xavier Bertrand et Gérard Larcher tandis que, « chez Wauquiez, ça se compte sur les doigts d'une main » estime un proche du Vendéen. Toutefois, plier le match d'emblée, ce serait mal connaître Laurent Wauquiez à la réputation « combative, voire teigneuse ». Se sachant dans un vrai match, il a déjà lancé quelques piques dans sa première interview de candidat au Figaro, dans laquelle il met en avant comme un atout « ne pas être lié à la solidarité gouvernementale » et ne rien devoir à François Bayrou. Une façon de dire que Bruno Retailleau ne pourra pas être un vrai patron dans la droite, tant dans l'action, faute de temps, que dans la parole, car il est redevable au gouvernement. Sans oublier que Laurent Wauquiez, président du groupe LR à l'Assemblée, peut aussi entraver l'action gouvernementale. Et puis, le Ponot dispose aussi d'un pouvoir dans l'ombre pour influencer le processus électoral. Son clan a déjà obtenu une victoire en imposant un délai de trois mois de campagne, avec des juristes en renfort. Bref, comme souvent lors des élections internes à droite, tout indique que l'on se dirige vers une guerre fratricide. À lire aussiFrance: Les Républicains cherchent à retrouver pied avant la nomination d'un président du parti
C dans l'air du 15 février 2025 - Budget : une dépense publique « hors de contrôle » ?La France est « au pied du mur ». C'est en ces termes que la Cour des comptes alerte de la situation des finances publiques, quelques jours seulement après le vote au Parlement du budget 2025. Dans leur dernier rapport, les sages de la rue Cambon soulignent une dérive des dépenses, et tirent la sonnette d'alarme sur l'urgence des efforts à mener. « La dépense publique n'est pas tenue », estime le président de la Cour, Pierre Moscovici, selon qui « en 2024 plus encore qu'en 2023, la dépense publique est apparue hors de contrôle ».Si la Cour reconnaît les efforts de l'Etat, elle pointe le rôle des collectivités locales, dont la dépense a progressé de 3,6% entre 2023 et 2024. L'État est donc exhorté à freiner des dépenses publiques « en roue libre », et à réaliser 110 milliards d'économies d'ici à 2029. Faute de quoi, les intérêts pour rembourser la dette exploseraient.Pendant ce temps, aux Etats-Unis, Elon Musk, à la tête du département de l'Efficacité gouvernementale, est chargé de tailler dans les effectifs de l'administration. Une purge massive est redoutée par les fonctionnaires, qui se voient proposer de démissionner en échange d'une prime de départ, ou de risquer un licenciement sans indemnités. Un désossement de l'Etat qui inspire la droite française : Eric Ciotti estime que la méthode Musk « résonne » avec ses idées, Jordan Bardella imagine un Musk français pour dégraisser le mammouth.En France, l'état des routes sont une illustration de la mauvaise situation des finances publiques. 20 % des routes nationales et 10 % des routes départementales sont considérées en mauvais état. Un chiffre qui pourraient s'accroître avec les effets du dérèglement climatique. Alors, l'état des Finances publiques est-il si catastrophique ? La France pourrait-elle s'inspirer de la méthode Musk pour réduire ses dépenses ? Faut-il d'urgence rénover les routes françaises ? Les experts :CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction de Franc-TireurFRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de FipecoSTÉPHANIE VILLERS – Économiste, conseillère économique de PwC FranceSYLVIE PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique au PointPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 12 février 2025 - Retailleau : le coup de forceCe matin, au micro de France Inter, il avait esquivé la question. Finalement c'est par un courrier adressé aux militants que Bruno Retailleau a officialisé, ce mercredi, sa candidature à la présidence du parti Les Républicains. Porté par les sondages où il a bondi depuis son arrivée à Beauvau en septembre dernier, le ministre de l'Intérieur ne cache plus ses ambitions et donne un coup d'accélérateur à sa campagne avant un bureau politique crucial prévu lundi prochain pour fixer la date du Congrès. Mais cette candidature pourrait relancer une "guerre des chefs" à droite.Lors d'un dîner en tête-à-tête il y a une semaine à Beauvau, le patron des députés LR lui aurait rappelé leur "accord" sur la distribution des rôles. "A toi d'incarner la droite au gouvernement, à moi de reconstruire notre famille politique", l'aurait mis en garde le patron des députés LR qui envisage également de se lancer dans la course pour 2027, avec l'intention lui aussi d'utiliser la présidence du parti LR comme tremplin pour la présidentielle. Et ses proches ce mercredi montent au créneau pour accuser Bruno Retailleau de prendre la "lourde responsabilité d'ouvrir une guerre des chefs"."Voter ce n'est pas diviser", s'était défendu sur France Inter ce matin Bruno Retailleau, estimant que sa candidature à la tête de LR il y a un peu plus de deux ans contre Eric Ciotti n'avait pas provoqué de guerre des chefs. Il avait alors obtenu 46,3 % des voix face au député des Alpes-Maritimes, qui a quitté depuis ses fonctions à la tête du parti après avoir fait alliance en juin avec le Rassemblement national aux législatives, laissant le poste vacant.Ancien dauphin de Philippe de Villiers, soutien de François Fillon à la présidentielle de 2017, Bruno Retailleau multiplie depuis son arrivée place Beauvau, les sorties médiatiques et les phrases chocs. Sur l'Etat de droit qu'il juge ni "intangible ni sacré", l'immigration et la lutte contre la drogue, ses thèmes favoris, il ne renie rien de son passé villieriste et souverainiste, dénonçant "l'ensauvagement", un "chaos migratoire" ou un processus de "décivilisation"- concept emprunté au théoricien d'extrême droite Renaud Camus - qui serait, selon lui, à l'œuvre dans la société française. Tacticien, homme d'appareil et communicant aguerri, l'ancien sénateur de Vendée s'est désormais lancé officiellement dans la bataille et défend l'idée de "refonder un grand parti de droite qui accepte de s'élargir". Mais jusqu'où ? Quel est le projet politique de Bruno Retailleau ? Qui pour succéder à Éric Ciotti à la tête des LR ? Si ces questions agitent les LR, l'idée d'une primaire à droite et au centre pour la prochaine présidentielle a également été relancée cette semaine par Gérald Darmanin alors que Marine Le Pen retrouvait samedi dernier des dizaines de dirigeants des partis d'extrême droite européens à Madrid, pour le premier sommet du nouveau groupe les Patriotes pour l'Europe. Ce mouvement, créé au Parlement européen en juillet 2024 autour du parti du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, et du Rassemblement national (RN), réunissant 86 eurodéputés, ce qui en fait la troisième force à Strasbourg, a choisi pour slogan : "Make Europe great again" ("rendons sa grandeur à l'Europe"), en référence au "Make America great again" (MAGA) de Donald Trump. C'est dans ce contexte qu'a été publiée, ce mardi, l'édition 2025 du baromètre de la confiance politique du Cevipof illustrant l'érosion très importante du crédit qu'accordent les Français à leurs responsables politiques. Ainsi 7 Français sur 10 interrogés déclarent ne pas avoir confiance dans la politique. Ils sont tout aussi nombreux à penser le personnel politique corrompu. Conséquence ou pas d'un sentiment de manque de visibilité, 73 % des sondés disent souhaiter avoir "un vrai chef en France pour remettre de l'ordre". Les experts :- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Pascal PERRINEAU - Politologue - Professeur associé au Cevipof- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
durée : 00:03:36 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Mathieu Bedini a remporté le concours de Mister France 2025. Mais Daniel Morin aurait bien vu d'autres concurrents...
durée : 00:03:36 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Mathieu Bedini a remporté le concours de Mister France 2025. Mais Daniel Morin aurait bien vu d'autres concurrents...
Dans cet épisode, le Premier ministre Barnier vient d'être censuré...écoutez sa réaction ainsi que celles des oppositions...avec Jean-Philippe Tanguy, Eric Ciotti et Sébastien Delogu. Le Bret King News avec Marc-Antoine Le Bret Ecoutez Best-of Le Bret King News du 26 décembre 2024.
Un pas vers la censure ? François Bayrou a proposé aux nombreux responsables politiques reçus à Matignon de participer à un gouvernement de coalition. À tous excepté LFI, Eric Ciotti et le Rassemblement National. Ecoutez le sentiment de Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national, député du Nord. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 20 décembre 2024.
Un Premier ministre sous 48 heures ? Ecoutez le point de vue de Eric Ciotti, président fondateur de l'Union des Droites, député UDR des Alpes-Maritimes. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 11 décembre 2024.
Un Premier ministre sous 48 heures ? Ecoutez le point de vue de Eric Ciotti, président fondateur de l'Union des Droites, député UDR des Alpes-Maritimes. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 11 décembre 2024.
Marc-Antoine Le Bret se glisse dans la peau de Emmanuel Macron, Michel Barnier, Eric Ciotti, Manu Payet et Jean-Marie Bigard. Le Bret King News avec Marc-Antoine Le Bret Ecoutez Le Bret King News du 05 décembre 2024.
À chaque scrutin ou presque, le même constat : les troupes de Marine le Pen sont en forte progression. Son parti, le Rassemblement national (RN), a changé de dimension grâce à une opération de "dédiabolisation", marquée par le recrutement de nouveaux visages et l'abandon du nom Front national (FN). Le parti a poursuivi sa normalisation avec "l'union des droites", prônée par Eric Ciotti, ancien président des Républicains. Nos reporters sont partis à la rencontre des sympathisants du RN et de leur dirigeant.
At almost every French election, it's the same story: the far right makes significant gains. Under longtime leader Marine Le Pen, the party carried out a "de-demonisation" operation: changing its name from National Front to National Rally and softening its message while recruiting new faces. It has continued its journey into mainstream politics by joining the new "union of the right" with Eric Ciotti, former president of the conservative Les Républicains party. Our reporters went to meet National Rally supporters and their current leader, Jordan Bardella.
Marc-Antoine Le Bret se glisse dans la peau de Eric Ciotti, Michel Barnier, Pascal Praud, Didier Deschamps et Matthieu Chedid, alias M. Le Bret King News avec Marc-Antoine Le Bret Ecoutez Le Bret King News du 26 novembre 2024.
Michel Barnier a mené plusieurs consultations ce lundi. Celles-ci n'ont pas convaincu l'opposition qui menace toujours de censure l'exécutif.
C dans l'air du 23 novembre - Fonctionnaires : les prochaines victimes du budget ?C'est la mesure qui a mis le feu aux poudres. Pour faire face à l'absentéisme en hausse dans la fonction publique, le ministre dédié Guillaume Kasbarian a annoncé l'allongement, pour les fonctionnaires, de la durée de carence d'un à trois jours lors des congés maladies. Cette mesure permettrait à terme, 1,2 milliard d'euros par an. Non négligeable à une période où le gouvernement cherche des économies pour boucler son budget. En plus de la colère des fonctionnaires, le gouvernement doit désormais faire face à la colère des cheminots. Jeudi, les syndicats ont mené une grève de 24 heures pour dénoncer le démantèlement de Fret SNCF et l'ouverture à la concurrence dans le transport de voyageurs. Ils appellent à un mouvement reconductible à partir du 11 décembre. Réponse du patron de la SNCF Jean-Pierre Farandou : "Les Français ne comprendraient pas une grève longue et dure en décembre pour des questions de salaire". Côté politique, on s'insurge également contre cette menace de grève. Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a dénoncé une "prise d'otage" des syndicats cheminots. L'ancien président LR et député Eric Ciotti veut, quant à lui, déposer une proposition de loi visant à "interdire les grèves" durant certaines périodes et notamment "pendant les 15 jours de la trêve de Noël".Les politiques français pourraient-ils s'inspirer de ce qu'il se passe à l'étranger ? À travers son tweet publié il y a deux semaines, Guillaume Kasbarian s'est dit pressé de partager "les meilleures pratiques pour lutter contre l'excès de bureaucratie" avec Elon Musk, chargé par Donald Trump de l'"efficacité gouvernementale" dans son gouvernement. Depuis plusieurs semaines, le milliardaire américain multiplie les promesses de coupes budgétaires. Dans une tribune publiée dans le Wall street journal, il propose notamment la suppression des aides au Planning familial, la fin des subventions à la radio-télévision publique, et la suppression de 1,5 milliard de dollars de subventions aux organisations internationales non autorisées par le Congrès américain. Et gare aux fonctionnaires qui abuseraient du télétravail : ceux qui refuseront de se rendre cinq jours par semaine sur leur lieu de travail pourraient être licenciés. Il ne faut pas prendre le président de Tesla à la légère : hier, il a confirmé dans un tweet avoir licencié 80% des employés de sa plateforme X, deux ans après son rachat.En France, ce sont les collectivités locales qui sont dans le viseur du gouvernement depuis quelques semaines. Lors du Congrès des maires qui s'est tenu cette semaine à Versailles, certains édiles n'ont pas caché leur frustration d'être pointés du doigt pour avoir mal géré les dépenses publiques alors que les coupes budgétaires se multiplient au niveau local. Début octobre, le gouvernement a fait savoir qu'il prélèverait 5 milliards d'euros supplémentaires sur les recettes des collectivités locales pour combler le déficit public. "C'est le salon des maires en colère", a résumé à France 3 Alain Vasselle, président de l'Union des maires de l'Oise et maire d'Oursel-Maison. Économies budgétaires, montée de l'incivisme, épuisement professionnel… de plus en plus de maires préfèrent jeter l'éponge. Actuellement, 41 maires démissionnent chaque mois, soit deux fois plus que lors de la dernière décennie, a fait savoir David Lisnard, le président de l'Association des maires de France.Les fonctionnaires doivent-ils craindre des coupes budgétaires ? En quoi l'appel à la grève de la SNCF menace-t-il le gouvernement Barnier ? Les ministres français peuvent-ils s'inspirer d'Elon Musk ? Et pourquoi les maires tirent la sonnette d'alarme sur leurs difficultés ?Les experts : - Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info et La Tribune- Béatrice MATHIEU - Grand reporter, auteure de "Elon Musk, l'enquête inédite" - L'Express - Hadrien MATHOUX - Rédacteur en chef du service politique - Marianne- Sophie FAY - Journaliste au service Économie, spécialiste des questions de transport - Le MondePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Marc-Antoine Le Bret se glisse dans la peau de Michel Barnier, Eric Ciotti, Nicolas Sarkozy, du Pape François et de Jeff Tuche. Le Bret King News avec Marc-Antoine Le Bret Ecoutez Le Bret King News avec Marc-Antoine Le Bret du 11 novembre 2024.
Marc-Antoine Le Bret se glisse dans la peau de Donald Trump après sa victoire face à Kamala Harris, avec la traduction de Nelson Monfort, puis imite Emmanuel Macron, Pascal Praud, Dominique Besnehard, et Eric Ciotti. Le Bret King News avec Marc-Antoine Le Bret Ecoutez Le Bret King News avec Marc-Antoine Le Bret du 06 novembre 2024.
Marc-Antoine Le Bret se glisse dans la peau de Michel Barnier, Eric Ciotti, Patrick Sébastien et David Guetta.
Le féminisme est-il de gauche ? Le libéralisme peut-il être féministe ? Un épisode aussi avec des blagues (surtout grâce à Eric Ciotti). Un podcast Bababam Originals Ecrit par Hélène Vézier Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C dans l'air du 21 octobre - Impôts : le grand chamboule-tout ?!Le projet de loi de Finances, porté par le gouvernement Barnier, est examiné à partir de ce lundi soir à l'Assemblée nationale, et la question des recettes va faire l'objet de débats houleux, les députés ayant rejeté en commission la semaine dernière ce volet, largement remanié par la gauche, du budget de l'État pour 2025. Le NFP qui avait voté samedi le texte amendé souhaite mettre davantage à contribution les grandes entreprises et les contribuables les plus riches (taxe sur les superprofits, renforcement de l'exit tax, hausse du prélèvement forfaitaire sur le capital, pérennisation de la taxe sur les plus fortunés). En commission, la gauche et le MoDem s'étaient accordés pour rendre pérenne le taux minimal d'imposition de 20 % sur les plus hauts revenus. Les centristes, pourtant soutiens de l'exécutif, sont également favorables à un relèvement de la "flat tax" sur les revenus du capital et une réduction des avantages fiscaux de transmission des assurance vie, en alignant le régime avec celui des successions en ligne directe. Chez Renaissance, en revanche, on défend plus de réformes et de coupes budgétaires mais moins d'impôts. Les LR s'opposent, eux aussi, à une hausse de la fiscalité et au report pendant six mois de l'indexation sur l'inflation des petites pensions de retraite. Du côté RN, on dénonce le "matraquage fiscal" du gouvernement et on fixe plusieurs "lignes rouges" comme la taxe sur l'électricité ou la baisse du remboursement des consultations médicales.Et pour désendetter l'État, la piste des privatisations est relancée à droite et à l'extrême droite. Ainsi l'ancien ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin proposait, dans une interview aux Échos datée du 6 octobre, de vendre la participation de l'Etat "dans les sociétés cotées comme Orange (13,4%), la FDJ (21,1%), Stellantis (6%) ou Engie (23,6%)". Le nouveau patron de l'Union des droites, Eric Ciotti, allié du RN a lui déposé un amendement au budget proposant que l'État cède au plus tard, au 1ᵉʳ janvier 2025, ses actions Engie et Renault (15%). Le RN évoque également depuis longtemps la "privatisation de l'audiovisuel public pour faire des économies". La mesure figurait dans le programme de Marine le Pen lors de l'élection présidentielle de 2022 et aussi dans celui du RN lors des élections législatives anticipées de juillet 2024.Mais l'Etat a-t-il réellement intérêt à vendre ses participations ? L'Agence des participations de l'État (APE) est aujourd'hui présente au capital de 81 entreprises, pour une valeur estimée de 179,5 milliards d'euros. Elle possède par exemple plus de 50 % des parts d'Aéroports de Paris et 21 % des parts de la Française des Jeux. Des investissements qui lui rapportent des bénéfices. Pour 2023 ils sont estimés à 14 milliards d'euros. Par ailleurs certaines ventes peuvent aussi se regretter. C'est le cas dans le dossier de la privatisation des autoroutes françaises, engagée en 2001 par Lionel Jospin et achevée en 2006 par Dominique de Villepin. Au total, l'État en a retiré 15 milliards d'euros. Une somme jugée très faible face à la rentabilité exceptionnelle des concessions autoroutières les années suivantes. Un rapport du Sénat, publié en 2020, pointe une "rentabilité hors normes" de 40 milliards d'euros d'ici 2036, date où les contrats arrivent à échéance. Parallèlement le dossier Doliprane continue de faire des vagues. Sanofi a confirmé ce lundi s'allier au fonds américain CD&R pour lui céder le contrôle de 50 % de sa filiale Opella qui commercialise le médicament le plus vendu en France. Une aberration selon Arnaud Montebourg que nos équipes ont rencontré. L'ancien ministre de l'Economie appelle le gouvernement à bloquer cette vente à un fonds d'investissement américain pour obliger Sanofi à vendre à d'autres investisseurs français et européens. Aujourd'hui chef d'entreprise, il est également revenu au micro de #cdanslair sur son opposition à la vente d'Alstom à General Electric en 2014 et a dénoncé "l'incompétence de la part des dirigeants vis-à -vis de l'intérêt national". "A chaque fois qu'il a fallu faire des choix de souveraineté, il n'y a jamais eu personne. On a peur devant la puissance, nos dirigeants sont des petits garçons" a-t-il affirmé. La suite de cette interview ce soir dans #cdanslair.Les experts :- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info et La Tribune - Valérie LECASBLE - Editorialiste politique - Lejournal.info- Guillaume DARET - Chef adjoint du service politique - France Télévisions- Thomas PORCHER - Économiste - Professeur à la Paris School of BusinessPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Eric Ciotti, président fondateur de l'Union des droites pour la République et député des Alpes-Maritimes, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de l'enseignante de Tourcoing frappée pour avoir demandé à une élève de retirer son voile, de la motion de censure déposée par le Nouveau Front Populaire contre le gouvernement Barnier qui a été rejetée, du projet de budget, de l'aide médicale d'Etat et des déclarations de Rima Hassan.
De passage dans la matinale de Dimitri Pavlenko pour annoncer le programme de son émission, Pascal Praud revient sur le discours de politique générale de Michel Barnier et des pics adressés à Madame Panot, à Gabriel Attal et Eric Ciotti.
Au lendemain de l'annonce du gouvernement, le député des Alpes-Maritimes abandonne la présidence du mouvement des Républicains et appelle à "refonder une grande famille politique dans la clarté et l'indépendance". Eric Ciotti est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 23 septembre 2024.
Au lendemain de l'annonce du gouvernement, le député des Alpes-Maritimes abandonne la présidence du mouvement des Républicains et appelle à "refonder une grande famille politique dans la clarté et l'indépendance". Eric Ciotti est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 23 septembre 2024.
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Tout l'été, retrouvez chaque jour le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez L'été avec Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 06 août 2024.
Face à Bernard Campan ce lundi 24 juin 2024, Marc-Antoine Le Bret a notamment imité Nikos Aliagas, Eric Ciotti et Jean Lassalle... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Pour justifier sa place comme président des Républicains, Eric Ciotti a utilisé une célèbre citation : "J'y suis, j'y reste". Florian Gazan vous explique pourquoi cette phrase n'a en réalité jamais été prononcée... Les Grosses Têtes vous proposent de découvrir ou redécouvrir le podcast de Florian Gazan. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.
Face à Santa ce jeudi 23 mai 2024 , Marc-Antoine Le Bret a notamment imité Raphaël Mezrahi, Arielle Dombasle, Fabrice Eboué, Eric Ciotti, Jean-Claude Van Damme... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.