Bonjour à tous, Je m'appelle Estelle Abbou et je vous souhaite la bienvenue sur REELLES. Avec ce podcast, je donne la parole à celles et ceux qui soignent le monde, l'économie, l'autre et les générations futures. Par leurs actions, leurs entreprises, leurs pensées, leurs oeuvres ou leurs visions, c…
L’impact positif est bien souvent dans l’incarnation. Pour cet épisode je vous propose une conversation avec une femme inspirante et inspirée. Elle est entrepreneuse, maman, ambassadrice, coach pour jeunes entrepreneurs, ultra connectée et propriétaire à 100% de sa structure qui existe depuis 10 ans, à savoir Thea Jewelry une gamme complète de bijoux personnalisés. Elle est belge, ultra dynamique, généreuse et surtout débordante d’idées. Avec elle nous évoquons son parcours, son amour pour son pays la Belgique, la genèse d’une éclosion entrepreneuriale, des solutions pratiques pour lutter contre l’isolement lorsque l’on est indépendant ou entrepreneur, l’importance d’intégrer un réseau partageur comme elle le définit, l’ambition de vouloir rester seule aux commandes de son entreprise, les vertus que recouvre le refus de faire grossir son entreprise, le virage écologique qu’elle a pris récemment au sein de Thea et ses conseils pratiques à destination de celles et ceux qui comme elle veulent entreprendre leur vie. Bonne écoute avec la pétillante Emilie Duchêne, fondatrice et dirigeante de la marque de bijoux THEA JEWELRY
Si tu as des enfants, si tu es un parent qui croit encore que les diplômes sont un gage de réussite, si tu n’as pas d’enfant mais que tu as été à l’école une fois dans ta vie, si tu es un ado, un enfant, un pré ado, un étudiant, si t’as zéro diplôme ou une tonne, si tu détestes les petits cons d’écoles de commerce, si tu adores les écoles de commerce, si tu es entrepreneur / entrepreneuse, si tu as une boîte en difficulté, si ta boîte cartonne, si ta boîte ronronne... Si tu as envie d’entreprendre mais que tu n’oses pas, si tu es en train de vivre une catastrophe dans ta boîte en tant que patron ou salarié, si tu es un ou une indépendant(e) qui galère ou qui sautille de réussite dans tous les sens, si tu as des problèmes de management et de ressources humaines, même si t’oses pas te l’avouer, surtout si t’oses pas te l’avouer, si tu crois que les HEC se prennent pour les rois du monde, si tu es un ingénieur et que tu crois que c’est à toi que le monde appartient désormais, si tu as envie d’écouter un cours gratuit de management par un des plus illustres professeurs de France, si t’es rien de tout ça mais que t’es pas contre l’idée d’apprendre un truc différent du nombre de morts et de CAS CONTACT... => Ce épisode est pour toi. Mon invité commence par : « Quand tu commences à te retourner vers ton passé, ton avenir tu l’as dans le dos ». Il dit aussi un truc très vrai : « L’intelligence du coeur ne s’apprend pas à l’école, mais sur le terrain et aujourd’hui les systèmes scolaire et universitaire valorisent encore trop l’intelligence mathématique ». Cet épisode est une bombe, de très très haut niveau et une manière pour moi de rendre hommage à ce Monsieur qui a changé ma vie, aux enseignants, à celles et ceux qui consacrent leurs vies, jusqu’à la perdre, à transmettre leur savoir. J’ai aimé tous mes épisodes et mes invités sont mes joyaux. Mais celui ci, hormones ou pas, j’ai un peu pleuré en enregistrant son introduction et du coup j’ai du m’y reprendre à trois fois avant de le mettre en boîte. Bonne écoute avec l'illustre Monsieur Robert Papin
Je parle beaucoup dans cet épisode parce qu’il y est question de justice, de droit social et de burn out. Des sujets qui me tiennent à coeur. Comme interlocutrice, je ne pouvais pas espérer mieux qu’une avocate spécialisée en droit social et désormais auteure sur ces questions. En effet, elle e a récemment co écrit un livre avec le Docteur Guillaume Fond, psychiatre, qui s’intitule : Voyage au coeur de la souffrance, regards croisés d’un psychiatre et d’une avocate sur le burn out et le harcèlement professionnel. Paru juste avant le confinement aux Editions LATTES Bien entendu, je ne peux que vous recommander son livre qui m’a beaucoup plu et dont nous abordons les grands thématiques avec elle durant cet épisode, sans dévoiler nuances et force des exemples et des solutions qui s’y trouvent. Ainsi nous évoquons ensemble la définition du burn out, le profil du grand brulé, la culpabilité et le déni bien souvent corrélés à l’épuisement professionnel, les signes avant coureurs en point d’alerte; les réflexes à adopter quand on se sent bruler de l’intérieur, l’accompagnement nécessaire qu’il convient de mettre en place pour s’en sortir et l’injonction souvent pernicieuse de « bonheur » au travail Je vous conseille de prendre un crayon et un papier pour écouter Maitre Reichman tant ses propos sont riches d’enseignements. Outre son ouvrage, j’ai également voulu recueillir son point de vue sur ce qu’est devenue la justice française aujourd’hui à l’heure ou la vindicte populaire précède trop souvent l’application du droite. Petite parenthèse importante à destination des chefs d’entreprises : ce livre vous est aussi destiné! Particulièrement si vous êtes issus de la génération qui entreprend sans avoir été salarié. Allez maintenant j’arrête de parler et je laisse la parole à Maitre Sophie Reichman.
Drôle de coïncidence, on a appris quasiment au même moment que nous étions enceintes elle et moi. Donc ce podcast a été réalisé en présences de nos futurs bébés et forcément, on parle de maternité! Je n’arrive toujours pas à trouver le terme le plus adapté pour qualifier Louise tant ses facettes sont multiples. Mais je peux vous dire un truc c’est qu’elle est épatante, solaire et qu’elle a un impact plus que positif ! Actrice, danseuse, passionnée par le développement personnelle, animée par une envie d’aider son prochain à éclore, elle est Artiste thérapeute. Dans sa bio instragram elle se décrit comme saltimbanque, mais son métier consiste à utiliser toutes ses baguettes magiques pour coacher spirituellement et psychologiquement. Avec elle on a parlé de son métier qu’elle s’est elle même inventé, de sa capacité d’émerveillement permanent, de thérapie de groupe, de ses stages qui transforment, de psychologie positive, de sa vision de la grossesse et de la maternité, de sa nouvelle vie qui démarre à Marseille et de ses prochains live sur sa grossesse! Merci beaucoup Louise. C'était vraiment cool d'enregistrer cet épisode avec toi ! Belle route !
Plus de 600.000 abonnés à son compte instagram, une moue à la bardot mais ce qui m’a le plus attiré c’est son sourire et son authenticité qui transparaissent à travers ses très jolies photos. En la regardant, j’ai eu le sentiment qu’elle n’était pas une influenceuse comme les autres, qu’elle avait des choses à dire et des choses à faire au delà du virtuel. Et en poussant la porte de son charmant appartement pour enregistrer son podcast, je me suis rendue compte que mon instinct ne m’avait pas trompé! Avec elle on a parlé de son parcours scolaire, de son expérience au sein des plus grandes rédactions françaises, de sa passion pour l’écriture, l'art la mode et la photographie, de sa vision des réseaux sociaux, de la manière dont elle vit sa notoriété, de son quotidien, de sa routine sportive très soutenue, de ses projets futurs et notamment du lancement de sa marque, de la youtubeuse Lena Situation, de cancel culture et de notre beau pays la France. Allez ! On entre direct dans le vif du sujet avec l’histoire de ses parents roumains qui arrivent en France…
Option nez bouché pour l’ouverture de la saison 3 de réelles, avec une big ALERTE MODELE INSPIRANT ET REALISTE J’adore ce qu’elle fabrique, ce qu’elle incarne et ce qu’elle diffuse. "Ce qu'elle fabrique" au sens propre du terme car elle a une marque éthique et durable de maillots et de tenues de sport. Solide, tenace et joyeuse, mon invitée m’a beaucoup aidée et j'espère qu’il en sera de même pour vous. Aidée pourquoi? Parce qu'elle a un discours franc sur le couteau suisse qui combine femme, française, entrepreneuse, et maman. Avec elle on a parlé de sa marque éthique LUZ COLLECTIONS, d’entreprenariat sans levée de fonds, de difficultés, de désarroi sentimental, de nos périodes de renouveau, de l’importance de se réinventer sans se renier et de ce que la France a de plus beau. En cadeau de rentrée on a glissé un code promo dans l'épisode pour vous mes chers auditeurs et auditrices. Il suffit de commander sur le site internet de LUZ COLLECTIONS en entrant le mot de passe RPODCAST Allez maintenant, j'arrête de parler et je laisse la parole à la généralissime CLAIRE MOUGENOT Fondatrice de la marque engagée et durable LUZ COLLECTIONS!
Pas de grandes études et pourtant 1ère femme à intégrer le Comité exécutif de la BNP Paribas. La femme que vous allez entendre durant notre conversation est tout simplement extraordinaire. Je pèse mes mots. Elle incarne l’intrapreuneriat au féminin, la ténacité, la patience et la volonté. Elle a gravi les échelons un à un durant toute sa carrière faite au sein de cette célèbre banque. Rôle modèle oui, mais pas que. Vous allez vous en rendre compte par vous même. Avec elle nous avons parlé des femmes, de la ligne de crédit sans précédent de 4 milliards débloquée par la BNP sous son impulsion et à destination des femmes entrepreneurs. Mais aussi de la vie après le confinement, de SA vie après avoir occupé un statut professionnel honorifique, de son émerveillement perpétuellement renouvelé, de notre France et de la nécessaire coalition positive pour la soigner, de ses envies actuelles, de son point de vue sur les droits des femmes, de l’inégalité des ambitions entre hommes et femmes et des solutions pour y remédier et de l’habit qui fait la femme. Bonne écoute avec Madame Marie Claire Capobianco, Directrice Croissance & Entreprises et membre du Comité Exécutif du Groupe BNP Paribas.
Episode en résonance avec une citation de Camille Sfez invitée précédemment dans RÉELLES : « C’est le patriarcat qui a fait croire aux femmes que pour être libres et épanouies il fallait être comme des hommes ». Que faut il savoir pour que notre genre ne soit pas un poids dans notre parcours professionnel ? Mon invitée s’est attaquée au sujet avec brio à travers un ouvrage récemment paru et qui s’intitule : "Les règles du jeu, ce que l’on devrait toutes savoir pour réussir au travail » aux éditions Dunod. Il y a de l’impact positif dedans. L'auteure donne des clefs à travers son témoignage au sein du milieu du trading de matières premières et permet ainsi d’aider sa prochaine et son prochain aussi finalement. Car cette question concerne autant les hommes que les femmes. Un conseil : Lisez le ! Durant cet épisode avec Clara, nous avons parlé de syndrome de la bonne élève, de la différence entre pointer un problème et passer à l’action pour trouver une solution concrète, du salariat, de la différence entre ce que l’on apprend à l’école et ce qui est vraiment utile au quotidien dans le travail, de l’autonomie psychique, des freins extérieurs et intérieurs que nous avons toutes expérimenté, de l’idée de rémunérer les mères au foyer et de ses coups de coeur. Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à la talentueuse Clara Moley, spécialiste des matières premières, advocate de l'égalité au travail, et conférencière
L’alimentation et la planète sont deux sujets intrinséquement liés qui ont toujours été très importants pour moi. Dans mes différentes recherches à ce titre, j’ai découvert une organisation à but non lucratif il y a quelques temps. FOODWATCH via sa newsletter. FOODWATCH c’est une association qui se bat pour une alimentation sans risques, saine et abordable pour toutes et tous. Porte voix des consommateurs et consommatrices, Foodwatch milite pour plus de transparence dans le secteur alimentaire et défend donc notre droit à une alimentation qui ne porte atteinte, ni aux personnes, ni à l’environnement. Cela faisait longtemps que je voulais aborder ces questions fondamentales et j’ai donc contacté la Directrice Générale de Foodwatch France, Karine Jacquemart que j’ai le plaisir de reçevoir dans cet épisode. Je vous conseille de prendre un papier et un stylo car cet épisode est très pédagogique et grandement documenté et j’ose le dire : important. Il y a du contre pouvoir dans l’action de Foodwatch et avec Karine, nous avons parlé de son parcours précédent au sein de Greenpeace, des enjeux stratégiques qui se tissent derrière la malbouffe, de l’obésité, du pétrole dans nos aliments, des perturbateurs endocriniens, du règne de la désinformation, des 388 additifs potentiellement dangereux pour la santé, de l’Europe, des pesticides, du principe de précaution, du bio, des étiquettes peu fiables en période de Covid19 et de la Stratégie du Choc de Naomi Klein. Allez maintenant j’arrête de parler et je laisse la parole à Karine Jacquemart, Directrice Générale de Foodwatch France
L’économie réelle. Il en est grandement question en ce moment et c’est le sujet de cet épisode. Il existe beaucoup de définitions mais on peut dire qu’il s’agit de l’activité économique locale et concrète pour la société civile, les entreprises et les collectivités qui produisent ou consomment réellement des biens et services en dehors de sa partie spéculative. C’est à dire, hors de la finance et de la bourse. Mon invitée est engagée dans cette voie et c’est pour cela que j’ai eu envie de la recevoir sur RÉELLES Après une expérience au sein de Planet Finance la fondation de Jacques Attali désormais appelée Positive Planet, mon invitée a accompagné le développement de la célèbre plateforme de financement participatif Ulule. La Tech for Good n’a pas de secret pour elle. Elle a récemment rejoint l’équipe deMarc Ménasé, serial entrepreneur et investisseur dans l’aventure Founders Future (https://foundersfuture.com/?lang=fr). Alors c’est quoi? C’est un fonds d’investissement qui regroupe plus de 30 entrepreneurs, pour financer des entreprises à mission, celles qui s’inscrivent dans une transition sociale et environnementale. Avec Sarah, on a parlé bien entendu d’entrepreneuriat, de financement, participatif mais pas que. De l’action de son fonds d’investissement qui colle parfaitement à ce fameux « monde de demain », de mesure d’impact positif, d’entrepreneuriat au féminin, de son rôle de maman conjugué à sa carrière et de la talentueuse Leila Slimani! Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à Sarah Corne, co partner de Founders Future (https://foundersfuture.com/?lang=fr).
"L’écriture, par le rythme d’une voix, le mouvement d’une phrase, calme la conscience ordinaire et réveille une conscience du dessous, plus fine, à vif : l’écrivain est à la fois anesthésiste et chirurgien. Il endort l’âme avant de l’ouvrir." Cette phrase est issue de "l’Epuisement" de Christian Bobin. A la base, je suis contre la chirurgie esthétique. Une sorte de loyauté à la nature. Mais à la base aussi, j’essaye toujours de comprendre mes oppositions et de remettre en question mes préjugés un maximum. J’ai toujours été choquée que l’on admire une beauté fausse et puis j’ai compris que la chirurgie plastique, pouvait avoir un impact positif. Elle pouvait réparer des gens. Des grands brulés, des personnes mutilées après une opération suite à un cancer. Alors oui, évoquer la chirurgie esthétique c’est forcément toucher à la confiance en soi, au regard de l’autre mais surtout au regard que l’on porte sur soi. Un sujet qui me passionne philosophiquement. Mon invité est chirurgien esthétique, plasticien et réparateur. Il a été chef de clinique dans le service des grands brulés de l’Hopital Saint Antoine du Professeur Mimoun. Selon lui, il n’y a pas de différence entre la chirurgie esthétique et la chirurgie réparatrice. Il soigne ses patients de la même façon. Il refuse certaines opérations. J’ai découvert grâce notre échange qu’un bon chirurgien plasticien est avant tout un fin psychologue. Il appréhende un mal être et j’ai le sentiment que sa pratique est salvatrice, à l’abris de l’image négative que l’on peut avoir de la chirurgie esthétique. Durant cette période d’épidémie, j’ai eu envie de lui donner la parole non pas seulement en tant que chirurgien, mais en tant que médecin. Avec lui nous avons évoqué son parcours, sa vocation, les cas qu’ils traitent comme ceux qu’il refuse, la résurgence de l’image de femme objet à l’heure des réseaux sociaux, mais également de sa contribution concrète à ce que le monde hospitalier a traversé durant l’épidémie de Covid19, du recours des hommes à la chirurgie, de sa vision de la France, des mesures qu’il estime nécessaires pour sauvegarder notre système hospitalier, du bureau des légendes, de l’air contaminé et de l’usage des masques. Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole au Docteur Benjamin Pulvermacker Chirurgien esthétique, plasticien et réparateur
Une ville décarbonnée ça vous parle forcément en ce moment non? Et bien c’est un de nos sujets avec mon invité cet semaine. Bien que cet épisode ait été enregistré il y a plus d’un mois, je pense qu’il résonnera particulièrement en vous en ce moment. Je ne peux pas commencer l’introduction de cet épisode sans dire et redire à quel point je pense à celles et ceux qui souffrent, physiquement, mentalement, moralement et financièrement. Je pense à ces familles endeuillées et bien entendu aux hommes et aux femmes qui forment le personnel soignant de notre pays, et sont, de fait nos héros et héroines. A eux et elles, un IMMENSE MERCI. Et puis dire aussi merci. Merci à vous tous et toutes pour cette pluie de messages sans précédents depuis le début du podcast. Vous êtes, même encore aujourd’hui, de plus en plus nombreux à écouter le podcast. Et j’espère de tout mon coeur qu’il vous apportera un peu d’apaisement durant cette période de pandémie. Je me pose beaucoup de questions en ce moment sur l’avenir de mon podcast et la manière dont il doit évoluer donc n’hésitez surtout pas à m’envoyer vos recommandations et vos idées. C’est toujours un bonheur de vous lire. Merci aussi à Vincent Rochette sans qui ce podcast n’existerait pas. Il m’accompagne sur le montage mais il m’accompagne tout simplement. Alors Vincent, merci. Allez, je passe à l’introduction de mon invité. Il est déjà venu dans le podcast, mais j’ai eu envie de lui donner la parole à nouveau car j’aime tisser des liens avec mes invités, et je mesure ma chance de les avoir toujours autour de moi. Sociologue de formation, Nathan Stern (https://about.me/nathan.stern) se définit comme un ingénieur social. Il conçoit des réseaux sociaux, des jeux, des programmes, tout ce qui peut créer du lien social justement.. Il a à coeur de faire baisser la violence dans les cours d’école, faire en sorte d’augmenter la coopération dans les organisations, d’adoucir l’administration et de réchauffer ce qui peut sembler froid comme un abribus. A son actif, Peuplade, un réseau social local pour habitants d’un même quartier, ou encore "Voisin.age (https://www.voisin-age.fr/)" qui rassemble les voisins autour des personnes âgés de leur quartier. Il a également co fondé "Avec nos proches (https://www.avecnosproches.com/et_vous/decouvrir-anp/)" un réseau social téléphonique pour les aidants familiaux, et Happy Week (https://www.avecnosproches.com/et_vous/decouvrir-anp/), un jeu collaboratif qui donne envie aux enfants d’accomplir les tâches du quotidien comme un jeu. Mais il ne s’arrête pas là. Il regorge de projets toujours et encore. Avec lui, on a parlé de l’empathie, au coeur de son action, des couples en difficulté, des enjeux du commerce actuellement, d’écologie et des effets pervers de l’éco anxiété, du low coast et, de l’importance de sortir de la quête du méchant, de la vindicte populaire et de la moraline, du temps passé sur Netflix ou sa console de jeux, de l’importance de cultiver la sensibilité, de l’isolement et de la solitude, de la transformation des consciences, de notre cher pays, la France et des travers de la bonne conscience. Je vous souhaite de passer un aussi bon moment que ce le fut pour moi avec Nathan Stern. (https://about.me/nathan.stern)
Episode spécial "FEEL GOOD" ! Il s’ajoute à celui que je diffuse tous les dimanches. Pourquoi? Un concours de circonstances. Durant cette période O combien inédite complexe et douloureuse, je voulais créer un contenu supplémentaire, à impact positif et adapté aux circonstances. Mais je ne me sentais ni légitime ni apte à le faire. Au même moment, un de mes chers invités, devenu un de mes plus précieux amis, Jonathan Lehman, le Buddha d’aujourd’hui m’a envoyé ce que vous allez pouvoir entendre en bonus. Son second ouvrage « Les Antisèches du bonheur » vient de sortir et sa promotion a été stoppée nette par l’actualité dramatique actuelle. Fruit de près de dix années de recherches, d’expérimentations et de partages sur la question du bonheur. Fondées en partie sur une approche originale de la méditation, Les Antisèches du Bonheur rassemblent les principes et pratiques qui ont transformé sa vie et surement celles d’autres personnes. Selon moi, la parole de Jonathan doit rayonner et particulièrement en ce moment. Voilà pourquoi, nous vous proposons ensemble ce contenu spontané qui s’appelle Journal Intime d’un confiné. Le son n’est pas parfait, mais c’est fait avec coeur et authenticité. Dans l’urgence, pour juste aider un maximum. Durant ces quelques minutes il nous aide à lutter contre nos pensées négatives durant le confinement, à nous sentir moins seuls, à se concentrer sur les choses spécifiques pour maintenir un état vital de gratitude et à la fin, il vous propose une méditation guidée. J’espère sincèrement que cet épisode aura un impact positif sur vous, je vous embrasse fort et je vous laisse en compagnie de Jonathan Lehman, l’inventeur de la communautés des Antisèches du bonheur
Mes premières pensées vont à celles et ceux qui souffrent. Mentalement, physiquement, moralement, financièrement, économiquement. Vous êtes de plus en plus nombreux à écouter ce podcast alors je vais en profiter pour répéter un message qui semble t’il n’est pas encore assez compris : RESTEZ CHEZ VOUS. Applaudir le personnel soignant le soir c’est bien, mais respecter le confinement est une obligation civique et ce que l’on a trouvé de mieux pour le moment pour vaincre cette pandémie. Alors RESTEZ CHEZ VOUS. De tout mon coeur, j’espère que nous sortirons tous rapidement et grandis de cette épreuve sans précédent. Je ne sais pas si je pourrai vous aider mais sachez que vous pouvez m’écrire, ou même m’appelez si ça ne va pas. Mon email : estelle.abbou@gmail.com (mailto:estelle.abbou@gmail.com) Précision avant de vous présenter mon invité de la semaine : cette épisode a été enregistré il y a quelques temps. Très peu de temps après la cérémonie des Césars et au tout début de la pandémie du coronavirus. Ni moi ni mon invité ne pouvions donc avoir notion de l’ampleur de ce que nous vivons actuellement. Il est important de le retenir pour que vous puissiez remettre nos propos dans leurs contexte temporel. Mais malgré le timing, cet épisode est un heureux hasard. Il reste d’actualité car il est principalement question de la peur. Quand j’ai réécouté notre conversation, j’ai été réconfortée par le son de sa voix et son rire. Et j’espère qu’il en sera de même pour vous. Passionné par la question de la créativité et de l’expression des émotions, il est un révélateur de personnalité, un créateur, un musicien, un artiste et un gran altruiste. Un chef d’orchestre, un révélateur de soi, un créateur, un musicien de la vie. Son parcours dans le monde musical est impressionnant. Il mêle direction artistique et thérapie holistique à destination de publics divers et variés. Son moteur est d’accompagner chaque personne dans son intelligence émotionnelle pour mener une existence créative. Il a travaillé avec des artistes tels que Christine and the Queens, Eddy De Pretto ou encore Grand Corps Malade. En 2018 il crée le compte Instagram et le podcast Balance ta peur qui célèbre la vulnérabilité comme une force de nombreux anonymes. Avec lui nous avons parlé de son parcours, de ses origines et de ses parents danseurs. De l’énergie du corps et de psychogénéalogie, du rapport au père quand il est question d’être un homme, de la peur du coronavirus, d’Amour, de liberté, de l’angoisse du choix, de la charge mentale liée au couple, de ses peurs, de méditation, de guerre et de la beauté des personnes qui ont souffert. Il porte bien son prénom. Allez maintenant j’arrête de parler et je laisse la parole au génial ANGELO FOLEY
"Nous sommes nés à un moment donné, en un lieu donné et, comme le vins millésimé, nous avons les qualités de l’année et de la saison à laquelle nous sommes nés. L’astrologie ne prétend pas à quelque chose de plus". Cette phrase est de Carl Jung, figure de la psychologie analytique. Si je le cite c’est pour vous parler d’astro psychologie. Une discipline de tradition américaine et anglaise, encore peu développée en France. Ca consiste d’une part à utiliser l’astrologie pour mieux se connaitre, et d’autre part à proposer un accompagnement thérapeutique pour trouver ou RE trouver son équilibre. Il y a quelques temps, je me suis instinctivement intéressée à l’astrologie et de fait à l’astro psychologie. Après quelques recherches et un joli hasard, j’ai un peu le sentiment d’avoir trouvé une perle au milieu d’un océan devenu vaste et agité pour venir en parler dans réelles. Sa vocation : faire du thème astral, un outil de développement personnel. Après un parcours académique classique, elle a été enseignante et journaliste. Il y a deux ans, elle a décidé d’entreprendre et de devenir astro psychologue. Elle est rationnelle, authentique, travailleuse et ultra cultivée. Avec elle nous avons bien entendu parler de sa vision de l’astrologie loin des prédictions, de libre arbitre, toujours au coeur de son approche, de l’astrologie malencontreuse et parfois même destructrice, de cette fameuse rétrogradation de Mercure même si elle est redevenue directe le 10 mars, de la lune, de nos soleils, de nos maisons, de ses références littéraire et surtout de l’impact positif que peut avoir l’astrologie dans la quête d’équilibre et dans nos rapports à l’autre. L’uivers a une intelligence amie, elle en a la conviction. Bonne écoute avec la géniale Leah Philpott. Et pour la contacter c'est par là : https://www.philpott-astrocoach.com/accueil
Il y a peu de temps j’ai ouvert Forbes et j’ai vu ma maman dans le classement des femmes d’influence. J’étais non seulement fière mais très très émue. C’est du perso mais j’assume totalement. J’ai besoin de lui rendre hommage à elle et à son réseau de femmes entrepreneuses qui s’appelle Wimadame. Car finalement c’est en grande partie grâce à elle que je sais ce que veut dire ténacité, conviction et combats au féminin. Ce qui m’a beaucoup touché c’est que c'est un homme qui est à la source de la reconnaissance de son travail. Cet homme, vous allez l’entendre dans ce podcast il est profondément féministe. Il est patron de presse indépendant féministe. Ca ne court pas les rues donc j’ai voulu comprendre sa démarche, et je pense que vous allez vous en rendre compte, il a une énergie positive assez rare et ses messages simples sont utiles. Il est entrepreneur, généreux, courageux et surtout toujours de bonne humeur. Avec lui on a parlé de la licence de marque comme outil pour créer son entreprise, de méritocratie en France, de la garage mentality à savoir faire avec rien, de l’indépendance capitalistique quand on est patron de presse, de sa vision de l’économie française, de la différence entre héritier et milliardaire, des femmes entrepreneuses en france qui sont bien souvent aussi des influenceuses, de Bernard Arnault et de ses conseils business quand on entreprend. Je suis ressortie de l’interview de très bonne humeur et j’espère que ça sera le cas pour vous aussi. Bonne écoute avec Dominique Busso, PDG de Forbes France.
L’hypnose. On en parle beaucoup. Personnellement je n’y croyais pas. Et puis, j’ai rencontré des gens pour qui ça a marché. Alors j’ai voulu creuser le sujet avec une de mes très bonnes amies qui a décidé de devenir hypnothérapeute après une carrière durant laquelle nous nous sommes rencontrées. Elle a accepté de prendre le micro et ça n’était pas acquis car elle attache une grande importance à respecter non seulement sa pratique mais également la confidentialité qui s’y rattache. Vous allez voir, je pose des questions toutes bêtes et j’espère que ça vous sera utile si tout comme moi vous aviez une forme de réticence sur le sujet. Avec elle, on évoque les origines de l’hypnose, la thérapie au sens large qui relie corps et esprit, l’état de pleine conscience, les maux de notre époque, le charlatanisme dans ce secteur, la PNL et aussi ce qu’implique une reconversion pour devenir sa propre patronne. Elle ne vend rien, elle explique ce qu’elle fait pour démontrer que l’hypnose a bel et bien un impact positif. Et j’insiste pour dire que c’est important pour moi de soutenir des femmes entrepreneuses qui ont changé de voie pour trouver la leurs. Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à Alix George hypnothérapeute. Pour la contacter, c'est par là: https://alixgeorge-hypnotherapie.com/
Episode à contre emploi! Il est acteur, réalisateur, scénariste, comédien. Il nous a fait rire, beaucoup rire avec Jean Paul Roove parmi les Robins des bois et aussi en associant son talent à celui d’autres illustres personnalités comme notamment Dominique Farrugia, Alain Chabat Je dis à contre emploi, car au fil de notre discussion, je suis certaine que vous aurez le sentiment de découvrir d’autres facettes de sa personnalité. Il est profondémment humble et intelligent et avec lui nous avons parlé de ses parents soixantuitards, de ce que c’est qu’être un homme de 50 ans aujourd’hui, de l’échec, de paternité, de la dyslexie, de ses engagements humanitaires, de ses projets, de la vie après la mort, d’Edouard Baer mais surtout surtout d’un sujet qui nous tient à coeur à tous les deux : l’hypersensibilité. Pour ne rien vous cacher, j’ai encore une fois oublié le micro emportée par ses propos plein de sens et d’impact positif. Alors maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole au génial Maurice Barthélemy.
Je refuse de dire qu’ils sont jeunes même s’ils ont 21 ans. Cela impliquerait de minorer leurs talents, leurs intelligences, leurs maturités et l’impact de leur entreprise sur nos cerveaux. Ils sont les fondateurs du compte instagram Diversification Littéraire. Ils s’appellent Grégoire Vazzoler et Louis Haeri. Ils postent des citations d’auteurs, des photos et des œuvres d’art pour rendre accessible et donner l’envie de lire, de se cultiver et donc de grandir, quel que soit notre âge. Mais même si vous n’avez pas instagram, même si vous n’aimez pas la littérature, vous allez découvrir, je le pense sincèrement, deux génies. Au delà de leur communauté de plus de 20.000 abonnés, ils agissent pour le bien commun. Durant notre discussion nous avons parlé de ce que c’est que d’avoir 20 ans aujourd’hui, du droit à la culture, de littérature bien sûr, du monde de l’édition à notre époque où le marketing prend souvent le pas sur l’art; de cinéma; de féminisme; de Romain Gary ; des bienfaits de la lecture, potentiellement le meilleur coach en développement personnel et également de leur projet de podcast et de média. Cet épisode a un réel impact positif, je dirai même qu’il est d’utilité publique donc je vous invite à le partager le plus largement possible et à prendre un stylo pour noter leurs références littéraires. Merci à vous deux @diversificationlitteraire ! Et bonne écoute à vous mes ami(e)s! #diversificationlittéraire #littérature #lire #culture #librairie #art #création #jeunesse #impactpositif #inspiration #développementpersonnel #éditionlittéraire #romaingary #gustaveflaubert #écrire #transmission
Cet épisode a été rendu possible grâce à Marc Fiorentino. Non pas en tant que sponsor ;-) mais c'est lui, un de mes premiers patrons devenu ami, qui m'a dit "rencontre Pascal Chevalier". Enfant biberonnée à la presse, journaliste de formation, j'ai sauté sur l'occasion de rencontrer l'homme qui a bouleversé une économie qui me passionne, à savoir celle des médias. Il est à la tête du groupe qu'il a fondé, Reworld Media. SI vous ne voyez pas de quoi il s'agit, quelques chiffres : 483 Millions d'euros de CA, un EBITDA de 37,2M euros Audience de 17 millions de visiteurs uniques mensuels 150 millions d'exemplaires vendus sur l'année 2018 2,4 millions d'abonnés à ses magazines 21000 vidéos propriétaires, 9 millions de fans et followers sur les réseaux sociaux. Plusieurs dixaines de marques médias à son actif, dont Marie France, Grazia, Be, Biba, Maison & Travaux, Télé Magazine, Auto Moto, Sciences & Vie, Auto plus, Le Chasseur Français et bien d'autres. Par des acquisitions successives, notamment Mondadori France, Reworld Media est aujourd'hui le leader français des médias thématiques, le 1er éditeur de presse thématique et le 4ème groupe média thématique dans le digital. J'avais entendu des choses sur Pascal Chevalier, mais j'ai toujours préféré me faire mon opinion par moi même. Et je n'ai pas été déçue. Je ne m'attendais pas à rencontrer une incarnation aussi puissante de l'entrepreneur positif. Je pense qu'il n'a peur de rien. Ou en tout cas pas de grand chose. Avec lui, on a parlé de la nécessité de voir les choses en grand lorsque l'on entreprend, de la transformation qui dérange quand on veut bouger les lignes, de l'économie des médias, de la dimension humaine dans la reprise d'entreprise, de marketing digital, de Fifty Partners, de sport, des régions françaises, de sa vision de la France, du don et du partage nécessaire avec son équipe lorsque l'on veut être un patron ou une patronne nouvelle version. Un jour on m'a dit, la vie c'est comme la bicyclette, si tu arrêtes de pédaler tu tombes. Il y a en qui avance très vite, et distille de l'énergie positive au passage. Alors bonne écoute avec Pascal Chevalier, fondateur et PDG de Reworld Media!
Elle est drôle. Elle est vraiment très très drôle. Elle est entrepreneuse. Elle n’a jamais donné d’interview. Je suis donc très honorée. L'humour est la plus belle des formes d’intelligence selon moi. Je l'ai repéré sur instagram car elle me faisait beaucoup rire. Je lui ai écrit pour l'inviter dans mon podcast et elle m’a dit oui. Avec elle on a parlé de son parcours, des petits jobs qui apprennent beaucoup, de son entreprise, de sa vision des relations sentimentales à l’heure des réseaux sociaux, de fidélité, de la bêtise humaine, du racisme, d’écologie, des enfants et de ce qu’ils ont à nous apprendre, de la colère, de la compétition vis à vis de soi. de ce qu’une femme peut observer et faire dans un milieu masculin, de son futur spectacle, et du remède par l’humour en toutes circonstances y compris la mort d’un proche. Je vous préviens, j’ai hésité longuement au montage car je pleure dans l’épisode... J’ai failli l’enlever ce moment un peu bizarre et je me suis dit que c’était plus naturel de le laisser. Allez maintenant j’arrête de parler et je laisse la place à ma conversation avec la formidable Sara Connard la créatrice du compte instagram du même compte. Bonne écoute! Estelle.
Au programme pour le premier épisode de 2020, un sujet qui me passionne tant il est vecteur de liberté : les femmes et l’argent. Je ne sais pas si vous le savez, mais je suis très impliquée dans la formation à HEC Entrepreneurs. J’en suis sortie saine et sauve et diplômée en 2012, et depuis j’essaye de rendre du mieux ce que cette formation m’a apporté en m’impliquant dans sa pédagogie. C’est à HEC que j’ai rencontré la femme que vous allez entendre dans cet épisode. Honnêtement, elle m’a épatée. C’est SUPER rare d’entendre un discours sur les femmes et l’argent, chiffrée, argumentée et concret. Dans cette conversation, il y des preuves de l'importance d'avoir des femmes dans l'économie. Après un passage en cabinet ministériel, puis à Harvard, elle fait le choix de servir l’intérêt général dans le secteur privé en investissant dans des entreprises à impact via Fiblac (Family Office de la Financière de Blacailloux qu’elle a monté et dirige encore aujourd’hui).Elle est également au board d’AngelSquare Fintech dont on parle pendant l’épisode. et spécialiste des sujets de genre. Elle figure dans le classement des Business Angels français les plus actifs. Avec elle on a notamment parlé de la diversité comme facteur clef de succès d’une entreprise, de l’impact positif dans le secteur de l’investissement, de maternité bubble gum toute parfaite sur instagram qui peut faire du mal aux mamans, du collectif SISTA qui bouge les lignes pour les femmes entrepreneurs, de sa vision de la femme dans notre société, des livres pour enfants et de sororité. Je suis vraiment heureuse de commencer l’année avec cet épisode alors maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à la formidable Valentine De Lasteyrie.
Cette semaine, je vous propose une conversation avec une femme exceptionnelle. Dans tous les sens du terme. Elle a une énergie absolument dingue et, surtout, son action a un impact positif sur de nombreuses familles. Elle est la créatrice du podcast Bliss Stories. Le podcast décomplexé sur la grossesse et l’accouchement. Depuis son lancement il y a un peu plus d’un an et demi, son podcast dépasse les 5 millions d’auditeurs. Son succès est absolument dingue, mais après avoir passé plus d’une heure avec elle, je peux vous garantir qu’elle ne l’a pas volé mais le mérite amplement. J’ai fait une belle rencontre et je suis ressortie de l’entretien avec le sourire et ce que j’aime le plus : l’espoir. Elle a décidé depuis peu de se consacrer uniquement à Bliss Stories et c’est la raison pour laquelle j’ai tenu à la rencontrer maintenant qu’elle a mis son podcast au centre de sa vie. Avec Clementine nous avons abordé les débuts de bliss et son rythme de vie "maman entrepreneuse"; le fait de se sentir utile; les violences obstétricales; la désinformation autour de la maternité; les nouvelles parentalités; l’industrie du podcast; ses coups de coeur et son non coup de gueule. Allez maintenant j’arrête de parler et je laisse la parole à la lumineuse Clementine Galey.
Ce que vous allez écouter est un épisode un peu spécial. Pour mieux vous expliquer les choses, j'ai envie de vous raconter une histoire vraie. Je suis passionnée par l'écrit, l'information et les médias depuis toujours. A une époque j'ai failli racheter un journal. Un titre de presse que je lisais depuis sa création en 2009. Pour la première fois, j'avais entre les mains un journal qui n'objectivait pas la femme mais s'adressait à son cerveau. Une sorte de troisième voix entre les féminins et les news généralistes. Libertaire, sarcastique et transgressant toutes les règles de la presse féminine. Je n'en pouvais plus de refermer les journaux bourrés de pub en me disant que je n'étais pas assez belle, que mon armoire devait toujours se remplir plus, que je devais perdre 3kgs avant l'été ou m'acheter 3 rouges à lèvres par mois. Sa baseline était plus féminine du cerveau que du capiton. Ce journal c'est Causette. Vous n'en avez peut être jamais entendu parler mais il a défrayé la chronique dans le milieu de la presse indépendante alors que toute le secteur de la presse papier vivait une grande crise. Quand on dit presse indépendante ca veut dire deux choses : ne dépend pas d'un groupe de presse et/ou ne dépend pas de la publicité mais de ses abonnés. Et ses abonnés à Causette ils ont été plus de 22.000. Le journal a atteint des scores de diffusion et de vente absolument fous et un chiffre d'affaires de plusieurs millions d'euros. Et puis, en 2016 patatra. Le journal a été placé en redressement judiciaire. Fin 2017, je travaillais sur un plan de reprise et j'ai eu envie de retrouver l'âme du journal. Les personnes qui en étaient à l'origine et qui incarnait ce projet hors du commun. C'est ainsi que j'ai rencontré la femme extraordinaire que vous allez entendre s'exprimer. Elle est co fondatrice du magazine. Elle fait partie de ses femmes qui sont non seulement inspirantes, libres, puissantes, authentiques et surtout drôles ! Aujourd'hui, un an après le mouvement metoo et le redressement judiciaire du titre , j'ai eu envie de revenir aux sources de l'impact positif qu'il a été à il y a 10 ans. Car oui, cette femme, classée par Slate comme l'une des plus influentes de France, avec une équipe formée d'hommes et de femmes, elle a fait bouger les lignes du réel par sa vision d'un féminisme inclusif et non excluant. Et en cela elle a contribué à faire évoluer la place des femmes dans notre société. Pour la petite anecdote, on a enregistré l'épisode chez elle. Si vous sentez des différences dans le niveau sonore c'est juste parce que Liliane quand elle s'exprime elle est passionnée donc elle a pas mal bougé. Sur la table du salon il y avait un petit apéritif, des jus de fruits frais et des fortune cookies. Vous savez ces petits gâteaux avec un message dedans. Le mien c'était une citation de Voltaire : " Rien ne se fait sans un peu d'enthousiasme" Et bien, je peux vous garantir une chose, quand vous aurez écouté cet épisode vous allez en avoir de l'enthousiasme. Je pense aussi que vous allez être surpris par sa vision, qu'elle va vous donner envie de réfléchir et surtout je crois qu'elle va vous faire rire. On a parlé de plein de choses dans cet épisode, de l'époque Charlie Hebdo, de presse, d'information, de culture, de vibration féminisme, de l'amour pour nos hommes, de migration, d'énergie et de chocolat. Allez maintenant, j'ai assez parlé, place à mon invitée, la cofondatrice du magazine Causette, Madame Liliane Roudière.
En amont de cet épisode, à nouveau, un grand merci à vous toutes et tous d’être de plus en plus nombreux à écouter réelles. Il existe grâce à vous. Vous en êtes les co créateurs. Donc merci pour vos messages, votre soutien et votre généreuse présence. Merci également à Vincent Rochette qui s’occupe du montage des épisodes et sans qui je ne pourrai pas faire tout ce que je fais en ce moment. N’oubliez pas de vous abonner au compte instagram du podcast @reelles_podcast, à partager l’épisode, de mettre des commentaires et des étoiles là où vous le pouvez, mais aussi de vous abonner sur la plateforme de votre choix car le podcast est désormais disponible partout. Maintenant je passe à l’invité de la semaine. Nelson Mandela a dit « L’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde ». J’ai également cette conviction et l’homme que vous allez entendre souhaite rendre accessible le savoir au plus grand nombre. Mais pas seulement. Il veut connecter le savoir à l’employabilité. Je pourrais vous dire que c’est le fait d’être parvenu à lever 60 millions de dollars, un record mondial cette année dans le secteur de la ED TECH mais en fait il m’a épaté par sa simplicité, son honnêteté, son intelligence bien sur, et surtout car son entreprise est littéralement un projet de vie qu’il a démarré à 13 ans. Avec lui nous avons parlé de ce projet de vie, de sa vison, de sa mission, de l’organisation actuelle de cette entreprise en pleine croissance, de ses futurs challenges, de ce qu’il pense des marché de l’emploi et de la formation en France mais aussi de ce qu’il ressent depuis cette investissement hors du commun. Ecoutez l’épisode jusqu’à la fin car son coup de gueule va surement éveiller en vous quelque chose. Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à Mathieu Nebra, le cofondateur d’Openclassrooms.
Psychologue clinicienne de formation, elle est également auteur du livre « La puissance du féminin sacré ». Et pepep messieurs restez là car cet épisode vous concerne aussi. Elle inscrit sa pratique dans une démarche féministe pour comme elle le dit, « penser la liberté des femmes et leur empowerment ». Elle porte en elle un éclairage non clivant, axé sur l’équilibre entre ce que chaque personne, homme ou femme, porte en elle, de féminin et de masculin. Avec elle nous avons abordé des sujets qui me tiennent à coeur. La puissance féminine comme vecteur d’émerveillement, l’enfant divin, la femme sauvage, la maternité, l’image de guerrière fabriquée par le patriarcat et surtout un sujet qui me concerne personnellement, les femmes qui ne veulent pas d’enfants. Je sais, je changerai peut être d’avis. Et en tout cas cet épisode m’a éclairé. J’espère qu’il vous plaira et surtout vous aidera à voir plus clair en vous ou en l’autre. Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à l’éclairante Camille Sfez
Psychologue clinicienne de formation, elle est également auteur du livre « La puissance du féminin sacré ». Et pepep messieurs restez là car cet épisode vous concerne aussi. Elle inscrit sa pratique dans une démarche féministe pour comme elle le dit, « penser la liberté des femmes et leur empowerment ». Elle porte en elle un éclairage non clivant, axé sur l’équilibre entre ce que chaque personne, homme ou femme, porte en elle, de féminin et de masculin. Avec elle nous avons abordé des sujets qui me tiennent à coeur. La puissance féminine comme vecteur d’émerveillement, l’enfant divin, la femme sauvage, la maternité, l’image de guerrière fabriquée par le patriarcat et surtout un sujet qui me concerne personnellement, les femmes qui ne veulent pas d’enfants. Je sais, je changerai peut être d’avis. Et en tout cas cet épisode m’a éclairé. J’espère qu’il vous plaira et surtout vous aidera à voir plus clair en vous ou en l’autre. Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à l’éclairante Camille Sfez
Psychologue clinicienne de formation, elle est également auteur du livre « La puissance du féminin sacré ». Et pepep messieurs restez là car cet épisode vous concerne aussi. Elle inscrit sa pratique dans une démarche féministe pour comme elle le dit, « penser la liberté des femmes et leur empowerment ». Elle porte en elle un éclairage non clivant, axé sur l’équilibre entre ce que chaque personne, homme ou femme, porte en elle, de féminin et de masculin. Avec elle nous avons abordé des sujets qui me tiennent à coeur. La puissance féminine comme vecteur d’émerveillement, l’enfant divin, la femme sauvage, la maternité, l’image de guerrière fabriquée par le patriarcat et surtout un sujet qui me concerne personnellement, les femmes qui ne veulent pas d’enfants. Je sais, je changerai peut être d’avis. Et en tout cas cet épisode m’a éclairé. J’espère qu’il vous plaira et surtout vous aidera à voir plus clair en vous ou en l’autre. Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à l’éclairante Camille Sfez
On a coutume de dire que derrière un grand homme il y a une femme et inversement. L’homme que vous allez entendre me donne envie de remplacer "derrière" par "à côté". Il est le co fondateur de la marque de joaillerie semi mesure Gemmyo. Il est également l’époux et l’associé de Pauline Laigneau. L’impulsion de départ pour lancer ce podcast était faite de plusieurs volontés : parler vrai, no bullshit, mettre en lumière des personnalités remarquables et pas forcément sur médiatisée mais également autant d’hommes que de femmes sans distinction autre que la quête de progrès social. J’ai déjà reçu sa femme dans mon podcast et j’ai eu envie de lui donner la parole à son tour. En écoutant ce podcast vous allez sûrement avoir le sentiment d’écouter un discours non seulement brillant mais surtout impactant par sa sincérité. On aborde plein de sujets avec Charif. Le Liban, les valeurs familiales, Harvard, la psychothérapie, la confiance en soi, la peur, l’entrepreneuriat, les fonds d'investissement, l’écologie, là parentalité et le gaming. J’ai passé un moment génial avec Charif. C’est une immense chance de l’écouter. Allez maintenant j’arrête de parler et je laisse la parole à Charif Debs, le co fondateur de la marque Gemmyo.
1ère business Angel de France, psychologue de formation, leader et pionnière de ce que l’on appelle les "chasseurs de tête", entrepreneuse et jardinière, elle a crée son cabinet de conseil en recrutement de cadres en 1980. Elle a donc aidé une immense quantité de gens dans sa vie. Sa motivation : l’humain, l’humain, l’humain. Avec elle nous avons bien entendu parlé d’entrepreneuriat en France, de sa vie personnelle, de sa vision du monde des ressources humaines dans une société de plus en plus robotisée, de la transmission par l’incarnation mais également de défi, d’échec et de réussite. Si vous tapez son nom sur internet, je pense que vous vous rendrez compte par vous même que cette femme est l’impact positif par excellence. Allez maintenant j’arrête de parler et je laisse la parole à Madame Chantal Baudron.
Selon LUI, notre premier ennemi est la tyrannie du mental. Ce petit dictateur que nous avons dans la tête. Franco américain, à 25 ans il est avocat dans un grand cabinet à NY. Gros salaires et hôtels de luxe et grande carrière en vue. Mais il n’est pas heureux. Il plaque tout et se met en quête de ce qu’est le bonheur. Il voyage ailleurs, en Californie notamment, et surtout en lui pour devenir ce qu’il appelle un "étudiant du bonheur". De cela il crée une communauté de 85.000 personnes sur Facebook à savoir "Les antisèches du bonheur", mais également un livre "Journal intime d’un touriste du bonheur", une application, des conférences, TedX et en entreprises mais surtout des vidéos de méditation gratuites sur youtube. En fait Jonathan c’est un entrepreneur de la cause heureuse. Et à son contact, je peux vous garantir que vous avez le sourire et vous vous sentez en paix. Avec lui on a parlé de son parcours, de méditation, de son expérience Vipassana, des bienfaits de la gratitude, du développement personnel en tant que nécessité actuelle, d’addictions et de ce que l’on peut faire pour les réduire, d'Eckart Tolle, Mr Instant présent, de sexe tantrique et de sa vision plus qu’éclairante du monde qui se transforme autour de nous. J’ai passé un excellent moment avec Jonathan et j’espère que vous allez également apprécier cet épisode! Allez maintenant j’arrête de parler et je laisse la parole à Jonathan Lehmann.
J’ai rencontré Justine Courtot par l’intermédiaire d’un de mes plus précieux amis. Il sait ce qui m’anime et ce que j’admire et il m’a dit : Il faut que tu rencontres cette fille! Ce que j’admire : La maternité, la douceur, La force, la vibration féminine, l’audace et l’action. Justine incarne tout ça. A 23 ans elle a déjà fait tout un tas de choses. Maman, journaliste à voix haute pour le mag twenty notamment, magiqtrale instagrameuse, décapsuleuse de tabous, aventurière de la cause féminine. Elle est à l’origine du documentaire « 28 jours » sur les règles. https://www.youtube.com/watch?v=X1R5pBpKgVE Bam! Tabou dégommé. 800.000 vues. Je ne sais pas si vous êtes au courant mais en France cher pays de mon enfance et des libertés, Instagram supprime des comptes abordant des sujets qui peuvent déranger. Ce fut le cas de son compte Instagram « 28 jours » à 65.000 abonnés. Par contre on a le droit d’être fasciste sur Twitter au passage. Bref, comme d’autres comptes en avril dernier, son compte 28 jours a plus de 60.000 abonnés, à été supprimé pour avoir osé parler d’un sujet qui concerne pourtant toutes les femmes. Et ce que j’adore chez Justine c’est qu’elle ne s’est pas découragée elle en a récréé un autre tout de suite après : il s’appelle Sang.sations. Un compte qui décomplexe les règles. Donc en fait Justine, c’est un peu une maman pour plein de jeunes femmes. Elle rassure, elle se documente, et donc, elle aide et soigne le monde. Pour de vrai. Dans cette épisode on a bien sûr parlé de son parcours, de son documentaire 28 jours dispo sur YouTube, mais également de son avis sur le monde gynécologique et de la liste de recommandations de Gynécos qu’elle a mis en place gratuitement, des coulisses de la censure sur Instagram, des femmes libres et des moins libres, du voile, de sa vie de maman et de son prochain podcast À CORPS OUVERT qui donne la parole aux prostitués. Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse place à la géniale Justine Courtot
Prix Goncourt du premier roman en 2018 pour son livre « Grand Frère » et finaliste du prix Médicis, l’homme que vous allez entendre est en fait bien plus qu’un auteur. Diffusant une joie de vivre incroyable et beaucoup d'humour, il apprend sans cesse, il transmet et touche à tout ce qui relève de la narration avec curiosité et entrain. Il est né apatride d’une mère turque et d’un père kurde réfugié en France. De nationalité française depuis l’âge de 10 ans, il a grandi dans la banlieue de Nantes. Dès l’âge de 14 ans il a fait plein de boulot pour payer ses études. Il a été auditeur et consultant dans un grand cabinet de conseil. Il a participé à la création de l’hebdomadaire LE UN dont il a été le Directeur exécutif aux côtés d’Eric fottorino. Il m’a sensibilisé à la cause kurde, et notamment celle des femmes combattantes dont trop peu de gens parlent. Durant cet épisode, on a parlé de son livre bien sur. Un thriller multi histoire incisif, sur fond de terrorisme, entre humour et gravité. Avec Mahir, on a l’impression d’être à la fois avec un frère, un prof, un copain et un savant. Alors toujours sur un ton drôle et léger, on a abordé, l’écriture, le processus créatif et son parallèle avec le sport, la France, son expatriation à Berlin pendant un an et les bons côtés du modèle allemand, le cinéma, son avis bluffant sur ce qu’est l’identité française, les médias en France et leur manière d’attiser les pulsions froides chez l’humain mais également le catastrophisme et ses effets pervers sur la question écologique. Bref, un épisode à fort impact positif, bourré de bonne humeur et de sagesse. Alors maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole au génial Mahir Guven.
Je crois que son interdiction créé du fantasme autour d’elle en France, comme nulle part ailleurs où elle est légale. Elle est considérée comme le plus vieux métier du monde et le plus mystérieux en même temps. La prostitution a été traitée par les plus grands auteurs français mais j’ai eu récemment entre les mains un livre contemporain qui en parle avec grâce au point que je n’ai pas pu le lâcher avant de l’avoir fini. Ce qui m’arrive rarement au delà de 300 pages. Il s’appelle LA MAISON. Son auteur, Emma Becker. Sa plume est si puissante et belle que j’aurais adoré vous lire le livre dans sa globalité. Toutes ses oeuvres parlent du désir et de sa mécanique. Un sujet qui me passionne. Dans "La Maison", elle parle de son expérience vécue pendant deux ans au sein d’un bordel à Berlin. Elle évoque la prostitution choisie, et non subie. Ce qui m’a le plus troublé dans ce livre c’est cette mise en danger pour faire d’une expérience personnelle une prise de vue universelle. Dans cet épisode, je vous mets un peu en garde, nous parlons beaucoup de sexualité, des hommes, des femmes, des relations entre eux, de féminité, de la mécanique du désir, de ce que l’on appelle « plan Q » et de sa potentielle rémunération pourquoi pas.. mais également du voile, de la maternité et de ce que les hommes viennent chercher au bordel. Bref, c’est un épisode très fort. Je l’ai adoré et j’espère que vous passerez un bon moment! Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à la géniale Emma Becker.
Train de vie, Vas vis et deviens, le concert, la source des femmes, l’Histoire de l’Amour. Dans tous ses films, il y a sa culture, son humour, sa sensibilité, ses combats, son engagement. Poétique, optimiste, réaliste et humaniste, il n’a jamais lâché son humilité. Fervent militant de l’exception culturelle française et des droits d’auteur, l’homme que vous allez entendre est également un des plus grands féministes que j’ai eu la chance de rencontrer. Le féminisme que je défends, en tant que vecteur de progrès social. J'ai connu les films de Radu avant lui, lorsque je travaillais au service acquisitions de Cinéma de CANAL PLUS et aujourd’hui, je suis heureuse de le compter parmi mes amis. Nous avons parlé de son arrivée en France pour fuir le régime de Ceausescu en roumanie, mais également de ses valeurs, de ses combats, des riches, des pauvres, des droits d’auteur, de cinéma bien entendu, et de l’Amour avec un A majuscule. Alors maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à Radu Mihaleanu.
Si vous faites des politiques Estelle, vous êtes foutue! Voilà ce que m’a dit un de mes mentors lorsque je lui ai annoncé le nom de l’homme que vous allez écouter durant cette interview. Et puis, j’ai bien réfléchi et je me suis dis que j’avais déjà reçu Gaspard Gantzer, donc allons y et on verra bien. Et puis tout comme pour Gaspard Gantzer c’est ce que j'appelle une "demande entrante". Ca n’est pas moi qui lui ai proposé une interview dans mon podcast, c’est son service de communication qui m’a contacté. J’ai accepté, comme je l’ai fait pour Gaspar Gantzer, car j’ai apprécié leur démarche qui s’inscrit dans ce que je défends : une envie d’avoir et de partager au plus grand nombre, un échange au temps long, non limité par deux encarts publicitaires consuméristes et surtout une interview libre, libérée des exigences de l’image, avec de questions que j’ai moi même choisies. Pour l’anecdote, j’ai du les envoyer en amont ces questions. Je n’aime pas ça mais je l’ai fait en me réservant le droit d’en poser d’autres au fil de l’interview. Aussi, j’avais une heure chrono et j’aurais bien voulu que ça dure plus longtemps car je n’ai pas pu aborder tous les sujets que je voulais. Autre élément de making off qui m’a agréablement surprise : J’ai récemment acheté des bras, pas des prothèses mais des bras métalliques pour fixer mes micros sur la table. En face à face, je comptais m’en occuper mais mon invité s’en est chargé. Premier indice sur le fait qu’il soit accessible. D’autres m’auraient surement laissé galérer en regardant leur montre… Bref, face à moi, je n’ai pas eu le sentiment d’avoir un homme politique mais un homme qui entreprend quelque chose, là maintenant. Dynamique et réactif. J'ai essayé tant bien que mal de parler de lui, et pas trop de politique. Pas évident comme exercice je vous l’accorde. Donc on évoqué de ses origines, de ses valeurs, de ses défauts, de ses qualités, de sa démission du gouvernement pour la conquête de la mairie de Paris, des médias, d’entrepreneuriat en France, de sa femme, d’écologie, des castes, des élites et bien entendu, un petit peu de son programme. D’abord militant du parti socialiste, il a exercé plusieurs mandats locaux en Saone et Loire. Il a été membre du cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine entre 2012 et 2014, et directeur de la com d’Unibail Rodamco. En 2015, il participe à la fondation d’En Marche aux côtés d’Emmanuel Macron et devient porte parole du mouvement, Il est élu député en 2017 dans la 5ème circonscription de Paris et devient secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie et des Finances au sein du gouvernement Édouard Philippe II. De 2017 à 2019, il est porte-parole du Gouvernement. Et il a récemment démissionné pour se présenter aux élections municipales de 2020 à Paris, et pour lesquelles il obtient l'investiture de La République en marche. Allez maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à Benjamin Griveaux.
Ne demande pas ton chemin, tu risquerais de ne pas te perdre. Voilà ce que m’inspire la femme que vous allez entendre dans cette interview aussi intimiste qu’inspirante. Originaire de Belgique, elle est une artiste aux multiples facettes. Aujourd’hui DJ et productrice, elle voulait faire du cinéma au départ. La vie étant plus surprenante qu’on ne le pense, sa scène est aujourd’hui électronique et parisienne. Entre techno dure et féminité glaçante, elle distille son art également aux 4 coins de la planète mais aussi pour de grandes marques de luxe. Si vous sortez à Paris, vous l’avez surement déjà vue. D’ailleurs, on en parle beaucoup des nuits parisiennes dans cet épisode. En l’écoutant, vous aurez peut être l’impression d’être une petite souris qui s’invite en cachette une conversation entre deux copines. Car même si on a parlé bien entendu de son parcours, de son métier de DJ, de son rythme de vie, de ses références musicales et artistiques on a aussi discuté, comme toutes les filles finalement, des relations hommes femmes à l’heure des réseaux sociaux, des dérives du mot « féministe » et du sens de la fête. Alors maintenant, j’arrête de parler et je laisse la parole à Nathalie Duchêne.
Pour démarrer cette saison 2 de mon podcast REELLES, je n’envisageais que lui. Il s’appelle Matthieu Stefani, c’est le fondateur de plusieurs entreprises dont l’agence d’innovation Cosa Vostra et le créateur de l’addictif podcast Génération Do It Yourself. Il est audacieux, courageux, généreux et authentique. Je l'admire pour ce qu'il est en tant qu'homme et je suis heureuse de partager avec vous cet échange. Avec lui on a parlé du podcast et de son modèle économique, de son podcast, d’entrepreneuriat, de ses mentors et sources d'inspiration, de déshumanisation, de ses coups de coeur, de ses passions et de ses coups de gueule. J’ai adoré cet épisode. Il donne de l'énergie et j’espère que vous recevrez les bonnes vibes de Matthieu en l'écoutant. N'oubliez pas de vous abonner et de commenter l'épisode! Bonne écoute! Estelle de @reelles_reelles
La voix de l'homme que vous allez entendre va surement vous sembler familière. Vous l'avez peut être déjà entendue au micro de BFM Business lorsqu'il animait une chronique patrimoniale et pour le moins disruptive. Pour moi il a toujours été Monsieur Economie et Monsieur Finance en même temps et il a été mon tout premier patron lorsque j'étais une toute jeune journaliste. Issu d'un milieu modeste, il est devenu l'incarnation de ce que l'on appelle un Golden Boy. L'univers du Loup de Wall Street il le connait bien pour y avoir passé plusieurs années. Après les salles de marché et des postes de direction dans des grandes banques d'affaires, il a décidé d'entreprendre dans la finance en créant la sienne de banque, Euroland Corporate et très vite il est devenu référent dans le conseil aux PME. Un peu plus tard il a crée un site internet Allofinance.com qui deviendra Monfinancier.com très connu pour sa newsletter. Pétri d'humour et d'amour pour l'économie, vous allez pouvoir le constater par vous même, il est très "cash". Il a écrit sept livres dont un grand succès "Un trader ne meurt jamais". Avec lui, on a abordé : - Le rapport des français à l'argent - La société de loisir vers laquelle on bascule selon lui - L'entrepreneuriat en France et pourquoi c'est plus dur ici qu'ailleurs - Son parcours, lui, ses lectures et finalement du sens de la vie je crois... Bonne écoute!
Au début de ce podcast je m’étais dit que je ne ferai pas de politique. Et bien je persiste et signe, je n'ai pas l’impression d’en faire avec l’invité que vous allez entendre malgré le fait qu'il soit bien un homme politique. Il y a quelques jours j’ai été contactée par une charmante jeune femme qui m’a dit : J’adore ton podcast ! J’en ai parlé à Gaspard ! Ca te dirait de l’interviewer pour parler de Paris? Alors qui est Gaspard? Gaspard c’est un candidat à la Mairie de Paris. Il s’agit d’un homme politique à la base, mais désormais c’est ce que l’on appelle un OUTSIDER. Parce qu’il n’appartient à aucun parti politique. Il a fait l’ENA dans la même promotion qu’Emmanuel Macron et même si comparaison n’est pas raison, il m’a un peu fait penser à lui à l’époque des présidentielles. Et en son temps, je dois l’avouer, j’avais apprécié cette nouvelle manière de faire de la politique. Ce côté frais, un peu fou, rêveur. trublion, combattif et donc entrepreneur. Je ne vais pas détailler sa biographie maintenant parce qu’on a abordé son parcours durant l’épisode, je vais juste vous dire que c'est un père de famille, un citoyen comme vous et moi et qui, comme moi, croit à ce qu’on appelle l’effet papillon, à ce petit battement d’aile qui fini par remuer la terre s’il devient collectif et à l’espoir que finalement tout est possible. Alors avec ce potentiel futur Maire de Paris que vous allez écouter, nous avons abordé notre chère capitale, Paris. Ses méandres, ses souffrances, ceux qui la quittent, ceux qui restent, ses défauts, ses odeurs, ses problématiques. Au passage, si comme moi vous n’avez jamais rien compris au fonctionnement des élections du Maire de Paris et aux rouages de la Mairie en elle même, vous allez avoir droit à un cour gratuit. Mais c’est surtout un épisode très riche dans lequel on a abordé beaucoup de sujets importants : périphériques, mobilité, propreté, budget, solitude des parisiens jeunes et vieux, crèches gratuite, écologie, littérature et coups en politique. Il a conseillé François Hollande durant son mandat, il a travaillé aux côtés de Bertrand Delanoe et de bien d’autres personnages politiques célèbres mais ça c’est son passé et moi j’ai préféré discuter avec lui de ce qui me passionne : le présent et le futur et ce qu’il propose de ces deux dimensions pour Paris. Allez, j’arrête de parler et je laisse la parole à celui qui a envie d’avoir un impact positif sur Paris, Gaspard Gantzer.
En introduction de cet épisode je vais me permettre d’expliquer rapidement sa cause. Une partie de mes ancêtres ne sont pas nés sous ce que l'on nomme "une bonne étoile". Ils sont allés la chercher. Ils sont arrivés d’Afrique du Nord en France, ils ont connu la pauvreté, l’assistance publique pour certains d’entre eux, la misère, les nuits dans le métro, bien souvent le ventre vide, et ce que l’on appelle aujourd’hui la "vie en banlieue". Et puis, ils s’en sont sortis. Ils ont "tordu" le destin. Alors c’est peut être pour ça que je suis particulièrement touchée par l’homme que vous allez entendre et vous allez vite comprendre pourquoi. Il est entrepreneur, ses parents ne sont pas ce que certains appellent malencontreusement « français de souche » et il incarne parfaitement ce que j’appelle l’impact positif réel. Il est généreux, hyper actif, débordant d’énergie et surtout il a un coeur immense et une détermination sans faille à changer le monde qui l’entoure. Avec lui on a parlé d’entrepreneuriat, de travail, des banlieues, de solution locale, de course à pieds, de politique et de l’avenir de la France qui selon lui est un pays ou tout reste à faire si on se responsabilise au niveau individuel. Allez, j’arrête de parler et je laisse la parole au génial entrepreneur Moussa Camara, également patron de l’association Les déterminés.
Seul on va vite, ensemble on va plus loin. C’est une phrase qui me fait penser à la jeune femme que vous allez entendre dans cet épisode pour deux raisons. D’abord en tant qu’amie, car elle est une source d’inspiration, de soutien et un modèle pour moi depuis plusieurs années. Ensuite parce qu’elle a monté sa boite en famille, à savoir Gemmyo. Vous en avez déjà peut être entendu parler, c’est une marque de joaillerie talentueuse et audacieuse qui permet de se créer un bijou semi mesure sur internet. Si vous ne la connaissez pas déjà et que vous tapez son nom sur un moteur de recherche, je pense que vous allez vite comprendre que j’ai la chance de recevoir une star de la tech et du made in France. Pour l’anecdote, l’égérie de Gemmyo c’est un mini chat rose que vous avez peut être aperçu dans le métro ou dans les rues. Pauline et moi on s’est rencontrées à HEC Entrepreneurs et depuis on ne s’est pas quittées. On a pas mal de points communs avec Pauline. On est toutes les deux des filles de parents entrepreneurs, et outre notre amitié sans faille, ce qui nous lie aussi c’est l’amour de l’entrepreneuriat, le gout du risque et de l’effort. C’est aussi en grande partie elle qui m’a donné envie de créer mon podcast. Avec Pauline on a abordé des sujets tels que l’entrepreneuriat en famille et au féminin, Le Gratin, son podcast dans lequel elle reçoit des hommes et des femmes ayant connu le succès dans différents domaines pour partager les clés de leur réussite. On a aussi parlé des solutions pour faire qu’une boite survive au temps, des avantages et des inconvénients de la levée de fonds, de ses sources d’inspiration, de discipline, d'entrepreneuriat, de son mari et associé, de kyste surf ou encore de stoïcisme. Allez maintenant j’arrête de parler et je laisse la parole à la géniale et merveilleuse Pauline Laigneau.
T'as joui? Derrière cette question, un compte instagram qui a bousculé la toile et levé le voile du tabou de la jouissance féminine. A sa source, une jeune femme journaliste, débordante d'intelligence, de vivacité et d'authenticité. C'est une inclassable, une dénicheuse de tendances, une fan absolue de sous culture, une créatrice de contenus, une chercheuse et une experte du questionnement. Cet épisode est à son image, il est foisonnant, on a parlé de plein de choses, de la représentation de la femme sur instagram, de sexualité, de la misogynie, de bactéries, d'auto médication, de microbiote, de biodiversité, d'alimentation, de la nécessité d'être soi et de notre rapport à l'autre et à la peur. Elle voit tout en arborescence, elle fait du bien aux gens en partageant ce qu'elle a sur le coeur, elle est sans filtre, elle est en colère, elle pleure, elle rit, elle assume, elle dérange. Allez, je m'arrête là et je vous laisse découvrir l'interview de la géniale et ingénieuse Dora Moutot. Bonne écoute!
Jankélévitch dit que la philosophie ne sert à rien, mais qu’elle suppose en revanche une pratique : elle se fait, plutôt qu’elle ne se dit. Mais pour moi la philosophie c’est aussi l'art ultime du questionnement. En cela, elle est forcément liée à la vie de tous les jours et à l’entrepreneuriat. Mon invité est agrégé de philosophie, diplômé de Science Po Paris et d’HEC Paris. Il enseigne la philosophie, il est également auteur d’une dizaine de livres traduits dans une vingtaine de pays. Mes préférés : La planète de sages, co écrit avec Jules, auteur de bandes dessinés, La confiance en soi et les vertus de l’échec. Ces deux livres sont à lire de toute urgence si cela n’est pas déjà fait. Pourquoi et bien parce qu’ils sont utiles. Et vous allez l’entendre, pour dépoussiérer la philosophie afin de le rendre pragmatique, une seule méthode : le travail. Au travers de cette interview j’ai découvert un homme à l’image de son oeuvre, non seulement brillant mais simple et accessible Alors maintenant, j’arrête de parler, et je laisse la place questionnement avec Charles Pépin.
Malene Rydahl est Danoise et vit à Paris depuis plus de 20 ans. Elle a connu une carrière de riches et exigeantes expériences en entreprise pendant 18 ans, ce qui lui a permis d’intégrer la liste des « 24 femmes de l’année », établie par l’Express en 2014. A présent, Malene Rydahl se consacre à plein temps à sa nouvelle carrière en tant qu’écrivain, conférencière et executive coach à travers le monde. Son premier livre Heureux comme un Danois publié chez Grasset en avril 2014 s’est vu décerner le prix du Livre Optimiste de l’année. Grand succès en France, il a depuis été traduit en 12 langues dans le monde entier. Son dernier livre Le Bonheur sans illusions, publié en septembre 2017 chez Flammarion, s’attache à déconstruire avec humilité le mirage que peuvent représenter cinq ingrédients bien souvent fantasmés – la beauté, le pouvoir, l’argent, la célébrité, le sexe – dans la quête du bonheur et de l’épanouissement individuel. Cette vocation est issue d’un triste constat : les études sur le sujet montrent qu’une grande majorité de travailleurs ne se sentent pas impliqués dans leur travail. Le mal-être des salariés est la source de nombreux problèmes des entreprises : fort turnover des équipes, arrêts maladie croissants, perte de créativité, d’innovation et de productivité. En tant que conférencière, Malene Rydahl intervient sur le thème du bien-être auprès de nombreuses entreprises et institutions, en France comme à l’international, dans le cadre d’événements internes et publics. Diplômée de l’école de coaching Manning Inspire, à Copenhague, en tant qu’exécutive coach, elle a conçu ensuite un programme de masterclass afin d’approfondir ces conférences. Elle y enseigne comment se construire une solide base de confiance, ainsi que de liberté propre, pour accroître ses responsabilités individuelles et ses performances. Enfin, pour un suivi personnalisé, Malene Rydahl propose des programmes individuels d’executive coaching pour les dirigeants d’entreprise qui souhaitent améliorer l’engagement, le bien-être et la performance de leurs salariés. Source : https://www.malenerydahl.com/fr/accueil/ Cet épisode est un bol d'air qui tombe à pic ! Bonne écoute!
Ca ne se voit pas mais je m'y suis reprise à 10 fois avant de trouver la petite phrase à coller à côté du nom d'Ingrid juste au dessus. Peut être parce qu'elle ne peut pas se définir en si peu de signes. Entrepreneuse à 19 ans, maman de deux enfants, elle a bravé vents et marées sur un bateau, a convaincu les plus grands noms de l'art contemporain, a co fondé Panoply (un service de location de vêtements par abonnement ou acte unique) et elle est également la fondatrice du Mumo, le premier musée itinérant d'art contemporain pour les enfants de France et d'Afrique. Officier des Arts et des Lettres, et Chevalier de l'Ordre National du Mérite, Ingrid Brochard m'a donné une leçon : Si l'envie est là, il faut faire, faire, faire, faire... En la quittant j'avais la pêche ! Et à mon avis, c'est contagieux, alors bonne écoute !
Avant de commencer cet épisode, je tiens à vous avertir qu'il raconte une expérience violente et peut heurter la sensibilité de jeunes auditeurs et auditrices et également celles de personnes victimes comme Louise. Louise c'est une femme forte qui a accepté de témoigner sur les agressions sexuelles et la violence conjugale qu'elle a du endurer. Elle a eu envie de témoigner pour un seul but : aider les autres victimes. Si c'est votre cas, peut être que vous ne voudrez pas l'écouter et qu'un jour plus tard vous aurez envie de la faire quand vous serez prête. Avec Louise, on a parlé d'emprise, de confiance en soi, de prédisposition à la violence, de manque d'amour, de prédisposition à la violence, d'indépendance financière, de violence verbale, du circuit judiciaire de la femme battue et de maternité. Si vous souhaitez la contacter pour avoir son soutien, elle est joignable par email : louise.sevres@hotmail.com Bonne écoute.
Achetez moins. Achetez mieux. Faites que ça dure. Qualité, pas quantité. Tout le monde achète beaucoup trop de vêtements. Vous l'aurez peut être reconnu, ce sont les mots de la créatrice Vivienne Westwood. Je ne dois pas faire figure d'exception en disant que j'ai été passionnée par la mode. Je le suis toujours mais différemment. Récemment, je me suis penchée sur la question de la fast fashion et de notre rapport à la consommation de vêtements. J'ai voulu essayer de comprendre qui les fabriquait, ce qu'il y avait derrière en termes humains, écologiques et économiques. Trouver des experts du sujet c'est pas forcément évident en France en tout cas, et j'ai la chance d'avoir été mise en relation avec la Julia Faure que vous allez entendre dans cet épisode. Elle a 30 ans, elle est ingénieure agronome de formation (AgroParisTech) et elle a un master en étude de genres de l'université Autonoma de Madrid. Si vous tapez son nom sur internet vous verrez certaines de ses interventions et je pense qu'elles ne vous laisseront pas indifférents. En 2016 elle a co fondé Loom, une marque de vêtements les plus durables possibles comme elle dit qui a pour ligne directrice de préserver l'humain et l'écologie. Dire juste qu'elle s'intéresse à l'industrie de la mode et du textile, c'est un peu léger. Elle une obsession Julia : rendre public tout ce qui ne tourne pas rond dans cette industrie. Elle lutte contre l'obsolescence programmée de nos vêtements. Si j'ai fait appel à elle ce n'est pas pour parler de sa marque, mais de sa démarche, de sa philosophie entrepreneuriale et de son point de vue d'ingénieure sur la mode. Il y a énormément de vérités qui font un peu peur dans cet épisode. C'est cash, il n'y a pas de marketing et pas de bullshit. Si comme moi vous avez envie d'un point de vue argumenté et chiffré sur l'état de l'industrie de la mode et particulièrement de la fast fashion, cet épisode est pour vous ! Bonne écoute!
Surveille tes pensées car elles deviennent tes mots, surveille tes mots car ils deviennent tes actes et surveille tes actes car ils deviennent ton caractère. Je ne sais plus qui est à l'origine de cette maxime mais j'ai le sentiment qu'elle est assez d'actualité. L'idée de l'interview qui suit m'est venue de l'écoute des mots/maux du moment : D'un côté on entend: Bienveillance, transparence, empathie, authenticité, slow economie, slow food, intelligence émotionnelle, leader sensible. Et de l'autre : Burn out, brown out, dépression, droit à la déconnexion, infobésité ou encore charge mentale. A côté des mots, il y a des chiffres : - 6 entreprises sur 10 sont confrontées à une hausse de l'absentéisme depuis 2 ans. C'est le résultat d'une étude menée auprès de 312 sociétés par l'association Référentiel de l'absentéisme. - Et on estime qu'1 personne sur 5 a souffert ou souffrira d'une dépression au cours de sa vie en France. Alors je ne veux pas plomber l'ambiance mais je me suis récemment demandée si toutes ces injonctions au bonheur et au bien être, qui vont des plans RSE des entreprises aux publicités en passant par la littérature, étaient, pour de vrai, possibles dans la vie réelle. Est ce qu'on a les bonnes informations sur le fonctionnement du corps humain? Est ce qu'on a les bons outils, les bons moyens pour atteindre cette fameuse ambition théorique du bonheur? Pour tenter de comprendre un peu mieux les choses, j'ai eu envie de donner la parole à une invitée - légitime - sur le lien fondamental entre la psychologie et la santé. Il s'agit du Docteur Nathalie Rapoport Hubschman. Il y a quelques mois j'ai assisté à une de ses conférences et j'ai aimé son approche scientifique qui repose sur des faits vérifiables. Elle a un parcours assez impressionnant : Elle est médecin et psychothérapeute formée aux thérapies cognitives. Elle s'est spécialisée en psychologie de la santé et en médecine comportementale. Elle a été chercheur associé à Stanford et plus récemment au sein d'un institut affilié à Harvard. Elle a dirigé un service de psychologie médicale dans un centre hospitalier en Israel. Elle a aussi 10 ans d'expérience dans l'approche psychologique des problèmes d'infertilité. Elle pratique la méditation de pleine conscience, les thérapies humanistes et intègre à son travail d'autres courants comme la psychologie positive et les approches psychodynamiques. Vous l'aurez compris, l'interview qui va suivre n'est pas celle d'une unième apprentie en développement personnel mais bien celle d'une femme scientifique qui va autant intéresser les hommes que les femmes. Elle a écrit deux livres que je vous recommande vivement https://nathalierapoporthubschman.com/livres/ Mon coup de coeur est celui sur les barrières invisibles dans la vie d'une femme. Dans cette interview on a parlé de chamanisme, du lien entre le corps et l'esprit, du capital bonheur génétique, de la vie de couple et d'intelligence émotionnelle. Alors maintenant, j'ai assez parlé et je laisse place à mon invitée Docteur Nathalie Rapoport Hubschman.
Ce que vous allez écouter est un épisode un peu spécial. Pour mieux vous expliquer les choses, j'ai envie de vous raconter une histoire vraie. Je suis passionnée par l'écrit, l'information et les médias depuis toujours. A une époque j'ai failli racheter un journal. Un titre de presse que je lisais depuis sa création en 2009. Pour la première fois, j'avais entre les mains un journal qui n'objectivait pas la femme mais s'adressait à son cerveau. Une sorte de troisième voix entre les féminins et les news généralistes. Libertaire, sarcastique et transgressant toutes les règles de la presse féminine. Je n'en pouvais plus de refermer les journaux bourrés de pub en me disant que je n'étais pas assez belle, que mon armoire devait toujours se remplir plus, que je devais perdre 3kgs avant l'été ou m'acheter 3 rouges à lèvres par mois. Sa baseline était plus féminine du cerveau que du capiton. Ce journal c'est Causette. Vous n'en avez peut être jamais entendu parler mais il a défrayé la chronique dans le milieu de la presse indépendante alors que toute le secteur de la presse papier vivait une grande crise. Quand on dit presse indépendante ca veut dire deux choses : ne dépend pas d'un groupe de presse et/ou ne dépend pas de la publicité mais de ses abonnés. Et ses abonnés à Causette ils ont été plus de 22.000. Le journal a atteint des scores de diffusion et de vente absolument fous et un chiffre d'affaires de plusieurs millions d'euros. Et puis, en 2016 patatra. Le journal a été placé en redressement judiciaire. Fin 2017, je travaillais sur un plan de reprise et j'ai eu envie de retrouver l'âme du journal. Les personnes qui en étaient à l'origine et qui incarnait ce projet hors du commun. C'est ainsi que j'ai rencontré la femme extraordinaire que vous allez entendre s'exprimer. Elle est co fondatrice du magazine. Elle fait partie de ses femmes qui sont non seulement inspirantes, libres, puissantes, authentiques et surtout drôles ! Aujourd'hui, un an après le mouvement metoo et le redressement judiciaire du titre , j'ai eu envie de revenir aux sources de l'impact positif qu'il a été à il y a 10 ans. Car oui, cette femme, classée par Slate comme l'une des plus influentes de France, avec une équipe formée d'hommes et de femmes, elle a fait bouger les lignes du réel par sa vision d'un féminisme inclusif et non excluant. Et en cela elle a contribué à faire évoluer la place des femmes dans notre société. Pour la petite anecdote, on a enregistré l'épisode chez elle. Si vous sentez des différences dans le niveau sonore c'est juste parce que Liliane quand elle s'exprime elle est passionnée donc elle a pas mal bougé. Sur la table du salon il y avait un petit apéritif, des jus de fruits frais et des fortune cookies. Vous savez ces petits gâteaux avec un message dedans. Le mien c'était une citation de Voltaire : " Rien ne se fait sans un peu d'enthousiasme" Et bien, je peux vous garantir une chose, quand vous aurez écouté cet épisode vous allez en avoir de l'enthousiasme. Je pense aussi que vous allez être surpris par sa vision, qu'elle va vous donner envie de réfléchir et surtout je crois qu'elle va vous faire rire. On a parlé de plein de choses dans cet épisode, de l'époque Charlie Hebdo, de presse, d'information, de culture, de vibration féminisme, de l'amour pour nos hommes, de migration, d'énergie et de chocolat. Allez maintenant, j'ai assez parlé, place à mon invitée, la cofondatrice du magazine Causette, Madame Liliane Roudière.