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C'est un feuilleton judiciaire digne des romans d'Agatha Christie. En septembre 1999, le Docteur Yves Godard, médecin installé à Caen disparaît en pleine mer avec ses deux plus jeunes enfants de 6 et 4 ans après avoir probablement tué sa femme. Qu'est-il advenu d'Yves Godard ? A-t-il assassiné toute sa famille ? Plus de 20 ans après cette tragédie, difficile de le savoir. Yves Godard, un homme gênant ? Nous sommes 7 ans après la disparition des Godard. Camille et Marius, les enfants, sont morts. Le crâne de la petite Camille a été retrouvé par des marins pêcheurs en 2000 dans la baie de Saint-Brieuc. Le corps de la mère, Marie-France n'a quant à lui jamais été retrouvé. Celui de Yves Godard, le père, non plus. Quant aux différentes cartes retrouvées sur le sable, elles n'ont pas permis de faire avancer l'enquête. Quoiqu'il en soit, en ce mois de septembre 2006, les quelques gendarmes encore opérationnels de la cellule Godard sont un peu dépités… Découvrez la dernière saison : L'affaire Murdaugh, ou l'héritier du crime Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Caroline Nogueras En partenariat avec upday. Première diffusion : 17 juin 2021 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'humain a utilisé le cheval d'abord comme proie puis comme outil. La "plus noble conquête" de l'humain est ainsi devenu cheval de labour, de transport, de guerre et de boucherie... Un bon ouvrier, un esclave puissant, docile, convertible en steaks easy peasy.Il a aussi été transformé en véhicule de sport : courir plus vite, sauter plus haut… et rapporter de l'argent.En France, l'équitation est le premier sport féminin (85% des 670 000 licenciés). 56% des cavalières ont moins de 16 ans. Dès qu'il s'agit de briller et de gagner, les messieurs reviennent. Plus de 60% des cavaliers des JO de Paris 2024 étaient des hommes. Sur les 12 cavaliers de l'équipe de France, on ne comptait que deux femmes, dont une remplaçante.Quoiqu'il en soit, les professionnels et les amoureux des chevaux ont des certitudes bien ancrées. Un cheval doit :"être ferré""vivre dans un box""manger de l'avoine""être dirigé avec un mors en acier dans la bouche"Dans son livre Le silence des chevaux (Amphora 2025), Pierre Enoff démonte ces pratiques, héritées des militaires. Elles sont autant de handicaps cruels et contre-productifs pour l'autre "meilleur ami de l'humain".Le cheval fait de fait partie des animaux "de rente" (bankable) les plus maltraités du monde :Il est parqué seul dans un box, alors que cet animal social devrait vadrouiller 25 km par jour.Il est ferré alors ses sabots sont faits pour s'user et s'ajuster au millimètre à sa morphologie.Il est nourri avec des pellets alors qu'il a besoin d'herbe fraîche et de plantes finement choisies.Il est sevré à 6 mois alors qu'il n'est encore qu'un bébé, pour faire des courses, amuser la galerie et enrichir toutes sortes de "spécialistes".Grâce à des précurseurs comme Pierre, une révolution est en cours. Cette série la raconte._______
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L'humain a utilisé le cheval d'abord comme proie puis comme outil. La "plus noble conquête" de l'humain est ainsi devenu cheval de labour, de transport, de guerre et de boucherie... Un bon ouvrier, un esclave puissant, docile, convertible en steaks easy peasy.Il a aussi été transformé en véhicule de sport : courir plus vite, sauter plus haut… et rapporter de l'argent.En France, l'équitation est le premier sport féminin (85% des 670 000 licenciés). 56% des cavalières ont moins de 16 ans. Dès qu'il s'agit de briller et de gagner, les messieurs reviennent. Plus de 60% des cavaliers des JO de Paris 2024 étaient des hommes. Sur les 12 cavaliers de l'équipe de France, on ne comptait que deux femmes, dont une remplaçante.Quoiqu'il en soit, les professionnels et les amoureux des chevaux ont des certitudes bien ancrées. Un cheval doit :"être ferré""vivre dans un box""manger de l'avoine""être dirigé avec un mors en acier dans la bouche"Dans son livre Le silence des chevaux (Amphora 2025), Pierre Enoff démonte ces pratiques, héritées des militaires. Elles sont autant de handicaps cruels et contre-productifs pour l'autre "meilleur ami de l'humain".Le cheval fait de fait partie des animaux "de rente" (bankable) les plus maltraités du monde :Il est parqué seul dans un box, alors que cet animal social devrait vadrouiller 25 km par jour.Il est ferré alors que ses sabots sont faits pour s'user et s'ajuster au millimètre à sa morphologie.Il est nourri avec des pellets alors qu'il a besoin d'herbe fraîche et de plantes finement choisies.Il est sevré à 6 mois alors qu'il n'est encore qu'un bébé, pour faire des courses, amuser la galerie et enrichir toutes sortes de "spécialistes".Grâce à des précurseurs comme Pierre, une révolution est en cours. Cette série la raconte._______
L'humain a utilisé le cheval d'abord comme proie puis comme outil. La "plus noble conquête" de l'humain est ainsi devenu cheval de labour, de transport, de guerre et de boucherie... Un bon ouvrier, un esclave puissant, docile, convertible en steaks easy peasy.Il a aussi été transformé en véhicule de sport : courir plus vite, sauter plus haut… et rapporter de l'argent.En France, l'équitation est le premier sport féminin (85% des 670 000 licenciés). 56% des cavalières ont moins de 16 ans. Dès qu'il s'agit de briller et de gagner, les messieurs reviennent. Plus de 60% des cavaliers des JO de Paris 2024 étaient des hommes. Sur les 12 cavaliers de l'équipe de France, on ne comptait que deux femmes, dont une remplaçante.Quoiqu'il en soit, les professionnels et les amoureux des chevaux ont des certitudes bien ancrées. Un cheval doit :"être ferré""vivre dans un box""manger de l'avoine""être dirigé avec un mors en acier dans la bouche"Dans son livre Le silence des chevaux (Amphora 2025), Pierre Enoff démonte ces pratiques, héritées des militaires. Elles sont autant de handicaps cruels et contre-productifs pour l'autre "meilleur ami de l'humain".Le cheval fait de fait partie des animaux "de rente" (bankable) les plus maltraités du monde :Il est parqué seul dans un box, alors que cet animal social devrait vadrouiller 25 km par jour.Il est ferré alors ses sabots sont faits pour s'user et s'ajuster au millimètre à sa morphologie.Il est nourri avec des pellets alors qu'il a besoin d'herbe fraîche et de plantes finement choisies.Il est sevré à 6 mois alors qu'il n'est encore qu'un bébé, pour faire des courses, amuser la galerie et enrichir toutes sortes de "spécialistes".Grâce à des précurseurs comme Pierre, une révolution est en cours. Cette série la raconte._______
Cet épisode est tiré de ma newsletter, pour vous abonner c'est ici!!!Comme je vous. le dis je vous remercie mille fois pour me suivre dans cette aventure de Vlan!J'adore mon célibat actuel, cette liberté exquise de décider de mon emploi du temps sans compromis.Et pourtant, je suis un incorrigible romantique !Ce paradoxe délicieux me constitue et colore ma vie de nuances fascinantes.Cette dualité n'est sans doute pas étrangère à mon histoire familiale.J'ai grandi avec des parents qui se sont rencontrés jeunes, ont eu des enfants à 24 et 26 ans et sont restés ensemble jusqu'à la fin malgré les tumultes de la vie – chose de plus en plus rare, j'ai l'impression.Ils ont incarné devant moi la possibilité d'un amour durable, même si le chemin n'était pas toujours facile.N'est-ce pas incroyable que nous puissions simultanément chérir notre indépendance et rêver de construire à deux ?L'amour reste cette aventure extraordinaire qui transcende les époques.Au 18ème siècle, Benjamin Franklin déclarait qu'un "homme sans femme n'est rien d'autre qu'un demi-homme" (on était moins subtil à l'époque...d'autant moins quand on sait que les femmes célibataires étaient, elles, brûlées vivent pour sorcellerie), et aujourd'hui encore, malgré toutes nos avancées, le couple demeure cette quête collective qui nous anime presque tous.Qu'y a-t-il de si captivant dans cette danse à deux ? Pourquoi continuons-nous à nous lancer dans cette entreprise hasardeuse, malgré les cicatrices et les déceptions ?Peut-être parce que l'amour, dans ses plus beaux moments, nous offre cette alchimie rare entre sécurité et aventure, entre connaissance profonde et éternelle découverte.J'ai connu des histoires d'amour intenses - dont une qui m'a conduit à imprimer un livre de 400 pages de nos échanges et à déménager à New York !Ces expériences m'ont transformé, enrichi, parfois blessé, mais jamais je n'ai regretté de m'être lancé et de vivre pleinement les choses (c'est ce que me disais ma psy).Chaque relation a ajouté une couche de compréhension à ma carte du monde émotionnel.À travers cette newsletter, je vous invite à explorer avec moi les mystères et les joies de l'amour moderne, ses défis et ses trésors cachés.Je partagerai mes découvertes (j'ai beaucoup cherché), mes erreurs (nombreuses !) et les pépites de sagesse glanées en chemin.Car si j'ai renoncé au mythe paralysant de l'âme sœur, je n'ai certainement pas abandonné la quête d'un amour authentique et vibrant.Comme l'écriture elle-même, l'amour nous enseigne ce que nous ne savions pas connaître sur nous-mêmes. Embarquons ensemble dans cette exploration joyeuse !Mon parcours amoureux : des cicatrices comme boussoleMa première histoire d'amour a duré sept ans. Je l'ai rencontrée dès les premières semaines d'école de commerce, nous nous sommes fiancés, le mariage était planifié. Vingt ans plus tard, nous sommes toujours proches, mais cette relation était fondamentalement dysfonctionnelle — principalement à cause de moi, je dois l'admettre.J'avais endossé la cape du sauveur pour surmonter ma timidité. Mon besoin d'appartenance était si intense et elle incarnait tout ce que je n'étais pas.C'était profondément injuste pour elle mais j'y reviendrais.J'ignorais alors mes propres besoins, mes névroses, mon style d'attachement.Elle est devenue malveillante malgré elle, et cette histoire était condamnée dès le départ.Ma deuxième relation significative m'a conduit chez un psychologue, perdu que j'étais. Sans doute l'une des décisions les plus sages de ma vie. C'est aussi à cette période que j'ai commencé à consulter des voyantes, cherchant désespérément des réponses que je ne trouvais pas en moi.Puis est venue LA relation passionnelle de ma vie.Une relation tellement intense qu'elle est difficile à expliquer.Pour vous donner une idée: j'ai compilé les trois premiers mois de nos échanges dans un livre de 400 pages imprimé en deux exemplaires (un pour elle et l'autre pour moi), et j'ai déménagé à New York pour elle.Cette femme réputée pour son légendaire self-control ne maîtrisait plus rien non plus.Certains parleraient d'âme sœur ou de flamme jumelle — j'ai cherché toutes les explications possibles. Après quatre ans d'une intensité intacte, elle est partie sans un mot d'explication.Huit ans ont passé, et il m'en a fallu 6 pour m'en remettre. Je le dis ici car dans cette société ou tout va de plus en plus vite parfois on n'accepte plus chez les autres mais aussi chez soi même que certains processus prennent du temps.Quoiqu'il en soit cette rupture m'a transformé.Comme me l'a fait remarquer un ami, peu d'hommes parlent ouvertement de leurs blessures amoureuses. Je n'avais pas le choix — cette histoire m'a bouleversé dans ma chair.Je crois que c'est important d'en parler et c'est la raison pour laquelle j'ai accepté l'invitation d'Anne du podcast Métamorphose à l'époque.C'est essentiel de montrer la vulnérabilité sans faux semblant et que les hommes ne sont évidemment pas insensibles aux ruptures. J'espère que cela aura permis à d'autres hommes de se connecter avec eux même.Et puis, je suis heureux d'avoir fait un kinsugi de cette rupture en co-créant un kit de secours pour cœur brisés.Durant ces six années de deuil, j'ai sabordé des relations avec des femmes extraordinaires, les comparant inévitablement à elle. J'ai finalement réussi à briser ce lien toxique grâce à un travail acharné avec psychologues, énergéticiens, voyantes, astrologues, constellations familiales, et même l'ayahuasca. J'ai tout essayé pour m'en libérer.J'ai su que j'étais guéri quand je suis retombé amoureux. Même si cette nouvelle histoire fut brève pour d'autres raisons, elle a confirmé ma guérison. Aujourd'hui, je reste ouvert à construire quelque chose avec quelqu'un, mais ce n'est pas simple.Les raisons de cette difficulté sont précisément l'objet de cette newsletter et je vous livre ce qui selon moi cloche en 5 grands points !Raison #1 : Nous sommes des idéalistes irréalistes par essenceNous avons grandi bercés par des mythes grecs(ne les sous-estimons pas, ils sont centraux), des histoires comme celle de Roméo et Juliette, des contes pour enfants ou encore des films hollywoodiens qui nous ont fait croire que l'impossible devenait possible par amour.Mais ces récits se concentrent presque exclusivement sur la quête amoureuse, rarement sur ce qui vient après."Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants." Mais qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Comment ont-ils géré leurs névroses respectives ? Leurs univers distincts ? Leurs problèmes de communication ? Leurs baisses de désir ? Leurs potentielles tentations extraconjugales ?Dis rapidement, notre idéal romantique est incompatible avec la réalité d'une connexion humaine.Ces expressions comme "ma moitié" sous-entendent que nous serions incomplets avant de rencontrer l'autre. "The one" ou "l'âme sœur" suggèrent qu'une seule personne au monde peut nous convenir.Vous l'aurez compris, j'ai personnellement expérimenté ce mythe de l'âme sœur — et en ai payé le prix fort.Cet idéal présuppose que notre partenaire devrait tout comprendre de nous sans communication verbale, alors même que nous peinons à nous comprendre nous-mêmes (personnellement, je me découvre encore chaque jour).Cela est évidemment accentué par un individualisme (pour ne pas dire égoïsme) sous stéroïdes.L'autre vit dans un univers parallèle, avec un système proche mais fondamentalement différent du nôtre.De manière anecdotique, lors d'un de mes événements sur l'IA, une personne a partagé qu'elle se sentait plus "vue" et "entendue" par ChatGPT que par son médecin ou ses amis.Notre société d'hyper-optimisation nous a fait perdre la capacité à prendre le temps — ou à l'accorder à l'autre.La conséquence est ce manque d'écoute mutuel et donc des incompréhensions en pagaille.Et si vous ajoutez à cela des différences culturelles, comme je l'ai vécu, cela complique encore davantage la situation.Esther Perel m'a fait réaliser que nos attentes sont démesurées : nous demandons à une seule personne de nous apporter ce qu'autrefois tout un village nous fournissait — sécurité, identité, amitié, sexualité, complicité émotionnelle et intellectuelle, goûts communs...Je ne vous fais pas la leçon, je suis le premier à tomber dans ce piège, tout en sachant parfaitement son absurdité.Le couple exige des compromis et un travail constant de construction à deux.Par ailleurs, nous entrons dans une relation avec une vision identitaire, un rêve de qui nous voulons devenir — souvent flou ou fantasmé.Quand on s'engage, ce n'est pas seulement l'autre qu'on cherche, mais une version future de soi-même. Ici aussi je plaide totalement coupable et ma 1ère longue relation s'inscrivait à 200% dans cette dynamique.Mais comme le souligne Esther, ce processus est inconfortable car l'autre ne change pas à notre rythme et ne comprend pas nécessairement le rôle implicite que nous lui avons assigné (m'apaiser, m'ouvrir, m'élever, m'intégrer…).Le changement personnel étant douloureux, nous finissons par reprocher à l'autre ce qui nous fascinait initialement. Ainsi, un partenaire choisi pour sa légèreté devient "irresponsable", une personne stable devient "ennuyeuse"…Le fantasme identitaire se heurte inévitablement à la réalité relationnelle.Et bien sur, les applications de rencontre aggravent le problème en alimentant l'illusion d'une offre infinie, comme si l'amour n'était qu'à un swipe de distance.Pour y avoir passé du temps, je vous rappelle (particulièrement si vous êtes en couple) que c'est aussi illusoire que ces couples Instagram où tout semble parfait.Raison #2 : Les papillons dans le ventre sont souvent un dangereux leurreNous avons tous éprouvé ces fameux papillons dans le ventre, cette sensation vertigineuse que nous pourchassons comme le nectar ultime de l'amour.C'est le moment où nous nous sentons le plus vivants d'ailleurs souvent considéré comme l'indicateur suprême de l'amour véritable.Franchement, quoi de plus délicieux que cette vibration viscérale ?J'adore personnellement cette sensation, mais les avertissements d'Alain de Botton m'ont ouvert les yeux : ce frisson que nous ressentons est très souvent une réaction à quelque chose de familier, parfois simplement l'activation d'un vieux schéma ou d'une blessure non cicatrisée.Voilà pourquoi nous sommes parfois attirés par des personnes qui ne nous conviennent pas du tout.En réalité, nous sommes attirés par ceux qui vont nous faire souffrir d'une manière qui nous est familière.Une relation calme, douce et respectueuse peut nous sembler étrange, "sans passion", voire profondément ennuyeuse, parce qu'elle menace notre scénario intérieur bien rodé.De Botton nous met en garde : ne confondez pas compatibilité avec familiarité traumatique. C'est extrêmement frustrant, car j'aime cette sensation d'intensité.D'ailleurs, même en sachant que c'est un indicateur défectueux, j'adore ces papillons et ce deuil n'est pas facile à faire (long way to go greg…ahahahhah).Alors à quoi se fier si les papillons sont trompeurs ?J'ai découvert que j'appliquais inconsciemment les conseils d'Alain de Botton quand je me sentais particulièrement à l'aise avec quelqu'un.L'une de ses questions préférées: "C'est quoi le weirdo en toi?" Parce qu'en vérité, sans masques ni artifices, nous sommes tous un peu étranges.Je sais que je suis vraiment amoureux quand j'ose révéler mes aspects les plus singuliers sans crainte du jugement, je laisse entrevoir ce qui se passe derrière le masque.Un autre signal essentiel selon lui — et auquel je suis attentif sans vraiment y réfléchir : observer si l'autre personne est capable de reconnaître ses propres biais et imperfections et si elle sait s'excuser quand ils se manifestent.Il faut également s'interroger honnêtement : sommes-nous nous-mêmes capables de cette introspection ? Je ne parle pas de sautes d'humeur passagères, mais de nos véritables zones d'ombre.On peut mesurer l'évolution d'une personne à sa capacité à reconnaître qu'elle est loin de l'idéal.Ce n'est pas quelque chose qu'on peut demander directement ; il faut l'observer à travers l'expérience partagée.L'objectif n'est évidemment pas l'auto-flagellation, mais une lucidité bienveillante sur nos mécanismes.Enfin, il est crucial de déterminer si la personne comprend que l'amour est une compétence plus qu'une émotion. Ressentir, bien sûr, mais surtout comprendre qu'un couple exige un travail commun, des compromis, des discussions et des efforts constants.Une amie a pris la décision d'aller voir un thérapeute de couple dès qu'elle a senti que sa relation devenait sérieuse.Non pas parce qu'ils rencontraient des problèmes, mais pour s'assurer que leur communication resterait toujours fluide.J'ai trouvé cette initiative particulièrement mature et judicieuse.D'ailleurs, je serais curieux de connaître votre opinion à ce sujet que certains pourraient qualifier de « tue l'amour ».Raison #3 : La catégorisation devient notre prison mentaleLorsque j'ai réalisé mon épisode sur les "pervers narcissiques", ma première observation fut celle-ci : quand tout le monde devient pervers narcissique, plus personne ne l'est véritablement.Et cette banalisation est irrespectueuse envers les véritables victimes.Cette réflexion s'applique à toute cette culture de surface et ces catégorisations simplistes que nous accumulons : styles d'attachement, langages de l'amour... sans oublier le mot fourre-tout "toxique", tellement galvaudé qu'il a perdu toute substance.Certes, se positionner sur un spectre a son utilité, mais comme son nom l'indique, c'est un "spectre" — il est rare d'incarner une seule catégorie pure.Personnellement, je trouve difficile d'identifier MON langage de l'amour principal, car tous me parlent profondément.Il en va de même pour la sexualité. Dans ce domaine, j'ai l'impression que nos corps communiquent directement.Certaines connexions sont extraordinaires, d'autres catastrophiques, sans que ce soit nécessairement la faute de quiconque. C'est ainsi, et ce n'est pas grave.Je l'avoue sans souci, j'ai été un « mauvais coup » pour certaines personnes mais j'espère un meilleur pour d'autres.J'ai souvent remarqué que cette alchimie se ressent dès le premier baiser. Cela dit, la sexualité reste un territoire d'exploration infini où nous devons d'abord accepter notre ignorance fondamentale.C'est particulièrement vrai pour les hommes car, d'après mon expérience, les femmes réagissent très différemment aux mêmes stimuli.Je n'ai pas d'expérience avec les hommes, mais j'imagine que c'est un peu plus mécanique — quoique vous pourriez me contredire.Au-delà de l'attraction initiale et des premières années, l'enjeu devient de faire durer le désir. J'ai adoré recevoir Anne et Jean-François Descombe sur ce sujet.Ils encouragent à dépasser l'idée reçue selon laquelle le sexe doit toujours naître spontanément du désir dans un couple établi.En réalité, aussi peu romantique que cela puisse paraître, il est souvent préférable de planifier des rendez-vous intimes, de créer délibérément des moments de connexion et de transcender les conventions en développant une perception corporelle plus subtile.Je n'ai jamais mis cette approche en pratique car ma compréhension de ces dynamiques est arrivée tardivement et mes relations récentes ont été trop brèves pour arriver à cet endroit. Cependant, j'observe que nous sommes souvent complètement déconnectés de nos corps sans même nous en rendre compte, parce qu'ils se protègent naturellement.Il faut réapprendre à ressentir, à ramener la sexualité dans le corps plutôt que dans la tête. C'est un travail considérable (pour moi aussi qui suis tellement cérébral).Raison #4 : Prisonniers de la performance, même dans l'intimitéLa sexualité demeure un enjeu majeur dans les relations, devenant souvent une difficulté dans les couples établis.Je crois que nous sommes conditionnés à la performance dans tous les domaines, alors que l'intimité devrait être précisément l'espace où cette pression n'existe pas.Pourtant, nous sommes obsédés par le plaisir de l'autre, et si nous échouons à l'atteindre, nous remettons tout en question. Cette pression existe pour les hommes, mais je la perçois encore plus forte chez les femmes.Un homme qui n'éjaculerait pas à répétition serait source d'inquiétude majeure pour sa partenaire, et probablement pour lui-même. J'ai conscience que mes propres biais transparaissent ici, mais j'ai l'impression que dans le sens inverse, ce serait moins problématique.Esther Perel dit: "Dis-moi comment tu as été aimé, je te dirai comment tu fais l'amour."Selon elle, notre histoire émotionnelle s'inscrit dans la physicalité de notre sexualité. Personnellement, il y a longtemps, j'entretenais une forme de respect que je qualifierais aujourd'hui de "déplacé" envers mes partenaires — déplacé parce que la sexualité n'implique pas un manque de respect.Typiquement, le problème résidait dans mon rapport à l'autre et à la sexualité en général.Un autre exemple peut être plus parlant pourrait être celui d'une femme qui n'oserait jamais dire à son partenaire qu'elle n'appréciait pas certaines pratiques sexuelles - cela illustre comment des schémas émotionnels anciens (peur du conflit ou de la désapprobation) créent des blocages dans l'intimité physique.Parfois, des couples apparemment harmonieux connaissent aussi des blocages sexuels malgré leur amour et leur entente.Esther Perel a développé toute une méthodologie de questions pour identifier comment nous avons appris à aimer, quelles ont été nos figures protectrices durant l'enfance, et si l'expression de nos émotions et de notre plaisir était considérée comme acceptable.Les réponses à ces questions révèlent comment nos expériences passées façonnent notre "plan érotique" et influencent nos défis émotionnels dans l'intimité.Notre histoire émotionnelle marque profondément notre sexualité, se manifestant à travers nos conditionnements, la reproduction de schémas relationnels, nos peurs de la vulnérabilité et la dynamique même de nos interactions intimes.Heureusement, la sexualité peut également devenir un outil pour accéder à des émotions profondes et résoudre des blocages que nous n'arrivions pas à surmonter autrement.En définitive, je crois que le couple n'existe pas pour "réussir" mais pour nous permettre de "ressentir".Nous devons impérativement nous libérer de cette logique performative et productiviste pour simplement nous sentir vivants.C'est une véritable révolution intérieure qui s'impose.Raison #5 : Nous entrons dans le couple pour évoluer, mais résistons au changementDepuis les Lumières, nous avons élevé l'individualisme au rang de valeur suprême. Comme je l'ai abordé dans une précédente newsletter, nous nous imposons une isolation que nous semblons apprécier, mais qui nous déconnecte de notre humanité fondamentale.La vie de couple exige d'articuler une dynamique entre préservation de son identité propre et connexion authentique avec l'autre.Comme évoqué dans la première raison, nous sommes des idéalistes irréalistes, portés par l'illusion d'un amour parfait qui nous transformerait en une version améliorée de nous-mêmes.Pourtant, lorsque nous nous engageons, cette promesse de métamorphose se heurte à la réalité.Nous ne choisissons pas un partenaire uniquement pour ses qualités ; inconsciemment, nous choisissons aussi une version future de nous-mêmes que nous aspirons à incarner — devenir plus calme, plus fort, plus complet.Esther Perel l'exprime magnifiquement : nous rencontrons l'autre pour retrouver une partie de nous encore inexplorée.Cette promesse d'évolution engendre cependant une tension profonde.Ce qui nous fascinait initialement devient source d'inconfort.Le calme apaisant se transforme en froideur détachée, la liberté joyeuse en irresponsabilité.La vision identitaire que nous avions imaginée entre en contradiction avec la réalité quotidienne du changement.Nous résistons à cette évolution parce qu'elle bouscule notre identité, même celle que nous avions idéalement construite.Le couple devient ainsi un espace paradoxal où nous aspirons à grandir tout en redoutant de perdre notre stabilité.Nous voulons évoluer, mais uniquement à notre rythme, sans que les transformations imposées par l'autre ne remettent en question ce que nous considérons comme notre essence. Ce conflit nous pousse souvent à rejeter ce qui devait nous transformer, à blâmer l'autre pour une inertie que nous percevons comme une trahison de notre idéal initial.Ce tiraillement entre l'envie d'ouvrir un nouveau chapitre et la peur d'abandonner l'image rassurante de notre identité constitue l'une des dynamiques les plus universelles et douloureuses de la vie à deux.C'est pourtant dans cette lutte que réside le potentiel d'une transformation authentique, si nous acceptons enfin le coût du changement intérieur.En conclusion: l'amour comme territoire d'exploration, non de performanceAimer aujourd'hui est difficile, non pas parce que nous serions devenus incapables d'aimer, mais parce que nous attendons de l'amour qu'il résolve tout.Qu'il nous apaise, nous élève, nous stimule, nous révèle.Qu'il nous offre simultanément la sécurité d'un foyer et l'ivresse d'une passion.Qu'il nous soutienne dans les moments difficiles tout en nous laissant respirer quand nous avons besoin d'espace.Ce n'est plus simplement une relation: c'est une architecture existentielle, un miroir identitaire, un incubateur de sens. C'est trop demander.Lorsque la réalité ne correspond pas à cette fiction intérieure, nous résistons.Nous accusons, fuyons ou nous replions.Nous croyons que l'autre nous blesse intentionnellement, alors qu'il réveille en nous des mémoires anciennes, des blessures non cicatrisées, des récits que nous tenons pour vérités absolues. Et nous l'avons vu, les papillons n'y sont pas pour rien…Nous oublions que dans toute relation, il n'existe jamais une vérité unique mais deux narrations distinctes — souvent incompatibles.Nous redoutons également le conflit, que nous confondons avec la fin de l'amour.Je déteste le conflit en bon « gentil », pourtant, un conflit traversé avec conscience est peut-être ce qu'il y a de plus vivant dans une relation.Il ne signale pas l'échec, mais la possibilité d'un lien authentique — non plus idéalisé, mais profondément incarné.Le couple n'a pas vocation à nous rendre heureux comme le ferait un produit fini.Il existe pour nous faire grandir, parfois nous ébranler, souvent nous décaler.Aimer n'est pas maîtriser, ni guérir, ni même comprendre entièrement.C'est oser traverser l'inconfort du lien sans fuir à la première dissonance.C'est abandonner l'idée qu'il existe une méthode parfaite pour aimer, pour embrasser la complexité d'un ch Suggestion d'autres épisodes à écouter : [Solo] Ca veut dire quoi d'être un homme? (https://audmns.com/VrvDGYA) [NEWS] La gentillesse est-elle toujours une vertu? (https://audmns.com/fsjMsBo) [NEWS] Le paradoxe du siècle « social » que l'on fait mine d'ignorer (https://audmns.com/CREUtAc)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bonjour ! Après une longue absence, Ekolokation est de retour ! Dans cet épisode, je m'entretiens avec Fanny et Nicolas du groupe Swansea. Swansea est un groupe de rock comptant 4 membres tous installés à Brest ou aux alentours. Au cours de cet entretien vous découvrirez le fonctionnement interne d'un groupe de musique mais aussi et surtout, le rapport à la musique de ses membres, ici Fanny et Nicolas ! J'ai rencontré Nicolas quand je n'étais pas plus haut que trois pommes. Tous deux à l'école primaire, nous nous sommes liés d'amitié et sommes restés bons amis au collège, au lycée et jusqu'à maintenant ! Pendant que j'enchaînais les animes et les conventions de manga, Nicolas se transformait petit à petit en Rock Star ! J'étais son premier fan lorsqu'il faisait rugir sa basse sur scène lors de la fête de la musique de ma petite ville. Quoiqu'il en soit, avec le temps Nicolas à continué à faire de la musique et depuis à rencontré Fanny, une chanteuse incroyable qui fait aussi de la guitare. Avec deux de leurs amis, Dorian et Gurvan, ils ont décidé de fonder leur propre groupe, Swansea ! Plongez dans cet épisode afin de mieux comprendre leurs itinéraires de musiciens ! N'hésitez pas à partager ce que cet épisode vous a inspiré ou fait ressentir, et bien sûr n'oubliez pas de suivre Ekolokation Podkast sur les réseaux sociaux ! Bonne journée !Fin de transmission.
Vous l'attendiez ! C'est enfin le moment de parler des tomates ! La fameuse tomate, le fruit préféré des Français, enfin fruit pour certains et légume pour d'autres. Quoiqu'il en soit, c'est souvent pour elle qu'on réalise un potager, car il faut bien l'avouer : la tomate du jardin, c'est quand même un régal !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ah bah ça alors ! Un nouvel incident sur un service en ligne de Sony ? Et une panne du Playstation Network qui empêche certains usagers de jouer qui plus est… les bras m’en tombent. Quoiqu’il en soit, voilà une bonne piqure de rappel pour tous les adeptes de ce genre de services dématérialisés prônant […] Cette émission, Podcast 482 : le coup de la panne !, est publiée par la rédaction de Gaminfo.fr.
Il y a de la friture sur la ligne entre Nissan et Honda. Les deux constructeurs automobiles japonais avaient fait parler d'eux à la fin décembre en annonçant en grande pompe leur fusion. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts puisque le projet patine et pourrait même ne pas voir le jour. Décryptage. L'ambition était grande: que Nissan et Honda soient des acteurs solides face à la concurrence chinoise sur la voiture électrique. Il était même question que Mitsubishi, détenu à un peu moins de 25 % par Nissan fasse partie de l'accord. Un joli projet puisque sur le papier, cette holding aurait été l'une des plus puissantes du secteur en étant le troisième constructeur mondial de voitures. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu. À lire aussiAutomobile: Honda et Nissan ouvrent des négociations en vue d'une éventuelle fusionÀ la fin janvier 2025, Mitsubishi est sorti du jeu. Le constructeur s'est désengagé du projet par peur d'être noyé dans cette gigantesque manœuvre. Un désengagement aussi parce que les négociations entre Honda et Nissan étaient très difficiles. Si les sourires et les poignées de main étaient de rigueur le 23 décembre 2024 lors de l'annonce de la fusion, l'heure est maintenant aux grimaces. Les deux parties ne semblent plus être sur la même longueur d'ondes. De sérieux désaccords Si Honda et Nissan vendent un nombre assez similaire de voitures au Japon, leur capitalisation à la bourse de Tokyo est bien différente. Honda y pèse à peu près 50 milliards de dollars tandis que Nissan seulement 11 milliards. Les deux groupes ne discutent pas vraiment d'égal à égal, l'équilibre des pouvoirs est faussé.Résultat, Honda a très vite pris l'ascendant dans les négociations. Étant donné son poids, on peut le comprendre, d'autant que Nissan rencontre de sérieuses difficultés financières. Mais le week-end dernier, Honda a durci le ton en envisageant d'acquérir les actions de Nissan et le transformer en simple filiale, ce qui signifie en prendre le contrôle. Un projet qui n'est pas passé auprès des négociateurs de Nissan. Rester bons amis Si Nissan devient une filiale d'Honda, cela voudrait dire qu'il serait en quelque sorte invisibilisé derrière sa maison mère. Or, Nissan reste un symbole de l'automobile japonais. Deuxième argument, le plus important, c'est que Nissan est détenu à hauteur de 35,7 % par le groupe Renault. Qu'il s'agisse d'une fusion ou d'une filiation, il aurait gagné des liquidités. Mais d'après plusieurs sources, Honda a fait une proposition au rabais et Renault via Nissan a dit non. Mais toutes les parties l'ont affirmé hier, les négociations se poursuivent, avec promettent-elles des annonces à la mi-février. En tout cas si ce mariage de raison semble mal embarqué, les fiançailles sont un fiasco. Honda et Nissan, bien que concurrents, doivent continuer de discuter et de travailler ensemble. Il y a pratiquement un an d'ailleurs, en mars 2024, ils ont signé un partenariat dans les domaines de la voiture électrique et de l'intelligence artificielle car ils le savent, c'est sur ce créneau qu'ils devront être compétitifs à l'avenir. Quoiqu'il en soit, si la fusion des deux ne se fait pas, ils ont tout intérêt à rester de bons amis cordiaux ! À lire aussiHonda, Nissan et Mitshubishi Motors signent un «partenariat stratégique» dans l'électrique
Proverbes 4.23 nous dit de garder notre cœur "car de lui viennent les sources de la vie", autrement dit, de lui dépend le cours de notre vie. Réfléchissez-y. Quoiqu'il y ait dans votre cœur, cela finira par se manifester dans votre quotidien. Quoiqu'il y ait dans votre être intérieur, cela finira par trouver le chemin de la sortie pour se montrer au grand jour, à la vue de tous. C'est la raison pour laquelle il est extrêmement important pour nous de contrôler les choses qui façonnent notre cœur. Je ne veux laisser aucune chose sale, immorale ou égoïste sortir de moi et blesser ma relation avec les autres et je doute que ce soit votre souhait. Garder votre cœur consiste en grande partie à apprendre à contrôler vos pensées, vos paroles, votre disposition de cœur et votre point de vue général sur les choses. Ce que vous pensez finit en général par s'exprimer dans ce que vous dites. Puis vos paroles affectent ce que vous ressentez, ce qui se manifeste tôt ou tard dans votre attitude générale. Au court de la vie, voici ce qui détermine votre manière de gérer les circonstances - votre aptitude ou inaptitude à rester paisible dans une situation stressante. En effet, c'est elle qui va définir votre manière de répondre aux autres, soit avec compassion et compréhension, soit avec jugement et arrogance - particulièrement en cas de désaccord ! Vous pouvez donc essayer d'empêcher vos pensées de se traduire en paroles puis en attitudes, mais je trouve beaucoup plus simple de nourrir directement des pensées selon Dieu. Passez du temps dans la présence de Dieu et laissez le Saint-Esprit remplir votre cœur de sa bonté.
Plus le temps passe dans ce mois de janvier, et le Real Madrid donne du sens à sa saison. Deux victoires, contre Salzbourg (5-1) en Ligue des Champions et à Valladolid (3-0) en Liga et les hommes de Carlo Ancelotti sont solides leaders en championnat et d'ores et déjà qualifiés pour les playoffs de la Champions League... en attendant un miracle à Guingamp contre Brest ?Quoiqu'il en soit, malgré les errements défensifs, le manque de créativité de nos milieux et les balbutiements de nos attaquants, le tout est en train de prendre forme autour d'un Kylian Mbappé très en forme sur ce mois.Gilchrist et Victor reviennent sur toute l'actualité du Real Madrid, décidément positive ! En partenariat avec Le Journal du Real et Real French Madrid----------------------------------------------------------------------------------------------------------Suivez nos actualités sur votre réseau social préféré : Twitter | Instagram Cet épisode est également disponible sur youTube.com/c/SportsContentFRVous pouvez consulter nos informations sur odioo.frEsprit Madridista, un podcast Sports Content, proposé par OdioO ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Suaire de Turin, longue pièce de lin censée avoir enveloppé le corps du Christ après sa crucifixion, est l'une des reliques les plus controversées de la chrétienté. Sa découverte photographique en 1898 par Secondo Pia révèle, sur négatif, un visage humain identifié comme celui de Jésus, bouleversant croyants et scientifiques. Pourtant, l'authenticité de cette relique reste un mystère. Des études au carbone 14 en 1988 datent le tissu du Moyen Âge (1260-1390), suggérant un artefact médiéval, mais ces résultats sont contestés en raison de possibles contaminations ou d'échantillons provenant de réparations effectuées après un incendie en 1532. D'autres analyses, comme celles sur les pollens ou les empreintes corporelles, semblent confirmer une origine ancienne. Entre science et foi, le Suaire divise, certains le considérant comme une preuve de la Passion du Christ, d'autres comme une fabrication humaine. Quoiqu'il en soit, cette relique alimente encore débats et recherches, restant un symbole puissant de spiritualité et d'énigmes historiques. Merci pour votre écoute Vous aimez l'Heure H, mais connaissez-vous La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiK , une version pour toute la famille.Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvVous aimez les histoires racontées par Jean-Louis Lahaye ? Connaissez-vous ces podcast?Sous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppv36 Quai des orfèvres : https://audmns.com/eUxNxyFHistoire Criminelle, les enquêtes de Scotland Yard : https://audmns.com/ZuEwXVOUn Crime, une Histoire https://audmns.com/NIhhXpYN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
C'est une tradition pour les artistes américains de consacrer au moins un album dans leur carrière à des chansons de Noël. Les bluesmen n'y échappent pas, même s'il faut reconnaître que ça fait bizarre d'entendre « Vive le vent » ou « Sainte nuit » par des musiciens dont les inspirations habituelles sont plus proches d'un quotidien assez rude que des chaussures dans la cheminée. Quoiqu'il en soit … Boogie ? Non ! Bougies, ce soir dans Btr Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si vous voulez me soutenir pour continuer à développer ces podcasts, ça me ferait super plaisir :) https://fr.tipeee.com/horizon-podcast . . Bonjour à tous C'est les vacances scolaires mais HORIZON podcast ne vous abandonne pas pour autant et publie un épisode très intéressant avec Raihane Palagi, nutrithérapeute, pour parler des différentes causes de l'infertilité et des manières holistique d'augmenter notre fertilité. Et oui, il n'y a évidemment pas qu'une mais pas mal de raisons et de pathologies qui la perturbe, on parle d'ailleurs principalement des femmes car c'est la majorité de sa clientèle mais on aborde les causes qui concernent les hommes également, bah oui mes ptites couilles, je ne vais pas vous abandonner non plus… Quoiqu'il en soit, le stress reste quand même l'ennemi numéro 1, celui-ci étant trop présent dans nos vies, on est même accro; sans stress, on a parfois l'impression de s'ennuyer, car il nous manque notre adrénaline quotidienne et la vie nous paraît plate… je sais de quoi je parle, je ne suis pas quelqu'un qui a des addictions… sauf au stress haha, et ça on n'en parle pas. stress junkie … si si ça existe on est sûrement beaucoup à l'être. En tout cas, encore un épisode où on apprend des choses, j'espère qu'il vous plaira et surtout j'espère qu'il vous donnera des pistes bien que ce sujet soit très vaste. N'hésitez pas à nous dire ce que vous en avez pensé. Cet épisode est divisé en deux parties, la suite la semaine prochaine! Bonne écoute . . Show notes : -Instagram de Raihane@tulsinutrition -Site de Raihane : tulsinutrition.com -Mon instagram : @lena_champy
Nous sommes nombreux.ses à dire "Je suis rancunier.ère" ou, à l'inverse, "Je ne suis pas rancunier.ère". Qu'en est-il réellement ? Ne serait-ce pas là une croyance qui vient renforcer un de nos personnages ? On remarque souvent qu'à la suite d'un conflit, si l'on exprime pas ce qui nous a blessé et que notre parole n'est pas écoutée, le terrain est fort proprice à la rancoeur. Quoiqu'on en dise, il est difficile de "faire comme si de rien n'était", et c'est humain. Une énergie désagréable stagne dans l'air, ça pourrit sous le tapis. Alors que si l'on revient verbalement sur l'évènement passé en acceptant sa vulnérabilité ainsi que celle de l'autre, il est fort probable que cette sensation de rancoeur disparaisse. En revanche, si malgré la communication, l'écoute et la réception de l'autre, on ressent toujours ce désir de vengeance, peut-être avons-nous du mal à par-donner...Qui nécessite l'abandon d'un besoin égotique. Alors ? Etes-vous racunier.ère ou juste humain.e ? ;) .................................................................................. Merci d'écouter Croire, c'est voir
L'idée d'un volcan est celle qui peut s'associer le plus au cinéma de Werner Herzog. Depuis le début des années 70, ce cinéaste allemand n'a cessé de signer des films en ébullition, que ce soit dans leurs sujets ou leur conception, transformant leurs tournages en épopées épiques ou conflictuelles, pour un résultat tumultueux, à la fois lyriques et intérieurs, démesurés et philosophiques. Soit un cinéma aux allures de lave en fusion, incandescent, dangereux et inarrêtable. Ce magma qui gronde depuis plus de cinquante ans devait en toutes logique croiser les aventures de véritables vulcanologues. Ce sera Katia et Maurice Krafft, un couple qui se sera baladé sur la planète jusqu'à trouver la mort lors d'une expédition au Japon en 1991. Ils avaient laissé derrière eux près de 200 heures d'images, Herzog les a décortiquées, réassemblées pour le bien nommé Au cœur des volcans, requiem pour Katia et Maurice Krafft, portrait qui tient plus d'une course que d'un biopic, tant les Krafft semblent y échapper à un funeste destin, quand ils embarquent en bateau quelques minutes avant une éruption en Indonésie où réchappent de justesse d'un nuage toxique provoqué par une autre en Alaska. Herzog rendant tout autant compte de la manière dont leur filmage des volcans évolue, capturant la beauté hypnotique des volcans en actions comme leurs conséquences sur la nature et les populations environnantes. Mais tout autant la dévotion des Krafft à une curiosité qui les aura menés jusqu'à la mort, par envie d'aller au plus près de la lave, jusqu'au sacrifice. C'est probablement cette combinaison entre héroïsme vain et inconscience suicidaire qui a convaincu Herzog de s'attaquer à ce film fou par ses images comme par les fascinantes personnalités nourrissant une seule et même fournaise.L'écho d'Herzog se retrouve forcément dans une nouvelle version de Nosferatu, qui sera en salles la semaine prochaine. En 1979, le réalisateur allemand s'était attaqué à un remake du classique de Murnau, lui-même inspiré du Dracula originel, celui écrit par Bram Stoker. Robert Eggers y revient avec la même idée d'en extraire non pas l'essence horrifique, mais celle romantico-sexuelle via l'emprise fiévreuse du vampire sur une jeune femme. Chez Herzog, c'était Adjani qui lui donnait corps, dans cette nouvelle version, c'est une phénoménale Lily-Rose Depp, sous claire influence de l'actrice française, notamment lors d'impressionnantes séquences de transe. Quoiqu'il soit encore présent via la performance hantée de Willem Dafoe en Van Helsing du jour, on pourra cependant regretter le sens du chaos qui possédait les films précédents d'Eggers, de The Lighthouse à The Northman, son Nosferatu, bien moins furibard, n'en reste pas moins un formidable conte gothique d'hiver pour adultes, par sa collection de somptueuses images, parfaite galerie de tableaux animés ou sa trajectoire vers un mélancolique final tragique, qui, contrairement à son décevant vampire, manquant étonnamment de mordant quand il n'est résumé qu'à une silhouette, a tout pour devenir mémorable.Nosferatu, en salles le 25 décembre / Au cœur des volcans : Requiem pour Katia et Maurice Krafft, en salle le 18 décembre
Emmanuel Macron a écourté sa visite en Pologne et le compte à rebours est lancé pour la nomination d'un Premier ministre. François Bayrou ou Bernard Cazeneuve seraient toujours sur le haut de la pile. Quoiqu'il en soit, le prochain locataire de Matignon devra discuter d'un accord de non-censure avec les groupes politiques de l'Assemblée nationale. Un pacte nécessaire au retour d'une forme de stabilité politique. Roselyne Febvre reçoit Laurent Joffrin, Catherine Tricot et Bruno Jeudy.
Nous sommes vers 1184 avant notre ère. Fils de Setnakht, fondateur de la XXe dynastie de ceux que l'on appellera les pharaons d'Egypte, Ramsès III monte sur le trône alors que le royaume se remet tout juste des guerres civiles qui l'ont ravagé Pendant la cinquième année de son règne, une coalition de tribus libyennes envahit l'ouest du delta du Nil, prétextant que le roi a interféré dans la succession de leur chef. En réalité, les Libyens empiètent régulièrement sur les terres égyptiennes. Ramsès les écrase lors d'une bataille dans le delta occidental. Il aura fort à faire encore avec ceux que l'on nomme les Peuples de la mer, qu'il vaincra eux aussi. Ramsès III est aussi un roi bâtisseur, on lui doit notamment le « Temple des millions d'années » construit à Médinet Habou, sur la rive ouest du Nil, à Louqsor. Un monument qui nous livre des textes et des bas-reliefs qui illustrent les grandes fêtes organisées par le pharaon, comme celle de Min, le dieu de la fertilité, qui célèbre l'abondance des récoltes. Mais sous le règne de Ramsès, il n'y eut pas que des guerres et des fêtes, ainsi l'administration, semblerait-il, ne fut pas toujours aux mains de gens compétents. Certains parlent même de corruption dans le chef de hauts fonctionnaires … Quoiqu'il en soit, ces manquements auront des conséquences graves pour les administrés et notamment des retards de payements dans les salaires des travailleurs, qui vont se révolter et engager ainsi ce qui pourrait bien être la première grève de l'histoire. Revenons aujourd'hui à Ramsès III, ses guerres, ses fêtes et ses grèves … Avec nous : Sébastien Polet, historien-orientaliste, de l'asbl Roma. Sujets traités : Ramsès III, Egypte, pharaons, royaume, Louqsor, fête, grève, guerre, trône, temple, Lybien Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Bonjour à tous !! 16 bit ça fait beaucoup, surtout comparé à 8 bit. Mais ça reste toujours moins que 32 ou 64 bit. Quoiqu'il en soit, ces 16 bit de bonheur ont été l'initiation de beaucoup de joueurs à un nouveau monde du jeu vidéo. Des musiques et des digits parfois audibles et classe, des graphisme de temps en temps chatoyant: il n'en faut pas plus pour avoir marqué toute une génération de joueurs. Nous allons donc parlé de la Mega Drive, première console 16 bit du marché et vraie ambassadrice du jeu vidéo à la Sega sur console. Mais c'est aussi l'histoire de toute une époque pour Sega, qui rencontre enfin le succès après tant d'efforts, et d'une épopée marketing hors-normes. C'est aussi une console qui aura marqué beaucoup des membres (16 bit quand même) de Level MAX. Nous retrouvons donc autour du Micro Mr Fisk, MachinTruc76, Parker, Terry, TMDJC et WellcooK qui reçoivent, en invité exceptionnelle, l'incomparable Shenron! Elle nous fera part de son amour inégalable pour Sega et la Mega Drive. Malgré cette équipe de choc, nous n'avons effleuré que le sommet de l'iceberg… Donc tenez-vous prêt car il ne s'agit ici que du premier épisode d'une longe série! Cover & vignette faite par Tmdjc. Tu peux nous soutenir sur tipeee: https://fr.tipeee.com/les-podcasts-de-level-max Tu peux nous soutenir sur Patreon : https://patreon.com/user?u=2430284&utm_medium=clipboard_copy&utm_source=copyLink&utm_campaign=creatorshare_creator&utm_content=join_link Suivez-nous sur twitter https://www.twitter.com/_LevelMAX Facebook https://www.facebook.com/LesPodcastsdeLevelMAX/ Twitch https://www.twitch.tv/terry_levelmax
Bonjour à tous !! 16 bit ça fait beaucoup, surtout comparé à 8 bit. Mais ça reste toujours moins que 32 ou 64 bit. Quoiqu'il en soit, ces 16 bit de bonheur ont été l'initiation de beaucoup de joueurs à un nouveau monde du jeu vidéo. Des musiques et des digits parfois audibles et classe, des graphisme de temps en temps chatoyant: il n'en faut pas plus pour avoir marqué toute une génération de joueurs. Nous allons donc parlé de la Mega Drive, première console 16 bit du marché et vraie ambassadrice du jeu vidéo à la Sega sur console. Mais c'est aussi l'histoire de toute une époque pour Sega, qui rencontre enfin le succès après tant d'efforts, et d'une épopée marketing hors-normes. C'est aussi une console qui aura marqué beaucoup des membres (16 bit quand même) de Level MAX. Nous retrouvons donc autour du Micro Mr Fisk, MachinTruc76, Parker, Terry, TMDJC et WellcooK qui reçoivent, en invité exceptionnelle, l'incomparable Shenron! Elle nous fera part de son amour inégalable pour Sega et la Mega Drive. Malgré cette équipe de choc, nous n'avons effleuré que le sommet de l'iceberg… Donc tenez-vous prêt car il ne s'agit ici que du premier épisode d'une longe série! Cover & vignette faite par Tmdjc. Tu peux nous soutenir sur tipeee: https://fr.tipeee.com/les-podcasts-de-level-max Tu peux nous soutenir sur Patreon : https://patreon.com/user?u=2430284&utm_medium=clipboard_copy&utm_source=copyLink&utm_campaign=creatorshare_creator&utm_content=join_link Suivez-nous sur twitter https://www.twitter.com/_LevelMAX Facebook https://www.facebook.com/LesPodcastsdeLevelMAX/ Twitch https://www.twitch.tv/terry_levelmax
A la rencontre de Mathilde, peintre en bâtiment à son compte dans les Hauts De France. On parle de son quotidien, des difficultés rencontrées pendant son parcours et de ses flamboyantes réussites aux compétitions internationales des métiers (worldskills). De l'inspiration, de la motivation, de la détermination, de la passion. Quatre termes qui représentent on ne peut mieux l'empreinte que vous laisse Mathilde après une heure de discussion. Je vous souhaite une bonne écoute!Hâte de lire vos retours.
Grand écart pour cet épisode du Disco Bowl !J'ai eu l'immense chance d'avoir chez CaleSon Naomi Clément, journaliste, podcasteuse et DJ rap/rnb/dancehall/"musiquesquifontdansermescopines".On a pu parler de nos 2 univers respectifs pour se rendre compte qu'ils étaient vraiment très liés. On a pu faire pas mal de ponts et apprendre pas mal de choses sur ces 2 mondes qui ont pour Naomi et moi puisé toute leur essence durant nos années lycée.C'est un épisode hyper particulier parce que pour la première fois je ne savais pas trop où on allait aller (d'habitude je ne sais pas, et là je ne savais vraiment pas) et au final à mon sens c'est un des plus pertinents de toute la saison.Il faut dire aussi que la génialitude et la coolance de Naomi ont rendu les choses beaucoup plus faciles. On s'est instantanément fendu la poire en petits morceaux finement découpés et assaisonnés à la cannelle. Je pense que vous vous en rendrez compte dès les premières secondes de l'épisode.Quoiqu'il en soit c'est une vraie invitation à ouvrir ses chakras et à aller découvrir d'autres univers musicaux, et ça fait vraiment du bien.Une bonne grosse dose de fraîcheur dans cet épisode que je vous conseille d'écouter si vous voulez retomber dans les années MTV.N'hésitez pas à suivre Naomi dans toutes ses pérégrinations : son Podcast A l'Ecoute, ses DJ sets et ses bouquins.Et puis suivez le Disco Bowl évidemment, et écoutez tous les sons des guests dans la playlist !Des gros bisous Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous arrive-t-il d'avoir le sentiment que le temps vous file entre les doigts ? Que vous aviez plusieurs heures pour effectuer une ou deux tâches simples, mais que vous n'avez pas vu l'horloge tourner ? Le problème vient peut-être d'une mauvaise organisation de votre temps, ou d'une tendance à la procrastination. Cela peut aussi découler d'une incapacité à s'isoler de toute source de distraction. Quoiqu'il en soit, c'est ce qui a conduit l'auteur italien Francesco Cirillo à développer en 1980 une méthode de gestion du temps. Comment marche la technique de la tomate ? Quelles en sont les différentes périodes ? Quelles sont les astuces pour l'appliquer ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. Première diffusion : 18 août 2023 À écouter aussi : Pourquoi juin est-il le mois des fiertés ? Pourquoi les billets de train coûtent-ils si cher ? Pourquoi a-t-on mal au ventre quand on est stressé ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Vous en avez peut-être entendu parler, Google fait face à une fuite de données majeure. Pas des données de ses utilisateurs, mais bien des documents internes du GAFAM qui le mettent en position assez délicate. Si l'entreprise a finalement confirmé l'authenticité de milliers de documents après plusieurs jours de dénis, on apprend que ces fameux documents contiennent des éléments sur le fonctionnement de l'algorithme du moteur de recherche de Google, qui est quand même le plus utilisé au monde.Pour l'historique, cette fuite a été rapportée par les experts en référencement sur internet Rand Fishkin et Mike King, qui ont tous les deux publié des analyses de plus de 2 500 documents et de leur contenu. Ils listent notamment une partie des nombreux critères pris en compte pour le référencement. Sauf que le contenu de ces documents est ultra précieux pour les industries du marketing et de l'édition, entre autres, qui dépendent largement de Google Search. Par ailleurs, il serait sans doute mal vu que les secrets de Google tombent entre les mains de la concurrence. Dans le détail, Google tient compte d'au moins 14 000 critères différents, comme le maillage interne et externe ou le nombre de clics sur des liens, au moment de décider qui va arriver en haut de son classement. La pondération de ces critères, elle, n'a pas été dévoilée lors de la fuite des documents, dont l'origine serait toute bête : une simple mise en ligne accidentelle sur la plateforme GitHub, dédiée aux développeurs.Il faut bien l'avouer, on ne sait pas encore grand-chose de cette fuite, qui malgré tout semble assez massive. D'ici quelques jours, il ne fait aucun doute qu'une immense partie de ces documents auront été analysés et décortiqués pour le grand public. Quoiqu'il en soit, tout cela pourrait s'avérer préjudiciable pour Google d'un point de vue réglementaire. Car d'après les premières constatations, le GAFAM recueillerait et utiliserait des données qui ne contribuent pas au classement des pages Web dans Google Search, telles que les clics, les données des utilisateurs de Chrome, etc. Google a toujours nié utiliser les données issues de son navigateur maison pour stimuler son moteur de recherche. Cette affaire est loin d'être close. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après seulement 2 étapes le Tour d'Italie cycliste est peut-être déjà plié. On se doutait bien que Pogacar mettrait vite les choses au point et on n'a pas été déçu. S'il a raté le rose pour un rien lors de la 1e étape, il s'est rattrapé dimanche remportant son premier succès sur le Giro et revêtant son premier maillot rose. Pogacar vainqueur certes mais pas écrasant. Il a même perdu du temps dans les derniers hectomètres de l'ascension du sanctuaire de Oropa. Comment expliquer ce mystère ? Christophe Cessieux, Cyrille Guimard, Yohan Bredow et Pierre-Yves Leroux en débattent.Quoiqu'il en soit Pogi est bien le maitre du Giro lui qui rêve cette année de réaliser le doublé Giro-Tour plus fait depuis 1998. Alors y-a-t-il une recette pour réaliser une telle performance ? Cyrille Guimard donnera son avis, lui qui a connu pareil bonheur avec son blaireau préféré c'était en 1982.Production : Roxanne LacuskaRéalisation : Kevin Paugam
Apple compte bien accélérer cette année sur le sujet de l'intelligence artificielle. L'entreprise est, on le sait, distancée par Microsoft et son investissement dans OpenAI, ainsi que par Google. Cela dit, Apple ne ménage pas ses efforts pour développer sa propre IA comme l'indiquent des travaux de recherche publiés ces dernières semaines par la marque à la pomme. Ainsi, on aurait pu imaginer que le GAFAM allait révéler en grande pompe un chatbot ou un assistant plus perfectionné que Siri afin de les intégrer dans ses futurs produits… mais visiblement, Tim Cook et les autres dirigeants d'Apple ont une autre idée en tête.D'après les infos de Mark Gurman, journaliste pour le média Bloomberg, Apple serait en négociations avancées avec Google afin d'intégrer Gemini dans iOS 18 dès cette année. Rien ne serait encore acté ni bien défini, mais Apple aurait désespérément besoin d'un modèle prêt à l'emploi et fonctionnant dans le cloud pour apporter des fonctionnalités d'IA plus puissantes à son système d'exploitation. Apple aurait également en stock quelques services d'intelligence artificielle fonctionnant en local sur l'iPhone, comme pour de la retouche photo ou de la traduction en temps réel, mais au champ d'action limité. C'est donc pour rattraper son retard le plus vite possible qu'Apple se serait résolu à mettre sur pied un partenariat avec Google.Quand on y réfléchit, un accord entre Google et Apple ne serait pas si surprenant. Les deux entreprises sont déjà liées par un autre partenariat de 18 milliards de dollars pour faire de Google le moteur de recherche par défaut sur les iPhone, iPad ou les Mac. Ceci dit, la marque à la pomme discuterait en parallèle avec OpenAI, même si une alliance entre les deux paraît plus improbable. Quoiqu'il en soit, le travail d'Apple sur Ajax, son modèle de langage en développement, semble très loin d'atteindre le niveau de Gemini ou GPT-4. Apple a encore quelques semaines pour choisir son futur partenaire ou bien changer de stratégie. Une chose est sûre, le temps presse avec l'arrivée dans quelques mois de GPT-5 côté OpenAI, sans oublier Google qui voudra évidemment rivaliser avec ChatGPT le plus tôt possible. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est un feuilleton judiciaire digne des romans d'Agatha Christie. En septembre 1999, le Docteur Yves Godard, médecin installé à Caen, disparaît en pleine mer avec ses deux plus jeunes enfants de 6 et 4 ans après avoir probablement tué sa femme. Drame familial ou assassinat de toute une famille ? Plus de 20 ans après cette tragédie, difficile de le savoir. Yves Godard, un homme gênant ? Nous sommes sept ans après la disparition des Godard. Camille et Marius, les enfants, sont morts. Le crâne de la petite Camille a été retrouvé par des marins pêcheurs en 2000 dans la baie de Saint-Brieuc. Le corps de la mère, Marie-France n'a quant à lui jamais été retrouvé. Celui de Yves Godard, le père, non plus. Quant aux différentes cartes retrouvées sur le sable, elles n'ont pas permis de faire avancer l'enquête. Quoiqu'il en soit, en ce mois de septembre 2006, les quelques gendarmes encore opérationnels de la cellule Godard sont un peu dépités… Découvrez la saison précédente en intégralité : Le mystère du suicide collectif de Montreux Un podcast écrit et raconté par Caroline Nogueras. Réalisation : Julien Roussel Date de première diffusion : 17 juin 2021 En partenariat avec upday. Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Adhésion de l'Union africaine au G20, rencontre avec Vladimir Poutine, multiplications des crises sur le continent, Mayotte et la France, réélection contestée. Le président des Comores Azali Assoumani dresse le bilan de son année à la tête de l'Union africaine, alors que le 37e Sommet de l'organisation vient de se clôturer. Depuis Addis-Abeba, il répond aux questions de notre envoyé spécial Sidy Yansané. RFI : Vous venez de passer le flambeau de la présidence tournante de l'Union africaine, quelle évaluation faites-vous de votre bilan ?Azali Assoumani : Les gens apprécient le bilan puisque, effectivement, j'ai parcouru l'Afrique, on est même partis en Russie au nom de l'Afrique, et il y a surtout notre adhésion au G20 en tant que membre à part entière. Aujourd'hui, le G20, demain, on pense au Conseil de sécurité des Nations unies. Mais le plus important pour le G20, c'est qu'avant, les puissances économiques décidaient et nous, on exécutait. Maintenant, on va être avec eux, pour essayer de décider ensemble.Le thème de l'année écoulée de l'Union africaine, c'était la ZLECAf. La mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine, qui est, pour l'instant, un peu à la peine. Quels obstacles expliquent, selon vous, cette difficile mise en œuvre de la ZLECAf ? Je vous corrige : ce n'est pas la mise en œuvre, c'est l'accélération de la mise en oeuvre, ce n'est pas la même chose. Et là, j'ai constaté, quand même, qu'il y a un esprit pragmatique qui l'emporte. C'est un bel outil la ZLECAf. Je le dis : si on a raté l'unité politique, on ne doit pas rater l'unité économique et sociale en Afrique, ça, c'est une obligation. Donc l'accélération, c'est faire en sorte que les gens qui n'avaient pas signé, signent, les gens qui n'avaient pas ratifié, ratifient, et que les structures à mettre en place demain dans les communautés économiques régionales (CER, ndlr) soient mises en place en amont. On a mis en place un secrétariat de la ZLECAf, ce secrétariat visite tous les pays de la région pour faire du lobbying pour convaincre les pays de l'intérêt de la ZLECAf. Par exemple, aux Comores, j'ai mis en place un secrétariat de la ZLECAf, donc ce secrétariat a commencé à travailler et ça donne de bons résultats, parce qu'avec le secrétariat général, ils ont pu plaider auprès de l'Afreximbank pour nous donner de l'argent pour l'exécution de nos plans à Moroni, alors que la ZLECAf n'est pas encore à l'œuvre. Donc dans l'accélération, c'est convaincre les Africains de l'intérêt de la ZLECAf et la mise en œuvre viendra. J'espère que ce sera d'ici l'année prochaine. La mise en œuvre peut être soit continentale, ou séparée par communautés économiques régionales, on peut commencer par là pour mieux convaincre d'aller au bout de la mise en oeuvre, donc ce sont des décisions à prendre.Le président de la Commission de l'Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a dressé un tableau très sombre de la situation de l'Afrique – les guerres au Soudan et en Libye, les violences à l'Est de la RDC, le retrait des pays de l'AES (Alliance des États du Sahel qui regroupe le Mali, le Burkina Faso et le Niger, ndlr) de la Cédéao, les changements anticonstitutionnels qu'il juge plus nombreux que jamais – alors que justement, vous le souligniez comme une victoire, il y a eu l'adhésion de l'Union africaine au G20. De quelle manière l'Union africaine, l'Afrique, pourrait s'imposer sur la scène internationale d'une seule voix ? C'est une bonne question. Ce que l'on peut constater, c'est que malgré ces problèmes, le G20 nous a fait comprendre que ce sont des problèmes africains, et c'est à nous de trouver les solutions, mais ça n'empêche pas de coopérer avec l'Afrique. Le tableau que Moussa Faki a fait, je le partage parfaitement. Au début des indépendances, il y avait des conflits intra-États, ou inter-États. Ce qui aurait pu laisser croire qu'avec cette indépendance récemment acquise, on n'était pas encore suffisamment mûrs pour gérer nos pays. Mais comment peut-on expliquer qu'on a évolué pendant soixante ans et que c'est maintenant qu'on est en chute libre ? C'est la question à se poser.Et personnellement, comment l'expliquez-vous ?J'assume ! C'est de notre faute. Peut-être qu'on a trop regardé vers l'extérieur et pas assez devant soi. On avait tendance à coopérer avec les partenaires extérieurs et on a oublié le voisin. Maintenant, on se rend compte que la coopération régionale est très importante. On aurait pu penser qu'en évoluant, l'Afrique allait se débarrasser de ses fléaux d'insécurité. Malheureusement, l'Afrique devient aujourd'hui le dénominateur commun du terrorisme. Il s'est invité chez nous alors qu'il était ailleurs. A nous désormais de prospecter de façon approfondie les raisons de l'insécurité, des guerres intra-Etat comme au Soudan, ou encore les changements anticonstitutionnels.La France annonce vouloir mettre fin au droit du sol à Mayotte, une île dont l'Union des Comores revendique la souveraineté. Votre réaction à cette annonce ?J'ai peur de vous le dire car ça risque c'être mal interprété, mais d'une certaine manière, cette annonce m'a fait plaisir. Aujourd'hui, la France qui a des départements partout dans le monde décide que seul Mayotte sera interdite du droit du sol. Ça veut dire que Mayotte ne leur appartient pas, de façon subconsciente, l'État français accepte l'idée que Mayotte ne fait pas partie de son territoire. Comment peut-on prendre une mesure qu'il veut constitutionnelle par rapport à un seul département ? Non, ce n'est pas la France telle qu'on la connait. Celle que l'on connait est un pays souverain où les droits et les devoirs s'appliquent à tout le monde. Quoiqu'il en soit, cette mesure ne concerne pas les Comoriens, car ceux qui sont à Mayotte, nés à Mayotte ou partis à Mayotte sont chez eux. Que la France le veuille ou non, le droit international leur donne leur droit d'y vivre. Cette mesure n'honore pas la France, ça ne nous concerne pas. Peut-être que d'autres citoyens venus d'ailleurs en Afrique ou dans le monde qui se rendent à Mayotte pour acquérir la nationalité française, mais nous Comoriens sommes déjà chez nous.Vous venez d'être réélu à la tête de l'Union des Comores, des résultats contestés par l'opposition qui a saisi la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples. Le journal Le Monde s'appuie sur des documents et des témoignages qui indiqueraient une fraude électorale. Monsieur le Président, ne craignez-vous pas de souffrir d'un manque de légitimité ? Un journal comme Le Monde, ou comme RFI, ils devaient venir, participer aux élections et voir ce qu'il se passait. Le Monde n'a pas été à Moroni pour investiguer.Les journalistes du Monde et de RFI, tous les deux, étaient sur place le jour de l'élection, Monsieur le Président.Le constat qu'il a fait, c'est un constat qui a été dit par les opposants, mais ces derniers devaient porter plainte auprès de nos instances nationales.Ce qui a été fait, à la Cour suprême. Et la Cour suprême a décidé. En 2025, nous avons des élections législatives, pourquoi ne pas venir discuter et me dire : « Attention Azali ! Il y a eu des erreurs, il y a eu des bêtises, il faut corriger pour que ces bêtises-là ne reviennent pas » ? Donc la solution est comorienne. Ils peuvent aller où ils veulent – les médias, Le Monde, vous-mêmes – mais tout ça, ça ne donne pas de résultats. Les résultats, c'est s'asseoir entre Comoriens, face à face, les yeux dans les yeux, et se dire la vérité. Je ne dis pas qu'il n'y a pas eu de maladresses, ça je ne le nie pas, mais on ne peut pas prendre un cas exceptionnel qui s'est passé quelque part, pour dire que toutes les élections se sont passées comme ça. Moi, ce que je vois, c'est l'avenir, c'est 2024 et 2029, et 2029, je ne serai pas candidat. Ce que je recommande, c'est que les opposants viennent et qu'on discute de l'avenir.
Encore aujourd'hui, on peut entendre un discours assimilationiste selon lequel transmettre sa langue d'origine à ses enfants les empêcherait de maîtriser le français et s'intégrer à la société française. Aussi faux soit il, ce discours a réussi à pénétrer les esprits et les foyers de nombreuses familles issues de l'immigration. Certaines ont résisté, d'autres ont abdiqué. Quoiqu'il en soit, qu'il y ait eu ou non transmission, la langue d'origine a joué un rôle profond dans la construction identitaire de celles et ceux qui cumulent deux cultures, voire plus. Est-ce la maîtrise d'une langue qui nous confère la légitimité d'appartenir à la communauté à laquelle elle appartient ? Est-ce la validation de la culture dominante ? Comment s'approprier et transmettre sa culture d'origine à travers la langue ? C'est les questions qu'on se pose dans cet épisode en collaboration avec le podcast À l'intersection, de Anas Daïf.
Vous arrive-t-il d'avoir le sentiment que le temps vous file entre les doigts ? Que vous aviez plusieurs heures pour effectuer une ou deux tâches simples, mais que vous n'avez pas vu l'horloge tourner ? Le problème vient peut-être d'une mauvaise organisation de votre temps, ou d'une tendance à la procrastination. Cela peut aussi découler d'une incapacité à s'isoler de toute source de distraction. Quoiqu'il en soit, c'est ce qui a conduit l'auteur italien Francesco Cirillo à développer en 1980 une méthode de gestion du temps. Comment marche la technique de la tomate ? Quelles en sont les différentes périodes ? Quelles sont les astuces pour l'appliquer ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. À écouter aussi : Qu'est-ce que le pandemic skip, cette conséquence psychologique de la pandémie ? Comment constituer un bon dossier de location ? Quels aliments privilégier avant d'aller dormir ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion : 18 août 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
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Ce lundi 25 septembre, Alba Ventura livre son coup de cœur pour le capitaine des Bleus, Antoine Dupont, "impressionnant de courage".
durée : 00:04:14 - Le zoom de la rédaction - Deux mois après la mort de Nahel à Nanterre et la vague de colère qui s'en est suivie, France Inter a choisi de retourner voir celles et ceux qui ont été en première ligne pendant ces émeutes. Retour à L'Haÿ-les-Roses où le domicile du maire et sa famille ont été pris pour cible.
Vous arrive-t-il d'avoir le sentiment que le temps vous file entre les doigts ? Que vous aviez plusieurs heures pour effectuer une ou deux tâches simples, mais que vous n'avez pas vu l'horloge tourner ? Le problème vient peut-être d'une mauvaise organisation de votre temps, ou d'une tendance à la procrastination. Cela peut aussi découler d'une incapacité à s'isoler de toute source de distraction. Quoiqu'il en soit, c'est ce qui a conduit l'auteur italien Francesco Cirillo à développer en 1980 une méthode de gestion du temps. Comment marche la technique de la tomate ? Quelles en sont les différentes périodes ? Quelles sont les astuces pour l'appliquer ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. À écouter aussi : Qu'est-ce que le temps de trajet responsable, qui permet d'obtenir des jours de congés ? Comment mieux télétravailler ? Le télétravail peut-il s'installer durablement dans nos vies ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Depuis une vingtaine d'années, la Nouvelle-Zélande s'est imposée comme l'un des leaders mondiaux dans la revente de crédits CO2. À l'autre bout du monde, des sociétés comme Ikea, Shell ou Boeing s'offrent donc un « droit à polluer » en rachetant le carbone absorbé par les forêts néo-zélandaises, dédiées aux compensations carbone. Pour la plupart monocultures, elles sont constituées uniquement de pins exotiques, qui absorbent plus rapidement le CO2 mais résistent peu aux tempêtes et cyclones australes. À chaque catastrophe naturelle, des milliers de d'arbres s'échouent sur les plages, les fermes et les habitations, affectant plusieurs régions à travers le pays. De notre correspondant en Nouvelle-Zélande,« Ici, on élève de l'air frais ! », s'amuse Warrick James. Située au milieu des Alpes du Sud, la plus grande chaîne de montagne en Nouvelle-Zélande, la ferme de Warrick et sa femme Cece a récemment changé de visage.Il y a quelques années, ils ont troqué la moitié de leur bétail pour se lancer dans les compensations carbone. Sur plus de 500 hectares, le couple a planté une forêt de pins dédiée à la revente de crédits CO2 : « avec les hauts et les bas dans le secteur de l'élevage, au moins le carbone nous a donné une certaine stabilité ».Car avec les réductions d'émissions de CO2 imposées aux grandes entreprises à travers le monde, le prix du carbone s'envole. Chaque année, les forêts de Warrick absorbent 50 tonnes de CO2 par hectare. Des tonnes, reconverties en unités et rachetées une trentaine d'euros par le système d'échange de droits d'émissions. « J'ai toujours cru que je n'étais qu'un fermier du sud avec ses vaches et ses moutons, je n'aurais jamais pensé que j'allais un jour avoir des arbres pour absorber du carbone », plaisante Warrick. Et si le couple garde le sourire, c'est parce que l'année dernière, ils ont empoché près de 800 000 euros grâce aux compensations carbone.Une reconversion qui séduit de plus en plus les éleveurs de bétail. En 2022, 50 000 hectares de fermes d'élevage ont été reconvertis en forêts de compensations carbone. Au nord du pays, sur la côte Est, Gisborne et sa région appelée en māori, Tairāwhiti. Ici, les fermes de compensations carbone ont eu un impact considérable sur la population. Récemment marqué par les cyclones Hale et Gabrielle durant l'été austral, ce district est constamment affecté par la chute d'arbres provenant de ces forêts. « On en a marre de ce chaos ! », affirment Bridget et son mari Mike.Ce couple d'horticulteurs a perdu la quasi-totalité de leur ferme de kiwis, dévastée par des tonnes de troncs d'arbres. « En cinq ans, nous avons été affectés trois fois par ces fermes de carbone. Les arbres se sont échoués sur nos terres et notre maison était encerclée par les pins. Et tous ces arbres viennent des forêts de compensations carbone situées 25 kilomètres plus haut. »Un désastre économique mais aussi écologiqueDans ce décor cataclysmique, où la vase et les arbres recouvrent les rivières et les fermes locales, une voix s'élève, celle de Hera Ngata Gibson. Cette habitante de Tolaga Bay, a vu en l'espace d'une génération, sa région être totalement dévastée par l'industrie du carbone.Il y a quelques mois, elle a lancé une pétition pour qu'une enquête indépendante fasse la lumière sur les effets néfastes de cette activité dans la région. Une initiative rejetée plusieurs fois par le ministre néo-zélandais de l'Industrie forestière. « Ce que j'ai réalisé avec cette expérience, c'est que le gouvernement et cette industrie n'ont aucune idée de ce qui est important pour nos populations dans ce genre de communauté. L'environnement est ce nous avons de plus cher et cela a affecté toute notre manière de vivre. On se sent submergé par ces débris de bois qu'il y a partout autour de nous… à chaque grande marée, les arbres finissent de nouveau sur les plages. Puis une fois en mer, ils détruisent nos fonds marins. Pour cette petite communauté, au mode de vie très modeste, la mer est l'une de nos ressources principales pour manger, mais aujourd'hui, c'est devenu impossible. » Car le problème pour cette région de Nouvelle-Zélande, est surtout lié à sa géologie. La côte est de l'île du Nord possède le taux d'érosion le plus élevé au monde. Des sols fragiles et non adaptés à ces monocultures de pins exotiques. Un aspect sur lequel certaines compagnies forestières ont préféré fermer les yeux, face au prix attractif de ces terres. Pour Renée Raroa, elle aussi originaire de cette région, le futur des compensations carbone passe par un retour aux arbres endémiques de Nouvelle-Zélande. Une problématique qu'elle est allée porter jusqu'au siège des Nations unies, à New-York. Au cours des derniers mois, elle a développé avec l'aide d'autres organisations, un modèle durable de forêt dédiée au carbone. « Ces forêts de monocultures dans cette région ne sont plus viables. Cependant, ces forêts de pins offrent pour le moment la meilleure rentabilité pour les compensations carbone. Alors, sur plus de 900 hectares, nous avons mis en place un nouveau modèle qui observe les données d'une forêt native qui sert à régénérer ces terres mais aussi à offrir des compensations carbones. Avec ces données qui prouvent que l'on peut avoir une activité économique tout en respectant l'environnement, on veut démontrer qu'il est possible de changer cette industrie pour se tourner vers un système de compensation carbone plus durable. » Aujourd'hui, 90% des fermes de compensation carbone en Nouvelle-Zélande sont composées de pins exotiques.Une tendance dont certaines communautés souhaitent changer. Quoiqu'il en soit, la Nouvelle-Zélande espère atteindre 2 millions d'hectares de forêts consacrées aux compensations carbone dans les cinq prochaines années.
Si vous voulez me soutenir pour continuer à développer ces podcasts qui me prennent beaucoup de temps et d'investissement personnel : https://fr.tipeee.com/horizon-podcast merci d'amour. Bonjour à tous Aujourd'hui je reçois la douce Raihane Palagi, nutrithérapeute, pour parler des différentes causes de l'infertilité et des manières holistique d'augmenter notre fertilité. Et oui, il n'y a évidemment pas qu'une mais pas mal de raisons et de pathologies qui la perturbe, on parle d'ailleurs principalement des femmes car c'est la majorité de sa clientèle mais on aborde les causes qui concernent les hommes également, bah oui mes ptites couilles, je ne vais pas vous abandonner non plus… Quoiqu'il en soit, le stress reste quand même l'ennemi numéro 1, celui-ci étant trop présent dans nos vies, on est même accro; sans stress, on a parfois l'impression de s'ennuyer, car il nous manque notre adrénaline quotidienne et la vie nous paraît plate… je sais de quoi je parle, je ne suis pas quelqu'un qui a des addictions… sauf au stress haha, et ça on n'en parle pas. stress junkie … si si ça existe on est sûrement beaucoup à l'être. En tout cas, encore un épisode où on apprend des choses, j'espère qu'il vous plaira et surtout j'espère qu'il vous donnera des pistes bien que ce sujet soit très vaste. N'hésitez pas à nous dire ce que vous en avez pensé. Cet épisode est divisé en deux parties, la suite la semaine prochaine! Bonne écoute La suite la semaine prochaine Show notes : -Instagram de Raihane@tulsinutrition -Site de Raihane tulsinutrition.com -Mon instagram : @lena_champy